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SOMMAIRE ANALYTIQUE
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textes généraux
Premier ministre
1 Arrêté du 4 décembre 2009 portant modification d'agrément d'une union ou d'une fédération au
titre du volontariat associatif
2 Arrêté du 16 décembre 2009 fixant les taux de promotion dans les corps des juridictions financières
pour les années 2009, 2010 et 2011
30 Arrêté du 30 novembre 2009 modifiant l'arrêté du 9 février 1998 fixant la liste des centres et instituts
dont les stages ou sessions ouvrent droit au congé pour formation syndicale des agents de la
fonction publique territoriale
31 Arrêté du 8 décembre 2009 autorisant au titre de l'année 2010 l'ouverture d'un examen professionnel
de technicien de classe exceptionnelle des systèmes d'information et de communication du
ministère de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales
32 Arrêté du 9 décembre 2009 fixant le montant de la prime de restructuration et de l'allocation d'aide
à la mobilité du conjoint dans le cadre de la réorganisation des services relevant de la direction
générale de la police nationale
33 Décision du 11 décembre 2009 modifiant la décision du 9 septembre 2009 portant délégation de
signature (direction centrale de la police judiciaire)
ministère de la défense
41 Décision du 7 décembre 2009 portant délégation de signature (direction centrale du service industriel
de l'aéronautique)
48 Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l'association d'organisations de producteurs CERAFEL du fait de l'extension des règles pour
les haricots demi-secs
49 Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l'association d'organisations de producteurs CERAFEL du fait de l'extension des règles pour
les brocolis
50 Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l'association d'organisations de producteurs CERAFEL du fait de l'extension des règles pour
les choux pommés
51 Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l'association d'organisations de producteurs CERAFEL du fait de l'extension des règles pour
les artichauts
52 Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l'association d'organisations de producteurs CERAFEL du fait de l'extension des règles pour
les échalotes
53 Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l'association d'organisations de producteurs CERAFEL du fait de l'extension des règles pour
les choux-fleurs
54 Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l'association d'organisations de producteurs CERAFEL du fait de l'extension des règles pour
les poireaux
55 Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l'association d'organisations de producteurs CERAFEL du fait de l'extension des règles pour
les laitues iceberg
56 Arrêté du 4 décembre 2009 portant extension d'un accord interprofessionnel conclu dans le cadre
du comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras
57 Arrêté du 7 décembre 2009 modifiant l'arrêté du 23 avril 2003 modifié portant approbation du
règlement du stud-book français du cheval islandais
58 Arrêté du 7 décembre 2009 modifiant l'arrêté du 13 août 2004 modifié portant approbation du
règlement du registre français du cheval Appaloosa
59 Arrêté du 8 décembre 2009 portant modification de l'arrêté du 22 janvier 2008 portant nomination
à la commission spécialisée de terminologie et de néologie instituée au ministère de l'agriculture
et de la pêche
60 Arrêté du 14 décembre 2009 fixant la date des élections des membres des bureaux des sections
régionales de la conchyliculture, représentant des diverses activités conchylicoles
mesures nominatives
conventions collectives
106 Décision du 23 novembre 2009 portant agrément d'une association de financement d'un parti ou
d'une organisation politique
107 Décisions du 30 novembre 2009 portant agrément d'associations de financement d'un parti ou d'une
organisation politique
108 Avis relatif à la révision des montants en euros servant au calcul des exigences minimales de marge
en assurance non-vie et des montants minimaux de fonds de garantie
109 Avis relatif à la révision des seuils de cotisations et sinistres servant à calculer la marge non-vie
des mutuelles, des institutions de prévoyance et de leurs unions
110 Avis relatif à la révision des montants en euros servant au calcul des montants minimaux de fonds
de garantie pour les entreprises de réassurance
Naturalisations et réintégrations
111 Décret du 15 décembre 2009 modificatif de décrets portant naturalisation, réintégration, mention
d'enfants mineurs bénéficiant de l'effet collectif attaché à l'acquisition de la nationalité française
par leurs parents et francisation de noms et de prénoms
En application du décret n° 2004-459 du 28 mai 2004, pris après avis de la CNIL, les actes
individuels relatifs à l'état et à la nationalité des personnes ne doivent pas faire l'objet d'une
publication sous forme électronique ; ces textes peuvent être consultés sur l'édition papier.
Informations parlementaires
Assemblée nationale
Sénat
Avis et communications
avis divers
Informations diverses
Annonces
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIER MINISTRE
Par arrêté du haut-commissaire à la jeunesse en date du 4 décembre 2009, l’Association nationale des
compagnons bâtisseurs, dont le siège social est situé 216, route de Lorient, BP 42037, 35920 Rennes Cedex,
est agréée au titre du volontariat associatif à compter du 1er janvier 2010 et jusqu’au 31 décembre 2010.
L’arrêté est consultable auprès du service du haut-commissaire à la jeunesse, direction de la jeunesse, de
l’éducation populaire et de la vie associative.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIER MINISTRE
Le Premier ministre,
Vu la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction
publique de l’Etat ;
Vu le décret no 94-1016 du 18 novembre 1994 modifié fixant les dispositions statutaires communes
applicables à divers corps de fonctionnaires de la catégorie B ;
Vu le décret no 94-1017 du 18 novembre 1994 modifié fixant les dispositions statutaires communes
applicables aux corps des secrétaires administratifs des administrations de l’Etat et à certains corps analogues ;
Vu le décret no 2005-1090 du 1er septembre 2005 relatif à l’avancement de grade dans les corps des
administrations de l’Etat ;
Vu le décret no 2006-1760 du 23 décembre 2006 modifié relatif aux dispositions communes applicables aux
corps d’adjoints administratifs des administrations de l’Etat ;
Vu le décret no 2006-1761 du 23 décembre 2006 modifié relatif aux dispositions statutaires communes
applicables aux corps d’adjoints techniques des administrations de l’Etat ;
Vu le décret no 2008-94 du 30 janvier 2008 portant dispositions statutaires applicables au corps des attachés
d’administration des juridictions financières ;
Vu l’avis conforme du ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de
l’Etat en date du 10 décembre 2009,
Arrête :
Art. 1 . − Les taux de promotion permettant de déterminer le nombre maximum des avancements de grade
er
pouvant être prononcés au titre des années 2009, 2010 et 2011 dans les corps des juridictions financières en
application du décret du 1er septembre 2005 susvisé figurent en annexe au présent arrêté.
Art. 2. − Le premier président de la Cour des comptes est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera
publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 16 décembre 2009.
Pour le Premier ministre et par délégation :
Le secrétaire général du Gouvernement,
SERGE LASVIGNES
A N N E X E
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TEXTES GÉNÉRAUX
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la
mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat,
Vu le code de l’environnement, notamment le chapitre II du titre III du livre III et les articles L. 341-1 à
L. 341-2, L. 414-1 à L. 414-7, L. 581-4, R. 341-1 à R. 341-15 et R. 414-1 à R. 414-23 ;
Vu le décret du 16 décembre 1968 classant parmi les sites des étangs girondins : Carcans, Hourtin et
Lacanau, et des étangs landais : Léon, Blanc, Noir et Yrieux ;
Vu le décret du 29 septembre 1983 portant classement parmi les sites du département de la Gironde du site
des rives des étangs de Carcans et d’Hourtin ;
Vu l’arrêté du 5 octobre 1967 portant inscription sur l’inventaire des sites pittoresques du département de la
Gironde de l’ensemble formé sur les communes de Hourtin, Carcans, Lacanau et Le Porge par les étangs de
Hourtin, Carcans, Lacanau, Cousseau, Batejin, Batourtot, Lède Basse, Loncru et leurs abords ;
Vu l’arrêté du préfet de la Gironde en date du 7 novembre 2007 prescrivant l’ouverture de l’enquête
publique ;
Vu la saisine des propriétaires privés en date du 20 novembre 2007 ;
Vu la saisine du conseil régional d’Aquitaine en date du 20 novembre 2007 ;
Vu les saisines des conseils municipaux de Hourtin et de Naujac-sur-Mer en date du 20 novembre 2007 ;
Vu les saisines des communautés de communes des Lacs médocains et de la Pointe du Médoc en date du
20 novembre 2007 ;
Vu la saisine du syndicat mixte du pays Médoc en date du 20 novembre 2007 ;
Vu le dossier de l’enquête publique, notamment le rapport et les conclusions du commissaire-enquêteur en
date du 21 janvier 2008 ;
Vu l’avis du conseil général de la Gironde en date du 28 janvier 2008 ;
Vu l’avis de l’Office national des forêts en date du 15 janvier 2008 ;
Vu l’avis de la commission départementale de la nature, des paysages et des sites de la Gironde en date du
4 mars 2008 ;
Vu le rapport et l’avis du préfet de la Gironde en date du 17 mars 2008 ;
Vu les avis du Conseil national de protection de la nature en date des 19 décembre 2006, 26 juin 2007 et
21 octobre 2008 ;
Vu les accords et avis des ministres intéressés,
Décrète :
Art. 1 . − Sont classées en réserve naturelle nationale, sous la dénomination « réserve naturelle nationale
er
des dunes et marais d’Hourtin » (Gironde), les parcelles cadastrales suivantes, identifiées par les références des
documents cadastraux disponibles en juin 2006, en totalité ou pour partie (pp en abrégé) :
Commune d’Hourtin
Section AB : parcelles nos 117, 118, 127 pp, 128 à 132, 165 pp, 168 pp, 172 pp, 175 pp ;
Section AC : parcelles nos 1 à 34, 35 pp, 37, 94 à 96, 102, 133 ;
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Commune de Naujac-sur-Mer
Section BP : parcelle no 165.
Sont également classés en réserve naturelle nationale :
1o La partie du domaine public maritime située au droit des parcelles nos 1 et 72 de la section BP et no 1 de
la section BO de la commune d’Hourtin et délimitée à l’ouest par la limite formée par les points de
coordonnées géographiques suivantes :
Point 1 : 45o 12챃 56,05앨 de latitude nord, 1o 10챃 31,77앨 de longitude ouest ;
Point 2 : 45o 10챃 55,81앨 de latitude nord, 1o 10챃 49,06앨 de longitude ouest ;
2o Les cours d’eau et fossés ainsi que les chemins ruraux et privés non cadastrés, inclus dans le périmètre de
la réserve tel que figurant sur les plans annexés au présent décret.
La superficie totale de la réserve est d’environ 2 150 hectares.
Les parcelles ou parties de parcelles et emprises constituant le périmètre de la réserve sont reportées sur les
cartes au 1/150 000 et 1/23 000 et sur les plans cadastraux au 1/10 000 annexés au présent décret. Ces pièces
peuvent être consultées à la préfecture de Gironde.
Art. 2. − Sont classées en zones de protection intégrale pour une superficie totale d’environ 116 ha les
parcelles et parties de parcelles suivantes :
Commune d’Hourtin
Section BO : parcelles nos 1 pp, 63 pp, 64 pp, 74 pp, 75 pp, 97 pp, 102 pp, 103, 109, 110 pp ;
Section BP : parcelles nos 61 pp, 62 pp, 72 pp, 78 pp, 145 pp, 206 pp, 227 pp, 229 pp.
Les périmètres ainsi définis sont reportés sur les cartes au 1/23 000 visées à l’article 1er.
Art. 3. − La gestion de la réserve est organisée par le préfet dans les conditions prévues par les articles
R. 332-15 à R. 332-22 du code de l’environnement.
Art. 4. − I. – Il est interdit sur tout le territoire de la réserve :
1o D’introduire des animaux d’espèces domestiques ou non, quel que soit leur stade de développement, sauf
autorisation délivrée par le préfet après avis du conseil scientifique de la réserve ;
2o De troubler ou de déranger les animaux d’espèces non domestiques par quelque moyen que ce soit, sauf
autorisation délivrée par le préfet à des fins scientifiques, sanitaires ou de sécurité après avis du conseil
scientifique de la réserve.
II. – Les interdictions prévues au I ne s’appliquent pas aux opérations de police, de secours ou de sauvetage,
ni aux activités et opérations autorisées par le présent décret ou en application de ses dispositions dans la
stricte mesure nécessaire à leur exercice ou déroulement.
Les animaux dont l’introduction dans la réserve est autorisée dans ce cadre ne peuvent y circuler que tenus
en laisse, à l’exception de ceux participant à l’exercice de la chasse ou aux opérations de police, de secours ou
de sauvetage.
III. – Sous réserve des activités autorisées par les articles 6 et 9, il est interdit de porter atteinte de quelque
manière que ce soit aux animaux d’espèces non domestiques, quel que soit leur stade de développement, ainsi
qu’à leurs nids ou de les emporter en dehors de la réserve, sauf autorisation délivrée par le préfet à des fins
scientifiques, sanitaires ou de sécurité après avis du conseil scientifique de la réserve.
Art. 5. − I. – Il est interdit :
1o D’introduire dans la réserve tous végétaux sous quelque forme que ce soit, sauf autorisation délivrée par
le préfet à des fins scientifiques après avis du conseil scientifique de la réserve ;
2o De porter atteinte de quelque manière que ce soit aux végétaux ou de les emporter en dehors de la
réserve, sauf à des fins de gestion de la réserve ou sauf autorisation délivrée par le préfet à des fins
scientifiques après avis du conseil scientifique de la réserve.
II. – Toutefois, ces dispositions ne s’appliquent pas :
1o Aux activités forestières prévues à l’article 12 ;
2o Au ramassage des champignons comestibles et des baies sauvages, à des fins de consommation familiale,
sur les parcelles et parties de parcelles suivantes de la commune d’Hourtin :
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Section BP : parcelles nos 147 à 148, 149 pp, 152 pp, 153 pp, 155 pp, 162 à 167, 176 pp, 204, 205 pp,
271 pp, 272.
Le périmètre ainsi défini est reporté sur les cartes au 1/23 000 visées à l’article 1er.
Art. 6. − Le préfet peut prendre toutes mesures compatibles avec le plan de gestion, après avis du conseil
scientifique de la réserve, en vue d’assurer :
– la conservation d’espèces animales ou végétales ;
– la limitation de populations d’animaux ou de végétaux envahissants.
Art. 7. − Il est interdit sur tout le territoire de la réserve :
1o D’abandonner, de déposer ou de jeter tout produit ou objet, de quelque nature que ce soit, pouvant nuire à
la qualité de l’eau, de l’air, du sol, du sous-sol, du site ou à l’intégrité de la faune et de la flore ;
2o D’abandonner, de déposer ou de jeter des détritus de quelque nature que ce soit en dehors des lieux
spécialement prévus à cet effet ;
3o De troubler la tranquillité des lieux en utilisant volontairement un instrument sonore, un engin bruyant ou
pyrotechnique excepté dans le cadre des activités et opérations autorisées par le présent décret ou en
application de ses dispositions, dans la stricte mesure nécessaire à leur exercice ou déroulement ;
4o D’allumer et d’utiliser du feu, sauf autorisation du préfet délivrée à des fins de gestion de la réserve ;
5o De faire des inscriptions autres que celles qui sont nécessaires à la sécurité, à l’information du public, à la
signalisation de la réserve, aux délimitations foncières ainsi qu’aux marquages forestiers ;
6o D’utiliser des jeux ou engins de plage et de loisirs susceptibles de déranger la faune, et notamment les
engins utilisant l’énergie éolienne de type cerf-volant, kite surf et parapente ascensionnel.
Art. 8. − I. – Les travaux publics ou privés susceptibles de modifier l’état ou l’aspect de la réserve sont
interdits, sauf s’ils sont réalisés dans les conditions prévues aux articles L. 332-9 et R. 332-23 à R. 332-26 du
code de l’environnement.
II. – L’installation de mobiliers ou d’équipements de restauration, de loisirs ou de sport est interdite.
Lorsqu’ils sont liés à la gestion de la réserve, les aménagements destinés à l’accueil du public ou aux actions
pédagogiques de découverte du milieu naturel peuvent néanmoins être réalisés dans les conditions prévues au I.
Art. 9. − La chasse au gibier de passage et aux oiseaux d’eau est interdite, sauf sur les parcelles et parties
de parcelles suivantes de la commune d’Hourtin :
Section AC : parcelle no 35 pp ;
Section BO : parcelles nos 2 à 59, 67 à 70, 82 à 93, 94 pp, 95 pp, 99 pp, 100 pp, 104, 105 pp, 111, 124, 133
à 136 ;
Section BP : parcelles nos 37, 47, 49 à 58, 248.
Les périmètres ainsi définis sont reportés sur les cartes au 1/23 000 visées à l’article 1er.
La chasse au petit gibier sédentaire est interdite.
La chasse au grand gibier est réglementée par les textes en vigueur dans le cadre de l’exécution des plans de
chasse par propriété.
Art. 10. − La pêche est interdite, sauf autorisation délivrée à des fins scientifiques par le préfet après avis
du conseil scientifique de la réserve.
Toutefois, la pêche en mer depuis l’estran peut être autorisée par le préfet après avis du conseil scientifique
de la réserve.
Art. 11. − I. – Les activités artisanales ou commerciales sont interdites.
II. – Cette interdiction ne s’applique pas :
1o Aux activités forestières visées à l’article 12 ;
2o Aux activités commerciales liées à l’animation de la réserve et réalisées par le gestionnaire conformément
au plan de gestion de la réserve, notamment les activités de découverte du milieu et de sensibilisation à
l’environnement.
III. – L’utilisation à des fins publicitaires de toute expression évoquant directement ou indirectement la
réserve est soumise à autorisation du préfet.
Art. 12. − I. – La gestion et l’exploitation forestières sont autorisées.
II. – Toutefois, ces activités sont interdites :
1o Dans les zones de protection intégrale définies à l’article 2 du présent décret ;
2o Dans les parcelles cadastrées suivantes, sur lesquelles des opérations de restauration et d’entretien des
milieux humides prévues par le plan de gestion de la réserve ou autorisées par le préfet après avis du conseil
scientifique de la réserve peuvent néanmoins être réalisées :
Commune d’Hourtin
Section AB : parcelles nos 128 à 132 ;
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Section AC : parcelles nos 2 à 35, 37, 94, 95, 96, 102, 133 ;
Section BP : parcelles nos 159, 160.
Commune de Naujac-sur-Mer
Section BP : parcelles n 165.
o
Le périmètre ainsi défini est reporté sur les cartes au 1/23 000 visées à l’article 1er.
Art. 13. − I. – La circulation des piétons est interdite, sauf sur l’estran, sur les itinéraires identifiés au plan
de gestion de la réserve et balisés à cet effet et sur la route des Phares.
II. – Cette interdiction ne s’applique pas :
– aux activités et opérations autorisées par le présent décret ou en application de ses dispositions, dans la
stricte mesure nécessaire à leur exercice ou déroulement ;
– aux personnes qui participent à des missions de police, de secours ou de sauvetage.
Art. 14. − I. – Le bivouac et le campement sous tente, dans un véhicule ou dans tout autre abri sont
interdits.
Cette interdiction ne s’applique pas aux opérations de suivi scientifique réalisées sous la responsabilité du
gestionnaire dans le cadre de la mise en œuvre du plan de gestion de la réserve ou réalisées après autorisation
du préfet délivrée après avis du conseil scientifique de la réserve.
II. – Le pique-nique est toléré, sous réserve d’être pratiqué sans mobilier ni structure démontable,
notamment chaises, tables, bancs et tentes.
Art. 15. − I. – Les manifestations sportives ou culturelles sont interdites, à l’exception des manifestations
non motorisées utilisant :
– les pistes cyclables ;
– la route forestière dénommée route des Phares pendant la période prévue au 1o du II de l’article 16.
II. – La réalisation de reportages photographiques ou cinématographiques peut être autorisée par le préfet
après avis du gestionnaire.
Art. 16. − I. – La circulation des véhicules à moteurs est interdite.
II. – Toutefois, cette interdiction ne s’applique pas :
1o Sur la route des Phares, pendant la période autorisée à la circulation ;
2o En dehors des zones de protection intégrale définies à l’article 2, aux engins et véhicules utilisés dans le
cadre des activités autorisées par l’article 12 du présent décret ;
3o Aux véhicules utilisés :
– pour les opérations de police, de secours ou de sauvetage et les opérations effectuées par les agents des
services publics dans l’exercice de leur mission ;
– pour les activités d’entretien, de gestion et de surveillance de la réserve ;
– par les propriétaires ou leurs ayants droit circulant ou faisant circuler des véhicules à des fins privées sur
des terrains leur appartenant.
Art. 17. − I. – Sur la partie lacustre de la réserve, la navigation des embarcations et autres engins flottants,
à moteur ou non, est interdite.
Cette interdiction ne s’applique pas aux embarcations utilisées pour des missions de secours, de sauvetage ou
de police, ou pour l’entretien, la gestion et la surveillance de la réserve.
II. – Sur la partie marine de la réserve, la navigation des embarcations et autres engins flottants, à moteur ou
non, s’effectue conformément à la réglementation en vigueur.
Art. 18. − I. – La circulation des bicyclettes ou autres véhicules sans moteur est interdite, sauf sur les
pistes cyclables et la route des Phares.
II. – Cette interdiction ne s’applique pas aux véhicules utilisés pour des missions de secours, de sauvetage
ou de police, et pour l’entretien, la gestion et la surveillance de la réserve.
Art. 19. − La randonnée équestre est interdite, sauf sur la route des Phares et les garde-feux identifiés au
plan de gestion de la réserve et balisés à cet effet.
Art. 20. − I. – Il est interdit à tous aéronefs de survoler la réserve à une hauteur inférieure à 300 mètres
au-dessus du sol.
II. – Cette interdiction n’est pas applicable aux aéronefs utilisés dans le cadre de missions de police, de
secours ou de sauvetage, aux aéronefs en vol d’essais ou de réception, aux aéronefs d’Etat en nécessité absolue
de service, ainsi qu’aux aéronefs en missions scientifiques ou de gestion de la réserve.
Art. 21. − Les dispositions du 1o du I de l’article 4, en tant qu’elles concernent les chiens, du 2o du I de ce
même article, du II du même article, du 2o du I de l’article 5, des 1o à 5o de l’article 7, du II de l’article 8 en
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 156
tant qu’elles concernent le mobilier et les équipements de restauration, de l’article 13, de l’article 14 et des
articles 16 et 18 ne s’appliquent pas sur les terrains relevant du domaine de la défense situés dans les parcelles
nos 193 et 194 de la section BP de la commune d’Hourtin.
Art. 22. − Jusqu’à l’approbation du plan de gestion de la réserve par le préfet, celui-ci peut prendre toute
mesure qui s’avérerait nécessaire à la protection des intérêts que le classement a pour objet d’assurer, après
avis du conseil scientifique de la réserve.
Art. 23. − Le ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer,
en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, et la secrétaire d’Etat chargée de l’écologie
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel
de la République française.
Fait à Paris, le 15 décembre 2009.
FRANÇOIS FILLON
Par le Premier ministre :
Le ministre d’Etat, ministre de l’écologie,
de l’énergie, du développement durable et de la mer,
en charge des technologies vertes
et des négociations sur le climat,
JEAN-LOUIS BORLOO
La secrétaire d’Etat
chargée de l’écologie,
CHANTAL JOUANNO
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 21 octobre 2009 modifiant et complétant l’arrêté du 28 août 2007 fixant les principes
de calcul de la contribution mentionnée aux articles 4 et 18 de la loi no 2000-108 du
10 février 2000 relative à la modernisation et au développement du service public de
l’électricité
NOR : DEVE0921644A
Arrêtent :
Art. 1er. − Le premier alinéa de l’article 6 de l’arrêté du 28 août 2007 susvisé est ainsi rédigé :
« Lorsque la puissance de raccordement demandée par l’utilisateur est inférieure ou égale à 12 kVA en
monophasé ou à 36 kVA en triphasé et lorsque la distance au poste de distribution HTA/BT le plus proche est
inférieure ou égale à 250 mètres selon un tracé techniquement et administrativement réalisable, en conformité
avec les dispositions du cahier des charges de la concession ou du règlement de service de la régie, les
montants C et P des contributions pour l’extension et le branchement d’une opération de raccordement en basse
tension sont calculés au moyen des formules suivantes : ».
Art. 2. − L’article 9 de l’arrêté du 28 août 2007 susvisé est complété par un alinéa ainsi rédigé :
« Sous réserve du respect des dispositions du dernier alinéa de l’article 3 de l’arrêté du 17 juillet 2008, les
barèmes ultérieurs s’appliquent aux demandes de raccordement dont la date d’émission de la proposition
technique et financière est postérieure à la date d’entrée en vigueur du barème. Ils entrent en vigueur dans les
conditions fixées au deuxième alinéa. »
Art. 3. − Le directeur général de l’énergie et du climat est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera
publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 21 octobre 2009.
Le ministre d’Etat, ministre de l’écologie,
de l’énergie, du développement durable et de la mer,
en charge des technologies vertes
et des négociations sur le climat,
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur de l’énergie,
P.-M. ABADIE
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 156
La ministre de l’économie,
de l’industrie et de l’emploi,
Pour la ministre et par délégation :
Le chef du service de la régulation
et de la sécurité,
F. AMAND
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TEXTES GÉNÉRAUX
est approuvé.
Art. 2. − Le programme pluriannuel de mesures du bassin Loire-Bretagne est arrêté.
Art. 3. − La déclaration environnementale prévue à l’article L. 122-10 du code de l’environnement est
annexée au présent arrêté.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 156
Art. 4. − Le SDAGE et ses documents d’accompagnement ainsi que le programme de mesures du bassin
Loire-Bretagne sont consultables sur le site internet www.eau-loire-bretagne.fr du Comité de bassin Loire-
Bretagne. Ils sont tenus à la disposition du public au siège du Comité de bassin domicilié à l’agence de l’eau
Loire-Bretagne, avenue Buffon, BP 6339, 45063 Orléans Cedex 2, ainsi que dans les préfectures des
départements :
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 156
Art. 5. − L’arrêté du 26 juillet 1996 portant approbation du schéma directeur d’aménagement et de gestion
des eaux du bassin Loire-Bretagne est abrogé.
Art. 6. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française, dans un journal de
diffusion nationale et dans un ou plusieurs journaux régionaux ou locaux diffusés dans la circonscription du
bassin Loire-Bretagne.
Art. 7. − Les préfets de région et de département du bassin Loire-Bretagne et le directeur régional de
l’environnement de la région Centre, délégué de bassin, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l’exécution du présent arrêté.
Fait à Orléans, le 18 novembre 2009.
B. FRAGNEAU
ANNEXE
DOCUMENT D’ACCOMPAGNEMENT DU SDAGE
Déclaration environnementale
Loi no 2004-338 du 21 avril 2004
Directive 2000/60/CE du Parlement européen et du Conseil du 23 octobre 2000 établissant un cadre pour une
politique communautaire dans le domaine de l’eau
Introduction :
L’objet de la présente déclaration environnementale est de présenter :
– la manière dont il a été tenu compte du rapport d’évaluation environnementale et des consultations
auxquelles il a été procédé ;
– les motifs qui ont fondé les choix opérés par le SDAGE, compte tenu des diverses solutions
envisagées ;
– les mesures destinées à évaluer les incidences sur l’environnement de la mise en œuvre du SDAGE.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 156
Une première consultation portant sur les questions importantes et le programme de travail a été menée
auprès des assemblées locales puis du public. La consultation des assemblées locales qui s’est déroulée de
septembre à décembre 2004, a permis de recueillir 141 avis et 800 remarques. La consultation du public qui
s’est déroulée du 2 mai au 2 novembre 2005 a permis de recueillir 21 000 avis.
De par sa composition, le comité de bassin permet d’associer les représentants de tous les acteurs de la
gestion de l’eau à l’élaboration du SDAGE. Cette organisation répond à l’attente de la directive cadre sur l’eau
de participation active de toutes les parties concernées. Le projet de SDAGE s’est structuré puis a été
progressivement affiné au cours de très nombreuses réunions d’échanges et de concertation à différentes
échelles (bassin ou locale) et dans différentes configurations (commissions du comité de bassin, réunions
thématiques, réunions par groupe d’acteurs...).
Le projet de SDAGE, accompagné du rapport d’évaluation environnementale, a été adopté par le comité de
bassin à la fin de l’année 2007.
Le public a été consulté sur ce projet du 15 avril au 15 octobre 2008. Il a été informé principalement au
travers de la distribution d’un questionnaire dans toutes les boîtes aux lettres du bassin (6 millions de
questionnaires diffusés) accompagnée de multiples actions de communication. Cette opération de grande
ampleur a permis de réunir 85 000 avis, 123 contributions collectives et plusieurs pétitions dont une avec plus
de 5 000 signatures.
La consultation des assemblées locales a eu lieu du 10 janvier au 11 mai 2009. Sur 294 assemblées
consultées, 154 ont exprimé un avis. Le Comité national de l’eau et le Conseil supérieur de l’énergie ont
également été saisis du projet de SDAGE.
Le SDAGE a été adopté par le comité de bassin le 15 octobre 2009.
Dispositions prises pour l’information du public et des acteurs :
En dehors des périodes de consultation, l’information du public a été faite au fur et à mesure de
l’avancement des travaux au moyen du site internet www.eau-loire-bretagne.fr, des diverses publications de
l’agence de l’eau ainsi qu’à l’occasion des manifestations qu’elle organise ou auxquelles elle participe.
Les acteurs de l’eau ont été associés à l’élaboration de ces documents au travers des réunions du comité de
bassin, des six commissions territoriales du bassin (une à deux fois par an) ainsi que des nombreuses réunions
de concertation organisées avec les commissions locales de l’eau qui élaborent les schémas d’aménagement et
de gestion de l’eau (SAGE), les services des collectivités, les chambres consulaires, les associations.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 156
Les habitants du bassin témoignent aussi de leur vigilance sur la nature et la cohérence des actions à mettre
en œuvre afin que l’effort supplémentaire soit bien réparti et porteur d’une réelle efficacité.
La consultation des assemblées :
Les avis exprimés sont très partagés. Ainsi certains estiment que les objectifs fixés ne sont pas atteignables
alors que d’autres trouvent que le projet présenté manque d’ambition.
La principale orientation qui ressort est de s’assurer du réalisme des actions envisagées tant pour
l’acceptabilité de leur coût que pour la faisabilité du délai de mise en œuvre et de veiller à ne pas remettre en
cause certains usages ou activités par des mesures trop contraignantes. La demande de possibilités d’adaptation
aux conditions locales est souvent exprimée.
Le manque de lisibilité des documents est souvent évoqué.
Le SDAGE est principalement composé des objectifs environnementaux affectés à chaque masse d’eau et des
orientations et dispositions nécessaires pour atteindre ces objectifs.
Le choix central est ainsi constitué par la proportion de masses d’eau devant atteindre le bon état dès 2015.
Les caractéristiques du bassin (notamment les altérations liées à l’activité humaine) constituent de sérieuses
entraves à l’atteinte du bon état des eaux dès 2015 sur toutes les masses d’eau. Il a ainsi fallu tenir compte
pour chaque masse d’eau des contraintes naturelles, techniques et économiques.
L’ensemble de ces conditions avait conduit à retenir, dans le projet de 2007, un ratio de 45 % de masses
d’eau en bon état écologique d’ici 2015. L’ambition globale a été augmentée significativement dans la version
finale puisque ce pourcentage est porté à 61 %. Cette évolution est due à deux facteurs convergents qui sont,
d’une part, la volonté exprimée par le public d’aller plus loin dans la reconquête de la qualité des eaux et,
d’autre part, l’ambition nationale affichée dans le Grenelle de l’environnement que deux tiers des masses d’eau
soient en bon état dès 2015.
La rédaction des orientations et dispositions est le fruit d’un processus continu d’élaboration au sein des
différentes commissions du comité de bassin, composé de multiples choix, sans que l’on puisse à proprement
parler de variantes. Cette rédaction est menée en cohérence avec les objectifs retenus. Le poids des altérations
liées à l’hydromorphologie et aux pollutions diffuses explique ainsi la part importante prise par ces thématiques
dans le SDAGE (chapitres 1, 2, 3, 4, 6, 7, 9, 10.)
Les évolutions de rédaction portant sur les dispositions ont été nombreuses ; parmi les plus significatives on
peut notamment retenir :
– la création d’un système de gestion quantitative plus gradué qui a été choisi car il permet de mieux
adapter les contraintes pesant sur les usages en fonction de la nature et de l’acuité du problème ;
– la modification de la disposition relative au Marais poitevin ; la nouvelle rédaction a été validée par
l’ensemble des acteurs locaux réunis au sein de la commission de coordination des 3 SAGE. Cet accord
local est un des arguments qui a fondé le choix du comité de bassin, il est en effet une garantie pour la
mise en œuvre effective des actions d’amélioration de la gestion de l’eau ;
– l’introduction d’une nouvelle disposition prévoyant l’élaboration d’un programme d’actions de réduction
des pesticides dans chaque Sage en lien avec les dispositions du Grenelle pour réduire l’usage des
pesticides ;
– l’actualisation de la liste des captages prioritaires en lien avec la liste nationale issue du Grenelle. Les
actions correspondantes ont été intégrées dans le programme de mesures dont notamment le recours à
l’agriculture biologique ou à bas niveau d’intrants ;
– les précisions apportées sur la disposition relative aux marées vertes en raison des conséquences
potentielles fortes sur les acteurs économiques. Ainsi la carte des sites de marées vertes a été ajoutée, le
développement du phytoplancton a été clairement différencié du développement des ulves et la liste des
bassins versants pour lesquels il est nécessaire de réduire les flux de nitrates d’au moins 30 % a évolué
pour ne retenir que ceux pour lesquels il est incontestable que la réduction des flux de nitrates aura un
impact.
Comme souhaité par l’autorité environnementale, le plan anguille et les autres textes réglementaires
nouveaux ont été intégrés, ce qui a par exemple amené à des compléments sur la carte des axes migrateurs. Les
incertitudes liées à l’incidence concrète du changement climatique sur le bassin n’ont pas permis d’apporter
d’éléments plus opérationnels que ceux déjà présents dans le projet.
Par ailleurs des dispositions importantes ont été confirmées dans leur rédaction initiale. Il s’agit notamment
de celles portant sur la prévention des apports de phosphore diffus ou sur la mise en place de cultures
intermédiaires pièges à nitrates. Elles ont semblé indispensables pour atteindre les objectifs de qualité des
milieux naturels.
Enfin un certain nombre de modifications ont été faites pour améliorer la lisibilité du document. Le chapitre 9
relatif aux poissons migrateurs a par exemple été réorganisé dans ce but.
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TEXTES GÉNÉRAUX
est approuvé.
Art. 2. − Le programme pluriannuel de mesures du bassin Artois-Picardie est arrêté.
Art. 3. − La déclaration environnementale prévue à l’article L. 122-10 du code de l’environnement est
annexée au présent arrêté.
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Art. 4. − Le SDAGE et ses documents d’accompagnement ainsi que le programme de mesures du bassin
Artois-Picardie sont consultables sur le site internet www.eau-artois-picardie.fr du Comité de bassin Artois-
Picardie. Ils sont tenus à la disposition du public au siège du comité de bassin domicilié à l’Agence de l’eau
Artois-Picardie, 200, rue Marceline, 59508 Douai, ainsi que dans les préfectures de l’Aisne, 2, rue Paul-
Doumer, 02000 Laon ; du Nord, 12/14, rue Jean-Sans-Peur, 59039 Lille Cedex ; de l’Oise, 1, place de la
Préfecture, 60000 Beauvais ; du Pas-de-Calais, rue Ferdinand-Buisson, 62020 Arras Cedex, et de la Somme,
51, rue de la République, 80020 Amiens Cedex.
Art. 5. − L’arrêté du 20 décembre 1996 portant approbation du schéma directeur d’aménagement et de
gestion des eaux du bassin Artois-Picardie est abrogé.
Art. 6. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française, dans un journal de
diffusion nationale et dans un ou plusieurs journaux régionaux ou locaux diffusés dans la circonscription du
bassin Artois-Picardie.
Art. 7. − Les préfets de région et de département du bassin Artois-Picardie et le directeur régional de
l’environnement, de l’aménagement et du logement du Nord - Pas-de-Calais, délégué de bassin, sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.
Fait à Lille, le 20 novembre 2009.
J.-M. BÉRARD
ANNEXE
DÉCLARATION ENVIRONNEMENTALE DU SDAGE ET DU PROGRAMME DE MESURES DES DISTRICTS
HYDROGRAPHIQUES « ESCAUT, SOMME ET CÔTIERS MANCHE MER DU NORD » ET « MEUSE »
(PARTIES FRANÇAISES)
L’évaluation environnementale
Les articles L. 122-4 à L. 122-11 du code de l’environnement, précisés par les articles R. 122-17 à R. 122-21
du même code, fixent les conditions de réalisation de l’évaluation environnementale des plans et programmes
susceptibles d’avoir des incidences notables sur l’environnement et qui fixent le cadre de décisions ultérieures
d’aménagements et d’ouvrages. Le SDAGE est concerné par cette évaluation.
Le SDAGE du bassin Artois-Picardie a établi un rapport d’évaluation environnementale en janvier 2008 et a
reçu l’avis du préfet le 18 mars 2008. Ce rapport a accompagné la consultation du public.
L’article L. 122-10 du code de l’environnement définit les documents devant être mis à la disposition du
public après l’approbation du SDAGE et du programme de mesures. Il s’agit :
– des documents SDAGE et du programme de mesures ;
– de la déclaration résumant la manière dont il a été tenu compte du rapport d’évaluation environnementale
et des consultations auxquelles il a été procédé, les motifs qui ont fondé les choix opérés et les mesures
destinées à évaluer les incidences sur l’environnement de la mise en œuvre du SDAGE et du programme
de mesures.
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Par ailleurs, l’évaluateur, qui a travaillé au cours de l’élaboration du projet de SDAGE, a mis en évidence
certaines lacunes ou insuffisances de prise en compte des enjeux dans la rédaction du SDAGE. Cela a permis
d’intégrer dans la dernière version du SDAGE les modifications et ajouts proposés.
Le programme de mesures, désormais complémentaire au SDAGE, arrête la liste des actions indispensables à
réaliser pour atteindre les objectifs environnementaux du SDAGE. Il renforce ainsi le caractère opérationnel du
document de planification que constitue le SDAGE.
Sur ce constat, le préfet coordonnateur de bassin a rendu un avis qui est disponible sur le site internet de
l’Agence de l’eau Artois-Picardie : www.eau-artois-picardie.fr.
Il note que le rapport environnemental présenté par le comité de bassin est conforme aux dispositions du
code de l’environnement. Il estime que les informations et recommandations contenues dans ce rapport sont
pertinentes.
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A l’inverse, les collectivités et les chambres consulaires soulignent la nécessité d’un accompagnement
financier autour des objectifs et des actions qu’ils approuvent par ailleurs.
Parallèlement à ces consultations « de bassin », deux institutions ont fait l’objet de présentations au niveau
national. Il s’agit du Conseil supérieur de l’énergie (CSE) et du Conseil national de l’eau (CNE).
Le CSE souhaite des approches coûts/bénéfices pour les masses d’eau concernées par les futurs classements
des cours d’eau. Il souhaite également la recherche de développements hydroélectriques susceptibles de
compenser les pertes de capacités liées à l’intégration des contraintes du milieu.
L’avis du CNE reprend les éléments relatifs à la gouvernance identiques à ceux formulés au niveau du
bassin, à savoir le développement des analyses coût/efficacité et le financement de la politique de l’eau. Il
s’inquiète cependant des efforts importants à accomplir dans le domaine des pollutions diffuses et de la
restauration des cours d’eau ainsi que de la difficulté persistante à faire émerger des dynamiques locales et des
maîtrises d’ouvrage adaptées dans ces domaines.
Enfin, le CNE est très attaché à la prévention du risque de contentieux européen.
Le tableau détaillé reprenant les différentes observations et les réponses apportées par le comité de bassin du
3 juillet 2009 est disponible sur le site internet de l’Agence de l’eau Artois-Picardie : www.eau-artois-
picardie.fr.
Les éléments de constat n’ont pas fait l’objet de remarques. Par contre, la rédaction des dispositions a été
revue pour chaque remarque jugée pertinente par le comité de bassin. Ces observations visaient surtout une
meilleure efficacité ou une portée plus large des dispositions.
Des éléments complémentaires ont été apportés lorsque cela était possible.
Concernant l’impact des mesures environnementales sur le prix de l’eau, jugé parfois trop important, de
nouvelles simulations ont permis de mieux cibler les actions à réaliser pour atteindre le bon état. Cela a permis
de réduire le coût du programme de mesures, notamment sur les mesures liées à l’assainissement.
Le coût des travaux en assainissement était auparavant estimé à 2,15 milliards d’euros. Il a été ramené à
1,95 milliard d’euros.
L’impact sur le prix de l’eau est alors variable selon les territoires (selon leur état actuel et la quantité de
travaux restant à faire).
Cet impact estimé représente une augmentation du prix de l’eau, entre 2006 et 2015, de 27 % en moyenne
sur le bassin.
Cette hausse représente une légère augmentation par rapport à l’évolution du prix de l’eau constatée ces
dernières années (21 %).
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National 5 7 9 21
Bassin 4 4 17 25
Total 9 11 26 46
L’édition du tableau de bord suit les exigences réglementaires. La première correspond au début de la
période d’application du SDAGE (2010). Puis, un bilan à mi-parcours (2012) est effectué. Enfin, un résultat
des actions en fin du SDAGE (2015). Ces trois éditions seront envoyées à notre tutelle.
Entre ces étapes, deux éditions intermédiaires seront réalisées (2011 et 2014) et diffusées à l’échelle du
bassin Artois-Picardie. Chaque édition sera mise à disposition sur internet.
Par ailleurs, le programme de mesures sera suivi au travers des procédures de déclaration/autorisation ainsi
que des financements attribués pour travaux.
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TEXTES GÉNÉRAUX
Arrête :
Art. 1er. − Le schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) du bassin Rhône-
Méditerranée 2009 est approuvé.
Art. 2. − Le programme pluriannuel de mesures du bassin Rhône-Méditerranée est arrêté.
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Hérault et région Languedoc-Roussillon 34, place des Martyrs-de-la-Résistance, 34062 Montpellier Cedex 02
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ANNEXE
DÉCLARATION ENVIRONNEMENTALE ANNEXÉE À L’ARRÊTÉ PRÉFECTORAL No DEVO0927244A DU
20 NOVEMBRE 2009 PORTANT APPROBATION DU SDAGE DU BASSIN RHÔNE-MÉDITERRANÉE (ART.
L. 122.10 DU CODE DE L’ENVIRONNEMENT)
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 156
L’autre originalité et principale difficulté vient de ce que ce type d’évaluation dite stratégique conduit à
évaluer en amont un programme d’actions concernant un très vaste territoire (28 départements, 25 % du
territoire national, 14,5 millions d’habitants).
Enfin, l’autorité environnementale a indiqué que même si le document répond globalement aux objectifs il
présente quelques lacunes au niveau de l’état et du dispositif de suivi.
Les observations de l’autorité environnementale ont été traitées afin de combler les lacunes dans la version
définitive du SDAGE, notamment concernant l’intégration des nouveautés législatives issues du Grenelle de
l’environnement. Les modifications apportées ont permis d’actualiser le rapport d’évaluation environnementale.
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TEXTES GÉNÉRAUX
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ANNEXE
ADRESSES DES PRÉFECTURES DE DÉPARTEMENT DU BASSIN
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 9 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
approuvé.
Art. 2. − Le programme pluriannuel de mesures du bassin de Guyane est arrêté.
Art. 3. − La déclaration prévue à l’article L. 122-10 du code de l’environnement est annexée au présent
arrêté.
Art. 4. − Le SDAGE et ses documents d’accompagnement ainsi que le programme de mesures du bassin de
Guyane sont consultables sur le site internet www.eau.guyane.developpement-durable.gouv.fr. Ils sont tenus à
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ANNEXE
DÉCLARATION AU TITRE DE L’ARTICLE L. 122-10
DU CODE DE L’ENVIRONNEMENT
1. Manière dont il a été tenu compte du rapport établi en application de l’article L. 122-6 et des
consultations auxquelles il a été procédé.
Prise en compte de l’évaluation environnementale du projet de SDAGE.
Le SDAGE est soumis à l’évaluation des plans et programmes, conformément aux termes de la directive
2001/42/CE transposée par l’ordonnance no 2004-489 du 3 juin 2004 introduisant dans le titre Ier livre Ier de la
partie législative du code de l’environnement une section 2 : « Evaluation de certains plans et documents ayant
une incidence notable sur l’environnement ».
L’évaluation environnementale des plans et programmes poursuit plusieurs objectifs :
– mieux apprécier les incidences sur l’environnement et les enjeux des décisions publiques ;
– favoriser la participation et l’information du public ;
– solliciter l’avis d’autorités ayant des compétences environnementales.
L’autorité environnementale estime que le projet de SDAGE est globalement peu susceptible d’effets sur
l’environnement et pertinent au regard de l’identification des enjeux. Cependant, l’analyse du projet faite par
l’autorité environnementale fin 2008 l’a conduite à prescrire :
– d’étudier de manière plus approfondie les justifications ayant conduit aux dérogations d’objectifs actuels,
notamment pour les masses d’eau de surface et les masses d’eau souterraines ;
– de mettre en avant de manière explicite dix mesures du SDAGE à mener de manière prioritaire pour
l’atteinte de l’objectif de bon état pour 2015 ;
– d’avancer sur la définition des zones candidates à la qualification de réservoirs biologiques ;
– de préciser les objectifs de protection justifiant le classement de cours d’eau, notamment au regard de la
compatibilité avec la production d’énergie renouvelable ;
– d’apporter une attention toute particulière aux têtes de bassins versants, et notamment aux phénomènes
d’impacts cumulés.
Par ailleurs, l’autorité environnementale juge que les aspects liés aux changements climatiques sont
insuffisamment pris en compte.
La poursuite des travaux de révision du SDAGE en parallèle de la phase de consultation a déjà permis de
répondre à une partie de ces attentes :
– l’argumentaire sur le choix de déroger aux objectifs d’état a été conforté, notamment par rapport à
l’impact des activités d’orpaillage ;
– le comité de bassin a défini dix axes prioritaires pour la mise en œuvre du SDAGE, et le travail de
territorialisation des enjeux fait pour la consultation du public a été repris dans le projet de SDAGE ;
– trois secteurs sont identifiés pour être qualifiés en réservoirs biologiques, et une étude de caractérisation et
de définition fine de ces zones est lancée.
Le classement des cours d’eau au titre de l’article L. 214-17 du code de l’environnement est une des actions
identifiées dans le programme de mesures. Le référentiel national BD-Carthage sur lequel reposera ce
classement est en cours d’élaboration en Guyane et devrait être disponible en fin d’année 2009. Les résultats de
l’étude du potentiel hydroélectrique seront pris en compte pour orienter les choix de classement.
Prise en compte des consultations.
La consultation du public sur le projet de SDAGE s’est déroulée du 15 décembre 2008 au 15 juin 2009. Les
modalités de cette consultation sont exposées dans le document d’accompagnement no 6.
L’analyse des questionnaires de la consultation du public montre que globalement le public adhère aux
propositions du SDAGE et du programme de mesures. La priorité qui ressort est celle de l’accès à l’eau
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potable, en quantité et en qualité. Les répondants ont également manifesté une sensibilité réelle à la protection
de l’eau et des milieux aquatiques. Ils considèrent l’activité aurifère comme une menace majeure pour les
milieux aquatiques et expriment la nécessité de lutter contre l’orpaillage illégal. Ces préoccupations du public
rejoignent les axes prioritaires soulignés par le comité de bassin dans le cadre du premier additif.
Au vu des réponses exprimées, la population est prête à consentir un effort financier, en particulier sur le
littoral, pour mettre en œuvre le SDAGE, et exprime des attentes fortes vis-à-vis des pouvoirs publics dans
l’application de la réglementation et du principe pollueur-payeur. Un effort accru en matière de sensibilisation
et de formation du public est également demandé. Le comité de bassin devra être particulièrement attentif à la
bonne mise en œuvre des actions prévues dans le cadre de l’orientation 5 relative à l’organisation pour la
gestion de l’eau.
Enfin, les résultats de la consultation sur le projet de SDAGE montrent l’importance de l’information et de
la sensibilisation du public et l’importance des relais associatifs sur le terrain. Le groupe communication du
SDAGE devra poursuivre son travail après l’approbation du SDAGE pour assurer la coordination des actions à
destination des différents publics.
La consultation des assemblées, conformément à l’article 14 de la directive-cadre sur l’eau 2000/60/CE du
23 octobre 2000, s’est déroulée du 15 juin au 15 octobre 2009. Les modalités de cette consultation sont
synthétisées dans le chapitre 1er du SDAGE.
La consultation a permis de recueillir par écrit 2 avis locaux (PAG, CCEE), 1 avis local hors délai (CCIG) et
2 avis nationaux (CNE et CSE).
Ces avis sont favorables, avec demandes d’ajouts. En l’absence de réponse dans les délais, les autres avis
sont réputés favorables.
Les modifications qui découlent de ces avis sont intégrées aux documents du SDAGE tel qu’indiqué dans la
délibération du comité de bassin no 2009-08 du 5 novembre 2009. Il s’agit de précisions de méthodologies, de
modifications de partenaires, de modifications d’indicateurs, d’ajouts d’actions, d’ajouts de recommandations
dans les dispositions détaillées et les documents d’accompagnement.
Par ailleurs, les associations de protection de la nature et de l’environnement ont produit une contribution
détaillée au projet de SDAGE, en formulant des remarques, en soulignant leurs priorités et en proposant un
certain nombre de corrections et de nouvelles actions. Un certain nombre de propositions rejoignent des
demandes formulées par les assemblées lors de la consultation officielle et sont donc prises en compte dans le
projet de SDAGE.
2. Motifs qui ont fondé les choix opérés par le SDAGE, compte tenu des diverses solutions envisagées.
La révision du SDAGE a été initiée sur la base de l’état des lieux du district de 2006, du bilan du SDAGE
en 2006 et des questions importantes ressorties de la première consultation du public de 2007. Les groupes de
travail, tenus à partir de fin 2007 et en 2008, ont conduit à produire les documents du SDAGE de manière
itérative, en fonction des contributions des partenaires à chaque étape de travail.
L’évaluation environnementale a été menée en 2008 sur l’avant-projet de SDAGE validé par le comité de
bassin de juin 2008 et complétée selon le projet de SDAGE validé en septembre 2008. Cette évaluation,
jugeant que l’effet du SDAGE est globalement positif, n’a pas conduit à proposer de projet alternatif.
De même, les résultats des consultations ont conduit à des corrections des documents, mais sans remettre en
cause l’économie générale du SDAGE.
3. Mesures destinées à évaluer les incidences sur l’environnement de la mise en œuvre du SDAGE.
Le tableau de bord du SDAGE permettra de suivre l’avancement de la mise en œuvre du SDAGE à travers
des indicateurs nationaux et régionaux (critères d’évaluation des dispositions détaillées). Il sera mis à jour
annuellement (cf. document d’accompagnement no 5).
Le rapport environnemental du SDAGE identifie des indicateurs devant permettre de suivre les incidences de
la mise en œuvre du SDAGE sur l’environnement. Ces indicateurs sont issus des critères d’évaluation identifiés
pour chaque disposition détaillée du SDAGE et regroupés par domaine de l’environnement et type d’indicateur
(de pression, de réponse, d’état).
Le rapport environnemental recommande également des critères d’« éco-conditionnalité » : meilleure
intégration du volet paysager dans les études d’impact, optimisation des équipements hydro-électriques,
intégration d’un bilan carbone dans les projets comme critère de décision, respect de la continuité écologique.
Par ailleurs, le programme de surveillance de l’état des eaux (cf. document d’accompagnement no 4) consiste
en la mise en place de réseaux de surveillance et de contrôles. Ces réseaux permettent de suivre l’évolution de
la qualité des eaux et ainsi d’évaluer les incidences sur l’environnement des activités humaines et des actions
menées dans le cadre du SDAGE pour l’atteinte du bon état des eaux.
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TEXTES GÉNÉRAUX
Arrête :
Art. 1er. − L’arrêté du 30 décembre 2008 susvisé est modifié comme suit :
1o Les mots : « 17 bis, place des Reflets, La Défense 2, 92077 Paris-La Défense Cedex » sont remplacés par
les mots : « 67-71, boulevard du Château, 92200 Neuilly-sur-Seine » ;
2o Les mots : « Tout retrait ou suspension de cette accréditation devra être déclaré dans les meilleurs délais
au ministre chargé de la sécurité du gaz. » sont supprimés.
Art. 2. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 26 novembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général
de la prévention des risques,
L. MICHEL
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 26 novembre 2009 portant transfert de l’agrément d’un organisme pour effectuer les
contrôles prévus par l’article 26 de l’arrêté du 2 août 1977 relatif aux règles techniques et de
sécurité applicables aux installations de gaz combustible et d’hydrocarbures liquéfiés situées
à l’intérieur des bâtiments d’habitation ou de leurs dépendances
NOR : DEVP0928526A
Arrête :
Art. 1 . − L’agrément attribué à l’organisme Norisko Equipements SAS par l’arrêté du 22 décembre 2008
er
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
NOR : DEVO0927997A
Le préfet de la région Lorraine, préfet coordonnateur du bassin Rhin-Meuse, préfet de la zone de défense
Est, préfet de la Moselle,
Vu la convention de la Commission économique pour l’Europe des Nations unies sur l’évaluation de
l’impact sur l’environnement dans un contexte transfrontière du 25 février 1991 ;
Vu la directive 2000/60/CE du Parlement européen et du Conseil du 23 octobre 2000 établissant un cadre
pour une politique communautaire dans le domaine de l’eau ;
Vu la directive 2001/42/CE du Parlement européen et du Conseil du 27 juin 2001 relative à l’évaluation des
incidences de certains plans et programmes sur l’environnement ;
Vu la directive 2006/118/CE du Parlement européen et du Conseil du 12 décembre 2006 sur la protection
des eaux souterraines contre la pollution et la détérioration ;
Vu la directive 2008/105/CE du Parlement européen et du Conseil du 16 décembre 2008 établissant des
normes de qualité environnementale dans le domaine de l’eau ;
Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 122-4 à L. 122-11, L. 212-1 à L. 212-2-3,
L. 331-3, L. 333-1, R. 122-17 à R. 122-24 et R. 212-1 à R. 212-25, R. 331-14, R. 333-15, R. 436-48 ;
Vu la loi no 2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de
l’environnement ;
Vu l’arrêté du 16 mai 2005 portant délimitation des bassins ou groupements de bassins en vue de
l’élaboration et de la mise à jour des schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux ;
Vu l’arrêté du 17 mars 2006 relatif au contenu des schémas directeurs d’aménagement et de gestion des
eaux ;
Vu l’arrêté du 17 décembre 2008 établissant les critères d’évaluation et les modalités de détermination de
l’état des eaux souterraines et des tendances significatives et durables de dégradation de l’état chimique des
eaux souterraines ;
Vu l’arrêté du 17 juillet 2009 relatif aux mesures de prévention ou de limitation des introductions de
polluants dans les eaux souterraines ;
Vu l’avis de l’autorité environnementale en date du 8 avril 2009 ;
Vu les avis émis lors de la consultation du public du 15 avril 2008 au 15 octobre 2008 ;
Vu les avis émis suite à la consultation transfrontières en date du 5 août 2008 des autorités
environnementales néerlandaise, allemande, luxembourgeoise, belges et suisse ;
Vu les avis émis par les assemblées et organismes consultés ;
Vu l’avis du Comité national de l’eau en date du 22 avril 2009 ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de l’énergie en date du 7 avril 2009 ;
Vu la délibération no 2009/18 du 27 novembre 2009 du comité de bassin Rhin-Meuse adoptant les schémas
directeurs d’aménagement et de gestion des eaux des parties françaises des districts hydrographiques du Rhin et
de la Meuse ;
Vu la délibération no 2009/19 du 27 novembre 2009 du Comité de bassin Rhin-Meuse portant avis favorable
sur le programme de mesures des parties françaises des districts hydrographiques du Rhin et de la Meuse ;
Sur proposition du directeur régional de l’environnement, délégué de bassin Rhin-Meuse,
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 156
Arrête :
Art. 1er. − Les schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) des parties françaises
des districts hydrographiques du Rhin et de la Meuse sont approuvés.
Art. 2. − Les programmes pluriannuels de mesures des parties françaises des districts hydrographiques du
Rhin et de la Meuse sont arrêtés.
Art. 3. − La déclaration environnementale prévue à l’article L. 122-10 du code de l’environnement est
annexée au présent arrêté.
Art. 4. − Les schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux et ses documents
d’accompagnement ainsi que les programmes de mesures des parties françaises des districts hydrographiques du
Rhin et de la Meuse sont consultables sur le site internet www.eau2015-rhin-meuse.fr du Comité de bassin
Rhin-Meuse. Ils sont tenus à la disposition du public au siège du comité de bassin, domicilié à l’agence de
l’eau Rhin-Meuse (Le Longeau, route de Lessy, 57161 Rozérieulles), ainsi que dans les préfectures des
départements des Ardennes, du Bas-Rhin, du Haut-Rhin, de la Haute-Marne, de Meurthe-et-Moselle, de la
Meuse, de la Moselle et des Vosges.
Art. 5. − L’arrêté du 15 novembre 1996 portant approbation du schéma directeur d’aménagement et de
gestion des eaux du bassin Rhin-Meuse est abrogé.
Art. 6. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française, dans un journal de
diffusion nationale et dans un ou plusieurs journaux régionaux ou locaux diffusés dans la circonscription du
bassin Rhin-Meuse.
Art. 7. − Les préfets de région et de département du bassin Rhin-Meuse, le directeur régional de
l’environnement de Lorraine, délégué de bassin, le directeur général de l’agence de l’eau Rhin-Meuse sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.
Art. 8. − Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours contentieux devant le tribunal administratif de
Strasbourg, dans un délai de deux mois, à compter des mesures de publication.
Fait à Metz, le 27 novembre 2009.
B. NIQUET
ANNEXE
DÉCLARATION ENVIRONNEMENTALE DES SCHÉMAS DIRECTEURS D’AMÉNAGEMENT
ET DE GESTION DES EAUX DES DISTRICTS RHIN ET MEUSE
Préambule
Conformément à la directive européenne 2001/42/CE du 27 juin 2001 relative à l’évaluation des incidences
de certains plans et programmes sur l’environnement, les SDAGE doivent faire l’objet d’une évaluation
environnementale. Cette dernière a pour but d’identifier les éventuels impacts négatifs sur d’autres
compartiments de l’environnement que celui visé directement, à savoir l’eau, et de les limiter.
Cette évaluation environnementale est constituée :
– du rapport environnemental ;
– de l’avis de l’autorité compétente en matière d’environnement, en l’occurrence le préfet coordonnateur du
bassin Rhin-Meuse ;
– de la déclaration environnementale.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 156
Ainsi, les enjeux de l’eau, de la santé humaine, de la biodiversité et des risques naturels sont impactés très
positivement par les SDAGE Rhin et Meuse, qui ont pour objectif une reconquête de la qualité de l’eau et des
milieux aquatiques, mais aussi la préservation et la restauration des zones humides, de la continuité écologique,
des habitats aquatiques, ou encore la prévention des risques d’inondation ou de coulées boueuses.
Il en va de même pour les enjeux internationaux et les enjeux transversaux tels que l’écocitoyenneté,
l’aménagement du territoire et les changements climatiques. Pour ces deux derniers points, le rapport
environnemental précise que les projets de SDAGE Rhin et Meuse « intègrent très fortement et à bon escient
ces deux dimensions ».
Les autres enjeux (sols et sous-sols, déchets, air, énergie, effet de serre) sont globalement impactés de façon
positive ou neutre.
Aucun impact négatif avéré significatif sur l’environnement ne ressort donc de l’évaluation environnementale
des SDAGE des districts Rhin et Meuse.
Quelques points particuliers de vigilance ont été relevés :
Le rapport environnemental soulève :
– deux points de vigilance, dont l’impact dépendra de la manière d’appliquer les dispositions prévues : la
gestion des boues d’épuration et de leur augmentation, ainsi que l’impact sur l’effet de serre de la
limitation du potentiel hydroélectrique et de la multiplication des ouvrages d’épuration ;
– deux points particuliers à examiner : la gestion des risques technologiques (pollutions accidentelles liées
aux sites SEVESO par exemple ; sites et sols pollués) et celle du risque d’affaissement minier.
L’avis du préfet préconise pour sa part un approfondissement de la hiérarchisation et de la territorialisation
des enjeux dans les SDAGE Rhin et Meuse. Il souligne également le caractère général du rapport
environnemental qui ne peut permettre d’appréhender des questions précises.
S’agissant des volumes de boues d’épuration, en visant l’amélioration du dispositif d’assainissement pour
atteindre les objectifs environnementaux qu’il fixe, le SDAGE pourrait induire une augmentation des volumes
produits. Il est prévu d’anticiper de telles dérives par la mise en place de filières de valorisation ou de
traitement adaptées.
S’agissant de la maîtrise de la consommation énergétique et de la limitation de l’émission de gaz à effet de
serre, l’amélioration des performances des ouvrages de traitement des eaux visée par le SDAGE pourrait
déboucher sur une surconsommation d’énergie. Il faudra donc veiller à maîtriser les consommations ou à les
compenser par une valorisation énergétique (biogaz par exemple).
Le potentiel de développement de l’hydroélectricité est faible sur les districts du Rhin et de la Meuse, et
l’impact du SDAGE, estimé sur une base maximaliste, est limité (26 MW, 128 000 MWh pour le Rhin ; 43 kW,
201 MWH pour la Meuse). Il faudra s’assurer qu’une meilleure exploitation des ouvrages hydroélectriques
existants ainsi que la mobilisation d’autres énergies renouvelables et la limitation de la demande viennent
compenser ce faible manque à gagner, qu’il convient toutefois de mettre en regard des bénéfices
environnementaux liés à la préservation des milieux aquatiques.
Pour les pollutions liées aux sites SEVESO, il n’a pas été jugé utile d’aller au-delà du dispositif
réglementaire existant. Quant aux problématiques liées aux bassins miniers, le comité de bassin a estimé
qu’elles ont vocation à être traitées via les SAGE.
Concernant la localisation et la hiérarchisation des pressions, des synthèses par bassin élémentaire sont
fournis dans les documents d’accompagnement du SDAGE (tomes 8 et 9). Des cartes d’occupation des sols et
de localisation des enjeux agricoles ont été rajoutées dans les annexes cartographiques du SDAGE afin
d’illustrer les orientations fondamentales et dispositions du thème « Eau et pollution ».
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 156
Le comité de bassin a également été soucieux de respecter les décisions prises antérieurement. La prise en
compte des avis des assemblées ne devait en aucun cas remettre en question les ambitions issues de la
consultation des citoyens ou encore les consensus forgés par les instances de bassin.
La consultation des citoyens a débouché sur des modifications profondes des documents :
L’architecture des SDAGE et des programmes de mesures Rhin et Meuse est une émanation directe de la
première consultation des citoyens de 2005 sur l’état des lieux. En effet, les six thèmes qui structurent ces
documents découlent directement des 12 questions importantes qui avaient alors été identifiées.
La consultation de 2008 a révélé que les citoyens adhéraient à l’ambition des SDAGE tout en étant
sceptiques quant à l’efficacité des moyens pour y parvenir. Cette consultation a débouché sur des modifications
substantielles des documents :
– le souhait du public d’accélérer le rythme de reconquête de la bonne qualité des milieux aquatiques s’est
traduit par une révision à la hausse du nombre de masses d’eau ayant un objectif de bon état écologique
dès 2015 ;
– le souhait d’une optimisation de l’efficacité des actions et d’une répartition plus juste des charges
financières pour soulager les ménages s’est traduit par une révision des mesures prévues pour
l’assainissement des collectivités. Ainsi, à l’issue d’une analyse coûts-efficacité renforcée, seules les
actions les plus significatives pour l’atteinte du bon état ont été conservées, d’où un allègement d’environ
500 millions d’euros des programmes de mesures Rhin et Meuse ;
– l’attachement du public à réduire les obstacles à la libre circulation des poissons dans les cours d’eau a
débouché sur deux mesures phares supplémentaires avec la construction de passes à poissons sur le Rhin,
à Strasbourg et Gerstheim ;
– il a par ailleurs été décidé de maintenir une vigilance sur les pratiques d’urbanisation dans les zones à
risques. Il est proposé de suivre l’évolution des pratiques au regard des dispositions du SDAGE et d’en
dresser un bilan précis d’ici à fin 2012.
La consultation des acteurs a débouché sur des modifications importantes des documents, sans remise
en cause des avis des citoyens
Suite à la consultation des acteurs, l’ambition générale des SDAGE a été confirmée et les objectifs
environnementaux n’ont pas été globalement remis en question :
– cette consultation a débouché sur une révision très importante du volet agricole des programmes de
mesures. En effet, la maîtrise des pollutions diffuses a été identifiée comme un enjeu majeur par les
assemblées comme par les citoyens. La mise en place d’un plan spécial pour reconquérir la qualité de tous
les captages destinés à l’eau potable, le renforcement de l’agriculture biologique, la généralisation des
bandes enherbées le long des cours d’eau et le renforcement de la couverture des sols en période de
lessivage ont été actés. Le coût des actions pour lutter contre les pollutions diffuses a ainsi été multiplié
par quatre environ ;
– de plus, cette consultation des assemblées a débouché sur des modifications très précises ayant eu un
impact profond sur les documents. Ainsi, la rédaction de 30 orientations fondamentales ou dispositions a
été revue. L’objectif de bon état de trois masses d’eau a été reporté en 2021, puisque les arguments
invoqués étaient recevables dans le cadre de la DCE, et le statut de sept d’entre elles a été modifié (masse
d’eau naturelle/masse d’eau fortement modifiée).
La prise en compte de la consultation des acteurs a été au-delà de la modification des documents :
Au-delà des modifications des documents, la consultation des assemblées a mis en lumière différentes
préoccupations :
– tout d’abord, la réduction des substances toxiques est un sujet important pour les acteurs, qui suscite
néanmoins des inquiétudes quant à ses impacts socio-économiques. Les acteurs économiques seront donc
étroitement associés aux actions dans ce domaine lors de la phase de mise en œuvre des SDAGE ;
– de plus, de façon générale, les assemblées expriment des inquiétudes sur les impacts économiques des
SDAGE et programmes de mesures : les petites collectivités expriment un besoin renforcé de financements
et la question de la solidarité de bassin est posée. La commission des programmes du comité de bassin
traitera ces aspects ;
– les assemblées soulignant la complexité des documents et la nécessité de faire évoluer les comportements
des citoyens pour atteindre les objectifs du SDAGE, la commission information du public établira un plan
de communication et de sensibilisation sur les aspects les plus importants ;
– en parallèle de la mise en œuvre du SDAGE et des programmes de mesures, le comité de bassin et ses
commissions se pencheront sur des questions générales soulevées par les assemblées, telles que
l’amélioration de la prise en compte des changements climatiques, la cohérence des politiques publiques,
l’équilibre entre les différents enjeux environnementaux, la recherche qui doit accompagner la mise en
œuvre des SDAGE.
Les consultations transfrontières :
L’article 7 de la directive 2001/42/CE et l’article L. 122-9 du code de l’environnement prévoient que les
projets de plans dont la mise en œuvre est susceptible de produire des effets notables sur l’environnement d’un
autre Etat membre de la Communauté européenne soient transmis aux autorités de cet Etat, à la demande de
celle-ci ou à l’initiative des autorités françaises. Ainsi, à partir du 5 août 2008, la France a consulté sur les
projets de SDAGE Rhin et Meuse les autorités néerlandaises, allemandes, luxembourgeoises et belges. Elle a
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 156
également consulté les autorités suisses en application de la convention de la Commission économique pour
l’Europe des Nations unies sur l’évaluation de l’impact sur l’environnement dans un contexte transfrontière du
25 février 1991, qui encourage les parties à la convention à appliquer les principes que celle-ci contient
également aux plans et programmes.
Les avis reçus abordent principalement le problème de la continuité écologique sur le Rhin en soulignant
qu’il n’est pas suffisamment pris en compte dans les documents transmis.
En réponse à cette demande et à celle du public, comme souligné plus haut, deux mesures phares
supplémentaires ont été inscrites avec la construction de passes à poissons sur les ouvrages de Strasbourg et de
Gerstheim sur le cours du Rhin, ce qui devrait permettre, notamment, l’accès à l’hydrosystème Elz-Dreisam par
les migrateurs amphihalins.
Un avis souligne également des divergences sur l’état actuel des masses d’eau du Rhin (1 à 4) en ce qui
concerne l’état chimique. De nombreuses réunions de coordination menées en 2009 au sein du secteur de
travail Rhin supérieur ont permis d’aboutir à une mise en cohérence de l’état chimique de ces masses d’eau de
chaque côté du Rhin.
Enfin, et de manière plus globale, au sein des commissions internationales fluviales de nombreuses réunions
de concertation et d’échanges ont permis de coordonner les objectifs prévus dans les différents projets de plans
de gestion.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 156
Les indicateurs nationaux sont organisés en 14 rubriques, qui couvrent l’ensemble du domaine d’application
du SDAGE. Il s’agit d’indicateurs d’état (exemple : état des milieux), de pressions (exemple : activité humaine
à l’origine de pollutions) et de réponse (exemple : actes réglementaires).
Pour les indicateurs locaux, le choix s’est porté sur les points nécessitant le plus de vigilance, à savoir :
– des problématiques générales requérant des évolutions importantes de la société, telles que la réduction des
pollutions diffuses agricoles, la gestion des inondations et de l’urbanisme, la reconquête de la qualité des
captages destinés à l’alimentation en eau potable, la préservation des zones humides ;
– des problématiques constituant un enjeu local fort, tels que le niveau de la nappe des grès du trias
inférieur, le taux de chlorures dans la Moselle et sa nappe alluviale, le taux de mercure dans la Thur et
l’Ill, ou encore la teneur en sulfates de la nappe du bassin ferrifère ;
– les points nécessitant une coordination internationale, tels la continuité écologique ou le niveau de
pollution aux points frontières ;
– les questions de gouvernance, telles que l’évolution du prix de l’eau, de la structure des financements des
actions découlant du SDAGE ou le nombre et la nature des contentieux nés de son application.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 156
Arrête :
Art. 1er. − Le schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) du bassin de la
Guadeloupe est approuvé.
Art. 2. − Le programme pluriannuel de mesures du bassin de la Guadeloupe est arrêté.
Art. 3. − La déclaration environnementale prévue à l’article L. 122-10 du code de l’environnement figure
parmi les documents accompagnant le SDAGE.
Art. 4. − Le SDAGE et ses documents d’accompagnement ainsi que le programme de mesures du bassin de
la Guadeloupe sont consultables sur le site internet www.comite-de-bassin-guadeloupe.fr.
Ils sont tenus à la disposition du public :
– au siège du comité de bassin domicilié à la direction régionale de l’environnement de Guadeloupe (chemin
des Bougainvilliers, 97100 Basse-Terre) ;
– à la préfecture de Guadeloupe (rue Lardenoy, 97100 Basse-Terre) ;
– à la préfecture de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin (route du Fort-Marigot, 97150 Saint-Martin) ;
– à la sous-préfecture de Pointe-à-Pitre (place de la Victoire, 97110 Pointe-à-Pitre) ;
– au siège de la collectivité d’outre-mer de Saint-Martin (rue de l’Hôtel-de-la-Collectivité, BP 374, Marigot,
97054 Saint-Martin).
Art. 5. − L’arrêté du 25 juillet 2003 portant approbation du schéma directeur d’aménagement et de gestion
des eaux du bassin de Guadeloupe est abrogé.
Art. 6. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française, dans un journal à
diffusion nationale et dans des journaux locaux.
Art. 7. − Le préfet de la région Guadeloupe, le préfet délégué pour Saint-Barthélemy et Saint-Martin et le
directeur régional de l’environnement, délégué du bassin de la Guadeloupe, sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté.
Fait à Basse-Terre, le 30 novembre 2009.
J. FABRE
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
est approuvé.
Art. 2. − Le programme pluriannuel de mesures du bassin Adour-Garonne est arrêté.
Art. 3. − La déclaration environnementale prévue à l’article L. 122-10 du code de l’environnement figure
parmi les documents accompagnant le SDAGE.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 156
Art. 4. − Le SDAGE et ses documents d’accompagnement ainsi que le programme de mesures du bassin
Adour-Garonne sont consultables sur le site internet www.eau-adour-garonne.fr du Comité de bassin Adour-
Garonne. Ils sont tenus à la disposition du public au siège du comité de bassin domicilié à l’agence de l’eau
Adour-Garonne, agence de l’eau Adour-Garonne, 90, rue du Férétra, 31078 Toulouse Cedex 4, ainsi que dans
les préfectures de département de l’Ariège (09), de l’Aude (11), de l’Aveyron (12), du Cantal (15), de la
Charente (16), de la Charente-Maritime (17), de la Corrèze (19), de la Creuse (23), de la Dordogne (24), du
Gard (30), de la Haute-Garonne (31), du Gers (32), de la Gironde (33), de l’Hérault (34), des Landes (40), du
Lot (46), de Lot-et-Garonne (47), de la Lozère (48), du Puy-de-Dôme (63), des Pyrénées-Atlantiques (64), des
Hautes-Pyrénées (65), des Deux-Sèvres (79), du Tarn (81), de Tarn-et-Garonne (82), de la Vienne (86) et de la
Haute-Vienne (87).
Art. 5. − L’arrêté du 6 août 1996 portant approbation du schéma directeur d’aménagement et de gestion des
eaux du bassin Adour-Garonne est abrogé.
Art. 6. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française, dans un journal de
diffusion nationale et dans un ou plusieurs journaux régionaux ou locaux diffusés dans la circonscription du
bassin Adour-Garonne.
Art. 7. − Les préfets de région et de département du bassin Adour-Garonne et le directeur régional de
l’environnement, de l’aménagement et du logement, délégué de bassin Adour-Garonne, sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.
Fait à Toulouse, le 1er décembre 2009.
Pour le préfet et par délégation :
Le secrétaire général
pour les affaires régionales
de Midi-Pyrénées,
P. BOLOT
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en
charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, en date du 2 décembre 2009, la société
Verbundnetz Gas AG, dont le siège social est situé Braunstrasse 7, 04347 Leipzig (Allemagne), est autorisée à
étendre son activité de fourniture de gaz sur le territoire français à la catégorie de clients suivante :
Les clients non domestiques assurant des missions d’intérêt général.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 16 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 3 décembre 2009 modifiant l’arrêté du 20 août 2009 relatif à l’identification des
sangliers détenus au sein des établissements d’élevage, de vente ou de transit de catégorie A
ou de catégorie B
NOR : DEVN0923053A
Arrêtent :
Art. 1er. − A l’article 2 de l’arrêté du 20 août 2009 relatif à l’identification des sangliers détenus au sein des
établissements d’élevage, de vente ou de transit de catégorie A ou de catégorie B, sont ajoutés un sixième et un
septième alinéas ainsi rédigés :
« Pour les sangliers reproducteurs, le numéro d’identification du site d’élevage est complété par un numéro
d’identification individuel.
Les modalités d’application du présent article sont celles définies dans la partie 9 de l’annexe de l’arrêté du
24 novembre 2005 modifié relatif à l’identification du cheptel porcin. »
Art. 2. − A l’article 4 de l’arrêté du 20 août 2009 relatif à l’identification des sangliers détenus au sein des
établissements d’élevage, de vente ou de transit de catégorie A ou de catégorie B, les mots : « aux animaux
reproducteurs ou » sont supprimés.
Art. 3. − A l’alinéa 3 de l’article 5 de l’arrêté du 20 août 2009 relatif à l’identification des sangliers
détenus au sein des établissements d’élevage, de vente ou de transit de catégorie A ou de catégorie B, les
mots : « préalablement à leur introduction dans l’établissement » sont remplacés par les mots : « dans les
trente jours après leur introduction sur le territoire national et, en tout état de cause, avant un mouvement vers
un autre site d’élevage ».
Art. 4. − La directrice de l’eau et de la biodiversité et la directrice générale de l’alimentation sont chargées,
chacune en ce qui la concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 3 décembre 2009.
Le ministre d’Etat, ministre de l’écologie,
de l’énergie, du développement durable et de la mer,
en charge des technologies vertes
et des négociations sur le climat,
Pour le ministre et par délégation :
La directrice de l’eau
et de la biodiversité,
O. GAUTHIER
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 16 sur 156
Le ministre de l’alimentation,
de l’agriculture et de la pêche,
Pour le ministre et par délégation :
La directrice générale de l’alimentation,
P. BRIAND
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrête :
Art. 1 . − Le schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) du bassin Martinique est
er
approuvé.
Art. 2. − Le programme pluriannuel de mesures du bassin Martinique est arrêté.
Art. 3. − La déclaration environnementale prévue à l’article L. 122-10 du code de l’environnement est
annexée au présent arrêté.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 156
Art. 4. − Le SDAGE et ses documents d’accompagnement ainsi que le programme de mesures du bassin
Martinique sont consultables sur le site internet http://www.martinique.ecologie.gouv.fr de la direction régionale
de l’environnement (DIREN) Martinique. Ils sont tenus à la disposition du public au siège du comité de bassin
domicilié à la DIREN Martinique, 4, boulevard de Verdun, 97200 Fort-de-France, ainsi qu’à la préfecture de
Martinique, 82, rue Victor-Sévère, 97200 Fort-de-France.
Art. 5. − L’arrêté du 7 août 2002 portant approbation du schéma directeur d’aménagement et de gestion des
eaux du bassin Martinique est abrogé.
Art. 6. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française, dans un journal de
diffusion nationale et dans un ou plusieurs journaux régionaux ou locaux diffusés dans la circonscription du
bassin Martinique.
Art. 7. − Le préfet de la région Martinique et le directeur régional de l’environnement de la Martinique,
délégué de bassin, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.
Fait à Fort-de-France, le 3 décembre 2009.
Pour le préfet et par délégation :
Le secrétaire général de la préfecture
de la région Martinique,
J.-R. VACHER
L’évaluation environnementale
La directive européenne du 27 juin 2001 pose le principe que tous les plans et programmes susceptibles
d’avoir des incidences notables sur l’environnement et qui fixent le cadre de décisions ultérieures d’autorisation
d’aménagements et d’ouvrages, doivent faire l’objet d’une évaluation environnementale préalable à leur
adoption.
En ce qui concerne le SDAGE, la transposition en droit français s’est faite par ordonnance du 3 juin 2004
(modification du code de l’environnement et du code de l’urbanisme) et un décret : le décret no 2005-613 du
27 mai 2005 relatif au code de l’environnement qui vise les plans et programmes, dont les SDAGE, à
l’exception des documents d’urbanisme.
Il s’agit des articles L. 122-4 à L. 122-11 et R. 122-17 à R. 122-24 du code de l’environnement.
Le comité de bassin de la Martinique a établi un rapport d’évaluation environnementale en septembre 2008
et a reçu l’avis du préfet le 9 décembre 2008. Ce rapport a accompagné la consultation du public qui s’est
tenue du 15 décembre 2008 au 15 juin 2009, puis la consultation des assemblées locales et des chambres
consulaires qui s’en est suivie.
L’article L. 122-10 du code de l’environnement définit les documents devant être mis à la disposition du
public après l’approbation du SDAGE et du programme de mesures. Il s’agit :
– des documents de SDAGE et de programme de mesures ;
– de la déclaration environnementale résumant la manière dont il a été tenu compte du rapport d’évaluation
environnementale et des consultations auxquelles il a été procédé, les motifs qui ont fondé les choix
opérés et les mesures destinées à évaluer les incidences sur l’environnement de la mise en œuvre du
SDAGE et du programme de mesures.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 156
Pour chacune des dispositions, des fiches annexées au rapport environnemental identifient les impacts
potentiels de la disposition, permettant de savoir si celle-ci a un impact sur l’enjeu, de définir la nature de cet
impact et d’apporter un commentaire rapide pour justifier chaque « note » attribuée.
Les orientations du SDAGE ne présentant pas d’impact négatif sur l’environnement, il n’a été proposé
aucune mesure correctrice.
Depuis l’adoption par le comité de bassin des projets de SDAGE et de programme de mesures le
30 septembre 2008, une consultation du public a été organisée entre le 15 décembre 2008 et le 15 juin 2009,
par l’intermédiaire de plusieurs outils :
– un questionnaire distribué dans toutes les boîtes aux lettres de la Martinique (environ 170 000) ;
– un site internet ;
– la présence des ambassadeurs bleus dans toutes les communes de l’île de janvier à juin 2009 ;
– une campagne de communication.
10 200 questionnaires ont été récoltés : 4 000 questionnaires ont été remplis grâce aux ambassadeurs bleus,
environ 600 sur internet, 5 600 ayant été adressés par l’intermédiaire de l’enveloppe préaffranchie. Le taux de
réponse de 5 % est relativement élevé pour ce type de consultation.
La majorité des personnes ayant répondu est d’accord avec le constat sur les milieux aquatiques, tel qu’il est
décrit dans le projet de SDAGE.
Plus de 40 % des questionnaires comprenaient des avis libres. La préoccupation majeure exprimée par le
public reste le coût de l’eau potable, son goût et sa qualité. Les propositions qui reviennent le plus souvent
pour une meilleure gestion des milieux aquatiques sont la récupération des eaux de pluie et un meilleur
traitement des eaux usées. En deuxième lieu, d’autres propositions sont faites pour l’entretien des cours d’eau,
la limitation du gaspillage de l’eau et la lutte contre la pollution. Les conditions de la réussite reste l’éducation
de la population et la responsabilisation des Martiniquais.
Le bilan complet de cette consultation est consultable sur le site www.eau2015-martinique.fr ou sur le site de
la DIREN : www.martinique.ecologie.gouv.fr.
Le SDAGE décrit les consultations et les grandes lignes des résultats dans la partie 1.3.3. Les propositions
du public étaient déjà au préalable dans le document. Elles ont été soulignées dans le texte final afin de rendre
ces problématiques plus visibles et préciser que le grand public y accorde particulièrement d’importance.
La consultation des assemblées locales, des chambres consulaires et des instances nationales s’est déroulée
de juillet à novembre 2009. Les avis reçus sont ceux du conseil régional, du conseil général, du conseil
économique et social régional, du conseil de la culture, de l’éducation et de l’environnement, du PNRM, du
Comité national de l’eau et du Conseil supérieur de l’énergie.
Pour répondre aux besoins de précision demandés par le comité de bassin et les différents acteurs consultés,
chaque groupe de dispositions est maintenant introduit par des éléments de contexte. Ceux-ci ne constituent pas
à proprement parler de texte réglementaire, mais ils permettent de mieux situer le champ d’application des
dispositions et d’insister sur les problématiques les plus sensibles relevées par la consultation : chlordécone,
hypersédimentation des baies, nitrates, protection et gestion des mangroves, insularité et lien terre-mer...
L’avis réservé du conseil régional, particulièrement détaillé, a fait l’objet d’une note de réponse. L’avis a
conduit à des modifications précises du document : précision de la compatibilité du SDAGE avec le SAR,
suppression de la localisation des retenues d’eau brute, suppression de la localisation nord/sud des mesures,
prise en compte des études sur les eaux souterraines, gestion unique de l’eau, etc.
La meilleure prise en compte du chlordécone, à la fois en début de document dans une partie exposant
l’ampleur de la contamination, et dans les objectifs environnementaux, permet de répondre à plusieurs acteurs
qui avaient souhaité voir ce point renforcé dans le document.
La consultation du conseil général a fait l’objet de plusieurs présentations des documents : aux services
techniques, en commission sectorielle, en commission permanente et en assemblée plénière.
En parallèle, l’ASSAUPAMAR a fourni un rapport de lecture détaillée des documents, soulignant la
nécessité de mieux exposer la problématique du chlordécone et de dresser la liste des substances suivies
spécifiquement en Martinique. Cette liste fait l’objet d’une annexe supplémentaire au document de SDAGE.
Pour finir, la CACEM a fourni une série de demandes de modifications concernant l’adduction d’eau potable
sur leur territoire, modifications qui ont été examinées lors de la séance du 26 novembre 2009 du comité de
bassin.
Beaucoup ont regretté l’absence de l’évaluation de l’impact du programme de mesures sur le prix de l’eau.
Compte tenu des incertitudes sur les coûts des actions et des financements qui seront effectivement engagés,
cette évaluation complexe n’a pu être menée.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en
charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, en date du 3 décembre 2009, la SAS Centrale
photovoltaïque du Gabardan 1, dont le siège social est situé Cœur Défense, immeuble 1, La Défense 4,
90, esplanade du Général-de-Gaulle, 92933 Paris-La Défense Cedex, est autorisée à exploiter une centrale
photovoltaïque, d’une capacité de production de 11,89 MWc, localisée lieudit Le Commun Sud, ZA du
Gabardan, 40240 Losse.
Cette autorisation ne dispense pas son bénéficiaire d’obtenir les titres requis par d’autres législations.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 19 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en
charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, en date du 3 décembre 2009, la SAS Centrale
photovoltaïque du Gabardan 7, dont le siège social est situé Cœur Défense, immeuble 1, La Défense 4,
90, esplanade du Général-de-Gaulle, 92933 Paris-La Défense Cedex, est autorisée à exploiter une centrale
photovoltaïque, d’une capacité de production de 11,839 MWc, localisée lieudit Le Belloc, ZA du Gabardan,
40240 Losse.
Cette autorisation ne dispense pas son bénéficiaire d’obtenir les titres requis par d’autres législations.
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TEXTES GÉNÉRAUX
approuvé.
Art. 2. − Le programme pluriannuel de mesures du bassin Réunion est arrêté.
Art. 3. − La déclaration environnementale prévue à l’article L. 122-10 du code de l’environnement est
annexée au présent arrêté.
Art. 4. − Le SDAGE et ses documents d’accompagnement ainsi que le programme de mesures du bassin
Réunion sont consultables sur le site internet www.comitedebassin-reunion.org du Comité de bassin Réunion.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 156
Ils sont tenus à la disposition du public au siège du comité de bassin domicilié à la direction régionale de
l’environnement, 12, allée de la Forêt, parc de la Providence, 97400 Saint-Denis, ainsi qu’à la préfecture,
avenue de la Victoire, 97400 Saint-Denis.
Art. 5. − L’arrêté du 7 novembre 2001 approuvant le schéma directeur d’aménagement et de gestion des
eaux (SDAGE) de La Réunion est abrogé.
Art. 6. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française, dans un journal de
diffusion nationale et dans les journaux locaux diffusés dans la circonscription du bassin Réunion.
Art. 7. − Le préfet de région et de département du bassin Réunion et le directeur régional de
l’environnement, délégué de bassin, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent
arrêté.
Fait à Saint-Denis, le 7 décembre 2009.
P.-H. MACCIONI
ANNEXE
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Parmi les principaux points qui montrent l’apport des consultations réalisées, on peut citer les éléments
suivants :
– les acteurs et porteurs de projet des dispositions du SDAGE et/ou des actions du programme de mesures
ont été précisés au fil des concertations menées ;
– les commissions locales de l’eau ont été mentionnées comme acteurs à associer dès lors qu’elles existent,
et ce notamment lors de l’élaboration du schéma départemental de l’alimentation en eau potable (prévu par
la disposition 2.4.1) et du schéma départemental de l’eau et des aménagements hydrauliques (prévu par la
disposition 1.1.1) ;
– la nécessité de réalisation d’une étude spécifique pour la détermination du statut de deux masses d’eau est
ressortie de ces consultations ; l’étude a été réalisée dans le courant de l’année 2009 ;
– ajout d’une disposition dans le SDAGE visant à rappeler l’importance des contrôles régaliens dans
l’application de la réglementation.
2. Les motifs qui ont fondé les choix opérés par le SDAGE, compte tenu des diverses solutions envisagées.
L’évaluation environnementale a été réalisée au cours de l’année 2008. A cette période, le SDAGE avait déjà
fait l’objet d’études en amont (en particulier l’état des lieux réalisé en 2005 et actualisé en 2007) et de
concertations des parties intéressées pour aboutir à la version proposée, que ce soit :
– dans le cadre strict de l’instance de bassin (réunions du bureau) ;
– dans un cadre élargi en commissions géographiques et thématiques ;
– lors de la consultation du public en 2006.
Ce mode d’élaboration du SDAGE, qui est un processus continu d’échange et de concertation, n’a pas amené
à élaborer des scenarii alternatifs puis à en retenir un mais au contraire à construire, par une suite de débats et
de contributions, le projet final. C’est bien la recherche du meilleur compromis entre les aspirations des acteurs
du bassin et l’atteinte des objectifs environnementaux qui explique les choix retenus pour la rédaction finale du
SDAGE.
3. Les mesures destinées à évaluer les incidences sur l’environnement de la mise en œuvre du SDAGE.
Les effets de la mise en œuvre du SDAGE sont suivis via la définition d’indicateurs. Le tableau de bord
comportant l’ensemble de ces indicateurs renseignés sera publié deux fois au cours du cycle de six ans :
– en fin de troisième année du cycle de gestion (fin 2012 pour le premier cycle) pour une validation par le
comité de bassin de fin d’année en parallèle de la publication du bilan, à mi-parcours du programme de
mesures ;
– en mars de la dernière année (mars 2015 pour le premier cycle) pour une validation par le comité de
bassin en juin-juillet de cette même année, aux fins du bilan du cycle de gestion en cours et de point de
départ du cycle suivant.
De plus, ces indicateurs sont renseignés, par exception, en mars 2010 pour les indicateurs du début du 1er
cycle.
Les années de référence des données mobilisées pour produire ces indicateurs sont les années les plus
récentes pour lesquelles ces données sont disponibles et analysables.
Les indicateurs nationaux regroupent :
– une évaluation de l’état écologique, chimique, quantitatif des masses d’eau concernées ;
– une synthèse des objectifs des masses d’eau ;
– des données sur les substances prioritaires pour évaluer la diminution des flux rejetés ;
– le taux de protection des captages d’alimentation en eau potable ;
– le dépassement des normes relatives aux eaux distribuées pour les paramètres nitrates et produits
phytosanitaires ;
– le développement des plans de prévention du risque inondation ;
– la préservation des zones d’expansion des crues ;
– la conformité des exigences de collecte et de traitement des eaux résiduaires urbaines ;
– l’accessibilité et la fréquentation des cours d’eau par un ou plusieurs poissons migrateurs ;
– le développement des SAGE et contrat de rivière ;
– les coûts environnementaux et la récupération de ces coûts par secteur économique.
D’une manière plus générale, la mécanique globale qui découle de la mise en œuvre de la directive-cadre sur
l’eau appelle à la révision tous les six ans de l’état des lieux et du plan de gestion (SDAGE) ; appuyée par des
réseaux de surveillance des milieux, elle contribue à l’évaluation périodique des incidences de ce plan sur
l’environnement.
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TEXTES GÉNÉRAUX
Le préfet de Mayotte,
Vu la directive 2000/60/CE du Parlement européen et du Conseil du 23 octobre 2000 établissant un cadre
pour une politique communautaire dans le domaine de l’eau ;
Vu la directive 2001/42/CE du Parlement européen et du Conseil du 27 juin 2001 relative à l’évaluation des
incidences de certains plans et programmes sur l’environnement ;
Vu la directive 2006/118/CE du Parlement européen et du Conseil du 12 décembre 2006 sur la protection
des eaux souterraines contre la pollution et la détérioration ;
Vu la directive 2008/105/CE du Parlement européen et du Conseil du 16 décembre 2008 établissant des
normes de qualité environnementale dans le domaine de l’eau ;
Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 122-4 à 122-11, L. 212-1 à L. 212-2-3, L. 651-1 et
suivants, R. 122-17 à R. 122-24, R. 212-1 à R. 212-25 et R. 652-1 et suivants ;
Vu l’ordonnance no 2005-869 du 28 juillet 2005 relative à l’adaptation du droit de l’environnement à
Mayotte ;
Vu la loi no 2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de
l’environnement ;
Vu le décret no 99-1021 du 1er décembre 1999 relatif à la délégation des pouvoirs propres au préfet de
Mayotte ;
Vu le décret du 20 novembre 2007 portant nomination de M. Christophe PEYREL, sous-préfet, secrétaire
général de la préfecture de Mayotte ;
Vu le décret du 24 juillet 2009 portant nomination de M. Hubert DERACHE, préfet de Mayotte ;
Vu l’arrêté du 16 mai 2005 portant délimitation des bassins ou groupements de bassins en vue de
l’élaboration et de la mise à jour des schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux ;
Vu l’arrêté du 17 mars 2006 relatif au contenu des schémas directeurs d’aménagement et de gestion des
eaux ;
Vu l’arrêté du 17 décembre 2008 établissant les critères d’évaluation et les modalités de détermination de
l’état des eaux souterraines et des tendances significatives et durables de dégradation de l’état chimique des
eaux souterraines ;
Vu l’arrêté du 17 juillet 2009 relatif aux mesures de prévention ou de limitation des introductions de
polluants dans les eaux souterraines ;
Vu les avis émis lors de la consultation du public du 15 décembre 2008 au 15 juin 2009 ;
Vu les avis émis par les assemblées et organismes consultés ;
Vu l’avis du Comité national de l’eau en date du 22 septembre 2009 ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de l’énergie en date du 20 octobre 2009 ;
Vu la délibération du 10 décembre 2009 du Comité de bassin de Mayotte adoptant le schéma directeur
d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) et portant avis favorable sur le programme de mesures du
bassin de Mayotte ;
Sur proposition du secrétaire général de la préfecture,
Arrête :
Art. 1 . − Le schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) du bassin de Mayotte est
er
approuvé.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 156
A N N E X E
DÉCLARATION ENVIRONNEMENTALE DU SDAGE
ET DU PROGRAMME DE MESURES 2010-2015 DE MAYOTTE
Introduction
Conformément aux textes de transposition de la directive-cadre sur l’eau 2001/42/CE (ordonnance
no 2004-489 du 3 juin 2004 et décret no 2005-613 du 27 mai 2005), le SDAGE appartient aux plans et
programmes que la France a décidé de soumettre à une démarche d’évaluation de leur incidence sur
l’environnement.
Un rapport environnemental a été élaboré sur la base de la version 2 du SDAGE et du programme de
mesures, version soumise à la consultation du public. Il a été mis à la disposition du public puis des
assemblées accompagné de l’avis de l’autorité environnementale. La façon dont le projet de SDAGE a pris en
compte l’environnement dans toutes ses composantes a ainsi été examinée.
Conformément à l’article L. 122-10 du code de l’environnement, la présente déclaration environnementale
accompagne l’arrêté d’approbation du SDAGE. Elle résume :
– la manière dont il a été tenu compte de l’évaluation environnementale et des consultations auxquelles il a
été procédé ;
– les motifs qui ont fondé les choix opérés par le SDAGE et le programme de mesures associé ;
– les mesures destinées à évaluer les incidences sur l’environnement de la mise en œuvre du SDAGE et du
programme de mesures.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 156
– le nécessaire partage de l’eau sur 7 sous-bassins prioritaires est lui aussi inscrit à la fois dans le SDAGE
et dans le PDM ;
– le lien entre la qualité de la ressource en eau, l’assainissement et les risques sanitaires est primordial à
Mayotte. L’ensemble de ces enjeux est intégré de manière importante au niveau du SDAGE et du PDM ;
– les moyens d’évaluation de la qualité des eaux (chimique, physico-chimique mais aussi biologique) et le
programme de surveillance sont inscrits avec un budget significatif au PDM ;
– la gestion des risques naturels à l‘échelle d’un bassin versant est intégrée au SDAGE par de nouvelles
dispositions inscrites en version 4 pour doter Mayotte des outils nécessaires de prévention des risques ;
– la mise en place progressive à Mayotte de règles quantifiées adaptées pour les autorisations de
prélèvement est inscrite en version 4 ;
– la nécessaire évolution de la tarification de l’eau est abordée dans le SDAGE de manière adaptée au
contexte social de l’île ;
– le SDAGE intègre enfin, dans son dernier projet, la nécessité de veiller à la cohérence entre la
préservation des milieux aquatiques, la prévention des risques naturels et l’aménagement du territoire. Ce
dernier aspect n’étant pas directement une prérogative du SDAGE, cela restera un point de vigilance à
observer tout au long de la validité du SDAGE.
A noter, en outre, que certains objectifs du Grenelle de l’environnement sont rappelés dans le projet de
SDAGE en lien avec des orientations ou dispositions particulières.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 156
– dans le cadre strict de l’instance de bassin (réunions plénières et du bureau du comité de bassin) ;
– dans un cadre élargi en séminaires (grand public ou élus), commissions thématiques.
Ce mode d’élaboration du SDAGE et du programme de mesures qui est un processus continu d’échange et
de concertation n’a pas amené à élaborer des scenarii alternatifs puis à en retenir un, mais au contraire à
construire, par une suite de débats et de contributions, le projet final. C’est bien la recherche du meilleur
compromis entre les aspirations des acteurs du bassin et l’atteinte des objectifs environnementaux qui explique
les choix retenus pour la rédaction finale du SDAGE et du programme de mesures.
Ainsi, les objectifs des masses d’eau sont restés jusqu’en version finale (v4), sous la forme de propositions
avec mise en avant dans les avant-projets des documents, de mesures à valider ou à consolider par
l’engagement des acteurs locaux. En version finale du programme de mesures, soumise à l’adoption et
l’approbation du préfet de Mayotte et du comité de bassin, les mesures sont agrégées de manière à faciliter le
rapportage et le suivi du PDM, mais le détail précisant les acteurs concernés, les services référents de l’état ou
des collectivités est conservé par le secrétariat du comité de bassin.
De même, afin de faciliter toute initiative locale, en cours de période, en cohérence avec les priorités
d’actions et orientations du SDAGE, des secteurs prioritaires d’actions sont spécifiquement indiqués dans le
programme de mesures.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
arrêtés et décisions, à l’exception des décrets, dans la limite des attributions de la direction de la sécurité de
l’aviation civile, à M. Rémi Jouty, ingénieur en chef de l’armement.
Art. 2. − Délégation est donnée à l’effet de signer, au nom du ministre chargé des transports, tous actes,
arrêtés et décisions, à l’exception des décrets, dans la limite des attributions de la direction « gestion des
ressources », à M. Philippe Gabouleaud, administrateur hors classe de la ville de Paris.
Art. 3. − Dans la limite des attributions de la direction « gestion des ressources », délégation est donnée à
l’effet de signer, au nom du ministre chargé des transports, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exception des
décrets, dans la limite de leurs attributions respectives, à :
M. Emmanuel Bourdon, conseiller d’administration de l’aviation civile ;
Mme Angélica Sparosvich, conseillère d’administration de l’aviation civile ;
Mme Anne Bourguignon, attachée principale d’administration de l’aviation civile ;
M. Joël Heip, attaché d’administration de l’aviation civile ;
M. Tony Da Mota, attaché d’administration de l’aviation civile ;
M. Alain Saghatélian, assistant d’administration de l’aviation civile de classe exceptionnelle.
Art. 4. − Délégation est donnée à l’effet de signer, au nom du ministre chargé des transports, tous actes,
arrêtés et décisions, à l’exception des décrets, dans la limite des attributions de la direction « coopération
européenne et réglementation de sécurité » à Mme Geneviève Eydaleine, ingénieure générale des ponts, des
eaux et des forêts.
Art. 5. − Dans la limite des attributions de la direction « coopération européenne et réglementation de
sécurité », délégation est donnée à l’effet de signer, au nom du ministre chargé des transports, tous actes,
arrêtés et décisions, à l’exception des décrets, dans la limite de leurs attributions respectives, à :
M. Jean-Yves Pieri, attaché principal d’administration de l’aviation civile ;
M. Karim Bekkouche, attaché d’administration de l’aviation civile ;
M. Georges Thirion, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
M. Philippe Aliotti, ingénieur divisionnaire des travaux publics de l’Etat ;
Mme Aude Bernadac, ingénieure des travaux publics de l’Etat.
Art. 6. − Délégation est donnée à l’effet de signer, au nom du ministre chargé des transports, tous actes,
arrêtés et décisions, à l’exception des décrets, dans la limite des attributions de la direction « personnels
navigants », à :
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 156
M. Pierre Bernard, ingénieur en chef des ponts, des eaux et des forêts ;
M. Yves Le Maître, agent contractuel ;
Mme Isabelle Petroff, ingénieure principale des études et de l’exploitation de l’aviation civile.
Art. 7. − Dans la limite des attributions de la direction « personnels navigants », délégation est donnée à
l’effet de signer, au nom du ministre chargé des transports, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exception des
décrets, dans la limite de leurs attributions respectives, à :
M. Yves Conclois, conseiller d’administration de l’aviation civile ;
Mme Martine Corboliou, conseillère d’administration de l’aviation civile ;
M. Bruno Haller, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
M. René Germa, agent contractuel ;
M. Philippe Vigneault, agent contractuel ;
M. Jean-François Brysbaert, ingénieur des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
Mme Catherine Corvaisier-Blanchard, attachée d’administration de l’aviation civile ;
Mme Patricia Maruani, agente contractuelle ;
Mme Annie Fredon, attachée principale d’administration de l’aviation civile ;
Mme Odile Andréollo, assistante d’administration de l’aviation civile de classe exceptionnelle.
Art. 8. − Délégation est donnée à l’effet de signer, au nom du ministre chargé des transports, tous actes,
arrêtés et décisions, à l’exception des décrets, dans la limite des attributions de la direction « navigabilité et
opérations », à :
M. Bernard Marcou, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts ;
M. Jean-Pierre Mesure, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile.
Art. 9. − Dans la limite des attributions de la direction « navigabilité et opérations », délégation est donnée
à l’effet de signer, au nom du ministre chargé des transports, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exception des
décrets, dans la limite de leurs attributions respectives, à :
M. Didier Serrano, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
Mme Réjane Lavenac, ingénieure principale des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
Mme Mireille Chabroux, ingénieure principale des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
M. Bertrand Cazes, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
Mme Cécile du Cluzel, ingénieure principale des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
M. Jean-Claude Albert, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
M. Joseph Le Tonquèze, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
Mme Florence Leblond, ingénieure principale des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
M. Hugues Le Cardinal, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
Mme Odile Tourret, agente contractuelle ;
M. Benoît Pinon, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
M. Franck Sainton, agent contractuel ;
M. Philippe Auradé, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
M. Jean-Marie Klinka, agent contractuel ;
M. Thomas Iacono, agent contractuel ;
M. Arnaud Grut, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
M. Antoine Hervé, agent contractuel ;
M. Alexandre Leboulanger, agent contractuel.
Art. 10. − Délégation est donnée à l’effet de signer, au nom du ministre chargé des transports, tous actes,
arrêtés et décisions, à l’exception des décrets, dans la limite des attributions de la direction « aéroports et
navigation aérienne », à M. Alain Printemps, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts.
Art. 11. − Dans la limite des attributions de la direction « « aéroports et navigation aérienne », délégation
est donnée à l’effet de signer, au nom du ministre chargé des transports, tous actes, arrêtés et décisions, à
l’exception des décrets, dans la limite de leurs attributions respectives, à :
M. Patrick Disset, ingénieur principal des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
M. Thomas Lévecque, ingénieur des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
Mme Louise Yvette Buard, ingénieure principale des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
Mme Zarasoa Ravo Randria, ingénieure principale des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
Mme Florence Wibaux, ingénieure principale des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
Mme Hélène Bastianelli, ingénieure principale des études et de l’exploitation de l’aviation civile ;
M. Frantz Chout, attaché d’administration de l’aviation civile ;
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 156
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 12 novembre 2009 instituant une commission consultative paritaire des agents non
titulaires de la juridiction administrative recrutés en application de la loi no 84-16 du
11 janvier 1984
NOR : JUSA0926416A
Arrête :
Art. 1 . − Il est institué, auprès du vice-président du Conseil d’Etat, une commission consultative paritaire
er
compétente à l’égard des agents non titulaires du Conseil d’Etat, des tribunaux administratifs, des cours
administratives d’appel et de la Cour nationale du droit d’asile recrutés conformément aux dispositions des
articles 4, 6, 22 bis et 27 de la loi du 11 janvier 1984 susvisée.
Art. 2. − La composition de la commission consultative paritaire instituée par le présent arrêté est fixée
conformément au tableau ci-après :
NOMBRE DE REPRÉSENTANTS
PERSONNEL REPRÉSENTÉ
Du personnel De l’administration
Art. 3. − Les membres de la commission sont désignés pour une période de trois années. Leur mandat peut
être renouvelé.
La durée du mandat peut être réduite ou prorogée, dans l’intérêt du service, par arrêté du vice-président du
Conseil d’Etat. Cette réduction ou prorogation ne peut excéder une durée d’un an.
Art. 4. − Les représentants de l’administration, titulaires ou suppléants, au sein de la commission sont
nommés par décision du vice-président du Conseil d’Etat dans les huit jours qui suivent la proclamation des
résultats des élections prévues à l’article 6.
Ils sont choisis parmi les fonctionnaires de catégorie A ou les agents non titulaires de même niveau exerçant
des fonctions d’encadrement supérieur dans les services du Conseil d’Etat et des juridictions mentionnées à
l’article 1er du présent arrêté.
Les représentants de l’administration, titulaires ou suppléants, de la commission venant, au cours de la
période de quatre années mentionnée à l’article 3, à cesser les fonctions en raison desquelles ils ont été
nommés sont remplacés dans les conditions prévues aux alinéas précédents. Le mandat de leurs successeurs
expire lors du renouvellement de la commission.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 156
Art. 5. − Les représentants du personnel, titulaires ou suppléants, de la commission sont désignés dans les
conditions prévues par l’article 10.
Si, avant l’expiration de son mandat, l’un des représentants titulaires du personnel de la commission se
trouve dans l’impossibilité d’exercer ses fonctions, il est remplacé par son suppléant jusqu’au renouvellement
de la commission. Ce dernier est lui-même remplacé par le premier candidat non élu de la liste au titre de
laquelle le suppléant a été désigné.
Lorsque cette liste se trouve dans l’impossibilité de pourvoir un siège dans les conditions mentionnées à
l’alinéa précédent, le siège laissé vacant est pourvu par voie de tirage au sort parmi les agents non titulaires
remplissant les conditions énoncées à l’article 9.
Art. 6. − Les élections des représentants du personnel à la commission consultative paritaire ont lieu deux
mois au moins avant la date d’expiration du mandat de ses membres en exercice. La date de ces élections est
fixée par le vice-président du Conseil d’Etat.
Art. 7. − Sont électeurs les agents non titulaires mentionnés à l’article 1er, recrutés pour une durée au moins
égale à dix mois et employés sans interruption depuis au moins trois mois à la date du scrutin et qui, à cette
même date, sont en position d’activité ou de congé parental.
Sans préjudice des droits qu’ils conservent dans leur administration d’origine, les fonctionnaires titulaires,
détachés dans un emploi de contractuel, sont électeurs dans leur emploi de détachement.
Art. 8. − La liste des électeurs appelés à voter est arrêtée par le vice-président du Conseil d’Etat. Elle est
affichée deux semaines au moins avant la date fixée pour le scrutin.
Dans les huit jours qui suivent l’affichage, les électeurs peuvent vérifier leur inscription et, le cas échéant,
présenter une demande d’inscription. Dans le même délai, et pendant trois jours à compter de son expiration,
des réclamations peuvent être formulées contre les inscriptions ou les omissions sur la liste des électeurs.
Le vice-président du Conseil d’Etat statue sans délai sur ces réclamations.
Art. 9. − Sont éligibles les agents non titulaires employés sans interruption depuis au moins un an à la date
du scrutin et qui, à cette même date, sont en position d’activité ou de congé parental.
Toutefois, ne peuvent être élus les agents non titulaires en congé de grave maladie, ni ceux placés en congé
sans rémunération, ni ceux frappés d’une des incapacités mentionnées aux articles L. 5 à L. 7 du code électoral,
ni ceux qui ont été frappés d’une exclusion temporaire de fonctions, à moins qu’ils n’aient été amnistiés ou
qu’ils n’aient bénéficié d’une décision acceptant leur demande tendant à ce qu’aucune trace de la sanction
prononcée ne subsiste à leur dossier.
Art. 10. − Chaque liste de candidats comprend au moins autant de noms qu’il y a de postes à pourvoir,
titulaires et suppléants, et peut comprendre jusqu’à cinquante pour cent de candidats supplémentaires, sans qu’il
soit fait mention, pour chacun des candidats, de la qualité de titulaire ou de suppléant.
Les listes de candidats sont déposées par les organisations syndicales au moins six semaines avant la date
fixée pour les élections. Elles portent le nom d’un agent délégué de liste habilité à représenter l’organisation
syndicale dans toutes les opérations électorales ainsi que le nom d’un délégué de liste suppléant.
Le dépôt de chaque liste est accompagné d’une déclaration de candidature signée par chaque candidat.
Aucune liste ne peut être déposée, modifiée ou retirée après la date limite prévue au deuxième alinéa du
présent article.
Art. 11. − Les bulletins de vote et les enveloppes sont établis aux frais de l’administration.
Les bulletins de vote et les enveloppes sont transmis par les soins de l’administration aux agents non
titulaires inscrits sur la liste électorale.
Art. 12. − Le vote a lieu au scrutin secret et sous enveloppe.
Les électeurs ne peuvent voter que pour une liste entière, sans radiation ni adjonction de noms et sans
modification de l’ordre de présentation des candidats. Est nul tout vote exprimé en méconnaissance de cette
disposition.
Le vote a lieu par correspondance uniquement. Le matériel de vote comprend un jeu de trois enveloppes et
un bulletin pour chaque liste de candidats, établis par l’administration.
L’électeur insère son bulletin de vote dans une première enveloppe qui ne doit porter aucune mention
permettant d’en déterminer l’origine. Il place cette première enveloppe préalablement cachetée dans une
deuxième enveloppe, intitulée « commission consultative paritaire », sur laquelle sont inscrits ses nom, prénom,
affectation et signature. Cette deuxième enveloppe, également cachetée, est adressée par voie postale à la
direction des ressources humaines du Conseil d’Etat sous une troisième enveloppe libellée à cet effet.
Art. 13. − Un bureau de vote central, composé d’un président, d’un secrétaire et d’un délégué de chaque
liste en présence, est constitué auprès du vice-président du Conseil d’Etat afin de procéder au dépouillement et
à la proclamation des résultats.
Le bureau de vote central constate le nombre total de votants et détermine le nombre total de suffrages
valablement exprimés ainsi que le nombre de voix obtenues par chaque liste. Il détermine, en outre, le quotient
électoral en divisant le nombre total de suffrages valablement exprimés par le nombre de représentants titulaires
à élire.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 156
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 156
Art. 21. − Toutes facilités doivent être données aux membres de la commission pour exercer leurs
fonctions.
L’ordre du jour de chaque réunion est porté à la connaissance de l’ensemble des membres, titulaires et
suppléants, quinze jours au moins avant la tenue de la séance. Toutes pièces et documents nécessaires à
l’accomplissement de leur mission leur sont communiqués huit jours au moins avant la date de la séance.
Les membres de la commission et les experts sont soumis à l’obligation de discrétion professionnelle en ce
qui concerne tous les faits et documents dont ils ont connaissance en leur qualité.
Une autorisation d’absence est accordée aux représentants du personnel pour leur permettre de participer aux
réunions de la commission, sur simple présentation de leur convocation.
Art. 22. − Le vice-président du Conseil d’Etat est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 12 novembre 2009.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur du cabinet,
F. MOLINS
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TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté de la ministre d’Etat, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, en date du
8 décembre 2009, indépendamment des dispositions législatives et réglementaires relatives aux emplois réservés
aux bénéficiaires du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de la guerre et des dispositions
législatives et réglementaires autorisant le recrutement par la voie contractuelle des bénéficiaires de l’obligation
d’emploi mentionnée à l’article 27 de la loi du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires
relatives à la fonction publique de l’Etat, le nombre total des postes offerts au titre de l’année 2009 aux
concours externe et interne pour le recrutement de lieutenants pénitentiaires, ouvert par arrêté du 7 juillet 2009,
est fixé à 52, réparti de la manière suivante :
– concours externe : 16 places ;
– concours interne : 36 places.
9 postes seront offerts aux bénéficiaires du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de la
guerre dans les services déconcentrés de l’administration pénitentiaire.
A défaut de candidat qualifié inscrit sur la liste d’aptitude établie par le ministre chargé de la défense en
application des dispositions du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de la guerre pour
exercer les fonctions de lieutenant pénitentiaire, les emplois vacants ne peuvent être pourvus qu’en satisfaisant
aux priorités définies à l’article L. 406 du même code et selon la procédure définie aux articles R. 408 et
suivants du même code.
A défaut de candidat qualifié pour exercer les fonctions de lieutenant pénitentiaire ou en cas de refus des
candidats, l’emploi non pourvu dans les conditions définies à l’article L. 406 s’ajoute aux emplois à pourvoir
au titre du recrutement suivant dans les conditions définies à l’article R. 412.
5 places seront en outre offertes par la voie contractuelle à des travailleurs handicapés en application de
l’article 10 du décret no 95-979 du 25 août 1995.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 9 décembre 2009 autorisant l’ouverture au titre de l’année 2010 d’un concours
professionnel pour l’accès au grade de premier surveillant de l’administration pénitentiaire
NOR : JUSK0929211A
Par arrêté de la ministre d’Etat, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, en date du
9 décembre 2009, est autorisée au titre de l’année 2010 l’ouverture d’un concours professionnel pour l’accès au
grade de premier surveillant de l’administration pénitentiaire.
Le nombre total de places offertes fera l’objet d’un arrêté ultérieur.
Les épreuves d’admissibilité se dérouleront le mercredi 10 mars 2010.
Les modalités d’inscription au concours sont les suivantes :
La date limite de retrait et de clôture des inscriptions est fixée au mercredi 10 février 2010.
Les registres d’inscription seront ouverts jusqu’au mercredi 10 février 2010, à minuit, heure de Paris.
En cas d’impossibilité de s’inscrire par téléprocédure, les candidats conservent la possibilité de retirer le
dossier imprimé établi à cette fin jusqu’au mercredi 10 février 2010 en s’adressant à l’unité recrutement de la
direction interrégionale des services pénitentiaires dont ils dépendent.
La date de fin de saisie des inscriptions sur le site Apnet est fixée au mercredi 10 février 2010, à minuit,
heure de Paris, date de clôture des inscriptions.
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TEXTES GÉNÉRAUX
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi,
Vu le code de commerce, notamment ses articles L. 145-34 et L. 145-38 ;
Vu le code monétaire et financier, notamment son article L. 112-2,
Décrète :
Art. 1 . − L’indice relatif au coût de la construction mentionné à l’article L. 112-2 du code monétaire et
er
financier et aux articles L. 145-34 et L. 145-38 du code de commerce est l’indice du coût de la construction
publié chaque trimestre au Journal officiel de la République française par l’Institut national de la statistique et
des études économiques.
Art. 2. − Cet indice mesure l’évolution du prix des marchés de constructions neuves passés entre les
maîtres d’ouvrage et les entreprises assurant les travaux de bâtiment.
Les opérations de réhabilitation et les travaux d’entretien ne sont pas pris en compte pour le calcul de cet
indice.
Art. 3. − Sont abrogés :
– le décret no 82-898 du 19 octobre 1982 relatif au calcul de l’indice national pris en compte pour la
révision des loyers des contrats de location en application de l’article 58 de la loi no 82-526 du 22 juin 1982
relative aux droits et obligations des locataires et des bailleurs ;
– le décret no 85-487 du 3 mai 1985 relatif au calcul de l’indice national prévu à l’article 7 de la loi
no 84-595 du 12 juillet 1984 définissant la location-accession à la propriété immobilière.
Art. 4. − Le ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en
charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, la ministre de l’économie, de l’industrie et de
l’emploi et le secrétaire d’Etat chargé du commerce, de l’artisanat, des petites et moyennes entreprises, du
tourisme, des services et de la consommation sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du
présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 15 décembre 2009.
FRANÇOIS FILLON
Par le Premier ministre :
La ministre de l’économie,
de l’industrie et de l’emploi,
CHRISTINE LAGARDE
Le ministre d’Etat, ministre de l’écologie,
de l’énergie, du développement durable et de la mer,
en charge des technologies vertes
et des négociations sur le climat,
JEAN-LOUIS BORLOO
Le secrétaire d’Etat
chargé du commerce, de l’artisanat,
des petites et moyennes entreprises,
du tourisme, des services et de la consommation,
HERVÉ NOVELLI
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Animer une équipe et contrôler son travail au service des étages d’un Organiser le travail des équipes du service des étages d’un établissement
établissement hôtelier ou parahôtelier. hôtelier ou parahôtelier et contrôler la qualité de la production.
Organiser le travail des équipes intervenant au service envers la clientèle, y Animer le personnel des étages et répondre aux attentes des clients par une
compris en anglais. communication adaptée, y compris en anglais.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 156
ANNEXE
INFORMATIONS REQUISES POUR L’INSCRIPTION DU TITRE PROFESSIONNEL
AU RÉPERTOIRE NATIONAL DES CERTIFICATIONS PROFESSIONNELLES
Intitulé :
Titre professionnel : gouvernant(e) en hôtellerie.
Niveau : IV.
Code NSF : 334 t.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 156
Code ROME :
13131 - Gouvernant(e) en établissement hôtelier.
Réglementation de l’activité :
Néant.
Autorité responsable de la certification :
Ministère chargé de l’emploi.
Bases légales et réglementaires :
Articles L. 335-5 et suivants et R. 338-1 et suivants du code de l’éducation ;
Arrêté du 9 mars 2006 relatif aux conditions de délivrance du titre professionnel du ministère chargé de
l’emploi.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 28 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en
charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, et de la ministre de l’économie, de l’industrie
et de l’emploi en date du 7 décembre 2009, la cession par Electricité de France SA et Charbonnages de France
de leur participation résiduelle respective de 18,75 % et 16,25 % du capital de la Société nationale d’électricité
et de thermique, pour un montant de 192 916 031 € et 167 233 974 €, est approuvée.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales,
Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment son article L. 421-14 ;
Vu la loi no 2007-1824 du 25 décembre 2007 de finances rectificative pour 2007 ;
Vu la loi no 2008-1425 du 27 décembre 2008 de finances pour 2009, notamment son article 49 ;
Vu le décret no 2006-464 du 20 avril 2006 relatif à la formation des assistants maternels ;
Vu l’avis du comité des finances locales du 19 mai 2009 ;
Vu l’avis de la commission consultative d’évaluation des normes du 2 juillet 2009,
Décrète :
Art. 1 . − Le calcul de la compensation financière mentionnée au deuxième alinéa du I de l’article 49 de la
er
loi no 2008-1425 du 27 décembre 2008 de finances pour 2009, au titre de l’allongement de la durée de la
formation initiale obligatoire des assistants maternels, s’opère dans les conditions suivantes :
– le nombre d’assistants maternels agréés au 1er janvier 2007 correspond à la moyenne des agréments
délivrés au cours des trois années précédentes, soit 2004, 2005 et 2006, par les départements ;
– la durée supplémentaire de formation initiale obligatoire est de 60 heures ; et
– le coût horaire de formation est fixé à 6,70 euros en valeur 2006, correspondant au rapport entre le
montant total des dépenses consacrées par l’ensemble des départements à la formation initiale obligatoire
des assistants maternels en 2004 et le nombre total d’heures de formation initiale obligatoire des assistants
maternels réalisées la même année au niveau de l’ensemble des départements.
Art. 2. − Le calcul de la compensation financière mentionnée au troisième alinéa du I de l’article 49 de la
loi no 2008-1425 du 27 décembre 2008 de finances pour 2009, au titre de l’instauration de la formation
d’initiation aux gestions de secourisme pour les assistants maternels, s’opère dans les conditions suivantes :
– le nombre d’assistants maternels agréés au 1er janvier 2007 correspond à la moyenne des agréments
délivrés au cours des trois années précédentes, soit 2004, 2005 et 2006, par les départements ;
– la durée de la formation d’initiation aux gestions de secourisme est de 10 heures, par référence à la durée
de l’enseignement « prévention et secours civiques de niveau 1 » prévu par le référentiel national de
compétences de sécurité civile ; et
– le coût horaire de formation est fixé à 7,76 euros en valeur 2006, par référence aux prix proposés par les
organismes de formation spécialisés et agréés.
Art. 3. − Le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales, le ministre du travail, des
relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville et le ministre du budget, des comptes publics, de
la fonction publique et de la réforme de l’Etat sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du
présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 15 décembre 2009.
FRANÇOIS FILLON
Par le Premier ministre :
Le ministre de l’intérieur,
de l’outre-mer et des collectivités territoriales,
BRICE HORTEFEUX
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 156
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TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 30 novembre 2009 modifiant l’arrêté du 9 février 1998 fixant la liste des centres et
instituts dont les stages ou sessions ouvrent droit au congé pour formation syndicale des
agents de la fonction publique territoriale
NOR : IOCB0928763A
Arrête :
Art. 1er. − Après le huitième alinéa de l’article 1er de l’arrêté du 9 février 1998 susvisé, il est inséré un
alinéa ainsi rédigé :
« Centre fédéral de formation syndicale de la Fédération syndicale unitaire (FSU), 104, rue Romain-Rolland,
93260 Les Lilas ; ».
Art. 2. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 30 novembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général
des collectivités locales,
E. JALON
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 31 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 8 décembre 2009 autorisant au titre de l’année 2010 l’ouverture d’un examen
professionnel de technicien de classe exceptionnelle des systèmes d’information et de
communication du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales
NOR : IOCA0926897A
Par arrêté du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales en date du 8 décembre
2009, est autorisée au titre de l’année 2010 l’ouverture d’un examen professionnel en vue de l’établissement du
tableau d’avancement au grade de technicien de classe exceptionnelle des systèmes d’information et de
communication du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales.
Le nombre de postes ouverts sera fixé ultérieurement par arrêté ministériel.
La demande d’admission à concourir s’effectue au choix du candidat :
a) Soit par voie télématique, sur le site internet du ministère de l’intérieur : www.interieur.gouv.fr, à la
rubrique « A votre service – métiers et concours – filière SIC – catégorie B – examen professionnel ».
La date limite de clôture des inscriptions par voie télématique est fixée au 27 janvier 2010, à 18 heures
(heure de Paris), terme de rigueur.
Le candidat doit impérativement procéder à la validation de son inscription sur le service télématique dans le
délai de rigueur pour que sa candidature soit regardée comme valable ;
b) Soit par voie postale :
Les modalités de retrait du formulaire d’inscription sont les suivantes :
– par téléchargement, sur le site internet du ministère de l’intérieur : www.interieur.gouv.fr, à la rubrique
« A votre service – métiers et concours – filière SIC – catégorie B – examen professionnel » ; la date
limite de retrait du formulaire d’inscription par téléchargement est fixée au 29 janvier 2010, à 18 heures
(heure de Paris), terme de rigueur ;
– par demande écrite aux adresses indiquées dans le paragraphe suivant, en joignant à la demande une
enveloppe format A4, affranchie à 1,35 €, libellée aux nom et adresse du candidat auprès :
– soit des secrétariats généraux pour l’administration de la police ou des délégations régionales (Dijon,
Lille, Lyon, Marseille, Metz, Toulouse, Tours) ;
– soit des préfectures suivantes : Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Polynésie française,
Saint-Pierre-et-Miquelon, Mayotte, Nouvelle-Calédonie, Wallis-et-Futuna ;
– soit du bureau du recrutement et de la promotion professionnelle de la sous-direction du recrutement et
de la formation du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales ;
– par retrait sur place aux adresses suivantes :
Pour la métropole, auprès des secrétariats généraux pour l’administration de la police ou des délégations
régionales (Dijon : direction administrative, bureau du recrutement, cité Eiffel, 6-8, rue de Chenôve,
21041 Dijon Cedex [téléphone : 03-80-44-59-42] ; Lille : direction administrative, cité administrative, 1, rue
de Tournai, BP 2012, 59012 Lille Cedex [téléphone : 03-20-62-49-49] ; Lyon : direction administrative,
bureau du recrutement, préfecture du Rhône, 106, rue Pierre-Corneille, 69419 Lyon Cedex 03 [téléphone :
04-72-84-54-58] ; Marseille : direction administrative, 299, chemin Sainte-Marthe, 13313 Marseille Cedex 14
[téléphone : 04-95-05-92-22] ; Metz : direction administrative, bureau du recrutement, espace Riberpray, rue
Belle-Isle, BP 51064, 57036 Metz Cedex 01 [téléphone : 03-87-16-21-98] ; Toulouse : ZI en Jacca, 4, chemin
de Bordeblanque, BP 30321, 31776 Colomiers Cedex [téléphone : 05-34-55-49-23] ; Tours : direction
administrative, 30, rue du Mûrier, BP 10700, 37542 Saint-Cyr-sur-Loire Cedex [téléphone :
02-47-42-89-45]) ;
Pour l’outre-mer, auprès des préfectures suivantes (préfecture de la Guadeloupe, service du personnel,
secrétariat général, palais d’Orléans, rue Lardenois, 97100 Basse-Terre Cedex [téléphone : 05-90-99-38-22] ;
préfecture de la Guyane, service des personnels et du budget, bureau des ressources humaines, rue Friedmon,
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 31 sur 156
97307 Cayenne Cedex [téléphone : 05-94-39-46-28] ; préfecture de la Martinique, 82, rue Victor-Sévère,
97262 Fort-de-France Cedex [téléphone : 05-96-39-36-13] ; préfecture de La Réunion, centre d’examen de
Saint-Denis de La Réunion, place du Barachois, 97400 Saint-Denis [téléphone : 02-62-40-76-23] ; haut-
commissariat de la Polynésie française, bureau des ressources et des traitements, BP 115, 98700 Papeete
[téléphone : 06-89-50-60-56] ; préfecture de Saint-Pierre-et-Miquelon, place du Lieutenant-Colonel-Pigeaud,
97500 Saint-Pierre-et-Miquelon [téléphone : 05-08-41-45-76] ; préfecture de Mayotte, bureau des ressources
humaines, BP 676, 97600 Mamoudzou [téléphone : 02-69-63-51-25] ; haut-commissariat de Nouvelle-
Calédonie, direction des ressources humaines, des moyens et de l’informatique, service formation
recrutement, BP C5, 98844 Nouméa Cedex [téléphone : 06-87-23-04-50] ; préfecture de Wallis-et-Futuna,
bureau des ressources humaines, Mata Utu [téléphone : 06-81-72-27-27]) ;
Auprès du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales, bureau du recrutement et
de la promotion professionnelle, pôle concours, 27, cours des Petites-Ecuries, 77185 Lognes (téléphone :
01-60-37-13-17).
La date limite de retrait du formulaire d’inscription par courrier ou retrait sur place est fixée au 22 janvier
2010, terme de rigueur.
Les modalités de transmission des demandes d’admission à concourir par voie postale sont les suivantes :
– pour les candidats résidant en province : les demandes d’admission à concourir devront être adressées
au secrétariat général pour l’administration de la police ou à la délégation régionale du SGAP de leur
choix (Dijon, Lille, Lyon, Marseille, Metz, Toulouse et Tours) (cf. article 3) ;
– pour les candidats résidant dans les départements et collectivités d’outre-mer : les demandes d’admission
à concourir devront être adressées à la préfecture de leur choix (Guadeloupe, Guyane, Martinique,
La Réunion, Polynésie française, Saint-Pierre-et-Miquelon, Mayotte, Nouvelle-Calédonie) (cf. article 3) ;
– pour les candidats résidant à Paris et en région Ile-de-France : les demandes d’admission à concourir
devront être adressées au ministère de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales,
SG/DRH/SDRF/BRPP, pôle concours, examen professionnel de technicien de classe exceptionnelle,
27, cours des Petites-Ecuries, 77185 Lognes (téléphone : 01-60-37-13-17).
Les demandes d’admission à concourir devront être accompagnées d’une enveloppe autocollante (format
standard) affranchie au tarif en vigueur, libellée aux nom et adresse du candidat.
Toute demande d’admission à concourir incomplète ou mal renseignée sera rejetée.
La date limite de clôture des inscriptions est fixée au 29 janvier 2010, terme de rigueur (le cachet de la poste
faisant foi).
Les pièces justificatives nécessaires devront être adressées au centre d’examen choisi par le candidat, au plus
tard le 29 janvier 2010 (le cachet de la poste faisant foi).
La date prévisionnelle de l’épreuve écrite d’admissibilité est fixée au 11 mars 2010. Cette épreuve se
déroulera dans les centres d’examen suivants : Dijon, Lille, Lyon, Marseille, Metz, Tours, Toulouse et Arcueil
(Val-de-Marne).
Dans la mesure où au moins une candidature y serait enregistrée, des centres d’examen seront ouverts dans
les départements et les collectivités d’outre-mer suivants : Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion,
Polynésie française, Saint-Pierre-et-Miquelon, Mayotte, Nouvelle-Calédonie.
L’épreuve orale d’admission se déroulera à Lognes (Seine-et-Marne) aux dates prévisionnelles suivantes :
entre le 15 juin et le 2 juillet 2010.
La composition du jury et la liste des candidats autorisés à concourir feront l’objet d’arrêtés ultérieurs du
ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales.
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrête :
Art. 1 . − En application du décret du 17 avril 2008 et l’arrêté du 27 octobre 2009 susvisé, le montant de
er
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Décide :
Art. 1er. − La décision du 9 septembre 2009 susvisée est modifiée conformément aux dispositions des
articles 2 et 3 de la présente décision.
Art. 2. − A l’article 8, après les mots : « M. Roland GAUZE, contrôleur général, directeur interrégional de
la police judiciaire de Marseille », il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« M. Christian SIVY, commissaire divisionnaire, directeur interrégional adjoint de la police judiciaire de
Marseille. »
Art. 3. − A l’article 9, les mots : « M. Christian SIVY, commissaire divisionnaire, directeur adjoint du
service régional de police judiciaire de Rouen » sont supprimés.
Art. 4. − La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 11 décembre 2009.
C. LOTHION
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville et du
ministre de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche,
Vu le code du travail, notamment ses articles L. 4412-1, L. 4722-1 et L. 4722-2 ;
Vu le décret no 88-448 du 26 avril 1988 relatif à la protection des travailleurs exposés aux gaz destinés aux
opérations de fumigation ;
Vu l’avis de la commission nationale d’hygiène et de sécurité du travail en agriculture en date du
20 février 2008 et du 17 avril 2008 ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de la prévention des risques professionnels en date du 22 février 2008 ;
Vu l’avis de la commission consultative d’évaluation des normes du Comité des finances locales en date du
8 janvier 2009 ;
Le Conseil d’Etat (section sociale) entendu,
Décrète :
Art. 1 . − Le paragraphe 1 de la sous-section 5 de la section 1 du chapitre II du titre Ier du livre IV de la
er
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 156
Art. 2. − Au premier alinéa de l’article R. 4412-32, les mots : « à l’article R. 4412-51 » sont remplacés par
les mots : « à l’article R. 4412-51-1 ».
Art. 3. − L’article R. 4412-51 du code du travail est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. R. 4412-51. − Le médecin du travail prescrit les examens médicaux nécessaires à la surveillance
biologique des expositions aux agents chimiques. Le travailleur est informé par le médecin des résultats de ces
examens et de leur interprétation.
« Le médecin du travail informe l’employeur de l’interprétation anonyme et globale des résultats de cette
surveillance biologique des expositions aux agents chimiques, en garantissant le respect du secret médical. »
Art. 4. − Après l’article R. 4412-51 du code du travail, il est inséré deux articles R. 4412-51-1
et R. 4412-51-2 ainsi rédigés :
« Art. R. 4412-51-1. − Les analyses destinées à vérifier le respect des valeurs limites biologiques fixées par
décret sont réalisées par les organismes mentionnés à l’article R. 4724-15.
« En cas de dépassement, le médecin du travail, s’il considère que ce dépassement résulte de l’exposition
professionnelle, en informe l’employeur, sous une forme non nominative.
« Art. R. 4412-51-2. − Un arrêté conjoint des ministres chargés du travail et de l’agriculture précise les
modalités ainsi que les méthodes à mettre en œuvre pour le contrôle du respect des valeurs limites
biologiques. »
Art. 5. − Le paragraphe 1 de la sous-section 4 de la section 2 du chapitre II du titre Ier du livre IV de la
partie IV du code du travail est remplacé par les dispositions suivantes :
« Paragraphe 1
« Contrôle des valeurs limites
d’exposition professionnelle
« Art. R. 4412-76. − L’employeur procède de façon régulière au mesurage de l’exposition des travailleurs
aux agents cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction présents dans l’atmosphère des lieux de
travail.
« Lorsque des valeurs limites d’exposition professionnelle ont été établies, en application des
articles R. 4412-149 ou R. 4412-150, pour un agent cancérogène, mutagène ou toxique pour la reproduction,
l’employeur fait procéder à des contrôles techniques par un organisme accrédité dans les conditions prévues
aux articles R. 4724-8 à R. 4724-13.
« Ces contrôles techniques sont effectués au moins une fois par an et lors de tout changement susceptible
d’avoir des conséquences néfastes sur l’exposition des travailleurs. Ils donnent lieu à un rapport, communiqué
conformément aux dispositions de l’article R. 4412-79.
« Art. R. 4412-77. − En cas de dépassement d’une valeur limite d’exposition professionnelle contraignante
prévue à l’article R. 4412-149, l’employeur arrête le travail aux postes de travail concernés, jusqu’à la mise en
œuvre des mesures propres à assurer la protection des travailleurs.
« Art. R. 4412-78. − En cas de dépassement d’une valeur limite d’exposition professionnelle indicative
prévue à l’article R. 4412-150, l’employeur procède à l’évaluation des risques afin de déterminer des mesures
de prévention et de protection adaptées.
« Art. R. 4412-79. − Les résultats des mesurages et les rapports de contrôle technique sont communiqués
par l’employeur au médecin du travail et au comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail ou, à
défaut, aux délégués du personnel.
« Ils sont tenus à la disposition de l’inspecteur du travail, du médecin inspecteur du travail ainsi que des
agents des services de prévention des organismes de sécurité sociale.
« Art. R. 4412-80. − Les mesurages et les contrôles techniques opérés en application du présent paragraphe
doivent respecter les modalités et les méthodes fixées en application de l’article R. 4412-151. »
Art. 6. − L’article R. 4412-82 du code du travail est ainsi modifié :
1o Au premier alinéa, la référence à l’article R. 4412-51 est remplacée par une référence à
l’article R. 4412-51-1 ;
2o Le 4o est remplacé par les dispositions suivantes :
« 4o Arrête le travail aux postes concernés jusqu’à la mise en œuvre des mesures propres à assurer la
protection des travailleurs. »
Art. 7. − L’article R. 4412-153 du code du travail est abrogé.
Art. 8. − La sous-section 2 de la section 4 du chapitre II du titre II du livre VII de la partie IV du code du
travail est remplacée par les dispositions suivantes :
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 156
« Sous-section 2
« Contrôle des valeurs limites d’exposition professionnelle
« Art. R. 4722-13. − L’inspecteur ou le contrôleur du travail peut demander à l’employeur de faire procéder
à un contrôle technique des valeurs limites d’exposition professionnelle par un organisme accrédité
conformément aux articles R. 4724-8 à R. 4724-13.
« Il fixe le délai dans lequel l’organisme accrédité doit être saisi.
« Art. R. 4722-14. − L’employeur justifie qu’il a saisi l’organisme accrédité pendant le délai qui lui a été
fixé et transmet à l’inspecteur ou au contrôleur du travail les résultats dès leur réception. »
Art. 9. − La sous-section 2 de la section 4 du chapitre IV du titre II du livre VII de la partie IV du code du
travail est remplacée par les dispositions suivantes :
« Sous-section 2
« Contrôle des valeurs limites d’exposition professionnelle
« Art. R. 4724-8. − Les contrôles techniques destinés à vérifier, en application des articles R. 4412-27
et R. 4412-76, le respect des valeurs limites d’exposition professionnelle aux agents chimiques fixées par les
articles R. 4412-149 et R. 4412-150 sont réalisés par un organisme accrédité dans ce domaine.
« Art. R. 4724-9. − L’organisme accrédité, dont le personnel est tenu au secret professionnel, est
indépendant des établissements qu’il contrôle. Il possède les compétences spécifiques requises pour chacun des
agents chimiques sur lesquels il opère des contrôles techniques.
« Art. R. 4724-10. − L’organisme accrédité établit la stratégie de prélèvement, après consultation de
l’employeur, du médecin du travail et du comité d’hygiène et de sécurité du travail ou, à défaut, des délégués
du personnel. L’employeur lui communique toutes données utiles, notamment le résultat de l’évaluation des
risques chimiques.
« Les prélèvements sont faits par l’organisme accrédité sur des postes de travail en situation représentative de
l’exposition.
« Art. R. 4724-11. − L’organisme accrédité qui établit la stratégie de prélèvement et effectue les
prélèvements dans l’entreprise est maître d’œuvre du contrôle technique. Il peut sous-traiter la prestation
d’analyse en la confiant à un autre organisme accrédité.
« Art. R. 4724-12. − Indépendamment de la communication du rapport prévue à l’article R. 4412-30,
l’organisme maître d’œuvre du contrôle technique communique les résultats à un organisme national désigné
par arrêté des ministres chargés du travail et de l’agriculture. Ce dernier les exploite, dans le respect de
l’anonymat des entreprises concernées, à des fins d’études et d’évaluation.
« Art. R. 4724-13. − Des arrêtés des ministres chargés du travail et de l’agriculture précisent :
« 1o Les conditions d’accréditation des organismes chargés des contrôles techniques, qui comportent le
respect des dispositions de l’article R. 4412-151, des articles R. 4724-9 à R. 4724-12 et des normes techniques
européennes en vigueur, ainsi que la vérification de leur capacité d’intervention dans des délais appropriés pour
réaliser les contrôles techniques ;
« 2o Les modalités de communication des résultats à l’organisme national mentionné à l’article R. 4724-12. »
Art. 10. − La sous-section 4 de la section 4 du chapitre IV du titre II du livre VII de la partie IV du code
du travail est remplacée par les dispositions suivantes :
« Sous-section 4
« Contrôle des valeurs limites biologiques
« Art. R. 4724-15. − Les analyses destinées à vérifier le respect des valeurs limites biologiques fixées par
décret sont réalisées par un organisme accrédité dans ce domaine.
« Art. R. 4724-15-1. − L’organisme accrédité, dont le personnel est tenu au secret professionnel, est
indépendant des établissements qu’il contrôle. Il possède les compétences spécifiques requises pour chacun des
agents chimiques sur lesquels il conduit ses analyses.
« Art. R. 4724-15-2. − Un arrêté des ministres chargés du travail et de l’agriculture précise les conditions
d’accréditation des organismes chargés des analyses, qui comportent le respect des dispositions des
articles R. 4412-51-2 et R. 4724-15-1 et des normes techniques européennes en vigueur. »
Art. 11. − Dans le décret du 26 avril 1988 susvisé :
1o Il est inséré à l’article 2 un dernier alinéa ainsi rédigé :
« Pour l’application des dispositions de la quatrième partie du code du travail, ces concentrations sont
regardées comme constitutives de valeurs limites d’exposition professionnelle, au sens de l’article R. 4412-149
du même code. » ;
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 156
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 15 décembre 2009 relatif aux contrôles techniques des valeurs limites d’exposition
professionnelle sur les lieux de travail et aux conditions d’accréditation des organismes
chargés des contrôles
NOR : MTST0924705A
Arrêtent :
TITRE Ier
CONDITIONS D’ACCRÉDITATION DES ORGANISMES
CHARGÉS DES CONTRÔLES TECHNIQUES
Art. 1er. − Un contrôle technique destiné à vérifier le respect des valeurs limites d’exposition
professionnelle est constitué par la réalisation des quatre prestations suivantes :
1o L’établissement de la stratégie de prélèvement ;
2o La réalisation des prélèvements ;
3o L’analyse des prélèvements ;
4o L’établissement du diagnostic de respect ou de dépassement de la valeur limite d’exposition
professionnelle.
Art. 2. − Les organismes peuvent choisir la spécialité « prélèvement » ou la spécialité « analyse ».
Les organismes optant pour la spécialité « prélèvement » sont accrédités pour effectuer les prestations
relatives à l’établissement de la stratégie de prélèvement, aux prélèvements et à l’établissement du diagnostic
de respect ou de dépassement de la valeur limite d’exposition professionnelle.
Les organismes optant pour la spécialité « analyse » sont accrédités uniquement pour effectuer la prestation
d’analyse.
Art. 3. − Les organismes effectuant des contrôles techniques destinés à vérifier le respect des valeurs
limites d’exposition professionnelle sont accrédités par un organisme d’accréditation mentionné à
l’article R. 4724-1 du code du travail sur la base du respect d’un référentiel d’accréditation comportant la
norme NF EN ISO/CEI 17025 « Exigences générales concernant la compétence des laboratoires d’étalonnage
et d’essais - Septembre 2005 » ainsi que les exigences définies aux articles 4 et 5.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 156
A compter du 1er juillet 2011, les organismes effectuant des contrôles techniques destinés à vérifier le respect
des valeurs limites d’exposition professionnelle sont en outre accrédités sur la base des exigences du titre II du
présent arrêté et selon les modalités prévues à l’annexe 3.
A compter du 1er janvier 2013, les organismes effectuant des contrôles techniques destinés à vérifier le
respect des valeurs limites d’exposition professionnelle sont en outre accrédités sur la base des exigences du
titre III du présent arrêté.
Art. 4. − Les organismes accrédités pour la prestation d’analyse participent régulièrement, à leurs frais, à
des comparaisons interlaboratoires lorsqu’elles sont organisées pour l’agent chimique ou la technique analytique
concernés.
Ces comparaisons sont effectuées auprès de l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention
des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) ou tout autre organisme organisateur de
comparaisons interlaboratoires accrédité selon la norme ISO/CEI 17025 en combinaison avec le
guide ISO/CEI 43-1 selon les recommandations du guide ILAC G13.
Les résultats des organismes à ces comparaisons sont pris en compte par l’organisme d’accréditation
mentionné à l’article R. 4724-1 du code du travail pour la délivrance, la suspension ou le retrait de
l’accréditation.
Art. 5. − Les résultats des contrôles techniques figurent dans un rapport d’essais, dont une version est
établie en langue française, portant le logotype de l’organisme d’accréditation mentionné à l’article R. 4724-1
du code du travail.
Lorsque la prestation d’analyse est sous-traitée, le rapport d’analyse doit être intégré in extenso au rapport
d’essais.
TITRE II
COMMUNICATION DES RÉSULTATS
DES CONTRÔLES TECHNIQUES
Art. 6. − L’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des
maladies professionnelles (INRS) est désigné au titre de l’article R. 4724-12 du code du travail pour collecter
et exploiter les résultats des contrôles techniques.
Art. 7. − Ces résultats sont adressés par l’organisme maître d’œuvre du contrôle technique tel que défini à
l’article R. 4724-11 du code du travail conformément aux spécifications techniques de transmission
informatique et de présentation des résultats précisées par l’INRS.
Cette transmission doit être effectuée dans un délai maximal de trois mois à compter de l’émission du
rapport d’essai.
TITRE III
MODALITÉS ET MÉTHODES À METTRE EN ŒUVRE POUR LE CONTRÔLE
DU RESPECT DES VALEURS LIMITES D’EXPOSITION PROFESSIONNELLE
Art. 8. − Les modalités et méthodes générales à mettre en œuvre pour le contrôle du respect des valeurs
limites d’exposition professionnelle sont définies en annexes 1 et 2.
TITRE IV
DISPOSITIONS DIVERSES
Art. 9. − L’article 2 de l’arrêté du 20 décembre 2004 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. 2. − Les contrôles techniques sont effectués par un organisme accrédité conformément aux
articles R. 4724-8 à R. 4724-13 du code du travail.
Les organismes chargés des contrôles sont accrédités conformément à l’arrêté prévu à l’article R. 4412-31 du
code du travail. Le référentiel d’accréditation comporte en outre la méthode décrite à l’article 1er ci-dessus. »
Art. 10. − Les dispositions suivantes sont abrogées :
1o L’arrêté du 20 août 1996 relatif au contrôle de qualité auquel doivent satisfaire les organismes sollicitant
l’agrément pour le contrôle de certains risques chimiques prévu à l’article R. 231-55 du code du travail ;
2o L’arrêté du 1er mars 1986 fixant les modalités d’application des articles 2, 5 et 6 du décret no 86-269 du
13 février 1986 relatif à la protection des travailleurs exposés au benzène ;
3o Les sections I et II ainsi que l’article 12 de l’arrêté du 11 avril 1988 relatif au contrôle de l’exposition
des travailleurs au plomb métallique et à ses composés.
Art. 11. − Le directeur général du travail au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la
solidarité et de la ville et le directeur des affaires financières, sociales et logistiques au ministère de
l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du
présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 15 décembre 2009.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 156
ANNEXE 1
MODALITÉS ET MÉTHODES GÉNÉRALES POUR LE CONTRÔLE DU RESPECT
DES VALEURS LIMITES D’EXPOSITION PROFESSIONNELLE (VLEP)
1. Principes
1.1. Introduction
Evaluer de façon représentative l’exposition professionnelle aux polluants est une tâche difficile. Les
procédés et produits industriels sont très nombreux. Chaque phase de fabrication peut correspondre à des
rythmes de production différents, faire intervenir une grande variété d’agents chimiques et donc présenter des
conditions d’exposition spécifiques. La distance du poste de travail par rapport aux sources d’émission et les
paramètres tels que l’intensité de l’émission, la ventilation, les variations météorologiques et saisonnières
peuvent avoir également une influence très marquée. Cette variabilité spatiale et temporelle des conditions
d’exposition est encore renforcée par celle des pratiques individuelles et du geste professionnel lui-même.
C’est pourquoi, quelques mesurages réalisés sur un seul jour ou dans une période trop restreinte fournissent
un aperçu insuffisant de la variabilité réelle de l’exposition individuelle. Il apparaît indispensable d’établir une
stratégie de prélèvement basée sur plusieurs campagnes de mesurage effectuées dans des périodes de temps
prenant en compte les principaux facteurs de variabilité des expositions. Une interprétation statistique des
résultats permet alors d’évaluer la probabilité de dépassement de la valeur limite (VLEP) qui doit être
inférieure ou égale à 5 % pour s’assurer du respect de cette VLEP (i.e. le percentile 95 de la distribution des
expositions doit être inférieur à la VLEP).
Le contrôle technique est :
– soit une évaluation initiale de l’exposition ;
– soit un contrôle périodique permettant de vérifier que l’exposition est toujours inférieure à la VLEP.
Afin de réduire le nombre de mesures d’exposition, le contrôle technique concerne des Groupes d’Exposition
Homogène (GEH) identifiés au sein de l’établissement.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 156
Pour l’évaluation initiale et le contrôle périodique, les organismes accrédités prennent en compte, le cas
échéant, les mesurages effectués par les laboratoires des caisses régionales d’assurance maladie, les services de
santé au travail ou les mesurages internes effectués par l’employeur.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 156
Le traitement par l’organisme de contrôle de ces situations particulières doit être explicité et justifié dans le
rapport d’essais.
2. Stratégie de prélèvement
Chaque fois que cela est techniquement possible, l’exposition est mesurée au moyen d’un échantillonneur
individuel placé dans la zone respiratoire du travailleur concerné.
Pour l’établissement de la stratégie de prélèvement, l’organisme accrédité définit lors d’une visite préalable
un ou plusieurs groupes d’expositions homogènes, c’est-à-dire les groupes de fonctions ou de tâches similaires
permettant de justifier de situations d’exposition comparables.
Les GEH sont caractérisés à partir de la collecte et de l’analyse des informations suivantes :
– identification des agents chimiques présents et des VLEP dont le respect doit être contrôlé (VLEP 8 heures,
VLEP court terme) ;
– identification des différents postes de travail concernés :
– configuration ;
– procédés utilisés ;
– modes et fréquence d’exposition potentielle ;
– opérations potentiellement exposantes ;
– nombre de salariés ;
– déroulement des phases de travail ;
– durée des tâches élémentaires ;
– description des équipements de protection individuelle (EPI).
A l’issue de la visite préalable et des investigations menées en coopération avec les différents acteurs de la
prévention de l’établissement, une liste nominative des différents GEH est rédigée. L’organisme accrédité
justifie les choix faits pour la constitution des GEH et précise les agents chimiques à mesurer pour chaque
GEH ainsi que le type de VLEP.
L’exposition de chaque groupe homogène est ensuite mesurée de manière distincte. Le port d’un équipement
de protection individuelle respiratoire ne dispense pas de faire un prélèvement individuel. Dans ce cas, il est
réalisé à l’extérieur de l’équipement de protection.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 156
3. Prélèvement
La ou les personnes appartenant à l’organisme accrédité en charge de la réalisation des prélèvements sont
présentes dans l’établissement contrôlé pendant le déroulement des prélèvements afin de procéder aux recueils
d’informations concernant l’exécution du travail, les opérations réalisées, les incidents survenus et tout
évènement pouvant affecter le résultat ou le niveau d’exposition.
Compte tenu de la connaissance des agents chimiques susceptibles d’être présents dans l’air des lieux de
travail de l’établissement, l’organisme accrédité vérifie que les conditions de prélèvement préconisées pour le
contrôle et les résultats de la mesure ne seront pas affectés par la présence possible d’autres agents chimiques.
Lorsque l’organisme accrédité réalise des prélèvements successifs séquentiels couvrant toute la durée de
l’exposition potentielle, si Ci sont les concentrations mesurées et Ti les durées d’exposition, la mesure
d’exposition ramenée à la période de référence de 8 heures est :
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 156
A partir de ces deux paramètres et du logarithme de la valeur limite ln(VLEP) on calcule la quantité U :
La valeur de U ainsi calculée est utilisée pour estimer la borne supérieure de la probabilité de dépassement
de la VLEP avec un intervalle de confiance à 70 %. Si la valeur calculée de U (avec trois décimales) est
inférieure à la valeur de U correspondant au nombre de mesures effectuées le diagnostic de dépassement est
établi (cf. annexe 2 pour les valeurs seuils de la variable U).
ANNEXE 2
VALEURS SEUIL DE LA VARIABLE U POUR LA DÉTERMINATION DU DIAGNOSTIC
DE DÉPASSEMENT DE LA VLEP EN FONCTION DU NOMBRE DE MESURES (Pr 5 % - I.C. 70 %)
6 2,187
. .
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7 2,120
8 2,072
9 2,035
10 2,005
11 1,981
12 1,961
13 1,944
14 1,929
15 1,917
16 1,905
17 1,895
18 1,886
19 1,878
20 1,870
21 1,863
22 1,857
23 1,851
24 1,846
25 1,841
26 1,836
27 1,832
28 1,828
29 1,824
30 1,820
31 1,817
32 1,814
33 1,811
34 1,808
. .
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35 1,805
36 1,802
37 1,800
38 1,797
39 1,795
40 1,793
41 1,791
42 1,789
43 1,787
44 1,785
45 1,783
46 1,781
47 1,780
48 1,778
49 1,776
50 1,775
51 1,773
52 1,772
53 1,771
54 1,769
55 1,768
56 1,767
57 1,765
58 1,764
59 1,763
60 et plus 1,762
Exemple : cas où l’on dispose de 9 mesures : la valeur de U est calculée à l’aide des 9 mesures ; si la valeur
de U est inférieure à 2,035 on conclut à un dépassement de la VLEP, si la valeur de U est supérieure ou égale
à 2,035 on conclut à un non-dépassement de la VLEP.
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 156
ANNEXE 3
CAHIER DES CHARGES DE LA VÉRIFICATION PAR UNE INSTANCE D’ACCRÉDITATION DE LA
COMMUNICATION DES RÉSULTATS DES CONTRÔLES TECHNIQUES EFFECTUÉE PAR LES
LABORATOIRES ACCRÉDITÉS
Les instances d’accréditation sont chargées de vérifier l’application effective de la communication des
résultats des contrôles techniques par les laboratoires à l’Institut national de recherche et de sécurité pour la
prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS). Cette communication est faite par
transmission informatique dans la base de données SCOLA gérée par l’INRS.
La présente annexe a pour objet de définir et décrire les modalités liées à cette vérification de la
communication des résultats des contrôles techniques réalisée par les laboratoires accrédités. Les résultats de
cette vérification doivent apparaître au sein du rapport d’évaluation du laboratoire lors de chaque évaluation
réalisée par l’instance d’accréditation.
1.1. Personnel
L’instance d’accréditation s’assure de la désignation par le laboratoire d’une personne responsable de la
validation et de l’archivage des dossiers dans SCOLA pour chaque site géographique accrédité, ainsi que de
l’existence de critères de désignation de cette personne, basés notamment sur la participation à la formation
SCOLA délivrée par l’INRS.
1.2. Documentation
L’instance d’accréditation s’assure de la mise en place par le laboratoire d’une procédure pour la saisie des
données dans SCOLA.
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TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 15 décembre 2009 relatif aux contrôles du respect des valeurs limites biologiques
fixées à l’article R. 4412-152 du code du travail pour les travailleurs exposés au plomb et à
ses composés et aux conditions d’accréditation des laboratoires chargés des analyses
NOR : MTST0924708A
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 156
ANNEXE
1. Prélèvement.
Les prélèvements sont réalisés dans des conditions permettant d’éviter la contamination.
Ils sont notamment effectués en dehors des locaux de travail sur des travailleurs ne portant pas leurs
vêtements de travail. Ils sont réalisés par ponction veineuse au pli du coude sur peau nettoyée et après
désinfection. Le recueil est réalisé dans des tubes exempts de plomb.
Le prélèvement est accompagné d’une fiche de prélèvement mentionnant a minima :
– nom, prénom, date de naissance et sexe du travailleur concerné ;
– nom et qualification du prescripteur ;
– nature de la demande d’analyse (plombémie) ;
– nom du préleveur ;
– date et type de prélèvement.
La fiche indique que le prélèvement a été réalisé conformément aux prescriptions permettant de limiter la
contamination.
2. Transmission et réception du spécimen.
Si un organisme non accrédité effectue lui-même le prélèvement ou reçoit un spécimen d’un préleveur, il
transmet le spécimen accompagné de la fiche de prélèvement aux fins d’analyse à un laboratoire accrédité
mentionné à l’article 1er.
Lorsque le prélèvement n’est pas effectué par le laboratoire accrédité, celui-ci transmet au préleveur ses
critères d’acceptation du spécimen concernant a minima :
– les quantités ;
– les modalités de recueil et conservation ;
– les informations liées à la demande ;
– les délais d’acheminement.
A réception des spécimens, le laboratoire accrédité vérifie pour chaque spécimen que les critères ont été
remplis.
3. Validation de la méthode d’analyse.
Lors de la validation de la méthode d’analyse utilisée pour la mesure de la plombémie, le laboratoire
accrédité vérifie les critères de performance suivants :
– la limite de quantification est inférieure ou égale à 20 microgrammes de plomb par litre de sang, avec un
coefficient de variation % (ou pour cent) (écart type divisé par moyenne multiplié par 100) de
reproductibilité intra-laboratoire de 20 % ;
– le coefficient de variation de reproductibilité intra-laboratoire est inférieur à 20 % sur une gamme de
mesure allant jusqu’à 50 microgrammes de plomb par litre de sang ;
– le coefficient de variation de reproductibilité intra-laboratoire est inférieur à 15 % sur une gamme de
mesure allant de 50 à 200 microgrammes de plomb par litre de sang ;
– le coefficient de variation de reproductibilité intra-laboratoire est inférieur à 10 % sur une gamme de
mesure au-dessus de 200 microgrammes de plomb par litre de sang.
4. Estimation des incertitudes sur les résultats des analyses.
Le laboratoire accrédité vérifie que les incertitudes élargies pour un risque de 5 % des résultats analytiques
respectent les critères de performance suivants :
– l’incertitude des analyses est inférieure à 40 % sur une gamme de mesure allant jusqu’à 50 microgrammes
de plomb par litre de sang ;
– l’incertitude des analyses est inférieure à 30 % sur une gamme de mesure allant de 50 à
200 microgrammes de plomb par litre de sang ;
– l’incertitude des analyses doit être inférieure à 20 % sur une gamme de mesure au-dessus de
200 microgrammes de plomb par litre de sang.
5. Participation à des comparaisons inter-laboratoires.
Le laboratoire accrédité participe à au moins un circuit de comparaisons inter-laboratoires tous les deux
mois, ce circuit portant au moins sur trois matériaux de contrôle sanguins distincts.
Les résultats des laboratoires à ces comparaisons sont pris en compte par l’organisme d’accréditation
mentionné à l’article R. 4724-1 du code du travail pour la délivrance, la suspension ou le retrait de
l’accréditation.
6. Analyse.
Les prestations d’analyse sont réalisées par le laboratoire accrédité dans les conditions de l’accréditation.
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7. Rapport d’analyse.
Le rapport d’analyse est élaboré par le laboratoire accrédité qui a pris en charge la demande d’analyses. Le
résultat de l’analyse est exprimé en microgrammes de plomb par litre de sang et en unité du système
international. Le rapport mentionne également l’incertitude de mesure du résultat de l’analyse dans la même
unité que le résultat de la mesure.
Pour le rendu d’un résultat non mesurable, le rapport indique que le résultat est inférieur à la limite de
quantification et précise la valeur de la limite de quantification.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 37 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Décret no 2009-1571 du 16 décembre 2009 relatif aux taux applicables dans les départements
d’outre-mer (DOM), à Saint-Martin et Saint-Barthélemy aux travailleurs indépendants
relevant du régime mentionné à l’article L. 133-6-8 du code de la sécurité sociale qui
bénéficient des modalités spécifiques de calcul des cotisations de sécurité sociale prévues à
l’article L. 756-4 et aux professionnels libéraux relevant de l’organisme mentionné au 11o de
l’article R. 641-1 qui bénéficient de l’exonération de cotisations de sécurité sociale prévue à
l’article L. 756-5 du code de la sécurité sociale
NOR : BCFS0924960D
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi et du ministre du budget, des
comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’Etat,
Vu le code général des collectivités territoriales, notamment ses articles LO 6214-4 et LO 6314-4 ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 133-6-8, L. 756-4, L. 756-5, R. 133-30-4 et
R. 641-1 ;
Vu le code général des impôts, notamment ses articles 50-0 et 102 ter ;
Vu la loi organique no 2007-223 du 21 février 2007 portant dispositions statutaires et institutionnelles
relatives à l’outre-mer, notamment son article 18, paragraphe IX ;
Vu la loi no 2009-431 du 20 avril 2009 modifiée de finances rectificative pour 2009, notamment son
article 24 ;
Vu l’avis du conseil territorial de la collectivité de Saint-Martin en date du 10 septembre 2009 ;
Vu l’avis du conseil territorial de la collectivité de Saint-Barthélemy en date du 10 septembre 2009 ;
Vu la saisine pour avis du conseil régional de la Guyane en date du 3 septembre 2009 ;
Vu la saisine pour avis du conseil régional de la Guadeloupe en date du 1er septembre 2009 ;
Vu la saisine pour avis du conseil régional de la Martinique en date du 2 septembre 2009 ;
Vu l’avis du conseil régional de La Réunion en date du 15 septembre 2009 ;
Vu la saisine pour avis du conseil général de la Guyane en date du 3 septembre 2009 ;
Vu la saisine pour avis du conseil général de la Guadeloupe en date du 1er septembre 2009 ;
Vu la saisine pour avis du conseil général de la Martinique en date du 2 septembre 2009 ;
Vu la saisine pour avis du conseil général de La Réunion en date du 2 septembre 2009 ;
Vu l’avis du conseil d’administration de la Caisse nationale du régime social des indépendants en date du
5 octobre 2009 ;
Vu l’avis du conseil d’administration de l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale en date du
25 septembre 2009 ;
Vu l’avis du conseil d’administration de la Caisse nationale d’assurance vieillesse des professions libérales
en date du 8 octobre 2009,
Décrète :
Art. 1 . − Après la section 2 du chapitre 5 du titre VI du livre VII du code de la sécurité sociale, il est
er
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« 1o Pour les travailleurs indépendants mentionnés aux a et b du 1o de l’article L. 613-1 et bénéficiant des
dispositions de l’article L. 756-4, aux deux tiers des taux prévus par l’article D. 131-6-1 ;
« 2o Pour les travailleurs indépendants relevant de l’organisme mentionné au 11o de l’article R. 641-1 et
bénéficiant des dispositions prévues à l’article L. 756-4 et au second alinéa de l’article L. 756-5, au tiers du
taux prévu par l’article D. 131-6-2 jusqu’à la fin du septième trimestre civil qui suit celui au cours duquel
intervient la date de création d’activité et aux deux tiers du même taux à l’issue de cette période.
« Art. D. 756-11. − Les dispositions de la présente section s’appliquent à Saint-Martin et Saint-
Barthélemy. »
Art. 2. − La ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, le ministre de l’intérieur, de l’outre-mer
et des collectivités territoriales, le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la
réforme de l’Etat, la ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales,
chargée de l’outre-mer, et le secrétaire d’Etat chargé du commerce, de l’artisanat, des petites et moyennes
entreprises, du tourisme, des services et de la consommation sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 16 décembre 2009.
FRANÇOIS FILLON
Par le Premier ministre :
Le ministre du budget, des comptes publics,
de la fonction publique
et de la réforme de l’Etat,
ERIC WOERTH
La ministre de l’économie,
de l’industrie et de l’emploi,
CHRISTINE LAGARDE
Le ministre de l’intérieur,
de l’outre-mer et des collectivités territoriales,
BRICE HORTEFEUX
La ministre auprès du ministre de l’intérieur,
de l’outre-mer et des collectivités territoriales,
chargée de l’outre-mer,
MARIE-LUCE PENCHARD
Le secrétaire d’Etat
chargé du commerce, de l’artisanat,
des petites et moyennes entreprises,
du tourisme, des services et de la consommation,
HERVÉ NOVELLI
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’Etat
et du ministre de la défense,
Vu le code de l’urbanisme, notamment son article L. 300-1 ;
Vu la loi no 2008-1425 du 27 décembre 2008 de finances pour 2009, notamment le troisième alinéa de son
article 67 ;
Vu le décret no 2009-829 du 3 juillet 2009 pris pour l’application de l’article 67 de la loi no 2008-1425 du
27 décembre 2008 de finances pour 2009 et fixant la liste des communes éligibles au dispositif de cession à
l’euro symbolique ;
Vu la délibération du conseil municipal du 5 juin 2009 de la commune d’Aiguilles (Hautes-Alpes),
Décrète :
Art. 1er. − Est autorisée la cession à l’euro symbolique, au profit de la commune d’Aiguilles, de l’ensemble
immobilier figurant dans le tableau suivant :
Poste des éclaireurs Section AB 508 m2 352 m2 30 000 110 000 140 000
skieurs – Aiguilles no 282
Art. 2. − Le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’Etat et
le ministre de la défense sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera
publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 15 décembre 2009.
FRANÇOIS FILLON
Par le Premier ministre :
Le ministre du budget, des comptes publics,
de la fonction publique
et de la réforme de l’Etat,
ERIC WOERTH
Le ministre de la défense,
HERVÉ MORIN
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2009 portant désignation de l’autorité chargée du contrôle financier
des dépenses déconcentrées du budget annexe « contrôle et exploitation aériens »
NOR : BCFB0928060A
Par arrêté du ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’Etat en
date du 1er décembre 2009, l’agent comptable du budget annexe « contrôle et exploitation aériens » est désigné
en qualité d’autorité chargée du contrôle financier des dépenses déconcentrées de ce budget annexe.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 40 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté de la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 1er décembre 2009,
l’article 1er de l’arrêté du 20 juin 2008 portant délégation d’attribution aux recteurs d’académie est complété par
les alinéas suivants :
« – le diplôme national d’œnologue ;
« – le diplôme d’Etat de docteur vétérinaire. »
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 41 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA DÉFENSE
Décide :
Art. 1er. − Délégation est donnée pour signer, au nom du ministre de la défense, tous actes, arrêtés et
décisions, à l’exclusion des décrets, à :
1. M. le capitaine de vaisseau Dominique Costargent, chargé des fonctions de sous-directeur de la sous-
direction commerciale et internationale, dans la limite des attributions de la sous-direction ;
2. Mme Sylvie Brana-Mirou, attachée principale d’administration du ministère de la défense, chef du bureau
affaires juridiques et sociales, dans la limite des attributions de la sous-direction administrative ;
3. M. l’ingénieur général de l’armement Jean-Eric Chevillot, directeur de l’atelier industriel aéronautique de
Bordeaux, dans la limite des attributions du bureau de la gestion du personnel civil et de la formation et du
bureau de la gestion du personnel militaire de la sous-direction administrative du service industriel de
l’aéronautique, concernant tous les actes de gestion administrative, à l’exclusion de ceux relatifs aux personnels
militaires des armées ;
4. M. Pierre Marziac, conseiller d’administration de la défense, sous-directeur administratif de l’atelier
industriel aéronautique de Bordeaux, dans la limite des attributions du bureau de la gestion du personnel civil
et de la formation et du bureau de la gestion du personnel militaire de la sous-direction administrative du
service industriel de l’aéronautique concernant tous les actes de gestion administrative, à l’exclusion de ceux
relatifs aux personnels militaires des armées.
Art. 2. − Délégation est donnée aux personnes désignées ci-après à l’effet de signer, au nom du ministre de
la défense, dans le cadre des attributions du service, toutes pièces justificatives relatives aux dépenses, aux
recettes et aux opérations de régularisation, notamment tous documents comptables relatifs à l’engagement, à la
liquidation, à l’ordonnancement et tous ordres de recettes :
1. M. Christian Vandamme, ingénieur sur contrat, adjoint au sous-directeur administratif spécialisé finances
et comptabilité, dans la limite des attributions du bureau du pilotage du compte de commerce et du bureau de
la conduite de la gestion d’entreprise ;
2. Mme l’officière du corps technique et administratif de l’armement Christine Monchotte, dans la limite des
attributions du bureau de la conduite de la gestion d’entreprise.
Art. 3. − La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 7 décembre 2009.
C. CHABBERT
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 42 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrête :
Art. 1er. − Le règlement du stud-book du cheval boulonnais figurant en annexe au présent arrêté remplace le
règlement du stud-book du cheval boulonnais figurant en annexe de l’arrêté du 27 juin 2003 susvisé (1).
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires et la directrice
générale des Haras nationaux sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui
sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 26 novembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
La sous-directrice
du développement rural et du cheval,
M.-H. LE HENAFF
(1) Les annexes du présent arrêté sont consultables auprès du ministère de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche
(sous-direction du développement rural et du cheval, bureau de l’élevage et des activités équestres), 19, avenue du Maine,
75732 Paris Cedex 15, et auprès de l’établissement public Les Haras nationaux, BP 3, 19231 Arnac-Pompadour Cedex.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrête :
Art. 1er. − Le règlement du registre français du Quarter Horse figurant en annexe au présent arrêté remplace
le règlement du registre français du cheval Quarter Horse figurant en annexe de l’arrêté du 28 juillet 1995
susvisé (1).
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires et la directrice
générale des Haras nationaux sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui
sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 26 novembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
La sous-directrice
du développement rural et du cheval,
M.-H. LE HENAFF
(1) Les annexes du présent arrêté sont consultables auprès du ministère de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche,
sous-direction du développement rural et du cheval, bureau de l’élevage et des activités équestres, 19, avenue du Maine,
75732 Paris Cedex 15, et auprès de l’établissement public Les Haras nationaux, BP 3, 19231 Arnac-Pompadour Cedex.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 44 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrête :
Art. 1er. − Le règlement du registre français du cheval Crème figurant en annexe au présent arrêté remplace
le règlement du registre français du cheval Crème figurant en annexe de l’arrêté du 20 juin 2005 susvisé (1).
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires et la directrice
générale des Haras nationaux sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui
sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 26 novembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
La sous-directrice
du développement rural et du cheval,
M.-H. LE HENAFF
(1) Les annexes du présent arrêté sont consultables auprès du ministère de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche,
sous-direction du développement rural et du cheval, bureau de l’élevage et des activités équestres, 19, avenue du Maine,
75732 Paris Cedex 15, et auprès de l’établissement public Les Haras nationaux, BP 3, 19231 Arnac-Pompadour Cedex.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 45 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
(1) Ce cahier des charges peut être consulté : à l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO), 51, rue d’Anjou,
75008 Paris.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 46 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
(1) Ce cahier des charges peut être consulté à l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO), 51, rue d’Anjou,
75008 Paris.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 47 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 48 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l’association d’organisations de producteurs CERAFEL du fait de l’extension des règles pour
les haricots demi-secs
NOR : AGRT0928801A
Arrête :
Art. 1er. − L’association d’organisations de producteurs CERAFEL est habilitée, dans le cadre des règles
édictées par elle et étendues par l’arrêté du 10 novembre 2009 susvisé, à prélever auprès des producteurs de
haricots demi-secs frais, à l’exclusion des flageolets destinés à l’industrie, pour lesquels les règles sont
devenues obligatoires du fait de l’extension :
– une cotisation fixée à 0,007 euro/kg pour participation au fonds de gestion administrative et de contrôle ;
– une cotisation fixée à 0,013 euro/kg pour participation au fonds de promotion, d’étude et de recherche.
Ces cotisations, applicables pour la campagne prenant fin le 31 décembre 2009, sont prélevées dans les
mêmes conditions que celles appliquées par les organisations de producteurs.
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires est chargé de
l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 1er décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
L’inspectrice en chef
de la santé publique vétérinaire,
C. ROGY
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 49 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l’association d’organisations de producteurs CERAFEL du fait de l’extension des règles pour
les brocolis
NOR : AGRT0928804A
Arrête :
Art. 1er. − L’association d’organisations de producteurs CERAFEL est habilitée, dans le cadre des règles
édictées par elle et étendues par l’arrêté du 10 novembre 2009 susvisé, à prélever auprès des producteurs de
brocolis pour lesquels les règles sont devenues obligatoires du fait de l’extension :
– une cotisation fixée à 0,012 euro/kg pour participation au fonds de gestion administrative et de contrôle ;
– une cotisation fixée à 0,023 euro/kg pour participation au fonds de promotion, d’étude et de recherche.
Ces cotisations, applicables pour la campagne prenant fin le 31 décembre 2009, sont prélevées dans les
mêmes conditions que celles appliquées par les organisations de producteurs.
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires est chargé de
l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 1er décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
L’inspectrice en chef
de la santé publique vétérinaire,
C. ROGY
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l’association d’organisations de producteurs CERAFEL du fait de l’extension des règles pour
les choux pommés
NOR : AGRT0928806A
Arrête :
Art. 1er. − L’association d’organisations de producteurs CERAFEL est habilitée, dans le cadre des règles
édictées par elle et étendues par l’arrêté du 10 novembre 2009 susvisé, à prélever auprès des producteurs de
choux pommés pour lesquels les règles sont devenues obligatoires du fait de l’extension :
– une cotisation fixée à 0,003 euro/tête pour participation au fonds de gestion administrative et de contrôle ;
– une cotisation fixée à 0,003 euro/tête pour participation au fonds de promotion, d’étude et de recherche.
Ces cotisations, applicables pour la campagne 2008-2009, sont prélevées dans les mêmes conditions que
celles appliquées par les organisations de producteurs.
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires est chargé de
l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 1er décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
L’inspectrice en chef
de la santé publique vétérinaire,
C. ROGY
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l’association d’organisations de producteurs CERAFEL du fait de l’extension des règles pour
les artichauts
NOR : AGRT0928807A
Arrête :
Art. 1er. − L’association d’organisations de producteurs CERAFEL est habilitée, dans le cadre des règles
édictées par elle et étendues par l’arrêté du 10 novembre 2009 susvisé, à prélever auprès des producteurs
d’artichauts pour lesquels les règles sont devenues obligatoires du fait de l’extension :
– une cotisation fixée à 0,014 euro/kg pour participation au fonds de gestion administrative et de contrôle ;
– une cotisation fixée à 0,020 euro/kg pour participation au fonds de promotion, d’étude et de recherche.
Ces cotisations, applicables pour la campagne prenant fin le 31 décembre 2009, sont prélevées dans les
mêmes conditions que celles appliquées par les organisations de producteurs.
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires est chargé de
l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 1er décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
L’inspectrice en chef
de la santé publique vétérinaire,
C. ROGY
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 52 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l’association d’organisations de producteurs CERAFEL du fait de l’extension des règles pour
les échalotes
NOR : AGRT0928808A
Arrête :
Art. 1er. − L’association d’organisations de producteurs CERAFEL est habilitée, dans le cadre des règles
édictées par elle et étendues par l’arrêté du 10 novembre 2009 susvisé, à prélever auprès des producteurs
d’échalotes pour lesquels les règles sont devenues obligatoires du fait de l’extension :
– une cotisation fixée à 0,006 euro/kg pour participation au fonds de gestion administrative et de contrôle ;
– une cotisation fixée à 0,012 euro/kg pour participation au fonds de promotion, d’étude et de recherche.
Ces cotisations, applicables pour la campagne 2008-2009, sont prélevées dans les mêmes conditions que
celles appliquées par les organisations de producteurs.
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires est chargé de
l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 1er décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
L’inspectrice en chef
de la santé publique vétérinaire,
C. ROGY
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l’association d’organisations de producteurs CERAFEL du fait de l’extension des règles pour
les choux-fleurs
NOR : AGRT0928810A
Arrête :
Art. 1er. − L’association d’organisations de producteurs CERAFEL est habilitée, dans le cadre des règles
édictées par elle et étendues par l’arrêté du 10 novembre 2009 susvisé, à prélever auprès des producteurs de
choux-fleurs pour lesquels les règles sont devenues obligatoires du fait de l’extension :
– une cotisation fixée à 0,014 euro/tête pour participation au fonds de gestion administrative et de contrôle ;
– une cotisation fixée à 0,021 euro/tête pour participation au fonds de promotion, d’étude et de recherche.
Elles ne sont pas applicables aux choux-fleurs destinés à être livrés à la transformation, à la condition qu’ils
aient fait l’objet d’un contrat signé avant la campagne de commercialisation.
Ces cotisations, applicables pour la campagne 2008-2009, sont prélevées dans les mêmes conditions que
celles appliquées par les organisations de producteurs.
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires est chargé de
l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 1er décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
L’inspectrice en chef
de la santé publique vétérinaire,
C. ROGY
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l’association d’organisations de producteurs CERAFEL du fait de l’extension des règles pour
les poireaux
NOR : AGRT0928811A
Arrête :
Art. 1er. − L’association d’organisations de producteurs CERAFEL est habilitée, dans le cadre des règles
édictées par elle et étendues par l’arrêté du 10 novembre 2009 susvisé, à prélever auprès des producteurs de
poireaux pour lesquels les règles sont devenues obligatoires du fait de l’extension :
– une cotisation fixée à 0,005 euro/kg pour participation au fonds de gestion administrative et de contrôle ;
– une cotisation fixée à 0,009 euro/kg pour participation au fonds de promotion, d’étude et de recherche.
Ces cotisations, applicables pour la campagne 2008-2009, sont prélevées dans les mêmes conditions que
celles appliquées par les organisations de producteurs.
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires est chargé de
l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 1er décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
L’inspectrice en chef
de la santé publique vétérinaire,
C. ROGY
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 55 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2009 fixant les conditions de perception des cotisations au bénéfice de
l’association d’organisations de producteurs CERAFEL du fait de l’extension des règles pour
les laitues iceberg
NOR : AGRT0928812A
Arrête :
Art. 1er. − L’association d’organisations de producteurs CERAFEL est habilitée, dans le cadre des règles
édictées par elle et étendues par l’arrêté du 10 novembre 2009 susvisé, à prélever auprès des producteurs de
salades de la variété laitue iceberg pour lesquels les règles sont devenues obligatoires du fait de l’extension :
– une cotisation fixée à 0,003 euro/tête pour participation au fonds de gestion administrative et de contrôle ;
– une cotisation fixée à 0,003 euro/tête pour participation au fonds de promotion, d’étude et de recherche.
Ces cotisations, applicables aux laitues iceberg mises en marché au cours de la campagne prenant fin le
31 décembre 2009, sont prélevées dans les mêmes conditions que celles appliquées par les organisations de
producteurs.
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires est chargé de
l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 1er décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
L’inspectrice en chef
de la santé publique vétérinaire,
C. ROGY
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 56 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
NOR : AGRT0924674A
Arrêtent :
Art. 1er. − Les dispositions de l’accord interprofessionnel conclu le 24 septembre 2009 dans le cadre du
comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras, relatif au financement de l’équarrissage dans la filière
palmipèdes gras, sont étendues pour une durée d’un an à compter de la publication du présent arrêté.
Art. 2. − L’arrêté du 7 août 2009 portant extension d’un accord interprofessionnel conclu dans le cadre du
comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras, qui prévoit l’extension de l’accord interprofessionnel du
25 juin 2009, est abrogé.
Art. 3. − Cet accord peut être consulté :
– au ministère de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche à la direction générale des politiques
agricole, agroalimentaire et des territoires (bureau des viandes et productions animales spécialisées), 3, rue
Barbet-de-Jouy, 75007 Paris ;
– au siège social du comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (CIFOG), 44, rue d’Alésia,
75682 Paris Cedex 14.
Art. 4. − La directrice générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes au
ministère de l’économie, de l’industrie et de l’emploi et le directeur général des politiques agricole,
agroalimentaire et des territoires au ministère de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 4 décembre 2009.
Le ministre de l’alimentation,
de l’agriculture et de la pêche,
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
L’ingénieur en chef du génie rural,
des eaux et des forêts,
J. TURENNE
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 56 sur 156
La ministre de l’économie,
de l’industrie et de l’emploi,
Pour la ministre et par délégation :
Par empêchement de la directrice générale
de la concurrence, de la consommation
et de la répression des fraudes :
La directrice adjointe,
M.-C. BUCHE
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 57 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrête :
Art. 1 . − Le règlement du stud-book français du cheval islandais figurant en annexe au présent arrêté
er
remplace le règlement du stud-book français du cheval islandais figurant en annexe de l’arrêté du 23 avril 2003
susvisé (1).
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires et la directrice
générale des Haras nationaux sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui
sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 7 décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
La sous-directrice
du développement rural et du cheval,
M.-H. LE HENAFF
(1) Les annexes du présent arrêté sont consultables auprès du ministère de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche
(sous-direction du développement rural et du cheval, bureau de l’élevage et des activités équestres), 19, avenue du Maine,
75732 Paris Cedex 15, et auprès de l’établissement public Les Haras nationaux, BP 3, 19231 Arnac-Pompadour Cedex.
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 58 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrête :
Art. 1er. − Le règlement du registre français du cheval Appaloosa figurant en annexe au présent arrêté
remplace le règlement du registre français du cheval Appaloosa figurant en annexe de l’arrêté du 13 août 2004
susvisé (1).
Art. 2. − Le directeur général des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires et la directrice
générale des Haras nationaux sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui
sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 7 décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Par empêchement du directeur général
des politiques agricole, agroalimentaire
et des territoires :
La sous-directrice
du développement rural et du cheval,
M.-H. LE HENAFF
(1) Les annexes du présent arrêté sont consultables auprès du ministère de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche,
sous-direction du développement rural et du cheval, bureau de l’élevage et des activités équestres, 19, avenue du Maine,
75732 Paris Cedex 15, et auprès de l’établissement public Les Haras nationaux, BP 3, 19231 Arnac-Pompadour Cedex.
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 59 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrête :
Art. 1er. − Le 2o de l’article 1er de l’arrêté du 22 janvier 2008 susvisé est remplacé par les dispositions
suivantes :
« 2o Au titre des représentants de l’administration du ministère chargé de l’agriculture :
– un représentant du service des affaires financières, sociales et logistiques, au secrétariat général ;
– un représentant du service de la modernisation, au secrétariat général ;
– un représentant du service de la statistique et de la prospective, au secrétariat général ;
– un représentant de la délégation à l’information et à la communication, au secrétariat général ;
– un représentant de la direction générale de l’enseignement et de la recherche ;
– un représentant de la direction générale de l’alimentation ;
– deux représentants de la direction générale des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires ;
– un représentant de la direction des pêches maritimes et de l’aquaculture ;
– un représentant du Conseil général de l’agriculture, de l’alimentation et des espaces ruraux ;
– le haut fonctionnaire chargé de la terminologie et de la néologie ou son suppléant. »
Art. 2. − Mme Gaudot (Claire), inspectrice générale de la santé publique vétérinaire, membre permanent du
Conseil général de l’agriculture, de l’alimentation et des espaces ruraux, est nommée membre de la
commission, au titre des personnalités qualifiées, en remplacement de M. Fourgeaud (Philippe), pour la durée
du mandat de M. Fourgeaud (Philippe) restant à courir.
Mme Hadrosseq (Christine), ingénieure de recherche à l’Institut de recherche pour l’ingénierie de
l’agriculture et de l’environnement (CEMAGREF), est nommée membre de la commission, au titre des
personnalités qualifiées, en remplacement de Mme Giovannini (Floriane), pour la durée du mandat de
Mme Giovannini (Floriane) restant à courir.
Art. 3. − Le secrétaire général du ministère de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche est chargé de
l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 8 décembre 2009.
BRUNO LE MAIRE
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 60 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 14 décembre 2009 fixant la date des élections des membres des bureaux
des sections régionales de la conchyliculture, représentant des diverses activités conchylicoles
NOR : AGRM0928727A
Arrête :
Art. 1er. − Il est recouru à l’organisation d’élections pour désigner les membres des bureaux des sections
régionales représentant les exploitants des diverses activités conchylicoles.
Art. 2. − La date des élections, commune à toutes les sections régionales de la conchyliculture, est fixée au
23 février 2010.
Art. 3. − Le directeur des pêches maritimes et de l’aquaculture, les préfets des régions littorales, les préfets
des départements littoraux et les directeurs interrégionaux ou régionaux, départementaux ou
interdépartementaux des affaires maritimes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du
présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 14 décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur des pêches maritimes
et de l’aquaculture,
P. MAUGUIN
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 61 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 62 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 63 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêtent :
Art. 1 . − 1. Pour être admis à entrer sur le territoire de la Polynésie française, tout étranger doit être muni
er
d’un passeport national ou d’un titre de voyage en tenant lieu, en cours de validité et revêtu d’un visa français
valable pour ce territoire.
2. Pour qu’un visa puisse y être apposé, le document de voyage doit satisfaire aux critères suivants :
a) Sa durée de validité doit excéder d’au moins trois mois la validité du visa ; toutefois, en cas d’urgence
dûment justifiée, il peut être dérogé à cette obligation sans que la durée du visa puisse excéder la durée de
validité du document de voyage ;
b) Il doit contenir au moins deux feuillets vierges.
Il doit avoir été délivré depuis moins de dix ans au moment de la réception de la demande de visa.
Art. 2. − Sont dispensés du visa prévu à l’article précédent les étrangers mentionnés à l’annexe du présent
arrêté, dans les limites qu’elle fixe.
Les étrangers bénéficiant de cette dispense de visa doivent justifier de leur entrée sur le territoire de la
Polynésie française au moyen d’un cachet apposé sur leur document de voyage par les autorités chargées du
contrôle aux frontières aux points de passage contrôlés. Par défaut, sauf cas de force majeure, ils sont réputés
être en situation irrégulière.
Art. 3. − Ne sont pas soumis au visa les étrangers transitant par le territoire de la Polynésie française en
empruntant exclusivement la voie aérienne, sous réserve qu’ils ne sortent pas des limites de la zone de transit
international de l’aéroport durant l’escale, à l’exception des étrangers pour lesquels l’obligation d’être munis
d’un visa (consulaire) de transit aéroportuaire est prévue par un arrêté conjoint du ministre chargé des affaires
étrangères et du ministre chargé de l’immigration.
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 156
A titre exceptionnel, le représentant de l’Etat en Polynésie française peut autoriser l’entrée sans visa des
passagers en transit aérien pendant la durée de leur escale à la condition que ces passagers détiennent les
documents permettant l’entrée sur le territoire du lieu de destination.
Art. 4. − Par dérogation aux dispositions qui précèdent, sont dans tous les cas soumis à l’obligation du visa
les étrangers qui ont fait l’objet, à l’occasion d’un précédent séjour en France, d’une mesure d’expulsion ou qui
ont été frappés d’une condamnation pénale assortie d’une mesure d’interdiction du territoire.
Art. 5. − Les dispositions applicables à la Polynésie française de l’arrêté du 17 juillet 2001 relatif aux
conditions d’entrée des étrangers sur le territoire de la Polynésie française, des îles Wallis-et-Futuna et de
Mayotte sont abrogées.
Art. 6. − Le directeur des Français à l’étranger et de l’administration consulaire, le secrétaire général du
ministère de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire, le délégué
général à l’outre-mer et le directeur central de la police aux frontières sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 14 décembre 2009.
Le ministre de l’immigration,
de l’intégration, de l’identité nationale
et du développement solidaire,
ERIC BESSON
Le ministre des affaires étrangères
et européennes,
BERNARD KOUCHNER
La ministre auprès du ministre de l’intérieur,
de l’outre-mer et des collectivités territoriales,
chargée de l’outre-mer,
MARIE-LUCE PENCHARD
ANNEXE
1. Liste des pays ou des régions administratives dont les titulaires de passeport sont dispensés de visa pour
entrer et séjourner sur le territoire de la Polynésie française pendant trois mois par période de six mois sauf
disposition plus favorable prévue par un accord de circulation, et limites à cette dispense :
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Andorre
Afrique du Sud Dispense s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Antigua-et-Barbuda
Argentine
Bahamas
Bahreïn Dispense s’appliquant seulement aux titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Barbade
Bolivie
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 156
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Bosnie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Brunei
Canada
Chili
Colombie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Congo (Brazzaville) Dispense de visa s’appliquant jusqu’au 31 juillet 2011 aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique
sécurisé.
Corée du Sud Dispense de visa ne s’appliquant pas en cas d’activité rémunérée en France.
Costa Rica
Croatie
République dominicaine Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
El Salvador
Emirats arabes unis Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Equateur Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Gabon Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Guatemala
Honduras
Hong Kong Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport de la région administrative spéciale de
Hong Kong de la République populaire de Chine.
Israël
Kiribati
Koweït Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Macao Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport de la région administrative spéciale de
Macao de la République populaire de Chine.
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 156
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Malaisie
Maroc Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Iles Marshall
Maurice
Moldavie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Monaco Dispense de visa étendue aux séjours d’une durée excédant trois mois.
Monténégro
Nauru
Nicaragua
Nouvelle-Zélande Outre les ressortissants néo-zélandais, la dispense de visa s’étend également aux ressortissants :
– des îles Tokelau (territoire sous souveraineté néo-zélandaise) et Niue (statut de libre association avec la
Nouvelle-Zélande), titulaires d’un passeport néo-zélandais ;
– des îles Cook (passeport néo-zélandais).
Oman Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Palaos
Panama
Paraguay
Pérou Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Qatar Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Russie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Saint-Christophe-et-Nevis
Saint-Marin
Saint-Siège
Iles Salomon
Samoa occidentales
Sénégal Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Serbie
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 156
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Seychelles
Tonga
Tunisie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Turquie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique, de service ou spécial.
Tuvalu
Ukraine Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Uruguay
Vanuatu
Vietnam Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
En outre, sont dispensés de visa les ressortissants britanniques, qui ne sont pas ressortissants du
Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord au regard du droit communautaire, titulaires d’un
passeport « British Nationals (Overseas) ».
2. Autres catégories d’étrangers dispensés de visa pour le territoire de la Polynésie française :
Les titulaires d’un titre de séjour délivré par un Etat partie ou associé à la convention d’application de
l’accord de Schengen et appliquant en totalité l’acquis de Schengen, pour des séjours n’excédant pas trois mois
par période de six mois.
Les réfugiés statutaires, les apatrides et les autres personnes n’ayant la nationalité d’aucun pays, qui résident
dans un Etat partie ou associé à la convention d’application de l’accord de Schengen appliquant l’intégralité de
l’acquis de Schengen et qui sont titulaires d’un document de voyage délivré par cet Etat, pour des séjours
n’excédant pas trois mois par période de six mois à la condition de pouvoir présenter lors d’un contrôle :
– le document de voyage délivré par un Etat membre ;
– un justificatif de leur statut de réfugié statutaire ou d’apatride, ce justificatif pouvant être constitué du
document de voyage précité.
Les membres de l’équipage civil des avions (personnel navigant technique et le personnel navigant
commercial des compagnies aériennes) titulaires d’une licence de personnel navigant et d’un certificat de
membre d’équipage en cours de validité et ressortissants d’un Etat signataire de la convention de Chicago
relative à l’aviation civile internationale, pour circuler dans l’aéroport et les localités avoisinantes pendant la
durée des escales.
Les membres de l’équipage civil des navires titulaires d’une pièce d’identité des gens de mer, délivrée
conformément aux conventions de l’Organisation internationale du travail no 108 de 1958 et no 185 de 2003 et
la convention visant à faciliter le trafic maritime international signée à Londres le 9 avril 1965, en cas de
permission à terre lors d’une escale, pour circuler dans la zone portuaire, sur le territoire de la commune du
port de relâche et sur celui des communes avoisinantes tel que défini par le représentant de l’Etat.
Les passagers des navires de croisière sont dispensés de visa pour entrer et séjourner sur le territoire de la
Polynésie française pendant la durée de l’escale s’ils répondent à l’une des conditions suivantes :
– ils sont titulaires d’un titre de séjour en cours de validité délivré par un Etat membre de l’Union
européenne, de l’Espace économique européen ou de Suisse ;
– ou ils sont titulaires d’un titre de séjour en cours de validité délivré par Andorre, Monaco, Saint-Marin, le
Canada, le Japon ou les Etats-Unis d’Amérique autorisant la réadmission dans ces Etats ;
– ou ils sont titulaires d’un visa en cours de validité délivré par la France.
Les passagers se trouvant dans un port français à bord d’un navire y faisant escale, en provenance ou à
destination de l’étranger, dès lors qu’ils ne quittent pas le navire.
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêtent :
Art. 1er. − 1. Pour être admis à entrer sur le territoire des îles Wallis et Futuna, tout étranger doit être muni
d’un passeport national ou d’un titre de voyage en tenant lieu, en cours de validité et revêtu d’un visa français
valable pour ce territoire.
2. Pour qu’un visa puisse y être apposé, le document de voyage doit satisfaire aux critères suivants :
a) Sa durée de validité doit excéder d’au moins trois mois la validité du visa ; toutefois, en cas d’urgence
dûment justifiée, il peut être dérogé à cette obligation sans que la durée du visa puisse excéder la durée de
validité du document de voyage ;
b) Il doit contenir au moins deux feuillets vierges.
Il doit avoir été délivré depuis moins de dix ans au moment de la réception de la demande de visa.
Art. 2. − Sont dispensés du visa prévu à l’article précédent les étrangers mentionnés à l’annexe du présent
arrêté, dans les limites qu’elle fixe.
Les étrangers bénéficiant de cette dispense de visa doivent justifier de leur entrée sur le territoire des îles
Wallis et Futuna au moyen d’un cachet apposé sur leur document de voyage par les autorités chargées du
contrôle aux frontières aux points de passage contrôlés. Par défaut, sauf cas de force majeure, ils sont réputés
être en situation irrégulière.
Art. 3. − Ne sont pas soumis au visa les étrangers transitant par le territoire des îles Wallis et Futuna en
empruntant exclusivement la voie aérienne, sous réserve qu’ils ne sortent pas des limites de la zone de transit
international de l’aéroport durant l’escale, à l’exception des étrangers pour lesquels l’obligation d’être munis
d’un visa (consulaire) de transit aéroportuaire est prévue par un arrêté conjoint du ministre chargé des affaires
étrangères et du ministre chargé de l’immigration.
A titre exceptionnel, le représentant de l’Etat aux îles Wallis et Futuna peut autoriser l’entrée sans visa des
passagers en transit aérien pendant la durée de leur escale à la condition que ces passagers détiennent les
documents permettant l’entrée sur le territoire du lieu de destination.
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 156
Art. 4. − Par dérogation aux dispositions qui précèdent, sont dans tous les cas soumis à l’obligation du visa
les étrangers qui ont fait l’objet, à l’occasion d’un précédent séjour en France, d’une mesure d’expulsion ou qui
ont été frappés d’une condamnation pénale assortie d’une mesure d’interdiction du territoire.
Art. 5. − Les dispositions applicables aux îles Wallis et Futuna de l’arrêté du 17 juillet 2001 relatif aux
conditions d’entrée des étrangers sur le territoire de la Polynésie française, des îles Wallis-et-Futuna et de
Mayotte sont abrogées.
Art. 6. − Le directeur des Français à l’étranger et de l’administration consulaire, le secrétaire général du
ministère de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire, le délégué
général à l’outre-mer et le directeur central de la police aux frontières sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 14 décembre 2009.
Le ministre de l’immigration,
de l’intégration, de l’identité nationale
et du développement solidaire,
ERIC BESSON
Le ministre des affaires étrangères
et européennes,
BERNARD KOUCHNER
La ministre auprès du ministre de l’intérieur,
de l’outre-mer et des collectivités territoriales,
chargée de l’outre-mer,
MARIE-LUCE PENCHARD
ANNEXE
1. Liste des pays ou des régions administratives dont les titulaires de passeport sont dispensés de visa pour
entrer et séjourner sur le territoire des îles Wallis et Futuna pendant trois mois par période de six mois sauf
disposition plus favorable prévue par un accord de circulation, et limites à cette dispense :
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Andorre
Afrique du Sud Dispense s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Argentine
Bahamas
Bahreïn Dispense s’appliquant seulement aux titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Barbade
Bolivie
Bosnie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 156
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Brunei
Canada
Chili
Colombie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Congo (Brazzaville) Dispense de visa s’appliquant jusqu’au 31 juillet 2011 aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique sécurisé.
Corée du Sud Dispense de visa ne s’appliquant pas en cas d’activité rémunérée en France.
Costa Rica
Croatie
République dominicaine Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
El Salvador
Emirats arabes unis Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Equateur Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Gabon Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Guatemala
Honduras
Hong Kong Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport de la région administrative spéciale de Hong
Kong de la République populaire de Chine.
Israël
Kiribati
Koweït Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Macao Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport de la région administrative spéciale de Macao
de la République populaire de Chine.
Malaisie
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 156
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Maroc Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Iles Marshall
Maurice
Moldavie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Monaco Dispense de visa étendue aux séjours d’une durée excédant trois mois.
Monténégro
Nauru
Nicaragua
Nouvelle-Zélande Outre les ressortissants néo-zélandais, la dispense de visa s’étend également aux ressortissants :
– des îles Tokelau (territoire sous souveraineté néo-zélandaise) et Niue (statut de libre association avec la
Nouvelle-Zélande), titulaires d’un passeport néo-zélandais ;
– des îles Cook (passeport néo-zélandais).
Oman Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Palaos
Panama
Paraguay
Pérou Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Qatar Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Russie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Saint-Christophe-et-Nevis
Saint-Marin
Saint-Siège
Iles Salomon
Samoa occidentales
Sénégal Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Serbie
Seychelles
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 156
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Tonga
Tunisie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Turquie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique, de service ou spécial.
Tuvalu
Ukraine Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Uruguay
Vanuatu
Vietnam Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
En outre, sont dispensés de visa les ressortissants britanniques, qui ne sont pas ressortissants du
Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord au regard du droit communautaire, titulaires d’un
passeport « British Nationals (Overseas) ».
2. Autres catégories d’étrangers dispensés de visa pour le territoire des îles Wallis et Futuna :
Les titulaires d’un titre de séjour délivré par un Etat partie ou associé à la convention d’application de
l’accord de Schengen et appliquant en totalité l’acquis de Schengen, pour des séjours n’excédant pas trois mois
par période de six mois.
Les réfugiés statutaires, les apatrides et les autres personnes n’ayant la nationalité d’aucun pays, qui résident
dans un Etat partie ou associé à la Convention d’application de l’accord de Schengen appliquant l’intégralité de
l’acquis de Schengen et qui sont titulaires d’un document de voyage délivré par cet Etat, pour des séjours
n’excédant pas trois mois par période de six mois à la condition de pouvoir présenter lors d’un contrôle :
– le document de voyage délivré par un Etat membre ;
– un justificatif de leur statut de réfugié statutaire ou d’apatride, ce justificatif pouvant être constitué du
document de voyage précité.
Les membres de l’équipage civil des avions (le personnel navigant technique et le personnel navigant
commercial des compagnies aériennes) titulaires d’une licence de personnel navigant et d’un certificat de
membre d’équipage en cours de validité et ressortissants d’un Etat signataire de la convention de Chicago
relative à l’aviation civile internationale, pour circuler dans l’aéroport et les localités avoisinantes pendant la
durée des escales.
Les membres de l’équipage civil des navires titulaires d’une pièce d’identité des gens de mer, délivrée
conformément aux conventions de l’Organisation internationale du travail no 108 de 1958 et no 85 de 2003 et la
convention visant à faciliter le trafic maritime international signée à Londres le 9 avril 1965, en cas de
permission à terre lors d’une escale, pour circuler dans la zone portuaire, sur le territoire de la commune du
port de relâche et sur celui des communes avoisinantes tel que défini par le représentant de l’Etat.
Les passagers des navires de croisière sont dispensés de visa pour entrer et séjourner sur le territoire des îles
Wallis et Futuna pendant la durée de l’escale s’ils répondent à l’une des conditions suivantes :
– ils sont titulaires d’un titre de séjour en cours de validité délivré par un Etat membre de l’Union
européenne, de l’Espace économique européen ou de Suisse ;
– ou ils sont titulaires d’un titre de séjour en cours de validité délivré par Andorre, Monaco, Saint-Marin, le
Canada, le Japon ou les Etats-Unis d’Amérique autorisant la réadmission dans ces Etats ;
– ou ils sont titulaires d’un visa en cours de validité délivré par la France.
Les passagers se trouvant dans un port français à bord d’un navire y faisant escale, en provenance ou à
destination de l’étranger, dès lors qu’ils ne quittent pas le navire.
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 66 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêtent :
Art. 1er. − 1. Pour être admis à entrer sur le territoire de la Nouvelle-Calédonie, tout étranger doit être muni
d’un passeport national ou d’un titre de voyage en tenant lieu en cours de validité et revêtu d’un visa français
valable pour ce territoire.
2. Pour qu’un visa puisse y être apposé, le document de voyage doit satisfaire aux critères suivants :
a) Sa durée de validité doit excéder d’au moins trois mois la validité du visa ; toutefois, en cas d’urgence
dûment justifiée, il peut être dérogé à cette obligation sans que la durée du visa puisse excéder la durée de
validité du document de voyage ;
b) Il doit contenir au moins deux feuillets vierges.
Il doit avoir été délivré depuis moins de dix ans au moment de la réception de la demande de visa.
Art. 2. − Sont dispensés du visa prévu à l’article précédent les étrangers mentionnés à l’annexe du présent
arrêté, dans les limites qu’elle fixe.
Les étrangers bénéficiant de cette dispense de visa doivent justifier de leur entrée sur le territoire de la
Nouvelle-Calédonie au moyen d’un cachet apposé sur leur document de voyage par les autorités chargées du
contrôle aux frontières aux points de passage contrôlés. Par défaut, sauf cas de force majeure, ils sont réputés
être en situation irrégulière.
Art. 3. − Ne sont pas soumis au visa les étrangers transitant par le territoire de la Nouvelle-Calédonie en
empruntant exclusivement la voie aérienne, sous réserve qu’ils ne sortent pas des limites de la zone de transit
international de l’aéroport durant l’escale, à l’exception des étrangers pour lesquels l’obligation d’être munis
d’un visa (consulaire) de transit aéroportuaire est prévue par un arrêté conjoint du ministre chargé des affaires
étrangères et du ministre chargé de l’immigration.
A titre exceptionnel, le représentant de l’Etat en Nouvelle-Calédonie peut autoriser l’entrée sans visa des
passagers en transit aérien pendant la durée de leur escale à la condition que ces passagers détiennent les
documents permettant l’entrée sur le territoire du lieu de destination.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 66 sur 156
Art. 4. − Par dérogation aux dispositions qui précèdent, sont dans tous les cas soumis à l’obligation du visa
les étrangers qui ont fait l’objet, à l’occasion d’un précédent séjour en France, d’une mesure d’expulsion ou qui
ont été frappés d’une condamnation pénale assortie d’une mesure d’interdiction du territoire.
Art. 5. − Le directeur des Français à l’étranger et de l’administration consulaire, le secrétaire général du
ministère de l’immigration, de l’intégration, de l’identité nationale et du développement solidaire, le délégué
général à l’outre-mer et le directeur central de la police aux frontières sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 14 décembre 2009.
Le ministre de l’immigration,
de l’intégration, de l’identité nationale
et du développement solidaire,
ERIC BESSON
Le ministre des affaires étrangères
et européennes,
BERNARD KOUCHNER
La ministre auprès du ministre de l’intérieur,
de l’outre-mer et des collectivités territoriales,
chargée de l’outre-mer,
MARIE-LUCE PENCHARD
ANNEXE
1. Liste des pays ou des régions administratives dont les titulaires de passeport sont dispensés de visa pour
entrer et séjourner sur le territoire de la Nouvelle-Calédonie pendant trois mois par période de six mois, sauf
disposition plus favorable prévue par un accord de circulation, et limites de cette dispense :
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Andorre
Afrique du Sud Dispense s’appliquant seulement aux titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Antigua-et-Barbuda
Argentine
Bahamas
Bahreïn Dispense s’appliquant seulement aux titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Barbade
Bolivie
Bosnie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Brunei
. .
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PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Canada
Chili
Colombie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Congo (Brazzaville) Dispense de visa s’appliquant jusqu’au 31 juillet 2011 aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique
sécurisé.
Corée du Sud Dispense de visa ne s’appliquant pas en cas d’activité rémunérée en France.
Costa Rica
Croatie
République dominicaine Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
El Salvador
Emirats arabes unis Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Equateur Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Gabon Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Guatemala
Honduras
Hong Kong Dispense de visa s’appliquant seulement aux titulaires d’un passeport de la région administrative spéciale
de Hong Kong de la République populaire de Chine.
Israël
Kiribati
Koweït Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Macao Dispense de visa s’appliquant seulement aux titulaires d’un passeport de la région administrative spéciale
de Macao de la République populaire de Chine.
Malaisie
Maroc Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Iles Marshall
. .
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PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Maurice
Moldavie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Monaco Dispense de visa étendue aux séjours d’une durée excédant trois mois.
Monténégro
Nauru
Nicaragua
Nouvelle-Zélande Outre les ressortissants néo-zélandais, la dispense de visa s’étend également aux ressortissants :
– des îles Tokelau (territoire sous souveraineté néo-zélandaise) et Niue (statut de libre association avec la
Nouvelle-Zélande), titulaires d’un passeport néo-zélandais ;
– des îles Cook (passeport néo-zélandais).
Oman Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Palaos
Panama
Paraguay
Pérou Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Qatar Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Russie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Saint-Christophe-et-Nevis
Saint-Marin Dispense de visa étendue aux séjours d’une durée excédant trois mois.
Saint-Siège
Iles Salomon
Samoa occidentales
Sénégal Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Serbie
Seychelles
Tunisie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 66 sur 156
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Turquie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique, de service ou spécial.
Tuvalu
Ukraine Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Uruguay
Vietnam Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
En outre, sont dispensés de visa les ressortissants britanniques qui ne sont pas ressortissants du
Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord au regard du droit communautaire titulaires d’un
passeport « British Nationals (Overseas) ».
2. Autres catégories d’étrangers dispensés de visa pour le territoire de la Nouvelle-Calédonie :
Les titulaires d’un titre de séjour délivré par un Etat partie ou associé à la convention d’application de
l’accord de Schengen et appliquant en totalité l’acquis de Schengen, pour des séjours n’excédant pas trois mois
par période de six mois ;
Les membres de l’équipage civil des avions (personnel navigant technique et le personnel navigant
commercial des compagnies aériennes) titulaires d’une licence de personnel navigant et d’un certificat de
membre d’équipage en cours de validité et ressortissants d’un Etat signataire de la convention de Chicago
relative à l’aviation civile internationale, pour circuler dans l’aéroport et les localités avoisinantes pendant la
durée des escales ;
Les membres de l’équipage civil des navires titulaires d’une pièce d’identité des gens de mer, délivrée
conformément aux conventions de l’Organisation internationale du travail no 108 de 1958 et no 185 de 2003 et
à la convention visant à faciliter le trafic maritime international signée à Londres le 9 avril 1965, en cas de
permission à terre lors d’une escale, pour circuler dans la zone portuaire, sur le territoire de la commune du
port de relâche et sur celui des communes avoisinantes tel que défini par le représentant de l’Etat ;
Les réfugiés statutaires, les apatrides et les autres personnes n’ayant la nationalité d’aucun pays, qui résident
dans un Etat partie ou associé à la convention d’application de l’accord de Schengen appliquant l’intégralité de
l’acquis de Schengen et sont titulaires d’un document de voyage délivré par cet Etat, pour des séjours
n’excédant pas trois mois par période de six mois, à la condition de pouvoir présenter lors d’un contrôle :
– un document de voyage délivré par un Etat membre ;
– un justificatif de leur statut de réfugié statutaire ou d’apatride, ce justificatif pouvant être constitué du
document de voyage précité.
Les passagers des navires de croisière, pour entrer et séjourner sur le territoire de la Nouvelle-Calédonie
pendant la durée de l’escale s’ils répondent aux conditions suivantes :
– ils sont titulaires d’un titre de séjour en cours de validité délivré par un Etat membre de l’Union
européenne, de l’Espace économique européen ou de Suisse ;
– ou ils sont titulaires d’un titre de séjour en cours de validité délivré par Andorre, Monaco, Saint-Marin, le
Canada, le Japon ou les Etats-Unis d’Amérique autorisant la réadmission dans ces Etats ;
– ou ils sont titulaires d’un visa en cours de validité délivré par la France.
Les passagers se trouvant dans un port français à bord d’un navire y faisant escale, en provenance ou à
destination de l’étranger, dès lors qu’ils ne quittent pas le navire.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 156
TEXTES GÉNÉRAUX
passeport national ou d’un titre de voyage en tenant lieu, en cours de validité et revêtu d’un visa français
valable pour ce territoire.
2. Pour qu’un visa puisse y être apposé, le document de voyage doit satisfaire aux critères suivants :
a) Sa durée de validité doit excéder d’au moins trois mois la validité du visa ; toutefois, en cas d’urgence
dûment justifiée, il peut être dérogé à cette obligation sans que la durée du visa puisse excéder la durée de
validité du document de voyage ;
b) Il doit contenir au moins deux feuillets vierges.
Il doit avoir été délivré depuis moins de dix ans au moment de la réception de la demande de visa.
Art. 2. − Sont dispensés du visa prévu à l’article précédent les étrangers mentionnés à l’annexe du présent
arrêté, dans les limites qu’elle fixe.
Les étrangers bénéficiant de cette dispense de visa doivent justifier de leur entrée sur le territoire de Mayotte
au moyen d’un cachet apposé sur leur document de voyage par les autorités chargées du contrôle aux frontières
aux points de passage contrôlés. Par défaut, ils sont réputés être en situation irrégulière, sauf cas de force
majeure.
Art. 3. − Ne sont pas soumis au visa les étrangers transitant par le territoire de Mayotte en empruntant
exclusivement la voie aérienne, sous réserve qu’ils ne sortent pas des limites de la zone de transit international
de l’aéroport durant l’escale, à l’exception des étrangers pour lesquels l’obligation d’être munis d’un visa
(consulaire) de transit aéroportuaire est prévue par un arrêté conjoint du ministre chargé des affaires étrangères
et du ministre chargé de l’immigration.
Art. 4. − Par dérogation aux dispositions qui précèdent, sont dans tous les cas soumis à l’obligation du visa
les étrangers qui ont fait l’objet, à l’occasion d’un précédent séjour en France, d’une mesure d’expulsion ou qui
ont été frappés d’une condamnation pénale assortie d’une mesure d’interdiction du territoire.
Art. 5. − Les dispositions applicables à Mayotte de l’arrêté du 17 juillet 2001 relatif aux conditions d’entrée
des étrangers sur le territoire de la Polynésie française, des îles Wallis-et-Futuna et de Mayotte sont abrogées.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 156
ANNEXE
1. Liste des pays ou des régions administratives dont les titulaires de passeport sont dispensés de visa pour
entrer et séjourner sur le territoire de Mayotte pendant trois mois par période de six mois, sauf disposition plus
favorable prévue par un accord de circulation, et limites à cette dispense :
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Andorre
Afrique du Sud Dispense s’appliquant seulement aux titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Antigua-et-Barbuda
Argentine
Bahamas
Bahreïn Dispense s’appliquant seulement aux titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Barbade
Bolivie
Bosnie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Brunei
Canada
Chili
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 156
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Colombie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Congo (Brazzaville) Dispense de visa s’appliquant jusqu’au 31 juillet 2011 aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique
sécurisé.
Corée du Sud Dispense de visa ne s’appliquant pas en cas d’activité rémunérée en France.
Costa Rica
Croatie
République dominicaine Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
El Salvador
Emirats arabes unis Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Equateur Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Gabon Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou de service.
Guatemala
Honduras
Hong Kong Dispense de visa s’appliquant seulement aux titulaires d’un passeport de la région administrative spéciale
de Hong Kong de la République populaire de Chine.
Israël
Koweït Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Macao Dispense de visa s’appliquant seulement aux titulaires d’un passeport de la région administrative spéciale
de Macao de la République populaire de Chine.
Malaisie
Maroc Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Maurice
Moldavie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Monaco Dispense de visa étendue aux séjours d’une durée excédant trois mois.
Monténégro
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 156
PAYS OU RÉGION
administrative LIMITES À LA DISPENSE DE VISA
Nicaragua
Nouvelle-Zélande
Oman Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Panama
Paraguay
Pérou Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Qatar Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Russie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Saint-Christophe-et-Nevis
Saint-Marin Dispense de visa étendue aux séjours d’une durée excédant trois mois.
Saint-Siège
Sénégal Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Serbie
Seychelles
Tunisie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique ou spécial.
Turquie Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique, de service ou spécial.
Ukraine Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
Uruguay
Vietnam Dispense de visa s’appliquant aux seuls titulaires d’un passeport diplomatique.
En outre, sont dispensés de visa les ressortissants britanniques qui ne sont pas ressortissants du
Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord au regard du droit communautaire titulaires d’un
passeport « British Nationals (Overseas) ».
2. Autres catégories d’étrangers dispensés de visa pour le territoire de Mayotte :
Les membres de l’équipage civil des avions (personnel navigant technique et le personnel navigant
commercial des compagnies aériennes) titulaires d’une licence de personnel navigant et d’un certificat de
membre d’équipage en cours de validité et ressortissants d’un Etat signataire de la convention de Chicago
relative à l’aviation civile internationale, pour circuler dans l’aéroport et les localités avoisinantes pendant la
durée des escales.
Les membres de l’équipage civil des navires titulaires d’une pièce d’identité des gens de mer, délivrée
conformément aux conventions de l’Organisation internationale du travail no 108 de 1958 et no 185 de 2003 et
à la convention visant à faciliter le trafic maritime international signés à Londres le 9 avril 1965, en cas de
permission à terre lors d’une escale, pour circuler dans la zone portuaire, sur le territoire de la commune du
port de relâche et sur celui des communes avoisinantes tel que défini par le représentant de l’Etat.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 156
Les passagers des navires de croisière, pour entrer et séjourner sur le territoire de Mayotte pendant la durée
de l’escale s’ils répondent aux conditions suivantes :
– ils sont titulaires d’un titre de séjour en cours de validité délivré par un Etat membre de l’Union
européenne, de l’Espace économique européen ou de Suisse ;
– ou ils sont titulaires d’un titre de séjour en cours de validité délivré par Andorre, Monaco, Saint-Marin, le
Canada, le Japon ou les Etats-Unis d’Amérique autorisant la réadmission dans ces Etats ;
– ou ils sont titulaires d’un visa en cours de validité délivré par la France.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 156
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en
charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, en date du 4 décembre 2009, sont nommés
élèves ingénieurs de première année à l’Ecole nationale des ponts et chaussées, à compter du 27 août 2009,
date de la rentrée scolaire, les élèves ingénieurs dont les noms suivent :
ADNOT (Thibault).
AMORY (Marie).
ARLAUD (Elodie).
ARMIJOS CABRERA (José Rafael).
ARMINJON (Victor).
AUCLAIR-DESROTOUR (Pierre).
AYROLES (Nicolas).
BALMA (Ismail).
BARROUILLET (Emeline).
BAUMANN (Vincent).
BÉGOUGNE DE JUNIAC (Maxime).
BEHAR (David).
BELLET (Cédric).
BEN HAMADOU (Ramzi).
BENHSAIN (Meryem).
BERNARD (Camille).
BIENVENU (Alexis).
BOISSEAU (Charles).
BOISTARD (Matthieu).
BOUACIDA (Elias).
BOUFFANAIS (Yann).
BRIFFOD (Fabien).
BROSSARD (Nicolas).
CARLHIAN-MONPLAISIR (Margot).
CARLI (Clément).
CARNEAU (Paul).
CARRA (Damien).
CHANDESON (Jean-Baptiste).
COËFFIC (Florent).
COHEN (Emmanuel).
COLLE (François-Xavier).
COMBESSIE (Alexandre).
CORMIER-DURAND (Julia).
DE CATUÉLAN (Ombeline).
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 156
DE LA BIGNE (Mathilde).
DE LATOUR (Arnaud).
DEBOURDEAUX (Emmanuelle).
DESDOUITS (Antoine).
DORE (Flavien).
DUPUY (Christophe).
DURAND (Sylvain).
DURMUS (Alain).
EL ALLAME (Youssef).
EL HASSANI (Hamza).
FAURE (Alexis).
FENEUIL (Blandine).
FISCHER (Jérémie).
FOUCHER (Joséphine).
FRONTÈRE (Noémie).
GERMAIN (Etienne).
GIAVEDONI (Ayrton).
GRÜNER (Robin).
GUESSOUS (Maryam).
GUILLET (Julien).
GUILLEUX (Maxime).
GUISNEL (Xavier).
GUITTON (Claire).
HAMOT (Olivier).
HARDI (Simon).
HENG (Ernest).
HEYBERGER (Paul).
HOBT (Adrien).
HOUOT (Guillaume).
JAMELEDDINE (Soumaya).
JAOUEN (Hubert).
KERRAND (Eléonore).
LALANDE (Jérôme).
LAURENT (Arnaud).
LE BARS (Théo).
LE BRET (Alban).
LEJEMBLE (Hugo).
LESCOP (Louise).
LIGNIERES (Clément).
MADIOT (François).
MAGRON (Paul).
MAHIOU (Antoine).
MARCOTTE (Florence).
MARJOLLET (Marie-Estelle).
MARTHELOT (Rémi).
MARTINUZZI (Philippe).
MARTY-MAHE (Marion).
MAURISSET (Cécile).
MAZEAU (Adrien).
MELLAH (Mohamed).
MENGUY (Philippe).
MESNIL (Romain).
METZGER (Herminie).
MEVEL (Sadri).
M’HIRI (Zeineb).
MIGNOT (Loraine).
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 156
MINVIELLE (William).
MOUNSIF (Mohamed Amine).
NAIM (Samir).
NDIAYE (Souleymane).
OQUAB (Maxime).
PALLEZ (Clément).
PAPET (Jean-Philippe).
PASQUIER (Thomas).
PATRY (Marie-Gabrielle).
PENGAM (Thomas).
PÉRON (Martin).
PERONNE (Arthur).
PINOT (Vincent).
POIREL (Maylis).
PORTEMAN (Clément).
PRADY (Louis).
QUENNEHEN (Lucien).
RAMBACH (Victor).
RANÇON (Bastien).
RÉAU (Sébastien).
REY (Justine).
RONY (Amaury).
RUEDAS (Cyril).
SAAFI (Seifeddine).
SABA (Natalie).
SISSO (Xavier).
SLEIMAN (Jean-Pierre).
TALLON (Philippe).
TEDOLDI (Damien).
THEIS (Damien).
THOMAS (Benjamin).
TISSERAND (Alexandre).
URSCH (Jean-Marin).
VAUDEVIRE (Cécile).
VERRECCHIA (Jacques-Alexis).
VILLARD (Paul).
VINYES (Marina).
VIVIER (Dimitri).
WEBER (Olivier).
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 156
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en
charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, en date du 4 décembre 2009 :
Sont admis en deuxième année à l’Ecole nationale des ponts et chaussées, à compter du 7 septembre 2009,
date de la rentrée scolaire, les élèves ingénieurs, élèves de l’Ecole polytechnique, dont les noms suivent :
ARONIO DE ROMBLAY (Sixte).
ARRIBE (David).
AUCLAIRE (Edouard).
BEAUDE (Olivier).
BRACQ (Gonzague).
CHAMPALAUNE (Jean-Christophe).
COGAN (Annabelle).
COURTOIS (Vianney).
DEBS (Malek).
DEHOVE (Thibaut).
FAUCHE (Evrard).
FERNANDEZ (Nicolas).
FERTÉ (Guilhem).
FLISCOUNAKIS (Agnès).
GASSER (Thomas).
GAVANIER (Grégoire).
JACQUET (Bastien).
JEANPIERRE (Benjamin).
LAURENT (Benjamin).
LE GOFF (Hadrien).
LELEU (Clotilde).
LÉVRINO (Clément).
LOMBARD (Lucas).
MARTIN (Thibault).
MEHL (Khalid).
MOLIN (Xavier).
NALET (Grégoire).
NERON (Joseph).
POISSEROUX (Mathieu).
PRACHAY (Julien).
QU (Zheng).
QUENTIN (Cyril).
RTEL BENNANI (Houssine).
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 156
SAMSON (Benjamin).
SCOARNEC (Thibault).
SIFRE (Laurent).
TEDESCHI (Florian).
WANG (Le).
YANG (Zhujun).
YON (William).
Sont admis en deuxième année à l’Ecole nationale des ponts et chaussées, à compter du 11 septembre 2009,
date de la rentrée scolaire, les élèves ingénieurs, officiers des armées, dont les noms suivent :
LEMAIRE (Alexandre).
PAYEN (Amélie).
Sont admis en deuxième année à l’Ecole nationale des ponts et chaussées, à compter du 2 septembre 2009,
date de la rentrée scolaire, les élèves ingénieurs, étudiants titulaires d’une licence et ayant validé une première
année de master, dont les noms suivent :
FISZER (Claire).
HAGEGE (Stéphane).
METREF (Sammy).
Sont admis en deuxième année à l’Ecole nationale des ponts et chaussées, à compter du 1er septembre 2009,
date de la rentrée scolaire, les élèves d’établissements français ou étrangers ayant satisfait aux épreuves de
sélection prévues par convention, dont les noms suivent :
AILI (Abudushalamu).
AISSA (Ghada).
AKKAOUI (Abdessamad).
ALVES DE CARVALHO (Augusto).
AWAD (Zahi).
BARROS (Pablo Vinicius).
BEL FRANQUESA (Laura).
BEN ALI (Souhail).
BEN YAHMED (Mouna).
BLANCO GARCIA (Esther).
BUESO-INCHAUSTI TORO (Daniel).
CABAÑAS MONSECO (Maria-Del-Coral).
CANO PIÑEIRO (Juan Ramon).
CARDOZO BRACARENSE (Dalton).
CHACAR (Sami).
CHARUAU (Rémi).
CHEN (Yin).
CONCEIÇÃO DE OLIVEIRA (Luana).
CORREA SOLER (Ruben).
DE MORAES MACEDO (Paulo).
EL MAGROUN (Karim).
ESSADFI (Houssem Eddine).
FAUTREL (Aurore).
FERNANDEZ ALVAREZ DE BUERGO (Alejandro).
FERRARI DA SILVA (Rodolfo Jose).
GALANTE (Flavia).
GARCIA BONILLA (Carmen).
GHISOLI (Lorenzo).
GOULART COELHO (Lineker Max).
HAMÉON (Gaël).
HANSSON (Erik).
HORIUTI KITAHARA (Hector).
INGROSSO (Simone).
JIMENEZ RUGAMA (Lluis).
KAZUHISA TANABE (Guilherme).
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 156
KONTOGIANNIS (Nikolaos-Alexios).
LAHLOU (Yasser).
LELIÈVRE (Rémi).
LIN (Jiangxue).
LLANTA GONZALEZ (Emili).
LLORET BATLLE (Roger).
LOPEZ GALDOS (Javier).
LORENTZ (Pär Erik).
MACIENTE (Hugo Silverio).
MARTINS FONTOURA (Jóni Filipe).
MOLES DIMARTINO (Jaime Alfredo).
NGO (Sy Hoan).
NGUYEN (Binh Duong).
NGUYEN (Dac Loi).
NGUYEN (Van Linh).
PASCU (Dumitru-Radu).
PAVLOVICI (Irina).
PINHATI MOURAO (Laisla Rafaela).
REGAÑAS SOTO (Pablo).
REN (Siqing).
RMADI (Slaheddine).
RODRIGUEZ QUET (Florian).
SARASOLA GOITIA (Iñigo).
SAVADOGO (Aboubacar).
SEGARCEANU (Viorela).
SEKKAT (Dayae).
TAYEB (Frédéric).
VALE LARA (Jonas).
VERMOREL (Ambroise).
VILLAR BALBOA (Carlos).
VILLAUME (Karl).
ZHOU (Peng).
ZOLFAGHAR (Sara).
ZOZAYA VILLAR (Guillermo).
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 70 sur 156
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre d’Etat, ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en
charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, et du secrétaire d’Etat chargé des transports en
date du 7 décembre 2009, sont nommés membres de la commission intergouvernementale pour la préparation
de la réalisation du projet Seine-Escaut : M. Philippe Rattier et M. François Cazottes, en qualité de titulaires ;
M. Vincent Allais et M. Franck Agogué, en qualité de suppléants.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 71 sur 156
MESURES NOMINATIVES
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 72 sur 156
MESURES NOMINATIVES
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MESURES NOMINATIVES
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MESURES NOMINATIVES
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MESURES NOMINATIVES
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MESURES NOMINATIVES
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 77 sur 156
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville en date du
9 décembre 2009, M. André GERARD, directeur adjoint du travail, affecté à la direction départementale du
travail, de l’emploi et de la formation professionnelle de l’Aube, est radié des cadres et admis à faire valoir ses
droits à la retraite, à sa demande, à compter du 6 avril 2010.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 156
MESURES NOMINATIVES
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 156
MESURES NOMINATIVES
Par décret du Président de la République en date du 15 décembre 2009, M. MARSEGUERRA (Guy) est
nommé président du Centre national de la chanson, des variétés et du jazz.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 156
MESURES NOMINATIVES
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 156
MESURES NOMINATIVES
OUTRE-MER
Arrête :
Art. 1 . − Est nommé au cabinet de la ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des
er
Conseiller technique
M. Pierre Marx, à compter du 15 décembre 2009.
Art. 2. − Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 10 décembre 2009.
MARIE-LUCE PENCHARD
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrête :
Art. 1er. − Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
d’application de la convention collective nationale du sport du 7 juillet 2005, les dispositions l’avenant no 41
du 22 avril 2009 relatif à la rémunération minimum du chapitre 12 à la convention collective susvisée, sous
réserve de l’application des dispositions de l’article L. 2241-9 du code du travail, qui prévoient que la
négociation annuelle sur les salaires vise également à définir et programmer les mesures permettant de
supprimer les écarts de rémunération entre les femmes et les hommes avant le 31 décembre 2010.
Art. 2. − L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé est faite à dater de la publication du
présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
Art. 3. − Le directeur général du travail est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 9 décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
J.-D. COMBREXELLE
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2009/41, disponible à la Direction des Journaux officiels, 26, rue Desaix, 75727 Paris Cedex 15, au prix de 8,20 €.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 9 décembre 2009 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale
de la boulangerie et boulangerie-pâtisserie (entreprises artisanales) (no 843)
NOR : MTST0929824A
Arrête :
Art. 1er. − Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
d’application de la convention collective nationale de la boulangerie-pâtisserie (entreprises artisanales) du
19 mars 1976, les dispositions de l’avenant no 94 du 21 juillet 2009 relatif aux salaires, conclu dans le cadre de
la convention collective susvisée, sous réserve de l’application des dispositions de l’article L. 2241-9 du code
du travail qui prévoient que la négociation annuelle sur les salaires vise également à définir et programmer les
mesures permettant de supprimer les écarts de rémunération entre les femmes et les hommes avant le
31 décembre 2010.
Art. 2. − L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé est faite à dater de la publication du
présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
Art. 3. − Le directeur général du travail est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 9 décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
J.-D. COMBREXELLE
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2009/40, disponible à la Direction des Journaux officiels, 26, rue Desaix, 75727 Paris Cedex 15, au prix de 8,20 €.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 84 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrête :
Art. 1 . − Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
er
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2009/40, disponible à la Direction des Journaux officiels, 26, rue Desaix, 75727 Paris Cedex 15, au prix de 8,20 €.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après
indiqué.
Le texte de cet avenant pourra être consulté dans une direction départementale du travail, de l’emploi et de
la formation professionnelle.
Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées
de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 1 du 8 juin 2009.
Dépôt :
Direction générale du travail au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de
la ville.
Objet :
Modifications de certaines dispositions de la convention collective.
Signataires :
Syndicat national de l’édition phonographique (SNEP) ;
Union des producteurs français indépendants (UPFI) ;
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFDT, à la CGT, à la CFTC, à la CGT-FO et
à la CFE-CGC ;
Syndicat national des chefs d’orchestre professionnels de variétés et arrangeurs.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions des avenants ci-après
indiqué.
Les textes de ces avenants pourront être consultés dans une direction départementale du travail, de l’emploi
et de la formation professionnelle.
Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées
de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Textes dont l’extension est envisagée :
Avenant no 74 du 23 juin 2009 ;
Avenant no 1 du 30 septembre 2009.
Dépôt :
Direction générale du travail au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et
de la ville.
Objet :
Avenant no 74 : période d’essai ;
Avenant no 1 : modification de l’avenant no 67 du 15 décembre 2004 relatif à la prévoyance.
Signataires :
Union syndicale nationale des exploitations frigorifiques (USNEF) ;
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CGT-FO, à la CFDT, à la CFTC et à la
CFE-CGC.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 87 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective national,
des employés et personnel de maîtrise des commerces de quincaillerie, fournitures
industrielles, fers, métaux et équipement de la maison
NOR : MTST0929879V
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’accord ci-après
indiqué.
Le texte de cet accord pourra être consulté dans une direction départementale du travail, de l’emploi et de la
formation professionnelle.
Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées
de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Texte dont l’extension est envisagée :
Accord du 15 octobre 2009 (une annexe).
Dépôt :
Direction générale du travail au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et
de la ville.
Objet :
Emploi des salariés âgés.
Signataires :
Confédération française de la quincaillerie, fournitures industrielles, bâtiment, habitat ;
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFTC et à la CFE-CGC.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 88 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale
des cadres des commerces de quincaillerie, fournitures industrielles, fers, métaux et
équipement de la maison
NOR : MTST0929883V
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’accord ci-après
indiqué.
Le texte de cet accord pourra être consulté en direction départementale du travail, de l’emploi et de la
formation professionnelle.
Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées
de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Texte dont l’extension est envisagée :
Accord du 15 octobre 2009 (une annexe).
Dépôt :
Direction générale du travail, au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et
de la ville.
Objet :
Emploi des salariés âgés.
Signataires :
Confédération française de la quincaillerie, fournitures industrielles, bâtiment, habitat ;
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFTC et à la CFE-CGC.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale
des entreprises techniques au service de la création et de l’évènement
NOR : MTST0929886V
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’accord ci-après
indiqué.
Le texte de cet accord pourra être consulté dans une direction départementale du travail, de l’emploi et de la
formation professionnelle.
Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées
de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Texte dont l’extension est envisagée :
– accord du 4 novembre 2009.
Dépôt :
– direction générale du travail au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et
de la ville.
Objet :
– emploi des seniors.
Signataires :
– syndicat national des prestataires de l’audiovisuel, scénique et évènementiel (SYNPASE) ;
– fédération des industries du cinéma audiovisuel multimédia (FICAM) ;
– organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFE-CGC, à la CGT-FO, à la CFDT et à la
CFTC.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 90 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après
indiqué.
Le texte de cet avenant pourra être consulté en direction départementale du travail, de l’emploi et de la
formation professionnelle.
Dans un délai de 15 jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées de
faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Texte dont l’extension est envisagée :
– avis interprétatif no 20 du 16 juin 2009.
Dépôt :
– direction générale du travail, au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et
de la ville.
Objet :
– interprétation de certains articles de la convention collective.
Signataires :
– services intégrés du secrétariat et des télé-services (SIST) ;
– syndicat national des professionnels de l’hébergement (SYNAPHE) ;
– organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFTC et à la CFE-CGC.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après
indiqué.
Le texte de cet avenant pourra être consulté en direction départementale du travail, de l’emploi et de la
formation professionnelle.
Dans un délai de 15 jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées de
faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT2), 39-43, quai André-Citroën 75902 Paris Cedex 15.
Texte dont l’extension est envisagée :
– avenant no 22 du 15 mai 2009.
Dépôt :
– direction générale du travail au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et
de la ville.
Objet :
– rémunérations et organisation du temps de travail.
Signataires :
– syndicat national des sociétés d’assistance (SNSA) ;
– organisation syndicale de salariés intéressée rattachée à la CFDT.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 92 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après
indiqué.
Le texte de cet avenant pourra être consulté en direction départementale du travail, de l’emploi et de la
formation professionnelle.
Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées
de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 1 du 17 septembre 2009 à l’accord professionnel du 11 mars 2008 relatif à l’emploi des seniors
et la revalorisation du capital humain.
Dépôt :
Direction générale du travail, au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et
de la ville.
Objet :
Modifications de l’accord professionnel du 11 mars 2008 relatif à l’emploi des seniors et la revalorisation du
capital humain.
Signataires :
Association française des distributeurs de papiers (AFDP) ;
Fédération des articles de papeterie (FAP) ;
Fédération française du cartonnage (FFC) ;
Union des industries papetières pour les affaires sociales (UNIPAS) ;
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFTC, à la CGT-FO et à la CFE-CGC.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 93 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’accord ci-après
indiqué.
Le texte de cet accord pourra être consulté en direction départementale du travail, de l’emploi et de la
formation professionnelle.
Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées
de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Texte dont l’extension est envisagée :
Accord du 3 novembre 2009.
Dépôt :
Direction générale du travail au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et
de la ville.
Objet :
Emploi des seniors.
Signataires :
Les Entreprises du médicament (LEEM) ;
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFDT, à la CFTC et à la CFE-CGC.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 94 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après
indiqué.
Le texte de cet avenant pourra être consulté en direction départementale du travail, de l’emploi et de la
formation professionnelle.
Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées
de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 57 du 8 juillet 2009.
Dépôt :
Direction générale du travail au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et
de la ville.
Objet :
Salaires à compter du 1er juillet 2009.
Signataires :
Fédération du négoce agricole ;
Fédération nationale des syndicats de négociants en pommes de terre et légumes en gros ;
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CGT-FO, à la CFDT et à la CFTC.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’accord ci-après
indiqué.
Le texte de cet accord pourra être consulté en direction départementale du travail, de l’emploi et de la
formation professionnelle.
Dans un délai de 15 jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées de
faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Texte dont l’extension est envisagée :
– accord du 16 novembre 2009.
Dépôt :
– direction générale du travail au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et
de la ville.
Objet :
– emploi des seniors.
Signataires :
– union nationale des établissements thermaux (CNETh) ;
– organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFDT, à la CFE-CGC et à la CGT-FO.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, des relations sociales, de la
famille, de la solidarité et de la ville envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les
employeurs et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’accord national
ci-après indiqué.
Le texte de cet accord national pourra être consulté en direction départementale du travail, de l’emploi et de
la formation professionnelle.
Dans un délai de quinze jours, les organisations professionnelles et toutes personnes intéressées sont priées
de faire connaître leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de
la solidarité et de la ville (DGT, bureau RT 2), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Texte dont l’extension est envisagée :
– accord national professionnel du 21 octobre 2009.
Dépôt :
– direction générale du travail, au ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et
de la ville.
Objet :
– emploi des seniors.
« Article 1 – Champ d’application professionnel et territorial
Le présent accord a vocation à couvrir les Offices publics de l’habitat dont l’effectif comporte au moins 50
salariés titulaires d’un contrat de travail. Dès lors, l’accord s’applique à l’ensemble des personnels de l’Office,
salariés et fonctionnaires.
Il peut aussi servir de base à ceux dont l’effectif comprend au moins 300 salariés ou appartenant à un groupe
dont l’effectif comprend au moins 300 salariés qui restent tenus de conclure un accord d’entreprise ou de
mettre en place un plan d’action sur le même sujet. Les accords conclus dans les Offices à la date de
publication de l’accord national pourront se référer à celui-ci et ce dans un but purement pédagogique. »
Signataires :
– fédération nationale des Offices publics de l’habitat ;
– organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CGT, à la CGT-FO, à la CFDT et à la
CFE-CGC ;
– FA-FPT ;
– UNSA territoriaux.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 8 décembre 2009 portant extension d’un accord collectif sur un régime d’assurance
complémentaire frais de santé des salariés non cadres des exploitations agricoles de
polyculture, d’élevages spécialisés ou non, les CUMA et les exploitations de cultures
spécialisées des Deux-Sèvres
NOR : AGRS0929682A
Arrête :
Art. 1 . − Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans son champ
er
d’application, les dispositions de l’accord collectif du 5 juin 2009 sur un régime d’assurance complémentaire
frais de santé des salariés non cadres des exploitations agricoles de polyculture, d’élevages spécialisés ou non,
les CUMA et les exploitations de cultures spécialisées des Deux-Sèvres.
Les dispositions de l’article 8 (Cotisations) sont étendues sous réserve du respect des articles L. 871-1,
R. 871-1 et R. 871-2 du code de la sécurité sociale.
Art. 2. − L’extension des effets et sanctions de l’accord visé à l’article 1er est faite à dater de la publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir aux conditions prévues par ledit accord.
Art. 3. − Le directeur des affaires financières, sociales et logistiques est chargé de l’exécution du présent
arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 8 décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur adjoint,
P. AUZARY
Nota. – Le texte de cet accord a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2009/38,
disponible à la Direction des Journaux officiels, 26, rue Desaix, 75727 Paris Cedex 15, au prix de 8,20 €.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 156
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 8 décembre 2009 portant extension d’un accord départemental relatif à l’assurance
complémentaire frais de santé concernant les salariés non cadres des exploitations agricoles
du département de l’Orne
NOR : AGRS0929674A
Arrête :
Art. 1er. − Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans son champ
d’application, les dispositions de l’accord départemental du 19 juin 2009 relatif à l’assurance complémentaire
frais de santé des salariés non cadres des exploitations agricoles du département de l’Orne, à l’exclusion des
termes : « Les salariés non cadres définis ci-dessus ressortissant d’un accord d’entreprise dans les conditions
fixées à l’article 11 du présent accord » constituant le dernier alinéa du paragraphe « Cas d’exclusion » de
l’article 3.
Art. 2. − L’extension des effets et sanctions de l’accord visé à l’article 1er est faite à dater de la publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir aux conditions prévues par ledit accord.
Art. 3. − Le directeur des affaires financières, sociales et logistiques est chargé de l’exécution du présent
arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 8 décembre 2009.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur adjoint,
P. AUZARY
Nota. – Le texte de cet accord a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2009/37,
disponible à la Direction des Journaux officiels, 26, rue Desaix, 75727 Paris Cedex 15, au prix de 8,20 €.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 156
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 156
Sur la compétence :
Considérant que le contrôle des chambres de commerce et d’industrie, établissements publics placés sous la
tutelle de l’Etat, relève, sur le fondement de l’article L. 111-3 du code des juridictions financières, de la
compétence de la Cour des comptes, laquelle a délégué cette compétence, par les arrêtés du premier président
des 17 janvier 2003 et 13 octobre 2006, aux chambres régionales des comptes en application des articles
L. 111-9 et R. 111-1 du même code ; que, dès lors, en application des dispositions du c du I de
l’article L. 312-1 du code des juridictions financières, les représentants, administrateurs ou agents des chambres
de commerce et d’industrie sont justiciables de la Cour de discipline budgétaire et financière.
Sur la prescription :
Considérant que les irrégularités postérieures au 23 juillet 1999 ne sont pas couvertes par la prescription
édictée par l’article L. 314-2 du code des juridictions financières.
Sur le fond :
Considérant qu’aux termes de l’article L. 313-4 du code des juridictions financières « Toute personne visée à
l’article L. 312-1 qui, en dehors des cas prévus aux articles précédents, aura enfreint les règles relatives à
l’exécution des recettes et des dépenses de l’Etat ou des collectivités, établissements et organismes mentionnés
à ce même article ou à la gestion des biens leur appartenant ou qui, chargée de la tutelle desdites collectivités,
desdits établissements ou organismes, aura donné son approbation aux décisions incriminées sera passible de
l’amende prévue à l’article L. 313-1 » ;
Considérant qu’aux termes de l’article L. 313-6 du même code : « Toute personne visée à l’article L. 312-1
qui, dans l’exercice de ses fonctions ou attributions, aura, en méconnaissance de ses obligations, procuré à
autrui un avantage injustifié, pécuniaire ou en nature, entraînant un préjudice pour le Trésor, la collectivité ou
l’organisme intéressé, ou aura tenté de procurer un tel avantage sera passible d’une amende dont le minimum
ne pourra être inférieur à 300 euros et dont le maximum pourra atteindre le double du montant du traitement
ou salaire brut annuel qui lui était alloué à la date de l’infraction » ;
Considérant qu’aux termes de l’article 1er de la loi no 52-1311 du 10 décembre 1952 « La situation des
personnels administratifs des chambres d’agriculture, des chambres de commerce et des chambres de métiers
de France est déterminée par un statut établi par des commissions paritaires nommées, pour chacune de ces
institutions, par le ministre de tutelle » ;
Considérant qu’en vertu des dispositions combinées de l’article 1er et du titre III du statut du personnel des
compagnies consulaires applicable aux chambres de commerce et d’industrie établi sur le fondement des
dispositions législatives précitées seuls les agents des chambres de commerce et d’industrie ayant la qualité
d’agent de droit public qui occupent un emploi permanent sont régis par les dispositions de ce statut relatives
aux rémunérations ; qu’en revanche lesdites dispositions ne sont pas applicables aux agents occupant un emploi
non permanent ;
Considérant qu’aux termes de l’article 14 du statut du personnel des compagnies consulaires : « Le
classement du personnel est fixé par une grille nationale établie par la commission paritaire nationale. Cette
grille est obligatoire. Les commissions paritaires locales peuvent, selon les besoins, compléter cette grille
nationale, soit en créant des échelons intermédiaires dans chaque emploi, soit en prévoyant des emplois non
prévus par la grille nationale et existant dans les services de la compagnie consulaire concernée » ;
Considérant qu’en vertu de l’article 15, dans sa rédaction en vigueur à la date des faits « La rémunération
mensuelle indiciaire des agents titulaires et stagiaires des compagnies consulaires est calculée en multipliant la
somme des trois indices suivants par la valeur du point national : l’indice de qualification déterminé par le
classement de l’emploi dans la classification nationale des emplois définie à l’article 14, l’indice des résultats
professionnels individuels déterminé en application des articles 16-2, 19 et 50, l’indice d’expérience déterminé
en application des articles 19 et 50. La rémunération mensuelle brute des agents titulaires et stagiaires des
compagnies consulaires est constituée de la rémunération mensuelle indiciaire, augmentée, le cas échéant, des
majorations pour heures supplémentaires, des accessoires de rémunération fixes ou variables et du supplément
familial défini à l’article 21 » ;
Considérant qu’aux termes de l’article 20 du statut du personnel des compagnies consulaires, dans sa
rédaction applicable en 1999 : « Aucune gratification ne peut être attribuée aux agents » ; qu’à la suite de la
décision de la commission paritaire nationale du 11 mai 2000 instituant un treizième mois de rémunération les
dispositions suivantes ont été introduites à l’article 20 sous la forme d’un premier alinéa : « Tous les agents
titulaires ou stagiaires bénéficient d’un treizième mois de rémunération. Ce treizième mois, payable en fin
d’année, sera égal, pour chaque agent, au douzième des rémunérations qu’il aura effectivement perçues au
cours de l’année écoulée » ;
Considérant que le 11 mars 2003, la commission paritaire nationale des chambres de commerce et
d’industrie, après en avoir approuvé le principe lors de sa précédente réunion du 5 décembre 2002, a annulé le
second alinéa de l’article 20 prohibant l’octroi de gratifications aux agents pour le remplacer par les
dispositions suivantes : « Chaque compagnie consulaire peut prévoir le principe d’une enveloppe globale de
primes individuelles autres que celles réservées aux augmentations et promotions au choix et primes collectives
déjà en place. Ces primes exceptionnelles peuvent être attribuées en reconnaissance d’actions particulières qui
ne peuvent faire l’objet ni d’une rémunération horaire, ni d’une augmentation ou promotion (...) » ;
Sur les faits :
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 156
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 156
et des charges, préalablement à leur encaissement ou à leur paiement ; 3o Le trésorier est chargé de la tenue
de la comptabilité, de l’exécution des opérations de dépenses et de recettes ainsi que de la gestion de la
trésorerie ; il a autorité sur les services comptables et les régies » ;
Considérant que l’article 49 du même décret renvoie au règlement intérieur des compagnies consulaires la
fixation des conditions dans lesquelles le président et le trésorier peuvent déléguer leur signature au directeur
général ou, sur sa proposition, à d’autres agents permanents de la chambre ; que, sur le fondement de ces
dispositions, l’article 70 du règlement intérieur de la CCIP prévoyait l’existence de « délégations de signature
générale ou spéciales, en particulier celle relative à la gestion du personnel, que le directeur général reçoit du
président » ;
Considérant que M. Franck a été élu président de la CCIP en janvier 1998, puis réélu en janvier 2001 ; qu’en
vertu des dispositions précitées du décret du 18 juillet 1991 comme du règlement intérieur de la chambre il
avait la qualité d’ordonnateur principal de l’établissement ; qu’il a consenti de larges délégations de signature à
ses collaborateurs, sans contrôler ultérieurement l’usage qui en était fait ; qu’ayant été rendu destinataire, en
mai 1999, du rapport susmentionné de l’inspection générale des finances M. Franck était informé de la nature
irrégulière des primes et indemnités en cause ; qu’au cours de l’instruction il a par ailleurs reconnu avoir eu
connaissance de la note précitée du directeur général de la CCIP en date du 22 septembre 1999, prescrivant aux
directeurs de surseoir à tout nouveau versement de primes et indemnités à la suite de ce rapport, mais ne pas
s’être préoccupé de sa mise en application ; qu’ainsi M. Franck a personnellement fait preuve d’un défaut de
surveillance dans le contrôle des dépenses de la CCIP ; que, dès lors, sa responsabilité se trouve engagée pour
ces faits au titre des dispositions de l’article L. 313-4 du code des juridictions financières ;
Considérant que M. Simon a été élu vice-président trésorier de la CCIP en janvier 1998, puis réélu à cette
fonction en janvier 2001 ; qu’en vertu des dispositions précitées du décret du 18 juillet 1991 il était chargé de
la tenue de la comptabilité et de l’exécution des opérations de dépenses de la chambre ; qu’ayant eu
connaissance du rapport susmentionné de l’inspection générale des finances il était informé de la nature
irrégulière des primes et indemnités en cause ; que s’il a indiqué au cours de l’instruction n’avoir pas
personnellement visé les mandatements des primes et indemnités litigieuses, mais avoir délégué ce visa à un
trésorier délégué, il demeure qu’en vertu des dispositions précitées de l’article 56 du décret du 18 juillet 1991
l’ensemble des paiements des dépenses de la CCIP était effectué sous sa responsabilité ; que, dès lors, sa
responsabilité se trouve engagée pour ces faits au titre des dispositions de l’article L. 313-4 du code des
juridictions financières ;
Considérant que M. Marzolf a exercé les fonctions de directeur général de la CCIP de février
1995 mars 2004 ; qu’il était titulaire d’une large délégation de signature du président dans le domaine de la
gestion des ressources humaines ; qu’à la suite de la mise en cause par l’inspection générale des finances de la
régularité du régime indemnitaire de la CCIP, il a signé le 22 septembre 1999 une note prescrivant de
« surseoir à tout nouveau versement de primes ou indemnités et ce, dans la perspective de l’adaptation de nos
règles statutaires aux besoins de gestion » ; que cependant ces directives sont restées inappliquées, M. Marzolf
continuant à signer des décisions d’attribution de primes irrégulières ; qu’au cours de l’instruction M. Marzolf a
reconnu que cette note correspondait « à une décision de principe », mais que « pour autant, des décisions
d’attribution d’indemnités temporaires de fonctions et d’indemnités permanentes de fonctions ont continué
d’être prises » pour des raisons tenant à l’impossibilité de diminuer brusquement les rémunérations des agents
et à la nécessité d’inciter les agents à la recherche de ressources de financement nouvelles pour la chambre ;
qu’en maintenant un dispositif irrégulier de rémunérations complémentaires et en signant des décisions
attribuant de telles primes et indemnités M. Marzolf a engagé sa responsabilité au titre des dispositions de
l’article L. 313-4 du code des juridictions financières ;
Considérant que M. Tivolle a exercé les fonctions de directeur des ressources humaines de la CCIP de
janvier 1999 septembre 2002 ; qu’il résulte de l’instruction qu’il bénéficiait d’une délégation de signature du
président pour toutes les décisions ayant trait à la gestion des ressources humaines des agents autres que les
cadres supérieurs ; qu’il ressort de son audition que « toutes les propositions d’attribution d’indemnités
temporaires de fonctions appuyées par les directeurs étaient argumentées par une note et instruites par la
direction des ressources humaines qui en vérifiait le bien-fondé » ; que M. Tivolle assistait à la commission
paritaire locale du 15 novembre 1999, destinée à présenter la synthèse des conclusions du rapport susmentionné
de l’inspection générale des finances et des réponses apportées ; que, postérieurement à cette réunion et à la
signature par M. Marzolf de la note précitée du 22 septembre 1999, M. Tivolle a signé des décisions d’octroi
d’indemnités temporaires de fonction, d’indemnités permanentes de fonction et de primes exceptionnelles ;
qu’en conséquence dirigeant le service chargé d’analyser toutes les propositions de décisions d’octroi de primes
et indemnités, et ayant lui-même signé certaines des décisions en cause, M. Tivolle a concouru au maintien
d’indemnités irrégulières, engageant ainsi sa responsabilité au titre des dispositions de l’article L. 313-4 du
code des juridictions financières ;
Sur les responsabilités au titre de l’article L. 313-6 du code des juridictions financières :
Considérant qu’il résulte de l’instruction que MM. Marzolf et Tivolle ont, en toute connaissance de cause,
assuré le versement d’indemnités permanentes de fonction au moins jusqu’en 2002, nonobstant la note précitée
signée par M. Marzolf le 22 septembre 1999, qu’ainsi ils ont méconnu leurs obligations et engagé leur
responsabilité dans l’infraction commise au titre des dispositions de l’article L. 313-6 du code des juridictions
financières ;
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 156
Arrête :
Art. 1 . − M. Michel FRANCK est condamné à une amende de trois cents euros (300 €).
er
Art. 2. − M. Pierre SIMON est condamné à une amende de trois cents euros (300 €).
Art. 3. − M. Jean-Daniel MARZOLF est condamné à une amende de six cents euros (600 €).
Art. 4. − M. Jean-Baptiste TIVOLLE est condamné à une amende de six cents euros (600 €).
Art. 5. − Le présent arrêt sera publié au Journal officiel de la République française.
Délibéré par la Cour de discipline budgétaire et financière, première section, le 23 octobre 2009 par
M. Martin, conseiller d’Etat, remplaçant en application de l’article R. 311-1-IV du code des juridictions
financières le président de la première section, empêché ; M. Loloum, conseiller d’Etat ; MM. Vachia et
Duchadeuil, conseillers maîtres à la Cour des comptes.
En conséquence, la République mande et ordonne à tous huissiers de justice sur ce requis de mettre ledit
arrêt à exécution, aux procureurs généraux et aux procureurs de la République près les tribunaux de grande
instance d’y tenir la main, à tous les commandants et officiers de la force publique de prêter main-forte
lorsqu’ils en seront légalement requis.
Le président,
P. MARTIN
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 100 sur 156
Décide :
Art. 1er. − La société Compagnie du numérique hertzien SA est autorisée à utiliser les fréquences et les
sites de diffusion précisés en annexe en vue d’assurer la diffusion auprès du public par voie hertzienne terrestre
en mode numérique des programmes autorisés sur le multiplex R 3, conformément à la décision no 2003-546
modifiée susvisée.
L’attribution de ces fréquences est subordonnée au respect des conditions techniques indiquées en annexe.
Art. 2. − La présente décision sera notifiée à la société Compagnie du numérique hertzien SA et publiée au
Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 10 novembre 2009.
Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel :
Le président,
M. BOYON
ANNEXE
Le CSA pourra ultérieurement, si le développement des réseaux de télévision l’exige, substituer aux canaux
indiqués d’autres canaux permettant une réception de qualité équivalente.
1. Le bénéficiaire est tenu de communiquer au CSA les informations suivantes dont il attestera l’exactitude :
Informations communiquées dans un délai de deux mois après la mise en service :
– descriptif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes...) ;
– PAR maximale et diagramme de rayonnement théorique (H et V) ;
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 100 sur 156
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 156
Décide :
Art. 1er. − La société opératrice du multiplex R 4 (MULTI 4) est autorisée à utiliser les fréquences et les
sites de diffusion précisés en annexe en vue d’assurer la diffusion auprès du public par voie hertzienne terrestre
en mode numérique des programmes autorisés sur le multiplex R 4, conformément à la décision no 2003-547
modifiée susvisée.
L’attribution de ces fréquences est subordonnée au respect des conditions techniques indiquées en annexe.
Art. 2. − La présente décision sera notifiée à la société opératrice du multiplex R 4 (MULTI 4) et publiée
au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 10 novembre 2009.
Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel :
Le président,
M. BOYON
ANNEXE
Le CSA pourra ultérieurement, si le développement des réseaux de télévision l’exige, substituer aux
canaux indiqués d’autres canaux permettant une réception de qualité équivalente.
1. Le bénéficiaire est tenu de communiquer au CSA les informations suivantes dont il attestera
l’exactitude :
Informations communiquées dans un délai de deux mois après la mise en service :
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 156
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 156
Décide :
Art. 1 . − La société SMR 6 SA est autorisée à utiliser les fréquences et les sites de diffusion précisés en
er
annexe en vue d’assurer la diffusion auprès du public par voie hertzienne terrestre en mode numérique des
programmes autorisés sur le multiplex R 6, conformément à la décision 2003-548 susvisée et modifiée.
L’attribution de ces fréquences est subordonnée au respect des conditions techniques indiquées en annexe.
Art. 2. − La présente décision sera notifiée à la société SMR 6 SA et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 10 novembre 2009.
Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel :
Le président,
M. BOYON
ANNEXE
Le CSA pourra ultérieurement, si le développement des réseaux de télévision l’exige, substituer aux canaux
indiqués d’autres canaux permettant une réception de qualité équivalente.
1. Le bénéficiaire est tenu de communiquer au CSA les informations suivantes, dont il attestera l’exactitude :
Informations communiquées dans un délai de deux mois après la mise en service :
– descriptif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes...) ;
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 156
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 156
Décide :
Art. 1er. − Les émissions télévisées et radiodiffusées destinées à l’expression des formations politiques
représentées par un groupe dans l’une ou l’autre des assemblées ainsi qu’à l’expression des organisations
syndicales et professionnelles représentatives à l’échelle nationale sont programmées sur France Télévisions
(France 2, France 3 et France 5) et sur Radio France (France Inter) aux dates et heures figurant dans les
tableaux joints à la présente décision. Aucune modification ne pourra intervenir sans l’accord préalable du
Conseil supérieur de l’audiovisuel.
Art. 2. − La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 8 décembre 2009.
Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel :
Le président,
M. BOYON
CFDT mar 02/02/10 sam 06/02/10 ven 05/02/10 sam 29/05/10 dim 11/04/10 lun 22/02/10 jeu 25/02/10
mar 06/07/10 sam 10/07/10 ven 09/07/10 sam 04/12/10 dim 24/10/10 lun 30/08/10 jeu 02/09/10
CFTC mar 01/06/10 sam 05/06/10 ven 04/06/10 sam 17/04/10 dim 28/02/10 lun 01/02/10 jeu 04/02/10
mar 07/12/10 sam 11/12/10 ven 10/12/10 sam 09/10/10 dim 26/09/10 lun 05/07/10 jeu 08/07/10
CGC mar 09/02/10 sam 13/02/10 ven 12/02/10 sam 05/06/10 dim 25/04/10 lun 01/03/10 jeu 04/03/10
mar 27/07/10 sam 31/07/10 ven 30/07/10 sam 11/12/10 dim 21/11/10 lun 13/09/10 jeu 16/09/10
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 156
CGPME mar 18/05/10 sam 22/05/10 ven 21/05/10 sam 03/04/10 dim 21/02/10 lun 25/01/10 jeu 28/01/10
mar 30/11/10 sam 04/12/10 ven 03/12/10 sam 25/09/10 dim 22/08/10 lun 28/06/10 jeu 01/07/10
CGT mar 16/11/10 sam 20/11/10 ven 19/11/10 sam 28/08/10 dim 11/07/10 lun 06/12/10 jeu 09/12/10
mar 27/04/10 sam 01/05/10 ven 30/04/10 sam 27/02/10 dim 07/02/10 lun 31/05/10 jeu 03/06/10
CGT-FO mar 14/09/10 sam 18/09/10 ven 17/09/10 sam 31/07/10 dim 13/06/10 lun 22/11/10 jeu 25/11/10
mar 30/03/10 sam 03/04/10 ven 02/04/10 sam 07/08/10 dim 04/07/10 lun 03/05/10 jeu 06/05/10
FNSEA mar 11/05/10 sam 15/05/10 ven 14/05/10 sam 06/03/10 dim 14/02/10 lun 11/01/10 jeu 14/01/10
mar 23/11/10 sam 27/11/10 ven 26/11/10 sam 11/09/10 dim 01/08/10 lun 07/06/10 jeu 10/06/10
FSU mar 13/04/10 sam 17/04/10 ven 16/04/10 sam 20/02/10 dim 31/01/10 lun 17/05/10 jeu 20/05/10
mar 28/09/10 sam 02/10/10 ven 01/10/10 sam 13/02/10 dim 17/01/10 lun 29/11/10 jeu 02/12/10
MEDEF mar 05/01/10 sam 09/01/10 ven 08/01/10 sam 01/05/10 dim 07/03/10 lun 08/02/10 jeu 11/02/10
mar 08/06/10 sam 12/06/10 ven 11/06/10 sam 20/11/10 dim 12/09/10 lun 26/07/10 jeu 29/07/10
SOLIDAIRES mar 23/02/10 sam 27/02/10 ven 26/02/10 sam 23/01/10 dim 30/05/10 lun 05/04/10 jeu 08/04/10
mar 24/08/10 sam 28/08/10 ven 27/08/10 sam 03/07/10 dim 05/12/10 lun 11/10/10 jeu 14/10/10
UNAPL mar 03/08/10 sam 07/08/10 ven 06/08/10 sam 12/06/10 dim 28/11/10 lun 27/09/10 jeu 30/09/10
mar 16/02/10 sam 20/02/10 ven 19/02/10 sam 09/01/10 dim 09/05/10 lun 29/03/10 jeu 01/04/10
UNSA mar 02/03/10 sam 06/03/10 ven 05/03/10 sam 06/02/10 dim 06/06/10 lun 19/04/10 jeu 22/04/10
mar 31/08/10 sam 04/09/10 ven 03/09/10 sam 10/07/10 dim 12/12/10 lun 15/11/10 jeu 18/11/10
UPA mar 19/01/10 sam 23/01/10 ven 22/01/10 sam 15/05/10 dim 04/04/10 lun 15/02/10 jeu 18/02/10
mar 29/06/10 sam 03/07/10 ven 02/07/10 sam 27/11/10 dim 10/10/10 lun 16/08/10 jeu 19/08/10
Mouvement mar 05/10/10 sam 09/10/10 ven 08/10/10 sam 30/01/10 dim 20/06/10 lun 19/07/10 jeu 22/07/10
démocrate
(MoDem)
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 156
mar 26/10/10 sam 30/10/10 ven 29/10/10 sam 19/06/10 dim 15/08/10 lun 04/10/10 jeu 07/10/10
Nouveau Centre mar 10/08/10 sam 14/08/10 ven 13/08/10 sam 30/10/10 dim 18/04/10 lun 14/06/10 jeu 17/06/10
(NC)
mar 17/08/10 sam 21/08/10 ven 20/08/10 sam 13/11/10 dim 02/05/10 lun 21/06/10 jeu 24/06/10
Parti commu- mar 13/07/10 sam 17/07/10 ven 16/07/10 sam 06/11/10 dim 10/01/10 lun 10/05/10 jeu 13/05/10
niste français
(PCF)
mar 20/07/10 sam 24/07/10 ven 23/07/10 sam 16/10/10 dim 24/01/10 lun 24/05/10 jeu 27/05/10
mar 07/09/10 sam 11/09/10 ven 10/09/10 sam 18/12/10 dim 16/05/10 lun 12/07/10 jeu 15/07/10
Parti radical de mar 12/10/10 sam 16/10/10 ven 15/10/10 sam 22/05/10 dim 25/07/10 lun 20/09/10 jeu 23/09/10
gauche (PRG)
mar 06/04/10 sam 10/04/10 ven 09/04/10 sam 14/08/10 dim 03/10/10 lun 08/11/10 jeu 11/11/10
Parti socialiste mar 21/09/10 sam 25/09/10 ven 24/09/10 sam 16/01/10 dim 23/05/10 lun 02/08/10 jeu 05/08/10
(PS)
mar 12/01/10 sam 16/01/10 ven 15/01/10 sam 17/07/10 dim 05/09/10 lun 01/11/10 jeu 04/11/10
mar 26/01/10 sam 30/01/10 ven 29/01/10 sam 24/07/10 dim 19/09/10 lun 25/10/10 jeu 28/10/10
mar 04/05/10 sam 08/05/10 ven 07/05/10 sam 04/09/10 dim 31/10/10 lun 04/01/10 jeu 07/01/10
mar 25/05/10 sam 29/05/10 ven 28/05/10 sam 18/09/10 dim 14/11/10 lun 18/01/10 jeu 21/01/10
Union pour un mar 19/10/10 sam 23/10/10 ven 22/10/10 sam 10/04/10 dim 18/07/10 lun 09/08/10 jeu 12/08/10
mouvement
populaire
(UMP) mar 02/11/10 sam 06/11/10 ven 05/11/10 sam 24/04/10 dim 27/06/10 lun 23/08/10 jeu 26/08/10
mar 09/11/10 sam 13/11/10 ven 12/11/10 sam 08/05/10 dim 08/08/10 lun 06/09/10 jeu 09/09/10
mar 14/12/10 sam 18/12/10 ven 17/12/10 sam 26/06/10 dim 29/08/10 lun 18/10/10 jeu 21/10/10
mar 20/04/10 sam 24/04/10 ven 23/04/10 sam 21/08/10 dim 17/10/10 lun 13/12/10 jeu 16/12/10
mar 15/06/10 sam 19/06/10 ven 18/06/10 sam 02/10/10 dim 07/11/10 lun 12/04/10 jeu 15/04/10
mar 22/06/10 sam 26/06/10 ven 25/06/10 sam 23/10/10 dim 19/12/10 lun 26/04/10 jeu 29/04/10
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 156
Décide :
Art. 1er. − Il est donné acte du désistement de la société locale d’exploitation du câble de l’agglomération
nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines et des communes associées de sa demande tendant au règlement du
différend qui l’opposait à la société Free.
Art. 2. − La présente décision sera notifiée à la société locale d’exploitation du câble de l’agglomération
nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines et des communes associées et à la société Free, et sera publiée au
Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 19 novembre 2009.
Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel :
Le président,
M. BOYON
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
CHAPITRE Ier
Retrait et dépôt des dossiers de candidature
Les déclarations de candidature sont présentées soit par une société, soit par une fondation, soit par une
association qui s’engage à assurer l’exploitation effective du service. L’exploitant effectif est celui qui assure la
responsabilité éditoriale du service et assume son risque économique.
CHAPITRE II
Catégories des services
1. Détermination de la catégorie
La catégorie dans laquelle une candidature est présentée est un élément déterminant. Tout changement de
catégorie qui surviendrait après la délivrance de l’autorisation sans l’accord du Conseil supérieur de
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
l’audiovisuel, pourrait tomber sous le coup des dispositions du premier alinéa de l’article 42-3 de la loi du
30 septembre 1986, en vertu desquelles l’autorisation peut être retirée, sans mise en demeure préalable, en cas
de modification substantielle des données au vu desquelles elle a été délivrée.
Si le service ne remplit plus les critères propres à la catégorie pour laquelle il est autorisé, cette autorisation
peut ne pas être reconduite hors appel aux candidatures.
2. Définition de la catégorie A
(services associatifs)
3. Définition de la catégorie B
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
localement par des personnels ou des services locaux directement rémunérés par le titulaire de l’autorisation,
les émissions d’information locale, les émissions de services de proximité, les émissions consacrées à
l’expression ou à la vie locale, les fictions radiophoniques et les émissions musicales, dont la composition ou
l’animation ont un caractère local, et tous les programmes produits et diffusés localement par l’exploitant dans
un but éducatif ou culturel.
CHAPITRE III
Contenu du dossier de candidature
Les candidats remplissent le dossier de candidature correspondant à la catégorie de service de leur choix. Un
seul dossier est rempli par projet, même si la diffusion du programme est prévue sur plusieurs zones. Les
dossiers sont rédigés en langue française.
La production du dossier est un élément d’appréciation essentiel du présent appel ; il doit être constitué par
la personne morale candidate. Il comprend six parties :
Formulaire indiquant les principaux éléments d’identification de la candidature.
Le candidat précise la (ou les) zone(s) d’implantation demandée(s) et mentionne, à titre indicatif, la ou les
fréquences qu’il souhaite exploiter dans chaque secteur.
Informations sur la personne morale candidate.
Caractéristiques générales du service.
Modalités de financement du service.
Caractéristiques techniques d’émission.
Eléments constitutifs de la convention à conclure avec le Conseil supérieur de l’audiovisuel.
CHAPITRE IV
Déroulement de la procédure
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
3. Sites d’émission
Les candidats présélectionnés indiquent par courrier recommandé avec avis de réception au Conseil supérieur
de l’audiovisuel, dans un délai de quinze jours à compter de la réception de la lettre de notification de leur
présélection, le ou les sites d’émission ainsi que les caractéristiques précises de leur système d’antenne,
notamment l’altitude maximale des antennes d’émission. Ces propositions doivent indiquer l’adresse postale de
chaque site, son altitude et sa localisation sur un extrait de carte IGN. A défaut de réponse dans le délai
indiqué, la candidature peut être rejetée.
Le ou les sites proposés font l’objet d’un agrément du Conseil supérieur de l’audiovisuel. Ils ne peuvent être
approuvés par le conseil que si un examen, effectué par lui-même ou par tout autre organisme qu’il a mandaté,
permet de s’assurer de l’absence de gênes de proximité sur l’ensemble de la bande FM ou sur d’autres bandes,
notamment celles qui sont utilisées par la direction des services de la navigation aérienne.
Les sites d’émission doivent, dans tous les cas, faire l’objet d’une consultation auprès de l’Agence nationale
des fréquences pour avis.
Si aucun site n’a pu être agréé dans un délai de deux mois à compter de la réception de la lettre de
notification de la présélection, le Conseil supérieur de l’audiovisuel peut rejeter la demande. Toutefois, il peut
lui-même fixer un site en application de l’article 25 de la loi du 30 septembre 1986. L’absence d’acceptation de
ce site par le candidat dans un délai de quinze jours entraîne le rejet de la demande.
4. Elaboration de la convention
Le Conseil supérieur de l’audiovisuel discute avec les candidats présélectionnés les clauses particulières de la
convention prévue à l’article 28 de la loi du 30 septembre 1986 susvisée, dont les clauses générales figurent
dans les modèles disponibles sur le site internet du conseil, www.csa.fr (consulter le texte de la présente
décision). La convention doit être complétée et retournée au conseil dans un délai de quinze jours à compter de
la réception de la lettre de notification de la présélection. Les éléments particuliers de la convention portent
notamment sur les points suivants :
– la durée et les caractéristiques générales du programme ;
– le format de la station (public visé, type de musique diffusée, nature des émissions non musicales) ;
– la proportion de chansons d’expression française, de nouveaux talents et de nouvelles productions ;
– la diffusion de programmes éducatifs et culturels et celle d’émissions destinées à faire connaître les
différentes formes d’expression artistique ;
– le temps maximum consacré à la publicité et aux émissions parrainées, ainsi que les modalités de leur
insertion dans les programmes.
A défaut de signature de la convention dans un délai de huit semaines à compter de la notification de la
décision de présélection, la candidature peut être rejetée. Lorsque la candidature a été rejetée dans les
conditions prévues au 3 ou au 4 du présent chapitre, le Conseil supérieur de l’audiovisuel procède à la
présélection de nouveaux candidats dans les conditions prévues au présent chapitre.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
– pour les services dont les programmes musicaux constituent une proportion importante de la
programmation, des dispositions envisagées en faveur de la diversité musicale au regard, notamment, de la
variété des œuvres, des interprètes, des nouveaux talents programmés et de leurs conditions de
programmation.
Le Conseil supérieur de l’audiovisuel veille, sur l’ensemble du territoire, à ce qu’une part suffisante des
ressources en fréquences soit attribuée aux services édités par une association et accomplissant une mission de
communication sociale de proximité.
Il s’assure également que le public bénéficie de services dont les programmes contribuent à l’information
politique et générale.
Art. 2. − La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 8 décembre 2009.
Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel :
Le président,
M. BOYON
ANNEXE
LISTE DES FRÉQUENCES DISPONIBLES
NUMÉRO PAR
D’ALLOTISSEMENT ZONE D’IMPLANTATION (1) REMARQUE FRÉQUENCE (MHz) maximale
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
NUMÉRO PAR
D’ALLOTISSEMENT ZONE D’IMPLANTATION (1) REMARQUE FRÉQUENCE (MHz) maximale
26 LE PORT B 93 1 000 W
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
NUMÉRO PAR
D’ALLOTISSEMENT ZONE D’IMPLANTATION (1) REMARQUE FRÉQUENCE (MHz) maximale
60 SAINT-ANDRE C 93 1 000 W
62 SAINT-ANDRE D 97,2 50 W
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
NUMÉRO PAR
D’ALLOTISSEMENT ZONE D’IMPLANTATION (1) REMARQUE FRÉQUENCE (MHz) maximale
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
NUMÉRO PAR
D’ALLOTISSEMENT ZONE D’IMPLANTATION (1) REMARQUE FRÉQUENCE (MHz) maximale
99 SAINTE-ROSE C 93,6 50 W
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
NUMÉRO PAR
D’ALLOTISSEMENT ZONE D’IMPLANTATION (1) REMARQUE FRÉQUENCE (MHz) maximale
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
NUMÉRO PAR
D’ALLOTISSEMENT ZONE D’IMPLANTATION (1) REMARQUE FRÉQUENCE (MHz) maximale
NUMÉRO PAR
d’allotissement ZONE D’IMPLANTATION (1) REMARQUE FRÉQUENCE maximale
(MHz)
Fréquences liées 190 LE PORT A Contrainte de site : la fréquence doit être 99,5 1 000 W
diffusée depuis le même site que la
fréquence 99,2 MHz du PORT
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
NUMÉRO PAR
d’allotissement ZONE D’IMPLANTATION (1) REMARQUE FRÉQUENCE maximale
(MHz)
Fréquences liées 200 LE TAMPON B Contrainte de site : la fréquence doit être 93 1 000 W
diffusée depuis le même site que la
fréquence 93,3 MHz du TAMPON
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
NUMÉRO PAR
d’allotissement ZONE D’IMPLANTATION (1) REMARQUE FRÉQUENCE maximale
(MHz)
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 156
SAINT-JOSEPH A Manapany-les-Hauts,
Petite-Ile
SAINT-PHILIPPE B Saint-Philippe
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 156
Par décision de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques en date du
23 novembre 2009, l’association de financement du parti Mouvement Walwari, dont le siège social est situé
35, rue Schœlcher, 97300 Cayenne, est agréée en qualité d’association de financement du parti politique
Walwari pour exercer ses activités à l’intérieur du territoire de la Guyane.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 107 sur 156
Par décisions de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques en date
du 30 novembre 2009 :
L’association de financement d’Alliance centriste, dont le siège social est situé 31, rue de Tournon,
75006 Paris, est agréée en qualité d’association de financement du parti politique Alliance centriste pour
exercer ses activités à l’intérieur des territoires de la France métropolitaine et d’outre-mer.
L’association de financement du parti Lutte ouvrière, dont le siège social est situé 6, rue Florian,
93500 Pantin, est agréée à compter du 1er janvier 2010 en qualité d’association de financement du parti
politique Lutte ouvrière pour exercer ses activités à l’intérieur du territoire de la République française.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 156
Conformément aux dispositions des articles R. 334-1-1 du code des assurances, R. 212-13 et R. 212-17 du
code de la mutualité et R. 931-10-5 et R. 931-10-8 du code de la sécurité sociale, et suite à la publication au
Journal officiel de l’Union européenne du 19 février 2009 de l’avis concernant l’adaptation en fonction de
l’inflation de certains montants fixés par les directives sur l’assurance-vie et l’assurance non-vie, les montants
applicables au 1er janvier 2010 sont les suivants :
1o A l’article R. 334-5 du code des assurances, le seuil de calcul fixé à 53 100 000 € est porté à
57 500 000 € et le seuil de calcul fixé à 37 200 000 € est à porté à 40 300 000 € ;
2o Aux articles R. 334-7, R. 334-15 et R. 334-16 du code des assurances, R. 212-13 et R. 212-17 du code de
la mutualité et R. 931-10-5 et R. 931-10-8 du code de la sécurité sociale :
– les montants minimaux de fonds de garantie fixés à 3 200 000 € sont portés à 3 500 000 € ;
– les montants fixés à 2 400 000 € sont portés à 2 600 000 € ;
– les montants fixés à 2 200 000 € sont portés à 2 300 000 € ;
– les montants fixés à 1 600 000 € sont portés à 1 800 000 € ;
3o A l’article R. 334-9 du code des assurances, le seuil de cotisations fixé à 5 400 000 € est porté à
5 800 000 €.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 109 sur 156
Article unique. – Suite à la publication au Journal officiel de l’Union européenne du 19 février 2009 de
l’avis concernant l’adaptation en fonction de l’inflation de certains montants fixés par les directives sur
l’assurance-vie et l’assurance non-vie, les seuils de cotisations et sinistres prévus par les articles R. 212-12 du
code de la mutualité et R. 931-10-4 du code de la sécurité sociale, sont portés respectivement de 53 100 000 €
à 57 500 000 € et de 37 200 000 € à 40 300 000 € à compter du 1er janvier 2010.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 110 sur 156
Article unique. – Suite à la publication au Journal officiel de l’Union européenne du 18 mars 2009 de l’avis
concernant l’adaptation en fonction de l’inflation de certains montant prévus par la directive relative à la
réassurance, les montants prévus à l’article R. 334-28 du code des assurances applicables au 1er janvier 2010
sont les suivants :
– les montants minimaux de fonds de garantie fixés à 3 000 000 € sont portés à 3 200 000 € ;
– les montants minimaux de fonds de garantie fixés à 1 000 000 € sont portés à 1 1000 000 €.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 156
Naturalisations et réintégrations
Décret du 15 décembre 2009 modificatif de décrets portant naturalisation, réintégration,
mention d’enfants mineurs bénéficiant de l’effet collectif attaché à l’acquisition de la
nationalité française par leurs parents et francisation de noms et de prénoms
NOR : IMIC0929668D
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 112 sur 156
Naturalisations et réintégrations
Décret du 15 décembre 2009 portant rectification de décrets de naturalisation, réintégration,
libération des liens d’allégeance à l’égard de la France et francisation de noms et prénoms
NOR : IMIC0929962D
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 113 sur 156
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2009-2010
ORDRE DU JOUR
NOR : INPX0903656X
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 114 sur 156
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2009-2010
COMMISSIONS
NOR : INPX0903655X
1. Réunions
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 114 sur 156
– représentation équilibrée des femmes et des hommes au sein des conseils d’administration et de
surveillance (no 2140) (rapport) ;
– concomitance des renouvellements des conseils généraux et des conseils régionaux (sous réserve de son
adoption par le Sénat) (rapport) ;
– nouvelles régulations de l’économie (second rapport d’information).
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 114 sur 156
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 114 sur 156
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 114 sur 156
4. Bureau
Commission spéciale sur la proposition de loi renforçant la protection des victimes et la prévention et
la répression des violences faites aux femmes :
Dans sa séance du 16 décembre 2009, la commission spéciale a nommé :
Présidente : Mme Danielle Bousquet.
Vice-présidents : Mme Chantal Brunel, Mme Marie-George Buffet, M. Henri Jibrayel, Mme Henriette
Martinez.
Secrétaires : Mme Colette Le Moal, Mme Geneviève Levy, M. Jean-Luc Pérat, M. Jacques Remiller.
Rapporteur : M. Guy Geoffroy.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 115 sur 156
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2009-2010
DOCUMENTS ET PUBLICATIONS
NOR : INPX0903658X
1. Documents parlementaires
Dépôts du mercredi 16 décembre 2009
Dépôt de projets de loi
M. le président de l’Assemblée nationale a reçu, le 16 décembre 2009, de M. le Premier ministre un projet
de loi de régulation bancaire et financière.
Ce projet de loi, no 2165, est renvoyé à la commission des finances, de l’économie générale et du contrôle
budgétaire, en application de l’article 83 du règlement.
M. le président de l’Assemblée nationale a reçu, le 16 décembre 2009, transmis par M. le Premier ministre,
un projet de loi, adopté par l’Assemblée nationale, ratifiant l’ordonnance no 2009-935 du 29 juillet 2009 portant
répartition des sièges et délimitation des circonscriptions pour l’élection des députés et qui a fait l’objet d’un
vote de rejet, par le Sénat, au cours de sa séance du 14 décembre 2009.
Ce projet de loi, no 2167, est renvoyé à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Dépôt de rapports
M. le président de l’Assemblée nationale a reçu, le 16 décembre 2009, de M. André Schneider un rapport,
no 2158, fait au nom de la commission des affaires étrangères, sur le projet de loi autorisant l’approbation de
l’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement du Royaume de Belgique pour
le développement de la coopération et de l’entraide administrative en matière de sécurité sociale (no 1956).
M. le président de l’Assemblée nationale a reçu, le 16 décembre 2009, de M. Didier Julia un rapport,
no 2159, fait au nom de la commission des affaires étrangères, sur le projet de loi, adopté par le Sénat,
autorisant l’approbation de la convention relative à la coopération en matière de sécurité et de lutte contre la
criminalité organisée entre le Gouvernement de la République française et la Grande Jamahiriya arabe,
libyenne, populaire et socialiste (no 1981).
M. le président de l’Assemblée nationale a reçu, le 16 décembre 2009, de M. Etienne Blanc un rapport
supplémentaire, no 2160, fait au nom de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, sur le projet de loi, modifié par le Sénat, relatif à la protection du
secret des sources des journalistes (no 1239).
M. le président de l’Assemblée nationale a reçu, le 16 décembre 2009, de M. Philippe Gosselin un rapport,
no 2161, fait au nom de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration
générale de la République, sur la proposition de loi organique, adoptée par le Sénat, tendant à permettre à
Saint-Barthélemy d’imposer les revenus de source locale des personnes établies depuis moins de cinq ans
(no 2073).
M. le président de l’Assemblée nationale a reçu, le 16 décembre 2009, de M. Philippe Gosselin un rapport,
no 2162, fait au nom de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration
générale de la République, sur la proposition de loi organique, adoptée par le Sénat, modifiant le livre III de la
sixième partie du code général des collectivités territoriales relatif à Saint-Martin (no 2072).
M. le président de l’Assemblée nationale a reçu, le 16 décembre 2009, de M. Philippe Houillon un rapport,
no 2163, fait au nom de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration
générale de la République, sur le projet de loi organique, adopté par le Sénat, relatif à l’application de
l’article 65 de la Constitution (no 1983).
M. le président de l’Assemblée nationale a reçu, le 16 décembre 2009, de M. Jean-Pierre Nicolas un rapport,
no 2166, fait au nom de la commission des affaires économiques, sur la proposition de loi de M. Jean-Pierre
Nicolas, Mme Laure de La Raudière, MM. Bernard Gérard et Jean-Michel Ferrand et plusieurs de leurs
collègues visant à renforcer la protection des consommateurs en matière de vente à distance (no 1940).
. .
17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 115 sur 156
Proposition de loi
N 2157. – Proposition de loi de MM. Bernard Accoyer et Michel Destot modifiant la loi no 99-418 du
o
26 mai 1999 créant le Conseil national des communes « Compagnon de la Libération » (renvoyée à la
commission de la défense nationale et des forces armées). – Document mis en distribution le
16 décembre 2009.
Rapports
No 2154. – Rapport de M. Gilles Carrez, au nom de la commission mixte paritaire chargée de proposer un texte
sur les dispositions restant en discussion du projet de loi de finances pour 2010. – Document mis en
distribution le 17 décembre 2009.
N 2156. – Rapport de M. Jean-Paul Dupré, au nom de la commission des affaires étrangères, sur le projet de
o
(1) Les documents parlementaires de l’Assemblée nationale sont servis, dès leur publication, aux abonnés aux éditions Documents de
l’Assemblée nationale.
Abonnement un an :
Série ordinaire : France : 894,50 €.
Pour expédition par voie aérienne (outre-mer) ou pour l’étranger, paiement d’un supplément modulé selon la zone de destination, tarif
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La série ordinaire est en outre disponible au bureau de vente de la Direction des Journaux officiels, 26, rue Desaix, Paris (15e), au
prix unitaire de : jusqu’à 32 pages : 0,75 € ; de 33 à 64 pages : 1,50 € ; de 65 à 128 pages : 3 € ; de 129 à 192 pages : 4 € ; au-delà de
192 pages, 0,50 € le cahier de 32 pages supplémentaires.
Pour la vente par correspondance, ce prix est majoré d’une participation forfaitaire aux frais d’expédition.
Distribution
No E 4998. – Décision du Conseil modifiant l’action commune 2009/131/PESC prorogeant le mandat du
représentant spécial de l’Union européenne pour la crise en Géorgie (14468/1/09). – Document mis en
distribution le 17 décembre 2009.
N E 4999. – Projet de décision du Conseil portant mise à jour de l’annexe de la position commune
o
2001/931/PESC relative à l’application de mesures spécifiques en vue de lutter contre le terrorisme (SN
5063/09). – Document mis en distribution le 17 décembre 2009.
N E 5000. – Règlement du Conseil modifiant le règlement (CE) no 881/2002 instituant certaines mesures
o
restrictives spécifiques à l’encontre de certaines personnes et entités liées à Oussama ben Laden, au
réseau Al-Qaida et aux taliban (SN 5156/09). – Document mis en distribution le 17 décembre 2009.
N E 5001. – Projet de décision du Conseil concernant le soutien d’activités de l’UE visant à promouvoir
o
auprès des pays tiers le contrôle des exportations d’armements et les principes et critères de la position
commune 2008/944/PESC du Conseil (14571/1/09). – Document mis en distribution le
17 décembre 2009.
No E 5002. – Décision du Conseil modifiant la position commune 2009/788/PESC concernant des mesures
restrictives à l’encontre de la République de Guinée (SN 5068/09). – Document mis en distribution le
17 décembre 2009.
No E 5003. – Règlement du Conseil modifiant le règlement (CE) no 329/2007 concernant des mesures
restrictives à l’encontre de la République populaire démocratique de Corée (SN 4333/3/09). –
Document mis en distribution le 17 décembre 2009.
No E 5004. – Décision du Conseil modifiant la position commune 2006/795/PESC concernant l’adoption de
mesures restrictives à l’encontre de la République populaire démocratique de Corée (SN 4627/2/09). –
Document mis en distribution le 17 décembre 2009.
N E 5005. – Projet de règlement du Conseil mettant en œuvre l’article 2, paragraphe 3, du règlement (CE)
o
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 115 sur 156
personnes et entités dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, et abrogeant le règlement (CE)
no 501/2009 du Conseil (SN 5061/09). – Document mis en distribution le 17 décembre 2009.
Transmissions
Par lettres du 16 décembre 2009, M. le Premier ministre a transmis, en application de l’article 88-4 de la
Constitution, à M. le président de l’Assemblée nationale les textes suivants :
No E 4998. – Décision du Conseil modifiant l’action commune 2009/131/PESC prorogeant le mandat du
représentant spécial de l’Union européenne pour la crise en Géorgie (14468/1/09).
No E 4999. – Projet de décision du Conseil portant mise à jour de l’annexe de la position commune
2001/931/PESC relative à l’application de mesures spécifiques en vue de lutter contre le terrorisme (SN
5063/09).
No E 5000. – Règlement du Conseil modifiant le règlement (CE) no 881/2002 instituant certaines mesures
restrictives spécifiques à l’encontre de certaines personnes et entités liées à Oussama ben Laden, au
réseau Al-Qaida et aux taliban (SN 5156/09).
No E 5001. – Projet de décision du Conseil concernant le soutien d’activités de l’UE visant à promouvoir
auprès des pays tiers le contrôle des exportations d’armements et les principes et critères de la position
commune 2008/944/PESC du Conseil (14571/1/09).
No E 5002. – Décision du Conseil modifiant la position commune 2009/788/PESC concernant des mesures
restrictives à l’encontre de la République de Guinée (SN 5068/09).
N E 5003. – Règlement du Conseil modifiant le règlement (CE) no 329/2007 concernant des mesures
o
communes relative aux ressortissants de pays tiers soumis à l’obligation de visa de transit aéroportuaire
(13520/2/09).
N E 5007. – Décision du Conseil portant nomination d’un membre portugais du Comité des régions
o
(16729/1/09).
No E 5008. – Décision du Conseil portant nomination de trois membres polonais et de deux suppléants polonais
du Comité des régions (16690/1/09).
N E 5009. – Comité consultatif pour la sécurité et la santé sur le lieu du travail. Nomination de M. Pierre
o
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 116 sur 156
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2009-2010
ORDRE DU JOUR
NOR : INPX0903652X
Séance publique
Délais limites
Projet de loi organique, adopté par l’Assemblée nationale, relatif à l’application du cinquième alinéa de
l’article 13 de la Constitution (no 142, 2009-2010) et projet de loi, adopté par l’Assemblée nationale, relatif à
l’application du cinquième alinéa de l’article 13 de la Constitution (no 143, 2009-2010).
Délai limite pour les inscriptions de parole dans la discussion générale : vendredi 18 décembre 2009, à
17 heures.
Délai limite pour le dépôt des amendements : jeudi 17 décembre 2009, à 11 heures.
Projet de loi, adopté par l’Assemblée nationale, portant réforme de la représentation devant les cours d’appel
(no 140, 2009-2010).
Délai limite pour les inscriptions de parole dans la discussion générale : vendredi 18 décembre 2009, à
17 heures.
Délai limite pour le dépôt des amendements : jeudi 17 décembre 2009, à 11 heures.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 117 sur 156
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2009-2010
COMMISSIONS
NOR : INPX0903653X
Réunions
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 117 sur 156
Convocation
Commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi no 123 (2009-2010), adopté par l’Assemblée
nationale après engagement de la procédure accélérée, relatif au Grand Paris :
Mardi 22 décembre 2009, à 15 heures (salle no 263) :
Constitution.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 117 sur 156
Présents. – M. Jacques Blanc, Mme Bernadette Bourzai, MM. Robert del Picchia, Pierre Fauchon, Charles
Gautier, Hubert Haenel, Serge Lagauche, Simon Sutour.
Excusés. – M. Christian Cointat, Mmes Annie David et Colette Mélot.
Séance du mercredi 16 décembre 2009 :
Présents. – MM. Robert Badinter, Michel Billout, Didier Boulaud, Gérard César, Christian Cointat, Robert
del Picchia, Pierre Fauchon, Hubert Haenel, Serge Lagauche, Mme Colette Mélot, MM. Yves Pozzo di Borgo,
Simon Sutour et Mme Catherine Tasca.
Excusés. – Mme Annie David et M. Bernard Frimat.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 118 sur 156
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2009-2010
DOCUMENTS PARLEMENTAIRES
NOR : INPX0903657X
de la défense et des forces armées, sur le projet de loi, adopté par l’Assemblée nationale, autorisant la
ratification de la convention relative aux droits des personnes handicapées (no 632, 2008-2009).
No 164 (2009-2010). – Texte de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées sur
le projet de loi, adopté par l’Assemblée nationale, autorisant la ratification de la convention relative aux
droits des personnes handicapées (no 632, 2008-2009).
N 165 (2009-2010). – Rapport de Mme Colette MÉLOT, fait au nom de la commission de la culture, de
o
proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale, relative aux délais de paiement des fournisseurs
dans le secteur du livre (no 125, 2009-2010).
No 167 (2009-2010). – Avis de M. Michel THIOLLIÈRE, fait au nom de la commission de la culture, de
l’éducation et de la communication, sur le projet de loi, adopté par l’Assemblée nationale, de finances
rectificative pour 2009 (no 157, 2009-2010).
N 169 (2009-2010) – Rapport de M. Jean-Patrick COURTOIS, fait au nom de la commission des lois
o
du règlement et d’administration générale sur le projet de loi de réforme des collectivités territoriales
(no 60, 2009-2010).
No 171 (2009-2010). – Avis de M. Charles GUENÉ, fait au nom de la commission des finances, sur le projet
de loi de réforme des collectivités territoriales (no 60, 2009-2010).
N 172 (2009-2010). – Rapport de M. Gilbert BARBIER, fait au nom de la commission des affaires sociales,
o
sur la proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale, visant à créer une allocation journalière
d’accompagnement d’une personne en fin de vie (no 223 rectifié, 2008-2009).
No 173 (2009-2010). – Texte de la commission des affaires sociales sur la proposition de loi, adoptée par
l’Assemblée nationale, visant à créer une allocation journalière d’accompagnement d’une personne en
fin de vie (no 223 rectifié, 2008-2009).
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 118 sur 156
(1) Les documents parlementaires du Sénat sont servis, dès leur publication, aux abonnés à l’édition Documents du Sénat.
Abonnement un an : France : 865,90 €.
Pour expédition par voie aérienne (outre-mer) ou pour l’étranger, paiement d’un supplément modulé selon la zone de destination, tarif
sur demande.
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jusqu’à 32 pages : 0,75 € ; de 33 à 64 pages : 1,50 € ; de 65 à 128 pages : 3 € ; de 129 à 192 pages : 4 € ; au-delà de 192 pages, 0,50 €
le cahier de 32 pages supplémentaires.
Pour la vente par correspondance, ce prix est majoré d’une participation forfaitaire aux frais d’expédition.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 119 sur 156
Informations parlementaires
OFFICES PARLEMENTAIRES ET DÉLÉGATION PARLEMENTAIRE AU RENSEIGNEMENT
NOR : INPX0903654X
Sénateurs
Présents. – MM. Paul Blanc, Xavier Pintat, Daniel Raoul, Ivan Renar.
Excusés. – M. Gilbert Barbier, Mme Marie-Christine Blandin, MM. Marc Daunis, Marcel Deneux, Jean-
Claude Etienne, Alain Vasselle.
Députés
Présent. – M. Claude Birraux.
Excusés. – MM. Christian Bataille, Alain Claeys, Jean-Pierre Door, Claude Gatignol, Pierre Lasbordes,
Michel Lejeune, Claude Leteurtre, Jean-Louis Touraine.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 120 sur 156
Avis et communications
Par un arrêté du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales, en date du 9 décembre
2009, le concours interne de capitaine de sapeurs-pompiers professionnels visé à l’article 6 du décret
no 2001-682 du 30 juillet 2001 modifié pour l’établissement de la liste d’aptitude de capitaine de sapeurs-
pompiers professionnels au titre de 2010, aura lieu aux dates suivantes :
– à partir du jeudi 28 avril 2010 : épreuve d’admissibilité : notation des dossiers de candidature ;
– à partir du lundi 14 juin 2010 : épreuve orale d’admission
Peuvent faire acte de candidature les lieutenants de sapeurs-pompiers professionnels et les fonctionnaires
titulaires du grade provisoire de lieutenant qui justifient, au 1er janvier de l’année du concours, de trois ans de
services effectifs cumulés en qualité de lieutenant.
Un arrêté publié sous forme d’avis au Journal officiel de la République française précisera ultérieurement le
nombre d’inscriptions possibles sur la liste d’aptitude.
L’épreuve orale d’admission se déroulera à la direction de la sécurité civile (Asnières-sur-Seine) ou le cas
échéant, dans d’autres centres d’examens.
Les personnes qui souhaitent faire acte de candidature à ce concours doivent télécharger directement leur
dossier sur le site du ministère de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales
« www.interieur.gouv.fr », onglet : Métiers et concours – Direction de la sécurité civile, au plus tard le lundi
1er mars 2010, au delà de cette date, le téléchargement sera impossible.
Aucun dossier ne sera adressé par écrit au candidat.
Les dossiers de candidature complets et vérifiés par les services départementaux d’incendie et de secours
devront être retournés au plus tard, le lundi 8 mars 2010 (le cachet de la poste faisant foi).
Aucune suite ne sera réservée aux dossiers de candidatures soit incomplets, soit postés hors délai, soit le
lundi 8 mars 2010.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 121 sur 156
Avis et communications
Les fonctions de directeur du centre d’enseignement et de recherche de l’Ecole nationale supérieure d’arts et
métiers d’Angers seront vacantes à compter du 1er février 2010.
Les candidats à ces fonctions devront satisfaire aux dispositions précisées à l’article 26 du décret no 90-370
du 30 avril 1990, modifié, relatif à l’Ecole nationale supérieure d’arts et métiers.
Aux termes de cet article, le directeur du centre, nommé pour cinq ans, est choisi parmi les personnes ayant
vocation à enseigner à l’Ecole nationale supérieure d’arts et métiers, sur proposition du directeur général de
l’Ecole nationale supérieure d’arts et métiers, présentée après avis du conseil du centre et du conseil
d’administration.
Les candidats devront justifier d’une expérience professionnelle dans l’enseignement supérieur.
Les dossiers de candidature, en deux exemplaires, comprenant un curriculum vitae détaillé et une déclaration
d’intention, devront être adressés sous pli recommandé, à l’Ecole nationale supérieure d’arts et métiers,
direction générale, 151, boulevard de l’Hôpital, 75013 Paris, dans un délai de trente jours après publication du
présent avis au Journal officiel de la République française (le cachet de la poste faisant foi).
Dans ce même délai, une copie de ce dossier sera adressée au ministère de l’enseignement supérieur et de la
recherche, direction générale des ressources humaines, service des personnels enseignants de l’enseignement
supérieur et de la recherche, sous-direction des études de gestion prévisionnelle, statutaires et des affaires
communes, bureau des affaires communes, de la contractualisation et des études, DGRH A1-3, 72, rue
Régnault, 75243 Paris Cedex 13.
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 122 sur 156
Avis et communications
AVIS DIVERS
Mercredi 20 janvier au dimanche 14 février Campagne de solidarité et de citoyenneté La jeunesse au plein air
Avec quête le 24 janvier
Samedi 30 janvier et dimanche 31 janvier Journées mondiales des lépreux Fondation Raoul FOLLEREAU
Avec quête les 30 et 31 janvier
Lundi 25 janvier au dimanche 31 janvier Journées contre la lèpre Œuvres hospitalières de l’ordre de Malte
Avec quête les 30 et 31 janvier
Lundi 8 mars au dimanche 14 mars Campagne nationale de lutte Ligue contre le cancer
Avec quête les 13 et 14 mars contre le cancer
Lundi 15 mars au dimanche 21 mars Semaine nationale des personnes Collectif Action Handicap
Avec quête les 20 et 21 mars handicapées physiques
Dimanche 2 mai au dimanche 9 mai Campagne de l’œuvre nationale Office national des anciens combattants et
Avec quête tous les jours du Bleuet de France victimes de guerre
(Œuvre nationale du Bleuet de France)
Lundi 24 mai au dimanche 30 mai Semaine nationale de la famille Union nationale des associations
Avec quête le 30 mai familiales (U.N.A.F.)
Lundi 31 mai au dimanche 6 juin Campagne nationale « enfants et santé » Fédération nationale « enfants et santé »
Pas de quête
Lundi 31 mai au dimanche 13 juin Aide au départ en vacances des enfants Union Française des Centres de Vacances
Avec quête les 12 et 13 juin et des jeunes et de Loisirs (U.F.C.V.)
Samedi 5 juin au vendredi 11 juin Campagne nationale de la Croix Rouge La Croix Rouge Française
Avec quête tous les jours Française
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 122 sur 156
Samedi 12 juin et dimanche 13 juin Maladies orphelines Fédération des maladies orphelines
Avec quête les 12 et 13 juin
Lundi 20 au dimanche 26 septembre Semaine nationale du cœur 2009 Fédération française de cardiologie
Avec quête les 25 et 26 septembre
Dimanche 26 septembre au dimanche 3 octobre Journées nationales des associations des Comité national pour la promotion sociale
Avec quête les 2 et 3 octobre personnes aveugles et malvoyantes des aveugles et des amblyopes
Lundi 4 octobre au dimanche 10 octobre Journées de solidarité de l’U.N.A.P.E.I. Union nationale des associations de
Pas de quête parents, de personnes handicapées
mentales et leurs amis
Lundi 18 octobre au dimanche 24 octobre Semaine bleue des retraités Comité national d’entente
Pas de quête et personnes âgées de la semaine bleue
Mardi 2 novembre au jeudi 11 novembre Campagne de l’œuvre nationale Office national des anciens combattants et
Avec quête tous les jours du Bleuet de France victimes de guerre
(Œuvre nationale du Bleuet de France)
Lundi 15 novembre au dimanche 28 novembre Campagne contre les maladies Comité national contre les maladies
Avec quête les 21 et 28 novembre respiratoires respiratoires
Samedi 28 novembre au samedi 5 décembre Journée mondiale de lutte contre le SIDA SIDACTION
Avec quête tous les jours
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 123 sur 156
Avis et communications
AVIS DIVERS
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 124 sur 156
Avis et communications
AVIS DIVERS
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 125 sur 156
Avis et communications
AVIS DIVERS
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 156
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de l’article L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale, les tarifs de responsabilité des
spécialités mentionnées ci-dessous, et figurant sur la liste prévue à l’article L. 162-22-7 du même code, sont
égaux aux prix de vente hors taxes déclarés par le laboratoire exploitant majoré de la TVA :
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 127 sur 156
Avis et communications
AVIS DIVERS
1. En application de l’article L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale, les tarifs de responsabilité des
spécialités mentionnées ci-dessous sont, par décision du comité économique des produits de santé, égaux aux
bases de calcul mentionnées dans le tableau ci-après majorés de la TVA :
BASE DE CALCUL
CODE UCD LIBELLÉ LABORATOIRE EXPLOITANT par UCD
(en euros)
932404-6 CONFIDEX 250 UI, poudre et solvant pour solution injectable CSL BEHRING SA 135,000
932405-2 CONFIDEX 500 UI, poudre et solvant pour solution injectable CSL BEHRING SA 270,000
2. En application de l’article L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale, les tarifs de responsabilité des
spécialités mentionnées ci-dessous sont, à compter du 1er août 2010, par décision du comité économique des
produits de santé, égaux aux bases de calcul mentionnées dans le tableau ci-après majorés de la TVA :
BASE DE CALCUL
CODE UCD LIBELLÉ LABORATOIRE EXPLOITANT par UCD
(en euros)
932404-6 CONFIDEX 250 UI, poudre et solvant pour solution injectable CSL BEHRING SA 125,000
932405-2 CONFIDEX 500 UI, poudre et solvant pour solution injectable CSL BEHRING SA 250,000
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 128 sur 156
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application du premier alinéa de l’article L. 162-16-5 du code de la sécurité sociale, les nouveaux prix de
vente hors taxes aux établissements de santé déclarés par les laboratoires exploitants pour les spécialités
ci-après sont à compter du 1er mai 2010 :
923505-8 FABRAZYME 35 mg, poudre pour solution à diluer pour GENZYME SAS 3 370,440
perfusion
923886-1 REPLAGAL 1 mg/ml, solution à diluer pour perfusion en flacon TKT EUROPE – 5S (remplacé par SHIRE 1 685,220
de 3,5 ml HUMAN GENETIC THERAPIES)
926903-4 REPLAGAL 1 mg/ml, solution à diluer pour perfusion en flacon TKT EUROPE – 5S (remplacé par SHIRE 481,490
de 1 ml HUMAN GENETIC THERAPIES)
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 129 sur 156
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de l’article L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale, les nouveaux tarifs de responsabilité
des spécialités mentionnées ci-dessous et figurant sur la liste prévue à l’article L. 162-22-7 du même code sont,
à compter du 1er mai 2010, égaux aux prix de vente hors taxes déclarés par les laboratoires exploitants majorés
de la TVA :
923505-8 FABRAZYME 35 mg, poudre pour solution à diluer pour GENZYME SAS 3 370,440
perfusion
923886-1 REPLAGAL 1 mg/ml, solution à diluer pour perfusion en flacon TKT EUROPE – 5S (remplacé par SHIRE 1 685,220
de 3,5 ml HUMAN GENETIC THERAPIES)
926903-4 REPLAGAL 1 mg/ml, solution à diluer pour perfusion en flacon TKT EUROPE – 5S (remplacé par SHIRE 481,490
de 1 ml HUMAN GENETIC THERAPIES)
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 130 sur 156
Informations diverses
NOR : IDIX0903651X
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 131 sur 156
ANNONCES
LES ANNONCES SONT REÇUES À L’OFFICE SPÉCIAL DE PUBLICITÉ
Département SPJO
56, boulevard Mission-Marchand, 92411 COURBEVOIE CEDEX
Tél. : 01-49-04-01-71 ou 72 − Télécopie : 01-43-33-32-26
(L’Administration et les fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des annonces.)
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17 décembre 2009 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 132 sur 156
ANNONCES
LES ANNONCES SONT REÇUES À L’OFFICE SPÉCIAL DE PUBLICITÉ
Département SPJO
56, boulevard Mission-Marchand, 92411 COURBEVOIE CEDEX
Tél. : 01-49-04-01-71 ou 72 − Télécopie : 01-43-33-32-26
(L’Administration et les fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des annonces.)
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