30/1/2008

Méthodologie de la prise
de mesures sous terre

Mesures d'aérage
• Les ppropriétés
p les plus
p importantes
p de l'air
minier pour des fins de contrôle de la quantité
sont la vitesse de l'air et la pression de celle
celle--ci.
Quand on connaît ces propriétés en plusieurs
points stratégiques dans la mine, on peut
résoudre le problème du contrôle de la quantité
en utilisant certaines méthodes analytiques
et/ou numériques de l'écoulement des fluides.

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 30/1/2008

Mesure des vitesses - principes

• Il y a trois types d'appareils de mesure de la
vitesse de l'air
l air, selon le principe d
d'opération
opération. Il
y a donc des appareils de mesure basés sur :
• l'effet mécanique de l'air sur des petites
particules ou sur des moulinets suspendus dans
l'air;
• l'effet
l' ff d de pression
i ded l'air
l' i en motion;
i
• l'effet de sa vitesse sur le taux de
refroidissement d'un objet chaud

Émission de fumées (smoke tube)

• Méthode pour déterminer la présence d'un courant d'air, sa

di ti d'écoulement
direction d'é l t ett sa vitesse
it approximative
i ti
• On mesure directement le débit d'air donc on n'a pas besoin de
mesurer la surface de la galerie
• On utilise cette méthode quand la vitesse est très faible
(< 0.6 m/sec ou 120 pi/min) et quand on a épuisé toutes les
autres méthodes
• On doit toujours faire plusieurs mesures (> 3). La précision
varie
a ie de 70% - 90% selon l'expérience
l'e pé ience et la vitesse
itesse de l'air
l'ai
• Employée avec des gaz spéciaux (gaz qui ne sont pas
toxiques)
• On émet une quantité connue, puis on recueille des
échantillons d'air plus loin dans la galerie à divers intervalles de
temps. En connaissant le taux de dilution (par analyse), on
peut en déduire le débit

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Tube à fumée « smoke tube »

La fumée qui
s’échappe d’un
tube parcours une
distance dans un
intervalle de temps

•Pas très précis

•Direction du mouvement de l’air
•Utiliser dans les cas de vitesses faibles

Tube à fumée
« smoke tube »

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Émission de fumées (smoke tube)

m
Q=
ρg .A
• m : la masse du gaz
qu'on a émis (kg)
• ρg : la densité du gaz
(kg/m3)
• A : la surface au
au--dessous
de la courbe (m2)

Anémomètre à moulinet
• Il existe deux pplages
g d'utilisation pour
p :
– des petites vitesses (< 10 m/sec ou 2 000 pi/min) et
– des grandes vitesses (jusqu'à 50 m/sec ou 10 000 pi/min)
• La précision peut varier entre 80-
80-95%
• Anémomètres électroniques à lecture directe de la
vitesse de l'air. L'anémomètre est un appareil qu'il faut
calibrer
lib annuellement
ll t quand
d il estt utilisé
tili é
régulièrement, il est peu dispendieux et il n'est pas
influencé par la température

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Anémomètre à moulinet

• comme des éoliennes , ils transforment le

mouvement de l' air en une rotation d'un appareil
mobile autour d'un axe : plus la vitesse de l'air
est élevée, plus cette rotation sera rapide. On
emploie
l i ainsi
i i courammentt d des anémomètres
é èt à
coupelles , dont le moulinet forme un axe vertical
autour duquel tournent trois coupelles identiques.
L'axe de rotation est horizontal, au contraire,
dans les anémomètres à hélice

Influence de densité

• Normalement les anémomètres sont calibrés

pour la densité de l'air standard qui est
~ 1.2 kg/m3 (0.075 lb/pi3), mais souvent la
densité sous
sous--terre est très différente
• Si ρ1 est la densité réelle et ρ0 la densité de
calibration, alors il faut multiplier la vitesse
mesurée par le facteur :
ρ1
ρ0

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Influence de l'inertie au démarrage

• Influence de l'inertie
l inertie au démarrage.
démarrage
• À cause de l'accélération du moulinet pendant
le démarrage, il faut attendre une dizaine de
secondes avant de débuter la mesure
(50 secondes est la durée minimale d'une
mesure)

Influence d'un courant pulsatif

• Dans le cas d'un courant ppulsatif,, on a la tendance à
sur-mesurer la vitesse de l'air à cause de l'insensibilité
sur-
de l'anémomètre aux décroissements brusques de la
vitesse. Toutefois, l'effet est
λ négligeable si l'amplitude
des pulsations ne dépasse pas 14% de la vitesse
mesurée
• Si ll’aplitude
aplitude dépasse 14%,
14% il faut corriger:

100λ E : le % de l’erreur
E=
2 λ : l’amplitude de la pulsation
• Pour une pulsation de ±14% : erreur de ±1%

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Influence du profil de vitesse

• Afin dd'éviter
éviter ll'influence
influence du profil de vitesse sur
la précision des mesures, il est suggéré
d'utiliser l'anémomètre seulement dans les
galeries dont le diamètre est au moins six fois
plus grand que celui de l'anémomètre.

Influence de l'alignement de l'appareil

• Pour une mesure correcte,

l' é
l'anémomètre
èt d doit
it êt
être placé
l é
parallèlement au courant d'air.
Toutefois, en pratique, une
petite déviation est inévitable.
Cette déviation n'influence pas
la précision des résultats
considérablement si elle ne
dépasse
p pas
p les 20%
• La figure nous montre
l'influence de l'angle de la
déviation sur la précision des
mesures.

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Influence du corps de l'observateur

• On a constaté que le corps de l'observateur est la
source la
l plus
l importante
i t t d'erreurs.
d' Si la
l distance
di t
entre l'anémomètre et l'observateur est d'environ 1 m,
on pourrait avoir des erreurs jusqu'à 40%
• Le tableau montre les effets de l'interférence du corps
de l'observateur.

Effet de la vitesse de balayage

• Le mouvement de l'anémomètre lors

du balayage sur la section peut
introduire des sources d'erreurs Vitesse d'air
Erreur (%)
• La combinaison des vitesses faibles
m/s

Vitesse de balayage (m/s)

de l'air et des vitesses fortes de
balayage peut introduire des erreurs 0.15 0.30 0.60
considérables 1 1.1 4.4 15.6
• La meilleure stratégie en pratique est 1.5
2
0.5
0.3
2.0
1.1
8.0
4.4
d' d t une vitesse
d'adopter it de
d balayage
b l ~ 2.5 0.2 0.7 2.8
0.2 m/sec (39 pi/min) 3 0.1 0.5 1.9

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Méthode de mesure de la vitesse de l’air

Points fixes de
Points fixes de
balayage pondération égale
pondération égale,
conduites circulaires conduites
rectangulaires

Balayage avec anémomètre

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Tube de
Pitot

•Dans les conduits de ventilation

nous utilisons le tube de Pitot — du
nom de son inenteur, l'ingénieur et
physicien français Henri Pitot
(1695-1771), pour mesurer la
pression résultant de l'air
l air en
mouvement, qui est une fonction
connue de sa vitesse.

Méthodes de mesure avec le tube de Pitot

(dans une conduite)
• méthode de mesure aux points de
pondération égale
r1 =0.31r
2 x -1 r2 =0.54r
0 54
rx = r r3 =0.7r
2N r4 =0.83r
r5 =0.94r
• r : rayon de la conduite
• rx: distance entre le centre de la
conduite et le point de mesure
• N : nombre de points de mesure sur un
rayon donné, x : 1, 2, ...N

ρ V2 HV :la pression de la vitesse mesurée (Pa)

HV = ρ :poids volumique de l'air (kg/m3)
2 V :vitesse de l'air (m/sec)

• Pour une conduite < 30 cm de diamètre, on fait 6 mesures sur deux axes perpendiculaires (12 mesures). Pour
une conduite > 45 cm de diamètre, on fait 10 mesures par axe sur deux axes perpendiculaires (20 mesures).
Pour une conduite entre 30 et 45 cm de diamètre, on fait 8 mesures, sur deux axes perpendiculaire
(16 mesures).j

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Anémomètres à fils chauds

• Anémomètres qui utilisent les

variations de température ou de
résistance subies par des fils
chauffés électriquement, ces
derniers perdent leurs chaleur
d'autant plus que la vitesse de l'air
est plus élevée
• Il est utile
il pour ddes débi
débits faibles
f ibl
0.05 m/sec à 0.5 m/sec (10 à 100 pi/min)
ou des débits moyens : 0.5 m/sec à
5 m/sec (100 à 1000 pi/min). Sa
précision varie entre 90-95%

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Le facteur K

•Un indice qui correspond à la

résistance des parois de la conduite
sur l’air (entre 2 points)
•Il inclut également les pertes par
chocs

Selon l’équation d’Atkinson qui permet

d’obtenir la perte de charge le long d’une
conduite (connaissant le facteur K) :

H = KLPV²
A
En isolant « K » on obtient la relation suivante :

HA
K=
LPV ²

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Où :
•K est le facteur K (Kg/m³)
•H est la perte de charge (Pa)
•A est la surface de la conduite (galerie) (m²)
•L est la distance entre les deux points de mesure (m)
•P est le périmètre de la section de la conduite
(galerie) (m)
•V est la vitesse de l’air (m /s)

1-La perte de charge H :

‹La perte de charge est déterminée à partir de
l’équation de Bernouilli (conservation de l’énergie
mécanique):

1 2

‹La somme des pressions au point 1 est égale à la

somme des pressions au point 2 plus les pertes :

HS1 + HZ1 + HV1 = HS2 + HZ2 + HV2 + Pertes

P t

‹HS1 et HS2 : énergies statiques

‹HZ1 et HZ2 : énergies potentielles

‹HV1 et HV2 : énergies cinétiques

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Sur le terrain, pour mesurer la perte

de pressions « H » entre 2 points. on
peut utiliser 2 méthodes :

1-La méthode directe

((différentielle))

2-La méthode indirecte (absolue)

La méthode directe :
• La différence de pression entre deux
points est mesurée directement à
l’aide d’un manomètre.
• 2 tubes provenant de 2
environnements différents sont
connectés au manomètre.
• La lecture sur le manomètre nous
donne la perte H ֜ La différence de
pression entre les 2 points.

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La méthode indirecte

• La perte de charge est

obtenue en comparant les
lectures sur 2
altimètres/baromètres situés
à 2 stations de mesure.
• 2 méthodes :
– Fixe
– En simultané

Fixe :
Une base de lecture est établie. On prend des lectures
simultanées aux stations de mesure est à la station fixe.
En simultané :
‹ Lire les mesures 2 4
simultanément sur les deux
altimètres placés aux deux 1 3
stations.
‹L’observateur situé à la station inférieure prend l’altimètre
et le transporte en passant la station supérieure pour
ll’emmener
emmener vers la prochaine station.
station
‹Ainsi, la station supérieure à la première étape deviendra la
station inférieure pour la prochaine section.
‹On répète cette procédure pour chaque station successive.
‹On appelle cette méthode « saute-mouton »

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•La différence de pression entre les deux points est

obtenue à partir de l’équation de Bernouilli transformée
qui tient compte des changements psychrométriques de
l’air (Ramani):
− ⎡(A2 − A1 )− (B2 − B1 )−
(Z 2 − Z1)⎤
⎢⎣ DR ⎥⎦ ρ (V22 −V12 )
H= +
FC 2

‹A2 et A1 : les deux lectures de l’altimètre en simultané

aux points 1 et 2 (m) (si on utilise la méthode « en
simultané »).
‹B2 et B1 : les lectures de la base en simultané avec les
stations 1 et 2 (si on utilise la méthode « fixe »).
).
‹Z2 et Z1 : les altitudes réelles des points 1 et 2 (m).
‹V2 et V1 : les vitesses de l’air aux points 1 et 2 (m/s).

‹DR : le rapport de densité que l’on détermine avec la

température sèche et la masse volumique de l’air.
‹FC : le facteur de correction qui permet de transformer
les valeurs en mètres d’air en Pascals.

DR et FC
DR (density ratio):
Normalise les valeurs d’altitude
aux mêmes conditions qu’à la
⎛ Pb ⎞
station
t ti ded mesure. ⎜⎜ 0 . 287 ( 273 + 10 ) ⎟⎟
DR = ⎝ ⎠
⎛ Pb − 0 . 378 p 'V ⎞
⎜⎜ 0 . 287 ( 273 + t ⎟⎟
⎝ S ⎠

H EAU × ρ EAU
FC (facteur de conversion): H AIR =
ρ AIR

Convertit les unités dd’altitude

altitude en FC = HAIR (m) / 9,807
pression (ex: mètres d’air en Pour obtenir des Pascals

pascal)

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La pression barométrique et les températures

sèche/humide :

Le h èt (ts ett th*)

L psychromètre

Le baromètre (Pb*) :

* Avec ces paramètres, on détermine la masse volumique de

l’air ambiant selon les propriétés psychrométriques de l’air.

Aire et le périmètre de la section de la galerie

(conduite)
•Gallon à mesurer

•Laser (théodolite)

•Photographie (numérisation)

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Laser (théodolite – station totale):

Photographie (numérisation) :

photographie

Numérisation - mise à l’échelle

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Distance entre 2 points :

•Gallon (chaîne) :
•Chaînage
g reliant les 2 ppoints

Distance entre 2 points :

Contrôleur laser de distance (télémètre laser):

FARO

: ± 9 μm

RIEGL
instrument : ±
Disto : ± 1,5 m OPTILOGIC 25 mm
:±1m

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Distance entre 2 points :

•Plans à l’échelle :
•Points de repère et situation sur les plans à l’échelle

Exemple – Détermination de facteurs

K dans une galerie minière
Endroit : la ggalerie du niveau 12 de la mine
Beaufor

La pression barométrique (altimètre - baromètre)

2. l’altitude en simultané (altimètre - baromètre)
3. la vitesse du vent (anémomètre électronique)
4. les températures sèche et humide (psychromètre)
5. Enfin, nous procédons à la prise des photos qui permettront de
déterminer l’aire de la section de la galerie à la station de
mesure.

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Galerie
analysée.
Mine
Beaufor
niveau 12.

Vue en plan de la
galerie étudiée

Prise de mesure « sur place »

Teempérature

Teempérature

ba rométriqu

utènement

uverture et
chaangement
Leecture des
Alttimètres

de surface
Vittesse de

Coourbure

bstacles
Gééologie
Pression

périté
l'aair (V)
disstance

umide
staation

Sècche

Sou

Asp
Hu

Ob

Ou
e

(-) (m) (pi) (°C) (°C) (Pa) (m/s) (-) (-) (-) (-) (-) (-)
A B A B A A B
2 accès
(0-1) 60 -410 -410 4 2 7 5 102 834 102 787 2,5 3,8 lisse droite fermés
station
Fils électriques.

(1-2) 38 -399 -397 4 4 5 5 102 782 102 784 3,8 2,8 Moyenne droite d'aiguillage
(2-3) 30 -398 -396 5 4 102 793 102 776 2,8 3,2 lisse droite aucun
grillage sur le toit et boulons

4 4
2 baies de
(3-4) 46 -396 -393 4 4 4 5 102 773 102 751 3,2 3 Moyenne droite sécurité
he

Tuyaux : 4'' et 6''. F

1 baie de
granodiorite fraîch

sécurité et 1
(4-5) 37 -389 -387 4 4 5 5 102 751 102 735 3 2,1 Moyenne légère accès fermé
(5-6) 40 -387 -384 4 4 5 5 102 737 102 729 2,1 3,1 Moyenne droite aucun
2 accès
(6-7) 47 -381 -378 4 4 5 5 102 721 102 702 3,1 2,3 Moyenne droite fermés
(7-8) 46 -382 -381 4 4 5 5 102 718 102 720 2,3 2 lisse légère aucun

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Aire et périmètre :
station Aire Périmètre

(-) (m²) (m)

0 6,9 9,9

1 5,4 9,3

2 6,5 9,9

3 6,1 9,7

4 6,1 9,7

5 60
6,0 10 5
10,5

6 6,2 9,9

7 6,5 10,0

8 5,8 9,3

Propriété de l’air :

Température
T é t Température
T é t P
Pression
i Densité
D ité de
d D ité de
Densité d
Sèche Humide barométrique l’air sec l’air humide Humidité
stations moyenne moyenne moyenne (rsec) Ps Ph Pu Pv’ W (r) relative (f)
(-) (°C) (°C) (Pa) (Kg/m³) (Pa) (Ppa) (Ppa) (Pa) (-) (Kg/m³) (%)

(0-1) 6 3 102 811 1,284 935 757 559 271 713 0,0034 1,284 59,78
(1-2) 5 4 102 783 1,288 872 813 747 271 640 0,00455 1,288 85,64
(2-3) 4,5 4 102 785 1,29 842 813 780 271 643 0,00475 1,29 92,62
(3-4) 4,5 4 102 762 1,29 842 813 780 271 584 0,00476 1,29 92,62
(4-5) 5 4 102 743 1,287 872 813 747 271 534 0,00455 1,287 85,64
(5-6) 5 4 102 733 1,287 872 813 747 271 507 0,00455 1,287 85,64
(6-7) 5 4 102 712 1,287 872 813 747 271 451 0,00456 1,287 85,64
(7 8)
(7-8) 5 4 102 719 1 287
1,287 872 813 747 271 470 0 00455
0,00455 1 287
1,287 85 64
85,64

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Perte de charge (H) :

Masse
Stations volumique Lecture des altimètres Élévations réelles Vitesse de l’air corrigée DR FC
(-) (Kg/m³) (m) (m) (m) (m) (m/s) (m/s) (-) (-)
(-) (ρ) A1 A2 Z1 Z2 VC1 VC2
(0-1) 1,284 -124,97 -124,97 2668,94 2668,96 2,59 3,94 0,983 0,0791
(1-2) 1,288 -121,62 -121,01 2668,96 2669,27 3,95 2,91 0,978 0,0788
(2-3) 1,29 -121,31 -120,7 2669,27 2669,66 2,91 3,33 0,976 0,0786
(3-4) 1,29 -120,7 -119,79 2669,66 2669,82 3,33 3,12 0,976 0,0787
(4-5) 1,287 -118,57 -117,96 2669,82 2670 3,11 2,18 0,978 0,0788
(5-6) 1,287 -117,96 -117,04 2670 2670,13 2,18 3,22 0,978 0,0788
(6-7) 1,287 -116,13 -115,21 2670,13 2670,18 3,22 2,39 0,978 0,0788
(7-8) 1,287 -116,43 -116,13 2670,18 2670,81 2,39 2,08 0,978 0,0788

Facteurs K :
Masse
Perte de Aire Périmètre Vitesse volumique Facteur K Facteur K
Stations charge moyen moyen Longueur moyenne de l’air spécifique normalisé
(-) (H) (A) (P) (L) (VC ) (r) (KS ) (KN)
(Kg/m³)
-4
(-) (Pa) (m²) (m) (m) (m/s) (Kg/m³) (Kg/m³) X 10
(0-1) 5,91 6,12 9,59 59,9 3,26 1,284 0,0059 55
(1-2) -8,37 5,93 9,58 37,8 3,43 1,288 0,0117 108
(2-3) -0,95 6,25 9,78 30,1 3,12 1,29 0,0021 19
(3-4) -10,42 6,07 9,67 46 3,22 1,29 0,0137 127
(4-5) -8,55 6,05 10,06 37 2,65 1,287 0,0198 184
(5-6) -6,36 6,1 10,19 39,5 2,7 1,287 0,0132 123
(6-7) -13,93 6,34 9,97 47 2,8 1,287 0,024 223
(7-8) 3,4 6,12 9,67 46,3 2,23 1,287 0,0093 86

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