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INSA DE LYON 2009-2010 Qu 17. F = P ∈ R5 [X] deg(P ) > 2 avec E = R5 [X], l’ensemble des
VRAI FAUX
polynômes à coefficients réels de degré inférieur ou égal à 5.
QCM d’algèbre linéaire
Qu 18. F = R avec E = R.
VRAI FAUX
Il peut parfois y avoir plusieurs réponses correctes, on les cochera toutes. Il peut aussi n’y avoir aucune réponse valable.
Tous les espaces vectoriels considérés sont des espaces vectoriels sur K = R ou C.
Familles libres, liées, génératrices, bases, dimension
Soit E un espace vectoriel sur K de dimension finie, soit B = (v1 , v2 , . . . , vn ) une famille de n
Espaces vectoriels
vecteurs de E et soit vn+1 un vecteur de E qui n’est pas dans B.
Dans ce qui suit, j désigne un entier entre 1 et n.
Qu 1. Est-il possible qu’un espace vectoriel possède exactement :
Qu 19. Si B est libre, alors B \ {vj } est libre.
VRAI FAUX
0 élément 1 élément 2 éléments une infinité d’éléments
Qu 20. Si B est liée, alors B \ {vj } est liée.
VRAI FAUX
Qu 2. Un espace vectoriel de dimension finie possède un nombre fini
VRAI FAUX
d’éléments. Qu 21. Si B est liée, alors B \ {vj } est libre. VRAI FAUX
Soient E un espace vectoriel sur K, F , G et H trois sous-espaces vectoriels de E. Qu 22. Si B est libre, alors B ∪ {vn+1 } est libre. VRAI FAUX
Qu 3. F ∩ H est un sous-espace vectoriel de E.
VRAI FAUX
Qu 23. Si B est liée, alors B ∪ {vn+1 } est liée.
VRAI FAUX
Qu 4. F ∪ H est un sous-espace vectoriel de E. VRAI FAUX
Qu 24. Si aucun des vi (pour 1 ≤ i ≤ n) n’est combinaison linéaire des
VRAI FAUX
autres, alors B est libre.
Qu 5. F + H est un sous-espace vectoriel de E.
VRAI FAUX
Qu 25. Si les vi (pour 1 ≤ i ≤ n) sont non colinéaires 2 à 2, alors B est VRAI FAUX
Qu 6. Si E = F ⊕ G et E = F ⊕ H alors G = H. VRAI FAUX
libre.
Qu 7. Si dim F + dim G = dim E alors F et G sont supplémentaires. VRAI FAUX Soient E un espace vectoriel sur K muni d’une base B = (e1 , e2 , e3 ) et V1 = 2e1 + e2 − e3 ,
V2 = −e1 + 2e2 + 5e3 et V3 = 5e2 + 9e3 des vecteurs de E.
Qu 8. Si E = F ⊕ G et si x ∈
/ F alors x ∈ G. VRAI FAUX
Qu 26. La famille (V1 , V2 ) est libre.
VRAI FAUX
Qu 9. Le complémentaire de F est un sous-espace vectoriel de E.
VRAI FAUX
Qu 27. La famille (V1 , V2 , V3 ) est libre.
VRAI FAUX
Qu 10. E = F ⊕ F où F désigne le complémentaire de F dans E. VRAI FAUX
Qu 28. Cocher les cases correspondant à des bases de E :
Qu 11. Si dim F = dim G = 2 et F ∩ G = {0E } alors dim E > 4. VRAI FAUX
(V1 ) (V1 , V2 ) (V1 , V2 , V3 ) (V2 , V3 ) (e1 , V2 , V3 )
Qu 12. Si E = R5 et dim F = dim G = 3 alors F ∩ G 6= {0E }.
VRAI FAUX
On se place dans l’espace vectoriel E = R3 [X] des polyômes de degré inférieur ou égal à 3.
Dans chacun des cas suivants, dire si l’affirmation « F est un sous-espace vectoriel de E » est Cocher les cases correspondant à des affirmations vraies.
vraie ou fausse.
Qu 29. La famille B1 = (1 + 3X, X + X 2 , 3X + X 3 ) est :
Qu 13. F = (x, y, z) ∈ R3 3x + 2z = 0 et x + y = 0 avec E = R3 .
VRAI FAUX
libre génératrice de E une base de E ni libre, ni génératrice
Qu 14. F = (x, y, z) ∈ R3 x > 0 avec E = R3 .
VRAI FAUX
Qu 30. La famille B2 = (2X + X 3 , −2X + X 3 , −1 + X 2 , 1 + X 2 ) est :
Z 1
Qu 15. F = P ∈ R[X] P (t)dt = 0 avec E = R[X]. VRAI FAUX libre génératrice de E une base de E ni libre, ni génératrice
0
Qu 16. F = P ∈ R[X] P + P ′ = 1 avec E = R[X].
VRAI FAUX
1 2
Qu 31. La famille B3 = (−1, 7 + X, X − 3X 3 , 2 + X 3 , 5 − X + X 3 ) est :
Qu 46. S’il existe une base B telle que f (B) soit une famille libre, alors :
libre génératrice de E une base de E ni libre, ni génératrice f est injective f est surjective f est bijective on ne peut pas savoir
Qu 32. La famille B4 = (−1, 3 + X, 5 + 4X 2 , 2X 2 , X + X 2 + X 3 ) est :
Qu 47. S’il existe une base B telle que f (B) soit une famille liée, alors :
libre génératrice de E une base de E ni libre, ni génératrice f est injective f est surjective f est bijective on ne peut pas savoir
Applications linéaires Qu 48. S’il existe une base B telle que f (B) soit une famille génératrice de F , alors :
f est injective f est surjective f est bijective on ne peut pas savoir
Soit f l’application de R2 dans R3 définie par : f (x, y) = (2x + y, x − y, x − y).
Qu 33. Alors f est :
Qu 49. S’il existe une base B telle que f (B) soit une base de F , alors :
une application linéaire un endomorphisme un isomorphisme un automorphisme f est injective f est surjective f est bijective on ne peut pas savoir
Qu 34. Ker(f ) est :
{(0, 0)} Vect((1, 1)) Vect((2, 1, 1), (1, −1, 1)) Matrices
Qu 35. f est :
injective surjective ni l’un ni l’autre bijective
0 2 −1 1
Qu 50. Le rang de B = est égal à : 1 2 4 8
Qu 36. Im(f ) est : 0 −1 −1 0
Soient E un espace vectoriel, f et g deux endomorphismes de E : Soient E = R3 muni de sa base canonique B et f un endomorphisme de E.
Qu 39. Si f (g(x)) = f (y) alors g(x) = y.
VRAI FAUX 0 0 1
Qu 53. La matrice A = 1 0 0 est inversible.
VRAI FAUX
Qu 40. Si (e1 , . . . , en ) est une famille libre de E, alors (f (e1 ), . . . , f (en )) VRAI FAUX 0 1 0
est une famille libre de E.
0 0 1
Qu 41. Si (f (e1 ), . . . , f (en )) est une famille libre de E, alors (e1 , . . . , en ) VRAI FAUX Qu 54. La matrice de f par rapport à B donnée par Mf = 1 0 0
VRAI FAUX
est une famille libre de E. 0 1 0
permet d’affirmer que f est un isomorphisme.
Qu 42. Si (e1 , . . . , en ) est une famille génératrice de E, alors
VRAI FAUX
(f (e1 ), . . . , f (en )) est une famille génératrice de E. Qu 55. Le vecteur v = (−1, 1, −1) est dans le noyau de f .
VRAI FAUX
Soient E et F deux espaces vectoriels de dimensions respectives n et p, et f : E → F une applica- Qu 56. Le vecteur v = (−1, 1, −1) est dans l’image de f .
VRAI FAUX
tion linéaire.
Soient A, B et C trois éléments de Mn (K).
Qu 43. Si f est injective, alors :
n>p p>n n=p on ne sait pas
Qu 57. Si AB = In alors B = A−1 .
VRAI FAUX
Qu 44. Si f est surjective alors :
n>p p>n n=p on ne sait pas
Qu 58. Si C 6= 0 et si AC = BC alors A = B. VRAI FAUX
Qu 45. Si f est bijective alors :
n>p p>n n=p on ne sait pas
3 4
Qu 59. Si A = (aij )1≤i,j≤n
et B = (bij )1≤i,j≤n alors :
n n n
! ! !
X X X
AB = aik bjk AB = bkj aik AB = bik akj
k=1 16i,j6n k=1 16i,j6n k=1 16i,j6n
n n
!
X X
Qu 60. (AB = BA) ⇔ ∀(i, j) ∈ {1, . . . , n}2 aik bkj = akj bij . VRAI FAUX
k=1 k=1
Soit E un espace vectoriel muni d’une base B = (e1 , e2 , e3 ). On définit les vecteurs v 1 = e1 +e2 +e3 ,
v 2 = e1 − e3 , v 3 = e2 + e3 et f l’endomorphisme de E tel que :
Qu 61. La matrice de f par rapport à B est :
2 −3 1 2 −2 1 2 −1 1 1 1 0
−1 1 −3 −1 1 −3 −3 1 0 1 0 1
1 0 −1 1 −1 0 1 −3 −1 1 −1 1
Qu 62. L’image par f de v 1 a pour coordonnées :
2 2 0
−2 −3 −3
−3 −2 0
Qu 63. La matrice de passage de B à (v 1 , v 2 , v 3 ) est :
1 1 1 1 −1 1 2 −1 1 1 1 0
1 0 −1
0 1 −1 −3 1 0 1 0 1
0 1 1 −1 2 −1 1 −3 −1 1 −1 1