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548681 FR
07/07
N° de commande : 548681
Situation : 07/2007
Auteur : Gerhard Schmidt
Rédaction : Frank Ebel
Graphiques : Doris Schwarzenberger
Layout : 12/2007
© Festo Didactic GmbH & Co. KG, 73770 Denkendorf, Allemand, 2007
Internet: www.festo-didactic.com
e-mail: did@de.festo.com
7. Exemples __________________________________________ 41
7.1 Commande de porte _________________________________ 41
7.2 Fraise à rainurer ____________________________________ 45
7.3 Colleuse d'étiquettes ________________________________ 58
7.4 Bassin de rétention d'eaux pluviales ___________________ 61
Non, ce n'était pas toujours été comme aujourd'hui. Dans le temps, dit
le bon vieux temps, il y avait moins de règles et de spécifications. A quoi
auraient-elles servi ? Les machines et installations étaient plutôt rares,
petites et donc simples. Pour la plupart, la documentation était
inexistante. La conception de la machine s'effectuait rarement sur une
table à dessin. Elle avait lieu habituellement sur site, un bricolage
manuel pièce par pièce devant mener à l'automatisation. La marche à
suivre était claire et des plus simples :
Mais les temps changèrent ! On ne construit plus les machines pour ses
propres besoins, on les achète. Et c'est là que commencent les
problèmes : Ces machines doivent être entretenues, réparées et
optimisées par des personnes qui les voient pour la première fois de
leur vie. De là est né le besoin d'une description des fonctions de
l'installation, d'un schéma de circuit compréhensible et, d'une manière
générale, d'une documentation standardisée.
On créa donc des normes pour les symboles des appareils (existant à
l'époque) et une norme sur les diagrammes fonctionnels. Cette norme
satisfaisait entièrement en ces temps à l'état de l'art en automatique.
Les séquences opératoires étaient alors linéaires, il n'y avait pas de
fonctions de temporisation ou de comptage, ni de variantes de
programme.
Mais le temps ne s'est pas arrêté. Au contraire, tout est allé de plus en
plus vite. Si la fonction de temporisation a été assez facile à représenter
dans un chronogramme, les compteurs de boucles ou les variantes de
programme ont constitué, malgré une amélioration de la norme, des
obstacles quasi insurmontables. L'automatique exigeait de nouvelles
possibilités de description graphique des séquences. C'est de cette
nécessité qu'était née entre temps la description de séquence
"Logigramme". A l'origine, celle-ci avait, bien sûr, également ses
défauts, incohérences et points faibles. Mais, lorsqu'en 1992, le
logigramme a été nettement perfectionné et accepté par l'industrie, le
diagramme fonctionnel a rendu les armes.
GRAFCET d'une processus qui sépare des pièces et alimente une séquence de production
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Exemples d'étapes
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