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Cours et Exercices de
PHYSIQUE – CHIMIE
A
Séquence 2 :
Lentilles sphériques minces ; Par :
Electrostatique ; Yann Norfé BEMBA D.
Courant continu ; « L’expert »
Electrolyse en solutions aqueuses ; Le – Sage KIF.
Générateurs électrochimiques ;
Professeurs certifiés des Lycées
Analyse élémentaire.
Avant – propos.
AVANT – PROPOS
Ce document, destiné aux élèves de Premières scientifiques est spécialement conçu pour les préparer
aux évaluations en Sciences – Physiques, mais aussi pour leur donner un assez bon niveau en vue de
leur préparation à leur prochain Baccalauréat. Il présente un condensé plus ou moins détaillé de tout le
programme de Première en vigueur. Rédigé d’une manière simple, il évite tout formalisme ou
abstraction inutile et suit au plus près les commentaires officiels. Conformément à la nouvelle
évaluation en classe de Première, il permet à l’élève de bien assimiler les notions présentées dans
chaque chapitre, car on y trouve des définitions simples et claires appuyées par des exemples, des
énoncés des lois et théorèmes ainsi que des démonstrations détaillées dont les démarches sont
expliquées.
L’introduction des couleurs dans les figures et le texte les rend plus claires et plus suggestives, afin de
souligner l’importance des termes et expressions pour faciliter la compréhension et l’assimilation.
Certains chapitres sont appuyés par des « applications résolues » incorporées à la leçon ou à la fin de
celle – ci pour permettre une compréhension progressive du cours et une mise en œuvre des notions
introduites.
Compte tenu du jumelage des deux matières dans ce même document, rendant ainsi le programme très
long, nous avons jugé nécessaire de le subdiviser en plusieurs séquences comprenant chacune à la fois
quelques chapitres de physique et de chimie, afin de couvrir l’ensemble du programme. Chaque
chapitre est clos par une fiche d’évaluation « travaux dirigés » comprenant une série de questionnaires
de nature variable (Définitions des termes, questions à réponses constructives, questions à alternative
vrai ou faux, appariement, texte à trous…) dans la rubrique « l’essentiel du cours » ainsi qu’une
diversité d’exercices dans la rubrique « résolution d’un problème », dont l’ordre de difficulté va de la
couleur verte à la couleur rouge en passant par l’orange, le tout conçu pour préparer l’élève à aborder
l’épreuve de Sciences – physiques jusqu’au baccalauréat.
Nous espérons présenter ainsi un ouvrage clair et utile, propre à motiver les élèves de classes à
vocation essentiellement scientifique ou technique.
Nous serions reconnaissants à nos collègues utilisateurs de nous faire part de leurs remarques et nous
les en remercions d’avance.
Proposé par Yann Norfé BEMBA (L’expert) & Ing. Le – Sage KIF
CENTRE D’ENCADREMENT SAVOIR & LOGIQUE : ceslogique@yahoo.com 1
Table des matières
Proposé par Yann Norfé BEMBA (L’expert) & Ing. Le – Sage KIF
CENTRE D’ENCADREMENT SAVOIR & LOGIQUE : ceslogique@yahoo.com 3
Chapitre IV : Lentilles sphériques minces. Physique
( )
1’ II.2.3. Construction de l’image A’B’ d’un
1 objet AB perpendiculaire à l’axe optique.
On utilise les rayons passants par F, F’ et O.
O
F F’ 1er Cas : Objet réel situé à l’infini.
2’
A’
II.2. Construction d’images. F O F’
II.2.1. Approximation de GAUSS.
B’
Dans cette approximation, on ne considère que
des rayons proches de l’axe optique et dont
l’angle avec cet axe optique reste faible. Tout L’image A’B’ est située dans le plan focal
ce qui suit utilise cette approximation. image. Elle est réelle et renversée.
2ème Cas : Objet réel entre l’infini et le plan L’image A’B’ est réelle, renversée et plus petite
focal objet. que l’objet.
Si ̅̅̅̅ ̅̅̅̅
F’ A’
F O B
B’ F’
A=F O
Si ̅̅̅̅ ̅̅̅̅
L’image A’B’ infiniment grande est rejetée à
B l’infini.
B’ B’
Si ̅̅̅̅ ̅̅̅̅
A’ F A O F’
B
F’ A’
A F O L’image A’B’ est droite, plus grande que
l’objet, située entre l’infini et le centre optique.
Elle est virtuelle.
B’
B’
O F’
F A’ A Considérons les triangles IOF’ et IJB’
semblables, on a :
B I
Or ; ; ;
F’ A’ .
A F O D’où :
J
B’
Remarque : Remarques :
On oriente l’axe optique dans le sens de R1 : La nature d’un objet (ou d’une image) est
parcours de la lumière. donnée en fonction de sa position :
On prend ̅̅̅̅ et ̅̅̅̅̅̅ positifs vers le ̅̅̅̅
{
haut. ̅̅̅̅
̅̅̅̅̅
{
̅̅̅̅̅
F O F’
III.2.1. Marche du rayon.
N.B : Comme pour les lentilles convergentes, Tout rayon parallèle à l’axe optique émerge
on constate que : . de la lentille en semblant provenir du foyer
Les deux foyers principaux (image et objet) principal image F’ (2).
sont symétriques par rapport au centre optique.
Tout rayon qui passerait par le foyer
principal objet F, émerge de la lentille
Remarque : Si F’ est situé en avant de la parallèlement à l’axe optique (3).
lentille, les rayons incidents parallèles à l’axe
optique semblent provenir de F’. F’ est virtuel.
Les rayons émergents s’écartent de l’axe. La
lentille est divergente (F est également virtuel).
2
1
III.1.4. Plans focaux, foyers secondaires.
A chacun des axes secondaires correspond : F’ O F
Un foyer secondaire image, virtuel ;
Un foyer secondaire objet, virtuel.
L’ensemble des foyers secondaires images 3
forme le plan focal image, virtuel.
L’ensemble des foyers secondaires objets
forme le plan focal objet, virtuel.
III.2.2. Construction de l’image A’B’ d’un
objet AB perpendiculaire à l’axe optique.
On utilise les rayons passants par F, F’ et O.
F1
1er Cas : Objet réel situé à l’infini.
F’ O F
Axe secondaire
Plan focal objet
B’
F IV. Vergence d’une lentille.
A’= F’ O
IV.1. Définition :
La vergence d’une lentille mince notée C, est
l’inverse de sa distance focale.
L’image A’B’ est virtuelle, droite et située dans
le plan focal image.
̅̅̅̅̅
ème
2 Cas : Objet réel situé après le foyer
image (̅̅̅̅ ̅̅̅̅̅).
Remarques :
B R1 : La vergence est une grandeur algébrique
qui s’exprime en dioptries .
Les lentilles convergentes (̅̅̅̅̅ , ont
B’
une vergence est positive ( ).
Les lentilles divergentes ( ̅̅̅̅̅ , ont une
A F A’ O F vergence est négative ( ).
3ème Cas : Objet virtuel situé entre le centre La vergence d’une lentille sphérique
optique et le plan focal objet (̅̅̅̅ ̅̅̅̅). mince est donnée en fonction de ses
caractéristiques ( , , et ) par la
relation générale :
B’
( )
B
Avec la convention suivante :
Les rayons des faces convexes sont
comptés positivement ;
F’ O A F A’
Les rayons des faces concaves sont
comptés négativement.
O
A A’ A1
̅̅̅̅ ̅̅̅̅̅
V.1. Accommodation.
Pour un œil normal (ou emmétrope) au repos,
l’image d’un objet situé à l’infini (en réalité
quelques centaines de mètres ou quelques
kilomètres) se forme sur la rétine. Lorsque Axe
l’objet se rapproche les muscles augmentent les principal
courbures du cristallin de telle sorte que d
l’image se forme toujours sur la rétine : l’œil
accommode (voir figure ci – dessous). Le
cristallin est donc une lentille à distance focale
variable, tout comme un « zoom ».
Mais si l’objet est très près (moins d’une dizaine de centimètres), l’œil ne peut plus accommoder ;
l’image se forme en arrière de la rétine : l’objet est vu flou. Un œil normal voit donc des objets situés
entre l’infini et une distance minimale de vision distincte, égale à 20cm environ. Examinons quelques
défauts de la vision qui peuvent être corrigés par des lunettes de vue.
P.R P.P
O Œil myope
5cm
a) La myopie. c) La presbytie.
La myopie est l’anomalie qui correspond à un La presbytie est due à une fatigue des muscles
œil qui ne permet pas de voir les objets d’accommodation ou à un manque de souplesse
éloignés. Un myope ne distingue correctement du cristallin. Cette anomalie apparaît avec
les objets qu’en deçà d’une distance maximale
l’âge. L’œil accommode mal, il ne peut voir les
Dm (de quelques mètres à quelques à quelques
centimètres). L’œil est trop convergent. En objets rapprochés, et sa distance minimale de
revanche, l’œil myope voit nettement plus près vision distincte augmente. On corrige ce
qu’un œil normal, à 5cm par exemple. manque de convergence du cristallin, en
Pour corriger ce défaut, le myope doit porter utilisant des verres convergents.
des lunettes dont les verres sont des lentilles
divergentes qui ramènent à la distance Dm
l’image des objets situés à l’infini.
Corrigé 2.
( )
AB = = 4cm ; f = 0,5m ;
D’où : objet réel : (p 0) p = Ŕ 75cm
( )
D’où :
A.N :
2°) a) Position et nature de l’image A1B1.
D’après la relation de conjugaison :
D’où :
F’ A1
A F O
B1
Sis enceinte du
COMPLEXE SCOLAIRE ANNE BENOÎTE
10, Rue Mossendjo, Diata Makélékélé
Brazzaville
REPUBLIQUE DU CONGO
Contact : 05 586 16 40 / 06 662 88 60
E-mail : ceslogique@yahoo.com
Centre d’encadrement Savoir & Logique « Une Meilleure Formation pour une Bonne Carrière »
L’ESSENTIEL DU COURS
On répondra en considérant le cas d’une lentille convergente, puis celui d’une lentille divergente.
1°) La vergence d’une lentille est un nombre positif.
2°) La distance focale d’une lentille est inférieure à zéro.
3°) Le foyer objet F et le foyer image F’ sont virtuels.
4°) Les foyers objet et image sont deux points conjugués symétrique par rapport au centre optique.
5°) Les positions A et A’ de deux points conjugués sont reliées par la relation :
̅̅̅̅̅ ̅̅̅̅
6°) Un rayon lumineux parallèle à l’axe optique donne un rayon dont le support passe par F.
7°) Un rayon lumineux incident dont le support passe par F émerge parallèlement à l’axe optique.
8°) Un faisceau parallèle incident donne une image ponctuelle situé dans le plan focal image.
9°) La lentille peut donner d’un objet réel une image virtuelle.
10°) La lentille peut donner d’un objet réel une image réelle.
11°) La lentille peut donner d’un objet virtuel une image virtuelle.
12°) La lentille peut donner d’un objet virtuel une image réelle.
13°) Le grandissement est négatif lorsque l’objet et l’image sont l’un et l’autre virtuels.
IV – Appariement.
Relie un élément – question de la colonne A à un élément – réponse de la colonne B dans le
tableau ci – dessous :
Exemple a10 = b8.
Colonne A Colonne B
a1 Formule de conjugaison b1
a2 Vergence b2
a3 Grandissement b3 Image dans le plan focal image
a4 Lentille divergente b4
a5 Image réelle b5
a6 Objet virtuel b6 Foyers objet et image virtuels
a7 Objet à l’infini b7
EXERCICE 1 : Fais la représentation graphique de l’image A’B’ d’un objet AB de hauteur 3cm
placé :
1°) à 6cm d’une lentille convergente de distance focale f1 = 3cm.
2°) à 3cm d’une lentille convergente de distance focale f2 = 3cm.
3°) à 2cm d’une lentille convergente de distance focale f3 = 3cm.
4°) à 2cm d’une lentille divergente de distance focale f4 = 3cm.
5°) à 2cm d’une lentille divergente de distance focale f5 = 3cm, l’objet étant placé après la lentille.
Donne à chaque fois la nature de l’image obtenue, après avoir donné celle de l’objet.
EXERCICE 4 : Un objet réel de 2cm de hauteur est placé à 50cm d’une lentille divergente de distance
focale 10cm. Détermine la nature, la position, la grandeur et le sens de son image. Fais la figure.
EXERCICE 5 : Une lentille convergente placée à 20cm d’un objet réel AB donne une image virtuelle
trois fois plus grande que l’objet. Quelle est la distance focale de la lentille ? Déduis – en sa vergence.
N.B : l’image est droite.
EXERCICE 6 : La vergence d’une lentille mince dont les deux faces sont sphériques, est donnée par
la formule :
( )
̅̅̅̅ ̅̅̅̅
Dans laquelle n est l’indice de la lentille, O est le centre optique, C1 est le centre de courbure de la
face d’entrée et C2 celui de la face de sortie.
1°) On donne : ̅̅̅̅ = - ̅̅̅̅ = 50cm et n = 1,5.
Quelle est la nature de la lentille ? Calculer sa distance focale.
2°) Même question pour ̅̅̅̅ = - ̅̅̅̅ = - 25cm et n = 1,5.
3°) Que devient la formule pour une lentille plan convexe ?
EXERCICE 9 : Une lentille plan convexe L, constituée d’un verre d’indice n = 1,5 possède un rayon
de courbure R = 0,25m.
1°) Calcule sa vergence et sa distance focale.
2°) Un objet AB de longueur 2mm est placé perpendiculairement à l’axe principale de la lentille à
0,75m de celle – ci.
a) Détermine la position, la nature, le sens et la grandeur de l’image.
b) Construis cette image.
EXERCICE 10 : Un objet placé devant une lentille convergente de distance focale f = 20cm, laisse
apparaître sur l’écran une image réelle quatre fois plus grande que l’objet. Sachant que l’image est
renversée, à quelle distance de l’objet faut – il placer la lentille et l’écran ?
EXERCICE 11 : D’un objet réel AB, on veut obtenir une image renversée 4 fois plus grande que
l’objet sur un écran placé à 5m de l’objet. Précise :
1°) La position de la lentille.
2°) La distance focale et la nature de la lentille.
3°) Illustre la solution algébrique par une construction géométrique.
EXERCICE 12 : Un objet AB de taille 8cm est placé devant une lentille L de distance focale x. On
obtient une image virtuelle deux fois plus petite que l’objet mais droite.
1°) Donne la nature de la lentille L si l’objet est à 14cm de la lentille L.
2°) Quelle serait la position et la nature de l’image A’B’ si la lentille L était divergente et de distance
focale 10cm. L’objet AB de taille toujours 8cm est placé à 14cm après la lentille.
EXERCICE 14 : 1°) Une lentille de distance focale 0,32m dont l’axe principal est vertical est placée
entre un objet AB et un écran E fixe, distants de 2m.
Quelle est la vergence et la nature de cette lentille ?
2°) Cette lentille est un ménisque dont les faces ont pour rayons de courbure 10cm et 30cm. Quel est
l’indice de la substance dont est faite la lentille ?
3°) On remplit la face concave d’un liquide d’indice inconnu et l’on constate que le système permet
d’obtenir sur l’écran E une image nette de l’objet AB si le ménisque est placé à 172cm de E. Quel est
l’indice du liquide utilisé ?
(AB et E occupent toujours les positions précisées au 1°)
EXERCICE 15 : Un microscope est constitué d’un objectif L1 et d’un oculaire L2 assimilables à des
lentilles minces convergentes dont les caractéristiques sont citées ci – dessous :
Objectif L1 : f1 = 4cm ;
Oculaire L2 : f2 = 2cm ;
Distance O1O2 = 16cm.
Un objet AB de taille 1cm est placé devant la lentille L1 à 6cm de O1.
1°) Fais la construction de l’image A1B1 donnée par L1 et de l’image A’B’ obtenu du microscope.
2°) Vérifie les résultats par les calculs (position, nature, grandeur et sens des images A1B1 et A’B’).
3°) Quelle est la grandeur de l’image A’B’ par rapport à l’objet AB.
4°) Calcule la distance focale et la vergence du système.
EXERCICE 16 : Deux lentilles convergentes identiques L1 et L2 de vergence 10δ sont placées à 10cm
l’une de l’autre. Leurs axes optiques coïncident.
1°) Un objet AB est placé à 30cm en avant de la première lentille. Détermine la position et la taille de
l’image A’B’ donnée par L1.
Donne le sens et la nature de l’image A’B’ en utilisant le schéma.
2°) Détermine la position de A’B’ par rapport à la deuxième lentille.
3°) A’B’ joue le rôle d’objet pour la seconde lentille.
a) Quelle est la nature de cet objet ;
b) Détermine la position, la taille de l’image A’’B’’ par L2 puis le sens et la nature de l’image
A’’B’’ en utilisant le schéma.
4°) Le système optique constitué par les deux lentilles donne de l’objet AB l’image A’’B’’.
a) Détermine graphiquement la position de A’’B’’ par rapport à AB ;
b) Calcule le grandissement de l’image A’’B’’ par rapport à AB ;
c) Détermine la distance focale de ce système de deux lentilles.
On donne : AB = 1,5m.
b) Interprétation.
Sur le bâton (plastique, verre) et sur les petits
papiers attirés se développent des charges
électriques.
b) Interprétation.
On dit que la charge de A agit par influence sur
B qui appartient au milieu voisin. Sur B les
électrons libres sont refoulés le plus loin (a)
possible de A (si A est chargé négativement
comme sur la figure) ou attirés le plus près
possible (si A est chargé positivement). A
L’expérience montre d’ailleurs que B, B
primitivement neutre, redevient neutre quand partie frottée
on éloigne le corps influençant A ; le pendule
retombe.
(b)
II. Influence des matériaux sur l’effet
d’électrisation. partie frottée
II.1. Expérience.
Electrisons une tige de résine (ou ébonite
ou plexiglas…) en la frottant à l’une de ses métal
extrémités et en la tenant par l’autre ; nous isolant
notons que seule l’extrémité frottée agit sur
un pendule – témoin (a). Les charges
électriques sont donc localisées en certains
points et ne se répartissent pas sur toute la II.2. Conducteurs et isolants.
tige. Une substance qui permet le déplacement des
charges est un conducteur (les métaux, le corps
Recommençons de la même manière avec humain, l’eau liquide, le sol…).
une tige métallique tenue à la main : Une substance dans laquelle les charges ne
l’électrisation est impossible. peuvent pas se déplacer est un isolant (le verre
sec, les résines synthétiques, la paraffine,
Répétons le dernier essai en tenant la tige l’huile, le soufre, le caoutchouc …). Entre les
métallique par un support en paraffine, ou parfaits conducteurs et les parfaits isolants
en verre, ou en matière plastique. Un existent de nombreux intermédiaires.
pendule – témoin est attiré par tout point du
métal ; les charges électriques développées
sur un métal se distribuent sur toute sa III. Influence réciproque des charges.
surface (b). III.1. Interaction entre charges immobiles
dans le vide.
Deux corps chargés s’attirent ou se repoussent
d’autant plus faiblement qu’ils sont plus
éloignés l’un de l’autre et les forces électriques
diminuent beaucoup dès que les distances
augmentent.
A ⃗ ⃗ B
avec:
F en Newton (N)
et en Coulomb (C) ⃗⃗ (+) (–) ⃗⃗
en mètre (m).
Répulsives, si et sont de
même signe.
⃗ A B ⃗ ⃗ ⃗
⃗⃗ (+) (+) ⃗⃗
(–) (–)
⃗
Elles ont pour norme :
| |
IV. Champ électrostatique.
On dit qu’il existe un champ électrique spatial
dans une région quand une charge électrique y
⃗⃗ : vecteur unitaire de l’axe (AB) orienté de est soumise à une force. C’est le cas au
A vers B, on a vectoriellement : voisinage de tout corps électrisé, en particulier
entre un pendule et le corps qui l’attire ou le
⃗ repousse.
⃗⃗
⃗ ⃗⃗
Remarque : Si une charge q est soumise à
l’action de plusieurs autres charges, elle subit
une force électrostatique totale ⃗ égale à la
somme vectorielle des forces ⃗ , ⃗ , ⃗ ,…
produites par chacune des charges sources , ⃗⃗
, , ….
⃗ ⃗⃗
Soit : A
⃗ ⃗ ⃗ ⃗ Région où règne
un champ
électrique
⃗ ⃗⃗
A M ⃗⃗
(+)
Le sens opposé si .
⃗⃗ ⃗
Si ce champ est orienté de M
vers A, on dit qu’il est centripète.
⃗⃗ ⃗⃗ ⃗⃗ ⃗⃗ V. Potentiel électrostatique.
V.1. Travail d’une force électrostatique dans
(–) un champ quelconque.
B
IV.4. Champ uniforme. ⃗
A
Définition : Un champ électrique est uniforme
si, en tout point, le vecteur ⃗⃗ a même
direction, même sens, même module. ⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Soit :
⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Exemple : Champ électrique réalisé entre deux
plateaux plans, conducteurs parallèles, reliés
aux pôles d’une machine électrique, séparés
d’une faible distance d. V.2. Travail d’une force électrostatique dans
un champ uniforme.
faible
intervalle (d)
⃗⃗ une ligne
⃗ de champ
⃗⃗
C ⃗
⃗⃗
⃗
⃗⃗
⃗
⃗⃗
⃗
⃗
⃗⃗
D
O C’ D’ x
Sur une ligne de champ (AB) on a : V.3.1. Expression de la d.d.p entre deux
points A et B placés entre les armatures.
⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ D’après ce qui précède, on a :
D’autre part :
Sur le trajet quelconque (CD) ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
L’égalité des deux expressions donne :
⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
D’où :
⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Ce travail est indépendant du chemin suivi par
la charge pour aller de C en D.
Ainsi : Corrigé 1 :
Avec et en posant
D’où :
En un point M on a :
Exercices d’application.
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L’ESSENTIEL DU COURS
4°) La force électrique ⃗⃗⃗⃗ et le champ électrique ⃗⃗⃗⃗ ont le même sens lorsque la charge électrique q
de la particule est négative.
5°) Le vecteur champ électrique ⃗⃗⃗⃗ entre deux plaques chargées d’un condensateur est orienté de la
plaque négative vers la plaque positive.
6°) Le champ électrostatique créé par une charge positive en un point de l’espace champ est centripète.
7°) L’intensité de la force de Coulomb s’exerçant entre deux charges dépend de la distance entre ces
deux charges.
8°) Les lignes de champ sont perpendiculaires aux armatures, et parallèles à l’intérieur d’un
condensateur.
9°) Le travail d’une force dans un champ électrostatique ne dépend pas du chemin suivi, mais
seulement des positions des points de départ et d’arrivée.
10°) Les surfaces équipotentielles d’un champ uniforme sont les plans parallèles, perpendiculaires à la
direction du champ ⃗⃗ .
V – Appariement.
Relie un élément – question de la colonne A à un élément – réponse de la colonne B dans le
tableau ci – dessous :
Exemple a10 = b8.
Colonne A Colonne B
Force électrique exercée par | |
a1 b1
deux charges
a2 Champ électrique b2
Travail d’une force
a3 b3 Vecteur champ centrifuge
électrostatique entre A et B
Différence de potentiel entre
a4 b4
deux points A et B
| || |
a5 Champ électrostatique uniforme b5
Energie potentielle d’une charge
a6 b6 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
électrique en un point M
Champ créé par une charge
a7 b7 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
positive en un point
VI – Texte à trous.
Ecris les phrases suivantes en complétant les mots manquants :
On appelle champ ….(1)…. toute ….(2)…. de l’espace où une ….(3)…. est soumise à une ….(4)….
A l’intérieur d’un condensateur dont les plaques sont appelées ….(5)…. règne un champ ….(6)….
uniforme dirigé dans le sens des potentiels ….(7)…. Lorsqu’une particule de charge q est placée dans
cet espace où règne un champ électrostatique uniforme ⃗⃗ , il est soumis à la force de….(8)…. ou force
….(9)…. ⃗ ⃗⃗ parallèle aux ….(10)…. de champ, et perpendiculaires aux ….(11)…. du condensateur.
⃗⃗⃗⃗
EXERCICE 2 : Dans un plan rapporté au repère (O, ⃗, ⃗), on place une charge q1 = Ŕ 2µC en A(0 ;2)
et une charge q2 = +3µC en B(1 ; 4).
1°) Fais la représentation des actions électrostatiques.
2°) Calcule le module de la force électrostatique.
EXERCICE 3 : Deux charges ponctuelles égales, distantes de 10cm, se repoussent avec une force de
0,5N.
1°) Quelle est la valeur en coulomb de ces charges.
2°) De combien faudrait – il les rapprocher pour que la force de répulsion prenne une intensité de 1N ?
EXERCICE 4 : Deux sphères identiques, métallisées ayant chacune une masse m = 50mg sont
suspendues au même point d’un support par des fils de soie, de même longueur ℓ = 50cm.
Après électrisation par contact sur le même pôle d’une machine électrostatique, les deux sphères
portent les charges égales ; elles s’écartent alors de 5cm. Calcule la valeur de ces charges.
EXERCICE 5 : Aux sommets d’un triangle isocèle et rectangle en A dont les côtés mesurent
AB = AC = 20cm, on pose respectivement les charges qA = +2.10-7C ; qB = Ŕ10-7C et qC = +10-7C.
Détermine les caractéristiques de la force s’exerçant sur la charge qA.
EXERCICE 6 : Aux sommets A, B, C d’un triangle équilatéral dont le côté a pour longueur 10cm, on
place les charges qA = 10-7C ; qB = 10-7C et qC = Ŕ 10-7C.
Détermine les forces résultantes s’exerçant sur chacune de ces trois charges.
EXERCICE 7 : Trois charges électriques q1, q2 et q3 sont placées au sommet d’un triangle équilatéral
de côté R = 10cm. Calcule le module de la force exercée par l’ensemble de deux charges sur l’une
d’elle. On donne : q1 = q2 = q3 = 10-8C.
EXERCICE 9 : 1°) Une charge électrique q1 = 5µC est placée à 10cm d’une charge électrique
q = 2µC. Détermine la force électrique F1 (intensité) s’exerçant sur la charge q. Compare cette force
au poids d’une masse de 1Kg à Paris où g = 9,8N/Kg.
2°) Deux charges électriques q1 = +5µC et q2 = +10µC sont placées en A et B tels que AB = 20cm.
On place la charge électrique q = +2µC au milieu I de AB. Détermine la force électrique F2 (intensité)
s’exerçant sur la charge q.
3°) Deux charges électriques q1 = +5µC et q3 = Ŕ 10µC sont placées en A et B tel que AB = 20cm. On
place la charge électrique q = +2µC au milieu I de AB. Détermine la force F3 (intensité) s’exerçant sur
la charge q.
4°) Soit un triangle isocèle rectangle MNP dont l’hypoténuse MN vaut a = 10cm. On place, en M la
charge électrique q1 = +5µC, en N la charge q2 = +2µC et en P la charge q = +2µC.
Détermine la force électrique F4 (intensité) s’exerçant sur la charge q.
5°) Détermine les caractéristiques du vecteur champ électrique au point P.
EXERCICE 10 : Aux sommets A, B, C, D d’un carré de 20cm de côté, on place respectivement des
charges ponctuelles ayant pour valeur +10-6C ; +2.10-6C ; +10-6C ; Ŕ 2.10-6C. Détermine le vecteur
champ électrique créé par l’ensemble de ces charges au centre du carré et la force que subit en ce point
une charge de Ŕ 10-6C.
EXERCICE 11 :
S1(+q) S2(Ŕ q)
On considère un système de charges ponctuelles + q et Ŕ q,
disposé aux quatre sommets d’un carré selon la figure ci –
O dessous. Détermine les caractéristiques du champ électrique au
centre O du carré, sachant qu’une charge unique q crée en O, un
champ valant 1000V/m. (Fais un schéma)
S4(+q) S3(Ŕ q)
EXERCICE 12 : Deux plaques métalliques planes sont verticales. Elles sont distantes de 4cm. La
plaque de gauche est chargée négativement, celle de droite positivement. La tension entre les deux
plaques est de 3000V.
1°) Détermine les caractéristiques, du vecteur champ électrostatique.
2°) Calcule le travail de la force électrostatique qui déplace un électron de la plaque négative à la
plaque positive. On néglige le poids de la particule.
EXERCICE 14 : Deux charges électriques ponctuelles Ŕ 2µC et Ŕ 3µC sont placées en deux points A
et B distants de 16cm.
1°) Détermine les caractéristiques du champ électrique qu’elles créent au point I :
a) Situé à 16cm de A et de B ;
b) Situé sur le prolongement de AB à 5cm de A.
2°) Où doit – on placer le point K sur le segment AB pour que le champ créé par les charges soit nul ?
EXERCICE 15 : Une goutte d’huile électrisée est en équilibre dans le champ électrique existant entre
deux plaques métalliques A et B, parallèles et horizontales entre lesquelles existe une d.d.p (VA Ŕ VB).
Calcule le diamètre de cette goutte sphérique à partir des données suivantes :
VA Ŕ VB = 3000V ; distance entre les plaques d = 1,5cm ; masse volumique de l’huile ρ = 0,9g/cm3 ;
charge de la goutte : 10 électrons excédentaires ; charge élémentaire e = 1,6.10-19C.
EXERCICE 16 : Deux charges ponctuelles identiques qA = qB = 10-6C sont placées l’une à côté de
l’autre à une distance AB = 20cm.
1°) Calcule l’intensité des forces électriques que ces charges exercent l’une sur l’autre.
2°) On considère une troisième charge qC = Ŕ10-6C située en un point C tel que A, B et C forment les
sommets d’un triangle équilatéral.
a) Calcule l’intensité du vecteur champ résultant E1 produit par les charges qA et qC au milieu M
de AC ;
b) Calcule l’intensité du vecteur champ résultant E produit par les trois charges au milieu M de
AC. Déduis – en la force que subit une charge q = 2.10-6C placée en ce point M.
N.B : AC est horizontal.
EXERCICE 17 : Aux sommets d’un triangle isocèle rectangle en A dont les côtés AB = AC = 20m, on
pose respectivement les charges ponctuelles qA = +2.10-7C ; qB = Ŕ 10-7C et qC = +10-7C.
1°) Détermine le vecteur champ électrostatique ⃗⃗ au point H (H est le pied de la hauteur AH).
2°) Quelle est la valeur de l’angle entre le vecteur champ ⃗⃗ et la direction de la hauteur AH.
EXERCICE 18 : Deux plaques métalliques A et B planes, distantes de 50cm sont placées dans le
vide. Un électron de la plaque A est attirée par la plaque B.
1°) Fais un schéma sur lequel apparaitront les signes des charges des plaques.
2°) Quels sont le sens et le module du vecteur champ électrostatique sachant que la d.d.p entre A et B
est U = Ŕ 4000V et que le champ est uniforme.
3°) Quel est le travail de la force électrostatique qui agit sur l’électron lorsque celui – ci passe de la
plaque A à la plaque B ? Ce travail dépend – il du chemin suivi ? Pourquoi ?
EXERCICE 19 : Deux pendules identiques sont formés d’une petite sphère légère et métallisée, de
masse 0,2g, suspendu à un fil de soie de longueur 1m. On les attaches à une barre horizontale en des
points distants de 2cm. Après avoir électrisé les deux sphères par contact sur un même conducteur
électrisé, on constate que le fil de l’un des pendules accuse, par rapport à la verticale, une déviation de
10°. On demande :
1°) La déviation du fil de l’autre pendule.
2°) L’intensité des forces électriques s’exerçant sur les sphères.
3°) La valeur absolue des charges q et q’ des deux sphères dans les deux cas suivants :
a) q = q’ ;
b) q = 3q’.
EXERCICE 20 :
A D B
Calcule le travail des forces électriques lors du déplacement
r d’une charge q = 1nC de A vers B puis, de C vers D (voir
schéma). On donne : r = 6cm ; a = 8cm ; q1 = 3,33nC et
q2 = Ŕ 3,33nC.
q1 a/2 C a/2 q2
EXERCICE 21 : Entre deux plaques A et B verticales distantes de d = 10cm, on applique une tension
U = 2.103V. A est chargé négativement.
1°) Fais un schéma du dispositif représentant les lignes de champs orientées. Comment appelle – t –
on un tel champ ?
2°) Calcule l’intensité E du champ régnant entre A et B.
3°) On introduit entre les deux plaques A et B un pendule électrostatique dont la boule porte une charge
q = 40µC. Le pendule s’incline et reste en équilibre sans être en contact avec une plaque.
a) Trace correctement les forces qui agissent sur le boule ;
b) Calcule l’angle d’inclinaison α du fil sachant que le poids de la boule est P = 10-2N.
4°) En absence du champ électrostatique, le fil du pendule de longueur L = 30cm est d’abord vertical
au milieu des plaques. Au moment où l’on crée le champ électrostatique, la boule se déplace
horizontalement d’une distance d’ donnant ainsi au fil l’inclinaison d’angle α. Calcule :
a) La valeur de d’ ;
b) Le travail fourni par la force électrostatique pendant ce déplacement.
EXERCICE 22 : 1°) Aux sommets A, B, C d’un triangle rectangle isocèle, on place respectivement les
charges ponctuelles qA = 10-6C ; qB = 9.10-6C et qC = 10-6C.
a) Calcule la force électrostatique FAC exercée par qA sur qC.
b) Calcule la force électrostatique FBC exercée par qB sur qC.
c) Détermine les résultantes des forces électrostatiques qui s’exercent sur qC.
On donne : AB = AC = 10cm et  = 90°.
2°) Dans une région de l’espace règne un champ électrostatique uniforme d’intensité E = 1000V/m.
Dans le repère orthonormé (O, ⃗, ⃗, ⃗⃗ ), ce champ a pour expression ⃗⃗ ⃗.
a) Calcule la différence de potentiel entre les points A(2 ; 0 ; 0) et B(4 ; 2 ; 0).
b) Calcule le travail de la force électrostatique qui s’exerce sur un noyau d’hélium (He2+) lorsque
cette particule passe du point A au point B, l’unité de longueur étant le centimètre.
EXERCICE 23 : Une goutte d’huile se trouve chargée négativement parce qu’elle a gagné, par
frottement un certain nombre d’électrons. Au cours d’une expérience on a constaté qu’une goutte
d’huile de masse m = 10-9g, placée dans un champ électrique dirigé verticalement vers le bas et valant
1,25.106V/m restait en équilibre (expérience de Millikan).
1°) Fais un schéma avec ⃗⃗ , la force de gravitation et la force de Coulomb qui s’exercent sur la goutte.
2°) Calcule la charge électrique portée par la goutte d’huile quand elle est en équilibre.
3°) Calcule le nombre d’électrons que la goutte d’huile a dû capter pour obtenir cette charge négative.
K
A l’extérieur du générateur le courant va du
pôle au pôle . Il est naturel de
s n supposer qu’il traverse le générateur pour
rotation parcourir la boucle complète d’un circuit
fermé. Donc :
A l’intérieur du générateur, le courant va du
On ferme l’interrupteur, le courant circule, pôle au pôle .
l’ampèremètre indique le passage du courant.
La lampe traversée par le courant s’allume
et s’échauffe. Le passage du courant dégage I I
de la chaleur : c’est l’effet calorifiques ou
thermique.
I
Ou : A3
I I2 A2 I
Précision de I.
Si l’ampèremètre est de classe 1 ou 2 : A
La valeur de l’intensité est comprise entre : L’égalité suivante est toujours vérifiée :
∑
Définition : On appelle tension entre M et N, la
défférence de potentiel (d.d.p) aux bornes d’un
dipôle.
Exemple : Sur la figure ci – dessous :
I1 I2
La tension est une grandeur algébrique car elle
peut être positive ou négative.
I3
I5 I4
Le potentiel en M est plus grand qu’en N.
I1 et I3 sont positifs.
I2, I4, I5 sont négatifs.
On a alors :
Soit :
Conséquence :
D’où :
La somme des courants qui arrivent à un nœud
vaut la somme des courants qui partent de ce
nœud.
N.B : Aux bornes d’un générateur . La valeur de l’intensité est comprise entre :
N P
M N
R Sur un fil, la tension est nulle, alors :
; ; ; .
V D’où :
Précision de U.
A C
P E
Maille BCDEB :
R R R Avec ;
D’où :
N F
B D
∑
Exercice d’application
A B C
F E D
Maille ABFA :
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COMPLEXE SCOLAIRE ANNE BENOÎTE
10, Rue Mossendjo, Diata Makélékélé
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Contact : 05 586 16 40 / 06 662 88 60
E-mail : ceslogique@yahoo.com
Centre d’encadrement Savoir & Logique « Une Meilleure Formation pour une Bonne Carrière »
L’ESSENTIEL DU COURS
V – Appariement.
Relie un élément – question de la colonne A à un élément – réponse de la colonne B dans le
tableau ci – dessous :
Exemple a10 = b8.
Colonne A Colonne B
Force électrique exercée par | |
a1 b1
deux charges
a2 Champ électrique b2
Travail d’une force
a3 b3 Vecteur champ centrifuge
électrostatique entre A et B
Différence de potentiel entre
a4 b4
deux points A et B
| || |
a5 Champ électrostatique uniforme b5
Energie potentielle d’une charge
a6 b6 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
électrique en un point M
Champ créé par une charge
a7 b7 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
positive en un point
VI – Texte à trous.
Ecris les phrases suivantes en complétant les mots manquants :
On appelle champ ….(1)…. toute ……. de l’espace où une ….(2)…. est soumise à une ….(3)….
A l’intérieur d’un condensateur dont les plaques sont appelées ….(4)…. règne un champ ….(5)….
uniforme dirigé dans le sens des potentiels ….(6)…. Lorsqu’une particule de charge q est placée dans
cet espace où règne un champ électrostatique uniforme ⃗⃗ , il est soumis à la force de….(7)…. ou force
….(8)…. ⃗ ⃗⃗ parallèle aux ….(9)…. de champ, et perpendiculaires aux ….(10)…. du condensateur.
1°) Quel est le débit d’électrons correspondant à ce courant ? (Débit = nombre d’électrons qui
traversent une section du circuit par seconde).
2°) Au bout de combien de temps (en seconde) est débitée une quantité d’électricité de 0,2Ah ?
On donne : e = 1,6.10-19C.
EXERCICE 2 :
C P A
On considère le montage suivant :
1°) Indiquer le sens des différents courants
électrique dans les branches du circuit.
2°) Compléter le tableau des intensités ci –
dessous :
D N B
Branche NP PA AB BN PC CD DN AN
Intensité 3A 0,5A 1A
EXERCICE 3 : L’ampèremètre A1 de 100 divisions sur le calibre 3A a une aiguille qui s’immobilise
sur la division 60. L’ampèremètre A2 de 150 divisions sur le calibre 500mA, voit l’aiguille
s’immobiliser sur la division 110.
1°) Préciser les nœuds et énoncer la loi des nœuds.
2°) a) Calculer I1, I2, I3 et I4 dans les différentes branches lorsque .
b) Déduire le courant principal I libéré par le générateur.
A B
I I1 I4
A1 I3 A2
E D
EXERCICE 4 :
A B C
E
Proposé par Yann Norfé BEMBA (L’expert) & Le – Sage KIF
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Chapitre VI : Le courant continu. Physique
I1 I3 I6 I5
I
I7
H G F E
I1 = 1A ; I4 = 2A ; I5 = 1,5A ; I7 = 3A.
1°) Donner le sens de circulation du courant dans le circuit.
2°) Combien y a t – il de nœud dans le circuit ?
3°) Déterminer les intensités I2, I3 ; I6 et I.
4°) Quel est le débit d’électrons produit par le générateur ?
EXERCICE 6 :
I1 I3
Calculer les intensités des courants
A
qui sont inconnues dans la portion
de circuit suivante :
I2 B
On donne : I1 = 1A ; I2 = 2A ;
I4 I7
I3 = 0,5A ; I6 = 0,2A.
I8
C I6
I5
U5 = 14V D3 D2 U2 = – 3V
U3
E D4 C
U4
EXERCICE 9 :
A B C D
On considère le montage ci – contre :
On mesure UBG = 10V ; UCD = 4V.
Calculer UCF, UFD, UDE. Représenter par
les flèches ces trois tensions.
H G F E
I
On mesure I1 = 1,2A, I2 = 0,35A, I3 = 2,33A, I4 = 0,2A et I = 2,68A.
Calculer les intensités des courants I1’, I2’, I3’ et préciser leur sens sur le schéma.
EXERCICE 11 : Dans le circuit schématisé ci – dessous, on a les relations suivantes entre les
tensions aux bornes des dipôles :
A C E
UAE = UCD ; UCA = – 3UEF et UDB = 2UCE.
De plus, un voltmètre branché entre A et B
indique une tension de 12V ; branché entre
F et D, il indique 2V.
Calculer UFE ; UAC ; UCB ; UDB et UCD.
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Chapitre VI : Le courant continu. Physique
B D F
EXERCICE 12 :
I
I1 I2 On considère le montage suivant :
A On donne : I = 5A ; I1 = 2A ; I5 = 4A.
Calculer les intensités des courants I2, I3
B et I4.
I4 I3 I5
C
D
I
EXERCICE 13 : Déterminer les valeurs des intensités I1, I2, I3 et I4 dans le montage ci – dessous et
préciser le sens des courants correspondants.
C
I1 2A
B A D
1A I4
I2 E I3
EXERCICE 14 :
A B Sur le schéma ci – contre, on connait les
tensions U1 = 1,5V ; U2 = – 2,5V ; U3 = 0,75V.
U1 1°) Que vaut U4 ?
U4 U2 2°) Quelles sont les valeurs de U5 = VB – VD et
U6 = VA – VC ?
3°) En prenant le potentiel du point C comme
D C référence, classer par ordre croissant les
U3 potentiels VA, VB, VC et VD.
I1 I9
A 1 9 D
2 8
I2 E I8
I3 3 I6 7 I7
4 6
I4 5
B I5 C
EXERCICE 16 :
B
A B C D E
F G
I A B U1
O
V I1 I2 I3 I(A)
Avec :
N.B : R s’exprime en Ohm ( ) : résistivité à 0°C ;
: coefficient de température ;
: température ;
Conductance.
: résistivité à la température .
La conductance d’un résistor est l’inverse de sa
résistance :
G
I
III. Association des dipôles.
III.1. Association des dipôles en série.
Les dipôles (résistors) sont montés en série,
A thermomètre
s’ils sont traversés par le même courant I.
I A B C D
R1 R2 R3
U1 U2 U3
Résistance équivalente.
C
La loi d’Ohm s’écrit pour chaque résistor :
liquide
{
L’ensemble est disposé de manière à minimiser D’après la loi d’additivité des tensions, on a :
les échanges de chaleur avec le milieu
extérieur.
Il y a dans le calorimètre une masse d’eau à
la température (température initiale).
La chaleur apporté par effet joule par le L’ensemble des résistors R1, R2, R3 est
passage d’un courant d’intensité I dans le fil équivalent à un résistor unique de résistance
conducteur de résistance R pendant un temps Req.
est : Ainsi :
D’où :
( )
D’une manière générale, la résistance
: masse d’eau (Kg) ; équivalente des résistances montées en série
est :
Ainsi :
∑
Alors
( )
R1
I1 D’une manière générale, la résistance
I A I2 B équivalente des résistances montées en série
R2 est :
∑
I3
R3
Sachant que : ;
UAB
Alors :
Résistance équivalente.
La loi d’Ohm aux bornes de chaque dipôle
s’écrit : Soit :
{
Exercice d’application.
( )
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L’ESSENTIEL DU COURS
V – Appariement.
Relie un élément – question de la colonne A à un élément – réponse de la colonne B dans le
tableau ci – dessous :
Exemple a10 = b8.
Colonne A Colonne B
Force électrique exercée par | |
a1 b1
deux charges
a2 Champ électrique b2
Travail d’une force
a3 b3 Vecteur champ centrifuge
électrostatique entre A et B
Différence de potentiel entre
a4 b4
deux points A et B
| || |
a5 Champ électrostatique uniforme b5
Energie potentielle d’une charge
a6 b6 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
électrique en un point M
Champ créé par une charge
a7 b7 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
positive en un point
VI – Texte à trous.
Ecris les phrases suivantes en complétant les mots manquants :
On appelle champ ….(1)…. toute ……. de l’espace où une ….(2)…. est soumise à une ….(3)….
A l’intérieur d’un condensateur dont les plaques sont appelées ….(4)…. règne un champ ….(5)….
uniforme dirigé dans le sens des potentiels ….(6)…. Lorsqu’une particule de charge q est placée dans
cet espace où règne un champ électrostatique uniforme ⃗⃗ , il est soumis à la force de….(7)…. ou force
….(8)…. ⃗ ⃗⃗ parallèle aux ….(9)…. de champ, et perpendiculaires aux ….(10)…. du condensateur.
On appelle dipôle, tout système électrique Sens 2 : Le dipôle actif convertit de l’énergie
ayant deux bornes (résistances, condensateurs, électrique en une autre forme autre que
alimentations stabilisées ; générateur de
l’énergie thermique (sinon c’est un dipôle
signaux, etc…)
passif). Sa puissance est négative
On appelle dipôle actif, tout dipôle (P2 = U.I < 0). Il reçoit de l’énergie électrique :
pouvant fournir de la puissance électrique ; c’est un récepteur.
c’est Ŕ à Ŕ dire capable de débiter un courant
dans une charge branchée à ses bornes. Exemple : Moteur ; batterie de voiture…
Remarque :
Un dipôle actif est un convertisseur d’énergie. Pour un dipôle actif, toute l’énergie électrique
mis en jeu n’est pas transformée en chaleur : il
y a transformation d’énergie.
Energie Il est polarisé : il est nécessaire de distinguer
mécanique, sens 1 Dipôle Energie les deux bornes du dipôle actif (sa
chimique, actif électrique caractéristique n'est pas symétrique).
thermique, sens 2
lumineuse… Rappels : Pour un dipôle actif donné, il est
judicieux de choisir la convention de
représentation qui correspond au mode de
Energie perdue fonctionnement le plus courant de ce dipôle.
En résumé :
Un générateur possède deux caractéristiques
principales, généralement constantes en service
La force électromotrice (f.é.m) s’exprime en normal :
volts (V). 1°) Sa force électromotrice (en volts), qui
exprime, numériquement, son aptitude à
fournir une certaine puissance quand il débite
Ordre de grandeur de la f.é.m. une intensité déterminée, c’est – à – dire de
Les ordres de grandeur des f.é.m de certains l’énergie aux électrons qui le traversent.
générateurs sont : Numériquement la f.é.m exprime en volts le
Un élément de la pile pour lampe de nombre de joules cédés à chaque coulomb. La
poche : ; f.é.m d’un générateur ne dépend pas de ses
dimensions.
Un élément d’accumulateur au plomb : 2°) Sa résistance interne ou intérieure (en
ou ;
ohms) qui exprime numériquement son
Une batterie d’accumulateur
aptitude à absorber par effet Joule, une partie
(automobile): ou ;
V 0,5
I(10-3A)
I P N 0 50 100 150 200 250
I
A Figure 4
Ces relations permettent de donner une La puissance électrique disponible entre les
interprétation énergétique concrète de la force bornes du générateur (puissance consommée
électromotrice. Si, dans la première, on fait dans le circuit extérieur) est donc :
I = 1 ampère, on obtient P = E ; si, dans la
troisième, on prend coulomb, on a : Ainsi :
. Autrement dit :
D’où :
Un générateur a une force électromotrice E
volts s’il fournit une puissance de E watts
quand il débite un courant de 1 ampère, ou une
énergie de E joules quand il est traversé par
On retrouve la loi d’ohm aux bornes du
une quantité d’électricité de 1 coulomb.
générateur.
En résumé :
III. Fonctionnement en récepteur. Un récepteur possède deux caractéristiques
principales, pratiquement constantes en service
Définition : On appelle récepteur, tout dipôle normal :
actif qui transforme l’énergie électrique reçue 1°) Sa force contre Ŕ électromotrice (en volts),
en énergie autre que thermique. qui exprime, numériquement, son aptitude à
transformer de l’énergie électrique en une
forme autre que la chaleur ;
Exemple : moteur électrique ; électrolyseur ; 2°) Sa résistance interne ou intérieure (en
voltmètre ; …. ohms) ; qui exprime, numériquement, son
aptitude à absorber de l’énergie, par effet
joule, quand le courant traverse l’appareil.
III.1. Force contre – électromotrice d’un
récepteur (f.c.é.m).
I P N 4
I
3
A
2
A B
Rh 1
I(10-3A)
V
0 60 75 90 105 120
Figure 6
Figure 4
D’où :
On retrouve la loi d’ohm aux bornes du
récepteur.
f.é.c.m E’
Ainsi une cuve pour l’électrolyse de l’eau
(solution de soude) a une f.c.é.m. :
on ne peut donc faire cette électrolyse en
Figure 7 prenant comme générateur une pile Leclanché
et
On considère le montage ci – dessous de n
générateurs montés en série :
( ) ( ) ( )
I I IV.2. Association des dipôles en parallèle
(avec des générateurs identiques).
I P N ( )
Ainsi :
(1) I1
La loi des nœuds pour m dérivations : I1
(2) P N
Pour le générateur équivalent :
I1
(3)
Figure 8
{
La f.é.m et la résistance interne , d’une
D’où : série sont :
;
Définition : Les dipôles actifs sont en Entre A et C par addition membre à membre :
opposition quand le pôle (+) de l’un est relié
directement au pôle (+) de l’autre. Soit :
G1 G2
C B A
Ainsi, deux générateurs montés en opposition
( ( forment un groupement dont la f.é.m est égale
I I à la différence des f.é.m individuelles et la
résistance interne est égale à la somme des
résistances internes individuelles ; c’est le
générateur de plus grande f.é.m qui impose le
A
sens du courant.
Figure 8
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L’ESSENTIEL DU COURS
V – Appariement.
Relie un élément – question de la colonne A à un élément – réponse de la colonne B dans le
tableau ci – dessous :
Exemple a10 = b8.
Colonne A Colonne B
Force électrique exercée par | |
a1 b1
deux charges
a2 Champ électrique b2
Travail d’une force
a3 b3 Vecteur champ centrifuge
électrostatique entre A et B
Différence de potentiel entre
a4 b4
deux points A et B
| || |
a5 Champ électrostatique uniforme b5
Energie potentielle d’une charge
a6 b6 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
électrique en un point M
Champ créé par une charge
a7 b7 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
positive en un point
VI – Texte à trous.
Ecris les phrases suivantes en complétant les mots manquants :
On appelle champ ….(1)…. toute ……. de l’espace où une ….(2)…. est soumise à une ….(3)….
A l’intérieur d’un condensateur dont les plaques sont appelées ….(4)…. règne un champ ….(5)….
uniforme dirigé dans le sens des potentiels ….(6)…. Lorsqu’une particule de charge q est placée dans
cet espace où règne un champ électrostatique uniforme ⃗⃗ , il est soumis à la force de….(7)…. ou force
….(8)…. ⃗ ⃗⃗ parallèle aux ….(9)…. de champ, et perpendiculaires aux ….(10)…. du condensateur.
Borne A Borne B
I I
(E;r)
Condensateur U V
Le farad (F) est une unité trop grande pour les Très souvent, on exprime la permittivité d’un
condensateurs usuels ; on utilise ses sous – diélectrique à l’aide de celle du vide. On définit
multiples : la permittivité relative d’un diélectrique à l’aide
le microfarad (μF) = 10-6F de :
le nanofarad (nF) = 10-9F
le picofarad (pF) = 10-12F
Finalement :
1.3.3 Capacité d'un condensateur plan
Un condensateur plan, est un condensateur dont
les armatures sont planes, parallèles, de même
surface S et séparées par un diélectrique Le tableau ci – dessous donne pour certains
d'épaisseur e et de permittivité . diélectriques les valeurs des permittivités
Sa capacité se calcule suivant la formule relatives.
suivante :
Permittivité Champ de
Substance
relative claquage
air (sec) 1,0006 3 MeV/m
2 papier 3,7 16 MeV/m
S : surface des armatures s'exprime en (m ) ;
e : épaisseur du diélectrique s'exprime (m) ; eau 8,0
: permittivité du diélecrique s'exprime en verre 4–6 9 MeV/m
farads par mètre (F/m) ; paraffine 2,2
C : capacité du condensateur s'exprime en huile d’olive
farads (F).
; ; C3 C2 C1
B U A
Figure
Le groupement se comporte comme un
condensateur unique. Le condensateur
L’expérience montre que tous les
équivalent (c'est – à – dire qui stocke la même
condensateurs prennent la même charge.
quantité d'électricité sous la tension U) a pour
Les tensions supportées par les différents
valeur de la capacité la somme des capacités de
condensateurs de la chaîne sont telles que :
chaque condensateur.
Electrons A
E UAB
Electrons B
L'inverse de la capacité équivalente à un
groupement de condensateurs en série est égal
à la somme des inverses des capacités des
différents condensateurs. Figure
Figure
II. Charge et décharge d’un condensateur.
II. Charge d’un condensateur.
Les électrons accumulés sur l’armature B calculer. Prenons par exemple le condensateur
circulent vers l’armature A où ils neutralisent à armatures parallèles, séparées par du vide,
les charges positives. On dit que le représenté sur la figure X.2.
condensateur se décharge.
Lorsqu’il est complètement déchargé, la
tension à ses bornes vaut : .
C Q constante
V
(X.1)
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V – Appariement.
Relie un élément – question de la colonne A à un élément – réponse de la colonne B dans le
tableau ci – dessous :
Exemple a10 = b8.
Colonne A Colonne B
Force électrique exercée par | |
a1 b1
deux charges
a2 Champ électrique b2
Travail d’une force
a3 b3 Vecteur champ centrifuge
électrostatique entre A et B
Différence de potentiel entre
a4 b4
deux points A et B
| || |
a5 Champ électrostatique uniforme b5
Energie potentielle d’une charge
a6 b6 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
électrique en un point M
Champ créé par une charge
a7 b7 ⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
positive en un point
VI – Texte à trous.
Ecris les phrases suivantes en complétant les mots manquants :
On appelle champ ….(1)…. toute ……. de l’espace où une ….(2)…. est soumise à une ….(3)….
A l’intérieur d’un condensateur dont les plaques sont appelées ….(4)…. règne un champ ….(5)….
uniforme dirigé dans le sens des potentiels ….(6)…. Lorsqu’une particule de charge q est placée dans
cet espace où règne un champ électrostatique uniforme ⃗⃗ , il est soumis à la force de….(7)…. ou force
….(8)…. ⃗ ⃗⃗ parallèle aux ….(9)…. de champ, et perpendiculaires aux ….(10)…. du condensateur.
I.4. Electrodes.
On distingue deux types d’électrodes :
Remarque : Au cours d’une électrolyse, il se Anode : C’est l’électrode positive de
produit toujours une réaction d’oxydo – l’électrolyseur, par laquelle entre le
réaction non spontanée. courant dans la solution.
Cathode : C’est l’électrode négative de
l’électrolyseur, par laquelle sort le
courant dans la solution.
b) Classification électrochimique des couples De même un oxydant est d’autant plus fort
redox. que la valeur numérique du potentiel redox
Le couple de référence est le couple auquel il appartient est élevé.
dont le potentiel redox est nul.
b) et
.
Réponse :
a)
: oxydant le plus fort ;
: réducteur le plus fort.
̅
D’où :
A C
K
: masse molaire du produit libéré.
: valence de l’ion ou nombre d’électrons
échangés. I
̅ Pour la solution de ( )
A l’anode : il se dégage le dichlore. Il y
o En milieu basique : a oxydation de l’ion en .
̅
̅
A la cathode : il se dégage du
A la cathode : il y a réduction ; il se
dihydrogène. Il y a réduction de l’ion
dégage du dihydrogène ( ).
en .
o En milieu acide.
̅
̅
Equation – bilan.
o En milieu basique.
̅
̅
̅
Equation bilan.
o En milieu acide.
̅
Pour la solution de ( )
̅
A l’anode : il se dégage le dichlore. Il y
a oxydation de l’ion en .
Exercices d’application.
II.3. Electrolyse d’une solution de soude
( ). Exercice 1 : On réalise l’électrolyse d’une
solution de sulfate de sodium (2Na+ + )
A l’anode : il y a oxydation des ions avec des électrodes de platine. En 5 minutes, on
en ; ce qui produit un observe le dégagement de 100cm3 de gaz à la
dégagement de dioxygène. cathode.
1°) Ecris les équations des réactions
̅ susceptibles de se produire aux électrodes
(N.B : équilibrage des réactions en milieu
A la cathode : il se dégage du acide).
dihydrogène. Il y a réduction de l’ion 2°) On observe un dégagement gazeux au
en . niveau de chaque électrode. Pourquoi ? Ecris
les équations des réactions aux électrodes et
̅ l’équation bilan.
3°) Quelle est la tension minimale à appliquer ?
Equation – bilan. 4°) Quel est le volume de gaz dégagé à
l’anode ?
̅ On donne : E°(Na+/Na) = Ŕ 2,71V ;
̅ E°( / ) = 2,01V ;
E°(O2/H2O) = 1,23V ; E°(H3O+/H2) = 0,00V.
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I – Définitions notions.
Définis les termes et expressions suivants : Electrolyse ; Electrolytes ; Electrolyseur ; Potentiel
redox ; Différence de potentiel ; Force contre électromotrice.
5°) Quand plusieurs espèces sont réductibles à la cathode, c’est l’oxydant du couple redox ayant le
potentiel redox le plus élevé qui est d’abord oxydé.
6°) Lors de l’électrolyse d’une solution, à l’anode il y a oxydation de l’oxydant le plus fort.
7°) Lors de l’électrolyse d’une solution, à la cathode il y a réduction de l’oxydant le plus fort.
8°) L’eau est un solvant des solutions aqueuses et joue un rôle limitant dans une électrolyse.
9°) L’électrolyse de l’eau conduit au dégagement du dihydrogène et du dioxygène.
10°) L’eau pure conduit le courant électrique.
IV – Appariement.
Relie un élément – question de la colonne A à un élément – réponse de la colonne B dans le
tableau ci – dessous :
Exemple a1 = b7.
Colonne A Colonne B
a1 Electrolyte b1
a2 Electrolyse de l’eau b2
a3 Couple de référence b3 Solution de ( )
Différence de potentiel entre les
a4 b4
électrodes de l’électrolyseur
a5 Force contre électromotrice b5
Puissance reçue par un Dégagement du dihydrogène et du
a6 b6
électrolyseur dioxygène
a7 Loi de Faraday b7
EXERCICE 1 : On réalise l’électrolyse d’une solution aqueuse d’acide iodhydrique (H3O+ + ) dont
les électrodes sont en platine.
Données : E°(I2 / ) = 0,53V ; E°(H3O+ / H2) = 0,00V ;
L’eau intervient dans les couples : O2/H2O : E°(O2/H2O) = 1,23V ; H2O/H2 : E°(H2O/H2) = Ŕ 0,83V.
1°) Ecris les différentes réactions possibles au niveau des électrodes.
2°) Quelles sont les réactions ayant effectivement lieu ?
3°) Quelle est le bilan de cette électrolyse ?
4°) Calcule les volumes des gaz dégagés à la cathode et à l’anode lorsque l’électrolyseur a été traversé
par une quantité d’électricité Q = 10Ah. Déduis – en l’intensité du courant si celle – ci a durée
3h57min2s.
On donne : N = 6,02.1023mol-1 ; e = 1,6.10-19C ; Vm = 22,4L.mol-1.
EXERCICE 2 : On fait passer un courant d’intensité I = 200mA pendant une durée de 10mn dans un
électrolyseur contenant une solution d’acide sulfurique (H2SO4).
Calcule les volumes des gaz recueillis aux électrodes dans les C.N.T.P.
Proposé par Yann Norfé BEMBA (L’expert) & Le – Sage KIF
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Chapitre IV : Phénomènes d’électrolyse en solution aqueuse. Chimie
EXERCICE 3 : On électrolyse une solution de sulfate de cuivre utilisant des électrodes inattaquables
en graphite. En 10mn, on observe un dégagement de 500cm3 de gaz à l’anode.
1°) Quelle est la masse de cuivre déposée ?
2°) Quelle est l’intensité du courant ?
3°) Calcule la diminution de masse de l’électrode.
EXERCICE 8 : 1°) On prépare une solution de chlorure de cuivre II (Cu2+ + 2CℓŔ) en faisant
dissoudre dans 2L d’eau 27g de soluté CuCℓ2.
a) Calcule la concentration molaire de la solution.
b) Déduis – en les concentrations molaires volumiques des ions en solution.
2°) On électrolyse cette solution par un courant continu d’intensité I = 2A pendant 4 heures.
a) Quelles sont les réactions chimiques qui se produisent aux électrodes ? Ecris leurs équations.
b) Calcule la quantité de matière d’électrons ayant réagi aux électrodes.
c) Calcule les quantités :
Des ions cuivre II initiaux ;
Des ions cuivre II ayant réagi ;
Des ions cuivre II restants.
EXERCICE 10 : Un électrolyseur contient une solution de sel bivalent et il est traversé par un courant
de 1A. Après 16 minutes, on obtient à la cathode 0,3175g de ce métal. Identifie le métal bivalent.
On donne : F = 96500C.mol-1.
EXERCICE 11 : l’électrolyse d’une solution de chlorure de manganèse II (Mn2+ + 2CℓŔ) acidifiée par
l’acide chlorhydrique (H3O+ + CℓŔ) a duré 15 minutes avec des électrodes en platine.
1°) Ecris les équations des réactions susceptibles de se réaliser à la cathode et à l’anode.
2°) Du manganèse se dépose à la cathode et du dichlore se dégage à l’anode ; pourquoi ?
3°) Calcule la masse de Mn déposé si on a obtenu dans les C.N.T.P un volume gazeux à l’anode de
112cm3.
4°) Calcule l’intensité du courant qui a circulé dans l’électrolyseur. Déduis – en la quantité d’électricité
ainsi que le prix à payer si 2 coulombs reviennent à un prix de 1300FCFA.
5°) Calcule la concentration de la solution de chlorure de Mn II si le volume de la solution est de 0,5L.
EXERCICE 13 : On veut déposer par électrolyse une couche d’argent de 0,1mm d’épaisseur sur une
cuillère de 50cm2 de surface.
1°) Dis comment on procède et fais l’étude quantitative de cette électrolyse.
2°) Quelle est la quantité d’électricité nécessaire ?
3°) L’intensité du courant est de 1,5A. Quelle est la durée de l’opération d’argenture ?
On donne : F = 96500C.mol-1.
EXERCICE 14 : On veut chromer un par – choc d’automobile de surface 15dm2 sur une épaisseur de
50mm, par électrolyse d’une solution contenant des ions Cr3+.
1°) Comment faut – il procéder ?
2°) Quelle est la durée de l’opération si l’intensité du courant est 80A ?
On donne Cr = 52g/mol ; masse volumique du chrome = 8900Kg/m3.
EXERCICE 15 : On électrolyse une solution de bromure de cuivre II, dans une cuve à électrode de
graphites.
1°) Décris et interprète l’électrolyse.
2°) On électrolyse 500cm3 de cette solution à 1mol/L. Quelle est la nouvelle concentration après que
l’électrolyseur ait été traversé par une quantité d’électricité Q = 10Ah ?
3°) Détermine la masse m du produit obtenu à l’anode.
On donne : Br = 80g/mol.
EXERCICE 16 : L’aluminium est préparé par électrolyse de l’alumine Aℓ2O3 dissoute dans un bain
fondu à une température voisine de 1000°C. Celle – ci peut être considérée comme formé d’ions Aℓ3+
et O2Ŕ. La cathode est en acier et l’anode en graphite.
1°) Ecris les demi – équations électroniques des réactions aux électrodes.
2°) Le dioxygène obtenu réagit avec le carbone de l’anode pour donner du monoxyde de carbone
(CO).
a) Quelle masse d’aluminium obtient – on par électrolyse d’une tonne d’alumine anhydre ?
b) Quelle est la durée de l’électrolyse si le courant a une intensité de 105 ampères ?
c) Quelle est la masse de l’anode oxydée pendant ce temps ?
Prendre : F = 96500C.mol-1.
EXERCICE 17 : On met en série deux électrolyseurs, l’un contient une solution de chlorure d’or
(Au3+ + 3CℓŔ) avec des électrodes d’or, l’autre une solution de chlorure d’hydrogène (H3O+ + CℓŔ)
avec des électrodes en platine. Un courant d’intensité constante traverse cette association pendant 15
minutes. On recueille à la cathode du deuxième électrolyseur 360cm3 de gaz. Détermine :
1°) L’intensité du courant ayant traversé le montage.
2°) La masse d’or métallique apparue simultanément à la cathode du premier électrolyseur.
3°) La masse d’anode oxydée.
On donne : Au = 197g/mol.
EXERCICE 18 : 1°) On électrolyse 200cm3 d’une solution de sulfate de cuivre II avec des électrodes
inertes en platine jusqu’à ce que la solution devienne incolore. L’augmentation de la cathode vaut
0,38g. Déduis – en la concentration molaire de la solution de sulfate de cuivre II.
2°) Pour vérifier ce résultat, on traite 200cm3 de la solution de sulfate de cuivre II par un excès de
chlorure de baryum (BaCℓ2). Le précipité obtenu est filtré, lavé et séché. La masse vaut 1,40g.
EXERCICE 19 : 1°) Un électrolyseur contient 100mL d’une solution de sulfate de cuivre II (Cu2+ +
), de concentration molaire volumique C = 1mol/L. Sa cathode est une tige de graphite, son anode
est un fil de cuivre de section S = 1,26.10-3cm2 et de longueur ℓ = 5cm (longueur immergé).
Un courant constant le traverse pendant 15min et l’anode disparait complètement. Calcule l’intensité
du courant.
2°) On considère le même électrolyseur, mais cette fois – ci la tige de graphite constitue l’anode et le
fil de cuivre la cathode.
a) Ecris les équations des réactions aux électrodes.
b) On laisse circuler un courant de 1A jusqu’à ce que la masse de la cathode cesse d’augmenter.
Calcule la durée de la réaction.
On donne : masse volumique du cuivre : = 8900Kg/m3 ;
Constante de Faraday : F = 96500C.mol-1 ; masse molaire atomique du cuivre : 64g/mol.
Solution de Solution de
( )
Figure 2
Ce bilan correspond à la réaction d’oxydo Ŕ
réduction spontanée susceptible de se produire
En fermant l’interrupteur K, on observe :
entre le zinc et les ions .
travers le pont ionique : ce pont permet donc la Elle vaut la différence de potentiel (d.d.p) entre
migration de certains ions. la cathode et l’anode de la pile et se calcule en
faisant la différence des potentiels redox des
d) Conclusion. couples redox constituant la pile.
D’une manière générale, un générateur
électro – chimique est constitué :
Dans le cas d’un pont ionique. Dépend des couples redox utilisés ;
Est d’autant plus grande que l’écart entre
les potentiels des deux couples est grand ;
Dans le cas d’une paroi poreuse. Dépend de la concentration des
électrolytes ;
Est constante pendant le fonctionnement
I.4. Grandeurs caractéristiques. normal de la pile.
I.4.1. Force électromotrice.
Remarque :
L’unité légale de la capacité est le
coulomb (C).
: résistance interne du générateur en ohm L’unité pratique de la capacité est
( ); l’ampère Ŕ heure (Ah).
: intensité du courant en ampère (A). 1Ah = 3600C
Remarque :
La résistance interne est d’autant plus faible I.4.4. Energie totale emmagasinée par un
que : générateur.
La surface des électrodes est grande ; C’est l’énergie emmagasinée dans le générateur
La distance qui sépare les électrodes est sous forme d’énergie chimique. Elle vaut :
petite ;
Les migrations des ions dans les
électrolytes et le pont ionique sont
rapides.
Remarque :
L’unité légale de l’énergie est le joule
: conductivité électrique ( ); (J).
L’unité pratique de l’énergie est le Watt
: distance entre les électrodes (m) ;
Ŕ heure (Wh).
: surface des électrodes (m2) ;
1Wh = 3600J
: résistance interne ( ).
Du dioxyde de manganèse à la
cathode ;
Le métal zinc à l’anode.
II.1. Les piles de commerce. Dans les deux cas, la solution d’électrolytes est
Ce sont des générateurs non rechargeables. On gélifiée pour éviter son écoulement afin de
distingue trois types de piles de commerce : permettre l’utilisation du générateur dans
Les piles salines ; n’importe quelle position : les piles sont dites
Les piles alcalines ; sèches.
Les piles boutons. Les piles cylindriques sont utilisées pour
alimenter en énergie, les postes radios, les
lampes de poche, les jouets…
II.2. Les accumulateurs ou batteries.
Ce sont des générateurs rechargeables. On
distingue deux types d’accumulateurs : III.1.2. Fonctionnement.
Les accumulateurs à électrolytes acides Equations des réactions aux électrodes.
comme l’accumulateur au plomb (Pb) ;
Les accumulateurs à électrolytes a) Piles salines.
basiques comme les accumulateurs au Borne ou anode : oxydation
nickel Ŕ cadnium, nickel Ŕ zinc, argent Ŕ anodique.
zinc, … ̅
b) Piles alcalines.
III. Etude d’une pile. Borne ou anode : oxydation
III.1. Piles cylindriques. anodique.
III.1.1. Description. ̅
Les piles cylindriques utilisent :
III.2.2. Fonctionnement.
Equations des réactions aux électrodes. IV.2. Fonctionnement.
a) Fonctionnement en charge.
Borne ou anode : oxydation Au cours de cette charge, l’accumulateur reçoit
anodique du zinc en milieu basique. l’énergie d’un circuit extérieur pour regénérer
̅ les réactifs consommés au cours de la
décharge, c’est – à – dire il s’effetue une
Borne ou cathode : réduction électrolyse.
cathodique.
̅
Equations aux électrodes.
̅
̅ Borne : réduction du plomb.
̅
Les piles boutons sont utilisées pour alimenter Borne : oxydation du plomb.
les montres, les calculatrices, les caméras…
̅
Bilan.
On a par proportion :
̅
D’où :
A.N :
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I – Définitions notions.
Définis les termes et expressions suivants : Générateur électrochimique ; Cathode ; Anode ; Force
électromotrice ; Capacité d’un générateur ; Accumulateur ;
4°) La f.é.m d’une pile d’autant plus grande que l’écart entre les potentiels des deux couples qui la
constituent est grand.
5°) Au cours de la charge d’un accumulateur il s’effetue une électrolyse.
6°) La f.é.m d’une pile est constante pendant le fonctionnement normal de la pile.
7°) Lors du fonctionnement d’une pile il y a oxydation à la cathode et réduction à l’anode.
8°)
9°)
10°)
IV – Appariement.
Relie un élément – question de la colonne A à un élément – réponse de la colonne B dans le
tableau ci – dessous :
Exemple a1 = b7.
Colonne A Colonne B
a1 Electrolyte b1
a2 Electrolyse de l’eau b2
a3 Couple de référence b3 Solution de ( )
a4 b4
a5 Force électromotrice de la pile b5
Dégagement du dihydrogène et du
a6 b6
dioxygène
a7 Loi de Faraday b7
a) Préciser les réactions chimiques qui se déroulent dans chaque demi – pile et dans la pile
globale.
b) Quelle est la perte de masse de l’électrode qui s’use en 6min35s ? Laquelle ?
On donne : e = 1,6.10-19C ; NA = 6,02.1023mol-1 ; MFe = 56g/mol.
EXERCICE 3 : On donne la chaine électrochimique d’une pile de type DANIELL telle que :
(–) Aℓ (2Aℓ3+ + ) (Zn2+ + ) Zn (+)
1°) Faire le schéma de la pile, puis préciser le sens du courant I, celui des électrons et la polarité.
2°) Calculer la f.e.m de la pile.
3°) a) Quelle est la nature de l’électrode consommée ?
b) Ecrire les équations des réactions aux électrodes.
c) Quelle est la masse du métal rongée, si la pile débite un courant de 1,08A en 1h20min ?
d) Quel type d’ions passe par le pont salin quand la pile fonctionne ? Justifier.
On donne : E°(Zn2+/Zn) = - 0,76V. E°(Aℓ3+/Aℓ) = - 1,77V ; Zn : 65 ; Aℓ : 27 (en g/mol) ; F
= 96500C.mol-1.
EXERCICE 4 : On réalise une pile de type Daniell mettant en jeu les couples Cu2+/Cu et Pb2+/Pb,
puis on relie les pôles de la pile par une résistance.
1°) Faire un schéma annoté de la pile en précisant le sens de circulation du courant et des électrons. On
donne : E°(Cu2+/Cu) = 0,34V ; E°(Pb2+/Pb) = – 0,13V.
2°) Ecrire l’équation bilan de fonctionnement.
3°) La masse totale de la lame métallique formant le pôle négatif diminue de 103,5mg en 16 minutes.
En déduire l’intensité du courant débité par la pile.
On donne : e = 1,6.10-19C ; NA = 6,02.1023mol-1.
EXERCICE 5 : On réalise une pile mettant en jeu les couples Ag+/Ag (E°(Ag+/Ag) = 0,80V) et
/NO (E°( /NO) = 0,96V.
1°) Ecrire les demi – équations et l’équation bilan de la réaction entre ces couples.
2°) Calculer la variation de masse de la lame d’argent sachant que la solution d’acide nitrique (H3O+
+ ) de concentration 0,5mol/L a un volume de 100cm3.
3°) Calculer le volume du monoxyde d’azote dégagé dans les C.N.T.P.
4°) Calculer la quantité d’électricité échangée.
EXERCICE 6 : Une pile utilisant du dioxyde de Manganèse (MnO2) comme oxydant est réactif
limitant à une capacité de charge électrique Qmax = 850mAh. Une pile alcaline de même format a une
capacité de charge électrique = 2,25Ah.
Quelle masse minimale m de dioxyde de manganèse était initialement utilisée dans chacune des piles ?
On donne : Mn = 55 ; O = 16 (g/mol) ; F = 96500C.mol-1.
EXERCICE 7 : Une pile alcaline zinc – dioxyde de manganèse a les caractéristiques suivantes :
f.e.m : 6V ;
capacité : 0,1Ah ;
EXERCICE 10 : Une pile a une f.e.m E = 1,5V et une résistance interne r = 1Ω. Elle débite un
courant constant d’intensité I = 500mA dans une résistance R et s’arrête de fonctionner au bout de 20h.
1°) Calculer la valeur de la résistance R.
2°) Calculer la capacité de la pile en ampère – heure.
3°) Quelle est la masse du zinc qui a disparue au cours du fonctionnement de la pile ?
EXERCICE 11 : Une pile a une force électromotrice E = 1,5V et une capacité totale Q = 800mAh.
1°) Calculer l’énergie totale emmagasinée en joule puis en watt – heure.
2°) Calculer l’énergie massique en joule par kilogramme et en watt – heure par kilogramme.
3°) Calculer l’énergie volumique en joule par mètre cube et en watt – heure par mètre cube.
Exemple :
Remarque : Tout composé organique naturel Le composé est formé de carbone (C),
ou artificiel contient l’élément carbone. d’hydrogène (H) et d’oxygène (O).
Cependant les oxydes de carbone et certains
composés constitués essentiellement du
carbone sont reconnus comme composés ayant II.2.1. Recherche de l’élément carbone (C).
un caractère minéral. II.2.1.1. Combustion dans le dioxygène de
l’air ( ).
Exemple : , , graphite, diamant. La combustion d’une substance organique
produit le dioxyde de carbone ( )
lorsque la combustion est complète. Le
trouble l’eau de chaux ; ce qui explique la
II. Analyse élémentaire. présence du carbone dans le réactif de
II.1. Définition. départ.
L’analyse élémentaire est un procédé chimique Si la combustion est incomplète, on obtient,
qui consiste à déterminer les différents soit le monoxyde de carbone ( ), soit un
dépôt noir de carbone ( ). La formation du
: volume
II.2.2. Recherche de l’élément hydrogène molaire.
(H).
Le dégagement de la vapeur d’eau après Loi des gaz parfaits.
l’oxydation d’un composé organique met en Pour un gaz parfait, on a :
évidence l’existence de l’élément hydrogène.
( )
12g 44g
Et On a :
D’où :
4g 36g
100% = %C + %H + %O + %N
On a :
D’où :
100% = %C + %H + %O + %N
Remarque :
Le dioxyde de carbone (CO2) augmente
les tubes à potasse (KOH) ou à soude
(NaOH).
Composition massique. L’eau (H2O) augmente les tubes à
Soit le composé . ponce sulfurique (H2SO4).
L’oxygène augmente les tubes à
phosphore.
On note :
Remarque :
{
Ainsi :
D’où :
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I – Définitions notions.
Définis les termes et expressions suivants : Electrolyse ; Electrolytes ; Electrolyseur ; Potentiel
redox ; Différence de potentiel ; Force contre électromotrice.
IV – Appariement.
Relie un élément – question de la colonne A à un élément – réponse de la colonne B dans le
tableau ci – dessous :
Exemple a1 = b7.
Colonne A Colonne B
a1 Electrolyte b1
a2 Electrolyse de l’eau b2
a3 Couple de référence b3 Solution de ( )
Différence de potentiel entre les
a4 b4
électrodes de l’électrolyseur
a5 Force contre électromotrice b5
Puissance reçue par un Dégagement du dihydrogène et du
a6 b6
électrolyseur dioxygène
a7 Loi de Faraday b7
EXERCICE 1 : Un corps organique A formé de C, H, O a pour densité de vapeur par rapport à l’air d
= 1,59.
1°) En déduire la masse molaire de A.
2°) On réalise la combustion complète de 0,2 mole de A et on obtient une masse d’eau liquide mL =
10,8g et un volume de V = 9,6L de CO2 gazeux, ce volume étant mesuré sous la pression
atmosphérique normale, à la température de 20°C.
En déduire la formule brute de ce corps. On donne : volume molaire à 20°C : 24L/mol.
EXERCICE 2 : 1°) Comment peut – on mettre en évidence les éléments carbone et hydrogène dans
un composé organique ?
2°) La vaporisation de 2,56g d’un composé organique produit à 100°C et sous la pression de 750mm
de mercure, une vapeur occupant un volume de 1057cm3. Quelle est la masse molaire moléculaire de
ce composé ?
3°) Ce composé a pour formule indéterminée CxHyOz. La combustion complète de 1,491g, fournit
3,54g de dioxyde de carbone et 1,81g d’eau.
a) Ecrire l’équation de la combustion avec les coefficients x, y et z.
b) En déduire la formule moléculaire et la composition massique centésimale du composé
analysé.
On donne : pression normale P0 = 760mm de mercure ;
Température normale : T0 = 273K ; T = T0 + t(°C).
Volume molaire dans les C.N.T.P : Vm = 22400cm3.mol-1.
EXERCICE 6 : La combustion complète d’un hydrocarbure gazeux est réalisée dans un eudiomètre.
On trouve que 25cm3 de O2 sont nécessaires à la combustion de 10cm3 de la substance. Il se forme
20cm3 de CO2 et de l’eau. Tous les volumes sont mesurés dans les conditions expérimentales.
1°) Ecrire l’équation de la réaction.
2°) En déduire la formule brute du composé.
Calculer la composition centésimale ou pourcentage en masse des différents éléments.
EXERCICE 7 : La densité de vapeur par rapport à l’air d’un composé organique azoté CxHyOzNt est
2,04.
1°) Calculer sa masse molaire approchée.
2°) La combustion totale de 0,295g de cette substance a fourni 0,40g de CO 2, 0,225g de H2O et 56cm3
de N2 dans les C.N.T.P.
a) Ecrire l’équation de la réaction de combustion ;
b) Déduire la formule brute du composé.
EXERCICE 8 : La combustion de 7,3g d’un composé organique CxHyOz a fourni 26,4g de CO2 et
5,4g de H2O.
D’autre part 760cm3 du composé à l’état gazeux à la température de 127°C et sous la pression de
800mm de mercure ont une masse de 1,92g.
1°) Montrer que la densité de vapeur de cette substance est voisine de 2,7.
On donne : ρair = 1,3.10-3g/cm3 (C.N.T.P) ; la relation de la densité est .
m = masse d’un certain volume de gaz ;
m’ = masse d’un égal volume d’air.
2°) Déduire de cette valeur la masse molaire approchée de la substance.
3°) Trouver sa formule brute.
EXERCICE 11 : On analyse 0,290g d’une substance organique ternaire non azotée, la combustion de
cette masse dans un tube à combustion contenant de l’oxyde de cuivre (CuO) et à la suite duquel sont
disposés des flacons absorbeurs de ponce sulfurique et de potasse a donné 0,270g de vapeur d’eau et
0,66g de dioxyde de carbone.
On désire déterminer la masse molaire approchée par la méthode de V. Meyer en opérant sur 0,15g de
substance. On recueille 62,4cm3 d’air mesurés sur la cuve à eau à 17°C et sous la pression de 737mm
de mercure.
Déterminer la densité, la masse molaire approchée et la formule brute de la substance.
On donne : ρair = 1,29.10-3g/cm3.
Définition.
Les hydrocarbures sont des composés I.2. Liaison covalente.
organiques formés uniquement des éléments ou C’est la mise en commun d’un doublet
atomes de carbone et d’hydrogène. d’électrons par deux atomes. Chaque atome
Leur formule générale est de la forme . apporte un électron pour la formation du
doublet.
Exemple : CH4 ; C2H4 ; C2H2 ; C3H8 ; C6H12
Exemple :
On distingue deux familles d’hydrocarbures: H
Les hydrocarbures saturés ou alcanes ; H
Les hydrocarbures insaturés : les H C H H–C–H
alcènes et les alcynes. H
H
H
I. Chaîne carbonée et liaison covalente.
I.1. Chaîne carbonée.
La chaîne carbonée est une succession des
atomes de carbone liés entre eux par des 109,28° C
liaisons covalentes ou multiples. Elle peut être
aliphatique (linéaire ou ramifiée) ou cyclique. H 109,28° H
Exemple :
I.4. Squelettes carbonés des alcanes. CH3 – CH2 – OH ou
On appelle squelette carboné des alcanes, un CH3 – CH2 – O – H
enchaînement des carbones qui les constituent. CH3 – C – CH3
Il peut être linéaire, ramifié ou cyclique. O
Chaque atome de carbone du squelette est
tétravalent.
I.5.3. Formule développée.
Exemple : La formule développée plane permet de mettre
Linéaire : CH3 – CH2 – CH2 – CH3 en évidence toutes les liaisons entre les
différents constituants de la molécule.
Ramifié : CH3 – CH – CH3
CH3 Exemple : H H
CH2 H–C–C–O–H
Cyclique : H2C CH2 H H
H2C CH2
II. Notion d’isomérie.
Deux composés sont dits isomères l’un de
I.5. Différents types de formules d’un l’autre lorsqu’ils ont la même formule
composé organique. moléculaire mais des formules semi –
On distingue trois (3) types de formules : développées ou développées différentes et par
La formule moléculaire ou brute ; conséquent des noms différents.
La formule semi – développée ;
La formule développée. Exemple : CH3 – CH2 – OH
C2H6O
CH3 – O – CH3
I.5.1. Formule moléculaire.
La formule moléculaire indique uniquement le
nombre et la nature de chaque constituant de la On distingue deux (2) types d’isomérie :
molécule. Aucune liaison n’est représentée. l’isomérie de constitution et l’isomérie
stéréoisomérie.
Exemple : C2H6O ; C2H2 ; C4H10O
L’isomérie de constitution comprend :
Les isomères de chaîne ;
I.5.2. Formule semi – développée. Les isomères de fonction ;
La formule semi – développée permet de mettre Les isomères de position de fonction.
en évidence les liaisons entre les atomes de
carbone et si possible les liaisons entre les
atomes de carbone et les fonctions II.1. Isomères de chaîne.
caractéristiques.
CH2
Exemple :
IV.1. Combustion des alcanes dans l’oxygène
CH2 de l’air.
ou Cyclopropane a) Combustion complète.
H2C CH2
H2C CH2
ou Cyclobutane
H2C CH2
CH2
b) combustion incomplète.
H2C CH2
ou Cyclohexane
H2C CH2
: monochlorométhane ;
: dichlorométhane ;
: trichlorométhane ou chloroforme ;
Exemple :
Combustion complète. : tétrachlorométhane ou tétrachlorure de
carbone
Hydrocarbures
Ethène (éthylène) C2H4 Ethyne (acéthylène) C2H2
insaturés
C C
Diagramme de
LEWIS
H H
H H
C C H C C H
Structure H H
géométrique
H H H–C C–H
C C
H H
Nomenclature. Nomenclature.
Pour nommer un alcène on : Pour nommer un alcyne on :
Détermine d’abord le nom de l’alcane Détermine d’abord le nom de l’alcane
correspondant au nombre d’atome de correspondant au nombre d’atome de
carbone de la chaîne carbonée la plus carbone de la chaîne carbonée la plus
longue ; longue ;
Substitue la terminaison « ane » par Substitue la terminaison « ane » par
« ène » ; « yne » ;
Indique le numero de l’atome de Indique le numero de l’atome de
carbone qui porte la double liaison ; ce carbone qui porte la triple liaison ; ce
numero doit être le plus petit possible ; numero étant le plus petit possible ;
Indique si possible les noms des Indique si possible les noms des
radicaux alkyles et les numeros des radicaux alkyles et les numeros des
carbone qui les portent. carbone qui les portent.
Exemple : Exemple :
n = 2 H2C = CH2 éthane éthène n = 2 HC CH éthane éthyne
n = 3 CH3 – CH = CH2 : Propane propène n = 3 CH3 – C CH Propane propyne
n = 4 CH3 – CH = CH – CH3 : Butène – 2 n = 4 CH3 – CH2 – C CH Butyne – 1
ou but – 2ène ou but – 1yne
Exemple :
Alcène C4H8 Exemple :
CH3 – HC = CH – CH3 but – 2ène
H2C = CH – CH2 – CH3 but – 1ène
Alcyne C4H6
CH3 – CH2 – C CH but – 1yne
CH3 – C C – CH3 but – 2yne
II.2. Hydrogénation.
L’hydrogénation des alcènes ou des alcynes
s’effectue en présence de deux catalyseurs : le
I.4.2. Isomérie géométrique.
Nickel de Raney (Ni) et le Paladium (Pd).
Les isomères géométriques ne diffèrent que par
leur représentation dans l’espace.
Tout alcène hydrogéné en présence de
Ni ou du Pd donne un alcane.
Exemple :
L’alcène H3C – CH = CH – CH3
→
→ Exemple :
→
Exemple :
→
II.3. Hydratation.
L’hydratation est l’addition d’une molécule
L’hydrogénation de tout alcyne en d’eau sur un alcène ou un alcyne.
présence du Pd conduit à un alcène.
L’hydration des alcènes se fait en
présence de l’acide sulfurique pris
→ comme catalyseur et conduit
nécessairement à un alcool.
→
→
Exemple :
→ Exemple :
→
(A)
L’hydrogénation de tout alcyne en
présence du Ni conduit à un alcane. (B)
→ →
→
Dichloro – 1,2
propane
Sis enceinte du
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L’ESSENTIEL DU COURS
I – Définitions notions.
Définis les termes et expressions suivants : Electrolyse ; Electrolytes ; Electrolyseur ; Potentiel
redox ; Différence de potentiel ; Force contre électromotrice.
5°) Quand plusieurs espèces sont réductibles à la cathode, c’est l’oxydant du couple redox ayant le
potentiel redox le plus élevé qui est d’abord oxydé.
6°) Lors de l’électrolyse d’une solution, à l’anode il y a oxydation de l’oxydant le plus fort.
7°) Lors de l’électrolyse d’une solution, à la cathode il y a réduction de l’oxydant le plus fort.
8°) L’eau est un solvant des solutions aqueuses et joue un rôle limitant dans une électrolyse.
9°) L’électrolyse de l’eau conduit au dégagement du dihydrogène et du dioxygène.
10°) L’eau pure conduit le courant électrique.
IV – Appariement.
Relie un élément – question de la colonne A à un élément – réponse de la colonne B dans le
tableau ci – dessous :
Exemple a1 = b7.
Colonne A Colonne B
a1 Electrolyte b1
a2 Electrolyse de l’eau b2
a3 Couple de référence b3 Solution de ( )
Différence de potentiel entre les
a4 b4
électrodes de l’électrolyseur
a5 Force contre électromotrice b5
Puissance reçue par un Dégagement du dihydrogène et du
a6 b6
électrolyseur dioxygène
a7 Loi de Faraday b7
EXERCICE 1 :
1°) Nommer les composés ci – dessous : CH3
a) CH3 – CH – CH – CH2 – CH3 b) CH3 – C – CH3
CH3 CH3 CH3
CH3 CH3
CH2 CH3 CH2
e) CH3 – CH – CH – CH – CH2 – CH2 – CH3 f) CH3 – C – C – CH2 – CH3
CH3 CH – CH3 CH3 CH2
CH3 CH3
2°) Ecrire toutes les formules semi – développées possibles des composés non cycliques suivants puis
les nommer : C5H12 ; C6H12 ; C7H12.
EXERCICE 2 :
Nommer les composés ci – dessous :
CH3 CH3
CH2 CH3 CH2 CH3
1°) CH3 – CH – CH2 – CH – CH – CH2 – CH3 2°) CH3 – C – CH2 – CH – CH – CH2 – C – CH3
CH3 CH3 CH3 CH2 CH3
CH3
CH3 Br CH3
3°) CH2Cℓ – C – CH – CH – CH – C – CH2 – CHCℓ – CH2Cℓ
CH3 I CH2 CH3
CH3
Cℓ
4°) CH3 – CH2 – CH – CH2 – CH – CH2Cℓ 5°) CH3 – CH2 – CH – CH – CH3
CH2 I CH2 – CH – CH3
CH3
Donner les formules semi – développés des composés suivants :
a) 2,3 – diméthyl pentane ; b) 2,2,4 – triméthyl heptane ; c) 3 – éthyl 2,5 – diméthyl octane.
EXERCICE 4 :
1°) Ecrire les formules semi – développées des composés dont les noms suivent :
a) Chloro – 2 iodo – 3 butène – 1. b) Cis diméthyl cyclo butène – 1.
c) Diméthyl – 2,3 butane. d) Trans 2 – chloro pent – 2 ène.
2°) Nommer les composés chimiques ci – après :
a) CH3 – C ≡ C – CH – CH3 b) CH2Cℓ – CH = CH – CH3
CH3
EXERCICE 5 :
1°) Nommer les composés ci – dessous :
a) CH3 – CH2 – CH – C ≡ CH b) CH3 – CH – C = C – CH3
CH3 – CH – CH2 – CH3 Cℓ Cℓ CH2 – CH3
CH3 CH3 Cℓ
b) C = C d) CH3 – C – CH2 – CH – CH3
H CH2 – CH – CH3 CH3 CH2 – CH2 – CH3
CH3
CH3 CH3
e) CH3 – CH – C ≡ C – CH – CH – CH3 f) CH3 – CH – C ≡ C – CH – C – CH3
CH3 CH2 CH2 CH3 CH3
CH3 CH3
2°) Ecrire les formules semi – développés des composés ci – dessous:
a) 3 – isopropy 4,5 – diméthyl nonane.
b) 2 Chloro 5 – méthyl hept – 3 yne.
c) 3 – éthyl 4 – méthyl hex – 4 ène.
d) 2,5 – diméthyl hex – 3 yne.
e) 3 – éthyl 7,7 – diméthyl oct – 4 yne.
CH3 CH3
EXERCICE 9 : Un hydrocarbure gazeux A dont la densité par rapport à l’air est 1,45. On fait brûler
2,25g de A dans le dioxygène et on obtient alors 2,7g d’eau et 3,6L de gaz carbonique dans les CNTP
(Vm = 22,4L.mol-1).
1°) Ecrire l’équation de combustion puis déterminer la formule brute de A.
2°) A quelle famille ce corps appartient – il ? Nommer ce corps A.
3°) On fait réagir A avec l’acide chlorhydrique. On obtient un mélange de deux composés chimiques
B1 et B2 ; détermine les formules semi – développées et les noms de B1 et B2.
EXERCICE 14 : Un alcène a une densité de vapeur égale à 2,4. Il possède trois isomères de position
qui par hydrogénation donnent le même alcane.
1°) Déterminer les formules semi – développés de ces trois isomères A, B et C. Quel est l’alcane
obtenu par hydrogénation ?
2°) Par hydratation, A et B donne le même alcool sachant qu’au cours de cette addition, l’atome
d’hydrogène se fixe sur le carbone le plus hydrogéné. En déduire l’isomère C.
EXERCICE 16 : La microanalyse d’un alcane A montre que le rapport entre la masse de carbone et la
masse d’hydrogène qu’il renferme est égale à 5. En déduire :
1°) La formule brute de l’alcane non cyclique.
2°) Sa formule semi – développée sachant que tous les atomes d’hydrogène qu’il contient
appartiennent à des groupes méthylés.
3°) Son nom.
EXERCICE 17 : La combustion complète d’un hydrocarbure gazeux est réalisée dans un eudiomètre.
On trouve que 25cm3 de O2 sont nécessaires à la combustion de 10cm3 de la substance. Il se forme
20cm3 de CO2 et de l’eau. Tous les volumes sont mesurés dans les conditions expérimentales.
1°) Ecrire l’équation de la réaction.
2°) En déduire la formule brute du composé.
Calculer la composition centésimale ou pourcentage en masse des différents éléments.
La Chimie est
trop difficile ; je
n’arrive pas….