Management

général en science de santé

Jean Kady Kadima

Published by Jean Kady Kadima, 2021.

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MANAGEMENT GÉNÉRAL EN SCIENCE DE SANTÉ

First edition. May 29, 2021.

Copyright © 2021 Jean Kady Kadima.

ISBN: 979-8201838676

Written by Jean Kady Kadima.

Table des Matières

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Email : jeankady0@gmail.com | Wathsapp : +243859360064 | Tous droits de
traduction, d’adaptation et de reproduction complète ou même partielle sont
strictement interdits

RePUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO | PROVINCE DU KASAÏ

ORIENTAL | VILLE DE MBUJI-MAYI

MANAGEMENT GENERAL EN Science de la santé | KADIMA KABONGO

JEAN KADY

Janvier, 2021

Numéros WhatsApp: | +243859360064 | E-mail : jeankady0@gmail.com

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RePUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

PROVINCE DU KASAÏ ORIENTAL

VILLE DE MBUJI-MAYI
MANAGEMENT GENERAL EN Science de la santé

KADIMA KABONGO JEAN KADY

INF. LICENCIÉ EN ENSEIGNEMENT et Administration en soins infirmiers
Janvier, 2021
Définitions du management

LE MANAGEMENT EST UNE science qui a fait l’objet de nombreuses

définitions selon les differents auteurs mais en introduction de ce sémantique
nous aurons l'occasion de développer le management selon l'idéologie des
différents auteurs cités alors , sans plus tarder nous abordons la première partie
sur l'aperçu theorique des définitons.

I. DE MANAGEMENT SELON LES AUTRES AUTEURS

Pour Henry Fayol (1916) : C’est de la prévoyance, de l’organisation, du

commandement, de la coordination, du contrôle .

Selon Peter Drucker (1989) : Le management est quelque chose qui se rapporte à
des êtres humains. Sa tâche, son devoir, c’est de rendre les hommes capables de
produire un résultat commun, de donner de l’efficacité à leurs capacités, et de
faire en sorte que leurs points faibles n’aient pas d’importance.

Contrairement à son point de vu le mot management est ensemble d'acte et

technique efficiente, efficace d'une organisation pour permettre à l'homme de
produire un bon service et diminuer les points négatifs.

Pour Yves Evrard (1993) : le management se définit comme « le pilotage global

de l’organisation à travers un ensemble de politiques de production de biens ou
de services, communication, marketing, ressources humaines, politique de
financement, contrôle budgétaire cohérentes entre elles et qui convergent dans le
sens du projet stratégique et se traduisent dans la culture organisationnelle ».

À mon avis, c'est un ensemble de l'harmonisation d'une entreprise dans le

contexte de favoriser les subalternes à fournir plus et économiser la force.

Pour Raymond-Alain Thiétart (2003) : « Le management, action ou art ou

manière de conduire une organisation, de la diriger, de planifier son
développement, de la contrôler, s’applique à tous les domaines d’activités de
l’entreprise ».

Cependant je remarque que ce mot est un processus de conduire l'entreprise vers

son but visé.

Manager renvoie à l’action d’organiser le travail des individus, de les impliquer

et de les motiver en fixant des objectifs et en établissant des normes de
performances dans une logique d’efficacité collective.

Un manager est un moteur principal d'une entreprise car sans moteur c'est
difficile que la machine travail avec aisance relationnelle et correctement.

II. Les différents rôles du manager

Rôles doivent être endossés par le manager dans le but d’atteindre et de faire
atteindre les objectifs fixés pour l’organisation qui vise le développement d'une
entreprise. La finalité étant de conduire les individus, de coordonner leurs
activités tout en suscitant leur engagement. La profession de manager est pluriel
et le terme « manager » évoque un ensemble de situations différentes
(management de proximité, management de projet, management d’un service ou
d’une organisation...).

Un manger malgré ses rôles multiples doit nécessairement ses munir des
projection car c'est un éclaireur, un clairvoyant optimiste.

Les responsabilités et le niveau d’autonomie accordés aux managers dépendent

de leur position dans la ligne hiérarchique et de l’environnement dans lequel
s’insère l’activité (grande entreprise, secteur d’activité...).
FAYOL (1916) DÉCRIT les rôles du manager autour de 6 grandes fonctions : la
prévision (planification) ; l’organisation (structuration) ; le commandement
(direction des équipes) ; organiser; la coordination ; le contrôle.

Pour Mintzberg (1990), les différentes typologies de rôle des managers mises au
point par ses prédécesseurs ne sont pas suffisamment représentatives de leur
activité réelle. Il propose alors une nouvelle classification autour de trois grandes
familles de rôles. Le résultat final est la mise en évidence d’une liste de dix rôles
difficilement dissociables.

D’après l’auteur, ces rôles forment, en effet, « un tout intégré » et on ne peut «

supprimer aucun de ces rôles, sans modifier profondément la nature de la
profession de manager ».

Les rôles interpersonnels

› Le manager représente l’entreprise, il satisfait à des « obligations de nature

cérémoniales » (rôle de figure de proue).

› Il recrute, dirige, motive et encourage ses équipiers (rôle de leader).

› Il cultive de nombreux contacts aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de

l’organisation et construit son propre réseau extérieur d’informations « informel,
privé et verbal » mais qui s’avère efficace (rôles d’agent de liaison).
b. Les rôles informationnels

› Le manager est en quête d’informations provenant de l’intérieur comme de

l’extérieur de l’organisation (rôle d’observateur actif).

› Les informations qu’il perçoit comme importantes sont réparties et diffusées

aux acteurs organisationnels (rôle de diffuseur d’information).

› Le manager transmet des informations concernant son organisation vers

l’extérieur (rôle de porte-parole).

c. Les rôles décisionnels

› Le manager cherche à améliorer l’organisation, à l’adapter aux modifications

de son environnement , il initie continuellement de nouveaux projets et lance de
nouvelles idées (rôle d’entrepreneur).

› il intervient lorsque la situation se brouille et n’hésite pas à apporter des

corrections le cas échéant (rôle de régulateur).

Le manager répartit les ressources organisationnelles : financières, humaines,

technologiques... pour atteindre les objectifs fixés (rôle de répartiteur de
ressources). Et en suite, le manager est amené à négocier que ce soit à l’intérieur
de l’organisation (salariés) ou à l’extérieur (parties prenantes externes).
III. types d’organisation

3.1 Définitions de l’organisation

Une multitude de définition a été donnée à l’organisation.

Selon Schein (1970), une organisation est la coordination rationnelle des

activités d’un certain nombre de personnes pour l’atteinte d’un but explicite
commun, à travers une division du travail et une hiérarchie de l’autorité et des
responsabilités .

Pour Mintzberg (1998), l’organisation est une action collective à la poursuite de

la réalisation d’une mission commune . Il s’agit de la somme totale des façons de
diviser le travail entre ses membres et de coordonner les résultats des différentes
tâches.

Pour Barabel et Meier (2015), une organisation est un « ensemble relativement

stable d’acteurs en charge d’une ou plusieurs missions, disposant de relations
plus ou moins structurées, pour réaliser des activités en commun ». Comme nous
pouvons le relever sur ces trois définitions, les notions de but et de missions sont
centrales pour distinguer l’organisation des autres types de systèmes sociaux.

3.2 Des organisations aux finalités différentes

Différentes formes d’organisations existent. Il peut s’agir d’organisations

publiques ou privées, d’organisations à but lucratif ou non. Les organisations
publiques à but non lucratif visent à satisfaire l’intérêt général. Il s’agit de
répondre à l’ensemble des besoins sociaux qui ne peuvent être confiés à la
sphère privée seule. Placées sous le contrôle de l’autorité publique, ces
organisations remplissent des missions de services publics.

Le service public se définit comme une activité exercée sous le contrôle de

l’autorité publique ou directement par cette dernière, se rapportant à la
satisfaction d’un besoin d’intérêt général.

Trois grandes catégories d’activités sont concernées : les activités liées à la

souveraineté de l’Etat : il s’agit d’activités régaliennes telles que la défense
nationale, la police, les forces armées Congolaise, la justice... ; les activités
relevant du secteur administré non marchand.

Ce sont les services fournis gratuitement ou à des prix qui ne sont pas
économiquement significatifs (la santé, l’éducation, l’action sociale...) ; les
activités appartenant au secteur marchand : ce sont des activités à caractère
industriel et commercial gérées par des organismes publics (exemple la cnss) ou
privés (concessions, régies...) ou encore par des associations (écoles privées sous
contrat subventionnées par l’État). Certaines de ces activités nécessitent des
infrastructures importantes (réseaux d’infrastructure énergétique, de
télécommunication, de transport, d’eau et d’assainissement...).

3.2.1 Les organisations privées à but non lucratif

sont les associations, les syndicats, les fondations, les fédérations, les ONG...

Elles ont vocation à proposer des services non marchands destinés à satisfaire
leurs propres adhérents ou l’ensemble d’une population (actions humanitaires,
environnementales, etc.), conformément à leur objet.

3.2.2 Les organisations à but lucratif

visent quant à elles à dégager un avantage financier pour leurs propriétaires.

Une entreprise se définit comme une organisation sociale dotée de différents

moyens (matériels, financiers, technologiques...) dans laquelle une ou

plusieurs personnes travaillent et coordonnent leurs activités dans le but de créer

de la valeur en répondant aux besoins des clients.

Elle s’insère le plus souvent dans un environnement concurrentiel. Différentes

formes juridiques sont utilisables. Celles que l’on rencontre le plus souvent en
France et en république démocratique du congo sont l’entreprise individuelle, la
SARL (société à responsabilité limitée),

IV. CLASSIFICATION DES ENTREPRISES

Les entreprises sont fréquemment classées selon leur taille. On distingue la

grande entreprise de la petite et moyenne entreprise en fonction de différents
critères. Ainsi, la Commission européenne les différencie à partir de l’effectif
salarié, du chiffre d’affaires et du total du bilan annuel.
V. LES ETAPES POUR DEVENIR UN BON MANAGER

Ces pistes ont pour vocation de vous inspirer à développer votre style et votre
efficacité de manager. Cependant, pour devenir manager, par quoi faut-il
commencer ? Nous vous proposons 7 clés qui peuvent se mettre en place dans
cet ordre :

I. Optimiser son temps

II. S’approprier les bonnes compétences;

III. Agir en cohérence

IV.Animer une équipe

V. Surmonter les difficultés relationnelles

VI. Développer son leadership

VII. Piloter un projet (bonus)

VIII. Conclusion
VI. LA SUPERVISION

6.1 Nature de la supervision

Elle réside dans l'évaluation effective des activités de l'organisation sur le plan
vertical qu'horizontal tout en assurant que les ressources sont adéquatement et
concrètement utilisés et que les erreurs trouvés sont rectifiés.

Sur quel point le manager peut se baser pour évaluer l'atteinte du but de
l'organisation ? Sur les objectifs pré-établis.

La supervision doit être un style démocrate devant lequel l'infirmier (agent)

bénéficie de l'aide et de l'encouragement de la part du superviseur.

Le superviseur doit connaître les valeurs de chaque membre de l'équipe, tout en

connaissant que chacun joue un rôle capital pour atteindre les objectifs pré-
établis selon ses connaissances pour assurer les soins de qualité au malade.

Les valeurs = capacités intellectuelles, niveau et habileté.

Le superviseur doit aussi disposer des attitudes créatrices et émotionnelles

auprès de ses agents pour adapter le travail au niveau des agents afin d'avoir les
soins de qualité. Il faudrait que le superviseur sache que le travail qu'on lui a
donné évolue bien dans la cordialité et dans la participation effective. Signalons
que les actes de supervision se réalisent dans tous les échelons de la structure
organisationnelle de l'entreprise.

Le superviseur comme leader doit diriger le travail du personnel vers latteinte

des objectifs de la qualité de soin espérée pour cela, il est censé réaliser
correctement la planification, la coordination, l'orientation, l'instruction, la
régulation, des activités de personnes mises à sa disposition.

Le superviseur tout en supervisant le travail des agents doit régulièrement les

encourager chacun ; ce qu'il fait du bien, du mieux ou du mauvais. Il faut
toujours commencer à apprécier le côté bon de la personne avant de passer aux
erreurs. Le superviseur doit être à la page de l'actualité scientifique et sociale, ce
sont ses sources pour pouvoir diriger et dominer.

Le même auteur stipule que la supervision comme fonction coopérative utilise

deux voies de communication entre le Manager et Superviseur, et entre les
membres de l'équipe. En utilisant ces stratégies communicationnelles, les
membres trouvent de solutions entre eux-mêmes.

La supervision doit être objectif dans son évaluation c'est-à-dire, on doit bien
réaliser le progrès par les agents en rapport avec les standards pré-établis.

Quoi doit-on évaluer ?

✓ La planification

✓ La coopération parmi les membres de l'équipe

✓ La quantité et la qualité

✓ Le climat dans lequel les malades ont-ils rendu

✓ Le progrès réaliser

✓ L'impact de la communauté desservie vers l'atteinte des objectifs

✓ L'atteinte des objectifs par le personnel

✓ L'utilisation et la promotion des agents dans le travail

✓ La qualité de soins en général.

Qui supervise qui ?

La supervision commence du haut niveau de la hiérarchie de réalisation de soins,

mais atteint les différents niveaux de la hiérarchie pour cela, nous avons alors ce
que nous pouvons appelé TOP MANAGEMENT et MOYEN MANAGEMENT :

Le Top manager comprend la Direction de Nursing, coordination de soins, chef

de services.

Le Moyen Manager comprend les chefs de service de soins.

6.2 Le devoir du superviseur dans son rayon d'action

Pour le bon déroulement des opérations dans une entreprise public ou privé il
convient que le superviseur aie en tête ses devoirs face à son rayons d'action ,
c'est ainsi que nous disons dans quelques mots que le superviseur doit:

✓ Il supervise et coordonne les activités du personnel de nursing engagé dans

un service spécifique de nursing. Par ex. : service de gynéco-obstétrique à
l'hôpital général de référence Dipumba ;

✓ Il participe avec l'infirmier-chef de service de nursing dans le développement

et dans l'instauration de la philosophie et objectif du service de nursing.

✓ supervise les infirmiers-chef d'unités ou infirmier-chef d'équipe de soins dans

la gestion du personnel et de ressources.

✓ évalue les performances des infirmiers-chef et de soins infirmiers dans le

département ;

✓ Il inspecte l'unité de soins et vérifié si le besoin de malade sont atteints ou

satisfaits ;
✓ Il participe à la planification du travail de l'unité de soins dans son rayon
d'action et coordonne les activités de patients dune unité de soins et le compare
avec l'unité d'autre département.

✓ la formation en cours d'emploi de l'unité ;

✓ Il interview les infirmiers pratiquants pour, soit leur engagement soit pour la
fin de leur carrière ;

✓ Assiste les infirmiers et chefs de service dans la formulation de budget

✓ Chercher à identifier les voies et moyens pour augmenté la productivité

1er niveau de Management

Il comprendra la catégorie de chefs suivants : les infirmiers seniors

professionnels et les infirmiers professionnels.

Le Top Management :

- Le directeur de Nursing
- L'infirmier-chef de service principal

- L'infirmier Manager Senior.

Le Moyen Management

- L'infirmier superviseur : supervise une unité de soins

- Le Manager de couloir (pour un rayon d'action)

- L'infirmier manager clinicien.

6.3 Raison pour faire la supervision

1. Amélioration

› S'assurer su la philosophie, l'objectif et politique sont conduits selon les

normes

› S'assurer qu'il y a un climat de travail serein

› S'assurer de la qualité de soins

› S'assurer de l'effectivité de soins administrés aux malades pendant les 24

heures

› S'assurer les conditions de vie du malade dans l'unité de soins

› S'assurer de la satisfaction de malades aux soins

› Chercher à identifier les points pouvant affecter les soins et le réparer

› Poser les actions correctives si nécessaire.

2. Développement

› S'assurer que les composants élaborés pour l'enseignement sont importantes et

y mettre un accent particulier ;

› S'assurer que le personnel a l'équipement adéquat, fournitures et autres pour

améliorer leurs tâches avec moins de temps

› Le maréchal didactique adapté aux soins

› Chercher à identifier les opportunités.

6.4 La supervision comme instrument de contrôle

Le contrôle est un processus qui nous assure que les standards pré-établis sont
atteints et maintenus en plus, on s'assure que la politique de l'entreprise est
humainement réalisée et que les mesures préventives sont employées là ou la
déviation cloche par rapport au but fixé au préalable.

Durant le processus de contrôle, les mesures correctives sont appliquées et pour

cela, un budget lié au travail, aux ressources employés doit correspondre au
temps qui doit être effective utilisé. Et par ce contrôle, nous aurons de signes
possibles de déviation par rapport aux normes, toujours pré-établi.

Ces normes nous permettront de détecter à temps si les informations fiables ont
été obtenues, lesquelles info, nous permettrons d'élaborer les instruments de
contrôle pour le futur. Voilà les éléments d'exercice de contrôle :

› Contrôler la productivité des employés

› Contrôler les méthodes et les procédures utilisées par les infirmiers pour
déléguer les activités

› S'assurer que les infirmiers sont suffisamment entraînés dans le travail que
nous vous attendez d'eux
› S'assurer que les équipes et matériels sont correctement et économiquement
utilisés.
bibliographiques

Barabel M. et Meier O. (2015) : « Manageor », 3e édition, Dunod, Paris.

Drucker P. (1989) : « Les Nouvelles réalités : de l’État-providence à la société du
savoir », InterEditions.

Evrard Y. (1993) : « Le management des entreprises artistiques et culturelles »

Economica, Paris. H. (1916 [1971]) : « L’Administration industrielle et générale
»,

Dunod. Mintzberg (1998) : « Management : Voyage au centre des Organisations

», Eyrolles, Éditions d’Organisation.

Laurent R : 7 clés pour devenir un manager,

Larousse de poche (2010)

Schein E. (1970) : « Organizationnal psychology », Pearson. Thiétart R.A.

(2003) : « Le management », 11e Édition, PUF

Kasuala (2019) management des services infirmiers

Dans le but d'une bonne relation optimale et compatible dans le domaine de la
sciences infirmières l'infirmier KADIMA KABONGO Jean Kady se lance dans
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résonance face à notre profession.
Qui est Infirmier KADIMA KABONGO Jean Kady ? Est un enseignant ,
administrateur et infirmier congolais de la République démocratique du Congo et
résident dans le même pays, il se consacre surtout à la recherche en sciences
Infirmières et la pratique des soins infirmiers , son licence professionnelle lui
permet aujourd'hui de valoriser son métier malgré les moyens et efforts qu'il a .

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