 le principe de fonctionnement d’une boucle locale.

La boucle locale est ce qui relie un utilisateur d'un réseau au premier niveau d'équipement du

réseau auquel il est abonné.

Cet élément peut être physique comme une paire torsadée ou une fibre optique dans le cas
du réseau téléphonique, ou immatériel comme une onde électromagnétique dans le cas
d'une boucle locale radio ou d'un réseau de téléphonie mobile.

 Boucle locale téléphonique

La boucle locale téléphonique est la partie de la ligne téléphonique (paires de cuivre) allant du
répartiteur de l'opérateur téléphonique jusqu'à la prise téléphonique de l'abonné.
Physiquement, il s'agit de tous les câbles urbains que l'on peut voir dans les rues, des câbles
souterrains, ainsi que de la paire de fils arrivant chez l'usager.

 les avantages et inconvénients des numérotations décimales et DTMF

1. le type décimal :

- un chiffre composé par l’abonné à l’aide de son cadran sera reçu au central comme un
train d’impulsions dont le nombre est semblable à la valeur du chiffre composé à
l’exception de « 0 » qui a 10 impulsions. Ainsi, une impulsion pour le chiffre 1, deux
impulsions pour le chiffre 2, et ainsi de suite… Le principe de numérotation par fréquence
décimale est d’ouvrir/fermer (figure 3.03) la ligne téléphonique (boucle) toutes les 100 ms
 (10 Hz). Voici donc la durée des impulsions correspondant à chaque numéro du clavier à
cadran rotatif :
1 : 100 ms.
2 : 200 ms. …
0 : 1000 ms.

2. le type multifréquence (DTMF) :

quand on appuie sur les touches du clavier, le poste émet vers le central un signal
électrique constitué par la somme de 2 fréquences. 24 Pendant cette phase de numérotation, si
le silence entre deux chiffres est supérieur à 10 s (ou 20s), le commutateur émet la tonalité «
occupation » . Les détails concernant ce type de numérotation DTMF

Le DTMF est un procédé de numérotation qui consiste à générer des sonorités codées (
fréquences spécifiques ) dans la gamme 300Hz – 3400Hz. Quand on appuie sur une touche,
on envoie en ligne deux composantes BF superposées ; elles correspondent à un seul chiffre,
ou symbole, ou encore à 3 lettres de l’alphabet. Ces composantes proviennent d’un
microcircuit comportant un oscillateur à quartz et des diviseurs de fréquence .Par un décodage
approprié, ce circuit traduit le DTMF en une suite d’interruptions analogues à celles du clavier
à cadran mais de durée très courte. Voici un schéma de poste à clavier DTMF
 Les codes DTMF : Nous présentons ci-après (Tableau 3.01) les fréquences inférieures
et supérieures correspondant à chaque touche du clavier DTMF. Ces fréquences sont
normalisées au plan international par la norme UIT-T-Q.23.

Ainsi, par exemple, si nous pressons la touche 1 du clavier multifréquence, on envoie dans le
récepteur de numérotation du central la somme de fréquences 697Hz et 1209 Hz. Remarque :
Lors de la phase de numérotation, si le silence entre deux chiffres consécutifs est supérieur à
10 s (ou 20s) le commutateur de rattachement de l’abonné émet la tonalité « occupation » .

 Introduction au plan de numérotation

Un numéro de téléphone est une suite de chiffres ou parfois de lettres, qui identifie un
téléphone au sein d’un réseau téléphonique. Un appelant, pour joindre un correspondant, doit
justement composer un numéro de téléphone qui représente l’identifiant unique de l’appelé.
Les besoins de gérer des numéros de téléphones sont nombreux et vastes. Les principaux sont
les besoins internationaux, opérateurs et entreprises. Afin d’obtenir une cohérence globale et
rigoureuse, il a été défini un ensemble de plan de numérotation qui vise justement à réguler
les syntaxes et le routage des appels. Nous obtenons ainsi plusieurs plans de numérotations
dont en voici les principaux qui seront détaillés plus précisément lors de cette documentation :

 Un plan de numérotation international visant à réguler les interconnexions inter pays.

 Des plans de numérotation nationaux qui permettent de définir les opérateurs et les
services.
 Des plans de numérotation privés qui permettent aux entreprises de définir des
numéros courts et une cohérence dans le routage inter site.

 le principe de fonctionnement du réseau RTC

  Le réseau téléphonique commuté (RTC) ou réseau téléphonique commuté
public (RTCP) (en anglais, public switched telephone network ou PSTN) est le réseau
historique des téléphones fixes, dans lequel un poste d'abonné est relié à
un commutateur téléphonique du réseau public par une paire de fils alimentée en
batterie centrale intégrale (la boucle locale). Les commutateurs téléphoniques sont
eux-mêmes reliés entre eux par des liens offrant un débit de 2 Mb/s, ce sont les blocs
primaires numériques (BPN) ou par des liaisons optiques PDH ou SDH plus
performantes.

 Il ne faut pas confondre un commutateur téléphonique avec un centre ou central

téléphonique qui est le bâtiment abritant un ou plusieurs commutateurs téléphoniques.

 le réseau RTC

 le 1ère réseau téléphone fixe

 les 3 boude partie : 1ère partie :répartiteur sous répartiteur pointe de concentration
( des types de commutateur ) var le client .
 Répartiteur :

Assumer le transite de la peine dans un répartiteur a un autre répartiteur dans une autre zone
géographique

 Sous répartiteur :

Assume la distribution var différent point de concentration d'une même région.

Les point de concentration à sur le branchement des différents clients de la même région local .

la 1ère point de concentration ( commutateur):

des armoire chaque cartier

Il assure la tonalité (une source de alimentation dans chaque point de concentration qui va distribuai
une tension de 48 v var toute les clients).
Le but de la manipulation :

Ce TP est pour le but d’étudie le principe de la commutation utilisé entre plusieurs postes
téléphoniques.

Liste des équipements utilisés :

Dans cette expérience on a utilisé le system de "Telephone and Exchange Technology" de

COM3LAB qui contient :

• 04 Modèle de commutation téléphonique.

• 04 postes téléphoniques.

• Des câbles RJ 45.

• Une interface USB Carte PCI.

• Un micro-ordinateur et un logiciel joindrai pour faire la mise en marche des combinées.

Figure 01 : l’équipement de téléphone

L’installation du matériel :

On faire le raccordement des 04 postes téléphoniques avec les modules de commutation et à l’aide
des câbles USB on les mit en liaison avec le PC à travers l’interface (Carte PCI), on utilise le logiciel
COM3LAB associer à cet équipement pour gérer les communications et pour configuré les déférents
model dans les manipules. La manipulation :
 Figure 02 : le schéma des connexions entre les postes téléphonique

Interprétation : D’après cette expérience on peut distinguer quelques remarques sur le principe
de la commutation. Les registre de mémoire TSI, SS et TSO prend des valeurs bien précis en
fonction de la communication appliqué, on parle sur les terminaux destinataires et sources.

• L’adresse TSI contient 4 cases dans :

- La première case indique le terminal destinataire de la première liaison.

- La deuxième case indique le terminal source de la première liaison.

• L’adresse SS contient 4 cases : Dans cette expérience on remarque que le SS ne change pas
il prend la valeur 1100 pour toutes les combinaisons.

La valeur 1 représente le numéro de la ligne.

• L’adresse TSO contient 4 cases : Lors de cette première expérience les cases de TSO
prennent des valeurs de 0,1 et 2 0 indique que ce terminal n’est pas utilisé. 1 indique le
terminal source de la première liaison. 2 indique le terminal destinataire de la première
liaison.

Conclusion :
Dans ce TP on étudier le principe de la commutation dans le domien des communications
téléphoniques, à l’aide de l’équipement Telephone Switching Module (TSM) on a simulé et
réalisé des communications (des appels) entres des terminaux déférents.

On a conclu que pour faire la commutation entres ces terminaux, le logiciel associer au LETS
(LD Equipment Trining System) utilise un principe très important qui est basé sur des
multiplexeurs de deux types. Des multiplexeurs de postes et un multiplexeur de ligne ce qui
permet de faire le switching entre plusieurs poste téléphones d’une même ligne ou de
déférents lignes.