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SOMMAIRE ANALYTIQUE
textes généraux
Première ministre
1 Décret no 2023-1148 du 7 décembre 2023 relatif à l’entrée en vigueur immédiate d’un arrêté
30 Arrêté du 30 novembre 2023 portant abrogation de l’arrêté du 8 novembre 1996 portant octroi
d’une licence d’exploitation de transporteur aérien
31 Arrêté du 4 décembre 2023 autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture d’un concours
externe par filière pour l’accès au corps des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne
mesures nominatives
Première ministre
37 Décret du 6 décembre 2023 portant cessation de fonctions et admission à la retraite (Cour des
comptes) - M. DIRINGER (Bertrand)
ministère de la justice
46 Décret du 6 décembre 2023 portant maintien en détachement (magistrature)
47 Décret du 6 décembre 2023 portant élévation de grade et détachement (magistrature) -
Mme LAGUET (Amélie)
48 Décret du 6 décembre 2023 portant détachement (magistrature)
49 Arrêté du 29 novembre 2023 portant placement dans la position de disponibilité (Conseil
d’Etat)
50 Arrêté du 5 décembre 2023 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou
ministériels)
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
ministère de la culture
61 Arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination du directeur de l’Ecole nationale supérieure
d’architecture de Paris-Est
conventions collectives
Naturalisations et réintégrations
73 Décret du 6 décembre 2023 portant naturalisation, réintégration, mention d’enfants mineurs
bénéficiant de l’effet collectif attaché à l’acquisition de la nationalité française par leurs
parents et francisation de noms et de prénoms
En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après
avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes
individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au
Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne
font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont
accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé"
Informations parlementaires
Assemblée nationale
74 ORDRE DU JOUR
75 CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS
76 COMMISSIONS ET ORGANES DE CONTRÔLE
77 ASSEMBLÉES INTERNATIONALES
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
78 DOCUMENTS ET PUBLICATIONS
79 AVIS ADMINISTRATIFS
Sénat
Offices et délégations
Avis et communications
96 Avis de vacance d’un emploi d’expert de haut niveau, secrétaire général de la Conférence des
parties (COP) de la région Grand Est (administration territoriale : région Grand
Est/département du Bas-Rhin)
97 Avis de vacance d’un emploi d’expert de haut niveau, secrétaire général de la Conférence des
parties (COP) de la région Centre-Val de Loire (administration territoriale : Centre-Val de
Loire)
avis divers
Première ministre
99 Avis no 19 relatif à la fermeture de certains quotas et/ou sous-quotas de pêche pour l’année
2023
Annonces
103 Demandes de changement de nom (textes 103 à 110)
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIÈRE MINISTRE
La Première ministre,
Vu le code civil, notamment son article 1er ;
Vu l’urgence,
Décrète :
Art. 1 . – Entre en vigueur immédiatement à compter de sa publication au Journal officiel de la République
er
française l’article 1er de l’arrêté du 7 décembre 2023 portant interdiction de déplacement des supporters de clubs de
football lors de la 15e journée de championnat de Ligue 1 et du 8e tour de la Coupe de France.
Art. 2. – Le présent décret sera publié au Journal officiel de la République française et entrera en vigueur
immédiatement.
Fait le 7 décembre 2023.
ÉLISABETH BORNE
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Décrète :
Art. 1 . – La section III ter du chapitre premier du titre II de la première partie du livre premier de l’annexe II
er
au code général des impôts est complétée par un VII ainsi rédigé :
« VII. – Tenue des registres
« Art. 242 vicies. – Le registre détaillé des bénéficiaires et des paiements mentionné au premier alinéa du A du
I de l’article 286 sexies du code général des impôts comporte les informations suivantes :
« 1o Informations relatives au prestataire de services de paiement : le code BIC (Bank Identifier Code) ou tout
autre code d’identification d’entreprise qui l’identifie sans équivoque ;
« 2o Informations relatives au bénéficiaire, lorsqu’il s’agit d’une personne morale :
« a) Son nom, sa raison sociale et son nom commercial, tels qu’ils figurent dans les registres du prestataire de
services de paiement ;
« b) S’il est disponible, son numéro d’identification à la taxe sur la valeur ajoutée ainsi que tout autre numéro
fiscal le concernant ;
« c) Son numéro IBAN (International Bank Account Number) ou, s’il n’est pas disponible, tout autre identifiant
qui l’identifie sans équivoque, ainsi que le lieu où il se trouve ;
« d) Si elles sont disponibles, son adresse, son adresse de courriel et l’adresse de son site internet, telles qu’elles
figurent dans les registres du prestataire de services de paiement, y compris, le cas échéant, l’adresse légale,
l’adresse commerciale et l’adresse de l’entrepôt ;
« e) Le code BIC ou tout autre code d’identification d’entreprise qui identifie sans équivoque le prestataire de
services de paiement agissant en son nom et qui donne le lieu où il se trouve, s’il reçoit les fonds sans avoir aucun
compte de paiement ;
« 3o Informations relatives au bénéficiaire, lorsqu’il s’agit d’une personne physique :
« a) Son nom, son prénom et son nom commercial, tels qu’ils figurent dans les registres du prestataire de
services de paiement ;
« b) S’il est disponible, son numéro d’identification à la taxe sur la valeur ajoutée ainsi que tout autre numéro
fiscal le concernant ;
« c) Son numéro IBAN (International Bank Account Number) ou, s’il n’est pas disponible, tout autre identifiant
qui l’identifie sans équivoque ainsi que le lieu où il se trouve ;
« d) Si elles sont disponibles, son adresse, son adresse de courriel et l’adresse de son site internet, telles qu’elles
figurent dans les registres du prestataire de services de paiement ;
« e) Le code BIC ou tout autre code d’identification d’entreprise qui identifie sans équivoque le prestataire de
services de paiement agissant en son nom et qui donne le lieu où il se trouve, s’il reçoit les fonds sans avoir aucun
compte de paiement ;
« 4o Informations relatives aux paiements transfrontaliers mentionnés au 2o du B du I de l’article 286 sexies du
code général des impôts :
« a) Les détails de tout paiement transfrontalier ainsi que les détails de tout remboursement de paiement identifié
comme se rapportant à un paiement transfrontalier et le cas échéant, le lien avec l’opération de paiement déclarée :
« i) La date et l’heure du paiement ou du remboursement du paiement ;
« ii) Le montant et la monnaie du paiement ou du remboursement du paiement ;
« iii) Toute autre référence qui identifie sans équivoque le paiement ;
« iv) S’il y a lieu, les informations indiquant que le paiement est initié dans les locaux du commerçant ;
« b) L’Etat membre d’origine du paiement reçu par le bénéficiaire ou en son nom, l’Etat membre de destination
du remboursement, selon le cas, et les informations utilisées pour déterminer l’origine ou la destination du
paiement ou du remboursement de paiement, conformément aux 5o et 6o du B du I de l’article 286 sexies du code
général des impôts.
« Art. 242 unvicies. – I. – Le prestataire de services de paiement ou le prestataire tiers qu’il désigne transmet
les informations figurant dans le registre mentionné au I de l’article 286 sexies du code général des impôts à la
direction générale des finances publiques par voie électronique sur un support informatique, par un dispositif
sécurisé, dont elle détermine les caractéristiques.
« II. – Le prestataire de services de paiement informe ses clients personnes physiques que les données devant
figurer sur le registre mentionné au I de l’article 286 sexies du code général des impôts et transférées à
l’administration fiscale française sont communiquées à l’administration fiscale d’un autre Etat membre de l’Union
européenne.
« III. – Le prestataire de services de paiement conserve sous format électronique le registre mentionné au I de
l’article 286 sexies du code général des impôts selon des modalités propres à garantir la confidentialité des
informations qui y figurent pendant une période de trois années à compter de la fin de l’année civile de la date du
paiement. »
Art. 2. – Le présent décret entre en vigueur le 1er janvier 2024.
Art. 3. – Le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique est chargé de
l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 27 novembre 2023, est accepté, au nom de l’Etat, le legs universel consenti en sa faveur par Mme Denise
Jouaux.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 5 décembre 2023 modifiant l’arrêté du 10 décembre 2018 relatif au contrôle budgétaire
des services à compétence nationale pris en application de l’article 88-III du décret no 2012-1246
du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique
NOR : ECOB2332848A
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 6 décembre 2023 fixant les composantes, définitive pour 2022 et provisionnelle
pour 2023, du taux de la cotisation de la Société nationale des chemins de fer français au
régime de retraite du personnel de la Société nationale des chemins de fer français
NOR : ECOB2329972A
Arrêtent :
Art. 1er. – En application du II de l’article 2 du décret du 28 juin 2007 susvisé, le taux T1 définitif de la
cotisation à la charge de la Société nationale des chemins de fer français au régime de retraite du personnel de la
Société nationale des chemins de fer français est fixé à 23,81 % pour l’année 2022.
Art. 2. – En application du II de l’article 2 du même décret, le taux T1 provisionnel de la cotisation à la charge
de la Société nationale des chemins de fer français au régime de retraite du personnel de la Société nationale des
chemins de fer français est fixé à 23,54 % pour l’année 2023.
Art. 3. – La directrice du budget, le directeur de la sécurité sociale et le directeur général des infrastructures,
des transports et des mobilités sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera
publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 6 décembre 2023.
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
chargée de la 6e sous-direction
de la direction du budget,
M. CHANCHOLE
Le ministre du travail,
du plein emploi et de l’insertion,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des retraites
et des institutions de protection sociale complémentaire,
D. CHAUMEL
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 6 décembre 2023 autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture d’un concours
professionnel pour l’accès au grade de contrôleur des finances publiques de 1re classe
NOR : ECOE2331626A
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 6 décembre 2023, est autorisée, au titre de l’année 2024, l’ouverture d’un concours professionnel pour l’accès
au grade de contrôleur des finances publiques de 1re classe.
Le nombre de places offertes à ce concours professionnel fera l’objet d’un arrêté ultérieur qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Une procédure d’inscription par internet est mise à la disposition des candidates et candidats à l’adresse
suivante : « https://concours.dgfip.finances.gouv.fr ».
La procédure se déroule en une phase unique d’inscription et de validation. Après avoir créé son compte, ou
s’être connecté à son compte existant, la candidate ou le candidat saisit les données nécessaires à son inscription à
ce concours professionnel.
Avant de procéder à la validation de son inscription, un récapitulatif des données du dossier qu’elle ou il a saisies
lui est présenté à l’écran, pour vérification attentive, notamment de ses nom et prénom, de sa date de naissance,
ainsi que du centre d’examen choisi pour composer. Après validation, la candidate ou le candidat reçoit un courrier
électronique lui confirmant que son inscription a été réceptionnée.
Les candidates et candidats peuvent accéder à la téléprocédure pour consulter ou modifier les données de leur
dossier jusqu’à la date de clôture des inscriptions à ce concours. Elles ou ils peuvent, le cas échéant, supprimer leur
inscription jusqu’à cette date. Toute modification de données contenues dans le dossier doit faire l’objet d’une
nouvelle validation. La dernière manifestation de volonté de la candidate ou du candidat est considérée comme
seule valable.
Les candidates et candidats ont accès à leur compte utilisateur de façon permanente, pour modification de leur
adresse en cas de changement de domicile.
Les candidates et candidats dans l’impossibilité de s’inscrire par internet, complètent un dossier papier. Dans ce
cas, le dossier d’inscription et sa notice doivent être demandés par la candidate ou le candidat à l’Ecole nationale
des finances publiques (ENFiP), centre des concours de Lille, par courriel à l’adresse suivante : enfip.ccl@dgfip.
finances.gouv.fr ou par téléphone au numéro suivant : 0806-70-49-49.
Complété et signé, le dossier papier doit être adressé par voie postale à l’ENFiP, centre des concours de Lille,
dont l’adresse sera communiquée lors de la transmission du dossier à la candidate ou au candidat, ou peut être
scanné puis envoyé à l’adresse suivante : enfip.ccl@dgfip.finances.gouv.fr, au plus tard à la date de clôture des
inscriptions.
Les convocations à l’épreuve écrite sont adressées aux candidates et candidats, le cas échéant, par courriel.
La date d’ouverture des inscriptions à ce concours professionnel est fixée au 12 décembre 2023.
La date limite d’envoi des dossiers d’inscription par la voie postale (le cachet de la poste faisant foi) est fixée
au 12 janvier 2024.
La date limite de téléinscription ou d’envoi du dossier d’inscription par courriel est fixée à la même date à
minuit, heure de métropole.
Il est recouru à des sujets distincts par zone géographique pour l’organisation de l’épreuve écrite d’admission de
ce concours professionnel.
Les zones géographiques, définies à l’article 6 bis de l’arrêté du 22 février 2011 modifié fixant les conditions
d’organisation et la composition du jury des concours et examens professionnels de la direction générale des
finances publiques, sont les suivantes :
– 1re zone géographique : Martinique, Guadeloupe, Guyane et Saint-Pierre-et-Miquelon ;
– 2e zone géographique : France métropolitaine, La Réunion et Mayotte ;
– 3e zone géographique : Polynésie française, Nouvelle-Calédonie et Wallis-et-Futuna.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 110
Pour cette épreuve, les sujets seront communs pour les 1re et 2e zones géographiques et distincts pour la 3e zone
géographique.
Pour cette épreuve, la répartition des sujets entre les 1re et 2e zones géographiques et la 3e zone géographique sera
effectuée par voie de tirage au sort par le président du jury.
L’épreuve écrite d’admission se déroulera :
– pour les candidates et candidats des 1re et 2e zones géographiques : le 11 mars 2024 (date locale) ;
– pour les candidates et candidats de la 3e zone géographique : le 11 mars 2024 en Polynésie française (date
locale) et le 12 mars 2024 en Nouvelle-Calédonie et à Wallis-et-Futuna (date locale).
En application de l’article L. 352-3 du code général de la fonction publique, les candidates et candidats peuvent
bénéficier d’aménagements des épreuves, en raison de leur handicap, afin d’adapter la durée et le fractionnement
des épreuves ou de leur apporter les aides humaines et techniques nécessaires.
Les demandes d’aménagements doivent être formulées par les candidates et candidats en situation de handicap
lors de leur inscription.
Conformément au décret no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à
l’adaptation du poste de travail et aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de
recrutement et des examens en faveur des agents publics et des candidats en situation de handicap, ils doivent
transmettre un certificat médical, établi moins de six mois avant le déroulement des épreuves, par un médecin
agréé.
Ce document atteste que la situation de la candidate ou du candidat nécessite les aides humaines et techniques
ainsi que les aménagements qu’il précise, afin de lui permettre, compte tenu de la nature et de la durée des
épreuves, de composer dans des conditions compatibles avec sa situation.
Le certificat médical doit être transmis par la candidate ou le candidat au plus tard le 26 janvier 2024 à l’ENFiP,
division des concours, par courriel à l’adresse suivante : enfip.concours@dgfip.finances.gouv.fr.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
TEXTES GÉNÉRAUX
de troubles à l’ordre public compte tenu des relations antérieures entre les supporters des équipes et du contexte
prévisible de la rencontre ; qu’il en a notamment été ainsi le 19 mars 2023 à l’occasion de la rencontre entre
Ajaccio et Monaco où une rixe a éclaté entre supporters sur le ferry à destination de la Corse, blessant trois marins
ainsi que les deux auteurs des faits ; que le 22 avril 2023, à l’occasion d’une rencontre non classée entre Auxerre et
Lille, une rixe entre supporters a éclaté en amont de la rencontre dans un débit de boissons, dégradant l’ensemble
de l’établissement et blessant deux clients ainsi que trois membres des forces de l’ordre ; que le samedi
23 septembre 2023 lors d’une rencontre non classée entre Grenoble et Quevilly, un supporter rouennais a été passé
à tabac par plusieurs supporters adverses, rendant nécessaire son transport à l’hôpital ; que le 7 octobre 2023, lors
d’une rencontre non classée entre Guingamp et Grenoble, une rixe entre supporters a blessé trois d’entre eux ;
qu’en dernier lieu, le 8 octobre 2023, lors d’une rencontre non classée à Montpellier entre cette équipe et celle de
Clermont, un supporter montpelliérain a jeté un engin pyrotechnique aux pieds du gardien de but de l’équipe de
adverse, rendant nécessaire son évacuation du terrain sur une civière et aboutissant à l’interruption définitive de la
rencontre ; que ces violences désormais très récurrentes quelles que soient les équipes concernées, ont trouvé leur
apogée le 2 décembre dernier lors de l’homicide d’un supporter nantais survenu en marge de la rencontre opposant
le Football Club de Nantes à l’Olympique Gymnaste Club de Nice, au cours de l’agression de véhicules
transportant des supporters niçois ; que cette situation d’ensemble lors des rencontres de football, témoigne d’un
climat de violence particulièrement préoccupant, contraire à tout esprit sportif et porteur de risques important pour
la sécurité publique ;
Considérant que dans ce contexte d’exacerbation des violences de plus en plus graves observées depuis le début
de la saison sportive de football sur l’ensemble du territoire, tant à l’occasion qu’en marge de rencontres entre des
équipes dont les supporters n’entretiennent pas nécessairement de contentieux marqués et ne sont pas signalés
comme particulièrement violents, un risque réel et sérieux d’affrontements entre supporters existe à l’occasion des
rencontres de football signalées à risques pour l’ordre public se déroulant du 8 au 10 décembre 2023 dans le cadre
de la 15e journée du championnat de Ligue 1 et du 8e tour de la Coupe de France ;
Considérant que dans le même temps, les forces de l’ordre sont très fortement mobilisées pour faire face à la
menace terroriste, actuellement très prégnante sur l’ensemble du territoire national à la suite de la reprise du conflit
israélo-palestinien, ainsi qu’en témoignent les récents attentats d’Arras, le 13 octobre 2023 et de Paris, le
2 décembre 2023 ; que la posture Vigipirate est ainsi désormais au niveau « Urgence attentat » sur l’ensemble du
territoire ; que cette menace sera majorée dans les prochains jours du fait de la fête juive d’Hanoucca devant
s’étendre du 7 au 15 décembre et qui, compte tenu de la recrudescence des actes antisémites depuis l’attaque du
Hamas, impose une sécurisation maximale des lieux de culte par les forces de sécurité intérieure pendant cette
période ; que dans ce contexte, il est impossible de mobiliser des forces de l’ordre en nombre suffisant pour
contenir les troubles à l’ordre public qui seraient causés par des supporters en déplacement ; que ni les arrêtés pris
par les préfets de département concernés interdisant à toute personne se prévalant de la qualité de supporters des
équipes en déplacement ou se comportant comme tel d’accéder aux stades concernés et de circuler ou stationner sur
la voie publique aux abords immédiats des stades, ni la mobilisation des forces de l’ordre, ne sauraient davantage
suffire à prévenir ces risques ;
Considérant que dans ces conditions, à l’occasion des rencontres suivantes de la 15e journée de championnat de
Ligue 1 et du 8e tour de la Coupe de France, du 8 au 10 décembre 2023 inclus, seule une interdiction de
déplacement collectif des personnes se prévalant de la qualité de supporter des équipes en déplacement ou se
comportant comme tel est de nature à éviter l’ensemble des risques sérieux pour la sécurité des personnes et des
biens :
– supporters du Racing Club de Lens pour la rencontre avec le Montpellier Hérault Sport Club, vendredi
8 décembre 2023 à 21 h 00 à Montpellier ;
– supporters du Football Club des Girondins de Bordeaux pour la rencontre avec l’Angoulême Charente Football
Club, samedi 9 décembre 2023 à 14 h 00 à Angoulême ;
– supporters de Nîmes Olympique pour la rencontre avec l’Association Sportive de Saint-Etienne, samedi
9 décembre 2023 à 15 h 00 à Saint-Etienne ;
– supporters de l’Association de la Jeunesse Auxerroise pour la rencontre avec le FC Saint Méziéry, samedi
9 décembre 2023 à 17 h 00 à Troyes ;
– supporters du Football Club de Nantes pour la rencontre avec le Paris-Saint-Germain, samedi 9 décembre 2023
à 21 h 00 à Paris ;
– supporters du Toulouse Football Club pour la rencontre avec l’Olympique Lyonnais, dimanche
10 décembre 2023 à 17 heures 05 à Décines-Charpieu ;
– supporters du Stade de Reims pour la rencontre avec l’Olympique Gymnaste Club de Nice, dimanche
10 décembre 2023 à 13 h 00 à Nice ;
– supporters de l’Olympique de Marseille pour la rencontre avec le Football Club de Lorient, dimanche
10 décembre 2023 à 20 heures 45 à Lorient,
Arrête :
Art. 1 . – Le vendredi 8 décembre 2023 de zéro heure à minuit, le déplacement individuel ou collectif, par tout
er
moyen, de toute personne se prévalant de la qualité de supporter du club de Racing Club de Lens ou se comportant
comme tel, est interdit entre les communes du département du Pas-de-Calais, d’une part, et la commune de
Montpellier (Hérault), d’autre part.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 110
Art. 2. – Le samedi 9 décembre 2023 de zéro heure à minuit, le déplacement individuel ou collectif, par tout
moyen, de toute personne se prévalant de la qualité de supporter du Football Club des Girondins de Bordeaux ou se
comportant comme tel, est interdit entre les communes du département de la Gironde, d’une part, et la commune de
Angoulême (Charente), d’autre part.
Art. 3. – Le samedi 9 décembre 2023 de zéro heure à minuit, le déplacement individuel ou collectif, par tout
moyen, de toute personne se prévalant de la qualité de supporter du club de Nîmes Olympique ou se comportant
comme tel, est interdit entre les communes du département du Gard, d’une part, et la commune de Saint-Etienne
(Loire), d’autre part.
Art. 4. – Le samedi 9 décembre 2023 de zéro heure à minuit, le déplacement individuel ou collectif, par tout
moyen, de toute personne se prévalant de la qualité de supporter du club de l’Association de la Jeunesse Auxerroise
ou se comportant comme tel, est interdit entre les communes du département de l’Yonne, d’une part, et la
commune de Troyes (Aube), d’autre part.
Art. 5. – Le samedi 9 décembre 2023 de zéro heure à minuit, le déplacement individuel ou collectif, par tout
moyen, de toute personne se prévalant de la qualité de supporter du Football Club de Nantes ou se comportant
comme tel, est interdit entre les communes du département de la Loire-Atlantique, d’une part, et les communes de
la région d’Ile-de-France, d’autre part.
Art. 6. – Le dimanche 10 décembre 2023 de zéro heure à minuit, le déplacement individuel ou collectif, par
tout moyen, de toute personne se prévalant de la qualité de supporter du Toulouse Football Club ou se comportant
comme tel, est interdit entre les communes du département de la Haute-Garonne, d’une part, et les communes de
Décines-Charpieu, Meyzieu et Lyon (Rhône), d’autre part.
Art. 7. – Le dimanche 10 décembre 2023 de zéro heure à minuit, le déplacement individuel ou collectif, par
tout moyen, de toute personne se prévalant de la qualité de supporter du club du Stade de Reims ou se comportant
comme tel, est interdit entre les communes du département de la Marne, d’une part, et la commune de Nice (Alpes-
Maritimes), d’autre part.
Art. 8. – Le dimanche 10 décembre 2023 de zéro heure à minuit, le déplacement individuel ou collectif, par
tout moyen, de toute personne se prévalant de la qualité de supporter du club de l’Olympique de Marseille ou se
comportant comme tel, est interdit entre les communes du département des Bouches-du-Rhône, d’une part, et la
commune de Lorient (Morbihan), d’autre part.
Art. 9. – Le préfet de police, la préfète de police des Bouches-du-Rhône, les préfètes de la Charente, de l’Aube,
du Val-de-Marne et du Rhône, les préfets du Pas-de-Calais, de l’Hérault, de la Gironde, du Gard, de la Loire, de
l’Yonne, la Seine-et-Marne, des Yvelines, de l’Essonne, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis, du Val-
d’Oise, de la Loire-Atlantique, de la Haute-Garonne, de la Marne, des Alpes-Maritimes et du Morbihan, sont
chargés de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Journal officiel et notifié aux présidents de la ligue de
football professionnel, de la fédération française de football et des clubs du Montpellier Hérault Sport Club, du
Racing Club de Lens, d’Angoulême Charente Football Club, du Football Club des Girondins de Bordeaux, de
l’Association Sportive de Saint-Etienne, de Nîmes Olympique, du FC Saint Méziéry, de l’Association de la
Jeunesse Auxerroise, du Paris-Saint-Germain, du Football Club de Nantes, de l’Olympique Gymnaste Club de
Nice, du Stade de Reims, de l’Olympique Lyonnais, du Toulouse Football Club, du Football Club de Lorient et de
l’Olympique de Marseille.
Fait le 7 décembre 2023.
GÉRALD DARMANIN
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 9 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Décide :
Art. 1er. – Délégation est donnée aux personnes ci-après désignées à l’effet de signer, au nom du ministre de
l’intérieur et des outre-mer et dans la limite de leurs attributions, tous actes, décisions et pièces comptables, ainsi
que les actes relatifs à la gestion des frais d’investigation, de renseignement, de protection ou d’intervention, les
actes de constatation de service fait, ainsi que les ordres de mission en France et à l’étranger et les demandes et
renouvellements de demandes dans le cadre des articles L. 851-1 et suivants du code de la sécurité intérieure :
M. Alain BRAUD, inspecteur général des services actifs de la police nationale, directeur national adjoint du
renseignement territorial ;
M. Franck AUNEAU, colonel de gendarmerie, directeur national adjoint du renseignement territorial.
Art. 2. – A l’état-major, délégation est donnée à la personne ci-après désignée à l’effet de signer, au nom du
ministre de l’intérieur et des outre-mer, et dans la limite de ses attributions, tous actes, décisions et ordres de
mission en France, ainsi que les demandes et renouvellements de demandes dans le cadre des articles L. 851-1 et
suivants du code de la sécurité intérieure :
M. Pierre-Henri MACHET, commissaire général de police, chef d’état-major.
Art. 3. – Délégation est donnée aux personnes ci-après désignées à l’effet de signer, au nom du ministre de
l’intérieur et des outre-mer et dans la limite de leurs attributions, tous actes, décisions et ordres de mission en
France, à l’exception des demandes et renouvellements de demandes dans le cadre des articles L. 851-1 et suivants
du code de la sécurité intérieure :
M. Hervé MICHEL, colonel de gendarmerie, sous-directeur de l’animation et du pilotage territorial ;
Mme Élise SADOULET, contrôleuse générale des services actifs de la police nationale, sous-directrice des
phénomènes sociaux et sociétaux ;
M. Jean-Michel AVON, contrôleur général des services actif de la police nationale, sous-directeur de la
prévention du terrorisme, du repli identitaire et des dérives urbaines ;
Mme Marie L’HOSTIS-SEMERIVA, contrôleuse générale des services actifs de la police nationale, sous-
directrice de la recherche, de l’appui opérationnel et du cyber.
Art. 4. – Au département de l’administration générale et de la transformation numérique, délégation est donnée
aux personnes ci-après désignées à l’effet de signer, au nom du ministre de l’intérieur et des outre-mer et dans la
limite de leurs attributions, tous actes, décisions et pièces comptables, ainsi que les actes de constatation de service
fait et les ordres de mission en France :
M. Jérôme MILLET, administrateur de l’Etat, chef du département de l’administration générale et de la
transformation numérique ;
M. Jean-Emmanuel VACHAT, commandant divisionnaire fonctionnel, chef de la division de l’administration
générale.
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Délégation est donnée à la personne ci-après désignée à l’effet de signer, au nom du ministre de l’intérieur et des
outre-mer et dans la limite de ses attributions, tous actes, décisions et pièces comptables ainsi que les actes de
constatation de service fait :
Mme Pamella EDOUARD, attachée principale d’administration de l’Etat, cheffe du bureau des finances et de la
logistique.
Délégation est donnée aux personnes ci-après désignées pour la validation des demandes d’achat et la
constatation des services faits dans l’outil Chorus-Formulaire en matière d’exécution des dépenses relevant de leurs
attributions :
Rachid BOULEDJOUIDJA, secrétaire administratif, chef de la section budgétaire et logistique ;
Dénia BOUSLAH, adjointe administrative principale, gestionnaire budgétaire.
Délégation est donnée aux personnes ci-après désignées pour la validation des ordres de mission dans l’outil
Chorus Déplacements Temporaires :
Marianne SOUMAHORO, secrétaire administrative, cheffe de la section des déplacements temporaires.
Art. 5. – Délégation est donnée aux personnes ci-après désignées à l’effet d’utiliser, dans le cadre de leurs
attributions et dans la limite fixée, les cartes d’achat nominatives :
Porteurs Fonctions Plafonds annuels
TEXTES GÉNÉRAUX
NOR : EAEJ2331580D
Le Président de la République,
Sur le rapport de la Première ministre et de la ministre de l’Europe et des affaires étrangères,
Vu la Constitution, notamment ses articles 52 à 55 ;
Vu le décret no 53-192 du 14 mars 1953 modifié relatif à la ratification et à la publication des engagements
internationaux souscrits par la France,
Décrète :
Art. 1er. – L’accord-cadre entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de l’Ukraine
contribuant au soutien officiel du projet de fourniture de rails à l’Agence ukrainienne des chemins de fer, signé à
Paris le 13 décembre 2022 sera publié au Journal officiel de la République française.
Art. 2. – La Première ministre et la ministre de l’Europe et des affaires étrangères sont chargées, chacune en ce
qui la concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 7 décembre 2023.
EMMANUEL MACRON
ACCORD-CADRE
Article 1er
Définitions
Les termes utilisés dans le présent accord-cadre ont les significations telles que définies ci-dessous :
« Projet » — le projet de fourniture de rails à l’Agence ukrainienne des chemins de fer : Ukrzaliznytsia (UZ) ;
« Emprunteur » désigne l’Ukraine, représentée par le ministre des finances de l’Ukraine ou le chef de l’Agence
de la dette de l’Ukraine (dans le cas de ce dernier, agissant sur instructions du ministre des finances de l’Ukraine),
selon le cas ;
« Autorité publique ukrainienne responsable » est le ministère des communautés, des territoires et du
développement des infrastructures de l’Ukraine, qui assure la supervision et la coordination générales du Projet du
côté ukrainien ;
« Prêteur » — le Gouvernement de la République française, représenté par Natixis (Direction des activités
institutionnelles) agissant au nom et pour le compte de la Partie française ;
« Crédit » — soutien officiel au Gouvernement de l’Ukraine sous la forme d’un prêt concessionnel du Trésor
français pour un montant maximum de trente-sept millions et six cent mille euros (37 600 000 EUR) pour le
financement du Projet ;
« Accord de sous-prêt » désigne un accord entre l’Entité d’exécution du Projet, le ministère des finances de
l’Ukraine (ou l’Agence de la dette de l’Ukraine, selon le cas), le ministère des communautés, des territoires et du
développement des infrastructures et la Banque mandataire ;
« Banque mandataire » - SPA Ukreximbank, qui contrôle le tirage du Crédit pour le compte de l’Emprunteur ;
« Agence d’exécution » — l’Agence ukrainienne des chemins de fer « UZ » « Ukrzaliznytsia » (UZ) ;
« Contrat » — contrat de production et de fourniture de rails ;
« Fournisseur français » — SA Saarstahl-Rail ;
« Convention d’application » — convention de prêt qui précise les modalités d’utilisation et de remboursement
du Crédit.
Article 2
Article 3
Article 4
Conditions et modalités de mise en place du Crédit
Le Crédit est consenti pour une durée de 35 ans, dont 14 ans de franchise. Le taux d’intérêt du Crédit est de
0,0161% l’an. Le principal est remboursable en 42 échéances semestrielles égales et successives, la première étant
exigible 174 mois après la fin du trimestre civil au cours duquel les tirages ont été effectués. Les intérêts sont
calculés sur le montant du principal restant dû ; ils courent à partir de la date de chaque tirage sur le Crédit et sont
payés semestriellement.
La date de règlement d’une échéance de principal ou d’intérêt est, lorsqu’elle échoit un jour non ouvré en France
ou en Ukraine, repoussée au premier jour ouvré qui suit en France ou en Ukraine (le dernier des deux jours étant
retenu). Toute échéance de principal ou d’intérêt non réglée à bonne date donne lieu à intérêts de retard à compter
du jour (inclus) de l’exigibilité jusqu’au jour (non inclus) du paiement effectif. Les intérêts de retard sont calculés
au taux à court terme en euros (Euro Short-Term Rate ou €STR), calculé par la Banque centrale européenne majoré
de 4 % l’an, ce taux ne pouvant toutefois être inférieur à 5 % l’an. Les intérêts de retard portent eux-mêmes intérêt
au taux défini ci-dessus s’ils sont dus pour une année entière.
Article 5
Monnaie de compte et de paiement
La monnaie de compte et de paiement au titre du présent accord-cadre est l’euro.
Article 6
Imputation du Contrat
L’imputation du Contrat financé par le Crédit est soumise aux conditions suivantes :
(i) à la conformité vérifiée par la Partie française du Contrat avec les recommandations formulées par
l’évaluation préalable du Projet correspondant audit Contrat et à la validation par le Gouvernement de la
République française de son contenu, des prestations y figurant et des prix afférents ;
(ii) à la vérification par la Partie française de la conformité du Projet avec les dispositions prévues par
l’Arrangement de l’OCDE sur les crédits à l’exportation bénéficiant d’un soutien public ;
(iii) à la confirmation par la Partie française de l’absence de montants dus et non réglés à bonne date par
l’Emprunteur au titre des accords de consolidation de dette intervenus en Club de Paris, des prêts
gouvernementaux français et des prêts de l’Agence française de développement ;
(iv) à l’examen par la Partie française de l’état des montants dus payables au titre des crédits bancaires
garantis par l’Etat français accordés à l’Emprunteur, ou avec la garantie publique de l’Emprunteur ; et
(v) au respect des engagements pris aux articles 7 et 8 de cet accord-cadre ;
Le Contrat est, après que la Partie française a constaté que les conditions susmentionnées sont remplies, imputé
sur le présent accord-cadre par échange de lettres entre les Parties.
Article 7
Engagements en faveur de la lutte contre la corruption
Les Parties ont rappelé dans le préambule leur attachement à la lutte contre la corruption dans les transactions
commerciales internationales.
Les Parties au Contrat imputé sur le présent accord-cadre ne peuvent proposer ou donner à un tiers, demander,
accepter ou se faire promettre, directement ou indirectement, pour leur bénéfice ou celui d’une autre partie aucun
avantage indu, pécuniaire ou autre, constituant ou pouvant constituer une pratique illégale et de corruption.
Les Parties s’engagent à prendre toutes les mesures pour garantir que le Projet ne donne pas lieu à des actes de
corruption durant sa mise en oeuvre. Elles s’engagent à s’informer mutuellement dès qu’elles ont connaissance
d’informations faisant peser des soupçons, et à prendre les mesures nécessaires pour qu’il y soit remédié, dans le
délai imparti et à la satisfaction des deux Parties.
En cas de non-respect des engagements mentionnés au présent article, la Partie française se réserve le droit, en
fonction de ce qui lui paraitra le plus pertinent, de refuser l’imputation du Contrat et/ou de suspendre les
décaissements du Crédit consenti à l’Emprunteur et/ou d’exiger le remboursement anticipé de tout ou partie du
Crédit consenti à l’Emprunteur, au plus tard 2 mois avant la date pour laquelle le remboursement anticipé est
requis.
Article 8
Engagements en faveur de la responsabilité sociale et environnementale
Afin de promouvoir un développement durable, les Parties conviennent qu’il est nécessaire d’encourager le
respect des normes environnementales et sociales reconnues par la communauté internationale, parmi lesquelles
figurent les conventions internationales de l’Organisation internationale du travail (OIT) et les conventions de
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l’Organisation des Nations unies en matière de changement climatique, de biodiversité et d’environnement et les
normes de performance de la Société financière internationale.
Article 9
Article 10
Article 11
Impôts et taxes
Le Crédit consenti au titre du présent accord-cadre ne peut être utilisé pour payer des impôts, taxes, des droits de
douane et autres prélèvements obligatoires applicables sur le territoire de l’Ukraine, conformément à la législation
nationale ukrainienne.
L’importation sur le territoire douanier de l’Ukraine, sous tout régime douanier des biens achetés auprès du
Fournisseur français, de ses bureaux de représentation et financés dans le cadre du Contrat, est exonérée de tout
impôt, taxe, droit de douane et autres prélèvements obligatoires applicables sur le territoire de l’Ukraine,
conformément à la législation nationale de l’Ukraine.
Les livraisons de biens, travaux et services sur le territoire douanier de l’Ukraine (autres que l’importation
décrite au paragraphe 2 du présent article 11 de l’Accord-cadre), effectuées par le Fournisseur français, ses bureaux
de représentation enregistrés sur le territoire douanier de l’Ukraine, et financés dans le cadre de ce Contrat, sont
taxées au taux de 0% (zéro pour cent) de la taxe sur la valeur ajoutée et exonérées de tout autre impôt, taxe et autres
prélèvements obligatoires applicables sur le territoire de l’Ukraine, conformément à la législation nationale de
l’Ukraine.
De plus, le remboursement du principal et le paiement des intérêts, commissions, frais et accessoires liés à
l’exécution du présent accord-cadre sont effectués nets de tout impôt et taxe en Ukraine.
Le présent accord-cadre n’amende ni les stipulations de la convention entre le Gouvernement de la République
française et le Gouvernement de l’Ukraine en vue d’éviter les doubles impositions et de prévenir l’évasion fiscale
et la fraude fiscales en matière d’impôts sur le revenu et sur la fortune signée le 30 janvier 1997, ni celles qui
résulteraient de tout éventuel futur amendement de cette convention.
Article 12
Article 13
Entrée en vigueur
Le présent accord-cadre entre en vigueur à la date de la réception de la dernière notification écrite transmise par
la voie diplomatique confirmant l’accomplissement par chacune des Parties des procédures étatiques internes
requises en ce qui la concerne pour l’entrée en vigueur du présent accord-cadre.
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Article 14
Modifications et ajouts à l’accord-cadre
Par accord écrit mutuel entre les Parties, des ajouts et des modifications peuvent être apportés au présent accord-
cadre sous forme de protocoles, qui feront partie intégrante du présent accord-cadre et entreront en vigueur selon
les modalités qu’ils prévoient.
Article 15
Règlement des différends
Tout différend relatif à l’interprétation ou à la mise en oeuvre du présent accord-cadre est réglé à l’amiable par
voie de consultation ou de négociation entre les Parties.
En foi de quoi, les représentants des deux gouvernements, dûment autorisés à cet effet par leur gouvernement
respectif, ont signé le présent accord-cadre.
Fait à Paris, le 13 décembre 2022, en deux exemplaires originaux, en langues française et ukrainienne, les deux
textes faisant également foi.
Pour le Gouvernement Pour le Gouvernement
de la République française : de la République de l’Ukraine :
BRUNO LE MAIRE DENYS CHMYHAL
Ministre de l’économie, des finances Premier ministre
et de la souveraineté industrielle et numérique
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TEXTES GÉNÉRAUX
La dernière session du brevet de technicien supérieur « banque, conseiller de clientèle (particuliers) » organisée
conformément aux dispositions de l’arrêté du 26 février 2014 précité a lieu en 2025. A l’issue de cette session,
l’arrêté du 26 février 2014 précité est abrogé.
Art. 6. – Le présent arrêté est applicable dans les îles Wallis et Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-
Calédonie.
Pour l’application de l’article 3 du présent arrêté, la référence au recteur est remplacée par la référence au vice-
recteur.
Art. 7. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 22 novembre 2023.
La ministre de l’enseignement supérieur
et de la recherche,
Pour la ministre et par délégation :
La cheffe du service de la stratégie
des formations et de la vie étudiante,
adjointe à la directrice générale,
L. VAGNER-SHAW
Le ministre délégué auprès du ministre de l’intérieur
et des outre-mer, chargé des outre-mer,
Pour le ministre et par délégation :
La cheffe de service,
adjointe au directeur général des outre-mer,
K. DELAMARCHE
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ANNEXE I
TABLEAU DE SYNTHÈSE – ACTIVITÉS – BLOCS DE COMPÉTENCES – UNITÉS
Pôle d’activités 1 - Accompagnement du par Bloc de compétences 1 – Accompagnement du parcours du client de services
cours du client de services bancaires et bancaires et financiers
financiers – Accueillir la clientèle.
– Accompagnement du parcours client. – Gérer les flux de clients et les priorités.
– Orientation du client vers le bon interlocuteur – Pratiquer l’écoute active.
– Gérer les incivilités et les conflits.
interne ou externe.
– Actualiser les informations clients.
– Traitement des alertes au quotidien. – Planifier un rendez-vous. Unité U3
– Accompagnement des usages numériques. – Réaliser les opérations courantes et/ou suivre leur réalisation par le client. -
– Gérer les dysfonctionnements. Accompagnement du par
– Orienter le client vers l’interlocuteur approprié. cours du client de services
– Mettre en avant les offres complémentaires. bancaires et financiers
– Contrôler la conformité et la complétude d’un dossier client.
– Traiter les alertes et les situations en fonction de leurs niveaux de risques.
– Proposer une offre de services adaptée aux situations de vulnérabilité et
d’illectronisme.
– Former et accompagner le client à l’utilisation des services à distance.
– Mettre en œuvre les mesures de sécurité et de précaution lors de l’utilisation
des outils numériques.
Pôle d’activité 3 - Conseil et expertise en Bloc de compétences 3 - Conseil et expertise en solutions bancaires et Unité U5
solutions bancaires et financières financières -
– Ouverture et suivi des comptes bancaires. – Analyser les opportunités et les risques liés à la situation du client. Conseil et expertise en solu
– Mise à disposition et suivi des moyens de – Assurer l’ouverture du compte adapté tions bancaires et financières
paiement. – Gérer et clôturer un compte
– Identifier des produits et services liés au compte.
– Elaboration d’une solution d’épargne. – Adapter les différents moyens de paiement à la situation du client.
– Elaboration d’une solution d’assurance. – Prévenir les risques liés aux moyens de paiement.
– Elaboration d’une solution de financement. – Participer au traitement des incidents liés aux moyens de paiement.
– Définir le profil d’investisseur.
– Caractériser les différents produits d’épargne et les principaux instruments
financiers et leur compte support.
– Elaborer une solution d’épargne adaptée à la situation du client et à ses
motivations.
– Caractériser les produits d’assurance de personnes et de prévoyance.
– Caractériser les produits d’assurance de dommages et de responsabilité.
– Elaborer une solution d’assurance adaptée à la situation personnelle et
patrimoniale du client.
– Caractériser les différents types de crédits.
– Elaborer une solution de financement adaptée au projet du client et à sa
situation personnelle et patrimoniale.
– Mettre en place des assurances et des garanties appropriées.
– Suivre le crédit jusqu’à son remboursement.
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Pôle d’activité 4 - Veille organisationnelle, Bloc de compétences 4 –Veille organisationnelle, juridique, économique et
juridique, économique et sectorielle sectorielle
– Information des clients sur le – Mettre en évidence l’organisation et le rôle du système financier dans
l’activité économique.
système financier français, européen et interna
– Mobiliser la réglementation prudentielle.
tional.
– Prendre en compte les risques du système financier.
– Suivi de l’évolution du marché bancaire, de – Appréhender les domaines d’activité des établissements financiers.
l’assurance et de la finance. – Identifier les conséquences des évolutions technologiques sur les acteurs du
– Intégration d’un collectif de travail. marché.
– Exercice de l’activité dans le cadre juridique – Analyser l’environnement.
propre au système financier. – Analyser les différentes stratégies des acteurs du marché.
– Réalisation d’une veille économique et sociale. – Appliquer les mesures de cybersécurité.
– Inscrire son activité dans une démarche RSE. Unité U6
– Caractériser les structures juridiques des organisations. -
– Travailler en équipe dans l’établissement et se positionner au sein d’un Veille organisationnelle, juri
écosystème d’acteurs. dique, économique et secto
– Analyser les indicateurs financiers et non financiers de l’établissement. rielle
– Caractériser les différents styles de management et de gouvernance.
– Repérer les composantes de la politique sociale de l’établissement.
– Inscrire son activité dans une démarche qualité.
– Appliquer les obligations générales du banquier et la déontologie.
– Identifier les risques juridiques liés à l’activité.
– Analyser la situation juridique du client.
– Inscrire la relation commerciale dans un cadre contractuel.
– Mobiliser les indicateurs macro-économiques.
– Analyser la composition et les inégalités de revenus et de patrimoine.
– Identifier les principales politiques économiques et sociales et leurs outils.
– Repérer l’impact des politiques économiques et sociales sur l’activité du
secteur.
ANNEXE II
RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES
Brevet de technicien supérieur « banque »
Le titulaire du diplôme exerce son activité dans le secteur bancaire, financier et assurantiel. Relevant d’un
établissement ou d’un réseau d’établissements, il travaille au sein de structures variées, en face à face avec le client
et/ou à distance, à l’aide d’outils technologiques évolutifs.
L’activité bancaire, financière et assurantielle est fortement réglementée et nécessite une maîtrise du cadre
spécifique du secteur et des procédures propres à l’établissement ou au réseau d’établissements de référence.
Le titulaire du diplôme exerce des missions qui se situent au cœur de l’activité économique. En conséquence, sa
connaissance de l’environnement et du secteur financier, en constante évolution, est approfondie.
1. Présentation du diplôme
1.1. Définition des missions du titulaire du diplôme
Le titulaire du diplôme exerce une fonction commerciale et technique dans une organisation du secteur financier,
sur le marché des particuliers.
L’activité principale du titulaire du diplôme consiste à commercialiser l’offre de produits et de services de son
entreprise, établissement ou réseau d’établissements, en informant et conseillant la clientèle à travers tous les
canaux de communication qui lui sont offerts. Cette dimension omnicanale de la relation client contribue à faire
évoluer de manière continue les missions du conseiller ou de la conseillère. L’offre des entreprises du secteur se
diversifie, se répercutant sur le contenu des missions et élargissant le champ des compétences du conseiller ou de la
conseillère. Celui-ci ou celle-ci inscrit son activité professionnelle dans le respect de la politique commerciale
définie par l’établissement ou le réseau d’établissements et de l’encadrement juridique du secteur bancaire et
financier.
Dans un secteur concurrentiel, le titulaire du diplôme a également pour mission de prospecter de nouveaux
clients et de saisir toutes les opportunités commerciales. Le titulaire du diplôme exerce un métier de conseil et de
vente qui requiert des qualités relationnelles. Il doit être en mesure de mobiliser ses connaissances et les outils
numériques mis à sa disposition pour son activité. Il fait preuve d’agilité notamment dans la maîtrise de
l’omnicanalité en étant capable de s’adapter et d’utiliser les outils numériques liés à son activité.
Le titulaire du diplôme exerce ses missions dans le respect de la règlementation et des principes déontologiques
propres au secteur qui conditionne la relation de confiance qu’il tisse avec la clientèle mais également qu’il
entretient avec les différents partenaires. Il est sensibilisé aux enjeux environnementaux et sociétaux. Il est attentif
à l’accompagnement des clients en situation de handicap et, de manière générale, dans l’accueil et
l’accompagnement des prospects et des clients au respect de toutes les formes d’égalité et d’équité.
Le titulaire du diplôme est autorisé, conformément au Code des assurances, à exercer des activités
d’intermédiation dans les domaines de l’assurance de personnes et de l’assurance de biens et de responsabilité.
Le titulaire du diplôme remplit les conditions de compétences professionnelles en matière de crédit visées à
l’article D. 314-23 du code de la consommation.
1.6. Perspectives
Le titulaire du diplôme est un collaborateur ou une collaboratrice dont le parcours est évolutif disposant, en
raison de la diversité des contextes d’activité, de multiples possibilités d’évolution professionnelle.
Il peut ainsi, à l’intérieur du secteur bancaire, évoluer vers d’autres types de clientèles de particuliers, vers le
marché des professionnels ou vers des fonctions managériales. Il peut également évoluer dans le cadre plus large de
services financiers (banque, assurance, financement de biens mobiliers et immobiliers, conseil patrimonial). Il peut
développer de nouvelles compétences en intégrant d’autres structures.
Cette évolution peut être facilitée dans le cadre de nombreux dispositifs de formation continue ou universitaire, y
compris les grandes écoles, soit en approfondissant l’un des domaines étudiés au cours de la préparation du présent
diplôme, soit en l’élargissant à un domaine financier complémentaire, notamment assurance et professions
immobilières.
Enfin, il veille à la maîtrise des risques liés à la nature même des prestations offertes et des particularités de
l’environnement financier.
Les activités professionnelles du titulaire du diplôme ont pour objectifs d’accompagner les clients, dans un
environnement technologique omnicanal complexe, en personnalisant l’offre de services bancaires et financiers et
de développer l’activité commerciale. Les activités professionnelles sont exercées dans le respect de la déontologie
du secteur, du cadre prudentiel et juridique et en prenant appui sur une culture organisationnelle, juridique,
économique et sectorielle.
Sur le plan formel, le descriptif des activités professionnelles fait régulièrement référence au vocable
« conseiller ». Ce terme doit être compris de façon générique ; il désigne les femmes et les hommes dont l’activité
est le conseil à la clientèle de produits et services bancaires et financiers.
(1) Le métier cible est appelé « conseiller ou conseillère de clientèle », ce qui correspond à la terminologie la plus utilisée dans
les groupes du secteur financier, mais on peut tout aussi bien parler de « chargé ou chargée de clientèle » dont le périmètre des
missions est identique.
(2) Middle office et back office : « middle office » correspond aux activités de suivi de marché, « back office » au traitement des
opérations.
(3) Ces nouvelles structures sont dénommées « fintechs », néobanques.
Description générale
Dans un environnement omnicanal, le conseiller exerce ses fonctions en relation avec les clients de services
bancaires, financiers et assurantiels en prenant en compte leurs préférences et en veillant à la qualité du service. Il
assure la gestion des interactions avec les clients et les prospects en présentiel et à distance grâce aux canaux
numériques (le téléphone, la messagerie classique et la messagerie instantanée, l’assistant virtuel, les réseaux
sociaux etc.) tout en s’attachant à développer un suivi de la relation avec les clients dans la durée.
Conditions d’exercice
Cadre dans lequel s’exerce l’activité avec les éléments et moyens indispensables
Le titulaire du diplôme joue un rôle essentiel dans la gestion du parcours client. Il utilise les outils numériques
mis à sa disposition afin de communiquer avec les clients tout au long de leur parcours, avec les collaborateurs de
son établissement ainsi qu’avec les partenaires externes.
Le titulaire du diplôme entretient des relations avec l’ensemble des collaborateurs de l’établissement bancaire ou
financier ainsi qu’avec différents partenaires externes (courtiers, notaires, agents immobiliers notamment).
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Résultats attendus – Les procédures d’accueil client et prospect sont appliquées quel que soit le canal de communication utilisé.
– La fiabilité réglementaire et commerciale du système d’information est garantie.
– Le client est orienté et accompagné vers les interlocuteurs internes et externes pertinents.
– L’offre de services bancaires et financiers est connue.
– Les opérations de gestion courante sont maîtrisées.
– La gestion des risques et les procédures de conformité sont maîtrisées.
– Le client est conseillé de manière à éclairer son consentement.
– Les techniques et les outils de communication et de gestion numériques sont utilisés dans le respect de la sécurité et de la
préservation de l’image de marque de l’entreprise.
– Toutes formes d’égalité et d’équité sont recherchées dans l’exercice de l’activité.
Autonomie et L’ensemble des activités peut être conduite en totale autonomie dans le cadre des délégations mises en place dans l’établissement
responsabilité bancaire ou financier.
Description générale
Spécialiste de la relation client tant en face à face qu’à distance, le conseiller construit et développe une relation
de confiance avec la clientèle en assurant un service de haute qualité. Son activité professionnelle consiste à
décliner la politique commerciale définie par l’établissement dans le respect de l’encadrement juridique propre au
secteur bancaire, financier et assurantiel.
Conditions d’exercice
Cadre dans lequel s’exerce l’activité avec les éléments et moyens indispensables
Le développement commercial relève de la stratégie définie par l’établissement ou le réseau d’établissements.
Aussi, le titulaire du diplôme prend appui sur un certain nombre d’outils de promotion et de commercialisation,
notamment un protocole de vente adapté au canal de communication choisi par le client. Cette procédure garantit la
continuité des échanges commerciaux dans le respect de la réglementation.
Relations avec d’autres collaborateurs - Relations internes et/ou externes
Le développement commercial nécessite d’être en relation constante avec les différents services de
l’établissement (service crédit, contentieux, collaborateurs spécialisés en immobilier, etc.), de même qu’avec
d’autres intervenants sur le marché (courtiers, prescripteurs immobiliers, notaires, prestataires de services,
organismes professionnels etc.).
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Résultats attendus – Le plan d’actions commerciales de l’établissement et du réseau est mis en œuvre.
– Les objectifs opérationnels sont fixés en adéquation avec le profil du client.
– L’entretien de clientèle, en face à face comme à distance, est structuré et pro-actif.
– Les informations saisies dans le système d’information sont pertinentes.
– Le suivi des dossiers est assuré en respectant les procédures internes de l’établissement.
– Le suivi de la clientèle permet d’assurer un haut niveau de satisfaction et de fidélisation.
Autonomie et responsabilité Le titulaire du diplôme mène des actions commerciales : il développe son portefeuille client pour atteindre les objectifs fixés par son
établissement. Sa marge de négociation est définie par le système de délégation dont il dépend et par les habilitations propres au
secteur (certification professionnelle des acteurs de marchés). Il travaille en étroite collaboration avec les services commerciaux
pour adapter l’offre à la demande du client et répondre à ses réclamations.
De façon générale, il participe à la mise en œuvre de la politique commerciale de son établissement, actualise les données de ses
clients et assure la transmission des informations pertinentes à sa hiérarchie.
Description générale
Interlocuteur privilégié des clients, le conseiller met son expertise technique au service de ceux-ci en répondant à
leurs besoins. Il élabore des solutions adaptées en gérant les risques bancaires et financiers. Son conseil répond à
une approche globale des besoins du client mobilisant éventuellement un partenariat avec des intervenants internes
ou externes.
Conditions d’exercice
Cadre dans lequel s’exerce l’activité avec les éléments et moyens indispensables
Le titulaire du diplôme exerce son activité dans un environnement technologique nécessitant que les outils
numériques et les apports de l’exploitation des données et de l’intelligence artificielle soient maîtrisés. Il doit
également prendre en compte les nouvelles exigences des consommateurs. La connaissance des risques ainsi que
les évolutions réglementaires font partie intégrante des conditions d’exercice du métier de conseiller de clientèle.
L’adaptabilité à l’environnement et la justesse de la posture professionnelle demeurent des conditions
indispensables à l’exercice de son activité.
Relations avec d’autres collaborateurs - Relations internes et/ou externes
Le titulaire du diplôme doit exercer son métier en créant et en entretenant des liens et un réseau, notamment au
niveau du tissu économique local. En interne, il participe au travail collaboratif tirant parti des compétences du
groupe dans un souci d’efficience.
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Autonomie et responsabilité Le niveau d’autonomie et de responsabilité en matière de conseil et d’expertise bancaire dépend des délégations octroyées dans le
cadre de la réglementation propre au secteur (certification professionnelle des acteurs de marchés) et de l’organisation interne
aux établissements et réseaux d’établissements.
Description générale
Dans le cadre de son activité professionnelle, le conseiller apporte des réponses cohérentes aux besoins des
clients. Son activité le conduit également à poursuivre les objectifs commerciaux fixés par son établissement. De
plus, son activité professionnelle s’inscrit dans le respect du cadre juridique et des règles prudentielles qui régissent
le secteur.
Dans un environnement en profonde mutation, le conseiller ou la conseillère de clientèle propose des solutions
pertinentes à des clients dont les comportements et les savoirs évoluent.
Conditions d’exercice
Cadre dans lequel s’exerce l’activité avec les éléments et moyens indispensables
L’activité est exercée en agence bancaire physique, en centre de services bancaires, dans les néo-banques et dans
des entreprises innovantes du secteur financier, auprès de prestataires de services bancaires, financiers et
assurantiels. Le titulaire du diplôme doit mobiliser d’importantes connaissances organisationnelles, juridiques,
économiques et sectorielles dans l’exercice de son activité.
Relations avec d’autres collaborateurs - Relations internes et/ou externes
Le titulaire du diplôme exerce son activité au sein d’une organisation. Cela implique une forte interaction au
quotidien avec ses collègues et un échange d’informations continu. Il veille aussi au respect des consignes de sa
hiérarchie et des délégations accordées. Le secteur financier est également soumis à une règlementation
prudentielle forte à laquelle il doit se conformer.
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Activités et tâches Activité 1 - Information des clients sur le système financier français, européen et international
caractéristiques du pôle A4.1 T1 Sensibilisation au rôle et à l’organisation du système financier et bancaire dans l’activité économique.
A4.1 T2 Actualisation et application de la réglementation prudentielle du système financier.
Activité 2 - Suivi de l’évolution du marché bancaire, de l’assurance et de la finance
A4.2 T1 Recueil d’informations relatives à l’environnement concurrentiel et technologique.
A4.2 T2 Analyse des choix stratégiques des acteurs du marché.
A4.2 T3 Contribution à la cybersécurité.
A4.2 T4 Participation à la politique de responsabilité sociétale et environnementale de l’établissement.
Activité 3 - Intégration d’un collectif de travail
A4.3T 1 Collaboration au sein d’un écosystème d’acteurs et contribution aux résultats collectifs de l’établissement.
A4.3 T2 Analyse des différents styles de management et de gouvernance.
A4.3 T3 Application des choix de l’établissement en matière sociale.
A4.3 T4 Participation à la démarche qualité.
Activité 4 – Exercice de l’activité dans le cadre juridique propre au système financier
A4.4 T1 Prise en compte du cadre juridique spécifique et évolutif.
A4.4 T2 Exercice de l’activité dans le respect du cadre déontologique.
A4.4 T3 Mise en œuvre de contrats commerciaux.
Activité 5 – Réalisation d’une veille économique et sociale
A4.5 T1 Prise en compte de l’environnement économique et social.
A4.5 T2 Suivi des décisions de l’Etat et des institutions dans l’économie.
Résultats attendus – Le conseil à la clientèle est étayé par des arguments économiques, juridiques et financiers.
– La dimension prudentielle et réglementaire est prise en compte dans l’exercice de l’activité.
– Les solutions proposées à la clientèle prennent appui sur la connaissance du secteur et de ses acteurs.
– Les mesures de cybersécurité et de protection des données sont appliquées.
– La contribution aux objectifs collectifs, qualitatifs et quantitatifs de l’établissement est assurée.
– Le style de management et la gouvernance sont pris en compte dans l’exercice de l’activité.
– Le droit des contrats est respecté tout au long de la relation avec la clientèle.
– Les décisions de l’Etat et des institutions concernant le secteur financier sont suivies.
– Les principaux indicateurs économiques sont connus.
– La finance durable et la responsabilité sociétale et environnementale sont intégrées dans l’exercice de l’activité.
Autonomie et responsabilité Le titulaire du diplôme s’engage à respecter la déontologie du secteur ainsi que les règles applicables. Si l’activité du titulaire du
diplôme est encadrée, elle est également contrôlée par sa hiérarchie et dans le cadre d’audits de conformité internes ou
externes réalisés par des organismes régulateurs.
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ANNEXE III
RÉFÉRENTIEL DE COMPÉTENCES
Activité 1 - Accompagnement du Accueillir la clientèle. Application du protocole d’accueil L’accueil du client en présentiel et à distance
parcours client. Gérer les flux de clients et les adapté au canal de communication Connaissance du client.
A1.1 T1 Accueil, accompagnement priorités. et à la situation du client. Identification du client.
du prospect et du client en Pratiquer l’écoute active. Utilisation d’un registre de langage Clients en situation de handicap.
agence et à distance. conforme aux usages de la profes Clientèle fragile et vulnérable.
Gérer les incivilités et les conflits.
A1.1 T2 Utilisation des outils sion. Fichiers des superviseurs.
Actualiser les informations Dossier client.
adaptés à la relation commer clients. Adoption d’une posture adaptée à la
ciale omnicanale. clientèle bancaire. Techniques de communication.
Planifier un rendez-vous. Communication écrite et orale adaptée au
A1.1 T3 Fiabilisation de l’informa Respect du secret bancaire. canal.
tion client. Maîtrise des applications métier et Communication verbale et non verbale.
A1.1 T4 Gestion des agendas et outils numériques professionnels. Techniques de gestion des incivilités et des
consultation des fichiers des Fiabilité des Informations clients. Prise conflits.
superviseurs. de RDV qualifiés. Déontologie et secret bancaire.
Réglementation relative à la collecte des
données.
Applications métier et outils numériques
professionnels.
Activité 2 - Orientation du client Réaliser les opérations courantes Réalisation des opérations courantes. Les opérations bancaires courantes
vers le bon interlocuteur interne et/ou suivre leur réalisation Argumentation d’un refus d’opération. Procédures liées à la réalisation des opéra
ou externe. par le client. Gestion des dysfonctionnements. tions courantes.
A1.2 T1 Accompagnement du Gérer les dysfonctionnements.
client dans la gestion des opé Prise en charge du client par des Missions des interlocuteurs internes et exter
rations courantes. Orienter le client vers l’interlocu interlocuteurs internes et externes. nes.
A1.2 T2 Orientation du client vers teur approprié. Accroches relatives aux offres complé Offres commercialisées par l’établissement.
les interlocuteurs internes et Mettre en avant les offres com mentaires.
externes adaptés. plémentaires.
A1.2 T3 Sensibilisation du client
aux offres complémentaires de
l’établissement.
Activité 3 - Traitement des alertes Contrôler la conformité et la Application des mesures de suivi des La détection des alertes
au quotidien. complétude d’un dossier situations à risques. Protocole de traitement des alertes et des
A1.3 T1 Recueil et vérification de la client. Application des mesures de lutte contre risques.
conformité des documents Traiter les alertes et les situations la fraude.
nécessaires à la relation ban Protocole de lutte contre la fraude.
en fonction de leurs niveaux Application des mesures de lutte contre Protocole de lutte contre le blanchiment des
caire et financière.
A1.3 T2 Mobilisation des outils de de risques. le blanchiment des capitaux et le capitaux et le financement du terrorisme.
cotation. financement du terrorisme. Outils de cotation.
A1.3 T3 Qualification des alertes et
des risques liés à la gestion du
compte.
A1.3 T4 Application des mesures
de lutte contre la fraude, le
blanchiment des capitaux et le
financement du terrorisme.
Activité 4 - Accompagnement des Proposer une offre de services Prise en compte des clients vulnérables Les usages numériques
usages numériques. adaptée aux situations de vul ou en situation d’illectronisme. Applications et outils numériques.
A1.4 T1 Détection des indices de nérabilité et d’illectronisme. Application du protocole de sécurité Risques liées aux usages du numérique
vulnérabilité du client face au Former et accompagner le client numérique de l’établissement.
numérique et mise en œuvre Illectronisme.
à l’utilisation des services à Equipement des clients en services à Cybersécurité.
d’un accompagnement adapté.
A1.4 T2 Prévention en matière distance. distance. E-réputation.
de cybersécurité liée à l’utilisa Mettre en œuvre les mesures de
Prévention des risques numériques.
tion des outils de gestion et des sécurité et de précaution lors
canaux de communication de l’utilisation des outils Protocoles d’établissement.
numériques. numériques.
A1.4 T3 Participation à la gestion
de la e-réputation de l’établis
sement.
A1.4 T4 Formation des clients aux
outils de la banque à distance.
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Activité 1 – Mise en œuvre d’actions Analyser les écarts entre objectifs Sélection et traitement des infor L’activité commerciale
commerciales commerciaux et réalisations. mations commerciales perti Mesure de l’activité commerciale Tableaux de
A2.1 T1 Analyse d’un tableau de Proposer des actions correctrices. nentes. bord.
bord commercial. Actions favorisant le développe
Décliner au niveau local les actions Indicateurs commerciaux.
A2.1 T2 Participation à des actions ment du portefeuille client.
commerciales de prospection, commerciales définies par l’éta Activité de prospection.
d’équipement de la clientèle et de blissement. Mise en œuvre et suivi de l’action commerciale
fidélisation. Traiter les opportunités (SIC).
A2.1 T3 Détection et traitement des commerciales générées par le sys
opportunités commerciales géné tème d’information.
rées par le système d’information.
Activité 2 - Préparation de la vente- Identifier les risques et opportuni Fixation d’objectifs cohérents La préparation de la vente-conseil
conseil tés de la situation du client et du avec la situation du client, le Composantes de la fiche préparatoire à l’entre
A2.2 T1 Appropriation de la situation fonctionnement du compte. fonctionnement du compte et tien.
personnelle et patrimoniale du Se fixer des objectifs et identifier les préconisations de l’éta Cycle de vie du client.
client. les marges de négociation. blissement. Objectifs qualitatifs et quantitatifs.
A2.2 T2 Analyse du fonctionnement Réalisation d’une fiche de pré Argumentaire de vente selon l’univers de pro
des comptes du client. Préparer des outils d’aide à la duits et services.
paration d’entretien adaptée à
vente. Objections récurrentes.
A2.2 T3 Utilisation des préconisa la situation et à l’univers de
tions de l’établissement. produits et services. Niveaux de délégations.
Activité 3 - Conduite de la vente- Installer une relation de confiance. Prise de contact conforme aux La vente-conseil
conseil Conduire un entretien de décou pratiques de l’établissement. Approche globale du client.
A2.3 T1 Accueil du prospect ou du verte du client. Conduite d’un plan de décou Produits et services de l’établissement.
client en face à face comme à verte complet.
distance. Caractériser et hiérarchiser les Techniques associées au processus de vente
besoins. Reformulation et synthèse hié selon l’univers de produits et services.
A2.3 T2 Qualification de la demande. rarchisée des besoins.
A2.3 T3 Proposition d’une solution Négocier une solution personnali Spécificités de la vente à distance.
personnalisée selon une appro sée conforme à la réglementa Argumentation commerciale Obligations du conseiller de clientèle (devoirs
che globale du client. tion. personnalisée adaptée à d’information, de conseil et de mise en garde).
A2.3 T4 Négociation des conditions Conclure la vente. l’univers de produits et servi
ces. Formalisme précontractuel et contractuel. Recueil
de commercialisation. Prendre congé et s’assurer de la de signature (dont électronique).
A2.3 T5 Conclusion de l’entretien de satisfaction du client. Concrétisation de la vente dans
vente- conseil dans le respect de le respect de la réglementa
la réglementation. tion et de la déontologie.
Activité 4 - Consolidation de la Rendre compte de la relation Réalisation de comptes rendus Le suivi de la vente-conseil
relation client client. conformes aux exigences de Compte-rendu de l’entretien.
A2.4 T1 Réalisation du compte rendu Assurer le suivi de la mise en l’établissement. Cadre réglementaire.
d’entretien. œuvre d’un contrat. Respect des conditions de mise
en œuvre d’un contrat. Archivage des documents.
A2.4 T2 Contrôle de l’exécution du Traiter les demandes d’informa Réponse aux demandes de la Délais commerciaux et réglementaires.
contrat. tions complémentaires de la clientèle dans les délais. Traitement des réclamations.
A2.4 T3 Traitement des demandes clientèle et les réclamations. Elaboration d’un plan de relan Techniques de fidélisation.
d’informations complémentaires. Saisir les futures opportunités ces personnalisées. Relances qualifiées.
A2.4 T4 Suivi de la satisfaction du commerciales. Administration de questionnai
res de satisfaction client. Appels de courtoisie.
client et gestion des relances. Evaluer la satisfaction du client.
Mesure de la satisfaction du Service après-vente.
client, incitation au parrai Services d’assistance interne.
nage et aux recommanda
tions.
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Activité 1 – Ouverture et suivi des Analyser les opportunités et les Exploitation d’informations perti Les comptes bancaires
comptes bancaires risques liés à la situation du nentes sur la situation du client. Situation du client
A3.1 T1 Diagnostic de la situation client. Ouverture de comptes adaptés à la Capacités civile et bancaire.
personnelle, matrimoniale, patri Assurer l’ouverture du compte situation du client. Fiscalité du particulier.
moniale et fiscale du client. adapté Suivi du fonctionnement du compte. Revenus et patrimoine.
A3.1 T2 Ouverture du compte Gérer et clôturer un compte Régimes d’unions.
approprié dans le respect de la Mise en place des produits et servi Situation professionnelle.
réglementation et des procédures Identifier des produits et services ces liés au compte. Comptes bancaires.
internes. liés au compte. Respect de la réglementation appli Typologie des comptes.
A3.1 T3 Gestion du compte et des cable aux comptes. Offre à la clientèle fragile.
services associés. Droit au compte.
A3.1 T4 Clôture du compte dans le Fonctionnement, dysfonctionnements et ris
respect de la réglementation et ques.
des procédures internes. Services associés.
Activité 2 - Mise à disposition et Adapter les différents moyens de Adéquation entre le moyen de paie Les moyens de paiement
suivi des moyens de paiement paiement à la situation du ment et la situation du client. Typologie des moyens de paiement.
A3.2 T1 Propositions de moyens de client. Prévention des risques liés aux Moyens de paiement physiques.
paiement selon leurs caractéristi Prévenir les risques liés aux moyens de paiement. Moyens de paiement dématérialisés.
ques. moyens de paiement. Gestion des incidents liés à l’utilisa Paiement en devises.
A3.2 T2 Prévention des risques liés
aux moyens de paiement. A3.2 T3 Participer au traitement des inci tion des moyens de paiement. Fonctionnement et risques.
Application de la réglementation dents liés aux moyens de Usage abusif.
et des procédures internes relati paiement. Fraude.
ves aux incidents de paiement. Opposition.
Activité 3 - Élaboration d’une solu Définir le profil d’investisseur. Mobilisation des instruments L’épargne
tion d’épargne Caractériser les différents pro d’épargne en fonction du profil du Caractérisation de l’épargnant.
A3.3 T1 Identification des produits duits d’épargne et les princi client. Fiscalité du particulier.
d’épargne adaptés à la situation paux instruments financiers et Application des règles fiscales. Capacité d’épargne.
du client. leur compte support. Motif d’épargne.
A.3.3 T2 Identification des différents Elaborer une solution d’épargne Classification des profils investisseur.
instruments financiers et des adaptée à la situation du client Epargne et produits d’épargne.
techniques des marchés finan et à ses motivations. Produits d’épargne bancaire.
Produits d’épargne non bancaire.
ciers adaptés à la situation du
Instruments financiers.
client.
Epargne durable et solidaire.
Enveloppes fiscales.
Calculs financiers : intérêts, valeur acquise,
valeur actuelle, rendement.
Activité 4 - Élaboration d’une solu Caractériser les produits d’assu Prise en compte des éléments L’assurance
tion d’assurance rance de personnes et de constitutifs du contrat d’assu Cadre général de l’assurance.
A3.4 T1 Identification et suivi des prévoyance. rance. Contrat d’assurance.
assurances de personnes adap Caractériser les produits d’assu Identification des produits d’assu
rance de dommages et de Réglementation propre aux produits d’assu
tées à la situation du client. A4.4 rance adaptés à la situation du rance.
responsabilité.
T2 Identification et suivi des Elaborer une solution d’assu client. Types d’assurances.
assurances de biens et respon rance adaptée à la situation Assurance de personnes.
sabilité adaptées à la situation du personnelle et patrimoniale du
client. Assurance de biens et responsabilité.
client.
Activité 5 - Élaboration d’une solu Caractériser les différents types Adaptation du mode de financement Le financement
tion de financement de crédits. aux besoins du client. Types de crédit.
A3.5 T1 Caractérisation des diffé Elaborer une solution de finan Evaluation globale du risque client. Gestion du risque.
rents types de financement. A3.5 cement adaptée au projet du Indicateurs de solvabilité et cotation risque.
T2 Évaluation de la solvabilité de Prise en compte des éléments
client et à sa situation per constitutifs du financement des Sûretés réelles, les sûretés personnelles.
l’emprunteur.
sonnelle et patrimoniale. assurances et des garanties Assurances de l’emprunteur.
A3.5 T3 Montage du projet en col
laboration avec les partenaires Mettre en place des assurances appropriées. Offre de prêt
appropriés. et des garanties appropriées. Suivi des étapes du crédit et des Plan de financement.
A3.5.T4 Suivi du crédit : renégocia Suivre le crédit jusqu’à son rem alertes. Tableau d’amortissement et coût du crédit.
tion, rachat, traitement des inci boursement. Protection du consommateur de crédit.
dents. Rôle des partenaires.
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Activité 1 - Information des clients Mettre en évidence l’organisa Prise en compte de l’organisation et du Le système financier français, européen et
sur le système financier français, tion et le rôle du système rôle du système financier dans l’exer international
européen et international financier dans l’activité éco cice des missions. Rôle du système financier dans l’activité
A4.1 T1 Sensibilisation au rôle et à nomique. Prise en compte de la réglementation économique
l’organisation du système finan Mobiliser la réglementation prudentielle. Circuit et agents économiques.
cier et bancaire dans l’activité prudentielle. Financement de l’économie, fonctions de la
Contribution à la politique de prévention monnaie, création monétaire.
économique. Prendre en compte les risques des risques. Marché des capitaux.
A4.1 T2 Actualisation et application du système financier. Prévention des risques.
de la réglementation prudentielle Risques du système financier.
du système financier. Crises financières.
Institutions financières nationales, euro
péennes et internationales.
Réglementation prudentielle.
Activité 2 - Suivi de l’évolution du Appréhender les domaines Distinction des différentes catégories L’évolution du marché bancaire, de l’assu
marché bancaire, de l’assurance et d’activité des établisse d’établissements. rance et de la finance
de la finance ments financiers. Prise en compte des évolutions technolo Domaines d’activité des prestataires de
A4.2 T1 Recueil d’informations rela Identifier les conséquences des giques du secteur. service.
tives à l’environnement concur évolutions technologiques Catégories d’institutions et Intermédiaires.
Réalisation d’un diagnostic de l’environ
rentiel et technologique. A4.2 T2 sur les acteurs du marché. Organisation et fonctionnement d’un éta
nement. blissement.
Analyse des choix stratégiques Analyser l’environnement. Justification des choix stratégiques des Spécificités du marché.
des acteurs du marché. Analyser les différentes straté acteurs du marché. Impact de la technologie sur l’offre du
A4.2 T3 Contribution à la cybersécu gies des acteurs du marché. Respect du protocole de cybersécurité. marché.
rité. Appliquer les mesures de Prise en compte de la politique sociétale Impact de la technologie sur le consomma
A4.2 T4 Participation à la politique de cybersécurité. et environnementale de l’établisse teur.
responsabilité sociétale et envi Inscrire son activité dans une ment. Mutations du marché.
ronnementale de l’établissement. démarche RSE. Diagnostic de l’environnement macro- éco
nomique et du point de vente (zone de
chalandise).
Options stratégiques appliquées au secteur
financier.
Cybersécurité.
Gestion des données massives. RGPD.
Rôle de l’intelligence artificielle.
Responsabilité sociétale et environnemen
tale de l’établissement (RSE)
Pratiques de la RSE.
Investissement socialement responsable et
place de la finance verte dans l’activité de
l’établissement.
Activité 3 - Intégration d’un collectif Caractériser les structures juri Distinction des différents statuts juridi La structure de travail
de travail diques des organisations. ques. Identification des acteurs.
A4.3 T1 Collaboration au sein d’un Travailler en équipe dans Identification de la place des acteurs de Statuts juridiques des personnes morale et
écosystème d’acteurs l’établissement et se posi l’établissement dans le processus de physiques.
tionner au sein d’un éco décision. Acteurs de l’écosystème bancaire.
et contribution aux résultats collectifs système d’acteurs.
de l’établissement. Analyse des indicateurs financiers et non Processus de décision dans l’établissement.
Analyser les indicateurs finan Styles de management et de Gouvernance.
A4.3 T2 Analyse des différents styles ciers et non financiers de financiers de l’établissement.
de management et de gouver l’établissement. Indicateurs de rentabilité.
nance. Caractériser les différents sty Relation de travail au sein de l’établisse
les de management et de ment.
A4.3 T3 Application des choix de
gouvernance. Contrat de travail, convention collective,
l’établissement en matière sociale. règlement intérieur, charte de qualité.
Repérer les composantes de la
A4.3 T4 Participation à la démarche politique sociale de l’éta Organisation du travail.
qualité. blissement. Inclusion des salariés en situation de Han
Inscrire son activité dans une dicap.
démarche qualité. Démarche qualité.
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Activité 4 – Exercice de l’activité dans Appliquer les obligations Prise de décisions conformes à la déonto Le cadre juridique dans la relation avec la
le cadre juridique propre au sys générales du banquier et la logie et à la prévention des risques. clientèle
tème financier déontologie. Respect des obligations liées au contrat et Obligations générales professionnelles
A4.4.T1 Prise en compte du cadre Identifier les risques juridiques à la déontologie. Déontologie du système financier.
juridique spécifique et évolutif. liés à l’activité. Devoir d’information, de conseil et de mise
Analyse de la situation juridique du client. en garde.
A4.4.T2 Exercice de l’activité dans le Analyser la situation juridique Analyse des conditions de validité, des Secret professionnel.
respect du cadre déontologique. du client. clauses et des effets juridiques d’un Lutte contre le blanchiment des capitaux et
A4.4.T3 Mise en œuvre de contrats Inscrire la relation commer contrat. le financement du terrorisme.
commerciaux. ciale dans un cadre Risques juridiques
contractuel. Responsabilité du conseiller et de l’établis
sement.
Contrôle interne et externe des supervi
seurs.
Contrat
Droit des contrats.
Vente à distance et contrat électronique.
Situation juridique du particulier.
Régimes de protection juridique.
Régimes d’unions.
Droit des successions.
Prévention et traitement du surendette
ment.
Activité 5 – Réalisation d’une veille Mobiliser les indicateurs Analyse des effets de l’évolution des Veille économique et sociale
économique et sociale macro-économiques. indicateurs économiques et sociaux Principaux indicateurs économiques
A4.5.T1 Prise en compte de l’envi Analyser la composition et les sur l’activité du secteur financier. impactant le système financier
ronnement économique et social. inégalités de revenus et de Analyse des effets des décisions prises
patrimoine. Indicateurs économiques.
A4.5.T2 Suivi des décisions de l’État par l’État et les institutions sur l’activité Patrimoine et revenus des ménages.
Identifier les principales politi
et des institutions dans l’écono ques économiques et socia du secteur financier. Rôle des politiques économiques et sociales
mie. les et leurs outils. sur l’activité du système financier
Repérer l’impact des politiques Politique budgétaire.
économiques et sociales sur Politique monétaire.
l’activité du secteur.
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ANNEXE IV
RÉFÉRENTIEL D’ÉVALUATION
Brevet de technicien supérieur « banque »
ANNEXE IV a
UNITÉS CONSTITUTIVES DU DIPLÔME
UNITÉS INTITULÉS
U4 Développement commercial
ANNEXE IV b
CONDITIONS D’OBTENTION DES DISPENSES D’ÉPREUVES
Les candidats au BTS « Banque » déjà titulaires d’un BTS d’une autre spécialité ou d’un diplôme de niveau 5 ou
supérieur seront, à leur demande, dispensés de subir les épreuves suivantes : Culture générale et expression et
Langue vivante étrangère.
ANNEXE IV c
RÉGLEMENT D’EXAMEN
Voie scolaire dans Formation Voie scolaire
un établissement public professionnelle dans un établissement privé,
ou privé sous contrat, continue dans CFA ou section d’apprentissage
CFA ou section les établissements non habilité.
d’apprentissage habilité, publics habilités Formation professionnelle continue
Brevet de technicien supérieur « Banque » dans les établissements publics non
formation professionnelle à pratiquer habilités ou en établissement privé,
continue dans intégralement enseignement à distance,
les établissements le CCF pour ce BTS candidats justifiant de 3 ans
publics habilités d’expérience professionnelle
– EF1 Communication en langue UF1 1 Ponctuelle orale 20 min Ponctuelle orale 20 min Ponctuelle orale 20 min
vivante étrangère 2 (***)
– EF2 Certification professionnelle UF2 1 Ponctuelle écrite 2h Ponctuelle écrite 2h Ponctuelle écrite 2h
ANNEXE IV d
DÉFINITION DES ÉPREUVES
Brevet de technicien supérieur « banque »
Epreuve E1 – Culture générale et expression
Coefficient 3
L’unité U1 « culture générale et expression » valide les compétences établies par l’arrêté du 13 juillet 2023
relatif aux objectifs et contenus de l’enseignement de culture générale et expression, aux compétences travaillées et
à la définition de l’épreuve de culture générale et expression du brevet de technicien supérieur (publié au
JORF no 0177 du 2 août 2023).
2. Modalités d’évaluation
L’épreuve est composée de deux sous-épreuves E21 et E22.
L’épreuve permet d’évaluer les compétences du candidat en compréhension orale et écrite ainsi qu’en expression
orale en continu et en interaction.
L’évaluation permet de positionner le candidat par rapport à un niveau B2 du cadre européen commun de
référence pour les langues (CECRL).
Que ce soit en CCF ou sous forme ponctuelle, la commission d’interrogation est composée d’un enseignant ou
un formateur de langue vivante intervenant dans une section de STS tertiaire, de préférence en STS BANQUE.
Coefficient 3
1. Objectifs de l’épreuve
L’objectif de l’épreuve « Accompagnement du parcours du client de services bancaires et financiers » est de
valoriser l’expérience professionnelle du candidat et d’évaluer le degré d’acquisition des compétences
correspondant au bloc « Accompagnement du parcours du client de services bancaires et financiers ».
Ainsi, le candidat doit mettre en œuvre les compétences suivantes :
– accueillir la clientèle ;
– gérer les flux de clients et les priorités ;
– pratiquer l’écoute active ;
– gérer les incivilités et les conflits ;
– actualiser les informations clients ;
– planifier un rendez-vous ;
– réaliser les opérations courantes et/ou suivre leur réalisation par le client ;
– gérer les dysfonctionnements ;
– orienter le client vers l’interlocuteur approprié ;
– mettre en avant les offres complémentaires ;
– contrôler la conformité et la complétude d’un dossier client ;
– traiter les alertes et les situations en fonction de leurs niveaux de risques ;
– proposer une offre de services adaptée aux situations de vulnérabilité et d’illectronisme ;
– former et accompagner le client à l’utilisation des services à distance ;
– mettre en œuvre les mesures de sécurité et de précaution lors de l’utilisation des outils numériques.
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2. Indicateurs d’évaluation
Les indicateurs d’évaluation des compétences sont exprimés pour chaque compétence du bloc « Accompa
gnement du parcours du client de services bancaires et financiers ».
Ces indicateurs permettent d’expliciter les attentes et de préciser le niveau d’exigence requis comme suit :
– application du protocole d’accueil adapté au canal de communication et à la situation du client ;
– utilisation d’un registre de langage conforme aux usages de la profession ;
– adoption d’une posture adaptée à la clientèle bancaire ;
– respect du secret bancaire ;
– maîtrise des applications métier et outils numériques professionnels ;
– fiabilité des Informations clients ;
– prise de RDV qualifiés ;
– réalisation des opérations courantes ;
– argumentation d’un refus d’opération ;
– gestion des dysfonctionnements ;
– prise en charge du client par des interlocuteurs internes et externes ;
– accroches relatives aux offres complémentaires ;
– application des mesures de suivi des situations à risques ;
– application des mesures de lutte contre la fraude ;
– application des mesures de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme ;
– prise en compte des clients vulnérables ou en situation d’illectronisme ;
– application du protocole de sécurité numérique de l’établissement ;
– équipement des clients en services à distance.
3. Modalités d’évaluation
Que ce soit sous forme ponctuelle ou en contrôle en cours de formation, l’épreuve prend appui sur des situations
professionnelles vécues ou observées par le candidat durant sa formation en entreprise ou à défaut sur des activités
construites en établissement de formation. Ces situations sont décrites dans le dossier professionnel support de
l’épreuve ; elles doivent impérativement traduire un équilibre entre activités en distanciel et en présentiel.
Le contrôle de conformité du dossier est effectué avant l’interrogation selon les modalités fixées par les
autorités académiques. La constatation de non-conformité du dossier entraîne l’attribution de la mention « NV »
(non valide) à l’épreuve correspondante. Le candidat, même présent à la date de l’épreuve, ne peut être interrogé.
En conséquence, le diplôme ne peut lui être délivré.
La non-conformité du dossier peut être prononcée dès lors qu’une des situations suivantes est constatée :
– absence de dépôt du dossier ;
– dépôt du dossier au-delà de la date fixée par l’autorité académique ;
– durée de stage ou d’expérience professionnelle inférieure à celle requise par la réglementation de l’examen ;
– absence d’attestation de stage ou de certificat de travail ;
– documents constituant le dossier non visés ou non signés par les personnes habilitées à cet effet.
L’épreuve repose sur un dossier professionnel élaboré par le candidat au cours de sa formation.
Le dossier professionnel est composé :
– d’une fiche récapitulative des situations professionnelles et des compétences évaluées ;
– de quatre situations professionnelles, correspondant aux quatre activités du référentiel des activités
professionnelles : accompagnement du parcours client, orientation du client vers le bon interlocuteur interne
ou externe, traitement des alertes au quotidien et accompagnement des usages numériques.
Chaque situation professionnelle est caractérisée par le cadre professionnel de référence et la description de la
situation. Les quatre situations professionnelles couvrent les compétences associées au bloc « Accompagnement du
parcours du client de services bancaires et financiers ». Ces situations sont prioritairement vécues ou observées au
sein d’une entreprise, ou à défaut, construites en établissement de formation. Elles doivent impérativement
traduire un équilibre entre activités en distanciel et en présentiel.
Le dossier professionnel constitue une production originale et personnelle soumise à la réglementation de la
fraude aux examens ; tout plagiat sera considéré comme une situation de fraude.
Les modèles de fiche récapitulative et de description de la situation professionnelle sont proposés dans la
circulaire nationale d’organisation de l’examen.
Le candidat transmet son dossier aux autorités académiques dont il relève conformément aux consignes qui lui
sont transmises afin que le contrôle de conformité soit effectué.
La circulaire nationale d’organisation de l’examen précise les conditions du déroulement de cette épreuve.
La commission d’évaluation est composée de deux membres :
– d’un professeur chargé des enseignements du bloc de compétences « Accompagnement du parcours du client
de services bancaires et financiers » ou, à défaut, d’un professeur en charge d’un autre enseignement
professionnel ;
– d’un professionnel ou, à défaut, d’un professeur en charge des enseignements professionnels.
L’épreuve se déroule en deux parties :
– première partie (10 minutes maximum) : le candidat présente la synthèse des quatre situations de son dossier
professionnel, à travers les compétences mobilisées ;
– seconde partie (20 minutes) : la commission s’entretient avec le candidat afin d’apprécier le degré de maîtrise
des compétences relevant du bloc « Accompagnement du parcours du client de services bancaires et
financiers ».
L’évaluation donne lieu à une note sur 20.
A l’appui de l’épreuve, le candidat peut produire un support numérique de présentation, sous sa responsabilité en
termes d’organisation matérielle et d’accès à ses ressources, et tous les documents complémentaires qu’il juge
pertinents pour illustrer sa présentation.
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1. Objectifs de l’épreuve
L’objectif de l’épreuve « Développement commercial » est de valoriser l’expérience professionnelle du candidat
et d’évaluer le degré d’acquisition les compétences correspondant au bloc « Développement commercial ».
Ainsi, le candidat doit mettre en œuvre les compétences suivantes :
– analyser les écarts entre objectifs commerciaux et réalisations ;
– proposer des actions correctrices ;
– décliner au niveau local les actions commerciales définies par l’établissement ;
– traiter les opportunités commerciales générées par le système d’information ;
– identifier les risques et opportunités de la situation du client et du fonctionnement du compte ;
– se fixer des objectifs et identifier les marges de négociation,
– préparer des outils d’aide à la vente ;
– installer une relation de confiance ;
– conduire un entretien de découverte du client ;
– caractériser et hiérarchiser les besoins ;
– négocier une solution personnalisée conforme à la réglementation ;
– conclure la vente ;
– prendre congé et s’assurer de la satisfaction du client ;
– rendre compte de la relation client ;
– assurer le suivi de la mise en œuvre d’un contrat ;
– traiter les demandes d’informations complémentaires de la clientèle et les réclamations ;
– saisir les futures opportunités commerciales ;
– évaluer la satisfaction du client.
2. Indicateurs d’évaluation
Les indicateurs d’évaluation des compétences sont exprimés pour chaque compétence du bloc « Développement
commercial ».
Ces indicateurs permettent d’expliciter les attentes et de préciser le niveau d’exigence requis comme suit :
– sélection et traitement des informations commerciales pertinentes ;
– actions favorisant le développement du portefeuille client ;
– fixation d’objectifs cohérents avec la situation du client, le fonctionnement du compte et les préconisations de
l’établissement ;
– réalisation d’une fiche de préparation d’entretien adaptée à la situation et à l’univers de produits et services ;
– prise de contact conforme aux pratiques de l’établissement ;
– conduite d’un plan de découverte complet ;
– reformulation et synthèse hiérarchisée des besoins ;
– argumentation commerciale personnalisée adaptée à l’univers de produits et services ;
– concrétisation de la vente dans le respect de la réglementation et de la déontologie ;
– mesure de la satisfaction du client, incitation au parrainage et aux recommandations ;
– réalisation de comptes rendus conformes aux exigences de l’établissement ;
– respect des conditions de mise en œuvre d’un contrat ;
– réponse aux demandes de la clientèle dans les délais ;
– élaboration d’un plan de relances personnalisées ;
– administration de questionnaires de satisfaction client ;
– mesure de la satisfaction du client, incitation au parrainage et aux recommandations.
3. Modalités d’évaluation
Que ce soit sous forme ponctuelle ou en contrôle en cours de formation, l’épreuve prend appui sur des situations
professionnelles vécues ou observées par le candidat durant sa formation ou à défaut sur des activités construites en
établissement de formation. Ces situations sont décrites dans le dossier professionnel support de l’épreuve.
L’épreuve repose sur un dossier professionnel élaboré par le candidat au cours de sa formation. Ce dossier est
composé de cinq fiches :
– une fiche relative à la mise en œuvre d’une action commerciale ;
– une fiche explicitant une situation de vente-conseil pour chacun des quatre univers de besoins suivants :
banque au quotidien ; crédit ; placement ; assurance.
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Le modèle de ces fiches sera précisé dans la circulaire nationale d’organisation de l’examen.
Le dossier professionnel constitue une production originale et personnelle soumise à la réglementation de la
fraude aux examens ; tout plagiat sera considéré comme une situation de fraude.
Que l’évaluation soit en cours de formation ou ponctuelle, le contrôle de conformité du dossier est effectué
avant l’interrogation selon les modalités fixées par les autorités académiques. La constatation de non-conformité du
dossier entraîne l’attribution de la mention
« NV » (non valide) à l’épreuve correspondante. Le candidat, même présent à la date de l’épreuve, ne peut être
interrogé. En conséquence, le diplôme ne peut lui être délivré.
La non-conformité du dossier peut être prononcée dès lors qu’une des situations suivantes est constatée :
– absence de dépôt du dossier ;
– dépôt du dossier au-delà de la date fixée par l’autorité académique ;
– durée de stage ou d’expérience professionnelle inférieure à celle requise par la réglementation de l’examen ;
– absence d’attestation de stage ou de certificat de travail ;
– documents constituant le dossier non visés ou non signés par les personnes habilitées à cet effet.
Le jury final pourra disposer de tous les documents utilisés lors de l’évaluation ainsi que les productions
élaborées par le candidat pour cette occasion. Ces documents seront tenus à la disposition du jury et des autorités
académiques pour la session considérée et jusqu’à la session suivante. Après examen des documents fournis le cas
échéant, le jury formule toute remarque et observation qu’il juge utiles et arrête la note définitive.
1. Objectifs de l’épreuve
L’objectif de l’épreuve « Conseil et expertise en solutions bancaires et financières » est de valoriser l’expérience
professionnelle du candidat et d’évaluer le degré d’acquisition des compétences correspondant au bloc « Conseil et
expertise en solutions bancaires et financières ».
Ainsi, le candidat doit mobiliser les compétences suivantes :
– analyser les opportunités et les risques liés à la situation du client ;
– assurer l’ouverture du compte adapté ;
– gérer et clôturer un compte ;
– identifier des produits et services liés au compte ;
– adapter les différents moyens de paiement à la situation du client ;
– prévenir les risques liés aux moyens de paiement ;
– participer au traitement des incidents liés aux moyens de paiement ;
– définir le profil d’investisseur ;
– caractériser les différents produits d’épargne et les principaux instruments financiers et leur compte support ;
– élaborer une solution d’épargne adaptée à la situation du client et à ses motivations ;
– caractériser les produits d’assurance de personnes et de prévoyance ;
– caractériser les produits d’assurance de dommages et de responsabilité ;
– élaborer une solution d’assurance adaptée à la situation personnelle et patrimoniale du client ;
– caractériser les différents types de crédits ;
– élaborer une solution de financement adaptée au projet du client et à sa situation personnelle et patrimoniale ;
– mettre en place des assurances et des garanties appropriées ;
– suivre le crédit jusqu’à son remboursement.
2. Indicateurs d’évaluation
Les indicateurs d’évaluation des compétences sont exprimés pour chaque compétence du bloc « Conseil et
expertise en solutions bancaires et financières ».
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Ces indicateurs permettent d’expliciter les attentes et de préciser le niveau d’exigence requis comme suit :
– exploitation d’informations pertinentes sur la situation du client ;
– ouverture de comptes adaptés à la situation du client ;
– suivi du fonctionnement du compte ;
– mise en place des produits et services liés au compte ;
– respect de la réglementation applicable aux comptes ;
– adéquation entre le moyen de paiement et la situation du client ;
– prévention des risques liés aux moyens de paiement ;
– gestion des incidents liés à l’utilisation des moyens de paiement ;
– mobilisation des instruments d’épargne bancaire et financière en fonction du profil du client ;
– application des règles fiscales ;
– prise en compte des éléments constitutifs du contrat d’assurance ;
– identification des produits d’assurance adaptés à la situation du client ;
– adaptation du mode de financement aux besoins du client ;
– évaluation globale du risque client ;
– prise en compte des éléments constitutifs du financement des assurances et des garanties appropriées ;
– suivi des étapes du crédit et des alertes.
3. Modalités d’évaluation
L’épreuve, d’une durée de 4 heures, se déroule sous forme ponctuelle écrite pour tous les candidats.
L’épreuve revêt la forme d’une étude de cas portant sur des situations professionnelles et prenant appui sur un
dossier documentaire accompagné d’un questionnement.
L’épreuve est corrigée par un professeur ayant en charge l’enseignement du bloc « Conseil et expertise en
solutions bancaires et financières » ou, à défaut, un professeur en charge d’un autre enseignement professionnel.
1. Objectifs de l’épreuve
L’objectif de l’épreuve « Veille organisationnelle, juridique, économique et sectorielle » est de valoriser
l’expérience professionnelle du candidat et d’évaluer le degré d’acquisition les compétences correspondant au bloc
« Veille organisationnelle, juridique, économique et sectorielle ».
Ainsi, le candidat doit mobiliser les compétences suivantes :
– mettre en évidence l’organisation et le rôle du système financier dans l’activité économique ;
– mobiliser la réglementation prudentielle ;
– prendre en compte les risques du système financier ;
– appréhender les domaines d’activité des établissements financiers ;
– identifier les conséquences des évolutions technologiques sur les acteurs du marché ;
– analyser l’environnement ;
– analyser les différentes stratégies des acteurs du marché ;
– appliquer les mesures de cybersécurité ;
– inscrire son activité dans une démarche RSE ;
– caractériser les structures juridiques des organisations ;
– travailler en équipe dans l’établissement et se positionner au sein d’un écosystème d’acteurs ;
– analyser les indicateurs financiers et non financiers de l’établissement ;
– caractériser les différents styles de management et de gouvernance ;
– repérer les composantes de la politique sociale de l’établissement ;
– inscrire son activité dans une démarche qualité ;
– appliquer les obligations générales du banquier et la déontologie ;
– identifier les risques juridiques liés à l’activité ;
– analyser la situation juridique du client ;
– inscrire la relation commerciale dans un cadre contractuel ;
– mobiliser les indicateurs macro-économiques ;
– analyser la composition et les inégalités de revenus et de patrimoine ;
– identifier les principales politiques économiques et sociales et leurs outils ;
– repérer l’impact des politiques économiques et sociales sur l’activité du secteur.
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2. Indicateurs d’évaluation
Les indicateurs d’évaluation des compétences sont exprimés pour chaque compétence du bloc « Veille
organisationnelle, juridique, économique et sectorielle ».
Ces indicateurs permettent d’expliciter les attentes et de préciser le niveau d’exigence requis comme suit :
– prise en compte de l’organisation et du rôle du système financier dans l’exercice des missions ;
– prise en compte de la réglementation prudentielle ;
– contribution à la politique de prévention des risques ;
– distinction des différentes catégories d’établissements ;
– prise en compte des évolutions technologiques du secteur ;
– réalisation d’un diagnostic de l’environnement ;
– justification des choix stratégiques des acteurs du marché ;
– respect du protocole de cybersécurité ;
– prise en compte de la politique sociétale et environnementale du l’établissement ;
– distinction des différents statuts juridiques ;
– identification de la place des acteurs de l’établissement dans le processus de décision ;
– analyse des indicateurs financiers et non financiers de l’établissement ;
– prise de décisions conformes à la déontologie et à la prévention des risques ;
– respect des obligations liées au contrat et à la déontologie ;
– analyse de la situation juridique du client ;
– analyse des conditions de validité, des clauses et des effets juridiques d’un contrat ;
– analyse des effets de l’évolution des indicateurs économiques et sociaux sur l’activité du secteur financier ;
– analyse des effets des décisions prises par l’Etat et les institutions sur l’activité du secteur financier.
3. Modalités d’évaluation
L’épreuve, d’une durée de 4 heures, se déroule sous forme ponctuelle écrite pour tous les candidats.
Le sujet remis au candidat se présente sous la forme d’un dossier documentaire prenant appui sur une ou
plusieurs situations professionnelles caractéristiques de l’environnement et du fonctionnement du système financier
d’une part, et du contexte d’exercice d’un conseiller de clientèle d’autre part, accompagné d’un questionnement.
L’épreuve est corrigée par un professeur ayant en charge l’enseignement du bloc « Veille organisationnelle,
juridique, économique et sectorielle » ou, à défaut, d’un professeur en charge d’un autre enseignement
professionnel.
1. Objectifs de l’épreuve
L’épreuve est de même nature que pour la langue vivante étrangère 1.
La langue vivante choisie au titre de l’épreuve facultative EF1 est obligatoirement différente de celle choisie au
titre de l’épreuve obligatoire.
L’entretien prend appui sur des documents professionnels et permet d’apprécier l’aptitude du candidat à :
– dialoguer dans une perspective professionnelle ;
– exploiter des sources d’information professionnelle dans la langue considérée ;
– analyser une situation compte tenu du contexte linguistique et socioculturel du pays considéré.
2. Modalités d’évaluation
L’épreuve, d’une durée de 20 minutes, précédée de 20 minutes de préparation, se déroule sous forme ponctuelle
orale pour tous les candidats.
1. Objectifs de l’épreuve
Cette épreuve vise à vérifier que le candidat au diplôme du BTS Banque possède les connaissances nécessaires
pour la commercialisation des instruments financiers dans le cadre de son activité de conseiller de clientèle au sein
d’un établissement bancaire ou financier.
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Ce niveau de connaissance est requis par la règlementation de l’Autorité des marchés financiers (AMF) pour
pouvoir exercer la fonction de conseiller de clientèle sur le marché des particuliers, dans le respect des obligations
d’information et de transparence vis-à-vis des clients.
2. Modalités d’évaluation
L’épreuve, d’une durée de 2 heures, se déroule sous forme ponctuelle écrite pour tous les candidats. L’épreuve
prend la forme d’un questionnaire à choix multiple et à réponse unique.
Les différentes questions posées portent sur les champs de connaissances qu’il est nécessaire de maitriser, en
application de la règlementation, pour exercer la fonction de conseiller de clientèle au sein d’un établissement
bancaire ou financier.
Le nombre total de questions, ainsi que leur répartition dans les différents domaines de connaissances, est fixé en
accord avec l’Autorité des marchés financiers (AMF). Ces éléments sont portés à la connaissance des candidats au
moyen de la circulaire nationale d’organisation de l’examen.
Barème d’évaluation et notation :
– la réussite du candidat à cette épreuve suppose un taux de réponses exactes supérieur ou égal à un pourcentage
défini par l’autorité responsable de la définition de l’examen, en référence avec la règlementation en vigueur
au moment de l’examen ;
– la note est échelonnée de 0 à 20. Elle est obtenue en appliquant une formule de conversion au taux de réussite
aux différentes questions.
La réussite à cette épreuve fait l’objet d’une attestation spécifique délivrée par les autorités académiques,
indépendamment du diplôme.
1. Objectifs
Cette épreuve facultative vise à identifier les compétences, connaissances et aptitudes acquises par le candidat
dans l’exercice des activités mentionnées à l’article L. 611-9 du Code de l’éducation et qui relèvent de celles
prévues par le référentiel d’évaluation de la spécialité du diplôme de brevet de technicien supérieur pour laquelle le
candidat demande sa reconnaissance « engagement étudiant ». Cela peut concerner :
– l’approfondissement des compétences évaluées à l’épreuve obligatoire E3 « Accompagnement du parcours du
client de services bancaires et financiers » ;
– le développement de compétences spécifiques à un domaine ou à une activité professionnelle particulière en
lien avec le référentiel du diplôme.
2. Critères d’évaluation
Les critères d’évaluation sont :
– l’appropriation des compétences liées au domaine professionnel ;
– la capacité à mettre en œuvre les méthodes et les outils ;
– la qualité de l’analyse ;
– la qualité de la communication.
3. Modalités d’évaluation
3.1. Contrôle en cours de formation
L’épreuve, orale et d’une durée de 20 minutes, prend la forme d’un exposé (10 minutes) puis d’un entretien avec
la commission d’évaluation (10 minutes).
Cette épreuve prend appui sur une fiche d’engagement étudiant, servant de support d’évaluation au jury,
présentant une ou plusieurs activités conduites par le candidat. En l’absence de cette fiche, l’épreuve ne peut pas se
dérouler. Les modalités de mise en œuvre (procédure, calendrier, etc.) seront précisées dans la circulaire nationale
d’organisation du BTS.
L’exposé doit intégrer :
– la présentation du contexte ;
– la description et l’analyse de l’activité ou des activités ;
– la présentation des démarches et des outils ;
– le bilan de l’activité ou des activités ;
– le bilan des compétences acquises.
La composition de la commission d’évaluation est la même que celle de l’épreuve E3 « Accompagnement du
parcours du client de services bancaires et financiers ».
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ANNEXE V
ORGANISATION DE LA FORMATION
Brevet de technicien supérieur « banque »
ANNEXE V a
GRILLE HORAIRE ANNUELLE DE LA FORMATION
Le volume horaire de référence est identique entre la première année et la deuxième année de formation.
Horaire hebdomadaire Horaire global
annuel/élève
Enseignements facultatifs : 2 2 56
– Certification professionnelle 2 2 56
– Communication en langue vivante étrangère 2
ANNEXE V b
ATELIERS DE PROFESSIONNALISATION
Brevet de technicien supérieur « banque »
1. Objectifs
Les ateliers de professionnalisation relèvent d’un projet pédagogique transversal élaboré par l’équipe
pédagogique, impliquant tous les enseignants, visant à travailler les compétences, professionnelles et transversales,
des différents blocs. Au vu de ces objectifs, les ateliers de professionnalisation ne peuvent être transformés en
journées en entreprise, en prolongement du stage en milieu professionnel notamment pour les étudiants dans la voie
scolaire.
Les ateliers de professionnalisation prévoient notamment la mise en œuvre de scénarios pédagogiques
permettant l’acquisition des compétences du référentiel et la préparation à différentes certifications.
Plus précisément, ces ateliers prennent appui sur les situations professionnelles transversales caractéristiques du
métier et peuvent porter sur l’acquisition :
– de compétences en matière de communication écrite et orale en langue française et en langue vivante
étrangère ;
– de compétences relationnelles liées à l’utilisation de canaux de communication spécifiques à certains
contextes professionnels (téléphonie mobile ou fixe, Internet, communication multicanale) ;
– de compétences techniques relatives aux instructions émanant des instances de régulation et nécessitant la
mobilisation de connaissances spécifiques ;
– de compétences particulières à certains contextes professionnels nécessitant un approfondissement ou des
compléments par rapport aux exigences du référentiel de certification. Elles peuvent porter, par exemple, sur
la connaissance de produits bancaires et financiers spécifiques, la manipulation de progiciels professionnels et
d’applications métier, la mise en œuvre de techniques particulières (banque directe), l’utilisation d’une langue
étrangère à des fins professionnelles dans certaines zones frontalières, etc.
Dans chacun de ces cas, les ateliers visent à développer le professionnalisme des étudiants et à améliorer leurs
possibilités d’insertion professionnelle ou de poursuite d’études.
2. Modalités
L’organisation des ateliers doit permettre la mise en œuvre d’activités soit réalisées en groupe, soit réalisées
individuellement. Cette organisation relève de l’initiative de l’équipe pédagogique de la section, en fonction du
projet de professionnalisation et dans le cadre des scénarios qu’elle a construits.
Ces ateliers doivent se dérouler dans des conditions matérielles correspondant au contexte professionnel
d’exercice des activités. A cet égard, il est important que les établissements de formation puissent mettre à la
disposition des étudiants des espaces dédiés, munis d’équipements matériels et numériques professionnels adaptés
et d’applications métier ainsi que d’outils de communication interne et externe permettant de reproduire ce
contexte.
ANNEXE V c
STAGE EN MILIEU PROFESSIONNEL
Brevet de technicien supérieur « banque »
1. Objectifs du stage
Le stage en milieu professionnel est obligatoire pour les candidats au brevet de technicien supérieur « banque ».
Il est réalisé dans un ou plusieurs établissements du secteur financier afin de disposer d’une expérience des
pratiques professionnelles correspondant aux compétences décrites dans le référentiel. Le référentiel des activités
professionnelles décrit les types d’entreprises et d’établissements où exerce le titulaire du diplôme.
Ces périodes permettent de connaître les produits et services financiers des établissements, de connaître la
réglementation applicable au secteur, de découvrir les relations avec les clients, d’acquérir des qualités
relationnelles, des attitudes, des comportements professionnels et de développer le sens des responsabilités par
l’adaptation aux réalités et aux exigences de l’emploi.
En cela, il repose sur une relation pédagogique entre trois partenaires :
– la structure d’accueil en stage, qui confie des activités professionnelles correspondant au référentiel et au
niveau d’exigence du diplôme et qui contribue à l’évaluation de certaines compétences au travers d’échanges
avec l’équipe pédagogique ;
– l’étudiant, qui investit sa formation en stage sur des objectifs explicites et qui rend compte de sa progression
sur ces périodes, notamment au travers de certains documents d’examen ;
– l’équipe enseignante du BTS, qui a en charge le suivi de l’étudiant dans la recherche, puis la réalisation du
stage, et articule les différentes modalités d’appropriation des compétences visées par le référentiel.
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2. Organisation
ANNEXE VI
TABLEAU DE CORRESPONDANCE ENTRE LES ÉPREUVES ET UNITÉS
DU BTS « BANQUE - CONSEILLER DE CLIENTÈLE » ET CELLES DU BTS « BANQUE »
Brevet de technicien supérieur « Banque - Conseiller de clientèle » Brevet de technicien supérieur « Banque » (créé par le présent arrêté)
(créé par l’arrêté du 26 février 2014)
E4 – Développement et suivi de l’activité commerciale U4 U41 U42 E5 – Conseil et expertise en solutions bancaires et U5
– E41 : Étude de cas financières
– E42 : Analyse de la situation commerciale
EF1 – Langue vivante 2 UF1 EF1 – Communication en langue vivante étrangère 2 UF1
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXES
BTS « PROFESSIONS IMMOBILIÈRES »
Sommaire
ANNEXE I. – Présentation synthétique du référentiel du diplôme
ANNEXE II. – Référentiel des activités professionnelles
ANNEXE III. – Référentiel de compétences
ANNEXE IV. – Référentiel d’évaluation
Annexe IV a. – Unités constitutives du diplôme
Annexe IV b. – Dispenses d’unités
Annexe IV c. – Règlement d’examen
Annexe IV d. – Définition des épreuves
ANNEXE V. – Organisation de la formation
Annexe V a. – Grille horaire de la formation
Annexe V b. – Stage en milieu professionnel
ANNEXE VI. – Tableaux de correspondance entre épreuves ou unités de l’ancien diplôme et du nouveau
diplôme
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 110
ANNEXE I
PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE DU RÉFÉRENTIEL DU DIPLÔME
Tableau de synthèse – Activités – Compétences – Unités
ACTIVITÉS BLOCS DE COMPÉTENCES UNITÉS
Pôle d’activités 1
Bloc de compétences 1
Conduite du projet immobilier
du client en vente et/ou location Conduite du projet immobilier du client en vente et/ou location
Bloc de compétences 4
Construction d’une professionnalité dans l’immobilier
Bloc de compétences 5
Culture générale et expression
Bloc de compétences 6
Communication en langue vivante étrangère anglaise (écrit)
U2.1
Compréhension de l’écrit
Niveau B2 du CECRL pour les activités langagières suivantes : Compréhension de et expression écrite
documents écrits
Production et interactions écrites
Bloc de compétences 7
Communication en langue vivante étrangère anglaise (oral)
U2.2
Production orale
Niveau B2 du CECRL pour les activités langagières suivantes : Production orale en en continu et interaction
continu
Interaction orale
Bloc de compétences 8
Environnement juridique et économique des activités immobilières
U3
Appréhender l’environnement des activités du secteur de l’immobilier et leurs enjeux Environnement juridique
Identifier le cadre juridique des activités immobilières et économique
Caractériser le marché de l’immobilier des activités immobilières
Sécuriser au plan juridique les opérations immobilières
Contribuer au développement d’une activité immobilière
Bloc facultatif
Communication en Langue vivante étrangère 2
UF1
Compétences de niveau B1 du CECRL : S’exprimer oralement en continu Interagir en
langue étrangère
Comprendre un document écrit rédigé en langue étrangère
Bloc facultatif
Engagement étudiant
ANNEXE II
1. Présentation du diplôme
sur immeubles et fonds de commerce et celles relatives à la gestion d’un patrimoine immobilier individuel ou
collectif :
– l’activité professionnelle liée à la transaction sur immeubles et fonds de commerce consiste à assurer un rôle
d’intermédiaire en matière de recherche, d’achat, de vente et de location de biens immobiliers bâtis ou non
bâtis pour le compte d’un tiers avec lequel un mandat a été conclu ;
– l’activité professionnelle liée à la gestion locative consiste à administrer, à entretenir, à gérer, à valoriser un
patrimoine immobilier pour une période donnée et pour le compte d’un tiers avec lequel un mandat a été
conclu ;
– l’activité professionnelle liée à l’administration des copropriétés s’exerce dans le cadre d’un mandat de
syndic. Ce dernier prévoit de gérer les parties communes et de veiller à l’entretien et à la valorisation de
l’immeuble, dans le respect de la réglementation en la matière, et notamment la loi no 65-557 du
10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis.
Le titulaire du BTS « professions immobilières » peut aussi s’engager professionnellement dans des activités
périphériques et/ou complémentaires au domaine de l’immobilier : le secteur de l’urbanisme et de l’aménagement
du territoire, le secteur du diagnostic immobilier, le secteur bancaire, le secteur des assurances, etc.
Emplois concernés :
Le titulaire du BTS « professions immobilières » s’insère principalement soit dans une agence immobilière, soit
dans un cabinet d’administration de biens ou de gestion de copropriétés, que ces établissements soient
indépendants ou membres d’un réseau.
Les emplois occupés reprennent les trois grandes activités :
En location :
– le négociateur ou la négociatrice, le conseiller ou la conseillère est en charge de la prospection des clients et de
la commercialisation des biens. Il ou elle accompagne juridiquement les propriétaires bailleurs et les locataires
jusqu’à la signature du bail et l’entrée dans les lieux. Il ou elle est particulièrement attentif(ve) aux questions
d’accessibilité pour les personnes porteuses de handicap ;
– le gestionnaire ou la gestionnaire locatif(ve) gère le bien pour le compte du propriétaire, selon les termes du
mandat de gestion signé, sur les plans juridique, administratif et comptable. Il ou elle rend compte
régulièrement de sa gestion au propriétaire bailleur. Il ou elle conseille le propriétaire sur l’entretien et la
conservation du bien dans une optique patrimoniale et/ou de développement durable et d’adaptation au
changement climatique.
En gestion de copropriété :
– l’assistant ou l’assistante de copropriété prend en charge le suivi quotidien et administratif de l’immeuble ;
– le ou la gestionnaire principal(e) est un acteur de terrain. Il ou elle est directement en contact avec les
copropriétaires et l’ensemble des prestataires et partenaires. Il ou elle tient les assemblées générales, prend en
charge les sinistres, suit les travaux. Il ou elle veille à mettre en place une communication accessible à tous les
publics.
Une attention particulière est portée à l’accessibilité et à l’aménagement des locaux d’accueil pour les personnes
porteuses de handicap. De même, le professionnel veille à conseiller le syndicat des copropriétaires conformément
aux dispositions favorisant le développement durable et l’environnement.
En vente :
Le négociateur ou la négociatrice, le conseiller ou la conseillère est en charge de la prospection des clients, des
estimations, de la signature des mandats, de la commercialisation des biens et de la signature des avant-contrats. Il
ou elle est attentif(ve) aux attentes particulières du client en lui apportant des conseils pertinents.
L’accompagnement du client se décline jusqu’à l’acte définitif.
Dans le cadre de cette relation avec le client, le titulaire du diplôme est attentif aux personnes porteuses de
handicap pour la proposition de biens adaptés, pour les modalités de réalisation des visites.
Pour ces trois activités, la conduite d’une veille concurrentielle et informationnelle régulière s’avère
nécessaire.
Les évolutions possibles :
Le BTS « professions immobilières » permet de remplir la condition d’aptitude professionnelle pour l’obtention
de la carte professionnelle nécessaire pour exercer en responsabilité les métiers soumis à la loi no 70-9 du
2 janvier 1970 dite « Loi Hoguet » dans une agence immobilière, un cabinet d’administration de biens ou de syndic
de copropriété.
Le titulaire du diplôme peut envisager de nombreuses perspectives d’évolution après trois à cinq ans
d’expérience :
– en transaction vente ou location, le conseiller ou la conseillère/négociateur ou négociatrice peut évoluer vers
un poste de responsable de service, et plus tard une direction de bureau ou d’agence. En gestion locative ou de
copropriété, l’assistant ou l’assistante peut prétendre à devenir gestionnaire ou gestionnaire principal(e) puis
directeur ou directrice de copropriété ;
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– le titulaire du BTS, ayant la possibilité de d’obtenir la carte professionnelle, peut développer un projet
entrepreneurial.
Les types d’entreprises et d’établissements où se situent ces emplois :
Les agences immobilières :
Il est possible de distinguer trois types d’agences immobilières :
– les agences indépendantes, non rattachées à un réseau sous enseigne ;
– les réseaux sous enseigne ;
– les mandataires immobiliers.
Les cabinets d’administration de biens, dans la gestion locative de biens ou la gestion de copropriétés :
On distingue :
– les administrateurs indépendants ;
– les réseaux de gestionnaires immobiliers ;
– les plateformes de gestion immobilières.
Les organismes du logement social :
L’Union sociale pour l’habitat regroupe la majorité des organismes de logement social, et dénombre
720 organismes HLM (données 2023).
Par ailleurs, la digitalisation des usages a fait apparaître de nouveaux acteurs, dont les plateformes et les acteurs
issus des nouvelles technologies, aujourd’hui désignées comme entreprises de « property technology ».
Place dans l’organisation de l’entreprise, niveau d’autonomie et de responsabilité :
En première insertion professionnelle, la place du titulaire du BTS « professions immobilières » varie en
fonction du métier exercé et de la structure au sein de laquelle il évolue.
Pour les structures dont l’activité principale entre dans le champ d’application de la loi Hoguet :
– s’agissant des métiers de la gestion locative ou de gestion de copropriétés, il exerce les fonctions d’assistant de
gestionnaire ou d’assistante de gestionnaire locatif ou de gestionnaire de copropriétés ou de gestionnaire
« junior ». A ce titre, il ou elle accomplit en autonomie un certain nombre de tâches sous la supervision du
titulaire de la carte professionnelle ;
– s’agissant des métiers de la transaction immobilière, les missions confiées peuvent rapidement être accomplies
en autonomie mais toujours sous la supervision du titulaire de la carte professionnelle.
Pour les autres structures, la place dans l’organisation et le degré d’autonomie varient selon le métier, la taille de
la structure et les pratiques managériales. Ainsi, à titre d’illustration au sein d’une entreprise de promotion
immobilière, le métier de prospecteur ou de prospectrice foncier peut présenter un degré d’autonomie élevé, alors
qu’au sein d’un organisme de logement social les activités de gestion ou de transaction locative s’inscrivent dans
un encadrement précis des missions confiées au collaborateur.
Conditions générales d’exercice :
Les professions immobilières sont marquées par une dimension juridique forte. La réglementation évolue
constamment et nécessite que le professionnel mette en œuvre une veille juridique permanente et systématique
dans toutes les activités du secteur.
Un cadre juridique spécifique :
Les professions immobilières préparées et visées par le titulaire du BTS sont régies par la loi no 70-9 du
2 janvier 1970, dite « loi Hoguet », et son décret d’application no 72-678 du 20 juillet 1972.
Les dispositions de cette loi, en effet, s’appliquent aux personnes physiques ou morales qui, d’une manière
habituelle, se livrent ou prêtent leur concours, même à titre accessoire, aux opérations portant sur les biens d’autrui
et relatives à :
« 1o L’achat, la vente, la recherche, l’échange, la location ou sous-location, saisonnière ou non, en nu ou en
meublé d’immeubles bâtis ou non bâtis ;
2o L’achat, la vente ou la location-gérance de fonds de commerce ; […]
4o La souscription, l’achat, la vente d’actions ou de parts de sociétés immobilières ou de sociétés d’habitat
participatif donnant vocation à une attribution de locaux en jouissance ou en propriété ; […]
6o La gestion immobilière ;
7o A l’exclusion des publications par voie de presse, la vente de listes ou de fichiers relatifs à l’achat, la vente, la
location ou sous-location en nu ou en meublé d’immeubles bâtis ou non bâtis, ou à la vente de fonds de commerce ;
8o La conclusion de tout contrat de jouissance d’immeuble à temps partagé ;
9o L’exercice des fonctions de syndic de copropriété dans le cadre de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le
statut de la copropriété des immeubles bâtis. »
Ces professions immobilières peuvent être exercées soit à titre individuel, soit dans le cadre d’une structure
sociétaire, voire même par le biais d’une association régie par la loi du 1er juillet 1901. En revanche, elles ne
peuvent pas être exercées dans le cadre du statut de micro-entrepreneur.
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– expérience d’achat, de location ou de gestion de copropriété : l’enjeu est de créer une relation dédiée à la
compréhension et à la satisfaction du client (plus informé, il attend plus d’expertise), afin de créer de la
valeur ;
– expérience post-achat, post-location ou de gestion de copropriété : l’enjeu est de transformer le client en
ambassadeur et de disposer d’un fichier client (importance de la gestion de la relation client et de la data).
Délimitation et pondération des activités :
L’ensemble des activités exercées par le futur titulaire du diplôme prend nécessairement appui sur des
connaissances juridiques, de gestion et une culture relative aux bâtiments. Les méthodologies d’analyses et de
résolution de problèmes ainsi que la capacité à communiquer sont également mobilisées.
L’activité du futur titulaire du diplôme s’exerce dans le cadre des trois pôles d’activité suivants :
– conduite du projet immobilier du client en vente et/ou location ;
– administration des copropriétés et de l’habitat social ;
– conseil en gestion du bâti dans le contexte de changement climatique.
– Connaissance du marché
Contexte numérique :
– Bases de données, logiciels métiers
– Signature électronique, échanges de données informatisées (EDI)
– Outils de visites virtuelles, logiciels de retouche d’images
– Outils de communication, réseaux sociaux
– Progiciel de Gestion Intégré (PGI)
– Messageries interne et externe
Niveau d’autonomie En statut salarié, la supervision du directeur d’agence s’exerce pour l’ensemble des activités
Pour les agents commerciaux sous mandat d’une agence, la signature des avant- contrats demeure de la responsabilité de l’agence
Niveau d’autonomie Comme salarié, toute activité s’opère sous la responsabilité de la personne disposant
de la carte professionnelle.
Résultats attendus – Identification des impacts du changement climatique et de la transition énergétique sur l’usage d’un bâtiment au regard de ses
caractéristiques.
– Conseil au(x) client(s)en matière de choix énergétique
– Identification, priorisation et planification des travaux à réaliser
– Accompagnement du client dans la mise en œuvre et le suivi des travaux
– Identification des besoins du client en matière d’assurance
– Mise en œuvre de la couverture assurancielle en cas de sinistre
– Participation au montage d’opérations immobilières (prospection foncière, appréciation de l’équilibre d’une opération)
– Présentation et communication d’un projet de promotion immobilière
– Suivi d’une vente en l’état futur d’achèvement
– Application de la règlementation en matière d’urbanisme pour un bien immeuble au sein d’une zone géographique
– Compréhension et analyse de la politique d’urbanisme d’un territoire
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ANNEXE III
RÉFÉRENTIEL DE COMPÉTENCES
Bloc de compétences 1. – Conduite du projet immobilier du client en vente et/ou location
Activités et tâches Compétences Indicateurs d’évaluation de la compétence
Activité 1 – Prospection et négociation du Développer le portefeuille de Planification des actions de prospection en fonction des caractéristiques
mandat l’agence du marché
– A1.1.1 - Identification du projet du client Conseiller le client dans ses choix et Conception de documents de prospection adaptés
– A1.1.2 - Mise en œuvre d’une stratégie de ses démarches La rédaction d’un message commercial adapté Analyse pertinente du
marché
prospection Constituer le dossier en adéquation
Sélection des critères de segmentation
– A1.1.3 - Captation du mandat avec la situation du client Création d’outils de découverte du client
– A1.1.4 - Constitution du dossier de vente ou Création et mise à jour d’un fichier prospects et clients
de location Calcul et analyse de la rentabilité et de l’efficacité des actions de
prospection
Présentation des différents mandats et calcul des honoraires
Estimation du loyer Justification de l’avis de valeur
Préparation du dossier en fonction du bien à vendre ou à louer
Explicitation des conséquences juridiques des choix opérés par l’entre
prise sur la protection des personnes, des données
Activité 2 – Commercialisation du bien proposé Mettre en œuvre une communica Mise en œuvre d’une stratégie d’estimation en vente
à la vente ou à la location tion efficace au service du projet Choix des canaux de communication
– A1.2.1 - Définition et mise en œuvre d’une immobilier Élaboration un plan de communication
stratégie commerciale
– A1.2.2 - Élaboration de supports commer Conception de documents pour assurer une communication commerciale
ciaux adaptée des biens
– A1.2.3 - Évaluation et actualisation des choix Analyse de l’efficacité et de la rentabilité de la publicité ou de la
stratégiques mis en place auprès du communication commerciale
propriétaire Élaboration de supports de communication
Activité 3 – Accompagnement du client acqué Conseiller le client dans son projet Pertinence du choix des biens à présenter à l’acquéreur en adéquation
reur d’achat avec son profil
– A1.3.1 - Analyse du projet d’achat et de la Négocier dans l’intérêt des parties Prise en compte d’une situation d’un éventuel handicap pour le client
capacité financière du client Transmettre au notaire un dossier Préparation et organisation de la visite
– A1.3.2 - Présentation des biens et négociation conforme Établissement d’un plan prévisionnel de financement adapté à la situation
du client
en cas d’acquisition Élaboration de l’offre d’achat
– A1.3.3 - Préparation de l’avant-contrat et Recensement et explicitation des documents nécessaires à l’établisse
accompagnement du client acquéreur jusqu’à ment de l’avant-contrat
l’acte définitif Rédaction d’un avant-contrat et explication des clauses au client
Activité 4 - Accompagnement du client bailleur Guider le bailleur et le locataire Contrôle de la conformité du logement pour une mise en location
et locataire dans la mise en œuvre du projet Conseil sur le type de bail adapté au projet
– A1.4.1 - Analyse du projet du bailleur et des de location Conception de documents commerciaux conformes à la législation
besoins du locataire Établir les actes en lien avec l’opé Sélection du locataire et traitement des informations pertinentes
– A1.4.2 - Gestion des visites ration Préparation du contrat de location
Rédaction de clauses adaptées à la situation
– A1.4.3 - Sélection du locataire Prise en charge de la visite et des états des lieux
– A1.4.4 - Rédaction du bail Conseil au bailleur et au locataire sur la sécurisation de l’opération
– A1.4.5 - Entrée dans les lieux Utilisation du lexique juridique dans la rédaction du bail
Activité 5 – Suivi administratif et financier de la Gérer les différentes étapes de la Suivi du loyer, des charges, du contrat de bail et du mandat de gestion
location location sur le plan administratif, Mesure de la rentabilité locative
– A1.5.1 - Suivi, recouvrement et évolution des juridique, financier et comptable Présentation des dispositifs fiscaux et de leur intérêt pour le client, en vue
loyers et charges Présenter les conséquences fiscales de la réalisation d’un choix pertinent
– A1.5.2 - Conseil en fiscalité des revenus des choix opérés
locatifs Traitement des congés bailleur et locataire
– A1.5.3 - Renouvellement du bail Gestion de conflits
– A1.5.4 - Gestion des congés
Activité 6 – Dynamisation et personnalisation Optimiser les processus de commu Mise en place d’actions de fidélisation
de la relation client nication en matière de notoriété Évaluation de la qualité de l’expérience client
– A1.6.1 - Construction et développement de et d’image de l’entreprise immo Gestion de la relation client à distance Animation de la relation avec le
l’image et de la notoriété de l’entreprise bilière
immobilière client
Exploiter la base de données au
– A1.6.2 - Exploitation et animation du fichier
clients service du parcours client
Activité 1 – Présentation d’une copropriété Distinguer juridiquement la copro Comparaison d’une copropriété avec un autre ensemble immobilier
(prise de connaissance de l’immeuble) priété des autres ensembles Identification du régime juridique applicable à la copropriété
– A2.1.1 - Repérage des caractéristiques d’une immobiliers Différenciation entre parties communes et parties privatives
copropriété Caractérisation d’un lot à partir d’un règlement de copropriété
– A2.1.2- Identification du cadre juridique d’une Analyse des droits et obligations qui s’appliquent aux copropriétaires
copropriété Présentation des différents organes de la copropriété, de leurs rôles et de
leur responsabilité respective
Activité 2 – Conclusion du contrat de syndic Proposer un contrat de syndic Sélection et analyse des informations nécessaires à la proposition d’un
– A2.2.1- Collecte des informations sur la adapté contrat de syndic
copropriété Proposition d’alternatives à la gestion par un syndic professionnel
– A2.2.2- Conseil sur le mode de gestion de la Explication de l’offre et justification de la tarification
copropriété Formalisation et vérification du contrat Indicateurs de communication
– A2.2.3- Négociation et rédaction du contrat de Argumentation, traitement des objections,
syndic justification des honoraires
Activité 4 - Gestion administrative et Veiller à l’équilibre financier de la Estimation pertinente des dépenses en vue d’établir les différents budgets
comptable de la copropriété copropriété Établissement des appels de fonds
– A2.4.1- Élaboration et suivi des budgets Justifier les éléments financiers Régularisation des charges du syndicat et de chaque copropriétaire
– A2.4.2-Suivi des comptes des copropriétaires auprès des copropriétaires Explication et justification d’un compte de copropriétaire
Assurer le suivi administratif et Tenue des documents obligatoires de la copropriété
– A2.4.3- Diffusion, mise à jour et conservation
financier de la copropriété Mise à jour des informations publiées dans l’espace en ligne sécurisé des
des informations de la copropriété copropriétaires.
– A2.4.4 Traitement de la mutation d’un lot Respect des obligations de déclaration
Gestion optimale des archives
Mise en œuvre des procédures dans le cas d’une mutation de lot
Rédaction de courriers professionnels
Activité 5 – Gestion du personnel de la copro Mettre en œuvre la gestion des Analyse et conseil sur le choix d’une solution adaptée pour répondre aux
priété ressources humaines du syndi besoins de surveillance, d’entretien et de services rendus au syndicat
– A2.5.1-Conseil sur le choix des modalités cat des copropriétaires Mise en œuvre d’une procédure de recrutement : rédaction d’annonces et
juridiques et techniques d’entretien et de conduite d’entretien
surveillance Préparation du contenu du contrat de travail
Explication des principaux éléments du bulletin de salaire
– A2.5.2-Recrutement et gestion du personnel Exercice du pouvoir de direction et de sanction vis-à-vis du salariés
– A2.5.3-Management du personnel d’im Mise en place des procédures de fin de contrat
meuble Prise en compte des obligations et des actions de prévention en matière
de santé, de sécurité au travail et de formation
Activité 6 - Gestion des contentieux au sein de Mettre en œuvre un processus de Évaluation des risques financiers de la copropriété
la copropriété prévention des conflits et Traitement des conflits et/ou contentieux des copropriétaires
– A2.6.1-Prévention des difficultés des copro contentieux Proposition d’actions correctrices adaptées aux risques, aux conflits ou
priétés Gérer les conflits et les contentieux aux contentieux
– A2.6.2-Suivi des contentieux avec les copro au sein de la copropriété Constitution du dossier à transmettre aux professionnels compétents
Rédaction de courriers de relance et de mise en demeure
priétaires
Mise en œuvre d’une communication adaptée en situation conflictuelle
Activité 7 – Accès au logement social Caractériser le logement social Identification des types de logements sociaux
– A2.7.1-Repérage des caractéristiques du loge Accompagner le bénéficiaire du Vérification des critères d’éligibilité d’accès au logement social
ment social logement social dans son par Elaboration des dossiers des candidats locataires en vue d’une commis
– A2.7.2-Attribution d’un logement social cours résidentiel sion d’attribution de logement
Détermination du loyer et des charges à la conclusion du bail
– A2.7.3-Détermination des principales clauses Établissement du contrat de location d’un logement social
du bail social Application des règles d’évolution du loyer en cours de bail
– A2.7.4-Suivi adapté des bénéficiaires de loge Vérification des règles de maintien dans les lieux
ments sociaux Proposition de solutions favorisant la mobilité du locataire
Proposition de solutions améliorant le bien-être et le vivre ensemble
Savoirs associés Le contrat de bail à vocation sociale dans le parc public (bail des
La place du logement social organismes sociaux)
Évolution Fixation et révision du loyer social et des charges
Poids dans le parc résidentiel Conditions de maintien dans les lieux
Politiques publiques et financement du logement social
L’accompagnement du locataire, l’activité de médiation
Le cadre juridique du logement social
Catégories de bailleurs et logements sociaux Les modalités d’accession à la propriété
Gouvernance du logement social Intermédiation sociale
L’attribution des logements sociaux
Formalités de demande de logement social
Critères de sélection du candidat au logement social, commission attribution logement
social
Activité 1 – Information du client sur les Repérer les interactions entre les Identification des différentes causes des déséquilibres environnementaux
incidences du changement climatique sur le déséquilibres liés au réchauffe Identification des conséquences du changement climatique sur l’immobi
patrimoine immobilier ment climatique et le secteur de lier en France
– A3.1.1- Identification des enjeux sociétaux et l’immobilier
Informer le client sur les nouvelles Analyse de l’impact de l’immobilier dans les différents déséquilibres
environnementaux du changement clima environnementaux
contraintes techniques et régle
tique mentaires Identification des réglementations applicables au projet immobilier en lien
– A3.1.2- Analyse des capacités d’adaptation Aider le client à analyser les carac avec l’impact environnemental
d’un bien immobilier donné aux conséquen téristiques de son bien au regard Compréhension des diagnostics
ces du changement climatique des enjeux du changement cli Restitution au client des contraintes et solutions
– A3.1.3- Accompagnement du client en matique et/ou de ses consé
quences Présentation d’axes d’adaptation du bien immobilier
matière d’adaptation au changement clima
Orienter le client vers des solutions Distinction entre les mécanismes d’atténuation et les mécanismes
tique
d’adaptation du projet immobi d’adaptation
lier
Activité 2 - Accompagnement du client lors des Apprécier les besoins en travaux du Repérage des différents éléments du bâtiment à partir de plans
opérations de travaux bien Analyse de l’état général du bâtiment : nécessité d’entretien, dysfonction
– A3.2.1- Identification des besoins en travaux Accompagner le client dans les nements, pathologies élémentaires liés au bâti et aux équipements, et
de l’immeuble opérations « de construction » possibilités d’améliorations.
d’entretien, d’amélioration, de Détermination des différents types de travaux à réaliser selon le contexte
– A3.2.2- Conseil sur les dispositifs de finance (copropriété, location…)
ment des travaux rénovation et de réhabilitation
Choix du corps de métier adapté à la nature des travaux
– A3.2.3- Identification des modalités de mise de l’immeuble.
Choix des entreprises à partir des devis
en œuvre des travaux Mise en œuvre des procédures de prise de décision adaptées selon la
– A3.2.4- Relations avec les différents partenai nature des travaux dans un contexte de changement climatique
res et collecte des devis Conseil sur le choix du financement et des aides adaptées
– A3.2.5- Prise de décision et suivi des travaux Planification des interventions des différents corps de métier
Interprétation d’un PV de réception chantier
Activité 3 – Gestion des risques et des sinistres Informer le client en matière de Interprétation et comparaison des polices d’assurance
– A3.3.1- Identification des besoins en termes risque et sinistre communs Choix de l’assurance adaptée à la situation du client
d’assurance et de choix de la solution adap Informer le client en matière de Identification des parties prenantes au sinistre
tée risque et sinistre lié au change
– A3.3.2- Mise en œuvre de l’assurance en cas Etablissement et suivi des déclarations de sinistres
ment climatique
de sinistre
– A3.3.3 – Traitement des contentieux liés aux Accompagner le client dans la pré
travaux à vention des risques et la gestion
réaliser des sinistres.
Activité 4- Prise en compte de la politique Repérer les spécificités d’aménage Repérage des enjeux de l’aménagement d’un territoire donné
d’aménagement du territoire dans le conseil ment d’un territoire donné et ses Identification des nouvelles formes d’habitat et
au client acteurs « d’habiter » dans un territoire
– A3.4.1- Identification des contraintes, des Prendre en compte les contraintes
outils d’aménagement du territoire et des Identification des règles et procédures applicables au projet
architecturales et d’urbanisme Analyse des informations contenues dans le certificat d’urbanisme.
différents acteurs
– A3.4.2 – Interprétation et analyse des docu applicables à un projet donné
Mise en œuvre des principales règles juridiques et fiscales qui régissent
ments de référence et des procédures en Conseiller le client sur les démar l’aménagement et l’urbanisme
matière d’urbanisme ches nécessaires à la réalisation
– A3.4 3 – Analyse du projet du client au regard de son projet
des évolutions de la politique d’aménage
ment du territoire
Savoirs associés Les documents d’urbanisme : rôle et utilisation Les formes urbaines et
Les enjeux de l’aménagement du territoire leurs évolutions
Les règles de protection des patrimoines historique, architectural et naturel
Les enjeux locaux de l’aménagement du territoire : l’étalement urbain et les mixités
Les spécificités de l’aménagement du tissu urbain dans un contexte de changement
climatique
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Activité 5 – Participation à des opérations de Accompagner le client dans la Identification des qualités du projet au regard des enjeux du changement
Vente en l’État Futur d’Achèvement ou conclusion d’un acte de VEFA climatique et de la transition énergétique
VEFA dans un contexte de changement aux plans technique, juridique, Explication et lecture de plans Identification des acteurs de l’opération de
climatique commercial. promotion, leurs rôles et leurs responsabilités
– A3.5.1- Identification et présentation des
caractéristiques du projet Élaboration d’un argumentaire commercial, dans le contexte de change
– A3.5.2- Présentation au client des étapes et ment climatique et énergétique.
des acteurs impliqués dans la construction Repérer les différentes étapes dans l’exécution d’une opération de
– A3.5.3- Suivi d’une vente en l’état futur promotion.
d’achèvement Présenter les garanties liées aux opérations de promotion
La connaissance du territoire Caractériser un territoire dans sa Identification des acteurs sur un territoire Analyse du marché immobilier local (offre,
dimension immobilière Présentation du territoire 5 demande, environnement)
Mise en œuvre des compétences com Spécificités architecturales d’un territoire
portementales attendues Évolution de l’habitat sur un territoire
La connaissance et l’analyse Analyser et développer l’entre Caractérisation et positionnement de Caractéristiques de l’environnement : fac
d’une entreprise du secteur prise immobilière l’entreprise sur le territoire teurs politiques, légaux, économiques,
immobilier Se projeter dans une démarche Développement ou création d’une acti socioculturels, technologiques et environ
entrepreneuriale vité immobilière nementaux
Étude de la pertinence d’un projet de Outils d’analyse concurrentielle
développement de l’entreprise
Mise en œuvre des compétences com Principes du plan de marchéage
portementales Différents statuts juridiques de l’entreprise
attendues immobilière
La relation client Dynamiser la relation client Développement d’une communication Communication externe interpersonnelle, de
Concevoir et mettre en œuvre une efficace et proactive, y compris digi groupe, numérique (espaces clients,
communication externe acces tale réseaux sociaux, etc.)
sible à tous les publics Animation des espaces digitaux de la Exploitation des fichiers clients
relation client
Évaluation de la satisfaction client à Stratégies de fidélisation de la clientèle
partir d’indicateurs qualitatifs et quan Mesure de la satisfaction des clients, de
titatifs l’image de l’entreprise
Développement des stratégies de fidéli
sation du client
Évaluation de la e-réputation
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Le projet professionnel Construire son identité profession Identification de ses qualités profession Posture professionnelle
nelle, y compris numérique nelles, de ses centres d’intérêt Outils et techniques de recherche de stage,
Concevoir un projet professionnel Conception et valorisation de son profil d’emploi
en respectant le cadre réglementaire
et les codes sociaux Parcours de formation
Recherche de stage, d’emploi, d’une Formation professionnelle tout au long de la
poursuite d’études vie
Mise en œuvre des compétences com
portementales attendues
Quelle place pour le droit Identifier les complémentarités et La hiérarchie des sources du droit
au logement ? les tensions entre droit de pro Le droit de propriété : définition, caractères et attributs
priété et droit au Le droit au logement : définition, évolution et place
logement
Quel encadrement des Repérer la réglementation spéci Les sources actuelles de la réglementation des activités d’entremise et de gestion des
activités immobilières ? fique applicable aux activités immeubles et fonds de commerce
immobilières Les activités immobilières réglementées Les professionnels concernés
Identifier les obligations profession Les conditions d’accès et d’exercice des activités immobilières d’entremise
nelles liées à l’exercice d’une Les règles de déontologie
activité immobilière Le devoir d’information et de conseil
La lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme
Quelles sont les particula Caractériser un parc immobilier Le parc immobilier résidentiel
rités du secteur de l’im Identifier les acteurs du secteur Le parc immobilier d’entreprise
mobilier ? Analyser le fonctionnement d’un Les acteurs du secteur de l’immobilier
marché de l’immobilier Les différents marchés de l’immobilier : approche fonctionnelle et approche géographique
La loi de l’offre et de la demande
Prendre en compte l’impact du
Les déterminants économiques et sociodémographiques influençant les prix de l’immobilier
marché international Les autres facteurs influençant le marché de l’immobilier
Le financement : conditions d’accès au crédit immobilier, niveau des taux d’intérêt.
Le développement des services au niveau international dans le secteur de l’immobilier
Les introductions aux influences croisées entre les marchés immobiliers français et étrangers
La mesure de la pénétration du marché français par les investisseurs étrangers
Comment adapter le parc Identifier l’évolution des besoins Le parcours résidentiel : diversité et facteurs explicatifs
résidentiel aux évolu d’un ménage Le mal logement : notion, conséquences sociales, économiques et écologiques
tions des besoins des Analyser un parcours résidentiel
Apprécier les effets des politiques Le logement social : cadre général, grandes caractéristiques
ménages ?
publiques sur l’accès au loge Le rôle des collectivités territoriales en matière de logement
ment
L’Intervention de l’État dans le cadre de la politique :
Identifier les différents outils d’in
tervention publique sur l’offre et – du logement et de l’habitat
la – du développement durable
demande Les enjeux des outils fiscaux, des subventions et des aides au logement
Quelle est la prise en compte Caractériser la situation juri La Personnalité et capacité juridique
par le droit de la situation dique de la personne Les régimes d’incapacité
des personnes dans la La prise de décisions patrimoniales
mise en œuvre de leur Les différents types d’union et leurs incidences sur les actes juridiques
projet immobilier ? La protection du logement de la famille
Le statut du commerçant
Le statut de l’entrepreneur / Chef d’entreprise.
Comment le droit sécurise-t- Identifier les principes généraux Le contrat : définition et classifications
il les opérations immobi du droit des contrats Les principes directeurs du droit des contrats : liberté contractuelle, force obligatoire, bonne foi
lières ? Distinguer les différents types de La phase précontractuelle
responsabilités La formation du contrat L’exécution du contrat
L’inexécution contractuelle
La responsabilité civile contractuelle
La responsabilité civile extracontractuelle
La responsabilité pénale
Commente faire valoir ses Choisir un mode de résolution Les actes et les faits juridiques
droits ? adapté des litiges dans le La preuve
domaine de l’immobilier L’organisation juridictionnelle
Les modes alternatifs de résolution des conflits
Quelles sont les stratégies possi Analyser les choix stratégiques Les outils de diagnostic interne et externe
bles pour les entreprises immo des acteurs Les différentes stratégies
bilières ? Analyser la faisabilité financière Le choix de la stratégie de domaines
du projet Le budget prévisionnel
Le seuil de rentabilité prévisionnel
Le besoin de financement
La trésorerie
Les entreprises immobilières ont- Justifier le choix d’une structure L’entreprise individuelle
elles toutes la même structure juridique adaptée Les principales sociétés commerciales
organisationnelle ? Identifier les différents modes Les réseaux de coopération
de partenariats Les réseaux intégrés
Repérer le rôle du système Les mandataires indépendants
d’information dans le fonc Les syndicats professionnels Les fédérations.
tionnement de l’entreprise Composantes et rôles du système d’information : opportunités et risques
Quelles possibilités le droit pro Identifier les statuts des colla Le profil de poste
pose-t-il en matière de de res borateurs Les documents support de la candidature
sources humaines pour les Analyser les incidences des Le statut des collaborateurs et rémunération
activités immobilières ? choix de statuts choisis par Le contrat de travail
l’employeur Le contrat de mandat d’agent commercial
La convention collective de l’immobilier
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ANNEXE IV
RÉFÉRENTIEL D’ÉVALUATION
ANNEXE IV a
UNITÉS CONSTITUTIVES DU DIPLÔME
UNITÉS INTITULÉS
ANNEXE IV b
DISPENSES D’UNITÉS
Les candidats au BTS « professions immobilières » déjà titulaires d’un BTS d’une autre spécialité, ou d’un
diplôme national de niveau 5 ou supérieur seront, à leur demande, dispensés de subir :
– l’unité U1 de culture générale et expression ;
– les unités U21 et U22 de langue vivante étrangère anglais.
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ANNEXE IV c
RÈGLEMENT D’EXAMEN
Voie scolaire dans un
établissement privé, CFA
ou section d’apprentis
Voie scolaire dans sage non habilité, forma
un établissement public Formation professionnelle tion professionnelle
ou privé sous contrat, continue dans les établisse continue dans les établis
BTS « professions immobilières » CFA ou section d’appren ments publics habilités à sements publics non
tissage habilité, formation pratiquer intégralement le habilités ou en établisse
professionnelle continue CCF ment privé, enseigne
dans les établissements ment à distance,
publics habilités candidats justifiant de 3
ans d’expérience profes
sionnelle
CCF
Epreuve générale E1 – Culture générale et U1 4 Ponctuelle 3h Ponctuelle 3h
expression écrite 2 situations écrite
d’évaluation
CCF
Sous-épreuve E2.1 – Compréhension de l’écrit U2.1 Ponctuelle 2h Ponctuelle 2h
et expression écrite écrite 2 situations écrite
d’évaluation
CCF CCF
Sous-épreuve E6.2 – Construction d’une pro U6.2 2 situations Ponctuelle 30 mn
fessionnalité dans l’immobilier 2 situations orale
d’évaluation d’évaluation
CCF CCF
Epreuve facultative EF2 (*) – Engagement UF2 1 Ponctuelle 20 mn
étudiant 1 situation 1 situation orale
d’évaluation d’évaluation
ANNEXE IV d
Coefficient 4
L’unité U1 culture générale et expression valide les compétences établies par l’arrêté du 13 juillet 2023 relatif
aux objectifs et contenus de l’enseignement de culture générale et expression, aux compétences travaillées et à la
définition de l’épreuve de culture générale et expression du brevet de technicien supérieur (publié au JORF no 0177
du 2 août 2023).
Coefficient 4
L’épreuve E2, langue vivante étrangère anglaise, est composée de deux sous-épreuves :
– E2.1 – Compréhension de l’écrit et expression écrite ;
– E2.2. – Production orale en continu et interaction.
Chacune de ces sous-épreuves donne lieu à une note sur 20 points. La note de l’épreuve E2 est obtenue par la
moyenne des sous-épreuves E2.1 et E2.2.
Coefficient 2
L’épreuve porte sur la compréhension de l’écrit et l’expression écrite.
1. Finalités et objectifs
L’étude de l’anglais contribue à la formation intellectuelle et à l’enrichissement culturel de l’individu. A ce titre,
elle a plus particulièrement vocation à :
– favoriser la connaissance des patrimoines culturels des aires linguistiques étudiées ;
– susciter le goût et le plaisir de la pratique de la langue ;
– donner confiance pour s’exprimer ;
– former le titulaire du diplôme à identifier les situations de communication, les genres de discours auxquels ils
sont exposés et qu’ils doivent apprendre à maîtriser ;
– favoriser le développement d’une capacité réflexive ;
– développer l’autonomie ;
– préparer le titulaire du diplôme à la mobilité professionnelle.
L’évaluation est adossée au Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL). Le niveau attendu
est B2. Le niveau B2 est défini de la façon suivante : « Une élève ou un élève peut comprendre le contenu essentiel
de sujets concrets ou abstraits dans un texte complexe, y compris une discussion technique dans sa spécialité. Elle
ou il peut communiquer avec un degré de spontanéité et d’aisance tel qu’une conversation avec un locuteur natif ne
comporte de tension ni pour l’un ni pour l’autre. Elle ou il peut s’exprimer de façon claire et détaillée sur une
grande gamme de sujets, émettre un avis sur un sujet d’actualité et exposer les avantages et les inconvénients de
différentes possibilités ».
Compréhension de l’écrit et expression écrite :
L’objectif visé est d’évaluer l’aptitude du candidat à :
– la compréhension de la langue écrite : il s’agit de vérifier la capacité du candidat à exploiter des textes et/ou
des documents de nature diverse, sans technicité excessive et relevant de l’aire culturelle de la langue étudiée
pour réaliser un compte rendu en français ;
– l’expression écrite : il s’agit de vérifier la capacité du candidat à s’exprimer par écrit dans la langue vivante
étrangère de manière pertinente et intelligible, à un niveau acceptable de correction ; il s’agit pour le candidat
de rédiger un écrit en anglais (courrier, courriel, bref rapport, instruction, analyse, argumentation etc.) à partir
d’éléments de contexte ou de consignes.
2. Modalités d’évaluation – Forme ponctuelle
Epreuve écrite – Durée : 2 heures :
Une procédure d’harmonisation des corrections sera mise en place dans chaque académie.
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Support(s) pour l’écrit : un ou plusieurs documents en langue vivante étrangère dont le contenu est ancré dans
des situations relatives à l’entreprise et au monde du travail ainsi que dans l’aire culturelle et linguistique de
référence. L’ensemble n’excèdera pas 50 lignes (soit environ 4 300 signes, blancs compris).
2.1. Compréhension de l’écrit (durée : 1 heure) : rédaction en français d’un compte rendu faisant apparaître les
idées essentielles du ou des documents supports ;
2.2. Expression écrite (durée : 1 heure) : production écrite en langue vivante anglaise (courrier, courriel, bref
compte rendu, etc.) à partir d’éléments de contexte ou de consignes.
3. Modalités d’évaluation – Contrôle en cours de formation
Il est constitué de deux situations d’évaluation de même poids se déroulant au cours de la deuxième année et
correspondant aux deux activités langagières évaluées en épreuve ponctuelle : compréhension de l’écrit (1 heure),
expression écrite (1 heure). Les modalités de l’épreuve sont identiques à celles de l’épreuve ponctuelle (1).
(1) Arrêté du 3 novembre 2021 modifiant les arrêtés portant définition et fixant les conditions de délivrance de certaines
spécialités du brevet de technicien supérieur.
Restitution orale et entretien (restitution en prise de parole en continue puis prise de parole en interaction ;
durée : 20 minutes) :
Dans un premier temps, la candidate ou le candidat rend compte de façon autonome de ce qu’elle ou il a compris
(5 à 10 minutes). Puis suit un entretien destiné à l’amener à reformuler ou préciser certains points, à s’assurer de la
compréhension des éléments essentiels et/ou de certains détails, voire à faire part de ses réactions ou propositions,
si la compréhension est satisfaisante. L’examinateur peut également en s’appuyant sur la consigne, proposer, au
besoin, des pistes de relance et élargir le spectre des échanges.
3. Modalités d’évaluation – Contrôle en cours de formation
Il est constitué de deux situations d’évaluation de même poids se déroulant au cours de la deuxième année et
correspondant aux activités langagières évaluées en épreuve ponctuelle : restitution orale et entretien. Les
modalités de l’épreuve sont identiques à celles de l’épreuve ponctuelle.
L’évaluation est chargée d’apprécier le degré de maîtrise des compétences relevant du bloc portant sur
« l’environnement juridique et économique des activités immobilières ». A l’issue de l’évaluation, dont le degré
d’exigence est équivalent aux attendus du diplôme, l’évaluateur complète une fiche de positionnement des
compétences acquises par le candidat (un modèle de cette fiche est proposé dans la circulaire d’organisation de
l’examen). L’évaluation est conduite par un enseignant d’économie-gestion, prioritairement en charge de
l’enseignement de l’environnement juridique et économique des activités immobilières.
Le contrôle de conformité du dossier est effectué par l’évaluateur.
La constatation de non-conformité du dossier entraîne l’attribution de la mention NV (non valide) à l’épreuve
correspondante. En conséquence, le diplôme ne peut lui être délivré.
La non-conformité du dossier peut être prononcée dès lors qu’une des situations suivantes est constatée :
– absence de constitution de dossier ;
– absence du tableau de synthèse ou tableau de synthèse non visé ou non signé par les personnes habilitées à cet
effet ;
– absence des travaux et/ou compte rendus d’activité.
Si le candidat fournit un dossier incomplet (c’est-à-dire ne présentant pas de travaux sur l’ensemble des activités
attendues), les insuffisances constatées seront pénalisées dans les limites prévues par la grille d’aide à évaluation
proposée par la circulaire nationale d’organisation.
Avant le jury final, une procédure d’harmonisation est mise en place par les autorités académiques selon les
modalités fixées par la circulaire d’organisation
3.2. Forme ponctuelle
L’épreuve E3 se déroule sous la forme d’une épreuve ponctuelle écrite d’une durée de 3 heures.
Elle prend appui sur un sujet qui invite le candidat à traiter plusieurs activités ou dossiers, mobilisant des
méthodologies spécifiques, parmi les activités suivantes :
– l’analyse d’une documentation économique relative au secteur de l’immobilier ;
– la résolution de cas ou de situation auxquels peuvent être confrontés des acteurs du secteur de l’immobilier ;
– la résolution de cas pratique nécessitant l’analyse d’une documentation juridique (décision de justice, acte
juridique, texte de loi, réglementation, etc.).
La correction de chaque copie est assurée par un professeur d’économie-gestion, prioritairement en charge de
l’enseignement de l’environnement juridique et économique des activités immobilières.
Coefficient 6
1. Objectifs
Cette épreuve vise à évaluer chez le candidat l’acquisition des compétences décrites dans le bloc de compétences
« Administration des copropriétés et de l’habitat social ».
Ainsi, le candidat doit être capable de :
– distinguer juridiquement la copropriété des autres ensembles immobiliers ;
– proposer un contrat de syndic adapté ;
– prendre en charge la préparation de l’assemblée générale ;
– conduire l’assemblée générale dans l’intérêt de la copropriété ;
– assurer une communication efficace en vue d’une prise de décision ;
– prendre en charge le suivi de l’assemblée générale ;
– veiller à l’équilibre financier de la copropriété ;
– justifier les éléments financiers auprès des copropriétaires ;
– assurer le suivi administratif et financier de la copropriété ;
– mettre en œuvre la gestion des ressources humaines du syndicat des copropriétaires ;
– mettre en œuvre un processus de prévention des conflits et des contentieux ;
– gérer les conflits et les contentieux au sein de la copropriété ;
– caractériser le logement social ;
– accompagner le bénéficiaire du logement social dans son parcours résidentiel.
2. Critères d’évaluation
Les critères d’évaluation correspondent aux indicateurs d’évaluation des compétences exprimés pour chaque
compétence du bloc « Administration des copropriétés et de l’habitat social ».
Les critères associés à chaque compétence permettent de clarifier les attentes et de préciser le niveau d’exigence
requis.
Pour justifier de la maîtrise des compétences attendues, le candidat devra également être capable de :
– analyser et de qualifier les problématiques soulevées ;
– exploiter une base documentaire ;
– proposer des solutions argumentées en mobilisant les notions adaptées ;
– faire preuve de rigueur ;
– conduire des raisonnements logiques et cohérents.
3. Forme de l’épreuve
L’épreuve, d’une durée de 3 heures, se déroule sous forme ponctuelle écrite pour tous les candidats.
L’épreuve prend appui sur un dossier qui comprend :
– la présentation de situations professionnelles contextualisées contenant des problématiques liées à
l’administration de copropriétés et/ou de logement social ;
– une base documentaire ;
– une série de questions permettant de structurer et d’orienter le travail à réaliser par le candidat. Chaque
question amène le candidat à répondre de manière structurée et argumentée aux problématiques soulevées.
L’épreuve est corrigée par un professeur d’économie-gestion prioritairement en charge du bloc 2 en BTS
« professions immobilières ».
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La correction de chaque copie est assurée par un professeur d’économie – gestion prioritairement en charge d’un
des enseignements professionnels en STS Professions immobilières.
L’évaluation donne lieu à une note sur 20 points.
Remarque : le contexte est identique pour tous les candidats qu’ils soient évalués en CCF ou sous forme
ponctuelle.
– un candidat qui se présente au titre de son expérience professionnelle peut choisir de remplacer ces fiches
descriptives par un dossier professionnel qui présente en une dizaine de pages au maximum ses activités en
lien avec le bloc 4 « Construction d’une professionnalité dans l’immobilier » ;
c) Une étude réflexive permettant au candidat de réinvestir l’ensemble de ses expériences dans l’analyse d’un
thème ou d’une problématique de son choix, de nature transversale au sein du bloc 4 « Construction d’une
professionnalité dans l’immobilier ».
Le candidat est conduit ainsi à développer une réflexion structurée, argumentée, illustrée par les activités qu’il a
menées, et enrichie par la prise en compte des dimensions juridique, économique et managériale du développement
de la relation client dans le secteur immobilier.
Cette étude réflexive se présente sous une forme rédigée de 4 à 6 pages.
Le dossier support de l’épreuve est mis à la disposition du jury dans des conditions définies par la circulaire
nationale d’organisation et les autorités académiques. Lors de l’interrogation, le candidat pourra apporter tous les
documents complémentaires qu’il jugera pertinents pour illustrer sa présentation.
Contrôle de conformité du dossier support de l’épreuve :
Le contrôle de conformité du dossier est effectué avant l’interrogation selon les modalités fixées par les autorités
académiques. La constatation de non-conformité du dossier entraîne l’attribution de la mention NV (non valide) à
l’épreuve correspondante. Le candidat, même présent à la date de l’épreuve, ne peut être interrogé. En
conséquence, le diplôme ne peut lui être délivré.
La non-conformité du dossier peut être prononcée dès lors qu’une des situations suivantes est constatée :
– absence de dépôt du dossier ;
– dépôt du dossier au-delà de la date fixée par l’autorité académique ;
– durée de stage ou d’expérience professionnelle inférieure à celle requise par la réglementation de l’examen ;
– absence d’attestation de stage ou de certificat de travail ;
– documents constituant le dossier non visés ou non signés par les personnes habilitées à cet effet.
Remarque : dans le cas où, le jour de l’interrogation, la commission d’interrogation a un doute sur la conformité
du dossier ou sur son authenticité, elle interroge et évalue néanmoins le candidat qui est ensuite averti que
l’attribution de la note est réservée dans l’attente d’une vérification mise en œuvre selon des modalités définies par
les autorités académiques. Si, après vérification, les doutes sont avérés, la mention NV (non valide) est portée à
l’épreuve.
Lorsque les règles de composition du dossier ne sont pas strictement respectées :
– absence totale ou partielle de fiches descriptives ;
– absence de l’étude réflexive ;
– présence de fiches descriptives d’activité portant sur un même axe de professionnalisation ;
– présence de fiches ne couvrant pas les axes du bloc « Construction d’une professionnalité dans
l’immobilier » ;
– volume, règles formelles de présentation non respectés.
Il convient cependant d’interroger le candidat dans les conditions normales de l’épreuve. Les insuffisances
constatées seront pénalisées dans les limites prévues par la grille d’aide à l’évaluation proposée par la circulaire
nationale d’organisation.
4.2. Organisation et déroulement de l’épreuve
4.2.1. Contrôle en cours de formation – 2 situations d’évaluation
Le contrôle en cours de formation comporte deux situations d’évaluation qui se déroulent dans le cadre normal
de la formation. Les compétences évaluées et le degré d’exigence sont identiques à ceux de l’épreuve ponctuelle.
De même, les situations d’évaluation sont construites à l’identique des différentes phases de l’épreuve ponctuelle.
Les situations d’évaluation prennent appui sur les activités professionnelles du bloc « Construction d’une
professionnalité dans l’immobilier » qui ont fait l’objet d’un travail en formation et ont été validées en tant que
telles afin de permettre au candidat de les référencer tout au long de sa formation et de sélectionner quatre activités,
une par axe de professionnalisation.
Chaque fiche permet de décrire et d’analyser les activités professionnelles vécues en stage. La fiche 3 « gestion
de la relation client » devra s’appuyer sur un contexte incluant des usages digitaux.
Le candidat utilise obligatoirement le modèle de fiche présenté dans la circulaire nationale d’organisation en
renseignant impérativement chaque rubrique.
L’élaboration de l’étude réflexive figurant dans le dossier support de l’épreuve a de même fait l’objet d’un
accompagnement en formation.
Les situations d’évaluation se déroulent durant l’année terminale de la formation.
Remarque : la situation A peut se dérouler dès que le candidat est en mesure de présenter 4 fiches d’analyse
d’activités professionnelles. En conséquence, seule la situation B nécessite la remise effective du dossier du
candidat.
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Situation A. – Exposé et entretien relatifs à une expérience réelle vécue (10 minutes maximum) :
Cette situation débute par la présentation en 5 minutes maximum par le candidat d’une expérience réelle vécue
en entreprise, choisie par le jury (issue d’une fiche du dossier support). Cette présentation est suivie d’un entretien
de 5 minutes maximum avec la commission. Au cours de cet entretien, la commission peut proposer des
changements par rapport à l’activité initiale et attendre de la part du candidat une capacité d’adaptation et de
nouvelles propositions.
Cette situation d’évaluation sera évaluée par un professeur ou un formateur, en économie et gestion, si possible
intervenant sur le bloc de compétences « construction d’une professionnalité dans l’immobilier ».
Situation B. – Exposé et entretien relatifs aux autres expériences et à l’étude réflexive (20 minutes
maximum) :
Au cours de cette seconde situation, le candidat est invité par la commission :
– dans une première partie à présenter en 5 minutes maximum d’autres expériences figurant dans le dossier
support de l’épreuve (sous forme de fiches ou incluses dans le dossier professionnel) que celle déjà présentée
lors de la situation A de CCF, puis à répondre aux approfondissements demandés par la commission. Cette
première partie durera au maximum 10 minutes ;
– la seconde partie de l’entretien est consacrée à l’étude réflexive que le candidat développe pendant 5 minutes
avant de répondre aux questions de la commission. Cette seconde partie durera au minimum 10 minutes.
Composition de la commission d’évaluation pour la situation B :
La commission d’évaluation comprend un professeur ou un formateur, en économie et gestion si possible en
charge du bloc de compétences « Construction d’une professionnalité dans l’immobilier » et un professionnel. A
défaut de professionnel, celui-ci est remplacé par un professeur d’économie et gestion, prioritairement chargé des
enseignements professionnels en section de technicien supérieur Professions Immobilières.
A l’issue des situations d’évaluation, l’établissement de formation tient à la disposition du jury et de l’autorité
rectorale, pendant une durée d’un an, un dossier d’évaluation pour chaque candidat. Outre le dossier support de
l’épreuve, ce dossier d’évaluation comprend la grille d’évaluation renseignée.
L’évaluation donne lieu à une note sur vingt points.
Avant le jury final, une procédure d’harmonisation est mise en place par les autorités académiques selon des
modalités fixées par la circulaire nationale d’organisation.
4.2.2. Forme ponctuelle – épreuve orale – durée : 30 minutes
Les candidats passent cette épreuve dans les centres d’examen désignés par les autorités académiques. Ils
doivent se munir des ressources et des supports nécessaires au déroulement de l’épreuve, notamment ceux qui sont
référencés dans le dossier support d’épreuve. Pour ses présentations, le candidat peut utiliser tout moyen à sa
convenance. La circulaire nationale d’organisation précise les conditions matérielles de déroulement des
interrogations.
L’épreuve d’une durée de 30 minutes se déroule en deux phases successives :
1. Exposé et entretien relatif à une expérience réelle vécue (durée : 10 minutes) :
Cette phase débute par la présentation en 5 minutes maximum par le candidat d’une expérience réelle vécue en
entreprise, choisie par le jury (issue d’une fiche du dossier support). Cette présentation est suivie d’un entretien de
5 minutes maximum avec la commission. Au cours de cet entretien, la commission peut proposer des changements
par rapport à l’activité initiale et attendre de la part du candidat une capacité d’adaptation et de nouvelles
propositions.
2. Exposé et entretien relatif aux autres expériences et à l’étude réflexive (durée : 20 minutes) :
Au cours de cette seconde phase, le candidat est invité par la commission à présenter en 5 minutes maximum
d’autres expériences figurant dans le dossier support de l’épreuve (sous forme de fiches ou incluses dans le dossier
professionnel) et à répondre aux approfondissements demandés par la commission. La fin de l’épreuve est
consacrée à l’étude réflexive que le candidat développe pendant 5 minutes avant de répondre aux questions de la
commission.
Evaluation :
L’évaluation est réalisée à l’aide de la grille d’évaluation figurant en annexe de la circulaire nationale
d’organisation. L’évaluation porte exclusivement sur la prestation du candidat, à l’exclusion de toute autre
considération, notamment celle relative aux conditions de recevabilité de la candidature. En aucun cas le dossier
support de l’épreuve n’est évalué.
Une harmonisation entre les différentes commissions d’interrogation est prévue par les autorités académiques
selon des modalités décrites dans la circulaire nationale d’organisation.
L’évaluation donne lieu à une note sur vingt points.
Composition de la commission d’interrogation :
La commission d’interrogation est composée de deux membres : un professeur d’économie et gestion enseignant
en BTS « professions immobilières » ayant si possible en charge le bloc de compétences 4 et un professionnel. A
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défaut de professionnel, celui-ci est remplacé par un professeur d’économie et gestion, prioritairement chargé des
enseignements professionnels en section de technicien supérieur Professions Immobilières.
ANNEXE V
ORGANISATION DE LA FORMATION
ANNEXE V a
GRILLE HORAIRE DE LA FORMATION
Première année Deuxième année
Environnement juridique et
économique des activités 4 3 1 (*) 112 4 3 1 (*) 112
immobilières
(*) L’horaire en classe dédoublée peut être organisé à raison de 2 heures par quinzaine, sur demande de l’équipe pédagogique.
(**) Un horaire de co-animation de 2 heures en classe dédoublée est mis en œuvre entre le professeur en charge de
l’enseignement de « construction d’une professionnalité dans l’immobilier » et un autre professeur de la section, prioritairement
dans les enseignements professionnels (pouvant changer selon la nature du projet conduit).
Remarque : en deuxième année, seules 2 heures dédoublées sur les 3 heures prévues pourront bénéficier de ce
dispositif.
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ANNEXE V b
STAGE EN MILIEU PROFESSIONNEL
Le stage en milieu professionnel à temps plein est obligatoire pour les candidats au brevet de technicien
supérieur « professions immobilières ».
Le stage en milieu professionnel se déroule au sein d’un ou plusieurs établissements du secteur immobilier
d’une durée globale comprise entre 12 semaines (minimum) et 14 semaines (maximum) et permet ainsi
d’appréhender la réalité des activités de vente immobilière et/ou de location de biens immobiliers et/ou de gestion
de copropriétés tout en permettant le développement de compétences professionnelles figurant dans le référentiel
de compétences du BTS « professions immobilières ». Il constitue ainsi un élément essentiel du parcours de
formation du diplôme.
A noter : un stage à l’étranger d’une durée maximum de 8 semaines est possible uniquement dans un pays
membre de l’Union européenne.
Le stage en milieu professionnel repose sur une relation à caractère pédagogique entre trois partenaires :
– l’organisation, par un tuteur identifié, confie à l’étudiant des activités professionnelles correspondant au
référentiel et au niveau d’exigence du diplôme, et participe à l’évaluation de certaines compétences au travers
d’échanges de documents écrits avec l’équipe pédagogique (grille d’évaluation du tuteur/maître de stage
fournie dans la circulaire d’organisation des examens et intégrée dans l’évaluation de l’épreuve E6.2) ;
– l’étudiant définit, avec l’établissement et l’équipe pédagogique, les objectifs de son immersion et de son
activité, rend compte de ses observations et de ses activités au travers de différents documents (voir définition
de l’épreuve E6.2) ;
– l’équipe pédagogique encadre, conseille, met en cohérence et articule les différentes modalités
d’appropriation des compétences. Chaque stagiaire a un enseignant référent pour l’accompagnement de son
stage.
1. Objectifs du stage
Le stage en milieu professionnel permet à l’étudiant de compléter sa formation par l’expérience des pratiques
professionnelles correspondant aux compétences décrites dans le référentiel mais aussi par l’utilisation des outils
numériques en situation professionnelle.
Il permet également de découvrir les relations avec les clients, d’acquérir des qualités relationnelles, des
attitudes, des comportements professionnels et de développer le sens des responsabilités par une confrontation aux
réalités et aux exigences des fonctions de collaborateur au sein d’un établissement du secteur de l’immobilier.
Les établissements accueillant un stagiaire s’engagent à positionner ce dernier dans des situations
professionnelles conformes aux exigences et à l’esprit du diplôme.
2. Organisation
2.1. Voie scolaire
Les stages sont organisés avec le concours des milieux professionnels et sont placés sous le contrôle des
autorités académiques dont relève l’étudiant. La recherche de stage est assurée par l’étudiant avec le soutien de
l’équipe pédagogique.
Le stage en milieu professionnel peut comprendre, à la demande de l’étudiant et en lien avec son projet
professionnel, deux semaines au plus d’observation auprès d’une ou deux organisation(s) en lien avec des activités
connexes au secteur immobilier (service d’urbanisme, service de publicité foncière, promoteur immobilier,
diagnostiqueur immobilier…), qui, le cas échéant, donneront lieu à la signature d’une convention de stage
conforme à la réglementation en vigueur entre les représentants de l’organisation et l’établissement de formation.
L’immersion en établissement du secteur de l’immobilier :
Le stage obligatoire en milieu professionnel se déroule au sein d’un ou plusieurs établissements du secteur de
l’immobilier développant des activités de vente immobilière et/ou de location de biens immobiliers et/ou de gestion
de copropriétés. En cas d’empêchement résultant de maladie ou de force majeure dûment constatée, une dérogation
doit être sollicitée auprès des services académiques compétents. Le jury est informé de cette dérogation.
Le stage obligatoire est d’une durée de 12 semaines à temps plein réparties sur l’ensemble de la formation. Le
stage peut être découpé en plusieurs périodes ne pouvant être inférieures à 5 jours consécutifs. Dans une optique
pédagogique, il est fortement conseillé d’opter pour un découpage en deux ou trois périodes.
L’encadrement pédagogique du stage :
Ces périodes de stage font l’objet d’une convention signée entre les représentants de l’organisme d’accueil,
ceux de l’établissement de formation et l’étudiant stagiaire. Cette convention est établie conformément aux
dispositions en vigueur. Elle comporte une annexe pédagogique qui précise :
– les objectifs poursuivis libellés en termes de compétences à acquérir ou à approfondir ;
– les modalités prévues pour atteindre les objectifs visés ;
– les conditions matérielles de déroulement du stage (lieux, conditions d’utilisation du matériel mis à
disposition, horaires) ;
– les modalités du tutorat ;
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– les modalités d’échanges entre le tuteur et l’équipe pédagogique pour le suivi des acquis.
Pendant le stage, l’étudiant a la qualité d’étudiant-stagiaire et non de salarié.
Fin de stage :
En fin de stage, une attestation est remise au stagiaire par le responsable de l’organisation d’accueil. Les
attestations couvrant la durée du stage obligatoire doivent être signées par le responsable juridique de
l’établissement d’accueil et revêtues du cachet de l’établissement. Elle précise les dates et la durée du stage. Les
différentes attestations sont adressées au service académique des examens selon les modalités précisées par le
recteur d’académie et conformément à la circulaire nationale d’organisation de l’examen.
Tout candidat n’ayant pas effectué la durée obligatoire de stage au sein d’un établissement du secteur de
l’immobilier ne peut se voir délivrer le diplôme.
2.2. Voie de l’apprentissage et de la professionnalisation
Les apprentis sont liés à un établissement du secteur de l’immobilier développant des activités de vente
immobilière et/ou de location de biens immobiliers et/ou de gestion de copropriétés, par un contrat de travail. Il en
va de même pour les salariés en contrat de professionnalisation. Leur statut les dispense de l’obligation d’effectuer
le stage. En conséquence, les attestations de stage sont remplacées par une attestation de l’établissement employeur
confirmant le statut du candidat comme apprenti.
Les activités effectuées au sein de l’établissement doivent être en adéquation avec les exigences du référentiel.
2.3. Voie de la formation continue
Candidats en situation de première formation ou en situation de reconversion :
La durée de stage est de 12 semaines à répartir sur la période de formation.
L’organisme de formation peut concourir à la recherche de l’établissement d’accueil. Le stagiaire peut avoir la
qualité de salarié d’un autre secteur professionnel.
Lorsque cette préparation s’effectue dans le cadre d’un contrat de travail de type particulier, le stage obligatoire
est inclus dans la période de formation dispensée en établissement si les activités effectuées sont en cohérence avec
les exigences du référentiel, et conformes aux objectifs et aux modalités générales définies ci-dessus.
Une attestation de l’établissement employant le candidat ou l’ayant accueilli en stage est exigée à l’examen.
Candidats en situation de perfectionnement :
L’attestation de stage peut être remplacée par un ou plusieurs certificats de travail attestant que le candidat a été
employé par des établissements du secteur de l’immobilier dans des activités conformes à celles présentées dans le
référentiel de compétences.
Ces activités doivent être effectuées en qualité de salarié à plein temps pendant six mois au cours de l’année
précédant l’examen ou à temps partiel pendant un an au cours des deux années précédant l’examen.
2.4. Candidats en formation à distance
Les candidats relèvent, selon leur statut (scolaire, apprenti, formation continue), de l’un des cas précédents.
2.5. Candidats qui se présentent au titre de leur expérience professionnelle
L’attestation de stage est remplacée par un ou plusieurs certificats de travail justifiant de la nature et de la durée
de l’emploi occupé.
2.6. Aménagement de la durée du stage
La durée obligatoire du stage en milieu professionnel peut être réduite, soit pour une raison de force majeure
dûment constatée soit dans le cadre d’une décision d’aménagement de la formation ou d’une décision de
positionnement à une durée qui ne peut être inférieure à 8 semaines.
2.7. Candidats ayant échoué à une session antérieure de l’examen
Les candidats scolaires doivent effectuer les stages que leur établissement organise.
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ANNEXE VI
TABLEAU DE CORRESPONDANCE ENTRE ÉPREUVES
ET UNITÉS DE L’ANCIEN ET DU NOUVEAU DIPLÔME
Brevet de technicien supérieur « professions immobilières » Brevet de technicien supérieur « professions immobilières »
(créé par l’arrêté du 5 avril 2012) (créé par le présent arrêté)
E6 – Conduite et présentation d’activités professionnelles U6 E6.2 – Construction d’une professionnalité dans l’immobilier U6.2
EF1 – Langue vivante 2 UF1 EF1 – Communication en Langue vivante étrangère 2 UF1
TEXTES GÉNÉRAUX
Le secrétaire général,
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du
Gouvernement, notamment son article 3 ;
Vu le décret no 2014-133 du 17 février 2014 modifié fixant l’organisation de l’administration centrale des
ministères de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports et de l’enseignement supérieur et de la recherche ;
Vu le décret du 22 décembre 2022 portant nomination du secrétaire général du ministère de l’éducation nationale
et de la jeunesse, du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et du ministère des sports et des jeux
Olympiques et Paralympiques - M. LE GOFF (Thierry) ;
Vu l’arrêté du 17 février 2014 modifié fixant l’organisation de l’administration centrale des ministères de
l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports et de l’enseignement supérieur et de la recherche,
Décide :
Art. 1 . – Délégation est donnée à M. Fabien THOREAUX, attaché principal d’administration, chef du bureau
er
de la stratégie et de l’ingénierie des achats, sous-direction des achats, sous-direction des achats, service de l’action
administrative et des moyens, à l’effet de signer, au nom du ministre chargé de l’enseignement supérieur et de la
recherche, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions du bureau de la
stratégie et de l’ingénierie des achats.
Art. 2. – Délégation est donnée à Mme Marie-Madeleine GUERRINI, administratrice de l’éducation nationale
et de l’enseignement supérieur, cheffe du bureau de gestion des contractuels, sous-direction des ressources
humaines pour l’administration centrale, service de l’action administrative et des moyens, à l’effet de signer, au
nom du ministre chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche, tous actes, arrêtés et décisions, à
l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions du bureau de gestion des contractuels.
Art. 3. – Délégation est donnée à M. Khémareth PRAK, attaché principal d’administration, adjoint au chef du
bureau de gestion des contractuels, sous-direction des ressources humaines pour l’administration centrale, service
de l’action administrative et des moyens, à l’effet de signer, au nom du ministre chargé de l’enseignement
supérieur et de la recherche, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions
du bureau de gestion des contractuels.
Art. 4. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait le 4 décembre 2023.
T. LE GOFF
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TEXTES GÉNÉRAUX
TEXTES GÉNÉRAUX
TEXTES GÉNÉRAUX
Il est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et peut être
consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-d9333665-
1636-44f0-9cca-543837fcd848.
Art. 2. – L’arrêté du 1er avril 2019 relatif à l’appellation d’origine contrôlée « Bourgueil » est abrogé.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 29 novembre 2023.
Le ministre de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire,
Pour le ministre et par délégation :
L’adjointe à la sous-directrice
des filières agroalimentaires,
A. GIREL-ZAJDENWEBER
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
Le ministre délégué auprès du ministre
de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle
et numérique, chargé des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
Le chef du bureau des contributions indirectes
de la direction générale des douanes et droits indirects,
J. COUDRAY
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
homologué.
Il est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et peut être
consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-ebcdbde6-
3f0a-4e8d-8c68-d39cb687a304.
Art. 2. – L’arrêté du 30 décembre 2020 relatif à l’appellation d’origine contrôlée « Saint-Nicolas-de-
Bourgueil » est abrogé.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 29 novembre 2023.
Le ministre de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire,
Pour le ministre et par délégation :
L’adjointe à la sous-directrice
des filières agroalimentaires,
A. GIREL-ZAJDENWEBER
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
Le ministre délégué auprès du ministre
de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle
et numérique, chargé des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
Le chef du bureau des contributions indirectes
de la direction générale des douanes et droits indirects,
J. COUDRAY
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Il est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et peut être
consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-ec5169c7-
d0c5-4f63-8a9d-2ac37d13225c.
Art. 2. – L’arrêté du 14 avril 2022 relatif à l’appellation d’origine contrôlée « Touraine » est abrogé.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 29 novembre 2023.
Le ministre de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire,
Pour le ministre et par délégation :
L’adjointe à la sous-directrice
des filières agroalimentaires,
A. GIREL-ZAJDENWEBER
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
Le ministre délégué auprès du ministre
de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle
et numérique, chargé des comptes publics,
Pour le ministre et délégation :
Le chef du bureau des contributions indirectes
de la direction générale des douanes et droits indirects,
J. COUDRAY
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 19 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Il est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et peut être
consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-5ead6ad9-
632e-49bc-94c2-36456357feee.
Art. 2. – L’arrêté du 3 novembre 2022 relatif à l’appellation d’origine contrôlée « Valencay » est abrogé.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 29 novembre 2023.
Le ministre de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire,
Pour le ministre et par délégation :
L’adjointe à la sous-directrice
des filières agroalimentaires,
A. GIREL-ZAJDENWEBER
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
Le ministre délégué auprès du ministre
de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle
et numérique, chargé des comptes publics,
Pour le ministre et délégation :
Le chef du bureau des contributions indirectes
de la direction générale des douanes et droits indirects,
J. COUDRAY
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Il est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et peut être
consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-439e2397-
7b57-4a70-b1c8-f4a8a3a3aff6.
Art. 2. – L’arrêté du 31 mars 2023 homologuant le cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée
« Gigondas » est abrogé.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 29 novembre 2023.
Le ministre de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire,
Pour le ministre et par délégation :
L’adjointe à la sous-directrice
des filières agroalimentaires,
A. GIREL-ZAJDENWEBER
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
Le ministre délégué auprès du ministre
de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle
et numérique, chargé des comptes publics,
Pour le ministre et délégation :
Le chef du bureau des contributions indirectes
de la direction générale des douanes et droits indirects,
J. COUDRAY
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
semences peuvent être soit certifiées en tant que « semences de base » ou « semences certifiées », soit contrôlées en
tant que « semences standards » (liste a), pour une durée de dix ans, les variétés désignées ci-après :
Responsable(s)
Espèce Dénomination Obtenteur(s) du maintien de la variété
(type variétal) en sélection conservatrice
Carotte : type potagère Fortedo. Vilmorin-Mikado SAS (FR). Vilmorin-Mikado SAS (FR).
Lisboa. Sakata Seed Corporation (JP). Sakata Vegetables Europe SAS (FR).
Nairobi. Sakata Seed Corporation (JP). Sakata Vegetables Europe SAS (FR).
Chou-fleur déclaré hybride Longton. Sakata Vegetables Europe SAS Sakata Vegetables Europe SAS (FR).
(FR).
Art. 2. – Est prolongée sur la liste a du Catalogue officiel des espèces et variétés de plantes cultivées en France,
pour une durée de cinq ans à compter du 1er janvier 2024, l’inscription des variétés désignées ci-après :
Asperge déclarée hybride : Rosalie, Vetra.
Aubergine déclarée hybride : Abrivado, Bonica, Flavine, Galine, Gascona, Picola, Riado.
Carotte : type potagère : Limestra.
Carotte déclarée hybride : type potagère : Bolivar, Muleta, Silvano, Soprano.
Chicorée - Witloof (endives), Chicorée à forcer : type Chicorée à forcer : Bobine.
Chicorée - Witloof (endives), Chicorée à forcer déclarée hybride : type Endive : Bingo, Ombline.
Chicorée frisée / Chicorée scarole : type frisée : Dorana.
Chicorée frisée / Chicorée scarole : type scarole : Cornet de la Loire, Lempika.
Chou brocoli déclaré hybride : Aquiles, Chronos.
Chou cabus déclaré hybride : Conquistador, Fighter, Guard, Sir, Zyklop.
Chou-fleur déclaré hybride : Aprilia, Dionis, Diwan, Maelig, Marcan, Medusa, Meridien, Navalo, Navona,
Optimist, Trevignis, Vedis.
Concombre / Cornichon déclaré hybride : type concombre : Triunfo.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 110
Courgette déclarée hybride : Allegria, Anissa, Aurore, Aziad, Cassiopée, Galactée, Lanka, Nevira, Precioza,
Pulsar, Renata, Sibilla, Suha, Tendor, Zodiac.
Echalote : Grisor.
Haricot : type à rames : Alaric, Lapujole, Monte Cristo.
Haricot : type nain : Aiguillon, Amethyst, Cocobel, Cogito, Cordon bleu, Delinel, Flajoly, Flambo, Fleuret,
Kentan, Magical, Mascaret, Oxinel, Piramide, Polder, Rigalex, Rocdor, Royal, Surfer, Tonivert, Verdelys, Victor,
Vilbel, Vivaldi, Wyatt.
Haricot d’Espagne : Cahot.
Laitue : Antartica, Appia, Dragone, Escale, Frantic, Garone, Glassica, Maïko, Navarone, Ostralie, Palatina,
Picholine, Pursuit, Rodanice, Rossia, Rubygo I, Sierra (et son synonyme Aréna), Socca, Vanoise.
Mâche : Palace.
Maïs à éclater : B12139, B121H, B1417.
Maïs doux déclaré hybride : Kinze.
Melon : SV5448ML.
Melon déclaré hybride : Arapaho, Arymo, Bacir, Brisa, Diabolo, Don Quixote, Edecos, Gaudio, Jenga,
Lambada, Lillo, Melgic, Nevour, Nexio, Polinyka, Robinson, Silvio, Sivan, Sultan, Tenor.
Melon d’eau / Pastèque déclarée hybride : Extazy.
Oignon : Barona, Isobel Rose, Jack, Keravel, Toli.
Piment / Poivron : Gorria, Narval, Petit marseillais, Sucette de Provence.
Piment / Poivron déclaré hybride : Barocco, Basalt, Chouca, Classico, Florian, Gypsy, Jericho, Lany, Lionello,
Lipari, Midyl, Murano, Odiseo, Ramiro, Regazo, Rodrigo, Snackyl, Ténor, Tosca, Valdor.
Pois potager : type lisse : Alicia, Bomba, Maestro, Orion, XP 08260882.
Pois potager : type ridé : Agami, Alexandra, Frégate, Kelvil, Numerica, Tangara, XP 08270944.
Potiron déclaré hybride : Maggic.
Radis : type de tous les mois : Shahri.
Radis déclaré hybride : type de tous les mois : Bacchus, Fluo.
Solanum lycopersicum x solanum habrochaïtes déclaré hybride : Interpro, Protector.
Solanum torvum déclaré hybride : STT3.
Tomate déclarée hybride : Agora, Baptysta, Canilla, Carmello, Cobra, Cyclade, Fantasio, Maestria, Minilou,
Murano, Rebelion, Rhianna, Takumi, Tamaris, Tankini, Tastyno, Topkapi, VP1, Zadurella.
Art. 3. – Est prolongée, pour une durée de cinq ans à compter du 1er janvier 2024, l’inscription au Catalogue
officiel des espèces et variétés de plantes cultivées en France, dont les semences peuvent être contrôlées en tant que
« semences standards » (liste b), des variétés désignées ci-après :
Aubergine déclarée hybride : Baluroi.
Cucurbita maxima x cucurbita moschata déclaré hybride : TZ 148.
Piment / Poivron : Doux très long des Landes.
Piment / Poivron déclaré hybride : Lamuyo.
Pois potager : type mangetout : Corne de bélier.
Radis : type de tous les mois : De dix-huit jours.
Solanum lycopersicum x solanum habrochaïtes déclaré hybride : Brigeor.
Tomate déclarée hybride : Montfavet 63-5.
Art. 4. – Est prolongée, pour une durée de cinq ans à compter du 1er janvier 2024, l’inscription au Catalogue
officiel des espèces et variétés de plantes cultivées en France, dont les semences peuvent être certifiées en tant que
« semences standards » (liste c des variétés de conservation), de la variété de poireau Leblond.
Art. 5. – Est prolongée, pour une durée de cinq ans à compter du 1er janvier 2024, l’inscription au Catalogue
officiel des espèces et variétés de plantes cultivées en France, dont les semences peuvent être contrôlées en tant que
« semences standards » (liste d des variétés sans valeur intrinsèque pour la production de légumes), des variétés
désignées ci-après :
Courgette déclarée hybride : Tivoli.
Haricot : type nain : Epicure.
Laitue : La Brillante, Laitue Gotte de Loos.
Navet : Scarlet Queen Red Stem.
Radis rave : Hilds Blauer Herbst und Winter.
Tomate : Arkansas traveller, Barbaniaka, Big White Pink Stripes, Chile verde, Ditmarsher suspension, Elberta
peach, Erika d’Australie, Green doctor’s frosted, Green Moldovan, Huge Lemon Oxheart, Jack White, Joyau
d’Oaxaca, Mikado Violetor, Mini orange, TC Jones, Tlacolula Pink, Topaz.
Art. 6. – Sont radiées de la liste a du Catalogue officiel des espèces et variétés de plantes cultivées en France, à
échéance du 31 décembre 2023, les variétés désignées ci-après :
Melon déclaré hybride : Dalton, MAB79001, MB 17415, Nun 5156, Yelostone.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Soja Attractor. Lidea France SAS (FR). Lidea France SAS (FR).
Art. 2. – Est prolongée sur la liste A du Catalogue officiel des espèces et variétés de plantes cultivées en
France, dont les semences peuvent être commercialisées en France, pour une durée de cinq ans, à compter du
1er janvier 2024, l’inscription des variétés désignées ci-après :
Soja : ES Gladiator, ES Mentor, ES Navigator, Isidor, RGT Speeda, Shama, Sultana.
Tournesol : Kendo, LG5485, SF Acteon.
Art. 3. – Est prolongée sur la liste B du Catalogue officiel des espèces et variétés de plantes cultivées en
France, pour une durée de cinq ans à compter du 1er janvier 2024, l’inscription de la variété désignée ci-après :
Tournesol : SY Excellio.
Art. 4. – Sont radiées de la liste A du Catalogue officiel des espèces et variétés de plantes cultivées en France,
à échéance du 31 décembre 2023, les variétés désignées ci-après :
Soja : Amphor, Katana, Protina, RGT Sforza, RGT Shouna, Safrana, Sheraza, Solena, Sphera.
Tournesol : Kerbel, LG5360HO, LG5524HO, LG5626HO, LG5679, NK Rocky, PR64F50, SY Flamenco, SY
Virtuoso.
Ces variétés peuvent être commercialisées jusqu’au 30 juin 2026.
Art. 5. – Sont radiées de la liste B du Catalogue officiel des espèces et variétés de plantes cultivées en France, à
échéance du 31 décembre 2023, les variétés désignées ci-après :
Tournesol : Estrada, SY Kupava
Art. 6. – Le responsable du maintien de la variété en sélection conservatrice est remplacé par « Saatbau Linz
EGen (AT) » pour les variétés de soja Abiola, Adelfia.
Art. 7. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 novembre 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur de la santé
et de la protection des végétaux,
E. KOEN
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
40, chemin du Gigot, 38340 Voreppe est agréé pour assurer la formation des candidats pour l’obtention de la
qualification d’homme de pont.
L’agrément prendra fin le 27 août 2028.
Art. 2. – L’organisme de formation Ergo Conseil et Aménagement, visé à l’article 1er assurant la formation
pour la qualification d’homme de pont en navigation intérieure est tenu de se conformer aux dispositions de
l’article A. 4231-2-6 du code des transports.
Art. 3. – Le responsable de l’organisme de formation agréé par le présent arrêté tient, conformément aux
dispositions de l’article A. 4231-2-7 du code des transports, un registre comportant notamment la liste des
candidats aux épreuves théorique et pratique, ainsi que la liste des attestations de réussite des candidats à ces
épreuves.
Art. 4. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 octobre 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le chef de département
du transport fluvial,
T. DOUBLIC
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires en date du 23 novembre 2023,
est autorisée au titre de l’année 2024, l’ouverture d’un concours sur épreuves pour le recrutement d’élèves
administrateurs des affaires maritimes.
Un concours sur épreuves est ouvert aux :
– candidats titulaires de l’un des diplômes exigés des candidats au concours externe de l’école nationale
d’administration et âgés de vingt-six ans au plus au 1er janvier 2024.
Un concours sur épreuves est ouvert aux :
– militaires non officiers, fonctionnaires de catégorie B et agents non titulaires d’un niveau équivalent de l’Etat,
des collectivités territoriales et des établissements publics qui en dépendent, y compris ceux visé à l’article 2
de la loi no 86-33 du 9 janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière,
et les agents d’un niveau équivalent en fonctions dans une organisation intergouvernementale internationale,
réunissant en cette qualité :
– au moins cinq ans de service, militaire ou civil ;
– titulaires d’un diplôme de fin de second cycle de l’enseignement secondaire général, technologique ou
professionnel ou titre reconnu équivalent, ou d’un autre titre ou diplôme classé au moins au niveau IV ;
– officiers de la marine marchande, titulaires d’un diplôme de fin de second cycle de l’enseignement secondaire
général, technologique ou professionnel ou d’un autre titre ou diplôme classé au moins au niveau IV et du
brevet de chef de quart passerelle ou machine, réunissant au moins trente mois de service en mer.
La date d’ouverture des inscriptions est fixée au lundi 11 décembre 2023 à 12 heures (heure de Paris).
La date de clôture des inscriptions est fixée au vendredi 9 février 2024 à 23 h 59 (heure de Paris), terme de
rigueur.
Les épreuves écrites se dérouleront à partir du lundi 25 mars 2024.
Les épreuves sportives et orales se dérouleront à partir du vendredi 14 juin 2024.
Le nombre total de places offertes à ce concours fera l’objet d’un arrêté du ministre de la transition écologique et
de la cohésion des territoires qui sera publié au Journal officiel de la République française.
La composition du jury fera l’objet d’un arrêté du ministère de la transition écologique et de la cohésion des
territoires.
Les demandes d’admission à concourir peuvent revêtir deux formes. Chacune des formes nécessite
l’accomplissement de deux formalités distinctes, l’une relative à l’inscription et l’autre à la transmission des
pièces justificatives. Aucune demande d’inscription hors-délais ou non conforme aux présentes instructions ne sera
prise en compte.
1. Une forme intégralement dématérialisée :
Sur internet à l’adresse :
– https://www.concours.developpement-durable.gouv.fr/eleve-administrateur-trice-des-affaires-maritimes-
a206.html puis « Télé-inscription » (4.1) ;
– https://www.concours.developpement-durable.gouv.fr/eleve-administrateur-trice-des-affaires-maritimes-
a207.html puis « Télé-inscription » (4.2).
Pour que votre inscription soit prise en compte, effectuez bien toute la procédure jusqu’à l’obtention de la
confirmation d’inscription que vous devez impérativement imprimer et conserver.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 110
Les pièces justificatives seront impérativement téléversées sur votre espace candidat au plus tard le vendredi
9 février 2024 à 23 h 59 (heure de Paris), à l’adresse suivante :
– https://www.concours.developpement-durable.gouv.fr/eleve-administrateur-trice-des-affaires-maritimes-
a206.html puis « Consultez votre dossier d’inscription » (4.1) ;
– https://www.concours.developpement-durable.gouv.fr/eleve-administrateur-trice-des-affaires-maritimes-
a207.html puis « Consultez votre dossier d’inscription » (4.2).
Le SIGYCOP sera impérativement téléversé sur votre espace candidat au plus tard le jeudi 13 juin 2024 à 12
heures (heure de Paris), à l’adresse suivante :
– https://www.concours.developpement-durable.gouv.fr/eleve-administrateur-trice-des-affaires-maritimes-
a206.html puis « Consultez votre dossier d’inscription » (4.1) ;
– https://www.concours.developpement-durable.gouv.fr/eleve-administrateur-trice-des-affaires-maritimes-
a207.html puis « Consultez votre dossier d’inscription » (4.2).
La date de fin de saisie des inscriptions par Internet fixée au 9 février 2024 à 23 h 59 (heure de Paris).
2. Une forme intégralement par dossier papier :
Les candidats ne pouvant s’inscrire par internet pourront obtenir un dossier imprimé sur demande écrite. Ce
courrier, accompagné d’une enveloppe au format 22,9 × 32,4 cm affranchie au tarif en vigueur correspondant à un
poids jusqu’à 100 g et libellée au nom et à l’adresse du candidat, devra être adressé par voie postale au : ministère
de la transition écologique, sous-direction du recrutement et de la mobilité, bureau des recrutements par concours,
pôle Administratif SG/DRH/D/RM1, concours des AAM 2024, Arche Paroi Sud, bureau 14N70, 92055 La Défense
Cedex.
Après réception des dossiers papiers, les candidats les renseignent, les signent et les renvoient à l’adresse
ci-dessus avec les pièces justificatives au plus tard, le vendredi 9 février 2024, le cachet de la poste faisant foi.
Attention : Les candidats devront donc veiller à demander leur dossier d’inscription suffisamment tôt pour tenir
compte des délais d’acheminement du courrier, afin de pouvoir respecter la date limite de fin d’inscription fixée au
vendredi 9 février 2024, le cachet de la poste faisant foi.
NB : Les questions liées à ce concours seront envoyées aux adresses courriels ci-dessous : concours.aam-ext@developpement-
durable.gouv.fr (EXTERNE 4.1), concours.aam-autresvoies@developpement-durable.gouv.fr (AUTRES VOIES 4.2).
Les candidats qui demandent un aménagement des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un
médecin agréé. Le certificat médical, qui doit avoir été établi moins de six mois avant le déroulement des épreuves,
précise la nature des aides humaines et techniques ainsi que des aménagements nécessaires pour permettre aux
candidats, compte tenu de la nature et de la durée des épreuves, de composer dans des conditions compatibles avec
leur situation.
Le certificat médical doit être transmis par le candidat au plus tard le lundi 4 mars 2024 conformément au décret
du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et aux
dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des agents
publics et des candidats en situation de handicap.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
l’exploitation d’aéronefs sans équipage à bord est remplacée par la référence aux règles applicables en métropole
en vertu de ce même règlement. » ;
3o L’article 13 est abrogé.
Art. 2. – L’arrêté du 3 décembre 2020 susvisé est modifié comme suit :
1o L’article 1er est ainsi modifié :
a) Le premier alinéa de l’article 1er est remplacé par les dispositions suivantes :
« Les documents suivants permettent à leur titulaire de conduire, jusqu’à la fin de la période transitoire fixée à
l’article 22 du règlement d’exécution (UE) 2019/947 susvisé, des opérations dans les conditions prévues au a et au
c de l’article 22 de ce même règlement : » ;
b) Le cinquième alinéa de l’article 1er est remplacé par les dispositions suivantes :
« Ces mêmes attestations permettent à leur titulaire de conduire, jusqu’à la fin de la période transitoire fixée à
l’article 22 du règlement d’exécution (UE) 2019/947 susvisé, des opérations dans les conditions prévues au b de
l’article 22 de ce même règlement avec des aéronefs sans équipage à bord dont la masse maximale au décollage est
inférieure à 250 g. » ;
2o L’article 2 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. 2. – Les documents suivants permettent à leur titulaire de conduire, jusqu’à la fin de la période
transitoire fixée à l’article 22 du règlement d’exécution (UE) 2019/947 susvisé, des opérations dans les conditions
prévues à l’article 22 de ce même règlement :
« – le certificat d’aptitude théorique de télépilote mentionné à l’article 3 de l’arrêté du 18 mai 2018 susvisé
accompagné d’une attestation de suivi de formation mentionnée à l’article D. 6214-4 du code des transports ;
ou
« – l’attestation d’aptitude aux fonctions de télépilote mentionnée à l’article D. 6214-6 du code des transports ;
ou
« – l’attestation d’aptitude mentionnée à l’article 9 de l’arrêté du 18 mai 2018 susvisé accompagnée le cas
échéant d’une attestation de suivi de formation mentionnée à l’article D. 6214-4 du code des transports, si la
décision prise en application de l’article 9 ne la comprend pas ; ou
« – une autorisation spécifique du ministre chargé de l’aviation civile prise en application des dispositions
relatives à la reconnaissance des qualifications professionnelles conformément aux articles 10 à 10.3 de
l’arrêté du 18 mai 2018 susvisé accompagnée le cas échéant d’une attestation de suivi de formation
mentionnée à l’article D. 6214-4 du code des transports, si cette autorisation ne la comprend pas ; ou
« – une décision portant dérogation prise en application des dispositions de l’article 11 de l’arrêté du
18 mai 2018 susvisé accompagnée le cas échéant d’une attestation de suivi de formation mentionnée à
l’article D. 6214-4 du code des transports, si cette décision de dérogation ne la comprend pas ; ou
« – l’attestation de réussite à l’examen théorique en ligne mentionnée au b du 4 du point UAS.OPEN.020 de la
partie A de l’annexe du règlement d’exécution (UE) 2019/947 susvisé et l’attestation de réussite à l’examen
théorique complémentaire mentionnée au c du 2 du point UAS.OPEN.030 de la partie A de l’annexe de ce
même règlement. » ;
3o L’article 4 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. 4. – Les télépilotes qui détiennent l’un des documents suivants, obtenus au plus tard le 1er janvier 2022 :
« – le certificat d’aptitude théorique de télépilote mentionné à l’article 3 de l’arrêté du 18 mai 2018 susvisé
accompagné d’une attestation de suivi de formation mentionnée à l’article D. 6214-4 du code des transports ;
ou
« – l’attestation d’aptitude aux fonctions de télépilote mentionnée à l’article D. 6214-6 du code des transports ;
ou
« – l’attestation d’aptitude mentionnée à l’article 9 de l’arrêté du 18 mai 2018 susvisé accompagnée le cas
échéant d’une attestation de suivi de formation mentionnée à l’article D. 6214-4 du code des transports, si la
décision prise en application de l’article 9 ne la comprend pas ; ou
« – une autorisation spécifique du ministre chargé de l’aviation civile prise en application des dispositions
relatives à la reconnaissance des qualifications professionnelles conformément aux articles 10 à 10.3 de
l’arrêté du 18 mai 2018 susvisé accompagnée le cas échéant d’une attestation de suivi de formation
mentionnée à l’article D. 6214-4 du code des transports, si cette autorisation ne la comprend pas ; ou
« – une décision portant dérogation prise en application des dispositions de l’article 11 de l’arrêté du
18 mai 2018 susvisé, accompagnée le cas échéant d’une attestation de suivi de formation mentionnée à
l’article D. 6214-4 du code des transports, si cette décision de dérogation ne la comprend pas ;
« – sont réputés détenir, conformément aux dispositions de l’article 21 du règlement d’exécution (UE) 2019/947
susvisé, le brevet d’aptitude de pilote à distance, prévu au 2 du point UAS.OPEN.030 du même règlement
d’exécution, valide jusqu’au 31 décembre 2025. » ;
4o L’article 5 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. 5. – Les dispositions du présent arrêté sont applicables dans les îles Wallis et Futuna, en Polynésie
française et dans les Terres australes et antarctiques françaises dans leur rédaction résultant de l’arrêté
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 110
du 27 novembre 2023 modifiant divers arrêtés relatifs aux exigences de formation et de titres applicables aux
télépilotes.
« Pour l’application du présent arrêté à Saint-Barthélemy, à Saint-Pierre-et-Miquelon, dans les îles Wallis et
Futuna, en Polynésie française et dans les Terres australes et antarctiques françaises la référence au règlement
d’exécution (UE) 2019/947 susvisé est remplacée par la référence aux règles applicables en métropole en vertu de
ce même règlement. » ;
5o L’article 6 est abrogé.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 27 novembre 2023.
Le ministre de la transition écologique
et de la cohésion des territoires,
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur de la sécurité de l’aviation civile,
P. CIPRIANI
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général des outre-mer,
O. JACOB
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 28 novembre 2023 portant déclassement de parcelles relevant du domaine public fluvial
confié à Voies navigables de France (VNF) sur le territoire de la commune de Migennes (Yonne)
NOR : TRET2332198A
situées sur la commune de Migennes, cadastrées section AX no 196 et no 198, d’une superficie respective de 416 m2
et de 766 m2 environ, ainsi que les biens immobiliers qu’elles supportent, tels que figurant en couleur verte sur les
plans annexés au présent arrêté (*).
Art. 2. – Les biens mentionnés à l’article 1er sont remis à la direction de l’immobilier de l’Etat.
Conformément à l’article L. 4316-2 du code des transports le produit de la vente est acquis à Voies navigables
de France.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 28 novembre 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le chef du département du transport fluvial,
T. DOUBLIC
(*) Ce plan peut être consulté à la direction territoriale Centre-Bourgogne de Voies navigables de France, chemin Jacques-de-
Baerze, 21062 Dijon.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 28 novembre 2023 portant déclassement d’une parcelle relevant du domaine public
fluvial confié à Voies navigables de France (VNF) sur le territoire de la commune de Vouziers
(Ardennes)
NOR : TRET2332356A
(*) Ce plan peut être consulté à la direction territoriale Bassin de la Seine de Voies navigables de France, 18, quai d’Austerlitz,
75013 Paris.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 28 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires en date du 28 novembre 2023,
est approuvé, en application des dispositions des articles L. 6351-1 à L. 6351-5 et R. 6351-1 à D. 6351-10 du code
des transports, le plan de servitudes aéronautiques de dégagement de l’aérodrome de Vitry-le-François-Vauclerc.
Les servitudes aéronautiques affectent le territoire des communes suivantes : Écriennes, Favresse,
Luxémont-et-Villotte, Matignicourt-Goncourt, Orconte, Plichancourt, Reims-la-Brûlée, Thiéblemont-Farémont et
Vauclerc, situées dans le département de la Marne.
Le plan de servitudes aéronautiques de dégagement comprend les documents annexés à l’arrêté susmentionné :
le plan d’ensemble no PSA-A1_SNIA_LFSK à l’échelle 1/25 000 ; le plan de détails no PSA-A2_SNIA_LFSK à
l’échelle 1/10 000 ; la note annexe (1), comprenant la notice explicative, la liste des obstacles donnée à titre
indicatif, et l’état des bornes de repérage d’axe et de calage.
L’arrêté du 29 mai 1972 instituant des servitudes aéronautiques pour la protection des dégagements de
l’aérodrome de Vitry-le-Francois-Vauclerc (Marne) est abrogé.
(1) Le plan de servitudes aéronautiques de dégagement de l’aérodrome de Vitry-le-François-Vauclerc (les plans et la note
annexe) est déposé à la mairie de chacune des communes mentionnées dans le présent arrêté et au siège des établissements
publics de coopération intercommunale sur le territoire desquelles sont assises les servitudes. Il est tenu à la disposition du public
dans les conditions prévues à l’article D. 6351-9 du code des transports.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 29 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 29 novembre 2001 fixant la liste des emplois
ouvrant droit à la nouvelle bonification indiciaire au titre de la politique de la ville à certains
personnels du ministère de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer, en
charge des technologies vertes et des négociations sur le climat
NOR : TREK2332601A
ANNEXE
SERVICES DE L’ÉTAT EN GUYANE
DGTM/Direction de l’aménagement des territoires et de la transition écologique
Connaissance du territoire – DATTE
Fonction exercée Niveau de qualification Nombre d’emplois Nombre de points (IM)
de l’emploi par emploi
TEXTES GÉNÉRAUX
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 4 décembre 2023 autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture d’un concours externe
par filière pour l’accès au corps des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne
NOR : TREA2331791A
Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires,
chargé des transports, en date du 4 décembre 2023, est autorisée, au titre de l’année 2024, l’ouverture d’un
concours externe par filière (MP, PC, PSI et MPI) pour l’accès au corps des ingénieurs du contrôle de la navigation
aérienne au ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, direction générale de l’aviation
civile.
Le nombre de places offertes pour chaque filière au concours externe sera fixé ultérieurement par arrêté.
La date d’ouverture des inscriptions est fixée au 9 décembre 2023.
La date de clôture des inscriptions est fixée au 16 janvier 2024 (terme de rigueur).
Les épreuves écrites d’admissibilité débuteront le 24 avril 2024.
Les épreuves orales d’admission débuteront le 24 juin 2024.
La composition du jury et la liste des candidats autorisés à concourir, feront l’objet d’un arrêté du ministre
chargé de l’aviation civile.
Nota. – Pour tous renseignements concernant le concours externe, les candidats doivent s’adresser au service du concours
commun INP, CS 44410, 31405 Toulouse Cedex 4, site internet : http://www.concours-commun-inp.fr.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
de l’article L. 162-17 est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du quatrième jour suivant la date de sa publication au
Journal officiel de la République française.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié ainsi que son annexe au Journal officiel de la République
française.
Fait, le 5 décembre 2023.
Le ministre de la santé
et de la prévention,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice L’adjoint à la sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
C. DELPECH L. BUTOR
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
ANNEXE
(8 inscriptions)
Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie sont, pour les spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la
date de publication du présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 302 799 4 6 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 10 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 799 8 4 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 10 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 798 2 3 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 798 7 8 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EVOLUPHARM)
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 110
34009 302 796 7 0 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/80 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 797 1 7 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/80 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EVOLUPHARM)
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXE
(8 inscriptions)
Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la date de publication du
présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 302 799 4 6 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 10 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 799 8 4 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 10 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 798 2 3 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 798 7 8 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EVOLUPHARM)
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 110
34009 302 796 7 0 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/80 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 797 1 7 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/80 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EVOLUPHARM)
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 6 décembre 2023 portant répartition des postes offerts au titre de l’année
universitaire 2024-2025 au concours national d’internat donnant accès au troisième cycle
spécialisé des études pharmaceutiques
NOR : SPRH2330802A
ANNEXE I
RÉPARTITION DES POSTES OFFERTS POUR LE DIPLÔME D’ÉTUDES SPÉCIALISÉES DE PHARMACIE
HOSPITALIÈRE AU CONCOURS NATIONAL D’INTERNAT DE PHARMACIE AU TITRE DE L’ANNÉE
UNIVERSITAIRE 2024-2025
REGIONS et CHU de rattachement PHARMACIE HOSPITALIERE
Auvergne-Rhône-Alpes 51
Clermont-Ferrand 9
Grenoble-Alpes 15
Bourgogne-Franche-Comté 18
Besançon 9
Dijon-Bourgogne 9
Bretagne 20
Rennes (Brest) 20
Centre-Val de Loire 15
Tours 15
Grand Est 35
Nancy 14
Reims 8
Strasbourg 13
Hauts-de-France 43
Amiens-Picardie 11
Lille 32
Île-de-France 62
Normandie 28
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 110
Caen-Normandie 13
Rouen 15
Nouvelle-Aquitaine 38
Bordeaux 18
Limoges 10
Poitiers 10
Occitanie 51
Toulouse 25
Montpellier-Nîmes 26
Pays de la Loire 30
Nantes 16
Angers 14
Provence-Alpes-Côte d’Azur 50
ANNEXE II
RÉPARTITION DES POSTES OFFERTS POUR LE DIPLÔME D’ÉTUDES SPÉCIALISÉES DE BIOLOGIE
MÉDICALE AU CONCOURS NATIONAL D’INTERNAT DE PHARMACIE AU TITRE DE L’ANNÉE
UNIVERSITAIRE 2024-2025
REGIONS et CHU de rattachement BIOLOGIE MEDICALE
Auvergne-Rhône-Alpes 33
Clermont-Ferrand 7
Grenoble 7
Bourgogne-Franche-Comté 10
Besançon 5
Dijon-Bourgogne 5
Bretagne 10
Rennes (Brest) 10
Centre-Val de Loire 9
Tours 9
Grand Est 20
Nancy 6
Reims 7
Strasbourg 7
Hauts-de-France 22
Amiens-Picardie 9
Lille 13
Ile-de-France 50
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 110
Normandie 13
Caen-Normandie 6
Rouen 7
Nouvelle-Aquitaine 25
Bordeaux 10
Limoges 8
Poitiers 7
Occitanie 22
Toulouse 11
Montpellier-Nîmes 11
Pays de la Loire 14
Nantes 8
Angers 6
Provence-Alpes-Côte d’Azur 25
Total 253
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 6 décembre 2023 portant répartition des postes offerts au titre de l’année universitaire
2024-2025 au concours d’internat à titre européen donnant accès au troisième cycle spécialisé
des études pharmaceutiques
NOR : SPRH2332677A
ANNEXE
RÉPARTITION DES POSTES OFFERTS AU CONCOURS D’INTERNAT À TITRE EUROPÉEN DONNANT ACCÈS
AU TROISIÈME CYCLE SPÉCIALISÉ DES ÉTUDES PHARMACEUTIQUES AU TITRE DE L’ANNÉE
UNIVERSITAIRE 2024-2025
REGIONS Bourgogne-Franche-Comté Île-de-France
Biologie médicale 1 1 2
Provence-
REGIONS Bourgogne- Grand Est Hauts-de Île-de-France Pays de la Alpes-Côte
Franche-Comté -France Loire d’Azur
Assistance
Assistance publique-hôpi
CHU de rattachement Besançon Strasbourg Lille publique-hôpi Nantes taux de Mar Total
taux de Paris seille
Pharmacie hospitalière 1 1 1 1 1 2 7
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 110
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 6 décembre 2023 portant répartition des postes offerts au titre de l’année universitaire
2024-2025 au concours d’internat à titre étranger donnant accès au troisième cycle spécialisé
des études pharmaceutiques
NOR : SPRH2332682A
ANNEXE
RÉPARTITION DES POSTES OFFERTS AU CONCOURS D’INTERNAT À TITRE ÉTRANGER DONNANT ACCÈS
AU TROISIÈME CYCLE SPÉCIALISÉ DES ÉTUDES PHARMACEUTIQUES AU TITRE DE L’ANNÉE
UNIVERSITAIRE 2024-2025
REGION Île-de-France
Biologie médicale 1 1
Pharmacie hospitalière 1 1 2 4
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 37 sur 110
MESURES NOMINATIVES
PREMIÈRE MINISTRE
Par décret du Président de la République en date du 6 décembre 2023, il est mis fin, à sa demande, à compter
du 5 janvier 2024, aux fonctions de président de la chambre régionale des comptes Pays de la Loire exercées par
M. Bertrand DIRINGER, conseiller maître à la Cour des comptes.
M. Bertrand DIRINGER est admis à faire valoir ses droits à la retraite, sur sa demande, à compter
du 5 janvier 2024.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 15 novembre 2023, M. RIOU Philippe, directeur départemental de 1re classe de la concurrence, de la
consommation et de la répression des fraudes, détaché sur l’emploi de directeur régional groupe 2, en fonction à
la DREETS d’Auvergne-Rhône-Alpes, et chargé des fonctions de responsable du pôle de la concurrence, de la
consommation, répression des fraudes et métrologie, est, à compter du 1er mars 2024, réintégré dans son corps
d’origine et admis à faire valoir ses droits à la retraite sur sa demande.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et
numérique, chargé des comptes publics, en date du 17 novembre 2023 :
Mme Céline SAGE, administratrice de l’Etat du 2e grade, est nommée dans l’emploi de directrice de pôle
(niveau 3 – groupe VI) à l’Ecole nationale des finances publiques pour une durée de trois ans, avec une période
probatoire de six mois, à compter du 8 janvier 2024.
M. Jean WISSON, administrateur de l’Etat du 2e grade, est nommé dans l’emploi de directeur adjoint et
responsable de pôle (niveau 4 – groupe VII) à la direction départementale des finances publiques de l’Aube pour
une durée de trois ans, avec une période probatoire de six mois, à compter du 1er janvier 2024.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 40 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 29 novembre 2023, Mme Isabelle LEDOUX-RAK, ingénieur général des mines, est admise à faire valoir ses
droits à la retraite, avec jouissance immédiate de la pension, à compter du 13 juin 2024.
L’intéressée sera radiée des cadres à cette date.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 41 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 4 décembre 2023, Mme Marianne ROSA-LAUNAY, administratrice générale des postes et télécommunica
tions, est réintégrée dans son corps d’origine et admise, sur sa demande, à faire valoir ses droits à la retraite,
à compter du 1er juillet 2024.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 42 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 5 décembre 2023, sont nommés au conseil d’administration d’Expertise France :
M. François DESCHAMPS, adjoint à la sous-directrice de la 7e sous-direction de la direction du budget, en
remplacement de Mme Anne-Hélène BOUILLON ;
Mme Shanti BOBIN, administratrice de l’Etat hors classe, en remplacement de M. Christophe BORIES.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la Première ministre en date du 6 décembre 2023, l’arrêté du 21 novembre 2023 portant nomination
de M. Franck RETHORE-COLLIN auprès du Contrôle général économique et financier est ainsi modifié :
Les mots : « pour une durée de quatre ans » sont remplacés par les mots : « pour une durée de trois ans ».
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 44 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’intérieur et des outre-mer en date du 4 décembre 2023, M. Guillaume CARDY,
commissaire général de police, directeur départemental adjoint de la sécurité publique et commissaire central
adjoint à Nice (06), est nommé contrôleur général des services actifs de la police nationale, chef du service de
recherche, assistance, intervention et dissuasion à Bièvres (91), pour une durée de trois ans, à compter
du 8 janvier 2024, renouvelable dans la limite d’une durée totale d’occupation du même emploi de six ans.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 45 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par décision du ministre de l’intérieur et des outre-mer en date du 4 décembre 2023, sont inscrits au tableau
d’avancement pour l’année 2024 les officiers dont les noms suivent :
GENDARMERIE NATIONALE
I. – OFFICIERS DE CARRIÈRE
Corps des officiers de gendarmerie
Pour le grade de colonel
Les lieutenants-colonels :
1. Messager (Xavier, André, Bernard, Pierre).
2. Boucher (Claire, Charlotte, Louise).
3. Wintzer-Wehekind (Maxime, Marie, Dimitri).
4. Petit (Mikaël, Alain, Martin).
5. Van Blitz (Grégory, Benoît, Emmanuel).
6. La Combe (Emmanuel, François, Marie, Joseph).
7. Chanon (Emmanuel, Dominique, Bertrand).
8. Bolze (David, Jean).
9. Constant (Sebastien).
10. Antégnard (Floriane, Aurore).
11. Brach (Sébastien, Charles, Henri).
12. Lauraire (Jérémy).
13. Mottier (Denis, Frédéric, Albert).
14. Poulain (Françoise, Jacqueline, Jeanne).
15. Giudici (Virginie).
16. Lacheteau (David, Yvon).
17. Camus (Jean-Marc, Raymond, Barthélemi).
18. Peron (Philippe).
19. De Decker (Jean-François).
20. Guillon (Olivier, Claude, Guy).
21. Moyon (Franck, Alain, Robert).
22. Deverre (Niels, Gaël).
23. Mialon (William, Roger).
24. Traullé (Olivier, Pascal, Georges).
25. Lothe (Gabriel, Claude, Yves-Marie).
26. Moulin (Vincent, Philippe).
27. Capron (Michaël, Daniel, Paul).
28. Fraval (Maud, Sophie, Patricia, Marie-Jeanne).
29. Grosse (Pierre-Charles, Benjamin).
30. Hingant (Aurélien, Auguste, Yves).
31. Debard (Cyril, Charles, Henri).
32. Gossement (Julien, Nicolas).
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 45 sur 110
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par décret du Président de la République en date du 6 décembre 2023, Mme Alexandra MOREAU, magistrate
du premier grade, est maintenue en position de détachement auprès de l’École nationale de la magistrature, afin
d’exercer les fonctions de coordonnatrice de formation, pour une durée de trois ans, à compter du 1er janvier 2024.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 47 sur 110
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par décret du Président de la République en date du 6 décembre 2023, vu l’avis du Conseil supérieur de la
magistrature lors de sa séance du 6 septembre 2023 :
Mme Amélie LAGUET, magistrate du second grade, est élevée au premier grade à compter du 1er janvier 2024.
Mme Amélie LAGUET, magistrate du second grade, est placée en position de détachement auprès de l’Ecole
nationale de la magistrature, afin d’exercer les fonctions de coordonnatrice de formation, pour une durée de trois
ans, à compter du 1er janvier 2024.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 48 sur 110
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par décret du Président de la République en date du 6 décembre 2023, vu l’avis du Conseil supérieur de la
magistrature lors de sa séance du 29 août 2023, Mme Caroline MAXWELL, magistrate du premier grade, est
placée en position de détachement auprès de l’Ecole nationale de la magistrature, afin d’exercer les fonctions de
coordonnatrice de formation, pour une durée de trois ans, à compter du 1er janvier 2024.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 49 sur 110
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 29 novembre 2023, M. Aurélien CARON,
maître des requêtes au Conseil d’Etat, est placé dans la position de disponibilité pour convenances personnelles en
application des dispositions du b de l’article 44 du décret no 85-986 du 16 septembre 1985 modifié relatif au régime
particulier de certaines positions des fonctionnaires de l’Etat, à la mise à disposition, à l’intégration et à la cessation
définitive de fonctions, du 1er novembre 2023 au 23 juin 2024 inclus.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 110
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 5 décembre 2023, Mme MERLIN (Manon,
Colette), épouse COMPAIN, est nommée en qualité de notaire salariée au sein de l’office de notaire dont
est titulaire la société d’exercice libéral par actions simplifiée « OFFICE LEMAN » à la résidence d’Annecy
(Haute-Savoie).
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par décret du Président de la République en date du 6 décembre 2023, sont nommés ou promus dans l’armée
active :
ARMÉE DE TERRE
I. – OFFICIERS DE CARRIÈRE
Corps des officiers des armes
Au grade de colonel
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les lieutenants-colonels :
BIGOT (Mickael).
PAILLET (Jean-Michel, Germain, Raoul).
GAUTIER (Gwenaëlle, Sylvie, Christiane).
GUILLOU (Frédéric, Christian, Marcel, Henri).
LEJEUNE (Pierre-Marie).
DUPLA (Alban, Gabriel, René, Marie).
PIOT (Benjamin, Philippe, Noël).
PARIS (Jérôme, Marie, François).
TORRENT (Clément, Marc, Luc).
Au grade de lieutenant-colonel
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les commandants :
BOCCHECIAMPE (Bruno).
REY (Stéphane, François, Jacques, Marie).
GRELET (Ludovic, Bruno, Georges).
JANIN (Paul, Jean, Marie).
FRANQUENOUL (Jean-Michel, Robert).
MASSON (Gaëtan, Michel, Georges).
LAPIERRE (Hugues).
D’HERBÈS (Olivier, Edouard, Marie, Renaud).
VIGLIANO (Laurent, Paul).
CUVELIER (Christophe).
de BOSSOREILLE de RIBOU (Thérèse, Pascale, Marie).
CHEVALLIER (Jacques-Olivier, Dominique, Jérôme).
GOUSSARD (Thomas, Robert).
ONDA (Katia).
GUÉDON (Ronan, François-Xavier).
DORBAIRE (Clément, Bastien).
PEIGNÉ (Grégoire, Marie, François).
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 110
BOUSSARD (Jean-Sébastien).
MARTIN (Jean-François, Pierre).
QUENEHEN (Luc, Charles, Gilbert).
RENAULT (Guillaume, Vincent, Joseph).
BELAIN (Nicolas).
DESACHY (Pierre, Jean, Marie).
LEFORT (Augustin, Henri, Marie).
VIEILLARD (Emmanuel, Frédéric, Antoine).
DUBOIS (Christian, François, Michel, Marie, Joseph).
Au grade de commandant
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les capitaines :
MAUTAINT (Brice).
CORPET (Judicaël, Jean-Luc, Daniel, Bernard).
URVOY de PORTZAMPARC (Arnaud, Marie, Robert).
GOURDIN (Sébastien).
ERNWEIN (Laurent).
JAUSSERAND (Mélanie, Isabelle, Corinne).
WEBER (Stéphane).
LENFANT (Floris, Antoine, Eric, Olivier).
HUGUES (Charles-Hector).
LIBAULT de LA CHEVASNERIE (Jean-Baptiste, Christian, Joseph).
GOSSELIN (Louis-Frédéric).
TENCHENI (Sébastien, Olivier).
de FLEURIAN (Charles-Alban, Marie, Bertrand).
ARRIGHI (Axelle, Delphine).
MANNECHEZ (Donatien, Bruno).
SOURD (Benjamin).
DUMAIN (Louis, Marie, Bernard).
CLEMENT (Pierre, Alexandre, Charles).
RAYNAUD (Jacques, Emmanuel, Yves, André).
MAZET (Matthieu, Jacques, Paul, Luc).
GARNIER (Solène, Monique, Jacqueline).
LABOUDIGUE (Jérémie, Mathias).
SIDOS (Romain, Pierre, Jean).
LECLERC (Julien, Pascal, Michel).
MASCARO (Fabien).
LIEBE (Raphaël, Maurice).
GUILLON-VERNE (Baptiste, Jean-Yves, Marie, Gérard).
ROULET (Quentin, Christian, Georges).
MASSIT (Benjamin, Robin).
DANEZ (Océane, Florence, Frédérique).
GRAZIANA (Alexandre, Pierre).
HARAND-BUSSON (Adrien, Marie, René).
LLORCA (Romain).
Au grade de capitaine
Pour prendre rang du 1er décembre 2023
Les capitaines sous contrat :
MAILLARD (Vianney, Jean-Yves), rang du 1er juillet 2013.
JOLY (Emmanuel, Christophe, André), rang du 1er avril 2014.
KADZIOLKA (Dominik), rang du 1er août 2015.
GARBAYE (Guillaume), rang du 1er novembre 2015.
MARCHAL (Thibaut, Hubert, Vivien), rang du 1er novembre 2015.
ROUPLY (Jérémie, Bernard, René), rang du 1er novembre 2015.
MACCANIN (Elise, Anne, Marie), rang du 1er avril 2016.
DÉRUAZ (Cédric, Nicolas), rang du 1er octobre 2016.
Au grade de commandant
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les capitaines :
PALETOU (Yan, Raymond, Oscar, Michel).
CHARRON (Caroline, Marie).
VÉRON (Jérôme, Jean, Bernard).
BARNAUD (Laurent, Emmanuel).
ROUSSEAUX (Mickaël).
FINEL (Romain).
MOURLHOU (Patrick).
ORLANDO (Vincent, François, Henri).
Au grade de lieutenant
Pour prendre rang du 1er avril 2022
Le sous-lieutenant FAVARO (Alexis, Loïc).
Au grade de commandant
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les capitaines :
DUMONDIN (Jérôme, Jean, Noël).
ROSSI (Eloïse, Myriam, Milka).
COLETTI (Jérome, Pierre, Paul).
BIENNASSIS (Gaël, Didier, Patrice).
DESFOLIES (Karine, Marie-Pierre, Nathalie).
MOREL (Marie, Clémence, Lucie).
ALLAIN (Pauline).
SICET (Jean-François, Vincent).
KERYHUEL (Isabelle, Monique, Geneviève).
MARINE NATIONALE
I. – OFFICIERS DE CARRIERE
Corps des officiers de marine
Au grade de capitaine de vaisseau
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les capitaines de frégate :
VILLEPREUX (Jérôme, François, Michel).
GUILLET (Thomas, Henri, Pierre).
LE BOUCHER d’HÉROUVILLE (Paul, Marie, Richard).
Au grade de lieutenant-colonel
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les commandants :
SOYER (Alexandre, Georges, Henri).
FOURNIER (Corentin, Jean-Philippe, Marie).
FLAVIGNY (François, Laurent, Marie, Dominique).
MORVANT (Jacky, Gilbert).
Au grade de commandant
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les capitaines :
LIBDRI (Enzo, Lucas).
GAUROIS (Damien, Jérôme).
MIRABAIL (Jérémy, Brice).
CARETTI (Maxime, Michel, Pierre).
Au grade de lieutenant-colonel
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les commandants :
LAURENT (Georges, Daniel, Philippe, Christophe).
LACHAUX (Olivier).
Au grade de commandant
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les capitaines :
BEDIER (Camille, Marie, Agathe).
LEVARLET (François-Xavier, Julien, Guillaume, Guy).
Au grade de lieutenant-colonel
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les commandants :
ZMYSLONY-RITTER (Julie).
JAURREY (Philippe, Christian, Marc).
AVOIS (Yann, Sylvain).
JONNEKIN (Alexandre, Dante).
Au grade de commandant
Pour prendre rang du 1er novembre 2023
Les capitaines :
JOYEUX (Jean, Joël).
BEAUDOUIN (Clément, Pierre-Arnaud, Marie).
Au grade de capitaine
A compter du 1er janvier 2023
La capitaine sous contrat ROBIN (Gabrielle, Désirée, Jocelyne), rang du 1er avril 2015.
VARIN (Amandine).
Au grade d’ingénieur
A compter du 1er août 2023
Les ingénieurs sous contrat :
SAVARY (Lise, Martine, Suzanne), rang au 1er mai 2018.
TROESCH (Louis-Maximilien, Pierre, Michel, Jean), rang au 1er juillet 2017.
GIRARDOT (Lucie, Clémentine, Marie), rang au 1er février 2017.
MELLAT (Stéphane), rang au 1er janvier 2013.
MAZARS (Jérôme, André, Bernard), rang au 1er avril 2017.
DUCOUX (Jérôme, Marie, Régis, Laurent, Vianney), rang au 1er avril 2017.
NGUYEN QUANG--SIMON (Shiki, Marie, Marguerite), rang au 1er mai 2018.
MIRY (Charles, Miki, Vinh), rang au 1er juillet 2014.
SCHIMMERLING (Quentin, Hervé, Laurent), rang au 1er août 2020.
BRANCAZ (Cyprien, Pierre, Alexis), rang au 1er avril 2016.
Au grade de médecin
A compter du 1er avril 2023 et pour prendre rang, sans rappel de solde, du 1er janvier 2023
L’interne ROCHE (Adeline, Anne, Hélène).
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du directeur du centre ministériel de gestion d’Arcueil en date du 15 novembre 2023, Mme Christine
LACROUTE, attachée d’administration de l’Etat, est admise à faire valoir ses droits à la retraite, sur sa demande,
à compter du 7 avril 2024.
A cette même date, l’intéressée est radiée des cadres du ministère des armées.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, du ministre du
travail, du plein emploi et de l’insertion, du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire, du ministre
de la transition écologique et de la cohésion des territoires et du ministre de la santé et de la prévention en date
du 7 novembre 2023, Mme Marta HUGAS est nommée présidente du conseil scientifique de l’Agence nationale de
la sécurité de l’alimentation, de l’environnement et du travail.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion en date du 21 novembre 2023, est nommé
membre de la commission spécialisée relative aux pathologies professionnelles du Conseil d’orientation des
conditions de travail, au titre de représentant des employeurs au sein du collège des partenaires sociaux :
Sur proposition de l’Union des entreprises de proximité (U2P) :
M. Christian PINEAU, suppléant, en remplacement de M. Jean-Baptiste MOUSTIE.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 55 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion, du ministre de la santé et de la prévention et du
ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique,
chargé des comptes publics, en date du 30 novembre 2023, Mme Valérie BARBIER est nommée agent comptable
de la caisse de retraites du personnel de la Régie autonome des transports parisiens, en remplacement de
M. Yves GUENON, à compter du 4 décembre 2023.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 56 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 24 novembre 2023 portant nomination des membres du comité parcours et carrière au
sein du ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse, du ministère de l’enseignement
supérieur et de la recherche et du ministère des sports et des jeux Olympiques et
Paralympiques
NOR : MEND2331891A
MESURES NOMINATIVES
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et de la ministre
de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 4 décembre 2023, Mme Amandine REIX est nommée
membre du conseil d’administration de l’Institut national de recherche en informatique et en automatique, en
qualité de représentante titulaire du ministre chargé de l’économie numérique, en remplacement de Mme Carole
VACHET.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 59 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire en date du 30 novembre 2023, M. Bruno
VILA, est nommé membre du conseil spécialisé de FranceAgriMer « fruits et légumes » avec voix délibérative,
en qualité de personnalité représentant la production agricole, en remplacement de M. Jacques ROUCHAUSSE,
démissionnaire.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 60 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par décret du Président de la République en date du 6 décembre 2023, M. Rodrigue AFOTA, ingénieur des ponts
et chaussées, placé en disponibilité pour suivi de conjoint, est réintégré pour ordre et radié des cadres à compter
du 21 mars 2003.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 61 sur 110
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA CULTURE
Par arrêté de la ministre de la culture en date du 1er décembre 2023, M. DELORME (Mathieu) est nommé
directeur de l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris-Est, à compter du 1er janvier 2024.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 62 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 27 novembre 2023 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « médecine générale » en application des dispositions
de l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640
du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : SPRN2333503A
Par arrêté du ministre de la santé et de la prévention en date du 27 novembre 2023, sont autorisées à exercer en
France la profession de médecin dans la spécialité « médecine générale » en application des dispositions de
l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du
21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée, les personnes dont les noms suivent :
Mme ABBOUD (Kenza), épouse MENHOUCH, née le 22 mai 1990 à Rabat (Maroc).
Mme ABDI (Nawal), épouse LAIDI, née le 17 janvier 1993 à Ain El Hammam (Algérie).
Mme ADDAD (Salima), née le 20 janvier 1989 à Mchedallah (Algérie).
Mme AHMED (Amani), née le 20 janvier 1988 à Gabes (Tunisie).
Mme AMRANE (Amel), épouse HACHEMI, née le 6 janvier 1980 à Constantine (Algérie).
Mme BACHROUCH (Aida), épouse BEN SAAD, née le 13 juillet 1989 à Nabeul (Tunisie).
Mme BEN AYED (Marwa ), épouse HICHRI, née le 5 octobre 1988 à Sousse (Tunisie).
Mme BEN AZIZA (Feriel), née le 23 mars 1989 à Menzel Temime (Tunisie).
Mme BENSEKHRI (Hayat), épouse GHERBOUDJ, née le 23 octobre 1982 à Cherchell (Algérie).
M. BOUHAMLA (Hichem), né le 9 juillet 1979 à Annaba (Algérie).
Mme DJEDDOU (Karima), épouse BOULEFTOUR, née le 30 mars 1986 à Annaba (Algérie).
M. DJEDOUR (Mohand Ameziane), né le 24 février 1989 à Larba Nath Irathen (Algérie).
Mme EL AABASSI (Mouna), née le 8 octobre 1992 à Sbata (Maroc).
Mme FARAH (Khaoula), épouse BEGHDADI, née le 14 avril 1979 à Alger (Algérie).
Mme GHARBI (Emna), née le 23 septembre 1990 à Tunis (Tunisie).
M. GUNESS (Pravesh Kumar), né le 30 octobre 1986 à Pamplemousses (Ile Maurice).
M. HADJ DAOUD (Khoudir), né le 21 octobre 1977 à Ghardaïa (Algérie).
M. HENNI (Tawfiq), né le 14 juin 1985 à Sidi Mhamed Benali (Algérie).
Mme IDIR (Souhila), épouse GHILAS, née le 28 juillet 1991 à Bejaia (Algérie).
M. JAOUADI (Mohamed Aymen), né le 17 juillet 1983 à Sousse (Tunisie).
Mme JERIDI (Sarra), épouse LITAIEM, née le 16 mars 1986 à Nouakchott (Mauritanie).
Mme MAKHLOUF (Sofia), épouse BENNADJI, née le 1er octobre 1983 à Sidi Aich (Algérie).
M. MESSAD (Mustapha), né le 26 juillet 1983 à Larba Nath Irathen (Algérie).
M. MEZGHANNI (Mohamed), né le 11 août 1985 à Sfax (Tunisie).
Mme OUSSAIFI (Rania), épouse ELAGGOUNI, née le 23 septembre 1990 à Metlaoui (Tunisie).
Mme RIAHI (Farah), née le 16 mai 1986 à La Marsa (Tunisie).
Mme SAADAOUI (Samah), épouse KAROUI, née le 13 octobre 1970 à Kasserine (Tunisie).
M. TRABELSI (Anouar), né le 5 septembre 1961 à Sousse (Tunisie).
Mme YOUSFI (Ines), née le 11 août 1985 à Kairouan (Tunisie).
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 63 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 29 novembre 2023 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France
la profession de médecin dans la spécialité « chirurgie vasculaire » en application des
dispositions de l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la
loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : SPRN2333438A
Par arrêté du ministre de la santé et de la prévention en date du 29 novembre 2023, sont autorisées à exercer en
France la profession de médecin dans la spécialité « chirurgie vasculaire », en application des dispositions de
l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640
du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée, les personnes dont les noms
suivent :
M. DJMAL (Hassen), né le 28 janvier 1987 à Sfax (Tunisie).
Mme MASMOUDI (Sayda), épouse KARRAY, née le 10 juin 1966 à Sfax (Tunisie).
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 1er décembre 2023 portant modification de l’arrêté du 10 novembre 2023 fixant la liste
des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité de
« gériatrie » en application des dispositions de l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique
et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité
sociale pour 2007 modifiée
NOR : SPRN2333486A
Par arrêté du ministre de la santé et de la prévention en date du 1er décembre 2023, l’arrêté du 10 novembre 2023
fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la profession médecin dans la spécialité « gériatrie » en
application des dispositions de l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi
no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée est modifié comme
suit :
Au lieu de lire : « Mme HAJJAJI (Siheam), épouse Basar, née le 29 janvier 1991 à Tozeur (Tunisie). »,
lire :« Mme HAJJAJI (Sihem), épouse Basar, née le 29 janvier 1991 à Tozeur (Tunisie). »
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de la santé et de la prévention en date du 5 décembre 2023, M. BAQAYS (Abdullah, Ali,
A), né le 19 septembre 1992 à Riyad (Arabie saoudite), est autorisé à exercer temporairement la médecine dans la
spécialité « dermatologie et vénéréologie » en qualité de praticien contractuel, au sein du service de dermatologie,
dirigé par le professeur Thierry Passeron – centre hospitalier universitaire de Nice, dans les conditions prévues à
son contrat de travail et sous réserve de son inscription au tableau de l’ordre des médecins.
Cette autorisation temporaire d’exercice, d’une durée de quatorze mois prendra effet à compter de la date fixée
par la convention d’accueil mentionnée à l’annexe 2 de l’arrêté du 19 mars 2018 fixant la procédure de délivrance
de l’autorisation temporaire d’exercice de la médecine, de la chirurgie dentaire ou de la pharmacie et le modèle de
convention d’accueil mentionnée à l’article R. 4111-35 du code de la santé publique.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 66 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de la santé et de la prévention en date du 5 décembre 2023, M. SAMARGANDI (Ramy),
né le 15 février 1988 à Djedda (Arabie saoudite), est autorisé à exercer temporairement la médecine dans la
spécialité « chirurgie orthopédique et traumatologique » en qualité de praticien contractuel, au sein du service de
chirurgie orthopédique et traumatologique, dirigé par le professeur Julien Berhouet – centre hospitalier
universitaire de Tours, dans les conditions prévues à son contrat de travail et sous réserve de son inscription au
tableau de l’ordre des médecins.
Cette autorisation temporaire d’exercice, d’une durée d’une année prendra effet à compter de la date fixée par la
convention d’accueil mentionnée à l’annexe 2 de l’arrêté du 19 mars 2018 fixant la procédure de délivrance de
l’autorisation temporaire d’exercice de la médecine, de la chirurgie dentaire ou de la pharmacie et le modèle de
convention d’accueil mentionnée à l’article R. 4111-35 du code de la santé publique.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 110
MESURES NOMINATIVES
cabinet chargé de l’enfance, de la parentalité et des politiques sociales et familiales, au cabinet de la ministre des
solidarités et des familles.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 7 décembre 2023.
AURORE BERGÉ
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 110
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre des sports et des jeux Olympiques et Paralympiques en date du 30 novembre 2023, est
nommé membre du conseil d’administration du centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de
Rhône-Alpes :
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion
envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés entrant
dans leur champ d’application, les stipulations de ces avenants ci-après indiqués.
Ces avenants pourront être consultés en direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des
solidarités.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toute personne intéressée sont priées de faire connaître
observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion (DGT,
bureau DS1), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
des avenants peuvent s’opposer à leur extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans
les conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Textes dont l’extension est envisagée :
Avenant no 201 du 20 septembre 2023.
Avenant no 202 du 20 septembre 2023.
Dépôt :
Direction générale du travail au ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion.
Objet :
Temps partiel pour les salariés relevant de la grille dite « générale.
Temps partiel pour les salariés relevant de la grille dite spécifique.
Signataires :
Hexopée.
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFDT et à l’UNSA.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 70 sur 110
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective nationale
des bureaux d’études techniques, cabinets d’ingénieurs-conseils, sociétés de conseils
NOR : MTRT2333022V
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion
envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés entrant
dans son champ d’application, les stipulations de l’accord ci-après indiqué.
Cet accord pourra être consulté en direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toute personne intéressée sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion (DGT,
bureau DS1) 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’accord peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans
les conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Texte dont l’extension est envisagée :
Accord du 24 octobre 2023.
Dépôt :
Direction générale du travail au ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion.
Objet :
Catégories de bénéficiaires du régime de protection sociale complémentaire.
Signataires :
Fédération des syndicats des sociétés d’ingénierie de conseils (SYNTEC).
Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du Conseil, de l’Ingénierie et du Numérique
(CINOV).
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CFDT, la CFE-CGC, à la CGT et à la CFTC.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 71 sur 110
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention collective
des industries métallurgiques et assimilées de la Vendée
NOR : MTRT2333025V
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, le ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion
envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés entrant
dans son champ d’application, les stipulations de l’accord ci-après indiqué.
Cet accord pourra être consulté en direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toute personne intéressée sont priées de faire connaître leurs
observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion (DGT,
bureau DS1), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Texte dont l’extension est envisagée :
Accord du 2 novembre 2023.
Dépôt :
Direction générale du travail au ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion.
Objet :
Taux Effectifs Garantis Annuels (TEGA).
Signataires :
Union des industries métallurgiques de la Vendée.
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CGT-FO, à la CFE-CGC, à la CFTC, à la CGT et
à la CFDT.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 72 sur 110
Naturalisations et réintégrations
Décret du 6 décembre 2023 portant naturalisation, réintégration, mention d’enfants mineurs
bénéficiant de l’effet collectif attaché à l’acquisition de la nationalité française par leurs parents
et francisation de noms et de prénoms
NOR : IOMN2331143D
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2023-2024
ORDRE DU JOUR
NOR : INPA2333729X
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2023-2024
NOR : INPA2333731X
Convocation
La Conférence, constituée conformément à l’article 47 du Règlement, est convoquée le mardi 12 décembre
2023, à 9 h 30, dans les salons de la Présidence, Salon des Jeux, rez-de-chaussée de l’Hôtel de Lassay.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 110
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2023-2024
NOR : INPA2333727X
1. Composition
Modifications à la composition des commissions
DÉMISSIONS
M. Johnny Hajjar
M. Jean-Louis Thiériot
M. Thibault Bazin
M. Inaki Echaniz
NOMINATIONS
M. Jean-Jacques Gaultier
Affaires culturelles
Mme Frédérique Meunier
2. Réunions
Mardi 12 décembre 2023
Commission des affaires étrangères,
A 18 heures (Salle Lamartine – 101, rue de l’Université, 1er sous-sol) :
– table ronde conjointe avec la commission du développement durable et de l’aménagement du territoire et la
commission de la défense nationale et des forces armées, ouverte à la presse, sur l’avenir du continent africain
face à l’enjeu climatique, avec la participation de M. Gilles Pecassou, directeur délégué de l’institut de
recherche pour le développement (IRD), M. Gilles Kleitz, directeur exécutif du développement durable de
l’Agence française du développement (AFD) et Mme Angélique Palle, chercheure associée à l’institut de
recherche stratégique de l’école militaire (IRSEM) et à l’institut national du service public (INSP).
Commission du développement durable,
A 18 heures (Salle Lamartine – 101, rue de l’Université, 1er sous-sol) :
– table ronde, conjointe avec la commission de la Défense nationale et des forces armées et la commission des
affaires étrangères, sur le thème « L’avenir du continent africain face à l’enjeu climatique », réunissant
M. Gilles Pecassou, directeur délégué de l’Institut de recherche pour le développement, M. Gilles Kleitz,
directeur exécutif du développement durable de l’Agence française de développement, et Mme Angélique
Palle, chercheuse associée à l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire et à l’Institut national du
service public.
Délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation,
A 17 h 15 (Salle 6238 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– audition de M. Patrice Vergriete, ministre délégué chargé du logement.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 110
Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes,
A 16 h 30 (Salle 6237 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– audition, ouverte la presse, de Mme Audrey Darsonville, professeure de droit pénal, M. François Lavallière,
magistrat et Mme Catherine Le Magueresse, doctoresse en droit (dans le cadre de la mission d’information sur
la définition pénale du viol) ;
– audition, ouverte la presse, de Mme Maria Rosaria Mollica, cheffe d’équipe au sein de l’unité égalité des
genres de la direction générale de la justice et des consommateurs de la Commission européenne (dans le
cadre de la mission d’information sur la définition pénale du viol).
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2023-2024
ASSEMBLÉES INTERNATIONALES
NOR : INPA2333720X
Composition
DÉLÉGATION FRANÇAISE À L’ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE DE L’OSCE
La délégation française à l’Assemblée parlementaire de l’OSCE s’est réunie le mardi 5 décembre 2023 et a
procédé au renouvellement de son bureau, qui est ainsi composé :
Président : M. Didier Paris, député.
Premier vice-président : M. Pascal Allizard, sénateur.
Vice-présidents : M. Stéphane Demilly, sénateur ; Mme Olga Givernet, députée ; Mme Gisèle Jourda, sénatrice
et M. Pascal Lecamp, député.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 110
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2023-2024
DOCUMENTS ET PUBLICATIONS
NOR : INPA2333730X
Documents parlementaires
Dépôt du jeudi 7 décembre 2023
Retrait d’une proposition de loi constitutionnelle
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu une lettre par laquelle MM. Olivier Marleix, Éric Ciotti,
Mme Annie Genevard et plusieurs de leurs collègues déclarent retirer leur proposition de loi relative à la
souveraineté de la France, à la nationalité, à l’immigration et à l’asile (no 1322), déposée le 5 juin 2023.
Acte est donné de ce retrait.
Dépôt de rapports
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 7 décembre 2023, de M. Bruno Millienne, un rapport,
no 1977, fait au nom de de la commission mixte paritaire chargée de proposer un texte les dispositions restant en
discussion de la proposition de loi relative à l’ouverture à la concurrence du réseau de bus francilien de la ratp. :
Annexe 0 : texte de la commission mixte paritaire.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 7 décembre 2023, de M. Frédéric Valletoux, un rapport,
no 1978, fait au nom de de la commission mixte paritaire chargée de proposer un texte les dispositions restant en
discussion de la proposition de loi visant à améliorer l’accès aux soins par l’engagement territorial des
professionnels. :
Annexe 0 : texte de ma commission mixte paritaire.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 7 décembre 2023, de Mme Béatrice Piron, un rapport,
no 1979, fait au nom de la commission des affaires étrangères sur le projet de loi, adopté par le Sénat après
engagement de la procédure accélérée, autorisant l’approbation de la convention entre le Gouvernement de la
République française et le Gouvernement du Royaume du Danemark pour l’élimination de la double imposition en
matière d’impôts sur le revenu et la prévention de l’évasion et de la fraude fiscales et la ratification de la convention
entre la République française et la République hellénique pour l’élimination de la double imposition en matière
d’impôts sur le revenu et pour la prévention de l’évasion et de la fraude fiscales (no 1811).
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 7 décembre 2023, de Mme Laurence Vichnievsky, un
rapport, no 1980, fait au nom de la commission des affaires étrangères sur le projet de loi autorisant la ratification
du Traité d’entraide judiciaire en matière pénale entre la République française et la République du Kazakhstan
(no 1284).
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 110
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2023-2024
AVIS ADMINISTRATIFS
NOR : INPA2333728X
AVIS DIVERS
CONSEIL GÉNÉRAL DE LA BANQUE DE FRANCE
(1 poste à pourvoir)
La Présidente de l’Assemblée nationale a désigné, le 7 décembre 2023, Mme Anne-Laure Delatte, à compter
du 5 janvier 2024.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 110
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2023-2024
NOR : INPS2333717X
Convocations
Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées
Mercredi 13 décembre 2023 à partir de 10 h 30 (Salle René Monory)
À 10 h 30 :
1o Examen des rapports et des textes proposés par la commission sur :
– le projet de loi no 815 (2022-2023) autorisant l’approbation de l’avenant entre le Gouvernement de la
République française et le Gouvernement du Grand-Duché de Luxembourg au protocole d’accord du
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 110
2o Examen des amendements de séance au texte de commission sur la proposition de loi organique no 33
(2023-2024) visant à rétablir la réserve parlementaire en faveur des communes rurales et des associations,
présentée par M. Hervé MAUREY, Mme Dominique VÉRIEN et plusieurs de leurs collègues
Délai limite pour le dépôt des amendements de séance : Lundi 11 décembre 2023, à 12 heures
3o Questions diverses.
Commission spéciale sur le projet de loi portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union
européenne
Mercredi 13 décembre 2023 à 18 h 30 (Salle Médicis) et à 20 h 30 (Salle Médicis)
À 18 h 30 (Salle Médicis)
1o Examen du rapport et élaboration du texte de la commission sur le projet de loi no 112 (2023-2024) portant
diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne en matière d’économie, de finances, de transition
écologique, de droit pénal, de droit social et en matière agricole (procédure accélérée) (rapporteurs : MM. Cyril
Pellevat et Daniel Fargeot)
Le délai limite pour le dépôt des amendements, auprès du secrétariat de la commission spéciale (Ameli
commission), est fixé au 8 décembre à 14 heures.
2o Questions diverses
À 20 h 30 (Salle Médicis)
Ouverte à l’ensemble des sénateurs, au public et à la presse. Captation vidéo.
Texte examiné conformément à la procédure de législation en commission (articles 47 ter à 47 quinquies du
Règlement du Sénat)
1o Suite de l’examen du rapport et élaboration du texte de la commission sur les articles3 examinés dans le cadre
de la procédure de législation en commission sur le projet de loi no 112 (2023-2024) portant diverses dispositions
d’adaptation au droit de l’Union européenne en matière d’économie, de finances, de transition écologique, de droit
pénal, de droit social et en matière agricole (procédure accélérée)
Le délai limite pour le dépôt des amendements, auprès du secrétariat de la commission spéciale (Ameli
commission), est fixé au 8 décembre à 14 heures.
Le délai limite de demande de retour à la procédure normale est fixé au 15 décembre à 17 heures.
2o Questions diverses
Convocation rectifiée
Mission d’évaluation et de contrôle de la sécurité sociale
Mardi 12 décembre 2023 à 17 heures (Salle 216, 2e étage aile Est)
1o Désignation du bureau
2o Adoption du programme de travail
3o Questions diverses
Convocation
Commission des affaires européennes
Mardi 12 décembre 2023 à 17 heures (Salle René Monory)
Captation vidéo.
1o Audition de M. Bruno Le Maire, Ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et
numérique, sur la réforme du Pacte de Stabilité et de Croissance1 ;
2o Questions diverses.
Mercredi 13 décembre 2023 à 13 h 30 (Salle René Monory)
1o Cybersolidarité (proposition de règlement du Parlement européen et du Conseil établissant des mesures
destinées à renforcer la solidarité et les capacités dans l’Union afin de détecter les menaces et incidents de
cybersécurité, de s’y préparer et d’y réagir - COM(2023) 209 final) : proposition de résolution européenne et avis
politique de Mmes Audrey Linkenheld, Catherine Morin-Desailly et M. Cyril Pellevat ;
2o LXXème COSAC plénière des 26 au 28 novembre 2023 à Madrid : communication de MM. Jean-François
Rapin, Claude Kern et Didier Marie ;
3o Questions diverses.
Jeudi 14 décembre 2023 à 9 heures (Salle René Monory)
1o Session d’automne de l’assemblée parlementaire de l’OSCE en Arménie, du 18 au 20 novembre 2023 :
communication de M. Pascal Allizard ;
2o Réunion des présidents des commissions des affaires européennes et des affaires étrangères, organisée par le
Parlement de la République de Moldavie à Chisinau du 3 au 5 novembre 2023 : communication de M. André
Reichardt ;
3o Liberté des médias (proposition de règlement du Parlement européen et du Conseil établissant un cadre
commun pour les services de médias dans le marché intérieur et modifiant la directive 2010-13-UE, COM(2022)
457 final) : communication de Mmes Catherine Morin-Desailly et Karine Daniel ;
4o Questions diverses.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 110
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2023-2024
DÉLÉGATIONS PARLEMENTAIRES
NOR : INPS2333725X
Convocations
Délégation aux Collectivités territoriales et à la décentralisation
Jeudi 14 décembre 2023, 9 heures, salle Médicis
– Examen du rapport relatif au statut de l’élu local portant sur les conditions de facilitation du mandat local
et sur l’amélioration des conditions de son exercice (rapporteurs : Mme Nadine Bellurot, M. Pascal Martin,
Mme Guylène Pantel) ;
– Examen du rapport relatif au statut de l’élu local portant sur la sortie du mandat local (rapporteurs :
Mme Canayer, MM. Cozic et Lahellec)
Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes
Jeudi 14 décembre 2023, salle 263 (commission des affaires économiques)
À 8h30 : Audition de Mmes Clémence Helfter, Marie-Clémence Le Pape et Catherine Collombet, co auteures
pour la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) d’un rapport sur les familles monoparentales.
À 9h30 : Audition du Secours catholique :
– M. Raphaël Badaoui, chargé d’études statistiques, co-auteur du rapport sur l’état de la pauvreté en France
2023 : Pauvretés : les femmes en première ligne ;
– Mme Sophie Rigard, chargée de projet Accès digne aux revenus.
Délégation sénatoriale aux outre-mer
Mardi 12 décembre 2023 à 18 heures, salle Médicis
Dans le cadre du rapport d’information sur l’adaptation des modes d’action de l’État dans les outre-mer,
audition des auteurs de l’étude annuelle 2023 du Conseil d’État « L’usager du premier au dernier kilomètre de
l’action publique : un enjeu d’efficacité et une exigence démocratique » :
– Mme Martine de BOISDEFFRE, présidente de la section du rapport et des études ;
– M. Fabien RAYNAUD, président adjoint et rapporteur général de la section du rapport et des études ;
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 110
– et Mme Mélanie VILLIERS, rapporteure générale adjointe de la section du rapport et des études.
Jeudi 14 décembre 2023 à 9 heures 30, salle 216 (commission des Lois)
Dans le cadre du rapport d’information sur la coopération et l’intégration régionales des outre-mer, audition
de M. Jean-Paul GUIHAUMÉ, ambassadeur, délégué pour l’action extérieure des collectivités territoriales, du
ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.
Délégation à la prospective
Mercredi 13 décembre 2023 à 13 h 30, Grande Salle Delavigne
Audition de M. Gilles Babinet, co-président du Conseil national du numérique (CNNum)
Délégation aux entreprises
Jeudi 14 décembre 2023, salle 245 (commission de la culture, de l’éducation et de la communication)
À 8h00 : table ronde sur le thème « Responsabilité sociale des entreprises : arnaque ou atout ? », avec la
participation de
– Mme Julie ANSIDÉI, managing director en charge de l’enseignement externe au sein du fonds
d’investissement BlackRock Sustainable and Transition Solutions ;
– Mme Michèle PAPPALARDO, présidente du comité du label ISR ;
– un représentant de la Plateforme RSE de France Stratégie : M. Pierre VICTORIA, président, ou Mme Sabine
BUIS, Secrétaire permanente ;
À 9h20 : table ronde sur le thème « Directive « CSRD » : reporter la complexité ? », avec la participation
de :
– M. Patrick de CAMBOURG, Président du Sustainability Reporting Board de l’European Financial Reporting
Advisory Group (EFRAG) ;
– M. Emmanuel FABER, Président de l’International Sustainability Standards Board (ISSB) [en visioconfé
rence] ;
– M. Thierry PHILIPPONNAT, Chef économiste à Finance Watch ;
Questions diverses.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 110
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2023-2024
DOCUMENTS DÉPOSÉS
NOR : INPS2333721X
Documents parlementaires
Addendum aux documents enregistrés à la Présidence du Sénat
le mardi 5 décembre 2023
Dépôt d’une proposition de loi
o
N 169 (2023-2024) Proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure
accélérée, améliorant l’efficacité des dispositifs de saisie et de confiscation des avoirs criminels, envoyée à
la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et
d’administration générale, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les
conditions prévues par le Règlement.
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire de 2023-2024
DOCUMENTS PUBLIÉS
NOR : INPS2333714X
Informations parlementaires
COMMISSIONS MIXTES PARITAIRES
NOR : INPX2333718X
1. Composition
COMMISSION MIXTE PARITAIRE
chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la proposition de loi visant à revaloriser le métier de secrétaire de mairie
À la suite des nominations effectuées par l’Assemblée nationale le mercredi 6 décembre 2023 et par le Sénat dans sa séance du mercredi 29 novembre 2023, cette
commission est ainsi composée :
Députés
Titulaires Suppléants
Sénateurs
Titulaires Suppléants
chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion du projet de loi de finances pour 2024
À la suite des nominations effectuées par l’Assemblée nationale le mercredi 6 décembre 2023 et par le Sénat dans sa séance du jeudi 7 décembre 2023, cette
commission est ainsi composée :
Députés
Titulaires Suppléants
Sénateurs
Titulaires Suppléants
chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la proposition de loi relative à l’ouverture à la concurrence
du réseau de bus francilien de la RATP
Dans sa séance du mercredi 6 décembre 2023, la commission mixte paritaire a nommé son bureau ainsi composé :
Rapporteurs
chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la proposition de loi visant à améliorer l’accès aux soins
par l’engagement territorial des professionnels
Dans sa séance du jeudi 7 décembre 2023, la commission mixte paritaire a nommé son bureau ainsi composé :
Rapporteurs
2. Réunions
Mardi 12 décembre 2023
Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion du
projet de loi de finances pour 2024,
A 21 heures (Salle 6350 – Palais Bourbon, 1er étage) :
(sous réserve des travaux du Sénat et de la demande du Gouvernement)
– nomination du bureau ;
– nomination des rapporteurs ;
– examen des dispositions restant en discussion du projet de loi.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 84 sur 110
Députés
Titulaires. - Mme Annick Cousin, Mme Sandrine Le Feur, M. Bruno Millienne, M. Thomas Portes, M. Nicolas
Ray, Mme Huguette Tiegna, M. Jean-Marc Zulesi
Suppléants. - M. Nicolas Dragon, Mme Fatiha Keloua Hachi, M. Vincent Thiébaut
Sénateurs
Titulaires. - Mme Marta de Cidrac, M. Franck Dhersin, Mme Nadège Havet, M. Olivier Jacquin, M. Didier
Mandelli, M. Philippe Tabarot, M. Simon Uzenat
Suppléants. - M. Vincent Capo-Canellas, M. Jacques Fernique, M. Louis Vogel
Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la
proposition de loi visant à améliorer l’accès aux soins par l’engagement territorial des professionnels
Réunion du jeudi 7 décembre 2023 à 9 h 10
Députés
Titulaires. - M. Hadrien Clouet, M. Thierry Frappé, M. Yannick Neuder, Mme Charlotte Parmentier-Lecocq,
M. Jean-François Rousset, M. Nicolas Turquois, M. Frédéric Valletoux
Suppléants. - Mme Nicole Dubré-Chirat, M. Philippe Frei, M. Guillaume Garot, Mme Mathilde Hignet,
M. Sébastien Peytavie
Sénateurs
Titulaires. - Mme Corinne Imbert, M. Bernard Jomier, Mme Florence Lassarade, M. Philippe Mouiller,
Mme Émilienne Poumirol, Mme Nadia Sollogoub
Suppléants. - Mme Corinne Bourcier, Mme Jocelyne Guidez, Mme Anne Souyris
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 110
Informations parlementaires
OFFICES ET DÉLÉGATIONS
NOR : INPX2333719X
1. Réunions
Jeudi 14 décembre 2023
Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques,
A 9 h 30 Assemblée nationale (Salle 7040 – 103, rue de l’Université, 2e sous-sol) :
– examen des conclusions de l’audition publique du 23 novembre 2023 sur le développement des réacteurs
nucléaires innovants en France (Mme Olga Givernet, députée, et M. Stéphane Piednoir, sénateur,
rapporteurs) ;
– examen du rapport publiant les actes du 40e anniversaire de l’Office (M. Pierre Henriet, député, et
M. Stéphane Piednoir, sénateur, rapporteurs) ;
– questions diverses.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 110
Avis et communications
La direction générale des finances publiques organise, au titre de l’année 2024, un concours professionnel pour
l’accès au grade de contrôleur des finances publiques de 1re classe.
Avis et communications
L’emploi de responsable de pôle de la direction départementale des finances publiques de la Haute-Savoie est
vacant depuis le 1er février 2023.
Il est situé 18, rue de la Gare à Annecy.
Environnement
o
Créée par le décret n 2008-310 du 3 avril 2008 modifié relatif à la direction générale des finances publiques, la
direction générale des finances publiques (DGFiP) est chargée de nombreuses missions dont elle assure la
conception et la mise en œuvre. Elle dispose à cette fin de services centraux et d’un important réseau déconcentré,
présent sur l’ensemble du territoire national, en métropole, dans les outre-mer et à l’étranger. Son action la conduit
également à participer à des négociations et des coopérations internationales.
La DGFiP est une administration d’autorité au cœur du fonctionnement de l’Etat et des finances publiques,
interlocuteur privilégié des entreprises et des collectivités locales. Chacun de ses agents incarne cette image du
service public d’Etat, avec ses valeurs d’intégrité, de neutralité et de secret professionnel.
Les directions territoriales des finances publiques sont principalement chargées des missions suivantes :
– missions fiscales : assiette, contrôle et recouvrement des impôts, cotisations et taxes de toute nature, tenue du
cadastre et de la publicité foncière ;
– missions de gestion publique : contrôle et paiement des dépenses publiques, production des comptes de l’Etat,
gestion financière et comptable des collectivités locales et de leurs établissements, vérification de l’utilisation
des fonds publics, opérations de trésorerie de l’Etat, gestion des dépôts de fonds et activité de préposé de la
Caisse des dépôts et consignations, gestion domaniale, action économique et financière.
La direction départementale des finances publiques de la Haute-Savoie est une direction territoriale comportant
994 agents, répartis entre les services de direction et les services infra départementaux au nombre de 33.
Les services de direction comprennent aujourd’hui outre la directrice départementale des finances publiques,
deux pôles : le pôle animation du réseau et le pôle état et expertise fiscale. Cette organisation est appelée à évoluer
très prochainement avec la création du pôle ressources et projets. Le pôle ressources et projets est composé des
divisions ressources humaines, budget logistique immobilier, stratégie et il assure le pilotage des chantiers
transverses en cours et à venir en lien avec le cadre objectifs et moyens. Le pôle est dirigé par la directrice ou le
directeur de pôle.
numérique, la mission d’accueil des usagers, la responsabilité managériale et le parcours de carrière des cadres
ainsi que les conditions de vie au travail. Il devra par ailleurs porter les évolutions d’organisation et de processus de
travail transverses nécessaires pour que les missions de relation à l’usager et de contrôle de gestion répondent aux
ambitions du nouveau cadre d’objectifs et de moyens.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat et l’arrêté du 3 juin 2020 modifié fixant les modalités de recrutement de
ces emplois de direction relevant de la DGFiP, à savoir :
– pour les fonctionnaires : appartenance à un corps ou un cadre d’emploi relevant de la catégorie A dont l’indice
terminal est au moins égal à l’indice brut 1350 (ex : corps des administrateurs de l’Etat, des administrateurs
des finances publiques…) ou détachement pendant au moins 3 ans dans un emploi culminant à l’indice brut
1350. Sont également recevables les officiers supérieurs détenant au moins le grade de lieutenant-colonel ou
ayant occupé un emploi conduisant à nomination dans la classe fonctionnelle du grade de commandant, les
membres du corps du contrôle général des armées, les magistrats de l’ordre judiciaire ainsi que les
administrateurs des services de l’Assemblée nationale et du Sénat ;
– pour les non fonctionnaires : avoir exercé des responsabilités d’un niveau comparable à celles dévolues aux
fonctionnaires mentionnés ci-dessus.
Les personnes mentionnées aux deux alinéas précédents doivent justifier d’au moins 6 années d’activités
professionnelles diversifiées les qualifiant particulièrement pour l’exercice de fonctions supérieures de direction,
d’encadrement ou d’expertise.
Le ou la titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale d’occupation de six ans, avec une période probatoire de six mois.
La rémunération résulte des décrets no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement,
d’avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat et
no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire applicable
à l’encadrement supérieur de l’Etat et de l’arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des
administrateurs de l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime
indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la
fonction publique de l’Etat.
Conformément aux dispositions de l’arrêté du 8 décembre 2022 pris pour l’application de l’article 11 du décret
no 2022-644 du 25 avril 2022 relatif aux emplois de direction de la direction générale des finances publiques et
modifiant le statut particulier des administrateurs des finances publiques et de l’arrêté du 23 novembre 2022
susmentionné, cet emploi relève respectivement du groupe VII et du quatrième niveau qui tient compte du niveau
de responsabilité, du champ d’action, du degré d’expertise exigé et de la technicité requise pour l’occuper.
La rémunération brute globale annuelle est composée d’une part indiciaire et d’une part indemnitaire résultant de
l’application de l’arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction
publique de l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire
tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction
publique de l’Etat.
La rémunération dépend de l’expérience professionnelle du candidat et varie, pour les agents ayant la qualité de
fonctionnaire selon le grade détenu par le titulaire de l’emploi.
A titre indicatif, l’arrêté précité prévoit pour les emplois de ce niveau une part fixe comprise entre 4 750 €
minimum et 63 000 € maximum par an (1) à laquelle peut s’ajouter une part variable (complément indemnitaire
annuel) plafonnée à 27 000 € en fonction des résultats atteints.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 modifié relatif aux emplois de direction de l’Etat et par les articles 2 à 8 de l’arrêté du
3 juin 2020 modifié fixant les modalités de recrutement des emplois de direction de l’Etat relevant de la DGFiP.
Concernant cet emploi, l’autorité de recrutement et l’autorité dont relève l’emploi est le directeur général des
finances publiques.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 87 sur 110
Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française à la délégation encadrement supérieur et talents de la
DGFiP, exclusivement à l’adresse suivante : recrutements-emplois-direction@dgfip.finances.gouv.fr.
Le dossier de candidature doit impérativement comprendre :
– une lettre de motivation ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les agents publics n’appartenant pas à la DGFiP, les candidatures doivent être accompagnées :
– d’un état de services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– de la grille indiciaire de leur corps d’origine.
Pour les candidats ou les candidates originaires du secteur privé, les candidatures seront accompagnées du
dernier contrat de travail.
(1) Les barèmes indemnitaires applicables aux emplois de ce groupe à l’intérieur de cette fourchette sont en cours
d’actualisation dans le cadre des travaux liés à la réforme de la haute fonction publique conduits en interministériel.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 88 sur 110
Avis et communications
L’emploi de directeur du pôle pilotage et ressources de la direction départementale des finances publiques du
Puy-de-Dôme sera vacant à compter du 1er mars 2024.
Il est situé 2, rue Gilbert-Morel, à Clermont-Ferrand.
Environnement
o
Créée par le décret n 2008-310 du 3 avril 2008 modifié relatif à la direction générale des finances publiques, la
direction générale des finances publiques (DGFiP) est chargée de nombreuses missions dont elle assure la
conception et la mise en œuvre. Elle dispose à cette fin de services centraux et d’un important réseau déconcentré,
présent sur l’ensemble du territoire national, en métropole, dans les outre-mer et à l’étranger. Son action la conduit
également à participer à des négociations et des coopérations internationales.
La DGFiP est une administration d’autorité au cœur du fonctionnement de l’Etat et des finances publiques,
interlocuteur privilégié des entreprises et des collectivités locales. Chacun de ses agents incarne cette image du
service public d’Etat, avec ses valeurs d’intégrité, de neutralité et de secret professionnel.
Les directions territoriales des finances publiques sont principalement chargées des missions suivantes :
– missions fiscales : assiette, contrôle et recouvrement des impôts, cotisations et taxes de toute nature, tenue du
cadastre et de la publicité foncière ;
– missions de gestion publique : contrôle et paiement des dépenses publiques, production des comptes de l’Etat,
gestion financière et comptable des collectivités locales et de leurs établissements, vérification de l’utilisation
des fonds publics, opérations de trésorerie de l’Etat, gestion des dépôts de fonds et activité de préposé de la
Caisse des dépôts et consignations, gestion domaniale, action économique et financière.
La DDFiP du Puy-de-Dôme compte 839 emplois répartis sur l’ensemble du département. Elle est composée de
15 services comptables infra départementaux répartis sur 5 sites, 5 services infra départementaux non comptables
et comporte 7 services supra départementaux.
l’allocation des moyens aux besoins des métiers via la gestion des affectations et la formation professionnelle. Sur
l’ensemble des sujets traités au sein du pôle, le ou la titulaire s’assure de la bonne coordination des travaux
conduits avec les différentes composantes et les responsables des pôles métiers. Le périmètre du poste pourra faire
l’objet d’évolution fonctionnelle.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat et l’arrêté du 3 juin 2020 modifié fixant les modalités de recrutement de
ces emplois de direction relevant de la DGFiP, à savoir :
– pour les fonctionnaires : appartenance à un corps ou un cadre d’emploi relevant de la catégorie A dont l’indice
terminal est au moins égal à l’indice brut 1350 (ex : corps des administrateurs de l’Etat, des administrateurs
des finances publiques…) ou détachement pendant au moins 3 ans dans un emploi culminant à l’indice brut
1350. Sont également recevables les officiers supérieurs détenant au moins le grade de lieutenant-colonel ou
ayant occupé un emploi conduisant à nomination dans la classe fonctionnelle du grade de commandant, les
membres du corps du contrôle général des armées, les magistrats de l’ordre judiciaire ainsi que les
administrateurs des services de l’Assemblée nationale et du Sénat ;
– pour les non fonctionnaires : avoir exercé des responsabilités d’un niveau comparable à celles dévolues aux
fonctionnaires mentionnés ci-dessus.
Les personnes mentionnées aux deux alinéas précédents doivent justifier d’au moins 6 années d’activités
professionnelles diversifiées les qualifiant particulièrement pour l’exercice de fonctions supérieures de direction,
d’encadrement ou d’expertise.
Le ou la titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale d’occupation de six ans, avec une période probatoire de six mois.
La rémunération résulte des décrets no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement,
d’avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat et
no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire applicable
à l’encadrement supérieur de l’Etat et de l’arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des
administrateurs de l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime
indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la
fonction publique de l’Etat.
Conformément aux dispositions de l’arrêté du 8 décembre 2022 pris pour l’application de l’article 11 du décret
no 2022-644 du 25 avril 2022 relatif aux emplois de direction de la direction générale des finances publiques et
modifiant le statut particulier des administrateurs des finances publiques et de l’arrêté du 23 novembre 2022
susmentionné, cet emploi relève respectivement du groupe VII et du quatrième niveau qui tient compte du niveau
de responsabilité, du champ d’action, du degré d’expertise exigé et de la technicité requise pour l’occuper.
La rémunération brute globale annuelle est composée d’une part indiciaire et d’une part indemnitaire résultant de
l’application de l’arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction
publique de l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire
tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction
publique de l’Etat.
La rémunération dépend de l’expérience professionnelle du candidat et varie, pour les agents ayant la qualité de
fonctionnaire selon le grade détenu par le titulaire de l’emploi.
A titre indicatif, l’arrêté précité prévoit pour les emplois de ce niveau une part fixe comprise entre 4 750 €
minimum et 63 000 € maximum par an (1) à laquelle peut s’ajouter une part variable (complément indemnitaire
annuel) plafonnée à 27 000 € en fonction des résultats atteints.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 modifié relatif aux emplois de direction de l’Etat et par les articles 2 à 8 de l’arrêté
du 3 juin 2020 modifié fixant les modalités de recrutement des emplois de direction de l’Etat relevant de la DGFiP.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 88 sur 110
Concernant cet emploi, l’autorité de recrutement et l’autorité dont relève l’emploi est le directeur général des
finances publiques.
Dossier de candidature :
Le dossier de candidature doit être transmis dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française à la délégation encadrement supérieur et talents de la
DGFiP, exclusivement à l’adresse suivante : recrutements-emplois-direction@dgfip.finances.gouv.fr.
Le dossier de candidature doit impérativement comprendre :
– une lettre de motivation ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les agents publics n’appartenant pas à la DGFiP, les candidatures doivent être accompagnées :
– d’un état de services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– de la grille indiciaire de leur corps d’origine.
Pour les candidats ou les candidates originaires du secteur privé, les candidatures seront accompagnées du
dernier contrat de travail.
(1) Les barèmes indemnitaires applicables aux emplois de ce groupe à l’intérieur de cette fourchette sont en cours
d’actualisation dans le cadre des travaux liés à la réforme de la haute fonction publique conduits en interministériel.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 110
Avis et communications
Un emploi de chef de service (classe I) est susceptible d’être vacant au ministère de l’intérieur et des outre-mer.
Cet emploi est affecté à la délégation à l’immigration de la préfecture de police.
Créée en 2021, la délégation à l’immigration est chargée de :
– la mise en œuvre des compétences du préfet de police en matière de droit d’asile, d’entrée et de séjour des
étrangers ainsi qu’en matière de lutte contre l’immigration irrégulière ;
– l’orientation de l’action des forces de l’ordre en matière de lutte contre l’immigration irrégulière en lien étroit
avec les autoirités d’emploi ;
– l’animation et la coordination des dispositifs mis en place dans la zone de défense et de sécurité de Paris pour
répondre aux enjeux migratoires.
Au sein de cette structure, le titulaire de l’emploi exerce les fonctions de chef du service de l’administration des
étrangers (SAE) et adjoint au préfet délégué à l’immigration.
A ce titre, il est responsable :
– de la bonne organisation de l’accueil des usagers du service tant en ce qui concerne la délivrance des titres de
séjour (260 000 personnes par an), l’enregistrement de la demande d’asile (27 000 personnes par an) ou
l’accès à la nationalité française (7 800 personnes par an). A ce titre, il assure la conduite du changement
induit par le déploiement des téléprocédures tant en ce qui concerne l’accompagnement des usagers que
l’adaptation des méthodes de travail des collaborateurs ;
– de la qualité juridique des décisions rendues et de l’optimisation des chaines d’instruction ;
– de la mise en œuvre de la lutte contre l’immigration irrégulière. Dans ce cadre, il est le garant de la bonne
coordination des services impliqués (forces de l’ordre, préfectures) et il supervise l’action de la cellule de
coordination zonale chargée du placement en rétention administrative pour l’ensemble des départements
franciliens ;
– du pilotage des ressources humaines (650 agents) des moyens budgétaires et immobiliers (7 sites de la
délégation en lien étroit avec les directions compétentes de la préfecture de police).
En outre, le chef du SAE assure le lien avec les nombreux partenaires de la délégation : directions du ministère
de l’intérieur et des outre-mer (direction générale des étrangers en France, direction des libertés publiques et des
affaires juridiques), préfecture de la région Ile-de-France et préfectures de la zone de défense, forces de l’ordre,
Office français de l’immigration et de l’intégration, Office français de protection des réfugiés et apatrides,
universités et grandes écoles, représentations diplomatiques étrangères, associations, etc.
Adjoint de la préfète déléguée à l’immigration de la préfecture de police, le chef du service de l’administration
des étrangers assure son intérim ou sa suppléance, en cas d’absence ou d’empêchement.
– aptitude à décider et/ou conseiller dans l’urgence sur des dossiers sensibles.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif
aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 16 et 23 notamment).
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans, renouvelable dans la limite de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
Cet emploi est classé dans le groupe 1 en application de l’arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains
emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création du
RIFSEEP.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Sous-réserve de la réforme de la
haute fonction publique en cours, elle comprend une part fixe brute comprise entre 103 300 € et 140 200 € et peut
être augmentée par une part variable annuelle dont le montant maximum est fixé à 14 800 € brut.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 5 et 23 du décret
no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi de chef de service :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur et des outre-mer ;
– l’autorité dont relève l’emploi est le préfet de police.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures et audition des candidats :
Les candidatures présélectionnées par l’autorité de recrutement sont auditionnées par un comité réuni sous la
présidence du secrétaire général du ministère de l’intérieur ou de son représentant et composé des membres prévus
à l’article 23 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019. Outre son président, ce comité comprend :
– le directeur auprès duquel le chef de service doit être placé ;
– une personne occupant des fonctions la qualifiant particulièrement en raison de ses compétences dans le
domaine des ressources humaines, dont la liste est fixée par arrêté de la Première ministre et du ministre
chargé de la fonction publique ;
– une personne extérieure à l’administration d’emploi.
Le ministre peut, en outre, désigner une autre personne travaillant au sein de l’administration dont relève
l’emploi.
A l’issue des auditions, le comité établit un document précisant les appréciations portées sur chaque candidat
sélectionné au regard de ses qualifications, compétences, aptitudes, de son expérience professionnelle et de sa
capacité à exercer les missions dévolues à l’emploi à pourvoir. Ce document ainsi que la liste des candidats qu’il
estime les plus qualifiés pour occuper l’emploi à pourvoir permettra de proposer à l’autorité investie du pouvoir de
nomination le nom du candidat susceptible d’être nommé.
Nomination par l’autorité de recrutement :
A l’issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats auditionnés non retenus pour occuper
l’emploi à pourvoir sont informés.
Dossier de candidature :
Le dossier de candidature doit être transmis dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur, ayant accès à son intranet, sur le site MOB-MI
accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?LCID=1036.
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance, référencé MINT-CS-DI-PP-2023-77355, est accessible en renseignant
les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-CS-DI-PP-2023-77355 ;
– ou catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance publiés sur des
emplois de direction de l’Etat au sein de l’administration centrale et territoriale du ministère de l’intérieur.
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur, sur le site Choisir le service
public : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 110
Sur le site Choisir le service public, l’avis de vacance, référencé MINT_MINT-CS-DI-PP-2023-77355, est
accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : chef de service ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– employeur : ministère de l’intérieur ;
– localisation : Paris.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état de services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les agents n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Déontologie
o
Conformément à l’article 2 du décret n 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique,
l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf.
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes qui exercent ou ont exercé une activité au cours des trois dernières années une activité privée
lucrative, l’autorité hiérarchique dont relève l’emploi apprécie la compatibilité de cette activité avec les fonctions
envisagées. Lorsque l’autorité hiérarchique a un doute sérieux, elle saisit pour avis, préalablement à sa décision, le
référent déontologue. Lorsque l’avis de ce dernier ne permet pas de lever ce doute, l’autorité hiérarchique saisit la
Haute Autorité, en application de l’article L. 124-7 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 12-II).
Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions
du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 110
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 90 sur 110
Avis et communications
NOR : IOMA2333443V
Intérêt du poste
Sous l’autorité du préfet de département, le directeur départemental met en œuvre les politiques publiques en
matière de protection des populations relevant de quatre ministères différents : le ministère de l’intérieur et des
outre-mer, le ministère de l’économie, des finances, de la souveraineté industrielle et numérique, le ministère de
l’agriculture et de la souveraineté alimentaire, ainsi que le ministère de la transition écologique et de la cohésion
des territoires.
Il manage une équipe interministérielle de 53 agents. L’intérêt du poste, situé dans un territoire divers, réside
dans l’animation de politiques publiques variées et la richesse des dossiers traités en matière de prévention des
risques sanitaires, alimentaires, économiques et environnementaux, la sécurité des établissements recevant du
public et le travail interministériel tant au sein de la DDPP qu’avec les autres services de l’Etat et les nombreux
partenaires et interlocuteurs de la DDPP.
Cette activité diversifiée du territoire permet d’appréhender les domaines entrant dans le champ de compétence
des DDPP : prévention et gestion des risques en santé et protection des animaux et en environnement (installations
classées et faune sauvage captive), contrôle de l’hygiène et de la sécurité des aliments, contrôle de la conformité et
la sécurité des produits non alimentaires et des prestations de service, protection économique du consommateur,
veille concurrentielle dans la commande publique, prévention des risques en matière de protection civile dans les
ERP et campings.
Le directeur départemental a compétence sur l’ensemble de la direction et dispose d’une délégation du préfet
dans la mise en œuvre des politiques publiques de la DDPP.
Missions
Le directeur départemental de la protection des populations est chargé de mettre en œuvre, sous l’autorité du
préfet, les politiques publiques relevant de la compétence de cette direction, et s’investit dans la réalisation des
missions suivantes, telles que définies à l’article 5 du décret no 2009-1484 du 3 décembre 2009 relatif aux
directions départementales interministérielles :
– il définit les orientations stratégiques et des priorités en lien avec le préfet et les directions régionales dans les
domaines des politiques publiques dont il a la charge ;
– il coordonne les services techniques opérationnels et concourt au développement de la cohérence
transversale ;
– il assure le secrétariat de la commission consultative départementale de sécurité et d’accessibilité, le
secrétariat des commissions d’arrondissement de sécurité et d’accessibilité et la présidence des commissions
d’arrondissement et de la sous-commission départementale de sécurité en liaison avec les sous-préfets ;
– il assure la représentation de la direction ;
– il suit la démarche qualité et veille au pilotage de la performance de la direction ;
– il anime le volet communication de la direction ;
– il prépare à la gestion de crise ;
– il participe au pilotage du secrétariat général commun.
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Environnement
Le poste est situé à Toulon (boulevard du 112e régiment d’infanterie), siège de la DDPP, qui dispose de deux
implantations géographiques dans cette même ville et une antenne à Draguignan. ville peuplée de 176 198 habitants,
Toulon se trouve au cœur d’une aire urbaine de 600 000 habitants.
Premier département touristique de France, l’activité agricole du Var s’articule autour de deux productions
majeures : vins et fleurs qui représentent 85 % de la potentialité agricole du département. Depuis le début des
années 2000, l’arboriculture et l’élevage ovin subissent une chute du nombre d’exploitants. Sa position
géographique en bord de mer implique une circulation importante, une population nombreuse pendant la période
estivale et une vigilance sanitaire accrue autour des maladies émergentes. En 2024, les enjeux particuliers sont la
mise en œuvre de la police unique de l’alimentation dans un département très touristique et l’accompagnement du
plan Cités qui permettra le regroupement de la DDPP.
Sous l’autorité du préfet de département, la DDPP entretient, à l’échelle régionale, des liens étroits avec la
direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (DRAAF), la direction régionale de l’économie,
de l’emploi, du travail et des solidarités (DREETS) et la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement
et du logement (DREAL).
Au plan départemental, elle travaille en liaison avec tous les services de l’Etat et particulièrement les services de
la préfecture et les sous-préfets, la direction départementale des territoires (DDTM), les unités territoriales des
directions régionales précitées et de l’Agence régionale de santé (ARS), l’Office français de biodiversité (OFB), les
services de la justice, les forces de sécurité. Dans le cadre des missions de protection civile, elle est en lien avec le
service départemental d’incendie et de secours (SDIS) et les élus.
Profil recherché/Compétences
Les candidats doivent posséder une solide expérience (au moins 6 ans) d’encadrement direct d’un service
important composé d’équipes pluridisciplinaires, portant des politiques publiques dans les domaines de la
protection des populations. La capacité à manager en mode projet et à accompagner les changements doit être
particulièrement mise en évidence dans la présentation de l’expérience des candidats. Ils doivent être en mesure
d’assumer des responsabilités de direction stratégique, de conduire des négociations et de représenter le préfet en
situation complexe et plus largement de savoir-faire face à la pression.
La fonction de directeur implique en particulier :
– une bonne maîtrise des méthodes de management permettant l’encadrement et l’animation d’une équipe
pluridisciplinaire et interministérielle ;
– une capacité à piloter des projets et faire prévaloir les enjeux de politiques publiques ;
– une aptitude à la communication, à faire évoluer, mobiliser, faire progresser, enfin à l’écoute, au dialogue
social formel et informel et au travail en réseau ;
– une capacité d’anticipation et de vision prospective ;
– une capacité à organiser les équipes et à décider en situation d’urgence ou de crise ;
– de la loyauté, de la réactivité, du sens de l’initiative, des facultés d’analyse et de synthèse.
Conditions d’emploi
Cet emploi, à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 9 et 47 à 49 notamment), et par l’article 7 de l’arrêté du 30 juillet 2021
fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du
secrétariat général du ministère de l’intérieur, est classé dans le groupe III en application des dispositions de
l’arrêté du 29 décembre 2009 modifié, fixant la liste et le classement par groupes des emplois de direction des
directions départementales interministérielles.
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de quatre ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part fixe
brute comprise entre 65 800 € et 115 000 €. A l’intérieur de cette fourchette, si le titulaire de l’emploi est un
fonctionnaire, sa rémunération est établie au regard de son classement dans sa grille indiciaire. Pour les personnes
n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la durée et du niveau des expériences
professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir. Cette rémunération fixe peut être complétée par
une part variable annuelle (complément indemnitaire annuel), qui dépend de la manière de servir, et dont le
montant maximum est fixé à 8 820 €, sous réserve de la déclinaison ministérielle de la réforme de la haute fonction
publique.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
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Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis, dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, par voie dématérialisée :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur et des outre-mer, ayant accès à son intranet, sur le site
MOB-MI accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?
LCID=1036.
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance est accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre MINT-DDPP83-2023-77291 ; ou
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance sur des emplois de
direction de l’administration territoriale de l’Etat publiés par le ministère de l’intérieur et des outre-mer.
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur et des outre-mer, sur le site
« Choisir le service public » : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/.
Sur le site « Choisir le service public » l’avis de vacance, référencé MINT_MINT-DDPP83-2023-77291, est
accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : directeur départemental interministériel ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– localisation : sélectionner le département concerné par cet avis.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
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Déontologie
o
Conformément à l’article 2 du décret n 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique,
l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : https://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf.
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de direction de l’administration territoriale de
l’Etat suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonction, un séminaire de prise de poste.
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
M. Lucien GIUDICELLI, secrétaire général du Var, tél. : 04-94-18-81-86, courriel : secretaire-general@var.
gouv.fr ;
M. Jocelyn SNOECK, délégué à la mobilité et aux carrières des emplois de direction de l’administration,
territoriale de l’Etat au ministère de l’intérieur et des outre-mer, tél. : 01-49-27-38-20, courriel : jocelyn.
snoeck@interieur.gouv.fr.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 14-I).
Arrêté du 10 janvier 2017 pris pour l’application aux emplois de direction de l’administration territoriale de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 30 juillet 2021 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant,
pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l'Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d'avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l'échelonnement indiciaire
applicable à l'encadrement supérieur de l'Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l'application au corps des administrateurs de l'Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l'application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l'État des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de
l'Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d'avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 110
Avis et communications
Un emploi de chargé de mission à temps plein auprès du préfet de la région Normandie en charge des dossiers
relatifs à l’environnement, au patrimoine et à la culture est vacant au secrétariat général pour les affaires régionales
de Normandie, pôle « politiques publiques », à compter du 1er janvier 2024.
Intérêt du poste
Placé sous l’autorité hiérarchique du préfet, du secrétaire général aux affaires régionales et sous l’autorité
fonctionnelle de l’adjointe au secrétaire général pôle politiques publiques, le chargé de mission a en charge le suivi
des politiques de l’Etat en matière d’environnement et de culture et de patrimoine
Il assure le rôle de conseiller pour le suivi des enjeux liés à son portefeuille : préservation et restauration des
milieux et des espèces, protection de la biodiversité avec un point de vigilance sur les secteurs des parcs naturels
régionaux, renaturation et sécheresse, trame verte et bleue, soutien des créations artistiques et des arts vivants,
participation à la gouvernance des grands dossiers structurants (Haras du Pin, Tapisserie de Bayeux, château de
Gaillon, Opéra de Rouen et orchestre régional de Normandie notamment), en lien avec les préfectures de
département et la DRAC, développement de la culture dans les milieux ruraux et quartiers prioritaires, sans que
cette liste ne soit exhaustive.
Le chargé de mission sera également référent pour le suivi du dossier du Mont-Saint-Michel : le territoire
d’influence de la Baie du Mont-Saint-Michel relève de gouvernances spécifiques en fonction des thématiques
abordées (risques naturels, préservation de la biodiversité, restauration de la qualité des eaux, développement
économique et touristique préservant la valeur universelle exceptionnelle du bien UNESCO). Il est un territoire à
part entière, transcendant les limites administratives et croisant de multiples enjeux, à l’échelle nationale et
internationale.
Il pourra être associé à l’émergence et le déploiement de projets culturels liés à la préparation du 80e anniversaire
du débarquement et de la bataille de Normandie.
Il peut être amené à représenter le préfet de région au sein des différentes instances techniques.
Missions
Les principales activités consistent à :
– animer les politiques publiques, notamment dans leurs dimensions interministérielles et territoriales ;
– préparer la mission du préfet de région, ses dossiers et interventions en lien avec les services concernés ;
– suivre et coordonner l’action de l’Etat au niveau régional dans les domaines concernés ;
– apporte son expertise sur les domaines d’intervention de l’Etat en région pour les politiques publiques de
l’environnement, de la biodiversité et de la production culturelle et artistique ; pour ce faire, il ou elle met en
œuvre les relations partenariales indispensables pour accompagner le suivi des projets et dossiers régionaux ;
– veille également au maintien de l’équilibre entre les territoires au sein de la région pour la mise en œuvre de
politiques publiques de son portefeuille ;
– constitue et anime un réseau de partenaires dans son périmètre de compétence thématique, qui lui permet de
disposer d’une veille efficace et de points de contact réactifs sur les enjeux précités.
De manière plus spécifique, le chargé de mission :
Environnement :
– suit l’élaboration du schéma régional des carrières, la mise en œuvre de la stratégie régionale des aires
protégées et de la stratégie régionale biodiversité, participe au comité régional de la biodiversité ;
– assure la mise en œuvre du protocole d’accompagnement environnemental ;
– suit la révision des chartes des parcs naturels régionaux ;
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 110
– suit les politiques publiques de prévention des risques et est RBOP du dispositif de la journée nationale de la
résilience.
Culture et patrimoine :
– suit le projet de valorisation de la Tapisserie de Bayeux, de développement du château de Gaillon et du Haras
du Pin ainsi que celui de l’IMEC de l’abbaye d’Arenne ;
– assure le suivi des activités de l’opéra de Caen et de l’orchestre symphonique de Normandie ;
– assure le suivi des politiques publiques de la création artistique et des arts vivants avec notamment le plan
« mieux produire, mieux diffuser » ;
– suit le développement de la culture dans les milieux ruraux et quartiers prioritaires au travers du dispositif des
MICRO-FOLIES ;
– participe à la préparation des évènements culturels et patrimoniaux dans la perspective du 80e anniversaire du
débarquement et de la bataille de Normandie.
Mont-Saint-Michel :
– suit l’élaboration conjointe Etat/collectivités du plan de gestion UNESCO dont il assure la gouvernance et le
plan de partage ;
– dans le cadre de la gestion du site, animer et piloter la Conférence de la Baie dont les missions sont de partager
l’information, d’échanger sur les démarches engagées, développer une vision partagée de l’avenir du
territoire, proposer le cadre de la concertation avec le territoire sur le plan de gestion UNESCO. Cette mission
implique également la coordination des services de l’Etat (DREAL, DRAAF, DRAC, …) pour tous les
aspects que recoupe le site (patrimoine, culture, tourisme, biodiversité, agriculture, etc) et de l’EP du Mont-
Saint-Michel ainsi qu’un travail de co construction avec les collectivités locales.
Environnement professionnel
Le poste est localisé à Rouen, en préfecture de région.
Le SGAR de Normandie est composé d’une cinquantaine d’agents. Le chargé de mission dispose d’une
assistante qu’il partage avec plusieurs autres chargés de mission. Le chargé de mission participe au comité de
direction hebdomadaire du SGAR.
Le chargé de mission est placé sous l’autorité directe du secrétaire général pour les affaires régionales et de
l’adjointe chargée des politiques publiques.
Outre les relations avec le secrétaire général pour les affaires régionales et l’adjointe en charge des politiques
publiques, le chargé de mission est en relation avec l’ensemble des agents du SGAR, avec les préfectures de
département, la DREAL, la DRAAF, la DRAC, les agences de l’eau Seine Normandie et Loire Bretagne,
l’ADEME, le BRGM, l’EP du Mont-Saint-Michel. Il est également en relation avec les directions compétentes des
collectivités territoriales. Il est enfin conduit à entretenir des relations avec les directions d’administration centrale
(notamment au sein des ministères en charge de la culture et de la sauvegarde du patrimoine ou de la préservation
de l’environnement).
Conditions à remplir
Conformément aux dispositions de l’article 6 du décret no 2009-587 du 25 mai 2009 relatif aux missions des
secrétaires généraux pour les affaires régionales, peuvent être nommés chargés de mission les fonctionnaires de
catégorie A ou assimilés, les magistrats, les officiers ainsi que des agents contractuels du niveau équivalent.
Modalités de candidature
Conformément aux dispositions de l’article 5 du décret du 25 mai 2009 précité, les candidatures accompagnées
d’un curriculum vitae, d’une lettre de motivation, ainsi que, le cas échéant, du dernier arrêté de situation
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 110
administrative et un état des services, doivent être transmises, dans un délai de trente jours à compter de la
publication du présent avis au Journal officiel de la République française, au préfet de la région Normandie, à
l’adresse ci-après : préfecture de la région Normandie, secrétariat général pour les affaires régionales, 7, place de la
Madeleine, CS 16036, 76036 Rouen Cedex, secretariat-sgar@normandie.gouv.fr.
Les candidats devront également tenir à la disposition de la DRH/SDP/BPRI une fiche financière établie par leur
service gestionnaire, ainsi que le dernier arrêté de situation administrative.
Avis et communications
Un emploi d’expert de haut niveau « secrétaire général de la Conférence des parties (COP) » (groupe III) est à
pourvoir auprès du préfet de Normandie.
Contexte
Par circulaire no 6420/SG du 29 septembre 2023, la Première ministre a demandé aux préfets de région et de
département d’organiser le déploiement de la planification écologique dans chaque territoire. Le ministre en charge
de la transition écologique et de la transition des territoires est chargé d’en coordonner le déploiement.
Pour l’accompagnement de cette mise en œuvre, le secrétariat général à la planification écologique (SGPE) a été
chargé de concevoir, pour chaque région, un panorama des leviers d’action permettant aux parties prenantes de
chacune des COP d’arrêter un plan d’action permettant, à l’horizon 2030, de réduire les émissions polluantes et de
préserver et restaurer la biodiversité. D’autres défis de la transition écologique seront outillés dans les mois à venir
et devront aussi faire l’objet d’une déclinaison territoriale : préservation des ressources, adaptation au changement
climatique et lutte contre les pollutions ayant un impact sur la santé.
La Conférence des parties (COP), réunie à l’échelle régionale et co-animée par le préfet de région et le président
du conseil régional, permet de fédérer l’ensemble des participants (parlementaires, services et opérateurs de l’Etat,
collectivités territoriales, acteurs socio-économiques) autour d’un diagnostic, d’objectifs à atteindre et des leviers
d’action à utiliser.
Au-delà de la COP inaugurale qui se tiendra en fin d’année 2023, des COP de points d’étape annuels sont prévus
pour assurer le suivi des engagements pris et organiser les travaux concernant les nouveaux défis.
A cette occasion, un expert de haut niveau est placé auprès du SGAR.
– assurer l’interface avec le cabinet du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, le
SGPE et le commissariat général au développement durable (CGDD) ;
– veiller à assurer l’efficacité de la méthode, l’ambition de la démarche de planification et la cohérence entre les
orientations territorialement, en cours de sélection et le niveau national, en particulier avec le SGPE ;
– mobiliser et coordonner le travail interservices (DREAL, DREETS, DRAAF, direction interrégionale de la
mer Manche Est -Mer du Nord) et les agences et opérateurs de l’Etat ;
– au titre des services publics écoresponsables (SPE), veiller à la cohérence entre la COP et les actions mises en
œuvre au titre des SPE, avec la meilleure coordination entre les acteurs territoriaux et le responsable SPE en
préfecture ;
– faciliter et relayer l’action du responsable SPE.
A l’issue de la COP qui devra être réunie à la fin de l’été 2024 pour partager les objectifs de la feuille de route
régionale et les moyens pour les atteindre, la mission du secrétaire général de la COP consiste à :
– appuyer la conception et le déploiement des dispositifs de mise en œuvre des actions au niveau des Contrats
de relance de la transition écologique (CRTE) ;
– veiller à la lisibilité et à l’accessibilité de l’offre d’ingénierie proposée par les opérateurs de l’Etat (ADEME,
CEREMA, ANCT, Banque des territoires notamment) à l’attention des collectivités, en particulier dans
l’élaboration des futurs contrats pour la réussite de la transition écologique (CRTE) ;
– coordonner et impliquer les agences ou opérateurs de l’Etat dans leurs missions à accompagner,
éventuellement, des actions nouvelles ou déjà engagées.
Il s’agira, sous l’autorité du SGAR, d’assurer le suivi de la COP et les évaluations annuelles des collectivités
territoriales.
Dans l’exercice de ses fonctions, il intervient dans un environnement de haut niveau à parties prenantes
multiples, avec une forte visibilité. En particulier, il pourra être conduit à suivre des dossiers spécifiques, organiser
et/ou gérer des débats sur certaines thématiques, conduire des travaux associant les services et opérateurs de l’Etat
et les collectivités territoriales.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 16 et 27 à 33 notamment).
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de six mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
Cet emploi est classé dans le groupe 3 en application de l’arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains
emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création du
RIFSEEP.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part
indiciaire brute ainsi qu’une part indemnitaire brute dépendante des fonctions, des sujétions et de l’expertise de
l’emploi. Elle est complétée par un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la manière de
servir.
Si le ou la titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, la part indiciaire brute est établie au regard de son
classement dans la grille indiciaire applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat (décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat). Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le
classement est fait au regard de la durée et du niveau des expériences professionnelles antérieures en rapport avec
l’emploi à pourvoir.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi d’expert de haut niveau, l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de
l’intérieur et des outre-mer.
L’autorité dont relève cet emploi est le préfet de la région Normandie.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 92 sur 110
Déontologie
L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration de situation patrimoniale ni à une déclaration d’intérêts
préalable à la prise de fonctions.
Toutefois, pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années
qui précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions
exercées sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir
pour avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la
transparence de la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 92 sur 110
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Personnes à contacter
M. Jean-Benoît ALBERTINI, préfet de la région Normandie, préfet de la Seine-Maritime, courriel :
prefet@seine-maritime.gouv.fr.
M. Philippe LERAÎTRE, secrétaire général pour les affaires régionales de Normandie, messagerie : philippe.
leraitre@normandie.gouv.fr.
M. Jocelyn SNOECK, délégué mobilité carrière des emplois de direction de l’administration territoriale de l’Etat
au ministère de l’intérieur et des outre-mer, tel. : 01-49-27-38-20, messagerie : jocelyn.snoeck@interieur.gouv.fr.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 93 sur 110
Avis et communications
Un emploi d’expert de haut niveau « secrétaire général de la Conférence des parties (COP) » (groupe III) est à
pourvoir auprès du préfet des Pays de la Loire.
Après la COP :
– appuyer la conception et le déploiement des dispositifs de mise en œuvre des actions au niveau des contrats
pour la réussite de la transition écologique (CRTE), en lien avec les équipes du SGAR et les préfectures
chargées de l’animation de ce dispositif ;
– veiller à la coordination et à l’implication des agences ou opérateurs de l’Etat pour leur implication à
accompagner, éventuellement, des actions nouvelles ou déjà engagées.
L’expert de haut niveau veille particulièrement à assurer, en lien avec les chargés de missions compétents au sein
du SGAR, la bonne articulation avec les stratégies locales en cours de déploiement (plan eau Etat/région, plan
biodiversité, plan d’action territoriale de la DRAAF, etc.), et avec les sujets spécifiques au territoire (transition
écologique et industrielle de l’estuaire de la Loire, planification maritime, etc.).
L’expert de haut niveau assure en outre le suivi du volet « transition écologique » du contrat de plan Etat-région,
et s’assure de la cohérence et de l’effectivité des actions financées par l’Etat dans le champ de la transition
écologique.
Il s’agira, sous l’autorité du SGAR, d’assurer le suivi de la COP et les évaluations annuelles des collectivités
territoriales.
Dans le cadre de ses fonctions, il intervient dans un environnement de haut niveau à parties prenantes multiples,
avec une forte visibilité. En particulier, le titulaire peut être amené à réaliser de multiples présentations externes.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 16 et 27 à 33 notamment).
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de six mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
Cet emploi est classé dans le groupe 3 en application de l’arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains
emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création du
RIFSEEP.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part
indiciaire brute ainsi qu’une part indemnitaire brute dépendante des fonctions, des sujétions et de l’expertise de
l’emploi. Elle est complétée par un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la manière de
servir.
Si le ou la titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, la part indiciaire brute est établie au regard de son
classement dans la grille indiciaire applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat (décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat). Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le
classement est fait au regard de la durée et du niveau des expériences professionnelles antérieures en rapport avec
l’emploi à pourvoir.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 93 sur 110
Concernant cet emploi d’expert de haut niveau, l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de
l’intérieur et des outre-mer.
L’autorité dont relève cet emploi est le préfet des Pays de la Loire.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’autorité de recrutement réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019, qui procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats à
auditionner.
L’instance collégiale est composée :
– du directeur général de l’administration et de la fonction publique ou son représentant ;
– du directeur du management de l’administration territoriale et de l’encadrement supérieur ou son
représentant ;
– du secrétaire général du ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires ou son
représentant ;
– ainsi que de deux représentants, au moins, des secrétaires généraux des ministères concernés par
l’administration territoriale de l’Etat ou par le projet prioritaire correspondant à l’emploi.
Audition des candidats et choix du candidat retenu :
L’autorité dont relève l’emploi procède ensuite à l’audition des candidats présélectionnés et propose à l’autorité
investie du pouvoir de nomination le nom du candidat susceptible d’être nommé.
Nomination par l’autorité de recrutement :
A l’issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats auditionnés non retenus pour occuper
l’emploi à pourvoir sont informés.
Dossier de candidature :
Le dossier de candidature doit être transmis, dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, par voie dématérialisée :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur et des outre-mer, ayant accès à son intranet, sur le site
MOB-MI accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?
LCID=1036.
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance, référencé MINT-EHN-SGCOP44-2023-77405, est accessible en
renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-EHN-SGCOP44-2023-77405 ;
– ou catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance publiés sur des
emplois de direction de l’Etat au sein de l’administration centrale et territoriale du ministère de l’intérieur et des
outre-mer.
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur, sur le site Choisir le service
public : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/.
Sur le site Choisir le service public, l’avis de vacance, référencé MINT_MINT-EHN-SGCOP44-2023-77405, est
accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : expert de haut niveau ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– employeur : ministère de l’intérieur et des outre-mer ;
– localisation : Nantes
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les agents n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 93 sur 110
Déontologie
L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration de situation patrimoniale ni à une déclaration d’intérêts
préalable à la prise de fonctions.
Toutefois, pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années
qui précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions
exercées sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir
pour avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la
transparence de la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 13).
Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions
du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 30 juillet 2021 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant,
pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 94 sur 110
Avis et communications
Avis de vacance d’un emploi d’expert de haut niveau, secrétaire général de la Conférence
des parties (COP) de la région Ile-de-France (administration territoriale : région Ile-de-France)
NOR : IOMA2333620V
Un emploi d’expert de haut niveau « secrétaire général de la Conférence des parties (COP) » (groupe II) est à
pourvoir, à partir du mois de janvier 2024, auprès du préfet de la région d’Ile-de-France, préfet de Paris.
Il appuiera également le préfet, directeur de cabinet du préfet de région, sur la démarche de planification sur le
territoire parisien.
Après la COP :
– appuyer la conception et le déploiement des dispositifs de mise en œuvre des actions au niveau des contrats
pour la réussite de la transition écologique (CRTE) ;
– veiller à la coordination et à l’implication des agences ou opérateurs de l’Etat pour leur implication à
accompagner, éventuellement, des actions nouvelles ou déjà engagées.
Le préfet de région ayant l’opportunité d’adapter la COP aux territoires, pourra le charger du suivi de dossiers
spécifiques, de la gestion de débats sur certaines thématiques, de la conduite des travaux entre l’ensemble des
services et les collectivités territoriales.
Il s’agira, sous l’autorité du préfet de région et du préfet SGAPP, d’assurer le suivi de la COP et les évaluations
annuelles des collectivités territoriales.
Dans le cadre de ses fonctions, il intervient dans un environnement de haut niveau à parties prenantes multiples,
avec une forte visibilité. En particulier, le titulaire peut être amené à réaliser de multiples présentations externes.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 16 et 27 à 33 notamment).
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de six mois en application de l’article 13
du décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
Cet emploi est classé dans le groupe 2 en application de l’arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains
emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création du
RIFSEEP.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part
indiciaire brute ainsi qu’une part indemnitaire brute dépendante des fonctions, des sujétions et de l’expertise de
l’emploi. Elle est complétée par un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la manière de
servir.
Si le ou la titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, la part indiciaire brute est établie au regard de son
classement dans la grille indiciaire applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat (décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat). Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le
classement est fait au regard de la durée et du niveau des expériences professionnelles antérieures en rapport avec
l’emploi à pourvoir.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi d’expert de haut niveau, l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de
l’intérieur et des outre-mer.
L’autorité dont relève cet emploi est le préfet de la région d’Ile-de-France, préfet de Paris.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 94 sur 110
Déontologie
L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration de situation patrimoniale ni à une déclaration d’intérêts
préalable à la prise de fonctions.
Toutefois, pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années
qui précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions
exercées sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir
pour avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la
transparence de la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 13).
Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions
du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 30 juillet 2021 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant,
pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 110
Avis et communications
Un emploi d’expert de haut niveau « territorialisation de la planification écologique » (groupe III) est à pourvoir
auprès du préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Après la COP :
– appuyer la conception et le déploiement des dispositifs de mise en œuvre des actions au niveau des contrats
pour la réussite de la transition écologique (CRTE) sous l’égide des préfets de département ;
– veiller à la coordination et à l’implication des agences ou opérateurs de l’Etat pour leur implication à
accompagner, éventuellement, des actions nouvelles ou déjà engagées.
Le SGAR pourra confier à l’expert de haut niveau le suivi de dossiers spécifiques, la gestion de débats sur
certaines thématiques, la conduite de travaux entre les services et les collectivités territoriales.
L’expert agira, sous l’autorité du SGAR, afin d’assurer le suivi de la COP et les évaluations annuelles des actions
entreprises par les collectivités territoriales.
Dans le cadre de ses fonctions, il intervient dans un environnement de haut niveau à parties prenantes multiples,
avec une forte visibilité. En particulier, le titulaire peut être amené à réaliser de multiples représentations externes.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 16 et 27 à 33 notamment).
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de six mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
Cet emploi est classé dans le groupe 3 en application de l’arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains
emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création du
RIFSEEP.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part
indiciaire brute ainsi qu’une part indemnitaire brute dépendante des fonctions, des sujétions et de l’expertise de
l’emploi. Elle est complétée par un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la manière de
servir.
Si le ou la titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, la part indiciaire brute est établie au regard de son
classement dans la grille indiciaire applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat (décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat). Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le
classement est fait au regard de la durée et du niveau des expériences professionnelles antérieures en rapport avec
l’emploi à pourvoir.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi d’expert de haut niveau, l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de
l’intérieur et des outre-mer.
L’autorité dont relève cet emploi est le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 110
Déontologie
L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration de situation patrimoniale ni à une déclaration d’intérêts
préalable à la prise de fonctions.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 110
Toutefois, pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années
qui précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions
exercées sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir
pour avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la
transparence de la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 13).
Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions
du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 30 juillet 2021 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant,
pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 110
Avis et communications
Avis de vacance d’un emploi d’expert de haut niveau, secrétaire général de la Conférence des
parties (COP) de la région Grand Est (administration territoriale : région Grand Est/départe
ment du Bas-Rhin)
NOR : IOMA2333623V
Un emploi d’expert de haut niveau « secrétaire général de la Conférence des parties (COP) » (groupe II) est à
pourvoir auprès de la préfète de la région Grand Est, préfète de la zone de défense et de sécurité Est, préfète du
Bas-Rhin.
Après la COP :
– appuyer la conception et le déploiement des dispositifs de mise en œuvre des actions au niveau des contrats
pour la réussite de la transition écologique (CRTE), associés en région Grand Est aux contrats territoriaux du
conseil régional, dans des pactes territoriaux de relance et transition écologique (PTRTE) ;
– veiller à la coordination et à l’implication des agences ou opérateurs de l’Etat pour leur implication à
accompagner, éventuellement, des actions nouvelles ou déjà engagées.
L’expert de haut niveau veillera à intégrer dans l’exercice de ses missions la prise en compte de deux dimensions
caractérisant la région Grand Est :
– le caractère transfrontalier avec l’Allemagne, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse ;
– les enjeux économiques, sociaux et environnementaux du développement équilibré d’une région composée à
la fois de territoires comportant une richesse à préserver ou à restaurer en termes de biodiversité et de
territoires qui conservent un tissu historique de filières agricoles et industrielles où les opportunités sont fortes
pour accompagner les transitions, l’innovation et l’objectif d’une réindustrialisation durable.
Il s’agira, sous l’autorité du SGARE, d’assurer le suivi de la COP et les évaluations annuelles des collectivités
territoriales.
Dans le cadre de ses fonctions, il intervient dans un environnement de haut niveau à parties prenantes multiples,
avec une forte visibilité. En particulier, le titulaire peut être amené à réaliser de multiples présentations externes.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 16 et 27 à 33 notamment).
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de six mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
Cet emploi est classé dans le groupe 2 en application de l’arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains
emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création du
RIFSEEP.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part
indiciaire brute ainsi qu’une part indemnitaire brute dépendante des fonctions, des sujétions et de l’expertise de
l’emploi. Elle est complétée par un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la manière de
servir.
Si le ou la titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, la part indiciaire brute est établie au regard de son
classement dans la grille indiciaire applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat (décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat). Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le
classement est fait au regard de la durée et du niveau des expériences professionnelles antérieures en rapport avec
l’emploi à pourvoir.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 110
Concernant cet emploi d’expert de haut niveau, l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de
l’intérieur et des outre-mer.
L’autorité dont relève cet emploi est la préfète de la région Grand Est.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’autorité de recrutement réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019, qui procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats à
auditionner.
L’instance collégiale est composée :
– du directeur général de l’administration et de la fonction publique ou son représentant ;
– du directeur du management de l’administration territoriale et de l’encadrement supérieur ou son
représentant ;
– du secrétaire général du ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires ou son
représentant ;
– ainsi que de deux représentants, au moins, des secrétaires généraux des ministères concernés par
l’administration territoriale de l’Etat ou par le projet prioritaire correspondant à l’emploi.
Audition des candidats et choix du candidat retenu :
L’autorité dont relève l’emploi procède ensuite à l’audition des candidats présélectionnés et propose à l’autorité
investie du pouvoir de nomination le nom du candidat susceptible d’être nommé.
Nomination par l’autorité de recrutement :
A l’issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats auditionnés non retenus pour occuper
l’emploi à pourvoir sont informés.
Dossier de candidature :
Le dossier de candidature doit être transmis, dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, par voie dématérialisée :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur et des outre-mer, ayant accès à son intranet, sur le site
MOB-MI accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?
LCID=1036.
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance, référencé MINT-EHN-SGCOP67-2023-77410, est accessible en
renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-EHN-SGCOP67-2023-77410 ;
– ou catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance publiés sur des
emplois de direction de l’Etat au sein de l’administration centrale et territoriale du ministère de l’intérieur et des
outre-mer.
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur, sur le site Choisir le service
public : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/.
Sur le site Choisir le service public, l’avis de vacance, référencé MINT-EHN-SGCOP67-2023-77410, est
accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : expert de haut niveau ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– employeur : ministère de l’intérieur et des outre-mer ;
– localisation : Strasbourg.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les agents n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 110
Déontologie
L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration de situation patrimoniale ni à une déclaration d’intérêts
préalable à la prise de fonctions.
Toutefois, pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années
qui précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions
exercées sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir
pour avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la
transparence de la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 13).
Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions
du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 30 juillet 2021 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant,
pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 110
Avis et communications
Avis de vacance d’un emploi d’expert de haut niveau, secrétaire général de la Conférence des
parties (COP) de la région Centre-Val de Loire (administration territoriale : Centre-Val de Loire)
NOR : IOMA2333629V
Un emploi d’expert de haut niveau « secrétaire général de la Conférence des parties (COP) » (groupe III) est à
pourvoir auprès de la préfète de région Centre-Val de Loire.
– mettre en œuvre une communication interne en lien avec les référents « services publics éco-responsables »,
la PFRH, les SGCD pour assurer la cohérence entre la COP et les actions mises en œuvre pour le SPE, sous
l’autorité du SGAR adjoint chargé de la modernisation, de la mutualisation et des moyens.
Après la COP :
– appuyer la conception et le déploiement des dispositifs de mise en œuvre des actions au niveau des contrats
pour la réussite de la transition écologique (CRTE), en appui des préfectures de département ;
– veiller à la coordination et à l’implication des agences ou opérateurs de l’Etat pour leur implication à
accompagner, éventuellement, des actions nouvelles ou déjà engagées ;
– suivre la mise en œuvre du plan d’actions opérationnel ;
– mettre en œuvre une communication sur les réalisations et l’avancement des actions, à destination du grand
public et des parties prenantes qui ont contribué à la démarche.
Dans le cadre de ses fonctions, il intervient dans un environnement de haut niveau à parties prenantes multiples,
avec une forte visibilité. En particulier, le titulaire peut être amené à réaliser de multiples présentations externes.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 16 et 27 à 33 notamment).
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans. Il sera installé dans les locaux du SGAR
Centre-Val de Loire, 191, rue de Bourgogne à Orléans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de six mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
Cet emploi est classé dans le groupe 3 en application de l’arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains
emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création du
RIFSEEP.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part
indiciaire brute ainsi qu’une part indemnitaire brute dépendante des fonctions, des sujétions et de l’expertise de
l’emploi. Elle est complétée par un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la manière de
servir.
Si le ou la titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, la part indiciaire brute est établie au regard de son
classement dans la grille indiciaire applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat (décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat). Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le
classement est fait au regard de la durée et du niveau des expériences professionnelles antérieures en rapport avec
l’emploi à pourvoir.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi d’expert de haut niveau, l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de
l’intérieur et des outre-mer.
L’autorité dont relève cet emploi est la préfète de la région Centre-Val de Loire.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 110
Déontologie
L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration de situation patrimoniale ni à une déclaration d’intérêts
préalable à la prise de fonctions.
Toutefois, pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années
qui précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions
exercées sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir
pour avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la
transparence de la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 13).
Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions
du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 30 juillet 2021 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant,
pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 110
Avis et communications
Conditions d’emploi
Ces emplois sont à pourvoir dans les conditions prévues par l’article 6 du décret no 2020-959 du 31 juillet 2020
relatif aux emplois supérieurs de la fonction publique hospitalière.
La rémunération dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi et pour les personnes fonctionnaires de son
classement dans la grille indiciaire des fonctionnaires. La rémunération brute annuelle varie en fonction du grade :
elle est comprise, pour les emplois de directeurs entre 25 608,18 € et 56 570,79 € et pour les emplois donnant accès
à l’échelon fonctionnel entre 25 608,18 € et 62 099,83 €.
Elle est complétée par un régime indemnitaire fixé par le décret no 2012-749 du 9 mai 2012 modifié relatif à la
prime de fonctions et de résultats (PFR) des corps ou emplois fonctionnels des personnels de direction et des
directeurs des soins de la fonction publique hospitalière.
Le barème des plafonds indemnitaires PFR applicables au corps ou statut d’emploi des directeurs
d’établissement sanitaire, social et médico-social figure dans l’annexe I-B de l’instruction
no DGOS/RH4/DGCS/SD4-B/2019/124 du 24 mai 2019 relative à la mise en place de la prime de fonctions et
de résultats pour les personnels des corps de direction de la FPH.
Pour les postes de chef ne donnant pas accès à l’échelon fonctionnel, les plafonds de la PF varient en fonction du
grade et pour un coefficient de 6, elles se situent entre 21 600 € et 24 000 €. La PR se situe entre 14 400 € et
16 000 €.
Pour les emplois donnant accès à l’échelon fonctionnel, le plafond de la part fonctions est de 27 360 € pour un
coefficient de 6 et la part résultats de 18 240 €.
Pour les directeurs qui bénéficient d’une concession de logement ou d’une indemnité compensatrice de
logement, la cotation de la PF est affectée d’un coefficient maximal de 3.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 8 à 13 du décret no 2020-959
du 31 juillet 2020 relatif aux emplois supérieurs de la fonction publique hospitalière.
L’autorité de recrutement est :
– pour les emplois de directeur d’établissements mentionnés aux 1o, 3o et 5o de l’article L. 5 du code général de
la fonction publique, le directeur général de l’Agence régionale de santé.
L’autorité de nomination est :
– pour les fonctionnaires, militaires et magistrats de l’ordre judiciaire le directeur général du Centre national de
gestion ;
– pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaires, de militaire ou de magistrat de l’ordre judiciaire,
l’autorité de recrutement.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 110
Dossier de candidature
Les candidats doivent adresser pour chaque emploi, dans un délai de deux semaines à compter de la date de
publication du présent avis au Journal officiel de la République française :
– un dossier de candidature par établissement à adresser uniquement par messagerie à cng-mobilite-d3s@sante.
gouv.fr, en mettant en copie leur supérieur hiérarchique ;
– l’ensemble des documents composant le dossier de candidature doit nous être adressé sous forme de pièces
jointes en format PDF en utilisant uniquement le site : https://francetransfert.numerique.gouv.fr ;
– pour les candidatures multiples, il est demandé d’établir un classement par ordre préférentiel.
Le dossier de candidature se compose (1 dossier de candidature par établissement demandé) :
Pour les personnels appartenant au corps des directeurs d’établissement sanitaire, social et médico-social ou
directeurs d’hôpital :
– une fiche de candidature par établissement, établie selon le modèle en annexe II (modèle également disponible
sur le site internet du centre national de gestion à la page : https://www.cng.sante.fr/directeurs/etapes-ma-
carriere/publications-postes-mouvements, rubrique : « Directeurs d’établissements sanitaires sociaux et
médico-sociaux ») ;
– une lettre de motivation ;
– un curriculum vitae de deux pages maximum ;
– les trois dernières fiches d’évaluations.
Pour les fonctionnaires n’appartenant pas au corps des directeurs d’établissement sanitaires social et médico-
social :
– une fiche de candidature par établissement, établie selon le modèle en annexe II (modèle également disponible
sur le site internet du centre national de gestion à la page : https://www.cng.sante.fr/directeurs/etapes-ma-
carriere/publications-postes-mouvements, rubrique : « Directeurs d’établissements sanitaires sociaux et
médico-sociaux ») ;
– une lettre de motivation ;
– les trois dernières fiches d’évaluation ;
– un curriculum vitae de deux pages maximum ;
– une photocopie intégrale d’une pièce d’identité ;
– une copie de la dernière décision indiciaire ;
– l’avis motivé de l’autorité investie du pouvoir de nomination sur leur aptitude à occuper un emploi de
directeurs d’établissement sanitaires social et médico-social.
Pour les personnels inscrits sur la liste d’aptitude des directeurs d’établissements sanitaires, sociaux et médico-
sociaux au titre de l’année 2023 :
– une fiche de candidature par établissement, établie selon le modèle en annexe II (modèle également disponible
sur le site internet du centre national de gestion à la page : https://www.cng.sante.fr/directeurs/etapes-ma-
carriere/publications-postes-mouvements, rubrique : « Directeurs d’établissements sanitaires sociaux et
médico-sociaux ») ;
– une lettre de motivation ;
– les trois dernières évaluations ;
– une photocopie intégrale d’une pièce d’identité ;
– une copie de la dernière décision indiciaire.
Pour les personnels n’ayant pas la qualité de fonctionnaire :
– une fiche de candidature par établissement, établie selon le modèle en annexe II (modèle également disponible
sur le site internet du centre national de gestion à la page : https://www.cng.sante.fr/directeurs/etapes-ma-
carriere/publications-postes-mouvements, rubrique : « Directeurs d’établissements sanitaires sociaux et
médico-sociaux ») ;
– une lettre de motivation pour accéder aux fonctions de directeurs d’établissement sanitaires social et médico-
social ;
– un curriculum vitae de deux pages maximum ;
– les documents attestant l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– une photocopie des diplômes ;
– une photocopie intégrale d’une pièce d’identité ;
– le dernier contrat de travail ;
– les trois derniers bulletins de salaire.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de nomination procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 110
Formation
Les directeurs suivent, dans le cadre de leur première prise de fonction, une formation adaptée à leur mission.
La formation doit permettre l’acquisition des connaissances et des compétences nécessaires à l’exercice de ses
fonctions par le directeur.
La formation mentionnée à l’article 1er du décret no 2009-1761 du 30 décembre 2009 relatif à la formation des
personnels de direction.
lors de leur prise de fonctions en qualité de directeur dans un établissement public de santé, est effectuée par le
directeur concerné dans un délai maximal d’un an à compter de sa prise de fonction. Ce délai peut être porté à dix-
huit mois sur décision du directeur général de l’agence régionale de santé.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2007-1930 du 26 décembre 2007 modifié portant statut particulier du corps des directeurs
d’établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux de la fonction publique hospitalière.
Décret no 2009-1761 du 30 décembre 2009 relatif à la formation des personnels de direction lors de leur prise de
fonctions en qualité de directeur dans un établissement public de santé.
Décret no 2012-749 du 9 mai 2012 modifié relatif à la prime de fonctions et de résultats des corps ou emplois
fonctionnels des personnels de direction et des directeurs des soins de la fonction publique hospitalière.
Décret no 2020-959 du 31 juillet 2020 relatif aux emplois supérieurs de la fonction publique hospitalière.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 110
ANNEXES
ANNEXE I
FICHE DE POSTE
ANNEXE II
FICHE DE POSTE
FICHE DE CANDIDATURE
Emploi de directeur d’établissement sanitaire, social et médico-social
(Deux pages maximum)
Poste demandé : .........................................................................................................................................................
Date de publication au Journal officiel :...................................................................................................................
A. – INFORMATIONS PERSONNELLES
Nom et prénom(s) : ...................................................................................................................................................
Date et lieu de naissance :.................................................... Situation familiale : ....................................................
Adresse personnelle complète : .................................................................................................................................
....................................................................................................................................................................................
Téléphone personnel : ............................................................... Portable : ...............................................................
Courriel : ....................................................................................................................................................................
Diplômes universitaires et professionnels :...............................................................................................................
Actions de formation continue suivies (au cours des cinq dernières années) : ......................................................
B. – SITUATION PROFESSIONNELLE
D3S : Oui □ Non □
DH : Oui □ Non □
Autre fonctionnaire :
Oui □ précisez le corps ou cadre d’emploi :
Non □
Inscrit sur la liste d’aptitude D3S au titre de l’année 2023 : Oui □ Non □
Non fonctionnaire : Oui □ Non □ Type de contrat : CDD □ CDI □
Poste et fonctions actuellement occupés :.................................................................................................................
Déroulement de carrière (*) (préciser les fonctions exercées, les postes occupés avec leurs périodes respectives) :
....................................................................................................................................................................................
Autres actions menées (intérim, missions spécifiques, formations données) : ........................................................
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 110
Avis et communications
AVIS DIVERS
PREMIÈRE MINISTRE
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application des conventions entre le comité économique des produits de santé et les sociétés
EVOLUPHARM, THERAMEX les prix des spécialités pharmaceutiques visées ci-dessous sont ceux figurant
dans le tableau ci-après.
No CIP Présentation PFHT PPTTC
34009 302 799 4 6 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 10 mg/160 mg, comprimés pellicu 5,89 € 7,28 €
lés (B/30) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 799 8 4 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 10 mg/160 mg, comprimés pellicu 16,79 € 20,51 €
lés (B/90) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 798 2 3 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/160 mg, comprimés pelliculés 5,89 € 7,28 €
(B/30) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 798 7 8 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/160 mg, comprimés pelliculés 16,79 € 20,51 €
(B/90) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 796 7 0 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/80 mg, comprimés pelliculés 5,15 € 6,37 €
(B/30) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 797 1 7 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/80 mg, comprimés pelliculés 14,68 € 17,99 €
(B/90) (laboratoires EVOLUPHARM)
34009 302 754 7 4 ERYNJA 2 mg (Diénogest), comprimés Gé (B/28) (laboratoires THERAMEX) 10,04 € 11,74 €
34009 302 754 9 8 ERYNJA 2 mg (Diénogest), comprimés Gé (B/84) (laboratoires THERAMEX) 28,61 € 33,25 €
Cette décision entre en vigueur à compter du quatrième jour suivant la publication au Journal officiel de la
République française.
8 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 110
Avis et communications
AVIS DIVERS
Par décision du directeur général de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie en date
du 29 novembre 2023, le taux de participation de l’assuré applicable aux spécialités citées ci-dessous est fixé
comme suit :
Taux de
Code CIP Présentation participation
34009 302 799 4 6 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 10 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EVOLUPHARM) 35%
34009 302 799 8 4 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 10 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EVOLUPHARM) 35%
34009 302 798 2 3 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EVOLUPHARM) 35%
34009 302 798 7 8 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/160 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EVOLUPHARM) 35%
34009 302 796 7 0 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/80 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EVOLUPHARM) 35%
34009 302 797 1 7 AMLODIPINE/VALSARTAN EVOLUGEN PHARMA 5 mg/80 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EVOLUPHARM) 35%
34009 302 754 7 4 ERYNJA 2 mg (Diénogest), comprimés Gé (B/28) (laboratoires THERAMEX) 35%
34009 302 754 9 8 ERYNJA 2 mg (Diénogest), comprimés Gé (B/84) (laboratoires THERAMEX) 35%
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Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et l’Etablissement français du
sang (EFS), les tarifs et les prix limites de vente au public en € TTC (PLV) du produit visé ci-dessous sont fixés
comme suit :
TARIF/PLV actuel en € TARIF/PLV en € TTC
CODE DÉSIGNATION TTC au 2 janvier 2024
ANNONCES
Les annonces sont reçues à la direction de l’information légale et administrative
Demandes de changement de nom : téléprocédure sécurisée
Fiche pratique disponible sur https://psl.service-public.fr/mademarche/pub-changement-nom/demarche