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Une oblitération de l'artère poplitée chez un sujet de

moins de 40 ans peut-être due à:

A. L'athérome

B. Des anomalies musculo-tendineuses


  C. Une arthrite du genou
  D. Une phlébite poplitée

E. Un kyste colloïde sous-adventiciel

B: il s'agit du syndrome de l'artère poplitée piégée, qui est une


anomalie congénitale, due à la presence d'une fronde musculo-
tendineuse comprimant l'artère, qui est dissociée de sa veine.

Le syndrome de Leriche est


caractérisé de facon spécifique
par:

  A. Claudication intermittente serrée

B. Impossibilité d'érection stable chez l'homme


  C. Hypertension artérielle
  D. Douleurs de décubitus
  E. Troubles trophiques des membres inférieurs

Par thrombose du carrefour aortique

Dans une artériopathie chronique oblitérante des


membres inférieurs, la perception d'un souffle
systolique au niveau du canal de Hunter traduit
habituellement l'existence d'une sténose sur:

  A. L'artère iliaque primitive


  B. L'artère fémorale commune

C. L'artère fémorale superficielle


  D. L'artère poplitée
  E. L'artère tibiale postérieure

Une thrombose de l'artère fémorale a pour conséquence(s)


possible(s):

A. Une nécrose ischémique


  B. Une embolie pulmonaire

C. Le développement d'une circulation collatérale


  D. L'infarcissement hémorragique
  E. La dissection artérielle

L'affection caractérisée par des lésions d'artérite


segmentaire de l'aorte et de ses branches, accompagnée de
granulomes et d'une atteinte inflammatoire avec infiltrat
lymphoplasmocytaire est:

  A. Granulomatose de Wegener
  B. Artérite à cellules géantes (maladie de Horton)
  C. Vascularite aiguë d'hypersensibilité
  D. Périartérite noueuse

E. Artérite de Takayashu

B: touche les branches de la carotide externe. D: touche les artères


petites artères. E: artérite giganto-cellulaire des vaisseaux de gros
calibre avec destruction de la limitante externe.

La claudication intermittente
ischémique des membres
inférieurs:

A. Est une sensation de crampe douloureuse

B. Est le plus souvent unilatérale

  C. Apparaît dès le démarrage ou la mise en charge du


membre

D. Oblige à ralentir ou à arrêter la marche

E. Peut-être localisée à la fesse

La douleur apparaît après une certaine distance relativement fixe


(= périmètre de marche) qui détermine le stade de l'artériopathie.

Dans quelle(s) artériopathie(s) la


mesure de la vitesse de sédimentation
possède-t-elle une valeur
diagnostique ?

  A. Artériopathie diabétique

B. Maladie de Horton
  C. Athérome juvénile
D. Maladie de Takayashu
  E. Kyste sous adventitiel poplité

Ce sont des artérites inflammatoires giganto-cellulaires.

La découverte d'un souffle systolique sur un


trajet artériel superficiel peut traduire :

A. Un rétrécissement de la lumière artérielle


  B. Une oblitération de la lumière artérielle

C. Un anévrysme de type artériel


  D. Un écoulement sanguin de type laminaire
  E. Une fistule artério-veineuse à haut débit

Dans les fistules artério-veineuses, le souffle est systolo-


diastolique.

Quelle est l'intervention chirurgicale la plus


efficace et au risque le plus faible chez un
patient présentant une insuffisance cardio-
respiratoire majeure et une oblitération iliaque
unilatérale ?

  A. Pontage axillo-fémoral
  B. Pontage aorto-fémoral par voie sous péritonéale

C. Pontage fémoro-fémoral croisé


  D. Endartériectomie iliaque
  E. Sympathectomie lombaire chirurgicale

Le stade III de la classification fonctionnelle de Leriche et


Fontaine des artériopathies oblitérantes des membres
inférieurs se caractérise par :

  A. Un périmètre de marche inférieur à 100 mètres


  B. Des ulcérations distales des orteils
  C. Une coloration cyanique des extrémités

D. Des douleurs de décubitus des membres inférieurs


entraînant l'insomnie
  E. Des crampes nocturnes

Ces douleurs obligent le patient à dormir assis.


Parmi les lésions suivantes, quelle est
l'indication privilégiée d'une dilatation
endoluminale ?

  A. Sténose ostiale de l'iliaque interne


  B. Sténose excentrée et calcifiée de l'iliaque primitive
  C. Oblitération courte de l'iliaque externe

D. Sténose limitée et concentrique de l'iliaque primitive

  E. Sténose serrée de la fémorale superficielle au canal de


Hunter

Parmi les traitements suivants, une artérite au stade III doit


faire proposer en premier :

  A. Traitement anti-inflammatoire
  B. Repos absolu au lit

C. Revascularisation chirurgicale
  D. Amputation d'emblée
  E. Traitement par anti-vitamines K

Devant une gangrène de l'avant pied avec oblitération


athéromateuse iliofémoropoplitée et persistance de 3
artères de jambe correctes l'indication thérapeutique est
celle :

  A. D'un traitement par Héparine et vasodilatateurs


  B. D'une sympathectomie lombaire
  C. D'une amputation du pied isolée

D. D'une chirurgie artérielle restauratrice


  E. D'un traitement fibrinolytique

Un pontage par greffon veineux est le plus souvent indiqué.

Quel symptome retrouve-t-on au stade I des


artériopathies des membres inférieurs selon la
classification de Leriche et Fontaine ?

  A. Claudication intermittente à moins de 150 mètres


  B. Claudication intermittente à plus de 500 mètres
  C. Douleur nocturne du pied
  D. Trouble trophique d'un orteil

E. Aucun des symptômes ci-dessus énoncés

Le stade I est fonctionnellement asymptomatique: découverte


fortuite de l'abolition d'un pouls.

Quel symptôme caractérise le passage en


stade IV de l'artériopathie des membres
inférieurs selon la classification de Leriche
et Fontaine ?

  A. Cyanose de l'avant pied


  B. Douleurs nocturnes
  C. Refroidissement du pied
  D. Altération des phanères

E. Trouble trophique d'un orteil

Quelle est la localisation de l'artériopathie chronique des


membres inférieurs dont le pronostic est le plus sévère ?

  A. Aortique
  B. Iliaque
  C. Fémorale
  D. Poplitée

E. Jambière

En raison de l'absence de possibilité chirurgicale.

Chez un malade artéritique claudiquant à 300 mètres, chez


lequel on découvre une thrombose fémorale superficielle
unilatérale, quel est le choix thérapeutique le plus logique ?

  A. Un pontage fémoro-poplité

B. Un traitement médical associant réeducation, arrêt du


tabac et vasodilatateurs
  C. Une sympathectomie lombaire
  D. Une héparinothérapie
  E. Une dilatation endoluminale percutanée

L'arrêt du tabac et la marche sont à ce stade le traitement


essentiel.

En présence d'une gangrène isolée des orteils


chez un homme de 60 ans, avec conservation
de tous les pouls du membre inférieur, on peut
évoquer :

  A. Une artériopathie diabétique


  B. Une maladie de Buerger

C. Une artériopathie emboligène


  D. Un syndrome post-phlébitique
  E. Toutes les propositions

B: le Buerger atteint l'homme jeune. C: embol de cholestérol ou


syndrome du "Blue toe".

L'effet Doppler est fondé sur un seul


des paramètres suivants :

  A. Pression artérielle
  B. Viscosité sanguine

C. Vélocité sanguine
  D. Impédance tissulaire
  E. Débit artériel

Il permet de mesurer des vitesses de flux sanguin.

Le syndrome de Leriche, dans l'artériopathie des


membres inférieurs, se caractérise sur le plan
anatomo-pathologique par :

  A. L'oblitération d'un axe artériel iliaque

  B. L'association de lésions sténosantes de l'aorte et des


artères rénales

C. Une lésion obstructive du carrefour aortique

  D. L'association de lésions athéromateuses de l'aorte et


des artères viscérales

  E. L'association de lésions artérielles athéromateuses et


d'une compression d'un axe veineux

D'où une symptomatologie bilatérale, associée souvent à une


impuissance (atteinte de l'artère hypogastrique).
L'artériopathie des membres inférieurs au
stade I de Leriche et Fontaine peut se
caractériser par les signes suivants, sauf
un. Lequel ?

  A. Souffle fémoral
  B. Absence de pouls périphériques

  C. Induration des troncs artériels périphériques à la


palpation

D. Claudication intermittente
  E. Découverte de calcifications artérielles

Chez un artéritique, pour connaître la perméabilité des


artères en aval d'une thrombose, quel examen prescrire en
premier ?

  A. Artériographie digitalisée
  B. Artériographie conventionnelle

C. Doppler
  D. Echographie
  E. Scintigraphie

B: l'artériographie, prescrite en seconde intention, est plus


performante pour apprécier l'état du lit d'aval et pour préciser une
éventuelle indication opératoire.

A propos de l'artériopathie
chronique oblitérante des membres
inférieurs, quelle est la proposition
inexacte ?

  A. Le tabagisme à la cigarette est le plus important des


facteurs de risque

  B. La rééducation par la marche est un élément important


du traitement

C. L'abolition des pouls fémoraux définit le stade III de la


maladie

  D. L'aortographie est surtout utile pour apprécier s'il


existe une indication opératoire

  E. Le Doppler artériel permet d'évaluer la pression


systolique au niveau de la cheville

C: stade III = apparition de douleurs de décubitus.


En présence d'une claudication intermittente
unilatérale du mollet, la lésion le plus
fréquemment rencontrée est une oblitération :

  A. Du carrefour aortique

B. De l'artère fémorale superficielle


  C. De l'artère iliaque interne
  D. De l'artère fémorale profonde
  E. De l'artère tibiale antérieure

L'oblitération siège le plus souvent au niveau du canal de Hunter.

Où siège la douleur liée à une oblitération


athéromateuse de l'artère iliaque primitive
droite ?

A. Fesse droite
  B. Cuisse droite
  C. Mollet droit
  D. Pied droit
  E. Aucune des propositions précédentes n'est exacte

A: atteinte haute.

Quelle est l'exploration complémentaire permettant


de confirmer le diagnostic d'anévrysme poplité
thrombosé ?

  A. La ponction exploratrice
  B. Le Doppler

C. L'échographie
  D. La pléthysmographie sans occlusion veineuse
  E. L'artériographie

Dans l'anévrysme de l'aorte abdominale sous-rénale, le


signe de de Bakey est caractérisé par :

  A. L'existence d'un souffle systolique à l'auscultation


  B. La perception d'un 'thrill'
  C. L'existence d'une masse battante et expansive à la
palpation

  D. La présence d'une voussure visible sous la paroi


abdominale

E. La présence d'un intervalle entre le rebord costal et la


tuméfaction perçue à la palpation

La découverte d'une artérite au stade I doit conduire à la


prescription :

A. De la suppression des facteurs de risque


  B. De vasodilatateurs
  C. D'anticoagulants

D. De marches quotidiennes

  E. D'une intervention en fonction des données


angiographiques

Le stade I est asymptomatique. Le traitement est hygiéno-


diététique.

Une claudication intermittente fessière


peut témoigner d'une lésion :

  A. De l'artère iliaque externe

B. De l'aorte
  C. De l'artère fémorale profonde

D. De l'artère iliaque primitive

E. De l'artère iliaque interne

Elle signe une lésion haute.

L'image artériographique de l'embolie artérielle aiguë


récente d'un membre se distingue de celle de la
thrombose artérielle aiguë de celui-ci par :

A. Le désert artériographique sous-jacent qui


l'accompagne

B. L'aspect régulier et souvent cupuliforme du pôle


supérieur de l'obstacle

  C. L'importance notable du développement des voies de


suppléance
  D. Son niveau qui affecte constamment une bifurcation
artérielle

E. L'aspect souvent normal des axes artériels sus-jacents


à l'obstacle

La distinction peut être difficile chez un patient athéromateux.

La claudication intermittente peut


être due à :

A. L'artérite des membres inférieurs

B. L'anévrysme artériel poplité


  C. Des séquelles de phlébite
  D. Des varices des membres inférieurs

E. Une séquelle d'embolie artérielle

La claudication intermittente traduit une pathologie artérielle ou


neurologique

Chez un malade artéritique claudicant à 300 mètres, on


découvre une thrombose de l'artère fémorale superficielle.
Le traitement prioritaire comporte :

  A. Un pontage fémoro-poplité

B. Une rééducation, un arrêt du tabac


  C. Une sympathectomie lombaire
  D. De l'héparine
  E. Une dilatation endoluminale percutanée

La poursuite de la marche et l'arrêt du tabac sont les éléments


essentiels du traitement.

Le stade II de l'artériopathie des


membres inférieurs correspond:

  A. Aux douleurs de décubitus


  B. A l'absence de symptomatologie fonctionnelle

C. A la claudication artérielle intermittente


  D. A l'existence de troubles trophiques

E. A un périmètre de marche restreint


Quelle est la meilleure attitude devant la survenue, chez un
artéritique de 60 ans, de douleurs permanentes du mollet et
du pied obligeant à laisser pendre la jambe hors du lit?

  A. La prescription d'un traitement par calciparine à


domicile

  B. L'hospitalisation pour perfusions continues d'héparine


pendant une dizaine de jours
  C. L'hospitalisation pour opération d'urgence

D. L'hospitalisation pour artériographie et apprécier les


possibilités de revascularisation
  E. L'hospitalisation pour traitement thrombolytique

Le tableau décrit un stade III.

L'artérite de Buerger se caractérise par:

  A. Sa fréquence élevée en France

B. L'atteinte du sujet jeune

C. La survenue élective chez les fumeurs

D. L'association possible avec des phlébites


superficielles

E. L'atteinte fréquente des artères des membres


supérieurs

Quelles premières mesures thérapeutiques devez-vous


préconiser à un sujet de 50 ans fumeur, présentant une
claudication stade II fort d'installation récente d'un membre
inférieur par thrombose de la fémorale superficielle avec un
bon réseau d'aval:

A. Rééducation de la marche

B. Suppression de l'intoxication tabagique


  C. Sympathectomie lombaire
  D. Pontage fémoro-poplité

E. Traitement antiagrégant

E: indication très discutable. Seuls A et B sont indispensables.

La perception d'une souffle systolique à


l'auscultation du triangle de Scarpa peut
traduire (en homolatéral):
  A. Thrombose de l'artère iliaque externe

B. Rétrécissement de l'artère iliaque externe

C. Rétrécissement de l'artère fémorale commune

D. Anévrysme artériel fémoral


  E. Thrombose fémorale superficielle

Le stade III de l'artérite des membres inférieurs est


caractérisé par des douleurs:

  A. De décubitus dans les mollets


  B. Calmées par la position allongée

C. De décubitus au niveau du pied

D. Calmées par la marche


  E. Augmentées par la position jambe pendante

E: position antalgique au contraire.

Le facteur de risque essentiel de l'artériopathie


athéromateuse des membres inférieurs est :

A. Le tabagisme
  B. L'hypertension artérielle
  C. L'hyperuricémie
  D. L'hypertriglycéridémie
  E. L'hypercholestérolémie

FDR essentiel pour les AVC (B), les coronaropathies (E)

Parmi les critères suivants, quel est celui qui


ne s'applique pas à la maladie de Buerger?

  A. Les oblitérations artérielles distales

B. Les anévrysmes des gros troncs


  C. Le jeune âge
  D. L'evolution par poussées
  E. Le tabagisme
C,E: à ces notions de terrain on ajoute l'origine centre-européenne.

Le syndrome de Leriche
associe:

A. Impuissance

B. Diminution des pouls fémoraux

C. Douleur fessière
  D. Dyspnée
  E. Claudication unilatérale

Syndrome lié à l'obstruction du carrefour aortique. E: la


claudication est bilatérale.

Un vol artériel vertébro-sous-clavier peut


être suspecté devant le(s) signe(s)
suivant(s):

A. Disparition d'un pouls radial

B. Différence tensionnelle des deux membres supérieurs

C. Crampe à l'effort du membre supérieur

D. Symptomatologie vertébrobasilaire intermittente


  E. Une aphasie transitoire

A,B,C: sténose de l'artère sous-clavière. D: détournement de la


vascularisation vertébrale.

L'indice systolique de pression


distale est caractérisé par:

A. Pression cheville/pression bras


  B. Valeur normalement supérieure à 1,5

C. Evaluation du retentissement de l'artériopathie


  D. Nécessité d'un appareillage complexe
  E. Obtention par des mesures sanglantes

B: valeur normale comprise entre 1 et 1.2. C: cet indice diminue


lorsque l'artériopathie augmente.

Le signe de Bakey qui affirme le siège


sous-rénal d'un anévrisme aortique
abdominal est:

  A. Tuméfaction anévrismale dont le pôle supérieur ne remonte


pas au-dessus de l'ombilic

  B. L'existence d'un espace entre la tuméfaction anévrismale et


les deux ailes iliaques
  C. La perception d'une masse battante dans le flanc droit

D. L'existence d'un espace entre le pôle supérieur de


l'anévrisme et le rebord costal
  E. Aucun des signes précédents

Quel ou quels signe(s) évoque(nt) une oblitération artérielle


iliaque primitive unilatérale?

A. Claudication fessière
  B. Impuissance sexuelle
  C. Souffle abdominal

D. Abolition du pouls fémoral


  E. Diminution de 50% de l'indice de pression distale

A: symptomatologie haute. B: se voit lors d'une atteinte du


carrefour aortique (syndrome de Leriche).

Quel(s) élément(s) fait (font)


partie du syndrome de Leriche?

A. Oblitération de la bifurcation aortique

B. Claudication intermittente des membres inférieurs


  C. Dorsalgie d'effort

D. Impuissance sexuelle
  E. Dysurie

B,D: conséquences de A.

Parmi les propositions suivantes concernant un


malade porteur d'une gangrène ischémique au
niveau d'un orteil, laquelle est fausse?

  A. Douleur permanente au voisinage de l'orteil concerné


  B. Cyanose ou pâleur de l'orteil
  C. Refroidissement marqué de l'orteil

D. Diminution nocturne de la douleur


  E. Augmentation de la douleur si le membre est surélevé

Le stade II de l'artériopathie des membres inférieurs


correspond :

  A. Aux douleurs de décubitus


  B. A l'absence de symptomatologie fonctionnelle

C. A la claudication artérielle intermittente


  D. A l'existence de troubles trophiques

E. A un périmètre de marche restreint

E: stade IIb si le périmètre de marche est inférieur à 300 m.


(Annales: 90/1).

L'artériopathie des membres inférieurs au


stade l de Leriche et Fontaine peut se
caractériser par les signes suivants, sauf un.
Lequel ?

  A. Souffle fémoral
  B. Absence de pouls périphériques

  C. Induration des troncs artériels périphériques à la


palpation

D. Claudication intermittente
  E. Découverte de calcifications artérielles

D: la claudication définit le stade II. (Annales: 88/7).

Chez un artéritique, pour connaître la


perméabilité des artères en aval d'une
thrombose, quel examen prescrire en premier ?

  A. Artériographie numérisée
  B. Artériographie conventionnelle

C. Doppler
  D. Echographie
  E. Scintigraphie

C: examen de première intention en raison de son innocuité. Il


permet d'apprécier la vitesse des flux circulants. (Annales: 89/1).

Le traitement optimal d'une sténose


serrée de l'artère iliaque primitive chez
un malade ayant une claudication
intermittente, est :

  A. Prothèse aorto-fémorale
  B. Endateriectomie
  C. Pontage croisé
  D. Sympathectomie

E. Dilatation

E: sous réserve qu'il s'agisse d'une sténose isolée.

Chez les diabétiques, la localisation la plus


fréquente des lésions responsables de
l'artériopathie des membres inférieurs est :

  A. Aortique

B. Fémorale profonde
  C. Fémorale superficielle
  D. Jambière
  E. Sous-clavière

Les lésions fémorales profondes sont significativement plus


fréquentes chez le diabétiques, mais cette question demeure
ambiguë en raison de l'atteinte jambière très fréquente également.
(Annales: 88/5)

L'artère la plus souvent


atteinte lors d'une claudication
intermittente du mollet est :

  A. Iliaque externe
  B. Fémorale profonde

C. Fémorale superficielle
  D. Tibiale antérieure
  E. Tibiale postérieure

Annales: 89/1.

Le syndrome de Leriche, dans l'artériopathie des


membres inférieurs, est du à :

  A. L'oblitération d'un axe artériel iliaque

  B. L'association de lésions sténosantes de l'aorte et des


artères rénales

C. Une obstruction du carrefour aortique

  D. L'asociation de lésions athéromateuses de l'aorte et


des artères viscérales

  E. L'association de lésions artérielles athéromateuses et


d'une compression veineuse iliaque

Le syndrome de Leriche associe une claudication intermittente


bilatérale haute à une impuissance et une amyotrophie des
membres inférieurs. Il témoigne d'une obstruction complète de
l'aorte sous-rénale et des artères iliaques.

Quel symptôme peut-on trouver au


stade 1 des artériopathies des
membres inférieurs selon la
classification de Leriche et Fontaine
?

  A. Claudication intermittente à moins de 150 mètres


  B. Claudication intermittente à plus de 500 mètres
  C. Douleur nocturne du pied
  D. Trouble trophique d'un orteil

E. Aucun de ces signes

A,B: stade II.

Au cours des artériopathies athéroscléreuses, toutes


les propositions suivantes sont justes sauf une.
Laquelle ?

  A. Le tabac constitue le principal facteur de risque

  B. La mesure de pression systolique à la cheville est un


élément important de la surveillance

C. L'oblitération fémorale superficielle est une indication


élective d'une angioplastie
  D. La mortalité coronaire est d'environ 20 % à 5 ans

  E. Une artériographie est nécessaire en cas d'ischémie


critique

C: plutôt traitement médical, ou pontage chirurgical.

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