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Fight contre l’autosabotage, gagnez le combat !

Hazel Gale

Nous menons tous des combats intérieurs, ceux-là peuvent avoir des effets
néfastes et rendre nos vies plus difficiles qu’elles ne devraient l’être. Nous avons
tous la capacité de changer grâce aux ressources dont nous disposons. Il suffit
simplement de savoir comment les exploiter. Notre cerveau a des capacités
stupéfiantes, bien plus qu’un ordinateur très haut de gamme. Chaque jour nous
avons environs 50 000 pensées qui défilent à une vitesse de 400 km/h, soit plus
vite qu’une McLaren ! Et ce sont autour de 70% de ces pensées qui sont
négatives. Ce qui rend notre cerveau si puissant c’est sa capacité de stockage
quasi-illimité. Il nous permet d’avoir de nouvelles idées grâce aux nouvelles
connexions qu’il génère.
première partie: La perception
Il y a deux parties dans notre cerveau, l’une consciente qui s’occupe de tout ce qui est logique, calcul, et
l’autre inconsciente qui traite les images, les émotions, les souvenirs ect… Ce sont les pensées
inconscientes qui dictent nos réactions et nos comportements émotionnels. Pour transformer notre vie,
le désir de changer doit être présent non seulement au niveau conscient mais également au niveau
inconscient. Et comme chacun parle un langage différent il est nécessaire de comprendre le langage de
l’inconscient, à savoir la visualisation créative.
Notre esprit peut modifier l’information brute qu’il perçoit de l’extérieur de plusieurs façons. Il peut
la tronquer et lui ajouter des choses bien avant que nous en prenions conscience. La perception de la
réalité est vue par notre propre “cartographie de monde” composé de nos croyances, nos valeurs, mais
aussi d’anciens mécanismes de survie que l’on a accumulé pendant notre existence. Remettre en
question cette cartographie est la première étape pour changer de vie. Sans cela, notre inconscient
tentera de maintenir sa réalité et nous mettre dans une situation d’inconfort.
Le capitaine et son équipage
La partie consciente de notre cerveau peut être comparé au capitaine d’un navire, il est arrogant et
prompt à récolter les éloges des efforts qui pourtant on été accompli par autre que lui: l’équipage.
L’inconscient c’est cet équipage, c’est lui qui en réalité contrôle le navire et le fait naviguer vers telle ou
telle direction. Il est responsable de nos sensations et est largement responsables de nos agissements.
Selon plusieurs études 90 % de nos comportements sont régi par notre inconscient. En d’autre terme nous
choisissons seulement 10 % de nos actions, les autres sont automatisés, c’est comme si nous étions en
pilotage automatique.
La réalité subjective
L’inconscient peut gérer entre 2 et 11 millions d’informations (alors que le conscient ne peut en gérer
qu’entre 5 et 9). Pour faire cace à cette immense quantité d’information notre inconscient va utiliser nos
systèmes de croyances pour filtrer ce que nous percevons. C’est ainsi que l’on revient tout le temps à
des choses qui nous sont familières, mais cela n’est pas toujours à notre avantage. Notre esprit efface, tord
et généralise automatiquement l’information entrante pour qu’elle s’adapte à notre système de croyance.
Les pensées limitatives, le coeur de l’autosabotage
Parmi les choses auxquelles nous croyons, il y a des croyances qui nous limitent, ceux sont celle-ci qui
sont problématiques. Elles affectent de manière négative notre façon d’appréhender l’avenir et limite la
perception que l’on peut avoir de nous même. Les pensées limitatives sont des idées toutes faites et
restrictives qui nous habites. Elles sont négatives et sont souvent émise à propos de nous même, et nous
les considérons malheureusement comme vrai.

C’est durant l’enfance qu’elles commencent leur construction dans notre esprit. À cette période de notre
vie où nos émotions sont exacerbés, nous vivions dans un système binaire (soit c’est super génial, soit
c’est très horrible) et l’on prend tout personnellement (si il y a un évènement heureux, c’est forcément
grâce à nous, et si c’est un évènement malheureux, c’est forcément à cause de nous). Reconnaitre les
pensées limitantes et les remettre en cause est important car elles sont au coeur même de nos plus
intenses auto-sabotages.
Le monstre
Le monstre c’est cette partie de notre inconscient qui dirige notre vie vers une destination que l’on
ne choisit pas. Cette partie de notre personnalité croit dure comme fer à nos pensées limitatives. On en
a honte et l’on ne veut ni l’aimer ni l’accepter. Nous avons naturellement l’envie de combattre ce côté de
notre personnalité qui nous conduit à la douleur. Mais un principe est à prendre en compte, “tout ce à
quoi l’on résiste persiste “. Plus nous essayons de combattre, nier ou éviter ce qui nous gène, plus notre
monstre grandit. En fait l’auto-sabotage est perçu par notre inconscient comme une solution et il
continuera à agir ainsi jusqu’à ce que l’on s’en rende compte et que l’on passe à l’action.
La honte et la peur du rejet
Quand ils nous racontent leur histoires limitatives, nos monstres agitent une peur. Par exemple lorsqu’on
regarde une publicité sur un produit minceur, à la vue d’une silhouette ultra fine et parfaite, c’est là que le
sentiment de honte fait surface, en se sentant “moins” ” pas assez”. C’est la peur d’être déconnecté des
autres qui conduit à la sensation de honte. “Pas assez” mince, “pas assez” beau, “pas assez” qualifié
“pas assez” ceci ou cela… Cette peur de n’être “pas assez” couvre une peur bien plus douloureuse, celle
d’être privé d’amour, de respect, d’attention. Ainsi l’idée de nier nos monstres ou d’en oublier les
effets prend place dans notre esprit de manière assez logique. Mais les méthodes de résistance
habituellement employé comme les drogues, la procrastination, l’évitement, la colère ect.. ne font
qu’amplifier la problématique. Ces mauvaises stratégies que nous employons pour résister au sentiment
de honte sont très souvent des moments d’autosabotages.
Les souvenirs réactualisables
Lors d’évènement traumatisant, notre cerveau retient le souvenir que l’on a eu de la situation en vue
de nous protéger de toute autre attaque similaire dans le futur. Cela correspond également avec la
naissance de nos montres car c’est à ces moments précis que nous avons appris pour la première fois à
croire aux pensées limitantes.
La zone d'(in)confort
Notre inconscient a dû mal à effacer nos pensées limitantes ainsi que nos souvenirs réactualisables car
il pense qu’ils sont important pour notre survie. Pour que le monde dans lequel nous vivons nous paraisse
plus familier, notre inconscient va en modifier notre perception en répétant les comportement
négatifs. La zone de confort, celle où l’on est et l’on se sent en sécurité se révèle être une zone
d’inconfort puisqu’en définitive on ne s’y sent pas si confortable que ça.
Les motivations ou valeurs
Ce que nous considérons comme important représente nos valeurs. En fonctions de ces derniers, notre
inconscient dirige nos choix comportementaux. Vivre en accord avec ses valeurs est synonyme de vie
épanouie et heureuse. Mais lorsque ce n’est pas le cas nous avons toujours l’impression que quelque
chose ne vas pas.
Les besoins de base et d’évolution
Encore plus important que les valeurs, nous avons des besoins. Ils se déclinent en 6 grandes catégories:
1. Sécurité: respirer, boire de l’eau, se nourrir, avoir un toit, ne pas être menacé, avoir un contrôle sur
soi
2. Variété: besoins de changement, de surprise
3. Reconnaissance: besoin de se sentir important, respecté et apprécié
4. Amour et connexion: le besoin d’aimer et être aimé, établir de forte relation
5. Évolution: avoir la sensation que l’on se développe, que l’on apprend, que l’on progresse
6. Contribution: avoir la sensation d’appartenir à un tout, quelque chose de plus grand soi, auquel on
apporte notre contribution

Les quatre premiers besoins, à savoir la sécurité, la variété la reconnaissance, l’amour et la


connexion représente nos besoins de base. C’est à dire que lorsque l’un d’eux n’est pas satisfait nous
ressentons une sensation de manque. L’évolution et la contribution représentent nos besoins
d’évolution. Ces deux derniers besoins sont en revanche ressentis positivement. Plus ils sont satisfaits
plus ils sont présents. Lorsqu’un de nos besoins de base n’est pas satisfait notre lucidité se voit réduite et
l’on néglige alors les besoins d’évolutions. Satisfaire nos besoins d’évolutions est nécessaire pour notre
épanouissement.
Les scénarios
Dès nos premières années d’existences, nous avons acquis un certain type de croyance. Il s’agit
de croyances conditionnelles prenant la forme de scénarios “cela me va uniquement si …” . Il en existe
5 et chacun d’entre nous se réfère à au moins l’un d’entre eux:
1. Sois parfait “cela me va uniquement si je fais ça bien”
2. Dépêche-toi “cela me va uniquement si je fais les choses vites
3. Fais plaisir aux autres “cela me va uniquement si tout le monde est content”
4. Fais des efforts “cela me va uniquement si je travaille beaucoup
5. Soit fort ” cela me va uniquement si je ne montre pas mes émotions
Le principe de plaisir
Le principe de plaisir est cet instinct que nous avons de nous reculer face à la douleur et la menace, il
s’agit d’un état de protection. C’est également cet instinct naturel que nous avons d’aller vers la nourriture
et la perspective de plaisir, il s’agit d’un état d’évolution.
Les valeurs arrière et avant
Les valeurs arrières ont le pouvoir de nous mettre en état de protection quand notre esprit repère une
menace. L’origine de ces valeurs est souvent la pensée limitative. Les valeurs avant quant à elle nous
mettre dans un état d’évolution quand notre esprit veut nous faire accéder à ce que nous voulons.
Les mirages
Pour résoudre le problème du “pas assez” nous focalisons sur un succès futur, c’est en réalité un mirage,
une vision spectrale et illusoire. Plus ont la poursuit plus la sensation de manque et d’insatisfaction se
ressent. Ils sont en fait de faux amis.
Deuxième partie: Le pouvoir
C’est la sensation de ne pas avoir le contrôle qui est si douloureuse. Afin de sortir la tête de l’eau, la seule
solution est de reprendre le contrôle de nous même et enfin piloter notre destinée.

La victimisation, comment et pourquoi nous nous rabaissons ?


Croire que l’on a pas le choix, se sentir inutile et désespéré, qui n’est jamais tombée dans ce piège ? Dans
ces moments nous renonçons à toute responsabilité. Se sentir victime des autres, des circonstances, des
évènements est nuisible sur le long terme. Cela impact de manière négative notre bien-être et nous
pousse constamment à nous plaindre sans vraiment trouver de solution. En effet, lorsque qu’on
choisit de ne pas prendre le contrôle de la situation, notre esprit finit pas croire que nous ne pouvons pas
le prendre. En réalité, notre corps ne fait que nous envoyez des messages, à travers des émotions, des
symptômes physiques éventuels. C’est son langage pour nous dire que l’on doit faire quelque chose pour
changer.
Plus nos pensées sont répétée plus les connexions dans notre cerveau se renforcent afin de les
automatiser. C’est génial pour les pensées saines, mais il en est tout autre pour les pensées destructrices.
Par exemple, si à chaque difficulté rencontré on se dit que “la vie est nulle” cette pensée sera de plus en
plus facile à déclencher jusqu’à devenir une vérité absolue. C’est comme cela que se construise les
croyances. Notre esprit filtre ainsi la réalité à partir de celles-ci. C’est la raison pour laquelle il est
important d’être conscient de notre façon de penser. Ce que l’on pense concernant l’avenir redéfinit notre
cerveau qui à son tour redéfinit la réalité qu’il nous a créé.
Nous pouvons parfois avoir l’espoir que quelque chose de magique va résoudre nos soucis, mais cela
nous fait adopter la posture de victime et que l’on ne peut rien faire pour changer les choses. On cherche
la solution la plus facile et la plus immédiate, souvent en trouvant quelqu’un à qui faire des reproches. Or
pour avoir la vie dont on rêve il est important de s’éloigner de la posture de victime.
Le triangle du drame
La victimisation prends plusieurs forme. Le modèle psychologique du triangle du drame décrit
l’interaction entre 3 type de victimes: le Persécuteur, le Sauveur et la Victime. Le persécuteur prend le
contrôle en rejetant la responsabilité de la situation sur le sauveur et la victime. Le sauveur sauve la
victime des méfaits du persécuteur, la victime manipule le persécuteur et le sauveur pour que la situation
perdure. Chacun refuse de prendre ses responsabilités, ce qui relie et alimente le sentiment de
chacun. Pour sortir de ce drame à trois il y a une solution: prendre ses responsabilités.
Le lieu de contrôle
A chaque fois que l’on tombe dans le triangle du drame, nous perdons le contrôle en externalisant notre
lieu de contrôle. C’est comme si l’on sous-traitait notre pouvoir. C’est ainsi que l’on tombe dans la
croyance que notre bien être dépend de quelque chose d’incontrolable, comme le destin, la chance, du
contexte des autres. Au contraire, lorsque nous avons un lieu de contrôle intérieur nous savons et
devons déterminer à nous seul la façon de répondre au monde qui nous entour. Nous avons le choix. Les
personnes qui ont un lieu de contrôle intérieur sont plus calme, plus satisfaite de leur vie et ont un plus
grand pouvoir d’action sur leur vie.
Deux questions magiques pour échapper à la victimisation
Afin de savoir si l’on adopte le bon lieu de contrôle voici deux questions à ses poser:
1. Qu’est ce que je peux faire maintenant ?
2. Qu’est ce que je peux créer à partir de tout cela ?
En répondant à ces simples questions on échappe à la victimisation et l’on s’assure ainsi d’adopter un lieu
de contrôle interne.
L’intelligence emotionelle
Pour échapper au conflit intérieur et reprendre le contrôle, nous avons besoin d’un dernier ingrédient:
l’intelligence émotionnelle. Le principe consiste à accueillir nos émotions pour en connaitre la véritable
signification.

Les mauvaises habitudes


Nous sommes habitué à combattre nos émotions au lieu de les accepter et cela rend l’intelligence
émotionnelle plus difficile. Il existe plusieurs manière de résister à nos émotions, par exemple la
victimisation, la drogue, l’évitement et bien d’autres, tous ces moyens nous détournent de nos émotions.
C’est “mauvaises” habitudes sont des mécanismes anciens qui ont été mis en places pour nous aider à
résister. Etant donnée que “tout ce à quoi l’on résiste persiste” au final il ne font plus leur job. C’est ainsi
que cette résistance émotionnelle se termine en autosabotage.
La plongée vers la conscience de soi
Dans l’optique de prendre conscience de soi, ressentir nos émotions et reprendre le contrôle
de notre vie, voici quatre questions puissantes pour nous propulser au fond de soi:
1. A quoi est-ce que je pense ?
2. Qu’est ce que je ressens?
3. Quelle histoire le monstre me raconte t-il ?
4. Avec une profonde respiration se poser la question: qu’est ce que je ferais différemment pour
réécrire l’histoire ?
C’est ainsi que l’on se débarrasse des dernières trace de victimisation, et que l’on devient l’auteur
de sa propre vie

Troisième partie: Le jeu

Pour que le capitaine parle le même langage que l’équipage, il faut construire un lien entre la partie
consciente et la partie inconsciente de notre cerveau. Ce langage commun est l’allégorie. Elle s’appuie
sur la nature métaphorique de notre mémoire.
La puissance de la métaphore
La métaphore à un grand pouvoir de persuasion, elle joue un rôle clé dans la plupart des thérapies. Une
fois que l’on sait construire une métaphore, nous pouvons utiliser le penchant de notre cerveau pour les
équivalences afin de faire des suggestions précises à notre inconscient.

La plongée vers la fluidité émotionnelle


Cet exercice peut prendre plus de temps selon les personnes. Il consiste à introduire des suggestions
métaphoriques dans la plongée vers la conscience de soi. Le but étant d’exercer un contrôle sur nos
sensations. Cela est d’autant plus utile si la réaction de notre inconscient est infondée.

Le récit
Les histoires que l’on se raconte influencent elle aussi notre état d’esprit. Elle nous aide à apprendre.
Raconter une histoire de façon métaphorique permet de faire des suggestions plus poussées à la partie
inconsciente de notre cerveau concernant la façon dont nous voulons agir ou nous sentir.

La timeline et la mémoire métaphorique


La timeline est une cartographie de notre vie sur laquelle on peut déceler les souvenirs clés. Cette
métaphore visuelle du temps va nous aider à reconsolider notre mémoire.

Débrancher vos fils conducteurs


En jouant avec nos submodalités nous pouvons modifier notre état intérieur et réaranger les souvenirs
d’expérience problématique passé. Etablir un ancrage, en utilisant une couleur, afin de réitérer le
message positif à volonté et contrer les moments d’autosabotage.
La plongée vers l’acceptation de soi
Une troisième technique de la plongée nous est présenté. Elle utilise cette fois-ci l’ancrage de la
couleur à l’étape de la respiration finale.

Quatrième partie : Le but


Tout comme dans la troisième partie, Hazel nous livre ici des exercices et outils cette fois pour nous
aider dans notre vie quotidienne. A travers plusieurs défis, nous apprenons comment avancer vers notre
but et rester motiver, comment s’épanouir dans notre vie et éviter les angoisses à force d’être trop focalisé
sur soi. Le but, transformer nos monstres du début en véritable mentor et ainsi mieux nous
accepter.

Conclusion

Afin de comprendre notre vie et de mettre en place les changements nécessaires pour l’améliorer, Hazel
Gale nous invite à explorer notre vie intérieure. Après avoir vu comment nous percevons les choses, et
pourquoi nous les percevons ainsi, alors que d’autres peuvent les percevoir autrement, elle nous apprend
pourquoi nous agissons comme nous agissons. L’idée est de comprendre et d’analyser nos agissements en
vue de mettre en place des changements visibles et durables.
Ensuite, une fois avoir exploré notre monde intérieur, vient la reprise du contrôle. Nous apprenons
comment garder le contrôle, comment se responsabiliser et reprendre le contrôle trop longtemps délégué
aux causes extérieures, nous laissant spectateur de notre vie. En contrôlant ce qui se passe en soi et hors
de soi nous gagnons en maturité. C’est ainsi que l’on arrive à briser les moments d’autosabotage.
Enfin, Hazel Gale nous propose une multitude d’outils et nous lance des défis tout au long de notre
lecture afin de générer des changements inconscients en nous. Elle nous montre comment les appliquer
dans la vie de tous les jours, afin d’avancer vers notre but tout en gardant notre détermination à aller de
l’avant.

Mon avis sur Fight Contre l’autosabotage, gagnez le combat !


J’ai eu un énorme coup de coeur pour ce livre. En fait, fight est bien plus qu’un livre, c’est un livre-outil,
un coach personnel, une source d’inspiration riche de témoignage à commencer par l’histoire
personnelle de l’auteure. Hazel Gale nous invite à réfléchir sur nos problèmes. J’ai été conquise par sa
façon originale d’aborder notre développement personnel. J’ai lu plus d’une vingtaine de livres dans cette
catégorie et vraiment je trouve qu’il sort du lot ! En ce sens je pense qu’il pourrait réconcilier de
nombreuses personnes avec le développement personnel. Avec Fight contre l’autosabotage, gagnez le
combat ! Hazel Gale nous livre un guide pratique pour nous aider à nous libérer et vivre une vie plus
heureuse. Le livre est basé sur la thérapie que l’auteur propose à ses patients, ainsi Hazel Gale nous coach
durant notre lecture. J’ai beaucoup apprécié les petits défis qu’elle nous lance pour nous challenger en
plus des exercices et des techniques de relaxations qu’elles nous partage.
C’est typiquement le genre de livre que j’aurai aimé recevoir en cadeau, c’est pour moi le livre parfait à
offrir, que l’on en ai besoin directement pour résoudre une problématique telles que les angoisses, la
dépendance aux regards des autres, la procrastination, la faible estime de soi, les troubles alimentaires, les
addictions ect…ou tout simplement pour en savoir plus sur le fonctionnement et le fabuleux pouvoir de
notre cerveau. Je trouve le livre complet, on y trouve des outils de PNL, d’analyse transactionnelle, de
psychologie positive ainsi qu’une méthode complète d’auto-analyse basé sur des questionnements afin de
mieux nous connaitre. Mon seul regret est que je n’ai pas eu le temps d’appliquer les exercices. Tout au
long du livre Hazel Gale nous coach avec bienveillance, pédagogie et humilité afin de cultiver notre
potentiel, atteindre le succès, le bonheur et l’harmonie dans nos relations. J’ai lu le livre sur ma liseuse du
coup je ne pouvais pas y noter mes réponses, dessiner ect…. Je pense qu’il faut prévoir un cahier à côté
pour faire les exercices. D’ailleurs l’auteur nous rappel et nous conseille les bienfaits de tenir un journal.
Je trouve que c’est vraiment un livre que l’on doit avoir en format papier, pour prendre des notes dessus,
surligner les passages importants, en clair se l’approprier.
Fight fait partie de ses livres qui peuvent changer une vie, cela ne se fait évidement pas en une seule
lecture. Il est nécessaire de prendre le temps qu’il faut pour appliquer les recommandation de l’auteur. Si
cela a fonctionné pour Hazel, pourquoi pas nous ?
Points forts:
 facile à lire
 idéal pour les personnes qui détestent les livres de développement personnel
 livre-outil avec des défis et des exercices
 espace pour répondre aux questions et faire les exercices (utile seulement pour le format papier)

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