Le Premier en Maths Tle D

Correction pendant les séances de
Travaux dirigés (TD)

Prix : F CFA
Auteur
MR. LENGA ( 71 18 92 93 )
lenga_issiaka@yahoo.fr
LE PREMIER DE LA CLASSE TERMINALE D lenga_issiaka@yahoo.fr
Sommaire
𝑵° Chapitres Nombre Pourcentage Page

d’exercices
I Les nombres complexes 36 60 % 2 - 12
II Probabilités 20 34 % 13 -20
III Statistiques 12 20 % 21 - 26
IV Equations différentielles 8 14 % 27 - 29
V Géométrie dans l'espace 14 24 % 30 - 34
VI Suites réelles - Calcul intégral 12 20 % 35 - 38
VII Courbes paramétrées 9 15 % 39 - 42
VIII Problèmes 61 100 % 43 - 86
𝑳𝒆𝒔 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔 𝒅𝒊𝒇𝒇𝒊𝒄𝒊𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒓é𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒉𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒇𝒐𝒓𝒕, 𝒍𝒆𝒔 𝒉𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒇𝒐𝒓𝒕𝒔 𝒄𝒓é𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒑é𝒓𝒊𝒐𝒅𝒆𝒔
𝒅𝒆 𝒑𝒂𝒊𝒙, 𝒍𝒆𝒔 𝒑é𝒓𝒊𝒐𝒅𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒑𝒂𝒊𝒙 𝒄𝒓é𝒆𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒉𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒇𝒂𝒊𝒃𝒍𝒆𝒔, 𝒆𝒕 𝒍𝒆𝒔 𝒉𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒇𝒂𝒊𝒃𝒍𝒆𝒔
𝒄𝒓é𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔 𝒅𝒊𝒇𝒇𝒊𝒄𝒊𝒍𝒆𝒔.
Ibn Haldoum (le cycle des périodes)
Mr. LENGA ( 71 18 92 93 ) Enseignant de Mathématiques [1]

Les nombres
complexes

EXERCICE 01 (BAC 1994 – Remplacement 2nd Tour)
−√6+𝑖√2
1) Soient les complexes 𝑧1 = et 𝑧2 = 2 + 2𝑖.
2
𝑍1
a) Mettre sous forme trigonométrique 𝑧1 , 𝑧2 et 𝑍 = .
𝑍2
7𝜋 7𝜋
b) Déduire de 𝑎) les valeurs de cos , sin .
12 12
𝜋 √6+√2 𝜋 √6−√2
c) Montrer que : cos = et sin = .
12 4 12 4
2) Résoudre dans ℝ l’équation : (√6 + √2) cos 𝑥 + (√6 − √2) sin 𝑥 = −2.
EXERCICE 02 (BAC 1994 – Remplacement 1er Tour)

Trois nombres complexes 𝑧1 , 𝑧2 , 𝑧3 sont tels que :
 Leur produit égal à 4√2(1 + 𝑖) ;
 Leurs modules respectifs 𝑅1 , 𝑅 2 , 𝑅3 constituent dans cet ordre une progression géométrique de raison 2 ;
𝜋 𝜋
 Leurs arguments 𝛼1 , 𝛼2 , 𝛼3 constituent dans cet ordre une progression arithmétique de raison avec 𝛼1 𝜖 [0 ; ].
2 2
1) Déterminer 𝑧1 , 𝑧2 , 𝑧3.
2) Soient 𝑀1 , 𝑀2 , 𝑀3 les images respectives de 𝑧1 , 𝑧2 , 𝑧3 dans le plan affine euclidien rapporté à un repère orthonormé
(𝑂 ; 𝑢
⃗ ; 𝑣 ).
a) Représenter 𝑀1 , 𝑀2 , 𝑀3.
b) Montrer que 𝑧3 = −4𝑧1 .
c) Montrer que (𝑂𝑀2 ) est perpendiculaire à (𝑀1 𝑀3 ).
EXERCICE 03 (BAC 1995 – 2nd Tour)

On considère dans le plan complexe, les points 𝑀, 𝑁, 𝐴 et 𝐵 d’affixes respectives 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 , 𝑧 ′ = 𝑎 + 𝑖𝑏 , 𝑖 et 1, tels
𝑖𝑧+1
que : 𝑧 ′ = .
𝑧−1
1)
𝐴𝑀
a) Montrer que |𝑧′| = .
𝐵𝑀
b) En déduire l’ensemble 𝐸 des points 𝑀 du plan tels que |𝑧′| = 1.
2) Exprimer 𝑎 et 𝑏 en fonction de 𝑥 et 𝑦.
3)
a) Déterminer et construire l’ensemble 𝐹 des points 𝑀 du plan tels que 𝑧′ soit réel.
b) Déterminer et construire l’ensemble 𝐺 des points 𝑀 du plan tels que 𝑧′ soit imaginaire pur.

1) Montrer que 2 est racine de l’équation : 2𝑥 3 − 𝑥 2 − 8𝑥 + 4 = 0 , puis la résoudre.
2) En déduire les solutions des équations suivantes :
a) 2 cos 3 𝑥 + sin2 𝑥 − 8 cos 𝑥 + 3 = 0
b) 23𝑥+1 − 22𝑥 − 2𝑥+3 + 4 = 0
c) 2(𝑙𝑛𝑥) 3 − (𝑙𝑛𝑥)2 − 8𝑙𝑛𝑥 + 4 = 0
EXERCICE 05 (BAC 1995 – 1er Tour)

1) Résoudre dans ℂ l’équation 𝑧 2 + (−3 + 4𝑖)𝑧 − 3(1 + 3𝑖) = 0.
On note 𝑧1 et 𝑧2 les racines de cette équation, avec 𝑧2 imaginaire pure.
2) Soit 𝐴 le point d’affixe 𝑧1 et 𝐵 le point d’affixe 𝑧2 .
̂ ⃗⃗⃗⃗⃗ ) = 𝜋.
a) Déterminer l’affixe 𝑧3 du point 𝐶 tel que : 𝐴𝐵 = 𝐵𝐶 et (⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐴 , 𝐵𝐶
3
b) En déduire la nature du triangle 𝐴𝐵𝐶.

On considère dans l’équation (𝐸) suivante : (𝐸 ) ∶ 𝑧 3 + (√2 − 2)𝑧 2 + 2(1 − √2)𝑧 + 2√2 = 0
1) En remarquant que −√2 est une racine de (𝐸 ), trouver toutes les solutions de cette équation.

2) On note 𝑧0 la solution réelle, 𝑧1 la solution complexe dont la partie imaginaire est positive et 𝑧2 l’autre solution. Soient
𝐴, 𝐵, 𝐶 les points du plan d’affixes 𝑧0 , 𝑧1 , 𝑧2 respectivement.
a) Représenter graphiquement 𝐴, 𝐵, 𝐶 sur un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣 ).
1+√2+𝑖
b) On pose 𝑈 = ; mettre 𝑈 sous la forme trigonométrique (On pourra utiliser la forme algébrique de 𝑈).
1+√2−𝑖
⃗⃗⃗⃗⃗̂
c) Donner la nature du triangle 𝐴𝐵𝐶 et la mesure algébrique de l’angle (𝐴𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗ )
, 𝐴𝐵
EXERCICE 07 (BAC 1996 – Remplacement)

On se propose de résoudre l’équation (𝐸) suivante : 𝑧 5 + 𝑧 −5 = 2 cos 𝛼 , avec 𝑧 𝜖 ℂ et 𝑎 𝜖 ℝ .
1) On pose 𝑍 = 𝑧 5 . Montrer que l’équation (𝐸) se ramène à une équation du second degré (𝐸′) d’inconnue 𝑍. Résoudre
(𝐸′). Mettre les solutions sous forme trigonométrique.
2) En déduire les solutions de l’équation (𝐸).
3) Sans calcul, donner les solutions de l’équation 𝑧 5 + 𝑧 −5 = −2.

1)
a) Soit 𝑧 un nombre complexe non nul tel que : 𝑧 3 + 𝑧̅ = 0.
(i) Montrer que |𝑧| = 1.
(ii) Montrer que 𝑧 4 + 1 = 0
b) Montrer que si 𝑧 est un nombre complexe tel que 𝑧 4 + 1 = 0 , alors |𝑧| = 1 et 𝑧 3 + 𝑧̅ = 0.
2) Soit 𝑃 le polynôme défini par : 𝑃(𝑧) = 𝑧 4 + 1 où 𝑧 𝜖 ℂ.
2
√
a) Vérifier que 𝑎 = (1 + 𝑖) et −𝑎 sont des racines de 𝑃(𝑧) = 0.
2
b) Déterminer 𝑔(𝑧) tel que 𝑃(𝑧) = (𝑧 − 𝑎)(𝑧 + 𝑎) 𝑔(𝑧) , et factoriser 𝑔(𝑧).
c) Quelles sont les solutions dans ℂ de l’équation 𝑃(𝑧) = 0.
d) En déduire les solutions dans ℂ de l’équation 𝑧 3 + 𝑧̅ = 0.

Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé ℛ (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣). On désigne par 𝐴 le point d’affixe 1 − 𝑖 et par 𝐶 le point
( 5−𝑖) 𝑧−13−13𝑖
d’affixe 3 + 3𝑖. On considère la fonction 𝑓 définie dans ℂ par : 𝑓 (𝑧) = ( ) .
5−𝑖 𝑧−4+6𝑖
1) Déterminer l’ensemble de définie 𝒟 de 𝑓.
2)
𝑧−2−3𝑖
a) Montrer que pour tout 𝑧 élément de 𝒟, on a : 𝑓(𝑧) = .
𝑧−1+𝑖
b) En déduire que, si 𝑀 est un point du plan complexe d’affixe 𝑧, pour tout 𝑧 élément de 𝒟 ∖ {2 + 3𝑖}, on a :
arg(𝑓 (𝑧)) = (𝑀𝐴⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , 𝑀𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) + 2𝑘𝜋 avec 𝑘 𝜖 ℤ.
3)
a) Déterminer, puis représenter l’ensemble ℇ des points d’affixe 𝑧 du plan complexe tels que 𝑓(𝑧) soit imaginaire pur.
b) Déterminer, puis représenter l’ensemble Γ des points d’affixe 𝑧 tels que |𝑓(𝑧)| = 1.
4) On appelle 𝐵 et 𝐷 les deux points d’intersection de ℇ et Γ. Quelle est la nature du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷 ?

Le plan complexe 𝑃 est rapporté à un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣). (unité : 1 𝑐𝑚)
3−𝑖 2+𝑖
1) Soit 𝑑 le nombre complexe défini par : 𝑑 = + + (3 + 𝑖)(1 − 4𝑖) − 14(1 + 𝑖) 2.
1−2𝑖 𝑖
a) Ecrire 𝑑 sous la forme algébrique, puis déterminer ses racines carrées.
b) En déduire la résolution dans ℂ de l’équation 𝑧 2 − (3 + 2𝑖) 𝑧 − 1 + 13𝑖 = 0
On notera 𝑧1 la solution de partie réelle positive et 𝑧2 l’autre solution.
2) On désigne par 𝐴 et 𝐵 les points d’affixes respectives 𝑧1 et 𝑧2 .
a) Déterminer l’affixe du point 𝐶 dont l’image dans la translation 𝑡 de vecteur d’affixe 4𝑖 est le point 𝐵.
b) Déterminer une mesure en radians de l’angle (⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐶𝐴 , ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐶𝐵).
𝑖𝑧+3+𝑖
3) 𝑀 étant le point d’affixe 𝑧 distincte de 4 − 𝑖 , on considère le nombre complexe 𝑍 défini par 𝑍 = .
𝑧 −4+𝑖

𝑖( 𝑧+1−3𝑖)
a) Vérifier que 𝑍 = .
𝑧−4+𝑖
b) Donner une interprétation géométrique de l’argument et du module de 𝑍.
c) Déterminer et construire l’ensemble des points 𝑀 du plan tels que 𝑍 soit de module 1.

Dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑢⃗ ; 𝑣) .
On donne les points 𝐴 et 𝐵 d’affixes 𝑧𝐴 = 2 + 2𝑖 et 𝑧𝐵 = (1 + √3) + 𝑖(3 + √3).
𝑧
1) Ecrire le nombre complexe 𝑧 = 𝐴 sous forme algébrique.
𝑧𝐵
2)
a) Déterminer 𝑂𝐴 et 𝐴𝐵. Vérifier que 𝑂𝐵 = 2(1 + √3).
b) Déterminer en radian, la mesure principale de (𝑢 ⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝐴 ) et de (𝑢 𝑂𝐵). En déduire une mesure en radians de l’angle
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
(𝑂𝐴 ; 𝑂𝐵).
𝜋 𝜋
3) En utilisant les questions précédentes, donner les valeurs exactes de cos et sin .
12 12
4)
a) Déterminer l’affixe du point 𝐷 image de 𝐴 dans la rotation de centre 𝑂 et d’angle 𝛼 = 2(𝑂𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝑂𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗ ).
b) Quelle est la nature du quadrilatère 𝑂𝐴𝐵𝐷 ? Justifier votre réponse. ( Pour la figure on prendra √3 ≈ 1,7 ).

Le plan complexe 𝑃 est rapporté à un repère orthonormé direct (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣) d’unité graphique 2 𝑐𝑚 . On désigne par 𝐴 le
point d’affixe 2, par 𝐵 le point d’affixe 2𝑖 et par 𝛺 le point d’affixe 1 + 𝑖 . On considère l’application 𝑓 qui, à tout nombre
𝑖𝑧+2
complexe 𝑧 différent de 2, associe le nombre complexe : 𝑓(𝑧) = .
𝑧−2
1) On pose 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 et 𝑓(𝑧) = 𝑋 + 𝑖𝑌 avec 𝑥, 𝑦, 𝑋 , 𝑌 réels
a) Exprimer 𝑋 et 𝑌 en fonction de 𝑥 et 𝑦.
b) En déduire l’ensemble des points 𝑀 d’affixe 𝑧 tel que 𝑓(𝑧) soit réel et représenter cet ensemble.
3𝜋
2) Soit 𝐶 l’image de 𝐴 par la rotation de centre 𝑂 et d’angle − .
4
a) Déterminer l’affixe 𝑧𝐶 du point 𝐶
b) Déterminer une mesure en radians de l’angle (𝑂𝛺 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗̂ ⃗⃗⃗⃗⃗ ). En déduire que les points 𝛺 ; 𝑂 ; 𝐶 sont alignés.
; 𝑂𝐶
3) On pose 𝑧’ = 𝑓(𝑧)
a) Vérifier que i n’a pas d’antécédent par 𝑓 et exprimer pour 𝑧’ différent de 𝑖, 𝑧 en fonction de 𝑧’.
b) 𝑀 est le point d’affixe 𝑧 ( 𝑧 différent de 2 ) et 𝑀’ celui d’affixe 𝑧’ ( 𝑧’ différent de 𝑖 ).
𝑀′𝐷
Montrer que 𝑂𝑀 = 2 où 𝐷 et 𝐸 sont les points d’affixes respectives −1 et 𝑖 .
𝑀′𝐸
c) Montrer que, lorsque le point 𝑀 décrit le cercle de centre 𝑂 et de rayon 2 privé du point 𝐴, son image 𝑀’ appartient
à une droite fixe que l’on définira graphiquement.

𝑍+𝑍2
Au nombre complexe 𝑍 de module 1, d’argument 𝜃 (0 < 𝜃 < 𝜋), on associe 𝑍′ = .
1−2𝑍+𝑍2
̅′
1) Déterminer 𝑍 en fonction de 𝑍.
2) 𝑍 peut-il être un nombre réel nul ?
3) Déterminer en fonction de 𝜃 le module et un argument de chacun des nombres complexes suivants : 𝑍 + 1 ; 𝑍 − 1 ;
(𝑍 − 1) 2.
4) Calculer le module et un argument de 𝑍′ . En déduire la partie réelle 𝑋 et la partie imaginaire 𝑌 de 𝑍′ .
𝑍′ peut-il être un imaginaire pur ou nul ?

Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑢
⃗ ; 𝑣 ), on donne le polynôme 𝑝(𝑧) défini pour tout élément 𝑧
3 2
de ℂ par : 𝑝(𝑧) = 𝑧 − 5(1 + 𝑖)𝑧 − 2(1 − 9𝑖)𝑧 + 16 − 8𝑖.
1)
a) Montrer que l’équation 𝑝(𝑧) = 0 admet une racine imaginaire pure 𝑧0 que l’on calculera.
b) Déterminer le polynôme 𝑞(𝑧) tel que 𝑝(𝑧) = (𝑧 − 𝑧0 )𝑞(𝑧).
c) Achever de résoudre l’équation 𝑝(𝑧) = 0. On notera 𝑧1 et 𝑧2 les deux autres solutions telles que 𝐼𝑚(𝑧1 ) < 𝐼𝑚(𝑧2)
où 𝐼𝑚(𝑧) désigne la partie imaginaire de 𝑧.
2) Soit 𝐴, 𝐵, 𝐶 les points d’affixes respectives 𝑧𝐴 = 𝑧1 , 𝑧𝐵 = 𝑧0 , et 𝑧𝐶 = 𝑧̅2 où 𝑧̅2 est le conjugué de 𝑧2 .
𝑍 −𝑍
a) Calculer 𝐶 𝐴
𝑍𝐵 −𝑍𝐴
3) Soit 𝑡 la translation de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 , 𝑀 et 𝑀′ les points d’affixes respectives 𝑧 et 𝑧′ tels que 𝑀′ soit l’image par la
translation 𝑡.
a) Exprimer 𝑧′ en fonction de 𝑧
b) Calculer l’affixe 𝑧𝐷 du point 𝐷 image de 𝐶 par 𝑡.
c) Donner la nature exacte du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷 (Justifier).

Le plan complexe est muni repère orthonormé (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣 ). Soit 𝑃(𝑧) le polynôme défini par :
3 2
𝑃(𝑧) = 𝑧 + (1 − 5𝑖)𝑧 − 4𝑧 + 16 ou 𝑧 désigne un nombre complexe.
1)
a) Montrer que l’équation 𝑃(𝑧) = 0, admet une solution imaginaire pure 𝑧0 .
b) Achever la résolution de l’équation 𝑃(𝑧) = 0. On appelle 𝑧1 , 𝑧2 les deux autres racines, avec la partie réel de 𝑧1
négative
c) Ecrire 𝑧1 , 𝑧2 et 𝑧0 sous forme trigonométrique.
2) Soient 𝐴 ; 𝐵 et 𝐶 les points d’affixes respectives 𝑧1 , 𝑧2 et 𝑧0 . Déterminer en radian la mesure de l’angle orienté
⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
(𝐴𝐶 𝐴𝐵), puis en déduire la nature du triangle 𝐴𝐵𝐶.
−𝜋
3) Soit r la rotation de centre 𝑂 et d’angle .
2
a) Calculer 𝑧𝐴′ ; l’affixe de 𝐴’ tel que 𝐴’ = 𝑟(𝐴)
b) Quelle est la nature du quadrilatère 𝑂𝐴𝐶𝐴’

1) Calculer (2 + 4𝑖) 2
2) On considère dans ℂ des nombres complexes, l’équation (𝐸 ) ∶ 𝑧 3 + (3 – 8𝑖)𝑧 2 − (13 + 12𝑖)𝑧 + 9 + 20𝑖 = 0
a) Montrer que (𝐸) admet une solution réel que l’on déterminera
b) Résoudre dans ℂ l’équation (𝐸).
3) On donne dans le plan les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 d’affixes respectives 𝑧𝐴 = −3 + 2𝑖 ; 𝑧𝐵 = 1 ; 𝑧𝐶 = −1 + 6𝑖
𝑧 −𝑧
a) Calculer 𝐶 𝐴. En déduire la nature du triangle 𝐴𝐵𝐶.
𝑧𝐵−𝑧𝐴
b) Le point 𝐷 est l’image du point 𝐵 par la translation de vecteur 𝑢
⃗ d’affixe, 2 + 4𝑖. Calculer l’affixe 𝑧𝐷 du point 𝐷
c) Déterminer la nature du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷.

Le plan complexe est muni d’un repère 𝑅 = (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣) ; unité graphique 2 𝑐𝑚
̅′
1) Résoudre dans ℂ × ℂ le système : {𝑖𝑧 + 𝑧 = −2 √3
𝑧̅ − 𝑖𝑧′ = −2
2) Soient les points 𝐴 ; 𝐵 d’affixes respectives 𝑧𝐴 = −1 + 𝑖√3 ; 𝑧𝐵 = − √3– 𝑖
a) Ecrire 𝑧𝐴 ; 𝑧𝐵 et 𝑧𝐴 . 𝑧𝐵 sous forme trigonométrique.
b) Montrer que 𝑧𝐴 3 est réel et 𝑧𝐵 3 est imaginaire pur
−𝜋
3) Soit 𝑟 la rotation de centre 0 et d’angle
2
a) On pose 𝑟(𝐴) = 𝐶. Calculer 𝑧𝐶 de 𝐶
b) On pose 𝑟(𝐶) = 𝐷. Calculer 𝑧𝐷 de 𝐷
c) Placer les points 𝐴 ; 𝐵 ; 𝐶 ; 𝐷
4)
a) Montrer que 𝑂 est le milieu de [𝐴𝐷] et [𝐵𝐶]
𝑧
b) Calculer le module et l’argument de 𝐴
𝑧𝐵
c) En déduire la nature du quadrilatère 𝐴𝐵𝐷𝐶

Soit 𝑃 le polynôme de la variable complexe 𝑧 défini par : 𝑃(𝑧) = 𝑧 3 − 5(1 – 𝑖)𝑧 2 − 2(1 – 9𝑖)𝑧 + 16 − 8𝑖
1) Montrer que l’équation 𝑃(𝑧) = 0 admet une solution imaginaire pure 𝑧0 que l’on déterminera.
2) Résoudre dans ℂ, l’équation 𝑃(𝑧) = 0.
On désignera par 𝑧1 et 𝑧2 les deux autres solutions telles que 𝐼𝑚(𝑧1 ) < 𝐼𝑚(𝑧2 ), ou 𝐼𝑚(𝑧) désigne la partie imaginaire de 𝑧.
3) Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣). Unité : 1 𝑐𝑚.
a) Placer les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 d’affixes respectives 𝑧1 ; 𝑧0 et 𝑧̅2 ou 𝑧̅2 désigne le conjugué de 𝑧2 .
𝑧
̅̅̅−𝑧
b) Calculer 2 1
𝑧0−𝑧1
c) En déduire la nature du triangle 𝐴𝐵𝐶.
4) Soit t la translation de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 . 𝑀 et 𝑀’ sont les points d’affixes respectives 𝑧 et 𝑧’ tels que 𝑀’ soit l’image de 𝑀 par
la translation 𝑡.
a) Exprimer 𝑧’ en fonction de 𝑧.
b) Calculer l’affixe du point 𝐷 image du point 𝐶 par 𝑡.
c) Donner la nature exacte du quadrilatère 𝐴𝐵𝐷𝐶. Justifier.

Le plan complexe (𝑃) est rapporté à un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑢
⃗ ; 𝑣) ayant comme unité graphique 1 𝑐𝑚.
On note 𝐴 et 𝐵 les points d’affixes respectives : 𝑖 et −4 –2𝑖 .
𝑍+4+2𝑖
Soit 𝑧 un nombre complexe différent de 𝑖 , on pose : 𝑧’ = 𝑖
𝑍−𝑖
1) Donner une interprétation géométrique de l’argument et du module de 𝑧’.
2) Déterminer et représenter l’ensemble 𝐸 des points M plan complexe (𝑃) d’affixe 𝑧 tel que 𝑧’ est un nombre réel.
3) On pose 𝑧1 = 𝑧– 𝑖 et 𝑧1 ′ = 𝑧 – 𝑖 . Montrer que 𝑧1 𝑧1 ′ = −3 + 4𝑖 . Calculer |𝑧1 𝑧1 ′ |
4)
a) Prouver que si 𝑀 appartient au cercle (𝐶) de centre 𝐴 d’affixe 𝑖 et de rayon 𝑟 , 𝑟 > 0 , alors 𝑀’ appartient à un
cercle (𝐶’) de centre 𝐴 .
b) Déterminer 𝑟 pour que (𝐶) = (𝐶’) .

Dans le plan complexe 𝑃 muni d’un repère orthonormé direct (𝑂 ; 𝑢
⃗ ; 𝑣) on considère les points 𝐴, 𝐵, 𝐶, 𝐷 d’affixes
respectives 𝑧𝐴 = −2𝑖 ; 𝑧𝐵 = 4 – 2𝑖 ; 𝑧𝐶 = 4 + 2𝑖 ; 𝑧𝐷 = 1.
1)
a) Placer les points 𝐴, 𝐵, 𝐶 et 𝐷.
𝑧 −𝑧
b) Calculer 𝐴 𝐵 et en déduire la nature exacte du triangle 𝐴𝐵𝐶.
𝑍𝐶 −𝑍𝐵
𝑍−4−2𝑖
2) On désigne par 𝑓 l’application qui a tout point 𝑀 ≠ 𝐴 d’affixe 𝑧 de 𝑃 associe le point 𝑀’ d’affixe 𝑧′ =
𝑍+2𝑖
a) Déterminer les images 𝐵’ et 𝐶’ des points 𝐵 et 𝐶 par 𝑓
b) Ecrire l’affixe 𝑧𝐵’ de 𝐵’ sous forme trigonométrique.
c) Déterminer et construire l’ensemble (𝐸) des points 𝑀 d’affixe 𝑧 tel que |𝑧′| = 1
3)
a) Montrer que pour tout complexe z distinct de −2𝑖 , (𝑧’ − 1)(𝑧 + 2𝑖) = −4 − 4𝑖.
b) Montrer que pour tout point 𝑀 ≠ 𝐴
i) 𝑀’ ≠ 𝐷
ii) 𝐷𝑀’ × 𝐴𝑀 = 4√2
5𝜋
iii) 𝑚𝑒𝑠(𝑢 ⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐷𝑀′) + 𝑚𝑒𝑠( 𝑢 ⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝑀 ) =
4

Le plan (𝑃) est rapporté à un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣 ) ; unité graphique 2 𝑐𝑚. On désigne par 𝐴, 𝐵 et 𝐶 les points dont
les affixes respectives sont : 2𝑖 , −1 et 𝑖. Soit 𝑓 l’application de (𝑃) ∖ {𝐴} dans (𝑃) qui, à tout point 𝑀 d’affixe 𝑧 (𝑧 ≠ 2𝑖)
𝑧+1
associe le point 𝑀′ d’affixe 𝑧′ tel que 𝑧′ = ∙
𝑧−2𝑖
1) Placer les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶. On complètera la figure dans la suite.
2) Déterminer l’affixe du point 𝐶′ , image de 𝐶 par 𝑓. Quelle est la nature du quadrilatère 𝐴𝐶𝐵𝐶′ ?
3) Montrer que le point 𝐶 admet un unique antécédent 𝐶′′ par 𝑓. Quelle est la nature du triangle 𝐵𝐶𝐶′′.
4) Donner une interprétation géométrique de |𝑧′| et 𝑎𝑟𝑔(𝑧′).
5) Déterminer les ensembles suivants :
a) L’ensemble (𝐸) des points 𝑀 dont l’image par 𝑓 a pour affixe un réel strictement négatif.
b) L’ensemble (𝐹) des points 𝑀 dont l’image par 𝑓 a pour affixe un imaginaire pur non nul.
c) L’ensemble (𝐷) des points 𝑀 dont l’image par 𝑓 a pour affixe un nombre complexe de module 1
6) Construire 𝐴𝐶𝐵𝐶′ , 𝐵𝐶𝐶′′ , (𝐸) , (𝐹) et (𝐷) dans la figure.

Soit 𝑃 (𝑧) = 𝑧 3 − (1 − 𝑖)𝑧 2 + 𝑧 − 1 + 𝑖 , 𝑧 ∈ ℂ.
1) Démontrer que 𝑃(𝑧) admet deux racines imaginaires pures
2) Résoudre l’équation 𝑃 (𝑧) = 0, puis donner les solutions sous forme exponentielle.
3) Le plan est muni d’un repère (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣) . On note 𝑎 = −𝑖 ; 𝑏 = 𝑖 et 𝑐 = 1 − 𝑖.
a) Faire une figure que l’on complètera au fur et à mesure. On notera 𝐴,𝐵 et 𝐶 les points d’affixes respectives 𝑎, 𝑏 et 𝑐.
𝑎−𝑏
b) Calculer , puis préciser la nature du triangle 𝐴𝐵𝐶.
𝑎 −𝑐
c) Soit 𝐶 l’image du point 𝐷 par la translation de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 . Calculer l’affixe du point 𝐷.
𝜋
d) 𝐸 est l’image du point 𝐷 par la rotation de centre 𝑂 et d’angle ∙ Déterminer l’affixe du point 𝐸.
2
e) Pour quelles valeurs de 𝑛, 𝑐 𝑛 est-il un réel ?

Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑢
⃗ ; 𝑣).
√3+1 √3−1
Soient les nombres complexes 𝑎 = +𝑖 et 𝑧0 = 6 + 6𝑖. On note 𝐴 0 le point d’affixe 𝑧0 et pour tout 𝑛 entier non
4 4
nul, on désigne par 𝐴 𝑛 le point d’affixe 𝑧𝑛 définie par 𝑧𝑛 = 𝑎 𝑛 𝑧0 .
1)
1 𝜋
a) Exprimer 𝑧1 et 𝑎 2 sous forme algébrique. Ecris 𝑧1 sous forme exponentielle et montrer que 𝑎 2 = 𝑒 𝑖6 .
2
b) Exprimer 𝑧3 et 𝑧7 en fonction de 𝑧1 et 𝑎 2 ; en déduire 𝑧3 et 𝑧7 sous forme exponentielle.
2) Pour tout 𝑛 entier naturel, on pose |𝑧𝑛 | = 𝑟𝑛 ∙
𝑛
√2
a) Montrer que, pour tout 𝑛 ∈ ℕ, 𝑟𝑛 = 12 × ( ) .
2
b) En déduire que la suite (𝑟𝑛 )𝑛 ∈ ℕ est une suite géométrique dont on précisera le premier terme et la raison.
c) Déterminer la limite de la suite (𝑟𝑛) et interpréter géométriquement le résultat obtenu.

1) On considère le polynôme 𝑃 défini pour tout 𝑧 de l’ensemble ℂ par : 𝑃(𝑧) = 𝑧 3 − 6𝑧 2 + 12𝑧 − 16
a) Soit 𝑧0 ∈ ℂ. Montrer que si 𝑃(𝑧0 ) = 0 alors 𝑃(𝑧̅0 ) = 0 où 𝑧̅0 est le conjugué de 𝑧0
b) Calculer 𝑃(1 + 𝑖 √3) ; puis factoriser 𝑃(𝑧)
c) Déduire les solutions de l’équation 𝑃(𝑧) = 0
2) Le plan est rapporté à un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣) (unité graphique 2 𝑐𝑚). Soient 𝐴, 𝐵 et 𝐶 les points d’affixe
respectives 𝑎 = 4 ; 𝑏 = 1 + 𝑖√3 et 𝑐 = 𝑏̅ où 𝑏̅ est le conjugué de 𝑏.
a) Placer les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 sur une figure que l’on complètera au fur et à mesure.
b) Quelle est la nature exacte du triangle 𝐴𝐵𝐶 ?
𝜋
3) Soit 𝐾 le point d’affixe 𝑧𝐾 = −√3 + 𝑖 , le point 𝐹 image de 𝐾 par la rotation de centre 𝑂 et d’angle et 𝐺
3
l’image de 𝐾 par la translation de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝐵.
a) Déterminer les affixes respectives de 𝐹 et 𝐺
b) Montrer que les droites (𝑂𝐶) et (𝑂𝐹) sont perpendiculaires
4) Soit 𝐻 le quatrième sommet du parallélogramme 𝐶𝑂𝐹𝐻
a) Calculer l’affixe 𝑧𝐻 de 𝐻 puis montrer que le parallélogramme 𝐶𝑂𝐹𝐻 est un carré.
b) Quelle est la nature du triangle 𝐴𝐺𝐻 ?
On donne √3 ≈ 1,7

Le plan est muni d’un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣 ) , unité graphique : 2 𝑐𝑚.
1) Soit le nombre 𝑧0 = 1 + 𝑖.
a) Montrer que 𝑧0 est solution de l’équation (𝐸) définie par 𝑧 3 − (7 + 𝑖)𝑧 2 + 2(8 + 3𝑖)𝑧 − 10(1 + 𝑖) = 0
b) Résoudre l’équation (𝐸) dans l’ensemble des nombres complexes ℂ.
2) On considère les points 𝐴 , 𝐵 et 𝐶 du plan, d’affixe respectives 1 + 𝑖 , 3 + 𝑖 , 3 − 𝑖.
𝑧 −𝑧
a) Calculer et écrire sous forme exponentielle 𝐴 𝐵∙
𝑧𝐶−𝑧𝐵
c) Placer les points 𝐴 , 𝐵 et 𝐶 dans le repère (𝑂 ; 𝑢
⃗ ; 𝑣 ) et compléter la figure au fur et à mesure.
d) Soit (𝛤) le cercle circonscrit au triangle 𝐵𝐴𝐶. Déterminer l’affixe du centre 𝐺 et le rayon 𝑟 du cercle.
3) Soit (𝛥) l’ensemble des points 𝑀 du plan d’affixe 𝑧 vérifiant la relation |𝑧 − 1 − 𝑖| = |𝑧 − 3 + 𝑖|
a) Caractériser géométriquement l’ensemble (𝛥)
b) Justifier que le point 𝐹 d’affixe 4 + 2𝑖 appartient à (𝛥).
c) Déterminer l’affixe du point 𝐸 de (𝛥) situé sur l’axe des ordonnées.
4) Quelle est la nature exacte du quadrilatère 𝐶𝐸𝐴𝐹 ? Justifier votre réponse.

Le plan complexe 𝒫 est rapporté au repère orthonormal (𝑂 ; 𝑢⃗ ; 𝑣 ) ; unité : 2 𝑐𝑚. On considère l’application 𝑓 définie sur ℂ∗
1
par 𝑓(𝑧) = − . 𝐹 est l’application du plan 𝒫 privé de 𝑂 dans lui-même qui à tout point 𝑀 d’affixe 𝑧, associe le point 𝑀′
𝑧
d’affixe 𝑧′ = 𝑓(𝑧).
1) On pose 𝑧 = 𝑟𝑒 𝑖𝜃 , 𝑟 ∈ ℝ∗+ et 𝜃 ∈ ℝ. Exprimer le module et un argument de 𝑓(𝑧) en fonction de 𝑟 et 𝜃.
2) On pose 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 et 𝑍 = 𝑋 + 𝑖𝑌 où 𝑍 est l’affixe du milieu 𝐼 de [𝑀𝑀′] ; 𝑥, 𝑦, 𝑋, 𝑌 sont des réels.
a) Exprimer 𝑋 et 𝑌 en fonction de 𝑥 et 𝑦
b) Déterminer et représenter l’ensemble (ℇ) des points 𝑀 tels que 𝐼 appartienne à l’axe (𝑂 ; 𝑢 ⃗ )
c) Déterminer et représenter l’ensemble (ℱ) des points 𝑀 tels que 𝐼 appartienne à l’axe (𝑂 ; 𝑣)
3) On suppose |𝑧| = 1. On pose donc 𝑧 = 𝑒 𝑖𝜃 , 𝜃 ∈ ℝ.
a) Calculer 𝑍 en fonction de 𝜃
b) Caractériser géométriquement la restriction de 𝐹 au cercle de centre 𝑂 et de rayon 1.

𝑧3
Soit le polynôme 𝑃(𝑧) = − (1 + 2𝑖)𝑧 2 − 3𝑧 + 2𝑖 − 1
1) Montrer que le polynôme 𝑃(𝑧) admet une racine réelle 𝑧0 que l’on déterminera
2) Déterminer trois nombres complexe 𝑎, 𝑏 et 𝑐 tel que 𝑃(𝑧) = (𝑧 − 𝑧0 )(𝑎𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐)
3) Résoudre dans ℂ, l’équation 𝑃(𝑧) = 0
4) Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣) (unité 2 𝑐𝑚), on désigne par 𝐴, 𝐵 et 𝐶 les points
d’affixes respectives 𝑖 , 2 + 𝑖 et −1.
a) Placer les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶
b) Soit 𝐷 l’image de 𝐴 par la translation de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐶 . Calculer l’affixe de 𝐷.
𝑧𝐴
c) Calculer le nombre 𝑍 = . Déterminer le module et un argument de 𝑍.
𝑧𝐴−𝑧𝐵
d) En déduire la nature du triangle 𝑂𝐴𝐵.

On considère le polynôme 𝑃 défini sur ℂ par 𝑃(𝑧) = 𝑧 4 − 4(1 + 𝑖)𝑧 3 + 12𝑖𝑧 2 + 8(1 − 𝑖)𝑧 − 20
1)
a) Ecrire sous forme algébrique (1 − 𝑖) 2 puis en déduire les solutions dans ℂ de l’équation 𝑧 2 = −2𝑖.
b) Déterminer les nombres 𝑏 et 𝑐 pour que, pour tout 𝑧 ∈ ℂ on ait 𝑃 (𝑧) = (𝑧 2 + 2𝑖)(𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐)
2) Résoudre dans ℂ l’équation (𝐸 ): 𝑃 (𝑧) = 0
⃗ ; 𝑣 ) , on considère les points 𝐴, 𝐵, 𝐶 et 𝐷 d’affixes
3) Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑢
respectives 𝑧𝐴 = 1– 𝑖 , 𝑧𝐵 = −1 + 𝑖 , 𝑧𝐶 = 1 + 3 , 𝑧𝐷 = 3 + 𝑖
a) Faire une figure
𝑧 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
b) On pose 𝑍 = 𝐵𝐴. Ecrire 𝑍 sous la forme algébrique.
𝑧𝐵𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
c) Interpréter géométriquement le module et un argument de 𝑍.
d) Quelle est la nature exacte du triangle 𝐴𝐵𝐶 puis du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷 ?

1)
a) Ecrire sous forme algébrique le nombre complexe (1 + 𝑖√3) 2.
b) Résoudre dans ℂ l’équation : 𝑧 2 + 2𝑧 + 19 − 18𝑖√3 = 0.
𝑧1 + 𝑧2 = −2
2) Résoudre dans ℂ × ℂ le système suivant : { 2 4𝑖 √3
𝑧1 − 𝑧2 2 = −4 +
3
3) Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormal (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣) , on désigne par 𝐴,𝐵, 𝐶 et 𝐷 les points d’affixes
1
respectives 𝑎, 𝑏, 𝑐 et 𝑑 telle que 𝑎 = 2 + 3𝑖√3 ; 𝑏 = (𝑎̅ − 2) ; 𝑐 = −𝑎 − 2 𝒆𝒕 𝑑 = 𝑎 − 𝑏 + 𝑐 (où 𝑎̅ est le conjugué
9
de 𝑎 ).
a) Déterminer les nombres complexes 𝑏, 𝑐 et 𝑑 puis placer les points 𝐴, 𝐵, 𝐶 et 𝐷 dans le plan complexe. (Unité
graphique : 2 𝑐𝑚 et √3 ≅ 1, 7 ).
b) Comparer 𝑎 + 𝑐 et 𝑏 + 𝑑. En déduire la nature du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷.
𝑐−𝑎
c) Calculer et interpréter géométriquement un argument du nombre complexe 𝑍 =
𝑑−𝑏
d) Préciser la nature exacte de 𝐴𝐵𝐶𝐷.
EXERCICE 30 (BAC 2017 - Remplacement – 1er Tour)

1)
a) Déterminer le nombre complexe 𝛼 tel que : 𝛼(1 + 𝑖) = 1 + 3𝑖 puis calculer 𝑖𝛼 2.
b) Pour tout nombre complexe 𝑧, on pose : 𝑓(𝑧) = 𝑧 2 − (1 + 3𝑖)𝑧 − 4 + 3𝑖.
Montrer que 𝑓(𝑧) peut se mettre sous la forme (𝑧– 𝛼)(𝑧– 𝑖𝛼).
En déduire les solutions dans ℂ, de l’équation : 𝑓(𝑧) = 0.
2) Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣) d’unité graphique 2 𝑐𝑚, on considère les points
𝐴 et 𝐵 d’affixes respectives : 𝑎 = 2 + 𝑖 et 𝑏 = −1 + 2𝑖.
a) Placer les points 𝐴 et 𝐵 dans le repère. La figure sera complétée au fur et à mesure.
b) Vérifier que 𝑏 = 𝑖𝑎 et en déduire la nature exacte du triangle 𝑂𝐴𝐵.
1
c) 𝐶 est le point d’affixe 𝑐 = 1 + 𝑖.
2
⃗⃗⃗⃗⃗̂
Déterminer l’affixe 𝑑 du point 𝐷 tel que le triangle 𝑂𝐶𝐷 soit isocèle et tel que : 𝑚𝑒𝑠(𝑂𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) = 𝜋 .
,𝑂𝐷
2
d) On note 𝐽, 𝐾, 𝐿 et 𝑀 les milieux respectifs des segments [𝐴𝐵], [𝐷𝐴], [𝐶𝐷] et [𝐵𝐶].
Déterminer la nature exacte du quadrilatère 𝐽𝐾𝐿𝑀. Justifier.

2+2𝑖√3
1) Déterminer les racines carrées du nombre complexe 𝑢 = sous forme algébrique.
4
2) Résoudre dans ℂ l’équation (𝐸 ) : 𝑧 2 + (√3 − 7𝑖)𝑧 − 4(3 + 𝑖√3) = 0
3) Le plan complexe 𝑃 est rapporté à un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣) d’unité 2 𝑐𝑚.
a) Placer les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 d’affixes respectives 𝑧𝐴 = 2𝑖 ; 𝑧𝐵 = 4𝑖 ; 𝑧𝐶 = −√3 + 3𝑖.
𝑧 −2𝑖
b) Montrer que 𝑢 = 𝐶
𝑧𝐵−2𝑖
c) En déduire la nature exacte du triangle 𝐴𝐵𝐶.

4) Soit 𝑓 l’application de 𝑃 − {ℂ} dans 𝑃, qui à tout point 𝑀 d’affixe 𝑧 (𝑧 ≠ 𝑧𝐶 ) associe le point 𝑀′ d’affixe 𝑧’ = 𝑓(𝑧)
𝑧−4𝑖
telle que : 𝑧 ′ = 𝑓(𝑧) =
𝑧+√3−3𝑖
a) Donner une interprétation géométrique du module et de l’argument de 𝑧’.
b) En déduire et construire l’ensemble (𝐸) des points 𝑀 dont l’image par 𝑓 a pour affixe un nombre imaginaire pur non
nul.
c) En déduire et construire l’ensemble (𝐷) des points 𝑀 dont l’image par 𝑓 est un élément du cercle de centre 𝑂 et de
rayon 1.
On note √3 ≈ 1, 7.

I- On considère dans l’ensemble ℂ des nombres complexes, le polynôme : 𝑝 (𝑧) = 𝑧 3 + (1 + 2𝑖)𝑧 2 − (1 − 14𝑖) 𝑧 − 13
1) Démontrer que 𝑝(𝑧) = 0 admet une solution imaginaire pure 𝑧0 que l’on précisera.
2) Résoudre dans ℂ l’équation 𝑝 (𝑧) = 0.
𝑖𝑧
II- Soit 𝑓 l’application de ℂ ∖ {−𝑖} dans ℂ définie par 𝑓 (𝑧) = .
𝑧+𝑖
Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormal direct (𝑂, 𝑢 ⃗ , 𝑣 ) d’unité 2 cm.
On considère les points 𝐴, 𝐵, 𝐶 et 𝑀 d’affixes respectives −𝑖 ; 2 − 3𝑖 ; −3 + 2𝑖 et 𝑧.
1) Faire une figure que complètera au fur et à mesure.
2) Montrer que les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 sont alignés.
3) Donner une interprétation géométrique de |𝑓(𝑧) − 𝑖| et 𝑎𝑟𝑔 [𝑓(𝑧) − 𝑖].
4)
a) Déterminer construire l’ensemble (Λ) (se lit lambda) des points 𝑀 d’affixe 𝑧 vérifiant : |𝑓(𝑧) − 𝑖| = √2
𝜋
b) Déterminer construire l’ensemble (Γ) des points 𝑀 d’affixe 𝑧 vérifiant : 𝑎𝑟𝑔 [𝑓 (𝑧) − 𝑖] =
4

Le plan est muni d’un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑢⃗ ; 𝑣) unité graphique 1 𝑐𝑚.
Soit 𝑃 le polynôme définie sur ℂ pour tout 𝑧 par : 𝑃(𝑧) = 𝑧 3 − 3𝑧 2 + (3𝑖 + 3)𝑧 − 6 + 2𝑖.
1) Calculer 𝑃 (−𝑖); puis en déduire une factorisation de 𝑃 (𝑧).
2)
a) Résoudre dans ℂ, l’équation 𝑃(𝑧) = 0.
b) Soient les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 d’affixes respectives 𝑧𝐴 = −𝑖 ; 𝑧𝐵 = 2𝑖 𝒆𝒕 𝑧𝐶 = 3 − 𝑖. Placer ces points dans le repère.
𝑧 −𝑧
c) Calculer 𝐶 𝐴 ; puis interpréter géométriquement le module et un argument de ce quotient.
𝑧𝐵−𝑧𝐴
d) En déduire la nature du triangle 𝐴𝐵𝐶.
⃗⃗⃗⃗⃗
3) Soit 𝐷 l’image de 𝐶 par la translation de vecteur 𝐴𝐵
a) Calculer l’affixe de point 𝐷.
b) Donner la nature exacte du quadrilatère 𝐴𝐵𝐷𝐶.

1) Ecrire le complexe 𝑑 = (5 − 𝑖) 2 sous forme algébrique.
2) Soit 𝑃 le polynôme défini par : 𝑃(𝑧) = 𝑧 3 + 5𝑧 2 + (5 − 8𝑖)𝑧 − 35 − 20𝑖
a) Vérifier que −4 − 3𝑖 est une racine de 𝑃.
b) En déduire une factorisation de 𝑃(𝑧).
c) Résoudre dans ℂ, l’équation 𝑃(𝑧) = 0.
⃗ ; 𝑣) d’unité graphique 1 𝑐𝑚, on considère les
3) Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑢
points 𝐴,𝐵 et 𝐶 d’affixe respectives 𝑧𝐴 = −3 + 2𝑖 , 𝑧𝐵 = 2 + 𝑖 et 𝑧𝐶 = −4 − 3𝑖.
a) Placer les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 dans le repère.
𝑧 −𝑧
b) Soit 𝑍 = 𝐵 𝐴. Ecrire 𝑍 sous forme algébrique.
𝑧𝐶−𝑧𝐴
c) Interpréter géométriquement le module et argument de 𝑍 puis préciser la nature exacte du triangle 𝐴𝐵𝐶.
⃗⃗⃗ le vecteur défini par : 𝑊
4) Soit 𝑊 ⃗⃗⃗ = 3𝐴𝐵⃗⃗⃗⃗⃗ − ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ .
𝐴𝐶 + 2𝐵𝐶
a) Déterminer l’affixe du vecteur 𝑊 ⃗⃗⃗ .

⃗⃗⃗ .
b) Calculer l’affixe du point 𝐸 image du point 𝐴 par la translation de vecteur 𝑊
c) Placer le point 𝐸 dans le repère (𝑂 ; 𝑢
⃗ ; 𝑣).
d) Déterminer la nature exacte du quadrilatère 𝐴𝐵𝐸𝐶.

Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣 ), unité graphique 1 𝑐𝑚.
On considère le polynôme 𝑃(𝑧) définie pour tout nombre complexe 𝑧 par : 𝑃(𝑧) = 𝑧 3 − (4 − 2𝑖)𝑧 2 + (8 − 2𝑖)𝑧 − 20.
1) Montrer que l’équation 𝑃(𝑧) = 0 admet une solution imaginaire pure 𝑧0 que l’on déterminera.
2)
a) Déterminer les réels 𝑎, 𝑏 et 𝑐 tels que pour tout nombre complexe 𝑧, 𝑃 (𝑧) = (𝑧 − 𝑧0 )(𝑎𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐).
b) Résoudre dans ℂ l’équation 𝑃 (𝑧) = 0.
3) Soit 𝐸, 𝐹 et 𝐺 les point d’affixes respectives 𝑧𝐸 = 3 − 𝑖 ; 𝑧𝐹 = 1 − 3𝑖 et 𝑧𝐺 = 2𝑖.
a) Placer les points 𝐸, 𝐹 et 𝐺 dans le plan.
𝑧 −𝑧
b) Ecrire le nombre 𝐹 𝐸 sous la forme algébrique.
𝑧𝐺 −𝑧𝐸
c) En déduire la nature du triangle 𝐸𝐹𝐺.
4) Déterminer l’affixe 𝑧𝐻 du point 𝐻 image du point 𝐺 par la translation de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐸𝐹
5) En déduire la nature exacte du quadrilatère 𝐸𝐹𝐻𝐺.
𝑧−3+𝑖
6) Déterminer et construire l’ensemble (𝐶 ) des point 𝑀 d’affixe 𝑧 tel que soit imaginaire pur.
𝑧−1+3𝑖

3−𝑖 2+𝑖
On considère le nombre complexe 𝑢 définie par : 𝑢 = + − 3 (1 − 2𝑖) 2 − 2(2 + 𝑖)(3 + 𝑖).
2+𝑖 𝑖
1) Montrer que 𝑢 = 1 − 𝑖.
𝑖𝑧1 − 𝑧2 = −1 + 𝑖
2) Résoudre dans ℂ2 le système d’inconnues 𝑧1 et 𝑧2 : {1
𝑧 + (1 − 𝑖) 𝑧2 = 2 − 5𝑖
2 1
3) Le plan complexe 𝑃 étant mini d’un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣 ), on donne les points 𝐴 et 𝐵 d’affixes
respectives 𝑧𝐴 = −2𝑖 et 𝑧𝐵 = 3 − 𝑖.
On considère l’application 𝑓 définie de 𝑃 ∖ {𝐴 } dans 𝑃 qui, à tout point 𝑀 d’affixe 𝑧, associe le point 𝑀′ d’affixe 𝑧′ telle
𝑖𝑧−3𝑖−1
que 𝑧 ′ = .
𝑧+2𝑖
a) Soit 𝐶 le point d’affixe 𝑢. Calculer l’affixe 𝑢′ de 𝐶′, image de 𝐶 par 𝑓.
𝑖( 𝑧−3+𝑖)
b) Montrer que 𝑧 ′ = .
𝑧+2𝑖
c) Interpréter géométriquement le module et l’argument de 𝑧′.
d) Déduire de la question 3) c) les ensembles des points suivants :
 L’ensemble (Γ1 ) tel que 𝑧 ′ 𝜖 ℝ∗.
 L’ensemble (Γ2 ) tel que 𝑧 ′ 𝜖 𝑖ℝ∗.
 L’ensemble (Γ3 ) tel que |𝑧′| = 1.

Probabilités

Vous disposez dans votre poche de 3 pièces de 5 𝐹, 2 pièces de 10 𝐹 et 1 pièces de 25 𝐹.
Votre petit frère vous demande 30 𝐹 pour se payer un biscuit. Vous tirez au hasard de votre poche 3 pièces. Soit 𝑋 la
variable aléatoire qui représente la somme reçue par votre petit frère.
1)
a) Déterminez les valeurs possibles de 𝑋.
b) Déterminez la loi de probabilité de 𝑋.
c) Calculez la somme moyenne que peut recevoir votre petit frère.
2) Quelle est la probabilité pour que votre petit frère puisse se payer son biscuit ?

Pierre doit acheter quatre protège-cahiers de couleurs imposées : rouge, rose, bleu, jaune. Sa mère lui donne 800 𝐹 pour faire
cette emplette. Si le prix d’achat des protège-cahiers est inférieur à 800 𝐹, Pierre peut garder la monnaie, sinon il doit
compléter avec son argent de poche.
Dans une librairie voisine, les protège-cahiers coûtent 200 𝐹 pièce et on peut en choisir la couleur.
En face, dans une boutique, ils sont vendus par lots de 3 à 300 𝐹 le lot. Dans chaque lot, il y a trois protège-cahiers de
couleurs différentes parmi les suivantes : rouge, rose, bleu, jaune, vert, blanc ou noir, mais l’emballage ne permet pas de voir
les couleurs. On suppose l’équiprobabilité des triplets possibles de couleurs.
Pierre décide d’acheter un lot au hasard dans la boutique puis, après l’avoir ouvert, d’acheter à la librairie les protège-cahiers
qui lui manquent.
1) Calculer la probabilité des évènements suivants :
𝐴 ∶ ‘’le lot acheté contient trois protège-cahiers convenant à Pierre’’
𝐵 ∶ ‘’le lot acheté contient seulement un protège-cahier convenant à Pierre’’
2) On notera 𝑋 le montant des achats que Pierre doit effectuer pour obtenir les protège-cahiers qui lui sont nécessaires.
a) Quelles sont les valeurs prises par 𝑋 ?
b) Définir la loi de probabilité de 𝑋.
c) Calculer son espérance mathématique.
Pierre n’aurait-il pas intérêt à acheter tout simplement ses quatre protège-cahiers à la librairie ?

Une urne contient trois boules rouges portant les numéros 20 , 22 , 24 , c’est-à-dire 1 , 4 et 16 ; et trois boules vertes
numérotées 21 , 23 , 25 , c’est-à-dire 2 , 8 et 32. Les boules sont toutes indiscernables au toucher. Une expérience consiste à
tirer simultanément deux boules de l’urne.
Soit 𝑋 la variable aléatoire qui prend pour valeur :
- Le produit des numéros si les boules tirées sont rouges ;
- La somme des numéros si les boules tirées sont vertes ;
𝑎 𝑏 𝑎 𝑏
- Le plus grand des rapports et , c’est-à-dire 𝑠𝑢𝑝 { , } si les boules sont de couleurs différentes et portent les
𝑏 𝑎 𝑏 𝑎
numéros 𝑎 et 𝑏.
1)
a) Déterminer l’ensemble des cas possibles si les boules tirées sont rouges.
b) Déterminer, dans le cas général, l’ensemble des valeurs prises par 𝑋.
2)
a) Dresser la loi de probabilité de 𝑋.
b) Calculer l’espérance mathématique de 𝑋.
c) Calculer la probabilité de l’événement : 𝐴 = {𝑋 ≥ 32}.
3) On réalise l’expérience trois fois de suite en remettent à chaque fois les boules tirées dans l’urne. Soit 𝑍 la variable
aléatoire associée au nombre de fois où l’événement 𝐴 est réalisé.
Déterminer la loi de probabilité de 𝑍 et calculer son espérance mathématique.

On dispose de deux urnes 𝑈1 et 𝑈2 . L’urne 𝑈1 contient 4 boules rouges et 2 boules blanches, et l’urne 𝑈2 contient 2 boules
rouges et 4 boules blanches. On suppose que les boules sont indiscernables au toucher.
1) On effectue dans l’urne 𝑈1 , 4 tirages d’une boule avec remise.
a) Quelle est la probabilité d’avoir exactement une boule rouge au bout des 4 tirages ?
b) Quelle est la probabilité de n’obtenir une boule rouge qu’au quatrième tirage ?
− 𝑠𝑖 𝑙𝑒 𝑟é𝑠𝑢𝑙𝑡𝑎𝑡 𝑒𝑠𝑡 ′′𝑃𝐼𝐿𝐸′′ , 𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑐𝑖𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑈1
2) On lance une pièce de monnaie parfaite : {
− 𝑠𝑖 𝑙𝑒 𝑟é𝑠𝑢𝑙𝑡𝑎𝑡 𝑒𝑠𝑡 ′′𝐹𝐴𝐶𝐸′′ , 𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑐𝑖𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑈2
Une boule tirée dans les conditions de l’expérience décrite :
a) Calculer la probabilité que cette boule soit rouge.
b) Calculer la probabilité qu’elle provienne de 𝑈1 sachant qu’elle est rouge.

Dans une loterie, on distribue deux séries de billets : 𝐴 et 𝐵.
La série 𝐴 comporte 12 billets dont 4 gagnants. La série 𝐵 comporte 15 billets dont 5 gagnants.
Une personne achète 3 billets dont 2 de la série 𝐴 et 1 de la série 𝐵. On suppose tous les choix équiprobables.
1) Quelle est la probabilité qu’un seul des 3 billets soit gagnant ?
2) Quelle est la probabilité que 2 au moins des 3 billets soient gagnants ?
3) Tout billet gagnant de la série 𝐴 gagne 2500 𝐹 et tout billet gagnant de la série 𝐵 gagne 5000 𝐹. On Désigne par 𝑋 la
variable aléatoire qui associe à l’achat de 3 billets ( 2 de 𝐴 et 1 de 𝐵) le gain réalisé.
a) Quel est l’ensemble des valeurs prises par 𝑋 ?
b) Déterminer la loi de probabilité de 𝑋.
c) Calculer l’espérance mathématique 𝐸(𝑋) et la variance 𝑉(𝑋) de 𝑋. Déduisez-en l’écart type.

Une urne contient 𝑛 boules noires et 3𝑛 boules blanches.
1) On tire simultanément deux boules de l’urne. On suppose qu’il y a équiprobabilité des tirages possibles.
Calculer la probabilité 𝑃𝑛 de tirer une boule de chaque couleur.
2) On tire une boule de l’urne, on l’y replace ; puis on tire à nouveau une boule de l’urne ; on suppose qu’il y a
équiprobabilité de tirages possibles. Calculer la probabilité de tirer une boule de chaque couleur.
3) Quelle est la limite de 𝑃𝑛 lorsque 𝑛 tend vers +∞.
3 1
A partir de quelle valeur de 𝑛 la différence 𝑃𝑛 − est – elle inférieur ?
8 100

Dans une famille donnée, on admet qu’une naissance donne un garçon, une fille ou des jumeaux. Une naissance donne dans
30% des cas un garçon et dans 50% des cas une fille. On admet que le sexe de l’enfant ne dépend pas des naissances
précédentes.
1)
a) Quelle est la probabilité pour qu’une naissance donne des jumeaux dans la famille ?
b) Calculer la probabilité pour que les trois premières naissances donnent des filles et la quatrième donne un garçon.
2) On suppose qu’il y a 𝑛 naissances dans la famille.
a) Calculer en fonction de n, la probabilité 𝑃𝑛 d’avoir au moins une naissance donnant des jumeaux.
b) Déterminer le nombre minimale 𝑛0 d’enfants pour que 𝑃𝑛 soit supérieur ou égal à 0,97
3) On suppose qu’il y a trois naissances dans la famille et l’on désigne par 𝑋 la variable aléatoire égale au nombre d’enfants
possibles issus des trois naissances.
a) Déterminer la loi de probabilité de 𝑋.
b) Calculer l’espérance mathématique, la variance et l’écart type de 𝑋
𝑙𝑛(0,03)
On donne ≈ 15,95.
𝑙𝑛(0,8)

Un sac contient 5 jetons Rouges et 2 jetons blancs tous indiscernables au toucher. Un jeu consiste à tirer au hasard un jeton
du sac. Si le jeton est Rouge, le jeu s’arrête ; sinon on tire un second jeton sans remettre le premier dans le sac. La mise est
de 50𝐹. Le tirage d’un jeton blanc rapporte 200𝐹, tandis que celui d’un jeton Rouge ne rapporte rien.
Soit 𝑋 la variable aléatoire réelle qui, à chaque jeu associe le gain algébrique du joueur.
1)
a) Quelles sont les valeurs possibles de 𝑋 ?
c) Déterminer la fonction de répartition de 𝑋 puis la représenter graphiquement.
2
2) Soit A l’événement : ≪ 𝐿𝑒 𝑗𝑜𝑢𝑒𝑢𝑟 𝑎 𝑢𝑛 𝑔𝑎𝑖𝑛 𝑝𝑜𝑠𝑖𝑡𝑖𝑓 ≫. Montrer que 𝑃(𝐴) =
7
3) Un joueur joue successivement, de façon indépendante, 5 jeux. Il remet à la fin de chaque jeu les jetons dans le sac.
Soit 𝑌 la variable aléatoire réelle qui, à ces 5 jeux associe le nombre de fois ou l’événement A est réalisé.
Justifier que 𝑌 suit une loi binomiale et calculer la probabilité que le joueur obtienne au moins une fois un gain positif au
cours des 5 jeux.
EXERCICE 09 (BAC 2007 –2nd Tour)

La constitution d’un groupe de trois élèves devant représenter leurs camarades à un exposé sur l’environnement est soumise
à une expérience aléatoire.
On lance trois fois une pièce de monnaie. Un garçon est désigné à chaque apparition de pile et une fille à chaque apparition
de face. Un groupe constitué de filles et de garçons est appelé « 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑚𝑖𝑥𝑡𝑒 » et un groupe constitué uniquement de filles
ou uniquement de garçons un « groupe non mixte ».
On désigne par 𝑀 l’évènement « 𝑙𝑒 𝑔𝑟𝑜𝑢𝑝𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑚𝑖𝑥𝑡𝑒 » et par 𝑀 ̅ l’évènement contraire de 𝑀.
1) Calculer les probabilités des évènements 𝑀 et 𝑀. ̅
2) A l’intérieur de la salle où se tient l’exposé, le groupe de trois élèves reçoit en cadeau trois tee-shirts par filles présente
au sein du groupe. Soit 𝑋 la variable aléatoire égale au nombre de tee-shirts reçus.
a) Quelles sont les valeurs prises par X ?
c) Déterminer la fonction de répartition 𝐹 de 𝑋.
d) Construis la représentation graphique de F.
e) Calculer l’espérance mathématique 𝐸(𝑋) de 𝑋.
3) Les tee-shirts reçus sont réparties de manière équitable à tous les membres du groupe.
Quelle est la probabilité que chaque membre du groupe reparte avec au moins deux tee-shirts.

Un sac contient six boules numérotées de 0 à 5. On extrait simultanément deux boules , qui portent respectivement les
numéros 𝑥 et 𝑦. A chaque tirage, on associe la variable aléatoire 𝑋 définie de la façon suivante :
𝑥+𝑦
- si 𝑥 et 𝑦 sont pairs, 𝑋 prend la valeur ∙
2
|𝑥−𝑦
- si 𝑥 et 𝑦 sont impairs, 𝑋 prend la valeur |∙
2
- si 𝑥 et 𝑦 sont de parité différentes on attribue à 𝑋 la valeur 0 (zéro). (On rappelle que 0 est pair).
1)
a) Déterminer les valeurs prises par 𝑋.
b) Etablir la loi de probabilité de 𝑋.
2) Calculer l’espérance mathématique de 𝑋.
3) On extrait dix fois de suite deux boules simultanément avec remise.
Quelle est la probabilité d’obtenir exactement sept fois 𝑥 et 𝑦 de même parité. (On exprimera le résultat sous forme de
puissances de 2, 3 et 5 …).

Une urne contient dix boules : quatre rouges et six blanches.
1) On extrait simultanément trois boules de l’urne. Soit 𝑋 la variable aléatoire qui prend pour valeur le nombre de boules
rouges extraites. Déterminer la loi de probabilité de 𝑋 et calculer l’espérance 𝐸(𝑋) de 𝑋.
2) On répète 𝑛 fois l’épreuve précédentes ; après chaque tirage de trois boules rouges.
a) On suppose 𝑛 = 5. Calculer la probabilité que l’on obtienne exactement deux fois un tirage de trois boules rouges.
b) On prend maintenant 𝑛 = 2.
On note 𝑆 l’évènement « 𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙 𝑑𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑢𝑔𝑒𝑠 𝑜𝑏𝑡𝑒𝑛𝑢𝑒𝑠 𝑎𝑝𝑟è𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑡𝑖𝑟𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑒𝑠𝑡 3».
Calculer la probabilité de 𝑆.

On lance un dé tétraédrique dont les quatre faces portent les nombres 1, 2, 3 et 4. On s’intéresse au nombre porté par la face
cachée.
Pour 𝑘 ∈ {1,2,3,4}, on note 𝑃𝑘 la probabilité d’obtenir le nombre 𝑘 sur la face cachée. Le dé est déséquilibré de telle sorte
que les nombres 𝑃1 , 𝑃2 , 𝑃3 et 𝑃4 dans cet ordre forment une progression arithmétique
1) Sachant que 𝑃4 = 0,4 ; montrer que 𝑃1 = 0,1 ; 𝑃2 = 0,2 et 𝑃3 = 0,3
2) On lance le dé trois (3) fois de suite. On suppose que les lancers sont deux à deux indépendants
a) Quelle est la probabilité d’obtenir dans l’ordre les nombres 1, 2, 4 ?
b) Quelle est la probabilité d’obtenir trois nombres distincts rangés dans l’ordre croissant ?
3) On lance dix (10) fois de suite le dé. On suppose les lancers deux à deux indépendants.
On note 𝑋 la variable aléatoire qui décompte le nombre de fois où le chiffre 4 est obtenu.
a) Pour 0 ≤ 𝑖 ≤ 10, exprimer en fonction de 𝑖 la probabilité de l’évènement (𝑋 = 𝑖).
b) Calculer l’espérance mathématique de 𝑋. Interpréter le résultat obtenu.
c) Calculer la probabilité de l’évènement (𝑋 ≥ 1). On donnera une valeur arrondie au millième.
4) On lance 𝑛 fois le dé, les lancers étant supposés indépendants. On note 𝑢𝑛 la probabilité d’obtenir pour la première fois
le nombre 4 au 𝑛𝑖è𝑚𝑒 lancer.
a) Montrer que (𝑢𝑛 ) est une suite géométrique et qu’elle converge
b) Calculer 𝑆𝑛 = 𝑢1 + 𝑢2 + ⋯ + 𝑢𝑛 en fonction de 𝑛 puis étudier la convergence de la suite (𝑆𝑛 )
c) Déterminer le plus petit entier 𝑛 tel que 𝑆𝑛 ≥ 0,999.
NB : On donne (0,6) 10 ≃ 0,00604 ; 𝑙𝑛(0,001) ≃ −6,90 ; 𝑙𝑛(0,6) ≃ −0,51

1) Une urne contient 10 boules indiscernables au toucher, dont quatre portent le chiffre 1 et six portent le chiffre 5.
On tire simultanément deux de ces boules. Calculer la probabilité des évènements :
𝐴: « 𝑡𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒 1 »
𝐵: « 𝑡𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒 5 »
𝐶: « 𝑡𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓é𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠 »
2) On suppose maintenant que l’urne contient 𝑎 boules portant le chiffre 1 et 𝑏 boules portant le chiffre 5 avec 𝑎 + 𝑏 = 10,
(1 < 𝑎 < 9) et (1 < 𝑏 < 9).
Soit 𝑋 la variable aléatoire égale au total des points marqués sur les deux boules tirées simultanément.
a) Déterminer la loi de probabilité de la variable aléatoire 𝑋.
b) Déterminer l’espérance mathématique 𝐸(𝑋) en fonction de 𝑎.
c) Pour quelles valeurs de 𝑎, a-t-on 6 < 𝐸(𝑋) < 8 ?

1) Une urne contient 3 boules jaunes, 2 boules rouges et 5 boules noires. On extrait simultanément 2 boules de l’urne.
Quel est le nombre de résultats possibles ?
2) Le tirage d’une boule jaune fait gagner 2 points, celui d’une boule rouge fait gagner 1 point, celui d’une boule noire fait
perdre 3 points. On note 𝑋 la variable aléatoire prenant pour valeur le nombre de points obtenu à l’issue d’un tirage
simultané de 2 boules. Déterminer l’ensemble des valeurs que peut prendre 𝑋.
3) En supposant tous les tirages équiprobables, déterminer la loi de probabilité de 𝑋.
4) Calculer l’espérance mathématique de 𝑋.
5) Calculer la variance de 𝑋.
NB : On donnera les résultats sous forme de fractions irréductibles.

Une urne contient 12 boules numérotées de 1 à 12. Toutes les boules ont la même probabilité d’être tirées. On tire
simultanément 3 boules de l’urne.
1) Déterminer le nombre de tirages possibles.
2) Calculer la probabilité de chacun des évènements suivants :
𝐴 ∶ « 𝐿𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡é𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑠 3 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒𝑟𝑠 »
𝐵 ∶ « 𝐿𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡é𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑐𝑒𝑠 3 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟 3 »

𝐶 ∶ « 𝐷𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑢𝑛 𝑛𝑢𝑚é𝑟𝑜 𝑑𝑖𝑣𝑖𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟 3 »
𝐷 ∶ « 𝐿𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑢𝑙𝑡𝑖𝑝𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 »
E : « Les trois nombres portés ces boules, convenablement rangés forment trois termes consécutifs d’une suite
arithmétique de raison 3 »
𝐹 ∶ «𝐿𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑛𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡é𝑠 𝑐𝑒𝑠 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠,𝑐𝑜𝑛𝑣𝑒𝑛𝑎𝑏𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑛𝑔é𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑠é𝑐𝑢𝑡𝑖𝑓𝑠 𝑑’𝑢𝑛𝑒
1
𝑠𝑢𝑖𝑡𝑒 𝑔é𝑜𝑚é𝑡𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑜𝑛 ».
2

Un jeu consiste à lancer quatre fois de suite, une pièce de monnaie bien équilibrée dont l’une des faces est notée 𝐹 (Face) et
l’autre 𝑃 (Pile). On lit sur la face supérieure de la pièce. Si l’on obtient 𝐹 alors on gagne 2 points, si l’on obtient 𝑃 alors on
perd 1 point.
Soit 𝑋 la variable aléatoire réelle égale au nombre de points obtenus à l’issue des quatre lancers
1)
a) Déterminer l’univers 𝛺 associé. (On pourra s’aider d’un arbre).
b) Calculer la probabilité d’obtenir 3 fois 𝐹 (Face).
2)
a) Déterminer les valeurs prises par la variable aléatoire 𝑋.
c) Quelle est la probabilité d’obtenir des points strictement inférieurs à 8 ?
d) Déterminer la probabilité 𝑝′ que la variable aléatoire 𝑋 prenne une valeur strictement comprise entre −3 et 7.
3)
a) Calculer l’espérance mathématique de 𝑋. Le jeu est-il favorable au joueur ? Justifier.
b) Calculer la variance 𝑉(𝑋) et l’écart-type 𝜎(𝑋) de 𝑋.

Un sac contient quatre pièces marquées 500𝐹 et six pièces marquées 200𝐹, indiscernables au touché. On tire au hasard et
simultanément trois pièces de ce sac.
On désigne par 𝐴, l’évènement « 𝑡𝑖𝑟é 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑖è𝑐𝑒 𝑑𝑒 500𝐹 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑖è𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒 200𝐹 »
Soit 𝑋 la variable aléatoire égale au nombre de pièces de 500𝐹 figurant parmi les trois pièces tirées.
1) Calculer la probabilité de l’évènement 𝐴.
2)
a) Déterminer les valeurs prises par 𝑋.
c) Calculer l’espérance mathématique de 𝑋.
3) On répète cinq fois l’expérience en remettant à chaque fois les trois pièces tirées dans le sac.
Quelle est la probabilité que l’évènement 𝐴 se réalise exactement trois fois à l’issue des cinq tirages ?

Une urne contient cinq boules portant le numéro 2, quatre boules portant le numéro 3 et trois boules portant le numéro 4.
On tire simultanément trois boules de l’urne. On suppose que tous les tirages sont équiprobables.
1) Déterminer les probabilités des évènements suivants :
𝐴 ∶ « 𝑇𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑛𝑢𝑚é𝑟𝑜 3 »
𝐵 ∶ « 𝑇𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑛𝑢𝑚é𝑟𝑜𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓é𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠 »
𝐶 ∶ « 𝑇𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑚ê𝑚𝑒 𝑛𝑢𝑚é𝑟𝑜 »
𝐷 ∶ « 𝑇𝑖𝑟𝑒𝑟 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑒𝑥𝑎𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑚ê𝑚𝑒 𝑛𝑢𝑚é𝑟𝑜 »
2) Soit 𝑋 la variable aléatoire égale à la somme des numéros marqués sur les trois boules tirées.
c) Calculer l’espérance mathématique 𝐸(𝑋) de 𝑋.
3) On appelle un succès l’évènement 𝐸 ∶ « (𝑋 ≥ 10) »
a) Calculer la probabilité de 𝐸.
b) On répète trois fois l’expérience de manière indépendante. Calculer la probabilité d’obtenir exactement deux succès.
23 87
On donne : ≈ 0,2 ; ≈ 0,7
110 110

Une urne contient cinq boules blanches portant les numéros 1 ; 1 ; 1 ; 2 ; 4 ; trois boules noires portant les numéros 1 ; 3 ; 5 ;
et deux boules bleues portant les numéros 6 ; 6.
On tire au hasard et simultanément deux boules dans l’urne. On suppose que tous les tirages sont équiprobables.
1) Calculer la probabilité de chacun des évènements suivants :
𝐴 ∶ ≪ 𝐿𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑖𝑟é𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑚ê𝑚𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 ≫
𝐵 ∶ ≪ 𝐿𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑖𝑟é𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓é𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠 ≫
𝐶 ∶ ≪ 𝐿𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑖𝑟é𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒 𝑚ê𝑚𝑒 𝑛𝑢𝑚é𝑟𝑜 ≫
2) On suppose que chaque boule tirée et portant un numéro impair fait gagner 50𝐹 et chaque boule tirée portant un numéro
pair fait gagner 100 𝐹.
Soit 𝑋 la variable aléatoire qui à chaque tirage simultané de deux boules associe la somme des gains.
c) Calculer l’espérance mathématique 𝐸(𝑋) de 𝑋
d) Déterminer la fonction de répartition 𝐹 de 𝑋
e) Construire la représentation graphique de 𝐹

Une urne contient 10 boules dont 6 rouges, 3 vertes et une noire indiscernables au toucher.
On tire simultanément trois boules de cette urne.
1) Calculer les probabilités des événements suivants :
𝐴 ∶ ≪ 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑜𝑢𝑔𝑒𝑠 ≫
𝐵 ∶ ≪ 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 ≫
𝐶 ∶ ≪ 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓é𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒𝑠 ≫
𝐷 ∶ ≪ 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑎𝑢 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒 𝑣𝑒𝑟𝑡𝑒 ≫
𝐸 ∶ ≪ 𝑎𝑢𝑐𝑢𝑛𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑒 𝑛𝑜𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑡𝑖𝑟𝑎𝑔𝑒 ≫
2) Soit 𝑋 la variable aléatoire correspondant au nombre de boules rouges obtenues au cours du tirage.
a) Déterminer la loi de probabilité de 𝑋.
b) Calculer l’espérance mathématique de 𝑋.
3) On suppose qu’on gagne si l’on obtient la boule noire dans le tirage. On répète l’opération cinq fois de suite et on
considère la variable aléatoire 𝑌 correspondant au nombre de fois qu’on gagne.
a) Montrer que 𝑌 suit une loi binomiale.
b) Calculer l’espérance mathématique de 𝑌.
EXERCICE 19 (BAC 2020 - Remplacement – 2nd Tour)

4
Deux personnes 𝐴 et 𝐵 font feu indépendamment sur une cible. La probabilité pour 𝐴 de toucher la cible est estimée à , la
5
3
probabilité pour 𝐵 est . Quelle est la probabilité pour :
4
1) Que les deux tireurs touchent tous deux la cible ?
2) Que tous deux manquent la cible ?
3) Que la cible soit atteinte par 𝐴 seulement ?
4) Que la cible soit atteinte par 𝐵 seulement ?
5) Que la dble soit touchée par un tireur seulement ?
6) Que la cible soit atteinte ?
7) Que la cible soit touchée par un tireur au moins ?

Un revendeur de billets de loterie dispose de dix billets dont trois sont gagnants. Une personne achète cinq billets. On
supposera que tous les choix équiprobables.
1) Calculer la probabilité pour qu’il y ait parmi les cinq billets achetés :

a) Un seul billet gagnant.
b) Au moins un billet gagnant.
2) Parmi les trois billets gagnants, un gagne 50 francs et deux gagnent 25 francs chacun.
Soit 𝑋 la variable aléatoire égale au gain réalisé.
c) Calculer l’espérance mathématique 𝐸(𝑋) de 𝑋.

Statistiques

Une population homogène de bactéries placée dans un milieu liquide se multiplie par division successives. On s’intéresse
dans cette étude à l’évolution de la densité bactérienne en fonction du temps. Une série de 9 mesures a donné les résultats
suivants :
𝑥 (𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠) 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4
𝑦 (𝑑𝑒𝑛𝑠𝑖𝑡é) 0,4 0,7 1,2 2 4 7 13 25 45
𝑧 = 𝑙𝑛𝑦
1) On pose 𝑧 = 𝑙𝑛𝑦 , où 𝑙𝑛𝑦 représente le logarithme népérien de 𝑦.
a) Reproduire et compléter le tableau précédent par les valeurs de 𝑧.
b) Construire le nuage de points représentant la série (𝑥 , 𝑧) dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑂, 𝑖, 𝑗) (unité :
2 𝑐𝑚).
c) Tracer au jugé une droite d’ajustement de 𝑧 en 𝑥.
2)
a) Calculer les coordonnées du point moyen 𝑀 de la série statistique (𝑥 , 𝑧).
b) Ecrire une équation de la droite d’ajustement de 𝑧 en 𝑥 sachant qu’elle passe par le point moyen 𝑀 et par le point
𝐴(1 ; 0,2).
c) En déduire la relation entre 𝑥 et 𝑦 sous la forme : 𝑦 = 𝑘𝑒 𝛼𝑥 , (𝑘, 𝛼) 𝜖 ℝ2 .
d) Quelle densité peut-on prévoir approximativement au temps 𝑥 = 7 en utilisant le graphique ?
N.B : Les valeurs de 𝑧 seront arrondies à 10−1 près.
On donne : 𝑙𝑛2 ≈ 0,69 ; 𝑙𝑛3 ≈ 1,1 ; 𝑙𝑛5 ≈ 1,61 ; 𝑙𝑛7 ≈ 1,9 ; 𝑙𝑛13 ≈ 2,6 ; 𝑒 7,4 ≈ 1635,98

Le tableau suivant donne le prix, en milliers de francs CFA, du mètre carré de logement neuf acheté entre 1976 et 1983
selon l’année d’achat :
Année 1976 1977 1978 1979 1980 1981 1982 1983
Rang de l’année 1 2 3 4 5 6 7 8
Prix du mètre carré 240 268 291 321 356 394 429 465
On désigne par 𝑥 la variable égale au rang de l’année et par 𝑦 la variable égale au prix du mètre carré.
1) Représenter le nuage de points associe à cette série (𝑥 ; 𝑦) dans un repère orthonormal :
- Sur l’axe des abscisses, choisir 1 𝑐𝑚 pour représenter une année.
- Sur l’axe des ordonnées, placer 240 à l’origine, puis choisir 1 𝑐𝑚 pour représenter 20 unites (une unite egale
1 000 𝐹 𝐶𝐹𝐴).
2)
a) Un ajustement linéaire du nuage vous parait-il possible ? Justifier.
b) Déterminer les coordonnées des points moyens partiels 𝐺1 et 𝐺2 correspondant respectivement aux quatre premiers
points et aux quatre derniers. Trouver l’équation de la droite (𝐺1 𝐺2 ) sous la forme 𝑦 = 𝑎𝑥 + 𝑏, où 𝑎 et 𝑏 sont des
paramètres à déterminer. Tracer cette droite.
3) On suppose par la suite que la tendance des prix se maintient encore pendant cinq ans à partir de l’an 8.
a) A l’aide du graphique, estimer le prix du mètre carré en 1986.
b) Par un calcul algébrique, donner le prix du mètre carré en 1986.

Le tableau suivant donne pour chaque année, le nombre de naissances enregistrées dans une Mairie :
Années 1988 1990 1992 1994 1996 1998

Rang de l’année 𝑥 𝑖 1 2 3 4 5 6
Nombre de naissances 𝑦𝑖 374 A 334 312 B 266
Lors d’un déménagement de cette mairie, les registres des années 1990 et 1996 ont été égarés, de sorte que le nombre de
naissance de ces années restent introuvables. Mais un stagiaire qui était affecté avant la perte des documents avait permis

d’obtenir par la méthode de MAYER par regroupement des trois premiers points et des derniers points du nuage, la droite
d’ajustement de 𝑦 en fonction de 𝑥 d’équation : 𝑦 = −22𝑥 + 397.
1) A combien peut-on estimer le nombre de naissances lors de l’année 1995 ?
2) On suppose que l’évolution des naissances reste semblable au cours des années à venir.
a) Quel sera le nombre de naissances au cours de l’année 2000 ?
b) A partir de quelle année y aura- t-il deux fois moins de naissances qu’en 1988 ?
3) Déterminer 𝐴 et 𝐵.

Dans un lotissement, les maisons sont désignées par leurs coordonnées cartésiennes par rapport à un repère orthogonal
(𝑂, 𝑖, 𝑗) l’unité de longeur est le mètre (𝑚).
𝑖 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
𝑥(𝑖) -4 -3 -1 -1 1 1 2 3 5 3
𝑦(𝑖) -3 -1 -3 2 1 3 1 4 1 -1
Pour desservir les maisons en eau potable, on fait passer une conduite de (tuyau) principale rectiligne et on relie chaque
maison par un branchement individuel.
a) Dessiner le nuage de points associé à la série statistique.
b) La conduite principale est représentée par la droite d’ajustement du nuage.
Tracer cette droite par la méthode de Mayer et déterminer son équation sous la forme 𝑦 = 𝑎𝑥 + 𝑏 (𝑎, 𝑏) 𝜖 ℝ2 .
(On pourra considérer deux groupes de points constitués de cinq premières et de cinq dernières maisons)
c) En supposant que l’espace est rapporté au repère orthogonal (𝑂; 𝑖; 𝑗; 𝑘⃗ ) et que tous les points sont situés à la cote 2
((𝑂, 𝑘⃗ ) est l’axe des cotes).
Calculer la distance de la maison de Raogo de coordonnée (1; −4; 2) à la conduite principale.
d) En supposant que le prix du branchement est de 20 000 𝐹𝐶𝐹𝐴 le mètre.
Calculer la somme que doit dépenser Raogo pour son branchement.

1) Le tableau ci-dessous donne en fonction de l’index 𝑥 𝑖 du mois, la taille 𝑦𝑖, d’une plante en 𝑐𝑚.
𝑥𝑖 1 2 3 4 5 6 7 8
𝑦𝑖 0,20 1 2,5 4,5 6,5 9,5 12 17
a) Soient les points 𝑀𝑖 (𝑥𝑖 ; 𝑦𝑖 ) où 𝑖 𝜖 {1; 2; … ; 8}. Construire le nuage des points 𝑀𝑖.
b) Un ajustement affine de ce nuage semble-t-il raisonnable ?
2) On considère à présent le tableau de données ci-dessous.
𝑥𝑖 1 2 3 4 5 6 7 8
𝑢𝑖 0,9 2 3,15 4,25 5,1 6,15 6,9 8,25
a) Vérifier que pour tout 𝑖 𝜖 {1; 2; … ; 8}, on a 𝑢𝑖 2 ≈ 4𝑦𝑖.
b) Soient les points 𝑁𝑖 où 𝑖 𝜖 {1; 2; … ; 8}. Construire le nuage des points 𝑁𝑖.
c) Construire (∆) la droite d’ajustement affine de ce nuage. On utilisera la méthode de Mayer.
(Les quatre premiers points constituent le premier sous nuage et les quatre derniers le second sous nuage)
d) Déterminer une équation cartésienne de (∆).
e) Utiliser l’équation de (∆) pour :
 Calculer la taille approchée de la plante au 10ème mois.
 Déterminer l’indice du mois à partir duquel la taille de la plante dépassera 36 𝑐𝑚

Le tableau suivant donne les résultats d’une étude réalisée sur un produit 𝑃 ; 𝑥 représente le prix de vente unitaire du produit
exprimé en 𝐹𝐶𝐹𝐴 ; 𝑦 représente la quantité du produit disponible sur le marché, exprimée en milliers.
𝑥 𝑖 en 𝐹𝐶𝐹𝐴 30 35 45 60 80 100
𝑦𝑖 en milliers 12,5 13 13 15 15,5 16
1) On considère l’ensemble des points 𝑀𝑖 de coordonnées (𝑥𝑖 ; 𝑦𝑖 ) ou 1 ≤ 𝑖 ≤ 6

a) Construire le nuage de point 𝑀𝑖 (1,5 𝑐𝑚 représente 10 𝐹𝐶𝐹𝐴 en abscisse et 1 𝑐𝑚 représente 1000 en ordonnées)
b) Un ajustement affine de ce nuage semble-t-il raisonnable ? Justifier la réponse.
2)
a) Construire la droite (∆)d’ajustement affine obtenue par la méthode de MAYER. On prendra pour premier sous-
nuage les trois premiers points et pour le deuxième les trois derniers points.
b) Déterminer l’équation de (∆) sous la forme 𝑦 = 𝑎𝑥 + 𝑏, 𝑎 et 𝑏 étant des réels à préciser.
3) En utilisant l’équation de la droite (∆), estimer
a) La quantité du produit 𝑃 disponible sur le marché pour un prix de vente de 150 𝐹
b) Le prix de vente si la quantité du produit 𝑃 disponible sur le marché est de 20 000 𝐹

Le Tableau suivant donne le montant des prêts octroyés par une banque à des associations féminines entre 2002 et 2007.
Année 2002 2003 2004 2005 2006 2007

Rang de l’année 𝑥 1 2 3 4 5 6
Montant des prêts en 4,5 5 5,2 5,8 6,3 7,1
millions de francs CFA 𝑦
1) Représenter le nuage de points 𝑀𝑖 (𝑥𝑖 ; 𝑦𝑖 ) associé à cette série statistique dans un repère orthogonal.
On prendra 1cm pour une unité en abscisse et 1cm pour un million en ordonnée.
2) Soit (∆) la droite d’ajustement de Mayer obtenue par regroupement des trois premiers points et des trois derniers points
du nuage.
Soit 𝐺1 le point moyen des trois premiers points et 𝐺2 celui des trois derniers points du nuage.
a) Calculer les coordonnées de 𝐺1 et 𝐺2 .
b) Construire la droite (∆).
c) Déterminer une équation réduite de (∆).
3) On suppose que l’évolution du montant des prêts faits aux associations féminines reste la même au cours des années à
venir. A partir de quelle année le montant des prêts sera –t-il strictement supérieur au double de celui de 2009 ?

Une entreprise fabrique des vêtements. Dans le tableau suivant, on a indiqué pour les sept premiers mois de l’année 2008 la
production journalière moyenne de pulls.
Mois Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet

Rang du mois 𝑥 𝑖 1 2 3 4 5 6 7
Production journalière 𝑦𝑖 200 210 260 265 270 300 315
La direction devra fermer l’atelier de fabrication de pulls si la production moyenne journalière n’atteint pas 350 pulls à la fin
de l’année 2008.
On considère le nuage de points 𝑀𝑖 (𝑥 𝑖 ; 𝑦𝑖 ) associé au tableau ci-dessus, relativement à un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) ,
prendre pour unité :en abscisse 1 𝑐𝑚 par rang de mois ; en ordonnée 1 𝑐𝑚 pour 20 pulls produits.
1)
a) Représenter le nuage de points dans le repère (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ).
b) Calculer les coordonnées du point moyen G et placer ce point.
2)

a) Calculer les coordonnées du point moyen 𝐺1 associé aux quatre premiers points du tableau , puis celles du point
moyen 𝐺2 associé aux trois derniers points.
b) Déterminer une équation de la droite (𝐺1 𝐺2 ) et la tracer.
3) On admet que (𝐺1 𝐺2 ) réalise un ajustement du nuage de points.
a) Déterminer par le calcul la production journalière moyenne de pulls en décembre 2008.
b) Comment peut-on retrouver graphiquement ce résultat ?
4) L’atelier de fabrication de pulls a-t-il été fermé en fin décembre ? justifier votre réponse.

Dans le tableau suivant figurent les résultats d’une enquête réalisée dans un magasin pour déterminer le nombre d’acheteurs
potentiels d’un modèle de chaussures, en fonction de son prix de vente.
Prix en francs : 𝑥 𝑖 350 400 450 500 550 600

Nombre d’acheteurs potentiels 𝑦𝑖 140 120 100 90 80 55
1) Représenter le nuage de points 𝑀𝑖 (𝑥𝑖 ; 𝑦𝑖 ) correspondant à cette série statistique dans un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 )
tel que 1 𝑐𝑚 représente 100 francs sur l’axe des abscisses et 1 𝑐𝑚 représente 20 acheteurs sur l’axe des ordonnées.
2) On appelle 𝐺1 et 𝐺2 les points moyens des sous nuages constitués d’une part par les trois premiers points et d’autre part
par les trois derniers points.
a) Calculer les coordonnées de 𝐺1 et 𝐺2 .
b) Placer les points 𝐺1 et 𝐺2 sur la figure tracer la droite (𝐺1 𝐺2 ).
c) Déterminer une équation de la forme 𝑦 = 𝑚𝑥 + 𝑝 de la droite (𝐺1 𝐺2 ).
3) Déduire du 2-c) une équation :
a) Du nombre d’acheteurs potentiels d’un modèle de chaussures vendu 650 𝐹.
b) Du prix d’un modèle dont le nombre d’acheteurs potentiel est 150.

Les documents paléontologiques confirmant l’idée d’évolution sont nombreux. Parmi les mieux connus figurent les
ossements fossiles des ancêtres du cheval actuel. Les longueurs du crâne et de la face pour une série d’animaux représentatifs
de la lignée des ancêtres du cheval sont consignées dans le tableau suivant :
Nom Longueur du crâne (𝒙𝒊 ) en 𝑐𝑚 Longueur de la face (𝒚𝒊 ) en 𝑐𝑚

Eohippus 7,5 10,7
Mesohippus 11 12,8
Merychippus 14,5 18,5
Pliohippus 15,5 22,5
cheval 21,5 31,2
1) Représenter le nuage de points associé à cette série (𝑥𝑖 ; 𝑦𝑖 ) dans un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 )
(Unité graphique 0,5 𝑐𝑚)
2)
a) Un ajustement affine du nuage de point paraît-il possible ?
b) Déterminer les coordonnées des points moyens 𝐺1 et 𝐺2 correspondant respectivement aux trois premiers points
et aux deux derniers.
c) Donner l’équation de la droite (𝐺1 𝐺2 ) sous la forme 𝑦 = 𝑎𝑥 + 𝑏 où 𝑎 et 𝑏 sont des paramètres à déterminer.
Tracer cette droite.
3) Estimer la longueur de la face d’un descendant du cheval qui aurait dans des millions d’années, une longueur de crâne de
23,2 𝑐𝑚.
EXERCICE 11 (BAC 2019 - Remplacement –1er Tour)

La production de savon (en 𝑘𝑔) d’une association féminine est donnée dans le tableau suivant :

Rang 𝑥 𝑖 d’année 1 2 3 4 5 6 7 8
Production 𝑦𝑖 en (en 𝑘𝑔) 15 000 16 000 18 000 20 000 21 000 24 000 26 000 28 000
1) Représentation le nuage de points associé à la série statistique dans un repère orthonormal, prendre pour unités :
Abscisse : 1 𝑐𝑚 par rang d’année, en ordonnées : 1 𝑐𝑚 pour 1000 𝑘𝑔 de production.
2)
a) Calculer les coordonnées du point moyen 𝐺 et placer ce point.
b) Calculer les coordonnées du point moyen 𝐺1 associé aux quatre premiers points du tableau ; puis celles du point
moyen 𝐺2 des quatre derniers points.
3)
a) Déterminer une équation cartésienne de la droite (𝐺1 𝐺2 ) et la tracer.
b) On admet que (𝐺1 𝐺2 ) réalise un ajustement du nuage de points.
Déterminer par le calcul la production de cette association féminine dans sa quinzième année de fonctionnement.
EXERCICE 12 (BAC 2020 –1er Tour)

Le tableau suivant donne la distance de freinage nécessaire à une automobile circulant sur une route humide pour s'arrêter.
Vitesse de l'automobile 𝑥 𝑖 (𝑘𝑚/ ℎ) 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120

Distance de freinage 𝑦𝑖 (𝑒𝑛 𝑚) 18 26 40 58 76 98 120 148 180 212
On considère l'ensemble des points 𝑀𝑖, de coordonnées (𝑥 𝑖 ; 𝑦𝑖 ) où 1 ≤ 𝑖 ≤ 10.

1)
a) Construire le nuage de points (1,5 𝑐𝑚 représentera 20 𝑘𝑚/ ℎ en abscisses et 1,5 𝑐𝑚 représentera 50 𝑚 en
ordonnées).
b) Un ajustement affine de ce nuage semble-t-il raisonnable ? Justifier la réponse.
2)
a) Construire la droite (∆) d'ajustement affine obtenue par la méthode de Mayer . On prendra pour premier sous nuage
les cinq premiers points et pour deuxième sous nuage les cinq derniers points.
b) Déterminer une équation de (∆) sous la forme 𝑦 = 𝑎𝑥 + 𝑏 où et sont des réels à préciser .
3) En utilisant l'équation de (∆), estimer :
a) La distance de freinage pour une vitesse de l'automobile de 150 𝑘𝑚/ℎ.
b) La vitesse de l'automobile pour une distance de freinage de 250 𝑚.

Equations
différentielles

On considère l’équation différentielle : 𝑦 ′′ + 9𝑦 = 2 cos 𝑥 (𝐴).
On pose 𝑦 = 𝑧 + 𝑘 cos 𝑥
1)
a) 𝑦 étant une solution de (𝐴). Déterminer 𝑘 pour que 𝑧 vérifie l’équation : 𝑧 ′′ + 9𝑧 = 0 (1)
b) Donner la solution générale de l’équation (1).
2)
a) Donner la solution générale de l’équation (𝐴).
b) Trouver la solution particulière de 𝑓 de (𝐴) vérifiant : 𝑓(0) = 0 et 𝑓′(𝜋) = −3.

En régime hospitalier, un patient sujet à des douleurs violentes est maintenu en permanence sous l’action d’un calmant par
injection intraveineuse. On suppose que le produit se répartit instantanément dans le sang et est éliminé progressivement
selon une loi : 𝑞 ′ (𝑡) + 𝑘𝑞(𝑡) = 0 où 𝑘 est une constante réelle, 𝑡 est le temps exprimé en heures et 𝑞(𝑡) la quantité de
produit présent dans le corps à l’instant 𝑡.
A l’instant 𝑡 = 0 , la quantité de calmant injecte est de 𝑎 unités.
1) Exprimer 𝑞(𝑡) en fonction de 𝑎, 𝑘 et 𝑡.
2) Des mesures montrent qu’au bout de trois heures la quantité de calmant présent dans le sang a diminué de moitié.
Déterminer la valeur de 𝑘.
3) Déterminer alors la valeur de 𝑎 sachant qu’au bout de quatre heures, le sang contient 0,66 unités de calmant.
4) Pour que le produit puisse agir il faute au minimum 1,65 unités de calmant. Cependant le corps du patient ne peut pas
supporter plus de 8,25 unitees. On constate qu’en une heure la quantité de calmant dans la sang diminue de 20%.
A l’instant 𝑡 = 0 , on injecte 1,65 unités de calmant. Chaque heure après, on injecte cette même quantité. On désigne
par 𝐶𝑛−1 la quantité de calmant présent dans le sang juste après la 𝑛𝑖è𝑚𝑒 injection ; c’est-à-dire 𝐶0 après la première
injection, 𝐶1 après la deuxième, etc…
a) Exprimer 𝐶2 en fonction de 𝐶1 , puis calculer 𝐶1 et 𝐶2.
b) On pose 𝑎 𝑛 = 𝐶𝑛 − 8,25. Exprimer 𝑎 𝑛 en fonction de 𝑛, puis 𝐶𝑛 en fonction de 𝑛.
c) Ce résultat est-il conforme aux prescriptions ? Justifier.
On donne : 𝑙𝑛2 ≈ 0,69 ; 𝑒 0,92 ≈ 2,509

Une masse 𝑚, mobile sur un axe ( 𝑂 ; 𝑖 ) a sa position représentée sur cet axe par le point 𝑀. Cette masse est soumise à une
force d’attraction 𝐹 telle que l’abscisse 𝑦(𝑡) du point 𝑀 exprimée comme fonction du temps, vérifie l’équation
9𝜋2
différentielle : 𝑦 ′′ + 𝑦=0
4
1) Donner la solution générale de cette équation différentielle.
2)
3𝜋
a) Montrer que la solution vérifiant les conditions initiales 𝑦(0) = 1 et 𝑦 ′ (0) = − , s’exprime pour 𝑡 ≥ 0 par :
2
3𝜋 3𝜋
𝑦(𝑡) = cos ( 𝑡) − sin ( 𝑡)
2 2
3𝜋
b) Déterminer le nombre réel 𝛼 compris entre 0 et 1 et que pour 𝑡 ≥ 0, 𝑦(𝑡) = √2 cos [ (𝑡 + 𝛼)]
2
3) En utilisant la question 2) 𝑏.
a) Donner la valeur positive de 𝑡 pour laquelle le point 𝑀 passe pour la première fois au point 𝑂.
b) Combien de fois le point M passe-t-il en 𝑂 dans l’intervalle de temps [0 ; 4 ].

On considère l’équation différentielle suivante : 9𝑦 ′′ + 4𝑦 = 0 (𝐸).
1)
a) Déterminer la solution générale de (𝐸).
3𝜋
b) Déterminer la solution 𝜑 de (𝐸) qui vérifie : 𝜑 (0) = 0 et 𝜑 ( ) = 1.
4
3𝜋
2) Le plan est muni d’un repère orthonormé ( 𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗). Etudier et représenter graphiquement 𝜑 sur l’intervalle [0 ; ].
4

3𝜋
3) Soit 𝐷 la région du plan limitée par les droites d’équations respectives 𝑥 = 0 , 𝑥 = , 𝑦 = 0 et la courbe de 𝜑.
4
a) Calculer l’aire de 𝐷.
b) La rotation de 𝐷 autour de l’axe des abscisses engendre un solide de révolution. Calculer le volume de ce solide.

Un bloc de métal est déposé dans un four dont la température constante est de 1000°.
La température 𝜃 est une fonction du temps 𝑡 (en heures) qui vérifie l’équation différentielle
(𝐸 ) ∶ 𝜃 ′ (𝑡) = 𝑘(1000 − 𝜃(𝑡)) , 𝑘 ∈ ℝ∗+
1) On pose 𝑦(𝑡) = 𝜃(𝑡) − 1000. Ecris une équation différentielle (𝐹) satisfaite par 𝑦.
2) Résoudre (𝐹) , puis (𝐸).
3) Le bloc initialement à 40°𝐶 est déposé dans le four au temps 𝑡0 = 0. Sa température est de 160°𝐶 au bout d’une heure.
En déduire l’expression de 𝜃(𝑡) en fonction de 𝑡 uniquement.
4)
a) Calculer la température du bloc au temps 𝑡 = 3.
b) Déterminer le temps 𝑇 à partir duquel la température du bloc dépassera 500°𝐶.
7 3 7 25
On donne ( ) ≃ 0,7 ; 𝑙𝑛 ( ) ≃ −0,13 ; 𝑙𝑛 ( ) ≃ −0,65
8 8 48

A l’instant 𝑡 = 0, un corps à température 𝜃0 = 60°𝐶 est placé dans l’aire ambiant à la température 𝜃1 = 20°𝐶.
Au bout de 10 minutes, la température du corps est 50°𝐶. Sa température à la date 𝑡 exprimée en minutes, est solution de
𝑑𝜃(𝑡)
l’équation différentielle : = −𝑘(𝜃(𝑡) − 𝜃1 ) où 𝑘 est une constante réelle. On pose 𝛷(𝑡) = 𝜃(𝑡) − 𝜃1 .
𝑑𝑡
1)
a) Quelle est l’équation différentielle vérifiée par 𝛷 ?
b) Déterminer 𝛷.
c) En déduire 𝜃(𝑡) en fonction de 𝑘.
d) Déterminer la constante 𝑘 puis, en déduire l’expression définitive de 𝜃(𝑡).
2)
a) Au bout de combien de minutes la température du corps diminuera-t-elle de moitié ?
b) Quelle sera la température du corps au bout d’une heure ?
3
On donne : 𝑙𝑛2 ≃ 0,70 ; 𝑙𝑛 ≃ −0,29.
4

Soit l’équation différentielle (𝐸) ∶ 9𝑦′′ + 49𝑦 = 0
1) Résoudre (𝐸)
2) Déterminer la solution 𝑓 de (𝐸) qui vérifie 𝑓(0) = √3 et 𝑓′(0) = 7
7 𝜋
3) Montrer que pour tout réel 𝑥, 𝑓(𝑥) = 2√3 cos ( 𝑥 − )
3 3
4) Résoudre dans ]0 ; 2𝜋[, l’équation 𝑓(𝑥) = √6
3𝜋 3𝜋
5) Calculer la valeur moyenne 𝜗 de la fonction 𝑓 sur l’intervalle [ ; ]
14 7

1) Résoudre l’équation différentielle (𝐸 ) ∶ 2𝑦 ′ + 𝑦 = 0
1
2) On considère l’équation différentielle (𝐸 ′ ) ∶ 2𝑦 ′ + 𝑦 = (𝑥 + 2)𝑒 −2𝑥 .
1
Déterminer les réels 𝑎 et 𝑏 tels que la fonction 𝑓 définie par 𝑓(𝑥) = (𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥)𝑒 −2𝑥 soit solution de (𝐸 ′ ).
3) Démontrer qu’une fonction 𝑔 est solution de (𝐸 ′ ) si et seulement si 𝑔 − 𝑓 est solution de (𝐸)
4) Déduire de ce qui précède la solution de l’équation (𝐸 ′ )

Géométrie dans
l'espace

L’espace est rapporté à un repère orthonormé direct (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗). Soient les points 𝐴 (1; 1; 1) , 𝐵(−2; 0; 1) , 𝐶(1; 2; 3) ,
𝐷(−2; 1; 3) et 𝐸(−1; 0; 2).
1) Montrer que le quadrilatère 𝐴𝐵𝐷𝐶 est un parallélogramme puis calculer, en unités d’aire, l’aire de ce parallélogramme.
2) Le point 𝐸 appartient-il au plan (𝐴𝐵𝐶) ? Calculer la distance 𝑑(𝐸 ; (𝐴𝐵𝐶)) de 𝐸 au plan (𝐴𝐵𝐶).
3) Calculer, en unités de volume, le volume 𝑉 de la pyramide de base (𝐴𝐵𝐶) et de sommet 𝐸.

L’espace est rapporté à un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗) (unité graphique : 3 𝑐𝑚).
Soient les points 𝐴 (2; 1; 2) , 𝐵(2; 2; 1) , 𝐶(2; −1; −1) et 𝐷(1; 3; 0).
1)
a) Calculer 𝐵𝐶⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝐵𝐷
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ .
b) Les points 𝐴, 𝐵, 𝐶, 𝐷 sont-ils coplanaires ?
2)
a) Déterminer les coordonnées du point 𝐸 tel que 𝐵𝐷𝐸𝐶 soit un parallélogramme.
b) Déterminer en 𝑐𝑚 2 l’aire du parallélogramme 𝐵𝐷𝐸𝐶.
3) Déterminer en 𝑐𝑚3 le volume 𝑉 de la pyramide de sommet 𝐴 et de base le parallélogramme 𝐵𝐷𝐸𝐶.

L’espace est rapporté à un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗) ; unité graphique : 1 𝑐𝑚. On donne les points 𝐴(0; 6; 0) ,
𝐵(0; 0; 8) et 𝐶(4; 0; 8).
1) Faire une figure.
2) Démontrer que :
a) Les droites (𝐵𝐶) et (𝐴𝐵) sont orthogonales.
b) Les droites (𝐵𝐶) et (𝑂𝐴) sont orthogonales.
c) En déduire que la droite (𝐵𝐶) est orthogonale au plan (𝑂𝐴𝐵).
3) Déterminer le volume 𝑉, en 𝑐𝑚 3, du tétraèdre 𝑂𝐴𝐵𝐶.
4) Calculer la distance 𝑑 du point 𝑂 au plan (𝐴𝐵𝐶).
5) Calculer l’aire du triangle 𝐴𝐵𝐶. Retrouver le volume 𝑉 calculé à la question 3).

1) Soit 𝐴 ; 𝐵 ; 𝐶 trois points non alignés de l’espace. Déterminer l’ensemble des points 𝑀 tels que ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ⋀ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝑀 = ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ⋀ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶
2) Soient (𝛥) et (𝛥’) deux droites de même vecteur directeur 𝑢⃗ et 𝐻 un point de (𝛥).
On désigne par 𝐻’ le projeté de 𝐻 sur (𝛥’)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⋀ 𝑢
a) Démontrer que pour tout point 𝐴 de (𝛥) et tout point 𝐴’ de (𝛥’) , 𝐴𝐴′ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⋀ 𝑢
⃗ = 𝐻𝐻′ ⃗.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⋀ 𝑢
‖𝐴𝐴′ ⃗ ‖
b) En déduire que : 𝐻𝐻’ =
‖𝑢
⃗ ‖
c) Application numérique : soient 𝐴 (−1 ; 2 ; 5) et 𝐴’(4 ; −1 ; 9) ; soient (𝛥) et (𝛥’) les droites de vecteur directeur
𝑢
⃗ (−2 ; 2 ; 1) contenant respectivement 𝐴 et 𝐴’. Calculer la distance de (𝛥) à (𝛥’).

Dans l’espace muni d’un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗) , on considère les points 𝐴(1, 0, 0) ; 𝐵(0, 2, 0) et 𝐶(0, 0, 3).
1) Calculer les coordonnées du vecteur 𝐴𝐵⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝐴𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗ . Soit 𝐼 le point de coordonnées (1, 2, 3).
2) Calculer la distance de I au plan (𝐴𝐵𝐶). Les points 𝐴, 𝐵, 𝐶 et 𝐼 sont –ils coplanaires ?
3)
a) Calculer 𝐴1 l’aire du triangle 𝐴𝐵𝐶 en unité d’aire.
b) Déterminer le volume 𝑉 (en unité de volume) de la pyramide de sommet 𝐼 et de base le triangle 𝐴𝐵𝐶.
4) Soit 𝐷 le point de coodonnées (1, −2, 3).
a) Quelle est la nature du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷 ?
b) Calculer l’aire 𝐴 2 du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷.

L’espace est muni d’un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗), unité graphique 2 𝑐𝑚.
Soient les points 𝐴 (−2, 1, −4) ; 𝐵(2, 3, 1) ; 𝐶(2, 2, −1) et 𝐷(−3, −1, 3).
Soient les points 𝐸, 𝐹, 𝐺 et 𝐻 tel que 𝐴𝐵𝐶𝐷𝐸𝐹𝐺𝐻 soit un parallélépipède.
1) Déterminer les coordonnées du point 𝐹.
2) Calculer 𝐴𝐵⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝐴𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗ . En déduire l’aire du parallélogramme 𝐴𝐵𝐹𝐶 et du triangle 𝐴𝐵𝐶 en 𝑐𝑚².
3) Calculer la distance 𝑑 du point 𝐷 au plan (𝐴𝐵𝐶).
4) Calculer en 𝑐𝑚 3 le volume 𝑉 de la pyramide de sommet 𝐷 et de base 𝐴𝐵𝐹𝐶.
5) Calculer le volume 𝑉′ du parallélépipède 𝐴𝐵𝐹𝐶𝐷𝐸𝐺𝐻.

L’espace est rapporté au repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗) unité de longueur 1 𝑐𝑚, on considère les points : 𝐴(3; 2; 4)
; 𝐵(0; 3; 5) ; 𝐶(0; 2 ; 1) ; 𝐷(3 ; 1 ; 0) et 𝐹(1 ; 2 ; 3).
1) Démontrer que 𝐴𝐵𝐶𝐷 est un parallélogramme.
⃗⃗⃗⃗⃗ = 1 𝐴𝐵
2) Soit 𝐸 le point défini par 𝐴𝐸 ⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝐴𝐷
⃗⃗⃗⃗⃗ . Calculer les coordonnées de 𝐸.
3
3) Calculer l’aire 𝐴 en 𝑐𝑚² du parallélogramme 𝐴𝐵𝐶𝐷.
4) Calculer le volume 𝑉 en 𝑐𝑚3 du prissme droit de base 𝐴𝐵𝐶𝐷 et de hauteur [𝐴𝐸].
5) Le point 𝐹 appartient-il à la droite (𝐴𝐵) ? Justifier la réponse.

L’espace est rapporté à un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗). On donne les points 𝐴(2,0,0) ; 𝐵(0,3,0) et 𝐶(0,0, −2)
1) Déterminer les coordonnées du vecteur 𝑢 défini par 𝑢 ⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶
2) Soit 𝐻(𝑎; 𝑏; 𝑐) le projeté orthogonal de 𝑂 sur le plan (𝐴𝐵𝐶)
a) Que peut-on dire des vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐻 𝑒𝑡 𝑢 ⃗ ? En déduire que : 3𝑎 + 2𝑏 − 3𝑐 − 6 = 0
𝑎 = −6𝑡
b) Que peut-on dire des vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝐻 𝑒𝑡 𝑢⃗ ? En déduire qu’il existe un réel 𝑡 tel que : {𝑏 = −4𝑡
𝑐 = 6𝑡
c) Déterminer la valeur de 𝑡 puis donner les coordonnées de 𝐻
d) Calculer la distance du point 𝑂 au plan (𝐴𝐵𝐶)
3) Calculer le volume du tétraèdre de base 𝐴𝐵𝐶 et de sommet 𝑂

L’espace est muni d’un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗ ). Soient 𝐴(1 ,2 ,3) ; 𝐵(3 ,0 ,3) et 𝐶(3 ,2 ,1).
1) Calculer 𝐴𝐵 ; 𝐵𝐶 et ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵. ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐶
2) Soit 𝐷 le point tel que 𝐴𝐷 = ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐵𝐶 . Trouver les coordonnées de 𝐷. Quelle est la nature du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷 ?
⃗⃗⃗⃗⃗
En déduire que 𝐴𝐶 ⊥ 𝐵𝐷⃗⃗⃗⃗⃗⃗
3) Déterminer la distance séparant le point 𝑂 au plan du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷.
4) Soit 𝐼 le milieu de [𝐴𝐶]. Calculer 𝑂𝐼, en déduire que 𝐼 est le projeté orthogonale de 𝑂 sur le plan (𝐴𝐵𝐶𝐷).
5) Démontrer que les plans (𝑂𝐴𝐶) et (𝑂𝐵𝐷) sont orthogonaux
6) Déterminer l’aire du quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷.
7) Déterminer le volume de la pyramide de sommet 𝑂 et de base, le quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷.

L’espace est rapporté à un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗). On donne les points : 𝐴 (−1 ; 0 ; 2) , 𝐵(0 ; 1 ; 3) ,
𝐶(1 ; 3 ; 0) et 𝐷(−1 ; −1 ; 1).
1) Calculer l’aire du triangle 𝐴𝐵𝐶
2)
a) Calculer la distance du point 𝐷 au plan (𝐴𝐵𝐶)
b) Les points 𝐴 , 𝐵 , 𝐶 et 𝐷 sont-ils coplanaires ?
3) Calculer le volume du tétraèdre 𝐷𝐴𝐵𝐶

4)
a) Déterminer les coordonnées du point 𝐸 tel que 𝐴𝐵𝐷𝐸 soit un parallélogramme.
b) Calculer l’aire du parallélogramme 𝐴𝐵𝐷𝐸

Dans l’espace rapporté à un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗), on donne les points 𝐴 (−2 ; −1 ; 2) ; 𝐵(6 ; −5 ; 3) ;
−4
𝐶(−1 ; 3 ; 10) et le vecteur 𝑢 ⃗ (−7)
4
1)
a) Calculer 𝐴𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝐴𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗ et 𝐴𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝐴𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗
b) Interpréter géométriquement ces résultats
c) Calculer les distances 𝐴𝐵 et 𝐴𝐶
d) En déduire la nature exacte du triangle 𝐴𝐵𝐶
2) Démontrer que les vecteurs 𝑢 ⃗ et ⃗⃗⃗⃗⃗𝐴𝐵 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 sont colinéaires
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
3) Montrer que ‖𝐴𝐵 ∧ 𝐴𝐶 ‖ = 9‖𝑢 ⃗ ‖ et en déduire l’aire du triangle 𝐴𝐵𝐶 en fonction de la norme de 𝑢
⃗ .
4) Soit 𝐷(1 ; 1 ; 1) un point de l’espace.
a) Les points 𝐴 , 𝐵 , 𝐶 , 𝐷 sont-ils coplanaires ?
b) Calculer 𝑑(𝐷 ; (𝐴𝐵𝐶)) et en déduire le volume 𝑉, en unité de volume, de la pyramide de sommet 𝐷 et de base le
triangle 𝐴𝐵𝐶.

Dans l’espace muni d’un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗ ), on considère les points 𝐴(−1 ; 1 ; −3) ; 𝐵(−2 ; 3 ; −3) ;
𝐶(−2 ; 1 ; 0).
1) Calculer les coordonnées du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶
2) Soit 𝐼 le point de coordonnées (−1 ; 3 ; 0).
Calculer la distance de 𝐼 au plan (𝐴𝐵𝐶). Ces points 𝐴 , 𝐵 , 𝐶 et 𝐼 sont-ils coplanaires ?
3)
a) Calculer l’aire 𝐴 du triangle 𝐴𝐵𝐶 en unité d’aire.
b) Déterminer le volume 𝑉 (en unité de volume) de la pyramide de sommet 𝐼 et de base le triangle 𝐴𝐵𝐶.
EXERCICE 13 (BAC 2017 - Remplacement –2ème Tour)

On considère deux points 𝐴 et 𝐷 de l’espace. On désigne par I le milieu du segment [𝐴𝐷].
1) Démontrer que pour tout point 𝑀 de l’espace, on a : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐷. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐴 = 𝑀𝐼2 − 𝐼𝐴 2. (On pourra utiliser la relation de Chasles).
2) En déduire que l’ensemble E des points M de l’espace tels que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝑀𝐷. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐴 = 0 est une sphère dont on précisera le centre
et le rayon.
3) L’espace est rapporté à un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ; 𝑘⃗).
On donne : 𝐴(3 ; 0 ; 0) ; 𝐵(0 ; 6 ; 0) ; 𝐶(0 ; 0 ; 4) et 𝐷(−5 ; 0 ; 1).
4
a) Vérifier que le vecteur 𝑛⃗ (2) est normal au plan (ABC).
3
b) Calculer la distance du point 𝐷 au plan (𝐴𝐵𝐶).
c) Calculer l’aire du triangle 𝐴𝐵𝐶 en unités d’aire.
d) Calculer le volume de la pyramide de sommet 𝐷 et de base 𝐴𝐵𝐶 en unités de volume.
4) Soit 𝐻 le point de coordonnées (−1 ; 2 ; 4).
a) Démontrer que 𝐻 appartient à l’ensemble 𝐸 défini en 2.
b) Vérifier que 𝐻 est le projeté orthogonal de 𝐷 sur le plan (𝐴𝐵𝐶).

L'espace est rapporté à un repère orthonormal (0, ⃗𝑖 , ⃗𝑗 , 𝑘⃗ ). On considère les points 𝐴(1 ; 0 ; 2) ; 𝐵(𝑂 ; 𝑂 ; 1) et 𝐶(0; −1; 1)
1) Déterminer les coordonnées du point 𝐷 tel que 𝐴𝐵𝐶𝐷 soit un parallélogramme.

2)
a) Calculer les coordom1ées du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶.
b) En déduire l'aire du parallélogramme ABCD.
3)
a) Calculer ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵. ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐶 puis 𝐴𝐵 et 𝐴𝐶.
b) En déduire la nature exacte du parallélogramme 𝐴𝐵𝐶𝐷.
4)
a) Calculer la distance d en unité de longueur du point 𝑂 au plan 𝑃 passant par 𝐴, 𝐵 et 𝐶.
b) Calculer le volume 𝑉 en unité de volume de la pyramide de sommet 𝑂 et de base 𝐴𝐵𝐶𝐷.

Suites Réelles –
Calcul Intégral

𝜋
1) On donne la suite 𝐼𝑛 , 𝑛 ≥ 1, définie par : 𝐼𝑛 = ∫0 𝑥 sin 𝑛𝑥 𝑑𝑥.
a) Déterminer l’expression de 𝐼𝑛 en fonction de 𝑛, à l’aide d’une intégration par parties.
b) Calculer 𝐼2 , 𝐼4 , 𝐼6.
2) On donne 𝑓 (𝑥) = 𝑥 sin 𝑥 sin 2𝑥 sin 3𝑥.
a) Linéariser, par la formule d’Euler, sin 𝑥 sin 2𝑥 sin 3𝑥
𝜋 𝑒𝑖𝑥−𝑒 −𝑖𝑥
b) Déduire la valeur de ∫0 𝑓(𝑥) 𝑑𝑥. (On rappelle la formule d’Euler : sin 𝑥 = .)
2𝑖

1
𝑈 = 𝑈
On définit la suite (𝑈𝑛 )𝑛𝜖ℕ par 𝑈0 = 1, et la relation : { 2𝑛+1 2 2𝑛 .
𝑈2𝑛+2 = 1 + 𝑈2𝑛
1) Calculer 𝑈1 et 𝑈2 .
2) Soient les suites (𝑉𝑛 ) et (𝑊𝑛 ) définies par les relations : 𝑉𝑛 = 2 − 𝑈2𝑛 et 𝑊𝑛 = 1 − 𝑈2𝑛+1 , 𝑛 𝜖 ℕ.
1
a) Montrer que les suites (𝑉𝑛 ) et ( 𝑊𝑛 ) sont deux suites géométriques de raison .
2
b) Exprimer 𝑈2𝑛 et 𝑈2𝑛+1 en fonction de 𝑛. La suite (𝑈𝑛 ) est-elle convergente ?
3) On donne : 𝑆𝑛 = ∑𝑛𝑖=0 𝑈2𝑖 , 𝑆𝑛′ = ∑𝑛𝑖=0 𝑈2𝑖 +1 et 𝑆𝑛′′ = ∑2𝑛+1 𝑖=0 𝑈𝑖 .
Déterminer 𝑆𝑛 , 𝑆𝑛′ et 𝑆𝑛′′ en fonction de 𝑛.

𝑈0 = 2 𝑈𝑛−1
Soit la suite (𝑈𝑛 ) définie par : { 1 1 . On pose, pour tout 𝑛 𝜖 ℕ, 𝑉𝑛 = .
𝑈𝑛+1 = (𝑈𝑛 + ) 𝑈𝑛+1
2 𝑈𝑛
1) Montrer que, pour tout 𝑛 𝜖 ℕ, 𝑉𝑛+1 = (𝑉𝑛 )2.
2) On définit la suite (𝑊𝑛 )𝑛𝜖ℕ , par 𝑊𝑛 = 𝑙𝑛(𝑉𝑛 ), où 𝑙𝑛(𝑉𝑛) désigne le logarithme népérien de 𝑉𝑛.
a) Donner la nature de (𝑊𝑛 ).
b) Ecrire 𝑊𝑛 et 𝑉𝑛 en fonction de 𝑛.
3) Déterminer 𝑈𝑛 en fonction de 𝑛 et calculer lim 𝑈𝑛 .
𝑛→+∞
N.B : on admettra que toutes les suites considérées sont définies pour tout entier naturel.

𝑢1 = 3 𝑣1 = 2
On considère deux suites (𝑢𝑛 ) et (𝑣𝑛 ) définies pour tout entier naturel 𝑛 non nul par : { ; { .
𝑢𝑛+1 = 2 + 𝑢𝑛 𝑣𝑛+1 = 𝑣𝑛 + 𝑢𝑛
1)
a) Calculer la somme 𝑆𝑛−1 = 𝑢1 + 𝑢2 + ⋯ + 𝑢𝑛−1 en fonction de 𝑛 pour 𝑛 ≥ 2.
b) Démontrer que 𝑆𝑛−1 = 𝑣𝑛 − 𝑣1 . En déduire 𝑣𝑛 en fonction de 𝑛.
2) On définit la fonction 𝑓 de ℝ dans ℝ par 𝑓(𝑥) = (𝑥 2 + 𝑥 + 1)𝑒 𝑥 et note 𝑓 (𝑛) (𝑥) (𝑛 𝜖 ℕ∗ ) l’expression de la dérivée
d’ordre 𝑛 de 𝑓.
a) Calculer 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑓 (1) (𝑥).
b) Démontrer par récurrence sur ℕ∗ que 𝑓 (𝑛)(𝑥) = (𝑥 2 + 𝐴 𝑛 𝑥 + 𝐵𝑛 )𝑒 𝑥 où (𝐴 𝑛 ) et (𝐵𝑛 ) sont deux suites que l’on
déterminera.
c) En déduire en fonction de 𝑥 et de 𝑛, l’expression de 𝑓 (𝑛) (𝑥).
d) Donner alors l’expression de la dérivée d’ordre dix de 𝑓.

𝜋 𝜋
On considère la suite (𝑢𝑛 )𝑛𝜖ℕ définie par 𝑢0 = ∫02 𝑥𝑑𝑥 et pour tout 𝑛 de ℕ∗ par 𝑢𝑛 = ∫02 𝑥 cos 2𝑛𝑥 𝑑𝑥.
1)
a) Calculer 𝑢0
b) A l’aide d’une intégration par parties, exprimer 𝑢𝑛 en fonction de 𝑛 (indiquer les cas 𝑛 pair et 𝑛 impair).
La suite (𝑢𝑛 )𝑛𝜖ℕ est-elle croissante ? décroissante ?
2)
a) Linéariser sin6 𝑥.
𝜋
b) Calculer 𝐼 = ∫02 𝑥 sin6 𝑥 𝑑𝑥. (On pourra utiliser 1)).

𝑢0 = 1 ; 𝑢1 = 2
On considère la suite numérique ( 𝑢𝑛 ) définie par : { 1 , 𝑛 𝜖 ℕ.
𝑢𝑛+2 = 𝑢𝑛+1 − 𝑢𝑛
4
1) Calculer 𝑢2 , 𝑢3 et 𝑢4.
2) Soit la suite (𝑣𝑛 ) définie par : 𝑣𝑛 = 2𝑛 𝑢𝑛 ,𝑛 𝜖 ℕ.
a) Calculer 𝑣𝑛+2 − 𝑣𝑛+1 en fonction de 𝑣𝑛+1 − 𝑣𝑛 . En déduire que (𝑣𝑛 ) est une suite arithmétique dont on précisera la
raison et le premier terme.
b) Exprimer 𝑣𝑛 , puis 𝑢𝑛 en fonction de 𝑛.
2𝑛 𝑛
3) Calculer lim 𝑙𝑛 , en déduire lim 𝑛 . La suite (𝑢𝑛 ) est-elle convergente ?
𝑛→+∞ 𝑛 𝑛→+∞ 2

𝑢0 = −1
Soit (𝑢𝑛 )𝑛≥0 la suite numérique définie par : {𝑢 =
3+2𝑢𝑛 , ∀ 𝑛 𝜖 ℕ.
𝑛+1 2+𝑢𝑛
1) Montrer que pour tout entier naturel 𝑛, on a −1 ≤ 𝑢𝑛 ≤ 2
2)
a) Montrer que 𝑢𝑛+1 − 𝑢𝑛 et 𝑢𝑛 − 𝑢𝑛−1 sont de même signe.
b) Calculer 𝑢1 − 𝑢0 , puis en déduire le sens de variation de la suite (𝑢𝑛 )𝑛≥0.
3) Montrer que la suite (𝑢𝑛 )𝑛≥0 converge et calculer sa limite.

1 𝑛+1
Soit (𝑉𝑛 ) la suite numérique définie sur ℕ∗ par 𝑉1 = et 𝑉𝑛+1 = 𝑉
2 2𝑛 𝑛
1) Calculer 𝑉2 , 𝑉3 et 𝑉4
2)
a) Démontrer que pour tout entier 𝑛 > 0, on a 𝑉𝑛 > 0
b) Démontrer que la suite (𝑉𝑛 ) est décroissante.
c) En déduire que la suite (𝑉𝑛 )est convergente.
𝑉
3) Soit (𝑈𝑛 ) la suite numérique définie par 𝑈𝑛 = 𝑛 , ∀ 𝑛 > 0
𝑛
a) Montrer que la suite (Un) est géométrique. Préciser la raison et le premier terme.
b) Exprimer 𝑈𝑛 puis (𝑉𝑛 ) en fonction de 𝑛.
c) Calculer lim 𝑈𝑛 et lim 𝑉𝑛
𝑛→+∞ 𝑛→+∞

1 𝑥𝑛
On considère la suite (𝐼𝑛 ) définie par : 𝐼𝑛 = ∫0 𝑑𝑥 , (𝑛 ∈ ℕ).
1+𝑥
1) Calculer 𝐼0 , 𝐼0 + 𝐼1 et en déduire 𝐼1 ∙
2) Calculer 𝐼𝑛 + 𝐼𝑛+1 en fonction de 𝑛.
3) Montrer que la suite (𝐼𝑛 ) est décroissante et positive.
1
4) Montrer que 𝐼𝑛 ≤ pour tout 𝑛∈ℕ.
𝑛+1
5) En déduire que la suite (𝐼𝑛 ) est convergente et déterminer sa limite.

3𝑈 −1
On considère la suite de terme générale 𝑈𝑛 définie par : 𝑈𝑛 = 𝑛−1 ; 𝑛 ≥ 3 et par son premier terme 𝑈2 = 3.
𝑈𝑛−1+1
1) Calculer 𝑈3 ; 𝑈4 et en déduire que la suite (𝑈𝑛 ) n’est ni arithmétique, ni géométrique.
2)
a) Montrer que (𝑈𝑛 ) est minorée par 1

b) Montrer que (𝑈𝑛 ) est décroissante
c) En déduire que (𝑈𝑛 ) converge et déterminer sa limite.
𝑈 +1
3) On pose 𝑉𝑛 = 𝑛
𝑈𝑛−1
a) Montrer que (𝑉𝑛 ) est une suite arithmétique dont on précisera le premier terme et la raison (On pourra exprimer 𝑉𝑛 et
𝑉𝑛−1 en fonction de 𝑈𝑛−1 )
b) Exprimer 𝑉𝑛 , puis 𝑈𝑛 en fonction de 𝑛.
c) Déterminer la limite de (𝑈𝑛 )

On considère la fonction ℎ définie et dérivable sur l’intervalle [0 ; 1] par : ℎ(𝑥) = 2𝑥 − 𝑥 2.
1)
a) Démontrer que ℎ est strictement croissante sur [0 ; 1].
b) En déduire que l’image de l’intervalle ]0 ; 1[ par ℎ est l’intervalle ]0 ; 1[.
1
𝑢0 =
2) Soit 𝑢 la suite définie pour tout entier naturel 𝑛 par : { 2 .
𝑢𝑛+1 = ℎ(𝑢𝑛 )
a) Démontrer par récurrence que pour tout entier naturel n, on a : 0 < 𝑢𝑛 < 1.
b) Démontrer que la suite 𝑢 est croissante.
c) Justifier que la suite 𝑢 est convergente.
3) On considère la suite 𝑣 définie pour tout entier naturel 𝑛 par : 𝑣𝑛 = 𝑙𝑛 (1 − 𝑢𝑛 ).
a) Démontrer que 𝑣 est une suite géométrique dont on précisera le premier terme et la raison.
b) Exprimer 𝑣𝑛 en fonction de 𝑛.
EXERCICE 12 (BAC 2021 - 1er Tour)

1
𝑢0 = 2
2
On définit pour tout entier naturel 𝑛, les suites (𝑢𝑛 ) et (𝑣𝑛 ) respectivement par : { 2 et 𝑣𝑛 = 𝑙𝑛( ) 𝑢𝑛
𝑢𝑛+1 = (𝑢𝑛 )2 3
3
1) Démontrer par récurrence que pour tout entier 𝑛, 𝑢𝑛 > 0.
2)
a) Calculer 𝑣0 .
b) Démontrer que (𝑣𝑛 ) est une suite géométrique de raison 2.
3) Exprimer 𝑣𝑛 puis 𝑢𝑛 en fonction de 𝑛.
4) On pose : 𝑆 = 𝑣0 + 𝑣1 + ⋯ + 𝑣𝑛 et 𝑆 ′ = 𝑢0 × 𝑢1 × … × 𝑢𝑛
a) Calculer 𝑆 en fonction de 𝑛.
3 𝑛+1 𝑆
b) Prouver que : 𝑆 ′ = ( ) 𝑒 puis exprimer 𝑆′ en fonction de 𝑛.
2

Courbes
paramétrées

𝑥 = 3 cos 𝑡
Soit (∁) la courbe dont une représentation paramétrique est donne par le système suivant : { ; 𝑡 𝜖 [0; 𝜋]
𝑦 = 2 sin 𝑡
1) Etudier les variations de 𝑥 et 𝑦.
2) Montrer que la courbe est inscrite dans un rectangle de longueur 6 et de largeur 2.
3) Tracer la courbe ainsi que ses tangentes aux points d’intersection de la courbe avec les axes du repère. On prendra un
repère orthonormé : unité graphique : 1 𝑐𝑚.
𝑥2 𝑦2
4) Montrer que 𝑥 et 𝑦 vérifient la relation : + = 1 et en déduire que l’équation cartésienne de la courbe est :
9 4
2
𝑦 = √9 − 𝑥 2 .
3
5) Soit (𝑃) la plaque homogène, mince, limitée par l’axe des abscisses et la courbe (∁).
Calculer le volume du solide engendré par la rotation de (𝑃) autour de l’axe des abscisses.

Le plan est rapporté à un repère orthonormal (𝑂; 𝑖; 𝑗). (unité graphique : 1 𝑐𝑚)
1
𝑥 (𝑡) = cos 2𝑡 + cos 𝑡
Soit (𝛤) l’ensemble des points 𝑀(𝑡) de coordonnées (𝑥(𝑡) ; 𝑦(𝑡)) tels que : { 2 , (𝑡 𝜖 ℝ)
𝑦(𝑡) = sin 2𝑡
1)
a) Comparer les points 𝑀(𝑡) et 𝑀(𝑡 + 2𝜋)
b) Comparer les coordonnées 𝑀(𝑡) et 𝑀(−𝑡)
c) Déduire qu’il suffit de connaitre (𝛤) pour 𝑡 𝜖 [0; 𝜋] pour connaitre entièrement (𝛤).
2) Etudier les variations conjointes de 𝑥 et 𝑦 pour 𝑡 𝜖 [0; 𝜋].
3)
a) Construire (𝛤) pour 𝑡 𝜖 [0; 𝜋].
b) Construire alors (𝛤) pour 𝑡 𝜖 [−𝜋; 0]

Le plan étant muni d’un repère orthonormé (𝑂; 𝑖; 𝑗 ) (‖𝑖 ‖ = 1 𝑐𝑚 et ‖𝑗⃗ ‖ = 3 𝑐𝑚). On considère la courbe (𝐶) dont une
𝑥 (𝑡) = 𝑡 − 2 sin 𝑡
représentation paramétrique est : { (𝑡 𝜖 ℝ)
𝑦(𝑡) = cos 𝑡
A tout instant 𝑡, 𝑀(𝑡) est le point de (𝐶) de coordonnées (𝑥(𝑡) ; 𝑦(𝑡)).
1) Montrer que le point 𝑀(𝑡 + 2𝜋) est l’image du point 𝑀(𝑡) par une translation dont on précisera le vecteur de translation.
2) Montrer que 𝑀(𝑡) et 𝑀(−𝑡) sont symétriques par rapport à l’axe de ordonnées.
𝜋
𝑥 ′ (𝑡) ≤ 0 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡 𝜖 [0 ; ]
3) Calculer 𝑥’(𝑡) et montrer que : { 3
𝜋
𝑥 ′ (𝑡) > 0 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡 𝜖 ] ; 𝜋]
3
4) Etudier les variations de 𝑥 et 𝑦 et donner leurs variations dans un tableau commun, pour 𝑡 𝜖 [0; 𝜋]
5) Tracer la partie (𝐶1 ) de (𝐶) correspondant à 𝑡 ∈ [−𝜋 ; 𝜋]
6) Dire comment à partir de (𝐶1 ), on peut obtenir la courbe (𝐶2 ) de (𝐶) correspondant à 𝑡 𝜖 [−𝜋 ; 3𝜋].
𝜋 𝜋
On donne − 2 ≈ −0,4 et − √3 ≈ −0,68
2 3

On considère dans le plan muni d’un repère orthonormal (𝑂; 𝑖; 𝑗 ) d’unité graphique : 2 𝑐𝑚, la courbe (𝛤) de représentation
𝑥(𝑡) = 𝑒 sin 𝑡
paramétrique : { (𝑡 𝜖 ℝ)
𝑦(𝑡) = cos 𝑡
1) Montrer que les fonctions numériques 𝑥 et 𝑦 de la variable réelle 𝑡 , sont périodiques de période 2𝜋.
2)
a) Comparer les points 𝑀(𝑡) et 𝑀(𝜋 − 𝑡) où 𝑀 est un point de (𝛤).
𝜋 𝜋 𝜋 3𝜋
b) Montrer que pour tout 𝑡 𝜖 [− ; ] , (𝜋 − 𝑡) 𝜖 [ ; ] et en déduire que l’on peut restreindre le domaine d’étude
2 2 2 2
𝜋 𝜋
à [− ; ]
2 2

𝜋 𝜋
3) Etudier et dresser le tableau de variations conjoint des fonctions 𝑥 et 𝑦 pour tout 𝑡 appartenant à [− ; ]
2 2
4) Tracer la courbe (𝛤).
On donne 𝑒 = 2,72 ; 𝑒 −1 = 0,37

Le plan est rapporté à un repère orthonormé (𝑂; 𝑢 ⃗ ; 𝑣) d’unité graphique 2 𝑐𝑚. Soit (𝛤) la courbe paramétrée définie par :
𝑥(𝑡) = 𝑡(3 − 𝑡 2 )
{ 3 +𝑡 𝑡 𝜖 [−2 ; 2]
𝑦 (𝑡) = 𝑡 𝑙𝑛 ( )
3 −𝑡
1) Comparer 𝑀(𝑡) et 𝑀(−𝑡) pour 𝑡 ∈ [−2 ; 2] et en déduire que l’on peut restreindre le domaine d’étude de (𝛤) à [0 ; 2]
2) Etudier le sens de variation de 𝑥 sur [0 ; 2]
3)
3+𝑡
a) Montrer que pour tout 𝑡 ∈ [0 ; 2], 𝑙𝑛( ) ≥ 0
3−𝑡
b) Etudier le sens de variation de 𝑦 sur [0 ; 2].
4) Dresser le tableau de variation conjoint de 𝑥 et 𝑦.
5) Déterminer les points d’intersections de (𝛤) avec l’axe des ordonnées.
6) Tracer (𝛤).
On donne : 𝑙𝑛5 ≃ 1,60 ; 𝑙𝑛2 ≃ 0,69 ; 𝑙𝑛(2 + √3) ≃ 1,31 ; √3 ≃ 1,73

On considère les équations différentielles suivantes : (𝐸1 ) ∶ 𝑦′′ + 4𝑦 = 0 et (𝐸2 ) ∶ 𝑦′′ + 𝑦 = 0
1) Déterminer la solution de l’équation (𝐸1 ) dont la courbe représentative dans un repère orthonormal (𝑂; 𝑖 , 𝑗 ) passe par le
point 𝐴(0; −2) et admet en ce point une tangente horizontale
𝜋 𝜋
2) Déterminer la solution 𝑔 de l’équation (𝐸2 ) vérifiant : 𝑔 ( ) = −1 et 𝑔′ ( ) = −1
2 2
𝑥(𝑡) = −2 cos 2𝑡
3) Soit (𝒞) la courbe définie par le système d’équations paramétriques : { , 𝑡𝜖 ℝ
𝑦(𝑡) = cos 𝑡 − sin 𝑡
a) Déterminer la période commune des fonctions 𝑥 et 𝑦 ; comparer la position des points 𝑀(𝑡) et 𝑀(𝑡 + 𝜋) , puis en
déduire un élément de symétrie de (𝒞). Justifier le choix de [0; 𝜋] comme ensemble d’étude.
b) Etudier les fonctions 𝑥 et 𝑦 sur [0; 𝜋] et dresser leur tableau de variations conjoint
c) Représenter la courbe (𝒞) dans un repère orthonormal (𝑂; 𝑖 , 𝑗 ). (unité graphique 2 𝑐𝑚)
On précisera les tangentes particulières ainsi que les tangentes en 𝑂.
NB : √2 ≃ 1,4

𝑥(𝑡) = cos(𝑡)
On considère la courbe (𝐶) dont une représentation paramétrique est : { ; 𝑡∈ℝ
𝑦(𝑡) = sin(2𝑡)
1) Etudier la position relative de :
a) 𝑀(𝑡 + 2𝜋) et 𝑀(𝑡)
b) 𝑀(−𝑡) et 𝑀(𝑡)
c) 𝑀(𝜋 − 𝑡) et 𝑀(𝑡)
2)
𝜋 𝜋
a) Montrer que si 𝑡 ∈ [0 ; ] alors (𝜋 − 𝑡) ∈ [ ; 𝜋]
2 2
𝜋
b) En déduire qu’il suffit d’étudier (𝐶) pour 𝑡 ∈ [0 ; ]
2
𝜋
3) On désigne par (𝐶1 ) la partie de (𝐶) correspondant à 𝑡 ∈ [0 ; ]
2
𝜋
a) Etudier les fonctions : 𝑡 ⟼ 𝑥(𝑡) et 𝑡 ⟼ 𝑦(𝑡) sur [0 ; ] et dresser le tableau de variation conjoint
2
b) Tracer (𝐶1 ), puis (𝐶) en utilisant les résultats du 1)

Le plan est rapporté à un repère orthonormal direct (𝑂; 𝑖 , 𝑗 ). On considère la courbe paramétrée (𝛤) définie par :
𝑥(𝑡) = 𝑡 + ln(1 − 𝑡)
{ , 𝑡 ∈ ] − ∞ ; 0]
𝑦(𝑡) = 𝑡𝑒 𝑡
1)
a) Etudier le sens de variations des fonctions coordonnées 𝑥 et 𝑦 sur l’intervalle ] − ∞ ; 0]
b) Dresser un tableau de variation conjoint de 𝑥 et 𝑦
2)
a) Déterminer les équations des tangentes à (𝛤) aux points 𝑀(0) et 𝑀(−1) ; 𝑀(𝑡) étant le point de coordonnées
(𝑥(𝑡) ; 𝑦(𝑡))
b) L’unité étant 2 𝑐𝑚, tracer les tangentes précédentes et la courbe (𝛤) dans le repère

Dans le plan muni du repère orthonormal (𝑂; 𝑖 , 𝑗 ), (unité graphique 1 𝑐𝑚), on considère la courbe (𝐶) dont une
𝑥 (𝑡) = 4 cos 2𝑡
représentation paramétrique est : { (𝑡 𝜖 ℝ).
𝑦 (𝑡) = 2 sin 4𝑡
On désigne par 𝑀(𝑡) le point de coordonnée (𝑥(𝑡) ; 𝑦(𝑡))
1) Comparer :
a) 𝑀(−𝑡) et 𝑀(𝑡)
𝜋
b) 𝑀(𝑡 + ) et 𝑀(𝑡)
2
2) Interpréter géométriquement chacun des résultats précédents.
3)
a) Montrer que 𝜋 est la période commune aux fonctions 𝑥 et 𝑦.
b) Déduire de tout ce qui précède, que l’on peut restreindre le domaine d’étude des fonctions 𝑥 et 𝑦 à l’intervalle
𝜋
𝐼 = [0 ; ].
4
4)
a) Etudier les variations de 𝑥 sur 𝐼.
√ 2 √ 2
b) Vérifier que pour tout 𝑡 élément de 𝐼, on a 𝑦 ′ (𝑡) = 16 (cos 2𝑡 − ) (𝑐𝑜𝑠 2𝑡 + ).
2 2
En déduire les variations de 𝑦 sur 𝐼.
c) Dresser le tableau de variation conjoint de 𝑥 et 𝑦
5) Tracer (𝐶 )
On donne : √2 = 1,4

Problèmes

PROBLEME 01 (BAC 1994 – 2nd Tour)

PARTIE A
1) Soit la fonction numérique 𝑔 définie sur ℝ par : 𝑔(𝑥) = (1 − 𝑥) 𝑒 𝑥 − 1.
a) Etudier les variations de g et dresser son tableau de variation.
b) En déduire le signe de 𝑔(𝑥) sur ℝ.
𝑥
𝑓(𝑥) = 2 + 𝑥 , 𝑠𝑖 𝑥 ≠ 0
2) On définit la fonction numérique 𝑓 par : { 𝑒 −1 .
𝑓 (0) = 3
1
On admet que 𝑓 est derivable en 0 et que 𝑓 ′ (0) = −
2
a) Etudier 𝑓 et dresser son tableau de variation.
b) Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = −𝑥 + 2 est asymptote à la courbe (Γ) de 𝑓.
c) Tracer (Γ) et (𝐷) ainsi que la tangente à (Γ) au point d’abscisse 0.
3) Soit ℎ la fonction définit par : ℎ(𝑥) = 𝑓(𝑥) − 𝑥.
a) Montrer que ℎ est strictement décroissante sur ℝ.
5
b) En déduire que l’équation 𝑓(𝑥) = 𝑥 admet une unique solution dans l’intervalle ]2 ; [ ; on note 𝛼 la solution de
2
cette équation.
PARTIE B
𝑈0 = 2
On considère la suite (𝑈𝑛 )𝑛𝜖ℕ définie par : {
𝑈𝑛+1 = 𝑓(𝑈𝑛 )
5
1) On admet que, pour tout 𝑥 dans ]2 ; [ , on a : 𝑔(𝑥) ≥ −20 et (𝑒 𝑥 − 1) 2 ≥ 40.
2
5 1
a) Montrer que, pour tout 𝑥 dans ]2 ; [ , on a : |𝑓′(𝑥)| ≤ .
2 2
5 5 1
b) En déduire que, pour tout 𝑎 𝜖 [2 ; ] et pour tout 𝑏 𝜖 [2 ; ] , on a : |𝑓 (𝑎) − 𝑓(𝑏)| ≤ |𝑏 − 𝑎|.
2 2 2
𝑏
(On pourra utiliser l’égalité |∫𝑎 𝑓′(𝑥)𝑑𝑥| = |𝑓 (𝑏) − 𝑓(𝑎)|)
2)
5
a) On pose 𝐼 = [2 ; ]. Vérifier que 𝑓(𝐼) ⊂ 𝐼.
2
b) Montrer par récurrence que pour tout 𝑛 de ℕ, on a : 𝑈𝑛 𝜖 𝐼.
1
c) Déduire que pour tout 𝑛 de ℕ, on a : |𝑈𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑈𝑛 − 𝛼|.
2
3)
1 𝑛+1
a) Montrer que pour tout 𝑛 de ℕ, on a : |𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) .
2
b) En déduire que (𝑈𝑛 ) converge vers 𝛼.
c) Déterminer un entier 𝑛0 tel que ∀ 𝑛 ≥ 𝑛0, on ait |𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ 10−3 .
5
On donne : 𝑒 2 ≈ 7,4 ; 𝑒 2 ≈ 12,2 ; 𝑙𝑛2 ≈ 0,7.
PROBLEME 02 (BAC 1994 – Remplacement 2nd Tour)

( + 2)√1 − 𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 1
Soit 𝑓 ∶ ℝ → ℝ ; 𝑥 ⟼ 𝑓 (𝑥) = { 𝑥−𝑥+1 .
𝑒 + 𝑥 − 2 𝑠𝑖 𝑥 > 1
PARTIE A
1)
a) 𝑓 est-elle continue en 1 ?
b) On pose 𝑥 = 1 − ℎ ; calculer 𝑓(1 − ℎ), ℎ 𝜖 ℝ.
c) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 1.
2)
b) Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = 𝑥 − 2 est asymptote à la courbe (𝐶) de 𝑓 en +∞.
c) Représenter graphiquement (𝐶) dans un repère orthonorme (unite graphique : 2 𝑐𝑚).
On représentera les tangentes où les demi-tangentes aux points d’abscisses −2 et 1.
3) Soit 𝑆 le domaine plan délimité par la courbe (𝐶), l’axe (𝑂𝑥) et les droites d’équations : 𝑥 = −2 et 𝑥 = 1.
a) Déterminer l’aire 𝐴(𝑆) de 𝑆 en 𝑐𝑚 2.
b) On fait pivoter le domaine 𝑆 autour de l’axe des abscisses. Calculer le volume en 𝑐𝑚 3 du solide obtenu.
PARTIE B
𝑛−1
Soit (𝑈𝑛 )𝑛𝜖ℕ∗ la suite définie par : 𝑈𝑛 = ∫𝑛 𝑒 −𝑥+1 𝑑𝑥.
1)
a) Exprimer 𝑈𝑛 en fonction de 𝑛.
b) Donner la nature de la suite (𝑈𝑛 ).
2) On pose : 𝑆𝑛 = ∑𝑖=𝑛 𝑖=1 𝑈𝑖 .
a) Déterminer 𝑆𝑛 en fonction de 𝑛. Donner une interprétation géométrique de 𝑆𝑛.
b) Calculer lim 𝑆𝑛. Quelle interprétation géométrique peut-on faire ?
𝑛→+∞
PARTIEC
Soit 𝑇 l’application du plan dans lui-même qui, à tout point 𝑀 d’affixe 𝑧, associe le point 𝑀′ d’affixe 𝑧 ′ = 𝑧 + 2 − 𝑖.
1) Donner la nature de 𝑇.
2)
a) Déterminer une équation de la courbe (𝐶 ′ ) image de (𝐶) par 𝑇.
b) Construire (𝐶 ′ ) sur le même repère que (𝐶).
PROBLEME 03 (BAC 1994 – Remplacement 1er Tour)

PARTIE A
𝑥
1) Soit 𝑓 la fonction numerique définie par : 𝑓(𝑥) = 𝑒 −2 − 𝑒 −𝑥 .
b) En déduire le signe de 𝑓.
2) Une substance est injectée par voie intramusculaire. Elle passe du muscle au sang, puis est éliminée par les reins. Après
étude, on constate que la quantité de substance contenue dans le sang, à tout instant 𝑡 𝜖 ℝ+, est donnée
𝑥
approximativement par la fonction 𝑆(𝑡) = 𝑞 (𝑒 −2 − 𝑒 −𝑥 ), où 𝑞 est la quantité de substance injectée exprimée en 𝑐𝑚 3
et 𝑡 le temps exprimé en heures.
a) Dresser le tableau de variation de 𝑆.
b) Le médicament est toxique si la quantité de substance contenue dans le sang ne dépasse le seuil de toxicité 𝑆1 = 2,6.
Quelle valeur peut-on donner à 𝑞 pour qu’en aucun moment la quantité de substance contenue dans le sang ne
dépasse le seuil de toxicité 𝑆1 ?
3) On suppose 𝑞 = 10 𝑐𝑚 3.
a) Représenter graphiquement la fonction 𝑆 de courbe (𝐶), dans un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) (unité : 2 𝑐𝑚).
b) Le médicament est inefficace tant que la quantité de substance contenue dans le sang n’atteint pas la valeur
𝑆2 = 1,2 𝑐𝑚 3 . Déterminer graphiquement l’intervalle de temps durant lequel le médicament est efficace.
c) Retrouver cet intervalle par le calcul.
PARTIE B
Soit 𝑔 la fonction numérique définie par 𝑔(𝑥) = 𝑙𝑛(𝑓(𝑥)) où 𝑙𝑛 désigne la fonction logarithme népérien.
1) Etudier 𝑔 et dresser son tableau de variation.
2)
1 𝑥 𝑥
a) Vérifier que 𝑔(𝑥) = − 𝑥 + 𝑙𝑛 (1 − 𝑒 −2 ). Déduire que la droite (∆) d’équation : 𝑦 = − est asymptote à la
2 2
courbe (Γ) de 𝑔.
b) Représenter graphiquement (Γ) et (∆) sur un autre repère orthonormé (𝑂 ; 𝑢 ⃗ ; 𝑣 ).
PARTIE C
Soit 𝐴 l’aire du domaine plan délimité par la courbe (Γ), la droite (∆) et les droites d’équations 𝑥 = 2𝑙𝑛2 , 𝑥 = 3𝑙𝑛2. On
veut un encadrement de 𝐴.
𝑥2
1) On définit deux fonctions 𝑢 et 𝑣 par : 𝑢(𝑥) = 𝑥 − 2 − 𝑙𝑛(𝑥 − 1) et 𝑣(𝑥) = − + 3𝑥 − 4 − 𝑙𝑛(𝑥 − 1).
2
a) Etudier le sens de variation de 𝑢 sur [2 ; +∞[ ; comparer 𝑥 − 2 et ln(𝑥 − 1) pour 𝑥 ≥ 2.
𝑥2
b) Etudier le sens de variation de 𝑣 sur [2 ; +∞[ ; comparer − + 3𝑥 − 4 et ln(𝑥 − 1) pour 𝑥 ≥ 2.
2
2)
𝑥2
a) De l’encadrement − + 3𝑥 − 4 ≤ 𝑙𝑛(𝑥 − 1) ≤ 𝑥 − 2 , déduire que pour tout 𝑥 ≥ 2𝑙𝑛2, on a :
2
1 1 1 1 1 𝑒𝑥 1
𝑥
𝑥−𝑒 2 + 2 ≤ 𝑥 − ln (𝑒 2𝑥 − 1) ≤ 𝑥 + − 3𝑒 2 𝑥 + 4.
2 2 2 2
3𝑙𝑛2 1 1 3𝑙𝑛2 1 𝑒𝑥 1
b) On pose : 𝐴1 = − 𝑒 + 2) 𝑑𝑥 ; 𝐴 2 = ∫2𝑙𝑛2 ( 𝑥 + − 3𝑒 2𝑥 + 4) 𝑑𝑥.
∫2𝑙𝑛2 ( 𝑥 2
𝑥
2 2 2
Calculer 𝐴1 et 𝐴 2. On donnera leurs valeurs approchées à 10−1 près.
3)
1 1 1
a) Vérifier que : 𝑔 (𝑥) + = − 𝑥 + 𝑙𝑛 (𝑒 2 𝑥 − 1).
2 2
b) En déduire un encadrement de 𝐴.
On donne les valeurs numériques suivantes :
−1 −1
5 − √13 5 + √13 5 − √13 5 + √13 5 + √13 5 − √13
𝑙𝑛2 ≈ 0,7 ; √2 ≈ 1,4 ; 𝑙𝑛 ≈ −2 ; 𝑙𝑛 ≈ −0,2 ; =( ) ; =( )
10 10 10 1,2 10 1,2

PARTIE A
1
Soit 𝑔 la fonction numérique de la variable réelle 𝑥 définie par : 𝑔 (𝑥) = 𝑥 − 3 + 𝑙𝑛(𝑥 − 1).
2
1) Donner le domaine de définition 𝐷 de 𝑔.
2) Etudier les variations de 𝑔 et dresser le tableau de variation.
3) Montrer que 𝑔 définit une bijection de 𝑑 vers un ensemble que l’on déterminera. Calculer 𝑔(2) et 𝑔(3).
En déduire que l’équation : 𝑔 (𝑥) = 0, admet une solution unique 𝛼 telle que 𝛼 𝜖 [2 ; 3].
PARTIE B
1
Soit 𝑓 la fonction numerique de la variable reelle 𝑥 définie par : 𝑓(𝑥) = 3 − 𝑙𝑛(𝑥 − 1).
2
1) Etudier le sens de variation de 𝑓.
2) Vérifier l’Egalite 𝑓 (𝛼) = 𝛼.
3)
1
a) Montrer que pour tout réel 𝑥 de l’intervalle [2 ; 3] , |𝑓′(𝑥)| ≤ .
2
1
b) En déduire que pour tout réel 𝑥 de l’intervalle [2 ; 3] , |𝑓(𝑥) − 𝛼| ≤ |𝑥 − 𝛼|.
2
(On pourra utiliser l’inégalité de la moyenne.)
4) Montrer que : si 2 ≤ 𝑥 ≤ 3 alors 2 ≤ 𝑓(𝑥) ≤ 3.
1
5) On construit une suite (𝑈𝑛 )𝑛𝜖ℕ, en posant : 𝑈0 = 2 et 𝑈𝑛+1 = 3 − 𝑙𝑛(𝑈𝑛 − 1).
2
a) Tracer la courbe représentative de la fonction 𝑓 ainsi que la droite d’équation : 𝑦 = 𝑥 dans un repère orthonormé
(𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) d’unité graphique 2 𝑐𝑚, puis placer les valeurs 𝑈0 , 𝑈1 , 𝑈2 et 𝑈3 .
En utilisant le graphique, répondre, sans faire de calcul, aux questions suivantes :
i) (𝑈𝑛 ) est-elle croissante ?
ii) (𝑈𝑛 ) est-t-elle décroissante ?
iii) (𝑈𝑛 ) semble-t-elle avoir une limite ?
1
b) Montrer que pour tout entier naturel 𝑛, |𝑈𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑈𝑛 − 𝛼| .
2
1 𝑛
c) En déduire que, pour tout entier naturel 𝑛, |𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) et que la suite (𝑈𝑛 ) converge vers 𝛼.
2
d) Trouver un entier naturel 𝑚 tel que 𝑈𝑚 soit une valeur approchée de 𝛼 à 10−2 près.
𝑙𝑛10
On donne : 𝑙𝑛2 ≈ 0,7 ; ≈ 3,3
𝑙𝑛2
PROBLEME 05 (BAC 1995 – 1er Tour)

𝑓(𝑥) = −𝑥 + 1 + 2𝑙𝑛𝑥 𝑠𝑖 𝑥 𝜖 ]0 ; 1[
On considère la fonction 𝑓 définie sur ]0 ; +∞[ par : { .
𝑓 (𝑥) = 𝑥 − 2 + 𝑒 1−𝑥 𝑠𝑖 𝑥 𝜖 [1 ; +∞[
PARTIE A
1)
a) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 𝑥0 = 1.

b) Quelle conclusion géométrique peut-on en tirer ?
2) Etudier les variations de 𝑓.
3) On note (𝒞) la courbe representative de 𝑓 dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) (unité : 2 𝑐𝑚).
a) Montrer que (𝒞) admet une asymptote oblique en +∞ dont on donnera une équation.
Quelle est l’équation de la deuxième asymptote ?
1
b) Tracer (𝒞) et son asymptote oblique. On placera les points d’abscisses et 2 , et on tracera les demi-tangentes à
2
(𝒞) au point d’abscisse 1.
4) Soit 𝑓1 la restriction de 𝑓 à l’intervalle ]0 ; 1[.
a) Montrer que 𝑓1 admet une application réciproque 𝑓1 −1 dont on précisera l’ensemble de définition.
b) Construire la courbe (𝒞1 ) de 𝑓1 −1 dans le même repère que (𝒞). (Justifier la construction).
PARTIE B
Soit ℎ la fonction définie sur ]0 ; +∞[ par ℎ (𝑥) = −|𝑓(𝑥)|.
1) Sans étudier explicitement ℎ, construire en pointillés la courbe représentative (𝒞′) de ℎ dans le repère (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ). Justifier
2) On considère un réel 𝛼 supérieur à 2. Soit 𝐴(𝛼) l’aire délimitée par les droites d’équations 𝑥 = 2 ; 𝑥 = 𝛼 ; 𝑦 = 𝑥 − 2
et la courbe (𝒞).
a) Calculer 𝐴(𝛼) en fonction de 𝛼.
b) Déterminer lim 𝐴 (𝛼).
𝛼→+∞
3) Pour la suite, 𝐴′ représente l’aire de la portion de plan comprise entre les droites d’équations 𝑥 = 1 ; 𝑥 = 2 et les
courbes (𝒞) et (𝒞′). On note 𝒱 le volume engendré par la rotation de 𝐴′ autour de l’axe des abscisses.
2
a) Calculer, en intégrant par parties, 𝐼 = ∫1 (𝑥 − 2)𝑒 1−𝑥 𝑑𝑥.
b) Calculer 𝒱 en 𝑐𝑚 3.
On donne : 𝑒 ≈ 2,72 ; 𝑒 2 ≈ 7,39 ; 𝑒 −1 ≈ 0,36 ; 𝑒 −2 ≈ 0,135 ; 𝑙𝑛2 ≈ 0,69.

PARTIE A
Soit 𝑓 la fonction numerique de la variable reelle 𝑥 définie par : 𝑓(𝑥) = 2𝑥√|𝑥 2 − 1| .
1)
a) Donner l’ensemble de définition de 𝑓 et étudier la parité de 𝑓. En déduire le domaine d’étude 𝐸 de 𝑓.
b) Etudier la dérivabilité de 𝑓 au point 𝑥0 = 1. Quelle conclusion géométrique peut-on en tirer ?
c) Etudier les variations de 𝑓 sur 𝐸.
2) On note (𝒞) la courbe representative de 𝑓 dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) (unite graphique : 2 𝑐𝑚).
a) Déterminer une équation de la tangente (∆) à (𝒞) au point d’abscisse 0. Etudier la position de (𝒞) par rapport à ( ∆).
b) Tracer (𝒞) et (∆) et placer le point d’abscisse √2.
PARTIE B
𝑥(𝑡) = cos 𝑡
On considère la courbe paramétrée (Γ) définie par : { (𝑡 𝜖 ℝ).
1)
a) Déterminer les périodes des fonctions 𝑥 et 𝑦. En déduire que la courbe complète (Γ) s’obtient pour 𝑡 𝜖 [−𝜋 ; 𝜋].
b) Comparer 𝑀(𝑡) et 𝑀(−𝑡) pour 𝑡 𝜖 [−𝜋 ; 𝜋] . En déduire que le domaine d’étude peut se réduire à l’intervalle [0 ; 𝜋].
𝑥(𝑡) = cos 𝑡
2) Soit la courbe paramétrée (Γ1 ) d’équations : { ; 𝑡 𝜖 [0 ; 𝜋].
a) Donner une équation cartésienne de (Γ1 ).
b) Déduire la courbe (Γ).
3) Calculer en 𝑐𝑚 3 le volume engendré par la rotation de (Γ1 ) autour de l’axe (𝑂𝑥).
PARTIE C
On donne l’équation complexe d’inconnue 𝑧 definie par : 𝑧 2 + 2(2𝑥 2 − 1)𝑧 + 1 − 𝑦 2 = 0 , 𝑥 𝜖 ℝ, 𝑦 𝜖 ℝ.
Déterminer et représenter dans le même repère que (Γ) l’ensemble (Γ′) des points 𝑀 de coordonnees (𝑥 ; 𝑦) telles que
l’équation ci-dessus n’ait pas de solution réelle.
On rappelle que : ∀ 𝑥 𝜖 ℝ, ∀ 𝑎 𝜖 ℝ, ( 𝑥 2 − 𝑎 2 < 0 ⇔ −|𝑎| < 𝑥 < |𝑎| ) . On donne √2 ≈ 1,4.

PARTIE A
𝑒 𝑒
On définit la suite (𝐼𝑛 )𝑛𝜖ℕ par : 𝐼𝑛 = ∫1 (𝑙𝑛𝑥) 𝑛 𝑑𝑥. On pose 𝐼0 = ∫1 𝑑𝑥.
𝑒 𝑒
1) Calculer 𝐼0 et 𝐼1 .
2)
a) Exprimer 𝐼𝑛 en fonction de 𝐼𝑛−1 et 𝑛, à l’aide d’une intégration par parties.
b) Déterminer 𝐼4.
PARTIE B
Soit 𝑓 la fonction numérique définie par 𝑓 (𝑥) = (𝑙𝑛𝑥) 2 − 1.
1)
a) Etudier 𝑓 dresser son tableau de variation.
b) Soit (∆) la tangente de la courbe (Γ) de 𝑓 au point d’abscisse 𝑒. Déterminer une équation de (∆).
2𝑥
2) On veut étudier la position de (Γ) par rapport à (∆). On définit la fonction numérique ℎ par : ℎ(𝑥) = (𝑙𝑛𝑥)2 − + 1.
𝑒
On pose ℎ′ la fonction la fonction dérivée de ℎ.
a) Etudier ℎ′ et dresser son tableau son tableau de variation.
b) En déduire le sens de variation de ℎ et la position de (Γ) par rapport à (∆). (On remarquera que ℎ(𝑒) = 0).
1
3) Représenter graphiquement (Γ), (∆) et la tangente à (Γ) au point d’abscisse sur un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 )
𝑒
(unité : 2 𝑐𝑚).
4) Soit 𝑔 la fonction numérique définie par : 𝑔(𝑥) = |𝑓(𝑥)|.
a) Dire comment, à partir de (Γ), on peut deduire la courbe (Γ′) de 𝑔.
b) Construire (Γ′) sur le même repère que (Γ).
5) A
1
a) Soit 𝑆 la partie du plan délimitée par les courbes (Γ), (Γ′) et les droites 𝑥 = et 𝑥 = 𝑒. Déterminer son aire 𝐴.
𝑒
b) La rotation de la surface 𝑆 autour da l’axe (𝑂𝑥), engendre un solide de l’espace. Déterminer le volume de ce solide.

PARTIE A
On considère l’équation différentielle : 𝑦 ′ (𝑥) − 𝑦(𝑥) = 𝑥 + 2 (𝐸).
1) Déterminer la fonction affine 𝑡 solution de (𝐸).
2) Montrer que 𝑦 est solution de (𝐸) si et seulement si 𝑦 − 𝑡 est solution de l’équation différentielle 𝑧 ′ (𝑥) − 𝑧(𝑥) = 0 (𝐸 ′ )
3)
a) Résoudre l’équation différentielle (𝐸′)
b) En déduire toutes les solutions de (𝐸).
PARTIE B
Soit 𝑓 la fonction numerique definie sur ℝ par : 𝑓 (𝑥) = 𝑒 𝑥 − 𝑥 − 3.
1)
a) Calculer les limites de 𝑓 aux bornes de son ensemble de définition.
b) Etudier le sens de variation de 𝑓.
c) Dresser le tableau de variation de 𝑓.
2) Soit (𝒞) la courbe représentative de 𝑓 dans un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) ( |𝑖| = |𝑗| = 2 𝑐𝑚 ).
a) Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = −𝑥 − 3 est asymptote oblique à (𝒞). Préciser la position de (𝒞) par
rapport à (𝐷).
b) Construire (𝒞).
3)
a) Déterminer l’aire 𝒜(𝛼) (en 𝑐𝑚 2) du domaine limité par (𝒞), (𝐷) et les droites d’équations 𝑥 = 𝛼 et 𝑥 = 0 (𝛼 < 0)
b) Calculer lim 𝒜(𝛼).
𝛼→−∞
4) Soit 𝑓1 la restriction de 𝑓 à l’intervalle 𝐼 = [0 ; +∞[.
a) Montrer que 𝑓1 est une bijection de 𝐼 sur un intervalle 𝐽 que l’on précisera.
b) Construire la courbe représentative (𝒞′) de 𝑓1 −1 dans le repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ).
c) Montrer que l’équation 𝑓1 (𝑥) = 0 admet une solution unique que l’on encadrera par deux entiers consécutifs.
PARTIE C
Soit 𝑔 la fonction définie par : 𝑔(𝑥) = 𝑙𝑛(𝑥 + 3).
1)
a) Etudier le sens de variation de 𝑔.
b) Dresser le tableau de variation de 𝑔.
c) Construire la courbe représentative (Γ) de 𝑔 dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) ( |𝑖| = |𝑗| = 2 𝑐𝑚 )
2) Soit 𝐺 (𝑥) = (𝑥 + 3)(𝑙𝑛(𝑥 + 3)) 2 − 2(𝑥 + 3) 𝑙𝑛(𝑥 + 3) + 2𝑥.
a) Montrer que 𝐺 est une primitive de la fonction ℎ ∶ 𝑥 ⟼ (𝑙𝑛(𝑥 + 3)) 2.
b) Calculer le volume en 𝑐𝑚 3 du solide engendré par la rotation autour de l’axe des abscisses de l’ensemble des points
−2 ≤ 𝑥 ≤ 0
𝑀 de coordonnées (𝑥 ; 𝑦) du plan tels que : { .
0 ≤ 𝑦 ≤ 𝑔(𝑥)
𝑢0 = 1
3) Soit (𝑢𝑛 ) la suite définie par : { .
𝑢𝑛+1 = 𝑙𝑛 𝑢𝑛 + 3) , ∀ 𝑛 𝜖 ℕ
(
a) En utilisant le sens de variation de 𝑔, montrer par récurrence que la suite (𝑢𝑛 ) est croissante.
b) Montrer par récurrence que la suite (𝑢𝑛 ) est majorée par 2.
c) Montrer que la suite (𝑢𝑛 ) est convergente.
N.B : Les parties 𝐴, 𝐵 et 𝐶 sont indépendantes.
On donne : 𝑒 ≈ 2,72 ; 𝑒 2 ≈ 7,39 ; 𝑙𝑛2 ≈ 0,7 ; 𝑙𝑛3 ≈ 1,1 ; 𝑙𝑛5 ≈ 1,61

1
On considère la fonction numérique 𝑓 de la variable réelle 𝑥 définie par : 𝑓 (𝑥) = 𝑙𝑛𝑥 − où 𝑙𝑛 est la fonction logarithme
𝑥
népérien. On désigne par (𝒞) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 )(unité :2 𝑐𝑚).
PARTIE A
1)
a) Etudier les variations de 𝑓 et dresser son tableau de variation.
b) Montrer que 𝑓 est une bijection de ℝ sur ℝ. Préciser le signe de 𝑓(1) × 𝑓(2). En déduire que l’équation 𝑓(𝑥) = 0
admet une solution unique relle, notee 𝛼, telle que 1 < 𝛼 < 2.
c) Préciser le signe de 𝑓(𝑥) pour tout réel 𝑥 appartenent à chacun des intervalles ]0 ; 𝛼[ et ]𝛼 ; +∞[.
2) Déterminer une équation de la tangente (𝑇) à (𝒞) au point d’abscisse 1. Montrer que (𝒞) possède une branche
parabolique qu’on precisera.
3) Tracer (𝒞) et (𝑇) ainsi que la courbe représentative (𝒞′) de la bijection réciproque 𝑓 −1 de 𝑓 dans le même repère.
4) Soit 𝑃 la partie du plan comprise entre la courbe (𝒞), l’axe des abscisses et les droites d’équations 𝑥 = 1 et 𝑥 = 𝛼.
4(𝛼−1) 2
a) Calculer en 𝑐𝑚 2 l’aire 𝐴(𝛼) de 𝑃 en fonction de 𝛼 puis montrer que 𝐴 (𝛼) = 𝑐𝑚 2 .
𝛼
𝛼
b) Calculer en intégrant deux fois par parties ∫1 (𝑙𝑛𝑥) 2 𝑑𝑥.
c) Calculer en fonction de 𝛼 le volume 𝑉(𝛼) en 𝑐𝑚 3 engendré par la rotation de 𝑃 autour de l’axe des abscisses,
puis exprimer 𝑉(𝛼) sous forme d’une fonction rationnelle en 𝛼.
PARTIE B
𝑓(𝑥)
On définit la fonction numérique 𝑔 sur ℝ∗+ par : 𝑔(𝑥) = 𝑥 − .
𝑓′(𝑥)
1) Calculer 𝑔(𝛼).
2)
𝑓 ′′(𝑥)×𝑓(𝑥)
a) Montrer que 𝑔 est dérivable sur ℝ∗+ et que pour tout 𝑥 de ℝ∗+, 𝑔′ (𝑥) = .
(𝑓 ′( 𝑥) )2
b) Calculer 𝑓 ′′ (𝑥) et en deduire le signe de 𝑔′(𝑥) sur ℝ∗+. En déduire une étude du sens de variation de 𝑔 sur ℝ∗+.
3)
𝑥 2 +2𝑥−𝑥2𝑙𝑛𝑥
a) Montrer que pour tout 𝑥 de ℝ∗+ , 𝑔 (𝑥) = puis déterminer lim 𝑔(𝑥) et lim 𝑔(𝑥).
𝑥 +1 𝑥→0 𝑥→+∞
𝑥>0
b) Dresser le tableau de variation de 𝑔 sur ℝ∗+.
4) Soit 𝐼 = ]0 ; 𝛼] . Montrer que 𝑔(𝐼) = 𝐼.
𝑢0 = 1
5) Soit la suite numérique (𝑢𝑛 ) definie sur ℕ par : {
𝑢𝑛+1 = 𝑔 (𝑢𝑛 ) ∀ 𝑛 𝜖 ℕ
a) Montrer par récurrence que pour tout 𝑛 𝜖 ℕ , 0 < 𝑢𝑛 < 𝛼.
b) Montrer par récurrence que pour tout 𝑛 𝜖 ℕ , 𝑢𝑛 ≤ 𝑢𝑛+1 . (On pourra s’aider du sens de variation de 𝑔 sur ]0 ; 𝛼]).
c) En déduire que la suite (𝑢𝑛 ) est convergente. On admet que sa limite ℓ est la solution de l’équation 𝑔 (𝑥) = 𝑥.
Déterminer alors ℓ.
On donne : 𝑙𝑛2 ≈ 0,7 ; 𝑙𝑛3 ≈ 1,1 ; 𝑙𝑛5 ≈ 1,6

On considère la fonction 𝑓 definie sur ℝ par : 𝑓 (𝑥) = (2𝑥 + 1)𝑒 −𝑥 . On note (𝒞) la courbe representative de 𝑓 dans le plan
rapporté à un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) (unité graphique : 4 𝑐𝑚)
PARTIE A
1)
a) Etudier les variations de 𝑓 sur ℝ.
b) Calculer les limites de 𝑓 en −∞ et +∞, puis dresser son tableau de variation.
2) Construire la courbe (𝒞).
3) Pour tout réel 𝜆 positif, on note 𝐴 (𝜆) l’aire en 𝑐𝑚 2 du domaine plan constitué des points 𝑀(𝑥 ; 𝑦) tels que :
1
− ≤ 𝑥 ≤ 𝜆 et 0 ≤ 𝑦 ≤ 𝑓(𝑥)
2
a) On pose 𝐹 (𝑥) = (𝑎𝑥 + 𝑏) 𝑒 −𝑥 , 𝑎 et 𝑏 étant des nombres réels. Déterminer 𝑎 et 𝑏 tels que 𝐹 ′ (𝑥) = 𝑓(𝑥).
b) En déduire 𝐴 (𝜆)
c) Déterminer lim 𝐴 (𝜆).
𝜆→+∞
PARTIE B
1)
a) Comment trouve-t-on graphiquement les solutions de l’équation : 𝑓 (𝑥) = 𝑥 ?
5
b) Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 𝑥 admet une unique solution 𝛼 dans l’intervalle [1 ; ].
4
c) Montrer que ∀ 𝑥 𝜖 𝐼 , 𝑓 (𝑥) 𝜖 𝐼.
2)
a) Calculer 𝑓′′(𝑥) et etudier les variations 𝑓′ sur 𝐼.
1
b) Montrer que ∀ 𝑥 𝜖 𝐼 , |𝑓′(𝑥)| ≤
2
1
c) En déduire ∀ 𝑥 𝜖 𝐼 , |𝑓(𝑥) − 𝛼| ≤ |𝑥 − 𝛼|.
2
3) Soit (𝑢𝑛 ) la suite definie par son premier terme 𝑢0 = 1, et par la relation de récurrence : 𝑢𝑛+1 = 𝑓(𝑢𝑛 ).
a) Prouver par récurrence sur ℕ que 𝑢𝑛 𝜖 𝐼 , ∀ 𝑛.
b) Prouver que :
1
(i) ∀ 𝑥 𝜖 ℕ , |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼|.
2
1
(ii) ∀ 𝑥 𝜖 ℕ , |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ 𝑛+2.
2
c) Calculer la limites de la suite (𝑢𝑛 ) ?
5 2 3 2 1 1
On donne : 𝑒 −4 ≈ ; 𝑒 −2 ≈ ; 𝑒 ≈ 2,7 ; 𝑒 −2 ≈ 0,6 ; 𝑒 2 ≈ 1,6
7 9

Soit la fonction numérique 𝑓 définie sur ℝ par 𝑓(𝑥) = 𝑒 2𝑥 − 2𝑒 𝑥 − 3. On note (𝒞) la courbe representative de 𝑓 dans le
plan muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) tel que : |𝑖| = |𝑗| = 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
1)
a) Calculer les limites de 𝑓 aux bornes de son ensemble de définition.
b) Etudier le sens de variation de 𝑓.
2)
a) Déterminer les coordonnées du point 𝐴, intersection de (𝒞) avec l’axe des abscisses.
b) Déterminer une équation de la tangente (𝑇) en 𝐴 à (𝒞).
3) Tracer (𝑇) et (𝒞).
4) Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 à ℝ+.
a) Montrer que 𝑔 admet une bijection reciproque 𝑔−1 dont on précisera l’ensemble de définition 𝐽.
b) Quel est le sens de variation de 𝑔−1 sur 𝐽 ? Justifier.
c) Construire la courbe représentative (𝒞′) de 𝑔−1 dans le même repère que (𝒞) (On justifiera la construction de (𝒞′))
d) Montrer que pour tout élément 𝑥 de 𝐽, 𝑔 −1 (𝑥) = 𝑙𝑛(1 + √𝑥 + 4 ). Retrouver alors le résultat établi à la question 4)𝑏
5) Soit 𝐻 la partie du plan formee des points 𝑀(𝑥 ; 𝑦) tels que : 0 ≤ 𝑥 ≤ 𝑙𝑛3 et 𝑓(𝑥) ≤ 𝑦 ≤ 0.
a) Déterminer en 𝑐𝑚 2, l’aire du domaine 𝐻.
b) En déduire, toujours en 𝑐𝑚 2, l’aire du domaine 𝐾 constituee par l’ensemble des points 𝑀(𝑥 ; 𝑦) du plan tels que :
−4 ≤ 𝑥 ≤ 0 et 0 ≤ 𝑦 ≤ 𝑔−1 (𝑥).
PARTIE B
1) Soit ℎ la fonction définie sur ℝ+ par : ℎ(𝑥) = 𝑔−1 (𝑥) − 𝑥. On appelle que 𝑔−1 est continue sur son ensemble de
définition 𝐽.
1 4
𝑙𝑛( +√1+ )
1 𝑙𝑛𝑥 √𝑥 𝑥
a) Montrer que pour tout réel strictement positif 𝑥, ℎ (𝑥) = [ + − 1] puis calculer lim ℎ(𝑥).
2 𝑥 𝑥 𝑥→+∞
b) Montrer que ℎ est strictement décroissante sur ℝ+.

c) Montrer que ℎ est une bijection de ℝ+ sur ] −∞ ; 𝑙𝑛3]. En déduire qu’il existe un réel 𝛼 appartenant à ℝ+ tel que :
ℎ(𝛼) = 0, c’est-à-dire 𝑔 −1 (𝛼) = 𝛼. Montrer en suite que 1 < 𝛼 < 1,4.
2) On pose 𝐼 = [0 ; 𝛼] . Montrer que 𝑔−1 (𝐼) est inclus dans 𝐼.
𝑢0 = 0
3) Soit (𝑢𝑛 ) la suite définie par : { −1 .
𝑢𝑛+1 = 𝑔 (𝑢𝑛 ) , ∀ 𝑛 𝜖 ℕ
a) En utilisant le sens de variation de 𝑔−1 , montrer par récurrence que pour tout entier naturel 𝑛, 𝑢𝑛 ≤ 𝑢𝑛+1.
b) Montrer que pour tout entier naturel 𝑛, 0 ≤ 𝑢𝑛 ≤ 𝛼.
c) Montrer que la suite (𝑢𝑛 ) est convergente.
On donne : 𝑒 ≈ 2,72 ; 𝑒 2 ≈ 7,39 ; 𝑒 −3 ≈ 0,05 ; 𝑙𝑛3 ≈ 1,10

𝑓 (𝑥) = (3 − 𝑥)√𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 0
On considère la fonction numérique 𝑓 d’une variable réelle, définie par : { .
𝑓 (𝑥) = 𝑒 𝑥 − 𝑥 − 1 𝑠𝑖 < 0
On désigne par (𝒞) la courbe representative de 𝑓 dans le plan rapporté à un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) (unité graphique :
2 𝑐𝑚).
PARTIE A
1)
a) Etudier la continuité de 𝑓 en 0.
b) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0. Quelle interprétation géométrique peut-on en faire ?
c) Etudier les variations de 𝑓 et dresser son tableau de variation.
2)
a) Montrer que la droite (∆) d’équation 𝑦 = −𝑥 − 1 est asymptote à (𝒞) en −∞. Préciser la position de (𝒞) par
rapport à (∆) pour 𝑥 < 0.
b) Ecrire une équation de la tangente (𝑇) à (𝒞) au point d’abscisse 3.
c) Construire la courbe (𝒞), la tangente (𝑇) et la droite (∆).
PARTIE B
1) Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 à l’intervalle ] −∞ ; 0[.
a) Montrer que 𝑔 réalise une bijection de ]−∞ ; 0[ sur un intervalle que l’on déterminera.
b) Tracer la courbe représentative (Γ) de la réciproque 𝑔 −1 de 𝑔 dans le même repère que (𝒞). On justifiera la
construction.
c) On considère la fonction ℎ definie sur ℝ+ par : ℎ(𝑥) = −|𝑓(𝑥)|. Sans étudier les variations de ℎ, representer
graphiquement dans le même repère que (𝒞). On justifiera la construction. On notera (𝒞′) la courbe représentative
de ℎ.
2)
a) On considère le domaine plan (𝐸) delimitee par les courbes (𝒞), (𝒞′) et les droites d’équations 𝑥 = 0 et 𝑥 = 3.
Calculer l’aire 𝒜 de (𝐸) en 𝑐𝑚 2.
b) Déterminer en 𝑐𝑚 3 le volume du solide engendré par la rotation de (𝐸) autour de l’axe des abscisses.

𝑥(𝑡) = 𝑒 2𝑡
3) Soit (ℰ) l’ensemble des points 𝑀(𝑥 ; 𝑦) du plan definis parametriquement par : { , 𝑡 ≥ 0.
𝑦 (𝑡) = 3𝑒 𝑡 − 𝑒 3𝑡
a) Exprimer 𝑦 en fonction de 𝑥.
b) En déduire que (ℰ) est une partie de (𝒞) que l’on précisera.
1
On donne : ≈ 0,36 ; √3 ≈ 1,7
𝑒

PARTIE A
𝑒 −2𝑥
On considère la fonction 𝑔 definie par : 𝑔 (𝑥) = .
1−2𝑥
1)
a) Déterminer l’ensemble de définition 𝒟 de 𝑔.
b) Etudier les limites de 𝑔 aux bornes de 𝒟 (pour la limite en −∞, on pourra poser 𝑋 = −2𝑥).
2)
a) Etudier les variations de 𝑔 puis dresser son tableau de variation.
b) Construire la courbe représentative (𝒞) de 𝑔 dans un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) (unité graphique : 2 𝑐𝑚).
3) On désigne par 𝑔1 la fonction définie par 𝑔1 (𝑥) = 𝑔(|𝑥|) (où |𝑥| désigne la valeur absolue de 𝑥) et par (𝒞′) sa courbe
représentative dans le repère orthonormal précédent.
a) Déterminer l’ensemble de définition de 𝑔1 puis étudier la parité de 𝑔1 .
b) Construire (𝒞′) sans étudier les variations de 𝑔1 (On distinguera (𝒞) de (𝒞′) par des pointillés) ; justifier la
construction.
1 0
4) Soit ℎ la fonction définie par ℎ(𝑥) = 𝑔 ( 𝑥). On pose 𝐼(𝛼) = ∫𝛼 ℎ(𝑥) 𝑑𝑥 avec 𝛼 < 0.
2
𝑒−𝑥
a) Montrer que pour tout 𝑥 de [𝛼 ; 0] , ≤ ℎ(𝑥) ≤ 𝑒 −𝑥 .
1−𝛼
b) En déduire un encadrement de 𝐼(𝛼).
PARTIE B
On considère une famille de fonctions 𝑓𝑎 (𝑎 est un réel) définies par 𝑓𝑎 (𝑥) = (𝑎𝑥 + 1)𝑒 −2𝑥 et on désigne par (𝒞𝑎 ) la
courbe représentative de 𝑓𝑎 .
1) Etudier les variations de 𝑓𝑎 . On distinguera les cas : 𝑎 = 0 ; 𝑎 < 0 ; 𝑎 > 0.
2) On se place dans le cas où (𝒞𝑎 ) admet un extremum 𝑆𝑎.
a) Exprimer les coordonnées de 𝑆𝑎 en fonction de 𝑎.
b) Montrer que l’ensemble des points 𝑆𝑎 lorsque 𝑎 parcourt ℝ∗ est une courbe dont on précisera une équation
cartésienne.
PARTIE C
On suppose dans cette partie que 𝑎 = 1.
1) Construire (𝒞1 ) dans un autre repère orthonormal (unité graphique : 2 𝑐𝑚).
2) Soit 𝜆 un reeel ; on considère le solide de révolution engendré par la rotation autour de l’axe des abscisses de l’ensemble
−1 ≤ 𝑥 ≤ 𝜆
des points 𝑀(𝑥 ; 𝑦) de (𝒞1 ) tels que { .
0 ≤ 𝑦 ≤ 𝑓1 (𝑥)
a) Calculer le volume 𝑉(𝜆) du solide en 𝑐𝑚 3 (on pourra utiliser une double intégration par parties).
b) Calculer la limite de 𝑉(𝜆) quand 𝜆 tend vers +∞.
On donne : 𝑒 ≈ 2,7 ; 𝑒 −1 ≈ 0,4 ; 𝑒 2 ≈ 7,34.

PARTIE A
𝑥
Soit la fonction numérique 𝑔 définie sur ]1 ; +∞[ par : 𝑔 (𝑥) = − 𝑙𝑛(𝑥 − 1) où , 𝑙𝑛 désigne la fonction logarithme
2𝑥−1
népérien.
1) Etudier le sens de variation de g.
2)
a) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 a une unique solution 𝛼 dans ]1 ; +∞[.
b) Montrer que 2 < 𝛼 < 3 .
3) En déduire le signe de 𝑔 sur ]1 ; +∞[
PARTIE B
2𝑙𝑛(𝑥−1)
On considère la fonction 𝑓 sur ]1 ; +∞[ par 𝑓(𝑥) = 2 . Soit (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans un repère
𝑥 −𝑥
(𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ). Unité graphique : 2 𝑐𝑚 sur (𝑥’𝑂 𝑥) ; et 4 𝑐𝑚 sur ( 𝑦’𝑂 𝑦) .
1) Calculer les limites de 𝑓 en 1 et en +∞. Interpréter les résultats .
2)
2(2𝑥−1)
a) Montrer que pour tout 𝑥 de ]1 ; +∞[, 𝑓’(𝑥) = 2 2 × 𝑔(𝑥) . En déduire les variations de 𝑓.
(𝑥 −𝑥)
2
b) Montrer que 𝑓(𝛼) = et dresser le tableau de variation de 𝑓.
(𝛼−1)(2𝛼−1)
3) Construire la courbe (𝐶).
PARTIE C
On se propose de donner un encadrement de l’aire 𝐴 exprimer en 𝑐𝑚2 de l’ensemble des points 𝑀(𝑥 ; 𝑦) tels que :
5
2≤𝑥 ≤
{ 2
0 ≤ 𝑦 ≤ 𝑓(𝑥)
1)
1 2 1
a) Montrer que pour tout 𝑥 ≥ 2 on a : 2
≤ 2 ≤
(𝑥−1) 𝑥 −𝑥 𝑥−1
𝑙𝑛(𝑥−1) ln ( 𝑥−1)
b) En déduire que pour tout 𝑥 ≥ 2, ≤ 𝑓 (𝑥) ≤
(𝑥−1) 2 ( 𝑥−1)
2)
5
𝑙𝑛( 𝑥−1)
a) Calculer 𝐼 = ∫22 ( 𝑥−1)
𝑑𝑥
5
𝑙𝑛(𝑥−1)
b) En utilisant une intégration par parties, calculer 𝐽 = ∫22 𝑑𝑥
(𝑥−1) 2
3)
5
a) Déduire de ce qui précède un encadrement de 𝐾 = ∫22 𝑓(𝑥) 𝑑𝑥
b) Exprimer A en fonction de 𝐾, puis en déduire un encadrement de 𝐴.
On donne 𝑙𝑛(2) = 0,69 et 𝑙𝑛(3) = 1,09 , 𝛼 = 2,85 et 𝑓(𝛼) = 0,25

3 𝑥
−𝑥 + − 2 ; 𝑠𝑖 𝑥 ∈] − ∞ ; 1]
Soit 𝑓 ∶ 𝐼𝑅 ⟶ 𝐼𝑅, 𝑥 ↦ { 2 𝑥 +1
(𝑥 − 1)𝑒 −𝑥+1 ; 𝑠𝑖 𝑥 ∈ ]1; +∞[
PARTIE A
1)
(𝑥−1)(−2𝑥 2+𝑥−3)
a) Montrer que pour tout 𝑥 de ] − ∞ ; 1 [ , 𝑓(𝑥) =
2(𝑥2+1)
b) Résolvez dans 𝐼𝑅 l’équation : 𝑓(𝑥) = 0.
2) On admet que 𝑓 est dérivable sur ] − ∞ ; 1[ et sur ]1 ; +∞[
a) Justifier la continuité de 𝑓 sur 𝐼𝑅.
b) Etudier la dérivabilité de 𝑓 au point 1. Interpréter graphiquement ce résultat. Sur quel sous ensemble 𝐷 de 𝐼𝑅 𝑓 est-
elle dérivable ?
c) Calculer 𝑓’(𝑥) pour tout 𝑥 de 𝐷.
d) Etudier les variations de 𝑓. Calculer les limites de 𝑓 en −∞ et en +∞ , puis dresser le tableau de variation de 𝑓.
3)
a) Montrer que (𝐶𝑓) admet une asymptote oblique (𝐷) en −∞ dont vous préciserez une équation.
b) Etudier la position de (𝐶𝑓) par rapport à (𝐷) sur ] − ∞ ; 1].
4)
a) Donner une équation de la tangente (𝑇) à (𝐶𝑓) au point 𝐴 d’abscisse 0.
b) Etudier la position de (𝐶𝑓) par rapport à (𝑇) sur ] − ∞ ; 1].
c) Déterminer le point 𝐵 de (𝐶𝑓) d’abscisse 𝑎, 𝑎 < 1 , en lequel la tangente (𝛥) est parallèle à la droite (𝐷).

5) Dans le repère (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ), placer les points 𝐴 et 𝐵. Tracez les tangentes à (𝐶𝑓 ) au point d’abscisse 1, puis tracez (𝐷) ;
(𝑇) ; (𝛥) et (𝐶𝑓).
PARTIE B
Soit g la restriction de 𝑓 à l’intervalle ] − ∞ ; 1].
1)
a) Montrer que g est une bijection de ] − ∞ ; 1] sur un intervalle que vous préciserez.
b) Sans expliciter la bijection réciproque 𝑔−1 de 𝑔, dresser son tableau de variations.
2) Construisez dans le repère (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) la courbe de (𝐶𝑔−1 ) de 𝑔−1 , en expliquant la construction.
3
3) Calculer en 𝑐𝑚² l’aire de la partie du plan délimitée par (𝐶𝑓), la droite d’équation 𝑥 = et les axes du repère.
2
PROBLEME 16 (BAC 2001 – Remplacement)

L’objet de ce problème est de résoudre l’équation : (𝐸 ) ∶ 𝑥 2 𝑒 𝑥+1 + 1 = 𝑥 + 4.
PARTIE A
Soit 𝑓 la fonction numérique définie sur ℝ par 𝑓 (𝑥) = 𝑥 2 𝑒 𝑥+1 + 1 et (𝐷) la droite d’équation 𝑦 = 𝑥 + 4.
On considère dans un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) du plan 𝑃, la courbe (𝐻) de la fonction 𝑓 et de la droite (𝐷). On définit
la transformation 𝑡 de 𝑃 dans 𝑃 qui, à tout point 𝑀 d’affixe 𝑧, associe le point 𝑀′ d’affixe 𝑧′ tel que 𝑧 ′ = 𝑧 + 2 − 2𝑖.
1)
a) Quelle est la nature de la transformation 𝑡 ?
b) Exprimer les coordonnées (𝑥 ′ ;𝑦 ′ ) de 𝑀′ en fonction des coordonnées (𝑥 ; 𝑦) de 𝑀.
2)
a) Déterminer une équation cartésienne de (𝐶) image de (𝐻) par 𝑡.
b) Déterminer une équation cartésienne de (∆) image de (𝐷) par 𝑡.
c) Soit 𝑂′ l’image de 𝑂 par 𝑡. Déterminer les coordonnées de 𝑂′.
PARTIE B
On se propose dans cette partie de faire l’étude de (𝐶) ∩ (∆).
1) On considère la fonction 𝑔 définie dans ℝ par 𝑔(𝑥) = (𝑥 − 2) 2𝑒 𝑥+1 − 1.
a) Montrer que l’ensemble des solutions de l’équation 𝑓 (𝑥) = 𝑥 + 4 se déduit de celui de l’équation 𝑔(𝑥) = 𝑥.
b) Etudier les variations de 𝑔 et dresser son tableau de variations. (On donne lim 𝜈 2 𝑒 𝜈 = 0)
𝑥→−∞
c) Donner une équation de la tangente (𝑇) à (𝐶) au point d’abscisse 1.
𝑔(𝑥)
d) Calculer lim . Quelle interprétation pouvez-vous en déduire ?
𝑥→+∞ 𝑥
e) Donner une équation de l’asymptote à (𝐶) en −∞.
f) Tracer (∆), (𝑇) et (𝐶) dans le repère (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ). (Unité 2 𝑐𝑚)
2) On considère l’ensemble 𝐸 des points 𝑀 dont les coordonnées (𝑥 ; 𝑦) vérifient 1 ≤ 𝑥 ≤ 2 et 𝑔(𝑥) ≤ 𝑦 ≤ 0.
Calculer en 𝑐𝑚 2 l’aire de 𝐸.
1
3) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 𝑥 admet une unique solution 𝑥 0 et 𝑥0 𝜖 ]0 ; [. (On pourra utiliser ℎ(𝑥) = 𝑔(𝑥) − 𝑥 ).
2
PARTIE C
1
𝑢0 = 1
1) Soit 𝑢 la suite définie par : { 4 et 𝐼 = [0 ; ]
𝑢𝑛+1 = 𝑔(𝑢𝑛 ) ; 𝑛 𝜖 ℕ 2
a) Montrer que pour tout 𝑥 𝜖 𝐼 ; 𝑔(𝑥) 𝜖 𝐼

b) En déduire que pour tout 𝑛 𝜖 ℕ, 𝑢𝑛 𝜖 𝐼
1
2) Montrer que pour tout 𝑥 𝜖 𝐼 ; |𝑔′(𝑥)| ≤
2
3)
1
a) En utilisant l’inégalité de la moyenne, montrer que : pour tout 𝑥 𝜖 𝐼 ; |𝑔(𝑥) − 𝑥 0 | ≤ |𝑥 − 𝑥0 |.
2
1 1
b) En déduire que pour tout 𝑛 𝜖 ℕ ∶ 𝑥 𝜖 𝐼 ; |𝑢𝑛+1 − 𝑥0 | ≤ |𝑢𝑛 − 𝑥0 | puis que |𝑢𝑛 − 𝑥 0 | ≤
2 2𝑛+2
4)
a) Quelle est la limite de 𝑢.
b) Déterminer un entier 𝑛0 tel que pour tout 𝑛 ≥ 𝑛0 ; |𝑢𝑛 − 𝑥0 | ≤ 10−3 .

1 1 𝑙𝑛10
−
On donne : 𝑒 ≈ 2,72 ; 𝑒 ≈ 1,65 ;
2 𝑒 2 ≈ 0,60 ; 𝑒 −2 ≈ 0,14 ; 𝑒 −1 ≈ 0,37 ; 𝑒 2 ≈ 7,39 ; ≈ 3,32
𝑙𝑛2
𝑥 − 𝑥𝑙𝑛(−𝑥) ; 𝑠𝑖 𝑥 < 0
Soit 𝑓 la fonction définie sur ℝ par : 𝑓 (𝑥) = { 0 ; 𝑠𝑖 𝑥 = 0
−1
𝑥𝑒 𝑥 ; 𝑠𝑖 𝑥 > 0
On note (𝐶𝑓) la courbe représentative de 𝑓 dans un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ). Unité graphique 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
1) Montrer que la fonction est continue sur ℝ
2) Etudier les limites de 𝑓 en −∞ et en +∞ .
3) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0. Donner une interprétation graphique de ce résultat.
4) Etudier les variations de 𝑓 ;
5)
𝑓(𝑥)
a) Etudier la limite de en −∞ . Que peut-on en déduire pour la courbe (𝐶𝑓 ) ?
𝑥
b) Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = 𝑥 − 1 est asymptote à la courbe (𝐶𝑓) au voisinage de +∞ . (On pourra
1
poser 𝑋 = − )
𝑥
6) Construire la courbe (𝐶𝑓 ) et la droite (𝐷). On prendra le tangentes et demi-tangentes aux points d’abscisses :
– 𝑒 ; −1 ; 0).
PARTIE B
−𝑒
Pour tout entier naturel 𝑛, on pose 𝑈𝑛 = ∫−1 𝑓(𝑥) 𝑑𝑥
𝑛
1
1) En étudiant le signe de 𝑓 sur [−𝑒 ; − ], montrer que 𝑈𝑛 ≥ 0 ; pour tout 𝑛 𝜖 ℕ .
𝑛
2) Sans calculer explicitement 𝑈𝑛 , déterminer le signe de 𝑈𝑛+1 + 𝑈𝑛 . En déduire que la suite (𝑈𝑛 ) est croissante.
−𝑒 𝑒2 1 𝑙𝑛(𝑛)
3) A l’aide d’une intégration par parties, montrer que : ∫−1 𝑥𝑙𝑛(−𝑥)𝑑𝑥 = + + . En déduire l’expression de 𝑈𝑛
𝑛 4 4𝑛2 2𝑛2
en fonction de 𝑛. Donner une interprétation graphique de 𝑈𝑛 .
4) Calculer la limite (si elle existe ) de 𝑈𝑛 quand 𝑛 tend vers +∞. En déduire l’aire 𝐴 , en 𝑐𝑚², de la partie du plan
délimitée par (𝐶𝑓), les axes des coordonnées et la droite d’équation 𝑥 = − 𝑒 .
PARTIE C
1
𝑥(𝑡) =
𝑡
On considère le mouvement d’un mobile 𝑀 dont les coordonnées en fonction du temps sont : { 𝑒−𝑡
; 𝑡>0
𝑦(𝑡) =
𝑡
1) Déterminer l’équation de la trajectoire du mobile 𝑀 .
2) Construire (en pointillées) dans le même repère que (𝐶𝑓) la trajectoire du mobile 𝑀.
𝑒𝑥 −1
On donne : 𝑒 = 2,72 ; 𝑒 2 = 7,39 ; lim 𝑥𝑙𝑛𝑥 = 0 ; lim =1
𝑥→0 𝑥→0 𝑥

La figure ci-dessous est la représentative (𝐶) dans un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) d’une fonction 𝑓 définie et dérivable sur
ℝ ainsi que son asymptote (𝐷) et sa tangente (𝑇) au point d’abscisse 0.
On sait que le point 𝐴 (0 ; 1) est le centre de symétrie de la courbe (𝐶), que l’asymptote (𝐷) passe par les points 𝐵(−1 ; 0) et
𝐴, que la tangente (𝑇) a pour équation 𝑦 = (1 − 𝑒) 𝑥 + 1.

PARTIE A
1) Déterminer une équation de (𝐷)
2) On suppose qu’il existe deux réels 𝛼 et 𝛽 et une fonction 𝑔 définie sur ℝ telle que, pour tout réel 𝑥,
𝑓(𝑥) = 𝛼𝑥 + 𝛽 + 𝑔 (𝑥) avec lim 𝑔(𝑥) = 0 = lim 𝑔(𝑥)
𝑥→∞ 𝑥→+∞
a) Déterminer 𝛼 et 𝛽.
b) Montrer que, pour tout réel 𝑥, on a : 𝑓 (𝑥) + 𝑓(−𝑥) = 2
c) En déduire que la fonction 𝑔 est impaire, puis que la fonction 𝑓′, dérivée de 𝑓, est paire.
2
3) On suppose maintenant que, pour tout réel 𝑥, 𝑔(𝑥) = (𝑎𝑥 + 𝑏)𝑒 −𝑥 où 𝑎 et 𝑏 sont des réels. Montrer, en utilisant les
données et résultats précédents que 𝑎 = −𝑒.
PARTIE B
2
1) On considère la fonction ℎ définie sur ℝ par : ℎ(𝑥) = 1 + 𝑥 − 𝑥𝑒 −𝑥 +1 .
a) Calculer ℎ(𝑥)
b) Vérifier que la droite (𝑇) d’équation 𝑦 = (1 − 𝑒) 𝑥 + 1 est tangente à la courbe de ℎ au point d’abscisse 0.
c) Etudier la position de (𝑇) et de la courbe de ℎ.
d) Vérifier que la droite d’équation 𝑦 = 1 + 𝑥 est asymptote à la courbe de ℎ.
e) Etudier la position relative de la courbe de ℎ et de son asymptote.
Dans tout ce qui suit on admettra que la courbe de (𝐶) décrite à l’introduction est la courbe représentative de ℎ.
2) Le graphique suggère l’existence d’un minimum relative de ℎ sur [0 ; 1].
a) Montrer que ℎ′′(𝑥) est du signe de 6𝑥 − 4𝑥 3.
b) Montrer que l’équation ℎ ′(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛾 sur [0 ; 1].
c) Montrer que 0,51 < 𝛾 < 0,52.
d) Exprimer ℎ(𝛾) sous la forme d’un quotient de deux polynômes.
PARTIE C

Sur le graphique, la courbe (𝐶) est très proche de son asymptote pour les points d’abscisses supérieures ou égales à 2,4.
Cette partie propose de préciser cette situation en calculant pour tout réel 𝜆 positif ou nul, l’aire 𝐴 (𝜆), exprimée en unité
d’aire, du domaine délimité par (𝐶), (𝐷) et les droites d’équations 𝑥 = 0 et 𝑥 = 𝜆.
1) Exprimer 𝐴 (𝜆) en fonction de 𝜆.
2) Déterminer la limite 𝐴 de 𝐴 (𝜆) lorsque 𝜆 tend vers +∞.
On donne : 𝑒 ≈ 2,7 ; 𝑒 0,74 ≈ 2,09 ; 𝑒 0,73 ≈ 2,07
PARTIE A
1
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : 𝑓(𝑥) = (𝑥 + 4)𝑒 −2𝑥 et (𝐶) sa courbe représentative dans le plan muni d’un
repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) ; unité graphique : 2 𝑐𝑚
1)
a) Calculer lim 𝑓(𝑥) et lim 𝑓(𝑥) . Préciser les asymptotes s’il y a lieu.
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
𝑓(𝑥)
Calculer lim ; quelle interprétation géométrique peut-on en faire ?
𝑥→+∞ 𝑥
b) Etudier les variations de f puis dresser son tableau de variations.
c) Montrer que (𝐶) coupe l’axe des abscisses en un point unique. Préciser l’abscisse de ce point
2)
a) Donner une équation de la tangente (𝑇) à la courbe (𝐶) au point d’abscisse 0
b) On veut préciser la position de (𝐶) par rapport à (𝑇).
On pose 𝑦 = l’équation de (𝑇) et on pose ℎ(𝑥) = 𝑓(𝑥) − 𝜑(𝑥). Calculer ℎ’(𝑥) et ℎ’’(𝑥)
Etudier les variations de la fonction ℎ’ et en déduire le signe de ℎ’(𝑥) ; puis par un raisonnement analogue,
déterminer le signe de ℎ(𝑥).
Préciser alors la position de (𝐶) par rapport à (𝑇)
3)
a) Calculer 𝑓(2) et 𝑓(4)
b) Tracer (𝑇) puis construire (𝐶)
PARTIE B
1
1) Déterminer les réels 𝑎 et 𝑏 pour que la fonction 𝐹 définie sur ℝ par : 𝐹(𝑥) = (𝑎𝑥 + 𝑏)𝑒 −2𝑥 soit une primitive de 𝑓 sur ℝ
2) Soit 𝜆 un réel supérieur ou égal à −4. Calculer en 𝑐𝑚 2, l’aire 𝒜(𝜆) de la surface limitée par (𝐶), l’axe des abscisses et
les droites d’équations 𝑥 = −4 et 𝑥 = 𝜆. Calculer lim 𝒜(𝜆)
𝜆→+∞
3)
a) Déterminer les réels 𝛼 ; 𝛽 ; 𝛾 pour que la fonction 𝐺 définie sur ℝ par : 𝐺(𝑥) = (𝛼𝑥 2 + 𝛽𝑥 + 𝛾)𝑒 −𝑥 soit une
primitive de g définie sur ℝ par : 𝑔(𝑥) = (𝑥 2 + 8𝑥 + 16)𝑒 −𝑥
b) Calculer en 𝑐𝑚 3 le volume 𝑉(𝜆) du solide engendré par la rotation de la surface définie autour de l’axe des
abscisses. Calculer lim 𝑉(𝜆)
𝜆→+∞
PARTIE C
1
Soit 𝑘 la fonction définie sur ℝ par : 𝑘(𝑥) = |𝑥 + 4|𝑒 −2𝑥
1) Expliquer comment obtenir à partir (C) de la courbe représentative (𝐶’) de 𝑘. Construire (𝐶’) dans le même repère que
(𝐶). (On représentera (𝐶’) en pointillés.)
2) A l’aide du graphique, donner en fonction du paramètre 𝑚 le nombre de solutions de l’équation dans ℝ,
1
|𝑥 + 4|𝑒 −2𝑥 = 𝑚
On donne : 𝑒 ≈ 2,7 ; 𝑒 −1 ≈ 0,4 ; 𝑒 −2 ≈ 0,13 ; 𝑒 −2 ≈ 7,3
𝑓 (𝑥) = √𝑥 2 − 𝑥 − 2 − 1 𝑠𝑖 ≥ 2
On considère la fonction 𝑓 définie par : { 𝑥 2−4𝑥+5
𝑓(𝑥) = 2 𝑠𝑖 𝑥 < 2
𝑥 −4𝑥+3

On note (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) (unité graphique : 1 𝑐𝑚).
1) Déterminer 𝐸 le domaine de définition de 𝑓.
2) Déterminer les limites de 𝑓 aux bornes de 𝐸.
3
3) Montrer que la droite (∆) d’équation : 𝑦 = 𝑥 − est asymptote à (𝐶) en +∞.
2
4) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 2 et interpréter graphiquement le résultat.
5) Etudier les variations de 𝑓 et dresser le tableau de variation.
6)
a) Déterminer une équation de la tangente (𝑇) au point d’abscisse 0.
b) Tracer les asymptotes, la tangente (𝑇) et la courbe (𝐶).
7) Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 à l’intervalle ] −∞ ; 1[
a) Montrer que 𝑔 admet une bijection réciproque 𝑔−1 définie sur un intervalle à préciser.
b) Construire la courbe (Γ) de 𝑔−1 dans le même repère que (𝐶). (Justifier la construction)
8) Discuter graphiquement le nombre de solutions de l’équation 𝑓 (𝑥) = 𝑚 où 𝑚 𝜖 ℝ.
9) A
𝑏 𝑐
a) Déterminer trois réels 𝑎, 𝑏 et 𝑐 tels que 𝑔 (𝑥) = 𝑎 + + avec 𝑥 < 1
𝑥−1 𝑥−3
b) Calculer l’aire 𝐴 𝛼 du domaine limité par les courbes d’équations 𝑥 = 0 , 𝑥 = 𝛼 (0 < 𝛼 < 1); 𝑦 = 1 et la courbe (𝐶).
On donne √10 ≈ 3,16 ; √18 ≈ 4,24.
PARTIE A
1) Résoudre dans ℝ l’inéquation : 𝑒 𝑥 − 𝑒 2𝑥 ≥ 0.
2) On considère la fonction 𝑢 définie sur ]−∞ ; 0] par 𝑢(𝑥) = √𝑒 𝑥 − 𝑒 2𝑥 .
𝑢(𝑥) 𝑒𝑥 𝑒𝑥−1
a) Montrer que pour tout réel 𝑥 < 0 , = −√− ×
𝑥 𝑥 𝑥
𝑢(𝑥)
b) Calculer lim
𝑥→0 𝑥
𝑥<0
1 1
3) Soit 𝑣 la fonction définie sur ]0 ; +∞[ par 𝑣(𝑥) = 𝑙𝑛(1 + ) − .
𝑥 𝑥+1
a) Etudier les variations de 𝑣.
b) Dresser son tableau de variation.
c) En déduire le signe de 𝑣 sur ]0 ; +∞[
PARTIE B
𝑓(𝑥) = √𝑒 𝑥 − 𝑒 2𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 0
On considère la fonction 𝑓 définie par : { 1 et on désigne par (𝐶) sa courbe représentative dans
𝑓(𝑥) = 𝑙𝑛(1 + ) 𝑠𝑖 𝑥 > 0
𝑥
un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) ; unité graphique : 2 cm.
1) Montrer que 𝑓 est continue sur ℝ.
2)
a) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0. (On pourra utiliser le résultat de la PARTIE A. 2))
b) Interpréter graphiquement ce résultat.
3)
a) Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = 1 est asymptote à (𝐶) en +∞
b) Etudier les variations de 𝑓. [Pour l’étude sur ]0 ; +∞[, on pourra utiliser la question 3) de la PARTIE A.].
d) Construire la courbe (𝐶).
4)
a) Montrer que la restriction de 𝑓 à l’intervalle 𝐼 = [−𝑙𝑛2 ;0] réalise Une bijection de 𝐼 sur un intervalle 𝐽 que l’on
précisera.
1+√1−4𝑥 2
b) Montrer que l’application réciproque de cette restriction est définie pour, tout 𝑥 de 𝐽 par : 𝑓 −1 (𝑥) = 𝑙𝑛 ( ).
2
c) Construire dans le repère précédent, la courbe représentative (Γ) de cette réciproque.
PARTIE C
1) Soit 𝛼 un réel donné, 0 < 𝛼 < 1, on désigne par 𝐴(𝛼) l’aire en 𝑐𝑚 2 de la partie limitée par la courbe (𝐶), la droite (𝐷)
et les droites d’équations 𝑥 = 𝛼 et 𝑥 = 1.
𝑥 1
En remarquant que = 1− , montrer en utilisant une intégration par parties que :
𝑥+1 𝑥+1
1
𝐴 (𝛼) = 2 [1 − 𝛼 − 𝑙𝑛(𝛼 + 1) + 𝛼 2 𝑙𝑛(1 + ].
𝛼
Calculer la limite de 𝐴(𝛼) quand 𝛼 tend vers 0.
−𝑙𝑛2 ≤ 𝑥 ≤ 0
2) Soit (𝐸) la partie du plan, ensemble des points 𝑀(𝑥 ; 𝑦) tels que : { .
0 ≤ 𝑦 ≤ 𝑓(𝑥)
La rotation de (𝐸) autour de l’axe des abscisses engendre un solide 𝑆.
Calculer en 𝑐𝑚 3, le volume 𝑉 de 𝑆.
On donne : 𝑙𝑛2 ≈ 0,7
𝑒−𝑥
On considère la fonction Numérique f définie par : 𝑓(𝑥) = et on désigne par (𝐶𝑓) sa courbe représentative dans un
1+𝑒−𝑥
repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) unité : 4 𝑐𝑚
PARTIE A
1)
a) Justifier que 𝑓 est définie sur ℝ
b) Calculer lim 𝑓(𝑥) et lim 𝑓(𝑥)
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
2)
a) Justifier que est dérivable sur ℝ et calculer pour tout réel 𝑥 l’expression 𝑓 ‘(𝑥)
b) Etudier les variations de 𝑓 puis dresser son tableau de variations.
3)
a) Montrer que la fonction 𝑓 réalise une bijection de ℝ vers un intervalle 𝐽 que l’on précisera. Expliciter la bijection
réciproque 𝑓 −1
b) Construire dans le même la courbe (𝐶𝑓) et la courbe représentative (𝛤) de 𝑓 −1 . On justifiera le tracé de (𝛤) sans
étudier les variations de 𝑓 −1 .
4)
a) soit 𝜆 > 0, calculer en 𝑐𝑚 2, l’aire 𝐴(𝜆) de la partie du plan limitée par la courbe (𝐶𝑓 ) et les droites d’équations
𝑥 = 0 et 𝑥 = 𝜆 et 𝑦 = 0
b) Calculer lim 𝒜(𝜆)
𝜆→+∞
PARTIE B
Soit la fonction ℎ définie par : ℎ(𝑥) = 1 − 𝑥𝑒 𝑥 –𝑥
1) Calculer pour tout réel 𝑥, les expressions ℎ’(𝑥) et ℎ’’(𝑥) de la dérivée première et la dérivée seconde de ℎ
2) Etudier le sens de variation de ℎ’ et calculer ℎ’(−2). En déduire le signe de ℎ’
3)
a) Quel est le sens de variation de ℎ ? Dresser son tableau de variations.
b) Montrer que l’équation ℎ(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 et vérifier que 𝛼 ∈ [0 ; 1]
4) Montrer que α est solution de l’équation 𝑓(𝑥) = 𝑥.
5) Soit 𝐼 = [0 ; 1].
a) Montrer que pour tout 𝑥 ∈ [0 ; 1] , 𝑓(𝑥) est élément de 𝐼
b) Montrer que si 𝑥 ∈ [0 ; 1] alors (1 + 𝑒 −1 ) 2 ≤ (1 + 𝑒 −𝑥 )2 ≤ 4
𝑒 2
c) En déduire que pour tout 𝑥 de 𝐼, |𝑓′(𝑥)| ≤ ( )
1+𝑒
1
𝑈0 =
6) Soit (𝑈𝑛 )𝑛≥0 la suite numérique définie par : { 2
𝑈𝑛+1 = 𝑓 (𝑈𝑛 ), 𝑛 ∈ ℕ
a) Montrer que pour tout 𝑛 de ℕ, 𝑈𝑛 est élément de 𝐼
𝑒
b) On pose 𝑘 = , montrer en utilisant l’inégalité de la moyenne que pour tout réel 𝑥 de 𝐼, |𝑓(𝑥) − 𝛼| ≤ 𝑘 2 |𝑥 − 𝛼|.
1+𝑒

1
c) En déduire que pour tout 𝑛 de ℕ ; |𝑈𝑛+1 − 𝛼| ≤ 𝑘 2 |𝑈𝑛 − 𝛼| puis que |𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ 𝑘 2𝑛
2
d) En déduire que 𝑈𝑛 est convergente et préciser sa limite.
On donne 𝑒 ≈ 2,72 ; 𝑒 −1 ≈ 0,37 ; 𝑒 −0,5 ≈ 0,61 ; 𝑒 0,5 ≈ 1,65

Le plan est muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) ; unité : 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
Soit ℎ la fonction définie sur ℝ par : ℎ(𝑥) = 2𝑒 𝑥 − (𝑥 + 2)
1) Calculer : lim ℎ(𝑥) et lim ℎ(𝑥).
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
2) Calculer l’expression ℎ ′(𝑥) de la fonction dérivée de ℎ, étudier son signe puis dresser le tableau de variations de ℎ.
3)
a) Montrer que l’équation ℎ(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 dans l’intervalle ]−∞ ; −𝑙𝑛2[. Vérifier que
𝛼 𝜖 ]−2 ; −1[.
b) Calculer ℎ(0) ; déterminer le signe de ℎ(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥.
PARTIE B
1−2𝑒𝑥
Soit 𝑔 la fonction définie par : 𝑔(𝑥) = ; (𝐶) est la courbe représentative de 𝑔.
1+2𝑥𝑒𝑥
1) Soit 𝑡 la fonction définie par : 𝑡(𝑥) = 1 + 2𝑥𝑒 𝑥 .
a) Calculer l’expression 𝑡′(𝑥) de la fonction dérivée de 𝑡 ; déterminer le sens de variations de 𝑡.
b) Calculer 𝑡(−1) puis, déterminer le signe de 𝑡(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥.
c) En déduire que la fonction 𝑔 est définie sur ℝ.
2) Calculer lim 𝑔(𝑥) et lim 𝑔(𝑥).
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
3)
a) Calculer 𝑔′(𝑥), expression de la fonction dérivée de 𝑔. Exprimer 𝑔′(𝑥) en fonction de ℎ(𝑥).
b) En déduire le signe de 𝑔′(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥 ; dresser le tableau de variations de 𝑔.
4) A
a) Etablir une équation de la tangente (𝑇) à (𝐶), au point d’abscisse −𝑙𝑛𝑥.
b) Construire (𝐶), ses asymptotes et (𝑇).
(Pour 𝛼, on prendra comme valeur −1,6 et pour 𝑔(𝛼), on prendra la valeur 1,7)
PARTIE C
Soit 𝐹 l’application du plan complexe dans lui-même qui, à tout point 𝑀 d’affixe 𝑧, associe le point 𝑀′ d’affixe 𝑧′ définie
2−2𝑖
par : 𝑧 ′ = 𝑧 + .
1+𝑖
1)
a) Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de 𝐹.
b) En posant 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 et 𝑧′ = 𝑥′ + 𝑖𝑦′ (où 𝑥, 𝑦, 𝑥 ′ ,𝑦′ sont des réels) exprimer 𝑥′ et 𝑦′ en fonction de 𝑥 et de 𝑦.
2)
a) Quelles sont les images par 𝐹 des droites d’équations respectives 𝑦 = 0 et 𝑦 = 1.
b) Soit (𝑇 ′ ) l’image de (𝑇) par 𝐹 ; déterminer une équation cartésienne de (𝑇 ′ ).
3) Soit (𝐶 ′ ) l’image de (𝐶) par 𝐹, on appelle 𝑓 la fonction dont la courbe représentative est (𝐶 ′ ).
a) Déterminer l’expression de 𝑓.
b) Sans étudier 𝑓, construire (𝐶 ′ ) dans le même repère que (𝐶).
(On donne : 𝑙𝑛2 ≈ 0,69 ; 𝑒 ≈ 2,72 ; 𝑒 −1 ≈ 0,37)

On considère la fonction numérique 𝑓 définie par : 𝑓(𝑥) = 2𝑥 + 1 − 𝑥𝑒 𝑥−1. On note (𝐶𝑓 ) sa courbe représentative dans un
repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) d’unité graphique 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
Etude de 𝑓 et construction de (𝐶𝑓)
1) Calculer les limites de 𝑓 en −∞ et en +∞
2) Démontrer que la droite (𝛥) d’équation 𝑦 = 2𝑥 + 1 est une asymptote à la courbe (𝐶𝑓) en −∞ et préciser la position de
(𝐶𝑓) par rapport à (𝛥).
3)
a) Calculer la dérivée première 𝑓 ’ et la dérivée seconde 𝑓 ’’ de 𝑓.
b) Etudier les variations de 𝑓 ’ et dresser son tableau de variations.
c) Calculer 𝑓 ’(1) et en déduire le signe de 𝑓 ’(𝑥) pour tout réel 𝑥.
d) Dresser le tableau de variation de 𝑓.
4) Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet deux solutions 𝛼 et 𝛽 tels que 1,9 ≤ 𝛼 ≤ 2 et −0,6 ≤ 𝛽 ≤ −0,5.
𝑓(𝑥)
5) Calculer la limite de quand 𝑥 ⟶ +∞ puis tracer (𝛥) et (𝐶𝑓)
𝑥
PARTIE B (Recherche d’une approximation de 𝛼)
1
On considère la fonction 𝑔 définie sur l’intervalle ]0 ; +∞[ par 𝑔(𝑥) = 1 + 𝑙𝑛(2 + )
𝑥
1) Démontrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 équivaut à 𝑔(𝑥) = 𝑥 sur ]0 ; +∞[
2) Etudier les variations de 𝑔
3) Soit 𝐼 = [1,9 ; 2].
a) Montrer que pour tout 𝑥 ∈ 𝐼, 𝑔(𝑥) ∈ 𝐼
1
b) Montrer que pour tout 𝑥 ∈ 𝐼, |𝑔′(𝑥)| ≤
9
4) Soit (𝑈𝑛 ) la suite numérique définie par : 𝑈0 = 2 et 𝑈𝑛+1 = 𝑔(𝑈𝑛 ) pour tout 𝑛 de ℕ.
a) Montrer que pour tout 𝑛 de ℕ ; 𝑈𝑛 ∈ 𝐼.
1 1 𝑛 1
b) Démontrer que pour tout 𝑛 de ℕ ; |𝑈𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑈𝑛 − 𝛼|, puis, que |𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) ×
9 9 10
c) En déduire que la suite (𝑈𝑛 ) converge et préciser sa limite.
PARTIE C (Calcul d’aire)
𝛼
1) En intégrant par parties, Calculer 𝐽 = ∫1 𝑥𝑒 𝑥−1 𝑑𝑥
2)
a) Calculer en unité d’aire (𝑢𝑎), l’aire 𝐴 de la portion du plan limitée par la courbe (𝐶𝑓), l’axe des abscisses et les
droites d’équations 𝑥 = 1 et 𝑥 = 𝛼
1
b) Montrer que 𝐴 = (𝛼– 1)(𝛼 − )
𝛼
5 48
On donne 𝑒 ≈ 2,72 ; 𝑒 0,9 ≈ 2,46 ; 𝑒 −1,5 ≈ 0,22 ; 𝑒 −1,6 ≈ 0,20 ; 𝑙𝑛( ) ≈ 0,92 et 𝑙𝑛 ( ) ≈ 0,93
2 19

On considère la fonction définie sur [0 ; +∞[ par 𝑓(𝑥) = 𝑒 −𝑥 sin (𝑥) et (𝐶𝑓 ) sa courbe représentative dans un repère
orthonormé 𝑅 = (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) ; unité graphique : 2 𝑐𝑚 en abscisse et 10 𝑐𝑚 en ordonnées.
PARTIE A (Etude de 𝑓)
1) Montrer que pour tout 𝑥 ≥ 0, −𝑒 −𝑥 ≤ 𝑓(𝑥) ≤ 𝑒 −𝑥 . En déduire l’existence d’une asymptote à (𝐶𝑓) en +∞
2) Déterminer les abscisses des points d’intersection de (𝐶𝑓 ) avec l’axe des abscisses.
3) On se propose d’étudier 𝑓 sur [0 ; 𝜋].
𝜋
a) Etablir l’égalité : cos(𝑥) – sin(𝑥) = √2 sin( − 𝑥) pour tout réel 𝑥
4
b) Calculer 𝑓’(𝑥) et étudier son signe sur [0 ; 𝜋].
c) Dresser le tableau de variations de 𝑓 sur [0 ; 𝜋].
4) On appelle (𝐶1 ) la portion de (𝐶𝑓) déterminer par les points dont les abscisses dans l’intervalle [0 ; 𝜋] . Tracer (𝐶1 ). On
𝜋 𝜋 3𝜋
prendra les abscisses respectives : 0 ; ; ; et 𝜋
4 2 4
PARTIE B (Calcul d’aire et de volume)
1)
a) Vérifier l’égalité : 𝑓’’(𝑥) + 2𝑓’(𝑥) + 2𝑓(𝑥) = 0
b) En déduire une primitive 𝐹 de 𝑓 sur [0 ; +∞[
2) On désigne par 𝐷 le domaine du plan délimité par (𝐶1 ); (𝑜𝑥) et les droites d’équations 𝑥 = 0 et 𝑥 = 𝜋. Calculer en
𝑐𝑚 2, la valeur de l’aire du domaine 𝐷.
3) Soit 𝜑 la fonction définie sur [0 ; 𝜋] par 𝜑(𝑥) = cos(2𝑥)
a) Vérifier l’égalité : 𝜑’’(𝑥) + 4𝜑’(𝑥) + 8 𝜑(𝑥) = 0
b) En déduire une primitive 𝛷 de 𝜑 sur [0 ; 𝜋].
c) Calculer, en 𝑐𝑚 3 le volume 𝑉 du solide engendré par la rotation complète du domaine 𝐷 autour de l’axe (𝑜𝑥)
PARTIE C (Etude d’une suite)
𝜋
On considère la suite (𝑈𝑛 ) définie sur ℕ par : 𝑈𝑛 = ∫0 𝑒 −𝑥 sin (𝑛𝑥) 𝑑𝑥
1)
𝑛
a) A l’aide de deux intégrations par parties successives, monter que : 𝑈𝑛 = (1 − 𝑒 −𝜋 cos(𝑛𝑥))
1+𝑛2
2𝑛
b) En déduire que, pour tout 𝑛, |𝑈𝑛 | ≤
1+𝑛2
2) Calculer lim (𝑈𝑛 )
𝑛→+∞
𝜋 𝜋 3𝜋
On donne 𝑒 − 4 = 0,46 ; 𝑒 − 2 = 0,21 ; 𝑒− 4 = 0,09
PARTIE A
On considère l’équation différentielle (𝐸 ) ∶ 𝑦′ + 𝑦 = 𝑥 − 1
1) Trouver deux réels 𝑎 et 𝑏 tels que 𝑈(𝑥) = 𝑎𝑥 + 𝑏 soit une solution de (𝐸).
2) Démontrer que la fonction 𝑉 est solution de (𝐸) si et seulement si (𝑉 − 𝑈) est solution de l’équation différentielle
(𝐸’) ∶ 𝑦′ + 𝑦 = 0.
3) Résoudre (𝐸’) .
4) En déduire les solutions de (𝐸) ;
5) Déterminer la solution ℎ de (𝐸) vérifiant ℎ(0) = 1
PARTIE B
Le plan est muni d’un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ); (unité graphique : 1 𝑐𝑚).
On considère la fonction 𝑓 définie par 𝑓(𝑥) = 𝑒 −𝑥 + 𝑥 − 2
1) Calculer les limites de 𝑓 aux bornes de son ensemble de définition
2) Etudier le sens de variation de 𝑓 puis dresser son tableau de variations.
3) Soit (𝐷) la droite d’équation 𝑦 = 𝑥 − 2 :
a) Montrer que (𝐷) est asymptote à (𝐶𝑓) en +∞.
b) Préciser la position de (𝐶𝑓) par rapport à (𝐷).
𝑓(𝑥)
4) Calculer lim puis interpréter graphiquement le résultat obtenu.
𝑥→+∞ 𝑥
4) Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet deux solutions 𝛼 et 𝛽 telles que −1,2 ≤ 𝛼 ≤ −1,1 et 1,8 ≤ 𝛽 ≤ 1,9.
5) Construis (𝐶𝑓).
6) Déterminer graphiquement suivant les valeurs de 𝑚 le nombre de solution de l’équation : 𝑚𝑒 𝑥 − 𝑥𝑒 𝑥 + 2𝑒 𝑥 − 1 = 0 où
𝑚 est un paramètre réel .
PARTIE C
Soit 𝛥 la partie du plan limitée par (𝐶𝑓), la droite (𝐷) et les droites d’équations 𝑥 = 2 et 𝑥 = 𝜆 où 𝜆 est un réel strictement
supérieur à 2 .
1)
a) Calculer l’aire 𝐴(𝜆) en 𝑐𝑚² de 𝛥 en fonction de 𝜆.
b) Calculer lim 𝐴(𝜆).
𝜆→+∞
2) Désignons par 𝑉 le volume en 𝑐𝑚 3 du solide obtenu par rotation autour de l’axe des abscisses du domaine limité par
(𝐶𝑓), l’axe des abscisses et les droites d’équations 𝑥 = 2 et 𝑥 = 4 .
4
a) A l’aide d’une intégration par parties, calculer 𝐼 = ∫2 (𝑥 − 2)𝑒 −𝑥 𝑑𝑥
b) Calculer 𝑉
On donne : 𝑒 1,2 = 3,32 ; 𝑒 1,1 = 3,00 ; 𝑒 −1,8 = 0,15 ; 𝑒 −2 = 0,14 ; 𝑒 2 = 7,39
PARTIE A
On considère la fonction numérique 𝑔 définie sur ]0 ; +∞[ par : 𝑔(𝑥) = 𝑥 2 + 2 − 2𝑙𝑛𝑥.
1) Déterminer lim+ 𝑔(𝑥) et lim 𝑔(𝑥)
𝑥→0 𝑥→+∞

2) Etudier le sens de variation de 𝑔 et dresser le tableau de variation de 𝑔.
3) En déduire que pour tout 𝑥 > 0, on a 𝑔(𝑥) > 0.
PARTIE B
2𝑙𝑛𝑥
Soit 𝑓 la fonction numérique définie sur ]0 ; +∞[ par : 𝑓(𝑥) = 𝑥 + . On considère par (𝐶) sa courbe représentative dans
𝑥
le plan muni d’un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) (unité : 2 𝑐𝑚)
1) Calculer lim+ 𝑓(𝑥) et lim 𝑓(𝑥). En déduire que (𝐶) admet une asymptote verticale dont on précisera l’équation.
𝑥→0 𝑥→+∞
2)
a) Calculer 𝑓’(𝑥) et montrer que 𝑓’(𝑥) a le même signe que 𝑔(𝑥).
b) En déduire le sens de variation de 𝑓 puis dresser son tableau de variations.
3)
a) Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = 𝑥 est asymptote à (𝐶). Préciser la position de (𝐶) par rapport à (𝐷)
b) Déterminer les coordonnées du point 𝐵 de (𝐶) en lequel la tangente est parallèle à (𝐷).
4) Soit (𝑇) la tangente à (𝐶) au point 𝐴 d’abscisse 1. Déterminer une équation de (𝑇).
5)
a) Démontrer que 𝑓 est une bijection définie de ]0 ; +∞[ sur ℝ.
1
b) Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 ∈] ; 1[.
2
c) Construire (𝐶). (On placera les points 𝐴 et 𝐵 et les tangentes à (𝐶) en 𝐴 et en 𝐵).
6) Construire dans le même repère, la courbe (𝐶’) de la fonction 𝑓 −1 réciproque de 𝑓.
7) Calculer l’aire 𝑆 en 𝑐𝑚2 du domaine plan délimité par la courbe (𝐶) et les droites d’équations 𝑦 = 𝑥 ; 𝑥 = 1 et 𝑥 = 𝑒.
PARTIE C
𝑥(𝑡) = 𝑒 𝑡
Soit (𝛤) l’ensemble des points 𝑀(𝑥(𝑡) ; 𝑦(𝑡)) tels que : { , 𝑡≥0
𝑦(𝑡) = 𝑒 𝑡 + 2𝑡𝑒 −𝑡
1) Montrer que (𝛤) est une partie de (𝐶) que l’on précisera.
2) Tracer en pointillé (𝛤) sur le même graphique que (𝐶).
𝑒2𝑥 −1
𝑓 (𝑥) = 𝑥 , 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 0
Soit la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : { 𝑒
𝑓(𝑥) = 𝑥 − 𝑥𝑙𝑛𝑥 , 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 0
On désigne par (𝐶) sa courbe représentative dans un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) ; unité 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
1) Etudier la continuité de 𝑓 en 0.
𝑒𝑥 −1
2) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0. (On rappelle que lim = 1) et interpéter graphiquement le résultat.
𝑥→0 𝑥
3)
a) Etudier les variations de 𝑓.
b) Dresser le tableau de variations de 𝑓.
𝑓(𝑥) 𝑓(𝑥)
4) Calculer lim et lim . Interpréter graphiquement les résultats obtenus et tracer (𝐶).
𝑥→−∞ 𝑥 𝑥→+∞ 𝑥
5) A
a) Soit ℎ la restriction de 𝑓 à l’intervalle [1 ; +∞[. Montrer que ℎ réalise une bijection de [1 ; +∞[ sur un intervalle 𝐽
que l’on précisera.
b) Construire la courbe (𝛤) de ℎ −1 dans le même repère que (𝐶).
PARTIE B
𝑒
Soit 𝛼 un réel tel que 0 ≤ 𝛼 ≤ 𝑒. On pose : 𝐼(𝛼) = ∫𝛼 𝑓(𝑥)𝑑𝑥.
1) A
𝑒
a) A l’aide d’une intégration par parties calculer ∫𝛼 𝑥𝑙𝑛𝑥 𝑑𝑥.
b) En déduire 𝐼(𝛼).
2)
a) Donner une interprétation graphique de 𝐼(𝛼).

b) Calculer lim 𝐼(𝛼).
𝛼→0
3) En déduire en 𝑐𝑚² l’aire de la partie du plan délimitée par la courbe (𝐶), les axes du repère et la droite d’équation :
𝑥 = 𝑒.
−1 ≤ 𝑥 ≤ 0
4) Soit (𝐸) l’ensemble des points 𝑀(𝑥 , 𝑦) tels que : {
𝑓(𝑥) ≤ 𝑦 ≤ 0
Calculer en 𝑐𝑚 3 le volume du solide engendré par la rotation complète de (𝐸) autour de l’axe des abscisses.
PARTIE C
Dans le plan rapporté à un plan orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ), on considère la courbe (𝛤) dont une représentation paramétrique est
𝑥(𝑡) = ln(cos 𝑡) 𝜋
: { cos2 𝑡−1 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑡 𝜖 ]0 ; [
𝑦(𝑡) = 2
cos𝑡
1) Montrer que (𝛤) est une partie de (𝐶).
𝜋
2) Déterminer les coordonnées du vecteur vitesse à l’instant 𝑡 = .
4

4
𝑓(𝑥) = 𝑥 + 2 + 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 2
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : { 𝑥−3
𝑓(𝑥) = √𝑥² − 3𝑥 + 2 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 2
On désigne par (𝐶) la courbe de ƒ dans un repère orthonormal (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) ; unité graphique : 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
1) A
a) Etudier la continuité de 𝑓 en 2 ;
b) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 2 puis interpréter graphiquement le résultat obtenu.
2) Calculer les limites de 𝑓 en −∞ et en +∞.
3)
a) Montrer que la droite (𝐷) d’équation : 𝑦 = 𝑥 + 2 est une asymptote à (𝐶) en −∞.
Préciser la position relative de (𝐶) et de (𝐷).
3
b) Montrer que la droite (𝐷) d’équation : 𝑦 = 𝑥 − est asymptote à (𝐶) en +∞.
2
Préciser la position relative de (𝐶) et de (𝐷).
4)
a) Etudier les variations de ƒ sur ] − ∞ ; 2] et sur ]2 ; +∞ [ .
5) Tracer (𝐷1 ) ; (𝐷2 ) et (𝐶)
6)
a) Soit ℎ la restriction de 𝑓 à l’intervalle ] − ∞ ; 1]. Montrer que ℎ réalise une bijection de ] − ∞ ; 1] sur un intervalle
𝐽 que l’on précisera.
b) Construire la courbe (𝛤 ) de h dans un même repère que (𝐶 )
PARTIE B
1) Calculer en cm², l’aire A du domaine plan limité par (𝐶), (𝐷) et les droites d’équations : 𝑥 = −3 et 𝑥 = 0
−1 ≤ 𝑥 ≤ 2
2) Soit (𝛥) le domaine plan défini par : {
0 ≤ 𝑦 ≤ 𝑓(𝑥)
Calculer en 𝑐𝑚 3, le volume 𝑉 du solide 𝑆 engendrer par la rotation complète du domaine (𝛥) autour de l’axe des
abscisses.
8𝑥+16 40
(On pourra remarquer que = 8+ ).
𝑥−3 𝑥−3
PARTIE C
𝑥(𝑡) = 𝑡 + 3
Soit (𝛤) la courbe dont une représentation paramétrique est : { , 𝑡 > −1
𝑦(𝑡) = √𝑡 2 + 3𝑡 + 2
Montrer que (𝛤) est une partie de (𝐶)

Le plan est muni d’un repère orthonormé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) (unité 2 𝑐𝑚)
PARTIE A
Soit 𝑔 la fonction numérique définie sur ]– 𝜋 ; 0[ par 𝑔(𝑥) = cos 2 𝑥 + cos 𝑥 − 1
1)
a) Montrer que 𝑔 est dérivable sur ]– 𝜋 ,0[ et que 𝑔′(𝑥) = − sin 𝑥 (2 cos 𝑥 + 1).
−2𝜋 −2𝜋
b) En déduire que 𝑔′(𝑥) ≤ 0 pour tout 𝑥 ∈]– 𝜋 ; ] et que 𝑔′(𝑥) ≥ 0 pour tout 𝑥 ∈ [ ; 0[
3 3
c) Dresser le tableau de variation de 𝑔.
2)
−𝜋 −𝜋
a) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛽 𝜖 ]– 𝜋 ,0[ et que 𝛽 ∈] ; [.
3 4
b) En déduire le signe de 𝑔 sur ]–𝜋 ; 0[.
PARTIE B
2 sin( 2𝑥 ) 1
𝑓(𝑥) = + 𝑠𝑖 𝑥 𝜖 ]−𝜋 ; 0]
Soit 𝑓 la fonction numérique définie sur ]– 𝜋 ; +∞[ par : { 1+cos𝑥 2
3
𝑓(𝑥) = 2 − 𝑠𝑖 𝑥 > 0
𝑒3𝑥 +1
On note (𝐶𝑓) la courbe représentative de 𝑓.
2) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0 et en déduire une interprétation géométrique des résultats obtenus.
3)
a) Calculer lim 𝑓(𝑥)
𝑥→+∞
4 sin 𝑥 cos𝑥(1−cos𝑥) 1
b) Montrer que pour tout 𝑥 𝜖 ]– 𝜋 ; 0 [ on a : 𝑓(𝑥) = + et en déduire que lim 𝑓(𝑥) = +∞
1−𝑐𝑜𝑠2 𝑥 2 𝑥→−𝜋
c) En déduire les asymptotes de la courbe (𝐶𝑓).
4)
a) Calculer 𝑓′(𝑥) pour tout 𝑥 𝜖 ]0 ; +∞[ et en déduire le sens de variation de 𝑓 sur ]0 ; +∞[.
4𝑔(𝑥)
b) Montrer que 𝑓′(𝑥) = pour tout 𝑥 𝜖 ]–𝜋 ; 0[ et en déduire le sens de variation de 𝑓 sur ]– 𝜋 ; 0[.
1+cos𝑥
c) Dresser le tableau de variation de 𝑓 sur ]– 𝜋 , +∞[.
5) Construire (𝐶𝑓) , ses asymptotes et ses demi-tangentes au point d’abscisse 0.
PARTIE C
1
On admet que pour tout 𝑥 𝜖 [1,5 ; 2] , 0 ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ (𝑒)
2
1) Soit ℎ la fonction définie sur [1,5 ; 2] par ℎ(𝑥) = 𝑓(𝑥) − 𝑥.
Etudier les variations de ℎ et en déduire que l’équation 𝑓(𝑥) = 𝑥 admet une solution unique 𝛼 𝜖 [1,5 ; 2].
2) Soit (𝑈𝑛 ) la suite numérique définie par 𝑈0 = 1,5 et 𝑈𝑛+1 = 𝑓(𝑈𝑛 ) pour tout 𝑛 𝜖 ℕ.
a) Montrer par récurrence que pour tout 𝑛 𝜖 ℕ, 𝑈𝑛 𝜖 [1,5 ; 2] en utilisant (𝑒).
1 1 𝑛 1 𝑛+1
b) Montrer que pour tout 𝑛 𝜖 ℕ∗ ,|𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ |𝑈𝑛−1 − 𝛼| et que |𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) |𝑈0 − 𝛼| ≤ ( ) pour tout 𝑛 𝜖 ℕ.
2 2 2
c) En déduire que la suite (𝑈𝑛 ) est convergente.
d) Déterminer l’entier naturel 𝑛0 tel que 𝑈𝑛0 soit une valeur approchée de 𝛼 à 10 −3 près.
On donne : ℎ(1,5) = 0,46 ; ℎ (2) = −0,007 ; 𝑙𝑛10 = 2,30 ; 𝑙𝑛2 = 0,69
𝑒𝑥−1
On considère la fonction 𝑓 définie sur [0 ; +∞[ par 𝑓(𝑥) = 𝑥 . On désigne par (𝐶) la courbe représentative dans le plan
𝑥𝑒 +1
rapporté à un repère orthornomé (𝑂 ; 𝑖 ; 𝑗 ) (unité graphique : 4 𝑐𝑚)
PARTIE A : Etude d’une fonction auxiliaire.
Soit 𝑔 la fonction définie sur [0 ; +∞[ par : 𝑔(𝑥) = 𝑥 + 2 − 𝑒 𝑥
1) Etudier le sens de variation de 𝑔 sur [0 ; +∞[ et déterminer la limite de 𝑔 en +∞
2)
a) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 dans [0 ; +∞[ et que 1,14 < 𝛼 < 1,15.
b) En déduire le signe de 𝑔 suivant la valeur de 𝑥.
PARTIE B
1)
𝑒𝑥𝑔(𝑥)
a) Montrer que pour tout 𝑥 𝜖 [0 ; +∞[ ; 𝑓’(𝑥) =
(𝑥𝑒𝑥+1) 2
b) En déduire le sens de variation de 𝑓 sur [0 ; +∞[.
2)
1− 𝑒 −𝑥
a) Montrer que pour tout 𝑥 𝜖 [0 ; +∞[ ; 𝑓(𝑥) =
𝑥+𝑒−𝑥
b) En déduire la limite de 𝑓 en +∞. Interpreter graphiquement le resultat trouvé.
3)
1
a) Montrer que 𝑓(𝛼) =
𝛼+1
b) En utilisant l’encadrement de 𝛼 établi dans la question 𝐴) 2) donner un encadrement de 𝑓(𝛼) d’amplitude de 10 −2
4) Déterminer une équation de la tangente (𝑇) à la courbe (𝐶) au point d’abscisse 0.
5)
(𝑥+1).𝑢(𝑥)
a) Etablir que pour tout 𝑥 𝜖 [0 ; +∞[ ; 𝑓(𝑥) = 𝑥 + avec 𝑢(𝑥) = 𝑒 𝑥 − 𝑥𝑒 𝑥 –1
𝑥𝑒𝑥+1
b) Etudier le sens de variation de la fonction 𝑢 sur [0 ; +∞[. En déduire le signe de 𝑢(𝑥).
c) Déduire des résultats précédents la position de (𝐶) par rapport à (𝑇).
PARTIE C
1) Déterminer une primitive 𝐹 de 𝑓 sur [0 ; +∞[. On pourra utiliser l’expression de 𝑓(𝑥) etablie dans la question 𝐵) 2).
2) On note 𝐷 le domaine délimité par (𝐶); (𝑇) et les droites d’équations 𝑥 = 0 et 𝑥 = 1. Calculer en 𝑐𝑚2, l’aire 𝐴 du
domaine 𝐷.
𝑛+1
3) Pour tout entier 𝑛 on pose 𝑉𝑛 = ∫𝑛 𝑓(𝑥) 𝑑𝑥
a) Calculer 𝑉0 , 𝑉1 et 𝑉2
b) Interpréter graphiquement 𝑉𝑛
𝑛+1
c) Montrer que pour tout 𝑛 ≥ 2 ; 𝑓 (𝑛 + 1) ≤ ∫𝑛 𝑓 (𝑥)𝑑𝑥 ≤ 𝑓 (𝑛). En déduire que pour tout 𝑛 ≥ 2 ; 𝑉𝑛+1 ≤ 𝑉𝑛
d) Déterminer la limite de (𝑉𝑛 )
On donne : 𝑒 ≃ 2,72 ; 𝑒 1,14 ≃ 3,12 ; 𝑒 1,15 ≃ 3,16
PARTIE A
Soit 𝑢 la fonction numérique définie par 𝑢(𝑥) = 1 − 𝑥𝑒 −𝑥 .
1) Etudier le sens de variation de 𝑢 (on ne demande pas ni les limites ni le tableau de variations)
2) En déduire le signe de 𝑢(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥.
PARTIE B
On considère la fonction 𝑓 de la variable réelle 𝑥 définie par :
−4𝑙𝑛(−𝑥)
𝑓(𝑥) = 𝑠𝑖 𝑥 𝜖 ]−∞ ; −1[
{ 𝑥
𝑓 (𝑥) = (𝑥 + 1)(1 + 𝑒 −𝑥 ) 𝑠𝑖 𝑥 𝜖 [−1 ; +∞[
Et on désigne par (𝐶) sa courbe représentative dans un plan rapporté à un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗), (unité 2 cm).
1)
a) Vérifier que 𝑓 est continue en −1
b) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en −1
c) Calculer les limites de 𝑓 aux bornes de son ensemble de définition. Préciser les éventuelles asymptotes à (𝐶)
d) Montrer que la droite (𝐷) ∶ 𝑦 = 𝑥 + 1 est une asymptote à (𝐶).
Etudier la position relative de (𝐶) et (𝐷) sur l’intervalle [−1 ; +∞[.
2)
4(𝑙𝑛( −𝑥) −1)
a) Vérifier que pour 𝑥 < −1 ; 𝑓 ′ (𝑥) =
𝑥2
b) Etudier les variations de 𝑓 sur ]−∞ ; −1[ puis sur [ −1 ; +∞[.
Dresser le tableau de variations de 𝑓
c) Montrer qu’il existe un unique point d’abscisse supérieur à −1 où la tangente (𝑇) à (𝐶) est parallèle à la droite (𝐷).
3)
a) Montrer que la courbe (𝐶) est située au-dessus de l’axe des abscisses.
b) Tracer la courbe (𝐶) et ses asymptotes ; puis la tangente (𝑇) à (𝐶)
PARTIE C
1) Soit 𝜆 un nombre réel supérieur à −1.
−1 𝑙𝑛(−𝑥) 𝜆
a) Calculer les intégrales 𝐼 = ∫−𝑒 𝑑𝑥 et 𝐽(𝜆) = ∫−1(𝑥 + 1)𝑒 −𝑥 𝑑𝑥.
𝑥
b) On note 𝐴(𝜆) l’aire en 𝑐𝑚 2, de la partie du plan au-dessus de l’axe des abscisses, délimitée par la courbe (𝐶),
l’asymptote (𝐷) et les droites d’équations 𝑥 = −𝑒 et 𝑥 = 𝜆.
Montrer que 𝐴 (𝜆) = 8 + 4𝑒 − 4(𝜆 + 2)𝑒 −𝜆
2) Calculer la limite de 𝐴(𝜆) quand 𝜆 tend vers +∞
PARTIE D
𝑥(𝑡) = −𝑒 −𝑡
Soit (Γ) la courbe dont une représentation paramétrique est : { (𝑡 < 0)
𝑦(𝑡) = 4𝑡𝑒 𝑡
1) Montrer que (Γ) est l’image d’une partie de (C) par la symétrie orthogonale d’axe (𝑂 ; 𝑖 ).
2) Construire (Γ) en pointillés dans le même repère que (C).

Le plan est muni d’un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗), ‖𝑖 ‖ = ‖𝑗 ‖ = 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
On considère les fonctions 𝑓 et 𝑔 définies sur ℝ par : 𝑓(𝑥) = (𝑥 + 1)²𝑒 −𝑥 et 𝑔(𝑥) = 𝑒 −𝑥 .
1)
a) Calculer la limite de 𝑓 en +∞. Que peut-on en déduire pour la courbe (𝐶𝑓) ? Calculer la limite de 𝑓 en −∞.
b) Calculer 𝑓′(𝑥) et étudier son signe.
c) En déduire le sens de variation de 𝑓 et dresser son tableau de variations.
2)
a) Calculer la limite de g en −∞ et en +∞.
b) Calculer 𝑔′(𝑥), étudier le sens de variation de 𝑔 et dresser son tableau de variations.
3)
a) Etudier le signe de 𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥) et en déduire la position relative des courbes (𝐶𝑓) et (𝐶𝑔 ).
b) Montrer que les tangentes en 𝐴(0,1) aux courbes (𝐶𝑓) et (𝐶𝑔 ) sont perpendiculaires .
4) Tracer (𝐶𝑓) et (𝐶𝑔 ) et leurs tangentes en 𝐴.
PARTIE B
1) Déterminer les réels 𝑎 , 𝑏 et 𝑐 tels que la fonction qui à t associe (𝑎𝑡² + 𝑏𝑡 + 𝑐)𝑒 −𝑡 soit une primitive de la fonction qui à
𝑡 associe (𝑡² + 2𝑡)𝑒 −𝑡
2) Soit 𝛼 un réel positif
a) Calculer 𝐴(𝛼) en 𝑐𝑚² de la région du plan comprise entre (𝐶𝑓), (𝐶𝑔 ), l’axe des ordonnées et la droite d’équation
𝑥 = 𝛼. (On pourra utiliser le résultat précédent)
b) Calculer lim 𝐴(𝛼).
𝑥→+∞
3) Calculer en 𝑐𝑚² de la région du plan comprise entre (𝐶𝑓),(𝐶𝑔 ) , droite d’équation 𝑥 = −2 et l’axe des ordonnées .
PARTIE C
Soit (𝑈𝑛 ) la suite définie sur 𝑁 ∖ {0} par 𝑈𝑛 = 𝑙𝑛[𝑓(𝑛)], où 𝑙𝑛 désigne la fonction logarithme népérien.
1) Justifier que la suite (𝑈𝑛) est décroissante.
2) On désigne par 𝑆𝑛 la somme des 𝑛 premiers termes de la suite (𝑈𝑛 ) : 𝑆𝑛 = 𝑈1 + 𝑈2 + ⋯ + 𝑈𝑛
a) Montrer que 𝑈𝑛 = −𝑛 + 𝑙𝑛(𝑛 + 1).
𝑛(𝑛+1)
b) Démontrer que : 𝑆𝑛 = 2𝑙𝑛[𝑙𝑛(𝑛 + 1)!] −
2
On donne 𝑒 −1 = 0,4 .

Dans tout le problème, le plan est rapporté à un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗) et l’unité est 2 𝑐𝑚.
On placera l’axe des abscisses au milieu de la feuille et l’axe des ordonnées sur le bord gauche de la feuille.
PARTIE A
On considère la fonction 𝑓 définie sur ]0; +∞[ par : 𝑓(𝑥) = (2 − 2𝑥)(𝑙𝑛𝑥 − 1). (𝐶) désigne sa courbe représentative
relative au repère (𝑂, 𝑖, 𝑗 ).
1) Déterminer les limites de 𝑓 en 0 et en +∞.
2) Montrer que 𝑓 est dérivable sur ]0; +∞[ puis calculer 𝑓′(𝑥).
3) Soit 𝑔 la fonction définie sur ]0; +∞[ par : 𝑔(𝑥) = 2𝑙𝑛𝑥 + 2𝑥 − 4.
a) Etudier le sens de variation de 𝑔 sur ]0; +∞[ puis dresser son tableau de variation.
b) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une unique solution 𝛼 dans [1; 2].
c) En déduire le signe de 𝑔 sur ]0; +∞[.
4)
a) Etudier le sens de variation de 𝑓 et dresser son tableau de variation sur ]0; +∞[.
b) Montrer que 𝑓(𝛼) = −2(𝛼 − 1)²𝛼∙
c) Calculer 𝑓(1) et 𝑓(𝑒).
5)
a) Etudier le signe de 𝑓 sur ]0; +∞[.
𝑓(𝑥)
b) Calculer lim et donner une interprétation du résultat obtenu.
𝑥→+∞ 𝑥
c) Construire (𝐶). On prendra 𝛼 = 1,75 et 𝑓(𝛼) = −0,6.
6) Soit ℎ la fonction définie sur ]0; +∞[ par : ℎ(𝑥) = −𝑓(𝑥), (𝐶′) désigne sa courbe représentative . Sans étudier ℎ,
construire (𝐶′) dans le même (𝑂, 𝑖, 𝑗). Justifier la construction de (𝐶′).
PARTIE B
𝑥
Soit 𝐹 la fonction définie sur ]0; +∞[ par : 𝐹(𝑥) = ∫1 𝑓(𝑡)𝑑𝑡. (𝛤) désigne sa courbe représentative dans un repère
orthonormal.
1)
a) Que représente 𝐹 pour 𝑓 ?
b) Sans calculer 𝐹(𝑥), donner le sens de variation de 𝐹.
c) Que peut-on dire des tangentes à (𝛤) aux points d’abscisses 1 et 𝑒 ? (On pourra utiliser 4 − 𝑐) de la partie 𝐴)
2)
𝑥
a) Le nombre 𝑥 étant strictement positif, calculer ∫1 𝑙𝑛𝑡 𝑑𝑡 (on pourra utiliser une intégration par parties)
𝑙𝑛𝑥 2
b) Montrer que , pour tout réel 𝑥 > 0, on a : 𝑓(𝑥) = 2𝑙𝑛𝑥 − 2 + − 2.
𝑥 𝑥
c) En déduire l’expression de 𝐹(𝑥) en fonction de 𝑥.
3) Calculer l’aire 𝐴 en 𝑐𝑚² du domaine plan limité par (𝐶), (𝐶′) et les droites d’équations 𝑥 = 1 et 𝑥 = 𝑒.
On donne 𝑙𝑛2 ≃ 0,7 et 𝑙𝑛2 ≃ 1,1.
𝑒𝑥
Soit 𝑓 la fonction numérique définie par 𝑓(𝑥) = et de courbe représentative (𝐶) dans un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗)
1+𝑒𝑥
du plan (unité graphique 4 𝑐𝑚).
PARTIE A
1)
a) Déterminer l’ensemble de définition de 𝑓.
b) Calculer les limites de 𝑓 en +∞ et en −∞.
2) Etudier le sens de variation de 𝑓 et dresser son tableau de variation.
3) Soit A le point de (𝐶) d’abscisse 0.
a) Déterminer l’équation réduite de la tangente (𝑇) à (𝐶) en 𝐴.
b) Montrer que 𝐴 est un centre de symétrie pour (𝐶).
4) Tracer (𝑇) et (𝐶) dans le repère (𝑂, 𝑖, 𝑗 ).
PARTIE B
Soit 𝑛 un entier naturel. On désigne par 𝐷𝑛 le domaine du plan délimité par la courbe (𝐶) et les droites d’équations 𝑦 = 1,
𝑥 = 0, 𝑥 = 𝑛. 𝐴 𝑛 désigne l’aire de la région 𝐷𝑛 exprimer en unité d’aire.
1) Hachurer la région 𝐷2 sur le graphique (pour 𝑛 = 2).
2) Montrer que 𝐴 𝑛 = 𝑙𝑛2 − 𝑙𝑛(1 + 𝑒 𝑛 ) + 𝑛.
3) Calculer lim 𝐴 𝑛 .
𝑛→+∞
PARTIE C
𝑒2𝑥 𝑎𝑒𝑥 𝑏𝑒𝑥
1) Déterminer les nombres réels 𝑎 et 𝑏 tels que : = +
(1+𝑒𝑥)² (1+𝑒𝑥) (1+𝑒𝑥)²
2) Soit 𝛼 un réel négatif. On note 𝑉(𝛼) le volume du solide engendré par la rotation autour de l’axe des abscisses de la
portion de la courbe (𝐶) obtenue pour 𝛼 ≤ 𝑥 ≤ 0.
a) Exprimer 𝑉(𝛼) en fonction de 𝛼.
b) Déterminer la limite de 𝑉(𝛼) lorsque 𝛼 tend vers −∞.
PARTIE D
𝑥(𝑡) = 𝑙𝑛𝑡
Soit (𝛤) la courbe paramétrée de représentation paramétrique : { 1 , 𝑡 ≥ 1.
𝑦 (𝑡) = −1
1+𝑡
1) Déterminer une équation cartésienne de (𝛤).
2) Expliquer comment à partir de (𝐶) on obtient (𝛤). Construire (𝛤) en pointillés.
1
On donne : 𝑓 ( ) ≃ 0,62 ; 𝑓(1) ≃ 0,73 ; 𝑓(2) ≃ 0,88.
2
−𝑙𝑛|𝑥|
On considère la fonction de la variable réelle 𝑥 définie sur ℝ∗ par : 𝑓(𝑥) = +𝑥− 2
𝑥
On désigne par (𝒞) sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ) d’unité graphique 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
Soit la fonction 𝑔 définie sur ℝ∗ par 𝑔(𝑥) = −𝑥² + 1 − 𝑙𝑛|𝑥|
1) Etudier les variations de la fonction 𝑔 et dresser le tableau de variations
2) Calculer 𝑔(−1) et 𝑔(1) puis déduire le signe de 𝑔(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥
PARTIE B
1) Calculer les limites de 𝑓 aux bornes de son ensemble de définition. En déduire que la courbe (𝒞) admet une asymptote
verticale.
2)
a) Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = 𝑥 − 2 est une asymptote à (𝒞).
b) Etudier les positions relatives de (𝒞) par rapport à (𝐷).
3)
a) Calculer 𝑓′(𝑥) et exprimer 𝑓′(𝑥) en fonction de 𝑔(𝑥) et en déduire le sens de variation de 𝑓.
4)
a) Montrer que le point 𝐼, intersection des deux asymptotes est un centre de symétrie pour la courbe (𝒞).
b) Construire la courbe (𝒞) ainsi que les asymptotes.
5) Discuter graphiquement et en fonction du paramètre 𝑚, le nombre de solutions de l’équation dans ℝ, 𝑓(𝑥) = 𝑚 (𝑚 ∈ ℝ)
PARTIE C
Soit 𝛼 un réel tel que −1 ≤ 𝛼 < 0 et soit (𝛥) la région du plan délimité par la courbe (𝒞), les droites d’équations respectives
𝑥 = −1 ; 𝑥 = 𝛼 ; 𝑦 = 𝑥 − 2
1)
a) Calculer en fonction de 𝛼 l’aire 𝒜(𝛼) de (𝛥)
b) Calculer lim 𝒜(𝛼) et interpréter graphiquement le résultat.
𝛼 →0
𝛼<0
𝑛
2) On donne la suite définie pour tout entier 𝑛 > 0 par : 𝑢𝑛 = ∫1 𝑓(𝑥)𝑑𝑥.
a) Calculer 𝑢𝑛 en fonction de 𝑛.
b) La suite (𝑢𝑛 ) est-elle convergente ? Justifier.
PROBLEME 37 (BAC 2012 – 1erTour)

𝑥+𝑙𝑛|1−𝑥|
Soit 𝑓 la fonction définie sur ℝ − {1} par : 𝑓(𝑥) = et (𝒞) sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère
1−𝑥
orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗) d’unité graphique 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
1) Calculer les limites de 𝑓 aux bornes de son ensemble de définition. En déduire les asymptotes à (𝒞)
2) Soit 𝑓′ la fonction dérivée de 𝑓, calculer 𝑓′(𝑥) puis étudier son signe. En déduire le sens de variation de 𝑓
3) Dresser le tableau de variations de 𝑓
4) Montrer que le point 𝐼(1; −1) est un centre de symétrie pour (𝒞)
5) Tracer (𝒞) et les asymptotes
PARTIE B
−1 𝑙𝑛(𝑥−1)
Soit els fonctions 𝑢 et 𝑣 définies sur ]1; +∞[ par : 𝑢(𝑥) = et 𝑣(𝑥) =
1−𝑥 𝑥−1
1) Déterminer une primitive de chacune des fonctions 𝑢 et 𝑣 sur ]1; +∞[
2) Vérifier que pour tout réel 𝑥 > 1; −1 − 𝑓(𝑥) = 𝑢(𝑥) + 𝑣(𝑥)
3) Calculer, en 𝑐𝑚², la valeur exacte de l’aire 𝑆 du domaine plan compris entre (𝒞) et les droites d’équations respectives
𝑦 = −1 , 𝑥= 2 et 𝑥 = 3.
PARTIE C
𝑢0 = 1
On considère la suite (𝑢𝑛 ) définie sur ℕ par : { pour tout 𝑛 𝜖 ℕ.
𝑢𝑛 + 1 = 4 − 𝑒 −𝑢𝑛
1) Montrer, par récurrence, que pour tout entier non nul 𝑛, 3 < 𝑢𝑛 < 4
2)
a) Montrer que, pour tout entier naturel non nul 𝑛, 𝑢𝑛+1 − 𝑢𝑛 et 𝑢𝑛 − 𝑢𝑛−1 sont de même signe.
b) Etudier le sens de variation de la suite (𝑢𝑛 ).
3) Etudier la convergence de la suite (𝑢𝑛 )
NB : On donne : 𝑒 −3 ≃ 0,05 et 𝑒 −4 ≃ 0,02
PARTIE A
1
On considère l’équation différentielle (𝐸) définie par : (𝐸) ∶ 𝑦′ + 𝑦 = 3𝑒 −2𝑥 + 2.
2
1) Déterminer le réel 𝑎, tel que la fonction 𝑣 définie par 𝑣(𝑥) = 𝑎𝑥𝑒 −2𝑥 + 2 soit une solution de (𝐸).
1
2) Donner les solutions de l’équation (𝐸 ′ ) ∶ 𝑦′ + 𝑦 = 0.
2
3)
a) Montrer que 𝑢 est solution de (𝐸) si et seulement si 𝑣 − 𝑢 est solution de (𝐸′)
b) En déduire les solutions de (𝐸)
4) Déterminer la solution particulière ℎ de l’équation (𝐸) vérifiant ℎ(0) = 0.
PARTIE B
𝑓(𝑥) = 2(3𝑥 − 1)𝑒 −2𝑥 + 2 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 0
On définit la fonction 𝑓 sur ℝ par : { 𝑥𝑙𝑛𝑥
𝑓(𝑥) = 𝑠𝑖 𝑥 > 0
𝑥+1
On note (𝐶𝑓) sa courbe représentative dans un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ). Unité graphique : 4 𝑐𝑚.
I- Etude d’une fonction auxiliaire
On définit la fonction 𝑔 sur ]0; +∞[ par 𝑔(𝑥) = 1 + 𝑥 + 𝑙𝑛𝑥
1)
a) Calculer les limites de 𝑔 en 0 et en +∞
b) Déterminer le sens de variations de 𝑔
c) Dresser le tableau de variation de 𝑔.
2) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 dans ]0; +∞[.
Montrer que 𝛼 appartient à l’intervalle ]0,2 ; 0,3[.
3) En déduire le signe de 𝑔(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥.
II- Etude et représentation graphique de 𝒇
2) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0. Donner une interprétation graphique.
3) Etudier les limites de 𝑓 en −∞ et en +∞
𝑓(𝑥)
4) Calculer lim et interpréter le résultat obtenu.
𝑥⟶+∞ 𝑥
𝑔 ( 𝑥)
5) Etudier le sens de variation de 𝑓 sur ℝ. (On montrera que pour tout 𝑥 > 0, 𝑓 ′ (𝑥) = ( )
𝑥+1) 2
6) Montrer que 𝑓(𝛼) = −𝛼 et déterminer le point d’intersection de (𝐶𝑓) avec l’axe (𝑂𝑥)
7) Dresser le tableau de variations de 𝑓
8) Construire (𝐶𝑓)
PARTIE C
Soit 𝜆 < 0. On note 𝒜(𝜆) l’aire de la partie du plan délimitée par les droites d’équations 𝑥 = 𝜆 , 𝑥 = 0 , 𝑦 = 0 et la courbe
(𝐶𝑓).
1) On pose 𝐹(𝑥) = (𝑎𝑥 + 𝑏)𝑒 −2𝑥 . Déterminer 𝑎 et 𝑏 pour que 𝐹′(𝑥) = (3𝑥 − 1)𝑒 −2𝑥 . .
2) Calculer 𝒜(𝜆) en 𝑐𝑚²
3) Calculer lim 𝒜(𝜆)
𝜆⟶−∞

1
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : { 𝑓(𝑥) = 𝑥𝑒 𝑥 𝑠𝑖 𝑥 < 0

𝑓 (𝑥) = 𝑥𝑙𝑛(1 + 𝑥) 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 0
On désigne par (𝒞) la courbe de 𝑓 dans un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ) , unité graphique 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
𝑥
1) Soit 𝑔 la fonction définie par 𝑔(𝑥) = 𝑙𝑛(1 + 𝑥) + 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 0.
𝑥+1
Déterminer le sens de variation de 𝑔 sur [0 ; +∞[ et en déduire son signe sur [0 ; +∞[
2)
a) Etudier la continuité de 𝑓 en 0
b) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0
3)
a) Calculer 𝑓′(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥 et vérifier que pour tout 𝑥 ≥ 0; 𝑓′(𝑥) = 𝑔(𝑥)
b) Montrer que pour tout 𝑥 < 0 , on a 𝑓′(𝑥) > 0
c) Montrer que pour tout 𝑥 ≥ 0, on a 𝑓′(𝑥) > 0
d) Calculer les limites de 𝑓 en −∞ et en +∞
e) Dresser le tableau de variation de 𝑓
4)
𝑓(𝑥)
a) Calculer lim puis interpréter graphiquement le résultat
𝑥⟶+∞ 𝑥
1 1
b) Calculer lim [𝑥(𝑒 − 1)]. (On pourra poser 𝑋 = )
𝑥
𝑥⟶−∞ 𝑥
c) Montrer que la droite (𝐷) d’équation : 𝑦 = 𝑥 + 1 est une asymptote oblique à (𝒞) en −∞
1
d) Préciser la position de (𝒞) par rapport à (𝐷) pour 𝑥 < 0. (On admettra que 𝑥(𝑒 𝑥 − 1) ≤ 1 pour 𝑥 < 0)
5) Tracer la droite (𝛥): 𝑦 = 𝑥 ; (𝐷): 𝑦 = 𝑥 + 1 et (𝒞) dans le repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗), unité graphique 2 𝑐𝑚.
PARTIE B
1)
𝑥² 𝑐
a) Déterminer trois réels 𝑎, 𝑏 et 𝑐 tels que pour tout 𝑥 de ℝ+ , on a : = 𝑎𝑥 + 𝑏 +
𝑥+1 𝑥+1
𝑒−1
b) Déduire au moyen d’une intégration par parties le calcul de ∫0 𝑓(𝑥)𝑑𝑥
2) Calculer en 𝑐𝑚², l’aire 𝒜 de la partie du plan limitée par (𝛥) : 𝑦 = 𝑥 ; (𝒞) et les droites d’équations 𝑥 = 0 et 𝑥 = 𝑒 − 1.
3) Soit ℎ la restriction de 𝑓 à l’intervalle [0 ; +∞[
a) Montrer que ℎ réalise une bijection de [0 ; +∞[ sur un intervalle 𝐼 que l’on précisera.
b) Construire la courbe (𝒞′) de ℎ −1 dans le même repère (𝑂, 𝑖, 𝑗 )
4) Quelle est l’aire 𝒜′ en 𝑐𝑚² de la boucle délimitée par (𝒞) et (𝒞′) ?
PARTIE C

1
𝑥(𝑡) =
ln( −𝑡)
On considère la courbe (𝛤) dont une représentation paramétrique est : { 𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑡 𝜖 ] − 1 ; 0[
𝑦(𝑡) =
ln( −𝑡)
1) Déterminer une équation cartésienne de (𝛤)
2) Comment obtient-on (𝛤) à partir de la courbe (𝒞) de 𝑓
3) Construire (𝛤) en pointillées dans le repère (𝑂, 𝑖, 𝑗)
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par 𝑓(𝑥) = 𝑥 + 1 + (𝑥 + 1)𝑒 −2𝑥 . On désigne par (𝐶) sa courbe représentative dans
le plan muni d’un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗) unité 2 𝑐𝑚.
PARTIE A : Etude d’une fonction auxiliaire
Soit 𝑔 la fonction définie par 𝑔(𝑥) = 𝑒 2𝑥 − 2𝑥 − 1
1) Calculer les limites de 𝑔 en −∞ et en +∞
2)
a) Etudier le sens de variation de 𝑔 et dresser son tableau de variation
b) En déduire le signe de 𝑔(𝑥) pour tout réel 𝑥
PARTIE B : Etude de 𝑓 et construction de (𝐶)
2) Démontrer que la droite (𝛥) d’équation 𝑦 = 𝑥 + 1 est asymptote à (𝐶) en +∞. Préciser la position relative de (𝐶) et (𝛥)
3)
a) Calculer 𝑓′(𝑥) et l’exprimer à l’aide de 𝑔(𝑥). En déduire le signe de 𝑓′(𝑥).
b) Dresser le tableau de variation de 𝑓
𝑓(𝑥)
4) Calculer lim , puis interpréter graphiquement le résultat obtenu.
𝑥 ⟶−∞ 𝑥
5)
a) Montrer que 𝑓 réalise une bijection de ℝ sur un intervalle 𝐽 que l’on précisera.
b) Construire dans le repère (𝑂, 𝑖, 𝑗 ) ; (𝐶) ; (𝛥) et la courbe (𝛤) de 𝑓 −1 , réciproque de 𝑓.
PARTIE C : Calcul d’aire et de volume
1) Soit 𝛼 un réel strictement supérieur à −1.
a) A l’aide d’une intégration par parties, calculer en 𝑐𝑚², l’aire 𝐴(𝛼) du domaine plan limité par (𝐶) , (𝛥) et les droites
d’équations : 𝑥 = −1 et 𝑥 = 𝛼.
b) Calculer lim 𝐴(𝛼)
𝛼 ⟶+∞
2) On désigne par (𝐷) le domaine plan limité par (𝐶), l’axe des abscisses et les droites d’équations 𝑥 = −1 et 𝑥 = 0; et par
𝑉 le volume en 𝑐𝑚3 du solide 𝑆 engendré par la rotation complète de (𝐷) autour de l’axe des abscisses.
a) Montrer que [𝑓(𝑥)]2 = (𝑥 + 1) 2(1 + 2𝑒 −2𝑥 + 𝑒 −4𝑥 )
1 5 1
b) Soit 𝐻 la fonction définie sur ℝ par : 𝐻(𝑥) = 𝑥 3 + 𝑥² + 𝑥 − (𝑥² + 3𝑥 + )𝑒 −2𝑥 − (8𝑥² + 20𝑥 + 13)𝑒 −4𝑥
3 2 32
Calculer 𝐻′(𝑥) et l’exprimer à l’aide de 𝑓(𝑥) ;
c) En déduire le volume 𝑉.
𝑓 (𝑥) = (1 − 𝑥)𝑒 𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 1
On considère la fonction numérique 𝑓 définie sur ℝ par : {
𝑓(𝑥) = √𝑥² + 2𝑥 − 3 𝑠𝑖 𝑥 > 1
On note (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans un repère orthonormal direct ℛ = (𝑂, 𝑖, 𝑗) ; unité graphique : 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
1)
a) Etudier la continuité de 𝑓 en 𝑥0 = 1
b) 𝑓 est – elle dérivable en 𝑥0 = 1 ? Interpréter géométriquement le résultat obtenu.
2)
a) Calculer les limites de 𝑓 en −∞ et en +∞

b) Soit 𝑓′ la dérivée de 𝑓. Calculer 𝑓′(𝑥) et étudier le signe de 𝑓′.
3) Montrer que la droite (𝛥) d’équation 𝑦 = 𝑥 + 1 est asymptote à (𝐶) en +∞.
1
4) Déterminer une équation de la tangente (𝑇) à (𝐶) au point d’abscisse −1. (On donne : ≃ 0,36 )
𝑒
5) Tracer (𝛥), (𝑇) et (𝐶).
6)
a) Montrer que la restriction de 𝑓 à ]1 ; +∞[ réalise une bijection de ]1 ; +∞[ sur un intervalle 𝐽 que l’on précisera.
b) On note (𝐶′) la courbe représentative de cette bijection réciproque dans le repère ℛ = (𝑂, 𝑖, 𝑗 ). Construire (𝐶′).
PARTIE B
1) Soit 𝛼 un réel strictement négatif ;
0
a) A l’aide d’une intégration par parties, calculer 𝐼(𝛼) = ∫𝛼 𝑥𝑒 𝑥 𝑑𝑥 ;
b) On désigne par 𝐷𝛼 le domaine plan délimité par (𝐶), (𝑂𝑥) et les droites d’équations 𝑥 = 𝛼 et 𝑥 = 0.
Calculer, en 𝑐𝑚², la valeur de l’aire 𝐴(𝛼) du domaine 𝐷𝛼.
c) Calculer lim 𝐴(𝛼)
𝛼⟶−∞
2)
a) Déterminer les réels 𝑎 , 𝑏 et 𝑐 tels que la fonction 𝐹 définie sur ℝ par 𝐹(𝑥) = (𝑎𝑥² + 𝑏𝑥 + 𝑐)𝑒 2𝑥 soit une primitive
sur ℝ de 𝑥 ⟼ (𝑥² − 2𝑥 + 1)𝑒 2𝑥 .
b) Calculer, en 𝑐𝑚 3, le volume 𝒱(𝛼) du solide 𝑆(𝛼) engendré par la rotation complète de 𝐷𝛼 autour de l’axe (𝑂𝑥).
PARTIE C
2
𝑥 (𝑡) = −1 𝜋
On considère la courbe (𝛤 ) dont une représentation paramétrique est : { 𝑐𝑜𝑠 𝑡 , 𝑡 𝜖 ]0 ; [
𝑦 (𝑡) = 2 tan 𝑡 2
1) Donner une équation cartésienne de (𝛤 )

2) En déduire que (𝛤 )est une partie de (𝐶) que l’on précisera
PARTIE A
−3𝑒
On considère l’équation différentielle (𝐸) ∶ 𝑦′ − 3𝑦 =
(1+ 𝑒−3𝑥) 2
On donne une fonction 𝜑 dérivable sur ℝ et la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : 𝑓(𝑥) = 𝑒 −3𝑥 𝜑(𝑥)
1)
a) Montrer que 𝑓 est dérivable sur ℝ
b) Exprimer 𝑓′(𝑥) en fonction de 𝜑(𝑥) et de 𝜑′(𝑥)
2) Sachant que 𝜑 est une solution de (𝐸),
a) Exprimer 𝑓′(𝑥) en fonction de 𝑥
𝑒
b) Déterminer l’expression de 𝑓(𝑥) en fonction de 𝑥 si 𝑓(0) = ∙
2
PARTIE B
𝑒1−3𝑥
Soit la fonction ℎ définie sur ℝ par ℎ(𝑥) =
1 + 𝑒−3𝑥
On désigne par (𝐶) sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑂, 𝑖, 𝑗 ) (unité 2 𝑐𝑚).
1) Déterminer les limites de ℎ en −∞ et en +∞. En déduire que (𝐶) admet deux asymptotes dont on donnera les équations
2)
a) Calculer ℎ′(𝑥) en fonction de 𝑥
b) Déterminer le signe de ℎ′(𝑥). En déduire le sens de variation de ℎ. Dresser son tableau de variation.
3) Tracer (𝐶) et ses asymptotes
𝛼
4) Pour tout réel 𝛼 > 0, on pose 𝐼𝛼 = ∫0 ℎ(𝑥)𝑑𝑥
a) Donner une interprétation graphique de 𝐼𝛼
b) Calculer 𝐼𝛼 en fonction de 𝛼. Déterminer lim 𝐼𝛼 .
𝛼⟶+∞
PARTIE C
1 𝑥
Soit (𝑈𝑛 ) la suite définie sur ℕ∗ par 𝑈𝑛 = ∫0 ℎ (𝑥)𝑒 𝑛 𝑑𝑥 où ℎ est la fonction définie dans la partie 𝐵.
1)
a) Montrer que ∀ 𝑛 𝜖 ℕ∗ , 𝑈𝑛 > 0
b) Etudier le sens de variation de (𝑈𝑛 )
c) la suite (𝑈𝑛 ) est – elle convergente ?
2)
1
a) Montrer que ∀ 𝑛 𝜖 ℕ∗ , 𝐼1 ≤ 𝑈𝑛 ≤ 𝑒 𝑛 𝐼1
b) En déduire la limite de la suite (𝑈𝑛 )
On donne 𝑒 ≃ 2,7 ; 𝑒 3 ≃ 20
PARTIE A
On considère la fonction 𝑔 définie sur ℝ par 𝑔(𝑥) = (1 − 𝑥)𝑒 𝑥 − 1
1) Etudier les variations de 𝑔
2) Calculer 𝑔(0). En déduire que pour tout 𝑥 ≠ 0 , 𝑔(𝑥) < 0.
PARTIE B
𝑥
𝑓(𝑥) = 𝑥 + 2 𝑠𝑖 𝑥 ≠ 0
Soit la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : { 𝑒 −1
𝑓(0) = 3
On désigne par (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑂, 𝑖, 𝑗 ) (unité graphique
2 𝑐𝑚).
1
On admettra que 𝑓 est dérivable en 0 et que 𝑓′(0) = −
2
1)
a) Déterminer la limite de 𝑓 en −∞
𝑥 𝑥 1
b) Etablir que 𝑥 = 𝑥 × puis déterminer la limite de 𝑓 en +∞
𝑒 −1 𝑒 1−𝑒−𝑥
En déduire que (𝐶) admet une asymptote horizontale en +∞ dont on donnera l’équation.
2) Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = −𝑥 + 2 est une asymptote oblique à la courbe (𝐶) en −∞
𝑔( 𝑥 )
3) Calculer, pour tout 𝑥 ≠ 0, 𝑓′(𝑥) et montrer que 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑥 2
(𝑒 −1)
4)
a) Donner le sens de variation de 𝑓
b) Dresser le tableau de variation de 𝑓
5) Soit (𝑇) la tangente à (𝐶) au point d’abscisse nulle, écrire l’équation de (𝑇)
6) Tracer (𝐷), (𝑇) et (𝐶).
PARTIE C
Soit ℎ la fonction définie sur ℝ par ℎ(𝑥) = 𝑓(𝑥) − 𝑥
1) Montrer que l’équation ℎ(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 et que 𝛼 𝜖 ]2 ; 2,5[
2) On pose 𝐼 = [2 ; 2,5]
a) Démontrer que pour tout 𝑥 𝜖 𝐼, on a : 𝑔(𝑥) ≥ −20 et (𝑒 𝑥 − 1) 2 ≥ 40
1
b) En déduire que si 𝑥 𝜖 𝐼, − ≤ 𝑓′(𝑥) ≤ 0
2
3) Soit (𝑈𝑛 ) la suite définie sur ℕ par 𝑈0 = 2 et 𝑈𝑛+1 = 𝑓(𝑈𝑛 ).
a) Montrer par récurrence que pour tout 𝑛 𝜖 ℕ, on a 𝑈𝑛 𝜖 𝐼.
1 1 𝑛+1
b) Montrer que pour tout 𝑛 𝜖 ℕ, |𝑈𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑈𝑛 − 𝛼| et que |𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ ( )
2 2
c) En déduire que (𝑈𝑛 ) converge vers 𝛼.
d) Déterminer le plus petit entier 𝑛0 tel que pour tout 𝑛 ≥ 𝑛0 , on ait |𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ 10 −3
1
On donne : 𝑙𝑛2 ≃ 0,69 ; 𝑙𝑛10 ≃ 2,3 ; 𝑒 2 ≃ 7,39 ; 𝑒 2,5 ≃ 12,18 ; ≃ 0,15 ;
𝑒2 −1
1
2,5 ≃ 0,09 ; (𝑒 2 − 1) 2 ≃ 40,83 ; (𝑒 2,5 − 1) 2 ≃ 125
𝑒 −1

PARTIE A
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par 𝑓(𝑥) = 𝑥(1 + 𝑒 2−𝑥 ). On note (𝐶) la courbe représentative dans un repère
orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗). (Unité graphique 2 𝑐𝑚)
1) Soit ℎ la fonction définie sur ℝ par : ℎ(𝑥) = 1 + (1 − 𝑥)𝑒 2−𝑥
a) Etudier le sens de variation de ℎ sur ℝ (On ne demande pas les limites de ℎ).
b) En déduire le signe de ℎ(𝑥) sur ℝ
2)
a) Etudier les limites de 𝑓 en −∞ et en +∞
𝑓(𝑥)
b) Calculer lim puis interpréter graphiquement le résultat obtenu.
𝑥⟶−∞ 𝑥
c) Soit (𝛥) la droite d’équation 𝑦 = 𝑥. Calculer lim [𝑓(𝑥) − 𝑥], puis interpréter graphiquement le résultat obtenu.
𝑥⟶+∞
d) Préciser la position de (𝐶) par rapport à la droite (𝛥).
3)
a) Déterminer 𝑓′(𝑥) puis étudier son signe.
b) En déduire le sens de variation de 𝑓 puis dresser son tableau de variation
c) Montrer que 𝑓 réalise une bijection de ℝ vers un intervalle 𝐽 à déterminer. On note 𝑓 −1 la bijection réciproque de 𝑓
d) 𝑓 −1 est – elle dérivable en 4 ? Dresser le tableau de variation de 𝑓 −1 .
e) Construire la courbe (𝐶) et (𝛥) puis déduire la courbe (𝛤) de 𝑓 −1 dans le même repère
PARTIE B
1) Calculer l’aire 𝐴(𝜆) de la partie du plan limitée par (𝐶), la droite (𝛥) et les droites d’équations 𝑥 = 0 et 𝑥 = 𝜆 où 𝜆 𝜖 ℝ∗+
2) Calculer lim 𝐴(𝜆) puis interpréter géométriquement le résultat obtenu.
𝜆⟶+∞

𝑙𝑛𝑥
𝑠𝑖 𝑥 ≥ 1
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : 𝑓(𝑥) = { 1+𝑥
1
𝑒 𝑥−1 𝑠𝑖 𝑥 < 1
On note (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan muni d’un repère orthogonal (𝑂, 𝑖, 𝑗) tel que ‖𝑖 ‖ = 1 𝑐𝑚 et
‖𝑗 ‖ = 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
Soit 𝑔 la fonction définie sur 𝐼 = [1 ; +∞[ par 𝑔(𝑥) = 1 + 𝑥 − 𝑥𝑙𝑛𝑥
1) Calculer les limites de 𝑔 aux bornes de 𝐼
2) Etudier le sens de variation de 𝑔 et dresser son tableau de variation
3) Démontrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une unique solution 𝛼 sur 𝐼. Vérifier que 𝛼 𝜖 ]3,5 ; 4[
4) Déduire de ce qui précède le signe de 𝑔 sur 𝐼
PARTIE B
2) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 1. Interpréter graphiquement le résultat obtenu.
𝑔( 𝑥 )
3) Calculer 𝑓′(𝑥) pour 𝑥 𝜖 ℝ − {1} et vérifier que pour tout 𝑥 𝜖 𝐼, 𝑓 ′ (𝑥) = ( ) 2
𝑥 1+𝑥
4) En déduire le signe de 𝑓′(𝑥) pour tout 𝑥 𝜖 ℝ − {1} puis dresser le tableau de variation de 𝑓
1
5) Montrer que 𝑓(𝛼) = .
𝛼
6) Construire (𝐶), ses tangentes et ses asymptotes
PARTIE C
𝑒
On pose 𝐽𝑛 = ∫1 𝑥 2 (𝑙𝑛𝑥) 𝑛𝑑𝑥 pour tout 𝑛 𝜖 ℕ
1) Calculer 𝐽0 .
2) Montrer que 𝐽𝑛 ≥ 0 pour tout 𝑛 𝜖 ℕ.
3) Montrer que (𝐽𝑛 ) est décroissante
4) Montrer que (𝐽𝑛 ) est convergente.
5) En utilisant une intégration par parties, démontrer que pour tout entier naturel 𝑛 ∶ 3𝐽𝑛+1 + (𝑛 + 1)𝐽𝑛 = 𝑒 3
6) En déduire les valeurs exactes de 𝐽1 et 𝐽2 .
Données : 𝑙𝑛(3,5) ≃ 1,25 ; 𝑙𝑛2 ≃ 0,7 ; 𝑒 −1 ≃ 0,37

𝑓(𝑥) = (𝑥 + 1)𝑒 1−𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 1
On considère la fonction numérique 𝑓 définie sur ℝ par : { 2
𝑓(𝑥) = − 𝑙𝑛𝑥 𝑠𝑖 𝑥 > 1
𝑥
On note (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan muni d’un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ) d’unité graphique 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
1)
a) Calculer les limites de 𝑓 en −∞ et en +∞.
𝑓(𝑥)
b) Calculer les limites de en −∞ et en +∞. Que peut-on en déduire pour la courbe (𝐶) ?
𝑥
c) Étudier la continuité de 𝑓 en 1.
2)
𝑓(𝑥)−𝑓(1) 𝑒𝑋−1
a) On pose : 𝑋 = 1 – 𝑥. Démontrer que : pour tout 𝑥 < 1, = −2( ) + 𝑒𝑋
𝑥−1 𝑋
𝑓(𝑥)−𝑓(1) −2 𝑙𝑛 (𝑋+1)
b) On pose : 𝑋 = 𝑥 – 1. Démontrer que : pour tout 𝑥 > 1, = − .
𝑥−1 𝑋+1 𝑋
c) Étudier la dérivabilité de 𝑓 en 1. Interpréter graphiquement le résultat obtenu.
3)
a) Calculer 𝑓′(𝑥) pour tout 𝑥 ≠ 1, puis étudier son signe.
b) En déduire le sens de variation de 𝑓 et dresser son tableau de variation.
4)
a) Démontrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une unique solution 𝛼 sur ]1 ; +∞[. Vérifier que : 2,3 < 𝛼 < 2,4.
b) Résoudre dans ] − ∞ ; 1] l’équation 𝑓(𝑥) = 0.
5) Construire la courbe (𝐶) et ses demi-tangentes.
PARTIE B
𝛼
1) Calculer l’intégrale ∫1 𝑙𝑛𝑥𝑑𝑥 à l’aide d’une intégration par parties.
2) Soit 𝑨 l’aire en 𝑐𝑚2 du domaine plan délimité par les droites d’équations 𝑥 = 1 ; 𝑥 = 𝛼, l’axe des abscisses et la
courbe (𝐶).
𝑎) 𝑨 = (8– 4𝛼)𝑙𝑛𝛼 + 4𝛼– 4
Démontrer que : {
𝑏) 𝑨 = 4𝛼 + 16𝛼 − 12
3) On considère un point mobile 𝑀 dont les coordonnées sont données en fonction du paramètre 𝑡 par :
{ , 𝑡 ≥ 0. Montrer que la trajectoire de 𝑀 est une partie de (𝐶) que l’on précisera.
𝑦(𝑡) = −𝑡 + 2𝑒 −𝑡
𝑓(𝑥) = 𝑥√3 − 𝑥 + 1 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 3
On considère la fonction numérique 𝑓 définie sur ℝ par : {
𝑓(𝑥) = 𝑒 3−𝑥 + 𝑥 − 3 𝑠𝑖 𝑥 > 3
On désigne par (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan rapporté à un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗) d’unité graphique
2 𝑐𝑚.
PARTIE A
1)
a) Étudier la continuité de 𝑓 en 3.
b) Étudier la dérivabilité de 𝑓 en 3 et interpréter graphiquement le résultat obtenu.
2)
𝑓(𝑥)
b) Calculer la limite de en −∞. Que peut-on en déduire pour la courbe (𝐶) ?
𝑥
3)
a) Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = 𝑥 – 3 est asymptote à (𝐶) en +∞.
Préciser la position de (𝐶) par rapport à (𝐷) dans ]3 ; +∞[.
b) Étudier la position de (𝐶) par rapport à la droite (𝛥) d’équation 𝑦 = 𝑥 + 1 sur [0 ; 2].
4)
a) Calculer 𝑓′(𝑥) pour tout 𝑥 ≠ 3 et étudier son signe.
b) En déduire le sens de variation de 𝑓 puis dresser son tableau de variations.
5)
a) Démontrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet dans ℝ une unique solution 𝛼. Vérifier que : −1 < 𝛼 < 0.
b) Construire la courbe (𝐶), les droites (𝐷) et (𝛥), et les demi-tangentes au point d’abscisse 3 de (𝐶),
PARTIE B
1) Calculer l’aire 𝑨 en 𝑐𝑚2, de la partie du plan délimitée par la courbe (𝐶), la droite (𝛥) et les droites d’équations 𝑥 = 0
et 𝑥 = 2. (On pourra utiliser une intégration par parties).
2) On considère un point mobile 𝑀 dont les coordonnées sont données en fonction du paramètre 𝑡 par :
𝑥(𝑡) = 3 − 𝑒 2𝑡
{ , 𝑡 ≥ 0. Montrer que la trajectoire de 𝑀 est une partie de (𝐶) que l’on précisera.
𝑦(𝑡) = 3𝑒 𝑡 − 𝑒 3𝑡 + 1
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : 𝑓(𝑥) = (2𝑥 − 1)𝑒 2𝑥 + 1. On désigne par (𝐶) la courbe représentative de 𝑓
dans le plan muni d’un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ), d’unité graphique 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
1)
a) Calculer la limite de 𝑓 en −∞.
En déduire que la courbe (𝐶) admet une asymptote (𝛥) dont on précisera une équation.
b) Étudier les positions relatives de (𝐶) et (𝛥). On précisera les coordonnées de 𝐴, point d’intersection de (𝐶) et (𝛥).
2)
𝑓(𝑥)
a) Calculer la limite en +∞ de 𝑓(𝑥) et de .
𝑥
b) Interpréter graphiquement les résultats obtenus.
3) Étudier le sens de variation de 𝑓 et dresser son tableau de variations.
1
4) Déterminer une équation de la tangente (𝑇) à (𝐶) au point d’abscisse .
2
5) Construire (𝛥), (𝑇) et (𝐶).
PARTIE B
1) A
1
a) Calculer : 𝐼 = ∫02[1 − 𝑓(𝑥)]𝑑𝑥. Interpréter géométriquement le résultat obtenu.
0
b) Calculer : 𝐽 = ∫−1(2𝑥 − 1)𝑒 2𝑥 𝑑𝑥.
0
c) Calculer : 𝐾 = ∫−1(2𝑥 − 1) 2𝑒 4𝑥 𝑑𝑥. (On pourra utiliser deux intégrations par parties successives).
2) Soit 𝐷 l’ensemble des points 𝑀(𝑥 ; 𝑦) du plan tels que : −1 ≤ 𝑥 ≤ 0 et 0 ≤ 𝑦 ≤ 𝑓(𝑥).
Calculer en 𝑐𝑚 3 le volume 𝑉 du solide de révolution engendré par la rotation de 𝐷 autour de l’axe des abscisses. (On
pourra exprimer 𝑉 en fonction de 𝐽 et 𝐾).
PARTIE C
𝑙𝑛𝑡
𝑥(𝑡) =
2
Les coordonnées d’un point mobile 𝑀 dans le repère (𝑂, 𝑖, 𝑗) sont données par : { 1+ 𝑙𝑛𝑡 , 𝑡 ≥ 1.
𝑦(𝑡) = − +1
𝑡
a) Déterminer une équation cartésienne de la trajectoire (𝛤) de 𝑀.
b) Expliquer comment on peut tracer (𝛤) à partir de (𝐶).
c) Tracer (𝛤) en pointillés dans le repère (𝑂, 𝑖, 𝑗).
PARTIE A
1) Soit la fonction 𝑢 définie sur ℝ par : 𝑢(𝑥) = 𝑥𝑒 𝑥 .

𝑥 1
Etudier le sens de variations de 𝑢 et en déduire que pour tout réel 𝑥, on a : 𝑥𝑒 ≥ − .
𝑒
2) Soit la fonction 𝑔 définie sur ] − ∞ ; 0] par : 𝑔(𝑥) = 1 − (𝑥 2 + 𝑥 + 1)𝑒 𝑥 .
a) Étudier le sens de variations de 𝑔, puis dresser son tableau de variations. (On ne demande pas la limite de 𝑔 en −∞).
b) Déduire de ce qui précède que : pour tout 𝑥 𝜖 ] − ∞ ; 0], 𝑔(𝑥) ≥ 0.
PARTIE B
𝑥+1
𝑓(𝑥) = 𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 0
𝑥𝑒 +1
On considère la fonction f définie par : { 𝑥
𝑓(𝑥) = 𝑥𝑙𝑛( ) + 1 𝑠𝑖 𝑥 > 0
2
On désigne par (𝐶) sa courbe représentative dans le plan muni d’un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ) d’unité graphique 2 𝑐𝑚.
1)
a) Justifier que 𝑓 est définie sur ℝ. (On pourra s’aider de la question 𝟏 de la partie 𝑨).
b) Étudier la continuité de 𝑓 en 0.
c) Étudier la dérivabilité de 𝑓 en 0. En déduire les conséquences graphiques pour la courbe (𝐶).
2)
b) Montrer que la droite (𝛥) d’équation 𝑦 = 𝑥 + 1 est asymptote à la courbe (𝐶) en −∞.
Étudier les positions relatives de (𝐶) par rapport à (𝛥) sur ] − ∞ ; 0].
3)
a) Étudier le sens de variation de 𝑓 sur ] − ∞ ; 0], puis sur ]0 ; +∞[.
(On pourra montrer que 𝑓′(𝑥) et 𝑔(𝑥) ont le même signe sur ] − ∞ ; 0]. )
4) Soit 𝐼 le point de (𝐶) d’abscisse – 1.
𝑒
a) Montrer qu’une équation de la tangente (𝑇) à (𝐶) au point 𝐼 est : 𝑦 = (𝑥 + 1).
𝑒−1
b) Étudier la position de (𝐶) par rapport à (𝑇). (On pourra utiliser le résultat obtenu dans la question 𝑨. 𝟏).
5. Construire la courbe (𝐶), la tangente (𝑇) et l’asymptote (𝛥).
PARTIE C
1) Soit 𝛼 un réel tel que : 0 < 𝛼 < 2. On désigne par 𝐴(𝛼) l’aire en 𝑐𝑚2 de la partie du plan délimitée par la courbe (𝐶),
l’axe des abscisses et les droites d’équations respectives 𝑥 = 𝛼 et 𝑥 = 2.
a) Calculer 𝐴(𝛼) au moyen d’une intégration par parties.
b) Calculer la limite de 𝐴(𝛼) quand 𝛼 tend vers 0.
𝑥 = 𝑒𝑡
2) On considère la courbe (𝛤) définie par le système : { 𝑡 , 𝑡𝜖 ℝ.
𝑦 = 𝑒 (𝑡 − 𝑙𝑛2) + 1
a) Déterminer une équation cartésienne de (𝛤).
b) En déduire que (𝛤) est une partie de (𝐶) que l’on précisera.
PARTIE A
1
Soit la fonction 𝑔 définie sur ]0 ; +∞[ par 𝑔(𝑥) = 1 − + 𝑙𝑛𝑥 où 𝑙𝑛 désigne le logarithme népérien.
𝑥
1) Calculer lim+ 𝑔(𝑥) et lim 𝑔(𝑥).
𝑥→0 𝑥→+∞
2)
a) Calculer 𝑔′(𝑥), étudier son signe puis donner le sens de variation de 𝑔.
b) Dresser le tableau de variation de 𝑔
PARTIE B
𝑓 (𝑥) = 𝑒 𝑥−1 − 1 𝑠𝑖 𝑥 < 1
On considère la fonction 𝑓 de la variable réelle 𝑥 définie par : {
𝑓 (𝑥) = (𝑥 − 1)𝑙𝑛𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 1
On désigne par (Γ) la courbe représentative de 𝑓.
2) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 1 et interpréter graphiquement les résultats obtenus.
3)

a) Calculer lim 𝑓(𝑥) puis calculer lim 𝑓(𝑥) et interpréter le résultat.
𝑥→+∞ 𝑥→−∞
b) Calculer 𝑓′(𝑥), étudier son signe puis donner le sens de variation de 𝑓.
c) Dresser le tableau de variation de 𝑓
4)
𝑓(𝑥)
a) Calculer lim et interpréter graphiquement le résultat obtenu.
𝑥→+∞ 𝑥
b) Construire la courbe (Γ) de 𝑓 dans le plan muni d’un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ). (unité graphique 2 𝑐𝑚)
PARTIE C
1) En effectuant une intégration par parties, déterminer l’aire de la partie du plan délimitée par la courbe (Γ) l’axe des
abscisses et les droites d équation 𝑥 = 1 et 𝑥 = 3.
2) Soit 𝛼 un réel négatif
a) Déterminer en fonction de 𝛼 l’aire de la partie du plan délimitée par la courbe (Γ) et les droites d’équation 𝑥 = 𝛼 et
𝑥 = 1 et 𝑦 = −1.
b) Déterminer la limite de cette aire lorsque 𝛼 tend vers −∞
PARTIE D
1) Montrer que 𝑓 est une bijection de ℝ vers un intervalle que l’on précisera.
2) On désigne par (Γ′) la courbe de 𝑓 −1 bijection réciproque de 𝑓. Construire en justifiant (Γ′) dans le même repère que
(Γ).
1
On donne : ≈ 0,4
𝑒

Le plan 𝑃 est muni d’un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗), unité graphique 2 𝑐𝑚
𝑥 𝑒𝑥
𝑓 (𝑥) = 𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 0
On considère la fonction numérique 𝑓 définie sur ℝ par : { 𝑒 +1 et (𝐶) sa courbe représentative
𝑓(𝑥) = 𝑥 2 𝑙𝑛𝑥 − 𝑥 2 𝑠𝑖 𝑥 > 0
dans le plan 𝑃.
PARTIE A
1)
a) Etudier la continuité de 𝑓 en 0
b) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0, puis interpréter graphiquement le résultat.
𝑓(𝑥)
2) Calculer lim puis interpréter le résultat.
𝑥→+∞ 𝑥
3) Soit la fonction 𝑔 définie sur ℝ par : 𝑔 (𝑥) = 𝑒 𝑥 + 𝑥 + 1.
a) Calculer 𝑔′(𝑥) puis en déduire le sens de variation de 𝑔.
b) Calculer les limites de 𝑔 en +∞ et en −∞.
c) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution et une seule 𝛼 et que −1,28 < 𝛼 < −1,27.
d) En déduire le signe de 𝑔(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥.
4) Calculer les limites de 𝑓 en +∞ et en −∞.
5)
𝑒𝑥 𝑔(𝑥)
a) Montrer que pour tout 𝑥 𝜖 ]−∞ ; 0], 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑥 2 . En déduire le signe de 𝑓′(𝑥) puis le sens de variation de 𝑓 sur
(𝑒 +1)
]−∞ ; 0].
b) Calculer 𝑓′(𝑥) pour tout 𝑥 𝜖 ]0 ; +∞[. En déduire le signe de 𝑓′(𝑥) puis le sens de variation de 𝑓 sur ]0 ; +∞[
6) Construire les demi-tangentes à l’origine puis la courbe (𝐶).
PARTIE B
𝑛+1
On considère la suite (𝐽𝑛 ) définie pour tout 𝑛 𝜖 ℕ tel que 𝑛 ≥ 3 par : 𝐽𝑛 = ∫𝑛 𝑓(𝑡)𝑑𝑡.
1) Donner une interprétation géométrique de 𝐽𝑛.
2)
a) Démontrer que pour tout entier naturel 𝑛 ≥ 3, 𝑓(𝑛) ≤ 𝐽𝑛.
b) Démontrer que la suite (𝐽𝑛 ) est divergente.
3) Calculer l’aire 𝐴 en 𝑐𝑚2 du domaine du plan délimité par la courbe (𝐶), l’axe des abscisses et les droites d équation
𝑥 = 1 et 𝑥 = 𝑒.
PARTIE C
On considère un mobile 𝑀 dont les coordonnées sont données en fonction du paramètre 𝑡 par : { ; 𝑡𝜖 ℝ
𝑦(𝑡) = 𝑒 2𝑡 (𝑡 − 1)
1) Montrer que la trajectoire de 𝑀 est une partie de (𝐶) que l’on précisera. Tracer en pointillés la trajectoire de 𝑀. On la
notera (Γ).
𝜋
2) Déterminer les coordonnées du vecteur vitesse à l’instant 𝑡 = .
4
1
On donne : 𝑒 −1,28 ≈ 0,278 ; 𝑒 −1,27 ≈ 0,2808 ; 𝑒 ≈ 2,7 ; 𝑒 2 ≈ 1,7 ; 𝑓 (𝛼) ≈ −0,28
PARTIE A
Soit 𝑔 la fonction définie sur ℝ par 𝑔(𝑥) = 1 − (𝑥 2 − 4𝑥 + 5)𝑒 −𝑥+1
1) Calculer les limites de 𝑔 aux bornes de son ensemble de définition.
2) Etudier le sens de variation de 𝑔 puis dresser son tableau de variation.
3)
a) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 et que 𝛼 𝜖 ]1,35 ; 1,36[ .
b) En déduire le signe de 𝑔(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥.
PARTIE B
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par 𝑓 (𝑥) = 𝑥 − 3 + (𝑥 2 − 2𝑥 + 3)𝑒 −𝑥+1.
On note (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ) ; unité 2 𝑐𝑚.
1) Calculer les limites de 𝑓 en +∞ et en −∞.
2)
a) Montrer que 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑔(𝑥), pour tout réel 𝑥, avec 𝑓′ la dérivée de 𝑓 en 𝑥. Etudier le sens de variation de 𝑓.
b) Dresser le tableau de variation de 𝑓.
3)
a) Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = 𝑥 − 3 est une asymptote oblique à (𝐶) en +∞.
b) Etudier la position relative de la courbe (𝐶) par rapport à (𝐷).
c) Déterminer une équation de la tangente (𝑇) à (𝐶) au point d’abscisse 1.
4) Tracer (𝐷), (𝑇) et (𝐶).
PARTIE C
𝛼
1) A l’aide d’une double intégration par parties, calculer l’intégrale : 𝐼 = ∫1 (𝑥 2 − 2𝑥 + 3)𝑒 −𝑥+1 𝑑𝑥.
2) En déduire l’aire 𝐴(𝛼) (en 𝑐𝑚 2) du domaine plan délimité par les droites d’équations 𝑥 = 1 , 𝑥 = 𝛼 , 𝑦 = 0 et la
courbe (𝐶).
On donne : 𝑒 −0,35 ≈ 0,7 ; 𝑒 −0,36 ≈ 0,69 ; 𝑒 ≈ 2,7 ; 𝑒 −1 ≈ 0,36 ; 𝑓(𝛼) ≈ −0,2
𝑓 (𝑥) = 2 − 𝑥 + ln(2𝑥 − 3) 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 2
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : {
𝑓(𝑥) = −𝑥 + 1 + 𝑒 𝑥−2 𝑠𝑖 𝑥 < 2
On note (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ) ; unité graphique 4 𝑐𝑚. On notera 𝑓′ la
dérivée de 𝑓.
PARTIE A
2)
𝑓(𝑥) 𝑙𝑛[2( 𝑥−2) +1]
a) Vérifier que = −1 + 2 pour tout 𝑥 > 2.
𝑥−2 2(𝑥−2)
b) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 2. Interpréter géométriquement le résultat obtenu.
3)
a) Calculer la limite de 𝑓 en −∞.
2𝑥−3 𝑙𝑛( 2𝑥−3) 𝑓(𝑥)
b) Vérifier que pour tout 𝑥 ≥ 2. On a : 𝑓 (𝑥) = 2 − 𝑥 (1 − × ). En déduire lim 𝑓(𝑥) ; lim .
𝑥 2𝑥 −3 𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥
c) Calculer lim [𝑓 (𝑥) + 𝑥]. Interpréter géométriquement le résultat obtenu.
𝑥→+∞
4) Montrer que (𝐶 ) admet une asymptote oblique (∆) au voisinage de −∞.
5)
a) Calculer 𝑓′(𝑥) pour 𝑥 𝜖 ℝ ∖ {2} puis étudier son signe.
b) En déduire le sens de variation de 𝑓.
6) Tracer (𝐶 ), (∆) la tangente et les démi-tangentes éventuelles.
PARTIE B
1) Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet deux solutions dont l’une est dans l’intervalle 𝐼 = [3 ; 4]. (On notera 𝛼 celle qui
est dans 𝐼).
2) On considère la fonction 𝑔 définie sur [2 ; +∞[ par 𝑔(𝑥) = 2 + 𝑙𝑛(2𝑥 − 3) .
a) Vérifier que 𝑔(𝛼) = 𝛼.
b) Montrer que :
(i) 𝑔(𝑥) 𝜖 𝐼 ; pour tout 𝑥 𝜖 𝐼.
2
(ii) |𝑔′(𝑥)| ≤ ; pour tout 𝑥 𝜖 𝐼.
3
2
c) En déduire que : |𝑔(𝑥) − 𝛼| ≤ |𝑥 − 𝛼| pour tout 𝑥 𝜖 𝐼.
3
PARTIE C
𝑈0 = 3
Soit (𝑈𝑛 ) la suite définie par : {
𝑈𝑛+1 = 𝑔(𝑈𝑛 ) , 𝑛 𝜖 ℕ
1) Démontrer que pour tout entier naturel 𝑛, 𝑈𝑛 𝜖 [3 ; 4]
2) En déduire que pour tout entier naturel 𝑛,
2
a) |𝑈𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑈𝑛 − 𝛼|
3
2 𝑛
b) |𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ ( )
3
3) Etudier la convergence de la suite (𝑈𝑛 ).
4) Déterminer le plus petit entier naturel 𝑛0 tel que pour tout 𝑛 ≥ 𝑛0 on ait : |𝑈𝑛 − 𝛼| ≤ 10−3 .
Données numériques :
2
𝑙𝑛2 ≈ 0,7 ; 𝑙𝑛3 ≈ 1,1 ; 𝑙𝑛 5 ≈ 1,6 ; 𝑙𝑛 10 ≈ 2,3 ; 𝑙𝑛 ≈ −0,4 ; 𝑒 −1 ≈ 0,3 ; 𝑒 −2 ≈ 0,1
3
−𝑥 + 2 + 2 ln(𝑥 − 1) 𝑠𝑖 𝑥 𝜖 ]1 ; 2[
On considère la fonction 𝑓 définie sur ]1 ; +∞[ par : {
𝑥 − 3 + 𝑒 2−𝑥 𝑠𝑖 𝑥 𝜖 [2 ; +∞[
On note (Γ) la courbe représentative de 𝑓 dans le repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗). (Unité graphique 2 𝑐𝑚). On notera 𝑓′ la
dérivée de 𝑓.
PARTIE A
1)
a) Etudier la continuité de 𝑓 en 2.
b) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 2. Donner une interprétation géométrique du résultat obtenu
2)
a) Calculer les limites de 𝑓 en 1 et en +∞. En déduire que (Γ) admet une asymptote verticale (∆) dont on précisera une
équation cartésienne.
b) Calculer 𝑓′(𝑥) pour 𝑥 > 1 et 𝑥 ≠ 2. Etudier son signe.
c) En déduire le sens de variations de 𝑓, puis dresser son tableau de variation.
3) Montrer que la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = 𝑥 − 3 est une asymptote à la courbe (Γ).
4) Tracer (Γ), (∆), (𝐷) et les demi tangentes éventuelles.
5) Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 à ]1 ; 2[.
a) Montrer que 𝑔 admet une application réciproque 𝑔−1 dont on précisera les ensembles de départ et d’arrivée.
b) Construire la courbe (Γ′) représentative de 𝑔 −1 dans le même repère que (Γ). Justifier la construction.
PARTIE B
Soit ℎ la fonction définie sur [2 ; +∞[ par ℎ(𝑥) = −𝑓(𝑥).
1) Sans étudier explicitement ℎ, construire en pointillés la courbe représentative (𝐶) de ℎ dans le même repère puis
justifier.
2) On considère un réel 𝛼 supérieur à 3. Soit 𝐴(𝛼) l’aire du domaine délimité par les droites d’équations 𝑥 = 3, 𝑥 = 𝛼,
𝑦 = 𝑥 − 3 et la courbe (Γ).
a) Calculer 𝐴(𝛼) en 𝑐𝑚 2.
b) Déterminer lim 𝐴(𝛼).
𝛼→+∞
3) On désigne par (𝑆) le domaine plan délimité par les courbes (Γ) et (𝐶) et les droites d’équations 𝑥 = 2 et 𝑥 = 3. On
note 𝒱 le volume du solide engendré par la rotation de (𝑆) autour de l’axe des abscisses.
3
a) A l’aide d’une intégration par parties, calculer ∫2 (𝑥 − 3)𝑒 2−𝑥 𝑑𝑥.
b) Calculer le volume 𝒱 en 𝑐𝑚3.
On donne : 𝑙𝑛2 ≈ 0,7 ; 𝑒 −1 ≈ 0,3
1 1
𝑓 (𝑥) = −1 + (1 + ) 𝑒 −𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≤ −1
Soit la fonction définie sur ℝ par : { 𝑥
𝑓(𝑥) = 1 + 2𝑥𝑒 −𝑥−1 𝑠𝑖 𝑥 > −1
On désigne par (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ), unité graphique 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
1) Etudier la continuité de 𝑓 en −1.
2)
a) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en −1.
b) Donner une interprétation graphique du résultat obtenu.
3) Calculer les limites de 𝑓 en −∞ et en +∞ puis interpréter graphiquement les résultats.
4)
a) Calculer 𝑓′(𝑥) pour 𝑥 𝜖 ℝ ∖ {−1}, la dérivée de 𝑓 en 𝑥.
b) Etudier le signe de 𝑓′(𝑥).
c) En déduire le sens de variation de 𝑓 et dresser son tableau de variation.
5) Donner une équation de la tangente (𝑇) à (𝐶) au point d’abscisse 0.
6) Tracer la courbe (𝐶), ses asymptotes, ses tangentes et éventuellement ses demi-tangentes.
PARTIE B
Soit 𝛼 un réel strictement positif. On désigne par :
 𝒟1 le domaine plan délimité par la courbe (𝐶), l’axe des abscisses et les droites d’équations 𝑥 = 0 et 𝑥 = 𝛼.
 𝒟2 le domaine plan délimité par les droites d’équations 𝑦 = 1 ; 𝑦 = 0 ; 𝑥 = 0 et 𝑥 = 𝛼.
𝛼
1) A l’aide d’une intégration par parties, calculer 𝑘 = ∫0 𝑥𝑒 −𝑥−1𝑑𝑥.
1 1
2) Soit ℎ la fonction dérivable sur ℝ et définie par : ℎ(𝑥) = − 𝑒 −2𝑥−2 (𝑥 2 + 𝑥 + ). Calculer ℎ′(𝑥).
2 2
3) En déduire :
a) Le volume 𝒱1 (𝛼) en 𝑐𝑚 3 du solide engendré par la rotation de 𝒟1 autour de l’axe des abscisses.
b) Le volume 𝒱2 (𝛼) en 𝑐𝑚 3 du solide engendré par la rotation de 𝒟2 autour de l’axe des abscisses.
c) Le volume 𝒱(𝛼) en 𝑐𝑚3 du solide obtenu par la rotation du domaine plan délimité par la courbe (𝐶) ; l’axe des
ordonnées et les droites d’équations 𝑥 = 𝛼 et 𝑦 = 1.
4) Calculer lim 𝒱(𝛼).
𝛼→+∞
PARTIE C
On considère la courbe paramétrée (Γ) ; ensemble des points 𝑀(𝑡)(𝑥(𝑡); 𝑦(𝑡)) où 𝑥(𝑡) et 𝑦 (𝑡) sont donnés par le système :
1
𝑥(𝑡) = −
{ 𝑙𝑛𝑡 ; 𝑡 𝜖 ]1 ; 𝑒]
𝑦 (𝑡) = −1 + 𝑡 − 𝑙𝑛𝑡
1) Montrer que (Γ) est une partie de la courbe (𝐶).
2) Tracer (Γ) en pointillés sur le même repère.
Données numériques : 𝑒 ≈ 2,7 ; 𝑒 −1 ≈ 0,4 ; 𝑒 −2 ≈ 0,14
𝑓(𝑥) = (𝑥 + 2) 2𝑒 −𝑥 , 𝑠𝑖 𝑥 𝜖 [0 ; +∞[
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : { 2
𝑓(𝑥) = 𝑥𝑙𝑛(1 − ) + 4 , 𝑠𝑖 𝑥 𝜖 ]−∞ ; 0[
𝑥
On désigne par (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan muni d’un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ) d’unité graphique
2 𝑐𝑚.
1) Calculer lim 𝑓(𝑥) et lim 𝑓(𝑥) puis en déduire deux asymptotes à (𝐶) dont on précisera les équations.
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
2)
a) Montrer que pour tout 𝑥 𝜖 ]−∞ ; 0[, 𝑓 (𝑥) = 𝑥𝑙𝑛|𝑥 − 2| − 𝑥𝑙𝑛|𝑥| + 4.
b) Etudier la continuité de 𝑓 en 0.
2 2
c) Calculer lim (1 − ) puis en déduire lim 𝑙𝑛 (1 − ).
𝑥→0 𝑥 𝑥→0 𝑥
𝑥<0 𝑥<0
𝑓 ( 𝑥) −𝑓(0) 𝑒−𝑥−1
d) Montrer que pour tout 𝑥 appartenant à l’intervalle [0 ; +∞[, = (𝑥 + 4)𝑒 −𝑥 + 4 .
𝑥 𝑥
e) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0 puis interpréter graphiquement les résultats obtenus.
3) Etudier le sens de variation de 𝑓 sur [0 ; +∞[.
4)
a) Calculer 𝑓′(𝑥) et 𝑓′′(𝑥) pour tout 𝑥 appartenant à l’intervalle ]−∞ ; 0[.
b) Déterminer le sens de variation de 𝑓′ sur ]−∞ ; 0[ et dresser son tableau de variation sur ]−∞ ; 0[.
c) En déduire le signe de 𝑓′(𝑥) pour tout 𝑥 appartenant à l’intervalle ]−∞ ; 0[.
d) En déduire le sens de variation de 𝑓 sur ]−∞ ; 0[.
5) Dresser le tableau de variation de 𝑓 sur ℝ.
6) Construire la courbe (𝐶).
7)
a) Démontrer que pour tout 𝑥 appartenant à l’intervalle [0 ; +∞[, 𝑓 (𝑥) = (2𝑥 + 4)𝑒 −𝑥 − 𝑓(𝑥) .
3
b) A l’aide d’une intégration par parties, calculer 𝐼 = ∫0 (2𝑥 + 4) 𝑒 −𝑥 𝑑𝑥.
c) Calculer en 𝑐𝑚 2 l’aire du domaine limité par la courbe (𝐶 ), l’axe des abscisses et les droites d’équations 𝑥 = 0 et
𝑥 = 3.
On donne : 𝑒 −2 ≈ 0,14
𝑓(𝑥) = 2(𝑥 − 1) 𝑙𝑛(1 − 𝑥) 𝑠𝑖 𝑥 < 1

On considère la fonction 𝑓 définie par : {
𝑓(𝑥) = (𝑥 − 2) 𝑒 −𝑥−1 + 1 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 1
On note (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan muni d'un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗 ). Unité graphique 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
1) Calculer les limites de 𝑓 en +∞ et en −∞. Que peut-on en déduire pour la courbe (𝐶) ?
2) Étudier la continuité de 𝑓 en 1.
3) Étudier la dérivabilité de 𝑓 en 1. Interpréter graphiquement les résultats.
4) Étudier les variations de 𝑓 et dresser son tableau de variation.
5) Montrer que l'équation (𝐸 ) ∶ 𝑓(𝑥) = −2 admet une solution unique 𝛼 et que
PARTIE B
𝑥 2 −2𝑥 𝛾
1) Déterminer les réels 𝛼, 𝛽 et 𝛾 tels que pour tout 𝑥 < 1, = 𝛼𝑥 + 𝛽 + .
𝑥−1
1
𝑥−1
1−
2) Par une intégration par parties, calculer l'intégrale 𝐼 = ∫0 𝑒(𝑥 − 1) 𝑙𝑛(1 − 𝑥) 𝑑𝑥.
2
3) Calculer en 𝑐𝑚 l'aire de la partie du plan délimitée par la courbe (𝐶), l'axe des abscisses et les droites d'équation 𝑥 = 0 et
1
𝑥=1− .
𝑒
PARTIE C
1)

1 1
a) Montrer que l'équation (𝐸) équivaut à ℎ (𝑥) = 𝑥 où ℎ est la fonction définie sur [−1 ; − ] par : ℎ (𝑥) = 1 − 𝑒 1−𝑒.
2
1
b) On pose 𝐼 = [−1 ; − ]. Montrer que pour 𝑥 appartenant à 𝐼, ℎ(𝑥) appartient à 𝐼
2
7
c) Montrer que pour tout 𝑥 appartenant à 𝐼, |ℎ′(𝑥)| ≤
8
𝑢0 = −1
( )
2) Soit 𝑢𝑛 la suite définie sur ℕ par : {
𝑢𝑛+1 = ℎ( 𝑢𝑛 ), 𝑛 𝜖 ℕ
a) Montrer par récurrence que pour tout entier naturel 𝑛, 𝑢𝑛 𝜖 𝐼.
7
b) En utilisant l'inégalité de la moyenne, montrer que pour tout entier naturel 𝑛, |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼|.
8
1 7 𝑛
c) En déduire que pour tout entier naturel 𝑛, |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ × ( ) .
2 8
d) En déduire que la suite (𝑢𝑛 ) est convergente et préciser sa limite.
2 1 3 2 1
On donne : ≈ 0,73 ; ≈ 0,13 ; 𝑙𝑛2 ≈ 0,69 ; 𝑙𝑛 ≈ 0,40 ; 𝑒 3 ≈ 1,947 ; 𝑒 2 ≈ 1,648
𝑒 𝑒2 2
PARTIE A
Soit la fonction définie sur ℝ par : 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 𝑒 2𝑥−2. On note (𝐶) la courbe de 𝑓 dans le plan muni d 'un repère
orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗). On prendra 5 𝑐𝑚 comme unité.
1)
a) Déterminer la limite de 𝑓 en −∞.
𝑒2𝑥
b) Vérifier que pour tout réel, 𝑓(𝑥) = 𝑥 [1 − 2𝑒 −2 ( )]
2𝑥
c) Déterminer la limite de 𝑓 en +∞.
2) Déterminer 𝑓′, la fonction dérivée de 𝑓. Etudier le signe de 𝑓′(𝑥) et calculer la valeur exacte du maximum de 𝑓.
3)
a) Démontrer que la droite (∆) d'équation 𝑦 = 𝑥 est asymptote à la courbe (𝐶 ).
b) Etudier la position relative de (𝐶 ) et (∆).
4) On note 𝐴 le point de la courbe (𝐶 ) d'abscisse 1. Déterminer une équation de la tangente (𝑇) en 𝐴 à la courbe (𝐶 ).
5)
a) On note 𝐼 l'intervalle [0 ; 0,5]. Démontrer que l'équation 𝑓(𝑥) = 0 admet dans 𝐼 une unique solution qu'on notera par
𝛼.
b) Construire la courbe (𝐶 ), l'asymptote (∆) et la tangente (𝑇).
PARTIE B
𝑢𝑛 = 0
On définit dans ℝ la suite (𝑢𝑛 ) par : {
𝑢𝑛+1 = 𝑒 2𝑢𝑛 −2
1) Soit 𝑔 la fonction définie sur ℝ par : 𝑔(𝑥) = 𝑒 2𝑥−2 . Démontrer que l'équation 𝑓(𝑥) = 0 est équivalente à 𝑔(𝑥) = 𝑥. En
déduire 𝑔(𝛼).
2
2) Démontrer que, pour tout réel 𝑥 de l'intervalle 𝐼, on a |𝑔′ (𝑥)| ≤ .
𝑒
3) Démontrer que, pour tout réel 𝑥 de l'intervalle 𝐼, 𝑔(𝑥) 𝜖 𝐼.
2
4) Utiliser l'inégalité de la moyenne pour démontrer que pour tout entier naturel 𝑛, |𝑢𝑛+1 − 𝛼| ≤ |𝑢𝑛 − 𝛼|.
𝑒
2 𝑛
5) Démontrer que |𝑢𝑛 − 𝛼| ≤ ( ) .
𝑒
6) En déduire que la suite (𝑢𝑛 ) converge et donner sa limite.
7) Déterminer un entier naturel 𝑛 tel que |𝑢𝑛 − 𝛼| < 10−5 .
Données : 𝑙𝑛2 ≈ 0, 7 ; 𝑒 −1 ≈ 0, 37 ; 𝑒 −2 ≈ 0, 14 ; 𝑙𝑛10 ≈ 2, 3
PARTIE A

( ) 2
𝑔 𝑥 = 𝑥 − √𝑥 − 𝑥 , 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 0
On considère la fonction 𝑔 définie sur ℝ par : {
𝑔(𝑥) = 𝑥 2 𝑙𝑛𝑥 , 𝑠𝑖 𝑥 > 0
On désigne par (𝐶𝑔 ) la courbe représentative de 𝑔 dans le plan muni d'un repère orthonormé (𝑂, 𝑖, 𝑗), d'unité 2 𝑐𝑚.
1) Etudier la continuité de 𝑔 en 0.
2) Etudier la dérivabilité de 𝑔 en 0, puis interpréter graphiquement le résultat. (0,5 point)
3) Etudier les variations de 𝑔.
4)
1
a) Montrer que la droite (∆) ∶ 𝑦 = 2𝑥 − est une asymptote å (𝐶𝑔 ) au voisinage de −∞.
2
b) Etudier la position relative de (𝐶𝑔 ) et (∆).
c) Calculer les limites de 𝑔 en −∞ et en −∞ puis dresser son tableau de variation.
5) Construire la courbe (𝐶𝑔 ) et la droite (∆).
PARTIE B
Soit 𝑓 l'application définie par : 𝑓 ∶ ]−∞ ; 0] ⟶ ℝ
𝑥 ⟶ 𝑓(𝑥) = 𝑔(𝑥)
1) Justifier que 𝑓 est bijective de ]−∞ ; 0] sur un intervalle 𝐽 que lon précisera. On notera 𝑓 −1 la réciproque de 𝑓.
2)
𝑥2
a) Montrer que pour 𝑥 𝜖 𝐽, 𝑓 −1 (𝑥) = .
2𝑥−1
b) Déduire du tableau de variation de 𝑓 celle de 𝑓 −1 .
3) On note (Γ) la courbe représeutative de 𝑓 −1 .
a) En utilisant la Partie 𝐴 4) 𝑎). Montrer que (Γ) admet une asymptote (𝐷) dont on précisera une équation.
b) A partir de la courbe représentative de 𝑓, justifier comment on peut déduire celle de (Γ).
c) Construire la courbe (Γ) dans le même repère que (𝐶𝑔 ).
4) A
𝛾
a) Déterminer les réels 𝛼, 𝛽 et 𝛾 tels que : 𝑓 −1 (𝑥) = 𝛼𝑥 + 𝛽 + .
2𝑥−1
b) Donner une primitive 𝐹 de 𝑓 −1 .
5)
−2 ≤ 𝑥 ≤ −1
a) Calculer en 𝑐𝑚 2 l’aire 𝐴1 de l'ensemble 𝐸1 des points 𝑀(𝑥 ; 𝑦) tels que : {
−1 ≤ 𝑦 ≤ 𝑓 −1 (𝑥)
−1 ≤ 𝑥 ≤ 0
b) Calculer en 𝑐𝑚 2 l’aire 𝐴 2 de l'ensemble 𝐸2 des points 𝑀(𝑥 ; 𝑦) tels que : {
𝑥 ≤ 𝑦 ≤ 𝑓 −1 (𝑥)
1
On donne : ≈ 0,38
𝑒

Le plan est muni d’un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗), d’unité graphique 2 𝑐𝑚.
PARTIE A
On considère la fonction ℎ définie sur ℝ par : ℎ(𝑥) = 𝑥 + 1 − 𝑒 𝑥 .
1) Calculer lim ℎ(𝑥) et lim ℎ(𝑥).
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
2)
a) Etudier le sens de variation de ℎ, puis dresser son tableau de variation.
b) En déduire le signe de ℎ(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥.
PARTIE B
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : 𝑓 (𝑥) = 3(𝑥 2 + 𝑥) 𝑒 −𝑥.
Soit (𝐶) la courbe représentative de 𝑓 dans la repère (𝑂, 𝑖, 𝑗).
1)
a) Calculer lim 𝑓(𝑥).
𝑥→+∞
𝑓(𝑥)
b) Calculer lim 𝑓(𝑥) et lim .
𝑥→−∞ 𝑥→−∞ 𝑥
c) Interpréter graphiquement les résultats des questions 𝑎) et 𝑏).
2)
a) Calculer 𝑓′(𝑥) pour tout 𝑥 𝜖 ℝ.
b) Etudier le signe de 𝑓′(𝑥) puis dresser le tableau de variation de 𝑓.
3)
a) Déterminer une équation de la tangente (𝑇) à (𝐶) au point d’abscisse nulle.
b) Montrer que : ∀ 𝑥 𝜖 ℝ, 𝑓(𝑥) − 3𝑥 = 3𝑥𝑒 −𝑥 × ℎ(𝑥).
c) Déduire les positions relatives de (𝐶) et (𝑇).
1− 5
√ 1+ 5√
4) Tracer dans le repère (𝑂, 𝑖, 𝑗), la tangente (𝑇) et la courbe (𝐶). (On prendra 𝑓 ( ) ≈ −1,3 ; 𝑓 ( ) ≈ 2,5.)
2 2
PARTIE C
1) Soit la fonction 𝐹 définie par : 𝐹 (𝑥) = (𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐)𝑒 −𝑥, où 𝑎, 𝑏 et 𝑐 sont des nombres réels.
Déterminer les réels 𝑎, 𝑏 et 𝑐 pour que 𝐹 soit une primitive de 𝑓 sur ℝ.
2) Soit 𝛼 un réel strictement positif. Calculer, en 𝑐𝑚 2, l’aire 𝐴 (𝛼) de la partie du plan limitée par la courbe (𝐶), l’axe des
abscisses et les droites d’équations 𝑥 = 0 et 𝑥 = 𝛼.
3) Calculer lim 𝐴 (𝛼).
𝛼→+∞
On donne : √5 ≈ 2,2

Le plan est muni d’un repère orthonormal (𝑂, 𝑖, 𝑗), d’unité graphique 1 𝑐𝑚.
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par : 𝑓(𝑥) = (2𝑥 + 3)𝑒 −𝑥 + 𝑥 − 1. On note (𝐶) la courbe représentative de 𝑓.
PARTIE A
Soit ℎ la fonction définie sur ℝ par : ℎ(𝑥) = 𝑒 𝑥 − 2𝑥 − 1.
1) Etudier le sens de variation de ℎ.
2)
a) Montrer que l’équation ℎ(𝑥) = 0 admet dans ℝ deux solutions 0 et 𝛼.
b) Montrer que 𝛼 𝜖 ]1 ; 2[ .
3) Préciser le signe de ℎ(𝑥) en fonction de 𝑥.
PARTIE B
1) Calculer lim 𝑓(𝑥) et lim 𝑓(𝑥) .
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
𝑓(𝑥 )
2) Calculer lim ( ) puis interpréter graphiquement le résultat obtenu.
𝑥→−∞ 𝑥
3)
a) Montrer que pour tout 𝑥 𝜖 ℝ, 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑒 −𝑥 ℎ(𝑥), ℎ étant la fonction définie dans la partie 𝐴).
(Indication : 1 = 𝑒 −𝑥 × 𝑒 𝑥 , ∀ 𝑥 𝜖 ℝ)
b) En déduire le sens de variation de 𝑓.
4) Dresser le tableau de variation de 𝑓.
5)
a) Montrer que la droite (∆) d’équation 𝑦 = 𝑥 − 1 est asymptote à la courbe (𝐶 ).
b) Etudier la position relative de (𝐶 ) par rapport à (∆).
c) Calculer les coordonnées du point 𝐴, intersection de (𝐶 ) et (∆).
6) Tracer dans le repère (𝑂, 𝑖, 𝑗), la droite (∆) et la courbe (𝐶 ).
PARTIE C
Soit 𝐷 la partie du plan limitée par l’axe des ordonnées, la droite (∆), la courbe (𝐶 ) et la droite d’équation 𝑥 = 2.
A l’aide d’une intégration par parties, calculer l’aire de 𝐷 en 𝑐𝑚2.
On donne : 𝑒 ≈ 2,72 ; 𝑙𝑛(2) ≈ 0,69
𝑽𝑶𝑺 𝑪𝑶𝑵𝑻𝑹𝑰𝑩𝑼𝑻𝑰𝑶𝑵𝑺 𝑺𝑬𝑹𝑶𝑵𝑻 𝑺𝑶𝑳𝑳𝑰𝑪𝑰𝑻𝑬𝑬𝑺 𝑷𝑶𝑼𝑹 𝑳′ 𝑨𝑴𝑬𝑳𝑰𝑶𝑹𝑨𝑻𝑰𝑶𝑵 𝑫𝑬 𝑪𝑬 𝑫𝑶𝑪𝑼𝑴𝑬𝑵𝑻

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Travaux dirigés (TD)

𝑵° Chapitres Nombre Pourcentage Page

I Les nombres complexes 36 60 % 2 - 12

VI Suites réelles - Calcul intégral 12 20 % 35 - 38

VII Courbes paramétrées 9 15 % 39 - 42

VIII Problèmes 61 100 % 43 - 86

Ibn Haldoum (le cycle des périodes)

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EXERCICE 02 (BAC 1994 – Remplacement 1er Tour)

EXERCICE 03 (BAC 1995 – 2nd Tour)

EXERCICE 04 (BAC 1995 – 2nd Tour)

EXERCICE 05 (BAC 1995 – 1er Tour)

EXERCICE 06 (BAC 1995 – Remplacement 1er Tour)

Mr. LENGA ( 71 18 92 93 ) Enseignant de Mathématiques [3]

EXERCICE 07 (BAC 1996 – Remplacement)

EXERCICE 08 (BAC 1997 – Remplacement)

EXERCICE 09 (BAC 1997 – 1er Tour)

EXERCICE 10 (BAC 1998 – 1er Tour)

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EXERCICE 11 (BAC 2000 – 1er Tour)

EXERCICE 12 (BAC 2002 – 1er Tour)

EXERCICE 13 (BAC 2002 – Remplacement)

EXERCICE 14 (BAC 2003 – Remplacement)

EXERCICE 15 (BAC 2004 – 1er Tour)

EXERCICE 16 (BAC 2005 – 1er Tour)

EXERCICE 17 (BAC 2006 – 1er Tour)

EXERCICE 18 (BAC 2007 – 1er Tour)

EXERCICE 19 (BAC 2008 – 1er Tour)

EXERCICE 20 (BAC 2009 – 1er Tour)

EXERCICE 21 (BAC 2010 – 2nd Tour)

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EXERCICE 22 (BAC 2010 – 1er Tour)

EXERCICE 23 (BAC 2011 – 1er Tour)

EXERCICE 24 (BAC 2012 – 2nd Tour)

EXERCICE 25 (BAC 2013 – 2nd Tour)

EXERCICE 26 (BAC 2014 – 1er Tour)

EXERCICE 27 (BAC 2015 – 1er Tour)

EXERCICE 28 (BAC 2016 – 1er Tour)

EXERCICE 29 (BAC 2017 – 1er Tour)

EXERCICE 30 (BAC 2017 - Remplacement – 1er Tour)

EXERCICE 31 (BAC 2018 – 1er Tour)

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EXERCICE 32 (BAC 2018 – 2nd Tour)

EXERCICE 33 (BAC 2019 – 1er Tour)

EXERCICE 34 (BAC 2019 - Remplacement – 1er Tour)

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EXERCICE 35 (BAC 2020 - Remplacement – 1er Tour)

EXERCICE 36 (BAC 2021 – 2nd Tour)

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EXERCICE 03 (BAC 1997 – 1er Tour)

EXERCICE 04 (BAC 1998 – 1er Tour)

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EXERCICE 07 (BAC 2003 – 1er Tour)

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