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Direction Générale des Etudes Technologiques
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Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Kélibia
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Support de Cours
SCHÉMAS, NORMES ET SÉCURITÉ
ÉLECTRIQUES
CHAPITRE 1 :
I
L’ NSTALLATION ÉLECTRIQUE :
SCHÉMAS
CHÉMAS ET NORMES ÉLECTRIQUES
LECTRIQUES
Sommaire
1. Introduction .............................................................................................................................7
2. Schéma électrique....................................................................................................................7
3.3. Va-et-Vient.......................................................................................................................22
4. La sécurité ..............................................................................................................................26
1. Introduction
L’installation électrique représente entre 3 % et 6 % du budget dans la construction d’une maison.
Il s’agit d’un poste de dépenses non négligeable. Il est donc important de maitriser les notions de
base de l’électricité, ainsi que les étapes essentielles à la mise en œuvre d’une installation
électrique à son domicile.
Un logement comporte en général plusieurs circuits électriques, avec des montages classiques
(circuit pour les prises de courant, circuit simple pour l’allumage, etc.). Pour faciliter la
représentation d’un circuit électrique, on utilise différents types de schémas et des symboles.
Une installation électrique comprend obligatoirement plusieurs éléments tels que le compteur, le
tableau, le disjoncteur. D’autres éléments sont mis en place pour assurer la sécurité, c’est le cas du
disjoncteur différentiel général et des interrupteurs différentiels et/ou des fusibles. Ils permettent
de couper automatiquement le courant en cas d’anomalie.
Afin d’améliorer la sécurité et le confort, les normes électriques sont régulièrement revues.
Actuellement, c’est la norme NF C 15-100 qui fait référence. Pour pouvoir être raccorde au réseau
électrique, un logement neuf ou entièrement rénove doit faire l’objet d’une norme électrique
imposée.
2. Schéma électrique
Le schéma électrique vise à représenter au mieux le circuit électrique grâce à des symboles
normalisés.
Il existe quatre types de schéma électrique :
Schéma développé,
Schéma architectural,
Schéma unifilaire,
Schéma multifilaire.
Les différents symboles utilisés dans les différents schémas sont en fait représentés selon la norme
d’électricité NF C 15-100. Les différents symboles les plus utilisés sont donnés dans les tableaux
de la section 4. Des symboles de certains équipements sont utilisés dans le schéma architectural, et
d’autres symboles de ces mêmes équipements sont utilisés pour le schéma développé et le schéma
multifilaire.
Le tableau suivant montre les différents éléments ou dispositifs utilisés dans les différentes pièces
de la maison, ainsi que le repère correspondant. Comme nous avons indiqué précédemment, les
symboles des différents équipements sont donnés dans la quatrième section.
Exemple 1 :
La figure ci-dessous, représente le plan architectural d’un studio type chambre.
Le plan architectural précédent fait apparaître les symboles normalisés dans les endroits suivants :
Entrée :
- Deux points d’allumage permettent de commander un plafonnier en va-et-vient.
Placard :
- Un point d’allumage commande une lampe plafond.
Salle de Bain :
- Un point d’allumage pour commander une applique au dessus du lavabo et/ou un
plafonnier.
Chambre :
- Quatre appliques (une sur chaque mur) sont commandées par trois boutons poussoirs.
un bouton poussoir à la porte d’entrée du studio,
un bouton poussoir en entrant dans la chambre
un bouton poussoir à côté du lit.
- Une prise à côté du lit pour une lampe de chevet.
Entrée :
Placard :
Salle de Bain :
Chambre :
Exemple 2 :
La figure ci-dessous, représente le plan architectural d’une maison type 3 (3 = 2 chambres + 1
salon).
Pour chaque pièce de la maison, le nombre de points lumineux, le nombre de points d’allumage et
le type de commande, ainsi que le nombre de prises de courant et le nombre de circuits spécialisés
sont indiqués dans le tableau suivant :
Nombre de Nombre de
Nombre de
points prises de Circuits
Pièce points Type de commande
lumineux courant spécialisés
d’allumage
Salon
1 1 1 double allumage 5
Parc
2
Chambre 1
2 1 1 double allumage 3
Chambre 2
1 2 1 va-et-vient 4
SbB
3 1 1 double allumage 1
WC
1 1 1 simple allumage
1 simple allumage
Hall
2 4 1 télérupteur avec 3 2 1 chauffe eau
BP
Terrasse
1
Le tableau suivant montre quelques circuits spécialisés ainsi que les dispositifs essentiels de
protections des personnes et des biens.
En fait, pour repérer la nature des conducteurs, on utilise soit des couleurs, soit des symboles.
Ce type de schéma électrique emploie le même type de symboles que le schéma architectural.
En réalité, nous pouvons trouver dans des dossiers techniques des schémas électriques comme la
suivante. Ce schéma électrique présente aussi bien un schéma unifilaire à partir du disjoncteur
principal de branchement (installé près du compteur). Dans ce schéma, nous trouvons les
équipements de protections utilisés ainsi que leurs caractéristiques intrinsèques.
Schéma architectural
Schéma unifilaire
Schéma multifilaire
Schéma architectural
3.3. Va-et-Vient
Schéma développé
Schéma architectural
3.4. Prise
Schéma développé
3.5. Télérupteur
Schéma développé
Schéma architectural
Faire l’étude temporelle à travers un organigramme décrivant l’allumage et l’extinction des deux
lampes ?
3.6. Minuterie
Schéma développé
Schéma architectural
4. La sécurité
La norme NF C 15-100, intitulée « Installations électriques à basse tension », de l’Union
Technique de l’Electricité (UTE), définit les règles à respecter pour garantir la sécurité des
installations et le confort des personnes qui occupent le logement. Elle s'applique aux installations
neuves et aux rénovations totales. Les schémas électriques visent à représenter au mieux le circuit
électrique grâce à des symboles normalisés.
Ensuite, une gaine électrique de type gaine technique logement (GTL), qui regroupe en un seul
emplacement toutes les arrivées des réseaux de courants forts et faibles, doit être mise en place.
Il faut aussi que l’installation comporte au moins quatre circuits indépendants ou spécialisés
(électroménager), un nombre minimum de points lumineux et de prises électriques par pièce.
Ainsi, il faut trois prises minimum par chambre, six prises au moins dans une cuisine et une prise
tous les quatre mètres carrés dans un séjour, etc.
De plus, une protection contre les surtensions d’origine atmosphérique (parafoudre) est obligatoire
dans certains cas, et des dispositions particulières sont à prévoir en cas de chauffage par radiateur
électrique. La section des conducteurs en cuivre doit être fonction de la puissance des appareils.
Enfin, l’installation électrique doit être mise à la terre : toutes les prises de terre doivent être
interconnectées.
cuisinière
plaque de cuisson
lave-linge chauffage
salle de bains (sèche-serviette)
congélateur, ...
panneau de contrôle
tableau de répartition
tableau de communication
2 prises de courant 16 A.
Protection différentielle 30 mA
Tous les circuits doivent être protégés par un dispositif différentiel 30 mA.
Interrupteur différentiel
Type AC : tous circuits.
Type A : circuits cuisinière, plaque de cuisson et lave-linge (risques de composantes
continues).
Accessibilité
Eclairage
Au moins 2 circuits pour S > 35 m2 : 8 points lumineux maxi par circuit.
Conducteurs 1,5 mm² : disjoncteur 16 A.
extérieur,
volumes 0 et 1 de la salle de bains
Luminaire ≤ 6 A.
Chauffage électrique
Sectionnement du fil pilote obligatoire.
Tous les dispositifs manuels de commande fonctionnelle (thermostats en ambiance)
doivent être situés à une hauteur comprise entre 0,90 et 1,30 m du sol.
Prise de communication
Au moins 1 socle par pièce principale.
Socle type RJ45.
Les prises téléphoniques en T ne sont plus autorisées
Accessibilité : A une hauteur < ou = 1,30 m
5. Symbole électrique
Pour représenter un circuit électrique, l'emploi d'un schéma et de symboles normalisés s'avère bien
pratique.
Appareils électrodomestiques
CHAPITRE 2 :
CONSTITUANTS D’UNE
INSTALLATION ÉLECTRIQUE
Sommaire
1. Introduction ...........................................................................................................................37
3. Le disjoncteur.........................................................................................................................42
6. Le parafoudre ........................................................................................................................50
7. Le câblage électrique.............................................................................................................52
1. Introduction
Dans une installation électrique, nous trouvons divers équipements et outils de conduction et de
protection. Tous ces outils forment en réalité un ensemble complet d’une installation efficace et
adéquate d’un bâtiment ou encore d’une maison. L’installation électrique de ces différents
équipements doit satisfaire toujours la norme d’électricité NFC 15-100 afin d’assurer une
protection des biens et des personnes. Dans ce chapitre, nous allons intéresser à décrire les
déférents équipements nécessaires pour une installation électrique.
2. Le tableau électrique
Le tableau électrique, également appelé tableau de protection ou de répartition, est l’organe central
d’une installation électrique.
Le tableau électrique cumule plusieurs fonctions. Il permet de regrouper les circuits électriques en
un point unique afin d’en faciliter la gestion et le repérage : c’est le point de départ de toutes les
lignes de la maison. De plus, il sert à accueillir les organes de sécurité, de protection et de
sectionnement des circuits électriques.
Concrètement, le tableau se présente sous la forme d’un coffret dans lequel viennent s’encastrer
des modules de différentes largeurs : disjoncteur, interrupteur horaire, lampe de secours, etc.
37 Schémas, Normes et Sécurité Electriques Hassène Gritli
CHAPITRE 2 Constituants d’une Installation Electrique
Le tableau doit être installe a l’intérieur du logement, y compris s’il s’agit d’un appartement.
3. Le disjoncteur
Le disjoncteur est un dispositif de protection qui permet entre autres de couper le courant en cas
d’incident électrique sur un circuit.
Le disjoncteur doit être situé en partie privatif dans un emplacement accessible, de préférence à
proximité de l’entrée principale du logement.
Sa manette s’abaisse, ce qui permet de voir quel circuit est en cause. Une fois le problème résolu
(l’appareil en question débranché), il suffit de remonter la manette pour rétablir le courant.
4. Interrupteur différentiel
L’interrupteur différentiel sert à détecter les fuites de courant. Il protège les personnes. Le
fonctionnement est simple. Sur une installation, il y a deux fils, la phase, et le neutre. Le courant
circule entre ces deux fils pour faire une boucle. Si vous avez un appareil défectueux, ou le fil de
phase touche la masse d’un appareil (exemple la carcasse de la machine à laver) et que vous entrez
en contact avec l’appareil, alors le courant va utiliser votre corps pour passer. L’interrupteur
différentiel est la pour éviter ce problème. Il va contrôler en permanence la différence de courant
qui circule entre la phase et le neutre. Si cette différence de courant dépasse un seuil (le calibre de
l’interrupteur différentiel) alors le dispositif se déclenche et coupe l’alimentation.
Un interrupteur différentiel protège les personnes des risques d’électrisation, mais ne détecte ni les
surcharges ni les courts-circuits.
Les deux figures suivantes montrent deux exemples d’installation électrique d’un interrupteur
différentiel et d’un disjoncteur divisionnaire pour un circuit simple allumage.
L’interrupteur différentiel a les mêmes fonctions qu’un disjoncteur différentiel, mais est moins
performant, puisqu’il ne détecte pas les courts-circuits et les surcharges. Cependant, un disjoncteur
différentiel est également plus cher, c’est pourquoi on utilise des interrupteurs différentiels pour
protéger l’ensemble des circuits, mis à part les circuits sensibles tels que celui du congélateur, de
l’alarme, etc.
5. Les fusibles
Les fusibles sont amenés à disparaitre au profit des disjoncteurs.
Ce filament fond (d’ou le nom « fusible », qui signifie « qui peut fondre ») lorsqu’il est soumis à
une trop forte chaleur engendrée par une surintensité. Cela a pour effet de couper le circuit et de
protéger les équipements contre d’éventuelles dégradations ou des risques d’incendie.
Positionnement dans le tableau électrique: Le porte fusible est positionné au même endroit que le
disjoncteur divisionnaire.
Un fusible de 10 A suffit pour l’éclairage, mais pour une plaque de cuisson, un four ou une prise
triphasée, il faut du 16 A ou du 32 A.
Une fois que le fusible qui a « sauté » est identifié, il faut couper le courant en plaçant le
disjoncteur général en position arrêt, changer le fusible, puis remettre le courant. Certains fusibles
sont même équipés d’un voyant qui s’allume pour signaler qu’ils ont « saute ».
Toutefois, un fusible ne sert qu’une fois et doit être change s’il « grille ». C’est pour cela que les
disjoncteurs sont de plus en plus employés, ils ont l’avantage d’être ré-armables à volonté.
6. Le parafoudre
Fonction dans le tableau électrique : Il sert à protéger contre « les coups de foudre ». Lorsqu’il a
servi une fois, il faut remplacer « la cartouche ».
Positionnement dans le tableau électrique : Il est avant tous les dispositifs de protection et se
coupe la détection d’une surintensité due à un orage.
7. Le câblage électrique
La distribution du courant électrique est assurée par des câbles. Ceux-ci partent du tableau de
répartition et alimentent les prises électriques, les points d’éclairage, etc. Un câble regroupe
plusieurs fils électriques réunis au sein d’une même gaine protectrice.
Le nom d’un câble, compose de chiffres et de lettres, indique entre autres la tension admissible, le
matériau de la gaine, le nombre de fils qu’il contient et la présence ou non d’un fil de terre.
Boites de dérivation
Ces boites de dérivation, sont caractérisées par des indices de protection, les indices IP et IK, qui
représentent les degrés de protection d’un dispositif à l’eau et aux poussières.
On trouve différents types de boite de dérivation dans tous les magasins de bricolage ou magasins
spécialisés dans le matériel électrique. Elles sont en plastique, avec des passages en périphérie à
découper afin de passer les gaines à l’intérieur, et de connecter les fils électriques grâce aux
borniers de connexion.
Il faut toujours veiller à laisser de la place dans les boîtes de dérivation, afin de pouvoir replier les
connexions facilement et pouvoir rajouter à terme un circuit supplémentaire sans détériorer les
circuits existants.
9. La boîte d’encastrement
La boite d’encastrement permet de tenir les interrupteurs et prises électriques encastrés dans les
murs de l’habitation. Elle reçoit le ou les conducteurs d’alimentation via les gaines.
Boîte d’encastrement
Différents types de boîtes d’encastrement existent selon les besoins. Les boites simples, doubles
ou multiples: Elles permettent d’accueillir plusieurs appareils côte-à-côte (exemple une rangée de
3 prises, avec une boîte d’encastrement triple).
− Le nombre de points d'éclairage par protection est limité à huit, quelque-soit le type de
protection choisit (fusible, disjoncteur 10 ou 16A).
Bien que huit points soient acceptés par protection, il convient de ne pas les saturer et de
conserver une réserve sur chacun d'eux pour des évolutions futures, s'épargnant ainsi de
devoir recâbler un nouveau circuit depuis le tableau ou de dévier de la norme en passant le
nombre de points à neuf ou plus.
En outre, une bonne répartition des circuits garantira un éclairement minimum en cas de
défaillance sur l'un d'eux, par exemple en séparant l'éclairage d'une circulation de celui
d'un escalier.
La norme impose un minimum de deux points d'éclairage pour des surfaces supérieures ou égales
à 35m².
Les spots et bandeaux lumineux comptent pour un point d'éclairage par tranche de 300w
(puissance) dans une même pièce. A titre d'exemple, six spots de 50w chacun ne comptent que
pour un seul point d'éclairage, à condition qu'ils soient répartis dans une même pièce, même s'ils
sont commandés indépendamment. Un spot supplémentaire et il faudra alors comptabiliser deux
points d'éclairage.
Les prises doivent être fixées au boitier d'encastrement par les vis spécialement prévues à
cet effet.
La hauteur minimum entre le sol et les orifices d'une prise de courant est de 5 cm dans le
cas où leur courant assigné est inférieur à 20A, sinon la hauteur minimale sera de 12cm.
Ce tableau possède 3 interrupteurs différentiels de type "AC" où sont répartis les principaux
circuits prises, lampes et circuits spécialisés (four, sèche linge, ... ceux protégés par des
disjoncteurs 20A). Ce sont les trois premières rangées du tableau.
Répartition :
Il est important de répartir les différents types de circuits sur les différents interrupteurs
différentiels (ID), de sorte à ce qu'un défaut survenant sur l'un des circuits ne provoque
l'arrêt des autres circuits de même type.
Si par exemple tous les circuits d'éclairage étaient repris sous un même interrupteur
différentiel, un défaut d'isolement sur un seul de ces circuits plongerait tout le logement
dans l'obscurité.
Un autre avantage d'une bonne répartition des circuits est qu'il sera plus aisé d'en répartir
également la puissance.
Le disjoncteur différentiel à haute immunité n'est pas obligatoire mais vivement recommandé
lorsque la prise congélateur est prédéfinie à l'avance, en somme s'il est déjà prévu de dédier un
disjoncteur au congélateur.
Ce type de disjoncteur est également recommandé pour le matériel informatique et/ou autres
appareils nécessitant une continuité de service pour ne pas avoir bien évidemment des disjonctions
intempestives.
La quatrième rangée débute avec un quatrième interrupteur différentiel (ID), cette fois de type
"A". Il a la même fonction que les ID de type AC, mais protège en outre des fuites de courant
continu générées par certains appareils.
Il est obligatoire, les deux seuls appareils que la norme impose de protéger avec un interrupteur
type A étant le lave-linge et les plaques de cuisson.
Lors de l'emploi d'un interrupteur différentiel de type A tolérant une intensité de 40A comme sur
ce schéma, il est possible d'y ajouter deux circuits supplémentaires. Ce devront être des circuits
non spécialisés, comme des circuits lampes ou prises de courant
Le tableau suivant montre les différents circuits que peuvent utilisés dans une maison. En fonction
de chaque type de circuit, la section des fils conducteurs, le courant assigné pour le disjoncteur
divisionnaire (ou fusible), ainsi que les conditions d’installation de ces circuits. Les chiffres et les
conditions d’installation sont fixés selon la norme NFC 15-100.
CHAPITRE 3 :
TYPES
YPES D’ALLUMAGE DANS UNE
INSTALLATION ÉLECTRIQUE
Sommaire
1. Introduction ...........................................................................................................................65
7.5. Allumage par télérupteur avec commande Très Basse Tension .............................87
1. Introduction
Un circuit électrique est un ensemble de conducteurs (fils) et de composants électriques (prises,
interrupteurs, éclairage, etc.) ou électroniques (appareils électroménagers) parcouru par un
courant.
Les circuits électriques pour les prises de courant, dans lesquels les prises doivent être
branchées en parallèle.
Le montage à simple allumage permet d’allumer ou d’éteindre un ou plusieurs points
d’allumage à partir d’un seul endroit.
Le montage à double allumage sert à allumer ou éteindre simultanément ou séparément
deux points d’allumage à partir d’un seul endroit.
Le montage va-et-vient permet l’allumage ou l’extinction d’un ou plusieurs points
d’allumage à partir de deux endroits différents.
Le télérupteur sert à allumer ou éteindre une ou plusieurs lampes à partir de plus de deux
endroits différents à travers des boutons poussoirs.
Le montage pour la sonnerie, par exemple pour une sonnerie de porte, est généralement en
mode filaire et alimenté en très basse tension (moins de 24 V). Le transformateur est placé
à l’intérieur de la maison, par exemple dans le tableau de répartition.
La minuterie permet de commander l’allumage ou l’extinction automatique (au bout d’un
temps déterminé) d’un ou plusieurs points à partir de différents endroits (par exemple dans
un couloir).
Le circuit électrique de l’alarme, pour un détecteur d’incendie, un détecteur d’intrusion,
etc. peut éventuellement être mis en place.
2. Simple allumage
Le simple allumage consiste à ouvrir et fermer un circuit d'éclairage à partir d'un seul interrupteur.
L'interrupteur maintient sa position contrairement à un bouton poussoir qui ne laisse passer le
courant que le temps de l'impulsion.
2.1. Réglementation
La protection d'un circuit d'éclairage se fait via un disjoncteur ou fusible 10 ampères, et le
câblage en fils de 1,5 mm² (voir tableau des conducteurs par circuits selon la norme NF C 15-
100).
La présence d'un fil de terre vert/jaune est obligatoire à chaque point d'éclairage, y compris pour le
cas de luminaires ne nécessitant pas son raccordement. Le fil de terre est dans ce cas laissé en
attente dans le boitier de connexion.
Pour l'allumage de plusieurs points lumineux, les lampes sont raccordées en parallèle. Cela
signifie que chaque lampe est d'un côté reliée à la sortie de l'interrupteur, et de l'autre au neutre en
provenance du disjoncteur ou porte-fusible.
Il est autorisé d'alimenter jusqu'à 8 lampes par protection, sachant qu'une rampe de spots ne
compte que pour une seule lampe.
Voyant Lumineux : Le voyant de l’interrupteur est allumé quand l’éclairage est éteint. Cela
permet de trouver l’interrupteur dans le noir. On parle de voyant permanent lorsque l'on souhaite
que le voyant reste allumé en permanence, afin de localiser l'interrupteur dans l'obscurité.
Témoin lumineux : Le témoin lumineux est quant à lui allumé quand les lampes desservies par
l'interrupteur en question sont elles-mêmes allumées. Le voyant de l’interrupteur est allumé quand
l’éclairage est allumé. Cela permet savoir, à distance si l'éclairage est allumé ou éteint.
Le voyant est allumé en même temps que les luminaires commandés par l'interrupteur, et est
utilisé généralement pour éviter de laisser un lieu éclairé inutilement (grenier, placard, sous-
sol,..).
Le schéma qui suit reprend le principe de deux simples allumages. A noter qu'il est néanmoins
possible de les raccorder indépendamment en va et vient.
Quel interrupteur ?
Les interrupteurs représentés sont de type simple allumage (SA), soit une entrée et une sortie.
Les interrupteurs de type va et vient (VV) comportent une entrée et deux sorties. L'une et l'autre
de ces sorties sont passantes (contact fermé) à tour de rôle selon la position de l'interrupteur. En
utilisant une seule sortie d'un interrupteur va et vient celui-ci remplira les mêmes fonctions qu'un
simple allumage classique.
Seules deux couleurs sont normalisées, le bleu pour le neutre et le vert/jaune pour les fils de terre.
Le choix de la couleur de la phase est libre.
Il n'en demeure pas moins essentiel de dédier une couleur spécifique aux phases, le rouge restant
le choix le plus judicieux car le plus répandu.
Toutes les autres couleurs disponibles sur le marché feront l'affaire pour les autres conducteurs :
marron, noir, gris, violet, orange, etc.
5. Allumage va-et-vient
Le câblage en va-et-vient permet la commande d'un même éclairage depuis deux interrupteurs du
même nom, interrupteurs va-et-vient. Les interrupteurs sont reliés entre eux par deux fils appelés
"navettes", ici représentées en violet. Le courant électrique chemine par l'une ou l'autre des
navettes selon la position des interrupteurs, pour parvenir jusqu’aux lampes.
La protection des circuits d'éclairage est assurée par un disjoncteur 10A ou 16A, ou fusible 10A,
avec un nombre maximum de 8 lampes par protection.
Une même protection peut être utilisée pour plusieurs circuits (autres allumages et autres pièces)
dès lors que le nombre de points d'éclairage est respecté.
Principe de fonctionnement
Dans l'une de positions de l'interrupteur, la liaison se fait entre L et 1, et dans l'autre position entre
L et 2. Soit l'un soit l'autre, jamais les deux en même temps.
Nous relions la borne 1 du premier va-et-vient à la borne 1 du second, la borne 2 du premier inter
à la 2 du second, ce sont les navettes.
Enfin, la sortie du second interrupteur (borne L) est reliée aux lampes.
Pour que les lampes s'allument, les deux va-et-vient doivent être dans la même position. Ainsi, que
l'on change la position de l'un ou l'autre, les lampes changeront d'état, allumées ou éteintes.
Pour une commande depuis un seul interrupteur, il faut reporter au schéma du simple allumage.
Pour plus de deux points d'allumage, il faudra utiliser un permutateur ou un télérupteur avec des
boutons poussoirs.
Il est possible de mettre en place plusieurs permutateurs disposés en série entre les deux
interrupteurs va et vient, de manière à augmenter le nombre de point de commande :
Comme pour tous dispositifs d'éclairage, le nombre de points lumineux est limité à 8 par
protection sous disjoncteur 10 ou 16A ou encore fusible 10A, avec des conducteurs de section
1,5mm².
Impulsion sur l'un des BP : Le contact du télérupteur se ferme, les lampes s'allument
Nouvelle impulsion sur l'un des BP : Le contact du télérupteur s'ouvre, les lampes
s'éteignent
Nouvelle impulsion sur l'un des BP : Le contact se ferme à nouveau, les lampes s'allument
Tous les boutons poussoirs remplissent la même fonction. Il est dès lors possible d'éteindre et
allumer depuis n'importe quel BP du circuit. Ainsi par exemple dans une circulation nous pourront
placer un bouton poussoir par lieux d'accès.
Un même télérupteur ne peut être employé pour plusieurs allumages différents. Il vous faudra
autant de télérupteurs que de circuits d'éclairage à alimenter (éclairage extérieur, circulation, etc.).
La distance maximum entre deux boutons poussoirs pour un télérupteur unipolaire ne doit pas
dépasser 10m.
Il s'agit simplement d'une sécurité supplémentaire, les différents éclairages se trouvant totalement
isolés de l'installation lorsqu'ils sont éteints.
Pourquoi dans ce cas ne pas limiter à la vente que le télérupteur bipolaire ? Du fait que les
interrupteurs classiques (simple allumage, va et vient) ne coupent eux aussi que la phase. Cela ne
signifie pas pour autant que ces autres modes d'allumage soient réellement dangereux. Il est
simplement plus aisé de passer au bipolaire pour un télérupteur puisque ne nécessitant pas de
passage de fils supplémentaires pour son fonctionnement. Le seul coût de revient supplémentaire
se situe au niveau du prix l'appareil (maigre différence), et un peu de câblage en plus dans le
tableau électrique.
Le télérupteur bipolaire sera généralement préféré pour des éclairages en milieux humides, en
extérieur notamment.
La borne A2 est elle reliée au neutre refermant ainsi le circuit de commande (bobine).
Le circuit puissance (les lampes) chemine depuis la phase en sortie du disjoncteur vers le contact
du télérupteur. La sortie de celui-ci regagne les lampes, elles-mêmes reliées au neutre.
Le schéma précédant est en "branchement 4 fils", du fait que 4 fils extérieurs au tableau électrique
sont nécessaires au fonctionnement, deux fils de commande (boutons poussoirs) et deux pour
l'alimentation des lampes.
Une autre mode de raccordement permet de faire l'économie du fil de phase (rouge), d'où l'intitulé
"branchement 3 fils".
Le principe est simple. Nous envoyons cette fois la phase directement à la borne A1 du
télérupteur, en créant un pont entre cette dernière et la borne 1.
C'est alors non plus la phase qui dessert les BP mais le neutre. Le retour BP regagne alors la borne
A2 pour refermer le circuit commande.
Le neutre n'est donc plus relié aux lampes directement depuis le disjoncteur mais est à présent lui
aussi commandé par le télérupteur (bornes 1 et 2). La borne A2 de la bobine reste quant à elle
reliée au neutre en sortie du disjoncteur.
Pour davantage de clarté, la liaison du neutre vers la borne A2 du télérupteur est ici reprise au
disjoncteur, hors celle-ci peut être reprise sur la borne 1, elle-même étant reliée au neutre du
disjoncteur.
Le schéma suivant donne un exemple de câblage de télérupteur en situation réelle, avec les
connexions au disjoncteur et au télérupteur, raccordement en boite de dérivation et repiquage des
lampes en pot de centre (boitier de connexion au plafond).
A noter que l'emploi d'une boite de dérivation n'est pas obligatoire, ou cette boite peut-être
commune à d'autres circuits distincts.
La phase (fil rouge) qui part du tableau vers la boite de dérivation est ici reliée en aval du
disjoncteur mais peut tout aussi bien être prise en tête du télérupteur (repère 3), de même que le
pont reliant la sortie de la bobine du télérupteur (A2) au neutre du disjoncteur peut être réalisé
entre A2 et le repère 1 du télérupteur.
L'essentiel est dans les deux cas que phase et neutre soient repris entre le disjoncteur et le
télérupteur. Nous les avons disposés ainsi pour plus de clarté. Retenez que la norme limite à deux
le nombre de fils sur chacun des points de connexion (disjoncteur et télérupteur), donc si ce même
disjoncteur dessert également d'autres éclairages, les fils seront à répartir en conséquence. S'il
venait à vous manquer de la place, passer alors par un bornier, dominos.
Enfin, selon la configuration de notre installation, les lampes et boutons poussoirs peuvent être
reliés dans la boite de dérivation et pas nécessairement repris les uns aux autres comme sur ce
schéma.
Il est possible d'utiliser des boutons poussoirs pourvus de voyants lumineux permettant de les
visualiser dans l'obscurité sans passage de fils supplémentaires, donc sans avoir à modifier le
câblage de l'installation.
Le voyant est simplement raccordé en parallèle du contact du bouton poussoir. Il est alors alimenté
en permanence, à la différence d'un témoin lumineux indiquant d'une lampe est restée allumée (ex:
grenier, sous-sol, ...).
L'alimentation en très basse tension (12V) sur la partie commande assure une sécurité
supplémentaire contre les risques d'électrisation dans des locaux humides et en extérieur.
généralement de l’ordre de quelques minutes. Une minuterie simple est classiquement réglable de
30 sec à 7 min.
Elle permet de fait de réaliser des économies d’énergies, la lumière ne pouvant rester allumée par
simple négligence.
La minuterie est principalement utilisée dans des lieux publics et de passage tels que des cages
d’escaliers, parkings, ...
Les boutons poussoirs ont pour rôle d’alimenter brièvement - par impulsion - la bobine de la
minuterie, provoquant ainsi la fermeture de son contact et amorçant le début de la temporisation.
En branchement 4 fils, la phase est envoyée aux boutons poussoirs puis rejoint la bobine elle-
même raccordée à son autre extrémité au neutre.
Deux fils sont nécessaires à la commande (phase et retour BP), et deux autres fils à l’alimentation
des lampes (sortie contact et neutre), soit 4 fils.
En branchement 3 fils, nous obtenons le chemin inverse. La bobine est reliée à la phase et le
bouton poussoir au neutre. Le fonctionnement est identique la bobine étant bien alimentée dans les
deux cas.
Le fil de neutre est désormais commun à l’alimentation de lampes et à la commande par les
boutons poussoirs. La phase n’est par conséquent plus requise à l’extérieur du tableau.
Nous obtenons ainsi un fil de neutre commun aux deux circuits, le retour du contact de la
minuterie pour l’alimentation des lampes, et le retour de la bobine pour la commande, soit 3 fils en
sortie du tableau, bien que pour rappel le neutre est toujours nécessaire aux bornes de la minuterie
pour son fonctionnement.
Auparavant, les minuteries disposaient d’un second commutateur pour le choix entre un
branchement 3 ou 4 fils, reliant soit le neutre soit la phase à la bobine. Les minuteries récentes de
certains constructeurs reconnaissent le mode de raccordement de manière automatique.
TD 1
RÉALISATION D’UN PROJET
D’INSTALLATION ÉLECTRIQUE
LECTRIQUE
Ce document présente la description d’un projet d’installation électrique d’une maison dont le plan
d’architecture est donné par la figure ci-après. Cette maison est constituée de :
1- deux chambres. La première chambre est à coucher (de dimension 15 m2) dont
l’emplacement du lit, de l’armoire et de la coiffeuse est bien estimé. La deuxième chambre
(de dimension 12 m2) est destinée pour les enfants. Le client peut penser à installer un
climatiseur à chaque chambre.
2- d’un salon (de dimension 25 m2) dont la position des fauteuils et celle de la table TV sont
fixées. Le client espère installer un climatiseur de puissance 12000 BTU (surface 25 m2).
Les caractéristiques estimées du climatiseur sont comme suit :
- La puissance absorbée (froid/chaud) : 2.12/1.94 KW
- L’intensité de démarrage : 10 A
- L’intensité nominale (froid/chaud) : 9.3/8.5 A
3- Une salle de bain de 4 m2.
4- Une cuisine de 8 m2 composée d’un frigidaire de puissance 1.35 KW, d’un four micro-
ondes de puissance 1.5 KW, d’une plaque électrique 6.5 KW, d’un four électrique de
puissance 3 KW, d’une hotte aspirante de puissance 300 W. la hotte sera installée au-
dessus de la plaque électrique, alors que le four électrique doit être localisé au-dessous de
la plaque électrique.
5- Un séchoir de 2 m2: un lave-linge de puissance 3 KW et un sèche-linge de puissance 2.5
KW.
6- Un hall de dimension 12 m2 dont les positons d’une table à manger située au milieu et un
buffet sont à priori fixés.
Cette maison est en fait localisée au 1ier étage d’un bâtiment. Alors, un escalier est présent à partir
du rez-de-chaussée (rdc).
Pour plus d’éclairage et de commodité, le client impose au technicien électrique les points
suivants :
- Des spots (puissance maximale estimée à 5 W chacune) en plafond du salon,
- Le rideau de la fenêtre du salon doit être commandé à travers un moteur électrique de
type servomoteur de puissance 0.75 KW.
- Une lampe au-dessus du lavabo du SDB destinée pour le miroir, et une lampe réglette
lumineuse (à étanchéité) au-dessus de la porte,
- Une applique au séchoir,
- L’allumage de la chambre à coucher doit être commandé à partir de deux endroits : un
à l’entrée de la chambre et un autre près du lit (au dessus de la table à nuit localisé à
droite du lit),
- L’allumage de la chambre n°2 doit être fait à partir de 3 positions : un à l’entrée de la
porte, le 2ième et le 3ième point allumage doivent être localisé près de deux lits pours les
enfants,
- Dans le hall, un seul point lumineux en plafond au-dessus de la table à manger. Ce
point lumineux doit être allumé ou éteint à partir de n’importe quelle pièce de la
maison (sauf séchoir bien entendu),
- Deux appliques doivent être installées au niveau de l’escalier : un au niveau 0 de
l’escalier (rdc) et un autre au-dessus de la porte principale de la maison.
- Il est recommandé aussi bien que le technicien électrique fourni en plus les prises de
courant à fin de prévoir leur utilisation dans le futur.
- Il est recommandé par exemple que le point lumineux dans le salon et celui du hall soit
composé de plusieurs lampes (max = 12). Chaque point lumineux s’allume sur deux
fois (c'est-à-dire un interrupteur pour 6 lampes et un deuxième pour les restes).
L’objectif de ce projet est de préparer un dossier technique présentant tous les documents
nécessaires pour réaliser l’installation électrique de cette maison. Nous signalons que le client a
met en disposition pour cette neuve maison un Compteur+Disjoncteur Principal (CDP) 15/45 A.
Ce CDP est présent à l’entrée principale du bâtiment au rdc. L’objectif est alors de faire
l’installation électrique à partie de ce CDP. Donc, il est demandé pour le dossier technique de
réaliser :
Il est recommandé pour les quatre premiers schémas de faire chaque pièce de façon séparé afin
d’avoir des figures claires nettes. Il est recommandé aussi bien d’utiliser des couleurs différentes
pour les différents types de fils conducteurs.
Est-ce que le CDP déjà installé par le client satisfait l’installation électrique demandée ? Qu’est ce
qu’il faut faire alors à votre avis ?
• Cuisine + séchoir
• Chambre 2
• Chambre 1
• Salon
• Salle de bain
• Hall
• Escalier
DS
SCHÉMAS, NORMES ET SÉCURITÉ ÉLECTRIQUES
Problème :
On considère le plan suivant d’une maison de type studio composé d’une seule chambre, d’une
cuisine et d’une salle de bain.
1
- La cuisine est composée d’un gaz à plaques électriques, d’un frigidaire, et d’un lave-linge.
Un seul point lumineux au milieu sera satisfaisant. Une prise de courant doit être fournie à
droite du gaz à plaques électriques. (Nota : 4 prises de courant en total)
- La salle de bain est allumée à travers un seul point lumineux situé au dessus du lavabo.
- La chambre est composée par deux lits, d’une poste destinée pour un ordinateur bureau
(PC), et d’une table TV. Cette chambre est refroidie à travers un climatiseur de puissance
2500 W. La chambre est allumée via un seul point lumineux situé au milieu. Ce point
lumineux doit être allumé/éteint à partir de l’entrée principale, de chaque lit (Lit 1 et Lit 2),
de la cuisine, et de la salle de bain. Près de chaque lit, on doit fournir une prise de courant.
(Nota : 5 prises de courant en total pour la chambre).
2
Annexes :
Appareils électrodomestiques
3
Symboles électriques normalisés pour le schéma développé
4
Nom et Prénom : ……………………………………N° CIN …………………. Spécialité et Groupe : GE …… DS SNSE – ISET Kélibia – 2012/2013
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1- Schéma Architectural
1
Nom et Prénom : ……………………………………N° CIN …………………. Spécialité et Groupe : GE …… DS SNSE – ISET Kélibia – 2012/2013
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2- Schéma développé
2.1. Schéma développé de la cuisine
2
Nom et Prénom : ……………………………………N° CIN …………………. Spécialité et Groupe : GE …… DS SNSE – ISET Kélibia – 2012/2013
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2.2 Schéma développé de la chambre
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Nom et Prénom : ……………………………………N° CIN …………………. Spécialité et Groupe : GE …… DS SNSE – ISET Kélibia – 2012/2013
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3- Schéma multifilaire
3.1. Schéma multifilaire de la chambre (éclairage)
4
Nom et Prénom : ……………………………………N° CIN …………………. Spécialité et Groupe : GE …… DS SNSE – ISET Kélibia – 2012/2013
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3.2.Schéma multifilaire de la chambre (prise de courant)
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Nom et Prénom : ……………………………………N° CIN …………………. Spécialité et Groupe : GE …… DS SNSE – ISET Kélibia – 2012/2013
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4- Schéma unifilaire
4.1. Schéma unifilaire de la chambre (éclairage)
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Nom et Prénom : ……………………………………N° CIN …………………. Spécialité et Groupe : GE …… DS SNSE – ISET Kélibia – 2012/2013
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4.2.Schéma unifilaire de la chambre (prise de courant)
7
Ministère de l’Enseignement Supérieur Spécialité : Génie Electrique
et de la Recherche Scientifique *******************
******************* Enseignant : Mr Hassène GRITLI
Direction Générale des Etudes Technologiques *******************
******************* A.U. 2012-2013, Semestre 1
Institut Supérieur des Etudes Technologiques *******************
de Kélibia
*******************
Examen
Schémas, Normes et Sécurité électriques
Problème :
On considère le plan architectural suivant d’une maison composée d’une seule chambre, d’une
salle de séjour, d’une cuisine et d’une salle de bain.
1
- La cuisine est composée d’un gaz à plaques électriques de puissance 6.5 KW, d’un
frigidaire de puissance 1.35 KW, d’un four électrique de puissance 3 KW, d’un four
micro-ondes de puissance 1.5 KW, et d’un lave-linge de puissance 3 KW. Un seul point
lumineux au milieu sera satisfaisant. Une prise de courant doit être fournie à côté du four
électrique. (Nota : 6 prises de courant au total dans la cuisine)
- La salle de bain est allumée à travers deux points lumineux : un point lumineux situé au
dessus du lavabo et un autre au dessus de la porte.
- La chambre, qui est une chambre à coucher, est composée par deux lits, d’une poste
destinée pour un ordinateur bureau (PC). Cette chambre est refroidie à travers un
climatiseur de puissance 2.5 KW. La chambre est allumée via un seul point lumineux situé
au milieu. Ce point lumineux doit être allumé/éteint à partir de l’entrée de la chambre et à
partir du Lit 1. Près de chaque lit, nous devons fournir une prise de courant. (Nota : 4
prises de courant en total dans la chambre à coucher).
- La chambre de séjour est équipée de deux fauteuils dont leur emplacement est estimé
comme il est montré dans le plan architectural et d’une poste TV. Cette chambre de séjour
est allumée via un seul point lumineux situé au milieu. Ce point lumineux doit être
allumé/éteint à partir de l’entrée principale, de la chambre à coucher, de la cuisine et de la
salle de bain. En outre, nous devons fournir une prise de courant près de chaque fauteuil.
(Nota : 3 prises de courant en total dans la chambre de séjour).
- Dans le couloir, deux appliques doivent être fournies : chaque applique est au dessus de
chaque porte du couloir.
2
2.1. la chambre à coucher
2.2. le couloir
2.3. la cuisine
2.4. la salle de bain
2.5. la chambre de séjour
3- Réaliser le schéma multifilaire de la chambre de séjour.
4- Réaliser le schéma unifilaire de la chambre de séjour (préciser le diamètre des câbles
conducteurs).
5- Réaliser pour le couloir
5.1. le schéma multifilaire
5.2. le schéma unifilaire
6- Réaliser le schéma unifilaire de la cuisine (préciser le diamètre des câbles).
7- Le schéma unifilaire du réseau électrique. Il est nécessaire de spécifier les types et les
ampérages des différents disjoncteurs utilisés.
8- Préciser l’utilité de point de vue sécurité des différents disjoncteurs utilisés dans le schéma du
réseau électrique.
9- Proposer un schéma développé pour le couloir si nous voulons utiliser un détecteur de
présence.
3
Annexes :
Appareils électrodomestiques
4
Symboles électriques normalisés pour le schéma développé
5
Circuits spécialisés + dispositifs de protections
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Nom et Prénom : ……………………………………................ Spécialité et Groupe : GE …......… ISET Kélibia – 2012/2013
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1- Schéma Architectural
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2- Schéma développé
2.1. Schéma développé de la chambre à couché
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4. Schéma unifilaire de la chambre de séjour
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Nom et Prénom : ……………………………………................ Spécialité et Groupe : GE …......… ISET Kélibia – 2012/2013
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6. Schéma unifilaire de la cuisine
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Nom et Prénom : ……………………………………................ Spécialité et Groupe : GE …......… ISET Kélibia – 2012/2013
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7. Schéma unifilaire du réseau électrique
DB
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Nom et Prénom : ……………………………………................ Spécialité et Groupe : GE …......… ISET Kélibia – 2012/2013
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8. Utilité des différents disjoncteurs 9. Schéma dévelopé pour le couloir avec un décteur de présence
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