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LIENS
par
Michel ROBERT
CONCEPTION ET REALISATION
D'UN GRANULOMETRE A SEDIMENTATION
Jury
C. HUMBERT Président
R. ROUX Examinateur
P. BUI,ZY Il
R. HUSSON Il
J. RAGOT Il
M. AUBRUN, Rapporteur
AVANT-PROPOS
PLA N
Pages
INTRODUCTION 1
II. LE CAPTEUR 19
1. Approche théorique du phénomène de sédimentation 19
1.1. Loi de Stockes 19
1.2. Autres études de ce phénomène 22
2. Le granulomètre 25
2.1. Généra lités 25
2.2. Fonctionnement 25
2.3. Principe de mesure 27
2.3.1. Le densimètre 28
2.3.2. Mesur~ de température 31
V. CONCLUSIONS ET PERSPECTIVES 73
ANNEXE 1
MESURE DE DENSITE PAR ABSORPTION DES RAYONNEMENTS GAMMA 75
ANNEXE II
CONDUITE DE PROCESSUS EN TEMPS REEL 77
BIBLIOGRAPHIE 85
- III -
- campagnes de mesures.
1. Généralités
2. Méthodes directes
- la durée du tamisage.
- la méthode d'agitation.
- la quantité de produits à tamiser.
la présence de fines particules.
la forme des grains.
- la dureté du produit: le tamisage broie les particules friables.
3. Méthodes indirectes
B Bouchon de vidange
c
C Bouchon
D Embout
T Tube plongeant au
fond de l'élutriateur
~Sens de circulation
du fluide
o
3.2. ,-------------
Sédimentation
- Méthode de la pipette
Sor l'le
- Bac
Tube
rayon
c::J CJ Détocteur f--
Convertisseur
(Concentration de
l'mtensilé rayons X)
X
c:::J CJ
fente Fenle
Entrée
1 1
Si9~AI
concnnlratlon
relative
1 1
Enregistreur XN
Translateur
digital de
position 100
1
Signai
positionnement
bac
0>
'--- B
.
c
.>u
0
Ci
'~,
a. 0
50 5 0,5 Il m
Pompe dimension particules
Interrupteur
de 1
taux
1
1
1
1
1
Al imcntation --tt::tJt:-ff5i
Plan local
• H------I
-_-...,.--f.,t.-•·..
•
• ••
monochromatique lumifleu~
• .. .
Y J
/
~~':.~Iaires
Intensité lumineuse
..... ~ ....
~'-
Rolaling
Compumask
Fi •• d Optical Pholo·Delector
Sample ..... S.clOI Filler
Disk
d'après Leeds
& Northrup
S.mple Cell
L.s.,
Dr.ln
Digital Processor
VOU/CRTI 0
LASER
NORMAL STIRRER
PARTICLE
d'après Malvern
INPUT
/:
,.1
OUT
ALTERNATIVE
OPTIONAL INPUTFROM
RECIRCULATION EXTERNAL INDUSTRIAL
FOR STUOIES Of PARTICLE PRO CESS
SIZE VARIATION WITH TIVIE
Po
"D4part-aM'lt"du compùur
Pipette Il Il Il équivalent 1
-
Sedigraph a à 100 Quelques minutes Il Il
-
Balance 500 à 1000 Il Il
" +
sédimentation 1
•0 '
/
'00
/
1
1
10·'
.
~ 10. 2
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, --- -----S - RelOU,r OU Cvuranl
principal de pulpe
Cnlroe de la pulpe
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~-.::-:.=.....-==
S1'Ar\UARP
r-:::c.=::::.:..:.:----=~
1I. LE CAPTEUR
( 1)
- R := cI> (Re)
où Reest le nombre de Reynolds de la forme
v . d . Pf
Re:= - - - - -
S n.d 2
=~
4
10
3
10
2
10
10
-1
10
-3 -2 -1 2 3 4 5 6 Re= v d Pt
10 10 10 10 10 10 10 10 10 Il
24
<1> (Re) == Re
24
== - - - - , . - -
v . cl Pf
R == 3 .7r'/1.d.v
3
7r.d 'Pf
De plus mf == 6
3
7r.d.p
mp ==
p
6
où Pp représente la masse volumique de la particule.
Cette formulation suppose que toutes les particules sont de masse volu-
mique identique, ce qui correspond en fait à une pulpe monophasique.
3
7r.d P Pf) . g . 3. 7r. /1 . v . d
----0-' p
Lorsque les particules ont atteint leur vitesse limite de chute vm'
dv
at = D,l'équation (2) donne la relation entre cette vitesse limite de
chute des particules et leur diamètre
~18 . Il . Vru
d = • (pp _ Pf l .-g
Remarque :
~ (Re) ~ 0,4
dv = ( Pp - Pf)
dt Pp
2
3 vm
d'où d = Ta . g .( Po - P. )
p f
v = - 3 Il /2 + ~ 36 Il 2/ d2 + 3. Pf ( Pp - Pf) . g2 . d/2
(9/4) P
f
RUBEY (1933) (19) combina les lois de Stockes et de Newton en une équa-
tion longtemps considérée comme universelle.
- 23 -
90
80
70
60
40
30
20
10
2. Le granulométre
- Cet appareil doit également être "ro buste" afin de résister à l'agres-
sivité du milieu.
MINERAI
~
_ ,_ - - - - -- - .... 6
L. _ _
--- 7
- - 8
5
4
Toutes ces particules tombent avec la même vitesse. On peut donc consi-
dérer que cet écran se déplace verticalement, à vitesse constante, devant le
densimètre ; lorsque la particule, qui était initialement située le plus haut
passe devant le densimètre, on peut dire que toutes les particules de taille
supérieure ou égale à elle sont déjà sédimentées.
-w -
Densimètre
1 1
2.3.1. Le densimètre
R èg 1age
du zéro
- Alarmes
avec a = 573
b =- 322 10- 1
c = 208 10- 3
d = 705 10- 6
1.6
'"
\
,\
\
1.5 \
t
\
t
1.4 ,
'\
\.
1.3
1.2
1.1
\\, "'\
~
1.0 ''\,
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.9
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- ......
..........
----~ .
•3
Il
---.--------h_._. ~ () (
Cl
o 10 20 30 40 50 60 70 80 90
1. Introduction
Dans chacune de ces tranches nous avons rassemblé une masse de quelques
kilogrammes de sable de Fontainebleau ou de scheelite, minerais de densité
2,65.
- 24 entrées analogiques
- 8 sorties analogiques
- 32 entrées numériques
32 sorties numériques
- temps partagé
- traitement par lots
- temps réel utilisateur
- remplissage en eau,
- homogénéisation de la pulpe,
- acquisition des mesures,
- impression et stockage sur disque des résultats caractéristiques d'un
essai.
manipulation
\..... cs',. T#,.rtlwnr ./
opérateu r
l
Dic32
1" 1
Inigra
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1 Auptio
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1 1
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~ Coordi
Stop
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M esur
Traite
\ 1
Tesvol
1
1 1 1 1
------ Resgra 1
nombre de tranches,
numéros des tranches,
. masse par tranches,
temps de pompage,
période d'échantillonnage.
. remplissage de la colonne,
homogénéisation de la pulpe,
prise de mesure,
arrêt de la manipulation et traitement des données.
Ces 100 points sont stockés dans un fichier contenant toutes les carac-
téristiques de tous les essais effectués. A ces mesures de densité s'ajoutent
une détermination de la température et de la viscosité du fluide de sédimen-
tation.
- 39 -
Nous avons effectué un nombre d'essais tels qu'ils nous ont permis de
déterminer l'influence des paramètres suivants:
3.2. Résultats
---------
pour ce faire, nous avons analysé les variations du signal densité, liées
à la température et relevées en fin de sédimentation, lorsque toutes les par-
ticules se sont déposées.
ESSAI HUMERO : -2331
REALISE LE 19-10-1982
ECHANTILLON GRAHULOMETRIQUE:
1 1 1 1 1
1 TRAHCHE 1 MASSE PAR TRANCHE 1 % PAR TRANCHE 1 CUMULE PASSANT 1
1 1 1 1 1
-------------------------_ .. _------------------------------------------------------
1 0- 74 1 \j 1 0.000 1
(1. (}(}o 1
1 74- 83 1 c) 1 0.000 1 i,).OOO 1
1 SS- léS 1 0 1 0.000 1 0.000 1
1 105- 125 1 0 1 0.0':)0 1 O.Oc)!) 1
1 125- 14'3 1 0 1 ().ooo 1 O.OÔ() 1
1 14'3- 177 1 100",) 1 33.333 1 33.333 1
1 177- 210 1 1000 1 33.333 1 $6.667 1
1 210- 250 1 0 1 0.000 1 66.667 1
1 25 i, ) - 297 1 0 1 0.000 1 66.667 1
1 297- 35() 1 1 Ô 0 t) 1 33.333 r 100.000 1
1 35(}- 420 1 0 1 0.000 1 100.0\)0 1
1 420- 5( 1) 1 i) 1 () . 0 ,~)() 1 11>.:).000 1
1 500- 59() 1 0 1 o.o()O 1 !(li.). Q()O 1
1
1
1
590- 715
715- 840
B4':)-1 (lOO
1
1
1
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1
1
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(>.000
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1
1
1
1()0.OOO
1ùO.OOO
100.0')0
1
1
1
1 10(>0-1189 1 r.) 1 O.O':)ô 1 li)O.Où<) 1
---------_._----------------------------------------------_._-----------------------
TEHPERATURE----25.130 c.
VISCOSITE----- 0.387 CP
~
o
YALEUR 100%---- 8681.00 Tableau 111.2. - Tableau résumant les caractéristiques
YALEUR 0%------ 5489.00
d'un essai de sédimentation
d (v)
lO'rr
a -------------------------..
Il '
pompage
2 U 1 of t {min)
o 2 3 4
Figure 111.3. - Variation de la densité en fonction du temps lors de la sédiment~tion d'un échantillon
~
de 3 kg de sable .....
- 42 -
9 250-297 1, 2, 2.7 5, 5, 4 8
3 88-105 9 5 35
10 297-350 1, 1.6 5, 5 38
11 350-420 1, 2 5, 5 44
12 420-500 1, 2, 3 5, 5 57
12 500-590 1, 2, 2.4 5, 5, 5 63
14 590-715 1, 2 5, 5 65
15 715-840 1, 1.7 5, 5 72
d20i =a . J + b
.I:l 1 1 I i i e(·C )
o 10 20 30 40
....o
0
0 N
en "0
,0)
....+J
III
~
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45
---------------r
ZV"
o
dO = a x "J" + 0x b + c
avec c = 3797.8
b = - 22.003
a = 10.396
3.2.3.. Phénomène
- - - - - de
- - vieill
- - - issement
- - - -
L'étude de nos résultats nous a conduit a observer en 72 jours une dérive
du signal représentatif de la dérivée initiale d20 d'environ 800 millivolts~
la plage de mesure s'étendant entre 2500 et 9000inillivolts, soit une variation
de 12~3 %.
100
90
ao
70
60
50
40
30
20
10
o 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50 mm
dH = a P + b
avec a = 1. 248
b = 3606.805
d<V>
10 nr-
2 Il ' ~ P (kg>
o 2 3 4 5
8= 20°C
J = 50
P = 3 kg
Tous les essais résultant de cette campagne de mesure ont donc subi cette
transformation et nous ont donc permis d'élaborer un modèle mathématique sus-
ceptible de représenter la sédimentation par tranche granulométrique indépen-
dante.
La méthodologie globale que nous avons mise sur pied consiste à modéliser
une granulométrie complète à partir de l'information densité de la pulpe en
effectuant une somme pondérée des modèles des tranches élémentaires. Les coef-
ficients de pondération sont représentatifs de la concentration en particule
de la tranche considérée, c'est-à-dire donnent la répartition granulométrique.
Reprenant les essais effectués pour chaque tranche i, nous avons standar-
disé les courbes obtenues afin de ramener ces variations de densité à l'intérieur
d'une plage fictive 0,1. De plus nous avons orienté l'axe des densités vers le
bas afin de s'imposer une valeur initiale ainsi qu'une dérivée première nulle
à l'origine. Les courbes ainsi transformées présentent donc une dérivée première
continûment croissante entre les valeurs 0 et 1.
Plusieurs modèles différents ont été appliqués à ces mesures afin d'obtenir
une expression mathématique représentative de la sédimentation d'une tranche
granulométrique en nous limitant aux expressions dépendant d'un nombre réduit
de paramètres. Citons en particulier une forme mathématique tirée des travaux
de LYNCH caractérisant la courbe de partage d'un hydrocyclone (26)(27), courbe
qui présente une similitude avec celles observées dans notre application:
-ex t
f (t) = e 1· -1
0,2. t 0,3
e + e -2
Tranche a ex <P
1 2
3 6.87 99.4 07
4 7.04 55.52 03
5 8.24 33.43 03
6 14.24 89.44 05
7 15.33 49.44 . 03
8 16.45 29.44 . 02
9 17.34 19.44 05
10 16.34 9.44 03
11 18.72 9.44 02
12 20.01 9.44 02
13 21.30 9.44 04
14 25.59 9.44 03
15 26,21 9.44 04
Ca variable ~
caractérise l'écart quadratique moyen entre valeur prédite
par le modèle et valeur vraie
De plus, nous avons également étudié les fonctions dérivées des courbes
"modèles" de sédimentation. Ces fonctions dérivées présentent toutes un maxi-
mum qui nous a semblé être un "po int caractéristique" de la sédimentation
d'une tranche granulométrique. La figure 111.13 donne une représentation de
ces fonctions dérivées, normées de sorte que la valeur maximum soit 1.
Cette deuxième campagne de mesure avait pour but la mise au point d'un
algorithme permettant de déterminer la granulométrie d'un échantillon quel-
conque de minerai.
VI
(1J
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56
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--- •••-
o Il..........; l , . 1 ~ ternin)
o 2 3
(.Tl
-.....1
Figure 111.14. - Courbe obtenue lors de la sédimentation d'un échantillon de minerai constitué de
20 % de la tranche 14
80 % de la tranche 4
d
o 1k::J . . . . . el t(min)
o 2 3
Figure 111.15. - Courbe obtenue lors de la sédimentation d'un échantillon de minerai constitué
de 5 tranches granulométriques consécutives
U1
co
- 59 -
4.2. ~!gQr!!b~~_9~_r~~b~r~b~_9~~_~Q~r~~Q!~g~~_~~r_!r~~~b~~
gr~~~IQ~~!r!g~~~_9~~~_~~_~~b~~!!!!Q~_g~~!~QQg~~
mathématiquement par :
n
o(t) = E (3.f.(t)
1 1
i=l
où 0 (t) représente la fonction "var iation de densité"
Les points, que nous avons désignés sous le vocable "po ints caractéris-
tiques" (page 54) de la sédimentation d1une seule tranche granulométrique,
nous permettent d1approcher les valeurs réelles des pourcentages véri-
,
tables ~. des différentes tranches constituant lléchantillon, par des valeurs
~
,
rative de ces mêmes coefficients~. ; la courbe o(t) étant représentée en
~
Remarques
Recherche des
des n Bi1 pàr lecture
des valeurs ùUX points
caractêristiques
Construction de la
courbe
A n A
Recherche de
l'erreur
Jème êtape
"
Test si l'erreur est
inférieure à un
certa in seui 1
1 •
Correct1on des BiJ
Fin
.,....
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'".
r-4
~==~o
OJ
~
:::J
01
i.:
- 63 -
- tranche >840 microns: une simple différence entre la valeur 100 %et
la somme des différents pourcentages calculés précèdemment permet de définir
la contribution de cette tranche.
Notons que le temps de calcul est relativement court, moins d'une minute
avec le calculateur SOLAR 16-40. Ce temps de calcul devrait être équivalent
lors de l'implantation de cet algorithme sur le microprocesseur.
4.3. Résultats
15 a 2.8
14 a 2.9
13 0.8 a
12 2.5 a
11 7.1 4.4
la 9.1 12
9 13 7
8 7.4 12.9
7 22.2 17.1
6 18.2 22.9
5 16.2 15.4
4 2.5 2.0
3 2 a
2 2 a
Il appara,t que, dans ce cas, l'écart maximum entre les résultats donnés
par tamisage et ceux obtenus à l laide de notre méthode, est de 6 %. La répéti-
tion d'essais de ce type nous permet de dire que 1 erreur maximale est de 10 %.
1
25
20
15
10
o l'''''''''II"''"!!!II"! tailiell-lm)
o 500 590 840 1000
10S 149 210
. à l'aide du granulométre
- 66 -
- départ de la manipulation.
- prise de lléchantillon.
Granulomètre Imprimante
Microprocesseur
Echantillonneur Affichage
Calculateur
de conduite
du processus
- dêroulement de la manipulation.
Bloqueur
lensi té f0-
Convertisseur r-.
l-
f-
Multiplexeur numérique l-
Fil tre r-.
......
f-
- fin de la manipulation.
D'autre part, un mode de fonctionnement local est prévu afin qu'un opé-
rateur puisse contrôler la bonne marche de l'appareil par l'intermédiaire
d'un clavier implanté sur la face avant de l'appareil.
2. Contraintes d'utilisation
1: ni
"" .
4
-
"'-
.""
.. ..
[J
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D
"-
..
CJ 0
Il .
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V. CONCLUSIONS ET PERSPECTIVES
ls
~--------------~
i
1
F~-w""",~~~--,;}-~""'''''-'~~
i -------------------------------------
~
lt~-: -~:«=::~-.~~ ~ ~
po m pa ge
1
1
1
2
1
3 4
1 1
5
• t (min )
Figure V.l. - Signaux délivrés pat' deux capteurs de pression~ lors de la sédimentation d'un échantillon -....:
-+0
de 3 kgs de sable
ANNEXE 1
(25)
- 75 -
1 - 1 - c·p.x
r - i e
Les trois types de radiation émise par des radioisotopes sont les
suivants
N = No exp (- À 7)
(30)(31)
- 77 -
1. PERIPHERIQUES SPECIALISES
o
....... c/v I--tlo---t p 4- T t---~--I~>---I CAN I---:~ _ _
v/
1
Logique de commande
C/V convertisseur courant tension par passage du courant dans une résis-
tance de précision de 500 ohms! 0,1 %.
+ 15
ov
- 15
T transfert capacitif.
0----
Vers circuit de
proteotion et
amp Zifioateur
l'----'--~I--"'---
REL 1 REL 2
~aractêristiq~
,.-----r-----------.+.co----.
AZimentation externe
24 VoZts zo
D
- 80 ....
fiZtrage
sortie
mise en TTL
forme
Re et Oz définissent
le courant consommé,
le seuil de liaison pour l I;mmunité au niveau zéro.
o: protection.
II. _.__
LE SYSTEME
---- TEMPS REEL
.
Dans le temps, une même tâche peut être exécutée dans différentes par-
titions, plus précisement dans le sous-ensemble des partitions décla-
rées accessibles à cette tâche par l'opérateur.
Au moment de son activation, une tâche non présente est chargée, depuis
le disque, dans une partition qui lui est accessible avec son image
initiale.
Elle est produite sur disque par l ·ut;lisat;on des processeurs (compi-
lateur, éditeur de liens, etc ... ) ; elle est mise sous contrôle du système
"temps réel" par l'opérateur.
Au niveau externe, elle est identifiée par son numéro d'appel. L'opéra-
teur lors d'interventions en ligne, ou d'autres tâches lors de requêtes pro-
grammêes, font référence à ce numéro.
non prête: la tâche est éligible, mais le système doit réaliser une
action supplémentaire avant de la lancer (la charger en mémoire si
elle nlest pas présente; attendre qu'elle soit validée si elle est
inhibée).
Notons que les tâches de très grandes dimensions peuvent être fraction-
nées par la technique cie "lloverlay".
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