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FICHE PEDAGOGIQUE 

:
Niveau : Terminale C et D Durée : 10 heures
Module : MECANIQUE
Titre : CINEMATIQUE DU POINT

Objectif Général : 01 : Analyser la nature du mouvement du centre d’inertie d’un solide.
Objectifs spécifiques : 01 : Définir les vecteurs vitesse et accélération d’un point dans un repère donné.
02 : Etablir l’expression des équations horaires des mouvements uniformes
( rectiligne et circulaire ) et des mouvements rectilignes uniformément variés.

Moyens: Supports didactiques:


▪ Fiches n° 4 et 8 ( mouvements rectiligne et ▪ Livre de Physique AREX Terminale C et D.
circulaire de la classe de seconde ) Bibliographie:
▪ Table avec mobiles autoporteurs. ▪ Livre de Physique AREX Terminale C et D.
▪ Banc à coussin d’air ▪ Machine de Morin ▪ Guide et programmes Terminale C et D.
Pré-réquis: Vocabulaire spécifique:
▪ Mouvement d’un solide (classe de seconde C ) ▪ Coordonnées cartésiennes ▪ Abscisse curviligne
▪ Vecteurs position, vitesse et accélération
▪ Base de Frenet ▪ Equations horaires

Stratégies de travail et consignes: Amorce:


▪ ◘ mise en situation:
◘ contrat d’objectif:

PLAN DE LA LECON:

I – POSITION D’UN MOBILE DANS UN REFERENTIEL :


1 – Coordonnées cartésiennes :
2 – Abscisse curviligne :
II – VECTEUR VITESSE – VECTEUR ACCÉLÉRATION :
1 – Vecteur vitesse :
2 – Vecteur accélération :
3 – Les coordonnées cartésiennes de v et a :
4 – Les coordonnées curvilignes de v et a :
III – EXPRESSION DE V ET OM CONNAISSANT a ET LES CONDITIONS INITIALES :
IV – ETUDE DE QUELQUES MOUVEMENTS :
1 – Mouvements rectilignes :
2 – Mouvement circulaire :
V – NATURE D’UN MOUVEMENT :
Activités & Questions Activités & Réponses
professeur Apprenants Trace Ecrite Observations

Chapitre I :  CINEMATIQUE DU POINT :


I – POSITION D’UN MOBILE DANS UN REFERENTIEL :
Introduction :
1 – Coordonnées cartésiennes :
* La cinématiquez est l’étude du mouvement d’un * A point
chaque matériel
instantsans
(t), latenir compte
position du mobile ( M )est
des causes du mouvement. donnée par les coordonnées du vecteur position OM.
(t1) mvt
(t0)
* L’étude d’un mouvement M nécessite
(t) le choix d’un référentiel. X
M0• • 1 OM = X . i + Y . j + Z . k => OM Y
Le référentiel est le solide par rapport
M auquel on étudie le mouvement.

0
Z

OM
DMG on utiliseraOM • terrestre ( la terre ou un solide lié à la terre ).
un1 référentiel
X
X0 X1
Y
* Pour repérer le point mobile
OM dans le temps etR :
dans OM
l’espace,
Y0 on associe
OM1 Yau référentiel :
k
- Un repère
Z
d’espace ( repère mathématique ). 0 1
0 Z0 Z1
j
- Un repère y ).
i de dates ( chronomètre * Les fonctions X(t), Y(t) et Z(t) qui donnent à
chaque instant (t) les coordonnées du mobile (M)
* La trajectoire d’un mobile est l’ensemble dessont
positions successives
appelées occupées
équations horaires dans la temps.
ou paramétriques de la
x
trajectoire.
* On obtient l’équation de la trajectoire en éliminant la variable (t) entre X ; Y et Z.
2 – Abscisse curviligne :
t1 * On prend une origine arbitraire ( soit Ω ).
Ω • t * A chaque instant (t), le mobile est repéré
mvt
t0 • M
1 • par la longueur de la portion de courbe ΩM .
•M M * On note s(t) = ΩM on l’appelle
0 abscisse curviligne de M.

R : à t0, s0 = ΩM0 à t1, s1 = ΩM1


II – VECTEUR VITESSE – VECTEUR ACCÉLÉRATION :
1 – Vecteur vitesse :
* Le vecteur vitesse caractérise la variation du vecteur position dans le temps.
* Le vecteur vitesse moyenne entre deux dates est défini par : ΔOM
vm = Δt
Entre les dates t1 et t2 : t1
OM  OM M M
M1 t2 mvt
 M M
• M2
2 1 1 2
.v
m   1 2
t  t
2 1 t  t
2 1
vm •
Le vecteur vm est porté par la droite ( M1,M2 )
OM
et est dirigé de M1 vers M2. 1 OM
2

* Le vecteur vitesse instantanée à une date (t) est donné par laLa 0
dérivée par rapport au
relation :

 Lim 
 OM 
  d  OM  temps
v
(t)
  => d(OM )
t  0   t  dt
v(t) = dt du vecteur position OM.
Les caractéristiques de (t)  :v
+ Point d’application : le point M.
+ Direction : la tangente à la trajectoire au point M. v(t)
+ Sens : celui du mouvement. •
+ Valeur : V = || || en m.s -1 M( t )
mvt
2 – Vecteur accélération :
v(t)
* Le vecteur accélération noté a, caractérise la variation du vecteur vitesse dans le temps.
* Le vecteur accélération moyenne entre deux dates est défini par :
Entre les dates t1 et t2 :
V  V  

.a  m
2 1
a m a la même direction et le même sens que v ΔV
t  t
2 1
am = Δt
a ( t )  Lim  a m 

* Le vecteur accélération instantanée à une date (t) est donné par la relation : t  0

=> a = d( v ) en utilisant l’expression de v(t) on a : a = d 2


( OM)
(t) dt (t) dt
* La valeur de l’accélération a = || || s’exprime en m / s ou m .s -2.
2

a (t)
Dans l’espace : Dans le plan :
3 – Les coordonnées cartésiennes de v et a :

   X
* Vecteur position : OM  X i  Y j  Z k => OM Y
Z
* Vecteur vitesse :

v 
d OM


  
d X i  Y j  Zk   d  X i   d  Y j   d  Z k 
dt dt dt dt dt
d  X   d  Y   d  Z    
 i  j  k car i , j et k cons tan tes
dt dt dt v  X
d  X  d  Y  d  Z          x 
On pose : X, Y,  Z => v  X i  Y j  Z k vou v  Y

dt dt dt  y
 
La norme de v est v  X  2
 Y
 2
 Z 2 -1
en m.s .  
 vz  Z

* Vecteur accélération :
        
d
     
 dXi  dY j  d  Zk 
 X i  Y j  Zk
 dv 
 
         
a  
dt dt dt dt dt
       
dX  dY  d  Z    
   i    j    k
car i , j et k cons tan tes
dt dt dt a 
 X

  


 x
  
a a y  Y
 

dX dY d  Z        ou
az
  Z

On pose :        ,     => a  X i  Y j  Zk
X, Y Z
dt dt dt
   2  2  2
La norme de a est en m.s -2.
a  X Y Z

Exercice : n° 8 page 18 du Livre de Physique AREX Terminale C et D.


4 – Les coordonnées curvilignes de v et a :

On utilise la base de Frenet ( τ , n ) lié au point mobile ( M ) tel que :


τ  : est le vecteur unitaire tangent à la trajectoire au point ( M ) et orienté dans le sens du mouvement.
n  : est le vecteur unitaire perpendiculaire à τ et dirigé dans le sens de la courbure de la trajectoire.
aτ V  dt
d s( t )
v v
* Vecteur vitesse :  
τ 
 Vn  0
 M(t) τ
v  v•2  v 2n  v mvt
n a
an 
 dV v  v
  a  dt  : rayon de courbure
* Vecteur accélération : a 
V2 
a n   a  a  a 2  a 2n


III – EXPRESSION DE V ET OM CONNAISSANT a ET LES CONDITIONS INITIALES :

Soit un mobile ( M ) de vecteur accélération a , ayant à la date t = 0s

le vecteur position OM 0 et le vecteur vitesse v 0 .

On sait que :
 
* a  0
  
Vecteur vitesse : v  Cte  v 0 Vecteur position : OM  v 0  t  OM 0

 
* a  Cte  0
  
Vecteur vitesse : v  a  t  v 0 Vecteur position :
1  2 
OM  a  t  v 0  t  OM 0
2

Remarque : Pour passer d’une relation vectorielle à une ou plusieurs relations algébriques :
- On choisit choisi un axe,
- On remplace chaque vecteur par sa coordonnée sur l’axe choisi.
1  2 
Exemple : OM  a  t  v 0  t  OM 0 Sur (0x) : X  1 / 2.a x t 2  v 0 x t  X 0
2
Sur (0y) : Y  1 / 2.a y t  v 0 y t  Y0
2
IV – ETUDE DE QUELQUES MOUVEMENTS :
1 – Mouvements rectilignes :
* La trajectoire est une droite.
* On choisit le repère d’espace de sorte que la position du mobile (M) soit définie par une
t = 0s (t)
seule coordonnée. v
v0 M
0
M
x
X0 0 i X

  
A t = 0s, le mobile est à la position M0 ( OM 0  x 0  i ) et a pour vitesse v 0  v 0 x  i
  
A t  0s, le mobile est à la position M ( OM  x  i ) et a pour vitesse v  v x  i
       
 d OM  dv
*  t , OM  x . i v   x. i  vx . i a   x. i  ax . i
dt dt
Les vecteurs OM, v et a sont colinéaires.
a) Mouvement rectiligne uniforme :
   
* Le vecteur vitesse est constant. t v  v 0  cte => a 0 et

OM  v 0  t  OM 0

* Relations algébriques : ax = 0 Vx = V0x X = V0x.t + X0 de la


équation horaire
trajectoire du mobile.
b) Mouvement rectiligne uniformement varié :

* Le vecteur accélération est constant. t 
a  cte  0
   1  2 
=> v  a  t  v 0 et OM  a  t  v 0  t  OM 0
2

* Relations algébriques : ax = cte Vx = ax.t + V0x ( 1 ) X = ½ ax.t 2 + V0x.t + X0 ( 2 )


équation horaire de la trajectoire du mobile.

* En éliminant (t) entre ( 1 ) et ( 2 ) on obtient : Vx2  V02x  2.a x  X  X 0 


y
2 – Mouvement circulaire : t
M S
a) Position du mobile : τ • n
* La trajectoire est un cercle. Origine des
θ abscisses
* Le mobile (M) peut être repéré par : mvt
- Les coordonnées cartésiennes : 0 Ω x
θ0

OM ( X , Y ) à t = 0s, OM ( X , Y ) S0
0 0 0 R
- L’abscisse curviligne :
S = ΩM à t = 0s, S0 = ΩM0 • M (t0)
0
- L’abscisse angulaire : θ à t = 0s, on a θ0

Remarque :  t , S = R.θ à t = 0s, S0 = R.θ0


 V 
dS
(1)
b) Vecteur vitesse : Dans la base de Frenet : v   dt
 Vn  0
 dθ 
Vτ = d(Rθ)/dt = R.d(θ)/dt = R θ On pose ω
dt
Vitesse angulaire en rad.s -1.
Remarque :  t , V = R.ω
 a  dV
c) Vecteur accélération : Dans la base de Frenet : a  
 dt
 R
 V 2
aτ = dv/dt = d(Rω)/dt = R.d(ω)/dt = R ω a n  
2 2

an = V /R = R.ω = V.ω
d) Mouvement circulaire uniforme :
* Le valeur de la vitesse est constante : V = V0 => La vitesse angulaire ω = V0 / R = Cte
* (1) : Vτ = dS/dt = V0 => ..S(t) = V0 • t + S0 équation horaire curviligne.
En divisant par R : S(t)/R = ( V0 / R) • t + S0 / R
= > ..θ(t) = ω0 • t + θ0 équation horaire angulaire.

* aτ = dV0 /dt = 0 ,  a 0 M(t)

an = V02 / R  τ • n * La période de rotation :


a V2
0 T0 = 2π /ω0 en s.
a n  a •0
mvt
La fréquence de rotation :
 R v
N0 = 1/ T0 en Hz.
V – NATURE D’UN MOUVEMENT :
Pour donner la nature d’un mouvement, il faut :

Décrire sa trajectoire.
Exemples : trajectoire rectiligne, curviligne, parabolique . . .
Dire comment évolue la vitesse du mobile.
 
* Mvt uniforme  v  Cte  a  v  0

 
* Mvt uniformément
 
varié  a  cte  0

Si a  v  0 => mouvement uniformément accéléré ( v augmente dans le temps ).
 
Si a  v  0 => mouvement uniformément retardé ( v diminue dans le temps ).
Conclusion :

MRU, MRUV, MCU, MRUVR….

Exercices : n° 5, 7 et 9 page 18 du Livre de Physique AREX Terminale C et D.


FICHE PEDAGOGIQUE :
Niveau : Terminale C et D Durée : 06 heures
Module : MECANIQUE
Titre : MOUVEMENT DU CENTRE D’INERTIE D’UN SYSTÈME MATERIEL

Objectif Général : 01 : Analyser la nature du mouvement du centre d’inertie d’un solide.
 
Objectifs spécifiques : 03 : Appliquer la relation  fext  m . aG à un solide dans un référentiel
Galiléen.
Moyens: Supports didactiques:
▪ Enregistrement n° 5 ou enregistrement d’un mobile ▪ Livre de Physique AREX Terminale C et D.
autoporteur relié à un point fixe par un élastique ou Bibliographie:
un ressort ▪ Appareil à chute libre ▪ Livre de Physique AREX Terminale C et D.
▪ Guide et programmes Terminale C et D.
Pré-réquis: Vocabulaire spécifique:
▪ Actions mécaniques ▪ Système mécanique ▪ Les forces intérieures
▪ Centre d’inertie ▪ Les forces extérieures
▪ Quantité de mouvement ▪ Théorème du centre d’inertie

Stratégies de travail et consignes: Amorce:


▪ ◘ mise en situation:

◘ contrat d’objectif:

PLAN DE LA LECON:

I – RAPPELS :
1 – Système mécanique :
2 – Quantité de mouvement :
3 – Principe de l’inertie :
4 – Référentiel Galiléen :
II – THÉORÈME DU CENTRE D’INERTIE :
1 – Enoncé :
2 – Méthode de résolution d’un problème de dynamique :
3 – Théorème de l’énergie cinétique, conséquence du théorème du CI :
Activités & Questions Activités & Réponses
professeur Apprenants Trace Ecrite Observations

Chapitre II : MOUVEMENT DU CENTRE D’INERTIE


D’UN SYSTÈME MATERIEL :
II – THÉORÈME DU CENTRE D’INERTIE :
I – RAPPELS :
1 – Enoncé :
1 – Système mécanique :
* Dans un référentiel galiléen, la somme vectorielle des forces extérieures appliquées
d P 

* Un à un
système
systèmemécanique
matériel (est
ouégale
système
à chaque
matériel
instant
) est(t)
unàsolide,
la dérivée
un ensemble
 de solides
oupar
unrapport
point matériel.
au temps de son vecteur quantité de mouvement.  fext  dt
* Lorsqu’on défini ( choisi ) un système matériel, il apparaît alors :
*- les
Cette relation
forces peut encore
intérieures : s’écrire : actions mécaniques d’un élément du système
 ce sont toutes
     
 
 dP d m . VG sur undautre VG élémentdu système.
 fext- les  forces
    m.
dtfextextérieures :
 m dt. a ce sont toutes
 m.a
dt actions mécaniques d’un élément extérieure
m : au système
masse sur un élément
du système matériel.du système.

2 – Quantité de mouvement : :Vecteur accélération du centre d’inertie.
a

2 – Méthode de résolution d-un problème de dynamique :


Soit un système matériel ( S ) de masse 
(m) et de centre d’inertie (G ).
* Préciser
Le vecteur le système
quantité étudié. P du système est égal au produit
de mouvement P = m • VG
de la*masse
Choisir
parunleréférentiel d’étude.
vecteur vitesse du centre d’inertie.
* Faire le bilan des forces extérieures appliquées au système.
3 – Principe de l’inertie :
* Appliquer le théorème du CI.
* Choisir un repère de projection.  
Dans*un référentiel galiléen, le vecteur quantité
En déduire les conséquences cinématiques. de mouvement ( P  m . VG ) d’un
système
NB : Certaines
matériel questions
isolé ou pseudo peuventconstant
isolé reste être résolu
: Leen
CIappliquant les lois
est animé d’un MRU deoulareste
mécanique
au repos.de
la classe de 1ère ou 2nd .( Théorème de l’EC., Conservation de la quantité de
4 – Référentiel Galiléen :
mouvement, Les lois horaire de la chute libre, Conservation de l’EM. . . .)
On appelle référentiel Galiléen, tout référentiel dans lequel le principe de l’inertie est vérifié.
3 – Théorème de l’énergie cinétique, conséquence du théorème du CI :
Exemples : + Référentiel terrestre. + Référentiel géocentrique. + Référentiel de Copernic.
+ a) Théorème
Tout deanimé
référentiel l’EC : d’un MRU par rapport à un référentiel Galiléen.
Dans un référentiel Galiléen, la variation de l’énergie cinétique d’un système
matériel entre deux dates t1 et t2 est égale à la somme algébrique des travaux
des forces extérieures appliquées au système entre ces deux dates.

1 1
E C ( t 1  t 2 )  E C 2  E C1  m . V22  m . V12 
2 2
 Wt1ext
f
 t2
Exercices : n° 7, 8 et 9 page 25 du Livre de Physique AREX Terminale C et D.

b) Démonstration :

* Soit un mobile de masse (m), soumis à des forces extérieures de somme F .

à la date t1, le mobile est à la position M1 et a pour vitesse v 1 .

à la date t2, le mobile est à la position M2 et a pour vitesse v 2 .

à la date t i ( t1 < t i < t2 ), le mobile est à la position Mi et a pour vitesse v i .
ti F
M
i
V
V
1 • i
mvt

M •
t1 1 M V
2
t2 2
* A la date ti :  
• La quantité de mouvement est Pi  m . v i . Le théorème du CI donne :

 d( v i )
F  m. (1) .
dt

2  dv i
• L’énergie cinétique : Eci = ½ mVi => d(Eci)/dt = ½ m( 2 xVi .d(Vi)/dt) = m.v i (2)
dt
* Pendant une durée δti : très brève à partir de ti.
 
Le déplacement δ i , v i et F sont constants.

  i  
• vi    i  v i . t i ( 3 )
 ti
  
• Le travail élémentaire fourni par F est :  w i  F . i En utilisant ( 1 ) et ( 3 ) on a :

 dv    dv i
 w i   m i .v i x t i  m.v i

x t i => d’après ( 2 )
 wi 
d 12 m v i2 x t i .

 dt  dt
dt

F
n n
d (1 / 2 m v i2 )
* Pendant la durée t2 – t1 : le travail de

F est :
W
t1  t 2
   w i   dt
x t i

i 1 i 1
 t2 t2
F d (1 / 2 m v i2 ) 1 2 1 1
Si δti → 0 on a : Wt1  t 2   xdt 
 m v i   m v 22  m v12
t1
dt 2  t1 2 2
b) Démonstration :

* Soit un mobile de masse (m), soumis à des forces extérieures de somme F .

à la date t1, le mobile est à la position M1 et a pour vitesse v 1 .

à la date t2, le mobile est à la position M2 et a pour vitesse v 2 .

à la date t i ( t1 < t i < t2 ), le mobile est à la position Mi et a pour vitesse v i .
ti F
Mi
V V
1 • i
mvt

M1 •
t1 M2 V
t2 2

* A la date t i :

   d( v i )
• La quantité de mouvement est Pi  m . v i . Le théorème du CI donne : F  m . (1) .
dt

2  dv i
• L’énergie cinétique : Eci = ½ mVi => d(Eci)/dt = ½ m( 2 xVi .d(Vi)/dt) = m.v i (2)

dt
 
* Pendant une durée δti : très brève à partir de ti. Le déplacement δ i , la vitesse v i et la force F sont constants.

  i  
• vi    i  v i . t i ( 3 )
 ti
  
• Le travail élémentaire fourni par F est :  w i  F . i En utilisant ( 1 ) et ( 3 ) on a :

 dv    dv i
 w i   m i .v i x t i  m.v i

x t i => d’après ( 2 )
 wi 
d 12 m v i2 
x t i .

 dt  dt
dt

F
n n
d (1 / 2 m v i2 )
t1  t 2  
* Pendant la durée t2 – t1 : le travail de
 W   w  x t i
F est : i
i  1 dt
i 1
 t2 t2
d (1 / 2 m v i2 ) 1  1 1
Si δti → 0 on a : WtF1  t 2   xdt 
 m v i2   m v 22  m v12
t1
dt 2  t1 2 2
FICHE PEDAGOGIQUE :
Niveau : Terminale C Durée : 05 heures
Module : MECANIQUE
Titre : INTERACTION GRAVITATIONNELLE

Objectif Général : 01 : Analyser la nature du mouvement du centre d’inertie d’un solide.
 
Objectifs spécifiques : 04 : Appliquer la relation f  m.a Gà un solide dans un repère
géocentrique pour décrire le mouvement des satellites.

Moyens: Supports didactiques:


▪ Pompe à vide ▪ Livre de Physique AREX Terminale C et D.
▪ Tube de Newton Bibliographie:
▪ Seau ▪ Livre de Physique AREX Terminale C et D.
▪ Eau ▪ Guide et programmes Terminale C et D.
Pré-réquis: Vocabulaire spécifique:

▪ Champ E et Forces électrostatiques ▪ Forces et champ de gravitation
▪ Satellites et planètes ▪ Constante de gravitation universelle
▪ Ellipse et grand axe

Stratégies de travail et consignes: Amorce:


▪ ◘ mise en situation:

◘ contrat d’objectif:

PLAN DE LA LECON:

I – FORCES GRAVITATIONNELLES : LOI DE NEWTON.


II – LE CHAMP DE GRAVITATION G :
1 – Définition :
2 – Le champ de gravitation terrestre :
III – MOUVEMENT DES SATELLITES :
1 – Cas général :
2 – Satellite géostationnaires :
IV – MOUVEMENT DES PLANÈTES : ( Lois de Kepler )
Activités & Questions Activités & Réponses
professeur Apprenants Trace Ecrite TC Observations

( TC ) Chapitre III : INTERACTION GRAVITATIONNELLE :


II – LE CHAMP DE GRAVITATION G :
Introduction :
La1chute
– Définition :
des corps sur la terre, le mouvement des satellites autour de la terre,
le mouvement
Un objetdes planètes
ponctuel, deautour
masse du
m,soleil,
placé sont
en undus à l’interaction
point gravitationnelle.
0, crée en tout point Ni de l’espace
L’interaction gravitationnelle est une interaction à distance qui s’exerce entre deux
un champ de gravitation G i tel que :
corps du 
fait de leurs masses.
m 
+ i  G . 2 . u i  
G N1
I – FORCES GRAVITATIONNELLES ri  : LOI •DE NEWTON.
 G1 Gi • Ni
u i  : vecteur unitaire de la droite ( 0, Ni )
Deux points matériels O1 et O2, de masses m1 et m2, séparés d’une distance (r), s’attirent
m   m1
+ G i  avec
mutuellement G . des forces F 1 et F 2 telles rque :
ri2 1

F1/2 ri 02
2 1
  u1 ui
+ F1 2 Gien F2N / Kg  •m
F2/1 2 m 
1
01 • G 1  G . 2 . u 1
• r1
m r
0
m1 x m 2 m1
+ F1  F1  G x
Remarques :
2
2
2 r
* Le champ G crée par une masse ponctuelle est radial et centripète.
Avec : F ½ et F 2 / 1 en Newton ( N ) ; m1 et m2 en Kg ; r en mètre ( m )
* Un corps de masse ( m’ ) placé au point Ni, subie de la -11 part du2 corps de masse ( m )
G : constante
 gravitation
 universelle.G = 6,67.10 N.m .Kg -2
placé en 0, la force : F  Fm  m' . G i
m'
NB : Pour les corps sphériques et homogènes, tout se passe comme si leurs masses étaient
concentrées
  en leurs centres. (Cas des planètes et astres). m’
 m . m'    m  
F   F .u i    G .  . u  m ' .  G . u   m m
' . G G • Ni
ri2  
i 2 i  2 i
Fr1/2
i
  i  02
m1 F2/1 • r2 F
01
• ri
r1 r u i

m •
0
Quelques valeurs de forces :

Exercices : n° 2, 3 et 4 page 33 du Livre de Physique AREX Terminale C et D.


2 – Le champ de gravitation terrestre :
* Soit un point ( N ) situé à l’altitude ( h ) de la terre. Soit un point ( P ) à la surface de la terre.
La terre (masse mT , rayon RT ) crée aux points N et P les champs Gh et G0 de valeurs :

mT •N
Gh  G. (1)
R T  h 2 Altitude h
G
h

mT
G0  G. (2) •P
R T  2
0 • G0
RT
Terre (mT )

* Relation entre Gh et G0 : mT


G. R T  2
Gh  G0
En faisant le rapport ( 1 ) / ( 2 ) on a : G h   R T  h 2
RT  2 x
R T  h 2

G0
G.
mT  R T  h 2
* Valeur de G0 : (AN) RT 2
RT = 6,4 10 +6 m ; mT = 6 10 +24 Kg ; G = 6,7 10 -11 SI => G0 = 9,8 N/Kg

* Remarque : 
Le champ de gravitation terrestre G 0 au niveau de la surface de la terre n’est pas

rigoureusement identique au champ de pesanteur terrestre g dont la valeur dépend de la
latitude.
La légère différence est due à la rotation de la terre autour de l’axe des pôles et aussi à cause
du fait que la terre n’est pas une sphère parfaite ( aplatie aux pôles ).

Mais on peut écrire : G 0  g
III – MOUVEMENT DES SATELLITES :
1 – Cas général : Soit un satellite de masse m, décrivant une orbite circulaire
à l’altitude h de la terre. Le moteur éteint. v
N τ
• Satellite Satellite
n • (m)
mvt
0• G
h

Terre
F
S h
0•

La trajectoire est dans un plan RT


contenant le centre de la terre. Coupe suivant le plan de la trajectoire:
Etude dynamique : La trajectoire est un cercle de rayon R = RT + h.
+ Système : le satellite.
+ Référentiel : Géocentrique (Galiléen ).  
+ Bilan des forces extérieures : la force gravitationnelle F  m . G h
    
+ Théorème du CI :  Fext  m . a  m . G h  m . a => a  G h

 
+ Dans la base de Frenet  , n   :  dV
a    0 (1 )
 dt
a 2
a n  V  G h ( 2 ) Avec R = RT + h
 R
Exploitation :
 
* a est normale ( a  0  ) ; le mouvement du satellite est circulaire et uniforme.
R T   V2
2
2
* ( 2 ) : an = Gh = V / ( RT + h ) On remplace Gh G
=> 0  R  h  2  R  h 
x
T T
G 0 . R 2T
=> La vitesse linéaire : V 
RT  h G 0 . R 2T
ω
* La vitesse angulaire : ω = V/R = V/( RT + h) => … (R T  h )3
* La période de rotation : T = 2π / ω * La fréquence de rotation : N = 1/ T
NB : La vitesse et la période de rotation ne dépendent pas de la masse du satellite.
Elles ne dépendent que des caractéristiques de la terre et de l’altitude h.
Pour une altitude h donnée, tous les satellites ( quelques soient leurs masses )
ont le même mouvement ( trajectoire, vitesse, période ).
2 – Satellite géostationnaires :
* C’est un satellite qui est toujours à la verticale d’un même point P de la terre
( Il semble immobile pour un observateur terrestre en P ).
* La trajectoire circulaire est obligatoirement dans le plan de l’équateur.
* Le satellite a la même période que P : T = 1j
* Connaissant T, déterminons l’altitude h.
G 0 . R T2
T = 2π / ω avec ω  =>
(R T  h ) 3
2
 
G 0 . R T2   4 2  ( R T  h ) 
3
T  ( 2π ) /
2 2

0•  ( R T  h )3   G .R 2 
   0 T 

P
• Satellite
G 0 . R T2 . T 2
Terre => h  3  RT AN : h = 35800 Km
4π 2
3 – Notion d’impesanteur :
Soit un astronaute de masse m, au repos par rapport au satellite, débout sur un pèse
personne. Déterminons l’indication du pèse personne dans le référentiel géocentrique.
+ Système : le satellite.
+ Référentiel : Géocentrique (Galiléen). R
+ Bilan des forces extérieures : Personne ( m )
 
• la force gravitationnelle F  m . G h
 Pèse personne
• la réaction R ( poids de la personne ).
    
+ Théorème du CI :  Fext  m . a  m . G h  R  m . a F
Trajectoire
   
or a  G h => R  0 du satellite
Terre
Le « poids » de l’astronaute est nul ; celui-ci est en état d’impesanteur.
Ce phénomène cesse si le satellite freine ou accélère.
Exercices : n° 10 et 11 page 34 du Livre de Physique AREX Terminale C et D.
IV – MOUVEMENT DES PLANÈTES : ( Lois de Kepler )
Première loi :
Les orbites des planètes autour du soleil sont des ellipses dont le soleil est un des foyers.

2a 0

Ellipse de foyer 0 et de grand axe 2a :

Deuxième loi :
Un segment joignant le soleil à une planète balaie des aires égales pendant la même durée.
t3
t2 – t 1 = t 4 – t3 • t
•2
=> S = S’ Soleil
S’ • S
•t
t •4 1

Troisième loi :
La relation entre le demi grand axe a de l’ellipse décrite et la période T de révolution est :
a3
 Cte La constante dépend de l’astre attracteur ( ici le soleil ).
T2

Cas particulier :
Mouvement d’un satellite autour de la terre. Soit r = RT + h le rayon de l’orbite.
T2 4 2 4 2
 
r3 G 0 . R T2 G. m T

Exercices : n° 12, 13, 14 et 15 page 35 du Livre de Physique AREX Terminale C et D.


Informations personnelles :

Pourquoi le soleil ne tourne pas autour de la terre ?


A cause du rapport de masse. Analogie avec le caillou et son lanceur.

Pourquoi le mouvement des astres est elliptique ?


A cause des autres forces gravitationnelles entre planètes.

Terre Planète
Soleil

Lune
FICHE PEDAGOGIQUE :
Niveau : Terminale C et D Durée : 08 heures 07 heures
Module : MECANIQUE
Titre : MOUVEMENT DANS UN CHAMP UNIFORME

Objectif Général : 01 : Analyser la nature du mouvement du centre d’inertie d’un solide.
Objectifs spécifiques :
 
05 pour TC et 04 pour TD : Appliquer la relation f  m.a G à un solide soumis à une force
constante.

Moyens: ▪ Voltmètre ▪ Chronomètre Supports didactiques:


▪ Dispositif pour la chute parabolique avec accessoires ▪ Livre de Physique AREX Terminale C et D.
▪ Alimentation stabilisée ▪ Tube à déflexion Bibliographie:
▪ Source de tension de chauffage du filament 6V ▪ Livre de Physique AREX Terminale C et D.
▪ Source de tension accélératrice ( 0 – 700V ) ▪ Guide et programmes Terminale C et D.
▪ Source de tension pour plaques déflectrices
Pré-réquis: Vocabulaire spécifique:
 
▪ Cinématique du point : OM , v , a et les équations ▪ La flèche ▪ La portée ▪ La déflexion
horaires. ▪ Angle de tir et angle de sortie
▪ Théorème du CI.

Stratégies de travail et consignes: Amorce:


▪ ◘ mise en situation:

◘ contrat d’objectif:

PLAN DE LA LECON:

A – MOUVEMENT DANS LE CHAMP DE PESANTEUR TERRESTRE :


B – MOUVEMENT D’UNE PARTICULE CHARGÉE DANS UN CHAMP E UNIFORME :
I – RAPPEL :
II – EXERCICE :
Activités & Questions Activités & Réponses
professeur Apprenants Trace Ecrite Observations

( TC ) Chapitre IV :
( TD ) Chapitre III : MOUVEMENT DANS UN CHAMP UNIFORME :
Correction : y
A – MOUVEMENT DANS LE CHAMP DE PESANTEUR TERRESTRE :
Exercice :
plan vertical muni du repère  0 , i , j  à
 
Un obus de masse m = 1,6 Kg est lancé S dansVle
YS g
partir • S

du point 0, avec un vecteur vitesse V0 ( V0 = 200 m/s ) faisant avec l’axe  0 , i  un angle
 

α.
On négligera la résistance de l’air etLaon prendra g = 9,8 m/s2.
flèche
P
1) a – Etablir les relations donnant les coordonnées x et y du centre d’inertie G du projectile
V0 du temps (t) écoulé depuis le lancement, et de g , V et α.
en fonction 0
 0, i , j  .
 
b – Donner l’expression
α littérale de
XS l’équation de la trajectoire dans
P
le repère
x
2) a – On0prend α = α 1 = 55o. Déterminer la portée du tir (distance OP ).
La portéevaleur de α (notée α 2 ) pour βlaquelle le projectile
b – Montrer qu’il existe une deuxième Vyp
arrive au même point P.
1) a – * Etude dynamique : VP
c – Pour quelle valeur de α la portée est-elle maximale ?
Système : L’obus. Vxp
3) a – Calculer la flèche du tir (hauteur maximale atteinte).
Référentiel : Terrestre supposé Galiléen.
b – Pour quelle valeur de α la flèche du tirP est-elle maximale ?

Bilan des forces extérieures : Le poids  m . g
Que pensez-vous de cette condition
  de tir ?
   
Théorème du CI :  Fext  m . a  P  m . g  m . a => a  g
4) a – Calculer la durée du tir.
* Conséquences
b – Donner lescinématiques :
caractéristiques duvecteurvitesse en P.
a  Cte => Vecteur vitesse : v  a  t  v 0

1  2 
y OM 
Vecteur position : a t  v 0  t  OM 0
2
Projection dans  0 , i , j   :
Vecteur V0 
Instant accélération

Vecteur vitesse v Vecteur position OM
a
α
  a x  0   v 0 x  V0  Cos( ) X  0
t=0s a v0  OM 0  0
x
a y   g 0v 0 y  V0  Sin ( ) Y0  0
  a x  0   v x  V0  Cos( ) ( 3)  X  V0  Cos( )  t ( 1)
a v 
t≠0s a y   g v y   g  t  V0  Sin ( ) ( 4 )OM  1
Y    g  t  V0  Sin ( )  t( 2 )
2

 2
X
b – Equation de la trajectoire : (1) => t  . En remplaçant dans (2) on a :
V0 Cos( )
2
1  X   X  g
Y   g   V0 Sin ( ) => Y X 2  X . Tg ( )
2  V0 Cos ( )  V
 0 Cos ( )  2 . V0 . Cos ( )
2 2

( 5) Equation d’une
2) a – Portée du tir : parabole
Pour le point P ( Xp = ? , Yp = 0 ). g
P appartient à la trajectoire. En utilisant (5) on a : 0   X 2P  X P . Tg ( )
2 . V0 . Cos ( )
2 2
 g  g
=> 0  X P  Tg ( )  X P  => 0  Tg ( )  X P car
 2 . V0 . Cos ( )
2 2
 2 . V0 . Cos 2 ( )
2

Xp ≠ 0
2 . V02 . Cos 2 ( )  Tg ( )
=> X P  Or 2Cos2(α)•Tg(α) = 2•Cos(α)•Cos(α) x
g
[Sin(α)/Cos(α)]
= 2•Cos(α) • Sin(α) = Sin(2α)
V 2 . Sin ( 2 )
=> X P  0 AN : α = α1 = 55° ; Xp = **** m
g
V02 . Sin ( 2 1 )
b – Deuxième valeur de α : Pour α1 X P1  Pour α2
g
V02 . Sin ( 2 2 )
X P2 
g
Xp1 = Xp2 => V02 . Sin ( 2 1 )  V02 . Sin ( 2 2 ) => Sin( 2α1) = Sin( 2α2)
=> 2α2 = 2α1 ou 2α2 = π –2α1
=> α2 = α1 ou α2 = π /2 – α1 AN : α2 = π /2 – α1 = 90° - 55° = 35°

V02 . Sin ( 2 )
c – Portée maximale : X P  Xp est maximale si Sin( 2α) est maximale.
g
=> Sin( 2α) = 1 => 2α = π/2 => α = π/4 rad = 45°

V02
AN : α = 45° ; X P  = **** m
g
3) a – La flèche du tir :
Au sommet de la trajectoire, le vecteur vitesse est horizontal :


v S v xs  VS , v ys  0 . 
* En utilisant (4), on obtient la date d’arrivée au point S.
v ys  0   g  t S  V0  Sin ( ) => ..ts = V0•Sin(α)/g..
* En remplaçant t par ts dans (2) on a :
Sin 2 ( )
2 2
1  V0  Sin ( )   V  Sin ( )  V 
YS    g 
   V0  Sin ( )   0  => YS  0
2  g   g  2g
Autre méthode : Le point S est un extremum de la trajectoire 
=> (5) ;d(Y)/dX = 0 pour X = Xs
On remplace X par Xs dans (5) et on obtient Ys.

V02  Sin 2 ( )
b – La flèche maximale : YS  Ys est maximale si Sin2(α) est maximal.
2g
=> Sin2(α) = 1 => Sin(α) = ± 1 => α = ± π/2.
La condition – π/2 est impossible. Il faut donc α = π/2 rad = 90°.
Cette condition est suicidaire.
4) a – La durée du tir : Pour le point P ( Xp = ? , Yp = 0 ). En utilisant (2) on a :
1  1 
YP  0    g  t P  V0  Sin ( )  t P => 0  t P    g  t P  V0  Sin ( ) 
2

2  2 
1
tP ≠ 0 => 0    g  t P  V0  Sin ( ) => ..tP = 2•V0•Sin(α)/g..
2
b – Vecteur vitesse au point P : On remplace t par tp dans (3) et (4):
  v xp  V0  Cos ( )
vP 
v yp   g  t P  V0  Sin ( )   V0  Sin ( )
+ Point d’application : Le point P.
+ Sens : vers le bas.
+ Valeur : VS  VxP 2
 VyP
2
= . . .= V0 m/s.

+ Direction : v P fait un angle β avec l’horizontale.
Tg(β) = Vyp / Vxp = –V0Sin(α)/ V0Cos(α)
= – Tg(α)
Remarque : Appliquer la théorème de l’Ec entre les points 0 et P permet =>laβvaleur
d’obtenir = – α.de la vitesse.
Exercices : n° 12 et 13 page 48 du Livre de Physique AREX Terminale C et D.

B – MOUVEMENT D’UNE PARTICULE CHARGÉE DANS UN CHAMP E UNIFORME :


I - RAPPEL :
* Un champ électrique uniforme est obtenu en appliquant une différence de potentiel
entre deux plaques conductrices parallèles.

P
+ + + + + +
Lignes de champ.
UPN Equipotentiels.

d
E

– – –– – –
N

* Les caractéristiques du champ E  :
+ Direction : La perpendiculaire aux plaques.
+ Sens : Décroît les potentiels.
U
+ Valeur : E  PN UPN en V ; d en m ; E en V/m
d


* Uneparticule de charge électrique q, placée dans le champ E est subie la force
F  q.E .
 
Si q > 0 : F et E ont la même direction et le même sens.
 
Si q < 0 : F et E ont la même direction et sont de sens contraire.
* Le travail d’une force électrostatique :
 

Fe  
W A  B  F  AB  q x E  AB  q  U AB   q V  V
e A B


E  AB   U AB   V  V
A B

II – EXERCICE :
 4
Des électrons pénètrent en 0, avec un vecteur vitesse V0 ( V0 = 3.10+ Km/s), à l’intérieur
d’un condensateur, dont les plaques sont séparées par la distance d = 3 cm. On applique aux
plaques une tension constante U = VP1 – VP2 = 14OV. La longueur des plaques est ℓ = 15 cm.
Les frottements sont négligés.
1) Comparer les valeurs du poids d’un électron et la force électrostatique qu’il subit à
l’intérieur du condensateur. Conclure.
2) a – Donner les équations horaires des coordonnées x et y d’un électrons dans le repère
 0 , i , j  lors de son passage entre P1 et P2.
 

b – Etablir l’équation de la trajectoire d’un électron.


3) a – De quelle distance verticale les électrons sont-ils déviés à la sortie du condensateur ?
b – Quelle est la condition pour que les électrons sortent du champ électrostatique ?
c – Quelle est la durée de passage entre les plaques ? 
d – Donner les caractéristiques du vecteur vitesse VS de sortie des électrons du champ
électrostatique. Donner la valeur de l’angle α S de sortie.
4) a – Quelle est la nature du mouvement des électrons hors des plaques.
b – Ces électrons forment un spot ( I ) sur un écran luminescent placé perpendiculairement
à  0 , i  à la distance D = 20 cm du centre ( C ) du condensateur.

Quelle est la distance de ce spot au centre ( P ) de l’écran ( Déflexion électrostatique).


y
Ecran
P1 •I
e = 1,6.10- 19C
m = 9,1.10-31Kg
g = 10N/Kg
V0 C P
U d 0 • • x
D

P2
Correction : Ecran
y
•I
VS
αs Vys
S
• Vxs
Fe
e– αs P
0• C
•x
V0 D



1) * Poids de l’électron : p = m x g = 9,1.10 -31 x 10 = 9,1.10 -30 N
 
* Force électrique : Fe  q . E => Fe = |q|xE avec q = - e , E = U/d
=> Fe = eU/d = ( 1,6.10 -19 x 140 )/ 3.10 -2 = 74,67.10 -17 N
* Comparaison : Fe / P = 8,2055.10+13 = 82.055.000.000.000 ( 82 mille milliards)
Fe >> p => Le poids est négligeable par rapport à Fe.

2) a – * Etude dynamique :
Système : électron.
Référentiel : Terrestre supposé Galiléen.
  
Bilan des forces extérieures : La force électrique Fe  q . E   e . E  ;

Le poids P négligé
      e 
Théorème du CI :  Fext  m . a  F   e . E  m . a => a  
e m
 E

* Conséquences cinématiques :
  
a  Cte => Vecteur vitesse : v  a  t  v 0

1  2 
Vecteur position : OM  a t  v 0  t  OM 0
2

Projection dans  0 , i , j   :
 E x  0
E
E y   E
 
Instant Vecteur accélération a Vecteur vitesse v Vecteur position OM

a 0  v 0 x  V0 X  0

 x v0  OM 0  0
t=0s a eE  v 0y  0 Y0  0
 ay 
 m
a 0 v  V0 ( 3 )  X  V0  t ( 1 )

 x 
 x 
t≠0s a eE v eE OM  1 eE 2
a y   v y   t( 4 )
 Y   t ( 2 )
 m  m  2 m

b – Equation de la trajectoire :
e.E ( 5)
(1) => t = X / V0. En remplaçant dans (2) on a : Y  2
X
2

2 . m .V0 Equation d’une


3) a – Coordonnées du point (s) de sortie : parabole
Pour le point S ( Xs = ℓ , Ys = ? ).
e.E
S appartient à la trajectoire => en utilisant (5) on a : YS   2
2 . m .V02
b – Condition de sortie : Il faut : Ys < d / 2
c – Durée de passage : C’est la date d’arrivée au point (s).
En utilisant (1) pour le point S on a : Xs = V0• ts => ts = Xs/ V0. Or Xs = ℓ => tts = ℓ / V0 .

d – Vecteur vitesse de sortie : On remplace t par ts dans ( 3 ) et (4):  v  V0 


  xs
+ Point d’application : Le point S. vS  eE eE
v ys   tS  
+ Sens : vers le haut. 
 m m V0
+ Valeur : VS  Vxs2  Vys2 = m/s.

+ Direction : v S fait un angle αs avec l’horizontale. Tg( αs ) = Vys / Vxs = ****
=> αs = °. *****

4) a – Nature du mouvement hors des plaques :


Hors des plaques, les électrons sont isolés ( pas de force électrique et poids négligé ).
Etant dans un référentiel Galiléen, les électrons obéissent au principe de l’inertie ;

Ils ont un MRU. La trajectoire est la droite portée par v S .
b – La déflexion ou déviation électrostatique :

Tg(αs) = IP/D => IP = D.Tg(αs)

Exercices : n° 2 page 46; n° 8 page 47 et n° 11 page 48 du Livre de Physique AREX Terminale C et D.


Exercice I : Mouvement dans le champ de pesanteur terrestre.
Un obus de masse m = 1,6 Kg est lancé dans le plan vertical muni du repère  0 , i 
 
, j à partir du point 0,
avec un vecteur vitesse V0 ( V0 = 200 m/s ) faisant avec l’axe  0 , i  un angle α.
 

On négligera la résistance de l’air et on prendra g = 9,8 m/s2.


1) a – Etablir les relations donnant les coordonnées X et Y du centre d’inertie G du projectile en fonction
du temps (t) écoulé depuis le lancement, et de g , V0 et α.
b – Donner l’expression littérale de l’équation de la trajectoire dans le repère  0 , i , j  .
 

2) a – On prend α = α 1 = 55o. Déterminer la portée du tir (distance OP ).


b – Montrer qu’il existe une deuxième valeur de α (notée α 2 ) pour laquelle le projectile arrive au même point P.
c – Pour quelle valeur de α la portée est-elle maximale ? y
3) a – Calculer la flèche du tir (hauteur maximale atteinte).
b – Pour quelle valeur de α la flèche du tir est-elle maximale ? V0
Que pensez-vous de cette condition de tir ?
4) a – Calculer la durée du tir. α
b – Donner les caractéristiques du vecteur vitesse en P.
0 x


Exercice II : Mouvement d’une particule chargée dans un champ E uniforme.
 4
Des électrons pénètrent en 0, avec un vecteur vitesse V0 ( V0 = 3.10 + Km/s), à l’intérieur d’un
condensateur, dont les plaques sont séparées par la distance d = 3 cm. On applique aux plaques une tension
constante U = VP1 – VP2 = 14OV. La longueur des plaques est ℓ = 15 cm. Les frottements sont négligés.
1) Comparer les valeurs du poids d’un électron et la force électrostatique qu’il subit à l’intérieur du condensateur. Conclure.
2) a – Donner les équations horaires des coordonnées X et Y d’un électrons dans le repère  0 , i 
 
, j
lors de son passage entre P1 et P2.
b – Etablir l’équation de la trajectoire d’un électron.
3) a – De quelle distance verticale les électrons sont-ils déviés à la sortie du condensateur ?
b – Quelle est la condition pour que les électrons sortent du champ électrostatique ?
c – Quelle est la durée de passage entre les plaques ?

d – Donner les caractéristiques du vecteur vitesse VS de sortie des électrons du champ
électrostatique. Donner la valeur de l’angle α S de sortie.
4) a – Quelle est la nature du mouvement des électrons hors des plaques.
b – Ces électrons forment un spot ( I ) sur un écran luminescent placé perpendiculairement à  0 , i 

à la distance D = 20 cm du centre ( C ) du condensateur. Quelle est la distance de ce spot au centre ( P )


de l’écran ? ( Déflexion électrostatique). y
Ecran

P1 •I

e = 1,6.10 ─ 19 C
m = 9,1.10 ─ 31 Kg V0 C P
U d 0 • •
g = 10 N/Kg x
D

P2
FICHE PEDAGOGIQUE :
Niveau : Terminale C et D Durée : 06 heures
Module : MECANIQUE
Titre : OSCILLATIONS MÉCANIQUES LIBRES

Objectif Général : 01 : Analyser la nature du mouvement du centre d’inertie d’un solide.
Objectifs spécifiques : 06 pour TC et 05 pour TD :
Déterminer les caractéristiques du mouvement d’un oscillateur mécanique non amorti.

Moyens: Supports didactiques:


▪ Livre de Physique AREX Terminale C et D.
▪ Ressort ▪ Solide ▪ Potence ▪ Chronomètre
Bibliographie:
▪ Banc à coussin d’air et accessoires
▪ Masses marquées ▪ Ampèremètre ▪ Livre de Physique AREX Terminale C et D.
▪ Guide et programmes Terminale C et D.
Pré-réquis: Vocabulaire spécifique:
▪ Ressort (raideur et tension) ▪ Equation différentielle
▪ Théorème du CI. ▪ Energie cinétique et potentielle ▪ Amplitude ▪ Pulsation propre ▪ Phase

Stratégies de travail et consignes: Amorce:


▪ ◘ mise en situation:

◘ contrat d’objectif:

PLAN DE LA LECON:

I – GÉNÉRALITÉS :
1 – Définition :
2 – Période propre :
II – ETUDE DU PENDULE ÉLASTIQUE HORIZONTAL :
1 – Dispositif :
2 – Equation différentielle :
3 – Solution de l’équation différentielle :
4 – Position, vitesse et accélération :
5 – Etude énergétique :
Activités & Questions Activités & Réponses
professeur Apprenants Trace Ecrite Observations

( TC ) Chapitre V :
II(–TD
ETUDE DU PENDULE
) Chapitre IV : OSCILLATIONS MÉCANIQUES LIBRES :
ÉLASTIQUE HORIZONTAL :
1 – Dispositif :
I – GÉNÉRALITÉS :
ℓ0
1 – Définition : a
Un oscillateur mécanique est un système mécanique qui lorsqu’il est écarté
Un ressort de masse négligeable et de raideur K.
de sa position d’équilibre stable,Unest animé
solide d’un mouvement
de masse oscillatoire
( m ) pouvant glisser sans
T(fait des vaRet vient) autour de cette position.
frottements le long du support.
Exemples : Support Le solide est déplacé d’une distance (a) puis libéré.
ℓ0 en décrivant un segment
Le système oscille de droite
P • Ressort
i entre les positions – Xm et +Xm.
• • • x Barre de
0 X masse (m)
θ– Xm mvt + Xm • G
Fil
mvt Position
2 – Equation θ
m différentielle
Solide : d’équilibre
mvt mvt
+ Système : Solide.
Pendule simple : Pendule pesant : Pendule élastique vertical :
+
θ = f (t) Référentiel : T.S.G. θ = f (t)  Allongement x =f(t)
+ Bilan des forces extérieures : • le poids P • la réaction 
du support R
NB : * Une alternance = 1 aller ou un • la tension
 retour. * 
du ressort= 1 aller +
Une oscillation T   KX i
1 retour.
  
 oscillation.

+ Théorème du CI :
* La période = la durée d’une F ext  m . a  P  R  T  m . a

 i   : P  P  0  ; R  R  0  ; T  T   K X  ; a 
   
a  X
 
+ Projection sur 0 , x x x 


 x

2 – Période propre :

 K Equation différentielle
=> 0 + 0 – K•X = m X => X   X  0 du mouvement.
a) Expérience et exploitation : On utilise m le pendule élastique vertical.
Pour différents allongements de départ, mesurons la durée ( t ) de 10 oscillations.
Mesure 1 : t = . . . s. la période est T = t /10 = . . . s.
Mesure 2 : t = . . . s. la période est T = t /10 = . . . s.
Mesure 3 : t = . . . s. la période est T = t /10 = . . . s.
b) Conclusion :
La période des oscillations ********
3 – Solution de l’équation différentielle :
Equation horaire
La solution est de la forme X( t ) = Xm•Cos( ω0•t + j )) du mouvement

avec : K
ω0 
─1
* ω0 (en rad.s  ): la pulsation propre. m
* Xm (en Coulomb m ): L’amplitude des oscillations.
* j (en rad ) : La phase à l’origine des temps.
Remarques : * On calcul la période des oscillations : T0 ( en seconde s ) ; T0 = 2π / ω0
* Xm et φ dépendent des conditions initiales.
4 – Position, vitesse et accélération :

* Vecteur position :  t , OM  X ( t ) . i avec X( t )  Xm  Cos(ω 0  t  ) .
   
* Vecteur vitesse :  t , v  X( t ) . i avec X ( t )   Xm  ω 0  Sin (ω 0  t  )

La valeur de la vitesse est : | X ( t ) |
La vitesse maximale est : Vmax = Xm•ω0

Si X ( t )  0  : le solide se déplace dans le sens positif.

Si X ( t )  0  : le solide se déplace dans le sens négatif.

   
* Vecteur accélération :  t , a  X(t) . i avec X(t)   Xm  ω20  Cos(ω0  t   )

La valeur de l’accélération est : | X ( t ) |
K  Xm
L’accélération maximale est : amax = Xm• ω 02 = Xm( K/m) =
m
Vérification de l’équation différentielle :
)  
 K K 
X  X   Xm 
2
ω0  Cos(ω 0  t    Xm  Cos(ω 0  t  )
m  m 
 K   K 
  Xm     Cos(ω 0  t  )    Xm  Cos(ω 0  t  )  0
 m   m 

Exercices : n° 2, 3 et 5 page 56 du Livre de Physique AREX Terminale C et D.


5 – Etude énergétique :
A Chaque instant (t), le système { ressort + solide} possède les énergies suivantes :

* L’énergie cinétique de translation : Ec = ½ mV2 = ½ m X 2

* L’énergie potentielle élastique : Epe = ½ K•X2

* L’énergie potentielle de pesanteur : Epp = mgZ ; Z est la côte du solide.


Le mouvement se fait sur un plan horizontal ( Z = Cte => Epp = Cte ).
En faisant correspondre l’origine des hauteurs avec le plan horizontal sur lequel
se déplace le solide, on a Epp = 0.
* L’énergie mécanique totale du système :
Em = Ec + Epe + Epp ; Epp = 0 => Em = Ec + Epe

Em = Ec + Epe = ½ m X 2 + ½ K•X2
1 1
m  Xm  ω 0  Sin (ω 0  t   )   K  Xm  Cos (ω 0  t   ) 
2 2

2 2
1 1
 m  X m  ω 0  Sin (ω 0  t   )  K  X 2m  Cos 2 (ω 0  t   ) Or m ω 02 = m
2 2 2

2 2
(K/m) =K
1 1
 K  X 2m  Sin 2 (ω 0  t   )  K  X m 2
 Cos (ω 0  t   )
2

2 2
1 2 2
2
  1
 K  X m  Sin (ω0  t  )  Cos2 (ω0  t  )  K  X2m 1
2
1 – Définition : Un oscillateur mécanique est un système mécanique qui lorsqu’il est 1
E m  K1 –XDéfinition :
2
m = cte.
Un oscillateur mécanique est un système mécanique qui lorsqu’il est
Le système est conservatif.
écarté de sa position d’équilibre stable, est animé d’un mouvement oscillatoire 2 écarté de sa position d’équilibre stable, est animé d’un mouvement oscillatoire
(fait des va et vient) autour de cette position. (fait des va et vient) autour de cette position.
2
Autres formules : m ω = m (K/m) =K 0

ℓ0 2 ℓ
• => E m 
1
2
 
 ω0  X m 
2
mRessort 2 1
2

m ω0  X m  2

1
2
m  Vmax 
2
E•m 
1
m  Vmax  0
2Barre de
Ressort
Fil Barre de Fil
masse (m) masse (m)
θ Solide • G Exercices : n° 07 et 09 page 57 du Livre deθPhysique
Solide AREX Terminale
• G C et D.
mvt Position mvt Position
θ d’équilibre θ d’équilibre
m m
mvt mvt mvt mvt
Pendule simple : Pendule pesant : Pendule élastique vertical : Pendule simple : Pendule pesant : Pendule élastique vertical :
θ = f (t) θ = f (t) Allongement x = f(t) θ = f (t) θ = f (t) Allongement x = f(t)
NB : * Une alternance = 1 aller ou un retour. * Une oscillation = 1 aller + 1 retour. NB : * Une alternance = 1 aller ou un retour. * Une oscillation = 1 aller + 1 retour.
* La période = la durée d’une oscillation. * La période = la durée d’une oscillation.
Exemples :

1 – Définition : Un oscillateur mécanique est un système mécanique qui lorsqu’il est 1 – Définition : Un oscillateur mécanique est un système mécanique qui lorsqu’il est
écarté de sa position d’équilibre stable, est animé d’un mouvement oscillatoire écarté de sa position d’équilibre stable, est animé d’un mouvement oscillatoire
(fait des va et vient) autour de cette position. (fait des va et vient) autour de cette position.

ℓ0 Ressort
ℓ0 Ressort
• •
Fil Barre de Fil Barre de
masse (m) masse (m)
θ Solide • G θ Solide • G
mvt Position mvt Position
θ d’équilibre θ d’équilibre
m m
mvt mvt mvt mvt
Pendule simple : Pendule pesant : Pendule élastique vertical : Pendule simple : Pendule pesant : Pendule élastique vertical :
θ = f (t) θ = f (t) Allongement x = f(t) θ = f (t) θ = f (t) Allongement x = f(t)
NB : * Une alternance = 1 aller ou un retour. * Une oscillation = 1 aller + 1 retour. NB : * Une alternance = 1 aller ou un retour. * Une oscillation = 1 aller + 1 retour.
* La période = la durée d’une oscillation. * La période = la durée d’une oscillation.

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