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-Université des sciences et de la technologie Oran-Usto-

SYNTHÈSE S4
LES BASE DE CONCEPTION D’ENSEMBLE

• Situation: LE PLAZA sise sur le boulevard millenium .Oran


• Morphologie du terrain trapézoïdale
• Surface 2313m²
Environnement Climat
Altitude longitude 35° 42’ 40’’ de latitude Méditerranéen par excellence, faisant preuve
nord, et par 2° 59’ 39 d’une diversité aiguisé alternant un hiver frais
et humide et une saison estivale chaude et
sèche. L’automne et le printemps dans tout sa
font plutôt figure d’acolytes. Ils ne tardent pas
à pointer du nez pour se faufiler discrètement.
Vues : aucune vues particulières Ensoleillement : figure 1
Bruits :plusieurs voies mécaniques dont le Température :température moyenne de 25 °
millenium. une des voies les plus fréquentées
de la ville. il est
aussi situé à moins d’une centaine de mètres du
C.W 75 , du rond point de la résidence Bahia ,
ainsi que de la frange maritime.
Luminosité :ciel est lumineux et dégagé.
Humide
Vent dominateur : Nord ouest
Figure 1
• Logements choisi : proposition 03
Matériaux de construction : Materiau :Beton cellulaire
• Le béton cellulaire se présente sous forme de blocs, de carreaux ou de
panneaux, qui vont de 5 à 30mm d’épaisseur, très faciles à mettre en œuvre. Ces
différents éléments sont scellés entre eux grâce à un mortier colle spécial.
Certains peuvent même se clipser les uns aux autres.
• Le béton cellulaire est utilisé en construction pour des travaux de type mur
(porteur ou non), cloison ou plafond, en intérieur comme à l’extérieur.
ISOLATION THERMIQUE

• Définition du confort thermique


L'étude du confort thermique a d'abord été abordée par l'approche de l'équilibre thermique. Celle-ci
relie la sensation thermique à quatre paramètres physiques et à deux paramètres personnels: d'une
part, la température ambiante et rayonnante, l'humidité relative et le mouvement de l'air, et d'autre
part, l'activité ainsi que l'habillement de l’occupant.

• objectif : chercher une adéquation entre la conception du bâtiment, le climat et


l’environnement dans lequel il est intégré.
ORIENTATION

Orienté les Espagne jour au sud et les


espace nuit au Nord
Les espace vert au nort ouest pour
protéger des vent dominant
Et les protection au sud pour éviter les
surcharges l’été
TRAITEMENT DES ESPACES EXTÉRIEURS ET
INTÉRIEURS :
• une forte isolation thermique des parois opaques, des parois vitrées et des ouvertures donnant
sur l'extérieur.
Il faut en plus limiter les ponts thermiques.
• Le béton cellulaire a l’énorme avantage d’être un excellent isolant thermique, mais
aussi phonique dans une moindre mesure. Il minimise l’impact des grosses
variations de températures notamment. Lors de sa fabrication, la poudre d’aluminium
utilisée dans sa composition agit comme une levure et permet au béton de prendre
du volume. L’air est alors emprisonné dans le béton cellulaire sous forme de petites
bulles et lui confère ses propriétés isolantes. Ce matériau ne nécessite donc pas une
couche d’isolant supplémentaire.
• Le béton cellulaire est aussi non combustible, donc 100 % ininflammable.
• En termes d’isolation, le béton
cellulaire est un allié parfait et
économique. Avec une conductivité
thermique de 0,10 W/m.K, le béton
cellulaire se classe parmi les
matériaux à très hautes
performances isolatrices.
• Les ponts thermiques seront
totalement supprimés.
TRAITEMENT DES FAÇADES

• C’est un matériau facile à poser étant donné sa légèreté (de densité


comprise entre 0, 35 et 0,75) et son déplacement est aisé (bloc
muni de poignée intégrée).
• Le montage d’un mur en béton d’épaisseur compris entre 20 et 50
cm, se fait par simple scellage par joint de 2 mm fait en mortier-
colle spécial. Autrement dit, opter pour un mur en béton cellulaire
c’est effectuer un travail rapide, économique (très peu de mortier
pour le joint) et ergonomique. Un mur, une cloison, etc., en béton
cellulaire, peuvent recevoir toutes sortes de finition : peinture,
carrelage, après une application préalable d’enduit.
• Caractéristiques énergétiques
• Lorsque l’énergie solaire est interceptée par une paroi, une partie est réfléchie vers
l’extérieur, une partie est absorbée par le matériau, une partie est transmise à l’intérieur.
• La transmission solaire du double vitrage est légèrement plus faible que celle du vitrage
simple car la chaleur qui traverse le vitrage est absorbée et réfléchie par deux couches et
non une seule.
AUTRE ISOLANTS

• Les isolants minéraux : laine de verre et laine de roche,


• Les isolants synthétiques en plastique alvéolaire : polystyrène extrudé, polyuréthane,
polyisocyanurate,
• Les isolants dits « naturels » en fibre animale ou végétale : fibre de bois, liège, chanvre,
laine de mouton, plumes de canards.

• une région humide et pluvieuse, mieux vaudra opter pour du polystyrène, du polyuréthane
ou du verre cellulaire. Ils offrent en effet une parfaite résistance à l’humidité.
TRAITEMENT DES PONTS THERMIQUES

• Liaison murs extérieurs et plancher bas sur terre-plein

Les règles de l’art imposent de commencer l’isolation exté-rieure à 15 cm du


sol extérieur, ce qui ne traite pas le pont thermique du plancher bas. La solution
à privilégier est l’isolation enterrée. Les matériaux utilisés seront imputrescibles
et résistants à la compression (polystyrène extrudé, mousse de verre, liège, etc.,
on peut se référer au classement ISOLE pour vérifier la compatibilité de
l’isolant). L’isolation sera enterrée sur uneprofondeur d’au moins deux fois la
largeur du mur, profondeur mesurée à partir du sol intérieur fini. Ainsi, pour un
mur de 20 cm d'épaisseur, l'isolant rapporté en partie basse devra descendre à
minima à 40 cm en dessous du niveau haut du plancher (niveau du sol fini).
• Liaison murs extérieurs et balcons:
• Ce pont thermique est certainement le plus difficile à traiter.
• On peut toutefois envisager :
•  La suppression du balcon et éventuellement son remplacement par un élément désolidarisé. Cette solution est
néanmoins coûteuse et rarement appliquée.
•  Le manchonnage, le balcon étant pris en sandwich entre deux isolants de faible épaisseur.
• Cette solution présente l’inconvénient majeur de devoir réhausser les seuils des portes ou porte-fenêtre, si ces
menuiseries se trouvent au ras du balcon. L’esthétique globale est aussi modifiée.Au vu des difficultés de
traitement de ce pont thermique, il est fréquemment – et légitimement –laissé en l'état. Il restera donc une zone
froide sujette au risque de condensation dans la pièce concernée par le balcon. Les risques de condensation
doivent aussi être pris en compte, par exemple si une salle de bain donne sur le balcon.
• Liaison murs extérieurs et fenêtres:
• Selon le mode de pose choisi, les liaisons fenêtres/murs
généreront des ponts thermiques plus ou moins
importants. La solution en générant le moins est la pose
en applique sur le mur extérieur, l’isolant venant
recouvrir la plus grande partie possible des dormants.Si
les menuiseries ne sont pas changées et se trouvent en
tunnel ou en applique au nu intérieur, il faudra prévoir un
retour d'isolant au niveau du tableau afin d'assurer la
continuité de l'ITE.
• Liaison murs extérieurs et planchers haut : terrasses
• L’isolation de l’acrotère est indispensable sur ses trois faces.
• Isolation intérieure :Dans l’idéal, l’isolation intégrale par l’intérieur permet
d’obtenir une "boîte dans la boîte". Dans la réalité, les choses se compliquent
!
• Liaison murs et planchers intermédiaires
• Ce pont thermique est dû à un point faible du procédé d’isolation thermique
par l’intérieur. La discontinuité de l’isolation laisse en effet la chaleur
s’évacuer vers l’extérieur en passant par le plancher (plus spécialement les
planchers maçonnés). Un retour d’isolant sur les deux faces (sol et plafond)
des planchers est alors à envisager, au moins dans les pièces humides .
• Liaison murs et plancher haut : combles perdus

• Si la solution la plus facile et la moins onéreuse est l’isolation du sol des combles perdus, elle
peut créer un pont thermique important, notamment en cas de planchers maçonnés. Dans ce
cas, une correction est à envisager sur le pourtour du plafond. Une autre possibilité est d’isoler
en partie par dessous en prenant cette dalle entre deux épaisseurs d’isolant et en respectant une
règle d’au plus un tiers d’isolant en sous-face pour éviter des condensations dans la paroi.

• Liaison murs et plancher haut : terrasses

• Pour limiter les chocs thermiques, les terrasses en béton ne peuvent être isolées uniquement
par l’intérieur. La jonction entre cette isolation et l’isolation intérieure des murs est donc
particulièrement délicate dans cette configuration. Pourtant, le pont thermique constitué par
l’acrotère est important : un retour d’isolation périphérique est indispensable dans cette
configuration.Dans le cas des toitures terrasses, l’isolation des murs par l’extérieur serait donc
plus cohérente.
• Liaison murs extérieurs et murs de refend

• Les refends traversent l’isolation intérieure horizontalement et verticalement :

 Horizontalement en rejoignant les murs extérieurs

 Verticalement à travers le plancher bas jusqu’aux fondations

 Verticalement à travers le plancher haut jusqu’à la couverture.

• Des retours d’isolation d'environ 60 cm sur ces murs de refend limitent fortement les pontsthermiques.

• Liaison murs extérieurs et menuiseries

• Si la fenêtre ou la porte est posée "en tunnel" (c’est-à-dire dans l’épaisseur de la maçonnerie), un retour d’isolant dans
l'embrasure de la baie est impératif. Il faut prévoir une résistance thermique d’au moins 1.5 m2.K/W. (soit entre 4 et 6
cm d'isolant très performant). Dans le cas où le changement de fenêtre est envisagé, il faudra prévoir l'espace nécessaire
pour ce retour d'isolation tout autour de la nouvelle menuiserie.
STRATÉGIE DU CHAUD ET DU FROID

• Stratégie du chaud : CAPTER


• L’hiver on a le maximum d’entrée solaire au Sud.
On ne capte rien au Nord, et très peu à l’Est et à
l’Ouest.
• Plan d’habitat très orienté au sud, c’est-à-dire :
• De grands vitrages aux sud avec, plutôt les pièces de
vie au sud et plutôt les pieces de service au nord
• Eviter les masques aux entrées solaires d’hiver
(masques propres au bâtiment autant que les masques
proches).
• STOCKER DISTRIBUER
• Il s’agit de distribuer l’apport
• • L’inertie par absorption solaire entré par les ouvertures
au sud :
• • Prévoir une inertie intérieure par • Par les mouvements d’air avec
absorption suffisante pour que le des thermosiphons naturels (ou
captage solaire direct ait un bon mécaniquement forcés).
rendement de récupération.
• • Dallages, dalles, refends en
maçonnerie.
• CONSERVER
• • Il s’agit de d’éviter les pertes vers l’extérieur des apports solaires et des apports provenant des dispositifs de
chauffage. Moyens :
• • Avoir une bonne isolation de l’enveloppe (murs, toiture, sol) de l’habitat (isolants, double vitrage, éviter les
ponts thermiques, menuiseries de qualité posées au droit de l’isolant, etc.) (avantage des structures bois)
• • Avoir un habitat compact afin de diminuer le rapport entre les surfaces en contact avec l’extérieur et le volume
intérieur. C’est le coefficient de forme : S/V qui doit être faible. Principes :
• – Garder des formes simples
• – Construire sur deux niveaux
• – Jouer sur l’effet d’échelle (semi-collectf)

• • Ne vitrer que selon les normes de l’éclairage naturel sauf au sud (1/5ème de la surface du plancher environ)
• • Disposer des espaces tampons au nord (plutôt les pièces de service, rangement, atelier, garage…) - Mais aussi
des doubles peaux, etc.
• Stratégie du froid : se PROTEGER
• • Il s’agit de se protéger au maximum des entrées solaires par les ouvertures. Au moyen :
• • De brises-soleils horizontaux au Sud (calculés)
• – Balcons,
• – Casquettes,
• – Passées de toiture
• – Stores à lames horizontales situés à ’extérieur
• • De brises-soleils verticaux à l’Est et à l’Ouest (calculés)
• – Volets (attention au positionnement des gonds pour les volets simples : au sud)
• – Stores verticaux situés à l’extérieur
• – Modénatures de façade verticales
• – Mais aussi des arbres !!!
• • Ne pas faire d’ouverture zénithale.
• EVITER
• • Il s’agit de d’éviter au le transfert de la chaleur vers l’intérieur par
les matériaux :
• • Par l’isolation des murs
• • Par l’isolation des toitures
• • Par la ventilation des espaces sous-toiture
• • Par la présence de végétaux,sur les murs verticaux ou par des
toitures végétalisées(mais aussi avec un décalage pour laventilation de
claustras, de doublespeaux)
• DISSIPER (VENTILER)
• RAFRAICHIR
• • Il s’agit par un dispositif mécanique ou naturel d’apporter de la
fraîcheur dans l’habitat. Quelques possibilités simples :
• • Présence de l’eau (mouvement d’air > évapo-transpiration)
• – Bassin, mais aussi jarre de grande porosité, tissu humide, paille
humide, etc.)
• • Présence de la végétation (mouvement d’air > évapo-transpiration)
• • Puit provençal
• • Etc.
EFFECT DE SERRES

• Application à la serre
• Application des principes :
• ETE / HIVER
• JOUR / NUIT
VENTILATION DE L’AIR

• Il existe de nombreux types de modes de


ventilation naturelle dans les bâtiments, les
trois principaux sont :
• 1. La ventilation traversante
• 2. La ventilation de simple exposition,
• 3. La ventilation par tirage thermique.
• DISSIPER
• • Il s’agit de dissiper l’air chaud rentrer dans l’habitat pendant la journée,
ou l’air chaud produit par les activités à l’intérieur de l’habitat.
• • Par une ventilation nocturne naturelle (l’air est plus frais que pendant
la journée)
• • L’idéal est d’avoir une ventilation transversale (traversant toute
l’habitat)
• • On peut aussi avoir une ventilation verticale et profiter d’un
thermosiphon
• naturel (combinable avec la ventilation traversante)
• • La ventilation nocturne permet de rafraîchir les matériaux intérieurs
ayant une forte inertie par absorption,leur permettant d'emmagasiner
dufrais la nuit et de le « rendre » lajournée.
PROTECTION CONTRE L’HUMIDITÉ

• L’hygrométrie de votre
maison correspond à la mesure du
degré d’humidité présent dans
l’air ambiant.Un taux d’humidité
élevé peut provoquer de
Absorbé l’eau
la condensation et présente dans le
des moisissures et engager sol à fin que les
des dommages sur la structure de matériaux ne
l’absorbe pas
votre habitation.
Système de drainage
• Une autre de ses qualités est son caractère hydrofuge. Cela en fait un
matériau très plébiscité pour les pièces humides (salle de bains,
cuisine…) Enfin, de par son montage, un mur en béton cellulaire est
parfaitement étanche.
• D’être sensible aux remontées des eaux par capillarité, à la base.
Commencer les murs à 15 cm du sol et prendre les mesures. Cela
vise à assurer l’étanchéité à la base et permet d’y remédier.
TOITURE VÉGÉTALISÉ

Les éléments d'une toiture végétalisée


Délimité par un dispositif de séparation et une zone stérile, le toit végétal est composé de 8 couches superposées (1 à
8).
Le support porteur de la toiture
Le pare-vapeur
L'isolant thermique
La membrane d'étanchéité (anti-racinaire)
La couche drainante
la couche filtrante
La couche de culture (substrat)
La couche de végétation
Le choix du complexe de végétalisation doit être adapté à la charge que peut supporter l'élément porteur du bâtiment.
La toiture végétalisée peut s'installer sur tous les supports porteurs (Béton, TAN, Bois). Le drainage évacue les excès
d'eau de pluie vers les dispositifs d'évacuations pluviales.Le filtre évite le colmatage entre le substrat et la couche
drainante. Les couches 4 à 8 forment le complexe de végétalisation.
ISOLATION ACOUSTIQUE

L'isolation phonique, ou isolation acoustique, a pour objectif d'éviter la propagation du bruit.


En général, plus un matériau est lourd, plus il est isolant acoustique (loi de masse).

Les absorbants acoustiques comme la laine de bois, la laine de mouton, de chanvre ou de


cellulose sont, dans le domaine du bâtiment, souvent désignés « isolants phoniques » ou «
isolants acoustiques » par erreur (ils interviennent en fait, comme absorbants ou « ressorts », dans
un système masse-ressort-masse permettant une bonne isolation acoustique à moindre poids).
• Le terrain d'assiette du projet est délimité par plusieurs voies mécaniques dont le millenium.
une des voies les plus fréquentées de la ville. il est aussi situé à moins d’une centaine de
mètres du C.W 75 , du rond point de la résidence Bahia , ainsi que de la frange maritime.
• Disposition/orientation des blocs de logements:
• Créé un écran végétal tout autour du terrain la ou les voies mécaniques sont les plus
proches.
• Jardin et espace minéral au Nord (flux mécanique fort ) plus les logements sont éloignés
moins le bruits va les atteindre .
• les plateformes.
TRAITÉ DES ESPACES EXTÉRIEURS ET DES
FAÇADES
• Les isolants phoniques :
• La ouate de cellulose : probablement le meilleur choix pour l’isolation acoustique. À
épaisseur et densité égales, cet isolant sera plus performant que la laine de verre. Petit bémol
: lorsqu’elle est soufflée ou projetée de manière trop dense, elle peut vite perdre son
efficacité acoustique. Faire appel à un professionnel vous permettra de ne pas passer à côté
de cet isolant très prometteur.
• Le liège : il est largement utilisé dans le traitement des problèmes acoustiques, et pourtant si
vos problèmes de bruit se résument aux bruits aériens, d’autres isolants seront tout aussi
bien efficaces. Par contre, il se révèle très efficace pour combattre les bruits d’impacts.
• La fibre de bois : beaucoup de produits différents existent, cela permet de trouver le produit
adapté à votre problème acoustique. Il se place parmi les isolants phoniques de bonne
qualité.
• paille : la mise en œuvre lors de la construction d’une maison paille garantit un très bon confort acoustique. À
épaisseur égale, elle n’est pas forcément plus efficace que d’autre isolant.
• Laine de mouton : cet isolant se révèle aussi efficace que des produits conventionnels.
• Pan-terre : ce système est un panneau rigide composé de cellulose et de lin. Il a été développé spécifiquement
pour un usage acoustique, il se révèle donc très efficace (son prix est cependant élevé).
• Laine de verre / laine de roche : les laines minérales sont des isolants qui se révèlent efficaces sur le plan
acoustique depuis un certain nombre d’années.
• Polystyrène et polyuréthane : les panneaux isolants rigides issus de la pétrochimie sont très peu efficaces sur le
plan acoustique voire non recommandés.
• Isolant mince : déconseillé pour traiter vos problèmes de nuisances sonores.
• Pour aller plus loin, vous pouvez consulter notre article comparatif des isolants.
• Choisir son matériau de structure

• Les parois peuvent être simples ou doubles. Dans le premier cas, la stratégie est de choisir un matériau dense : le système masse.
Par exemple l’affaiblissement pour une épaisseur de béton plein de 16 cm est de 60 dB, alors que celui pour une brique creuse
d’une épaisseur de 20 cm est égal à 52 dB.

• Les parois doubles, quant à elles, représentent un système masse-ressort-masse. Les ondes sonores sont d’abord en partie
réfléchies et absorbées par la première paroi rigide. Le matériau « ressort », un isolant souple situé entre les 2 parois, absorbe
ensuite la partie du bruit restante. Et enfin, la deuxième paroi rigide permet de réfléchir encore une partie vers l’isolant souple.

• Les comparaisons entre les différents matériaux sont assez risquées car la mise en œuvre et le contexte de ceux-ci vont beaucoup
jouer dans l’atténuation du bruit.

• La brique : on peut l’utiliser soit dans un système « masse » avec par exemple une brique monomur, soit dans un système «
masse-ressort-masse » avec une double cloison séparée d’un isolant.

• Le parpaing : il présente de bonnes valeurs d’affaiblissement acoustique, légèrement meilleures que la brique ou le béton
cellulaire.

• Les briques chaux-chanvre : ces briques présentent beaucoup d’avantages, elles peuvent être mises en place pour cloisonner les
espaces et pour les murs de la maison. Il s’agit d’un nouveau matériau très prometteur car les indices d’affaiblissement mesurés
sont très bons, au-dessus de la brique et du béton cellulaire.

• Les plaques de plâtres : applicables pour bâtir des cloisons (plaque-isolant-plaque) ou en doublage de mur de parpaing par
exemple avec une simple plaque. Il est nécessaire de les utiliser en insérant un isolant, sinon ses performances acoustiques sont
en deçà d’autres matériaux.
• Fenêtre :
• Double vitrage ,Les vitres doivent être d’épaisseurs différentes pour éviter tout
phénomène de résonance (par exemple du 10/10/4).
• L’isolation acoustique du béton cellulaire reste modéré. Pour plus de
tranquillité, il faut tout de même penser à doubler un mur de ce genre. Une
autre couche d’isolant phonique par- dessus sera parfaite.
• Distribution/orientation :les espace nuit éloigné des
voies mécaniques
• Éloignez les espaces nuits des vois mécanique,
• Traitement des espaces : cuisine jouxtant la salle de
bain
• Les chambres jouxtant le séjour
• Des espace tampons (placard…) entre les chambre et
les sanitaires et cuisine

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