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Thème :
Dédicace
III
ABSTRACT
IV
RÉSUMÉ
Liste des abréviations
V
VI
Liste des figures
Introduction général
Chapitre I : Généralités
I.1 Introduction
I.2 Historique du projet Arduino
I.3 Définition de la carte Arduino
I.4 Présentation générale de module Arduino
I.5 Présentation générale de module Arduino
I.5.1 Arduino UNO
I.5.2 Arduino Nano
I.5.3 Arduino Due
I.5.4 Arduino Mega 2560
I.5.5 Arduino Leonardo
I.6 Arduino nano
I.6.1 Définition
I.6.2 Alimentation de la carte nano
I.6.3 Mémoire
I.6.4 Entrées et sorties
I.6.5 Les caractéristiques techniques générales de l’Arduino Nano
I.6.6 Reset
I.6.7 Fonctionnement de la carte Arduino Nano
I.6.8 Les avantages de l’Arduino Nano
I.7 Le module GSM800l:
I.7.1 Définition
I.7.2 Montage
I.7.3 Les AT commandes (Commandes Hayes):
I.7.4 Caractéristiques techniques
X
I.8 Conclusion
Introduction générale XI
Chapitre I:
Généralités sur
Arduino
I.1 Introduction:
Le système Arduino donne la possibilité d'allier les performances de la programmation à celles
de l'électronique. Plus précisément, pour programmer des systèmes électroniques. Le gros
avantage de l'électronique programmée c'est qu'elle simplifie grandement les schémas
électroniques et par conséquent, le coût de la réalisation, mais aussi la charge de travail à la
conception d'une carte électronique.
Arduino est un circuit imprimé en matériel libre sur lequel se trouve un microcontrôleur qui peut
être programmé pour analyser et produire des signaux électriques, de manière à effectuer des
tâches très diverses comme la domotique (le contrôle des appareils domestiques - éclairage,
chauffage…), le pilotage d'un robot, etc.
Les possibilités des cartes Arduino sont énormes, un grand nombre d’application ont déjà été
réalisée et testées par bon nombre d’internautes.
Dans ce chapitre nous allons voir une présentation générale du système Arduino Nano,et aussi un
aperçu, bref du module GSM 800l
Un microcontrôleur est un petit ordinateur confiné dans un unique circuit intégré (une puce). Il
constitue un excellent moyen pour programmer et pour contrôler des équipements électronique.
Il existe une grande variété de telles cartes à microcontrôleur, certaines des plus utilisées sont la
platine Wiring, le PIC, le Basic stamp et bien sur Arduino. [3]
Entre autres, les cartes Arduino sont équipées de connecteurs standardisés pour brancher des
modules compatibles appelés ‘shields’. Ces derniers sont des circuits d’une taille plus ou moins
semblable à celle de l’Arduino et qui viennent s’empiler sur ces connecteurs. Ils proposent des
extensions matérielles qui permettent d’ajouter des fonctionnalités originales à son projet. En
plus de ces connecteurs, les cartes possèdent toutes une connectique USB permettant de
programmer facilement le microcontrôleur qu’elles embarquent. Arduino propose en plus
gratuitement un environnement de développement intuitif avec lequel la création de programmes
est simple, même pour les débutants. De plus, cet environnement est compatible avec les
principaux systèmes d’exploitation : Windows, Mac OS et Linux. [4]
Arduino UNO
Arduino Nano
Arduino Due
Arduino Mega
Arduino Leonardo [5]
L’Arduino Nano est essentiellement un Arduino UNO réduit, ce qui le rend très pratique pour les espaces
restreints et les projets pouvant nécessiter une réduction de poids chaque fois que cela est possible,
comme le modélisme ou des projets DIY portable.
Comme l’UNO, le Nano est alimenté par un processeur Atmega328 fonctionnant à 16 MHz,
comprend 32 Ko de mémoire programme, 1 Ko d’EEPROM, 2 Ko de RAM, 14 entrées-sorties
numériques, 6 entrées analogiques et des rails d’alimentation 5V et 3,3V.
(Remarque – Les cartes Arduino Nano antérieures à la V3.0 utilisaient l’ATmega168, qui
correspond essentiellement à la moitié des spécifications.
Contrairement au système UNO, le Nano ne peut pas se connecter aux platines de prototypages.
Les cartes Arduino Nano sont souvent l’option de carte Arduino la moins chère, ce qui les rend
rentables pour les grands projets. [5]
L’Arduino Due est l’une des cartes les plus grandes et la première carte Arduino à être alimentée
par un processeur ARM.
Alors que l’UNO et Nano fonctionnent à 5V, la DUO fonctionne en 3,3V – il est important de le
noter, car une surtension endommagerait irrémédiablement la carte. Alimenté par un Cortex-M3
ATSAM3X8E cadencé à 84 MHz, le Due dispose de 512 Ko de ROM et de 96 Ko de RAM, de
54 broches d’E / S numériques, de 12 canaux PWM, de 12 entrées analogiques et de 2 sorties
analogiques.
La DUE n’a pas de mémoire EEPROM intégrée et est l’une des cartes Arduino les plus chères.
Bien que le Due dispose d’un grand nombre d’en-têtes de broches pour la connexion aux
nombreuses E / S numériques, il est également compatible avec les broches Arduino standard.
[5]
L’Arduino Mega est un peu similaire au Due en ce sens qu’il dispose également de 54 E /
S. Cependant, au lieu d’être alimenté par un cœur ARM, il utilise plutôt un ATmega2560.
PhotoI.5.4.1: Arduino Mega2560
Elle peut se programmer avec le logiciel Arduino. Le contrôleur ATMega32u4 permet la gestion
du port, ce qui permet d’augmenter la flexibilité dans la communication avec l’ordinateur. [5]
:I.6.3 Mémoire
L’ATmega328P a 32 Ko, (également avec 2 Ko utilisé pour le bootloader) L’ATmega328P à 2
Ko de SRAM et 1 Ko d’EEPROM. [7]
Chacune des 14 broches numériques du Nano peut être utilisée comme entrée ou sortie, en
utilisant les fonctions pinMode (), digitalWrite () et digitalRead (). Les entrées sorties
fonctionnent en 5 volts. Chaque broche peut fournir ou recevoir un maximum de 40 mA
(attention au courant cumulé) et dispose d’une résistance de pull-up interne (déconnectée par
défaut) de 20-50 kOhms. [7]
Série : 0 (RX) et 1 (TX). Utilisé pour recevoir (RX) et transmettre (TX) des données
série TTL. Ces broches sont connectées aux broches correspondantes de la puce série
FTDI USB-TTL.
Interruptions externes : 2 et 3. Ces broches peuvent être configurées pour déclencher
une interruption sur une valeur basse, un front montant ou descendant ou une
modification de valeur. Voir la fonction attachInterrupt () pour plus de détails.
PWM : 3, 5, 6, 9, 10 et 11. Sortie PWM 8 bits avec la fonction analogWrite ().
SPI: 10 (SS), 11 (MOSI), 12 (MISO), 13 (SCK). Ces broches prennent en charge la
communication SPI, qui, bien que fournie par le matériel sous-jacent, n’est pas
actuellement incluse dans le langage Arduino.
LED 13 : Il y a une LED intégrée connectée à la broche 13 numérique.
Reset : passez cette ligne à LOW pour redémarrer le micro-contrôleur. habituellement
utilisé pour rajouter une fonction ou un bouton de reset directement sur les
shields/modules.
AREF. : Tension de référence pour les entrées analogiques. Utilisé avec
analogReference.
Entrées analogiques : La carte dispose pour cela de 8 entrées, repérées de A0 à A7 , qui
peuvent admettre toute tension analogique comprise entre 0 et 5 V.
o Pour mesurer des tensions supérieures a 5 Volts il faut équiper l’entrée d’un pont
diviseur.
o Les broches analogiques 6 et 7 ne peuvent pas être utilisées comme broches
numériques. De plus, certaines broches ont des fonctionnalités spécialisées .
o Pour mesurer des tensions analogiques les cartes Arduino contiennent un
convertisseur analogique-numérique (A/N). Ce convertisseur a une résolution de
10 bits, renvoyant des résultats de mesure sous forme d’entiers de 0 à 1023. [7]
Microprocesseur : ATMega328
Mémoire flash : 32 ko
Mémoire SRAM : 2 ko
Mémoire EEPROM : 1 ko
20 broches d’entrées et sorties, dont 6 broches PWM et 6 broches d’entrées
analogiques 10 bits
2 broches uniquement d’entrée analogique 10 bits
Courant par entrées-sorties : 40 mA
Fréquence d’horloge : 16 MHz
Bus série, I2C et SPI
Gestion des interruptions
Prise USB : mini-USB B
Boîtier DIL30
Dimensions : 45 x 18 x 18 mm
Poids : 5 g [8]
I.6.6 Reset:
La reset est une fonction physique permettant au microcontrôleur, comme son nom l’indique, de
réinitialiser son état. Un microcontrôleur exécute en effet les instructions contenues dans sa
mémoire de manière cyclique et infinie. Il n’est ainsi pas rare, notamment lors de la conception
de son circuit et infinie. Il n’est ainsi pas rare, notamment lors de la conception de son circuit,
que le programme soit soumis à une erreur bloquant le bon déroulement du programme. La
fonction reset permet alors d’interrompre le programme et de le remettre à zéro. Il est possible
d’effectuer cette même opération en coupant et en remettant le courant sur la carte Arduino. Lors
de sa mise sous tension, elle commencera toujours par reprendre le programme du début, ce qui
équivaut donc à une réinitialisation. Il est toutefois plus aisé d’utiliser cette fonction reset
matérialisée sur la carte par un bouton poussoir. [4]
I.6.7 Fonctionnement de la carte Arduino Nano:
Pour fonctionner, la carte Nano a besoin d’être alimentée par une prise mini-USB. Il est
également possible d’utiliser une source d’énergie externe aves les caractéristiques suivantes 6-
20V (pin 30). On peut également se servir d’une source d’énergie externe non régulée à 5 V (pin
25).
Pour la programmer, on peut utiliser le logiciel de programmation libre de droits disponible en
téléchargement et mis à disposition par Arduino.
Arduino Diecimila
Duemilanove ou Nano w/ ATmega16
Arduino Duemilanove ou Nano w/ ATmega328 »
Il faut noter que le microcontrôleur ATmega328 de la carte Arduino Nano bénéficie d’un
bootloader. Celui-ci assure le téléchargement de nouveaux codes sans pour autant solliciter un
programmateur matériel supplémentaire. Toutefois, il existe une solution qui permet de se passer
du bootloader afin de programmer le microcontrôleur grâce au connecteur In-Circuit Serial
Programming. [8]
Taille
Comme mentionné un peu plus tôt, l’Arduino Nano est la version réduite ou simplifiée de
l’Arduino Uno. Elle possède pratiquement les mêmes fonctionnalités que son aînée. La
différence notable se situe au niveau du port USB. La connexion au PC se fait à l’aide d’un câble
micro-USB. Du fait de sa taille, la Nano s’avère un outil très utile et pratique pour les débutants
en programmation ou pour ceux qui souhaitent faire de la programmation par pur loisir. Sa taille
minime est un véritable atout pour les professionnels qui souhaitent réaliser des projets
nécessitant la conception de systèmes légers. [8]
I.7.2 Montage:
Ce module nécessite une alimentation entre 3,4V et 4,4V. L’alimentation 5V de l’Arduino ne lui
convient donc pas. Pour contrer ce problème d’alimentation, on ajoute une diode 1N4007 entre
le 5V de l’Arduino et le pin VCC du SIM800L. Le SIM800L nécessite un pic de courant
d'environ 2A. Le reste du branchement est détaillé ci-dessous. La pin reset doit être relié au 3,3v
de l'arduino.
PhotoI.7.2.1: connexion du module GSM avec Arduino
Il faut également insérer votre SIM dans le compartiment prévu à cet effet sur le module, comme
montré dans la photo ci-dessous. Le sens d’insertion de la carte SIM dans le module à son
importance. La carte SIM doit être une micro SIM. [9]
Vous pouvez envoyer ou recevoir des SMS, passer ou recevoir un appel, récupérer des données
HTTP en entrant directement dans le moniteur série les commandes nécessaires. [9]
I.8 Conclusion:
Dans ce chapitre, nous avons présenté le principe de fonctionnement et les caractéristiques de la
carte Arduino.
Aussi aussi un aperçu sur le module GSM 800l.
Références bibliographiques
[1] Le grand livre d’Arduino, Erik Bartmann, 3eme édition , ISBN: 978-2212137019.
[2] Floss manuals, licence GPLv2, Dakar (Sénégal),19 au 23 octobre 2011.
[3] Arduino pour les nuls, John Nussey, 2e édition.
[4] Nicolas GOILAV Geoffrey LOI «Arduino» (page12,15).
[5] http://domotics.fr/index.php/2019/02/25/les-differentes-cartes-arduino/
[6]https://www.robot-maker.com/shop/arduino-officielles/107-arduino-nano-officiel-107.html
[7] https://www.redohm.fr/2018/02/arduino-module-arduino-nano/
[8]https://www.arduino-france.com/review/arduino-nano-avantages-inconvenients-utilisation-et-
fonctionnement/
[9] https://letmeknow.fr/shop/fr/blog/94-tuto-module-gsm-sim800l-prise-en-main