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Alphabet Enochien : Historique et généralités

Publié le : lundi 24 janvier 2005


Créé le : Non renseigné

La magie Enochienne serait le résultat des travaux menés par deux hommes du XVIème siècle, le docteur John Dee et son assistant
Edward Kelly. Ces deux hommes mirent sur pied un système magique révélant l’existence d’espaces parallèles contenant des
hiérarchies d’entités que le docteur assimila aux anges et démons du dogme judéo-chrétien. Après la mort de Dee, Moric Casaubon
entreprit de publier les notes du docteur en 1659 sous le titre de " Le Récit fidèle et Véritable de ce qui s’est passe pendant des années
entre le Dr Dee et les esprits » (ce livre peut encore être consulté à la British Library).

Elias Ashmol reprend les travaux de Dee en 1671 et élabore une structure rituélique et évocatoire pour le système énochien. Il écrit
aussi certainement le premier dictionnaire énochien. A la même époque, le Dr Thomas Rudd affirme détenir de la main du fils de Dee
des documents sur le système énochien...mais surtout les sept sceaux de la Sainte Table qui faisaient grandement défaut aux autres
praticiens. A la mort d’Ashmol, tous ses papiers furent enfermés dans une caisse en bois, avant d’être envoyés au British Museum.

C’est justement au British Museum que Mac Gregor Mathers les retrouve et c’est avec tous ces documents qu’il réadapte les pratiques
et cérémonies magiques de son ordre, le Golden Dawn.

Mac Gregor Mathers n’a pas été, semble-t-il, le premier à travailler, décoder et traduire profondément ces écrits énochiens. Plusieurs
mouvements et cercles initiatiques (pour la plupart rosicruciens ) les prirent en compte dès le XVIIème siècle.

Le grand public découvre la magie énochienne en 1912 à la suite d’un article d’Aleister Crowley dans son journal l’Equinoxe... article
qui passa totalement inaperçu. Puis en 1937, Israël Regardie, désobéissant à ses serments, publie dans plusieurs livres les
enseignements et un descriptif des cérémonies du Golden Dawn... Ouvrages qui seront noyés dans le désordre de la seconde guerre
mondiale, avant d’être réédités en 1969 dans tous les pays anglo-saxons.

La vogue des sciences occultes et de l’ésotérisme en général dans les pays anglo-saxons profite à la sortie de nombreux ouvrages sur
la magie énochienne... Phénomène peu observé en France, où seulement deux ou trois livres " grands public » décrivent cette tradition
magique.

Langage & Alphabet enochien

Kelley, lors de ses entretiens avec les entités énochiennes, voyait dans le cristal des lettres et des noms de pouvoir. De ces visions
naquirent un alphabet et un langage que Dee considérait comme uniques dans l’histoire de l’homme. La grammaire de ce langage
ainsi que la forme des lettres ressemblent à celles des langues anciennes du IIème millénaire avant notre ère.

Il est possible aussi de retrouver des textes alchimiques (Ambrosius, Jabir,...) antérieurs aux deux hommes et possédant une graphie
semblable à l’énochien. Les érudits musulmans de la première croisade utilisaient aussi un alphabet très proche...

Quoiqu’il en soit, cet alphabet possède de très fortes similitudes avec l’alphabet sumérien de l’époque du roi mésopotamien
Hammourabi (1792-1750 av JC)... Rappelons que 6000 ans avant notre ère l’écriture semble apparaître dans les villes sumériennes de
Uruk et d’Ur, écriture qui deux siècles plus tard muera vers ce qu’on appelle l’écriture cunéiforme (à cause des lettres ayant des
formes de clous). Des textes cunéiformes sont encore visibles dans différents musées comme celui du Louvre.

Cette piste de rapprochement entre le sumérien et l’énochien semble très intéressante. Cette civilisation est à la source de la plupart
des traditions bibliques présentes dans le livre de la Genèse, dont en particulier celle du déluge (le Noé sumérien avait pour nom Uta-
Napishtim et vivait au bord de l’Euphrate dans la ville de Shuruppak). Dans ce même livre de la Genèse, un personnage apparaît très
brièvement : Enoch (le second), l’arrière-grand-père de Noé. Enoch serait le seul des patriarches à ne pas mourir puisque Dieu lui-
même vint le chercher sur Terre (Genèse 5-24,25). Enoch, dans la tradition biblique, est dans les confidences du Père, et sa présence
sur Terre (365 ans) a permis la mise en place d’un nouveau cycle cosmique.

Matériel

Le British Museum ainsi que la British Library conservent pratiquement tout le matériel énochien du Docteur Dee. Ce matériel est
constitué :

de la Saint Table et des 7 sceaux (ou pentacles)


du Siglium Dei Aemeth (ou Saint Sceau)
de la tablette de Nalvage
de l’Heptarchia Mystica
du Liber Logaeth
des tablettes enochiennes
des 48 clés angéliques d’appel
du Liber Scientia Auxiliis et Victoria Terrestris

Lovecraft & la Magie Enochienne le Liber Logaeth

L’importance du Liber Logaeth (appelé aussi Liber Mysteriorum Sextus et Sanctus) dans la magie énochienne provient en grande
partie du mystérieux message qu’il renferme.

Ce serait le seul ouvrage qui n’aurait pas été retranscrit par Dee, mais directement donné de la main d’un ange avec comme mention :
" Ce livre est la clé Sacrée qui ouvre la détermination de Dieu pour ce qui est du début de ce monde, son état actuel, sa fin... »
Uriel.Kelly parle à son sujet d’un " livre brun aux lettres de sang non séché, d’un sang au sein duquel la vie brûlerait encore... »

Le manuscrit, encore visible à la Bodleian Library d’Oxford (numéro 422) nous vient d’Ashmole. La plus grande partie de cet
ouvrage est constitué de carrés magiques et est noircie par les notes d’Ashmole... Pour l’instant, semble-t-il, personne n’a réussit
véritablement à déchiffrer le contenu du livre.

Il faut toutefois noter que Rober Turner et David Langfort ont entrepris de déchiffrer ce livre, et affirment qu’il est un fragment du
très célèbre Nécronomicon dont parle HP Lovecraft (Il ne faut toutefois pas oublier que Lovecraft prétend, dans sa correspondance
entre autre, avoir totalement inventé ce livre). Les spécialistes sont tous d’accord sur le fait que Turner n’a pas réussi à percer le code,
et que le Liber Logaeth reste toujours un mystère. Mais le lien entre Lovecraft et la tradition énochienne ne s’arrête, semble-t-il, pas
là.

Lovecraft était marié avec une adepte de A.Crowley (Sonia Greene), et qui donc possédait des connaissances dans la tradition
énochienne. Les praticiens de la magie énochienne prétendent faire des cauchemars, qui après une très courte étude, ressemblent aux
visions d’horreurs présentes dans les nouvelles de Lovecraft (Or Lovecraft affirme avoir rêvé ce qu’il a écrit). La magie du Docteur
Dee semble en effet " provoquer des rêves extrêmement troublants dans lesquels les entités se manifestent selon les structures
neurologiques du rêveur »(La Magie Enochienne, Etienne Morgant).

La route pour pouvoir affirmer que Lovecraft pratiquait la magie énochienne est encore longue, mais les différentes similitudes entre
les entités, les visions d’horreur, la forme des incantations, laissent à penser qu’elle existe.
Introduction…

Les Baalis ont créé un artefact puissant, sous la forme d’une bague. Glissée au doigt de quelqu’un, cet objet
transforme son porteur en créature de cauchemar, la forme adoptée dépendant de la psyché du porteur. La
bague est magnifiquement ouvragée et possède une aura donnant grande envie de la passer à son doigt. Il a
néanmoins réussi à demeurer prudent et n’a pas fait cette erreur.

Son infante récemment introduite à la Cour a eu moins de scrupule et de crainte.

Elle était surtout inconsciente. Lorsque celui-ci ne la surveillait pas, elle a essayé la bague plusieurs fois. La
mutation a commencé à s'accomplir et elle relate ses changements psychologiques dans son journal. Elle
s’éveille parfois sans se souvenir de ce qu’elle a pu accomplir une partie de la nuit précédente, etc…. Elle
alterne entre moments mondains et civilisés et les instants où elle se transforme.

Le soir de la mort de son Sire, elle a été surprise par celui-ci en train d'essayer à nouveau la bague. Celui-ci a
été horrifié et a tenté de la lui retirer de force. S'en est suivi une transformation immédiate de son infante qui l'a
transformé en tas de chair sanguinolente...

La goule de son Sire a assisté à la scène et en a perdu la raison. Il a disparu avec le fameux coffret que son
Domitor lui avait demandé de surveiller.

Cette Toreador, d'une grande beauté et tout aussi narcissique pourrait avoir pris l'apparence de la Méduse.
Pour la vaincre ( un petit mix avec le basilic) il faudra tout d'abord lui opposer sa propre image à l'aide d'un
miroir puis la décapiter. Elle ne peut pas pétrifier au premier regard mais peut par exemple disposer de pouvoir
puissants en domination et soutenir son regard peut demander des jets de volonté, maîtrise de soi.

C'est chez cet agent, un Toreador du nom de Louis Verlier, que les Pj doivent se rendre au début de ce scénario.
Ce Toreador est un expert en art ancien et il a récupéré pour le compte du Prince un document d’importance, un
prétendu apocryphe du Livre de Nod. Deux enquêtes vont donc se mêler. D’une part la traque de cette « chose »
et la recherche de cet apocryphe qui risque de tomber entre de mauvaises mains.

Ce document ancien est écrit en enochien, L’énochien, ou « Langage des Anges », est l'appellation donnée à
une langue occulte ou angélique supposée, possédant son propre alphabet, mais ne comportant ni grammaire, ni
vocabulaire, ni prononciation]. Cet alphabet fut trouvé en même temps que des indications de rituels magiques
(appelés par la suite « magie énochienne »), dans des carnets de note des occultistes et alchimistes anglais John
Dee et Edwards Kelley, au XVIe siècle.

La pertinence de cette langue est très controversée, autant dans sa fiabilité, que dans l'origine à laquelle elle
prétend et que dans les valeurs qu'elle véhicule. Selon les connaissances admises en linguistique], la langue
énochienne ne serait pas parlée sur Terre et elle n'est pas même une langue construite. Par ailleurs, il ne s'agirait
pas non-plus d'un simple script codé, c'est-à-dire un changement d'alphabet à partir d'une langue existante.
Certains utilisent aujourd'hui l'alphabet énochien sous forme de langage dans certains rituels magiques pour
tenter de communiquer avec les esprits des univers parallèles
.
S'il est communément admis que l'énochien est une langue inventée de toutes pièces, pour certains elle aurait
toujours existé: ce serait la langue parlée par les anges, la langue unique des hommes avant la Tour de Babel.
Elle aurait été, d'après Kelley, citée par les entités énochiennes et utilisée par Adam pour nommer les choses et
les êtres qui l'entouraient Différents ésotéristes et historiens se sont sérieusement posés la question d'une
mystification :

En Genèse 4, 17, Hénoch ou Enoch le nom du fils de Caïn pour qui celui-ci construit une ville qu'il appelle de
ce nom : Hénoch.
Acte 1 : La Bague au doigt

Une réception au Louvre…

Les PJ sont convoqués au Louvres afin de recevoir des directives de Villon, par l’intermédiaire du Prévôt
Armand de la Tour. Ce soir, un immense piano à queue laqué de noir est présent non loin de la statue de la
victoire de Samothrace sous laquelle le Prince siège. En effet, la Nosferatu Aude Marny, une des seules
représentante de son clan acceptée à la Cour donne un récital de piano.

Même le Prince Villon semble apprécier les talents d’Aude. Sa peau verdâtre paraît comme tendue à même l'os
et prête à rompre et il ne reste en témoignage de sa magnifique chevelure que quelques touffes d'un blond
salace. Elle prend cependant beaucoup de peine à être toujours habillée et apprêtée comme du temps de sa
splendeur, et pourrait donner à bien des Toréadors des leçons d'élégance. Toutefois, lorsqu’elle s’installe au
piano, tous oublient sa laideur pour se laisser emporter par la musique.

Si un des PJ se fait remarquer en parlant trop fort durant le concerto, les harpies trouveront une cible toute
désignée.

A la fin du récital de piano, De la Tour demande aux PJ de les suivre dans son bureau. Il s’installe et demande
aux Pj de s’asseoir..

Il leur explique qu’il désire qu’ils aillent chez un certain Louis Verliet récupérer un objet dans un coffret. Il leur
est formellement interdit de l’ouvrir. Ils devront le rapporter immédiatement. De la Tour leur donne une
adresse, dans le 5eme arrondissement, non loin du Panthéon

Surprises dans le quartier latin…

Les vampires arrivent sur place au pied d’un immeuble cossu, face à la Mairie du Vème arrondissement. Il y a
un interphone mais personne ne semble répondre. Ils finiront certainement par rentrer d’une manière ou d’une
autre mais personne ne daignera leur ouvrirIls trouveront l'endroit dévasté. L’ameublement et la décoration
témoignent d’une certaine opulence. Ainsi on peut voir de nombreuses œuvres d’art dans les pièces de
l’appartement. Dans le salon se trouve un corps ou du moins ce qu’il en reste.

Les PJ découvrent un effet une pulpe sanguinolente gisant sur un tapis hors de prix. Tandis qu’ils examinent le
« corps », ils entendront quelqu’un penetrer dans l’appartement. Il s’agit de Delia, l’infante de Louis Verliet.
Elle ne sait rien de sa seconde nature, elle dira avoir été absente au moment de la mort de son maître, étant
partie chasser dans une boite de nuit à Montparnasse ce dont elle est persuadée.

Elle semblera totalement effondrée, elle venait d'être présentée à la Cour et avait encore beaucoup à apprendre
de son Sire. Quant au coffret, elle ne sait absolument pas de quoi il s’agit et les PJ ne pourront mettre la main
dessus.

Enquêtes et fausses pistes.

Les Pjs pourront enquêter du côté des mages ou des Tzimisces parisiens si l’état du corps leur y fait penser ( pas
facile...) Ils pourront apprendre que le Toreador avait eu maille à partir avec un gang anarch particulièrement
violent. Cela sera évidemment une fausse piste.

Ils devront faire leur rapport à De la Tour qui leur demandera de ramener l’infante à la Cour pour l’interroger.

Ils apprendront quelques jours que "quelqu'un" semble se défaire des règles de la Mascarade et qu'il faudra voir
de qui il s'agit. S’ensuivra une course poursuite à travers la Capitale pour retrouver le fautif.

Durant ce temps d'autres parties sont à l’œuvre et les PJ pourront les croiser en fonction de leur pérégrinations.
-Les Tremere étaient au courant de l'existence de cet objet par le biais de quelques espions placés chez les
mages. Zoran désire le récupérer pour mener sa guerre contre les Nosfe dans les sous-terrains parisiens.

-Les Nosferatu idem. D'une part pour la guerre occulte, d'autre part pour protéger Paris et les sous-terrains dans
lesquels ils ont déjà pu repérer la créature.

-les Baali qui veulent évidemment remettre la main sur cet objet

-Un groupe de garou rongeur d’os vivant dans la capitale et qui ont senti une présence anormale du Ver ?

-Un groupe de chasseur traquant la créature ?

-Le ferrailleur / goule ? ( lieux étranges et insolites)

Avec qui les PJ pourront-ils s’allier ?

Durant leur enquête les PJ auront l'impression d'être suivis de nombreuses fois.
Les tremere restent cachés ne voulant pas attirer l'attention sur la Chantrie et ses projets, ils n’enverront que des
goules si un combat doit éclater...

Les Nosfe finiront par contacter les PJ pour un final épique dans les égouts contre la bête.

La bague étrange aura toutefois disparu et les PJ reviendront sans rien à la Cour. Le coffret n’aura pas été
retrouvé.
Acte II Le voleur de visages
Quelques temps après cette aventure, les Pj apprendront qu’un étrange tueur en série sévit dans Paris. Personne
n’a été capable jusqu’alors de l’arrêter. On déplore pour l’instant 4 victimes depuis deux mois.

Le tueur est en fait la goule du Toreador historien de l’acte précédent. A l’aide des recherches de son maître il a
décrypté le document écrit en enochien. La goule a été récupérée par un culte voué à Lilith, caché dans les
tréfonds de la capitale. Il est parvenu à s’enfuir avec l’apocryphe mais sa santé mentale déjà faible en a subi les
contrecoups. Malheureusement le document a été récupéré par des chasseurs de l’Ordre de Leopold qui
comptent l’utiliser comme un appât à Vampire ( scenar succubus club)

Il s’attaque désormais à celles qu’il pense être « les filles de Lilith », attaquant en réalité les femmes qu’il vient
à croiser selon un calendrier précis, à savoir un calendrier lunaire. Il tue dans la nuit du lundi au mardi sauf les
soirs de lune morte, soir où la lune est invisible, située entre le soleil et la Terre. ( le livre d’Enoch continent un
calendrier tenant compte des phases de la lune…)

Le bétail est apeuré, les vampires subissent une pénalité de +2 pour se nourrir. Cela doit cesser.

Au Louvre les rumeurs vont bon train. On entend dire que ce tueur aurait infligé la mort ultime à une neonate et
on commence à se demander s’il ne ferait pas partie de la famille. On craint pour la mascarade. On charge les
PJ d’enquêter avec la plus grande discrétion.

Les victimes :

Les corps :

Faciès de muscles luisants, de graisse molle et de cartilage Peau soigneusement découpée et prélevée depuis la
racine des cheveux jusqu’au menton en passant par le ras des temples et le long de la mâchoire, comme si l’on
avait ôté le masque d’une poupée de chair et de sang. Les yeux vitreux fixaient le néant, privés de paupières. La
bouche sans lèvres à jamais grimaçante, ouvrait sur des gencives à nu et des dents toutes visibles parcourues de
filaments glaireux écarlates et blanchâtre.. En place du nez était une cavité emplie de caillots et d’insectes
grouillants

La victime vampire :

Les infos données par les éventuels contacts (police etc) :


Alphabet Enochien
A découvrir :

Le Voleur de visage : un long manteau sombre le couvre, sa capuche laissait paraître un visage qui ne lui
appartient pas, masque de peau exsangue que tient des cordelettes rugueuses nouées dans les chairs
cadavériques. Sa pose a quelque chose de simiesque, bestial. Il se tient assis sur les talons, genoux écartés,
penchées en avant. Il semble être le reflet d’une humanité pervertie. Il semble prêt à bondir

Dans le repaire du tueur :

Quelques masques de peau pourrissant avec des caractères complexes dessinés sur le front. Le nom de Lilith
écrit en langue Enochienne.

Des livres où sont écrites ces lignes encore et encore :

Lilith « Dans ses bastions croîtront les ronces, dans ses fortes ses l’ortie et l’épine, ce sera la tanière des
chacals. Les chats sauvages rencontreront les hyènes, le satyre appellera le satyre, là encore se tapira Lilith,
elle trouvera le repos… »

Bref, ambiance inquiétante et « géhennisante »

A intégrer :

Fausse piste : culte satanique, profanation cimetière, groupe à la recherche de relique macabres.

Une gitane et sa sœur. Témoin des meurtres ?


Elle ou sa sœur voient en rêves le meurtrier agir

La grande sœur meurt assassinée, la sœur recueillie par les PJ ? Muette ! Elle aura bientôt les visions d’un
meurtre à venir, ce qui permettra de suivre le tueur ?

Personnes accusées à tord des meurtres ( humains et vampires)

Une suite, le scénar du succubus club ( jeux d’enfant)

La goule pourra mener les PJ au repaire du culte de Lilith…

L’acte III sera donc le scénar du succubus club. Le document pourra être un faux bien réalisé ( par les Jésuites,
comme dans le scenario ?) ou un véritable document de valeur.

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