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Année universitaire : 2020/2021

Matière : Techniques d’expression et de communication

semestre 2

Examen final
Le compte rendu critique :

Dans cette émission présenté par Sara Rami, Bouchra El Azhari , et leurs invités Talal
Chakir, Mohamed Oulkhouir et Rachid Achachi . Ils ont traité l’intelligence artificielle ou
bien l’IA qui peut être décrite de façon simplifiée comme la science visant à rendre les
machines intelligentes . Plus formellement, c’est l’étude et la conception d’agents intelligents.
Dans ce contexte, un agent est une chose qui agit, comme un ordinateur . En écoutons cette
émission radio il se voit que les participants se questionnent sur la validité de l’intelligence
artificielle au niveau d'embauches et est-ce que l’IA devient la meilleure méthode de
recrutement .Les invités soulignent que l'IA peut supprimer des discriminations et en
encourager d'autre. Ainsi que son application dans le monde du travail peut le développer en
portant des solutions d'avenir, mais en même temps c'est effrayant .

D’abord , l’une des animatrice dénote que l’intelligence artificielle nous permet de recruter
les gens rapidement par l’analyse rapide et efficace des grand big data , mais parfois assez
limiter , mettant en avant la société Kappa qui ont un record de 36 min dit elle entre le
moment ou un restaurant a déposer une demande de serveur homme ou femme et le moment
ou la serveuse est venu surplace pour prendre son poste , Amazon de son coté finis par laissez
tombé l’algorithme qu’il a lui-même conçu pour automatiser une parti de son processus
d’embauche par ce qu’il ces rendus compte qu’il écarté les femmes .

De même , Talal Chakir voit que l’IA est un avantage pour les entreprises (gains de temps ,
productive pour les meilleurs , une recherche beaucoup plus efficace puisque on donne des
critères et l’algorithme répond a ces critères de façon globale générale et puis vous permet de
sélectionner celui qui répond a vos critères ) , en revanche pour les salariés il y a un préjugiste
par ce que l’algorithme répond a un salon de critères qui son des critères basée sur votre CV
internet ou réseaux socio , car il est probable si vous envoyez un message avec des gros mots
à votre cousin c’est possible que la somme de ces gros mots soit pesante par rapport à
l’ensemble de votre profil internet et puis de ne pas vous sélectionner. En plus ,Talal constate
qu’on déshumanise le processus d’embauchement , par ce qu’on prend des profils sans les
voire ou savoir leur compétence ,en d’autres termes si je vous demande a partir de 2 critères
est ce que aimer la tomate , la fraise , est ce que vous êtes gentil , si vous avez ces 3 vous
passez ce qui est faut puisque on peut avoir d’autre défaut .

D’autre part ,Mohamed Oulkhouir appui à ce que l’intelligence artificielle n’est pas
différente de la réalité concernant la discrimination , étant donné a quoi on est confronté , on
a des recruteur racistes et sexiste , tel que un fois en France ou il fallait mettre en place un CV
anonyme pour que le sexe , l’origine et la nationalités des gens ne soit pas indiqué . Aussi , il
a observé que ce problème viens de la manière avec laquelle on construit ces algorithmes , par
exemple metter en place un algo au Maroc pour le recrutement et comme les étranger ne
peuvent pas travailler la sans avoir une autorisation de travaille du ministre d’emplois , donc
l’algorithme les écartera systématiquement parce qu’il y aura une étape de plus et si on
intègre pas ce paramètre la , ceux qui n’ont pas besoin d’autorisation seront avantageux par
apport aux autres .

En outre , l’animatrice ajoute que Hireview utilise une IA qui décortique les expressions
facial ,car chez eux chaque candidats usant 2 mots plus comme compatissant seront privilège
contre ceux favorisant des mots considérer comme agressif.

Selon Rachid Achachi , si on arrête de fantasmer l’intelligence artificielle et qu’on la voit


uniquement comme une manière d’augmenter pour le pire des capacités humaine , la
effectivement on peut légifère là-dessus , on peut voir la ou sa pose problème et ou sa pose
pas de problème .

Également , Talal a ajouter que la machine est incapable de tester l’humain et


qu’aujourd’hui on est devant une intelligence qui est utiliser un petit peut dans beaucoup de
domaine des domaine qui ne devrais pas l’être , comme l’enseignement , d'autant plus qu’il a
toujours besoin de lien , construction sociale et d’estime .

Mais encore , Rachid indique que comme on est recruter on peut être virer du travaille par
IA . C’est le cas de Amazone qui ont système automatisé qui permet en partant du suivis
permanant par la machine de productivité des travailleurs d’envoyer automatiquement des
avertissements dés que la productivité diminue et quand ca se répète un licenciement
automatique vous l’appreniez par SMS , d’où il y a des travailleur qui se prive de pause
toilette pour rester tous le temps au-delà du critère d’avertissement du licenciement. Puis , il
a confirmer qu’on peut pas théoriser le tous comme le fait l’intelligence artificielle , en
donnant exemple que la machine ne prend pas en considération le cas des élèves brillant qui
se bloque dans l’examen .

Critique interne :

Durant ce débat , les intervenants on essayé d’enlever l’ambigüité sur la relation travaille
intelligence artificielle , tout en utilisant des liens et des connecteur logique dans le passage
entre les idées , ainsi l’utilisation d’un langage correcte et vocabulaire simple pour exposé
leurs idées de manière très claires , et pour nous convaincre chacun des invités a utilisé des
exemples .

Critique externe :

Mohamed Oulakhouir a souligner que le problème viens de nous et qu’il faut juste revoir
la manière avec laquelle on construit c’est algorithmes .

Cependant l'IA a toujours des décisions ayant suscité ou susceptibles de produire des
discriminations . Commençons par le secteur public. Un exemple célèbre de système d’IA aux
effets discriminatoires est le Correctional Offender Management Profiling for Alternative
Sanctions (COMPAS). Il est utilisé dans une partie des États-Unis pour prédire les risques de
récidive des inculpés. Il est censé aider le juge à apprécier si la personne commettra une
nouvelle infraction ou s’il peut ordonner le sursis avec mise à l’épreuve (liberté sous
surveillance). Il ne tient pas compte de l’origine raciale ni de la couleur de la peau. Mais les
travaux d’Angwin et al. (journalistes d’investigation à ProPublica), ont montré en 2016 qu’il
contient un biais contre les noirs. Un autre exemple , l’IA sert au ciblage de la publicité en
ligne, très rentable pour certaines entreprises (Facebook et Google, qui figurent parmi les
sociétés les mieux cotées, tirent le gros de leurs bénéfices de la publicité en ligne). Ce type de
publicité peut avoir des effets discriminatoires. Sweeney a montré en 2013 qu’une recherche
sur des noms à consonance afro-américaine attirait sur Google des publicités conduisant à
penser que quelqu’un avait un casier judiciaire. Pour les noms à consonance blanche, Google
affichait moins de publicités liées à un casier judiciaire. On peut penser que le système d’IA
de Google analysait le mode de navigation des utilisateurs et avait hérité d’un biais racial.

En conclusion , l’Intelligence Artificielle est en train de se faire une place au sein des
entreprises et dans le quotidien de tout un chacun. Alors verrons-nous une amélioration de
l'IA pour éviter toutes sortes de discriminations, pour une meilleure utilisation à l’avenir ?

Texte structuré :
Sujet 2

Les machines ont toujours fait partie de la réalité humaine, mais la révolution industrielle a
marqué un tournant dans leur utilisation. À l'époque, son importance était largement
reconnue, mais elle a suscité des réactions très diverses: certains la considéraient comme une
menace et d'autres comme une opportunité prometteuse. Aujourd'hui, à l'ère omniprésente de
la technique et en pleine période de transition, nous sommes confrontés à la même situation
concerne, cette fois-ci , les machines et les processus intelligents. Alors, faut-il avoir peur que
les robots dominent-ils un jour les hommes ?

La plupart des gens assure que les robots compléteront le travail accompli par les humains,
ce qui le simplifiera et le rendra plus efficace et non pas nous remplacer.

En premier lieu , il faut pas avoir crainte des robots , puisque le train en son temps , était
également craint .De plus ,il faut juste toujours se rappeler qu’ils sont avant tous des
machines savante et que l’imagination des auteurs est sans limite .

De plus , même si leurs capacités de déduction et de connexion sont certes développer ,


leur force mécanique est puissante ,leur précision micrométrique ,mais les robots restent des
machines au service de l’homme et voué a exécuter toutes les taches pour lesquelles on
voudra , ou pourra , le programmer .

Encore , c’est vrai que des métiers vont disparaitre mais d’autre vont apparaitre , prenons
exemple de l’industrie de l’automobile qui a crée beaucoup plus d’emplois qu’elle n’en a
supprimés .

Ensuite , la robotisation est parfois plus chère que employer une personne pour la même
fonction , a titre d’exemple Paul Andreu, l'architecte de l'aéroport de Roissy (du terminal 1 au
terminal 2E-K) ainsi que de l'Opéra de Pékin entre autres, s'était demandé s'il devait installer
des portes automatiques dans un aéroport qu'il était en train de concevoir comme le requérait
tout aéroport digne de ce nom car, après un rapide calcul à partir des conditions locales, le
coût d'achat et surtout de maintenance d'une porte automatique revenait plus cher que le
salaire d'un portier qui pouvait nourrir une famille avec ce que la porte était bien incapable de
faire! C'est pourquoi, il décida de remplacer les habituelles portes automatiques par des
portiers en superbe livrée, ce qui donna un caractère très luxueux à cet aéroports .

Puis , Robby Vanuxem , managing director chez Hays Belgique , dénote que l’économie
aura tout autant besoin, voire plus, des êtres humains que des robots. Et ce, pour plusieurs
raisons. Tout d’abord, les gens ne peuvent pas être copiés. Avec l’apparition de machines
intelligentes, les êtres humains et leurs compétences uniques constituent une ressource encore
plus précieuse. Il ne faut pas oublier qu’indépendamment de la branche ou du secteur, les
hommes figurent toujours au sommet de la chaîne. Les entreprises vendent des services et des
produits et c’est de cette manière qu’une entreprise peut faire la différence face à ses
concurrents. Mais un robot ne possède pas la finesse d’esprit nécessaire pour mener à bien la
vente d’un produit ou d’un service. Il est impossible de construire une relation avec des
robots. Ils ne peuvent pas motiver votre personnel, faire preuve de bonne volonté et vous
rendre la pareille. Autant de qualités qui permettent à une entreprise de faire la différence. Ces
relations et ces interactions personnelles sont justement la raison qui pousse les collaborateurs
à faire un effort pour un client ou un collègue. Pour l’instant, les robots sont incapables
d’imiter les relations humaines. La technologie peut être copiée par vos concurrents, mais pas
votre personnel. En outre , l’innovation ne peut pas être programmée. La lutte en matière
d’innovation n’a jamais été aussi acharnée qu’aujourd’hui dans le monde ultracompétitif des
entreprises. Pour être vraiment innovante, une entreprise se doit d’atteindre un certain niveau
de collaboration et de créativité. L’échange d’idées est essentiel à cet égard. Cet échange a
souvent lieu par hasard dans les couloirs, à la machine à café, pendant un drink ou une
réunion où votre présence n’était à la base pas requise. Ce sont ces fantastiques moments
improvisés qui permettent à une entreprise de se distinguer de ses concurrents. Il est
impossible de programmer de tels processus. En fin , les robots ne sont pas flexibles. Le
constructeur automobile Mercedes a récemment réengagé du personnel pour… remplacer des
robots. Le problème ? Leur manque de flexibilité. Les robots pouvaient certes accomplir des
tâches répétitives, mais construire des véhicules personnalisés présentant à chaque fois des
options différentes dépassait leurs compétences. Mercedes a donc renforcé ses effectifs
humains pour les tâches plus variées. Ces collaborateurs sont assistés par de plus petits robots
qui se chargent du travail lourd et répétitif. Mercedes est la preuve qu’à l’avenir, humains et
robots continueront à travailler ensemble.
En somme, il est bon de montrer que les robots ont de nombreux avantages, ils améliorent
déjà la vie humaine mais il y a encore des tâches que les robots ne peuvent pas accomplir en
raison de leur incapacité à s'adapter à différentes situations.

À mon avis, les robots sont aussi avant tout l'occasion de se sentir à nouveau humains.

Alors, peut on un jour assisté à une coexistence entre l’Homme et la machine sans aucun
souci ?

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