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Son rôle est de surveiller et réglementé les marchés de capitaux dans le but d’en assurer le
bon fonctionnement.
N.B : L’action des autorités de marchés ne s’exerce que sur les marchés organisés.
1- Organisation à caractère officiel.
b- Banques centrales. (Banque Al Maghreb) :
b- Banques.
A part le rôle classique qu’elles jouent ; elles sont amener à intervenir
à tous les niveaux sur les marchés (investissement, prestation de
service, couverture) pour leur propre compte ou pour le compte de leur
clientèle.
2- Intervenants.
c- Investisseurs institutionnels (Zinzins)
Ce sont des organismes financiers (les compagnies d’assurance, caisses de retraite,
gérants de fonds). Ils sont tenus d’investir à long terme une part importante de leurs
ressources en valeur mobilières pour le compte de leurs clients ou pour leur propre
compte. Ils jouent un rôle déterminant sur les marchés de capitaux.
d- Corporates.
Il s’agit des grandes compagnies multinationales. Elles ont des besoins très importants
en financement, couverture de risque ou investissement. Elles ont la capacité d’intervenir
sur plusieurs places financières.
e- Ménages.
Ils font preuve d’un dynamisme croissant dans leur comportement vis-à-vis du marché
des capitaux.
Ils sont motivés par le rendement de leurs placements.
Ils sont très sensibles à la réalisation de pertes.
3- Prestataires de services.
a- Sociétés de courtage (brokers).
Les intermédiaires qui exécutent les ordres d’achat ou de vente des actifs
financiers pour le compte de client sur un marché organisé ou sur un marché
de gré à gré ou les deux.
Ils perçoivent des commissions en contrepartie.
3 types de courtiers : - exécutent les ordres d’achat et de vente.
- jouent un rôle de conseiller.
- disposent d’une procuration.
b- Fournisseurs d’information.
b- Le risque de taux :
Lorsqu’un actif financier perd sa valeur marchande en raison d’une évolution
défavorable des taux d’intérêt. (Ex. : l’emprunteur à taux variable court le risque. Le
prêteur à taux fixe court le risque).
c- Le risque de change :
Les valeurs des cours de monnaies entre elle.
d- Le risque de liquidité :
C’est le risque sur la facilité à acheter ou revendre un actif financier.
e- Le risque opérationnel :
C’est le risque qu’une erreur humaine, un dysfonctionnement (typiquement des
systèmes d’informations) ou un événement externe perturbe la réalisation des objectifs
de l’établissement.
3- Les outils de gestion du risque.
Face aux risques, un intervenant sur les marchés a toujours le choix entre 2
attitudes :
- Ne rien faire.
- Mettre en œuvre des stratégies de couverture.
Les stratégies de couverture de risque : - évaluer les risques à couvrir.
- Estimer la probabilité de
réalisation de ces risques.
a- La diversification :
Il vaut mieux ne pas mettre tous les œufs dans le même panier.
b- Le transfert de risque :
Transfert le risque à des opérateurs disposés à le prendre, (soit dans
une optique de spéculation, soit pour couvrir un risque inverse)