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LA BELLE ÉPOQUE (XX siècle)

Pendant le XXe siècle, il y a la diffusion de l'esprit nouveau c'est-à-dire d'un amélioration du monde urbain
et industriel.
Dans ce période on voit le mouvement d'avant-garde qui est un évolution du symbolisme et qui, comme le
symbolisme, veut rompre avec les traditions. Ce période est un période favorable au culturel. Le mouvement
d'avant-garde se développe pendant la Belle Époque (Paris a un rôle central et il y a un amélioration des con-
ditions des ouvriers). Plusieurs fois les personnes qui écrivent ces poésies sont les soldats qui se trouvent en
premier ligne.

GUILLAUME APOLLINAIRE (1880-1918)


Il est le chef de file du mouvement d'avant-garde, il utilise et invente une nouvelle forme de poésie qui uti-
lise des calligrammes (belle façon d'écrire), donc il dessine avec les mots; les mots représentent ce dont on
parle. Il publie Calligrammes en 1918.

-“Le pont Mirabeau”-


Le poète se trouve à Paris. Le pont symbolise le lien entre le poète et la femme aimé qui vive de l'autre coté
de la ville.
Dans ce poème il n'y a pas la ponctuation perce que qui lit peut interpréter le poème comme il veut ( il n'y a
pas besoin d'avoir tous claire). Il casse avec les traditions et les règles: il est original.
Pendant le poème il utilise des espèces pour mettre en évidence les vers.
• La première ligne du poème est “Sous le pont Mirabeau coule la Seine”→oeau qui transport les émotions
du poète.
• Dans le refrain (3 au cours du poème) il y a le “carpe diem”→ temps passe et je (le poète) reste. On voit
qu'il base ça façon d'écrire sur des images (il reprend le thème classique), mais il utilise ces images de façon
innovatrice.
• Pendant le poèmes il y a beaucoup de enjamblements; comme par exemple dans la strophe 2. Dans cette
strophe il décrit l'amour et les sentiments comme une onde, mais une onde lasse.
• Le thème du “carpe diem” on peut le revoir aussi dans la strophe 4.
En général il décrit le fuit du temps qui, comme l'amour et les sentiments sont passagers, donc nous devons
profiter de la vie.

-”La cravate et la montre”- (les mots représentent ces 2 objets)


Ce poème est une critique au monde bourgeoise.
• La cravate représente la constriction et obligation de la société (un nœud au chou). Si tu veux bien vivre, il
faut que tu t'enlèves la cravate.
• Dans la montre à poché il y a des mots au pif: à chaque heure il y a un élément différent et on peut com-
prendre comme vivent les personnes de cette époque. La seule phrase avec un sens est “passe la douleur de
mourir”

-”La tour Eiffelle”- (les mots représentent la tour)


Dans ce poème la tour (symbole de la France) parle, elle est décrit comme éloquente.
Pour ça on peut interpréter aussi la tour comme la langue fourchue d'un serpent.
Ici on peut comprendre qu'Apollinaire est contre les allemands “Paris tire et tirera toujours aux allemands”.
Il souligne aussi la supériorité de la France grâce à l'expo.
Selon lui la française est la langue qui parle le mieux et qui représente le mieux la France.

-”Il pleut”- (les mots représentent la pluie qui tombe de travers)


Apollinaire été un soldat qui doivent terminer de combattre parce qu'il est été blessé. Dans ce poème il pense
à ces copains et il se rappelle des journées de pluie passé en triche (soldats qui combattent avec toutes les
conditions atmosphériques).
• “le dernier soupir”→présage de mort
• il compare la pluie à une pluie d'acier→ à des projectives
• il dit qu'il a des amis enchainé dans la guerre
• à la fin du poème il dit que seulement à la fin de la guerre on peut revoir le soleil.
MARCEL PROUST (1871-1922)
Il est un auteur qui s'interroge sur beaucoup des domaines de la vie; dans sa œuvre principal “À la recherche
du temps perdue” il se demande comme on peut représenter le temps et comme le temps est relationnè avec
la réalité. Dans ces textes il utilise beaucoup de phrases subordonnés. La seule façon de vivre, pour Proust,
est écrire.

-“Ce gout, c’était celui du petit morceau de madeleine”-


(On peut comprendre que la famille protagoniste de l’histoire c’est une famille bourgeoise parce que sa mère
cherche un gâteaux).
Dans cet extrait le protagoniste de l’histoire (Marcel, mais pas Marcel Proust), rentre à la maison et sa mère
lui offre un thé pour se réchauffer. Il mange une madeleine avec le thé.
Quand il mouille la madeleine dans le thé son âme se remplit d’une essence précise (plaisir), qui s’affable
dans le temps. Le bouillon a éveillé la vérité que le protagoniste cherche.
Le plaisir lui provoque un souvenir involontaire provoqué par le 5 sens (les sens ont rejoint la con-
science)→il se rappelle de la dimanche matin à Combray→ ce souvenir est possible seulement si la made-
leine est mouillé dans le thé.

-“La vraie vie”-


Ici il exprime sa idée; dit que selon lui la seule façon de révéler la vie est l’art (art=essentielle pour la so-
ciété).
Dans les premières lignes du texte il fait référence à la photographie décrit comme une autre façon pour fixer
les souvenirs.
Après il dit que comprendre la littérature est la seule façon pour comprendre le monde, mais il précise qu’on
est tous différents les unes des autres; donc chaque artiste voit la réalité de sa façon→RELATIVISME: la
subjectivité ne donne pas une réalité absolue.
L’artiste doit traduire la réalité grâce à l’art; il peut la faire parce qu’il décrit ce qu’il vive: il fait émerger
grâce à l’art l’existence de ce qu’il y a à l’intérieur de nous même. Un artiste comprend aussi que la vie de
tous les jours n’est pas la vie dans l’histoire.

LE SURRÉALISME ET LES ROMANS ENTRE 2 GUERRES


Avant la surréalisme il y avait le dadaïsme= mouvement intellectuel et artistique. Les artistes de ce mouve-
ment dégoûtent la guerre pour eux ça signifie la faillite des civilisations, de la culture et de la raison→ ils
sont provocateurs et ils doutent les vertus humaines ils favorisent la spontanéité, la bonté et la joie de vivre.
SURRÉALISME= après la dadaïsme. C’est un mouvement poétique, littéraire, artistique et philosophique,
qui nait en France. Les artistes utilisent des forces psychiques (comme rêves ou inconscient) pour se libé-
rer du contrôle de la raison.

SAINT-EXUPERY (Petit Prince 1946)


-“Si tu veux un ami, apprivoise-le”-
Ce texte parle de la valeur de l’amitié; c’est un métaphore appliqué au sens de l’amitié.
Décrit le rencontre entre le petit prince et le renard: le petit prince est dépaysé parce qu’il est arrivé sur la
Terre pour chercher des amies (il veut des amies parce qu’il est seule et triste), pour ça il s’adresse aux roses.

LA LITTÉRATURE ENGAGE’ (pendant et après la deuxième guerre


mondiale/ la négritude)
Dans ce période les intellectuelles donnent sa propre opinion sur la guerre, il y avait:
• Collaborationnistes.
• Intellectuelles qui participent à la résistance (comme Sartre ou Camu)→ ils dominent la scène et ils pren-
nent une position contre la guerre.
• Autres qui meurent en déportation.
JEAN-PAUL SARTRE (1905-1980)
Il nait comme philosophe, en particulier philosophe athée (il refuse l’existence de Dieu).
Il est un intellectuel engagé et il donne son idée en particulier sur l’indépendance des colonies (Algérie), et il
est favorable à cette chose, donc il encourage la guerre pour l’indépendance.
Il dit que “l’existence précède l’essence”: l’homme avant existe et après il se définit, grâce à ses actions et
choix. Donc l’homme est libre.
Dans ses textes il ne donne pas importance à l’histoire, mais aux personnages.

-“La racine du marronnier”-


Il s’interroge (il fait une réflexion intérieur) sur l’existence des mots en voient une racine (l’existence des
mots comme l’existence de l’homme est un mystère que nous ne savons pas résoudre).
Il dit que même s’il ne sait pas appeler la racine, elle existe; comme l’homme.
Il dit que tu peux donner le mot que tu veux aux choses, mais seront toujours les mêmes choses.
Ligne 37 “l’existence s’était soudain dévoilée”→ l’homme, comme des choses, existe, mais il peut décider
comme exister →l’homme doit se déterminer; il peut choisir librement si prendre des décisions négatives ou
positives: il a le destin de l’humanité dans ses mains (ça lui provoque angoisse).
EXISTENTIALISME= sommes-nous que nous déterminons, pas la science. Il est le message que les auteurs
veulent donner à la société.

-“L’enfer, c’est les autres”-


Le thème de ce texte est que nous décidons qui être, mais nous devons faire attention, parce que si nous fai-
sons des actions mauvaises nous devons attendre le juge des autres.
Le lieu où se développe le texte est l’Infer, mais un infer non conventionelle, parce qu’il rappelle la
réalité →ça signifie que l’infer est partie de la vie quotidienne; il ne faut pas de le chercher.
Il y a 3 protagonistes (Estelle, Inès, Garcin) qui sont à la fois victimes et bourreaux → ils sont enfermé dans
un salon à l’infer perce qu’ils ont tué une personne qu’ils aiment.
Dans le texte:
• Il y a des légendes (indications pour l’acteur).
• Estelle désires Gracin, mais Inès désires Estelle.
• Ils sont en 3 personnes dans le salon, mais Garcin croit qu’il avait beaucoup plus des personnes à le juger.
• Dans le texte les protagonistes s’accusent l’un avec l’autre→ chacun de nous est condamné à avoir un ju-
gement par les autres. Chacun a un différent vision de nous même; ça porte à la vision infernale des autres
parce qu’ils ont un jugement et une vision des choses différent de nous.

-“Tuer pour des idées”-


Fait partie de “Mains sales” (pour Sartre dans le sens de fatiguer).
Les protagonistes de ce texte sont Hoederer et Hugo: tous le 2 font partie du partie communiste (1948→ un
des protagonistes de la reconstruction) ils sont un le contraire de l’autre. Le second est intransigeant (“si le
partie commande”;”je ne penserai à rien d’autre que tuer”) et il fait tous le que le partie dit; le premier veut
défendre le parti eau niveau idéal (il représente Sartre qui fait l’intellectuel engagé).
Dans ce texte le partie a commandé à Hugo de tuer Hoederer parce qu’il n’est plus utile pour le partie. Hoe-
derer se rend compte que Hugo veut le tuer, donc il lui dit qu’il est un couard et trop passionnelle. Hoederer
lui explique qu’il ne doit pas faire tout que le partie dit, mais qu’il doit trouver un sens a sa vie→ Hugo re-
présente qui n’a pas donné un sens à sa vie et Hoederer représente Sartre qui explique l’importance de se
déterminer.
DÉTERMINISME (POUR SARTRE)= homme doit se déterminer.
DÉTERMINISME (POUR ZOLA)= homme soumis aux circonstances du milieu.
Le texte termine avec la phrase de Hugo qui dit “je dois pouvoir le faire”→ il est mis en face à la liberté ex-
trême de se déterminer; cette liberté est dans ses mains, donc il peut décider qui être.

ALBERT CAMUS (1913-1960)


Il considère la vie et l’existence absurdes (dans le texte que nous avons lit “l’Étranger”, le protagoniste se
révolte à l’absurdité de la vie).
Lui aussi est un intellectuelle engagé: il donne son point de vue sur la colonisation et l’indépendance des co-
lonies (Algérie)→ il est favorable à l’indépendance, mais d’une façon modérée; les colonies doivent avoir-
rapports avec la France.

-“C’est alors que tout a vacillé”-


C’est un texte du roman “l’Étranger” qui parle de Meursault, le protagoniste.
Toute la vie de Meursault est un acte de révolte et il régit l’azard pendant toute l’histoire, où les événements
sont l’une après les autres (toutes les actions sont enchené). Le roman s'ouvre avec la mort de sa mère.
Dans ce partie de l’historie il raconte comme et pourquoi il a tué un arabe→il n’y a pas une raison précise
→Azard.
Après cet acte il sera comdannè, mais il pensera qu’il est été comdannè parce qu’il n’a pas pleuré au funéral
de sa mère→ il ne comprend pas que le fait qu’il a tué un arabe c’est un chose grave, donc il souffre d’un
malaise physiologique.
Seulement à la fin du roman il devient conscient et il veut donner un sens à sa vie.

BEAUVOIR
Elle veut affirmer le rôle des femmes dans la société→ est la societé à donner un identitè aux femmes, pas
l’ambient. Beauvoir dit que tous le enfants (males et femmes), decouvrent le monde de la meme façon, donc
il n’y a pas differences entre eux. Elle dit que la societé (la convinction sociale) voit la femme comme cela
qui est passive et qui doit penser seulement à la maison et aux fils.
Le periode que nous somme en train de vivre meilleurera les conditions des femmes (1961= les femmes peu-
vent voter en Swisse).

BORIS VIAN (1920-1959)


Il est un chansonnier-interprète. Il peut être considéré engagé parce que avec un de ses chansons il écrit un
lettre au président de la république (après un réflexion).

-“Le déserteur”- (chanson)


Un déserteur c’est un soldat qui ne peut pas faire la guerre et il explique pourquoi dans cette chanson: il
donne une raison→“je ne suis pas sur Terre pour tuer des pauvres gens”. Il dit que la guerre provoque de la
souffrance parce qu'un génération a vis la guerre “j’ai vu mourir mon père, partir mes frères et pleurer mes
enfants”.
Il dit aux gens qui l’écoutent de se refuser de faire la guerre, parce que la guerre en général n’est pas un bon
choix.

LEOPOLD SEDAR SENGHOR (1906-2001)


Il fait partie du période littéraire appelé “la NÉGRITUDE”→ nous sommes dans les colonies de l’Afrique
noire (en 1930), où le monde n’est pas le même qu’en France, mais ils utilisent la même langue; même si
n’est
pas leur langue maternelle (ils sont obligé à la parler). Même s’ils doivent s’exprimer en français, ils expo-
sent
ses idées et les choses qui passent dans ses territoires. Ils utilisent le français comme un arme pour exprimer
ses points de vue.
Thèmes: pauvreté, racisme, revendication d’un identité différent; les blanques subissent un choc culturel à
lire les poèmes des noirs.
Léopold Senghor est mort en 2001, donc il peut etre considéré un écrivain contemporaine.

-“Femme noire”-
Dans cette poésie Senghor exalte la beauté e les qualités de la femme noire.
• Dans la première partie du texte il parle de sa mère→ ombre de sa mère qui le protégé.
• Il y a des références à sa territoire: “savane”, “gazelle”, et un référence à la colonisation “les doigts du
vainqueur.
• Il utilise “or rouge” pour faire référence à la peau de la femme noire.
• Ses yeux eclerent au soleil.
Pour conclure la femme noire est belle et digne d’être célèbre. Il dit aussi que sa beauté “passe”= n’est pa-
fixe.
BEN JELLOUN
-“L’enfant de sable”-
Le texte parle d’une famille arabe, où le père a decidé d’avoir un fils, meme s’il a 7 filles.
Il a “fabriqué” un garçon en decident que une de ses filles sera un fils (en la privant de sa identité).
Personne sait que ce garçon est, en realité une fille→ seulement la mère (qui est été obligé) et le père savent
ce secret.
Dans ce texte on puet bien voir la superiorité du père dans ces familles arabes→ père vu comme chef de la
famille.
On voit aussi la peu d’importance donné aux femmes en general→ seulement les males peuvent faire pour-
suivre la famille et la maintenir.
Une autre chose qui se remarque facilement est l’ignorance de cette famille, mais un general dans ces terri-
toires pouvres→ la père pense que sa famme a un infermité, parce qu’elle n’a pas velé un fils.

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