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Conception 3D
SCHEMA ELECTRIQUE 3D
partie dues aux avancées technologiques. Parmi ces innovations, l'essor des logiciels de
conception assistée par ordinateur (CAO) a joué un rôle central dans le changement de la
dynamique de la façon dont les ingénieurs et les concepteurs créent des plans pour les pièces
concernant l'utilisation des dessins 2D et 3D dans la fabrication et leurs impacts respectifs sur
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1. Définition
a) Schéma électrique
b) Symboles
Les symboles sont littéralement les éléments constitutifs de tout schéma électrique. Les
symboles sont une représentation picturale du composant électrique et affichent généralement
leurs points de connexion respectifs. Les deux normes les plus courantes pour les symboles de
conception électrique sont ANSI et IEC.
c) Balises de dispositif
Les marques et les étiquettes servent à identifier chaque composant électrique sur le schéma.
Ils commencent généralement par quelques lettres suivies du numéro d'ordre qui leur est
attribué. Les marques aident les opérateurs à distinguer plusieurs objets identiques.
2. Connaissances de base
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Sur le schéma électrique on retrouve le plan d’une construction, sur lequel on a fait apparaître
clairement les différents circuits électriques. Il s’agit en fait de la représentation spatiale
simplifiée d’une installation électrique. A quoi cela sert-il ? Principalement à anticiper les
raccordements qui seront nécessaires. Ainsi, l’agencement d’un espace ou d’un logement est
primordial. Il permet d’anticiper les pannes, les branchements, mais aussi la quantité
d’électricité nécessaire pour le bon fonctionnement de l’ensemble.
Les schémas électriques répondent à des normes strictes et un cahier des charges spécifique à
chaque type d’installation. En effet, ils doivent être faciles à déchiffrer afin que chaque
intervention soit fluide (par exemple pour que des travaux de maintenance ou qu’un
dépannage puissent rapidement être mis en place en cas de problème). C’est pour cette raison
que ces schémas doivent impérativement être valides et mis à disposition de tous afin
d’assurer correctement l’entretien et la maintenance des installations.
Ces schémas peuvent être conçus à la main, sur papier. Toutefois, de nos jours, il est plus
fréquent d’avoir recours à des logiciels professionnels très performants qui permettent de faire
des schémas de grande qualité. C’est le cas par exemple avec le logiciel ARCHICAD, REVIT,
il y a aussi des fonctionnements qui peut tracée et dessiné un schéma électrique mais
d’ailleurs j’ai dessiné ce schéma électrique dans le logiciel AUTOCAD. Dans un second
temps, il faut indiquer sur le plan les différentes installations électriques envisagées (prises,
radiateurs, lumières, électroménagers, etc.) à l’aide des symboles normalisés.
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Il est vivement recommandé de faire appel à ces sociétés spécialisées. Elles sont aussi en
mesure de fournir des documents officiels, souvent nécessaires à la mise en service des
installations électriques.
En suivant le chemin des fils et connexions et en observant les symboles des appareillages,
vous devez pouvoir déterminer à quoi sert l'équipement. Parfois, le schéma électrique seul ne
suffit pas à la compréhension totale du dispositif technique. Si vous avez par exemple des
programmateurs ou des séquenceurs, il sera pertinent de dessiner les chronogrammes des
séquences. Vous pouvez également mettre des tableaux de données concernant les réglages de
temporisations ou de séquence pour les différentes configurations dans laquelle une machine
fonctionne.
En plus du schéma électrique, il faudra fournir la liste du matériel nécessaire au câblage d'une
armoire électrique par exemple et le plan d'implantation des appareillages et organes de
signalisation pour cette même armoire. Le schéma architectural de l'installation complète
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(génie civil, arrivée des sources d'énergies) et l'implantation physique des machines d'un
procédé industriel sont aussi des documents qui permettent de réaliser l'installation.
d) Faciliter la maintenance
Pour des dépannages rapides ou des opérations de maintenance préventive, la validité des
schémas et leur mise à disposition sur le lieu d'implantation de l'équipement sont
indispensables. En cas de maintenance corrective ou de modifications, il faut absolument
mettre à jour tous les exemplaires des schémas (documents dans l'armoire de la machine, dans
les bureaux d'étude, des méthodes et du service maintenance).
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Figure 2 : Présentation d’un schème électrique
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Conclusion
L'éclairage du logement est le premier élément de l'installation électrique. Voici tous les points essentiels de la norme NF C 15-100 à retenir. Un
circuit lumière ne doit pas comporter plus de 8 points lumineux : plafonniers, appliques, prises commandées, etc. Pour plus d'évolutivité, j’ai est
conseillé de prévoir 5 ou 6 points lumineux par disjoncteur. Le circuit est câblé en fils de 1.5 mm2 et protégé par un disjoncteur de 16 A maxi.
Tous les circuits d'éclairage doivent comporter un conducteur de protection relié à la terre. Le nombre de circuits d'éclairage doit être au
minimum de 2 par logement, 1 par studio. Les points d'allumage doivent être installés à une hauteur comprise entre 0,90 m et 1,30 m. Dans
chaque pièce équipée d'un point d'éclairage, il faut au moins un point d'allumage fixe près de chaque accès.
Dans les couloirs et les circulations, ils pourront être réalisés soit par des commandes manuelles avec ou sans variateur de lumière, soit par une
commande automatique par détection de mouvements. Pour les points d’éclairage La norme impose au moins un point d'éclairage dans chaque
pièce À l'extérieur, vous devez installer un point d'éclairage au-dessus de chaque accès : porte d'entrée principale, porte de service. Selon
l’ouvrage Une prise de courant commandée par un interrupteur est considérée comme un point d'éclairage. Dans le séjour, la cuisine et dans les
chambres, le point d’éclairage obligatoire est constitué par un point de centre en plafond. Le dispositif de suspension de chaque point de centre
doit pouvoir supporter une charge allant jusqu’à 25 kg.
En complément des points de centre, ou dans les autres pièces de la maison, d’autres points d’éclairage peuvent se situer au niveau des murs
(appliques), du sol ou d’une prise de courant commandée par un interrupteur. Les boîtes de raccordement des luminaires en point de centre ou en
applique doivent être équipées d’un socle DCL (Dispositif de Connexion Luminaire). Celui-ci comporte une prise permettant l’installation ou le
remplacement d’un luminaire par simple branchement ou débranchement de la fiche du luminaire. Il existe des boîtes DCL spécifiques pour les
points de centre et pour les appliques murales. Dans le cas de la salle de bains, le point d’éclairage est constitué d’une boîte DCL avec obturateur
pour attente luminaire ou d’un luminaire protégé contre les projections d’eau de toutes directions (indice de protection IPX4). Selon l’ouvrage ,
les boîtes des points de centre doivent être accrochées à la structure du bâtiment par une tige filetée, un câble Pour les pièces suivant , les points
éclairages sont définies ainsi : Points d’éclairage séjour 1 point de centre équipé DCL Chambre, 1 point de centre équipé DCL cuisine , 1 point de
centre équipé DCL autres pièces et dégagement (sup. à 4 m2 hors WC), 1 point de centre ou en applique équipé DCL Extérieur (entrée principale
ou de service) 1 point d’éclairage au-dessus de chaque accès Salle de bain (volume 2 et volume caché) 1 point d’éclairage protégé contre les
projections d’eau de toute direction.