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F
P
S
• F en N
• S en m2
• P en Pascal (Pa = N/ m2 )
I.2 unités de mesure
1 Pa = 1 N
m2
P1
P2
• N.B :
• Tous les points situés à une profondeur h, donc
contenus dans un même plan horizontal, ont la
même pression.
• Deux points situés sur une même horizontale
dans un liquide en continuité sont à la même
pression.
• La pression de l’eau en surface libre, en
contact avec l’atmosphère, est la pression
atmosphérique
I. 4 Principe de Pascal
Enoncé : Toute variation de pression produite en
un point d’un liquide en équilibre entraîne la
même variation en tous ses points.
I.6 Corps flottants et corps immergés
• Par expérience, nous avons tous remarqué
qu’un corps plongé dans l’eau est soumis à une
force qui, soit le fait flotter s’il est moins dense
que l’eau, soit diminue son poids s’il est plus
dense et coule.
Enoncé : Tout corps solide immergé subit de la
part du liquide une poussée verticale dirigée de
bas en haut, égale au poids du volume
déplacé, appliquée au centre de gravité du
liquide déplacé.
HYDRODYNAMIQUE
I. Définitions et hypothèses de base
I.1 Débit
C’est le volume du liquide écoulé dans l’unité de
temps, à travers une section déterminée :
Volume
Q ou encore
Temps
En considérant deux sections droites d’un tube de courant, le débit qui passe par
S1 est égal au débit qui passe par S2. On a :
Q= S1 V1 = S2 V2
S1
S2
I.4 Ligne de courant et tube de courant
Ligne de courant : c’est une ligne qui, à un
instant donné t, est tangente en chacun de ces
points à la vitesse de la particule qui s’y trouve.
Tube de courant : c’est l’ensemble des lignes de
courant qui s’appuie sur un contour fermé. La
surface délimitée par un tube de courant,
normalement aux lignes de courant est appelée
section droite.
I.5 Liquide parfait – liquide réel
Liquide parfait : un liquide parfait est un liquide
qui n’est pas visqueux c'est-à-dire un liquide qui
ne présente pas de force de frottement pendant
l’écoulement.
Liquide réel : un liquide réel est un liquide
visqueux. Lorsqu’il se déplace le long d’une
paroi solide (tuyau, canal…), le courant est
ralenti par l’action de la viscosité (action des
forces de frottement des particules liquides les
unes sur les autres) ainsi que les frottements
de la paroi sur les particules liquides dues à la
rugosité de celle-là.
II. Théorême de Bernouilli
ΔHAB = HA - HB
PA V A2 PB V B2
HA = Z A et HB = Z B
g 2 g g 2 g
D’après Bernouilli :
PA V A2 PB V B2
ΔHAB = Z A Z B
g 2 g g 2 g
Dans le cas d’un fluide parfait, ΔHAB =0 c'est-à-dire HA - HB = 0, ce qui
signifie que HA = HB = Cste. Donc, d’une manière générale
PA V A2 PB VB2
Z A Z B = Cste
g 2 g g 2 g
PA V A2 PB VB2
Z A Z B + ΔHAB
g 2 g g 2 g
P V2
Ht = Z
g 2 g
II.2.2 Perte de charge
PA V A2
HA = Z A
g 2 g
PB VB2
HB = Z B
g 2 g
PA V A2 PB VB2
HA - HB = ΔHAB = Z A Z B
g 2 g g 2 g
Ces pertes d’énergie par frottement (ou pertes de charge) sont de deux types :
• Les pertes de charge dites linéaires qui se
produisent tout au long de la conduite
• Les pertes de charge dites singulières ou
locales dues à des singularités (rétrécissement
ou élargissement, changement de direction,
présence d’équipements tels que les
vannes….)
• L’un des problèmes les plus importants en
hydraulique est à la détermination de ces
pertes de charge.
II.3 Applications du théorême de Bernouilli :
Le venturi
H2
S2
S1
2 P1 P2
On aura après transformation, V2
S 22
2
S1
S2 2 P1 P2
Q = S2 V2 =
S 22
1 2
S1
Si on monte 2 tubes piézomètriques en S1 et S2, la différence de hauteur de
P1 P2
colonne d’eau est h = et l’expression de débit devient :
g
S2
Q= 2 gh
2
S
1 2
2
S 1
III. Ecoulements dans les conduites
sous pression
On dit qu’une canalisation est en charge ou sous
pression lorsque l’écoulement est en contact
avec une paroi sur tout le pourtour de chaque
section droite de l’écoulement.
Avec
L
Exercice : montrer que H f 0,0826 fx 5 xQ 2
D
2. Formule de Flamand
Avec
1
1 2
V xR 3 xS 2
n
Hf
S = pente (gradient hydraulique) =
L
1
Ks
n
Exercice :
10,29 L
Réponse : H f 16
xQ 2
K s2 D 3
Formule de Hazen Williams
V= vitesse d’écoulement
R= rayon hydraulique
S= pente
CHw = coefficient de Hazen Williams
Exercice :
10,667 L
Réponse : H f xQ 1,852
CH w1,852 D 4,871
4. Formules modernes
Colebrook
D5
Avec
Q = débit d’écoulement
L= longueur de la conduite
D = diamètre de la conduite
f = coefficient de frottement
VD
Nombre de Reynolds = R e=
V est la vitesse en m/s
D est le diamètre en m
ν est la viscosité cinématique ( 10 6 m 2 / s pour l’eau)
( Selon BLASIUS)
Pour la détermination de f, Colebrook a proposé la formule suivante :
1 K 2,51
2 log( )
3,7 D Re
J aQ m D n J (m / m)
Q et D en USI
k (mm) a n m
2 1.863. 10-3 2 5.33
1 1.601. 10-3 1.975 5.25
0.5 1.400. 10-3 1.96 5.19
0.25 1.160. 10-3 1.93 5.11
0.1 1.100. 10-3 1.89 5.01
0.05 1.049. 10-3 1.86 4.93
0.025 1. 01. 10-3 1.84 4.88
III.2 Pertes de charges singulières
Les pertes de charges singulières sont celles dues à des singularités telles que :
coudes, vannes, clapets, branchements, changement de section,…
Elles s’écrivent généralement sous la forme :
V2
ΔH = Kx
2g
D E
B
C
A
IV.2 Conduites équivalentes
Conduites en série
C1 C2
Le
Q1
Q
Q
Q2
Dans ce cas de figure, on a :
- Q = Q1+ Q2
- Hf1 = Hf2 = Hfe
C1 C2 Ce
110 110 110 CHW
100 100 L
200 300 D
On donne Qe = 100 l / s
Calculer De, Q1 et Q2
Exercice 1 :
PB = 1,5 bars
B
C
V. Ecoulements à surface libre
V.1 loi fondamentale de l’écoulement dans les
canaux
• Les écoulements à surface libre se font à la pression
atmosphérique : l’eau transportée est directement en
contact avec l’air.
• Ils seront donc exclusivement gravitaires, sans apport
d’énergie extérieure, d’un point topographiquement
haut vers un point topographiquement bas (les
écoulements sous pression, d’une cote piézométrique
haute vers une cote piézométrique basse, peuvent se
faire d’un point bas à un point haut).
• A la surface libre, la cote piézométrique se confond
avec la cote topographique (pression relative nulle).
• La forme de l’écoulement peut varier par
exemple selon les changements de pente ou
de vitesse, contrairement à ce qui se passe
dans un tuyau de section donnée.
• Ces écoulements se rencontrent :
• Dans les cours d’eau naturels
• Dans les canaux : irrigation, drainage,
évacuation des eaux pluviales
• Dans les canalisations non remplies : pour le
transport d’eau potable, d’eau pluviale ou d’eau
usée.
V.2 Formules des vitesses
V Ci RH i
Avec
V= vitesse moyenne
Ci = Coefficient de Chezy
I = perte de charge par unité de longueur
RH = Rayon hydraulique
S
RH=
P
Le coefficient de CHEZY C dépend du rayon hydraulique et de la nature des
parois. Pour estimer C, plusieurs formules expérimentales ont été proposées :
1. Manning-Strickler
1
C KR 6 avec
1
2
V devient V KR 3 .i et 2
1
2
Q SKR 3 .i avec
2
Q débit
S section mouillée
R rayon hydraulique
I pente
• Dans cette formule, R te S sont fonction du
tirant d’eau.
• C’est la formule habituellement employée en
écoulement à surface libre à régime permanent
et uniforme. Elle permet de déterminer la
vitesse et le débit de l’écoulement en fonction
de la nature et des caractéristiques
géométriques de la canalisation.
• Le coefficient Ks dépend de la nature des
parois des canalisations.
• Parfois, on utilise le coefficient de Manning n
qui est l’inverse de Ks.
• Le rayon hydraulique R est le rapport de la
section mouillée S au périmètre mouillée P : P R =
S
La section mouillée S est la portion de la section transversale occupée par le
liquide et limitée par les parois et la surface libre.
87
C
a
1
R
C = coefficient de CHEZY
α = fonction de la paroi du canal
• V.3 Résolution des problèmes fondamentaux : canaux
trapézoïdaux, rectangulaires, circulaires
• Calcul des éléments géométriques de la
section.
S = h (l + mh) P = l + 2h 1 m2 R=k×h
l 2 y ( 1 m 2 m)
Il s’agit d’un cas particulier de la section trapézoïdale avec des talus verticaux,
soit m = 0.
S = hl
P = l + 2h
• V.4 Sections de débit maximal ou hydrauliquement
favorables (HF)
• Il s’agit de déterminer, pour une forme
géométrique donnée, la section qui, à égalité
d’aire, présente la capacité d’écoulement
maximum.
• A partir de la formule de Manning - Strickler, il
est évident que pour une canalisation donnée
(ks et i fixés), pour la même valeur de la section
S, le débit est maximum quand le rayon
hydraulique R est maximum c’est-à-dire lorsque
le périmètre mouillé P est minimum.
Dans le cas d’une conduite circulaire pleine, le diamètre est donné par la formule
suivante :
3
Qn 8
D 1,55 1 en m
i 2
Q est le débit en USI
n est le coefficient de rugosité de Manning
i est la pente
V-4-2 Section trapézoïdale
y
RH et
2
h8 / 3
Q = ks ×J 1 / 2 × 2/3
× (2 1 m 2 m)
2
3
8
Q
y 0,917
K xi 0,5 x m 2 1
m
S
2
3
8
Q
y 0,917
K xi 0,5 x m 2 1
m
S
2
3
2Q 8
y 0,917
K S xi 0,5 x 2 m 2 1 m
3
Q 8
y 1,189
K S xi 0,5 x 2 m 2 1 m
Avec m
1
tan
V-4-3 Section rectangulaire
533
exemple : I
t 5
Les équations suivantes permettent de décrire les courbes IDF.
Formule de Talbot
a
I a et b fonction de la période et formule valable pour t 3 h environ
bt
Formule de Montana
I = a(T). t-b(T) a et b dépendent de la région et de la fréquence
a(T )
I a, b, c coefficients d’ajustement et dépendent de la période T
t c(T )
b (T )
• II.2 Bassin versant
• C’est un territoire qui draine ses eaux vers un
point unique, la décharge ou l’exutoire.
• A partir de l’exutoire le Bassin versant se
définit comme étant la surface regroupant tous
les points tels que si une goutte d’eau tombe
sur un de ces points, si elle ne s’infiltre pas, elle
ruisselle et passera (plus tard) par l’exutoire.
Bassin versant
C’est un territoire qui draine ses eaux vers un point unique, la décharge ou l’exutoire.
• II.3 Sous bassin versant urbain
• C’est un bassin versant dont le débit de
ruissellement à la décharge se déverse dans
une bouche d’égout.
• III. Evaluation des débits d’eaux pluviales
• Plusieurs méthodes sont utilisées. Mais, les
méthodes les plus fréquemment utilisées sont :
la méthode rationnelle et celle de Caquot.
• III.1 Méthode rationnelle
• La technique de calcul des débits de ruissellement
afin de calculer les diamètres ou les dimensions des
conduites et canaux est basée sur la méthode
rationnelle.
• Cette technique est utilisée depuis la fin du 19e siècle
(1889). Ce n’est pas à proprement parler une méthode
de simulation.
• Car elle est basée sur une approximation pondérée
par les temps de parcours du débit de pointe de
l’hydrogramme.
• Cette approximation nous donne donc l’ordre de
grandeur des débits à véhiculer mais ne peut prévoir
toutes les situations critiques.
• La méthode rationnelle permet de calculer chaque
débit de dimensionnement du réseau de drainage en
commençant en tête du bassin.
CIA
Q avec
360
Q en m3 / s
C = Coefficient de ruissellement
A = Surface du bassin versant en hectares
I = Intensité de la pluie en mm / h
Pour l’intensité de la pluie, choisir la fréquence de retour de la pluie comme étant
au moins égale à 10 ans.
III.2 Méthode de Caquot
Le comité Inter Etats d’études hydraulique (CIEH) a mis au point des formules
qui sont relatives à la pluie décennale. Pour la fréquence quinquennale, il
convient d’appliquer le coefficient de 0.9 au débit calculé.
En zone Soudano-sahélienne Q 850 I 0, 2 C 1,11 A0,8
Pour le Sénégal côtier Q 920 I 0, 2C 1,11 A0,8
0 , 467
2,187 Ln
Te 0 ,5
S
S = pente moyenne du terrain
L = distance maximale parcourue ( L < 365m)
n = coefficient de Manning
Surface n
0,0195L0,77
te 0 , 385
F
S
F : Facteur propre aux différentes surfaces
30 m < L < 3050 m
s = pente moyenne du chemin parcouru par l’eau (m/m)
Surface F
Terrain décapé, gazon tondu 1
Béton ou béton butimeux 0,4
Canal en béton 0,2
Formule de Schaake
1,8 L0, 24
Te 0,16 (mn)
S Aimp
S = pente moyenne du terrain
L = distance maximale parcourue
Aimp = fraction de surface imperméable
3,261,1 C L0,5
Te 1
(mn)
S 3
L
Te 1
(mn)
11S 2
N.B :
Tr1
Tr1
Tec
L
Le temps d’écoulement s’écrit : Tec (mn)
60V
Lorsque la conduite coule à plein débit on peut transformer l’équation de
Manning et obtenir l’équation suivante :
Tec = L / 60 Vp (min)
LD 2
Tec (min) = L = longueur de la conduite
76,3944Qp
D = diamètre intérieur de la conduite (m)
Qp : débit dans la conduite à plein débit (m3 /s)
L = Longueur de la conduite
V = Vitesse d’écoulement dans la conduite ( elle doit être comprise entre 0,6 et
4.5 m / s.
• IV.3 Coefficient de Ruissellement
• Le coefficient de ruissellement dépend :
• de la nature du terrain
• de la pente moyenne de la surface de ce terrain en
direction de l’exutoire
• de l’intensité de la pluie
• du pourcentage d’emmagasinage de l’eau dans les
affaissements du terrain
• des conditions atmosphériques antérieures de la pluie
(période de sécheresse ou période d’humidité).
• Il peut être considéré comme une caractéristique
constante d’une surface de terrain ou au contraire que
sa valeur varie selon diverses situations.
Coefficient de Ruissellement constant
On considère le plus souvent qu’il ne varie pas au cours d’une pluie (quelles que
soient les caractéristiques de la pluie). En général, on demande de déterminer la
valeur du coefficient de ruissellement d’un Bassin Versant en évaluant les
fractions occupées par divers types de surface dans une zone représentative de
ce bassin versant ou de cette région.
n
SiCi
Le coefficient de ruissellement est donné par : C i l
n
Si
i l
Si = surface de caractéristique i
C = coefficient de ruissellement
0 , 5
I 6,75t où
I est mm / h
t en heures
V. Dimensionnement des émissaires à ciel ouvert
y
y
RH et b 2y et
2
3
Q 8
b y 0,917 0, 5
K
S xi
Dans le cas d’un trapèze isocèle
y
θ
y
RH et
2
b 2 y ( 1 m m) 2
Avec m
1
tan
3
8
Q
y 0,917
K xi 0,5 x m 2 1 m
S
2
• VI. Démarche à suivre dans un projet de drainage
urbain
• Etude préliminaire
• Esquisse de l’ossature du réseau et division de la
zone d’étude en bassins élémentaires en tenant
compte des contraintes d’écoulement (hydrographie,
topographie)
• Données de base
– Superficie de chaque sous-bassin
– Longueur du tronçon le plus long de chaque sous bassin
– Côte amont (Cam) et Côte aval (Cav) de chaque tronçon
– Pente de chaque tronçon
• Données nécessaires aux calculs
• Intensité
• Coefficient de Ruissellement
• Temps d’écoulement en surface
• Conditions des vitesses à respecter
• a- Calcul du temps de concentration tc = te + tec
• - en tête de réseau tec = 0
• - pour les tronçons à l’intérieur du réseau prendre le maximum entre le
temps d’entrée donné au regard aval et celui donné au regard amont + tec =
L/60V calculé sur le tronçon considéré pour avoir tc)
• - tenir compte de tous les chemins menant à ce regard pour le choix de
tc
• b- Calcul de la superficie cumulée desservie par le regard Amont
• c- Calcul du coefficient de ruissellement moyen ou pondéré avec la surface
cumulée
• d- Calcul de l’Intensité de ruissellement
• e- Calcul du débit de ruissellement Qr par la méthode rationnelle
• f- Calculer le diamètre avec la pente du terrain naturel (formule de Manning)
• g- Calculer la vitesse d’écoulement (formule de Manning)
• h- Calculer le temps d’écoulement dans le tronçon considéré
• i- Choisir le diamètre commercial Dc immédiatement supérieur
• j- Calculer la capacité Qc et la vitesse Vc de la conduite de diamètre Dc
• k- Calculer le ratio des débits Qr/Qc
• l- Utiliser le monogramme de Manning pour déterminer les paramètres réels
d’écoulement dans le tronçon à savoir Ye, Ve, Re.
VII. Principes de calcul
L
Te (mn)
60 xV
2. Calcul de Tc
Tc = Tr + Te
3. Calcul de i (mm / h)
4. Calcul de Q
CiA
Q
360
5. Calcul de H
3
Q 8
y 0,917 0,5 ou
K S xi
3
8
Q
y 0,917
K xi 0,5 x m 2 1 m
S
2
N.B : Dans le cas d’une conduite circulaire, le calcul de y se fait à partir du
monogramme de Manning (abaque) en partant du rapport Qr/Qc.
2
0,5 H 3
V=
K S xi
2
N.B : Si la vitesse calculée est différente de la vitesse présumée, on reprend les
calculs, depuis le 1. , avec la nouvelle vitesse obtenue, jusqu’à ce que ça
marche. Ainsi, les calculs sont arrêtés quand on obtient une vitesse convenable.
VIII. Calcul des paramètres
A1 A2
R1 R2
R1
A4 A5 A3
R4 R5 R6
R3
Tronçons Z Z aval longueur
amont
R1R2 110.5 109 90
R2R3 109 108 100
R4R5 111 110.3 70
R5R3 110.3 108 110
R3R6 108 107.2 125
Paramètres A1 A2 A3 A4 A5
Surfaces en ha 1.2 2.2 2.1 1.5 1
Temps d’entrée en 8.5 9 10 7 9
min
Coeff de 0.45 0.48 0.46 0.7 0.5
ruissellement
n = 0.013
Vmin = 0.6 m /s
Vmax = 3 m/s
I=2184/(t +12) I en mm/h et t en mn
Traiter l’exercice en remplissant un tableau selon le modèle suivant :
Pente minimale
à déterminer pour assurer un écoulement gravitaire avec une vitesse minimale à
pleine section fixée:
- abaque
Pour de très faibles débits tels que Dmax < Dmin, on peut prendre i=0.007
Avec les pentes supérieures à 0.007, il n’y a pas d’obstruction dans les réseaux
d’eaux usées.
b- Zr AMT = Zr aval du tronçon situé à l’amont, s’il n’y a qu’un seul tronçon
à l’amont
c-Zr AMT = la plus petite valeur des cotes de radier aval, s’il y a plusieurs
tronçons à l’amont
Pente du Collecteur
La pente i est calculée de la manière suivante:
a- i = max (iTN, i min) si Zr AMT = ZTN – (PMT+ D)
Zr Aval = Zr AMT – L x i