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Travail soumis à
Hilda Joyce Portilla
Par
Cassandra Maalouf
8923105
Université d’Ottawa
19 septembre 2019
Depuis toujours, il existe différentes analyses pour comprendre la sociologie de
l'immigration, tels que les mouvements migratoires vers l’Europe et à travers le monde, l’intégrité
sociale dans une communauté et selon un point de vue plus politique, il y a aussi les notions de la
migratoire portent sur les causes de l’immigration, par exemple ; les migrations forcées, les
migrations spontanée ou organisée, etc. l’action des États d’origine et d’arrivée, le déplacement.
En second lieu, l’intégrité sociales des immigrés est l’acquisition d’une position sociale,
économique et politique dans le nouvel espace national. L’œuvre de Maryse Tripier et Andréa Réa
présente la sociologie de l’immigration avec toutes ces analyses. Ils expliquent également que la
analysent ce concept d’immigration en se basant sur les travaux de l’École de Chicago, développée
notamment par Thomas et Znaniecki, qui représentent les textes fondateurs de la sociologie de
l’immigration. Les auteurs expliquent que ces travaux présentent les relations raciales au sein
d’une communauté, entre les communautés et le concept d’intégrité. Dans les travaux de l’École
de Chicago, il est mentionné que les débuts des études sur l’immigration indiquent que
l’assimilation était le concept sociologique central dans les années 1920 à 1935. Ceci-dit pour
qu’il ait assimilation d’une société, il faut d’abord qu’il ait intégration à la société ethnique. Il est
donc abordé dans l’œuvre deux approches structurales. D’abord, le concept de désorganisation
qui cherche à désigner l’affaiblissement de l’influence des règles sociales sur les membres du
groupe. Ensuite, il y a le second concept qui est la réorganisation. Celle-ci cerne les nouvelles
règles ainsi que les nouvelles institutions qui ont été instaurées à partir d’éléments préexistants.
On peut donc comprendre que les auteurs font une certaine critique systématique du concept de
« race » qui mène à conclure que la fragilité des immigrés n’est pas due à leur race mais plutôt
liée aux changements intervenus dans leurs vies quotidiennes à la suite de leur migration. Enfin,
l’immigration expliquer par ces différents auteurs nous permet de mieux saisir les enjeux de la
migration.