L’an deux mille vingt et le 08 Juillet, deuxième journée de camp
topographie à l’Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics de l’Université Nationale des Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques d’Abomey ont été poursuivies, les activités de Topométrie débutées le 07 Juillet de la même année sous la supervision du Docteur Briac KOSSOUGBETO. A 07h, nous étions présents sur le site de SOGON et avec Monsieur Moubarak, nous avons fait trente minutes d’échauffement afin de réduire la quantité de graisse que nous avons accumulé au niveau de nos articulations la journée précédente. Ensuite, nous nous sommes rendu sur le terrain qu’on nous a délimité pour finir la polygonation. Les chaînages déjà faits, nous avons installé le théodolite à chaque sommet l’un après l’autre afin d’effectuer la mesure des angles horizontaux. Les résultats de cette opération seront traduits par la détermination de l’aire de la surface de cette zone délimitée. Après la polygonation, Monsieur Moubarak ABOUDOU nous a indiqué une autre espace de superficie de 30*30m 2 pour qu’on effectue le quadrillage. Le point de référence ici est le même que celui de la polygonation : une marche d’escalier du côté Sud-Ouest du bâtiment principal de l’administration. Les données recueillies après le quadrillage, avec un pas de 5m, nous permettrons de déterminer la hauteur appelée altitude-projet et de connaitre le volume de remblai ou de déblai a effectué pour que la surface quadrillée ait pour altitude uniforme l’altitude-projet. Nous déterminerons aussi le volume de remblai pour que le terrain quadrillé ait la même altitude que la référence. Notons que pour cette opération nous avons utilisé un niveau et une mire, une mire avec laquelle un membre (Isaac SOGLO) sur les points du quadrillage qu’on a fait et les deux autres membres du groupe (Edith CHABI et Roméo HESSOU) effectuaient la lecture sur la mire et notaient les valeurs prises en permutant bien sûr de poste. Après le quadrillage, l’opération qui suit est la détermination d’une hauteur visible accessible. Les informations obtenues après cette opération nous permettront de déterminer une hauteur visible mais inaccessible à base accessible. La hauteur pour laquelle nous avons effectué cette opération a pour base la première marche de l’escalier du bâtiment des gardiens sur site et pour hauteur la face inférieure de la dalle. Nous avons utilisé un théodolite et une mire pour cette opération : le théodolite pour prendre d’abord les gisements des points haut et bas (Vz1 et Vz2) de la hauteur puis le théodolite et la mire pour relever les mesures des trois fils stadimétriques et le gisement. Les informations obtenues avec la mire nous permettront de déterminer la distance horizontale entre le point de stationnement et la hauteur que nous voulons déterminée, importante pour la détermination de la hauteur. Une fois l’opération permettant la détermination d’une hauteur visible à base accessible terminée, l’opération suivante permet la détermination d’une hauteur visible à base inaccessible. Pour ce fait, on stationne le théodolite sur un point de référence, on vise le haut et le bas de la hauteur à déterminer afin d’obtenir les gisements des deux points. On se déplace ensuite dans le même alignement du premier point de stationnement et de la hauteur visée pour prendre aussi les gisements des points haut et bas de la hauteur. Pour le déplacement effectué pour le deuxième point de stationnement, chaque membre du groupe s’est déplacé à une distance différente de la distance d’un autre membre de groupe afin d’obtenir les informations différentes et de comparer les résultats (Roméo HESSOU 15m, Isaac SOGLO 15m et Edith CHABI 20m). La participation de tous est aussi inclue. La détermination de cette hauteur pour notre groupe est axée sur le poteau d’’entré droit de l’Ecole sur le site de SOGON. L’opération suivante consiste à déterminer une distance AB inaccessible, on crée un troisième point duquel les point A et B sont possibles. Avec le théodolite, on détermine l’angle horizontal entre les points B et C en stationnant en A. On obtient ainsi l’angle en A. On effectue la même opération au point C, ensuite on chaine la distance AC. Nous avons deux angles et une distance, suffisants pour déterminer la distance AB. Notons que dans le but de comparer les résultats à la fin, chaque membre du groupe a choisi son point C. La distance inaccessible que nous avons choisie déterminée est celle d’une marche d’escalier du bâtiment des gardiens du site de SOGON au poteau d’une maison environnante. Aux environs de 18h, l’opération a éffectué est l’installation d’une pente de 10cm de denivelé et long de 30m. Nous avons déterminé les points sur lesquels on doit faire le nivellement avec un pas de…… Pour contrainte de temps, nous avons arrêté l’opération alors que le théodolite était installé. Au rassemblement, nous avons prévu faire l’implantation d’un bâtiment le lendemain. Les appareils rangés, on a fait une animation de 30 minutes avant de mettre fin à la séance. RAPPORT JOURNALIER 07 JUILLET L’an deux mille vingt et le 07 Juillet ont débuté les travaux pratiques en Topométrie à l’Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics de l’Université Nationale des Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques d’Abomey sous la supervision du Docteur Briac KOSSOUGBETO. Au nombre de 22 étudiants, nous avons commencé par former six groupe aux environs de 09h sur le site de l’école à SOGBO-ALIHO. Nous nous sommes rendus sur le site de SOGON où nous avons commencé par faire le croquis des bâtiments en place. Notons que le croquis est la première chose que l’on fait quand on se rend sur un terrain. Après avoir produit les croquis, nous avons réceptionné le matériel nécessaire pour le bon déroulement des activités topographiques. Au nombre de ces matériels, nous avons : - 04 théodolites, appareil permettant de mesurer des angles dans les plans horizontal et vertical afin de déterminer une direction, il permet aussi la mesure des distances de façon indirecte (après calcul) ; - 02 niveaux, appareil permettant de relever l’altimétrie d’un point et des directions ; - 06 trépieds, appareil sur lequel on pose un théodolite ou un niveau pour e stationner ; - 04 fils à plomb, permettant d’assurer la verticalité ; - 08 paires de jalons, permettant de pointer un point à viser ; - 06 chaines (décamètre), permettant la mesure des distances ; - 04 mires sur lesquelles on effectue les lectures des fils stadimétriques et des piquets permettant de matérialiser un point. Après cette réception, nos superviseurs nous ont initié à la mise en station du théodolite et du niveau. A cette opération, les étapes de mise en station nous sont été rappelées : - On détermine un point ou une indication de repère sur le terrain, - Ouvrir le trépied et mettre sa base de façon horizontale et aligner son centre avec le pont déterminé, - Fixer le théodolite sur le trépied à l’aide de la vis à plomb, - Centrer l’appareil à l’aide de la lunette appelée plomb optique, c’est-à- dire permettre à l’axe principal du trépied de passer par le point déterminé. Cette opération s’effectue, par le glissement des jambes coulissante. - Calage de la nivelle sphérique à l’aide des jambes du trépied et ceci en augmentant ou en diminuant la hauteur des jambes coulissantes. - Calage de la nivelle d’alidade en utilisant les trois vis calantes et en effectuant les opérations suivantes : Amener la nivelle parallèle à deux vis calantes (V1 et V2), Centrer la bulle entre ces repères en agissant simultanément sur V1 et V2 en sens contraire, Faire tourner l’appareil d’un demi-tour (200gradian), Centrer la bulle en agissant sur les vis V1 et V2, Tourner l’appareil d’un quart de tour (100gradian) et amener la bulle avec V3 dans la même position qu’à l’opération précédente, - A la fin de l’opération, si le théodolite n’est plus centré, il faut le glisser légèrement avec précaution pour le centrer en le dévissant d’abord. Pour installer le niveau, on pose le trépied et on s’assure qu’il est horizontal puis on dépose le niveau en le vissant sur ce dernier, en le vissant puis à l’aide de trois vis calantes, on met la bulle sphérique au centre. Après des heures d’entrainement, nous avons été évalué à 14h après la pause. Suite à l’évaluation, à 18h, une zone nous a été délimitée pour la polygonation. Nous avons effectué les chainages de ce terrain de quatre points et nous nous sommes arrêtés à cause du temps. Après avoir rangés le matériel de travail, nous n’avons effectué que 10 minutes d’animations à cause des conditions climatiques du jour. RAPPORT JOURNALIER 09 JUILLET L’an deux mille vingt et le 09 Juillet, troisième journée de camp topographie à l’Ecole Nationale Supérieure des Travaux Publics de l’Université Nationale des Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques d’Abomey ont été poursuivies, les activités de Topométrie débutées le 07 Juillet de la même année sous la supervision du Docteur Briac KOSSOUGBETO. A 07h, nous étions présents sur le site de SOGON et avec Monsieur Moubarak, nous avons fait trente minutes d’échauffement afin de réduire la quantité de graisse que nous avons accumulé au niveau de nos articulations la journée précédente. Ensuite, nous avons été fusionné à d’autres groupes pour les travaux d’implantation. Aux environs de 12h nous avons terminé ce camp topographique avec joie.