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Perdicaro Léna 2CSP4 06 Mai 2010

Développement durable

Le développement durable, c’est quoi?


Le développement durable a été popularisé, en 1987, par le rapport de la Commission mondiale
sur l’environnement et le développement, dit rapport Brundtland (ancienne première ministre
norvégienne).

Trois exigences :
1 la viabilité environnementale, c’est-à-dire la protection des écosystèmes et des
équilibres dont dépend le maintien de la biosphère, l’entretien des écosystèmes
productifs de ressources pour les activités humaines, et l’établissement d’un
environnement sain pour les habitants
2 la viabilité économique, visant une croissance économique soutenue et durable
3 l’équité sociale, qui inclut la reconnaissance de droits d’accès aux ressources et aux
services pour les plus démunis, ainsi que des droits à l’information et à la participation à
la vie publique.

La dégradation de l’environnement et ses conséquences

Principalement, les maux qui guettent notre


environnement recoupent les domaines
suivants: la pollution, le changement climatique,
l’urbanisation, la désertification, la pénurie en
eau et en ressources énergétiques, les déficits
sanitaires.
Ces maux qui visent l’état physique de notre
environnement ont bien entendu des
conséquences sur les aspects économiques et
sociaux de notre environnement. Ces différents aspects sont indissociables. Avec le concept de
développement durable est né le concept de «stakeholder», traduit en français par l’expression
«partie prenante». Tous les acteurs jouant un rôle proche ou lointain dans les domaines
économiques, environnementaux ou sociaux, et bien évidemment politiques sont des parties
prenantes interdépendantes. Le concept de développement durable impose donc désormais de
comprendre le monde comme un tout, comme une chaîne d’éléments interdépendants
(paradigme de la complexité d’Edgar Morin). A l’heure de la globalisation, il n’y a plus d’acteur
isolé vivant en autarcie sur des terres inexplorées, il n’existe que des parties prenantes.

Les énergies : comment préparer l’après-pétrole ?


La demande mondiale d’énergie augmente à un rythme de près de 2 % en moyenne par an
depuis le début de l’ère industrielle. Mais ce rythme peu descendre jusqu’à 1 % ou approcher 5
% selon les années.

Production énergétique suisse :

60 % de notre électricié est fournie parl’hydraulique


40 % par les 5 centrales nucléaires
Perdicaro Léna 2CSP4 06 Mai 2010

Énergies renouvelables
Solaire thermique, photovoltaïque, éolien, géothermie, biogaz…, toutes les filières des énergies
renouvelables sont mises à contribution. Ainsi, selon l'Agence Internationale de l'Energie:

- 80 % à partir de combustibles fossiles, pétrole, charbon ou gaz,


- 14 % de l'énergie consommée dans le monde serait produite à partir d'énergies
renouvelables,
- 6 % proviendraient du nucléaire. Beaucoup d'efforts sont donc encore à fournir.

Au niveau européen les objectifs depuis 2001 sont les mêmes. La part minimale de
consommation en provenance des énergies renouvelables
pour 2010 devra atteindre :

21,00 % pour l'électricité


12,00 % pour la consommation énergétique primaire
5,75 % pour les biocarburants

Pourtant, aujourd’hui ces chiffres sont encore loin d’être une réalité. La part des
énergies renouvelables pour l’électricité était estimée à 14,2% à fin 2001 et à 5,61%
pour la consommation d’énergie primaire. Quant aux biocarburants, s’ils sont
difficilement quantifiables, ils restent marginaux.

Martin, C. (2004). ‘’Développement durable’’, www.jeco.ch, juin


Textes 2004, p. 2-3 Actu-environnement (3 juillet 2006). Les énergies
renouvelables gagnent du terrain. http://www.actu-
Sources environemment.com (site consulté le 6 février 2007).
Image http://www.aventuresbicycletales.org/pollutiondestransports.html
(site consulté le 6 mai 2010)

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