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SEMESTRE 1
CHAPITRE Introductif.
En anglais :
→ Polis: désigne la cité, c'est-à-dire l’unité sociale formé par les citoyens, et
donc désigne comme une manière de vivre ensemble.
1er constat:
- La politique renvoie à des rôles de gouvernants, le gouvernement
peut renvoyer à des organes.
En France et dans les sociétés occidentales: le gouvernant est élu pas imposé,
avec des procédures de plus en plus codifiés et avec des modalités de plus en
plus précise.
Alors que dans d'autres sociétés les procédures sont moins codifiés (expl: Lévi-
Strauss ethnologue qui a étudier la population du Brésil).
(On peut se poser la question d'une société sans gouvernement).
2ème constat :
- La politique renvoie à une activité de commandement, c'est-à-dire à
la façon dont les organes et les rôles fonctionnent.
3ème constat :
Un problème ne devient politique qu'à partir dû moment où les
gouvernants en sont saisis et le conflit n'est plus régulé à l'autre
échelle.
4ème constat :
- Examiner le processus de gouvernement renvoie à la capacité de
certains groupes à
peser sur l’activité des gouvernements.
- Qui sont ces groupes ? groupe de pression , syndicat …
- LE Processus de gouvernement est donc une relation entre
gouvernant et gouverné.
- Les problèmes politique sont le produit de prénommes objectif de
revendication et
d’une attention publique.
Apres la défaite de Sedan en 1870, Emile Boutmy est frappé par l'ignorance
des questions de l'opinion et estime que les classes élevées ne peuvent
maintenir leur position dominante que si elles savent acquérir les
connaissances qui les rendront indispensable.
Ainsi, en 1872 E.Boutmy crée à Paris l'Ecole libre des sciences politiques, où il
initie un programme qui tient l'affirmation du politique comme lieu d'un savoir
positif.
En 1945, après le 2eme G.M l’Ecole libre des sciences politiques fût nationalisé
et devînt l'Institut d'Etudes des sciences Politiques (IEP) de l'université de Paris.
Son patrimoine fut transmis a une nouvelle fondation nationale des siennes
politiques, qui reçut pour mission de développer la science politique en France.
Ce qu'elle fit notamment en créant " la revue française des sciences politiques"
en 1951 et aussi une française des sciences politiques.
Mais finalement, c'est dans les facultés d'Histoire et de Droit que la science
politique allait trouver sa consécration.
Droit et science politique se distingue, le juriste concentre son attention sur les
normes et les règles, il étudie la politique à travers les normes et aussi les
textes qui sont censés la régir et la jurisprudence .
1ère limite :
La règle de droit ne vaut pas en temps que telle, mais par les usages qui en
sont fait et par la manière dont elle est appliquée.
2ème limite:
La règle de droit peut être ambiguë, elle ouvre des possibilités dont l’effectivité
dépend d’autres facteurs. Dès lors, d'un point de vue sociologique la règle de
droit n’est qu’une donnée parmi d’autres, elle ne suffit pas à comprendre la vie
politique.
Il faut aussi prendre en compte le jeu des acteurs politique, les conflits qui les
opposent, les ressources ( financière, militante …) qu'ils ont à leurs
dispositions.
En ce sens la science politique est complémentaire du droit pour jeter un
regard plus approfondie et plus réaliste quant à la compréhension de la vie
politique.
Il n’y a pas de phénomènes politique par essence, tout peut devenir politique.
Les phénomènes observé sont d’abord sociaux, les sociétés opèrent un codage
des phénomènes sociaux, elles vont les interpréter et les hiérarchiser selon
s’ils sont politique ou non. Il y a que des phénomènes qui DEVIENNENT
politique, pas de phénomène politique. Cela dépend des acteurs sociaux.
C’est le fruit d’un compromit historiquement établie par les forces politique
dominante et juridiquement consolidé (exemple: la création de la 3ème
république résulte d’un compromit entre deux force politique dominante: les
républicains et les royalistes: régime ambiguë).
En effet le respect de la règle, n’est qu’une des modalités parmi d’autres dans
l’ensemble de ces usages éventuelles (théorisé par Bernard LACROIX).
B) La socialisation Institutionnelle.
Si l’institution n’a pas d’autre existence concrète, que les pratiques des acteurs
qui l’incarnent, elle est néanmoins encrée dans l’imaginaire collectif.
Au pratique (c'est ce qu'on fait) se superpose des représentations collective
(c’est ce qu'on attend de institutions). Ces représentation collective participent
d’un travail de légitimation (= il s’agit de l’ensemble des opérations par
lesquelles la contraintes, la hiérarchie, le pouvoir oppressif, prennent la forme
de la raison objective, définition J.LAGROYE).
Pour Max WEBER, tout pouvoir a besoin d’un principe de légitimité et d’un
mode de transmission de l’autorité pour obtenir l’obéissance des gouvernés.
Autrement dit, le pouvoir ne repose pas uniquement sur le monopole de la
contrainte physique légitime, il repose aussi sur la croyance dans le caractère
sacré de tradition (on n’est plus obligé d’avoir une force armé pour faire obéir,
on peut mettre en place des croyances ), le fait de croire en un institution,
permet de diriger. Avec l’avènement des démocratie occidentale, ce type de
domination traditionnel a été supplanté (remplacé) par une domination légal
rationnelle.
→ Les institutions régulent les luttes politiques, (elles permettent à ceux qui les
détiennent de faire certaines choses, elles vont dire ce qui est possible de faire
ou non).
Introduction:
La naissance de la 5ème République:
Dans ce discours De Gaulle exprime sa théorie d'un Etat fort qui reposerait
essentiellement sur le pouvoir exécutif et il préconise une stricte séparation
des pouvoirs.
→ Un Parlement bicaméral : permettant qu'il est une 2ème chambre,
composé différemment de la 1ère, et ferait contre poids.
→ Un régime parlementaire rééquilibré: pouvoir exécutif doit avoir une
origine politique différente du Parlement, le pouvoir exécutif ne serait procédait
du pouvoir législatif.
→ Un pouvoir présidentiel fort: le Chef de l'Etat doit être placé au-
dessus des contingences différentes ou qui serait un arbitre entre les
institutions.
De 1675 à 1958 le Président est élu par les Députés et les Sénateurs.
Ce mode d'élection préféré au parlementaire, le choix du titulaire d'un fonction
par essence rivales au titulaires du Parlement.
Ce mode d'élection était une des causes principales de l'affaiblissement de la
fonction présidentielle.
Ils choisissaient systématiquement des personnes effacé.
Ainsi les chambres s'avérés les seuls organes désigné par les électeurs et donc
les seuls dépositaire de la souveraineté nationale.
Entre l'élection par les chambres et l'élection par les peuples, il fallait trouver
une solution médiane, ce fut l'élection par les notables. Ce système fonctionne
une seule fois pour l' élection du général de Gaulle.
Suffrage universel: droit de vote accordé à tous les citoyens, sous les
seules conditions d'usages concernant l'attachement à la classe
publique (âge, nationalité…etc).
Il existe deux suffrages:
- suffrage universel direct: celui par lequel les citoyens élisent eux-même,
sans intermédiaire leurs représentants.
- suffrage universel indirect: celui qui comporte deux ou plusieurs degrés
d'élections; les citoyens élisant certains d'entre eux qui éliront eux-même les
représentants.
b) Les ministres.
Le terme de ministre est ici entendu au sens large, "membre du
gouvernement autre que le premier ministre".
Actuellement 38 ministres au gouvernement.
Les gouvernements de la cinquième république sont composés d'un nombre
variables de membres, et ce membre a fortement crue à partir des années 70.
B) L'organisation gouvernementale.
Le gouvernent est un organe collégial, hiérarchisé et solidaire.
→ La motion de censure (art, 49, alinéa 2; initiative des députés) est une
arme classique de l'Assemblé à l'encontre du gouvernement dans les régimes
parlementaires, sauf que la Constitution de 1958 en réglemente l'emploi dans
un sens favorable à l'exécutif. Autrement dit la procédure applicable est conçue
de manière à éviter que l'assemblée puisse renverser trop facilement le
gouvernement.
Exemple : la motion de censure doit être signé par au moins un dixième de
l'assemblé, limitation des signatures des députés.
Néanmoins si l'opposition dépose régulièrement des motions de censure pour
protester contre la politique gouvernementale, une seule a aboutit à un
renversement du Gouvernement, celle du 2 Octobre 1962.
=> Devant le Sénat il ne peut rien se passer, la seule qui pourrait être
dangereuse est la motion de censure.
Définition de la cohabitation:
se définit comme la coexistence, pendant une période plus ou moins
longue, d'un Président de la République et d'une majorité
parlementaire, et par conséquent d'un Premier Ministre et d'un
Gouvernement, d'orientations différentes.
→ L'expérience de la cohabitation :
A trois reprises les électeurs français ont installés une cohabitation au sommet
de l'état. Cette situation a conduit les acteurs à faire une nouvelle lecture de la
Constitution mais les pratiques ont finalement aboutit à 3 cohabitations assez
différente:
→ Fin de la cohabitation?
La révision de 2 Octobre 2000 instituant le quinquennat atténue les risques de
cohabitation. Cependant l'hypothèse de la démission ou de la disparition du
Président d'honneur et le calendrier électorale serait nécessairement affecté.
Par ailleurs, il ne faut pas non plus négliger le fait que les électeurs peuvent
refuser de jouer le jeu et se prononcer même à peu d'intervalle pour les
candidats d'orientation différente lors de la présidence et des législatives.
CHAPITRE 3:
Le législatif ou le
parlement.
le 09/10 (séance 4)
I) L'institution.
I.1) Le parlement : membres et compétences.
A) Un parlement bilatéral.
a) l'Assemblé Nationale.
→ 577 députés,
→ Ils sont élus pour 5 ans;
→ Au suffrage universel direct.
b) Le sénat.
→ 348 sénateurs,
→ Elus pour six ans,
→ Au suffrage universel indirect.
B) Un bicaméralisme inégalitaire.
→ Trois rôles du Parlement (art.24 de la constitution)
-"Le Parlement vote la loi;
- Il contrôle les politiques publiques".
Constitution
(Bloc de constitutionnalité)
Traités
(Engagements internationaux
et obligations communautaires)
Lois
(Organiques, référendaires,
ordinaires, ordonnances ratifiés et
décision du président de la République en application de l'art 16C)
Règlements
( Décrets pris en Conseil des ministres,
décrets simples, ordonnances non ratifiées et
arrêtés)
La clé pour comprendre cette pyramide c'est que les règles inférieures doivent
dans un même secteur de compétences ou de matières être conforme ou
compatible aux règles supérieures.
Les traités: c'est-à-dire tous les traités et accords introduit en droit Français :
Engagements internationaux et obligations communautaires.
Les lois: les plus importante: les lois organiques ce sont des lois adoptées par
le Parlement selon une procédure spéciale et son obligatoirement
soumises au contrôle du conseil constitutionnel. Les lois ordinaires sont
votés par le Parlement, les lois référendaire sont adoptés par les
électeurs dans les condition fixés par l'article11. Elles ne sont jamais
soumises au contrôle du conseil constitutionnel.
Les ordonnances: prisent par le gouvernement. Elles ont une valeur de lois
lorsqu'elles ont été ratifié par le Gouvernement.
La procédure législatif
Etape 1: Initiative de la loi.
Premier ministre
Projet de loi
Délibération en conseil des ministres après avis du Conseil d'Etat
→ Tout d'abord les lois organiques, ce sont des lois adoptés par le Parlement,
selon une procédure spéciale. Et sont obligatoirement soumises au contrôle du
Conseil constitutionnel.
Les lois référendaires, sont adoptés par les électeurs dans les conditions fixés
dans l'article 11, elles ne sont jamais soumises au contrôle du Conseil
constitutionnel;
Les ordonnances elles sont prises par le Gouvernement, elles ont une valeur de
loi, lorsqu'elles ont été ratifiées par le Gouvernement.
Les décisions du Président..
→ Les règlements.
2ème rupture: La loi est limité quant aux matière qu'elle peut régir et par les
normes qui peut lui être opposées (la constitution et les engagements
internationaux).
Jusqu'à alors le parlement pouvait voter les lois sans aucune limite.
La France, faisant partit de l'Union Européenne, le législateur est tenue par
des normes communautaires qui sont prioritaires et très nombreuse. L'adoption
de loi dite de transposition appliquant des pos décidés au niveau supra-
étatique (supranational).
La soumission de la loi au droit supranational puisque les traités ratifiés ont
dès leurs publication une autorité supérieure à celle des lois sous réserve de
réciprocité mais demeure inférieur à la Constitution.
Le Conseil d'Etat à considéré la supériorité des directives sur le droit interne
même sous mesure de transposition et même si le délais de transposition est
déchu.
«Sens caché» (Daniel Gaxie) impôt qui était payé pour le droit de vote, se
présenter à une élection.
A)Âge et sexe.
1er constat : Âge: 0,35% des députés ont moins de 30ans, quant aux 20-
30ans ils représentent 12,4%.
On peut voir que l’expérience po accumulée au fil des années est une donnée
essentielle pour pénétrer les hémicycles nationaux (pour rentrer au parlement).
Les sénateurs sont en moyenne plus âgés que les députés, la moyenne d'âge
des Députées est 55ans en 2007, des Sénateurs: 62ans. De plus, il y a plus de
sénateurs qui ont été députés ou ministres que l'inverse. 18,4% des sénateurs
ont été députés auparavant et 5,7% ont été ministre auparavant cela confirme
la théorie selon laquelle le sénat constitue l'aboutissement d'une carrière
politique.
Le cumul des mandats est une spécificité Française qui c'est fortement
accentué au cour de la 5ème République.
Il y a deux façons de cumuler:
Dans le temps; ¼ des sénateurs occupent leurs postes depuis 1998 et 16%
depuis 1995.
Chapitre 4:
Les professionnels de la politique.
Introduction:
Max Weber, dans «Le savant et le politique»: «il y a deux façons de faire de la
politique. Ou bien on vit pour la politique ou de la politique. Cette opposition
n'a absolument rien d'exclusif».
Vivre pour la politique: vocation.
Vivre de la politique: renvoyer au côté financier.
A partir de cette question là, on fait la différence entre amateur (de) et
professionnel (pour).
Qui gouverne ?
Degré de démocratisation :
-Démocratisation sociologique : elle renvoie à l'hypothèse d'une évolution
vers une meilleure représentativité sociale du personnel politique. Le modèle
(l'idéal type) de la démocratie serait l'exacte coïncidence entre la structure des
représentants et la structure de la société globale. Exemple: s'il y a 50% de
femmes dans la société il y aura 50% de femmes dans l'assemblée. Théorie:
représentant un échantillon de la population. Ce n'est pas le cas.
Notables:
→ Jouissent situation économique favorable (financer les campagnes avec leurs
argents).
→ Jouissent d'une situation sociale, estime sociale: connue/ reconnue.
Max Weber.
Opposition entre ceux qui tiennent leur élection de ce qu'ils sont (les
notables) et ceux qui tiennent ce qu'ils sont de leur élection (les
professionnels).
La fin des notables en question. S'appuyer sur les travaux d'Eric
Phelippeau sur le baron Mackau.Les politiciens républicains (c'est-à-dire les
news professionnels) sont les héritiers des notables ils se sont appropriés des
savoir faire expérimenté et su-systématiser par des notables par exemple le
courtage des intérêt locaux.
Les notables vont aussi s'adapter.
La frontière entre notable et professionnel continu à ce brouiller les notables ne
disparaissent pas d'un coup, on assiste d'avantage a des phénomène de
conversions
Pour Roberto MICHELS: c'est toujours une oligarchie qui gouverne dès lors
qu'il y a une organisation.
Pour eux c'est une élite qui détient le pouvoir, ces auteurs remettent en
cause l'idéal démocratique.
Deuxième débat tend à partir des 60's autour de la question de savoir si on
peut parler d'une élite homogène ou d'élites. D'un côté on considère que le
personnel politique n'est pas a seule élite mais que toutes les élites sont
homogènes.
Charles WRIGHT MILLS (1969): les élites formeraient une classe dirigeante
unifiée assemblant trois catégories (politiciens, chefs des grandes entreprises
et chefs militaires.
Les libéraux sont d'avantage portés a mettre l'accent sur le pluralisme des
élites et parmi eux:
Robert Dahl : l'élite n'est pas unique. Les élites varient selon les secteurs: «
polyarchie ».
Il montre à l’échelle local que le politicien leader économique et notable
sociaux n'ont pas des intérêts convergents, les leader économique sont un
groupe parmi d'autre, seuls les politiciens peuvent intervenir dans tout les
secteurs.
L'accès aux grands corps est très précoce (entre 23 et 28ans): «élites
adolescentes» (Jean Michel EYMERI).
Le registre local : il faut ici témoigner d'un encrage dans un territoire en
montrant sa connaissance des territoires, son implantation ou encore son lien
avec la base.
Ces différent rôles qui composent au quotidien l'activité d'un homme politique
ne sont pas assumés simultanément. Ils peuvent même s'avérer contradictoire
entre eux. Toute la difficulté du métier politique est de concilier des rôle
différents face à des publics hétérogènes.
C'est la Constitution autour des élus de staffs de collaborateurs, ces différents
collaborateurs vont aider ds les différents registres.
Vivre de la politique:
Max Weber relève un problème essentiel, soit l'activité politique est considéré
comme une activité bénévole, elle favorise alors ceux qui ont des ressources
personnelles suffisantes pour en assumer les risques. Soit on cherche à
démocratiser l'activité publique, ce qu'il suppose l'instauration d'une
rémunération afin de favoriser l'accès de ceux qui en sont démunis. Si on
cherche à démocratiser l'activité public ce qui suppose l'instauration d'une
rémunération afin de favoriser l'accès de ceux qui en sont démunis. C'est ce
qu'on appelle d'indemnité parlementaire. L'activité politique devient alors une
activité spécialisé exercée par des hommes qui vivent pour la politique.
B) Le cumul de mandats.
Le cumul des mandats est une pratique qui favorise la concentration des
mandats électifs dans les mains d'un plus petit nombre d'élus.
(cumul financier)
Chapitre 5:
Les partis politiques.
Le 16/10 (séance 6)
Une organisation complète qui a permis de couvrir tout le territoire cela signifie
qu'un parti
politique ne saurait se réduire à un groupe parlementaire ni à un comité
électoral autrement dit un parti politique doit entretenir des rapports
réguliers entre ces échelons locaux et nationaux.
Une organisation qui a vocation à prendre et exercer le pouvoir . Ce critère
permet de distinguer les partis politique des groupes d’intérêt ou
syndicats qui visent à prendre en compte leur revendications par les
détenteurs du pouvoir mais non à l'exercer.
Ce sont les analyses qui spécifient les partis selon la forme prise par les
organisations.
La typologie originelle de Maurice DUVERGER:
Jean CHARLOT:
«parti d'électeurs» l'UNR comptait peu d'élus locaux et n'avait pas la force
militante du parti communiste il y avait pour lui 3 types de partis les
partis de notables, les partis de militants, le parti d'électeurs.
Stein considère qu'à l'origine des partis on retrouve un conflit social profond les
partis politiques sont alors perçus comme des vecteurs de médiation de ce
conflit.
Les partis politiques tentent d'apporter une réponse à ces conflits par un projet
mobilisateur
→ Le premier clivage centre /périphérie:
La Révolution Nationale (17/18 ème siècle).
Le second clivage est le clivage l'Etat église:
La Révolution industrielle ( 18 /19 siècle).
Les systèmes partisans: ensemble formés par les interactions plus au moins
conflictuelles des unités
partisanes