Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
SOMMAIRE
INTRODUCTION............................................................................................................................2
CONCLUSION................................................................................................................................3
BILBLIOGRAPHIE.........................................................................................................................4
INTRODUCTION
Le droit en générale est basé sur le principe de la preuve, c’est-à-dire que tout ce que l’on peut
La preuve par écrit résulte d'une suite de lettres, caractères, chiffres ou de tous autres signes et
symboles dotés d'une signification intelligible, quel que soient leur support et leurs modalités de
transmission. Elle constitue donc un mode de preuve qualifié de préconstitué parce qu’établi au
moment même de l’acte qu’il faut prouver et donc in tempore non suspecto. Celui-ci présente
ainsi l’intérêt de ne pas être susceptible d’altération (contrairement au témoignage) ni
d’imprécision (contrairement aux présomptions). (voy. infra). De ce fait, ce procédé de preuve lie
le juge : il n'a aucun pouvoir d'appréciation.
On distingue trois catégories de preuve littérale : l'acte sous seing privé, l’acte authentique et
l’acte contresigné par un avocat. (Attention au terme : "acte". Il signifie ici "écrit").
L'acte sous seing privé est l’écrit qui, contenant un acte juridique, comporte la signature des
parties et non de celle d'un officier public. C'est la seule condition de forme requise par la loi. Le
support est indifférent et la signature n’est plus nécessairement manuscrite. L'acte sous seing
privé tire sa force probatoire de la signature des parties. Néanmoins, si l'écrit n'est signé, la
jurisprudence a décidé que le juge peut néanmoins le retenir à titre de commencement de preuve
par écrit.
2. Les actes authentiques
L'acte authentique est celui qui a été reçu par officiers publics ayant le droit d'instrumenter dans
le lieu où l'acte a été rédigé, et avec les solennités requises. L’acte authentique à une force
probante très importante. On ne peut remettre en cause ce document, sa sincérité que par la
procédure de l’inscription en faux.
L'inscription de faux est une procédure visant à vérifier si l'acte montré au tribunal est un faux. Si
cela aboutit, la valeur de l'acte est alors nulle mais par contre si la procédure n'aboutit pas, celui
qui l'a intentée risque le versement de dommages-intérêts et d'une amende.
téléphone portable car leur auteur ne peut ignorer qu’ils sont enregistrés par un appareil
récepteur.
CONCLUSION
BILBLIOGRAPHIE