UE.1.

01 PSYCHOLOGIE
PSYCHOLOGIE COGNITIVE : PERCEPTION, ATTENTION ET MEMOIRE

Introduction
Deux notions clés: la notion de système de traitement de l’information et la notion de représentation
mentale;
- Comment la représentation initiale est-elle construite? (Perception, attention)
- Comment la représentations sont-elles mémorisées? (Architecture de la mémoire humaine)
- Comment la représentation sont-elles évaluées? (Jugement,émotion)

Deux notions
cles

Psychologie cogni ve:

percep on, a en on et mémoire

I- Introduc on

Deux no ons clés: la no on de système de traitement de l’informa on et la no on de représenta on

mentale;

- Comment la représenta on ini ale est-elle construite? (Percep on, a en on)

- Comment la représenta ons sont-elles mémorisées? (Architecture de la mémoire humaine)
- Comment la représenta ons sont-elles évaluées? (Jugement, émo on)

II- Percep on et a en on

1) Le modèle de décomposi on- recomposi on

Les processus ascendants « bo om-up » partent des données de

l’environnement et remontant

Les processus descendants « top-down » partent de l’intérieur du système

(buts , connaissance, etc..) et influencent les tratement percep fs

Les concep ons actuelles considèrent que la percep on est hybride: certains
traitements sont ascendants, d’autres descents.

La percep on fonc onne selon un principe de décomposi on du signal entrant, puis recomposi on d’une
image mentale.

La forme est découpée en unités élémentaires généralement appelées « primi ves » ou « traits » .

Des aires cérébrales « primaires » sont spécifiquement dédiées à ces capteurs et à l’extrac on de traits.

Perception et attention
Les processus ascendants « bottom-up » partent des données de l’environnement et remontant

Les processus descendants « top-down » partent de l’intérieur du système (buts , connaissance, etc..)
et influencent les tratement perceptifs

Les conceptions actuelles considèrent que la perception est hybride: certains traitements sont
ascendants, d’autres descents.

La perception fonctionne selon un principe de décomposition du signal entrant, puis recomposition

Le modèle de d’une image mentale.
décomposition-
recomposition La forme est découpée en unités élémentaires généralement appelées « primitives » ou « traits » .

Des aires cérébrales « primaires » sont spécifiquement dédiées à ces capteurs et à l’extraction de
traits.

A partir d’un certain niveau (cognition centrale), les informations multimodales sont intégrées en
représentations « multimodales » ou « amodales »
 UE.1.01 PSYCHOLOGIE
PSYCHOLOGIE COGNITIVE : PERCEPTION, ATTENTION ET MEMOIRE

Le modèle de
décomposition-
recomposition
UE 1.1 Psychologie, sociologie, anthropologie
A par r d’un certain niveau (cogni on centrale), les
informa ons mul modales sont intégrées en représenta ons
« mul modales » ou « amodales »

2) Les recodages successifs: un exemple

- soit le mot « voiture »

- Les images des le res sur le ré ne sont décomposées en traits percep fs
- Les traits sont recomposées en le res
- Les le res sont regroupé en mots
- Les mots sont recodés en sons
- Certains mots sont aussi recodés en image
- Les différents sens de mots sont ac vés
2) Illusions percep on

De nombreuses illusions percep ves spectaculaires sont disponible en ligne

Ces illusions persistent même si on sait parfaitement qu’il s’agit d’illusions (il s’impose à notre conscience)

3) Le cube de Necker

On peut le voir de différentes formes.

On peut décidé de ce qu’on voit (traitement descendant)

- soit le mot « voiture »

- les images des lettres sur le rétine sont décomposées en traits perceptifs
Les recordages
- les traits sont recomposées en lettre
successifs :
exemple - les lettres sont regroupé en mots
- les mots sont recodés en sons
- certains mots sont aussi recodés en image
- les différents sens de mots sont activés
Illusion De nombreuses illusions perceptives spectaculaires sont disponible en ligne
perception Ces illusions persistent même si on sait parfaitement qu’il s’agit d’illusions (il s’impose à notre
conscience)
Le cube de On peut le voir de différentes formes.
Necker On peut décidé de ce qu’on voit (traitement descendant)

Observa􏰀on: nous ne pouvons traiter consciemment qu’un nombre limité d’informations

simultanément (situa􏰀on de conversa􏰀on avec plusieurs personnes par exemple)

Miller (1956): « The magical number seven » (pensée que le nombre d’informations qu’on peut
retenir est du nombre de 7)
Le canal unique
de traitement Broadbent (1958): après la première étape de traitement autorise le parallélisme (traitement en
même temps: « plusieurs analyses, regarder, écouter, être assis » -> inconscient), il y aurait un canal
où le traitement serait séquentiel (contrôle de la conscience).

Le canal centrale est lent et de capside limitée, mais permet les traitements conscients.

L’attention agirait alors comme un filtre séparant les éléments pertinents, des éléments non
pertinents
(Pré-conscience). L’a􏰁en􏰀on traite l’informa􏰀on la plus importante en premier.

Attention Un des enjeux de la sélection des informations pertinentes est la gestion du compromis entre les
endogène et informations internes et externes. (Le système cognitif humain est taillé de manière à survivre.)
attention
exogène Le filtrage ne peut donc être complet: l’effet cocktail-party ( plusieurs petits groupes dans une
soirée, je suis dans un groupe et j’écoute les personnes qui proche de moi; un moment on dit mon
nom dans un autre groupe, mon attention va se focalisé sur autre chose)
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L’attention endogène correspond à la concentration: on fixe son attention volontairement sur

quelque chose.
L’attention exogène correspond à la distraction: un stimulus nouveau et important doit pouvoir être
perçu. (Exemple: télévision, changement d’image toutes les 4 secondes)

Les processus attentionnés règlent les poids relatifs de l’information entrant et de l’information déjà
présente dans le système.
Schneider et Shiffrin (1977): deux façons différentes de traiter l’information.
Exemple: la conduite, la première fois qu’on conduit « il faut changer de vitesse », avec de
l’entrainement ça devient un automatisme.

Les processus contrôlés:

Processus - sont séquentiels
automatiques vs - requirent de l’attention
processus - sont conscients
contrôlés - sont lents

Les processus automatiques (appris ou non):

- sont parallélisables
- ne requièrent que peu ou pas d’attention
- ne requièrent pas d’effort
- sont rapides

Un troisième système régule les différents conflits: les fonctions exécutives

Une définition: La perception est l’ensemble de processus conduisant à incorporer les stimuli issus
de l’environnement dans la représenta􏰀on mentale

Ce qu’il faut retenir:

Résumer - Certains traitements de ce processus sont ascendant et automatiques, d’autres
descendants et contrôlables
- Les traitements périphériques (proches des capteurs) sont plutôt ascendants et
s’enchainent de façon modulaire
- Les processus proches de la représenta􏰀on mentale sont plutôt hybrides
- L’attention gère le compromis entre l’information entrante et l’information déjà présente

Mémoire: connaissances et représentation

La psychologie cognitive est la psychologie du traitement de l’information.

La mémoire est la fonction générale qui assure l’acquisition, le maintien et l’accessibilité ultérieure
Introduction au de l’information dans les système.
thème de la
mémoire La rémanence rétinienne: Mémoire et oubli, deux faces d’une même fonction

Les différents processus ne traitent pas la même information.

Les différents traitements ont des échelles temporelles très diverses.
Il faut donc non pas UNE mémoire mais PLUSIEURS TYPES de mémoires.
Le déclin de la Il existe une mémoire à durée de réten􏰀on plus longue que 500ms... mais ce􏰁e mémoire est-elle
trace à court unique?
terme Expérience de la vie quo􏰀dienne: les numéros de téléphone
Peterson et Peterson ont montré que les informa􏰀ons quine peuvent pas être répétées mentalement
persistent très peu de temps en mémoire à court terme: au bout de 18s, il ne reste presque rien.
La question de Empan mnésique: le nombre d’items (d’élément)dans une série qui peuvent être rappelés sans erreur
la capacité de la et dans l’ordre de présentation.
MCT
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PSYCHOLOGIE COGNITIVE : PERCEPTION, ATTENTION ET MEMOIRE

On évaluuait ini􏰀alement l’empan à 7 -/+ 2 éléments indépants (miller, 1956)

Miller avait observé que le regroupement (« chunking ») permet de contourner cette limite.

Mais la MCT utilise un codage phonologique comme le montre l’effet de longueur de mots: l’empan
est sensible à la longueur des mots.

Conclusion: La vitesse de prononciation et nombre de chunks influent sur la mesure des capacité
des MCT.

La structure de On évaluuait ini alement l’empan à 7 -/+ 2 éléments indépants (miller, 1956)
Miller avait observé que le regroupement (« chunking ») permet de contourner ce e limite.

la mémoire a
Mais la MCT u lise un codage phonologique comme le montre l’effet de longueur de mots: l’empan est
sensible à la longueur des mots.

Conclusion: La vitesse de prononcia on et nombre de chunks influent sur la mesure des capacité des MCT.

4) La structure de la mémoire à long terme

long terme

5) MLT et connaissances

Défini on: les connaissances sont les les contenus de la mémoire à long terme.

Remplacement par urne concep on « reconstruc on » de la mémoire

Définition: les connaissances sont les les contenus de la mémoire à long terme.

On évaluuait ini alement l’empan à 7 -/+ 2 éléments indépants (miller, 1956)

Miller avait observé que le regroupement (« chunking ») permet de contourner ce e limite.

Mais la MCT u lise un codage phonologique comme le montre l’effet de longueur de mots: l’empan est
sensible à la longueur des mots.

Conclusion: La vitesse de prononcia on et nombre de chunks influent sur la mesure des capacité des MCT.

4) La structure de la mémoire à long terme

5) MLT et connaissances

Défini on: les connaissances sont les les contenus de la mémoire à long terme.

MLT et
Remplacement par urne concep on « reconstruc on » de la mémoire

connaissance

Remplacement par urne conception « reconstruction » de la mémoire

On évaluuait ini alement l’empan à 7 -/+ 2 éléments indépants (miller, 1956)

Miller avait observé que le regroupement (« chunking ») permet de contourner ce e limite.

Mais la MCT u lise un codage phonologique comme le montre l’effet de longueur de mots: l’empan est
sensible à la longueur des mots.

Conclusion: La vitesse de prononcia on et nombre de chunks influent sur la mesure des capacité des MCT.

4) La structure de la mémoire à long terme

5) MLT et connaissances

Défini on: les connaissances sont les les contenus de la mémoire à long terme.

Remplacement par urne concep on « reconstruc on » de la mémoire

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PSYCHOLOGIE COGNITIVE : PERCEPTION, ATTENTION ET MEMOIRE

Le 6) Le fonc onnement de la MLT

fonctionnement
de la MLT 7) Modèle de répé on mentale

8) Résumé

- Percep on et mémoire sont des processus complexes, imbriqués et conduisant à construire une
représenta on de la situa on présente

- Les connaissances sont contenues en mémoire à long terme

- La représenta on est contenue en mémoire de travail

- Une fois construite une copie de la représenta on peut être enregistrée en MLT comme
nouvelle connaissance

IV- des émo ons à la décision

1) L’émo on comme object d’étude scien fique

Six (des sept) émo ons de bases: Joie, colère, chagrin, dégoût, peur, surprise, mépris Certains

comportements faciaux sont universellement associés à des émo ons

Modèle de
répétition
mentale
6) Le fonc onnement de la MLT

7) Modèle de répé on mentale

8) Résumé

- Percep on et mémoire sont des processus complexes, imbriqués et conduisant à construire une
représenta on de la situa on présente

- Les connaissances sont contenues en mémoire à long terme

- La représenta on est contenue en mémoire de travail

- Une fois construite une copie de la représenta on peut être enregistrée en MLT comme
nouvelle connaissance

IV- des émo ons à la décision

1) L’émo on comme object d’étude scien fique

Six (des sept) émo ons de bases: Joie, colère, chagrin, dégoût, peur, surprise, mépris Certains

comportements faciaux sont universellement associés à des émo ons

- Perception et mémoire sont des processus complexes, imbriqués et conduisant à construire une
représentation de la situa􏰀on présente
Résumé - Les connaissances sont contenues en mémoire à long terme
- La représentation est contenue en mémoire de travail
- Une fois construite une copie de la représentation peut être enregistrée en MLT comme nouvelle
connaissance

Des émotions à la décision

L’émotion Six (des sept) émotions de bases: Joie, colère, chagrin, dégoût, peur, surprise, mépris Certains
comme object comportements faciaux sont universellement associés à des émotions
d’étude
scientifique
Émotion/ affect: état émotionnel transitoire
Humeur: état émotionnel pouvant persister de quelques heures à quelques jours

Divers travaux montrent que l’humeur cons􏰀tue un déterminant majeur de l’interprétation.

Loi de signification situationnelle:
- Les émotions changent lorsque les situations sont interprétées différemment
Humeur et - Les structures signifiantes sont connectées à des formes de préparation à l’action.
émotions
La loi de l’intérêt: Les émotions surviennent en réponse à des évènements importants pou rles buts ,
motivations ou centres d’intérêts du sujets;

Loi de réalité apparente: les émotions sont d’autant plus fortes que les évènements déclencheurs
sont jugés réels
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PSYCHOLOGIE COGNITIVE : PERCEPTION, ATTENTION ET MEMOIRE

Loi du sen􏰀ment comparé: l’intensité de l’émotion dépend de la relation entre l’évènement et un

cadre référence qui sert à la comparaison (ex: du tarin raté)
Effets des Effet de cadrage :
propriétés de la Les problèmes sont équivalents mais les sujets préfèrent une option à l’autre selon la situation dans
situation de laquelle ils sont placés
décision
→ les préférences de préexistent pas chez les individus, elles sont construites au cours du processus
décisionnel
Utilisation de L’heuristique de représentativité :
processus On va juger la proba de qqch en fonction de la compatibilité de la façon dont on se représente les
heuristiques choses, et non sur des proba mathématiques

Vieillissement : augmentation de l’espérance de vie et du nombre de personnes âgées

Santé publique
→ implication sur les système de santé
→ impacte les ressources socio-economiques

Enjeu sociétal Dans les pays dev: l’enjeu majeur est de maintenir la vitalité, la résilience et la santé des personnes
âgées, leur bien être

→ vieillissement réussi = bien vieillir, avoir une vie normal, anticiper les modifications et les
difficultés que le vieillissement implique

Définition vieillissement
Le vieillissement est un processus naturel, physiologique, génétique, environnemental, s'imposant à
tous les êtres vivants à distinguer des effets des maladies.

Processus naturelle (implique évolution au long de la vie)

Vieillissement → changement physiologiques
→ changements psychologiques
→ transformation de la structure et des fonctions de l’organisme au long de la vie
→ ait d’acquisition et de perte
(apprendre a marcher puis perte capacités motrice )
Processus complexe
→ facteurs génétiques
→ facteurs environnementaux
La vieillesse → OMS (60-65 ans)
C’est un état

Vieillissement : quelles modifications

Visions Diminution progressive de la quantité de lumière parvenant à la rétine/ temps d’adaptation à
l’obscurité de plus en plus long
Cette modification a des conséquences:
 ralentissement dans l’accomplissement de tâches visuelles
 difficulté dans le traitement des informations en mouvement
 sensibilité plus accrue aux informations visuelles non pertinentes (chute, difficulté à
conduire,
lecture...)
Diminution de l’acuité auditive/ difficulté avec les sons à haute fréquence Cette modification a des
Audition conséquences:
 problème de compréhension des informations
 trouble du contrôle moteur
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PSYCHOLOGIE COGNITIVE : PERCEPTION, ATTENTION ET MEMOIRE

Sensibilité → seuils de détection plus élevés ( la PA va toucher un plat chaud mais ne va pas le sentir
cutanée totalement)
(=permet de situer mon corps par rapport à l’environnement)
Proprioception Ne perçois moins les vibrations
Conséquences: chute, équilibre
Modèle du vieillissement cognitif. Chez les personnes âgées, réduction de l'asymétrie
hémisphérique dans le cortex préfrontal pendant la réalisa􏰀on de tâches cognitives, et notamment
Zones cérébrales au cours de tâches de mémoire, par rapport aux sujets jeunes. Ce phénomène traduirait des
tentatives de compensation de difficultés cognitives par les adultes âgés
(=Lorsque l’on vieillit les zones concernés par certaines tâches ne suffisent plus il faut mobiliser
d’autres zones)
Voyons 2 cas :
socio-affectif  Reste seul (svt) donc perte interactions social, entraîne effet négatifs, anxiété...
 Entraîne une certaine sagesse changement positifs car meilleur régulation des émotions,
effet de positivité

Vieillissement : modification des ressources cognitives

Cognition: savoirs, doutes, interrogations, représentations « les individus pensent»=> activité mentale

Psychologie cognitive: reflexion scientifique sur les mécanismes de pensées des individus
- comment on acquère les infos → acquisition
- comment on les stocke → stockage
- comment on les transforme → transformation
- comment on les utilise → utilisation

Comment on fait pour percevoir des formes variés? (voir premier cours psychologie cognitives)
Comment apprend-t’on à parler, à écrire, à utiliser des objets? (pareil)
Pourquoi retenons nous certaines infos et en oublions d’autres?(idem)

Vieillissement cognitif : objetif généraux

Décrire et comprendre les changements cognitifs avec l’âge
ex: une PA connais encore par coeur un evênement de son enfance mais connais pas le président actuel

⇒ fondamental: proposer un modèle général de la cognition

⇒ appliqué: maintenir voire prolonger le niveau d’autonomie en particulier des personnes âgées (faire capture d’écran
p 21 diapo)

Quels modèle d’études de la cognition?

Théorie du traitement de l’information

 processus mental appréhendé en le comparant aux opérations d’un ordinateur
 interprété comme la progression d’informations à l’intérieur d’un système
 progression=étapes depuis les stimuli jusqu’à la réponse
( si je vois mal le traitement va être mal fait ensuite)

Objectifs spécifiques
→ transformations dans le système de traitement de l’information

Nos ressources cognitives se modifie en fonction du contexte

ex: Si je suis très motivés pour un concours je vais me􏰁re en place des choses faire pour y arriver, si il a pas le
concours au bout ça va être plus difficile de se metire à travailler. On a une capacité à apprendre en masse mais il nous
faut une certaine motivation pour exploiter cette capacité.
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PSYCHOLOGIE COGNITIVE : PERCEPTION, ATTENTION ET MEMOIRE

Méthodes d’études

UE 1.1 psychologie cogni ve 2/2 CM

V) Vieillissement cogni f: objec fs généraux

Décrire et comprendre les changements cogni fs avec l’âge

ex: une PA connais encore par coeur un evênement de son enfance mais connais pas le président actuel

⇒ fondamental: proposer un modèle général de la cogni on

⇒ appliqué: maintenir voire prolonger le niveau d’autonomie en par culier des personnes âgées (faire
capture d’écran p 21 diapo)

Quels modèle d’études de la cogni on?

Théorie du traitement de l’informa on

• processus mental appréhendé en le comparant aux opéra ons d’un ordinateur
• interprété comme la progression d’informa ons à l’intérieur d’un système
• progression=étapes depuis les s muli jusqu’à la réponse
( si je vois mal le traitement va être mal fait ensuite)

VI) Objec fs spécifiques

→ transforma ons dans le système de traitement de l’informa on

Nos ressources cogni ves se modifie en fonc on du contexte

ex: Si je suis très mo vés pour un concours je vais me re en place des choses faire pour y arriver, si il a pas
le concours au bout ça va être plus difficile de se me re à travailler. On a une capacité à apprendre en
masse mais il nous faut une certaine mo va on pour exploiter ce e capacité.

VII) Méthodes d’études

Comment étudier/comparer la psychologie cogni ve PA/jeunes?

Méthode transversale Méthode longitudinale

- effets de cohorte -mortalité expérimentale
- effets de santé -effets de sélec on
étude comparaison PA/jeunes en même temps étude comparaison PA/jeunes en suivant les deux
groupes dans le temps

Stockage et info - acquisi on - u lisa on connaissances

ex:avec la pra que d’un instrument de musique au bout d’un moment certains accord devienne innée.

Avec l’âge modifica on posi ve et néga ve

impact néga ve peut être liés à des difficultés de santé

VIII) Approche d’étude du vieillissement cogni fs

Plusieurs approche, bcp de processus:

3 principales:
• analy ques > e fonc ons cogni ves (effet direct de l’âge sur les différentes fcts cogni ves)
• globale > mémoire de travail, contrôle exécu f, vitesse de traitement (accent sur certaines
ressources cogni ve)
• mul factorielle > style de vie ( act pro, act de loisirs, act physique…) ( accent sur l’environnement)

Stockage et info - acquisition - utilisation connaissances

ex:avec la pratique d’un instrument de musique au bout d’un moment certains accord devienne innée.

Avec l’âge modification positive et négative

impact négative peut être liés à des difficultés de santé

Approche d’études du vieillissement cognitifs

Plusieurs approche, bcp de processus:

3 principales:
 analytiques > 􏰁tte fonctions cognitives (effet direct de l’âge sur les différentes fcts cognitives)
 globale > mémoire de travail, contrôle exécutif, vitesse de traitement (accent sur certaines
ressources cognitive)
 multifactorielle > style de vie ( acttipro, act de loisirs, act physique...) ( accent sur l’environnement)

Mémoires
=mémoire qui nous permet de traiter des infos pour les utiliser immédiatement
Composante mnésique impliquée dans le maintien actif et immédiat de l’information lors des
différentes tâches cognitives
→ boucles pholologique (preservée)
→ visio spatial

De travail Effet de l’âge obs’ sur les tâches suivantes:

- empan verbal (retenir une suite de mots)
-empan spatial
-empan de configurations manuelles
-empan de gestes symboliques
-empan de chiffres
empan (=restituer infos dans l’ordre donnée)

=systeme de mémoire à long terme

-composante de la MLT (mémoire long terme)
-informations contextualisées: (ou, quand, comment)
-Différents processus étudiés (encodage, consolida􏰀on, récupéra􏰀on)

Episodique Plusieurs tâches pour tester (mémorisa􏰀on liste de mots...)

Effet de l’âge sur les tâches de :
- rappel libre
- rappel différé

Résultats mitigés pour la reconnaissance

-pas d’effet
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PSYCHOLOGIE COGNITIVE : PERCEPTION, ATTENTION ET MEMOIRE

=systeme de memoire à long terme mais different de episodique quand même -composante de MLT
(memoire à long terme)
- connaissances et savoirs des mots (ex: pomme (je ne sais pas quand j’ai appris ce mot)
-culturellement partagée
-acquisse

Effets sur l’âge:

Mémoire → plusieurs tâches pour tester ( eval culturelle)
sématique → test de synonymies (faire relations entre differents mots)
→ test de vocabulaire (def) #epreuves

Performances normales:
→ tâches de synonymie
→ tâches de vocabulaire
→ classification

Cependant, diminution de la production verbale :

→ fluence verbale, def, dénomination
→ difficultés des transferts analogique
Concerne l’apprentissage et le stockage des connaissances liées aux savoirs faire
- jouer du piano
Mémoire -conduire
procédurale -puzzle
-lecture
composante automatique
performances normales: tâches de complément, apprentissage procédurale, habileté de lecture en
miroir et/ou des mots dégradés
→ Acquisition et main􏰀ens des connaissances relatives à la forme, couleur, taille, etc.
Système de (caractéristiques perceptible et sensorielle)
représentations → Accès non conscient
perceptibles → Système pré-sémantique
!! pas d’effet de l’âge!!

Résumé :
 mémoire de travail → manipuler infos
 mémoire épisodique → complexité de la tâche
 mémoire sémantique → accès/ac􏰀va􏰀on ralentie
 mémoire procédurale → procédures apprises