ET POPULAIRE
Ministère de l’Enseignement Supérieur et
de la Recherche Scientifique
UNIVERSITE FERHAT ABBAS -SETIF-
Faculté Des Sciences de l’Ingénieur
Département d’Electrotechnique
Thème
Commande par logique floue et mode
glissant d’une machine synchrone
Réalisé par : Dirigé par :
Mr. A. ZERROUG
GHERBI DHAHBI
Mr. M. N. HARMAS
KAMEL KHALED
PLAN DE DE TRAVAIL
Introduction générale .
CHAPITRE I:
- commande par logique floue
CHAPITRE II:
- commande adaptative floue
CHAPITRE III:
- commande par mode glissant
CHAPITRE IV:
- application à la machine synchrone
Conclusion générale .
Introduction générale
- Adaptative floue
- Mode glissant
- la surface de glissement de Bhattacharya [1995]
- la surface de glissement de Rashidi [2003]
d’appartenances, .
2. Fonctions d’appartenance
Soit l’ensemble flou, de l’univers de discours U, on
attribue à chaque élément une fonction d’appartenance
dont la valeur varie entre 0 et 1.
3. Variables linguistiques
Une variable linguistique est une variable dont les
valeurs sont un terme ou des mots du langage naturel
par exemple : petit, grand, etc.
x(t )
4. Univers de discours U:
L’univers de discours est une collection d’objets qui
peuvent être discrets ou continus.
c ( x) a ( x) ET b ( x) min( a ( x) , b ( x))
Commande par logique floue
Opérateur OU
Qui est réalisé en logique floue par la formation du maximum
de la manière suivante :
c ( x) a ( x) OU b ( x) max( a ( x) , b ( x))
Le contrôle flou est basé sur des règles exprimées par des
catégories linguistiques telles que :
Fuzzification
Consiste à définir pour chacune des entrées réelles, les degrés
d’appartenance relativement à chacune de ses fonctions
d’appartenance.
Inférence
L’étape d’inférence réalisée par un moteur d’inférence associe les
variables de sortie floues aux variables entrées floues à l’aide des
règles d’implication aussi appelées règles floues, parmi les méthode
les plus utilisé
Commande par logique floue
Méthode d’inférence max-min
Cette méthode réalise l’opérateur Ou par la formation du
maximum et l’opérateur ET par la formation du minimum.
Défuzzification :
Généralement on utilise la méthode du centre de gravité qui
est défini par :
m
y
i i
y i 1
m
i
i 1
cos( )
g sin( ) [ F m p L 2 sin( )]
.. (mc m p )
4 mp 2
L L cos ( )
3 ( mc m p )
fonction d'appartenance de
l'angle
0.45
-0.1
0.4
0.35 -0.2
d t h e t a (ra d / s )
t h e t a (ra d )
0.3
-0.3
0.25
-0.4
0.2
0.15 -0.5
0.1
-0.6
0.05
0 -0.7
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
temps(secs) temps(secs)
-2
-4
U (t )(N )
-6
-8
-10
-12
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
temps(secs)
, ...., x ( n 1) )T R n
x ( x1 , x2 , ...., xn )T ( x, x
Les fonctions fˆ ( x / f ) et gˆ ( x / f )
fˆ ( x / f ) Tf ( x)
n
(x )
i 1 l
Fi i i
( l1 ,....,ln )
( x)
avec :
m1 mn n
( xi )
gˆ ( x / g ) g ( x)
T l
l1 ln i 1 Fi i
gˆ ( x)
Commande adaptative floue
Les résultats de simulation sous MATLAB sont illustrés par les
graphes suivants pour les conditions initiales x(0) (0.2, 0)T
0.25
0.2
theta
t h e t a e t Y m (ra d )
0.15
0.1
Ym
0.05
-0.05
-0.1
-0.15
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20
temps(secs)
Angle
Commande adaptative floue
20
10
-10
U (t )(N )
-20
-30
-40
-50
-60
-70
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20
temps(secs)
Commande u
0.05
-0.05
e (t )(ra d )
-0.1
-0.15
-0.2
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20
temps(secs)
Erreur e
Commande adaptative floue
Cas d’une perturbation
0.25
0.2
La zone de perturbation
t h e t a e t Y m (ra d )
0.15
theta
0.1
Ym
0.05
-0.05
-0.1
-0.15
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20
temps(secs)
Angle
20
10
-10
U (t ) (N )
-20
-30
-40
-50
-60
-70
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20
temps(secs)
Commande u (t)
Commande adaptative floue
0.05
0
La zone de perturbation
e (t ) (ra d )
-0.05
-0.1
-0.15
-0.2
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20
temps(secs)
Erreur e (t)
Commande par mode
glissant
Condition de glissement
La commande u doit être conçue pour rendre la surface S=0 attractive
pour cela elle doit donc satisfaire la condition d’attractivité:
V SS <0
1
Si on choisit pour fonction de Lyapounov V= S2
2
Donc: V SS Ce terme sera défini négatif si:
S Ksign( S )
Méthode de Soltine
Slotine propose une forme générale des surfaces de
glissement en fonction de l’erreur, cette fonction est donnée
par:
s ( x, t ) ( ) ( n 1)
e(t )
t
Méthode de placement des pôles
Une méthode proposée par Bhattacharya qui est donne
une surface de la forme S (t ) Gx (t )
Commande par mode
glissant
Application à un pendule inversé
Dans cette partie on utilise un contrôleur de mode glissant pour
commander un pendule inversé dans le but de suivre un signal de
référence sinusoïdal.
On choisit S (t ) c1 e1 (t ) c 2 e2 (t )
c1 3
Pour un polynôme Hurwitz on trouve
c2 1
s 3e1 e 2 3e2 e 2
e 2 s 3e2 Par substitution
1
u yd f ( x) Ksign(s) 3e2
g ( x)
Commande par mode
glissant
Les résultats de simulation avec x (0.5, - 0.4) 0
T
0.6 2
0.5
0
0.4
-2
t h e t a (t )(ra d )
0.3
U (t )
-4
0.2
-6
0.1
-8
0
-0.1 -10
0 5 10 15 0 5 10 15
temps(secs) temps(secs)
Angle Commande U
0.2 0.05
0
0
-0.05
-0.2
-0.1
-0.4
d th e ta
-0.15
S (t)
-0.6 -0.2
-0.25
-0.8
-0.3
-1
-0.35
-1.2 -0.4
0 5 10 15 -0.1 0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6
temps(secs) theta
200
1
T h e t a (ra d )
100
0.5
U (t )
0
0
-100
-0.5
-200
-1 -300
-1.5 -400
0 5 10 15 0 5 10 15
temps(secs) temps(secs)
Angle Commande U
0.4
0.35
0.3
0.25
0.2
S (t )
0.15
0.1
0.05
-0.05
0 5 10 15
temps(secs)
Surface S
Application à la machine synchrone
Application à la machine synchrone
troduction
Un système électro-énergétique est un ensemble d’équipements
électriques destinés à produire, transporter et distribuer l’énergie
électrique aux consommateurs. Les machines synchrones constituent le
centre d’intérêt des systèmes électro-énergétiques.
Les machines synchrones
x= x1 x6
T
x2 x3 x4 x5
w Eq E fd VR VE
0 0.5
-1
V a ria t io n d e l'a n g le
0.4
-2
0.3
d e lta W
-3
0.2
-4
0.1
-5
-6 0
-7 -0.1
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5
temps(secs) temps(secs)
-1
-2
U (t )
-3
-4
-5
-6
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5
temps(secs)
Commande U(t)
Application à la machine synchrone
Le choix de la surface de glissement n’étant pas unique on se propose
de voir l’impact de ce choix à l’aide de la méthode proposée par Rashidi
La surface de glissement est exprimée comme suit :
S (t ) G x(t ) ( A BK ) x (r )dr 0 U (t ) Kx(t ) K R sign( s (t ))
0
0.5
-1
V a ria t io n d e l' a n g le
0.4
-2
d e lt a W
-3 0.3
-4 0.2
-5
0.1
-6
0
-7
-8 -0.1
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5
temps(secs) temps(secs)
-1
U (t )
-2
-3
-4
-5
-6
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5
temps(secs)
Commande U
Commande par logique floue
6
0.1
4
2 0.05
0
0
d e lt a W
U (t)
-2
-0.05
-4
-6 -0.1
-8
-0.15
-10
-12 -0.2
0 1 2 3 4 5 6 0 1 2 3 4 5 6
temps(secs) tyemps(secs)
S (t ) Ge (t )
0.04
0.02
d e lt a W
0
-0.02
-0.04
-0.06
0 1 2 3 4 5 6 7
temps(secs)
0
U (t )
-1
-2
-3
-4
-5
0 1 2 3 4 5 6 7
temps(secs)
Commande U
Application à la machine synchrone
On utilise la surface du glissement proposée par F. Rashidi qui est
exprimée comme suit :
S (t ) G e(t ) ( Ac Bc K )e(r )dr 0
1 ˆ 1
uc f ( x / ) y (n)
(G e (1)
G e (2)
G e (3)
G ( A B K ) e Ksign ( S ))
gˆ ( x / g )
f m 1 2 3 c c
G4
x
avec les conditions initiales 0 (0.001, 0.005, 0, 0) T
et K 0.1
0.06
0.04
0.02
d e lt a W
-0.02
-0.04
-0.06
-0.08
0 1 2 3 4 5 6 7
temps(secs)
-5
-10
U (t)
-15
-20
-25
-30
0 1 2 3 4 5 6 7
temps(secs)
Commande U
Application à la machine synchrone
Conclusion générale
Le cahier de charges comprenait plusieurs taches qui on été menées au bout,
dont :
introduction à la commande floue.
introduction à la commande adaptative floue..
introduction à la technique de commande par mode glissant.
Simulation sur la machine synchrone .
Les résultats de simulation indiquent des performances remarquables dans
les applications, bien supérieures à celles des techniques utilisées
séparément à savoir le mode glissant et la logique floue.
La machine synchrone est stabilisée dans un temps assez court avec une
commande par mode glissant.
Cependant une implémentation pratique reste nécessaire quant à la
robustesse de la méthode de commande proposée.
En arrivant au terme de cette tranche de nos études, saisissons cette
agréable occasion pour remercier Dieu de nous avoir aidé à atteindre
ce but, malgré les obstacles, à savoir compléter ce modeste mémoire
de fin d’études.
Je tiens à remercier M. ZERROUG pour sa constante disponibilité et
ses précieux conseils qui ont permis à ce travail de voir le jour.
Mes remerciements vont à Monsieur M.HARMAS pour son aide, sa
disponibilité, ses judicieux conseils pendant toute la durée de ce travail
ainsi que le professeur K. ZEHAR Directeur du laboratoire QUERE
cadre dans lequel s’est effectué ce modeste travail.
Nous remercions également toute personne ayant contribuée à la
réalisation de ce mémoire.
Enfin,nous ne pouvons trop remercier nos parents pour leur soutien
le long de ce parcours.