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71,5% de
mineurs
66% de
collégiens
et lycéens
*Enquête « Conditions de vie et aspirations des Français », Paris, Credoc, n° 297, nov 2013
Régis Bigot et Patricia Croutte, « La diffusion des technologies de l’information et de la communication dans la société française »
Certains restent à l’écart de ces images
8% Contrôle parental
Besoin d’informations
Les jeunes cherchent des réponses à leurs
questions
11,3% déclarent être allés voir ces images parce qu’ils voulaient faire
quelque chose d’interdit
80,8%
Une activité non partagée ou alors
éventuellement entre pairs à l’adolescence
chez les garçons mais très rarement chez les
filles *
25% ont été éprouvés du dégoût 11% ont ressenti une grande violence
49,5% un baiser
une pénétration vaginale
40,5%
une fellation
17%
15% un cunnilingus
La pénétration anale citée à 11,4% par les garçons contre 4,7% des filles
L’éjaculation faciale plus citée par les garçons que par les filles (6% contre
1%)
5,5%
En rigolent
Les garçons voient moins la femme objet que les filles (46% vs 66%)
51,5% des filles ne relèvent pas ce côté dominateur chez l’homme dans
ces images: ce côté dominateur est-il attendu dans la sexualité ?
Des éducateurs, des personnes qui connaissent le sujet sont envisagés (23,4%)
Evoquer le sujet avec les parents est exclu (6%)
Les moyens préconisés sont des moyens anonymes comme Internet (49%) ou des
lieux de consultation confidentiels (40%)
Le téléphone est cité à 11%
Un accès indifférencié pour les deux sexes : 9/10 des garçons et 8/10 des filles
Diffusion avec accessibilité immédiate en tous lieux, à toute heure
Filles n’osent pas parler de ce phénomène alors que les garçons ont moins de
mal à en parler
Besoin de paroles
Bénédicte de Soultrait
benedictedesoultrait@orange.fr