INTRODUCTION

Le patrimoine bâti, urbain et architectural est l’héritage commun d’une collectivité. 1Issu
du passé, ce legs doit être valorisé, sauvegardé et transmis aux générations suivantes par
celles présentes. Ce bien commun représente donc un fil conducteur entre les
générations, un soubassement important pour l’érection de l’identité de chaque société,
et une fondation référentielle pour le développement de chaque peuple en authentifiant
de son histoire. Constitué de sites archéologiques, ensembles urbains ou monuments
chargés d’histoire, le patrimoine est un témoignage vivant d’un temps passé et de
l’évolution des modes de vie et rend sensible la valeur historique et patrimoniale de la
ville.
Dépositaire d’un riche legs historique, la ville d’Oran à toujours su faire face aux
périodes de déclin qu’elle a connue, elle constitue un exemple éloquent d’adaptation
aux aléas de l’histoire. Ce riche passé historico-culturel, conforté par une intégration
parfaite du bâti au site naturel concourt pour conférer à la cité oranaise une image
idéal
Aujourd’hui, le paysage de la ville montre toutefois des imperfections, notamment,
des terrains en friches, des bâtiments abandonnés, des immeubles anciens
détériorés, des espaces publics dégradés, un manque de cohésion…, lesquelles
nuisent à sa lisibilité. La ou il est nécessaire de repenser à ce patrimoine hérité pour
sa requalification et préservation, prises au sens large et non pas seulement dans un
protectionnisme entravant l’évolution de la ville pour valoriser l’identité à travers ce
potentiel existant
les déclarations du Directeur du centre du patrimoine mondial (CPM) de l’ « UNESCO »,
Francesco BANDARIN : « Nous voulons une conception architecturale qui respecte le
contexte urbain dans sa durée [….] les centres des villes qui se sont développés au cours
des siècles, ont besoin de rester lisibles, chaque strate de leur développement témoignant
de la culture et du développement de la ville, qui est le fruit de l’interaction entre toutes
ces strates »

Au 1er arrondissement de Sidi El Houari centre-ville historique, quartier-mémoire et

noyau central d’Oran, décrété « secteur sauvegardé » en 2015, s’inscrit Derb (hainasr)
appelé aussi le quartier des juifs (Derb el Houde), son histoire remonte à l’an mille quand
la communauté juive s’y est installé, il s’étendait entre la rue des jardins et le boulevard
Joffre (bd Maata) où se trouve le centre de vie et le lieu de culte juif: La grande
synagogue d’Oran. Derbreprésente certesl’intermédiaire entre la ville ancienne (basse) et
le centre de la ville,mais qui néanmoins, à travers le temps, vieillit mal, et demeure
aujourd’hui vétuste, dégradé et dans un état navrant et pitoyable.
LA PROBLEMATIQUE
 Une rupture de dynamisme urbain entre le sous-quartier derb et le centre-ville en ce qui
concerne les opérations de réhabilitations et de renouvellement du patrimoine bâti vétuste
qui ne sont pas étalé au delà du Bd Maata.

 Le skyline des immeubles de Bd Maata, l’un des axes majeurs et structurants d’Oran est
plus haut que celui de Derb qui est enclavé et délabré, ce qui crée une disjonction et
absence de liaison physique entre ce dernier et le centre-ville malgré leurs proximité et la
communauté de l’activité commerciale spécialisée dans les produits textiles et le tissu.

 La desserte difficile à l’intérieur du quartier à cause de l’étroitesse des voies notamment

transversale, leurs état détérioré, la forte dénivelé et la morphologie du site, le
stationnement linéaire, et l’insalubrité et l’insécurité qui y règne.

 Un flagrant manque d’espaces verts et la mal-exploitation des places publiques.

 Ceci nous ramène alors à nous poser les suivantes questions :

 Par quels moyens peut-on revaloriser le patrimoine bâti de Derb et de le

reconnecter au centre-ville ?

 Comment travailler la liaison physique entre le centre-ville et Derb tout en

désenclavent ce dernier ?

 Quelle stratégie a adopté permettant la réappropriation du milieu urbain à des

fins environnementales et productives ?
OBJECTIFS
Dans le cadre urbain :

•Amélioration de la qualité de la scène urbaine à travers le règlement de la

rupture physique et favoriser la continuité urbain
•Favoriser la circulation piétonne dans le quartier afin de le dynamiser et
l’animer.
•Redynamiser la zone par Remanier le maillage du réseau viaire pour
faciliter la communication urbain
Dans le cadre social :

•Amélioration des conditions de vie, à la fois matérielle (habitat) et immatérielle

(la cohésion sociale)

•Revitaliser le milieu social par la Création des lieux de rencontres entre les
habitants en réaménage les espaces publics
•Offrir une nouvelle dynamique au quartier par la valorisation du patrimoine
bâti vétuste.
•Agir sans pour autant négliger l`histoire et les usages du lieu
Dans le cadre environnementale :

•Intégrer la nature pour favoriser la qualité environnementale du quartier

•Créer des typologies d’espace extérieur et de bâtiments innovants dans une
réflexion de durabilité.

Dans le cadre économique

•Animation de l’activité économique en créant des services de haute qualité

(loisirs, tourisme, administrations, culturel,)
•Introduire une variété commerciale tout en raffermissant l’activité
commerciale existante.
L’ANALYSE DU SITE
 L’APPROCHE CONTEXTUELLE :
LA SITUATION:
- A l’échelle de la ville :
Le quartier est situé au nord-ouest de la ville d’Oran.

1er Bd périph

2e Bd périph

3e Bd périph
 LA SITUATION:
- A l’échelle du centre-ville:

Le quartier est délimité :

 Au nord : par le
château-neuf.
 Au nord-est : par le
centre ville d’Oran.
 Au sud-est : par
Karguenta.
 A l’est : par le quartier
Sidi El Houari.
 LA SITUATION:

- A l’échelle du quartier:

Le quartier se situe au 1er

arrondissement de
l’ancien centre ville
d’Oran: Sidi-El-Houari il
fait partie de ses 5 sous-
quartiers:
-Stalingrad.
-La blanca.
-La calere.
-La marine
 LA DELIMITATION:

La place d’arme
Rue des jardins
La zone d’étude est délimitée :
 Au nord : par la place 1er
novembre (ex place d’arme.
 Au sud : par la place
Bendaoued et le fort Saint- Bd Maata el Habib

André.
 A l’est : par LE bd Maata Place Bendaoued

Mohammed El Habib.
 A l’ouest : par la rue des
jardins. Le fort Saint-André
 L’HISTORIQUE :

1-La période espagnole :

Jardins en gradins

Campements espagnole

1764

Le quartier n’est pas encore urbanisé

 L’HISTORIQUE :

2-La période Ottomane :

 Les terrains dédiés au campement espagnoles sont

vendu par le Bey Mohammed Bouchelaghem à la
communauté juive pour un intérêt économique.

 Le découpage dépend de :
-La topographie.
-La fortification à l’est.
-Les jardins potagers.

 Les ilots faisant face à la fortification sont en longueur.

 Les ilots en juxtaposition des jardins sont irréguliers
(non géométriques) .
1792-1830
 Les axes majeurs du quartier sont longitudinaux.
 L’HISTORIQUE :

3-La période coloniale :

Au début de la période coloniale :

Place du marché

 Destruction en partie du fort Saint-André situé au sud

du quartier.

 Densification de la partie nord du quartier de façon Jardins

progressive.

 Les axes principaux se prolongent jusqu’à atteindre

« la «place du marché ».

 Cette dernière s’étendit par la suite au dela de la

fortification et devint « la place d’armes ».
1832
Le fort saint André
 L’HISTORIQUE :

3-La période coloniale :

1853 1853

 La densification devint plus large par la création du quartier de Sidi El Houari et Stalingrad.
 La rue des jardins est percé, elle borde le quartier du coté ouest et relie le Bd Stalingrad à la place du marché.
 Des ilots résiduels apparaissent par la suite limitrophe à cette rue.
 L’HISTORIQUE :
3-La période coloniale :

 La suppression de la fortification car la population s’accroit fortement et s’étale sur la plateau Karguenta .
 La création de l’avenue de l’empereur qui mène vers la place d’armes et borde le quartier du coté est.
 La création des ruelles perpendiculaire aux axes principaux.
 L’aménagement des places.

Place
d’arme

Stalingrad

Aujourd’hui le maillage du quartier

ressemble fortement à celui de la période
coloniale à l’exception de la vétusté, la
dégradation et la disparition de certaines
Derb
rues .
La connexion inter-quartier n’est pas encore
Karguenta
faite, il reste donc replié sur lui-même.
1883
 LA TOPOGRAPHIE

Le site est accidenté et présente de fortes

dénivelés est-ouest, la perte d’élévation est de 45
m à allant de la rue Daho Kada jusqu’à la rue des
jardins.
La pente moyenne = 14,6%.
La pente maximale = 29,2%
Bd Maata

Rue des
jardins

45m
Accessibilité

Le quartier est accessible à partir de

place d’armes qui mène vers la rue
de la révolution , place vallero qui
mène vers la rue de Yveton
Un accé de Bd maata au place
bendaoud
Un accé a partir de la rue des jardins
a travers d’une rue escalier
L’HIERARCHIE DES VOIES

 Le quartier se caractérise par une certaine

hiérarchie dans son réseau viaire.
 On distingue deux voies principales : (Bd Maata
et la Rue des jardins ) considérées comme des
axes structurants, ainsi que des voies secondaires
tel que la rue de la révolution, Daho kada,l es
fréres Hamida et la rue de l’aqueduc qui sont
parallèles au Bd Maata avec une relation faite
par des ruelles tertiaires.
 On trouve aussi des voies escaliers dans la partie
la plus accidenté qu’elles présentent un accès à la
rue des jardins , cette typologie a était créer à
cause de la topographie du site
coupe de la Hiérarchie des voies
FLUX MECANIQUE

 La circulation mécanique est forte au

niveau du Bd Maata et la rue des jardins
grâce à la disponibilité des moyens de
transports et la largeur des voies.
 Tandis qu’une faible pratique mécanique
au niveau des voies intérieurs en raison
de leur étroitesse ,état dégradé et
l’éxistance de la pente raide et l’absence
d’aires de stationnement qui sont
considérés comme des contraintes qui
bloquent la fluidité de la circulation.
FLUX PIETON

 La circulation piétonne est forte au

niveau du Bd Maata et la rue de la
Révolution grâce à l’activité
commerciale existante.
 Cependant elle s’affaiblie à
l’intérieur du quartier à cause de la
morphologie du site ,l’insécurité et
l’insalubrité ainsi que l’absence du
commerce
ANALYSE TYPO-MORPHOLOGIQUE

SYSTÈME VIAIRE

Systèmes viaire historiquement justifiés:

 Système en résille hiérarchisé, avec une
organisation en damier conformément au plan
d’alignement français.
 Système en boucle hiérarchisé.
 Système radial autour de la place Bendaoud.
TRANSPORT ET STATIONNEMENT

La desserte du quartier se fait par les moyens de

transport en commun suivant :

*les lignes de bus (11-18-34-101).

*les taxis.
*le tramway.
*une station de téléphérique en cours de
réalisation.

Un stationnement linéaire est improvisé à

l'intérieur du quartier engendré par la pratique
commerciale.

La structure du réseau de transport en commun

ne favorise pas la circulation transversale inter-
quartiers.

La fréquence des lignes de bus sur la place El-

mokrani (ex: place valéro), en plus de l'arrêt du
tramway engendrent des nuisances sonores et de
l'encombrement.
RDC
R+1
R+2
R+3
R+4
R+5
R+6
L’ETAT DES VOIES
A travers l’étude de l’état physique des voies , on
constate que:

Le Bd Maata est en bon état ainsi que des ruelles qui

relient ce dernier à la rue Yveton en moyen état à
l’accompagnement de la rue de la révolution et la rue
des jardins, contrairement à l’état du reste des voies
du quartier qui sont empirés, on distingue:

Des rues dégradés et d’autres bloquées en raison de

l’insalubrité et l’anéantissement des bâtiments ce qui
rend le quartier dans un état d’abaissement.

Rue en état dégradé

 Rue bloquée

Rue en état très

dégradé
TYPOLOGIE DES PLACES

l’espace public à l'intérieur du quartier a gardé la

même forme, néanmoins, on constate la disparition de
certaines places telles que la place Valéro et la place du
marché qui ont perdu leurs vocations par
l'empiètement des constructions et du stationnement.
Ce qui empêche les habitants de bénéficier de
véritables espaces publics.
 ANALYSE ENVIRONNEMENTALE

LE COUVERT VEGETALE

Existant aux limites du quartier derb :

 La places d’armes et l’alignement du Bd
Maata.
 La place des quinconces et l’alignement
du Bd Stalingrad.
Par contre, à l’intérieur du quartier il est
quasi introuvable, mis à part :
 La falaise.
 L’ex jardins potagers.
L’ETAT DES FONCTIONS L’ANALYSE SPATIALE
 les rez-de-chaussée et l’entresol des immeubles
de Derb connaissent une activité commerciale
spécialisée dans la vente des tissus et des
produits textiles au niveau de la rue de la
révolution.
 Cette même spécialisation d’activité qui se
trouve sur la rue de la révolution (faisant
partie de Derb) s’étend sur le Boulevard Maata
El Habib (faisant partie du centre-ville).
 Une autre activité commerciale s’étale sur le
long de la rue « Daho Kada » faisant parallèle
à la rue de la révolution, spécialisée dans la
vente des fruits et légumes.
 La zone ouest et sud-ouest connais une absence
totale de l’activité commerciale et sociale à
cause de la forte dénivelé, la vétusté des
immeubles, l’état dégradé des voies et leurs
Habitat + commerces du tissu
étroitesses.
Habitat + commerces des légumes & fruits
Habitat + commerces et services.
Habitat
Equipement éducatif
Equipement de culte
Equipement culturel
Equipement administratif
Equipement commercial
Equipement sportif
Hammam
Place
L’ETAT DU BATI
-L’étude de l’état du bâti montre qu’il subsiste une variation entre les
immeubles du quartier à travers leur état visible des façades et les
éléments porteurs sur lesquelles la classification est faite à la base des
différentes pathologies (fissures ,fléchissement des balcons ,l’état
dégradé des fenêtres et les murs escaliers).
-La vétusté des immeubles s’accentue de plus en plus en allant vers
l’intérieur du quartier du certains tombent quasiment en ruine à cause
de l’absence de l’entretien et la marginalisation.
L’ETAT DES HAUTEURS

 Le quartier est caractérisé par un gabarit

variable entre R et R+6.

 On constate que le skyline des immeubles de

Bd Maata est plus haut par rapport à celui de
Derb.

 Cette différence est imposée par la forte

dénivelé et la morphologie du site.

RDC
R+1
R+2
R+3
R+4
R+5
R+6
 LE SKYLINE DES FACADES
Façade urbaine Bd Maata el Habib

Rue du dix Rue Bd commandant Rue El Bordj Rue Zemri Aek

sept octobre Abderrahma Abderrahmane
ne Benali

Façade urbaine rue de la révolution

Rue Zemri Aek Rue El Bordj Rue Tamazoura Rue du dix sept octobre Place bendaoued

Façade urbaine rue des jardins Rue frères Hamida

Rue de l’Asnam Rue de Frenda Rue Malagouane Nouba Rue Larbi Messaoued Rue des jardins
TYPOLOGIE DES ILOTS

A partir l’étude de la typologie des ilots, il s’est

avéré qu’il existe des tailles variantes des ilots et
deux formes urbaines:
 Une forme irrégulière dont est apparu à la
conséquence du découpage des jardins
portagés de la période espagnole.
 Une forme régulière à l’aboutissement du
plan d’alignement de la période française
 TYPOLOGIE DES PARCELLES

Le découpage parcellaire dépend de la forme des

ilots :

 Découpage géométrique : des parcelles des ilots

de forme régulière (carré et rectangulaire).

 Découpage arbitraire : des parcelles des ilots de

forme irrégulière.
 SYSTÈME DU BATI ET NON BATI
On remarque que la densité est forte et
approximativement similaire au niveau des
ilots faisant partie du centre ville et Derb à
l’exeption de la zone sud ouest du sous
Ilot 5 quartier où la densité se réduise en fonction
de la pente qui s’accentue, ce qui engendre
des espaces non exploités.
Ilot 6

Ilot 3

Ilot 1

Ilot 2

Ilot 4
ANALYSE PAYSAGERE
Selon l’ouvrage de Kevin Lynch : « L’image de la cité » et celui qui le complète
de Philipe Panerai « Analyse urbaine » qui fournissent un outil intéressant
pour une analyse paysagère pour établir les composants du paysage urbain :
1- les parcours :
Parcour 1:qui relient les places , de place d’armes jusqu’à la place Saint
Philipe
Parcour2: qui relie deux monument culturelles historique ( théâtre
régional ,et le Fort Saint André ) passant par la rue de la révolution
2-les repères : sont les éléments les plus visibles ( le théâtre régional ,la
grande mairie , la synagogue, le Fort Saint André , le tambour Saint José
3-Les nœuds : on trouve 3 nœuds importants ( place d’armes ,place
valléro et la place des quinconces )
4- les secteurs : secteur Sidi el houari et secteur de centre ville
4- les limites : délimité à l’ouest par la rue des jardins et à l’est par le Bd
Maata
LA SYNTHESE
 Synthèse : -Façade urbaine imposante formant comme une
sorte de barrière physique ,accentuée par le
passage du tramway
L’enclavement -La falaise qui isole physiquement et non
visuellement le quartier

-L’état des immeubles est majoritairement

L’état de bâti mauvais.

-Le quartier a une vocation résidentielle et

Mono fonctionnalité/ manque d’attractivité manque d’équipements et d’attractivité

L’insalubrité ,la vétusté du bâti , l’étroitesse

des rues ,les impasses , et l’absence
d’aménagement et de fréquentation , font
L’espace public
que la quartier soit insécurisé , et le manque
de parking organisé résulte un stationnement
excessif et anarchique sur tout les rues du
quartier ,et fait que les espaces publics soient
perdus et non-exploités par les habitants
 -La mémoire du lieu ( Souk el Kmech )
-Les bâtiments ont une valeur architecturale
Valeur patrimoniale et historique
-Valeur patrimoniale dont le fort Saint André

-Vue panoramique sur le Fort Santa

Potentiel paysagère Cruz , le vieux port et Sidi EL houari
-Situation au cœur de centre ville

-Un nombre important de potentialités

Potentiel foncier foncières ( les immeubles vétustes et
en ruine ) dans un site dense en plein
centre ville la ou le foncier est cher
 Schéma de restructuration

Créer des lieux d’échange et de rencontre à

travers le patio urbain et la place public à créer
pour animer et aérer le tissu urbain Un axe à créer
Balade
contemporain
pittoresque, mail
urbain ,renforcer le
lien piéton

Requalification
des axes

Seuil urbaine à
créer
Créer un lien stratégique et ouvrir la Un Patio urbain à
zone sur la ville à travers l’axe piéton à créer
créer Une place public à
créer
Des voies
piétonnes à créer

Faciliter l’accessibilté à la zone par

la seuil urbaine à créer et la
requalification des axes
Schéma de principe d’aménagement

Place Marché
Requalification des espaces
publics existants afin de revivre et
remodeler la zone d’étude

Place Valéro

Place Bendaoud
Place Saint Philipe

Valorisation de Fort Saint André

Restauration du Fort
Implantation des espaces publics et espace vert autour
le Fort
Créer des noyaux d’intensité sociales ( logements
intergénérationnels , commerce de proximité ,locaux
associatifs )
 Schéma de mobilité

Favoriser la piétonisation par la création du

mail piéton
Intégrer la circulation douce
Minimiser la présence du véhicule par la
projection de parking à étage
Schéma de principe d’implantation des fonctions
Conserver l’esprit traditionnel et patrimonial de la zone

Préserver les bâtiments qui ont une valeur

architecturale (restauration ,réhabilitation ,
rénovation )
Conserver la mémoire du lieu ( Souk el Kmech)