« La représentation de ‘’Guerre de Religion’’ dans les poèmes

de Ronsard, de Garnier et d’Aubigné »

Introduction :
Lors d’une période de XVIe siècle, La France a témoigné
beaucoup de conflits dans lesquels la guerre de religion trouve une place
importante dans l’histoire de ce pays. Ces conflits principaux étaient entre
les catholiques et les protestants. C’était une situation aggravée qui a
déchiré l’image de France. Ils nous montrent les violences et les
souffrances des gens en France y compris les massacres, les désordres
de loi dans la société, la famine etc. pour les deux parties. Alors les poètes
majeurs de XVIe siècle ont évoqué la condition de vie pendant ces
guerres dans leurs poésies. En prenant les poèmes de Ronsard, de
Garnier et D’Aubigné, Dans ma dissertation, je vais expliquer la violence
de meurtre que les gens ont subie, la poésie engagée, la représentation
de l’effet des guerres et le style d’écriture.

La Poésie Engagée :
Le poète engagé nous indique que les poètes prennent
parti de leur propre religion. Les deux grands poètes qui ont vécu du
temps, Ronsard et D’Aubigné prennent parti des camps opposés.
Ronsard qui s’engage en faveur des Catholiques. Dans le poème « O toi
historien » Ronsard nous montre qu’il est en faveur des Catholiques
contre les Protestants. « Par une opinion nourrice des combats, Comme
une grande roche, est bronche contre bas… » « L’erreur d’un étranger qui
folle la conduit. » Avec des vers si dessus, Il est évident qu’il était
totalement contre les Protestants. Il les appelait ‘’monstre’’. Cela nous
montre son colère contre les Protestants. Ici il a évoqué le mot ‘’étranger’’
qui indique ‘’Martin Luther’’ d’Allemagne. C’est lui qui a démarré un
mouvement contre les Catholiques.
D’autre part, D’Aubigné dans le poème « Misères » parle en générale la
cruauté que les Protestants ont subie. Il ne prend parti dans cet extrait.
Mais en réalité, il s’appuie totalement pour Les Protestants.
A propos de Garnier, il est un poète neutre. Il voulait évoquer la condition
de la guerre avec ses œuvres.

La Violence des Guerres :

Pendant la période de XVIe siècle, on peut trouver la
violence partout en France. Le massacre nait à l’occasion des guerres de
religion. Surtout le massacre de Saint-Barthélemy qui a constitué comme
un événement historique.
Dans les trois on peut voir la violence de meurtre, le bouleversement de
vie sociale, et les désordres de loi. Si on prend le poème de Ronsard,
« tout à l’abandon va sans ordre et sans loi » « l’artisan par ce monstre a
laissé sa boutique.. » « Ont sans dessus dessous le monde renversé » il
nous montre la vie et l’ordre social ont renversé. Les gens quittent leur
propre métier à cause de la guerre. La grande diversité de métiers
évoqués montre que le conflit touche tout le corps social. Alors qu’ils se
tuent.
Dans l’Antigone aussi, les deux frères se disputent mais la mère qui est
comparée comme le pays natal se souffre.
De plus D’Aubigné a éprouvé avec ces vers « Montre, en montrant les os,
que quelqu’un lui fait tort. » la violence se manifeste partout le pays natal.
Par conséquence, il n’y a pas d’ordre dans le pays. Avec cette description
de la vie sociale et la société, les poètes veulent montrer les conditions
chaotiques pendant les guerres de religion.

La Représentation de l’effet des guerres :

Ici je voudrais expliquer la condition humaine au
cursus de la guerre. Ronsard a évoqué cet argument dans une manière
différente. Il a plutôt parlé de la société et la famille. « Et le frère, o
malheur, arme contre son propre père, » « le laboureur façonne une
dague pointue ». Le poète incite que les gens sont perdus leurs propres
valeurs. Il y a un changement de l’identité de gens partout dans le pays.
Ce changement les permet de devenir les bêtes sauvages.
En prenant la même situation, D’Aubigné a titre son poème comme
« L’homme n’est plus un homme ». Là il a évoqué le même argument celui
de Ronsard. Il nous montre la transformation de gens non seulement
physiquement mais aussi psychologiquement. « Il prend réfection des
herbes, de charogne et viandes non prêtes » ils mangent des cadavres.
Ce poème nous montre la famine après les guerres. A quel point les gens
ont souffre. Toute leur dignité et leur esprit humain ont perdu.

Le Style d’écriture :
La Narration :
D’abord, les trois poèmes adressent à différentes lectures.
Ronsard adresse son poème aux historiens. Parce qu’il ne veut pas
changer l’histoire. Il est très conscient que l’avenir doit être authentique
pour les générations suivants « o toi historien, qui d’encre non menteuse,
écris de notre temps l’histoire monstrueuse ». Le poète est le narrateur
qui est omniprésent dans ce poème.
Avec Antigone, une mère adresse aux deux fils. Ici les personnages sont
personnifiés. La mère est comparée comme le pays natal et ses deux fils
comme l’un est Catholiques et l’autre est Protestants. La narration est
dramatise. Bien qu’il soit une légende, il a réinterprété pour nous montrer
l’enjeu courant avec l’aide de la voix et la vision de ses personnages.
Dans le poème D’Aubigné, il est le narrateur et omniprésent.

Le Champ lexical de la violence :

Le champ lexical de la violence est omniprésent partout
dans ces trois poèmes. Avec Ronsard, « arme » « sang » « dague »
« pique » « couteau », avec ces mots, il est évident que le poète veut
évoquer la notion de la violence. Avec Garnier, « déchirez » « sang »
«massacrant » « épée » « glaive », ce sont des mots qui nous donnent
l’idée de la violence. D’après D’Aubigné, « charogne » « soc » « vengé »
« saoule » « meurtris ». Donc tous les poètes veulent exprimer non
seulement la période de la guerre mais aussi la violence et la brutalité que
les gens ont subies.
Les Rimes :
Comme toutes les poésies de XVIe siècle, dans les trois
poèmes aussi on peut voir l’alternance entre la rime masculine et
féminine. Chaque vers se termine avec les rimes embrasées. « aa, bb,
cc.. ». Ce le même schéma qui se répète partout dans les poèmes.

Pour conclure, Bien qu’ils soient prendre parti avec l’un et l’autre, la notion
de guerre de religion est bien représentée qui nous donne une image de
la vie de Catholiques et de Protestants, la condition de peuple, leur
souffrance, leur mentalité différents et l’état civil de la France par ces trois
poèmes de Ronsard, de Garnier, d’Aubigné.

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