LES SYMBOLES DE LA

FRANCE
 LE DRAPEAU DE LA FRANCE
• Le drapeau français, d'abord conçu par Jacques-Louis David à la
demande de la Convention, a été officiellement approuvé le 20
mai 1794. Cependant, son origine est plus ancienne, car ses
couleurs sont connues comme les trois couleurs de la liberté (14
juillet 1789 ) et des couleurs bleu-rouge-blanc ont été
utilisées.Trois dynasties royales françaises différentes. Le
drapeau tricolore est un symbole officiel de la France à partir de
1794 et de l'armée française à partir de 1812, à l'exception des
périodes de restauration (1814-1815 et 1815-1830).
 LE ARMOIRIES DE FRANCE
• La France moderne n'a pas ses propres armoiries approuvées.
• Une telle circonstance, bien sûr, ne signifie pas que l'une des plus grandes puissances
européennes n'a pas de souveraineté.
• Aux côtés de divers symboles républicains, on peut également voir les soi-disant
grandes armoiries de France, qui regroupent les armoiries de toutes les provinces et
territoires français hérités du lointain Moyen Âge. Le symbolisme français ancien a
été grandement influencé par la religion chrétienne dominante dans le pays.
• Les armoiries actuelles de la France sont devenues le symbole de la France après
1953, bien qu'elles n'aient aucun statut juridique en tant qu'armoiries officielles.
• L'emblème des armoiries françaises est composé de :
• - Peaux avec une tête de lion et le monogramme "RF", signifiant République
Française ;
• - les branches d'olivier, symbolisant la paix ;
• - une branche de chêne, symbolisant la sagesse ;
• - le fascia, qui est un symbole de justice.
 LA MARSEILLAISE
• En 1795, la Marseillaise est proclamée hymne
national de la France. Par la suite, la Marseillaise
a perdu à plusieurs reprises son statut d'hymne
national, mais au milieu du XIXe siècle, elle a
finalement été adoptée comme hymne national
de la France. La version actuelle de l'hymne
français - la Marseillaise se compose de 6
couplets, dont cinq appartiennent à la plume de
Claude-Joseph Rouget de Lisle et un à Antoine
Pesonneau, instituteur de l'Ysère, qui a
considérablement étoffé la chanson lors du
passage de le volontaire marseillais à travers sa
ville. Musique orchestrée par Berlioz,
légèrement modernisée sous le règne de Valérie
Giscard de Stena.
 LE COQ GAULOIS
• Au XVe siècle, le roi Charles VIII choisit l'image du coq
gaulois comme emblème de la France. Pendant la
monarchie, l'emblème avec le coq était blanc, et après la
Révolution de 1789 il est devenu, comme le drapeau
national, tricolore. Aujourd'hui, l'image du coq gaulois est
visible sur le sceau de l'Etat de France et dans la résidence
du président français sur la clôture du parc de l'Elysée. En
tant qu'oiseau le plus vivant (il convient de rappeler le
fameux "combat de coqs"), le coq sert de symbole de lutte
et de bataille. Les Gaulois portaient l'image d'un coq sur les
armes et les bannières. En France, il est toujours considéré
comme un symbole d'indépendance et de liberté, ainsi que
de prétention et d'arrogance.
 FLEUR DE LYS
• Les armoiries de la Couronne de France représentaient les trois lys qui
évoquaient la Sainte Trinité (Père, Fils et Saint-Esprit), ainsi que les vertus
théologales (foi, espérance et miséricorde). Ainsi la fleur-delis devint en fait un
symbole de la soumission du Souverain à l'autorité divine, justifiant ainsi son
règne et son autorité «de droit divin». N'oublions pas que le roi de France, le
saint monarque, était un « empereur dans son royaume » qui ne gardait sa
couronne que de Dieu et non des hommes.
• La fleur de forêt s'assimile également aux rayons du soleil. Traditionnellement,
la liturgie associait le Christ au soleil ou à la lumière, et le royaume faisait
toujours référence aux symboles solaires. Encore une fois, il existe un lien entre
le royaume et la religion chrétienne.
• Le lys était aussi un symbole de fertilité dans la tradition chrétienne. Dans
l'iconographie chrétienne, celui-ci devient peu à peu l'un des symboles associés à
la Vierge Marie, d'où son nom, le muguet ou le muguet. Concrètement, les
églises qui avaient pour patronne Marie ou les corporations sous la protection de
la Vierge Marie nommaient Fleur de Lis, la représentant, très souvent, comme
reine, portant l'enfant Jésus d'un côté et le sceptre en fleur de lis de l'autre.
L'ange Gabriel est également souvent représenté avec une toison à la main,
comme dans l'Annonciation de Léonard de Vinci, où il tient un lys blanc dans sa
main gauche comme symbole de la pureté de Marie.
 MARIANNE
• Marianne est une image allégorique de la République française,
symbole de liberté et de raison. Représente une femme vêtue d'un
bonnet phrygien (symbole de liberté). Marianne incarne la République
française et ses valeurs : "Liberté, Egalité, Fraternité". Elle est le
symbole d'une patrie ardente et militante, qui est aussi porteuse de
myrrhe, soutien de famille et protectrice de ses enfants-citoyens. Le
symbole a rapidement pris racine parmi les partisans de la république
et les gens du commun.
ORDRE NATIONAL DE LA LÉGION
D'HONNEUR
• La plus haute distinction de France décernée par le Président de la
République pour le service militaire ou civil (la plus haute distinction du
service civil). La Légion a été fondée le 19 mai 1802. L'Ordre de la Légion a
été institué par le décret de Napoléon Bonaparte du 14 juillet 1804 « Sur les
distinctions des membres de la Légion d'honneur ». La devise de l'ordre est
Honneur et patrie. Sa résidence est le Palais de la Légion d'honneur sur la
rive gauche de la Seine à Paris.

• Selon le Code de la Légion d'honneur et de la Médaille militaire, cette

organisation honorifique a le statut et les droits d'une personne morale.
L'appartenance à l'Ordre est la plus haute distinction honorifique et la
reconnaissance officielle des mérites particuliers en France.

• L'Ordre a trois grades et deux vertus : le grade de Cavalier, le grade

d'Officier, le grade de Commandeur, le grade de Grand Officier et la plus
haute dignité - la Grand Croix.
 L'ORDRE NATIONAL DU MÉRITE
• Ordre national de France. Lancé par décret du 3 décembre 1963 par le président général
de Gaulle en remplacement de nombreux ordres de mérite départementaux.
• L'Ordre peut être décerné à des citoyens français pour des mérites civils et militaires
importants, qui sont en même temps insuffisants pour décerner l'Ordre de la Légion
d'honneur. Les étrangers peuvent également se voir décerner l'Ordre. La décision
d'attribution est prise par le Premier Ministre de la France, qui est le Grand Maître de
l'Ordre, à la demande du gouvernement. Le Premier ministre français devient Chevalier
de la Grand-Croix après 6 mois de mandat.
• Le Grand Chancelier de la Légion d'Honneur est également Chancelier de l'Ordre du
Mérite.
• L'Ordre du Mérite est la quatrième distinction la plus importante en France après l'Ordre
de la Légion d'honneur, l'Ordre de la Libération et la Médaille militaire.
• Le 27 juillet 1972, la Société d'assistance mutuelle aux membres de l'Ordre national du
mérite est créée, rebaptisée le 26 octobre 1974 Association des membres de l'Ordre
national du mérite.
 LE BAGUETTE (DE PAIN)
• Produit de boulangerie traditionnelle française. Le pain français, malgré la
croyance populaire dans sa tradition et son antiquité, est une invention
relativement tardive - il s'est généralisé dans les années 1920, lorsque la
recette originale de sa cuisson a été inventée par les boulangers parisiens
sous la pression d'une réglementation qui leur interdisait de commencer à
travailler jusqu'à quatre heures du matin, il n'y en avait pas assez pour pétrir
et faire des pains ronds traditionnels. Très vite, la baguette est tombée
amoureuse non seulement des Parisiens et des habitants d'autres villes
françaises, mais est également devenue un véritable symbole de la France et
a gagné en popularité dans le monde entier.
• À ce jour, plus d'un demi-million de baguettes sont vendues à Paris chaque
jour. Le pain français parisien est une référence, il pèse exactement 200 g.
La pâte pour lui est composée de farine (blé uniquement), de sel, d'eau et de
levure, qui est pétrie pendant environ 10 minutes, puis défendue pendant
environ 20 minutes, puis elle est divisé en longs pains, sur la surface
desquels est faite trois entailles avec un couteau et laissée encore 40
minutes pour que la pâte lève, et enfin placée au four, où les petits pains
sont cuits pendant un quart d'heure. A titre d'exemple, la vente de baguettes
encore chaudes, tout droit "sorties du four".
 LA TOUR EIFFEL
• Symbole de Paris et plus généralement de la France, la Tour Eiffel a été construite par Gustave
Eiffel pour l'Exposition Universelle de 1889. C'est l'un des monuments les plus visités au monde.
• De la découverte des jardins historiques à la vue imprenable sur Paris depuis le sommet, une
visite de la Tour Eiffel inspire une richesse d'émotion. Marcher sur la plate-forme vitrée du
premier étage offre la sensation unique de marcher dans le vide! Moniteurs, écrans tactiles,
affichages, albums numériques et reproductions d'objets révèlent et expliquent des aspects
souvent méconnus de la Tour dans un circuit muséologique le long de la passerelle extérieure.
• La vue depuis le 2e étage qui s'étend sur le Louvre, le Grand Palais, les méandres de la Seine,
Montmartre, les Invalides, Notre-Dame, et bien plus encore est un pur délice pour les yeux. C’est
également ici que vous trouverez le restaurant Jules Verne, étoilé au guide Michelin, ainsi qu’un
bar à macarons et des stands de plats à emporter, ainsi que des boutiques vendant des souvenirs
officiels de la Tour Eiffel.
• Destination finale : le sommet ! Sur ses deux niveaux, l'un clos et l'autre à ciel ouvert, vous
pourrez flâner et admirer le panorama unique de la Ville Lumière du haut de ses 906 pieds (276
mètres) en sirotant du champagne. Ici, vous pouvez également visiter une reproduction du
bureau de Gustave Eiffel.
• Destination gastronomique à part entière, la Tour Eiffel est aussi un témoignage de l'excellence à
la française. En plus du Jules Verne avec Frédéric Anton aux manettes, offrant un nouveau regard
sur les grands classiques de la cuisine française, la Brasserie (réouverture à l'automne 2020)
proposera une cuisine de bistrot parisienne telle que préparée par Thierry Marx. Les visiteurs
trouveront également des stands de plats à emporter éparpillés de l'esplanade au sommet.