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l’immortalité. Ce sont les thèmes qui sont plus évoquées dans le domaine de la
fréquemment les questions telles que pourquoi on mort ? Peut-on échapper la mort ?
les réponses pour les questions ci-dessus. La plupart d’écrivains fantastique ont touché
thème de la mort. La mort peut nous rendre craintif. On présente d’une part la mort
peur, dans ce chapitre on soulève l’aspect de la mort est en outre un aspect effrayant.
Donc la mort est liée avec la peur. Ce chapitre concerne la représentation de la mort
français. Pour lui le système de représentations de la mort ne se conçoit que dans son
rapport à la vie.
1
Roberge, Martine. L’art de faire peur: des récits légendaires aux films d’horreur. Les Presses de l’Université
Laval. 2004. p.31
Tous ces éléments énumèrent en fait les images créées par le processus de
comprendre ce que peut représenter la mort comme l’affirme Lefebvre. La mort est
représentée dans plusieurs manières dans ce roman tel que les mort-vivants, les
Lors de XXe siècle, les œuvres d’horreur discutent le thème de la peur contre le
ce genre. La mort a été traitée en deux types principaux, l’un comme un personnage
et l’autre comme un thème tout au long du roman. Dans Malpertuis, la mort est
montrée comme un élément qui incite la peur. Normalement l’inconnu nous incite la
La relation entre la vie et la mort est ambigus dans les ouvres de Ray. Il s’interroge
sans cesse la finalité de la mort. Il considère que la mort n’est pas la fin. Son œuvre
montre qu’il croit à la résurrection. Pour lui la mort est complète avec la résurrection.
Ainsi le thème de résurrection est récurrent dans ses œuvres. La mort est souvent
surgir en tant qu’une forme de vie. Il constate qu’un cadavre peut avoir la vie, ce n’est
pas seulement la chair. Il croit que l’ambiguïté entre la vie et la mort, le corps et l’esprit
On croit que la mort est inévitable. Cette idée est prédominée dans l’œuvre de Ray.
La problématique de Malpertuis est que Ray nous montre la mort comme un aspect
inévitable et la résurrection. Au début, il montre la mort est la fin de toutes les choses.
but de l’oncle Cassave, étant un sorcier, est d’éviter la mort. C’est pourquoi il étudie
les techniques de la résurrection et voudrait sauver les dieux antiques qui sont en péril.
Il n’achève pas son destin cependant il évoque la peur parmi les personnages de
dit que :
Donc on comprend que l’oncle Cassave est un sorcier malicieux et possède un savoir
énorme. C’est la raison que les personnages ont peur de lui. Même après sa mort, les
personnages n’ont pas le courage de parler les étrangetés qu’on y trouve. Pour montrer
En outre, Jean Ray aussi croit qu’on peut surmonter la mort, comme il dit dans Le
Grand Nocturne :
2
ibidem. p. 09
3
ibidem. p. 91
4
ibidem. p. 26
disaient, mais ils le sentaient comme une vérité profonde
contre laquelle rien ne prévalait.5
Cette citation nous montre que celui qui est capable de surmonter le passé et le
présent pourrait dépasser la mort. Dans le monde parallèle de Ray, tous les êtres peut
ressusciter. Dans Le Grand Nocturne, Théodule les morts vivants a l’espace. Mlle
Marie revient de la mort pour que Théodule puisse l’aime. Donc si les personnes qui
sont évident. D’abord on va voir l’effet de la peur quand Mathias Krook est mort.
chanter le Cantique des Cantiques d’une voix épouvantable qui faisait frémir les
verres gradués du comptoir, la balance romaine aux lourdes conques de cuivre, les
milles choses qui ne bougent jamais. Au début Jean-Jacques pense qu’il est pendu
mais enfin on découvre que la tête de Mathias Krook a clouée au mur de la boutique
de couleurs.
5
Ray, J., Les 25 meilleures Histoires noires et fantastiques. Verviers : Marabout, 1961. p. 222.
Je répétai bêtement : -Il a la tête clouée au mur !6
Dans la deuxième partie du roman Jean-Jacques rencontre Bets dans une auberge.
Elle y travail comme une servante. Jean-Jacques y entend encore une fois la chanson
devant l’auberge ou travaille Bets. Ray ne nous clarifie pas s’ils soient le rôle du
registre fantastique pour évoquer l’effet de surréel. Ainsi on peut voir le rencontre
élément qu’on trouve dans ce genre. En présentant cet élément fantastique, on suscite
la peur aux lecteurs ainsi qu’on montre une chose inexplicable. Mais ici dans
Malpertuis, le monstre est désigné comme monstrueux. C’est-à-dire un être qui a une
débouchant sur une ambiguïté identitaire apte à susciter la terreur. Tout au long du
6
ibidem. p. 35-36.
7
ibidem. p. 69.
roman, on ne voit pas ce monstre, mais dans chaque événement de mort on peut
remarquer cette chose monstrueuse. De plus, cet être cumulant les caractéristiques
Dideloo. Il est mort et personne n’a plus parle de lui après cet incident. Les
8
ibidem. p. 50-51.
9
ibidem. p. 53.
Dans Malpertuis, d’un cote, on apprend que la mort est une chose inévitable. Par
exemple l’élixir de longue vie de Cassave. Tous les humains meurent. D’autre cote,
les personnages y demeurent essayer de vaincre la mort. Face à la mort, ils tentent
divers choses pour dépasser cette limite absolue. Une tentative présente un intérêt
particulier, celle de Philarète qui naturalise Mathias Krook, Dideloo et Tchiek. Tous
son article.
violence et le meurtre sont des thèmes pareils. On a déjà vu quelques meurtres dans
Malpertuis. On sait que le meurtre inclut la violence, la torture etc. En ce qui concerne
ici, c’est la douleur. La souffrance et la douleur nous incitent l’angoisse qui est le thème
central de ce mémoire.
10
Duhamel, Joseph. Jean Ray: un narrateur dans le monde parallèle. 1993
11
Ibidem. p. 74.
Ray fusionne d’une part la mythologie grecque et d’autre part le fantastique
personnages ont subies à cause de la mort. Donc la mort est un thème nécessaire dans
le genre d’horreur pour évoquer la peur. Ray aborde la mort d’une manière ambigu.