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3. Quelques outils
Ex 3 : Simplifier :
14 7 5 18 56 23 97 12 35 56 18
A=+- = 6 15
B= ++ = C= +-+
6 11
42 + 42- 42 = 42 = 14 63 + 63 + 63 = 63 14 = 42+ 42- 42+ 42 = 42
144 11 3
D= -.x+-+ .x = - 36 80 224 3
96 x+ 96- 96+ 96 x =- 33
96 x - 96 = - 32 x - 2
Ex 4 : Développer :
A= 4(x+3)+3(7+x) B= 7(x+6)+3(x-5) C= 4(x-3)-3(7-x) D= -4(-x-3)-3(-7-x)
A= 4x+12+21+3x B= 7x+42+3x-15 C= 4x-12-21+3x D= 4x+12+21+3x
A= 7x+33 B= 10x+27 C= 7x-33 D= 7x+33 ....= A !!!
E= -6(x-5)-3[7-(x+4)] F= (x-5)(2+x)-3(x-2)(x+2)
E= -6x+30-21+3x+12 F = 2x+x2-10-5x – 3.(x2-22)
E= -3x+21 F = -2x2-3x+2
Ex 5 : Factoriser :
A = 2.3 + 5.7 + 2.2 + 2 B = 21x + 49x – 7x C=6x-4+54x+12-30x
A = 2(3+2+1)+35 B = 7x.(3+7-1) C= 6x.(1+9-5)+4(-1+3)
A = 12+35 = 47 B = 7x . 9 = 63x C= 6x.5 + 4 . 2 = 30x+8
D = 3 + 4x + x² +2–2x–2+5x² E = -5(x+3)+(6-x)(x+3)
D = x2.(1+5)+x(4-2)+3 E = (x+3).(-5+6-x)
D = 6x2+2x+3 E = (x+3).(1-x)
Ex 6 : Résoudre :
a) x + 3 = 7 d) -6x=-19+2x g) 3(x+1)=4(x+2) j) 3(x+1)=4(x+2)
x = 7- 3 -6x-2x=-19 3x+3 = 4x+8
x= 4 -8x=-19 3x-4x = +8-3
x=19/8 -x = 5 x = -5
Astuces :
A1 : Multiplier numérateur et dénominateur par un même terme
A2 : Multiplier les deux membres de l’égalité par un même terme
A3 :
AFSM Actions Mécaniques - Rappel sur les vecteurs BTS MV
Le vecteur est l’outil mathématique le plus utilisé en mécanique puisqu’il peut représenter une force, un moment, une
position, une vitesse, une accélération, ou une contrainte mécanique.
1- DEFINITION
Le vecteur peut être défini graphiquement par 4 paramètres ou y x2
analytiquement par ses 3 coordonnées dans un repère. Exemple : B
Direction (support)
direction ou support : axe x2 ou droite (O,x2)
sens : x2>0 ou vers le haut
Fx Toujours Fy F
dans cet
F = norme : ll F ll, toujours >0 F = Fy ordre
Fz (=0 ici)
point d’application : A
A
Fx et Fy sont les projections orthogonales de F sur les axes du repère y2 j Point d'application
O i Fx x
Repère orthonormé R :
Le repère R (O,x,y,z) a pour vecteurs de base les vecteurs unitaires i, j et k définis tel que :
ll i ll = ll j ll = ll k ll = 1 et i j k
Exemple: F =
4 Fx x
3 Projection (coordonnée)
2.3. Le signe des coordonnées Composante (vectorielle)
Il s'obtient en comparant le sens de la composante projetée avec le sens positif du vecteur directeur de l'axe :
+ y y y
+F.cos
y F –F.cos –F.cos +F.cos
F F=
F= +F.sin F= +F.sin –F.sin F= –F.sin
0 0 0 0
+ x x x
x
F
2.4. La projection par le cosinus (axe adjacent à l'angle)
y
y F y y
+F.cos 30° F 40° – F.sin 40° – F.cos 20° +F.sin 60°
F = +F.sin 30° F = + F.cos 40° F= – F.sin 20° F= – F.cos 60°
0 30° 0 0 0
x x 20° x x
F 60°
F
y
3- ADDITION EN COORDONNEES :
Fx1 Fx2 Fx1 + Fx2
si F1 = et F2 = alors F = F1 + F2 F = Fy + Fy
Fy1 Fy2 1 2
4 -1
Exemple : F = Fx ? F1 = F =
Fy ? -1 2 2
4 -1 4 -1 3 O x
F = F1 + F2 = + = -1+2= 1
-1 2
Tracer F1 et F2, Calculer les coordonnées de F = F1 + F2 puis tracer F.
4- PRODUIT SCALAIRE A
Le produit scalaire de 2 vecteurs A et B est définit tel que :
A = ll A ll , B = ll B ll
A . B = A . B . cos avec :
= ( A, B )
Se lit : « A scalaire B » y
B
Exemple utile : projection d’une force F
Fy
FX FX = F. x = F. cos
soit F = alors : car x = ll x ll = 1 y
FY FY = F. y = F . sin (x est vecteur unitaire) O x Fx x
5- PRODUIT VECTORIEL
Le produit vectoriel de 2 vecteurs A et B est un vecteur M perpendiculaire au plan (A, B) et définit tel que :
A B = M = A . B . sin . uM avec : A = ll A ll , B = ll B ll
= ( A, B ) M=AB
Se lit : « A vectoriel B »
uM : vecteur directeur de M
Remarque : si A et B sont parallèles, alors A B = 0 A
uC
si A et B sont perpendiculaires, alors A B = A.B B
ll M ll = M = A.B.sin
propriétés : AB=-BA
A (B+C) = A B + A C
k.(A B) = k. A B = A k.B
Calcul en coordonnées :
Soient 2 vecteurs A et B dont on veut calculer le produit vectoriel en fonction des coordonnées :
XA XB XA XB YA.ZB - YB.ZA
A = YA B = YB alors, A B = YA YB = ZA.XB - ZB.XA
ZA ZB ZA ZB XA.YB - XB.YA
Pour obtenir la coordonnée «YA.ZB - YB.ZA » sur x, on supprime la « ligne des x », et on effectue le
produit en croix des lignes suivantes comme décrit ci-dessous.
Exemple 1:
Soit M = OA F . Déterminer les coordonnées de M ainsi que M = ll M ll, norme du vecteur M:
4 -5 4 -5 3x0-0x(2) 0 y
OA = 3 F= +2 alors, OA F = 3 2= 0x(-5)-4x0 = 0
H
0 0 0 0 4x2-3x(-5) 23 F A
Remarques :
OA et F étant dans le plan (x, y), M est sur l’axe z OA x
perpendiculaire au plan (x, y). O
ll M ll = M = OA . F . sin avec OA sin = OH soit : M z
M = F x OH
Exemple 2 :
Soit M = AB R . Déterminer les coordonnées de M.
-3 -6 -3 -6 2x(-4)-(-2)x4 -8+8 0
avec : AB = 2 et R = 4 alors, AB R = 2 4 = (-2)x(-6)-(-3)x(-4) = 12-12 = 0
-2 -4 -2 -4 -3x4-2x(-6) -12+12 0
Le vecteur est l’outil mathématique le plus utilisé en mécanique puisqu’il peut représenter une force, un moment, une
position, une vitesse, une accélération, ou une contrainte mécanique.
1- DEFINITION
Le vecteur peut être défini graphiquement par 4 paramètres ou y x2
analytiquement par ses 3 coordonnées dans un repère. Exemple : B
Direction (support)
direction ou support : axe x2 ou droite (O,x2)
sens : x2>0 ou vers le haut
Fx Toujours Fy F
dans cet
F = norme : ll F ll, toujours >0 F = Fy ordre
Fz (=0 ici)
point d’application : A
A
Fx et Fy sont les projections orthogonales de F sur les axes du repère y2 j Point d'application
O i Fx x
Repère orthonormé R :
Le repère R (O,x,y,z) a pour vecteurs de base les vecteurs unitaires i, j et k définis tel que :
ll i ll = ll j ll = ll k ll = 1 et i j k
Exemple: F =
4 Fx x
3 Projection (coordonnée)
2.3. Le signe des coordonnées Composante (vectorielle)
Il s'obtient en comparant le sens de la composante projetée avec le sens positif du vecteur directeur de l'axe :
+ y y y
+F.cos
y F –F.cos –F.cos +F.cos
F F=
F= +F.sin F= +F.sin –F.sin F= –F.sin
0 0 0 0
+ x x x
x
F
2.4. La projection par le cosinus (axe adjacent à l'angle)
y
y F y y
+F.cos 30° F 40° – F.sin 40° – F.cos 20° +F.sin 60°
F = +F.sin 30° F = + F.cos 40° F= – F.sin 20° F= – F.cos 60°
0 30° 0 0 0
x x 20° x x
F 60°
F
y
3- ADDITION EN COORDONNEES :
Fx1 Fx2 Fx1 + Fx2
si F1 = et F2 = alors F = F1 + F2 F = Fy + Fy
Fy1 Fy2 1 2 F1
F
Fx ? 4 -1
Exemple : F = F1 = F =
Fy ? -1 2 2
4 -1 4 -1 3 x
F = F1 + F2 = + = -1+2= 1 O F2
-1 2
Tracer F1 et F2, Calculer les coordonnées de F = F1 + F2 puis tracer F.
4- PRODUIT SCALAIRE A
Le produit scalaire de 2 vecteurs A et B est définit tel que :
A = ll A ll , B = ll B ll
A . B = A . B . cos avec :
= ( A, B )
Se lit : « A scalaire B » y
B
Exemple utile : projection d’une force F
Fy
FX FX = F. x = F. cos
soit F = alors : car x = ll x ll = 1 y
FY FY = F. y = F . sin (x est vecteur unitaire) O x Fx x
5- PRODUIT VECTORIEL
Le produit vectoriel de 2 vecteurs A et B est un vecteur M perpendiculaire au plan (A, B) et définit tel que :
A B = M = A . B . sin . uM avec : A = ll A ll , B = ll B ll
= ( A, B ) M=AB
Se lit : « A vectoriel B »
uM : vecteur directeur de M
Remarque : si A et B sont parallèles, alors A B = 0 A
uC
si A et B sont perpendiculaires, alors A B = A.B B
ll M ll = M = A.B.sin
propriétés : AB=-BA
A (B+C) = A B + A C
k.(A B) = k. A B = A k.B
Calcul en coordonnées :
Soient 2 vecteurs A et B dont on veut calculer le produit vectoriel en fonction des coordonnées :
XA XB XA XB YA.ZB - YB.ZA
A = YA B = YB alors, A B = YA YB = ZA.XB - ZB.XA
ZA ZB ZA ZB XA.YB - XB.YA
Pour obtenir la coordonnée «YA.ZB - YB.ZA » sur x, on supprime la « ligne des x », et on effectue le
produit en croix des lignes suivantes comme décrit ci-dessous.
Exemple 1:
Soit M = OA F . Déterminer les coordonnées de M ainsi que M = ll M ll, norme du vecteur M:
4 -5 4 -5 3x0-0x(2) 0 y
OA = 3 F= +2 alors, OA F = 3 2= 0x(-5)-4x0 = 0
H
0 0 0 0 4x2-3x(-5) 23 F A
Remarques :
OA et F étant dans le plan (x, y), M est sur l’axe z OA x
perpendiculaire au plan (x, y). O
ll M ll = M = OA . F . sin avec OA sin = OH soit : M z
M = F x OH
Exemple 2 :
Soit M = AB R . Déterminer les coordonnées de M.
-3 -6 -3 -6 2x(-4)-(-2)x4 -8+8 0
avec : AB = 2 et R = 4 alors, AB R = 2 4 = (-2)x(-6)-(-3)x(-4) = 12-12 = 0
-2 -4 -2 -4 -3x4-2x(-6) -12+12 0
C.A.O.
conception calculs
faisabilité
besoin
CdCF
Solutions,
principes
dimensionement
définition D.A.O.
fonctions
cotations
MAQUETTE Programme
NUMERIQUE Outils industrialisation
destruction Porte-pièce
Machine
Produit
maintenance Process fabrication
contrôles
commercialisation
Ressources
gestion de
qualification F.A.O.
production
G.P.A.O.
CLIENT ENTREPRISE
terme de fonctions ciblées pour y apporter des solutions techniques dont les coûts, délais et qualités doivent Produit industrialisation
impérativement être optimisées depuis la conception jusqu'à la production. fabrication
besoin
Délais destruction
MARCHE qualification
(mécanisme ou maintenance
Coûts Produit solutions techniques de conception gestion de
concurrence besoin fonctions Produit commercialisation production
Qualité solutions techniques de production
MARCHE système mécanique) "cycle de vie du produit"
Construction Mécanique La mécanique est la science physique des lois du mouvement et de l’équilibre. La construction mécanique est l'art d'appliquer les lois fondamentales de la
mécanique à la conception de mécanismes.
Un mécanisme (produit) est donc un ensemble de solutions techniques dont les fonctions sont assurées par une structure constituée de composants et de pièces en liaisons mécaniques. Ces liaisons
sont au cœur de la conception car leur agencement défini le comportement du système en terme d’ efforts ou de mouvements transmis et plus globalement en terme d’énergie et de puissance .
phénomènes parasites
Actionneurs Pièces + energie
=
usures - vibrations
Modélisation besoin fonctions
?
=
solutions
techniques = Transmetteurs
Transformateurs
Effecteurs
+ guidages
fixations + puissance
mouvements
efforts
+ frottements - inerties
fatigue - dilatations
déformations
Produit
Les choix de solutions techniques quant à la structure et au comportement du mécanisme en regard de ses fonctions présentent une complexité qui implique l’utilisation de modèles simplifiés.
Aussi la modélisation a pour but de décrire les fonctions, représenter la structure et le simuler le comportement via des modèles simplifiés mais normalisés permettant de s’affranchir notamment
de phénomènes « parasites » plus délicats à modéliser.
La construction mécanique est l'art d'appliquer les lois fondamentales de la mécanique à la conception de mécanisme et
donc au choix criterié des solutions constructives par fonction.
La mécanique est la science physique des lois du mouvement et de l’équilibre. Elle a pour objectif la maîtrise du
comportement et des performances du mécanisme.
L’A.F.S.M. est un champ disciplinaire de la construction mécanique appliquée à l’étude des systèmes du domaine
automobile du point de vue après-vente prioritairement sur le point de vue du concepteur. C’est une science qui regroupe
les connaissances permettant d’agir en compréhension et donc avec efficacité lors des activités professionnelles d’après-
vente automobile. C’est en cela qu’elle est un préalable nécessaire aux activités de diagnostic et de maintenance.
CLIENT ENTREPRISE Les Techniques industrielles de conception, intimement liées à celles de production
besoin
Délais et de maintenance, sont fondées sur des critères économiques. Aussi, l’approche
industrielle du produit nécessite une définition précise du besoin en terme de
Coûts Produit
concurrence
fonctions pour y apporter des solutions techniques dont les coûts, délais et qualités
Qualité doivent être optimisées sur l’ensemble du cycle de vie du produit.
MARCHE
Produit : Un produit est la réponse à un besoin exprimé ou le plus souvent suscité, résultat d’un processus de production (conception, fabrication, commercialisation).
Systémique : Approche globale et pluridisciplinaire ayant pour finalité l’efficacité dans l’action. Cette « effi-science » passe par la compréhension d’un modèle universel de la
complexité du monde réel qui nous entoure : Le système.
Système : Tout, dans l’univers, est système et le système n’existe pas ! C’est un modèle, une entité conceptualisée représentant une réalité généralement complexe comme
étant un ensemble d’éléments en interactions organisés selon une finalité généralement exprimée en terme de comportement attendu vis-à-vis d’un (ou plusieurs) éléments
qui lui est (sont) extérieur(s).
Autres exemples : Système capitaliste, Système électrique, Système monétaire, Système éducatif, Système thermique, Système solaire, Nano-système, Système D, Système pileux, Système cellulaire, Système mélodique, Système
nerveux, Système d’exploitation (OS), Ecosystème, Système de notation, Erreur système
Citant L.W. Bertalanffy (1968), J.L. Le Moigne (1977) écrit: "De tout ce qui précède, se dégage une vision stupéfiante, la perspective d'une conception unitaire du monde jusque là insoupçonnée.
Que l'on ait affaire aux objets inanimés, aux organismes, aux processus mentaux ou aux groupes sociaux, partout des principes généraux semblables émergent".
L’universalité de cette définition donne lieu à des adaptations de la part de chaque domaine de connaissance. Dans le domaine du génie mécanique, le système est
nécessairement mécanique et devient synonyme de mécanisme :
Mécanisme : Un mécanisme (système mécanique) est un ensemble de solutions techniques dont les fonctions sont assurées par une structure constituée de composants et
de pièces en liaisons mécaniques. Ces liaisons sont au cœur des activités de conception et de maintenance car leur agencement défini le comportement du système en
terme d’ efforts ou de mouvements transmis et plus globalement en terme d’énergie et de puissance .
Système
Cycle de vie
du produit
MODELISATION
Les choix de solutions techniques quant à la structure et au comportement du mécanisme en regard de ses fonctions présentent une complexité qui implique l’utilisation de
modèles simplifiés. Aussi la modélisation a pour but de décrire les fonctions, représenter la structure et simuler le comportement via des modèles simplifiés mais normalisés
permettant de s’affranchir notamment de phénomènes « parasites » plus délicats à modéliser.
Les principaux défauts de conception, de productions voire d’utilisation accentuent ces phénomènes parasites, eux-mêmes étant à l’origine des dysfonctionnements à
diagnostiquer. On comprend mieux dans ce cadre pourquoi le diagnostique d’une panne quelle qu’elle soit s’appuie sur la localisation dans le temps et dans l’espace (du
véhicule) des phénomènes parasites propres à chaque fonction et donc à ses solutions technologiques associées.
phénomènes parasites
Actionneurs Pièces + Energie / puissance
=
usures - vibrations
besoin fonctions
solutions
techniques = Transmetteurs
Effecteurs + guidages
fixations + position / vitesse
efforts + frottements - inerties
fatigue - dilatations
déformations
Produit
Normes et hypothèses
Structure et comportement simulés
1 9
arbre
Z=11 primaire
Z=12
j Cotation fonctionnelle F3 F2
Z=31
F4
Z=40
Pignon
embrayage
de sortie
Z=31 F1
Z=38
Z=43
roue avant
roue avant
gauche
droite
Porte
satellite
Z=63
Maquette
SADT perspective
A-0
Dessin d’ensemble
Schéma cinématique schéma architectural
Externe
2 Définition
Cinématique Statique/Dynamique
Dessin de numérique
définition
Mouvement Modèle A.M.
3 Exploitation /Maintenance Distribution Isolement,bilan
Equiprojectivité
P.F.S. / P.F.D.
photos CIR
schéma pneumatique composition Energétique
schéma hydraulique
Inter-acteurs
écorchés
sollicitation
Lois E / S
contrainte
V C déformation
t F t
Schéma bloc Matériaux
Iufm_UP_ST/Licence Pluridisciplinaire Analyse globale et modélisation des mécanismes
Fig. 3
Fig. 2
Fig. 1 y1
Fig. 5 z1
moteur
Fig. 4
Fig. 6
j j
y
Réducteur
à train planétaire L’actionneur est composé
d’un moteur électrique, z1
un réducteur à train ROTOR
P1 = planétaire à quatre
P5 =
étages ainsi que d’un
limiteur de couple
Fig. 9
C1.1 C5.5
Fig.8
rg =
Fig. 7
moteur étage 1 étage 2 étage 3 étage 4
Fig. 11
Fig. 12
Fig. 13
Fig. 14 Fig. 15
Description des systèmes : exemples
Fonctions et structures
Description structurelle des systèmes
Elle répond à la question essentielle: « De quoi c’est fait ? ». C’est la plus simple car elle est basée sur l’observation
visuelle du système. On « découpe » mentalement le système en plusieurs parties. Chacune d’elles est donc une sous-
partie, un sous-ensemble, un composant ou pièce. Puis, on organise ces différentes parties en les regroupant suivant
une critère structurel tel que : leur localisation, leur forme, leur couleur, leur matériau,…
Exemples :
Image
Image
Carte mentale
Carte mentale Diagramme
fonctionnel
Vue fantome
Diagramme SADT
BTS MV NOTION DE CHAINE FONCTIONNELLE
TRANSFORMER
Donner 2 exemples de système (préciser la chaine fonctionnelle) et citer l’I.H.M., la P.C. et la P.O.
(Système) Interface Partie Partie Matière
Chaîne fonctionnelle Homme-Machine Commande Opérative d'oeuvre
(véhicule) Pédale d’accélérateur, levier Calculateur BV, Calculateur Moteur, embrayage, BV, Route
Propulsion BV,Compteur vitesse, compte moteur, B.S.I. (E.C.U.), différentiel, cardan, roue,
tour,voyants Injecteur, capteurs
(lave-linge)
Essorage
(Ascenseur)
levage
NOTION DE CHAINE FONCTIONNELLE
TRANSFORMER
Donner 2 exemples de système (préciser la chaine fonctionnelle) et citer l’I.H.M., la P.C. et la P.O.
(Système) Interface Partie Partie Matière
Chaîne fonctionnelle Homme-Machine Commande Opérative d'oeuvre
(véhicule) Pédale d’accélérateur, levier Calculateur BV, Calculateur Moteur, embrayage, BV, Route
Propulsion BV,Compteur vitesse, compte moteur, B.S.I. (E.C.U.), différentiel, cardan, roue,
tour,voyants Injecteur, capteurs
(lave-linge) Panneau de commande : Automate ou processeur, Moteur linge
Essorage sélecteur, afficheur, boutons, relais, contacteur Transmission poulie-courroie
voyants Tambour, capteurs
(Ascenseur) Boutons d'étage, afficheur, Automate programmable, Moteur, réducteur, poulie, câble, passagers
levage alarme, haut-parleur / micro contacteurs contrepoids, capteurs, cabine
CENTRE D’INTERET «ANALYSE FONCTIONNELLE » CORRIGE
A.F.S.M.
EVALUATION EVALUATION DE TP STS AVA 1
Pour les questions suivantes, lorsque la nature des énergies est demandée, veuillez indiquer :
EMT: Energie Mécanique (Translation) EP: Energie Pneumatique EE: Energie Electrique EC: Energie Chimique
EMR: Energie Mécanique (Rotation) EN: Energie Nucléaire EH: Energie Hydraulique ET: Energie Thermique
Système EP1
Nom du système : turbo-compresseur NN: Non Noté
Réducteur 3
Réducteur 2
foret non représenté Réducteur 1
percuteur Piston-bélier Piston
moteur
joint
7
Démarreur électrique:
Fonctionnement: 5
- Phase 1: le solénoïde (S), tant qu'il est alimenté, déplace vers la droite le 2 4
pignon d'attaque (6) au contact de (V) via la fourchette d'engrènement (5). 3
6
- Phase 2: le moteur électrique (M) entraîne (V) via le réducteur (R) et le
pignon (6) tant que (S) est alimenté (5, 6, 7 sont immobiles).
- Phase 3: Le moteur thermique a démarré, le moteur 0
1 6
électrique et le solénoïde ne sont plus alimentés.
0
Q3. Compléter le schéma bloc en phase 2 en précisant la nature des énergies E/S.
Q5. Toute phase confondue, compléter le tableau par E (Entrée) et/ou S (Sortie) pour les énergies
en cochant la bonne case pour les composants
Energies Composants
EE (CC-) EE(CA) EM EC Actionneur Générateur Convertisseur Transmetteur Effecteur
Moteur S E X
MG1 E/S S/E X X
MG2 E/S S/E X X
Variateur E/S S/E X
TPE S/E X X
V = R×ω
ω=V/R
AN : ω = 58,54 rad/s soit 559,1 tours/min
2.2- Rapport de réduction
rg = rcourroie × rengrenage = Nroue / Nmoteur
34 13 442 221
rg = × = =
64 47 3008 1504
Nmoteur = Nroue / rg
559,1
AN : Nmoteur = ≈ 3805 tours/min
221 / 1504
Donc nous obtenons, pour une vitesse de déplacement de 45 km/h, une vitesse de rotation du moteur proche de la
puissance nominale.
(nominale signifiant condition normale d’utilisation).
2.4- Lorsque le scooter roule à la vitesse de 45 km/h (soit 3805 t/min pour le moteur) cela ne correspond pas à la
puissance maxi du scooter.
V = R×ωroue
427.10-3 221
AN : V = × 225,15 × = 7,06 m/s soit 25,5 km/h.
2 1504
3.3- Couple moteur correspondant:
P = C×ω
D’ou Cmoteur = Pmoteur / ωmoteur
P = C×ω
Pour les questions suivantes, lorsque la nature des énergies est demandée, veuillez indiquer :
EMT: Energie Mécanique (Translation) EP: Energie Pneumatique EE: Energie Electrique EC: Energie Chimique
EMR: Energie Mécanique (Rotation) EN: Energie Nucléaire EH: Energie Hydraulique ET: Energie Thermique
Système
Nom du système : turbo-compresseur
Q1. Compléter le
schéma bloc,
indiquer la nature
des énergies
entrée / sortie sur
ce schéma bloc.
mandrin Piston-bélier
Marteau perforateur électropneumatique: percuteur
Bielle-manivelle
Q2. Compléter le schéma bloc en précisant la
nature des énergies entrée/sortie.
Réducteur 3
Réducteur 2
foret non représenté Réducteur 1
percuteur Piston-bélier Piston
moteur
joint
EMR
Moteur Forêt
+
EMT
7
Démarreur électrique:
Fonctionnement: 5
- Phase 1: le solénoïde (S), tant qu'il est alimenté, déplace vers la droite le 2 4
pignon d'attaque (6) au contact de (V) via la fourchette d'engrènement (5). 3
6
- Phase 2: le moteur électrique (M) entraîne (V) via le réducteur (R) et le
pignon (6) tant que (S) est alimenté (5, 6, 7 sont immobiles).
- Phase 3: Le moteur thermique a démarré, le moteur 0
1 6
électrique et le solénoïde ne sont plus alimentés.
0
Q3. Compléter le schéma bloc en phase 2 en précisant la nature des énergies E/S.
Engrenage
(pignon 6 – volant V) EMR3
Page 1/3
Propulsion hybride de Toyota Prius:
Q4. Compléter le tableau en cochant la case (ou les cases) correspondant au type de fonctionnement. Indiquer le type de
fonctionnement manquant dans le tableau.
Phase 1 Phase 2 Phase 3 Phase 4 Phase 5
Recharge
Propulsion thermique seule
Propulsion hybride
Propulsion électrique seule
…………………………………………
Q5. Toute phase confondue, compléter le tableau par E (Entrée) et/ou S (Sortie) pour les énergies
en cochant la bonne case pour les composants
Energies Composants
EE (CC-) EE(CA) EM EC Actionneur Générateur Convertisseur Transmetteur Effecteur
Moteur
MG1
MG2
Variateur
TPE
1 – PARAMETRAGE
1.1- A partir des données ci-dessus, tracer le schéma bloc paramétré de la transmission.
La puissance définit la quantité d'énergie développée par unité de temps. L'énergie s'exprime en _________, la puissance
en ______. L'énergie existe sous diverses formes (_______________, __________________, _______________ etc...). Ce chapitre se
limite à l’analyse qualitative de la gestion des énergies de service et aux expressions de la puissance qui découle de
l'énergie mécanique utile à tout mécanisme : La puissance mécanique.
NOTIONS D’ENERGIE
Nature de l’énergie :
L’énergie se trouve sous différentes nature (ou formes) :
Mécanique Hydraulique ____________ ____________ _____________
____________ Electrique ____________ ____________
Elle est définie par la nature même des phénomènes physiques mis en jeu et conséquemment par la nature des
grandeurs physiques mesurables du dit phénomène.
Exemples : Energie mécanique (force, couple, vitesse), énergie électrique (tension, intensité), énergie hydraulique
(pression, débit), etc.
Transformation d’énergie :
Toues les disciplines (méca,
On entend ici par transformation, la modification de la nature même de l’énergie.
élec, etc) ont leur propre
Exemples : Transformation hydro-électrique, électro-mécanique, thermo-chimique, etc. terminologie et elles ne sont pas
nécessairement en accord.
Conversion d’énergie : Aussi trouve-t-on par exemple
On entend par conversion, la modification d’une caractéristique de l’énergie sans des transformateurs électriques
modification de sa nature. qui convertissent (220V/12V) et
Exemples : Conversion électrique HT/BT, conversion hydraulique HP/BP, conversion des transformateurs
mécanique rotation/translation, etc. mécaniques qui convertissent
(rotation / translation). Ces
Rq : On transforme de l’eau en vapeur, le bois en papier mais on convertit les francs derniers transforment la nature
en euros, les degrés Celsius en degré Fahrenheit. du mouvement, pas de
l’énergie.
Matrice de conversion / transformation des énergies ;
La matrice ci-dessous recense la majorité des transformations et des conversions d’énergie utilisées par l’homme. Ces
transformations peuvent être directes ou indirectes (si mention IND) :
La transformation est indirecte si l’énergie passe par une nature intermédiaire différente ;
Exemples : : Moteur électrique et thermique ne convertissent pas directement l’énergie. De même, seuls les vérins
linéaires convertissent directement l’énergie (pneumatique ou hydraulique en énergie mécanique). Les vérins
rotatifs sont généralement constitués d’un ou plusieurs vérins linéaires et d’un transformateur de mouvement
(transmetteur mécanique).
Sortie Mécanique Mécanique Mécanique Electrique Thermique Chimique Magnétique Nucléaire Radiative
Entrée (d’un solide) Pneumatique Hydraulique (Calorifique) (rayonnante)
Mécanique Accouplement, Compresseur, Générateur, Frottements
(d’un solide) Engrenage, ____________ ___________ __________ (Freins), x x x x
Vis-écrou, Embiellage
Magnétique x x x x Hystérésis x x x x
Nucléaire x x x x Réacteur x x x Rayonnement
nucléaire ,
Radiative Radiomètre Cellule Capteur solaire Plantes
(rayonnante) Voile solaire x x photovoltaïque thermique (photo- x x x
synthèse)
Pour chacun des systèmes ci-après, préciser en complétant le tableau qui suit :
la nature des énergies de service d'entrée ( )et de sortie ( )
l’état des énergies ( transformée, convertie, transférée ou stockée)
la famille de composant (actionneur, générateur, transmetteur)
6. Perceuse électrique
5. Rétroviseur électrique
7. Moteur thermique
1 Pompe hydraulique
2 Compresseur
3 palan électrique
4 Vérin hydraulique
5 Rétroviseur électrique
6 Perceuse électrique
7 Moteur thermique
8 Transmission mécanique
9 échangeur air/air
10 Moteur électrique
11 Turbo-compresseur
12 Boite de vitesse
13 Différentiel
14 Réducteur
NOTION D’ENERGIE ET DE PUISSANCE MECANIQUE
La puissance définit la quantité d'énergie développée par unité de temps. L'énergie s'exprime en Joules, la puissance en
Watts. L'énergie existe sous diverses formes (Mécanique, électrique, hydraulique, etc...). Ce chapitre se limite à l’analyse
qualitative de la gestion des énergies de service et aux expressions de la puissance qui découle de l'énergie mécanique
utile à tout mécanisme : La puissance mécanique.
NOTIONS D’ENERGIE
Nature de l’énergie :
L’énergie se trouve sous différentes nature (ou formes) :
Mécanique Hydraulique Thermique Magnétique Rayonnante
Pneumatique Electrique Chimique Nucléaire
Elle est définie par la nature même des phénomènes physiques mis en jeu et conséquemment par la nature des
grandeurs physiques mesurables du dit phénomène.
Exemples : Energie mécanique (force, couple, vitesse), énergie électrique (tension, intensité), énergie hydraulique
(pression, débit), etc.
Transformation d’énergie :
On entend ici par transformation, la modification de la nature même de l’énergie. Toues les disciplines (méca,
Exemples : Transformation hydro-électrique, électro-mécanique, thermo-chimique, etc. élec, etc) ont leur propre
terminologie et elles ne sont pas
Conversion d’énergie : nécessairement en accord.
On entend par conversion, la modification d’une caractéristique de l’énergie sans Aussi trouve-t-on par exemple
modification de sa nature. des transformateurs électriques
Exemples : Conversion électrique HT/BT, conversion hydraulique HP/BP, conversion qui convertissent (220V/12V) et
mécanique rotation/translation, etc. des transformateurs mécaniques
qui convertissent (rotation /
Rq : On transforme de l’eau en vapeur, le bois en papier mais on convertit les francs translation). Ces derniers
en euros, les degrés Celsius en degré Fahrenheit. transforment la nature du
mouvement, pas de l’énergie.
Matrice de conversion / transformation des énergies ;
La matrice ci-dessous recense la majorité des transformations et des conversions d’énergie utilisées par l’homme. Ces
transformations peuvent être directes ou indirectes (si mention IND) :
La transformation est indirecte si l’énergie passe par une nature intermédiaire différente ;
Exemples : : Moteur électrique et thermique ne convertissent pas directement l’énergie. De même, seuls les vérins
linéaires convertissent directement l’énergie (pneumatique ou hydraulique en énergie mécanique). Les vérins
rotatifs sont généralement constitués d’un ou plusieurs vérins linéaires et d’un transformateur de mouvement
(transmetteur mécanique).
Sortie Mécanique Mécanique Mécanique Electrique Thermique Chimique Magnétique Nucléaire Radiative
Entrée (d’un solide) Pneumatique Hydraulique (Calorifique) (rayonnante)
Mécanique Accouplement, Compresseur, Générateur, Frottements
(d’un solide) Engrenage, Pompe à vide Pompe Alternateur (Freins), x x x x
Vis-écrou, Embiellage
Magnétique x x x x Hystérésis x x x x
Nucléaire x x x x Réacteur x x x Rayonnement
nucléaire ,
Radiative Radiomètre Cellule Capteur solaire Plantes
(rayonnante) Voile solaire x x photovoltaïque thermique (photo- x x x
synthèse)
Définir les composants suivants d'un point de vue énergétique:
Actionneurs: L’actionneur transforme une énergie de service en énergie mécanique
Générateurs: Un générateur transforme une énergie mécanique en énergie de service autre
Transmetteurs: Un actionneur convertie l’énergie mécanique. Il la transmet, il l’adapte mais ne la transforme pas.
Pour chacun des systèmes ci-après, préciser en complétant le tableau qui suit :
la nature des énergies de service d'entrée ( )et de sortie ( )
l’état des énergies ( transformée, convertie, transférée ou stockée)
la famille de composant (actionneur, générateur, transmetteur)
6. Perceuse électrique
5. Rétroviseur électrique
7. Moteur thermique
1) Du général au particulier
2) Frontière d’étude clairement définie
3) Entrée / Sortie du système
4) La fonction : Point de vue concepteur plutôt qu’utilisateur
Energie d’entrée + processus + Energie de sortie
5) Le fonctionnement : comment est assurée la fonction = étapes du process sur l’énergie
Depuis l’entrée jusqu’à la sortie
De façon chronologique
Par la structure correspondante : un composant par sous-fonction. S’il est cité dans la description littérale,
il doit être désigné dans l’illustration ( PO/PC, Actionneur Transmetteur effecteur)
Exemples :
Réducteur Usocome
L’énergie mécanique de rotation EMR1
fournie à l’arbre d’entrée par le moteur est y
transmise par l’engrenage 1 à l’arbre
intermédiaire puis à l’arbre de sortie par
l’engrenage 2. z
Chaque engrenage réduit la vitesse tout en
augmentant le couple et adapte ainsi la x
puissance du moteur à celle requise par le
treuil.
y
Rétroviseur électrique Nissan Ry Rx miroir
Le miroir est motorisé sur 2 axes (x et y).
z x Vis-
L'EMR du moteur est transmise et adaptée moteur écrou y
par un engrenage à roue et vis sans fin et
engrenage
l'engrenage cylindrique au système vis- Roue &
écrou.
VSF
La propulsion du scooter est assurée par engrenage
moteur roue
un moteur électrique qui entraîne la
roue par l’intermédiaire d’une
transmission par courroie et d’un
réducteur à engrenage.
courroie
propulsion
La courroie permet de transmettre la
engrenage
puissance mécanique de rotation à
distance tout en l’adaptant car elle réduit
la vitesse du moteur tout en augmentant
le couple. L’engrenage fait de même,
mais entre deux axes proches et en
transmettant un couple plus important.
carter
Objectifs :
1) Découvrir les lois Entrée-Sortie cinématiques des principaux systèmes de transmission de puissance.
2) Appréhender de façon qualitative les efforts (couple, force) mis en jeu à l’entrée et à la sortie du système.
3) Appréhender la relation effort – vitesse et ainsi la fonction d’adaptation de puissance commune à tous les systèmes.
Travail demandé :
1) Pour chacun des 8 systèmes support de TP, préciser :
le type de composant présent
si il y a ou non transformation de mouvement.
TP Système
TP2
Winch
TP3
Scooter
électrique
TP4
BV
Renault
TP5
Réducteur
SEW
TP6
Réducteur
FDA
TP7
Opérateur
LYRA
TP8
Vérin
SNT
TP9
Réducteur
USOCOM
2) Déterminer approximativement par mesure et observation la loi E/S cinématique du système. A savoir :
Version 1
Version 1 E
TP1 1
RI40 tour Version 2
Version 1
S
E
TP2 1 2 r1 = 2, r2 = 1/4 et rG = 1/2
Winch tour 1/2
tours r G = r1 x r 2 S
E
TP8
Scooter
électrique S
TP4 E
BV
Renault S
E
TP5
Réducteur
SEW S
E
TP6
Réducteur
FDA S
TP7
Opérateur
LYRA
TP8
Vérin
SNT
TP9 E
Réducteur
USOCOME S
Transmission de puissance : exemples de lois E/S cinématique Version 1 :
Zv ZR
Réducteur RI40 Winch à 2 vitesses
Version 1 :
ZV= ?? Z18=20
ZR=40 Z10=10
Z5=40
Version 2 :
ZV= ??
ZR=28
Z5 Z18 Z10
Z4
Z3 Z1=17
Z2 Z1=34 Z2=64
Z1 Z2=64 Z3=19
Z3=13 Z6 Z5 Z2 Z4=27
Z4 Z3
Z4=47 Z5=18
Z6=97
Z1=22
ZR = 25 Z4 Z3 Z2 Z1 Z2=58
Z3=14
Zv = ?? Z6=83
Fonctionnement du mécanisme de lève‐vitre électrique ‐ Renault Kangoo Flux d’énergie /mouvements
Fig. 1
Mise en situation
Fig. 2
Fig. 3
Fig. 4 Transformation rotation/translation
Engrenage à Rail mobile
Fonctionnement du mécanisme de lève‐vitre électrique ‐ Renault Kangoo
roue et vis particulier Fonctionnement :
Description des
Fig. 4 Transformation rotation du bras / translation de la vitre mouvements
Comportement (texte+images)
Le bras principal qui actionne la vitre est articulé avec le bras secondaire qui a pour fonction de maintenir
le rail mobile horizontal en s'appuyant sur le rail fixe pendant tout le mouvement. L'ensemble [bras vitre
principal + bras secondaire + rail mobile + rail fixe] forme un parallélogramme déformable (fig. 4). La vitre,
ainsi actionnée par le rail mobile, est animée d'un mouvement de translation rectiligne vertical.
vitre Rail mobile
Rail mobile
vitre
Parallélogramme
déformable
Rail mobile
AFSM NOTION DE TRAVAIL OU ENERGIE MECANIQUE BTS MV
Qu’elle soit mécanique, cinétique, calorifique, électrique ou hydraulique, l’énergie est à l’origine de toute action et donc de tout
mouvement. L’énergie (notée E) est exprimée en Joule. L’énergie mécanique est aussi appelée Travail (noté W).
W = ll F ll . l . cos
W=C.
Elle représente la variation d'énergie par unité de temps. On parle aussi de débit d’énergie.
Pm : puissance moyenne en Watt
Pour illustrer la différence entre puissance et énergie ; Pm =
W W : Travail (Energie mécanique) en Joule
t t : temps en seconde
Elle représente la quantité de travail (ou énergie mécanique) produite par une action mécanique à un
instant donné. Si on exprime le travail W de l’action mécanique (voir plus haut), on obtient la puissance C
instantanée en dérivant l’expression obtenue par rapport au temps. Les deux actions mécaniques
élémentaires (Force F et couple C) donnent les deux expressions courantes de la puissance mécanique :
Dans un système parfait et donc théorique, il n'y a Dans un système réel, on ne récupère en sortie qu'une
pas de pertes. On récupère donc en sortie toute la partie de la puissance d'entrée. L'autre partie est
puissance d'entrée. dissipée et donc perdue dans le système.
PS = PE PS = PE - PD Puissance
Puissance Puissance Puissance
d'entrée de sortie d'entrée de sortie
Système Système
Pe Ps PE PS
parfait réel
Puissance
=1 = PPS dissipée (pertes)
PD
E
Le rendement, c'est le rapport entre la puissance de sortie et la puissance d'entrée.
est un nombre compris entre 0 et 1. Il s'exprime également en pourcentage ( = 0,8 = 80 %)
Courbe de puissance
du moteur
Z1 = 34
Z3 = 13
Z4 = 47
Z2 = 64
Diamètre du pneu arrière :
D= 427 mm
Z1 = 34
E _________ Z2 = 64
Contact
Roue / sol
W = ll F ll . l . cos
W=C.
Elle représente la variation d'énergie par unité de temps. On parle aussi de débit d’énergie.
Pm : puissance moyenne en Watt
Pour illustrer la différence entre puissance et énergie ; Pm =
W W : Travail (Energie mécanique) en Joule
t t : temps en seconde
Elle représente la quantité de travail (ou énergie mécanique) produite par une action mécanique à un
instant donné. Si on exprime le travail W de l’action mécanique (voir plus haut), on obtient la puissance C
instantanée en dérivant l’expression obtenue par rapport au temps. Les deux actions mécaniques
élémentaires (Force F et couple C) donnent les deux expressions courantes de la puissance mécanique :
Dans un système parfait et donc théorique, il n'y a Dans un système réel, on ne récupère en sortie qu'une
pas de pertes. On récupère donc en sortie toute la partie de la puissance d'entrée. L'autre partie est
puissance d'entrée. dissipée et donc perdue dans le système.
PS = PE PS = PE - PD Puissance
Puissance Puissance Puissance
d'entrée de sortie d'entrée de sortie
Système Système
Pe Ps PE PS
parfait réel
Puissance
=1 = PPS dissipée (pertes)
PD
E
Le rendement, c'est le rapport entre la puissance de sortie et la puissance d'entrée.
est un nombre compris entre 0 et 1. Il s'exprime également en pourcentage ( = 0,8 = 80 %)
Courbe de puissance
du moteur
Z1 = 34
Z3 = 13
Z4 = 47
Z2 = 64
Diamètre du pneu arrière :
D= 427 mm
Z1 = 34
E Elec_________ Z2 = 64
Contact
Roue / sol
Z17=36 N18= ??
Z22=57
N25
Exemple 3
m = 1 = 407,15 rd.s-1 Z1=12
Cm = 4 N.m Vch
- Calculer N18
Z2=48
Z3=18
Z5=31 Z4=54
Z6=93
Z7=12
Z8=15
Z9=24
Z10=17 Z12=13
Z14=9
25=64 mm
Z15=27
Z16=13
Z11=51 Z18=32
Z13=39 18 ??
Vch ??
Z17=27
TS MV 1 TD 1 : Transmission de puissance , trains simples AFSM
Données:
7 = 157 rd.s-1
Exercice 3: Réducteur
Colorier les S.E.C.
Tracer le schéma cinématique.
Déterminer le rapport de réduction du réducteur.
Expression littérale puis application numérique.
pas de signe (-1)p pour le renvoi conique.
Données :
roue 1 : Z1=7, d1=14 mm roue 3 : Z3=6, d3=12 mm
roue 2 : Z2=28, d2=56 mm roue 4 : Z4=30, d4=60 mm 5
rendement moteur : m= 0,95
rendement engrenage 1-2 : 1 = 0,9
rendement engrenage 3-4 : 3 = 0,8
fréquence moteur : Nm = 1500 tr/mn
Approche méthodologique :
On calcule les paramètres Pi, Ci, i à partir des relations encadrées ci-dessous ( 3 horizontales et une verticale).
Certains paramètres étant donnés, le but du jeu (méthodologique) consiste à utiliser le moins de relations possibles pour
déterminer les paramètres recherchés.
Exemple: Les paramètres M et C5 sont données (ainsi que les i et les ri).
Déterminer tous les paramètres inconnus: PM, CM, P2, C2, 2, P5 et 5.
TS AVA 1 TD 3 : Transmission de puissance AFSM
Transmission d’un scooter électrique
0 – DONNEES
Pignon Roue
Nombre de dents Z 13 47
Diamètres primitifs 20.366 73.63
Déports (mm) +0.4156 -0.4528
1 – PARAMETRAGE
1.1) A partir du dessin d’ensemble et des données ci-dessus, tracer le schéma cinématique paramétré ainsi que le
schéma bloc paramétré de la transmission
La réglementation en France impose une vitesse maximale du scooter limitée à 45 km/h, on se propose de vérifier la
vitesse de rotation du moteur pour atteindre cette vitesse :
2.1) Rechercher dans la documentation technique le diamètre de la roue arrière, calculer sa vitesse de rotation Nroue
en tr/mn lorsque le scooter roule à 45 km /h.
2.2) Calculer le rapport de réduction de la transmission (engrenages et système poulies- courroie) : r = Nroue / Nmoteur
En déduire la vitesse du moteur en tr/mn. : Nmoteur
2.3) Rechercher dans la documentation technique la vitesse nominale du moteur et comparer avec votre résultat.
Conclusion ?
2.4) D’après la courbe donnant la puissance mécanique du moteur fournie dans le dossier technique, lorsque le
scooter roule à sa vitesse maximale de 45 km/h, le moteur est-il à sa puissance maximale ?
Donner alors la puissance du moteur lorsque le scooter roule à 45 Km/h : Pm
3.1) Donner la puissance maximale du moteur : Pmaxi ainsi que sa vitesse de rotation correspondante : Nm
3.2) Calculer la vitesse du scooter en km/h lorsque le moteur est à sa puissance maximale
3.3) Calculer le couple moteur correspondant : Cm
3.4) Déterminer le rendement global η de la transmission (engrenage + système poulies–courroie).
En déduire la puissance en sortie sur la roue arrière : Ps
3.5) Calculer le couple en sortie sur la roue arrière du scooter : Cs
TD1 Transmission de Puissance
REDUCTEUR A TRAIN SIMPLE
Données : L’arbre d’entrée 1 est un pignon arbré (la denture est taillée directement sur l’arbre)
L’arbre de sortie 2 est cannelé pour permettre la liaison avec le porte couronne 12.
La couronne 11 est à denture droite intérieure
Vitesse d’entrée : N1 = 2000 tr/min.
entrée
La puissance fournie à l’arbre d’entrée : P1 = 3 kW.
Rendement des engrenages = = = 95%.
= 92%.
nombres de dents : voir nomenclature sortie
modules : m1-8 = m8’-9 = m9-10 = m10-11 = 2 mm
1 = {1,....}
Axe de la roue dentée double
2 = {2,….} 10 – 10’.
3 = {3,….}
Axe commun des roues dentées
8 = {8,….} 1, 2, 9 et 11.
N1
Schéma
cinématique z
TS AVA 1 TD 5 : Transmission de puissance AFSM
Le système technique étudié est un mécanisme de lève vitre électrique avant équipant les voitures Renault Laguna .Ce
mécanisme est logé dans la portière , il se compose d’un bâti , d’une réglette sur laquelle vient se clipser la vitre , d’un
levier qui possède un secteur denté qui s’engrène avec le pignon de sortie du moto réducteur .
Hypothèses :
On néglige le poids des pièces, sauf celui de la vitre.
On suppose les rendements constants au cours du temps.
Données :
Masse de la vitre Mv = 5 kg.
Moteur Bosch CC:
Couple moteur maxi recommandé = 1,2 N.m
Accélération de la pesanteur g = 10 m/s²
TRAVAIL DEMANDE
Vitre
P el Moteur PM PR Levier + Pmoy(vitre)
m=0,5 Réglette
3=0,9 v=0,5
1=0,5 2=0,8
Transmission
3- D’après la chaîne cinématique précédente, déterminer le rendement global de la transmission T
4- Calculer la puissance nominale du moteur nécessaire pour lever la vitre en fonctionnement normal (montée de la
vitre), notée PM:
La fréquence de rotation du levier par rapport au bâti est : Nlevier/bâti = 3,6 tr/min
Le système technique étudié est un mécanisme de lève vitre électrique avant équipant les voitures Renault Laguna .Ce
mécanisme est logé dans la portière , il se compose d’un bâti , d’une réglette sur laquelle vient se clipser la vitre , d’un
levier qui possède un secteur denté qui s’engrène avec le pignon de sortie du moto réducteur .
Hypothèses :
On néglige le poids des pièces, sauf celui de la vitre.
On suppose les rendements constants au cours du temps.
Données :
Masse de la vitre Mv = 5 kg.
Moteur Bosch CC: NM = 2300 tr.mn-1
Couple moteur maxi recommandé = 1,2 N.m
Accélération de la pesanteur g = 10 m/s²
TRAVAIL DEMANDE
En observant les schémas page 1, compléter la chaîne cinématique de commande de la vitre ci-
dessous :
6- Calculer le couple nominal du moteur nécessaire pour lever la vitre en fonctionnement normal
(montée de la vitre), noté CM :
CM = PM / M = 31,7*30/(*2275) = 0,13 N.m
Objectif de l’étude:
Le constructeur annonce que la moto peut atteindre une vitesse de 100 km/h (départ arrêté) en 3,5s
On va s’intéresser dans cette étude aux caractéristiques cinématiques de la transmission pour évaluer la vitesse
atteinte par la moto pour des rapports de boite de vitesse donnés (1er et 6ème ).
Données :
Les données techniques de la transmission de puissance, fournies par le constructeur sont résumées par le schéma
bloc suivant (chaîne cinématique):
Travail demandé :
Fig. 1
2
F 4
3
12 11 10 9 8
6 5
0 : carter 19
13 14 15 16 17 18
STS AVA1 TD : TRANSMISSION DE MOTO VOXAN 1000 Page 1/1
Données :
Les données techniques de la transmission de puissance, fournies par le constructeur sont
résumées par le schéma bloc suivant (chaîne cinématique):
5- Calculer la vitesse maxi atteinte par la moto en fin de 1ère lorsque le régime moteur maxi est
Nm=9000 tr/min.
le rapport de boite est 15/41.
Nroue = Nmot x (37/67) x (15/41) x (18/40) = 818 tr/min
et avec un diamètre de roue de 650 mm, on a la vitesse linéaire Vmax = R.roue =
R.2Nroue /60
Vmax = 0,325*2*818/60 Vmax =27,8 m/s = 27,8*3600*10-3
Vmax =100 km/h
TRANSMISSION DE PUISSANCE DES SYSTEMES MOTORISES : SYNTHESE
Approche fonctionnelle, structurelle, comportementale et technologique des principales solutions constructives de transmission de puissance mécanique de rotation
à couple Limiteurs de
limité couple
à couple Coupleurs
augmenté Convertisseurs
sans
transformation
de mouvement ralentie Freins
à même
APPROCHE STRUCTURELLE vitesse
Poulies-courroie
plate
par
adhérence
Poulies-courroie
trapézoïdale
entre arbres
éloignés
Poulies-courroie
crantées
par
obstacle
b Structure et paramètres internes Roues et chaîne
Grande Réducteur à
DES FONCTIONS … réduction trains simples
Transmettre
une puissance à vitesse Boite de
mécanique variable vitesses
de rotation
Variateurs
moteur
a Exemple : Transmission de moto Translation Pignon-
continue crémaillère
avec
transformation
de mouvement Treuil / palan
Cadre à
coulisse
Rotation
discontinue Croix de malte
TRANSMISSION DE PUISSANCE DES SYSTEMES MOTORISES : SYNTHESE
Approche fonctionnelle, structurelle, comportementale et technologique des principales solutions constructives de transmission de puissance mécanique de rotation
APPROCHE TECHNOLOGIQUE
Critères de choix Modèle structurel Modèle cinématique Loi E/S Modèle Loi E/S
(avantage/inconvénient) NF E 04-113 cinématique dynamique/énergétique dynamique/énergétique
Poulies/courroie plate Puissance r=2/1=+d1/d2
trapezoïdale, crantée Plate
Trapezoïdale courroie crantée :
Crantée
Précision r=2/1=+d1/d2
Plate =+Z1/Z2
Trapezoïdale
Crantée
Engrenages Puissance(+)
cylindriques droits Précision(+) d2
Rendement(+) r=2/1=+d1/d2
Bruit(+) 2 =+Z1/Z2
1
Engrenages Idem
cylindriques droits
Sens de rotation r=2/1=-d1/d2
inversé =-Z1/Z2
1
2
Engrenages Puissance(++)
cylindriques Précision(+)
hélicoïdaux Rendement(-) Idem
Bruit(++) 1
2
Engrenages Puissance(++)
coniques Rendement(-) Idem
Réducteur à
trains simples r=2/1
=(-1)p Zmenantes
1 Zmenées
exemple :
r=(-1)3x(Z1/ZE)
x(ZE/Z2)x(Z3/Z4)
Pignon-
crémaillère V=
R
Système
Vis-écrou
V = p/2 pi
CONTROLE: Transmission de puissance
BTS MV 1 Aucun document autorisé – Brouillon et calculatrice autorisés Durée : 1h00
EXERCICE 1
Soit l'engrenage cylindrique à denture droite schématisé ci-contre :
QUESTION 1 : 1 2
Z1= 24
Quelle roue dentée à la plus grande vitesse ?
QUESTION 2 :
Z2= 8
Calculer le rapport r1.
QUESTION 3 : sortie
entrée
Calculer N2. N1= 600 tr/mn
EXERCICE 2
Déterminer la puissance développée dans les deux cas suivants :
EXERCICE 3
Le dessin ci contre représente un réducteur à 2 engrenages cylindriques à denture droite. Entrée 1, sortie 6.
EXERCICE 4
Le dessin ci contre représente un réducteur à engrenages cylindriques à denture droite. Entrée 1, sortie 6.
EXERCICE 5
Entrée 7, sortie 1. Rendements: 7-3’ = 3-1 = 0,9
Le couple au niveau de l'arbre intermédiaire est C3 = 3 N.m Z7 Z3
QUESTION 14 : Quel est le rapport de transmission r5 du réducteur.
épicycloïde cycloïde hypocycloïde
Exemple: Démarreur électrique
La puissance nécessaire au lancement du volant moteur (V) d’un véhicule est fournie par le moteur électrique (M) et transmise et adaptée par le
réducteur à train épicycloïdal (R). Les mouvements d'entrée et de sortie du réducteur sont des mouvements de rotation de vitesse respective de 1/0
et 3/0. Seuls les trois satellites (2) sont en mouvement épicycloïdal.
Lanceur
2 4
Moteur
Réducteur épicycloïdal
Le mouvement épicycloïdal plan de 2/0 est la composition de deux rotations:
1 0
Mvt 2/0 = Mvt 2/3 + Mvt 3/0 soit pour les vitesses : 0
Les efforts radiaux inévitables qui sollicitent habituellement les éléments de guidage des pignons,
ici se compensent et s'annulent! Les éléments de guidages sont beaucoup moins sollicités, voire
plus du tout. Le porte-satellite en particulier est parfois monté "flottant" et donc auto-centré par les
satellites.
Mais le réducteur à train planétaire est bien plus qu’un super réducteur ; ses 3 éléments mobiles
permettent 3 cas d’utilisation et de nombreuses configurations:
2 2 4 2 4
4 = bâti 0
1 3 1 1
3 3
0 0 0 0 0 0
Adapter la puissance Répartir la puissance Combiner 2 puissances
Augmenter le couple Répartir le couple motrices
Réduire la vitesse Différencier les vitesses Augmenter le couple
Varier la vitesse
Ces avantages rendent leurs applications très fréquentes dans tous les secteurs industriels. Pour ne citer que le secteur automobile, on
trouve par exemple:
Motorisation hybride Transmission intégrale de poids lourd Boite automatique Rétroviseur électrique
D'après Documents "Toyota" D'après Documents "Scania" D'après Documents "Volvo" D'après Documents "Renault"
Exemple: Implantation de 12 trains épicycloïdaux dans une transmission intégrale 6x6 d'un camion de chantier
2 – APPROCHE STRUCTURELLE
Les trains épicycloïdaux peuvent être :
en configuration A, B ou C
A : porte-satellite bloqué
B : planétaire intérieur bloqué
C : planétaire extérieur bloqué
plans ou sphériques
3=0
1 1=0 1 3
3
0 0 0 0 0
S 4 S 4 S 3
r = = r = = r = =
E 1 E 3 E 1
Il suffit donc de calculer r et pour cela, on utilise une seule et unique relation : la formule de Willis
Sb/PS Sb/0 - PS/0 p Zmenantes rb est la raison basique du train, c'est-à-dire le rapport de réduction
rb =
Eb/PS = Eb/0 - PS/0 = (-1) du train dans sa configuration ou le porte-satellite est bloqué (train
Zmenées simple ou basique).
L’application de la formule de Willis est délicate et requiert de l’habitude. L’idéal est, dans un premier temps, de la redémontrer.
En effet, rb n’est pas le rapport de réduction recherché. Mais si on applique la méthode suivante, on trouve à coup sûr rb et donc r.
1 : Objectif : r=S/0/E/0.
Repérez l’entrée E et la sortie S puis exprimer ce que vous cherchez : r=S/0/E/0 ainsi que la vitesse nulle de l’élément bloqué.
2 : Raison basique : rb
Bloquer le PS (Porte-satellite), libérer le planétaire bloqué puis, choisissez une entrée et une p=1 p=1 p=1
sortie (dites basiques). Rq : le nombre de
Enfin, exprimer rb: satellites n'influe pas sur
le rapport de transmission
3 : Composition des vitesses par rapport au bati 0
Exprimer Sb/PS = Sb/0 + 0/PS = Sb/0 - PS/0 puis Eb/PS = Eb/0 + 0/PS = Eb/0 - PS/0
21 Z1=16
Z21=14
2) Raison basique: Le porte-satellite 3 est bloqué.4 est libéré
4 Z22=18 rb2 = 4/PS / 1/PS = -Z1.Z22/Z21Z4 -0,428
Z4=48
3) Composition des vitesses:
22 rb2 = (4/0 + 0/PS) / (1/0 + 0/PS)
1 3 = (4/0 - PS/0) / (1/0 - PS/0)
Variante: en developant rb :
4) r = f (rb2): avec 4/0 = 0
0 rb2 = - PS/0 / (1/0 - PS/0) rb2 = - PS/0 / (1/0 - PS/0) = -Z1.Z22/Z21Z4
- PS/0 = 1/0 . rb2 - PS/0 . rb2 -PS/0.Z21Z4=-1/0.Z1.Z22+PS/0.Z1.Z22
PS/0 (rb2 – 1) = 1/0 . rb2 +1/0.Z1.Z22 = PS/0.(Z1.Z22+Z21Z4)
r =PS/0/1/0 = Z1.Z22 /(Z1.Z22+Z21Z4)
PS/0 r r = PS/0 / 1/0 = rb2 / (rb2 – 1)
r2 = = b2 r =PS/0/1/0 = 16.18/(16.18+14.48)
1/0 rb2 – 1 r = PS/0 / 1/0 = +0,3 1/3,3
r = PS/0 / 1/0 = +0,3 1/3,3
Réducteur
2
Exemple à résoudre: Z4
Z2
Soit le train épicycloïdal ci-contre :
1 est l’entrée, 3 est la sortie et 4 est bloqué
1 3 Z1 Z2 Z1
Z1=15, Z2=9, Z4=33,
1=157 rd.s-1 0 Z2 Z2 Z4
Calculer 3 !!!! 0
4 (bloqué) 4
bloqué
BTS MV 1 5 TD - Transmission de puissance par trains épicycloïdaux AFSM
2A 3A 4A
2B 3B 4B
2C 3C 4C
BTS MV 1 TD 1 : Transmission de puissance , trains épicycloïdaux AFSM
Données:
Pm = 2 kW, Nm = 1500 tr.mn-1
BTS MV 1 TD 2 : Transmission de puissance AFSM
Réducteur final de transmission d’un poids lourd
Exercice 1 :
Pour chacun des deux réducteurs ci-dessous, tracer le schéma
cinématique et déterminer le rapport de réduction. Expression littérale
puis application numérique. La fréquence de rotation du pignon d’entrée
est NA = 600 tr/mn. Déterminer la fréquence de sortie N2 dans les deux
cas.
ZA = 34, ZB = 74
ZA = 40, ZB = 26, ZC = 92
Attention : train
épicycloïdal.
BTS MV1 TD 3 : Transmission de puissance AFSM
Réducteur final de transmission d’un poids lourd
Exercice 1 :
Pour le réducteur ci-dessous, déterminer le rapport de réduction. Expression littérale puis application numérique. La fréquence
de rotation de la couronne d’entrée est N4 = 600 tr/mn. Déterminer la fréquence de sortie N3.
Pour cela : 4/0 - 3/0 Z1
1. Démontrer que la raison basique du train épicycloïdal est telle que : rb = = -Z
1/0 - 3/0 4
On suppose pour cela que le porte-satellite est bloqué (3/0 =0) puis, on exprime la vitesse absolue (i/0) des planétaires
« i » par composition des vitesses relatives au porte-satellites (i/3).
2. Préciser en complétant le schéma cinématique du réducteur final, quel est le sous-ensemble cinématique fixe et donc lié au
châssis du véhicule.
3. Appliquer la formule de Willis précédente et en dé
Données :
N4 = 600 tr/mn
Z1 = 50, Z2 = 25, Z4 = 100
BTS MV 1 TD 4: Transmission de puissance AFSM
Etude des trains épicycloïdaux plans
EXERCICE 1
Ce réducteur est utilisé entre un moteur (coté gauche ) et un arbre de sortie (coté droit).
On donne les nombres de dents suivants:
planétaire 16 dents
satellite 50 dents
couronne 116 dents
EXERCICE 2
Ce réducteur est utilisé entre un élément moteur (arbre 1 ) et un arbre de sortie (19).
2) Calculer le rapport de
transmission.
BTS MV 1 TD 4 - suite : Transmission de puissance AFSM
Etude des trains épicycloïdaux plans
EXERCICE 3
Le réducteur représenté est une combinaison d’un
réducteur à roue et vis sans fin et d’un réducteur
épicycloïdal.
Le nombre de dents est le suivant:
roue 40 dents
satellite 18 dents
planétaire 12 dents
vis 1 filet
EXERCICE 4
Les moyeux arrière des tracteurs sont le plus souvent équipes d'engrenages planétaires. Ce mode d'entraînement
présente l'avantage qu'on réalise un rapport de démultiplication relativement grand malgré l'espace limité. Etant donné que
le couple d'entraînement est directement sur la roue, le réducteur différentiel est relativement peu encombrant et les arbres
de commande sont légers.
2 Calculer le rapport de
transmission
BTS MV 1 TD5: Transmission de puissance AFSM
Etude des trains épicycloïdaux plans
Chers disciples,
pour chacun des 3 types de trains épicycloïdaux simples ci-dessous (II, III et IV), il existe 3 configurations du train
(A, B et C) pour lesquelles il y a toujours un élément du train bloqué.
Votre mission, si vous l’acceptez, est de déterminer le rapport de transmission de chaque train en adoptant la
démarche précédemment adoptée, à savoir :
1 : Objectif : r=S/0/E/0 Repérez bien et .
2 : Raison basique : rb=Sb/PS/Eb/PS
3 : Composition des vitesses par rapport au bati 0
4 : r= f(rb)
Vous avez 45 mn soit 5 mn par train sachant que les configurations 2A, 3A et 4A sont basiques et donc plus
rapides à déterminer.
Vous donnerez le rapport de transmission à 10-3 prés et sous la forme r=1/x lorsque c’est possible.
Attention aux signes (et donc aux sens de rotations) et aux rapports de multiplication.
21 22
21
4 4
3
21 3
22 22
1 3 1 1
4
0 0 0
21 22
21
4 4
3
21
22 22 3
1 3 1 1
4
0 0 0
21 21 22
4 4
3
21
22 22 3
1 3 1 1
0 4
0 0
Tout résultat non justifié (par un calcul, un raisonnement) ne sera pas évalué.
BTS MV1 TD5: Transmission de puissance AFSM
Etude des trains épicycloïdaux plans
Chers disciples,
pour chacun des 3 types trains épicycloïdaux simples ci-dessous (2, 3 et 4), il existe 3 configurations du train (A, B et C) pour lesquelles il y a toujours un élément du train bloqué.
Votre mission, si vous l’acceptez, est de déterminer le rapport de transmission de chaque train en adoptant la démarche précédemment adoptée, à savoir :
1 : Objectif : r=S/0/E/0 Repérez bien et .
2 : Raison basique : rb=Sb/PS/Eb/PS
3 : Composition des vitesses par rapport au bati 0
4 : r= f(rb)
Vous avez 45 mn soit 5 mn par train sachant que les configurations 2A, 3A et 4A sont basiques et donc plus rapides à déterminer.
Vous donnerez le rapport de transmission à 10-3 prés et sous la forme r=1/x lorsque c’est possible.
Attention aux signes (et donc aux sens de rotations) et aux rapports de multiplication.
Type II
Z1=16, Z21=14, Z22=18, Z4=48
config. 2A
21
4
Train simple (non épicycloïdal)
config. 3A
Réducteur
config. 4A
4
0
config. 4C
1) Objectif: r = 4/0 / PS/0 avec 1/0 = 0
21 22
2) Raison basique: Le porte-satellite 3 est bloqué.
rb4 = 4/PS / 1/PS = +Z1.Z22/Z21Z4 +1, 714
3
3) Composition des vitesses:
1 rb4 = (4/0 + 0/PS) / (1/0 + 0/PS)
= (4/0 - PS/0) / (1/0 - PS/0)
4
0
4) r = f (rb4): avec 1/0 = 0 Variante: sans developer rb :
rb4= 4/0 - PS/0 / (- PS/0) rb4 = 4/0 - PS/0 / (- PS/0) = +Z1.Z22/Z21Z4
4/0 4/0 - PS/0 = - PS/0 . rb4 4/0. Z21Z4- PS/0. Z21Z4 = - PS/0.Z1.Z22
r4 = = 1 - rb4 4/0. Z21Z4 = PS/0.( Z21Z4 - Z1.Z22)
PS/0 PS/0 (rb4 – 1) = - 4/0
PS/0 / 4/0 = Z21Z4 / ( Z21Z4 - Z1.Z22)
r = 4/0 / PS/0 = 1 - rb4
Réducteur / inverseur 4/0 / PS/0 = (14.12 - 16.18 ) / 14.12
r = 4/0 / PS/0 = -0,714 4/0 / PS/0 = - 0,714
BTS MV1 TD 6 _ Train épicycloïdal AFSM
Réducteur de siège _ peugeot 406
Tige de commande 16
pans (1)
m r
moteur réducteur dossier
assise m
r
BTS MV1 TD 7 : Train épicycloïdal AFSM
réducteur épicycloïdal à 4 étages
y1
z1
y1 actionneu
x1 z1
ROTOR
Schéma cinématique
y1
x1
moteur (rotor 21) :
P21 = 500 W
21 = 50 rd/s.
réducteur :
Z20 = 27 dents
Z21 = Z23 = 15 dents
Z1 = 69 dents
rendement par étage :
e=0,97
z1
y1
y1
x1
21
(rotor) z
x1
23a
z1
20a x3 23b
(non
20b
représenté)
23c
1 (fixe) 20c
BTS MV1 Bilan des puissances d’un véhicule électrique Scoot’car funelec
Lorsqu'un un véhicule se déplace, les 3 principaux phénomènes qui s’opposent à son mouvement sont :
La résistance aérodynamique, la résistance au roulement, la gravité. L'objectif est ici de faire le bilan des puissances sur un petit véhicule
électrique afin d'évaluer ses performances.
Données :
Vitesse maximale du véhicule : Vmax=45 km.h-1 (directives européennes)
Puissance utile maxi du moteur : PUmax=4 KW (directives européennes)
Masse du véhicule : 407,75 kg
masse volumique de l’air : air = 1,28 kg.m-3,
coefficient de pénétration dans l’air : Cx = 0,4 :
section frontale du véhicule : SF = 1,25 m2 :
résistance au roulement des roues sur la route :
2.1. Calculer la valeur maximale Faéro Max dans le cas cité ci-dessus. Attention aux unités !!
Faéro = action de l’air sur la face frontale du véhicule aussi appelée force de résistance
1 2
aérodynamique : Faéro . ρ air . VG 1/0 . C X . SF
2
2.3. Déterminer l’expression littérale de la puissance PP consommée par le poids du véhicule en fonction de .
2.4. Déterminer l’expression littérale de la puissance totale PV à fournir au véhicule afin qu’il puisse monter une cote inclinée
d’un angle α .
Objectif:
Découverte de la transmission intégrale et de quelques spécificités des transmissions dans les véhicules industriels.
Travail demandé:
Au fur et à mesure du présent questionnaire, vous accèderez aux numéros des diapositives citées, en mode "trieuse de
diapositive" (voir ci-dessus: ). Visionnez toujours les diapositives en mode "diaporama" (voir ci-dessus: ).
On demande de compléter les présents documents et de rédiger vos réponses sur feuille de copie lorsque c'est précisé
(vous reporterez le numéro des questions). Vous rendrez tous les documents, même vierges.
0. MISE EN SITUATION
P43 P63’ P73’
Le système étudié est la transmission intégrale d'un camion de chantier à 6 roues Moteur PM
motrices. Seules les deux roues avant sont motrices et directrices. Les éléments + Transmission
M
de la transmission étudiés vont de la boite de vitesse jusqu'aux roues. Le moteur et Embrayage CM intégrale 6x6
l'embrayage sont donc exclus de l'étude.
P43 P63 P73
Le schéma cinématique page suivante décrit la structure, les caractéristiques, le fonctionnement ainsi que le
paramétrage cinématique de l'ensemble de la transmission intégrale. C'est l'outil de description principal auquel vous
vous réfèrerez tout au long de cette étude.
Q0) Prenez connaissance de la désignation des principaux éléments (boite, doubleur, différentiel, etc…) puis,
compléter ci-dessous le schéma-bloc paramétré de la transmission du moteur à la roue avant droite.
Page 1/8
Page 2/8
Vous pouvez dés à présent parcourir brièvement le diaporama
(dans son intégralité et en mode diaporama ). Il n'est pas utile de tout comprendre tout de suite.
Q1) A partir du schéma cinématique page précédente, précisez sur les deux figures ci-dessous le nom des
composants repérés.
Q2) A partir du schéma cinématique page 2, indiquer ci-dessus le repère des crabots de la boite principale. GH
Q3) A partir du schéma cinématique page 1, préciser pour les figures A à F des diapos n° 9 et 10, le
numéro du rapport de boite GR900 engagé (1°, 2°,…, marche arrière, extra-lente).
figure A B C D E F
rapport 3° et 7° GB
Q4) En déduire le nombre de rapport de vitesse en marche avant et en marche arrière de la boite
GR900 seule, doubleur de gamme DG1 compris.
Boite GR900 à ___ rapports en marche avant et ___ rapports en marche arrière.
Page 3/8
Q5) Hormis la présence du doubleur de gamme à train planétaire, quelle différence notable remarquez-vous entre ce type
de boite de vitesse et celui qu'on rencontre habituellement sur les véhicules particuliers (modus, 306, etc…)?
______________________________________________________________________________
La GRS900 est une boîte de vitesses qui se compose d’une boîte principale à 3
rapports avec médiateur intégré + rapport extra-lent et d’un doubleur de gamme à
train planétaire (Range). La boîte de vitesses est du type «doubleur de
gamme-médiateur » (Range-Split). Cela signifie que la boîte principale offre
des rapports rapprochés tandis que le train planétaire (doubleur) comporte deux
gammes de rapports, une gamme basse et une gamme haute.
On commence donc par parcourir le registre de la boîte principale sur la gamme
inférieure du doubleur, appelée gamme basse, avant de poursuivre sur la gamme
supérieure appelée gamme haute.
On peut ensuite diviser une nouvelle fois chaque rapport à l’aide du médiateur (Split).
En gamme basse (et pas en gamme haute), on a en outre accès au rapport extra- Médiateur
lent que l’on peut diviser à l’aide du médiateur.
Q6) Exclusivement à partir des diapos n° 11 à 14, préciser pour les figures A à J, le numéro du rapport de
la boite GRS900 engagé (1°, 2°,…, marche arrière, extra-lente). GH/GB pour Gamme Haute/Basse de doubleur.
figure A B C D E
médiateur Etage haut Etage haut
rapport Extra-lent 1° (GB)et 4° (GH)
figure F G H I J
médiateur Etage bas
rapport 3° (GB)et 6° (GH)
Rapport
Q7) En déduire le nombre de rapport de vitesse en marche avant et en marche arrière de la boite
Etage haut (MH) Gamme
GRS900 seule, doubleur de gamme DG1 compris. doubleur
Boite GRS900 à ___ rapports en marche avant et ___ rapports en marche arrière.
Justification: GH
Etage bas (MB)
Etage haut (MH)
GH
Etage médiateur
GB Etage bas (MB)
GB
4. ANALYSE DU DOUBLEUR DE GAMME A TRAIN PLANETAIRE DE LA BOITE DE VITESSE GR900.
Q9) Soit N8min, la vitesse minimum possible en sortie de boite GR900, en conduite tout terrain si le moteur tourne à
NM= 800 tr/mn. Sur feuille de copie, montrer que N8min= 60,56 tr/mn. Raisonnement souhaité avant tout calcul.
Q10) Soit N8max, la vitesse maximum possible en sortie de boite GR900, en conduite sur route si le moteur tourne à
NM= 2500 tr/mn. Sur feuille de copie, montrer que N8max= 2500 tr/mn. Raisonnement souhaité avant tout calcul.
Q11) A partir des diapositives 20 à 24, décrire sur feuille de copie la (ou les)
fonctions du doubleur de la boite de transfert (boite de répartition).
Q12) Sur feuille de copie, à partir du schéma cinématique, déterminer les rapports
petite vitesse rDG2-PV et haute vitesse rDG2-HV..
Q13) Sachant que sur la boîte de vitesses GR900, le rapport extra-lent L ne doit pas
être utilisé avec la haute vitesse de la boîte de transfert, déterminer le nombre
de rapports de vitesse dont dispose le conducteur au total.
Q14) Soit N15min, la vitesse minimum possible en sortie de doubleur de gamme DG2,
en conduite tout terrain si le moteur tourne à NM=800 tr.mn-1.
Sur feuille de copie, montrer que N15min = 60.56 tr.mn-1. Voir schéma bloc paramétré diapositive n° 27.
Q15) Soit N15max, la vitesse maximum possible en sortie de doubleur de gamme DG2, en conduite sur route si le
moteur tourne à NM = 2500 tr.mn-1. Sur feuille de copie, montrer que N15max = 4166 tr.mn-1.
Page 4/8
CENTRE D’INTÉRÊT CI 3-1 « TRANSMISSION » BTS AVA 1
TP TRANSMISSION INTEGRALE 6X6 D’UN CAMION DE CHANTIER Nom:
PARTIE 2 : Différentiels cylindriques et sphériques
Dans tous les cas, ce que vous devez garder à l'esprit, c'est la fonction d'un différentiel quel qu'il soit:
Q19) On bloque maintenant le différentiel inter-ponts (D1 ci-contre) par le baladeur B1. Décrire sa position et son
action sur les éléments du différentiel.
Q20) En supposant que tous les différentiels sont bloqués, que N15=N15min= 60,56 tr.mn-1 et qu'aucune roue ne patine,
montrer que la vitesse d'avance du véhicule est Vmin= 1,36 km.h-1.
Rq: Toutes les roues tournent à la même vitesse et reçoivent la même puissance.
Page 5/8
On peut donc déterminer la vitesse du véhicule à partir de la vitesse de rotation de n'importe quelle roue. Pour la roue avant droite par
exemple (roue 43), la chaîne cinématique est:
Moteur NM NH N8=N1 N15 N16 N18 Pont N21 Différentiel N24 Réducteur N43 Roue 43 Vmin
B.V. D.G.1 2 Pont BT Différentiel
+ D.G.2 de roue R4 / Sol
Av/Arr D1 Av P2 Av D2
Embrayage 800 rBV rDG1 =1 rDG2 =1 60,56 r15/16 r4
tr/mn Bloqué: rP2 Bloqué:
V=.N43.Rroue
tr/mn r=1 r=1
30
Extra-lent Basse vitesse Petite vitesse
Pour le réducteur (épicycloïdal) de roue R4, déterminer rb4 puis montrer que:
r4 =1/3.
Q21) Le véhicule roule en ligne droite sur l'asphalte, tous les différentiels sont libres. N15=N15max= 4166 tr.mn-1, aucune
roue ne patine. Montrer que la vitesse d'avance du véhicule est Vmax= 93,8 km.h-1.
La répartition de couple avant/arrière que procure le différentiel inter-pont D1 est d'environ 26% avant / 74% arrière.
Q24) En quoi cela est-il cohérent avec ce qu'illustre la diapositive n°32 (voir question 16)?
Q25) Montrer que C17 = C16 (28/38) et C18 = C16 (10/38) en isolant successivement 16, 19, 18 puis 17.
Données:
C16 = 900 Nm
OA = R18 = m.Z18/2
OB = R18+R19 = m.Z18/2+ m.Z19/2
OC = R18+2 R19 = m.Z18/2+ m.Z19
m = 8 mm
essieu essieux
avant arrières
Page 6/8
Planétaire 18 isolé Planétaire 17 isolé:
MO(ext/20) . z = 0 MO(ext/17) . z = 0
Rq: on peut par ailleurs montrer que C17 = - C18/rb1 = C16/( rb1 -1) avec ici rb1 = - Z18/Z17
Cette relation qui donne la relation entre les couples dans le train épicycloïdal est valide, quelque soit le train de type I.
Elle s'écrit de façon générale:
Q28) Sachant que la raison basique est rb9=-1, montrer que: 2 91 = 93 + 94
Page 7/8
SYNTHESE
Blocage de différentiel de l'essieu avant. Blocage de différentiel entre les ponts arrière.
Toutes roues arrière motrices (entraînement tandem).
Blocage de différentiel des ponts arrière.
Ceci bloque les deux ponts arrière. Mécanisme de désengagement des roues motrices.
Ne s'utilise que lors des remorquages.
S2) Reporter ci-dessous le repère donné sur le schéma cinématique page 2 du composant commandé par chaque
interrupteur puis, préciser leurs conditions d'utilisation (conduite tout-terrain, sur asphalte, perte d'adhérence
avant/arrière/gauche/droite, trajectoire rectiligne ou courbe, remorquage,…).
S4) Vérifier la compatibilité des sens de rotation des roues jusqu'au moteur.
S5) Préciser dans quelles conditions le blocage des différentiels peut être commandé.
Page 8/8
MODÉLISATION DES CONTACTS CINÉMATIQUE ACTIONS SCHÉMATISATION SOLUTIONS
MÉCANIQUES TECHNOLOGIQUES
Définition :2 solides sont Tableau des Torseur d'actions
Nom de la liaison Surfaces en contacts en liaison (..) si au cours du Repère local et idéal mobilités exprimés dégrés transmissibles Schématisations planes Schématisation spatiale Exemples de représentation
mouvement Origine : dans un repère de par la liaison
la géométrie du contact centre géométrique local et idéal libértés
du contact
x
pourra être assimilée à
de normale ( A, z )
........
z
( A, z ) normale au plan
tangent A
y
se réduit à
.................
( B, y ) confondu avec x
d’axe ( B, y ), la ligne de contact
y
est un
( F, z ) axe de rotation.
.................. F
d'axe ( F, z )
z x
est
un cylindre de révolution ( G, x ) axe de rotation. z
d'axe ( G, x ) avec au moins un contact G
ponctuel de normale
x y
parallèle à l’axe du cylindre
est x
( H, y ) axe de
l’association d’au moins
d’axe ( H, y ) translation
deux plans sécants H z
y
est une x
d'axe ( I, z ) de pas p ( I, z ) axe de viration. y
hélice Tz=Rz.p
à droite (ou à gauche)
I
NI=ZI.p z
0 0 X H LH
x
Glissière est x x
( H, y ) axe de Ty 0 0 MH
l’association d’au moins 1
d’axe ( H, y ) Z
N H R
deux plans sécants translation 0 0
H H
H H z
z y y
H
Hélicoïdale 0 0 1 X I LI pas à droite ( la diagonale ainsi que l’arc
est une de cercle sont inversés ) pour le pas à x
d'axe ( I, z ) de pas p ( I, z ) axe de viration. 0 0 YI MI y
hélice Tz=Rz.p gauche x
à droite (ou à gauche) Z x
Tz Rz I I
N I R z I
NI=ZI.p I y I z
Liées Liées
Tableau montrant la dualité entre les mouvements possibles et les torseurs d’actions mécaniques transmissibles dans les liaisons parfaites. La base d’écriture est une base locale et idéale.
MODELES DE LIAISON NORMALISES
Désign
Représentations Perspective ddl mobilités Torseur cinématique Torseur statique
ation
NC NS
encastrement
de centre B
T R z _ _
x
_ _
B _ _ 0 _ _ +6
y
z _ _ _ _ B
B
x y
et d'axe X
glissière
T R z _ _ _ _
x A _ _ 1 +_
y _ _
z _ _ _ _
A A
x y
z
et d'axe X
T R _ _
pivot
x _ _
A
_ _ _ _ _ +_
y
z x y _ _ A
_ _ A
et d'axe X
z
Glissant
T R
Pi vot
_ _ _ _
x
y
C _ _ _ _ _ +_
z _ _ _ _
x y C C
hélicoïdale
et d'axe Y
T R x _ _ _ _
x 0 0 _ _ _ +_
y 1 1
B _ _
z 0 0 _ _ B _ _ B
y z
de normale Z
Appui Plan
T R 0 Vx 0 LD
x D 0 Vy +3 0 MD +3
y
z z 0 D ZD 0 D
_ _
de centre O
T R z _ _
rotule
_ _ _ _ _ +_
x
y O
_ _ O _ _ O
z y
x
rotule à doigt
de centre O
T R z _ _ _ _
x 0 1 _ _ _ _ _ +_
O
y 0 1 _ _ O _ _ O
z 0 0
x y
linéaire annulaire
z _ _ _ _
d'axe X
T R
x _ _ _ _ _ +_
B
y _ _ B _ _ B
z
x y
rectiligne d'axe X,
z _ _ _ _
normale Z
linéïque
T R
x _ _ _ _ _ +_
y x C
_ _ C _ _ C
z
y
de normale Z
z
ponctuelle
T R
x x Vx 0 0
y y Vy O
+5 0 0 O
+1
O
z
x z 0 ZO 0
y
Critère de choix
Transmettre la
complètement
La
translation
puissance
Guider en
Guider en
rotation
Technologie
Lier
du système
doit
s'adapter à:
C06
12 Couple: intensité N.m
13 Sollicitations particulières : chocs (à-coups), J
C07 14 Sollicitations particulières : vibrations, résonance Hz
15 Sollicitations particulières : fatigue
C10 16 Masse kg
C13 17 Inerties Kg.m2
18 Vitesse linéaire m.s-1
C08
19 Vitesse angulaire rd.s-1
20 Déplacement linéaire: amplitude, course mm
Cinématique
C09
21 Déplacement angulaire: amplitude, débattement _°, rd
C10 22 Précision de transmission: homocinétisme %
23 Précision de positionnement axial 10-2 mm
24 Précision de positionnement radial 10-2 mm
C11
25 Précision de positionnement transversal 10-2 mm
26 Précision de positionnement angulaire _°
Critère englobant et conditionnant tous les autres. Tout est affaire de compromis qualité/coût.
Protection des biens environnants et du système lui-même: limiteurs, roue libre," fusibles" mécaniques, capteurs, freins à manque de courant,…
La puissance massique est le produit p.V., p: pression de contact (diamétrale pour un palier lisse) et V: vitesse de glissement.
Comprend tout type de résistance (par frottement, aérodynamique, au roulement, au pivotement, inerties…).
La fiabilité englobe généralement les critères d'effort et de vitesse parfois corrigée par les conditions de fonctionnement (température,
Une transmission est homocinétique si les vitesses instantanées E/S sont égales quelque soient les positions angulaires et la position relative des axes.
La continuité peut être différente entre E et S. La transmission peut nécessiter un accouplement temporaire (embrayage, crabotage, …)
CO2: Dioxyde de carbone, SO2: Dioxyde de souffre, NOx: Mono et Bi-oxyde d'azote, SF6: Hexasulfate de souffre, C.O.V. : Composé organique Volatile
Le champs gravitationnel, si ses effets sont non négligeables, influe également par sa direction définie par rapport à (aux) position(s) du système.
Le guidage en translation est la solution constructive qui réalise une liaison glissière
entre deux pièces ou ensembles de pièces. Le seul mouvement relatif possible entre les
deux pièces ou ensembles de pièces est une translation rectiligne.
Schématisation cinématique normalisée de la liaison glissière Mouvements relatifs
y
y y x T R
Coulisseau
x 1 0
x z z
y 0 0
z 0 0
Glissière
La partie mobile est appelée coulisseau et la partie fixe (en général liée au bâti) est
appelée glissière (ou guide).
Le guidage en translation doit réaliser, en phase d’utilisation, deux fonctions définies par
des critères :
Guidage en translation
Dans la réalité pour assurer la fonction FT2 : Transmettre et supporter les efforts, il est
impossible d’utiliser des contacts ponctuel ou linéique. En effet pour limiter les pressions
de contact et donc l’usure, il faut préserver des surfaces d’appui suffisantes.
D’autre part la fabrication de contacts ponctuels et linéiques complique la réalisation du
guidage.
On remplacera donc les points et les lignes de contact par des plans de superficie réduite.
y
z x
Support
Poinçon + goupille
Définition des liaisons
FT1 : positionner FT2 : arrêter en rotation
Schémas cinématiques des liaisons
Tx Ty Tz Rx Ry Rz Tx Ty Tz Rx Ry Rz
0 1 0 0 1 0 0 1 1 1 1 1
Nom de la liaison y y Nom de la liaison
x
Pivot glissant d’axe y z z x Ponctuelle de normale
Guider en translation
l’ensemble poinçon + goupille /
Schéma structural : Schéma équivalent :
Tx Ty Tz Rx Ry Rz
0 1 0 0 0 0
Nom de la liaison
y y
x Glissière d’axe x
z z x
Conditions fonctionnelles
Ajustement : Poinçon Couple de matériaux
Plastique / acier
Ø 8 H8 f7
Surfaces fonctionnelles
Couleurs Fonctions Géométrie des surfaces
FT1 : « Positionner Cylindres Ø = 10 mm et L= 5mm
radialement le coulisseau »
FT2 : « Positionner et maintenir en
Plans L = 5mm
position angulairement le coulisseau »
z
y
z x
x y
y y
x
z z
x
Perspectives 1 : Corps vu de dessous Perspectives 2 : Coulisseau seul
Etude cinématique
y
z
FT1 : positionner Perspective 3 :
x Tête de commande
radialement le coulisseau Schéma cinématique
Tx Ty Tz Rx Ry Rz Guider en translation le
A
1 0 0 1 0 0 coulisseau / corps Schéma cinématique
y Tx Ty Tz Rx Ry Rz A
z
Nom de la liaison 1 0 0 0 0 0
Pivot glissant d’axe x
y
z
Degré de liberté Nom de la liaison
FT2 : positionner et maintenir supprimé Glissière d’axe (Ax) x
en position angulairement le Rx
coulisseau
Acier traité
Couleur grise
2,8 H11
2,8
j d7 Intérêt
D2 Faible coefficient de
Ø10 H8 f7 : jmini = 13m et jMaxi = 50m , ajustement glissant frottement pour ce
2,8 H11 c11 : jmini = 60m et jMaxi = 180m , ajustement avec couple de matériaux
j él é
Françoise LAGUIONIE & Frédéric VOILLOT 3/11
II.2 - Guidage de type prismatique
y
x Guide
z
Guider en translation
le chariot / guide
Schéma structural : Schéma équivalent :
Tx Ty Tz Rx Ry Rz
1 0 0 0 0 0
Nom de la liaison
y y
x Glissière d’axe x
z z x
Conditions fonctionnelles 30 H9
Chariot
Vue en coupe du
11 H9
guidage du chariot
Guide
Bloc de
y guidage
x
Porte
z
rouleaux
Guider en translation le
porte rouleaux / bloc de
Schéma structural Schéma équivalent :
Tx Ty Tzid Rx Ry Rz
1 0 0 0 0 0
y Nom de la liaison y
x x
Glissière d’axe x
z z
Conditions fonctionnelles
Porte rouleaux Bloc de guidage
e
e
Ø 20 H7g6 Ø 12 H7g6
e : entraxe
Vue en coupe du guidage
jeu α
Vis de
réglage
Vis de
réglage Réglage par
système à
excentrique
Vis de Exemple vu :
réglage axe Z du
Réglages par cales à transgerbeur
section constante Réglage par cale pentée
Chariot Blocage
Δ du chariot
j
D d Vue en coupe de la
liaison chariot / guide
Jeu grossi
Guide L
Observation : l’action mécanique extérieure F excentrée par rapport à l’axe de la glissière
tend à provoquer le basculement du chariot par rapport au guide.
30°
L1 L2
Problème : le phénomène d’arc-boutement est ici à exclure puisqu’il empêche le
déplacement du poussoir de l’interrupteur de position.
On évite ce phénomène avec une longueur de guidage L suffisamment élevée.
Exemple vu :
Poinçon / suppport
de la perforatrice
Exemple vu :
Chariot / guide des
pinces de la cordeuse
Vis
Trou d’assemblage
oblong
Guidage en queue d’aronde Vis de Guidage plan + V
réglage
Exemple de
système de réglage
Vis de réglage
sans tête
Montage maintenu avec 2
glissières à aiguilles en vé
Françoise LAGUIONIE & Frédéric VOILLOT 9/11
Guidages par douilles à billes
Ils sont souvent réalisés par 4 douilles à billes, comme celle présentée ci dessous.
Bague Cage
extérieure
Joint
Une rangée
de billes
Cage Joint
Vis de réglage
sans tête
Guidage à 6 Guidage à 4
rangées de billes rangées de rouleaux
Le choix d’une solution constructive repose sur son aptitude à satisfaire le cahier des
charges de l’application, en mettant en jeu le minimum de ressources.
Précision du guidage
Vitesse de déplacement maximale
Intensité des actions mécaniques transmissibles
Fiabilité (probabilité de bon fonctionnement)
Maintenabilité (probabilité liée à la durée de réparation)
Encombrement
Esthétique
Coût
Interposition
Interposition
Contact direct d’éléments
d’éléments roulants
antifriction
Moyenne
Précision Dégradation par Moyenne Elevée
usure
Performances
(vitesses, cadences, Faibles Modérées Elevées
rendements)
Très faible :
Coefficient de Elevé : 0,05 à 0,2
0,001 à 0,005
frottement dans la Broutage à faible Moyen / Faible
Efforts de manœuvre
liaison vitesse (stick slip)
réduits
Intensité des actions
mécaniques Faibles Modérées Elevées
supportées
Nécessaire Au montage (faible)
Lubrification Autolubrifiant
(importante) Inexistante (galet)
Coût Faible Moyen Elevé
Jeu mini nécessaire Jeu mini nécessaire Fonctionnement sans
Jeu
au fonctionnement au fonctionnement jeu
Les guidages par contact direct et par interposition d’éléments antifriction conviennent
lorsque les vitesses de déplacements sont faibles ou modérées.
Les guidages par éléments roulants sont utilisés dans les domaines suivants :
Machines-outils Matériels médicaux
Robots Appareils de contrôles
Machines automatisées Aéronautique
Réaliser une
liaison glissière Cylindrique Prismatique Cylindrique Prismatique Cylindrique Prismatique
entre deux pièces
Autoriser rendement
translation
Quand ?
Pourquoi ? Comment ?
vitesse
Quand ?
Vibrations, chocs
Silence/bruit
S'adapter au
milieu extérieur oxydation
dilatation
Guidage en Translation : ClassifIcatIon et exemples
Alésage (moyeu)
guider précision
positionner vitesse
36.000 tr.mn-1 transmettre efforts
M=1900 kg
S'adapter encombrement
Il reste à définir les fonctions techniques courantes indissociables de leurs critères d'appréciation ainsi que les principales
solutions technologiques.
2. Approche fonctionnelle:
2.1 Analyse externe
L'analyse fonctionnelle générique ci-aprés permet de dégager la grande majorité des fonctions à assurer ainsi que
les critères de choix associés.
Fp1::Guider
Fp1 Guideren
enrotation
rotation
Fc1 : s’adapter au système (encombrement, poids)
Fc2 : s’adapter au milieu extérieur (température, hygrométrie)
Fc3 : s’adapter au contexte économique
Fc4 : s’adapter aux matériaux des pièces
Fc5 : satisfaire aux contraintes de production (série, procédés)
Fc6 : respecter les normes de sécurité
Fc7 : faciliter la maintenance (accès, démontage)
Fc8 : Présenter un aspect esthétique, voire « design »
Fc9 : répondre aux contraintes d’ergonomie
Spécifications dimensionnelles
Jr, ja, ajustements
Spécifications géométriques
de forme, de position
Précision
Vitesse V,
Rendement
Efforts p, Fr,Fa
Bruit dB
Encombrement V
L ja = jr : jeu radial
jr jr = ja : jeu axial
=
vitesse de rotation
coût
encombrement (place disponible)
conditions particulières d’utilisation :
chocs, vibrations, dilatations, fatigue, écrouissage
lubrification, étanchéité
esthétique (design)
sécurité
4- GUIDAGE DIRECT :
Dans l’exemple de liaison pivot ci-contre, le logement est en contact direct Contact
avec son axe. Aucun élément n’étant interposé entre les 2 pièces, c’est direct
l’ajustement et la qualité de réalisation de chacun des éléments qui
fixeront les limites d’utilisation de la liaison.
Inconvénient : Avantages :
charges modérées coût réduit
vitesse de rotation faible encombrement réduit
rendement médiocre (frottements) Maintenance limitée
5- GUIDAGE PAR COUSSINETS AUTOLUBRIFIANTS
Paliers
lisses
Ils sont en bronze fritté : poudre de bronze imprégné d’huile
comprimées puis chauffées dans un four. - En fonctionnement,
la rotation de l’arbre crée une aspiration et la création d’un
film d’huile entre la bague et l’arbre.
Variantes de liaison
Roulement à
Roulement à Butées
Contact
Contact radial
Oblique/sphérique
Moyen faible élevée 3° la bague intérieure et les billes peuvent osciller autour du
centre de roulement, ce qui autorise :
Un défaut d’alignement des paliers
Une flexion importante de l’arbre
Très élevé Moyen faible 1,5° charges plus élevées que roulement à rotule à billes
vitesses de rotation limitées
lubrification à l’huile indispensable (frottement
internes des tonnelets)
Roulement combiné
charges charges vitesses de Rotulage autre
radiales axiales rotation
Très faible élevée 2 à 4' Seul avantage / roulement à billes :
élevé Charges radiales plus élevées
Exige un bon alignement des portées
Dans 98% des cas, les roulements sont montés par paire.
Guider en rotation
Assurer la MiP radiale Par centrage sur 2 roulements Par centrage sur 2 roulements
Arrêts axiaux
Par centrage sur 3 roulements
La mise en position radiale est effectuée par centrage (court ou long) avec ajustements spécifiques.
La mise en position axiale est effectuée par épaulement et/ou arrêts axiaux démontables.
arrêt axial
arrêt axial démontable
démontable
épaulement
Ajustements Ajustements
Ce choix s’effectue exclusivement en fonction des efforts transmis et plus particulièrement du fait que la charge radiale exercée a une
direction tournante (mobile) par rapport aux bagues ou pas.
Dans le cas général , la bague qui tourne par rapport à la direction de la charge doit être montée avec
serrage (ajustement serré)
Dans le cas général , la bague qui est fixe par rapport à la direction de la charge doit être montée
glissante (ajustement serré)
Ajustements
Alésage : _____
Arbre : ___________________
Ajustements
Alésage : _____
Arbre : ___________________
fixe
Montage en X
(centres de pression
rapprochés)
1.0. Parcourir le dossier technique joint et visionner la vidéo " Anim Moteur FCR.avi" 2.1. Indiquer (au verso) les 2 fonctions techniques FT_11 et FT_12
1.1. Décrire concisément le fonctionnement en cas de coupure de courant . FT11 Convertir essentielles à tout guidage en rotation cf TPWorks_§ 1.2.
1.2. Décrire (fig. 02) les solutions associées aux fonctions FT13 à FT15. l'E.E.* en E.EM.*.
1.3. Entourez (fig. 04) les composants associés à FT13. FT12 Convertir
l'E.EM*. en E.M.R.*
F1 Convertir
F0 FT13 Guider le mvt de
l'E.E.* en E.M.R*.
rotation
Convertir F2 Adapter
l'E.E. en E.M.T. l'E.M.R.
FT14 Transmettre l'E.M.R.
Fig. 03
F3 Transformer
Système de levage l'E.M.R. en E.M.T. FT15 Bloquer le rotor en
cas de coupure E.E.*
Fig. 01 Fig. 02
J
* : E.E. Energie Electrique , E.M.R. Energie Mécanique de Rotation, E.M.T. Energie Mécanique de Translation, E.EM. Energie Electromagnétique
Fig. 09
T STI Nom: _______________________
Guidage en Rotation : Pompe PHP 15
OBJECTIF: Justifier le choix technologique du guidage en rotation de ______________________________________.
1.1. Décrire la fonction globale (F0) du système (fig. 01). F211 Recevoir le mvt de Désignation : _________________
1.2. Décrire (fig. 02) les solutions associées aux fonctions FT212 à FT213. rotation d'entrée
1.3. Entourez (fig. 04) les composants associés à FT212. F212 Guider le mvt de
F0 rotation d'entrée
F213 Transmettre 2.1. Indiquer (fig.03) les 2 Fig. 03
l'EMR fonctions techniques FT_11
Convertir et FT_12 essentielles à tout
l'E.E. en E.M.T. F214 Guider le mvt de
rotation de sortie guidage en rotation
.
F215 Générer une J
Pompe PHP 15
pression et un débit
Fig. 02 FT_11 :
* :EE Energie Electrique , EMR Energie Mécanique de Rotation, EMT Energie Mécanique de Translation
FT_12 :
Fig. 05 Fig. 06
Description des solutions par fonction : Architecture.
Observer les surfaces de MiP sur le 4.4. Indiquer (fig. 08) la condition fonctionnelle
guidage réel puis; (notée J) de non serrage axial du S.E.C. de la vis.
5.1. Entourer (fig.09) le modèle
4.0. Colorier (fig. 04 et 07) les surfaces 4.5. Tracer la chaîne de cote correspondante.
architectural du guidage de la vis sans
fonctionnelles de mise en position radiale fin.
en rouge. On étudie ici la qualité des
ajustements suivants : 5.2. Citer 3 critères qui ont présidé au
4.1. Colorier (fig. 04 et 07) les surfaces fonctionnelles de mise arbre / Bagues intérieures
en position axiale (arrêt en translation sur x): Bagues extérieures / Alésage y choix de cette solution.
vers la droite en vert.
vers la gauche en bleu.
A partir du système réel :
4.2. Indiquer (fig. 08) quelles
bagues sont serrées, quelles
y bagues sont montées avec jeu.
x
A partir de TPWorks(§4.3.) :
Fig. 07 4.3 Justifier votre réponse
Fig. 08
x
T STI Nom: _______________________
Guidage en Rotation : roue et vis sons fin pour positionneur d'antenne parabolique
OBJECTIF: Justifier le choix technologique du guidage en rotation de la vis sans fin 09 et de la roue 03.
1.1. Décrire la fonction globale (F0) du système de levage (fig. 01). Désignation : _________________
1.2. Décrire (fig. 02) les solutions associées aux fonctions FT212 à FT213
1.3. Entourez (fig. 04) les composants associés à FT212.
F0
F1 Convertir F311 Recevoir le mvt de 2.1. Indiquer (fig.03) les 2
l'E.E.* en E.M.R*. rotation d'entrée Fig. 03
fonctions techniques FT_11
Convertir F2 Adapter F312 Guider le mvt de et FT_12 essentielles à tout
l'E.E. en E.M.T. l'E.M.R. F31 Transmettre le rotation d'entrée guidage en rotation
Mvt de rotation
F3 Transformer F313 Adapter
l'E.M.R. en E.M.T. F32 Transmettre l'EMR J
positionneur les efforts
Fig. 01 F314 Guider le mvt de
rotation de sortie FT_11 :
* :EE Energie Electrique , EMR Energie Mécanique de Rotation, EMT Energie Mécanique de Translation
FT_12 :
Fig. 02
Analyse structurelle interne .
4.0. Colorier (fig. 04 et 07) les surfaces 4.4. Indiquer (fig. 08) la condition fonctionnelle
fonctionnelles de mise en position radiale (notée J) de non serrage axial du S.E.C. de la vis.
5.1. Entourer (fig.09) le modèle
en rouge. 4.5. Tracer la chaîne de cote correspondante.
architectural du guidage de la vis sans
fin.
4.1. Colorier (fig. 04 et 07) les surfaces fonctionnelles de mise On étudie ici la qualité des y
en position axiale (arrêt en translation sur x): ajustements suivants : 5.2. Citer 3 critères qui ont présidé au
vers la droite en vert. arbre / Bagues intérieures
Bagues extérieures / Alésage
choix de cette solution.
vers la gauche en bleu.
z
4.6 Reporter toute cote issue de la cotation fonctionnelle sur le
dessin de définition de la vis ci-dessous.
Fig. 09
x
T STI Session 2008
Exemple d’analyse descendante _ Guidage en Rotation : Réducteur RI 40
OBJECTIF: Justifier le choix technologique du guidage en rotation de la vis sans fin du réducteur RI 40.
1.1. Décrire la fonction globale (F0) du système de levage (fig. 01). F211 Recevoir le mvt de Désignation : _________________
1.2. Décrire (fig. 02) les solutions associées aux fonctions FT212 à FT213 cf TPWorks,. rotation d'entrée
1.3. Entourez (fig. 04) les composants associés à FT212. F212 Guider le mvt de
F0 Transmettre le rotation d'entrée
F1 Convertir Mvt de rotation 2.1. Indiquer (fig.03) les 2
F213 Adapter Fig. 03
l'E.E.* en E.M.R*.
l'EMR fonctions techniques FT_11
Convertir F2 Adapter F22 Transmettre et FT_12 essentielles à tout
l'E.E. en E.M.T. l'E.M.R.
F214 Guider le mvt de
les efforts
rotation de sortie guidage en rotation
F3 Transformer
l'E.M.R. en E.M.T. F215 Transmettre le mvt J
Système de levage de rotation de sortie
Fig. 01
Fig. 02 FT_11 :
* :EE Energie Electrique , EMR Energie Mécanique de Rotation, EMT Energie Mécanique de Translation
FT_12 :
4.0. Colorier (fig. 04 et 07) les surfaces 4.4. Indiquer (fig. 08) la condition fonctionnelle
5.1. Entourer (fig.09) le modèle
fonctionnelles de mise en position radiale (notée J) de non serrage axial du S.E.C. de la vis.
architectural du guidage de la vis sans
en rouge. 4.5. Tracer la chaîne de cote correspondante.
fin.
4.1. Colorier (fig. 04 et 07) les surfaces fonctionnelles de mise On étudie ici la qualité des y 5.2. Citer 3 critères qui ont présidé au
en position axiale (arrêt en translation sur x): ajustements suivants : choix de cette solution.
vers la droite en vert. arbre / Bagues intérieures
vers la gauche en bleu. Bagues extérieures / Alésage
Fig. 08
Fig. 08
z
4.6 Reporter toute cote issue de la cotation fonctionnelle sur le
Fig. 07 dessin de définition de la vis ci-dessous.
Fig. 09
x
T STI Nom: _______________________
Guidage en Rotation :Vérin électrique SNT
OBJECTIF: Justifier le choix technologique du guidage en rotation de la vis 15.
1.1. Décrire (au verso) la fonction F2 du vérin (voir vidéo dans le DTN). F211 Recevoir le mvt de
1.2. Décrire (au verso) les solutions associées aux fonctions F211 à F215. rotation d'entrée
1.3. Entourez (fig. 04) les composants associés à F214. F212 Guider le mvt de
rotation d'entrée
F1 Convertir
2.1. Indiquer (fig.03) les 2
F213 Adapter Fig. 03
l'E.E.* en E.M.R*.
F0 l'E.M.R. fonctions techniques FT_11
Convertir F214 Guider le mvt de
et FT_12 essentielles à tout
l'E.E. en E.M.T. F2 rotation de sortie guidage en rotation
.
F215 Transformer l' E.M.R. J
Vérin SNT en E.M.T.
Fig. 01
F216 Guider le mvt de
* :EE Energie Electrique , EMR Energie Mécanique de Rotation, EMT Energie Mécanique de Translation translation de sortie
Fig. 02
Analyse structurelle interne .
Assembler et observer le système réel puis: Fig. 04 arbre tournant moyeu tournant
3.1. Colorier (fig. 04) le S.E.C. mobile en
rotation lié à la vis 15.
3.2. Cocher (fig. 05) le type de
guidage.
en porte-à-faux en chape
3.3 Entourez (fig. 06)
la famille de composant
concernée
Fig. 05 Fig. 06
Description des solutions par fonction : Architecture.
Observer les surfaces de MiP sur le 4.4. Indiquer (fig. 08) la condition fonctionnelle
5.1. Entourer (fig.09) le modèle
guidage réel puis; (notée J) de non serrage axial du S.E.C. de la vis.
architectural du guidage de la vis 15.
4.0. Colorier (fig. 04 et 07) les surfaces y 4.5. Tracer la chaîne de cote correspondante.
fonctionnelles de mise en position radiale 5.2. Citer 3 critères qui ont présidé au
en rouge. On étudie ici la qualité des choix de cette solution.
y ajustements suivants :
4.1. Colorier (fig. 04 et 07) les surfaces fonctionnelles de mise arbre / Bagues intérieures
en position axiale (arrêt en translation sur x): Bagues extérieures / Alésage
vers la droite en vert.
vers la gauche en bleu.
A partir du système réel : x
4.2. Indiquer (fig. 08) quelles
bagues sont serrées, quelles
z
bagues sont montées avec jeu.
Fig. 07
Fig. 08
x
Fig. 09
T STI Nom: _______________________
Observer les surfaces de MiP sur le 4.4. Indiquer (fig. 08) la condition fonctionnelle
guidage réel puis; (notée J) de non serrage axial du S.E.C. du tambour.
5.1. Entourer (fig.09) le modèle
4.0. Colorier (fig. 04 et 07) les surfaces 4.5. Tracer la chaîne de cote correspondante.
architectural du guidage de la vis sans
fonctionnelles de mise en position radiale fin.
y en rouge. On étudie ici la qualité des y
ajustements suivants : 5.2. Citer 3 critères qui ont présidé au
4.1. Colorier (fig. 04 et 07) les surfaces fonctionnelles de mise arbre / Bagues intérieures
en position axiale (arrêt en translation sur x): Bagues extérieures / Alésage
choix de cette solution.
vers la droite en vert.
vers la gauche en bleu.
A partir du système réel :
4.2. Indiquer (fig. 08) quelles
bagues sont serrées, quelles x
bagues sont montées avec jeu.
Fig. 08
z
Fig. 09
z
x
y
Analyse technologique de la liaison pivot
La solution constructive réalisant la fonction "guider en rotation" autour d'un axe doit satisfaire aux exigences
suivantes :
Au delà de ces quatre fonctions, la qualité d'un guidage en rotation peut être appréciée à partir d'autres indicateurs
comme le coût, l'esthétique, l'encombrement et le fonctionnement silencieux.
Les liaisons pivots n’autorisent qu’un seul degré de liberté (rotation autour d’un axe). Elles résultent donc
nécessairement de l’association de liaisons en parallèles.
On rencontre principalement 3 associations conduisant à une liaison pivot tout en maintenant l’isostaticité du
système.
z z z
B
(2)
(1) (2)
(2) (1)
O
(1) A
O y y y
(1) x
x (1) (1)
x
pivot glissant + ponctuelle linéaire annulaire + appui plan linéaire annulaire + rotule
La connaissance de ces décompositions isostatiques sont utiles car elles permettent rapidement de définir le degré
d'hyperstaticité de la liaison étudiée et d'identifier les conditions fonctionnelles.
Interposition de Interposition de
bagues de film fluide
frottement
Interposition
d'éléments roulants
Le tableau présenté ci-dessous propose un premier classement des différentes technologies suivant quelques
critères. Les chapitres suivant sur le dimensionnement des liaisons permettront d'affiner ces tendances.
Les liaisons glissière n’autorisent qu’un seul degré de liberté (translation suivant un axe). Elles résultent donc
nécessairement de l’association de liaisons en parallèles.
On rencontre 2 types associations conduisant à une liaison glissière tout en maintenant l’isostaticité du système.
Comme dans le cas des liaisons pivots, on s'appuie largement sur ces décompositions pour l'analyse du
positionnement et des conditions fonctionnelles nécessaires au bon fonctionnement.
On retrouve ces deux mêmes décompositions quel que soit la technologie employée.
On rencontre comme pour les liaisons pivots 4 type de technologie suivant le cahier des charges et les critères
exigées :
- la liaison par contact direct
- la liaison avec interposition d'une pièce d'usure
- la liaison avec éléments roulants (on remplace la glissement par du roulement)
- la liaison avec guidages linéaires intégrés
L'association des surfaces de contact sur ce dernier type de liaison est souvent plus délicate à définir.
Interposition d'une
pièce d'usure
cylindriques
prismatiques
cylindriques
prismatiques
Interposition
d'éléments roulants
Interposition
de film fluide
cylindriques prismatiques
Guidages linéaires
intégrés
Remarque : le modèle aurait pu également proposé un appui plan à la place de la linéaire rectiligne.
Degré d'hyperstaticité : h = {4+2} (degrés de liaison) – {5} (besoin) = 1
Condition fonctionnelle : la condition associée est un paralélisme entre le contact rectiligne et l'axe
de la liaison pivot glissant.
Conséquences technologiques : la longueur du contact (linéaire rectiligne) est alors forcément limité
Assemblage par cannelures pour pouvoir assurer une répartition de pression de contact la plus uniforme possible.
Remarque : le contact linéique peut être modélisé par un contact plan (dans
ce cas, le degré d'hyperstaticité est égal à h=1
Degré d'hyperstaticité : h = {3+2} (degrés de liaison) – {5} (besoin) = 0
Conditions fonctionnelles : si le contact linéique est assimilé à une portion de
plan, une condition de perpendicumarité entre les deux plans est nécessaire.
Conséquences technologiques : sur les exemples, on constate la nécessité
de concevoir des contacts bilatéraux qui imposent de maîtriser des jeux
fonctionnels.
Souvent, les contacts plans ou linéiques sont assurés par l'intermédiaire de
galets dont chaque contact peut être assimilé à une ponctuelle.
v(t) = a.(tf-t0) + v0
a = coef. directeur :
a = tan = (vf-v0) /(tf-t0)
x5(t) = _______________________________________________
19
x6(t) = ∫ v6(t).dt + x06 = A6 + x06 = 0 + 348 = 348 m
15
21
x7(t) =∫ v7(t).dt + x07 = A7 + x07 = (21-19).(-18)/2 + 348 = 330 m
19
24
x8(t) = ∫ v8(t).dt + x08 = A8 + x08 = (24-21).(-18) + 330 = 294 m
21
26
x9(t) =∫ v9(t).dt + x09 = A9 + x09 = ______________________ = 276 m
24
En marche avant, phases 1 à 5 : vmoy = [x(15) - x(0)] / [15 - 0] = 348/15 = 23,2 m.s-1
En marche arrière, phases 7 à 9 : vmoy = [x(26) - x(19)] / [26 - 19] = [260-348] / 7 = -12,57 m.s-1
Rq :On peut calculer la moyenne pondérée des vitesses moyennes (v)pour n phases :
Vmoy.avant =23,2
n
Vi . ti v1.t1+ v2.t2+ v3.t3+ v4.t4+ v5.t5
V=Vmoy = soit en marche avant : V1-5 = 1 2 3 4 5 6 7 8 9
i=1 tf-t0 tf-t0
12x3+24x4+30x3+36x2+18x3
= = 23,2 m.s-1
15 Vmoy.arrière = -12,8
v7.t7+ v8.t8+ v9.t9 -9x2-18x3-9x2 On notera que vi.ti = xi aire sous la courbe.
en marche arrière : Vmoy7-8 = = = -12,8 m.s-1
tf-t0 26-19 Ex: phase 112 x 3 = 24 x 3 / 2
Résumé :
CINEMATIQUE ANALYTIQUE
Exercices
Exercice n°1 : ORNI (Objet Roulant Non Identifié)
Le graphe des vitesses proposé donne les trois phases du départ-arrêté d’un véhicule.
Conditions initiales : à t0 = 0 , x0 = 0 et v0 = 0.
Pour atterrir, un avion arrive en bout de piste à la vitesse de 300 km/h. La longueur
d’atterrissage est de 1200 m et le mouvement est supposé rectiligne uniformément décéléré.
Tracer le graphe des vitesses.
Déterminer la durée totale de l’atterrissage et la décélération de l’appareil.
Puis, déterminer :
1) l'accélération dans chaque phase
2) la durée du "0 à 100 km.h-1".
3) la distance parcourue à 100 km.h-1, puis à 251 km.h-1 https://www.youtube.com/watch?v=UwlaUfvasFQ
vitesse
temps
Courbe dans le corrigé
Exercice N°5 : Dragster Top fuel
Les Dragsters les plus rapides sont les TOP-fuel. Des engins de 8m de long équipés de moteur V8
compressés de 8 litres fonctionnant avec un mélange nitrométhane / Méthanol et développant
jusqu’à 8000 cv. Le relevé des vitesses lors du dernier record du monde ainsi que le modèle
simplifié de calcul sont donnés ci-dessous :
L’accélération est
donc supposée
faite en deux
phases
Si le mouvement est supposé rectiligne uniformément varié dans les deux phases, déterminer:
1) les accélérations du véhicule a1 et a2 dans chaque phase.
2) la distance totale parcourue (longueur de la piste) ?
3) sa vitesse en km/h au bout de 2s. Idem au bout de 4,42s.
4) le "0 à 100 km/h" en combien de temps ? Sur quelle distance ?
0m 500 m 1000 m
BTS MV CINEMATIQUE ANALYTIQUE
Équations du mouvement
Faisons simple :
Il s'agira, lors des évaluations (contrôle continu -second semestre),
d'être capable de déterminer la position, la vitesse et l'accélération
d'un solide à tout instant, à partir de son graphe des vitesses.
Il y a deux types de mouvement : la translation rectiligne et la
rotation. Commençons par la translation rectiligne.
v(t) = a.(tf-t0) + v0
a = coef. directeur :
a = tan = (vf-v0) /(tf-t0)
21
x7(t) =∫ v7(t).dt + x07 = A7 + x07 = (21-19).(-18)/2 + 348 = 330 m
19
24
x8(t) = ∫ v8(t).dt + x08 = A8 + x08 = (24-21).(-18) + 330 = 294 m
21
26
x9(t) =∫ v9(t).dt + x09 = A9 + x09 = (26-24).(-18)/2 + 294 = 276 m
24
En marche avant, phases 1 à 5 : vmoy = [x(15) - x(0)] / [15 - 0] = 348/15 = 23,2 m.s-1
En marche arrière, phases 7 à 9 : vmoy = [x(26) - x(19)] / [26 - 19] = [260-348] / 7 = -12,57 m.s-1
Rq :On peut calculer la moyenne pondérée des vitesses moyennes (v)pour n phases :
Vmoy.avant =23,2
n
Vi . ti v1.t1+ v2.t2+ v3.t3+ v4.t4+ v5.t5
V=Vmoy = soit en marche avant : V1-5 = 1 2 3 4 5 6 7 8 9
i=1 tf-t0 tf-t0
12x3+24x4+30x3+36x2+18x3
= = 23,2 m.s-1
15 Vmoy.arrière = -12,8
v7.t7+ v8.t8+ v9.t9 -9x2-18x3-9x2
en marche arrière : Vmoy7-8 = = = -12,8 m.s-1
tf-t0 26-19 On notera que vi.ti = xi aire sous la courbe.
Ex: phase 112 x 3 = 24 x 3 / 2
Résumé :
CINEMATIQUE ANALYTIQUE
Exercices
Exercice n°1 : ORNI (Objet Roulant Non Identifié) : voir éléments de classe virtuelle en fin de document
Le graphe des vitesses proposé donne les trois phases du départ-arrêté d’un véhicule.
Conditions initiales : à t0 = 0 , x0 = 0 et v0 = 0.
1) Accélérations : 2) Positions :
5
a1=(60-0)/(5-0)=12 m.s-2 x1(5) = ∫ v1(t).dt + v01 = A1 + v01 = (5-0).60 /2 + 0 = 150 m
a2= 0 0
17
a3=(0-60)/(20-17)=-20 m.s-2 x2(17) =∫ v2(t).dt + v02 = A2 + v02 = (17-5).60 + 150 = 870 m
5
20 A1 A2 A3
x3(20) = ∫ v3(t).dt + v03 = A3 + v03 = (20-17).60 /2 + 870 = 960 m
17
MRUA MRU MRUD
Pour atterrir, un avion arrive en bout de piste à la vitesse de 300 km/h. La longueur
d’atterrissage est de 1200 m et le mouvement est supposé rectiligne uniformément décéléré.
Tracer le graphe des vitesses.
Déterminer la durée totale de l’atterrissage et la décélération de l’appareil.
1) On trace le graphe des vitesses à partir de l’énoncé
tf
2) x(tf) = ∫ v(t).dt + x0 = A + x0 = (tf-0) x 83,3 /2 + 0 = 1200 m tf = 2 x 1200 / 83,3 = 28,8 s
0
1) Accélérations
a1 = (15,6-0) / (2-0) = 7,78 m.s-2
a2 = (25,8-15,6) / (4,8-2) = 3,67 m.s-2
a3 = (36,1-25,8) / (8,7-4,8) = 2,64 m.s-2
a4 = (50,6-36,1) / (17,4-8,7) = 1,66 m.s-2
a5 = (62,2-50,6) / (33,7-17,4) = 0,72 m.s-2
a6 = (69,7-62,2) / (66,1-62,2) = 0,23 m.s-2
2 ) temps du "0 à 100 km.h-1":
V(t)=100 km.h-1 27,8 m.s-1 phase 3 (25,8>v(t)>36,1)
soit t100 tel que v3(t100) 27,8 m.s-1
zoom
a3=[v(t100)-v03] / [t100-t03] [27,8-25,8] / [t100-4,8] = 2,64 m.s-2
[27,8-25,8] = [t100-4,8] x 2,64
[2] = t100 x 2,64 - 4,8 x 2,64
L’accélération est
donc supposée
faite en deux
phases
Si le mouvement est supposé rectiligne uniformément varié dans les deux phases, déterminer:
1) les accélérations du véhicule a1 et a2 dans chaque phase.
2) la distance totale parcourue (longueur de la piste) ?
3) sa vitesse en km/h au bout de 2s. Idem au bout de 4,42s.
4) le "0 à 100 km/h" en combien de temps ? Sur quelle distance ?
1) a1 = (111,25-0)/(2-0)=55,625 m.s-2
et a2 = (147,5-111,25)/(4,42-2)=14,87 m.s-2
2) distance totale = position en fin de phase 2 :
4,42
x2(4,42) = ∫ v2(t).dt + x02 2 4,42
2
2
x2(4,42) = ∫ v1(t).dt + ∫ v2(t).dt = A1 + A2
0 2
x02 = x1(2)* = ∫ v1(t).dt + x01**
0
* : x02, position en début de
phase, donc en fin de phase 1
x2(4,42) = 111,25 x (2-0) + 111,25 x (4,42-2) + (147,5-111,25) x (4,42-2) /2 ** : x01 = x1(t=0) = 0
x2(4,42) = 424 m
3) Vitesse à t=2 et t= 4,42 : lecture directe sur le graphe
v1(2)= v2(2)=111,25 m.s-1 soit, 111,25 x 3,6 = 400,5 km.h-1 de 0 à 400 km/h en 2s !!!
v2(4,42)=147,5 m.s-1 soit, 147,5 x 3,6 = 531 km.h-1
0m 500 m 1000 m
Corrigé :
1) On trace le graphe des vitesses à partir de l’énoncé
19
2) x(t=19) = ∫ v(t).dt + v0 = A + v0 = (19-0).vf /2 + 0 = 1000 m 19.vf/2 = 1000 vf = 2 . 1000 / 19
0
vf = 105,2 m.s-1 = 3,6 . 105,2 = 378,9 km-1
3) a = v(19)-v(0)/19-0 = 105,2/19 = 5,54 m.s-2 A = 1000 m
ou bien x(19) = 0,5 . a . 192 = 1000 m a = 1000/(0,5x192) = 5,54 m.s-2
500
4) x(t500) = 0,5 . a . (t500-t0)2 = 0,5 x 5,54 x t5002 = 500 m t500 = = 13,4 s
0,5 x 5,54
t500
5) x(t500) = ∫ v(t).dt + v0 = A + v0 = (t500-0).vf /2 + 0 = 500 m t500 = 2 x 500 / 105,2 = 9,5 s
0
CINEMATIQUE : Mouvements et trajectoires
1 INTRODUCTION :
La cinématique est l’étude des mouvements des corps, abstraction faite des forces qui les produisent.
Les grandeurs étudiées sont : la position la vitesse
la trajectoire l'accélération
Les solides étudiés sont supposés indéformables, et les liaisons parfaites. Le mot « cinématique » dérive du grec « Kinéma » qui signifie
mouvement. 2 1 0
2 SOLIDE DE REFERENCE : y1 y2
Chaque grandeur étudiée n’a de sens que si elle est exprimée
par rapport à un solide auquel on associe un repère de référence : C’est le y0
X1 x2
solide de référence.
On note par exemple, le mouvement du solide 1 par rapport au solide 0 : ____________________
X0
Un mouvement absolu est un mouvement dont le solide de référence est fixe (par rapport à la terre).
Un mouvement relatif est un mouvement dont le solide de référence est mobile (par rapport à la terre).
On considère que la terre, les bâtis de machine sont des repères de référence fixes et donc absolus.
Fig. 5 bis
6 MOUVEMENT PLAN QUELCONQUE: z
Tous les points du solide se déplacent dans des plans parallèles entre eux au cours
du mouvement. Un mouvement plan n’est ni une translation, ni une rotation, mais une
conjugaison de ces 2 mouvements.
Exemple : Embiellage automobile (fig. 6)
Mvt 1/0 : rotation continue d'axe (O,x)
Indiquer la nature des mouvements Mvt 2/0 : Mvt plan quelconque
ci-contre, fig. 6 Mvt 3/0 : Translation alternative
rectiligne d'axe (O,z)
7 TRAJECTOIRES :
La trajectoire d'un point M est la courbe géométrique qu'il décrit au cours du
mouvement dans le repère de référence. Fig. 6
La trajectoire du point M appartenant au solide 1 dans son mouvement par rapport à 0 est noté : TM,1/0 z
Points coïncidents :
Un point M peut appartenir à n’importe quel solide. On le nomme M1 s’il appartient au solide 1, M0 s’il 3
appartient au solide 0. Si M1 et M0 sont confondus :
A un instant t ou dans une position donnée, M1 et M0 sont deux points coïncidents. D
Pendant tout le mouvement, M1 et M0 sont constamment coïncidents. 2
Dans l’exemple de la liaison pivot entre 2 et 3(fig. 7), les points D2 et D3 sont constamment coïncidents et donc y
confondus sur l’axe de rotation. D2 et D3 ne sont qu’un seul et même point qu’on appellera D.
Exemple : V.T.T. en mouvement de translation rectiligne Fig. 7
2
C
8 METHODE DE TRAVAIL :
En cinématique, il faut avant tout définir les liaisons entre solides. De la, on en déduit la nature du mouvement et en appliquant ses
propriétés on définit une position, une trajectoire, une vitesse, une accélération.
TD,4/3 VG,61/63
Liaison Mouvement Trajectoire Vitesse
Direction Norme
tangence
Pivot rotation circulaire au rayon V=R
Glissière Translation rectiligne rectiligne tangence // à l'axe du mvt VA = VB
tangence
Translation circulaire circulaire // à l'axe du mvt VA = VB
Mvt plan quelconque quelconque tangence Points coïncidents Tangents à Equiprojectivité
Pas de liaison directe la trajectoire CIR - Composition
CINEMATIQUE
MOUVEMENTS
Fig. 1 2 1 0 Fig. 2
y1 y2 Mvt 1/0 Mvt 2/0 Mvt 2/1 Mvt 2/0
Solide de référence 0 0 1 0
y0
X1 x2 Repère de référence R0 R0 R1 R0
Mvt relatif / absolu absolu absolu relatif absolu
X0
2
Fig. 4
TRAJECTOIRES
A
O
1
A'
Fig. 3 O'
Fig. 5
1 TA,2/O z
M M'
TM,1/0 0 1 A
0
B
0 y
O
2
C TC,2/0 C'
TA,1/0
TD,3/0
B
D TA,2/0
A A'
1 tour
3 1 0 TC,1/2 de roue
TD,3/2
VM,S/So S
POSITION VITESSES
y0
OM M M
y Y0
Tangente en M
r = OM Fig. 9
Trajectoire
O X0
O
X0 R0
x R0 Fig. 10
S0, solide de référence
1) INTRODUCTION :
Le but de ce chapitre est de définir la vitesse de n'importe quel point d'un solide en mouvement simple de translation
ou de rotation. L'étude est limitée aux systèmes pouvant être modélisés dans un plan.
VA,1/0
Centre de la
en tour/mn.
détermine la
rotation de 1/0 vitesse
La droite () est appelée droite de distribution des vitesses ou droite d'homothétie.
1 INTRODUCTION :
La cinématique est l’étude des mouvements des corps, abstraction faite des forces qui les produisent.
Les grandeurs étudiées sont : ___________________ ____________________
__________________ ____________________
Les solides étudiés sont supposés indéformables, et les liaisons parfaites. Le mot « cinématique » dérive du grec « Kinéma » qui signifie mouvement.
2 1 0
2 SOLIDE DE REFERENCE :
Fig. 1
Chaque grandeur étudiée n’a de sens que si elle est exprimée y1 y2
par rapport à un solide auquel on associe un repère de référence : C’est le
__________________________. y0
X x2
On note par exemple, le mouvement du solide 1 par rapport au solide 0 : ____________________ 1
X0
Exemple : voyageur se déplaçant dans un train en marche (fig. 1 et 2)
Compléter le tableau fig. 2, ligne 1 et 2 Mvt 1/0 Mvt 2/0 Mvt 2/1 Mvt 2/0
Page 3
Solide de référence
3 MOUVEMENT RELATIF ET MOUVEMENT ABSOLU : Repère de référence
Mvt relatif / absolu
Un mouvement absolu est un mouvement
dont le solide de référence est _______________.
Un mouvement relatif est un mouvement dont le solide de référence est _________________.
On considère que la terre, les bâtis de machine sont des repères de référence fixes et donc absolus.
Exemple : voyageur se déplaçant dans un train en marche
Remarque : il faut bien distinguer le type de mouvement (relatif ou absolu) et la nature du mouvement (rotation,
translation ...). Pour cette dernière, on précisera toujours l’axe ou la direction du mouvement.
A 1 2
4 MOUVEMENT DE TRANSLATION :
Le mouvement de 2 par rapport à 1 (Mvt 2/1) est un mouvement de B
translation si le solide 2 reste parallèle à lui-même au cours du mouvement. A’
B’
Propriété : Tous les points du solide 2 ont des trajectoires identiques (AA’ et BB’) par rapport au solide 1.
(Vu du solide 1, les points A et B décrivent la même figure)
Page 3
TRAJECTOIRES C
2 C’ z
Fig. 3 A
1
Position 1 Position 2 A
1 0
M O B
1 y
A' O
O’
0
0
Fig. 4 Fig. 5
5 MOUVEMENT DE ROTATION : Cas des solides en liaison PIVOT
z
Si au cours de son mouvement, le solide S possède deux points fixes A et B par rapport à un solide de référence
B 0, son mouvement est une rotation par rapport à 0 autour de l’axe (AB) _ (fig. 5 bis).
M Propriété : TM,S/0 = _____________________________________________________
O Exemple :
Tracer la trajectoire des point A et B, fig. 5
TM,S/0 Remarque : pour un mécanisme schématisé dans un plan (fig 5) :
A ___________________________________________________________________________
R0
x P y
6 MOUVEMENT PLAN QUELCONQUE: z
Tous les points du solide se déplacent dans des plans parallèles entre eux au cours du
mouvement. Un mouvement plan n’est ni une translation, ni une rotation, mais une
conjugaison de ces 2 mouvements. 3
Exemple : Embiellage automobile (fig. 6) B
7 TRAJECTOIRES : O y
La trajectoire d'un point M est la courbe géométrique qu'il décrit au cours du
mouvement dans le repère de référence. Fig. 6
La trajectoire du point M appartenant au solide 1 dans son mouvement par rapport à 0 est noté : TM,1/0 z
Points coïncidents :
Un point M peut appartenir à n’importe quel solide. On le nomme M1 s’il appartient au solide 1, M0 s’il appartient au 3
solide 0. Si M1 et M0 sont confondus :
A un instant t ou dans une position donnée, M1 et M0 sont deux points _______________. D
Pendant tout le mouvement, M1 et M0 sont ____________________________________. 2
Dans l’exemple de la liaison pivot entre 2 et 3(fig. 7), les points D2 et D3 sont constamment coïncidents et donc y
confondus sur l’axe de rotation. D2 et D3 ne sont qu’un seul et même point qu’on appellera D.
Exemple : V.T.T. en mouvement de translation rectiligne Fig. 7
2
C
B
Fig. 8
B'
D
A
A'
3 1 0
8 METHODE DE RECHERCHE :
En cinématique, il faut avant tout définir les liaisons entre solides. De la,
on en déduit la nature du mouvement et en appliquant ses propriétés
on définit une position, une trajectoire, une vitesse, une accélération.
TD,4/3
Pivot
Glissière
Translation circulaire
3 trajectoires :
TA,2/0 :
TB,1/0 :
Comparer (45°<<135°):
. carrosserie
C D
TRAVAIL DEMANDE
Le système occupe la position de la figure 2. Toutes les constructions graphiques sont à faire sur cette figure.
1 Quelle est la liaison entre 0 et 1, entre 0 et 2 ?En déduire la nature des mouvements Mvt1/0 et Mvt2/0 ?
2 Quelle est la liaison entre 3 et 1, entre 3 et 2 ?En déduire la nature des mouvements Mvt1/3 et Mvt 2/3 ?
3 Déterminer la nature des trajectoires TA,2/0 et TB,1/0. Comparer les et tracer les sachant que 45°<<135°.
4 Calculer le distance parcourue par le point A pour un aller-retour de l’essuie-glace. Si le balai effectue cet
aller-retour en 3 secondes, et si sa durée de vie est de 500 heures, en déduire le chemin parcouru.
5 Quelle est la nature du mouvement Mvt 3/0? Justifier. En déduire la nature des trajectoires T(A 3/0),
TB,3/0, TE,3/0 et TF,3/0. Les tracer (on passe de TB,3/0 à TA,3/0 par translation de vecteur DC).
6 Déterminer la surface balayée par le balai et calculer cette surface.
7 Comparer ce mécanisme avec celui des automobiles. Quels sont ses avantages ?
8 Quelle est la nature du mouvement Mvt 1/2? En déduire la nature de la trajectoire T(B 1/2).
A’’
TA,2/0 = TA,3/0
A’
90°
TA,2/0 = TA,3/0
TB,1/0 = TB,3/0
A’ B’
90°
TA,2/0 = TA,3/0
TB,1/0 = TB,3/0
A’ B’
TA,2/0 = TA,3/0
TB,1/0 = TB,3/0
A’ B’
TF,3/0
K
F'
90°
90°
Surface balayée :
S = EF x FF'
EF = 460 mm L
FF' = LF . 2 = BD . 2 = 600 . 2 = 848,52 mm E
E'
S = EF x FF'
= 460 x 848,52 = 390.323 mm2
= 0,39 m2
F' F
C D
BTS MV1
TD DE CINEMATIQUE
Etude des TRAJECTOIRES
PRESENTATION
La figure ci-contre représente un portail motorisé. L’actionneur électrique fixé au pilier
du portail entraîne en rotation la bielle (2) qui actionne le vantail (1) par l’intermédiaire
de la bielle (3)
OBJECTIF
Déterminer la durée d’alimentation du moteur .
DONNEES
Le dispositif occupe la position initiale (portail fermé) figure 1. On se place dans la
phase d’ouverture du portail
La vitesse de rotation de la bielle (2) est supposée constante et telle que : N2/0 =
1 tr/mn.
AB=198 mm, BC=232 mm, DC=336 mm, DG=200 mm.
La figure 1 est à l’échelle ¼.
TRAVAIL DEMANDE
DONNEES
Le dispositif occupe la position initiale (portail fermé) figure 1. On se place dans la
phase d’ouverture du portail
La vitesse de rotation de la bielle (2) est supposée constante et telle que : N2/0 =
1 tr/mn.
AB=198 mm, BC=232 mm, DC=336 mm, DG=200 mm.
La figure 1 est à l’échelle ¼.
TRAVAIL DEMANDE
TC,1/0
BTS MV1
TD DE CINEMATIQUE
Etude des TRAJECTOIRES
PRESENTATION
La figure ci-contre représente un portail motorisé. L’actionneur électrique fixé au pilier
du portail entraîne en rotation la bielle (2) qui actionne le vantail (1) par l’intermédiaire
de la bielle (3)
OBJECTIF
Déterminer la durée d’alimentation du moteur .
DONNEES
Le dispositif occupe la position initiale (portail fermé) figure 1. On se place dans la
phase d’ouverture du portail
La vitesse de rotation de la bielle (2) est supposée constante et telle que : N2/0 =
1 tr/mn.
AB=198 mm, BC=232 mm, DC=336 mm, DG=200 mm.
La figure 1 est à l’échelle ¼.
TRAVAIL DEMANDE
TC,1/0
C'
BTS MV1
TD DE CINEMATIQUE
Etude des TRAJECTOIRES
PRESENTATION
La figure ci-contre représente un portail motorisé. L’actionneur électrique fixé au pilier
du portail entraîne en rotation la bielle (2) qui actionne le vantail (1) par l’intermédiaire
de la bielle (3)
OBJECTIF
Déterminer la durée d’alimentation du moteur .
DONNEES
Le dispositif occupe la position initiale (portail fermé) figure 1. On se place dans la
phase d’ouverture du portail
La vitesse de rotation de la bielle (2) est supposée constante et telle que : N2/0 =
1 tr/mn.
AB=198 mm, BC=232 mm, DC=336 mm, DG=200 mm.
La figure 1 est à l’échelle ¼.
TRAVAIL DEMANDE
TC,1/0
TB,2/0
C'
BTS MV1
PRESENTATION
La figure ci-contre représente un portail motorisé. L’actionneur électrique fixé au pilier
du portail entraîne en rotation la bielle (2) qui actionne le vantail (1) par l’intermédiaire
de la bielle (3)
OBJECTIF
Déterminer la durée d’alimentation du moteur .
DONNEES
Le dispositif occupe la position initiale (portail fermé) figure 1. On se place dans la
phase d’ouverture du portail
La vitesse de rotation de la bielle (2) est supposée constante et telle que : N2/0 =
1 tr/mn.
AB=198 mm, BC=232 mm, DC=336 mm, DG=200 mm.
La figure 1 est à l’échelle ¼.
TRAVAIL DEMANDE
TC,1/0
2/0 ?? TB,2/0
B'
C'
CINEMATIQUE : Vitesse du POINT_Mouvements simples
1) INTRODUCTION :
Le but de ce chapitre est de définir la vitesse de n'importe quel point d'un solide en mouvement simple de translation ou de
rotation. L'étude est limitée aux systèmes pouvant être modélisés dans un plan.
La droite () est appelée droite de distribution des vitesses ou droite d'homothétie.
//D100-prof\ D:\01 PROFS\DORBE\00 LYCEE\01 Cours\08 CI 5-1_Cinématique_graphique/Cinématique graphique 2009 page 1/1
BTS MV1 ETUDE DES MOUVEMENTS PLANS AFSM
A et B appartiennent au solide 1
B 2 3 tracé de VB,2/0
N1/0
1 z
= 60° G
A C y
0
0
Mvt 3/0 : _________________________________
Objectif 2 : tracé de VC,3/0 = VC,2/0 :
support de VC,3/0 : __________________________
Méthode :
Projeter V B,2/0 sur (BC) : __________________________________
Reporter la distance BK à partir de C : _______________________
Tracer la perpendiculaire à BC en H : ________________________ tracé de VC,3/0
2- Le Centre Instantané de Rotation ( C. I. R. )
2-1 Principe
Tout solide S en mouvement plan par rapport à S0, possède à chaque instant
t, un centre de rotation dont la position varie au cours du mouvement.
C’est le Centre Instantané de Rotation, plus couramment appelé C.I.R.
et noté IS/So .
1 VB,2 / 0 G
z
B’ ? y
A C V C2/0
0
BTS MV1 ETUDE DES MOUVEMENTS PLANS AFSM
A et B appartiennent au solide 1
tracé de VB,2/0
B 2 3 (4 cm pour la norme)
N1/0
K
VB,2/0
1 z
= 60° G
VC,2/0 M
y
A C
H
0
0
Mvt 3/0 : translation rectiligne d'axe (AC)
Objectif 2 : tracé de VC,3/0 = VC,2/0 :
support de VC,3/0 : droite (AC)
Méthode :
Projeter V B,2/0 sur (BC) : On obtient le point K.
Reporter la distance BK à partir de C : On obtient le point H.
Tracer la perpendiculaire à BC en H : On obtient le point M. tracé de VC,3/0
2- Le Centre Instantané de Rotation ( C. I. R. )
2-1 Principe
Tout solide S en mouvement plan par rapport à S0, possède à chaque instant
t, un centre de rotation dont la position varie au cours du mouvement. I2/0
C’est le Centre Instantané de Rotation, plus couramment appelé C.I.R.
et noté IS/So.
A cet instant, le solide 2 est en
rotation autour du CIR.
2-2 Construction du C.I.R.
Le C.I.R. est situé à l’intersection des deux
perpendiculaires en B et C aux vecteurs B
vitesses VB, 2/0 et VC, 2/0 . 2
1 VB,2 / 0
G
z
B’ ? y
A C V C2/0
0
ETUDE DES MOUVEMENTS PLANS
A et B appartiennent au solide 1
B 2 3 tracé de VB,2/0
N1/0
1 z
= 60° G
A C y
0
0
Mvt 3/0 : _________________________________
Objectif 2 : tracé de VC,3/0 = VC,2/0 :
support de VC,3/0 : __________________________
Méthode :
Projeter V B,2/0 sur (BC) : __________________________________
Reporter la distance BK à partir de C : _______________________
Tracer la perpendiculaire à BC en H : ________________________ tracé de VC,3/0
1 VB,2 / 0 G
z
B’ ? y
A C V C2/0