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SOMMAIRE ANALYTIQUE
textes généraux
Première ministre
1 Arrêté du 5 juillet 2023 portant reconnaissance d’une organisation de producteurs dans le
secteur de la pêche maritime et de l’aquaculture
ministère de la justice
10 Décret no 2023-591 du 11 juillet 2023 modifiant l’annexe 7-4 du livre VII du code de
commerce fixant le nombre des juges élus des tribunaux mixtes de commerce des
départements d’outre-mer
11 Arrêté du 5 juillet 2023 relatif au diplôme d’études supérieures de notariat
13 Décret du 11 juillet 2023 portant approbation des modifications apportées aux statuts d’une
fondation de coopération scientifique
14 Arrêté du 27 juin 2023 modifiant l’arrêté du 24 juin 2022 et fixant la répartition budgétaire
pour l’année 2022 entre les régions ultrapériphériques de la mesure « aide à l’importation
d’animaux vivants »
15 Arrêté du 28 juin 2023 relatif à la lutte contre Pityophthorus juglandis (PITOJU) et
Geosmithia morbida (GEOHMO), agents pathogènes responsables de la maladie des mille
chancres
16 Arrêté du 5 juillet 2023 homologuant le cahier des charges de l’indication géographique
protégée « Ile de Beauté »
17 Arrêté du 5 juillet 2023 relatif aux dispositions de l’accord triennal conclu dans le cadre du
comité interprofessionnel des vins de Savoie (CIVS) portant sur l’organisation du marché
pour les campagnes 2023-2024, 2024-2025 et 2025-2026
18 Arrêté du 5 juillet 2023 modifiant l’arrêté du 11 octobre 2022 fixant certaines modalités de la
procédure d’attribution de la prime individuelle prévue par le décret no 2022-1166
du 22 août 2022 portant création du régime indemnitaire des personnels enseignants-
chercheurs des établissements d’enseignement supérieur agricole relevant du ministre
chargé de l’agriculture
19 Arrêté du 5 juillet 2023 portant modification de la liste des certifications de conformité
enregistrées
20 Arrêté du 4 juin 2023 établissant les critères permettant à des projets de compensation
favorables à la préservation et la restauration des écosystèmes naturels et de leurs
fonctionnalités d’être valorisés par une bonification dans les conditions prévues à
l’article R. 229-102-8 du code de l’environnement
21 Arrêté du 15 juin 2023 renouvelant l’agrément d’un organisme prévu par l’article R. 543-108
du code de l’environnement
22 Arrêté du 3 juillet 2023 portant équivalence entre les certificats de capacité de présentation au
public d’animaux d’espèces non domestiques au sein d’établissements itinérants et les
certificats de capacité de présentation au public d’animaux d’espèces non domestiques au
sein d’établissements fixes
23 Arrêté du 11 juillet 2023 autorisant au titre de l’année 2023 l’ouverture d’un examen
professionnel de vérification d’aptitude aux fonctions de pupitreur du ministère de la
transition écologique et de la cohésion des territoires
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
ministère de la culture
25 Arrêté du 16 juin 2023 portant acceptation d’une donation et affectation aux Archives
nationales
26 Arrêté du 11 juillet 2023 autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture d’un examen
professionnel d’avancement au grade de secrétaire administratif de classe supérieure du
ministère de la culture
mesures nominatives
ministère de la justice
40 Arrêté du 16 juin 2023 portant nomination à un emploi de directeur fonctionnel des services
pénitentiaires (direction de l’administration pénitentiaire)
41 Arrêté du 5 juillet 2023 relatif à la transformation d’une société civile professionnelle en
société d’exercice libéral à responsabilité limitée (officiers publics ou ministériels)
42 Arrêté du 5 juillet 2023 relatif à une société par actions simplifiée (officiers publics ou
ministériels)
43 Arrêté du 5 juillet 2023 relatif à une société civile professionnelle (officiers publics ou
ministériels)
44 Arrêté du 5 juillet 2023 relatif à une société d’exercice libéral à responsabilité limitée (officiers
publics ou ministériels)
45 Arrêté du 5 juillet 2023 relatif à une société d’exercice libéral à responsabilité limitée (officiers
publics ou ministériels)
46 Arrêté du 6 juillet 2023 portant inscription de la mention « Victime du terrorisme » sur un acte
de décès
47 Arrêté du 6 juillet 2023 modifiant l’arrêté du 22 juin 2023 portant nomination d’une société
d’exercice libéral à responsabilité limitée (officiers publics ou ministériels)
48 Arrêté du 6 juillet 2023 relatif à une société civile professionnelle (officiers publics ou
ministériels)
49 Arrêté du 6 juillet 2023 portant nomination d’une société d’exercice libéral à responsabilité
limitée (officiers publics ou ministériels)
50 Arrêté du 6 juillet 2023 portant nomination d’une notaire salariée (officiers publics ou
ministériels)
51 Arrêté du 6 juillet 2023 relatif à la dissolution d’une société civile professionnelle et à la
nomination d’une société d’exercice libéral à responsabilité limitée (officiers publics ou
ministériels)
52 Arrêté du 6 juillet 2023 portant nomination d’une société d’exercice libéral par actions
simplifiée (officiers publics ou ministériels)
53 Arrêté du 10 juillet 2023 portant réintégration et affectation (tribunaux administratifs et cours
administratives d’appel)
65 Arrêté du 3 juillet 2023 portant modification de l’arrêté du 28 avril 2023 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« psychiatrie » en application des dispositions de l’article L. 4131-1-1 du code de la santé
publique
66 Arrêté du 3 juillet 2023 portant modification de l’arrêté du 20 avril 2023 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de chirurgien-dentiste en application
des dispositions du V de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de
financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
67 Arrêté du 3 juillet 2023 portant modification de l’arrêté du 28 avril 2023 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité de
« gériatrie » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640
du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
68 Arrêté du 3 juillet 2023 portant modification de l’arrêté du 28 avril 2023 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« gynécologie obstétrique » en application des dispositions de l’article L. 4111-2 du code de
la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de
financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
69 Arrêté du 11 juillet 2023 portant fin de fonctions (administration centrale)
conventions collectives
87 Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre de la
convention collective nationale du négoce de l’ameublement (no 1880)
88 Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre de la
convention collective nationale du commerce succursaliste de la chaussure (no 468)
89 Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale des
entreprises artistiques et culturelles (no 1285)
90 Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention
collective nationale des entreprises du commerce à distance (no 2198)
91 Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale de
l’immobilier (no 1527)
92 Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant et d’une annexe à la convention
collective nationale de la branche télédiffusion (no 3241)
93 Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’avenants à des accords conclus dans le cadre de la
convention collective nationale du commerce des articles de sport et équipements de loisirs
(no 1557)
94 Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre de la
convention collective nationale du négoce et prestations de services dans les domaines
médico-techniques (no 1982)
95 Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre
de la convention collective nationale des entreprises de désinfection, désinsectisation et
dératisation (no 1605)
96 Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention
collective nationale des prothésistes dentaires et des personnels des laboratoires de prothèse
dentaire (no 993)
97 Arrêté du 5 juillet 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale des
cabinets dentaires (no 1619)
98 Arrêté du 5 juillet 2023 portant extension de la convention collective nationale des commerces
de quincaillerie, fournitures industrielles, fers, métaux et équipement de la maison (no 3243)
99 Arrêté du 5 juillet 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale des
métiers de l’éducation, de la culture, des loisirs et de l’animation agissant pour l’utilité
sociale et environnementale, au service des territoires (ÉCLAT) (no 1518)
Conseil d’Etat
103 Décision no 2023-NA-05 du 12 juin 2023 modifiant la décision no 2022-NA-18 du 7 mars 2022
autorisant l’Association RLCOM à exploiter un service de radio de catégorie B par voie
hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Latitude
104 Décision no 2023-BO-07 du 14 juin 2023 autorisant l’association Ile de Ré Communication à
exploiter un service de radio temporaire par voie hertzienne terrestre en modulation de
fréquence dénommé Radio Ile de Ré
105 Décision no 2023-PA-01 du 14 juin 2023 modifiant la dénomination sociale du titulaire
Association IDFM Radio Enghien Fréquence Ile-de-France
106 Décision no 2023-597 du 5 juillet 2023 portant reconduction de l’autorisation délivrée à
l’association Besbre et Loire FM pour l’exploitation d’un service de radio de catégorie B
par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Fusion FM
107 Décision no 2023-619 du 12 juillet 2023 autorisant la SARL OC Ciné à exploiter un service de
communication audiovisuelle autre que de radio ou de télévision
108 Délibération du 11 mai 2023 relative à une autorisation temporaire pour l’exploitation d’un
service de radio
109 Délibération du 22 mai 2023 modifiant la liste des paramètres RDS autorisés
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
Informations parlementaires
Assemblée nationale
Sénat
Offices et délégations
Avis et communications
avis divers
Annonces
130 Demandes de changement de nom (textes 130 à 150)
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIÈRE MINISTRE
dont le siège social est situé au 49, rue Evariste-de-Parny, 97829 Le Port Cedex, est reconnue en qualité
d’organisation de producteurs dans le domaine des pêches maritimes, au sens prévu par le règlement (CE)
no 1379/2013 susvisé, à compter de la date de parution du présent arrêté.
Art. 2. – La zone de reconnaissance couvre la Réunion (zone NUTS FRY40).
Art. 3. – Le directeur général des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture est chargé de l’exécution
du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juillet 2023.
Pour le secrétaire d’État et par délégation :
Le directeur général des affaires maritimes,
de la pêche et de l’aquaculture,
E. BANEL
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Décret no 2023-588 du 11 juillet 2023 pris pour l’application de l’article 1er de la loi no 2022-300
du 2 mars 2022 visant à renforcer le contrôle parental sur les moyens d’accès à internet
NOR : ECOI2235065D
Vu les observations formulées lors de la consultation du public réalisée du 5 septembre au 6 octobre 2022, en
application du V de l’article L. 32-1 du code des postes et des communications électroniques ;
Vu la notification no 2022/694/F adressée le 14 octobre 2022 à la Commission européenne en application de la
directive (UE) 2015/1535 ;
Vu la délibération no 2023-023 de la Commission nationale de l’informatique et des libertés en date
du 9 mars 2023 ;
Vu l’avis du Conseil national de la protection de l’enfance en date du 12 mai 2023 ;
Le Conseil d’Etat (section des travaux publics) entendu,
Décrète :
Art. 1 . – Le code des postes et des communications électroniques est modifié conformément aux articles 2 à 6
er
du présent décret.
Art. 2. – L’article R.* 9 est ainsi modifié :
1o Au point 5, après le mot : « radioélectrique », sont ajoutés les mots : « ou d’un équipement terminal » ;
2o Au point 6, après le mot : « radioélectrique », sont ajoutés les mots : « ou d’un équipement terminal » ;
3o Au point 10, après le mot : « radioélectrique », sont ajoutés les mots : « ou un équipement terminal » ;
4o Au point 12, après le mot : « radioélectriques », sont ajoutés les mots : « ou des équipements terminaux » ;
5o Au point 13, après le mot : « radioélectrique », sont ajoutés les mots : « ou un équipement terminal » ;
6o Le point 14 est remplacé par les dispositions suivantes :
« 14. On entend par “opérateurs économiques” le fabricant, le mandataire, l’importateur, le distributeur et le
prestataire de services d’exécution des commandes ou toute autre personne physique ou morale soumise à des
obligations liées à la fabrication de produits, à leur mise à disposition sur le marché ou à leur mise en service
conformément à la législation d’harmonisation applicable de l’Union européenne. » ;
7o Au point 23, après le mot : « radioélectriques », sont ajoutés les mots : « ou des équipements terminaux » ;
8o Au point 24, après le mot : « radioélectriques », sont ajoutés les mots : « ou des équipements terminaux » ;
9o Au point 25, après le mot : « radioélectriques », sont ajoutés les mots : « ou d’équipements terminaux » ;
10o Après le point 27, il est créé un alinéa ainsi rédigé :
« 28. On entend par “prestataire de services d’exécution des commandes” toute personne physique ou morale qui
propose, dans le cadre d’une activité commerciale, au moins deux des services suivants : entreposage,
conditionnement, étiquetage et expédition, sans être propriétaire des produits concernés, à l’exclusion des services
postaux au sens du point 1 de l’article 2 de la directive 97/67/CE du Parlement européen et du Conseil du
15 décembre 1997, des services de livraison de colis au sens du point 2 de l’article 2 du règlement (UE) 2018/644
du Parlement européen et du Conseil du 18 avril 2018, et de tout autre service postal ou service de transport de
marchandises. »
Art. 3. – Après l’article R. 20-13-1, il est inséré un article R. 20-13-2 ainsi rédigé :
« Art. R. 20-13-2. – Lorsque le fabricant n’est pas établi dans l’Union européenne et n’a pas désigné de
mandataire, et en l’absence d’importateur, les prestataires de services d’exécution des commandes établis dans
l’Union européenne effectuent les tâches mentionnés ci-après en application des paragraphes 3 et 4 de l’article 4 du
règlement (UE) 2019/1020 du Parlement européen et du Conseil du 20 juin 2019 sur la surveillance du marché et la
conformité des produits, pour les équipements radioélectriques qu’ils traitent.
« Les prestataires de services d’exécution de commandes établis dans l’Union européenne :
« 1o Vérifient que la déclaration “UE” de conformité mentionnée à l’article R. 20-9-1 ainsi que la documentation
technique mentionnée à l’article R. 20-9 ont été établies ;
« 2o Tiennent une copie de la déclaration de conformité à la disposition des autorités de surveillance du marché
pendant une durée de dix ans à partir de la mise à disposition sur le marché des équipements radioélectriques ;
« 3o Garantissent que la documentation technique mentionnée au 1o peut être mise à disposition des autorités de
surveillance du marché à leur demande ;
« 4o Sur demande motivée de l’Agence nationale des fréquences ou d’une autorité de surveillance du marché
d’un autre Etat membre de l’Union européenne, fournissent à cette autorité toutes les informations et tous les
documents nécessaires pour démontrer la conformité du produit. Les informations sont communiquées dans un
délai de quinze jours à compter de la réception de la demande, en langue française ou dans une langue aisément
compréhensible par cette autorité si elle n’est pas française, sur support papier ou par voie électronique ;
« 5o Informent les autorités de surveillance du marché s’il y a lieu de penser que le produit concerné présente un
risque ;
« 6o Coopèrent avec les autorités nationales de surveillance du marché, y compris à la suite d’une demande
motivée ;
« 7o Veillent à ce que la mesure corrective immédiate et nécessaire soit prise pour remédier à tout cas de non-
conformité avec la règlementation applicable en matière d’équipement radioélectrique ou, si ce n’est pas possible,
atténuent les risques présentés par ce produit à la demande de l’Agence nationale des fréquences ou de leur propre
initiative lorsqu’ils estiment ou ont des raisons de penser que le produit en question présente un risque.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 150
« Le nom, la raison sociale ou la marque déposée et les coordonnées, y compris l’adresse postale, du prestataire
de services d’exécution des commandes sont indiqués sur le produit ou sur son emballage, le colis ou un document
d’accompagnement. »
Art. 4. – Au II de l’article R. 20-25, la référence : « R. 20-13-1 » est remplacée par la référence :
« R. 20-13-2 ».
Art. 5. – Après la sous-section 10 de la section 5 du chapitre II du titre Ier du livre II, il est créé une sous-
section 11 ainsi rédigée :
« Sous-section 11
« Dispositif permettant de contrôler l’accès des mineurs à des services ou contenus
« Art. R. 20-29-10-1. – I. – La conformité des dispositifs permettant de contrôler l’accès des mineurs à des
services ou contenus dont les équipements terminaux mentionnés à l’article L. 34-9-3 sont équipés, exige que
l’activation du dispositif soit proposée lors de la première mise en service de l’équipement terminal et que soit
respectées les fonctionnalités et caractéristiques techniques tenant à :
« 1o La possibilité de bloquer le téléchargement de contenus mis à disposition par des boutiques d’applications
logicielles lorsque la mise à disposition du contenu est légalement interdite aux mineurs ou régie par l’article 32 de
la loi no 98-468 du 17 juin 1998 relative à la prévention et à la répression des infractions sexuelles ainsi qu’à la
protection des mineurs ou inscrite sur une liste établie par l’éditeur en application de loi no 2004-575 du 21 juin 2004
pour la confiance dans l’économie numérique ;
« 2o La possibilité de bloquer l’accès aux contenus installés dont la mise à disposition est légalement interdite
aux mineurs ou régie par l’article 32 de la loi no 98-468 du 17 juin 1998 relative à la prévention et à la répression
des infractions sexuelles ainsi qu’à la protection des mineurs ou inscrite sur une liste établie par l’éditeur en
application de loi no 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique.
« II. – Les fonctionnalités et caractéristiques techniques des dispositifs de contrôle parental intégrées au
terminal en application du I :
« 1o Sont mises en œuvre localement sans entraîner de collecte ou de traitement de données à caractère personnel
de l’utilisateur mineur par des serveurs. Ces dispositions ne font pas obstacle à la création d’un compte sur un
serveur pour accéder à des boutiques d’applications logicielles ;
« 2o Ne donnent pas lieu à un traitement de données à caractère personnel de l’utilisateur mineur à l’exception de
ses données d’identification strictement nécessaires au fonctionnement du dispositif de contrôle parental.
« III. – Les autres fonctionnalités et caractéristiques techniques des dispositifs de contrôle parental, intégrées au
terminal sur une base volontaire :
« 1o Ne peuvent donner lieu à un traitement de données à caractère personnel de l’utilisateur mineur, à
l’exception de celles nécessaires au fonctionnement du dispositif de contrôle parental. Ces dispositions ne font pas
obstacle à la création d’un compte sur un serveur lorsque l’activation de ce dispositif de contrôle parental le
nécessite ;
« 2o Ne peuvent donner lieu à une collecte de données sur l’utilisateur mineur à des fins commerciales, telles que
le marketing direct, le profilage ou la publicité ciblée sur le comportement.
« Art. R. 20-29-10-2. – Après s’être assuré que les équipements terminaux intègrent les fonctionnalités et les
caractéristiques techniques mentionnés à l’article R. 20-29-10-1, le fabricant établit une documentation technique
et une déclaration de conformité pour chaque type d’équipement terminal.
« Dans le cas prévu au quatrième alinéa du I de l’article L. 34-9-3, le fournisseur du système d’exploitation
fournit au fabricant un certificat attestant de la conformité du système d’exploitation aux fonctionnalités et
caractéristiques techniques mentionnées à l’article R. 20-29-10-1. Il fournit toute information à la demande du
fabricant afin de permettre à ce dernier d’établir la documentation technique et la déclaration de conformité
mentionnées à l’alinéa précédent.
« Art. R. 20-29-10-3. – La documentation technique réunit l’ensemble des informations ou des précisions utiles
concernant les moyens employés par le fabricant ou le fournisseur du système d’exploitation pour garantir la
conformité des équipements terminaux aux spécifications techniques mentionnées à l’article R. 20-29-10-1.
« I. – Elle contient au moins :
« 1o Les versions de logiciels et micro-logiciels ayant des incidences sur la conformité aux exigences
mentionnées à l’article R. 20-29-10-1 ;
« 2o La notice d’utilisation et les instructions permettant l’activation, l’utilisation, la mise à jour et le cas échéant
la désactivation du dispositif ;
« 3o Une présentation des solutions adoptées pour répondre aux obligations mentionnées à l’article R. 20-29-10-1.
En cas d’application de normes ou de parties de normes, les rapports d’essais et, à défaut ou en complément, la liste
des autres spécifications techniques pertinentes appliquées ;
« 4o Une copie de la déclaration de conformité telle que prévue à l’article R. 20-29-10-4.
« II. – La documentation technique est établie antérieurement à la mise sur le marché des équipements. Elle est
mise à jour régulièrement.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 150
« III. – Sur requête motivée de l’Agence nationale des fréquences et dans un délai de quinze jours à compter de
la réception de la demande, le fabricant lui communique, sur support papier ou par voie électronique, en français,
toutes les informations et tous les documents nécessaires pour démontrer la conformité des équipements aux
exigences énoncées à la présente section. A sa demande, il coopère avec cette autorité en mettant en place les
mesures visant à éliminer les risques posés par des équipements qu’il a mis sur le marché.
« Art. R. 20-29-10-4. – I. – La déclaration de conformité précise les terminaux pour lesquels elle a été établie
et comprend les éléments suivants :
« 1o L’identification de l’équipement radioélectrique (numéro de produit, de type, de lot ou de série) ;
« 2o Le nom et l’adresse du fabricant ou de son mandataire ;
« 3o L’objet de la déclaration (identification de l’équipement radioélectrique permettant sa traçabilité) ;
« 4o Une mention selon laquelle l’équipement terminal est conforme aux dispositions de la loi no 2022-300
du 2 mars 2022 visant à renforcer le contrôle parental sur les moyens d’accès à internet ;
« 5o Les références des spécifications techniques ou, le cas échéant, des normes appliquées. Pour chaque
référence, le numéro d’identification, la version et, le cas échéant, la date d’émission sont indiqués ;
« 6o S’il y a lieu, description des accessoires et des éléments (y compris logiciels) qui permettent à l’équipement
radioélectrique de fonctionner selon sa destination et qui sont couverts par la déclaration de conformité ;
« 7o Le cas échéant, le certificat de conformité fourni par le fournisseur du système d’exploitation ;
« 8o La signature de l’auteur de la déclaration.
« II. – Les fabricants veillent à ce que chaque équipement terminal concerné soit accompagné, sur papier, sous
format électronique ou sur tout autre support, d’un exemplaire de la déclaration de conformité. Lorsque le fabricant
choisit de publier la déclaration de conformité sur un site internet, une mention du lien exact vers celle-ci doit
accompagner l’équipement.
« III. – Lorsque la conformité des équipements terminaux relève en outre d’actes de l’Union européenne
imposant l’établissement d’une déclaration “UE” de conformité, il peut n’être établi qu’une seule déclaration de
conformité. Les éléments relatifs à la conformité aux spécifications techniques mentionnées à l’article R. 20-29-10-1
sont alors inscrits sous le titre “déclaration de conformité au titre de la loi no 2022-300 du 2 mars 2022 visant à
renforcer le contrôle parental sur les moyens d’accès à internet”.
« IV. – Pendant une durée de dix ans à compter de la mise sur le marché des équipements terminaux concernés,
les fabricants conservent une copie de la déclaration de conformité qu’ils tiennent à la disposition de l’Agence
nationale des fréquences.
« Art. R. 20-29-10-5. – Le certificat de conformité mentionné au deuxième alinéa de l’article R. 20-29-10-2 et
établi par le fournisseur du système d’exploitation comprend les éléments suivants :
« 1o L’identification du système d’exploitation ;
« 2o Le nom et l’adresse du fournisseur du système d’exploitation ;
« 3o L’objet de la déclaration (identification du système d’exploitation) ;
« 4 o La déclaration selon laquelle le système d’exploitation est conforme aux dispositions de
l’article R. 20-29-10-1 ;
« 5o Les références des spécifications techniques ou, le cas échéant, des normes appliquées. Pour chaque
référence, le numéro d’identification, la version et, le cas échéant, la date d’émission sont indiqués ;
« 6o La signature de l’auteur de la déclaration.
« Art. R. 20-29-10-6. – Les importateurs mettent sur le marché des équipements terminaux accompagnés, sur
papier ou sous format électronique, d’une déclaration de conformité établie conformément à l’article R. 20-29-10-4.
« Les distributeurs ainsi que les prestataires de services d’exécution des commandes mettent à disposition sur le
marché des équipements accompagnés, sur papier ou sous format électronique, d’une déclaration de conformité
établie conformément à l’article R. 20-29-10-4.
« Art. R. 20-29-10-7. – Les contrôles et évaluations effectués en vue de rechercher et de constater les
infractions aux dispositions des articles R. 20-29-10-1 et R. 20-29-10-2, réalisés par les agents de l’Agence
nationale des fréquences et mentionnés à l’article L. 40, peuvent donner lieu au prélèvement d’équipements. En cas
de non-conformité d’un équipement, le coût des contrôles est à la charge du contrevenant.
« Le nombre d’exemplaires prélevés doit être limité aux nécessités du contrôle. Les prélèvements réalisés par les
agents mentionnés à l’article L. 40 sont effectués dans les conditions prévues aux articles R. 512-10 à R. 512-15 et
R. 512-16-1 à R. 512-16-7 du code de la consommation.
« Les échantillons nécessaires aux essais peuvent être adressés à un laboratoire désigné par le ministre chargé
des communications électroniques.
« Art. R. 20-29-10-8. – Lorsque l’Agence nationale des fréquences a des raisons suffisantes de croire que des
équipements terminaux mentionnés à l’article L. 34-9-3 présentent un risque de non-conformité, elle effectue une
évaluation des équipements terminaux concernés pouvant tenir compte de toutes les exigences pertinentes. Les
opérateurs économiques concernés apportent, à cette fin, la coopération nécessaire à l’Agence nationale des
fréquences.
« Lorsqu’au cours de l’évaluation prévue à l’alinéa précédent, l’Agence nationale des fréquences constate que
les équipements terminaux ne respectent pas les spécifications techniques de l’article R. 20-29-10-1, elle met en
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 150
demeure l’opérateur économique concerné de prendre toutes les mesures correctrices appropriées pour mettre les
équipements en conformité, les retirer du marché ou encore les rappeler dans un délai qu’elle détermine.
« Lorsque l’opérateur économique en cause ne prend pas des mesures correctrices adéquates dans le délai prévu
au deuxième alinéa, l’Agence nationale des fréquences adopte toutes les mesures appropriées pour interdire ou
restreindre la mise à disposition des équipements terminaux sur le marché national, pour les retirer du marché ou
les rappeler.
« Si l’opérateur économique ne se conforme pas, dans le délai imparti, à la mise en demeure prévue au deuxième
alinéa, l’Agence nationale des fréquences peut prononcer à son encontre une amende administrative en application
des dispositions du II bis de l’article L. 43.
« Art. R. 20-29-10-9. – I. – Les fabricants de terminaux mettent à la disposition des utilisateurs finals, de
manière aisément accessible et compréhensible, quel que soit le support, les informations suivantes :
« 1o Les caractéristiques essentielles et fonctionnalités techniques proposées par le dispositif de contrôle parental
installé sur leur équipement, ainsi qu’une notice explicative de sa configuration et de son fonctionnement ;
« 2o Des contenus informatifs en matière d’identification et de prévention des risques liés à l’exposition des
mineurs aux services de communication au public en ligne, notamment en matière de pratiques addictives, de
harcèlement en ligne ou d’exposition à des contenus inappropriés ;
« 3o Des contenus informatifs en matière d’identification et de prévention des risques liés à la surexposition ou à
l’exposition précoce des utilisateurs aux écrans.
« II. – Les personnes qui commercialisent des équipements terminaux d’occasion, au sens du deuxième alinéa
de l’article L. 321-1 du code de commerce, dont la première mise sur le marché est antérieure à l’entrée en vigueur
du présent décret, fournissent aux utilisateurs finals, de manière aisément accessible et compréhensible, les
informations relatives à l’existence de dispositifs permettant de contrôler l’accès des mineurs à des services ou
contenus. »
Art. 6. – Le 12o de l’article R. 20-44-11 est remplacé par les dispositions suivantes :
« 12o Elle procède à des contrôles en vue de rechercher et de constater les infractions relatives à la conformité
des équipements mentionnés aux articles L. 34-9 et L. 34-9-3. »
Art. 7. – I. – Le décret no 2022-1212 du 2 septembre 2022 relatif à l’entrée en vigueur de la loi no 2022-300
du 2 mars 2022 visant à renforcer le contrôle parental sur les moyens d’accès à internet est abrogé.
II. – Le présent décret entre en vigueur douze mois après sa publication au Journal officiel de la République
française.
Art. 8. – Le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et le ministre
délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, chargé de la
transition numérique et des télécommunications, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du
présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 11 juillet 2023.
ÉLISABETH BORNE
Par la Première ministre :
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
BRUNO LE MAIRE
Le ministre délégué auprès du ministre
de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle
et numérique, chargé de la transition numérique
et des télécommunications,
JEAN-NOËL BARROT
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
TEXTES GÉNÉRAUX
Le responsable de la délégation interrégionale du secrétariat général de Direction régionale des finances publiques de Nouvelle-Aquitaine et du départe
Bordeaux ment de la Gironde
»
sont remplacées par les lignes :
«
Les premier président et procureur général de la cour d’appel de Poitiers Direction régionale des finances publiques de Nouvelle-Aquitaine et du départe
ment de la Gironde
Le responsable de la délégation interrégionale du secrétariat général de
Bordeaux
».
Art. 2. – Le B de l’annexe I de l’arrêté du 23 décembre 2019 susvisé est complété par les dispositions
suivantes :
« Pour les opérations relatives aux ordres de recouvrer pris en charge et non soldés au 1er septembre 2023 et aux
intérêts moratoires dont le fait générateur est antérieur au 1er septembre 2023.
«
SERVICE COMPTABLE PRINCIPAL ASSIGNATAIRE
».
Art. 3. – Les dispositions du présent arrêté entrent en vigueur le 1er septembre 2023.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 150
Art. 4. – Le directeur général des finances publiques est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 4 juillet 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le chef du service de la fonction financière
et comptable de l’Etat,
B. LLORCA
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 11 juillet 2023 fixant le nombre de places offertes à l’examen professionnel pour l’accès
au grade d’agent de constatation principal des douanes de 2e classe organisé au titre de
l’année 2023
NOR : ECOD2319180A
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 11 juillet 2023, le nombre de places offertes à l’examen professionnel pour l’accès au grade d’agent de
constatation principal des douanes de 2e classe organisé au titre de l’année 2023 est fixé à 36.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
»
est remplacée par la ligne :
«
».
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 150
Art. 3. – Le ministre de l’intérieur et des outre-mer et le ministre délégué auprès du ministre de l’intérieur et
des outre-mer, chargé des outre-mer, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret,
qui sera publié au Journal officiel de la République française et entrera en vigueur immédiatement.
Fait le 12 juillet 2023.
ÉLISABETH BORNE
Par la Première ministre :
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
GÉRALD DARMANIN
Le ministre délégué auprès du ministre de l’intérieur
et des outre-mer, chargé des outre-mer,
JEAN-FRANÇOIS CARENCO
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Par décret en date du 11 juillet 2023, est abrogé le décret du 18 mai 1899, qui a reconnu comme établissement
d’utilité publique l’association dite « La maison du marin de Dunkerque ».
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
guerre, le pourcentage de postes offerts au titre des recrutements des gardiens de la paix de la police nationale,
ouverts pour les années 2024 et 2025, est fixé à 5 %.
Art. 2. – Le directeur général de la police nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 7 juillet 2023.
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur du recrutement
et des dispositifs promotionnels,
E. BOISARD
Le ministre des armées,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur de la fonction militaire,
L. POZZO DI BORGO
Le ministre de la transformation
et de la fonction publiques,
Pour le ministre et par délégation :
La cheffe du département du recrutement
et des politiques d’égalité et de diversité,
Y. SECK
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 9 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Le ministre de l’intérieur et des outre-mer et la secrétaire d’État auprès du ministre de l’intérieur et des outre-
mer, chargée de la citoyenneté,
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement,
notamment son article 3 ;
Vu le décret no 2006-52 du 17 janvier 2006 instituant le comité interministériel de prévention de la délinquance ;
Vu le décret no 2016-553 du 6 mai 2016 portant modifications de dispositions relatives à la prévention de la
délinquance ;
Vu le décret no 2019-1259 du 28 novembre 2019 modifiant le code de la sécurité intérieure et relatif au fonds
interministériel de prévention de la délinquance ;
Vu le décret du 9 juin 2023 portant cessation de fonctions du secrétaire général du comité interministériel de
prévention de la délinquance et de la radicalisation - M. GRAVEL (Christian) ;
Vu le décret du 29 juin 2023 portant nomination du secrétaire général par intérim du comité interministériel de
prévention de la délinquance et de la radicalisation - M. PIZZI (Christophe),
Arrêtent :
Art. 1er. – Délégation est donnée à M. Christophe PIZZI, sous-préfet, secrétaire général par intérim du comité
interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation, à l’effet de signer, au nom du ministre de
l’intérieur, l’ensemble des actes relatifs aux affaires placées sous son autorité, à l’exception des décrets.
Art. 2. – En cas d’absence ou d’empêchement de M. Christophe PIZZI, délégation est donnée à Mme Sophie
GRAY, commissaire générale de police, à l’effet de signer les actes cités à l’article 1er.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 11 juillet 2023.
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
GÉRALD DARMANIN
La secrétaire d’État auprès du ministre de l’intérieur
et des outre-mer, chargée de la citoyenneté,
SONIA BACKÈS
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 10 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Décret no 2023-591 du 11 juillet 2023 modifiant l’annexe 7-4 du livre VII du code de
commerce fixant le nombre des juges élus des tribunaux mixtes de commerce des
départements d’outre-mer
NOR : JUSB2316008D
de commerce des départements d’outre-mer est modifiée, en ce qui concerne le tribunal mixte de commerce de
Fort-de-France, conformément à l’annexe du présent décret.
Art. 2. – Le garde des sceaux, ministre de la justice, est chargé de l’exécution du présent décret, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 11 juillet 2023.
ÉLISABETH BORNE
Par la Première ministre :
Le garde des sceaux,
ministre de la justice,
ÉRIC DUPOND-MORETTI
ANNEXE 7-4
NOMBRE DES JUGES ET NOMBRE DES CHAMBRES DES TRIBUNAUX MIXTES DE COMMERCE
SIÈGE DU TRIBUNAL MIXTE NOMBRE DE JUGES ÉLUS
DÉPARTEMENTS de commerce du tribunal mixte de commerce
(Sans changement)
Martinique Fort-de-France 15
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
d’études supérieures de notariat définies à la section I du chapitre II du titre Ier du décret 5 juillet 1973 susvisé.
TITRE Ier
Dispositions générales
Art. 2. – Les études supérieures de notariat sont assurées par l’Institut national des formations notariales et par
les établissements publics d’enseignement supérieur qui ont conclu avec lui la convention prévue à cet effet.
Cette convention précise notamment, entre chaque site d’enseignement de l’Institut national des formations
notariales et l’établissement public d’enseignement supérieur associé :
a) Les modalités d’attribution de la direction pédagogique de chaque module d’enseignement ;
b) Les modalités de désignation de l’équipe enseignante et des intervenants professionnels ;
c) Les capacités d’accueil ;
d) Les modalités d’accueil des étudiants et notamment les formalités d’inscription et d’organisation des études
supérieures de notariat ;
e) Les modalités d’affectation des droits de scolarité ;
f) Le partage des compétences sur tout point qui ne serait pas expressément réglé par le décret du 5 juillet 1973
susvisé ni par le présent arrêté ;
g) Les modalités de respect du cahier des charges défini dans l’annexe 2 du présent arrêté pour les
établissements publics d’enseignement supérieur qui délivrent un master mention droit notarial ;
h) Les modalités de l’enseignement à distance ;
i) Le cas échéant, les relations et modalités d’organisation avec les établissements publics d’enseignement
supérieur dont le master mention « droit notarial » a été seul conventionné.
Le diplôme d’études supérieures de notariat est délivré, dans les conditions définies à l’article 5, par les
établissements publics d’enseignement supérieur.
Art. 3. – La durée des études supérieures de notariat est de vingt-quatre mois. Le cursus comprend trois
périodes de formation définies en annexe 1 du présent arrêté ainsi qu’un stage.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 150
La durée mentionnée à l’alinéa précédent n’inclut ni le temps consacré au module préparatoire défini à
l’article 10, ni le temps dont disposent les étudiants pour préparer et soutenir leur rapport de stage ou leur mémoire.
L’étudiant dispose, du jour de sa première inscription, d’un délai butoir de dix années pour obtenir son diplôme.
Art. 4. – Les étudiants peuvent bénéficier d’une période de césure au cours de laquelle ceux-ci suspendent leur
formation afin d’acquérir une expérience personnelle ou professionnelle complémentaire.
La période de césure est insécable et d’une durée comprise entre six mois et un an. Elle ne peut être accordée
qu’une seule fois. Elle débute à l’issue du module préparatoire et au plus tard avant la troisième période de
formation.
Elle est autorisée, pour chaque étudiant qui en fait la demande, par le chef d’établissement public
d’enseignement supérieur après avis du directeur général de l’Institut national des formations notariales.
L’établissement et l’étudiant signent une convention qui prévoit, notamment, les conditions dans lesquelles
l’étudiant peut être dispensé, le cas échéant, de la rédaction du rapport de stage ou du mémoire et de la soutenance
prévue au chapitre IV du titre VI du présent arrêté.
Une convention est également conclue entre l’étudiant, l’employeur, l’Institut national des formations notariales
et, le cas échéant, l’organisme de formation à l’étranger, afin d’organiser le principe et les modalités de
financement de la formation, pendant la période de césure, par les organismes compétents.
Art. 5. – Le diplôme d’études supérieures de notariat est délivré aux étudiants ayant passé avec succès les
examens de chaque période de formation, obtenu le certificat de fin de stage et validé, sauf en cas de dispense
prévue au dernier alinéa de l’article 22, la soutenance du rapport de stage ou de mémoire.
L’assiduité aux enseignements est obligatoire. Au-delà de trois absences non justifiées par période de formation,
l’étudiant ne peut se présenter à la session d’examens et il est considéré comme défaillant à l’ensemble de la
session d’examens de la période de formation considérée.
TITRE II
Accès aux études supérieures de notariat
Art. 6. – Les candidats titulaires du diplôme national de master mention « droit notarial », délivré par un
établissement signataire de la convention mentionnée à l’article 2, accèdent de plein droit aux études supérieures de
notariat.
Art. 7. – Les candidats non titulaires du diplôme mentionné à l’article 6 sont sélectionnés par la commission
nationale prévue à l’article 15 du décret du 5 juillet 1973 susvisé, dans les conditions prévues au présent article.
Nul ne peut présenter plus de trois candidatures à l’admission dans cette formation.
Chaque candidat soumet à la commission nationale de sélection un dossier de candidature qui comporte :
– une lettre de motivation ;
– la copie des documents justifiant de son identité, de sa nationalité et de son domicile ;
– tout document justifiant de l’obtention de l’un des diplômes prévus au 5o de l’article 3 du décret du
5 juillet 1973 susvisé ;
– les relevés de notes obtenues par le candidat pendant l’ensemble de son cursus post baccalauréat ;
– une déclaration sur l’honneur relative au nombre de candidatures soumises les années antérieures à la
commission nationale de sélection.
Le directeur général de l’Institut national des formations notariales arrête chaque année :
– la date limite de dépôt des dossiers de candidature ;
– la date limite de publication de la liste des candidats retenus pour l’entretien ;
– la période à laquelle se tiennent les entretiens individuels ;
– la date limite de publication de la liste des candidats admis.
La commission nationale de sélection établit la liste des candidats retenus pour se présenter à l’entretien
individuel. Cette liste est publiée par l’Institut national des formations notariales sur son site internet.
L’entretien individuel comporte une discussion de quinze minutes avec les membres de la commission nationale
de sélection. Il permet d’apprécier la culture notariale, les connaissances juridiques et la motivation du candidat.
Au terme des entretiens individuels, la commission nationale établit la liste des candidats admis.
Cette liste est publiée par l’Institut national des formations notariales sur son site internet.
Art. 8. – Les candidats qui ne sont pas titulaires du diplôme requis au jour de la clôture des inscriptions doivent
justifier de son obtention au plus tard avant le début de la formation.
TITRE III
Programme des enseignements
Art. 9. – Le programme des enseignements des différentes périodes de la formation du diplôme d’études
supérieures de notariat ainsi que le référentiel des contenus pédagogiques sont fixés en annexe 1 du présent arrêté.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 150
TITRE IV
Module préparatoire
Art. 10. – Les candidats admis au titre de l’article 7 du présent arrêté suivent un module préparatoire visant à
compléter leurs connaissances.
La commission nationale de sélection assigne à chaque étudiant un ou plusieurs enseignements dont la liste est
fixée en annexe 1 du présent arrêté.
L’assiduité aux enseignements du module préparatoire est obligatoire pour les étudiants qui y sont soumis.
TITRE V
Le stage
Art. 11. – L’admission au stage résulte de l’inscription sur le registre de stage effectuée par l’Institut national
des formations notariales qui tient également à jour ce registre, dans les conditions de l’article 22 du décret susvisé.
Les étudiants soumis au module préparatoire ne peuvent accéder au stage qu’à la condition d’avoir suivi les
enseignements de ce module qui leur ont été assignés dans les conditions prévues à l’article 10.
Le stage comprend des travaux de pratique professionnelle. Il s’effectue en alternance pendant les vingt-quatre
mois des études supérieurs de notariat. Il peut être accompli à temps partiel. Dans ce cas, sa durée est prolongée de
telle sorte qu’elle soit équivalente à la durée normale d’accomplissement du stage.
Art. 12. – Le site d’enseignement de l’Institut national des formations notariales remet à chaque étudiant un
livret de stage, dont le modèle est fixé par le directeur général de l’Institut national des formations notariales. Le
stagiaire et le maître de stage renseignent ce livret tout au long du déroulement du stage.
Art. 13. – Le stage est accompli au moyen d’un contrat de travail qui peut prendre la forme d’un contrat de
professionnalisation, d’apprentissage ou toute autre modalité permettant d’assurer que la formation s’effectue sur le
temps de travail du salarié en alternance. Ce contrat organise une alternance entre les enseignements et la pratique
en office notarial. Au moins trois jours par semaine sont dédiés à la pratique en office notarial.
Art. 14. – L’étudiant qui souhaite bénéficier des dispositions des deuxième à sixième alinéas de l’article 20 du
décret du 5 juillet 1973 susvisé adresse une demande motivée au directeur du site d’enseignement de l’Institut
national des formations notariales. Ce dernier transmet cette demande, assortie d’un avis, au directeur général de
l’institut national des formations notariales, afin qu’il y soit statué.
Art. 15. – Le directeur de l’Institut national des formations notariales remet un certificat de fin de stage à
l’étudiant qui justifie avoir achevé son stage.
Art. 16. – Si le directeur général de l’Institut national des formations notariales estime que le stagiaire n’a pas
satisfait à ses obligations, il peut, après avoir entendu l’intéressé, prolonger le stage pour une période d’une année
renouvelable une fois. A l’expiration de la prolongation, le certificat est délivré ou refusé. La décision est motivée.
Elle est notifiée par tout moyen conférant date certaine à sa réception à l’intéressé.
TITRE VI
Contrôle des connaissances
CHAPITRE Ier
PREMIÈRE PÉRIODE DE FORMATION : LE NOTAIRE, OFFICIER PUBLIC ET MINISTÉRIEL
Art. 17. – La première période de formation est intitulée « Le notaire, officier public et ministériel ».
Elle est sanctionnée par une session d’examens, qui comporte une épreuve écrite et une épreuve orale.
L’épreuve écrite consiste en la résolution d’un cas pratique ou d’une consultation, en quatre heures. Elle est
corrigée par un binôme composé d’un universitaire et d’un notaire ou collaborateur de notaire désignés
conjointement par le directeur du site d’enseignement de l’Institut national des formations notariales et le
responsable pédagogique de la première période de formation.
L’épreuve orale consiste en un exposé-discussion de vingt minutes avec le jury prévu à l’article 18 du décret du
5 juillet 1973 susvisé sur un sujet choisi par l’étudiant parmi deux tirés au sort. Il est précédé d’une préparation de
trente minutes.
Le jury attribue pour chacune des épreuves une note de 0 à 20. La première période de formation est validée si la
moyenne des deux notes est supérieure ou égale à 10 sur 20.
Les résultats de la session d’examens sont affichés dans les locaux du site d’enseignement et publiés sur le site
internet de chaque établissement concerné.
Art. 18. – L’étudiant ayant obtenu une moyenne inférieure à 10 sur 20 est autorisé à poursuivre sa formation et
se présente à la prochaine session d’examens de la première période de formation.
En cas d’échec à cette nouvelle session, il peut se présenter à une ultime session lors de la prochaine session
d’examens de la première période de formation. En cas de nouvel échec, il est mis fin à sa formation.
Les résultats de l’épreuve sont affichés dans les locaux du site d’enseignement et publiés sur le site internet de
chaque établissement concerné.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 150
CHAPITRE II
DEUXIÈME PÉRIODE DE FORMATION : LE NOTAIRE, EXPERT JURIDIQUE
Art. 19. – La deuxième période de formation est intitulée « Le notaire, expert juridique ».
Elle comprend trois modules sanctionnés par un contrôle continu, comprenant au moins une évaluation orale et
une évaluation écrite, et par une session d’examens portant sur le programme de chaque module.
La moyenne des notes de contrôle continu compte pour un tiers de la note globale attribuée à chaque module.
Chaque module comporte une épreuve écrite. Elle consiste en la résolution d’un cas pratique ou d’une
consultation en quatre heures. Elle est corrigée par un binôme composé d’un universitaire et d’un notaire ou
collaborateur de notaire désignés conjointement par le directeur du site d’enseignement de l’Institut national des
formations notariales et le responsable pédagogique de la deuxième période de formation.
Le sujet de l’épreuve écrite est déterminé par les enseignants du module concerné.
Les dates des épreuves sont fixées par le directeur du diplôme d’études supérieures de notariat en concertation
avec le directeur du site d’enseignement de l’Institut national des formations notariales. Les responsables
pédagogiques de chaque module décident des documents autorisés aux épreuves.
Le jury prévu à l’article 18 du décret du 5 juillet 1973 susvisé attribue pour chacune des épreuves une note de 0 à
20. Cette note compte pour deux tiers dans la note globale du module. Chaque module est validé si la note globale
est supérieure ou égale à 10 sur 20. La période est validée si, à l’issue de la session d’examens, l’étudiant a validé
l’ensemble des modules, sans compensation possible entre ceux-ci.
Si une note globale d’un module est inférieure à 10 sur 20, l’étudiant est ajourné. Il se présente à la session
d’examens qui suit celle au titre de laquelle il a été ajourné. Si sa note de contrôle continu est supérieure à 10 sur
20, l’étudiant peut, à sa demande, conserver le bénéfice de celle-ci. Si sa note de contrôle continu est inférieure à 10
sur 20, il est évalué sur la seule épreuve écrite terminale.
En cas d’échec à cette session du module concerné, il peut se présenter à une ultime session lors de la prochaine
session d’examens organisée pour ce module. En cas de nouvel échec, il est mis fin à sa formation.
Les résultats de l’épreuve sont affichés dans les locaux du site d’enseignement et publiés sur le site internet de
chaque établissement concerné.
CHAPITRE III
TROISIÈME PÉRIODE DE FORMATION : LE NOTAIRE, ENTREPRENEUR
Art. 20. – La troisième période de formation est intitulée « Le notaire, entrepreneur ».
Elle est sanctionnée par une session d’examen qui consiste en une épreuve orale sous la forme d’un entretien de
vingt minutes avec le jury prévu à l’article 18 du décret du 5 juillet 1973 susvisé. L’entretien, qui n’est précédé
d’aucun temps de préparation, prend la forme d’une discussion portant sur le programme de la troisième période de
formation et sur le projet professionnel de l’étudiant. Cette période de formation est validée si la note obtenue à
l’épreuve est supérieure ou égale à 10 sur 20. Si cette note est inférieure à 10 sur 20, l’étudiant est soumis à une
session de rattrapage.
L’épreuve de rattrapage est organisée dans les quinze jours de la publication des résultats de l’étudiant.
L’épreuve consiste en un entretien organisé dans les mêmes conditions que la première session d’examen. Si la
note à cette épreuve de rattrapage est inférieure à 10 sur 20, l’étudiant est ajourné et il est mis fin à sa formation.
Art. 21. – Le module de langue étrangère porte sur l’enseignement d’une langue étrangère parmi celles
désignées dans la convention mentionnée à l’article 2.
Il est sanctionné par une épreuve sous forme de questionnaire à choix multiple.
Il donne lieu à une note de 0 à 20, et est validé si cette note est supérieure à 10 sur 20.
Si cette note est inférieure à 10 sur 20, l’étudiant est soumis à une épreuve de rattrapage.
L’épreuve de rattrapage est organisée dans les quinze jours de la publication des résultats de l’étudiant.
L’épreuve consiste en un nouveau questionnaire à choix multiple.
Le correcteur attribue une note de 0 à 20. Le module est validé si la note obtenue est supérieure ou égale à 10 sur
20. Si la note est inférieure à 10 sur 20, l’étudiant peut poursuivre sa formation mais doit se présenter à la prochaine
session d’examen de langue, dans les mêmes conditions que celles précédemment décrites.
Les résultats de l’épreuve sont affichés dans les locaux du site d’enseignement et publiés sur le site internet de
chaque établissement concerné.
CHAPITRE IV
RAPPORT DE STAGE OU MÉMOIRE
Art. 22. – A l’issue des trois périodes de formation et après l’obtention du certificat de fin de stage, les
étudiants soutiennent au choix un rapport de stage ou un mémoire conformément aux dispositions de l’article 5.
Le rapport de stage relate les diligences auxquelles l’étudiant a concouru concernant des actes relevant de deux
des trois modules qui composent la deuxième période de formation et comporte une analyse détaillée du dossier
confié au sein de l’office notarial.
Le mémoire porte sur un sujet rencontré à l’occasion du stage, contextualisé au regard de la pratique notariale et
qui fait l’objet d’une réflexion théorique. Les centres de recherches, d’information et de documentation notariales,
peuvent établir des listes de thèmes à exploiter au regard des consultations sollicitées par les notaires.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 150
Le mémoire peut débuter, en accord, avec les responsables compétents, dès la deuxième année du master
mention « droit notarial ».
La soutenance a lieu devant un jury composé de trois personnes dont un universitaire et un notaire ou
collaborateur de notaire désignés conjointement par le directeur du site d’enseignement de l’Institut national des
formations notariales et le directeur du diplôme. Tant les universitaires que les notaires peuvent être honoraires.
Elle évalue la qualité des travaux de l’étudiant, son aptitude à les situer dans leur contexte et ses qualités
d’exposition.
A l’issue de la soutenance d’un mémoire, le jury peut proposer au candidat de poursuivre son travail en vue de la
rédaction d’une thèse de doctorat.
Le jury prévu à l’article 18 du décret du 5 juillet 1973 susvisé attribue une note de 0 à 20. La soutenance est
validée si la note obtenue est supérieure ou égale à 10 sur 20. Si la note est inférieure à 10 sur 20, l’étudiant
présente son rapport de stage ou son mémoire à l’occasion d’une nouvelle soutenance. En cas d’échec à cette
dernière soutenance, il est mis fin à sa formation.
Le directeur du diplôme, en concertation avec le directeur du site d’enseignement de l’Institut national des
formations notariales, détermine la période à laquelle les soutenances se tiennent chaque année.
Le rapport de stage ou le mémoire, doit être soutenu au plus tard à la fin de l’année civile qui suit celle de la
réussite à toutes les périodes de formation, sauf dérogation accordée par le directeur général de l’Institut national
des formations notariales après avis du directeur du diplôme et du directeur de site de l’Institut national des
formations notariales concerné.
Est dispensé de rapport de stage ou de mémoire l’étudiant qui a suivi avec succès une formation de spécialisation
d’au moins cent-vingt heures ou une formation diplômante à l’étranger, sous réserve qu’elle figure sur la liste des
formations établie par l’Institut national des formations notariales.
Art. 23. – L’arrêté du 28 avril 2008 relatif au diplôme supérieur de notariat, l’arrêté du 8 août 2013 fixant les
modalités de la sélection des dossiers pour l’accès aux centres de formation professionnelle de notaires, et l’arrêté
du 8 août 2013 fixant les modalités de l’examen par modules et du rapport de stage en vue de l’obtention du
diplôme de notaire sont abrogés à compter de l’entrée en vigueur du présent arrêté.
Toutefois, les personnes qui demeurent soumises, en application du deuxième alinéa de l’article 9 du décret du
7 octobre 2022 susvisé, au décret du 5 juillet 1973 dans sa version antérieure, restent soumises aux dispositions de
ces arrêtés dans leur dernière version en vigueur.
Si celles-ci n’ont pas, au 31 décembre 2027 au plus tard, achevé leur formation, elles intègrent les études
supérieures de notariat. Une commission composée du directeur du diplôme, du directeur du site de l’Institut
national des formations notariales, d’un enseignant-chercheur et d’un notaire participant tous les deux à la
formation détermine, au regard du parcours de chaque étudiant, les modules ou matières qui lui restent à valider
dans ce cadre.
Art. 24. – Le présent arrêté entre en vigueur le 1er septembre 2024.
Art. 25. – Le directeur des affaires civiles et du sceau et la directrice générale de l’enseignement supérieur et
de l’insertion professionnelle sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera
publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juillet 2023.
Le garde des sceaux,
ministre de la justice,
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur des affaires civiles et du sceau,
R. DECOUT-PAOLINI
La ministre de l’enseignement supérieur
et de la recherche,
Pour la ministre et par délégation :
La directrice générale
de l’enseignement supérieur
et de l’insertion professionnelle,
A.-S. BARTHEZ
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 150
ANNEXE 1
PROGRAMME DES ÉTUDES SUPÉRIEURES DE NOTARIAT
ET RÉFÉRENTIEL DES CONTENUS PÉDAGOGIQUES
Module préparatoire
Le module préparatoire comprend cinq matières d’un volume horaire de 20 heures par matière :
– essentiels du droit des obligations et de la preuve ;
– essentiels du droit du patrimonial de la famille ;
– essentiels du droit de la personne, de la famille ;
– essentiels du droit immobilier et des biens ;
– essentiels du droit des affaires et des sociétés.
Première période de formation : « Le notaire, officier public et ministériel »
La première période de formation comprend un volume horaire de 85 heures d’enseignements suivants :
– l’acte notarié : domaine de l’authenticité, force de l’acte notarié, l’acte notarié numérique, l’accès des notaires
aux fichiers, les formalités postérieures à l’acte ;
– déontologie et responsabilité notariale : règles déontologiques, obligations déclaratives, les responsabilités
professionnelles ;
– la profession notariale : histoire de la profession, accès la profession, organismes professionnels, tarif du
notaire, comptabilité notariale, médiation notariale et arbitrage ;
– contribution du notaire aux politiques publiques (Lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme
en particulier) ;
– les humanités notariales ;
– les outils et ateliers numériques.
Deuxième période de formation : « Le notaire, expert juridique »
La deuxième période de formation comprend un volume horaire de 300 heures d’enseignements suivants :
Module ingénierie des actes du droit des personnes et de la famille et techniques liquidatives 90 heures :
– personnes et patrimoines ;
– régimes patrimoniaux des couples ;
– successions et libéralités ;
– droit international privé des personnes et de la famille ;
– fiscalité des personnes et de la famille ;
Module ingénierie des actes du droit immobilier et du droit rural (120 heures) :
– droit de la copropriété et organisation collective des immeubles ;
– droit de l’urbanisme ;
– droit de la construction ;
– droit de l’environnement ;
– droit public immobilier ;
– fiscalité immobilière ;
– droit rural ;
– fiscalité agricole ;
– protection sociale agricole ;
– vente immobilière ;
– négociation immobilière ;
– baux civils ;
– financement et garanties ;
– droit international privé ;
Module ingénierie des actes du droit des affaires et de l’entreprise (90 heures) :
– droit commercial ;
– opérations sur fonds de commerce et autres fonds ;
– droit des sociétés civiles et commerciales ;
– droit des groupements spéciaux ;
– financement de l’entreprise ;
– transmission de l’entreprise ;
– droit des entreprises en difficulté ;
– droit international privé et droit européen des affaires ;
– droit fiscal des affaires ;
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 150
ANNEXE 2
CAHIER DES CHARGES DU MASTER MENTION DROIT NOTARIAL
I. – ENSEIGNEMENTS
Le conventionnement des master mention droit notarial est conditionné, notamment, à l’existence d’un volume
horaire minimum de 350 heures dispensés en présentiel.
Les enseignements du master mention droit notarial, intègrent :
a. – Approfondissement des matières fondamentales suivantes :
– droit civil des personnes et de la famille.
Etat des personnes, personnes vulnérables, conjugalités, modes de rupture, régimes matrimoniaux et régime
patrimoniaux des couples non mariés, droit des successions et libéralités.
– droit civil des actes juridiques et des biens.
Forme et preuve des actes juridique, droit commun des contrats et contrats spéciaux, régime général des
obligations, suretés personnelles et réelles, régime de la propriété, démembrement, indivision.
– constitution, structure et transmission des entreprises.
Fonds de commerce agricoles et libéraux, entrepreneur individuel, droit des sociétés civiles et commerciales,
autres groupements, entreprises en difficulté
– droit privé et droit public de l’immeuble.
Droit immobilier, droit de l’urbanisme, droit de la construction et de la promotion immobilière, droit rural,
éléments essentiels du droit des collectivités territoriales.
– fiscalité notariale.
Fiscalité des particuliers, fiscalité des transmissions à titre onéreux et gratuit, fiscalité des entreprises.
– droit international privé.
Droit international privé des personnes et de la famille, des contrats et des entreprises.
b. – Enseignements portant sur les questions suivantes :
– le notaire, son statut (officier public et ministériel) et ses missions (service public de l’authenticité, conseil,
collecteur d’impôts) ;
– l’organisation professionnelle et la déontologie notariale ;
– les responsabilités du notaire (disciplinaire, civile et pénale).
II. – STAGE
Un stage a lieu pendant la préparation du master mention « droit notarial ». Sa durée est d’au moins quatre
semaines - continues ou non - dans un office notarial. Peuvent être dispensés de ce stage les étudiants justifiant
d’une expérience professionnelle dans le notariat.
TEXTES GÉNÉRAUX
ayants droits compris dans son champ d’application, les stipulations de l’avenant no 15 à l’accord national
interprofessionnel du 17 novembre 2017 instituant le régime AGIRC-ARRCO de retraite complémentaire, conclu
le 16 mars 2023.
Art. 2. – Sont élargies, conformément aux dispositions de l’article L. 911-4 du code de la sécurité sociale, les
stipulations de l’avenant no 15 à l’accord national interprofessionnel du 17 novembre 2017 instituant le régime
AGIRC-ARRCO de retraite complémentaire, conclu le 16 mars 2023.
Cet élargissement a pour effet de rendre les stipulations de cet avenant obligatoire pour tous les salariés, anciens
salariés et leurs ayants droit et pour tous les employeurs compris dans le champ d’application de l’accord national
interprofessionnel du 17 novembre 2017 relatif au régime AGIRC-ARRCO de retraite complémentaire.
Art. 3. – Le directeur de la sécurité sociale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 11 juillet 2023
Le ministre du travail,
du plein emploi et de l’insertion,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des retraites et des institutions,
de la protection sociale complémentaire,
D. CHAUMEL
Le ministre de la santé
et de la prévention,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des retraites et des institutions
de la protection sociale complémentaire,
D. CHAUMEL
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Décret du 11 juillet 2023 portant approbation des modifications apportées aux statuts
d’une fondation de coopération scientifique
NOR : ESRR2311388D
Par décret en date du 11 juillet 2023, sont approuvées les modifications apportées aux statuts (1) de la fondation
de coopération scientifique « Fondation Jean-Jacques Laffont, Toulouse sciences économiques », créée par décret
du 1er février 2007.
(1) Les statuts peuvent être consultés au rectorat de la région académique Occitanie.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 27 juin 2023 modifiant l’arrêté du 24 juin 2022 et fixant la répartition budgétaire pour
l’année 2022 entre les régions ultrapériphériques de la mesure « aide à l’importation d’animaux
vivants »
NOR : AGRT2309836A
TEXTES GÉNÉRAUX
« Végétaux spécifiés » les végétaux au sens du 1 de l’article 2 du règlement (UE) 2016/2031 du Parlement
européen et du Conseil du 26 octobre 2016 susvisé appartenant aux espèces Juglans spp. et Pterocarya spp. de la
famille botanique des Juglandacées à l’exclusion des fruits et graines ;
« Produits végétaux spécifiés » les produits végétaux au sens du 2 de l’article 2 du règlement (UE) 2016/2031 du
Parlement européen et du Conseil du 26 octobre 2016 susvisé incluant les bois de végétaux spécifiés à l’exclusion
des racines.
Art. 2. – En tant qu’ils sont organismes de quarantaine de l’Union européenne, la lutte contre Pityophthorus
juglandis et Geosmithia morbida est obligatoire sur tout le territoire national dans les conditions fixées par le
présent arrêté.
Art. 3. – Conformément aux dispositions des articles L. 201-7 et D. 201-7 du code rural et de la pêche
maritime, tout détenteur, producteur ou utilisateur de végétaux spécifiés est tenu, en cas de présence ou suspicion
de présence de Pityophthorus juglandis ou Geosmithia morbida, d’en faire la déclaration immédiate auprès de la
direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de la région concernée.
Art. 4. – Lorsque des végétaux ou produits végétaux spécifiés sont suspectés d’être contaminés par
Pityophthorus juglandis ou Geosmithia morbida du fait de la présence de symptômes ou de la connaissance
d’un lien épidémiologique avec des végétaux contaminés, le détenteur applique les mesures de restriction de
circulation et d’isolement des végétaux, produits végétaux et autres objets susceptibles d’être contaminés et le cas
échéant celles prescrites par le préfet de région dans l’attente des résultats des analyses officielles.
Art. 5. – Lorsque l’infestation d’un végétal spécifié par Pityophthorus juglandis ou Geosmithia morbida est
officiellement confirmée, une zone délimitée composée d’une zone infestée et d’une zone tampon est établie par
arrêté préfectoral.
La zone infestée inclut le végétal spécifié officiellement confirmé infesté ainsi que tous les végétaux spécifiés
situés dans un rayon de 10 mètres.
La zone tampon est établie sur un rayon de 2 kilomètres autour de la zone infestée.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 150
Conformément aux dispositions de l’article D. 251-2-6 du code rural et de la pêche maritime, à des fins de
protection des zones de production nucicole, le préfet de région peut dans une commune de plus de 10 000 habitants
ou dans une aire urbaine :
1o Etendre la zone infestée dans la limite d’un rayon allant jusqu’à 500 mètres ;
2o Définir, selon une analyse du risque local, des conditions de dérogation aux mesures de destruction prévues à
l’article 6.
La zone délimitée est levée si la présence de Pityophthorus juglandis et de Geosmithia morbida n’y a pas été
détectée pendant trois années consécutives à compter de la date de la dernière confirmation officielle de leur
présence dans cette zone.
Art. 6. – Dans la zone infestée, les végétaux spécifiés sont abattus puis détruits dans un délai fixé par le préfet
de région et au plus tard avant le début de la période suivante de vol de Pityophthorus juglandis qui est fixée
au 31 mars de chaque année.
Par dérogation, le délai de mise en place des mesures de lutte peut être prorogé par décision du préfet de région
si des mesures conservatoires permettant d’exclure la dissémination de Pityophthorus juglandis et Geosmithia
morbida sont mises en place.
A l’exception des produits végétaux spécifiés respectant les exigences fixées à l’annexe VIII du règlement
d’exécution (UE) 2019/2072 de la Commission du 28 novembre 2019 susvisé, les produits végétaux spécifiés
situés dans la zone infestée sont détruits par incinération dans cette zone.
Par dérogation, le préfet de région peut autoriser le transport et le stockage des produits végétaux spécifiés en
vue de leur incinération ou de leur valorisation, dans un lieu situé en dehors de la zone infestée dans les cas
suivants :
1o La zone infestée est située dans un milieu où l’incinération n’est pas autorisée pour des raisons
environnementales ou de santé publique ;
2o Les produits végétaux spécifiés sont valorisés pour leur incinération à des fins industrielles dans des
conditions de confinement garantissant la non-dissémination de Pityophthorus juglandis et Geosmithia morbida.
3o Les produits végétaux spécifiés sont destinés à faire l’objet d’un traitement visant à répondre aux exigences
fixées par l’annexe VIII du règlement d’exécution (UE) 2019/2072 de la Commission du 28 novembre 2019
susvisé, dans des conditions de confinement garantissant la non-dissémination de Pityophthorus juglandis et
Geosmithia morbida.
Le transport des produits végétaux spécifiés entre la zone infestée et le site d’incinération ou de valorisation est
autorisé par le préfet de région selon des modalités de transport garantissant la non-dissémination de Pityophthorus
juglandis et Geosmithia morbida.
Les véhicules de transports, les engins et tous les matériels ayant été en contact avec les produits végétaux
spécifiés sont désinfectés avec des produits biocides ou désinfectants autorisés pour cet usage.
Art. 7. – Dans la zone tampon, des prospections vis-à-vis de Pityophthorus juglandis et de Geosmithia
morbida sont mises en œuvre conformément aux dispositions de l’article 19 du règlement (UE) 2016/2031 du
Parlement européen et du Conseil du 26 octobre 2016 susvisé et reposent sur des examens visuels ainsi que des
piégeages.
Dans les 500 mètres de la zone tampon adjacents à la zone infestée, tous les végétaux spécifiés font l’objet d’un
examen visuel. Les végétaux présentant des symptômes de Pityophthorus juglandis ou de Geosmithia morbida ou
suspectés d’être infestés par lesdits organismes sont prélevés pour analyse.
Dans le reste de la zone tampon, la conception de la prospection et le plan d’échantillonnage sont établis selon
une analyse du risque établie par le préfet de région.
A l’exception des produits végétaux spécifiés respectant les exigences fixées à l’annexe VIII du règlement
d’exécution (UE) 2019/2072 de la Commission du 28 novembre 2019 susvisé, le déplacement de végétaux ou
produits végétaux spécifiés en dehors de la zone délimitée est soumis à accord préalable du préfet de région dans
des conditions excluant un risque de dissémination de Pityophthorus juglandis et Geosmithia morbida.
Art. 8. – La dissémination de Geosmithia morbida par les outils de taille et de découpe ne pouvant être exclue,
le matériel utilisé sur les végétaux ou produits végétaux spécifiés présents dans la zone délimitée sont désinfectés
avec des produits biocides ou désinfectants autorisés à action fongicide de manière à éviter la dissémination de cet
organisme nuisible.
Art. 9. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 28 juin 2023.
Pour le ministre et par délégation :
La directrice générale de l’alimentation,
M. FAIPOUX
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 16 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Il est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et peut être
consulté à l’adresse suivante : http://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-7deb9d98-
f486-4253-b5db-292b018bf5f6.
Art. 2. – L’arrêté du 2 novembre 2011 relatif à l’indication géographique protégée « Ile de Beauté » est abrogé.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juillet 2023.
Le ministre de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
Filières agroalimentaires,
E. LEMATTE
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
Le ministre délégué auprès du ministre
de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle
et numérique, chargé des comptes publics,
Pour le ministre et délégation :
Le sous-directeur de la fiscalité douanière,
Y. ZERBINI
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 5 juillet 2023 relatif aux dispositions de l’accord triennal conclu dans le cadre du comité
interprofessionnel des vins de Savoie (CIVS) portant sur l’organisation du marché pour les
campagnes 2023-2024, 2024-2025 et 2025-2026
NOR : AGRT2314352A
Arrêtent :
Art. 1er. – Les dispositions de l’accord interprofessionnel triennal conclu le 22 mars 2023, dans le cadre du
comité interprofessionnel des vins de Savoie, portant sur l’organisation du marché, sont étendues jusqu’au
31 juillet 2026 aux viticulteurs et groupements de producteurs produisant des vins bénéficiant d’une appellation
d’origine contrôlée du ressort du comité interprofessionnel des vins de Savoie (CIVS) et aux négociants en vins
commercialisant ces appellations partout sur le territoire, à l’exclusion du passage suivant de l’article 10 : « Faisant
l’objet d’un contrat pluriannuel avec les délais de paiement visés à l’article 9 bis : délais de paiement ».
Art. 2. – Le lien http://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-a5d0c19a-5ac6-
48f1-8556-a097281e9459 permettra de consulter l’avenant étendu par le présent arrêté dès qu’il aura été publié
au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture. Il peut également être consulté :
– au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire, bureau du vin et des autres boissons, 3, rue
Barbet-de-Jouy, 75349 Paris SP 07 ;
– comité interprofessionnel des vins de Savoie, 135, route de Saint-André, maison de la vigne et du vin,
73190 Apremont.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juillet 2023.
Le ministre de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
Filières agroalimentaires,
E. LEMATTE
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 5 juillet 2023 modifiant l’arrêté du 11 octobre 2022 fixant certaines modalités de la
procédure d’attribution de la prime individuelle prévue par le décret no 2022-1166 du 22 août 2022
portant création du régime indemnitaire des personnels enseignants-chercheurs des éta
blissements d’enseignement supérieur agricole relevant du ministre chargé de l’agriculture
NOR : AGRS2317548A
1o Au quatrième alinéa, après le mot : « général », sont ajoutés les mots : « et, le cas échéant, de l’activité
hospitalière ou clinique et de l’investissement dans l’appui à l’enseignement technique » ;
2o Après le quatrième alinéa, est ajouté l’alinéa suivant :
« Le cas échéant, la section compétente de la Commission nationale des enseignants-chercheurs attribue la
cotation A, B ou C pour l’investissement dans l’appui à l’enseignement technique. Pour les enseignants-chercheurs
non concernés, cette activité est qualifiée de “sans objet”. » ;
3o Au sixième alinéa, qui devient le septième alinéa :
a) Les mots : « complétés de l’avis mentionné ci-dessus » sont remplacés par les mots : « complétés de la
cotation mentionnée aux quatrième et cinquième alinéas, pouvant être accompagnée d’une appréciation littérale de
la section compétente de la Commission nationale des enseignants-chercheurs » ;
b) Après le mot : « clinique, », sont ajoutés les mots : « investissement dans l’appui à l’enseignement
technique ».
Art. 2. – Les dispositions relatives au motif d’attribution de la prime individuelle au titre de l’investissement
dans l’appui à l’enseignement technique mentionné au 1o, au 2o et au b du 3o de l’article 1er du présent arrêté entrent
en vigueur à compter de l’année scolaire 2024-2025.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juillet 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le chef du service
des ressources humaines,
X. MAIRE
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 19 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
présent arrêté.
Art. 2. – Le directeur général de la performance économique et environnementale des entreprises est chargé de
l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juillet 2023.
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
Compétitivité,
M. TESTUT-NEVES
ANNEXE
A. DÉCLARATIONS DE DÉMARCHES DE CERTIFICATION DE CONFORMITÉ ENREGISTRÉES DEPUIS LE 14 FÉVRIER 2022
13 juillet 2023
CERTIPAQ
Viandes de volailles Arrêté du Volailles de Loué –Syvol Quali La Cour du Bois 72550 Coulans 1- Durée d’élevage : 82 jours Service Qualité
CC/02/23 Pintade sortant à l’extérieur 21 décembre 2007 maine sur Gée minimum 2- Alimentée avec
70% de céréales minimum 84 Boulevard du Montparnasse
75 014 Paris
CERTIPAQ
Viandes de volailles Arrêté du 24, rue Ettore Bugatti 72650 La 1- Alimentée avec 70% de Service Qualité
CC/03/23 Pintade sortant à l’extérieur 21 décembre 2007 Huttepain Aliments Chapelle Saint Aubin céréales minimum 2- Durée
d’élevage : 82 jours minimum 84 Boulevard du Montparnasse
75 014 Paris
JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Texte 19 sur 150
B. MODIFICATIONS DE CAHIERS DES CHARGES ENREGISTRÉS DEPUIS LE 14 FÉVRIER 2022
Numéro Exigences
du cahier des charges Nom et recommandations Détenteur Adresse du détenteur Caractéristiques certifiées Organisme certificateur
13 juillet 2023
CERTIPAQ
Viandes de volailles Arrêté du Volailles de Loué –Syvol Quali La Cour du Bois 72550 Coulans 1- Durée d’élevage 56 jours Service Qualité
CC/01/20 Poulet sortant à l’extérieur 21 décembre 2007 maine sur Gée minimum 2- Alimenté avec 70%
de céréales minimum 84 Boulevard du Montparnasse
75 014 Paris
JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Texte 19 sur 150
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 4 juin 2023 établissant les critères permettant à des projets de compensation favorables
à la préservation et la restauration des écosystèmes naturels et de leurs fonctionnalités d’être
valorisés par une bonification dans les conditions prévues à l’article R. 229-102-8 du code de
l’environnement
NOR : TRER2211858A
Publics concernés : exploitants d’aéronefs devant compenser les émissions de gaz à effet de serre de leurs vols
effectués à l’intérieur du territoire national.
Objet : arrêté d’application de l’article R. 229-102-8 du code de l’environnement établissant les critères
permettant à des projets de compensation favorables à la préservation et la restauration des écosystèmes naturels
et de leurs fonctionnalités d’être valorisés dans les conditions prévues à l’article R. 229-102-8 du code de
l’environnement.
Entrée en vigueur : au 1er janvier 2024.
Notice : le présent arrêté pris en application de l’article R. 229-102-8 du code de l’environnement établit des
critères permettant d’évaluer, au regard de leur caractère favorable à la préservation des écosystèmes naturels et
de leurs fonctionnalités, les projets de compensation générant des réductions ou séquestrations d’émissions
utilisées ou acquises par les exploitants d’aéronefs pour le respect de leurs obligations de compensation des
émissions des vols intérieurs. Ces critères sont déterminés par secteurs. Pour le secteur forestier par des exigences
de document de gestion durable, de conformité avec les arrêtés régionaux relatifs aux matériels forestiers de
reproduction, de certification forestière durable et de diversité d’essences forestières, et la préservation d’îlots de
peuplement âgés, et mis en œuvre dans un horizon de temps déterminé ces critères étant cumulatifs. Pour le secteur
agricole, par une exigence de certification ou de conversion des surfaces agricoles en agriculture biologique, ainsi
que des exigences sur le non retournement des prairies permanentes, et du bon maintien des infrastructures agro-
écologiques. Pour les projets de conservation des espaces naturels de respecter les réglementations existantes de
protection. Les projets reconnus favorables à la préservation et à la restauration des écosystèmes naturels et de
leurs fonctionnalités peuvent être valorisés par une majoration annuelle à hauteur de 50 % par projet concerné,
permettant à l’exploitant d’aéronef de réduire d’autant ses obligations de compensation, dans une limite annuelle
de 15 % par exploitant d’aéronef et par an pourcentage fixé dans le décret.
Références : le code de l’environnement peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.
fr).
Le ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, la ministre de la transition énergétique et
la secrétaire d’État auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargée de
l’écologie,
Vu le règlement (UE) 2018/848 du Parlement européen et du Conseil du 30 mai 2018 relatif à la production
biologique et à l’étiquetage des produits biologiques ;
Vu le code de l’environnement, notamment ses articles L. 110-4, L. 229-56 à L. 229-60, et L. 411-3, ainsi que
ses articles R. 214-1, R. 229-102-8 et R. 229-102-12 ;
Vu les observations formulées lors de la consultation publique réalisée du 27 décembre 2022 au 16 janvier 2023
inclus, en application de l’article L. 123-19-1 du code de l’environnement,
Arrêtent :
Art. 1 . – Pour l’application de l’article R. 229-102-8 du code de l’environnement, les projets de compensation
er
qui apportent des améliorations significatives en matière de préservation et de restauration des écosystèmes
naturels et de leurs fonctionnalités sont mis en œuvre dans le cadre de la gestion durable des espaces forestiers,
agricoles ou des aires protégées.
1o Les projets portant sur le secteur forestier doivent également répondre à l’ensemble des exigences suivantes :
– les porteurs de projet doivent disposer, pour les surfaces concernées, d’un document de gestion durable agréé,
ou démontrer qu’un document de gestion durable est en cours de rédaction ;
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 150
– les projets impliquant une plantation doivent être conformes avec les arrêtés régionaux matériels forestiers de
reproduction et les exemptions doivent être justifiées pour la constitution d’un arboretum ou vis-à-vis de
l’adaptation au changement climatique. Pour des projets non situés sur le territoire national, les projets devront
démontrer l’adaptation du peuplement au climat futur ;
– les projets doivent être certifiés au titre du Programme de reconnaissance des certifications forestières
(PEFC) ou du Forest Stewardship Council (FSC) ;
– pour les projets comprenant des plantations d’un seul tenant comprises entre 4 et 10 hectares impliquant une
plantation en plein, l’essence-objectif principale ne pourra pas représenter plus de 80 % de cette surface, avec
au moins 3 essences représentées. Pour les projets comprenant des plantations d’un seul tenant supérieur
à 10 ha, l’essence-objectif principale ne pourra pas représenter plus de 70 % de cette surface, avec au moins
4 essences représentées ;
– pour les projets de reboisement, préserver les îlots de peuplement de vieux bois sur une surface minimale
de 3 % du peuplement forestier du projet ;
– les projets doivent avoir lieu à des horizons de temps compatibles avec la stratégie nationale bas carbone et
générer des crédits carbone permanents, c’est-à-dire par le biais d’une méthode de comptabilisation des
réductions et des séquestrations d’émissions dépassant l’échelle de temps annuelle en appliquant des mesures
pour gérer le risque de non permanence.
2o Les projets portant sur des pratiques agricoles réduisant les émissions de gaz à effet de serre ou favorisant le
stockage de carbone doivent également respecter les exigences cumulatives suivantes :
– être réalisés sur des surfaces en cours de conversion ou certifiées en agriculture biologique conformément aux
dispositions du règlement (UE) 2018/848 du Parlement européen et du Conseil du 30 mai 2018 relatif à la
production biologique et à l’étiquetage des produits biologiques ;
– assurer la restauration ou a minima le maintien des prairies permanentes sans retournement, non semées et
sans usage de produits phytosanitaires sur ces surfaces ;
– assurer la création, et a minima le maintien, d’infrastructures agro-écologiques (notamment haies, bosquets,
arbres isolés ou alignés, mares) dans leur fonctionnalité écologique pour atteindre et maintenir un niveau d’au
moins 5 % des terres arables en IAE.
– pour les projets portant uniquement sur de la gestion et de plantation de haies, une gestion durable doit être
prévue en s’appuyant sur un plan de gestion durable des haies. Les projets de haies sous gestion de
collectivités territoriales ne sont pas exclus de ce dispositif.
3o Les projets mobilisant le stockage de carbone dans les sols et concernant la préservation, la restauration des
milieux humides ou la végétalisation des abords des milieux aquatiques, notamment les tourbières, les ripisylves
des bords de cours d’eau, bords de plans d’eau doivent être conformes à la rubrique 3.3.5.0 de la nomenclature
annexée à l’article R. 214-1 du code de l’environnement.
4o Les projets mis en œuvre dans le cadre de la gestion des aires protégées terrestres et marines, doivent être
conformes aux orientations de protection fixées en priorité à travers un document de gestion. Les projets mis en
œuvre dans les aires protégées reconnues comme zone de protection forte selon l’article L. 110-4 du code de
l’environnement doivent être conformes aux dispositions de protection prévues.
5o Les projets de compensation qui ont pour objectif la conservation ou la restauration de populations d’espèces
menacées s’inscrivent dans le cadre des plans nationaux d’action établis en application de l’article L. 411-3 du code
de l’environnement, ou dans le cadre des plans d’action établis sous l’égide de la convention sur la conservation
des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS) ou des accords pris pour son application.
Art. 2. – En application de l’article R. 229-102-8 du code de l’environnement, les projets de compensation
utilisés pour répondre aux obligations de compensation peuvent bénéficier d’une majoration de 50 % du montant
de crédits carbone par projet concerné si les projets de compensation respectent les critères établis à l’article 1er du
présent arrêté.
Art. 3. – Le vérificateur mentionné à l’article R. 229-102-12 est chargé de s’assurer du respect des exigences et
critères précisés au présent arrêté pour les projets de compensation bénéficiant d’une majoration de 50 % du
montant de crédits carbone.
Art. 4. – Le présent arrêté entre en vigueur au 1er janvier 2024.
Art. 5. – Le directeur général de l’énergie et du climat et le directeur de l’eau et de la biodiversité sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République
française.
Fait le 4 juin 2023.
Le ministre de la transition écologique
et de la cohésion des territoires,
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur de l’eau
et de la biodiversité,
O. THIBAULT
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 3 juillet 2023 portant équivalence entre les certificats de capacité de présentation au
public d’animaux d’espèces non domestiques au sein d’établissements itinérants et les
certificats de capacité de présentation au public d’animaux d’espèces non domestiques au sein
d’établissements fixes
NOR : TREL2317698A
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 11 juillet 2023 autorisant au titre de l’année 2023 l’ouverture d’un examen professionnel
de vérification d’aptitude aux fonctions de pupitreur du ministère de la transition écologique et
de la cohésion des territoires
NOR : TREK2315998A
Par arrêté du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires en date du 11 juillet 2023 est
autorisée, au titre de l’année 2023, l’ouverture d’un examen professionnel de vérification d’aptitude aux fonctions
de pupitreur.
La date d’ouverture des inscriptions est fixée au lundi 4 septembre 2023 à 12 heures (heure de Paris),
La date de clôture des inscriptions est fixée au vendredi 6 octobre 2023 à 23 h 59 (heure de Paris), terme de
rigueur.
Les épreuves orales se dérouleront à partir du lundi 6 novembre 2023.
Le candidat devra faire parvenir pour le vendredi 6 octobre 2023, à 23 h 59 (heure de Paris), terme de rigueur, un
dossier établi selon un modèle fixé par l’administration constitué notamment des rubriques suivantes :
1o Un dossier de reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle ;
2o Tous justificatifs attestant de la réalité des éléments déclarés par le candidat, dans la mesure où les activités
décrites dans ce rapport le nécessitent ;
3o Un avis du supérieur hiérarchique attestant des fonctions exercées par le candidat.
Nota. – Les demandes d’admission à concourir peuvent revêtir deux formes. Chacune des formes nécessite l’accomplissement
de deux formalités distinctes, l’une relative à l’inscription et l’autre à la transmission des pièces justificatives. Aucune demande
d’inscription hors-délais ou non conforme aux présentes instructions ne sera prise en compte.
Une forme intégralement dématérialisée :
Sur internet : www.concours.developpement-durable.gouv.fr puis « inscription ».
Pour que votre inscription soit prise en compte, effectuez bien toute la procédure jusqu’à l’obtention de la
confirmation d’inscription que vous devez impérativement imprimer et conserver.
La date de fin de saisie des inscriptions par internet est fixée au vendredi 6 octobre 2023 à 23 h 59 (heure de
Paris).
Une forme intégralement par dossier papier :
Les candidats ne pouvant s’inscrire par internet pourront obtenir un dossier imprimé sur demande écrite. Ce
courrier, accompagné d’une enveloppe au format 22,9 × 32,4 cm affranchie au tarif en vigueur correspondant à un
poids jusqu’à 100 g et libellée au nom et à l’adresse du candidat, devra être adressé par voie postale au : ministère
de la transition écologique et de la cohésion des territoires, sous-direction du recrutement et de la mobilité, bureau
des recrutements par concours, pôle administratif SG/DRH/D/RM, EVA Pupitreur, Grande Arche Paroi Sud,
bureau 14S14, 92055 La Défense Cedex.
Attention : Les candidats devront donc veiller à demander leur dossier d’inscription suffisamment tôt pour tenir
compte des délais d’acheminement du courrier, afin de pouvoir respecter la date limite de fin d’inscription fixée au
vendredi 6 octobre 2023, le cachet de la poste faisant foi.
Nota. – Les questions liées à cet examen professionnel seront envoyées à l’adresse courriel ci-dessous : concours.eva-
pupitreur-exapro@developpement-durable.gouv.fr.
Les candidats en situation de handicap qui demandent un aménagement des épreuves doivent fournir un certificat
médical établi par un médecin agréé. Le certificat médical, qui doit avoir été établi moins de six mois avant le
déroulement des épreuves, précise la nature des aides humaines et techniques ainsi que des aménagements
nécessaires pour permettre aux candidats, compte tenu de la nature et de la durée des épreuves, de composer dans
des conditions compatibles avec leur situation.
Le certificat médical doit être transmis par le candidat au plus tard le lundi 16 octobre 2023 conformément au
décret du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et aux
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 150
dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des agents
publics et des candidats en situation de handicap.
La composition du jury fera l’objet d’un arrêté du ministre de la transition écologique et de la cohésion des
territoires.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 27 juin 2023 relatif aux frais supportés par la Caisse des dépôts et consignations pour la
gestion du compte relatif à la compensation des charges de service public de l’énergie en
application du III de l’article R. 121-30 du code de l’énergie
NOR : ENER2316774A
Publics concernés : Commission de régulation de l’énergie (CRE), Caisse des dépôts et consignations.
Objet : le présent arrêté détermine les frais de gestion supportés par la Caisse des dépôts en 2022 au titre de la
gestion du compte relatif à la compensation des charges de service public de l’énergie, en vue de leur prise en
compte dans l’évaluation par la CRE du montant des charges imputables aux missions de service public de
l’énergie.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : la Caisse des dépôts et consignations assure la gestion du compte relatif à la compensation des charges
de service public de l’électricité. Les frais liés à la gestion de ce compte sont intégrés dans le calcul des charges
réalisé par la Commission de régulation de l’énergie, qui est adressé, chaque année avant le 15 juillet, au ministre
chargé de l’énergie. Le présent arrêté définit le montant de ces frais de gestion au titre de l’année 2022.
Références : le présent arrêté peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et la ministre de la
transition énergétique,
Vu le code de l’énergie, notamment ses articles L. 121-16 et L. 121-38, R.121-22 à R. 121-24 et R. 121-30,
Arrête :
Art. 1 . – Le montant des frais de gestion supportés par la Caisse des dépôts et consignations pour la gestion
er
du compte « Service public de l’énergie » au titre de l’année 2022 s’élève à 52 008 euros.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 27 juin 2023.
La ministre de la transition énergétique,
Pour la ministre et par délégation :
La directrice de l’énergie,
S. MOURLON
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du Trésor,
E. MOULIN
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA CULTURE
Par arrêté de la ministre de la culture en date du 16 juin 2023 est acceptée la donation consentie sous la forme de
don manuel par M. Gerhard FRIES et remis par Mme Julia FRIES, du « Dictionnaire universel des artistes,
l’Allgemeines Künstlerlexikon (AKL) », comportant 118 volumes.
Les biens donnés sont affectés au service à compétence nationale dénommé « Archives nationales » et sont
inscrits à l’inventaire des fonds dont il a la garde.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA CULTURE
Arrêté du 11 juillet 2023 autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture d’un examen professionnel
d’avancement au grade de secrétaire administratif de classe supérieure du ministère de la culture
NOR : MICB2313187A
VI. – Les candidats devront télécharger leur dossier de descriptif du parcours professionnel :
– soit sur le site des concours du ministère de la culture à l’adresse suivante : http://www.culture.gouv.fr/Nous-
connaitre/Emploi-et-formation/Concours-et-examens-professionnels/Filiere-administrative/Secretaire-admi
nistratif ;
– soit dans leur espace candidat de l’application Cyclades à la rubrique « Les formulaires ».
Ce dossier complété devra uniquement être téléversé dans l’espace candidat de l’application d’inscription
Cyclades à la rubrique « Mes justificatifs », au plus tard 12 janvier 2024, avant minuit, heure de Paris (date et heure
de téléversement faisant foi). Si le dossier est téléversé après cette date, il ne sera pas transmis au jury.
VII. – Conformément au décret no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à
l’adaptation du poste de travail et aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de
recrutement et des examens en faveur des agents publics et des candidats en situation de handicap, les candidats en
situation de handicap demandant un aménagement d’épreuves doivent transmettre un certificat médical, établi par
un médecin agréé.
Le certificat médical, qui doit avoir été établi moins de 6 mois avant le déroulement des épreuves, précise la
nature des aides humaines et techniques ainsi que des aménagements nécessaires pour permettre aux candidats,
compte tenu de la nature et de la durée des épreuves, de composer dans des conditions compatibles avec leur
situation.
Ce document doit être téléversé dans l’espace candidat de l’application d’inscription Cyclades à la rubrique
« Mes justificatifs », au plus tard le 1er novembre 2023, avant minuit, heure de Paris (heure de téléversement faisant
foi) : https://cyclades.education.gouv.fr/cyccandidat/portal/login.
En cas d’impossibilité de téléverser, les candidats pourront le transmettre par voie postale au service
interacadémique des examens et concours (SIEC), division des examens et des concours (DEC 4), examen
professionnel d’avancement au grade de secrétaire administratif de classe supérieure, session 2024 du ministère de
la culture, 7, rue Ernest-Renan, 94749 Arcueil Cedex.
VIII. – L’épreuve d’admission se déroulera à partir du 19 février 2024.
Le candidat recevra sa convocation, sur son espace candidat sur Cyclades, 15 jours avant la date de son audition
orale.
Les candidats seront auditionnés en présentiel sur un site de région Ile-de-France.
IX. – La convocation des candidats sera uniquement disponible dans l’espace candidat de l’application
d’inscription Cyclades à la rubrique « Mes documents ». Il appartient au candidat de se connecter dans son espace
personnel pour la télécharger et l’imprimer.
Le défaut de réception de la convocation pour les candidats à cette épreuve orale d’admission n’engage en
aucune façon la responsabilité de l’administration. En cas de non réception de la convocation 15 jours avant la date
prévisionnelle de l’épreuve d’admission, il appartient aux candidats de prendre contact avec le service
interacadémique des examens et des concours et/ou avec le bureau du recrutement, des concours, des métiers et de
l’évolution professionnelle du ministère de la culture en charge de l’organisation des concours.
X. – La nomination du jury fera l’objet d’un arrêté ultérieur de la ministre de la culture.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 150
ANNEXE
FORMULAIRE D’INSCRIPTION À L’EXAMEN PROFESSIONNEL D’AVANCEMENT
AU GRADE DE SECRÉTAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE SUPÉRIEURE DU MINISTÈRE DE LA CULTURE
Uniquement pour les candidats inscrits par voie papier
Session 2024
Formulaire à faire parvenir au SIEC - DEC 4, examen professionnel de secrétaire administratif de classe
supérieure du ministère de la culture, 7, rue Ernest-Renan, 94749 Arcueil Cedex, au plus tard le 17 octobre 2023,
avant minuit, heure de Paris (cachet de la poste faisant foi).
IDENTIFICATION COORDONNÉES TÉLÉPHONIQUES
Prénom(s) :
Date de naissance :
ADRESSE D’EXPÉDITION
Résidence, bâtiment :
No :
Rue :
Code postal :
Commune de résidence :
Pays :
Veuillez signer chaque page de ce document pour attester de la validité des éléments qui y sont renseignés.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 150
Veuillez signer chaque page de ce document pour attester de la validité des éléments qui y sont renseignés.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
renouvelé pour une durée de cinq ans, à compter du 1er août 2023.
Art. 2. – Le décret du 1er août 2018 susvisé est ainsi modifié :
1o L’article 2 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. 2. – L’Observatoire national du suicide est présidé par le ministre chargé de la santé.
« Outre son président, il comprend :
« – le délégué ministériel à la santé mentale et à la psychiatrie ;
« – le directeur de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques ou son représentant ;
« – le directeur général de la santé ou son représentant ;
« – le directeur général de l’offre de soins ou son représentant ;
« – le directeur général de la cohésion sociale ou son représentant ;
« – le directeur général du travail ou son représentant ;
« – le directeur de l’animation de la recherche, des études et des statistiques ou son représentant ;
« – le directeur de l’administration pénitentiaire ou son représentant ;
« – le directeur général de la police nationale ou son représentant ;
« – le directeur général de l’enseignement scolaire ou son représentant ;
« – le directeur général de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle ou son représentant ;
« – le secrétaire général du ministère chargé de l’agriculture ;
« – le coordinateur national interministériel du plan de prévention du mal-être en agriculture ;
« – un représentant d’une agence régionale de santé désigné par le ministre chargé de la santé ;
« – un représentant désigné par le Conseil d’orientation sur les conditions de travail ;
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 150
Le ministre de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire,
MARC FESNEAU
Le ministre des solidarités, de l’autonomie
et des personnes handicapées,
JEAN-CHRISTOPHE COMBE
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 28 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêtent :
Art. 1 . – La liste des spécialités pharmaceutiques remboursables aux assurés sociaux prévue au premier alinéa
er
de l’article L. 162-17 est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du quatrième jour suivant la date de sa publication au
Journal officiel de la République française.
Art. 3. – Le directeur général de la santé et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié ainsi que son annexe au Journal officiel de la République
française.
Fait le 6 juillet 2023.
Le ministre de la santé
et de la prévention,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
C. DELPECH H. MONASSE
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
ANNEXE
PREMIÈRE PARTIE
(27 inscriptions)
1. Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes, pour
lesquelles la participation de l’assuré est supprimée au titre du premier alinéa de l’article R. 160-8 du code de la
sécurité sociale.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie sont, pour les spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la
date de publication du présent arrêté.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 28 sur 150
34009 302 621 0 8 ABIRATERONE CRISTERS 500 mg, comprimés pelliculés (B/60) (laboratoires CRISTERS)
34009 302 703 9 4 EMTRICITABINE/TENOFOVIR DISOPROXIL MYLAN 200 mg/245 mg, comprimés pelliculés en flacon (B/90) (laboratoires VIATRIS
SANTE)
34009 302 689 8 8 GANIRELIX EG 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable, 0,5 ml en seringue préremplie (B/1) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES
EUROGENERICS)
34009 302 689 9 5 GANIRELIX EG 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable, 0,5 ml en seringue préremplie (B/5) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES
EUROGENERICS)
34009 302 616 9 9 GANIRELIX GEDEON RICHTER 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable en seringue préremplie (B/1) (laboratoires GEDEON RICHTER
FRANCE)
34009 302 617 1 2 GANIRELIX GEDEON RICHTER 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable en seringue préremplie (B/6) (laboratoires GEDEON RICHTER
FRANCE)
34009 302 653 4 5 VINORELBINE ACCORD 20 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
34009 302 653 9 0 VINORELBINE ACCORD 30 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
34009 302 494 9 9 VINORELBINE MEDAC 20 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires MEDAC SAS)
34009 302 495 1 2 VINORELBINE MEDAC 30 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires MEDAC SAS)
2. Est inscrite sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux la spécialité suivante, pour
laquelle la participation de l’assuré est supprimée au titre du premier alinéa de l’article R. 160-8 du code de la
sécurité sociale.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie est, pour la spécialité visée ci-dessous :
– traitement du cancer du sein, localement avancé ou métastasé, chez la femme ménopausée possédant des
récepteurs aux estrogènes positifs, en cas de récidive pendant ou après un traitement adjuvant par un anti-
estrogène ou de progression de la maladie sous traitement par anti-estrogène.
Code CIP Présentation
34009 302 708 9 9 FULVESTRANT ARROW 250 mg, solution injectable, 5 ml en seringue pré-remplie + aiguille (B/1) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
3. Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie sont, pour les spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la
date de publication du présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 302 712 7 8 ALPRAZOLAM ARROW LAB 0,25 mg, comprimés sécables (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 705 6 1 ALPRAZOLAM ARROW LAB 0,50 mg, comprimés sécables (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 662 4 3 ATORVASTATINE LABORATOIRES ALTER 80 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes (PA/Aluminium/PVC/Aluminium) (B/90)
(laboratoires ALTER)
34009 302 662 5 0 ATORVASTATINE LABORATOIRES ALTER 80 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes (PVC/PVDC/PVC/Aluminium) (B/90)
(laboratoires ALTER)
34009 302 723 8 1 METFORMINE EG LABO 1000 mg, comprimés pelliculés sécables (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 723 9 8 METFORMINE EG LABO 1000 mg, comprimés pelliculés sécables (B/90) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 723 3 6 METFORMINE EG LABO 500 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 723 4 3 METFORMINE EG LABO 500 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 723 6 7 METFORMINE EG LABO 850 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 723 7 4 METFORMINE EG LABO 850 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 712 5 4 ZOLPIDEM ZYDUS 10 mg, comprimés pelliculés sécables (B/5) (laboratoires ZYDUS FRANCE)
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 28 sur 150
4. Est inscrite sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux la spécialité suivante :
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie sont, pour la spécialité visée ci-dessous :
– otites moyennes aiguës ;
– angines documentées à streptocoque A ß-hémolytique ;
– sinusites ;
– exacerbations des bronchopneumopathies chroniques obstructives, en particulier lors de poussées itératives ou
chez les sujets à risque.
Code CIP Présentation
34009 399 321 4 9 CEFPODOXIME VIATRIS 100 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées (Aluminium/Aluminium) (B/10) (laboratoires
VIATRIS SANTE)
5. Est inscrite sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux la spécialité suivante :
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie est, pour la spécialité visée ci-dessous :
– traitement des infections broncho-pulmonaires en cas de mucoviscidose chez l’adulte et l’enfant de plus
de 3 mois.
Code CIP Présentation
34009 302 687 3 5 MEROPENEM KALCEKS 1 g, poudre pour solution injectable/pour perfusion en flacon (B/10) (laboratoires EVER PHARMA FRANCE)
6. Sont inscrites sur la liste des médicaments remboursables aux assurés sociaux les spécialités suivantes.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l’assurance
maladie sont, pour les spécialités visées ci-dessous :
– traitement du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) dans le cadre d’une prise en charge
globale chez l’enfant de 6 ans et plus, lorsque des mesures correctives seules s’avèrent insuffisantes ;
– traitement du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) chez l’adulte pour lequel un impact
fonctionnel modéré à sévère sur au moins deux composantes (professionnelle et/ou universitaire, sociale y
compris familiale) est mis en évidence et lorsque la présence de symptômes du TDAH a bien été établie dans
l’enfance et en tenant compte du fait que le traitement pharmacologique fait partie d’une prise en charge
globale.
Code CIP Présentation
34009 302 709 9 8 METHYLPHENIDATE BIOGARAN LP 18 mg, comprimés à libération prolongée en flacon (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
34009 302 710 1 8 METHYLPHENIDATE BIOGARAN LP 36 mg, comprimés à libération prolongée en flacon (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
34009 302 710 2 5 METHYLPHENIDATE BIOGARAN LP 54 mg, comprimés à libération prolongée en flacon (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
DEUXIÈME PARTIE
(1 modification)
Le libellé de la spécialité pharmaceutique suivante est modifié comme suit.
Libellé abrogé Nouveau libellé
34009 346 281 8 4 CEFPODOXIME MYLAN PHARMA 100 mg, compri 34009 346 281 8 4 CEFPODOXIME VIATRIS 100 mg, comprimés pelli
més pelliculés (B/10) (Laboratoires MYLAN SAS) culés (B/10) (Laboratoires VIATRIS SANTE)
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
ANNEXE
PREMIÈRE PARTIE
(27 inscriptions)
1. Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la date de publication du
présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 302 621 0 8 ABIRATERONE CRISTERS 500 mg, comprimés pelliculés (B/60) (laboratoires CRISTERS)
34009 302 703 9 4 EMTRICITABINE/TENOFOVIR DISOPROXIL MYLAN 200 mg/245 mg, comprimés pelliculés en flacon (B/90) (laboratoires VIATRIS
SANTE)
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34009 302 689 8 8 GANIRELIX EG 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable, 0,5 ml en seringue préremplie (B/1) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES
EUROGENERICS)
34009 302 689 9 5 GANIRELIX EG 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable, 0,5 ml en seringue préremplie (B/5) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES
EUROGENERICS)
34009 302 616 9 9 GANIRELIX GEDEON RICHTER 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable en seringue préremplie (B/1) (laboratoires GEDEON RICHTER
FRANCE)
34009 302 617 1 2 GANIRELIX GEDEON RICHTER 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable en seringue préremplie (B/6) (laboratoires GEDEON RICHTER
FRANCE)
34009 302 653 4 5 VINORELBINE ACCORD 20 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
34009 302 653 9 0 VINORELBINE ACCORD 30 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires ACCORD HEALTHCARE FRANCE SAS)
34009 302 494 9 9 VINORELBINE MEDAC 20 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires MEDAC SAS)
34009 302 495 1 2 VINORELBINE MEDAC 30 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires MEDAC SAS)
2. La spécialité pharmaceutique suivante est inscrite sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie est, pour la spécialité
visée ci-dessous :
– traitement du cancer du sein, localement avancé ou métastasé, chez la femme ménopausée possédant des
récepteurs aux estrogènes positifs, en cas de récidive pendant ou après un traitement adjuvant par un anti-
estrogène ou de progression de la maladie sous traitement par anti-estrogène.
Code CIP Présentation
34009 302 708 9 9 FULVESTRANT ARROW 250 mg, solution injectable, 5 ml en seringue pré-remplie + aiguille (B/1) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
3. Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous, celles qui figurent à l’autorisation de mise sur le marché à la date de publication du
présent arrêté.
Code CIP Présentation
34009 302 712 7 8 ALPRAZOLAM ARROW LAB 0,25 mg, comprimés sécables (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 705 6 1 ALPRAZOLAM ARROW LAB 0,50 mg, comprimés sécables (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES)
34009 302 662 4 3 ATORVASTATINE LABORATOIRES ALTER 80 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes (PA/Aluminium/PVC/Aluminium) (B/90)
(laboratoires ALTER)
34009 302 662 5 0 ATORVASTATINE LABORATOIRES ALTER 80 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes (PVC/PVDC/PVC/Aluminium) (B/90)
(laboratoires ALTER)
34009 302 723 8 1 METFORMINE EG LABO 1000 mg, comprimés pelliculés sécables (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 723 9 8 METFORMINE EG LABO 1000 mg, comprimés pelliculés sécables (B/90) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 723 3 6 METFORMINE EG LABO 500 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 723 4 3 METFORMINE EG LABO 500 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 723 6 7 METFORMINE EG LABO 850 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 723 7 4 METFORMINE EG LABO 850 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS)
34009 302 712 5 4 ZOLPIDEM ZYDUS 10 mg, comprimés pelliculés sécables (B/5) (laboratoires ZYDUS FRANCE)
4. La spécialité pharmaceutique suivante est inscrite sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour la
spécialité visée ci-dessous :
– otites moyennes aiguës ;
– angines documentées à streptocoque A ß-hémolytique ;
– sinusites ;
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34009 399 321 4 9 CEFPODOXIME VIATRIS 100 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées (Aluminium/Aluminium) (B/10) (laboratoires
VIATRIS SANTE)
5. La spécialité pharmaceutique suivante est inscrite sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics.
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie est, pour la spécialité
visée ci-dessous :
– traitement des infections broncho-pulmonaires en cas de mucoviscidose chez l’adulte et l’enfant de plus
de 3 mois.
Code CIP Présentation
34009 302 687 3 5 MEROPENEM KALCEKS 1 g, poudre pour solution injectable/pour perfusion en flacon (B/10) (laboratoires EVER PHARMA FRANCE)
6. Les spécialités pharmaceutiques suivantes sont inscrites sur la liste des médicaments agréés à l’usage des
collectivités et divers services publics.
Les seules indications thérapeutiques ouvrant droit à la prise en charge par l’assurance maladie sont, pour les
spécialités visées ci-dessous :
– traitement du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) dans le cadre d’une prise en charge
globale chez l’enfant de 6 ans et plus, lorsque des mesures correctives seules s’avèrent insuffisantes ;
– traitement du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) chez l’adulte pour lequel un impact
fonctionnel modéré à sévère sur au moins deux composantes (professionnelle et/ou universitaire, sociale y
compris familiale) est mis en évidence et lorsque la présence de symptômes du TDAH a bien été établie dans
l’enfance et en tenant compte du fait que le traitement pharmacologique fait partie d’une prise en charge
globale.
Code CIP Présentation
34009 302 709 9 8 METHYLPHENIDATE BIOGARAN LP 18 mg, comprimés à libération prolongée en flacon (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
34009 302 710 1 8 METHYLPHENIDATE BIOGARAN LP 36 mg, comprimés à libération prolongée en flacon (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
34009 302 710 2 5 METHYLPHENIDATE BIOGARAN LP 54 mg, comprimés à libération prolongée en flacon (B/28) (laboratoires BIOGARAN)
DEUXIÈME PARTIE
(1 modification)
Le libellé de la spécialité pharmaceutique suivante est modifié comme suit.
Libellé abrogé Nouveau libellé
34009 346 281 8 4 CEFPODOXIME MYLAN PHARMA 100 mg, compri 34009 346 281 8 4 CEFPODOXIME VIATRIS 100 mg, comprimés pelli
més pelliculés (B/10) (Laboratoires MYLAN SAS) culés (B/10) (Laboratoires VIATRIS SANTE)
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 30 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 10 juillet 2023 portant annulation d’épreuves et report du calendrier des concours
externe, interne et du 3e concours pour le recrutement d’inspecteurs de l’action sanitaire et
sociale
NOR : SPRR2318346A
Par arrêté du ministre de la santé et de la prévention en date du 10 juillet 2023, le calendrier des concours
externe, interne et troisième concours d’inspecteurs de l’action sanitaire et sociale ouverts par arrêté du
16 janvier 2023 autorisant au titre de l’année 2023 l’ouverture des concours externe, interne et du 3e concours pour
le recrutement d’inspecteurs de l’action sanitaire et sociale, est modifié selon les dispositions suivantes.
L’épreuve questions réponses courtes pour le concours externe composée les 30 mai est annulée.
L’épreuve écrite d’admissibilité suivante, questions réponses courtes pour le concours externe aura lieu
le 4 septembre 2023 dans les centres suivants :
Métropole : Ajaccio – Amiens – Bordeaux – Dijon – Lyon – Marseille – Nantes – Orléans – Paris – Rennes –
Rouen – Strasbourg – Toulouse.
Région, départements et collectivités territoriales d’Outre-mer : La Réunion – Guadeloupe – Guyane –
Martinique – Mayotte – Saint-Pierre-et-Miquelon.
Seuls les candidats présents lors de l’épreuve du 30 mai 2023 seront à nouveau convoqués.
Les épreuves orales d’admission auront lieu à Paris à partir du lundi 13 novembre 2023.
Les candidats admissibles au concours externe devront adresser par voie électronique au plus tard le
vendredi 27 octobre 2023 leur curriculum vitae par mail à drh-concours@sg.social.gouv.fr (mettre en objet IASS
EXTERNE 2023).
En cas d’impossibilité matérielle le curriculum vitae pourra être adressé en sept exemplaires par courrier en pli
suivi ou en recommandé avec accusé de réception, au plus tard le vendredi 27 octobre 2023, le cachet de la poste
faisant foi à l’adresse suivante : ministère de la santé et de la prévention, direction des ressources humaines,
département « Allocation des ressources, recrutement et politique de rémunérations », mission concours,
« Concours externe IASS 2023 », 14, avenue Duquesne, 75350 Paris 07 SP.
Pour passer l’épreuve orale, les candidats résidant dans l’une des collectivités mentionnées à l’article 72-3 de la
Constitution (Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte, Saint-Barthélemy, Saint-Martin,
Saint-Pierre-et-Miquelon, îles Wallis et Futuna, Polynésie française, Nouvelle-Calédonie) ou à l’étranger, en
situation de handicap, en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite peuvent bénéficier, à leur demande,
de la visioconférence, dans les conditions prévues par l’arrêté du 22 décembre 2017 fixant les conditions de recours
à la visioconférence pour l’organisation des voies d’accès à la fonction publique de l’Etat.
Leur demande devra être adressée au plus tard le vendredi 27 octobre 2023 par courriel au service organisateur
des concours à l’adresse électronique suivante : drh-concours@sg.social.gouv.fr.
Les candidats en situation de handicap, les femmes en état de grossesse et les personnes dont l’état de santé rend
nécessaire le recours à la visioconférence devront produire à la même adresse, dans les meilleurs délais et au plus
tard huit jours avant le début des épreuves orales, un certificat médical délivré par un médecin agréé par
l’administration et comportant la mention de l’aménagement relatif à la visioconférence. L’absence de transmission
du certificat médical rend la demande irrecevable.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 31 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
1o A l’article R. 232-24 :
a) Au début de l’article, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« La demande d’allocation personnalisée d’autonomie à domicile s’effectue au moyen d’un formulaire CERFA
prévu à cet effet, qui fixe la liste des pièces à joindre et comprend notamment des éléments déclaratifs concernant
le demandeur et son conjoint, leurs ressources et leur patrimoine, ainsi que, le cas échéant, des informations
concernant les proches aidants du demandeur et la carte mobilité inclusion. » ;
b) Au premier alinéa, qui devient le second, après le mot : « autonomie », sont insérés les mots : « en
établissement » ;
2o A l’article R. 232-24-1, les mots : « Le modèle de dossier prévu à l’article R. 232-24 permet » sont remplacés
par les mots : « Le formulaire et le modèle de dossier prévus à l’article R. 232-24 permettent » ;
3o A l’annexe 2-3 :
a) Dans l’intitulé, après le mot : « autonomie », sont insérés les mots : « en établissement » ;
b) Au I :
– au premier alinéa, les mots : « à domicile ou » sont supprimés ;
– à la dernière phrase du A, les mots : « pour la visite d’évaluation à domicile ou » sont supprimés ;
– au b du 3 du B, les mots : « (dont assurance-vie) » sont supprimés ;
– le D est abrogé ;
c) Au II, les mots : « , relevé annuel d’assurance vie » sont supprimés ;
d) La dernière phrase du NOTA (2) est supprimée.
Art. 2. – Le présent décret entre en vigueur le premier jour du troisième mois suivant sa publication.
Art. 3. – Le ministre des solidarités, de l’autonomie et des personnes handicapées est chargé de l’exécution du
présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 31 sur 150
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 20 juin 2023 fixant les conditions de mise en œuvre des missions relevant du ministre
chargé des sports et de l’Agence nationale du sport en matière de formation et de préparation
des sportifs figurant sur les listes mentionnées à l’article L. 221-2 du code du sport et de
participation au réseau national du sport de haut niveau
NOR : SPOV2317213A
3. L’accompagnement paralympique ;
4. L’analyse de la performance, incluant le suivi et l’évaluation des structures relevant des projets de
performance fédéraux.
La Maison régionale de la performance participe à la montée en compétence de l’encadrement des sportifs ciblés
par l’Agence nationale du sport.
La Maison régionale de la performance est une plateforme de ressources au service de la performance. Elle
exerce cette mission en s’appuyant sur l’ensemble des acteurs de la performance, au profit des sportifs et des
entraîneurs des fédérations sportives. Elle accompagne les cellules de performance présentes sur le territoire
régional et peut s’appuyer sur le réseau des clubs professionnels partenaires. Les services de cet accompagnement
sont déployés dans et hors les murs de l’établissement ou organisme, au plus près des lieux de pratique des sportifs
ciblés par l’Agence nationale du sport.
Dans le cadre de la mise en œuvre des missions de la Maison régionale de la performance, l’établissement
participe à la définition et prend en compte les orientations de la conférence régionale du sport et de son projet
sportif territorial. A ce titre, dans la région concernée, il veille à la cohérence de l’application des orientations et
instructions données par le ministre chargé des sports et déclinées par l’Agence nationale du sport.
Art. 3. – La Maison régionale de la performance est coordonnée par un responsable régional de la haute
performance dont les fonctions ont été créées par le décret du 12 mai 2021 susvisé. Il est chargé d’assurer la mise
en œuvre au niveau régional de la stratégie tel que définie à l’article 2.
Les maisons régionales de la performance sont composées des effectifs de conseillers haut niveau haute
performance affectés ou recrutés dans les établissements ou organismes tels que fixés en annexe.
Art. 4. – L’ensemble des agents des maisons régionales de la performance constitue un réseau piloté, animé et
accompagné par l’Agence nationale du sport.
Art. 5. – Les établissements ou organismes qui accueillent les maisons régionales de la performance cités en
annexe 1 signent une convention avec l’Agence nationale du sport qui précise les conditions dans lesquelles sont
mises en œuvre les missions identifiées à l’article 2 et les financements associés, dans la limite des crédits
d’intervention de l’Agence nationale du sport.
Art. 6. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 20 juin 2023.
Pour la ministre et par délégation :
Le chef de service,
adjoint à la directrice des sports,
J. FOURNIER
ANNEXE
Région Effectif total Répartition par établissements ou organismes
Grand Est 7 ETP CREPS Nancy : 3 ETP CREPS Reims : 2 ETP CREPS Strasbourg : 2 ETP
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 4 juillet 2023, M. Olivier Fudym, professeur de l’Ecole des Mines Télécom, est radié des cadres et admis, sur sa
demande, à faire valoir ses droits à la retraite, à compter du 1er décembre 2023.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 7 juillet 2023, Mme Marie-José de Montalembert, attachée d’administration de l’Etat, est, sur sa demande,
radiée des cadres et admise à faire valoir ses droits à la retraite, à compter du 1er janvier 2024.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par décret du Président de la République en date du 11 juillet 2023, M. Arnaud QUINIOU, lieutenant-colonel de
sapeur-pompiers professionnels, est titularisé dans le corps des sous-préfets, à compter du 31 mai 2023.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par décret du Président de la République en date du 11 juillet 2023, Mme Pascale RODRIGO, directrice du
travail, est intégrée dans le corps des sous-préfets.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 37 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’intérieur et des outre-mer en date du 8 juin 2023, est admis à faire valoir ses droits à la
retraite par limite d’âge :
M. Eddie PUJOL, commissaire de police, à compter du 1er octobre 2023.
L’intéressé est radié des cadres à cette même date.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer, chargé des outre-mer, en date
du 10 juillet 2023, sont nommés suppléants permanents de la directrice générale des outre-mer au conseil
d’administration de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides : M. Frédéric JORAM, chef de service,
adjoint à la directrice générale des outre-mer, et, en cas d’empêchement, M. Olivier BENOIST, sous-directeur des
affaires juridiques et institutionnelles, et M. Arnaud LAUZIER, adjoint au sous-directeur des affaires juridiques et
institutionnelles.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Le Président de la République,
Sur le rapport de la Première ministre et de la ministre de l’Europe et des affaires étrangères,
Vu la Constitution, notamment son article 13 ;
Le conseil des ministres entendu,
Décrète :
Art. 1 . – Mme Elsa PIGNOL, secrétaire des affaires étrangères, est nommée ambassadrice extraordinaire et
er
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 16 juin 2023, M. Franck LINARES, directeur
des services pénitentiaires de classe exceptionnelle, est nommé directeur interrégional des services pénitentiaires
de Bordeaux, à compter du 1er août 2023.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 41 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 5 juillet 2023, la transformation de la société
civile professionnelle « PIERRE-OLIVIER HULIN, société civile professionnelle titulaire d’un office de greffier
de Tribunal de Commerce de POITIERS », titulaire d’un office de greffier de tribunal de commerce à la résidence
de Poitiers (Vienne), en société d’exercice libéral à responsabilité limitée « GTC POITIERS » est agréée.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 42 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 5 juillet 2023, Mme BESSEYRIAS (Sylvie,
Marie-Thérèse), épouse DOUCET, est nommée notaire associée, membre de la société par actions simplifiée
« OFFICE DU PARC », titulaire d’un office de notaire à la résidence de Thonon-les-Bains (Haute-Savoie).
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 5 juillet 2023 :
M. CHALET (Jean-Dimitri, Bruno) et Mme RAYSSAC (Camille, Marie) sont nommés notaires associés,
membres de la société civile professionnelle « Patricia TILLY, Cyril BARON et Frédéric MATHOT, notaires,
associés d’une société civile professionnelle titulaire d’un office notarial », titulaire d’un office de notaire à la
résidence de Cannes (Alpes-Maritimes).
Les retraits de Mme TILLY (Patricia, Eliane) et de M. MATHOT (Frédéric, Francis, Prosper), notaires associés,
membres de la société civile professionnelle « Patricia TILLY, Cyril BARON et Frédéric MATHOT, notaires,
associés d’une société civile professionnelle titulaire d’un office notarial », sont acceptés.
La dénomination sociale de la société civile professionnelle « Patricia TILLY, Cyril BARON et Frédéric
MATHOT, notaires, associés d’une société civile professionnelle titulaire d’un office notarial » est ainsi modifiée :
« Cyril BARON, Jean-Dimitri CHALET et Camille RAYSSAC, Notaires Associés ».
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 44 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Arrêté du 5 juillet 2023 relatif à une société d’exercice libéral à responsabilité limitée
(officiers publics ou ministériels)
NOR : JUSC2318708A
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 5 juillet 2023 :
M. BERNARD (Xavier, Patrick, Marie) est nommé greffier de tribunal de commerce associé, membre de la
société d’exercice libéral à responsabilité limitée « SELARL BERNARD & Associés, Greffière de Tribunal de
Commerce, Titulaire d’un Office de Greffier de Tribunal de Commerce », titulaire d’un office de greffier de
tribunal de commerce à la résidence d’Amiens (Somme).
Les retraits de M. BERNARD (Loïc, Joseph, Marie) et de Mme STERLIN (Elisabeth, Marie, Dominique,
Ghislaine), épouse BERNARD, greffiers de tribunal de commerce associés, membres de la société d’exercice
libéral à responsabilité limitée « « SELARL BERNARD & Associés, Greffière de Tribunal de Commerce, Titulaire
d’un Office de Greffier de Tribunal de Commerce », sont acceptés.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 45 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Arrêté du 5 juillet 2023 relatif à une société d’exercice libéral à responsabilité limitée
(officiers publics ou ministériels)
NOR : JUSC2318709A
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 5 juillet 2023 :
M. SOMMELETTE (Gauthier) est nommé greffier de tribunal de commerce associé, membre de la société
d’exercice libéral à responsabilité limitée « SELARL Xavier BERNARD Greffière de Tribunal de Commerce
Titulaire d’Offices de Greffier de Tribunal de Commerce », titulaire des offices de greffier de tribunal de commerce
à la résidence de Val-de-Briey (Meurthe-et-Moselle) et à la résidence de Bar-le-Duc (Meuse).
Le retrait de M. BERNARD (Xavier, Patrick, Marie), greffier de tribunal de commerce associé, membre de la
société d’exercice libéral à responsabilité limitée « SELARL Xavier BERNARD Greffière de Tribunal de
Commerce Titulaire d’Offices de Greffier de Tribunal de Commerce », est accepté.
La dénomination sociale de la société d’exercice libéral à responsabilité limitée « SELARL Xavier BERNARD
Greffière de Tribunal de Commerce Titulaire d’Offices de Greffier de Tribunal de Commerce » est ainsi modifiée :
« SELARL GTC BRIEY et BAR-LE-DUC Greffière de Tribunal de Commerce Titulaire d’Offices de Greffier de
Tribunal de Commerce ».
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 46 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 6 juillet 2023, la mention
« Victime du terrorisme » est portée sur l’acte de décès de M. Eric, Louis, Lucien ASNAR né le 25 janvier 1964
(Bouches-du-Rhône), décédé le 28 avril 2011 à Marrakech (Maroc).
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 47 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 6 juillet 2023, l’arrêté du 22 juin 2023
(NOR : JUSC2317094A), nommant Mme BEAUME (Christelle, Armelle), épouse JOUVE, en qualité de notaire
associée, est modifié comme suit :
La mention : « épouse JOUVE » est supprimée.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 48 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 6 juillet 2023 :
Il est mis fin aux fonctions de Mme BRISSET (Romanella, Véronique, Karine) en qualité de notaire salariée au
sein de l’office de notaire dont est titulaire la société civile professionnelle « Pierre SAUTJEAU et Alain PIADE,
notaires, associés d’une société civile professionnelle titulaire d’un office notarial », anciennement société civile
professionnelle « Alain BONDET, Pierre SAUTJEAU et Alain PIADE, notaires, associés d’une société civile
professionnelle titulaire d’un office notarial », à la résidence de Chelles (Seine-et-Marne).
Mme BRISSET (Romanella, Véronique, Karine) est nommée notaire associée, membre de la société civile
professionnelle « Pierre SAUTJEAU et Alain PIADE, notaires, associés d’une société civile professionnelle
titulaire d’un office notarial ».
Le retrait de M. PIADÉ (Alain, André), notaire associé, membre de la société civile professionnelle « Pierre
SAUTJEAU et Alain PIADE, notaires, associés d’une société civile professionnelle titulaire d’un office notarial »,
est accepté.
La dénomination sociale de la société civile professionnelle « Pierre SAUTJEAU et Alain PIADE, notaires,
associés d’une société civile professionnelle titulaire d’un office notarial » est ainsi modifiée : « Pierre SAUTJEAU
et Romanella BRISSET, notaires, associés d’une Société Civile Professionnelle titulaire d’un Office Notarial ».
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 49 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 6 juillet 2023 :
La démission de M. GUILLAUME (Gilles, Albert, Daniel), notaire à la résidence de Nogent-le-Rotrou (Eure-et-
Loir), est acceptée.
La société d’exercice libéral à responsabilité limitée « Mathilde BOUCHERON - TUFFREAU, notaires »,
constituée pour l’exercice de la profession de notaire, est nommée notaire à la résidence de Nogent-le-Rotrou
(Eure-et-Loir), en remplacement de M. GUILLAUME (Gilles, Albert, Daniel).
Mme BOUCHERON (Mathilde), épouse TUFFREAU, est nommée notaire associée.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 6 juillet 2023, Mme LE HAY (Christelle,
Claudiane) est nommée en qualité de notaire salariée au sein de l’office de notaire dont est titulaire la société à
responsabilité limitée « O.M.L - NOTAIRES » à la résidence de Saint-Martin-en-Haut (Rhône).
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 6 juillet 2023 :
Il est mis fin aux fonctions de Mme FLAMENT (Cécilia) en qualité de notaire salariée au sein de l’office de
notaire dont est titulaire la société civile professionnelle « Clotilde FELLAY et Maryline BOREL, notaires associés
d’une société civile professionnelle titulaire d’un office notarial » à la résidence de Saint-Jean-Soleymieux (Loire).
Les retraits de Mme FELLAY (Clotilde, Marie, Françoise) et de Mme BOREL (Maryline), notaires associées,
membres de la société civile professionnelle « Clotilde FELLAY et Maryline BOREL, notaires associés d’une
société civile professionnelle titulaire d’un office notarial » à la résidence de Saint-Jean-Soleymieux (Loire), sont
acceptés.
Par suite des retraits de Mme FELLAY (Clotilde, Marie, Françoise) et de Mme BOREL (Maryline), la société
civile professionnelle « Clotilde FELLAY et Maryline BOREL, notaires associés d’une société civile
professionnelle titulaire d’un office notarial » est dissoute.
La société d’exercice libéral à responsabilité limitée « BOREL et FLAMENT », constituée pour l’exercice de la
profession de notaire, est nommée notaire à la résidence de Saint-Jean-Soleymieux (Loire), en remplacement de la
société civile professionnelle « Clotilde FELLAY et Maryline BOREL, notaires associés d’une société civile
professionnelle titulaire d’un office notarial ».
Mme FLAMENT (Cécilia) et Mme BOREL (Maryline) sont nommées notaires associées.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 52 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 6 juillet 2023 :
La démission de Mme GANDREY (Katia), épouse ALLIBE, notaire à la résidence de Friville-Escarbotin
(Somme), est acceptée.
La société d’exercice libéral par actions simplifiée « Mathilde GUARESCHI-FENET Notaire », constituée pour
l’exercice de la profession de notaire, est nommée notaire à la résidence de Friville-Escarbotin (Somme), en
remplacement de Mme GANDREY (Katia), épouse ALLIBE.
Mme FENET (Mathilde, Marie, Cécile), épouse GUARESCHI, est nommée notaire associée.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du vice-président du Conseil d’Etat en date du 10 juillet 2023, M. François WAVELET, premier
conseiller du corps des magistrats des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel, en service
détaché, est réintégré dans son corps d’origine, à compter du 1er septembre 2023.
A la même date, M. François WAVELET est affecté au tribunal administratif d’Amiens.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion en date du 5 juin 2023, Mme ESTAY Adeline,
inspectrice du travail, affectée à la direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités de la
Haute-Garonne, est promue au grade de directrice adjointe du travail, à compter du 23 décembre 2022.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 55 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion en date du 15 juin 2023, Mme MARIGNIER
Marie-Noëlle, directrice adjointe du travail, affectée à la direction départementale de l’emploi, du travail et des
solidarités de la Manche, est promue au grade de directrice du travail, à compter du 31 décembre 2022.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 56 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion en date du 21 juin 2023, Mme ROMEDENNE
LAGRANGE Nadine, inspectrice du travail, affectée à la direction départementale de l’emploi, du travail et des
solidarités des Pyrénées-Atlantiques, est radiée des cadres et admise à faire valoir ses droits à la retraite, à compter
du 2 novembre 2023.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 57 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion en date du 30 juin 2023, Mme ROUX (Karine),
inspectrice du travail, affectée à la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités
d’Auvergne-Rhône-Alpes, direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités du Puy-de-Dôme, est
promue au grade de directrice adjointe du travail, à compter du 31 décembre 2022.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 58 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion en date du 30 juin 2023, les inspecteurs du
travail stagiaires de la promotion 2022, issue du concours organisé en 2021, dont les noms suivent sont titularisés
dans le corps de l’inspection du travail, au grade d’inspecteur du travail, à compter du 1er août 2023 :
ALMOUZNI Paul
AMOROSI Léa
AUBIN Mathias
BAHI Jabbar
BAURIN Claire
BELABHAR Abdelazize
BERTHOIS Maëlle
BILLIARD Emmanuelle
BONDUELLE Laure
BOUHEDJAR Sammy
BOURSIER Léo
BREARD Alban
BREGER Vivien
CAZEAUD Julie
CHALA Donia
CHAPTAL Séverine
CHASSARD Noémie
CHAZALET Mathéo
COMPERAT Stéphanie
CONRAUD Amandine
DARCISSAC Fabian
DASYLVA Nolit
DELAGE Antoine
DEMELLIER Isabelle
DJELLAB-GUIOMARD Mélanie
FALL Papa
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 58 sur 150
FEGAR Christophe
FILIPPI Tom
FRANCOIS Claire
GABERT Inès
GEAGEA Hanane
GRENET Jules
GUENOT Delphine
GUESNON Tiphaine
HABERT Maud
IMBACH Marion
JEANMAIRE Emilie
JUPIN Bastien
KLUR Jonathan
KRUPPA Elise
LAMOUREUX Elodie
LAVERNE Pauline
LE HERICY-DURAND Edouard
LECOMPERE Adrien
LETERREUX Guillaume
LETHROSNE Hélène
LUSIEUX Axel
MAAMERI Amel
MARIE Chloé
MARTIN Agathe
MAUSSE Maëva
MAZA Hugo
MÉDAILLE Karine
MEYRIER Léo
MIGEON Mathieu
MONIER Joris
MOUHEB Claire
NAUDIN Cindy
PAGAN Catherine
PARISOT Maxime
PENELA Catarina
POLY Alexia
PRÉAU Raphaël
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 58 sur 150
RAKOTONIAINA Frédéric
REVES Miguel
ROBINSON Celia
ROLDAN Loïc
SCHWAIGER Guillaume
SIERRA Mélina
TANGUY Axelle
THOMAS Rebecca
THOREL Brice
TRAORE Félix
VANCAUWENBERGHE Virginie
VEISSIERE Simon
VERDON Hélène
VIDAL Antoine
WESQUY Hugo
WUEST Justine
En application de l’article 11 de l’arrêté du 16 novembre 2021 relatif aux modalités de la formation et aux
conditions d’évaluation et de sanction de la scolarité des inspecteurs élèves du travail, les inspecteurs du travail
dont les noms suivent devront effectuer un parcours complémentaire de formation, dans un délai maximum
de 12 mois à compter de leur date de titularisation :
BOUHEDJAR Sammy
DASYLVA Nolit
FALL Papa
LECOMPERE Adrien
MIGEON Mathieu
PAGAN Catherine
SIERRA Mélina
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 59 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, et de la ministre de l’enseignement supérieur et de la
recherche en date du 14 juin 2023, Mme Julia HEINICH est désignée présidente de la commission nationale
instituée à l’article 51-1 du décret no 91-1197 du 27 novembre 1991 modifié organisant la profession d’avocat.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 61 sur 150
MESURES NOMINATIVES
MESURES NOMINATIVES
Décret du 11 juillet 2023 portant nomination sur un emploi des services d’inspection générale
ou de contrôle (inspection générale des affaires sociales) - M. CHIEZE (François)
NOR : SPRJ2317604D
Par décret du Président de la République en date du 11 juillet 2023, M. François CHIEZE, administrateur de
l’Etat du grade transitoire, est nommé par voie de détachement sur un emploi des services d’inspection générale ou
de contrôle de groupe I à l’inspection générale des affaires sociales, à compter du 1er janvier 2023 et
jusqu’au 6 juillet 2023 inclus.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 63 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Décret du 11 juillet 2023 portant nomination sur un emploi des services d’inspection générale
ou de contrôle (inspection générale des affaires sociales) - M. NOURY (Didier)
NOR : SPRJ2317623D
Par décret du Président de la République en date du 11 juillet 2023, M. Didier NOURY, administrateur de l’Etat
du grade transitoire, est nommé par voie de détachement sur un emploi des services d’inspection générale ou de
contrôle de groupe I à l’inspection générale des affaires sociales, à compter du 1er janvier 2023 et
jusqu’au 30 juin 2023 inclus.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Décret du 11 juillet 2023 portant nomination sur un emploi des services d’inspection générale
ou de contrôle (inspection générale des affaires sociales) - M. TOCHE (Olivier)
NOR : SPRJ2317607D
Par décret du Président de la République en date du 11 juillet 2023, M. Olivier TOCHE, administrateur de l’Etat
du grade transitoire, est nommé par voie de détachement sur un emploi des services d’inspection générale ou de
contrôle de groupe I à l’inspection générale des affaires sociales, à compter du 1er janvier 2023 et
jusqu’au 30 juin 2023 inclus.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 3 juillet 2023 portant modification de l’arrêté du 28 avril 2023 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« psychiatrie » en application des dispositions de l’article L. 4131-1-1 du code de la santé
publique
NOR : SPRN2319325A
Par arrêté du ministre de la santé et de la prévention en date du 3 juillet 2023, l’arrêté du 28 avril 2023 fixant la
liste des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité « psychiatrie » en
application des dispositions de l’article L. 4131-1-1 du code de la santé publique est modifié comme suit :
Au lieu de : « Mme SOLIBIEDA (Alice, Anne, Thérèse) épouse DEBACO, née le 5 décembre 1991 à Lens
(France). »,
lire : « Mme SOLIBIEDA (Alice, Anne, Thérèse), épouse DEBACQ, née le 5 décembre 1991 à Lens (France). »
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 66 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 3 juillet 2023 portant modification de l’arrêté du 20 avril 2023 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de chirurgien-dentiste en application
des dispositions du V de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement
de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : SPRN2319327A
Par arrêté du ministre de la santé et de la prévention en date du 3 juillet 2023, l’arrêté du 20 avril 2023 fixant la
liste des personnes autorisées à exercer en France la profession de chirurgien-dentiste en application des
dispositions du V de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale
pour 2007 modifiée est modifié comme suit :
Au lieu de : « M. ALMAHROUS (Ghazwan), né le 13 janvier 1990 à Damas (Syrie). »,
lire : « M. ALMAHROUS (Ghazwan), né le 13 janvier 1970 à Damas (Syrie). »
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 3 juillet 2023 portant modification de l’arrêté du 28 avril 2023 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité de
« gériatrie » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640
du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : SPRN2319328A
Par arrêté du ministre de la santé et de la prévention en date du 3 juillet 2023, l’arrêté du 28 avril 2023 fixant la
liste des personnes autorisées à exercer en France la profession médecin dans la spécialité « gériatrie » en
application des dispositions du B du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement
de la sécurité sociale pour 2007 modifiée est modifié comme suit :
Au lieu de : « M. ADEL (Sebaa), né le 28 novembre 1964 à Mostaganem (Algérie) »,
lire : « M. SEBAA (Adel), né le 28 novembre 1964 à Mostaganem (Algérie) ».
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 3 juillet 2023 portant modification de l’arrêté du 28 avril 2023 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« gynécologie obstétrique » en application des dispositions de l’article L. 4111-2 du code de
la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de
financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : SPRN2319329A
Par arrêté du ministre de la santé et de la prévention en date du 3 juillet 2023, l’arrêté du 28 avril 2023 fixant la
liste des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité « gynécologie
obstétrique » en application des dispositions de l’article L. 4111-2 du code de la santé publique et du IV de
l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
est modifié comme suit :
Au lieu de : « Mme EL ALMI (Fatma) épouse NAKHALI, née le 14 juin 1976 à Le Kef (Tunisie) »,
lire : « Mme EL ALMI (Fatma), épouse NAKHLI, née le 14 juin 1976 à Le Kef (Tunisie) ».
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la Première ministre, du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion, du ministre de la santé
et de la prévention et du ministre des solidarités, de l’autonomie et des personnes handicapées en date
du 11 juillet 2023, il est mis fin, à compter du 19 juillet 2023 et à sa demande, aux fonctions de cheffe de service,
déléguée à l’information et à la communication auprès du secrétaire général, à l’administration centrale des
ministères chargés des affaires sociales, exercées par Mme Sandrine FAUDUET, agent contractuel.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 70 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre des sports et des jeux Olympiques et Paralympiques en date du 23 juin 2023 :
I. – Sont nommés membres du comité d’orientation du Musée national du sport :
Mme Sophie BIECHELER, déléguée à l’institutionnel, au territorial et à l’international à la Cité des sciences et
de l’industrie, Universcience.
M. Claude CHAPUIS, professeur à la faculté des sciences du sport, co-responsable de la licence management du
sport à l’université Côte d’Azur.
M. Laurent Sébastien FOURNIER, enseignant chercheur et professeur d’anthropologie à l’université Côte
d’Azur.
M. Yvan GASTAUT, maître de conférences en histoire contemporaine à l’université de Nice Sophia Antipolis.
Mme Emilie GIRARD, directrice scientifique et des collections du MuCem.
M. Jean-Bernard KAZMIERCZAK, historien spécialiste de l’histoire du golf, président et membre fondateur de
la European Association of Golf Historians & Collectors.
Mme Aude PESSEY LUX, conservatrice en chef du patrimoine, référente scientifique au service des musées de
France.
Mme Dominique SERENA-ALLIER, conservatrice en chef du patrimoine, directrice honoraire du Museon
Arlaten.
Mme Dominique VINGTAIN, conservatrice du patrimoine, directrice du centre interrégional de conservation et
de restauration préventive.
II. – Mme Dominique SERENA-ALLIER est nommée présidente du comité d’orientation du Musée national du
sport.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 71 sur 150
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre des sports et des jeux Olympiques et Paralympiques en date du 11 juillet 2023 :
I. – Sont nommés membres du conseil d’administration du Musée national du sport :
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 26 juin 2023 portant extension d’un accord territorial (Bourgogne) conclu
dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332)
NOR : MTRT2316884A
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre de la
convention collective nationale du personnel des entreprises de manutention ferroviaire et
travaux connexes (no 538)
NOR : MTRT2315015A
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre
de la convention collective nationale de l’industrie pharmaceutique (no 176)
NOR : MTRT2315016A
d’application de la convention collective nationale de l’industrie pharmaceutique du 6 avril 1956, les stipulations
de l’accord collectif du 13 mars 2023 modifiant les frais de logement et de nourriture des salariés participant aux
réunions des commissions paritaires de l’industrie pharmaceutique, conclu dans le cadre de la convention
collective nationale susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 juin 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2023/18,
disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 75 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre
de la convention collective nationale des services de l’automobile (no 1090)
NOR : MTRT2315020A
d’application de la convention collective nationale des services de l’automobile du 15 janvier 1981, les stipulations
de l’accord paritaire national du 9 février 2023 relatif à la modification anticipée du RNQSA, conclu dans le cadre
de la convention collective susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 juin 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié aux Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2023/10
disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
CONVENTIONS COLLECTIVES
de l’alimentation animale et tous leurs salariés relevant du champ d’application de la convention collective
nationale de la transformation des grains du 16 juin 1996, les stipulations de l’avenant no 24 du 17 janvier 2023
relatif à l’actualisation du certificat de qualification professionnelle « Conducteur d’installation de transformation
des grains » concernant les entreprises de la meunerie, de la semoulerie de blé dur et de l’alimentation animale, à la
convention collective nationale susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 juin 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2023/13, disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre
de la convention collective nationale des missions locales et PAIO (no 2190)
NOR : MTRT2315962A
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale
du personnel sédentaire des entreprises de navigation (no 2972)
NOR : MTRT2315963A
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale
du tourisme social et familial (no 1316)
NOR : MTRT2315964A
d’application de la convention collective nationale du tourisme social et familial du 28 juin 1979, les stipulations de
l’avenant no 74 du 5 décembre 2022 relatif à la mise à jour de la convention collective susvisée.
A l’article 49.3 de la convention collective, tel que modifié par l’article 2 de l’avenant, les termes
« et L. 2315-40 » sont exclus de l’extension, l’article L. 2315-40 du code du travail ayant été abrogé par la loi
no 2021-1018 du 2 août 2021 pour renforcer la prévention en santé au travail (article 39, 3o).
L’alinéa 1 de l’article 57 de la convention collective, tel que modifié par l’article 9 de l’avenant, est exclu de
l’extension, en tant qu’il contrevient aux articles L. 161-17-2 et L. 351-8 du code de la sécurité sociale.
L’alinéa 2 de l’article 57 de la convention collective, tel que modifié par l’article 9 de l’avenant, est étendu sous
réserve du respect des dispositions de l’article L. 1234-1 du code du travail.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 juin 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2023/9,
disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
d’application de la convention collective nationale des taxis du 11 septembre 2001, les stipulations de l’accord du
7 décembre 2022 relatif à la classification des personnels non roulant, conclu dans le cadre de la convention
collective susvisée.
A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les
modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre
en compte lors de la négociation sur les classifications, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les
hommes et de mixité des emplois. En cas de constat d’un écart moyen de rémunération, la branche devra faire de sa
réduction une priorité conformément aux articles L. 2241-15 et L. 2241-17 du code du travail.
L’article 4 est étendu sous réserve du respect des dispositions des articles L. 2232-10-1 et L. 2261-23-1 du code
du travail.
Le 1er alinéa de l’article 6 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 2261-7 du code du
travail.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 juin 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2023/6,
disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre de la
convention collective nationale des maisons à succursales de vente au détail d’habillement
(no 675)
NOR : MTRT2315967A
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale
des cabinets ou entreprises d’expertises en automobile (no 1951)
NOR : MTRT2315970A
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre
d’un accord collectif national dans le secteur de la presse magazine (no 2483)
NOR : MTRT2316226A
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale
des entreprises de courtage d’assurances et/ou de réassurances (no 2247)
NOR : MTRT2316230A
d’application de la convention collective nationale des entreprises de courtage d’assurances et/ou de réassurances
du 18 janvier 2002, les stipulations de l’avenant du 12 mai 2022 relatif à la restauration des salariés, à la convention
collective nationale susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 juin 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2022/48, disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’avenants à un accord conclu dans le cadre
de la convention collective nationale des professions de la photographie (no 3168)
NOR : MTRT2316232A
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre
de la convention collective nationale du négoce de l’ameublement (no 1880)
NOR : MTRT2316236A
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre
de la convention collective nationale du commerce succursaliste de la chaussure (no 468)
NOR : MTRT2316238A
CONVENTIONS COLLECTIVES
d’application de la convention collective nationale des entreprises artistiques et culturelles du 1er janvier 1984, les
stipulations de l’avenant du 27 septembre 2022 à l’article II.2. et à l’article 8 relatif aux statuts du fonds commun
d’aide au paritarisme de la convention collective nationale susvisée.
L’avenant est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 2261-19 du code du travail telles
qu’interprétées par le Conseil d’Etat (CE, 30 décembre 2013, no 352901) et aux termes desquelles un accord ne
peut être étendu à l’ensemble des entreprises comprises dans son champ d’application que s’il a été négocié et
conclu par les organisations représentatives dans ce champ d’application.
L’article 6 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 2261-19 du code du travail telles
qu’interprétées par le Conseil d’Etat (CE, 30 décembre 2013, no 352901) et aux termes desquelles un accord ne
peut être étendu à l’ensemble des entreprises comprises dans son champ d’application que s’il a été négocié et
conclu par les organisations représentatives dans ce champ d’application.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 juin 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2022/46, disponible sur le site https://www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 90 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre
de la convention collective nationale des entreprises du commerce à distance (no 2198)
NOR : MTRT2316306A
d’application de la convention collective nationale des entreprises du commerce à distance du 6 février 2001, les
stipulations de l’accord du 21 décembre 2022 relatif au champ d’application, conclu dans le cadre de la convention
collective nationale susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté, pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 juin 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2023/6,
disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
d’application de la convention collective nationale des cabinets d’administrateurs de biens et des sociétés
immobilières, devenue convention collective nationale de l’immobilier par l’avenant no 3 du 27 octobre 1989, les
stipulations de l’avenant no 92 du 2 juin 2022 relatif à l’actualisation de la grille de classification des postes de
travail et des qualifications professionnelles, à la convention collective nationale susvisée.
A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail précisant la périodicité, les thèmes et les
modalités de négociation dans cette branche, l’avenant est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre
en compte lors de la négociation sur les classifications l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les
hommes et de mixité des emplois. En cas de constat d’un écart moyen de rémunération la branche devra faire de sa
réduction une priorité conformément aux articles L. 2241-15 et L. 2241-17 du code du travail.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 juin 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2022/25, disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 92 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’avenants à des accords conclus dans le cadre de la
convention collective nationale du commerce des articles de sport et équipements de loisirs
(no 1557)
NOR : MTRT2316311A
Arrête :
Art. 1 . – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
er
d’application de la convention collective nationale du commerce des articles de sport et équipements de loisirs, tel
que modifié par l’arrêté du 15 février 2019 susvisé, et dans leur propre champ d’application professionnel, les
stipulations de :
– l’avenant no 2 du 18 janvier 2023 à l’accord du 6 mai 2021 relatif à la formation, l’alternance et au
développement des compétences, conclu dans le cadre la convention collective nationale susvisée.
Au 2e alinéa de l’article 1er, les termes « – les personnes qui visent une des certifications professionnelles listées
par l’accord du 1er juillet 2021 relatif à la mise en œuvre de la reconversion ou promotion par l’alternant (Pro-A) et
ses avenants » sont exclus de l’extension en tant qu’ils contreviennent aux dispositions prévues par
l’article L. 6325-12 du code du travail.
– l’avenant no 3 du 18 janvier 2023 à l’accord du 1er juillet 2021 relatif à la mise en œuvre de la reconversion ou
promotion par l’alternance (Pro-A), conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée.
La certification mentionnée à l’article 1er est éligible à la reconversion ou promotion par alternance sous réserve
qu’elle soit active au répertoire national des certifications en application de l’article L. 6324-3 du code du travail.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions des avenants susvisés prend effet à compter de la date de
publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par lesdits avenants.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 93 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre de la
convention collective nationale du négoce et prestations de services dans les domaines
médico-techniques (no 1982)
NOR : MTRT2316312A
d’application de la convention collective nationale du négoce et prestations de services dans les domaines médico-
techniques du 9 avril 1997, les stipulations de l’avenant no 1 du 9 mars 2023 à l’accord du 11 décembre 2019
identifiant les certifications éligibles au dispositif de formation « PRO A » action de promotion ou de reconversion
par alternance, conclu dans le cadre de la convention collective susvisée.
Les certifications visées au sein de l’annexe sont éligibles à la reconversion ou promotion par alternance sous
réserve qu’elles soient actives au répertoire national des certifications en application de l’article L. 6324-3 du code
du travail.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 juin 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2023/16, disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le cadre
de la convention collective nationale des entreprises de désinfection, désinsectisation et
dératisation (no 1605)
NOR : MTRT2316326A
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 30 juin 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention
collective nationale des prothésistes dentaires et des personnels des laboratoires de prothèse
dentaire (no 993)
NOR : MTRT2316724A
CONVENTIONS COLLECTIVES
d’application de la convention collective nationale des cabinets dentaires du 17 janvier 1992, les stipulations de
l’avenant du 20 octobre 2022 modifiant le titre VII de la convention collective nationale susvisée.
Au paragraphe intitulé « Formation pratique dite interne » de l’article 7.7.1 du titre VII tel que modifié par
l’article 1 de l’avenant, les phrases « Les 1 500 heures de formation interne se répartissent comme suit :
– 304 heures de formation pratique interne avec le tuteur, contrôlée par l’organisme de formation ;
– 1 196 heures de travail en autonomie. » sont exclues de l’extension en ce qu’elles contreviennent à
l’article L. 6221-1 du code du travail.
A l’article 7.7.1 du titre VII tel que modifié par l’article 1er de l’avenant, les phrases :
« Stage de 35 heures :
Un stage de 35 heures est intégré dans l’U.E. 8.
Il doit être réalisé dans une structure différente de celle où le stagiaire suit la formation pratique. Ce peut être
un centre hospitalier, un centre de soins, un cabinet dentaire avec une autre spécialité que celui du suivi de la
formation pratique, un EHPAD, une PMI, un foyer médicalisé ayant un lien avec la santé dentaire etc.
Une convention quadripartite (employeur, stagiaire, organisme de formation et établissement de stage) doit être
signée. » sont exclues de l’extension en ce qu’elles contreviennent aux articles L. 6221-1, R. 6223-10 et suivants du
code du travail.
A l’article 7.7.1 du titre VII tel que modifié par l’article 1er de l’avenant, les phrases « Les salariés travaillant à
temps partiel bénéficient du même cursus de formation de 1 878 heures sur 18 mois permettant d’obtenir le titre
d’assistant dentaire.
Pour bénéficier d’une durée suffisante de formation interne, ne sont admis en formation que les stagiaires dont
le contrat de travail prévoit une durée de travail égale ou supérieure à 25 heures hebdomadaires.
Les heures de formation sont réparties comme suit : cf. tableau » sont exclues de l’extension en ce qu’elles
contreviennent au principe de temps complet du contrat d’apprentissage.
A l’article 7.7.1 du titre VII tel que modifié par l’article 1er de l’avenant, la phrase « Les stagiaires sont autorisés
à tripler le parcours de formation. » est exclue de l’extension en ce qu’elle contrevient à l’article L. 6222-11 du
code du travail.
L’article 7.9.1 du titre VII tel que modifié par l’article 1er de l’avenant est étendu sous réserve de
l’article L. 6111-1 du code du travail.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 150
A l’article 7.9.3 du titre VII tel que modifié par l’article 1er de l’avenant, la phrase « La durée maximale de ce
congé spécifique rémunéré par l’employeur est de 24 heures de temps de travail effectif (consécutives ou non) » est
exclue de l’extension, en tant qu’elle contrevient à l’article L. 6422-2 du code du travail.
L’article 7.9.4 du titre VII tel que modifié par l’article 1er de l’avenant est étendu sous réserve de
l’article L. 6332-17 du code du travail.
L’article 7.12 du titre VII tel que modifié par l’article 1er de l’avenant est exclu de l’extension, en tant qu’il
contrevient aux dispositions de l’article L. 2253-3 du code du travail.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juillet 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2022/50, disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 5 juillet 2023 portant extension de la convention collective nationale des commerces
de quincaillerie, fournitures industrielles, fers, métaux et équipement de la maison (no 3243)
NOR : MTRT2316307A
Arrête :
Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
d’application de la convention collective nationale des commerces de quincaillerie, fournitures industrielles, fers,
métaux et équipement de la maison du 24 novembre 2021, les stipulations de ladite convention collective nationale
des commerces de quincaillerie, fournitures industrielles, fers, métaux et équipement de la maison
du 24 novembre 2021.
Le 1er alinéa de l’article 1er est étendu sous réserve du respect du 3e alinéa de l’article L. 2222-1 du code du
travail.
A l’article 9, le 4e alinéa du point « Mission d’intérêt général » du paragraphe « A/ Missions, composition et
fonctionnement de la CPPNI » est étendu sous réserve de l’application des dispositions de l’article L. 2232-9 du
code du travail.
A l’article 9, le 14e alinéa de la mention « Réunion en commission paritaire d’interprétation » du paragraphe « A/
Missions, composition et fonctionnement de la CPPNI » est étendu sous réserve que, conformément à la
jurisprudence de la Cour de Cassation (Cass., soc., 1er décembre 1998, no 98-40104), seul l’avenant interprétatif
signé par l’ensemble des parties à l’accord initial s’impose, avec effet rétroactif à la date d’entrée en vigueur de ce
dernier accord, aussi bien à l’employeur et aux salariés qu’au juge qui ne peut en écarter l’application.
Le 1er alinéa du point « Transmission des accords » du paragraphe « c/- Transmission des accords collectifs à la
CPPNI et rapport annuel d’activité » du paragraphe « A/ Missions, composition et fonctionnement de la CPPNI »
de l’article 9 est étendu sous réserve de l’application des dispositions de l’article L. 2232-9 du code du travail.
A l’article 9, le paragraphe « B/- Modalités des représentants syndicaux et d’indemnisation des salariés
d’entreprise lors des réunions paritaires » est étendu sous réserve du respect des articles L. 2232-8 et L. 2234-3 du
code du travail et de l’application du principe d’égalité à valeur constitutionnelle résultant de l’article 6 de la
Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 et du 6e alinéa du préambule de la Constitution
de 1946, tel qu’interprété par la Cour de Cassation (Cass. soc. 29 mai 2001, Cegelec).
Au paragraphe « a/- Droit de s’absenter » du paragraphe « B/- Modalités des représentants syndicaux et
d’indemnisation des salariés d’entreprise lors des réunions paritaires » de l’article 9, les termes « d’entreprise de la
branche » sont exclus de l’extension en tant qu’ils contreviennent aux dispositions des articles L. 2232-8
et L. 2234-3 du code du travail et de l’application du principe d’égalité à valeur constitutionnelle résultant de
l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 et du 6e alinéa du préambule de la
Constitution de 1946, tel qu’interprété par la Cour de Cassation (Cass. soc. 29 mai 2001, Cegelec).
Au 1er alinéa du paragraphe « b/- Maintien de salaire » du paragraphe « B/- Modalités des représentants
syndicaux et d’indemnisation des salariés d’entreprise lors des réunions paritaires » de l’article 9, les termes
« d’entreprises de la branche » sont exclus de l’extension en tant qu’ils contreviennent aux dispositions des
articles L. 2232-8 et L. 2234-3 du code du travail et de l’application du principe d’égalité à valeur constitutionnelle
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 150
résultant de l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 et du 6e alinéa du
préambule de la Constitution de 1946, tel qu’interprété par la Cour de Cassation (Cass. soc. 29 mai 2001, Cegelec).
Le 1er alinéa de l’article 28 est étendu sous réserve du principe « à travail égal, salaire égal » résultant des
dispositions du 10o de l’article L. 2261-22 et du 8ode l’article L. 2271-1 et de l’article L. 3221-2 du code du travail.
Les 3e et 4e alinéas du paragraphe « A/ Contrat de travail à temps partiel » de l’article 33 sont étendus sous
réserve que conformément aux dispositions de l’article L. 3121-44 du code du travail un accord d’entreprise
prévoit les modalités de modification de la répartition de la durée et des horaires de travail des salariés à temps
partiel sur une période supérieure à la semaine.
Les 4e, 5e et 6e alinéas du paragraphe « D/ Interruptions d’activité » de l’article 33 sont étendus sous réserve que
conformément aux dispositions de l’article L. 3123-23 du code du travail, un accord d’entreprise définisse les
amplitudes horaires pendant lesquelles les salariés peuvent exercer leur activité et prévoit des contreparties
spécifiques à l’interruption supérieure à deux heures en tenant compte des exigences propres à l’activité exercée.
Le 1er alinéa du paragraphe « A/ Durée des congés » de l’article 34 est étendu sous réserve du respect de
l’article L. 3141-8 du code du travail.
Le 11e alinéa de l’article 37 est étendu sous réserve du respect de l’article L. 3142-1, modifié du code du travail.
Les 6e et 7e alinéas du paragraphe « A/ Dispositions générales » de l’article 44 sont exclus de l’extension en tant
qu’ils contreviennent aux dispositions de l’article L. 1234-1 du code du travail.
Les alinéas 1, 2, 3 et 4 du paragraphe « a/- Conditions » du paragraphe « B/ Indemnisation » de l’article 45 sont
étendus sous réserve de l’application de l’article L. 1226-1 du code du travail.
Dans le tableau du paragraphe « c/- Taux et durée » du paragraphe « B/ Indemnisation » de l’article 45, la
mention concernant les employés et personnel de maitrise ayant une ancienneté égale ou supérieure à 6 ans est
étendue sous réserve du respect des articles L. 1226-1 et D. 1226-1 et D. 1226-2 du code du travail, relatifs au
maintien de salaire dont le montant est conditionné à l’ancienneté, et conformément à l’article L. 2251-1 du même
code relatif au principe de faveur entre dispositions légales et convention ou accord collectif, tel qu’interprété par la
Cour de cassation dans son arrêt du 13 juin 2019 (Cass., Soc., 13 juin 2019, no 17-31.711).
A l’annexe 1, le 11e alinéa de l’article 4 est étendu sous réserve qu’en application de l’article L. 3231-3 du code
du travail, la mention SMIC figurant à l’article 4 de l’accord vaille la valeur du SMIC à la date de l’arrêté portant
extension de ladite convention collective.
A l’annexe 2, les échelons figurants dans le tableau relatif aux employés ainsi que le 1er échelon figurant dans le
tableau relatif au personnel de maîtrise sont étendus sous réserve de l’application du SMIC.
A l’annexe 7, le 2e alinéa de l’article 6 est étendu sous réserve du respect de l’article D. 6222-26 du code du
travail.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de la convention collective nationale prend effet à compter de la
date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ladite convention
collective nationale.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juillet 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de la convention collective nationale susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule
conventions collectives no 2022/2, disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 150
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 5 juillet 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale des
métiers de l’éducation, de la culture, des loisirs et de l’animation agissant pour l’utilité sociale
et environnementale, au service des territoires (ÉCLAT) (no 1518)
NOR : MTRT2316725A
d’application de la convention collective nationale des métiers de l’éducation, de la culture, des loisirs et de
l’animation agissant pour l’utilité sociale et environnementale, au service des territoires (ÉCLAT) du 28 juin 1988,
les stipulations de l’avenant no 196 du 11 avril 2023 relatif au temps de préparation des salariés exerçant des
missions de face à face éducatif et/ou pédagogique relevant de la grille dite « générale », à la convention collective
nationale susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juillet 2023.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2023/22, disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 100 sur 150
Conseil d’Etat
Décision no 465188 du 5 juillet 2023
du Conseil d’Etat statuant au contentieux
NOR : CETX2318860S
mentionnés à l’article L. 162-22-6 de ce code « bénéficient d’un financement mixte sous la forme de recettes issues
directement de l’activité, dans les conditions prévues au I de l’article L. 162-23-4, et d’une dotation forfaitaire
visant à sécuriser de manière pluriannuelle le financement de leurs activités, selon des modalités définies par
décret en Conseil d’Etat ». Le I de l’article L. 162-23-4 de ce code dispose que : « Chaque année, les ministres
chargés de la santé et de la sécurité sociale arrêtent, selon les modalités prévues au II de l’article L. 162-23 : / 1o
Les tarifs nationaux des prestations mentionnées au 1o de l’article L. 162-23-1, qui peuvent être différenciés par
catégories d’établissements, notamment en fonction des conditions d’emploi du personnel médical. Ces tarifs sont
calculés en fonction de l’objectif défini à l’article L. 162-23 ; / 2o Le cas échéant, les coefficients géographiques
s’appliquant aux tarifs nationaux mentionnés au 1o du présent article et au forfait prévu à l’article L. 162-23-7 des
établissements implantés dans certaines zones, afin de tenir compte d’éventuels facteurs spécifiques qui modifient
de manière manifeste, permanente et substantielle le prix de revient de certaines prestations dans la zone
considérée ; / 3o Le coefficient mentionné au I de l’article L. 162-23-5 ; / 4o Les modalités de calcul de la dotation
forfaitaire mentionnée à l’article L. 162-23-3 ; / 6o Le montant des forfaits annuels mentionnés à
l’article L. 162-23-7. / Sont applicables au 1er mars de l’année en cours les éléments mentionnés aux 1o à 3o. /
Sont applicables au 1er janvier de l’année en cours les éléments mentionnés aux 4o à 6o ». Sur le fondement de ces
dispositions, le décret du 21 avril 2022 relatif à la réforme du financement des activités de soins de suite et de
réadaptation détermine les modalités de calcul des recettes issues de l’activité et de la dotation composant le
financement mixte des établissements exerçant une activité de soins de suite et de réadaptation, fixe les conditions
du versement à ces établissements des dotations et des forfaits composant ce financement et organise, pour la
période des années 2023 à 2025, l’entrée en vigueur de ces nouvelles modalités de financement. En outre, le même
décret, d’une part, précise la composition de la section dédiée aux soins de suite et de réadaptation au sein du
comité consultatif d’allocation des ressources de l’article R. 162-29 du code de la sécurité sociale placé auprès de
chaque agence régionale de santé et les conditions dans lesquelles cette section émet un avis sur l’allocation des
ressources à ces activités, d’autre part, fixe les critères d’inscription, de radiation et de prise en charge des
spécialités pharmaceutiques entrant dans le champ des activités de soins de suite et de réadaptation et, enfin,
modifie l’article R. 162-34-1 du code de la sécurité sociale définissant les prestations d’hospitalisation au sens de
l’article L. 162-23-1 du même code. La Fédération de l’Hospitalisation Privée – Soins de suite et de réadaptation
demande l’annulation pour excès de pouvoir de ce décret.
Sur la légalité externe :
En ce qui concerne la compétence :
2. En premier lieu, l’article L. 162-23-3 du code de la sécurité sociale, cité au point 1, prévoit que les modalités
selon lesquelles les établissements de santé mentionnés à l’article L. 162-22-6 de ce code exerçant une activité de
soins de suite et de réadaptation bénéficient d’une dotation forfaitaire sont définies par décret en Conseil d’Etat.
3. D’une part, contrairement à ce que soutient la fédération requérante, le Premier ministre, qui exerce le pouvoir
règlementaire en vertu de l’article 21 de la Constitution, avait compétence pour créer, au besoin, une section dédiée
aux activités de soins de suite et de réadaptation au sein du comité consultatif d’allocation des ressources, lequel est
placé auprès de chaque agence régionale de santé en vertu de l’article R. 162-29 de ce code, alors même que
l’article L. 162-23-3 ne le prévoit pas. Au demeurant, contrairement à ce que soutient la fédération requérante,
l’existence de cette section résulte, non de l’article R. 162-29-3 inséré au code de la sécurité sociale par
l’article 1er du décret attaqué, qui se borne à prévoir sa consultation et à en préciser la composition, mais du 3o de
l’article R. 162-29 du même code dans sa rédaction issue du décret du 25 février 2021 relatif à la réforme du
financement des structures des urgences et des structures mobiles d’urgence et de réanimation et portant diverses
dispositions relatives aux établissements de santé. Par suite, le moyen tiré de ce que le décret attaqué serait à ce titre
entaché d’incompétence ne peut qu’être écarté.
4. D’autre part, il résulte également de l’article 21 de la Constitution que le Premier ministre peut déléguer le
pouvoir règlementaire aux ministres, sans qu’il soit besoin qu’une disposition législative l’y autorise. Au 10o de son
article 1er, le décret attaqué modifie les dispositions réglementaires du code de la sécurité sociale pour définir,
comme il le devait en application de l’article L. 162-23-3 du code de la sécurité sociale, les modalités selon
lesquelles les établissements de santé concernés bénéficient d’une dotation forfaitaire, sous forme de trois types de
dotation et d’un forfait, dont il prévoit que le montant, arrêté de la façon qu’il précise, est, s’agissant de la
« dotation forfaitaire populationnelle », réparti entre établissements de santé de la région en tenant compte de
l’offre hospitalière existante, sur la base de critères fixés au niveau régional par le directeur général de l’agence
régionale de santé après avis de la section dédiée du comité consultatif d’allocation des ressources, notamment à
partir d’une liste de critères arrêtée par les ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale, et que les critères
régionaux ne prennent pas en compte les données d’activité. Par suite, la fédération requérante n’est pas fondée à
soutenir qu’en renvoyant à un arrêté des ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale le seul soin d’établir
une liste de critères dont les directeurs généraux des agences régionales de santé doivent notamment partir pour
déterminer les critères régionaux de cette répartition, le décret attaqué serait, faute qu’une disposition législative
l’autorise à opérer un tel renvoi, entaché d’incompétence ou qu’il procèderait à une délégation insuffisamment
encadrée de sa compétence à ces ministres.
En ce qui concerne les consultations préalables :
5. En premier lieu, il résulte des dispositions de l’article L. 162-23-1 du code de la sécurité sociale, citées au
point 1, que l’avis des organisations les plus représentatives des établissements de santé est notamment requis
lorsque le pouvoir réglementaire détermine les catégories de prestations d’hospitalisation sur la base desquelles les
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ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale arrêtent la classification des prestations donnant lieu à une
prise en charge par les régimes obligatoires de sécurité sociale.
6. Les dispositions du 2o de l’article 1er du décret attaqué se bornent à modifier les dispositions de
l’article R. 162-34-1 du code de la sécurité sociale, qui disposait déjà que constitue une catégorie de prestations
d’hospitalisation, au sens du 1o de l’article L. 162-23-1 de ce code, la prise en charge des frais occasionnés par les
séjours et soins, pour préciser, à son alinéa premier, en raison de la composition mixte du nouveau financement,
qu’il s’agit de la prise en charge d’une partie seulement de ces frais et pour modifier, à son deuxième alinéa, le
texte législatif de référence relatif aux tarifs nationaux. Ni ces dispositions, ni celles résultant du 3o de
l’article 1er du décret attaqué modifiant la rédaction de l’article R. 162-34-2 du code la sécurité sociale pour préciser
le mode de calcul des deux parts du financement mixte mentionné à l’article L. 162-23-3, ni aucune autre
disposition du décret attaqué ne déterminent, contrairement à ce que soutient la fédération requérante, de nouvelle
catégorie de prestations d’hospitalisation qui aurait imposé, en application des dispositions citées au point
précédent, que l’avis des organisations les plus représentatives des établissements de santé soit recueilli.
7. En deuxième lieu, aux termes du premier alinéa de l’article L. 200-3 du code de la sécurité sociale, dans sa
rédaction applicable au litige : « Le conseil ou les conseils d’administration (…) de l’Agence centrale des
organismes de sécurité sociale et la commission prévue à l’article L. 221-4 », c’est-à-dire la commission des
accidents du travail et des maladies professionnelles, « sont saisis, pour avis et dans le cadre de leurs compétences
respectives, de tout projet de mesure législative ou réglementaire ayant des incidences sur l’équilibre financier de
la branche ou entrant dans leur domaine de compétence et notamment des projets de loi de financement de la
sécurité sociale (…) ». Aux termes du premier alinéa de l’article L. 225-1 du même code : « L’Agence centrale des
organismes de sécurité sociale est chargée d’assurer la gestion commune de la trésorerie des différentes branches
gérées par la Caisse nationale des allocations familiales, par la Caisse nationale de l’assurance maladie, par la
Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie et par la caisse nationale d’assurance vieillesse (…) ».
L’article L. 225-1-1 du même code donne mission à cette agence d’assurer l’application homogène des lois et des
règlements relatifs aux cotisations et aux contributions de sécurité sociale et de coordonner les actions de contrôle
et de recouvrement de ces cotisations et son article L. 225-1-4 lui permet à titre exceptionnel de consentir des
avances d’une durée inférieure à un mois aux régimes obligatoires de base de la sécurité sociale. Enfin, en vertu du
2o de l’article L. 221-1 et de l’article L. 221-4 de ce code, la commission des accidents du travail et des maladies
professionnelles a pour mission de concourir à la détermination des recettes nécessaires au maintien de l’équilibre
de la branche accidents du travail et maladies professionnelles.
8. Aucune disposition du décret attaqué n’a d’incidence sur l’équilibre financier de la branche assurance maladie
ou n’affecte les domaines de compétence de l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale et de la
commission des accidents du travail et des maladies professionnelles. Par suite le moyen tiré de ce qu’il aurait été
pris au terme d’une procédure irrégulière, faute d’avoir été précédé de la consultation de cette agence et de cette
commission, doit être écarté.
9. En troisième lieu, aux termes de l’article L. 462-2 du code de commerce, l’Autorité de la concurrence « est
obligatoirement consultée par le Gouvernement sur tout projet de texte réglementaire instituant un régime nouveau
ayant directement pour effet : / 1o De soumettre l’exercice d’une profession ou l’accès à un marché à des
restrictions quantitatives ; / 2o D’établir des droits exclusifs dans certaines zones ; / 3o D’imposer des pratiques
uniformes en matière de prix ou de conditions de vente ».
10. Le décret attaqué, qui fait application de l’article L. 162-23-3 du code de la sécurité sociale prévoyant que les
activités de soins de suite et de rééducation bénéficient d’un financement mixte sous la forme de recettes issues
directement de l’activité et d’une dotation forfaitaire, ainsi que des dispositions transitoires prévues aux E et F du
III de l’article 78 de la loi du 21 décembre 2015 de financement de la sécurité sociale pour 2016, n’institue pas
lui-même un régime nouveau en précisant les modalités de ce financement, les conditions de versement des
dotations qui le composent, ainsi que les modalités d’entrée en vigueur de ces dispositions. Il n’institue pas plus un
régime nouveau impliquant l’un des effets prévus par l’article L. 462-2 du code de commerce en déterminant la
composition et le fonctionnement de la section du comité consultatif d’allocation des ressources chargée d’émettre
un avis sur les activités de soins de suite et de réadaptation déjà instituée par l’article R. 162-29 du code de la
sécurité sociale. Il suit de là que, contrairement à ce que soutient la fédération requérante, l’Autorité de la
concurrence n’avait pas à être consultée préalablement à l’édiction du décret attaqué.
Sur la légalité interne :
En ce qui concerne la conformité du décret attaqué à l’article L. 162-23-3 du code de la sécurité sociale, au
principe d’indépendance des législations, à la liberté du commerce et de l’industrie, à l’objectif de valeur
constitutionnelle de protection de la santé et au principe d’égalité :
11. En premier lieu, aux termes du II de l’article R. 162-29-3 du code de la sécurité sociale, dans sa rédaction
issue du 1o de l’article 1er du décret contesté, la section dédiée aux activités de soins de suite du comité consultatif
d’allocation des ressources « est constituée : / 1o De cinq à dix représentants des organisations nationales les plus
représentatives des établissements de santé publics et privés désignés par celles-ci. Le nombre de représentants est
arrêté par le directeur général de l’agence régionale de santé en tenant compte notamment du nombre
d’établissements et de la présence de ces organisations au sein de la région. La répartition entre les organisations
est déterminée en fonction de l’activité des établissements relevant de chacune d’entre elles au sein de la région.
Pour les organisations disposant de plus d’un représentant, l’un d’entre eux est un représentant de la communauté
médicale ; / 2o De deux représentants des associations d’usagers et de représentants des familles spécialisés dans le
domaine d’activité nommés par le directeur général de l’agence régionale de santé ».
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12. Ainsi qu’il a été dit au point 3, le comité consultatif d’allocation des ressources est placé auprès de chaque
agence régionale de santé en vertu de l’article R. 162-29 de ce code. S’agissant d’une commission administrative à
caractère consultatif placée auprès d’un établissement public administratif de l’Etat, il est régi par les dispositions
du chapitre III du titre III du livre Ier du code des relations entre le public et l’administration, dont l’article R. 133-2
dispose notamment que « Sauf lorsque son existence est prévue par la loi, une commission est créée par décret
pour une durée maximale de cinq ans ». Il résulte des termes mêmes des dispositions citées au point précédent que
le pouvoir règlementaire, auquel l’article R. 133-2 du code des relations entre le public et l’administration
n’imposait en tout état de cause pas la réalisation d’une étude préalable dès lors que, comme il a été dit, la création
de ce comité ne résulte pas du décret attaqué, a fixé les règles de composition de la section de ce comité dédiée aux
activités de soins de suite et de réadaptation de façon suffisamment claire et précise. Par suite, la fédération
requérante n’est pas fondée à soutenir que le pouvoir réglementaire aurait, faute notamment de préciser les
modalités de désignation ou la durée du mandat des représentants des associations d’usagers et des familles
spécialisés dans le domaine d’activité, ainsi que le nombre exact et la répartition des représentant des fédérations
hospitalière, délégué illégalement sa compétence aux directeurs généraux des agences régionales de santé ou
méconnu le principe d’égalité.
13. En deuxième lieu, il résulte des dispositions de l’article L. 162-23-3 du code de la sécurité sociale citées au
point 1 que le législateur a renvoyé au pouvoir règlementaire le soin de déterminer les modalités de calcul et de
versement aux établissements exerçant une activité de soins de suite et de réadaptation de la partie du financement
mixte qu’il a institué relative à la dotation forfaitaire visant à sécuriser de manière pluriannuelle le financement de
leurs activités. En application de cet article, les dispositions contestées du I de l’article R. 164-34-10 du code de la
sécurité sociale, telles qu’elles sont issues du 10o de l’article 1er du décret attaqué, définissent les modalités de
répartition, par les directeurs généraux des agences régionales de santé, de la dotation forfaitaire issue du « montant
populationnel ».
14. Ces dispositions, en prévoyant que la répartition entre établissements de santé de la région de la dotation
forfaitaire issue « du montant populationnel » est opérée « en tenant compte de l’offre hospitalière existante », ne
méconnaissent pas l’article L. 162-23-3 qui a pour objet, ainsi qu’il ressort des travaux préparatoires de la loi
du 21 décembre 2015, de réduire les inégalités de répartition de ressources entre les établissements exerçant une
activité de soins de suite et de réadaptation, assurer une meilleure prévisibilité de leurs recettes et garantir un égal
accès à ces soins sur l’ensemble du territoire. Il ne ressort pas des pièces du dossier qu’elle aurait nécessairement
pour effet, contrairement à ce qui est soutenu, de conduire à une diminution de la qualité de l’offre de soins de suite
et de réadaptation. Par suite, les moyens tirés de ce que le pouvoir réglementaire aurait, par ce critère, permis une
restructuration de l’offre de soins et de réadaptation contraire à l’article L. 162-23-3 du code de la sécurité sociale,
méconnu l’objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé, le principe d’indépendance des
législations, porté une atteinte illégale à la liberté du commerce et de l’industrie ou commis une erreur manifeste
d’appréciation ne peuvent qu’être écartés.
En ce qui concerne la conformité du décret attaqué au principe de non-rétroactivité des actes administratifs :
15. D’une part, en vertu de l’article L. 162-23-4 du code de la sécurité sociale, les tarifs nationaux des
prestations mentionnées au 1o de l’article L. 162-23-1, les coefficients géographiques s’appliquant à ces tarifs et le
coefficient mentionné au I de l’article L. 162-23-5, mentionnés aux 1o à 3o de cet article, qui sont arrêtés chaque
année par les ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale selon les modalités prévues au II de
l’article L. 162-23, prennent effet le 1er mars de l’année en cours. Selon le E du III de l’article 78 de la loi
du 21 décembre 2015 de financement de la sécurité sociale pour 2016, dans sa rédaction applicable à la date de
publication du décret attaqué, il est dérogé aux règles de financement fixées par les articles L. 162-23 à
L. 162-23-13 du code de la sécurité sociale, pour le financement des activités de soins de suite et de réadaptation,
au cours d’une période s’achevant le 31 décembre 2022. Il résulte de la combinaison de ces dispositions législatives
qu’elles imposaient que les éléments tarifaires mentionnés aux 1o et 3o de l’article L. 162-23-4, faisant l’objet de
l’article 1er du décret attaqué, prennent effet dès le 1er mars 2022 pour permettre l’application, à compter
du 1er janvier 2023, des nouvelles modalités de financement des établissements exerçant une activité de soins de
suite et de réadaptation.
16. D’autre part, le 2o du E du III de l’article 78 de la loi du 21 décembre 2015, dans sa rédaction en vigueur à la
date du décret attaqué, dispose également que, pour la période du 1er mars 2017 au 31 décembre 2022, les activités
de soins de suite et de réadaptation sont financées par deux montants cumulatifs, comprenant notamment « b) Un
montant correspondant, pour chaque établissement, à une fraction des recettes issues de l’application des
modalités de financement prévues au 1o de l’article L. 162-23-2 du code de la sécurité sociale. Ce montant peut
être affecté d’un coefficient de transition défini selon des modalités de calcul fixées par arrêté des ministres
chargés de la santé et de la sécurité sociale, qui peuvent être différentes en fonction des catégories
d’établissements mentionnés à l’article L. 162-22-6 du code de la sécurité sociale. / Pour chaque établissement
mentionné aux d et e de l’article L. 162-22-6 du même code, ce montant est minoré afin de neutraliser une fraction
du montant des honoraires facturés dans les conditions définies à l’article L. 162-1-7 dudit code par les
professionnels médicaux et auxiliaires médicaux exerçant à titre libéral au sein de ces établissements et précisées
par décret en Conseil d’Etat. Cette fraction est identique à celle mentionnée au premier alinéa du présent b ».
17. Si le décret attaqué a été publié au Journal officiel de la République française le 22 avril 2022, l’application
au 1er mars, d’une part, de certaines des dispositions de son article 1er relatives aux nouvelles modalités de
financement de l’activité de soins et de réadaptation et, d’autre part, des dispositions de son article 2 mettant en
œuvre les dispositions du E du III de l’article 78 mentionnées au point précédent, résulte, ainsi qu’il a été dit au
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point 16, de la loi elle-même. Le moyen tiré de ce que ce décret serait entaché d’une rétroactivité illégale ne peut,
dès lors, qu’être écarté.
En ce qui concerne les dispositions transitoires :
18. En premier lieu, aux termes du I de l’article 3 du décret attaqué : « A compter du 1er janvier 2023, les
établissements de santé perçoivent un acompte mensuel au titre de leurs activités de soins de suite et de
réadaptation jusqu’au mois suivant les notifications mentionnées à l’article R. 162-34-9 du code de la sécurité
sociale. Par dérogation, les établissements mentionnés aux d et e de l’article L. 162-22-6 du même code, qui en font
la demande au directeur général de l’agence régionale de santé, peuvent percevoir cet acompte mensuel jusqu’à la
reprise de la facturation à la caisse désignée en application de l’article L. 174-2 du même code. / Le montant de
l’acompte mensuel est établi à partir des recettes perçues par l’établissement en 2022 au titre de la part des frais
d’hospitalisation pris en charge par les régimes obligatoires d’assurance maladie et calculées en application des
modalités de financement prévues au 1o à 3o du E du III de l’article 78 de la loi du 21 décembre 2015 susvisé ».
19. Il résulte de ces dispositions, qui, contrairement à ce que soutient la fédération requérante, sont suffisamment
précises et détaillées, que les établissements privés exerçant une activité de soins de suite et de rééducation
perçoivent, pendant une durée qui n’est pas indéterminée mais prend fin le mois suivant la notification par le
directeur général de l’agence régionale de santé du montant des financement arrêtés ou, le cas échéant, à leur
demande, à la reprise de la facturation à la caisse dont ils dépendent, un acompte mensuel dont le montant est
calculé selon des modalités qu’elles définissent, en particulier à partir des données de facturation pour l’ensemble
des prestations réalisées au cours de l’année 2022. Par suite, la fédération requérante n’est pas fondée à soutenir
que le pouvoir règlementaire n’aurait pas exercé sa compétence dans des conditions permettant la mise en œuvre
du mécanisme d’acompte institué.
20. En deuxième lieu, aux termes du I et du II de l’article 4 du décret contesté : « Du 1er janvier 2023
au 31 décembre 2025, la dotation forfaitaire mentionnée au 2o de l’article R. 162-34-2 du code de la sécurité sociale
est déterminée pour chaque établissement dans les conditions prévues au II de l’article R. 162-34-4 et à
l’article R. 162-34-9 du même code peut être majorée ou minorée dans le respect du montant mentionné au 1o du I
de l’article R. 162-34-4 du même code. / Cette majoration ou cette minoration de la dotation forfaitaire sont
calculées, dans des conditions définies par arrêté des ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale pour
chaque région et pour chaque établissement afin de tenir compte des effets sur les recettes d’assurance maladie de
ces établissements des modalités de financement applicables à compter du 1er janvier 2023 par rapport à celles
antérieurement applicables. La majoration ou la minoration tendent progressivement vers zéro. / La minoration des
tarifs mentionnées au 1o du I de l’article L. 162-23-4 du code de la sécurité sociale prévue au H du III de l’article 78
de la loi du 21 décembre 2015 susvisé prend la forme d’un coefficient par établissement. / Ce coefficient est calculé
afin de déduire le montant des honoraires des professionnels et auxiliaires médicaux libéraux mentionnés à
l’article L. 162-14-1 du même code et des médecins choisissant le mode d’exercice salarié mentionnés à
l’article L. 162-26-1 du même code, des recettes mentionnées au 1o de l’article R. 162-34-2 du même code,
calculées en fonction des tarifs précités, associés aux séjours réalisés au cours de la dernière période de douze mois
consécutifs pour laquelle les données d’activité sont disponibles ».
21. Ces dispositions, qui déterminent les conditions dans lesquelles la dotation forfaitaire que perçoivent les
établissements exerçant une activité de soins de suite et de rééducation peut être minorée ou majorée par le
directeur général de l’agence régionale de santé chargé, en application de l’article R. 162-34-9 du code de la
sécurité sociale, d’arrêter pour chaque établissement le montant de cette dotation, ne sont ni équivoques ni
insuffisamment précises, alors, en outre, qu’elles renvoient à un arrêté les conditions de calcul de ces minorations et
majorations. La fédération requérante n’est par suite pas fondée à soutenir qu’elles seraient entachées d’illégalité
du fait de l’imprécision des critères présidant à la majoration ou à la minoration de la dotation pour chaque
établissement, du quantum maximum de ces majorations ou minorations et de l’autorité administrative compétente
pour y procéder.
22. En troisième lieu, aux termes du F du III de l’article 78 de la loi du 21 décembre 2015, dans sa rédaction
applicable à la date du décret attaqué : « Par dérogation à l’article L. 174-18 du code de la sécurité sociale,
du 1er mars 2017 au 31 décembre 2022, le montant forfaitaire prévu au b du 2o du E du présent III n’est pas facturé
par les établissements mentionnés aux d et e de l’article L. 162-22-6 du même code à la caisse désignée en
application de l’article L. 174-2 dudit code et, du 1er janvier 2023 au 28 février 2023, le montant lié aux recettes
directement issues de l’activité mentionnées à l’article L. 162-23-3 du même code n’est pas facturé par les
établissements mentionnés aux d et e de l’article L. 162-22-6 du même code à la caisse désignée en application de
l’article L. 174-2 du même code (…) ». Il résulte de ces dispositions qu’à compter du 1er janvier 2023, les
établissements mentionnés aux d et e de l’article L. 162-22-6 ne sont plus soumis aux modalités transitoires de
facturation.
23. Il résulte en outre des dispositions du I de l’article 3 du décret attaqué citées au point 18 que, pour la période
allant du 1er janvier 2023, correspondant à la date à laquelle les dispositions transitoires mentionnées au point
précédent ne sont plus applicables, jusqu’à la date correspondant, au choix de l’établissement pour ceux d’entre
eux mentionnés au point précédent, soit au mois suivant la notification par le directeur général de l’agence
régionale de santé du montant des financements arrêtés le concernant, soit à la reprise de la facturation par la caisse
dont il dépend, ces établissements perçoivent un acompte au titre de leurs activités de soins de suite et de
réadaptation.
24. La compensation, par un dispositif d’acomptes, pour une durée limitée dans les conditions rappelées au point
précédent, de la suspension, pour une durée elle-même limitée dans les conditions mentionnées au point 22, des
règles de facturation applicables aux activités des établissements mentionnés aux d et e de l’article L. 162-22-6 du
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code de la sécurité sociale, ne porte pas, contrairement à ce que la requérante soutient, et alors même que les
établissements ouvrant pendant la période de suspension de la facturation ne pourraient pas au cours de cette brève
période bénéficier de cette compensation, une atteinte disproportionnée à la liberté du commerce et de l’industrie.
En ce qui concerne le respect du principe de sécurité juridique :
25. D’une part, il ressort des pièces du dossier que les modalités de mise en œuvre des dispositions de
l’article L. 162-23-3 du code de la sécurité sociale, dans sa rédaction issue de l’article 34 de la loi
du 24 décembre 2019 de financement de la sécurité sociale pour 2020, ont donné lieu à une concertation préalable
avec les organisations représentatives des établissements de santé exerçant une activité de soins de suite et de
réadaptation et étaient connues avant même la publication du décret attaqué. D’autre part, comme il a été dit aux
points 19 et 21, les dispositions d’entrée en vigueur prévues par les articles 3 et 4 du décret contesté sont
suffisamment précises. Enfin, ces mêmes dispositions ont été prises sur le fondement de dispositions législatives
pour lesquels il a été jugé, par les deux décisions du 23 décembre 2022, visées ci-dessus, par lesquelles le Conseil
d’Etat, statuant au contentieux n’a pas renvoyé au Conseil constitutionnel la question de leur conformité à la
Constitution, qu’elles n’avaient pas remis en cause les effets qui pouvaient légitimement être attendus de situations
nées sous l’empire des dispositions auxquelles elles se sont substituées. Par suite, la fédération requérante n’est pas
fondée à soutenir que, faute d’offrir aux établissements de santé une prévisibilité suffisante sur les financements qui
leur seront applicables à compter de 2023, le décret méconnaîtrait le principe de sécurité juridique.
En ce qui concerne la conformité à l’objectif de valeur constitutionnelle d’accessibilité et d’intelligibilité de la
norme :
26. Comme le soutient à bon droit la fédération requérante, l’article R. 162-34-5 du code de la sécurité sociale,
dans sa rédaction issue du 7o de l’article 1er du décret attaqué, renvoie, pour les arrêtés annuels pris par les ministres
chargés de la santé et de la sécurité sociale, au 5o de l’article L. 162-23-4 de ce code, alors que ce 5o avait été
précédemment abrogé sans que le 6o de cet article ne lui soit substitué. En l’absence de doute sur la portée de ces
dispositions, qui font référence, par une erreur matérielle, au 5o et non au 6o de l’article L. 162-23-4 du code de la
sécurité sociale, il y a lieu pour le Conseil d’Etat, afin de donner le meilleur effet à sa décision, non pas d’annuler
les dispositions erronées de cet article, mais de leur conférer leur exacte portée et de prévoir que le texte ainsi
rétabli sera rendu opposable par des mesures de publicité appropriées, en rectifiant l’erreur matérielle commise et
en prévoyant la publication au Journal officiel d’un extrait de sa décision.
27. Il résulte de tout ce qui précède que la Fédération de l’Hospitalisation Privée – Soins de suite et de
réadaptation (FHP-SSR) n’est pas fondée à demander l’annulation du décret qu’elle attaque.
28. Les dispositions de l’article L. 761-1 du code de justice administrative font obstacle à ce qu’une somme soit
mise à ce titre à la charge de l’Etat qui n’est pas, dans la présente instance, la partie perdante.
Décide :
Art. 1 . – La requête de la Fédération de l’Hospitalisation Privée – Soins de suite et de réadaptation (FHP-
er
Conseil d’Etat
Avis no 471877 du 5 juillet 2023
NOR : CETX2318856V
2. Aux termes de l’article 261 D du code général des impôts : « Sont exonérées de la taxe sur la valeur ajoutée :
(…) / 4o Les locations occasionnelles, permanentes ou saisonnières de logements meublés ou garnis à usage
d’habitation. / Toutefois, l’exonération ne s’applique pas : / (…) b. Aux prestations de mise à disposition d’un local
meublé ou garni effectuées à titre onéreux et de manière habituelle, comportant en sus de l’hébergement au moins
trois des prestations suivantes, rendues dans des conditions similaires à celles proposées par les établissements
d’hébergement à caractère hôtelier exploités de manière professionnelle : le petit déjeuner, le nettoyage régulier
des locaux, la fourniture de linge de maison et la réception, même non personnalisée, de la clientèle. (…) ».
3. Ces dispositions ont pour effet d’inclure dans le champ de l’exonération toute mise à disposition d’un local
meublé qui n’est pas assortie de l’offre, par l’exploitant, d’au moins trois des quatre services que constituent la
fourniture du petit-déjeuner, le nettoyage régulier des locaux, la fourniture du linge de maison et la réception de la
clientèle. Elles sont ainsi susceptibles d’entraîner l’exonération de locations de logements meublés au seul motif
que deux de ces prestations accessoires ne sont pas offertes à la clientèle dans des conditions similaires à celles
proposées par les établissements hôteliers, alors que le cumul de trois de ces quatre prestations n’apparaît pas
systématiquement indispensable pour que de telles locations puissent, selon le contexte dans lequel elles sont
proposées, être regardées comme se trouvant en concurrence avec le secteur hôtelier.
4. Par suite, il y a lieu de répondre aux questions posées que le b du 4o de l’article 261 D du code général des
impôts est incompatible avec les objectifs de l’article 135 de la directive du 28 novembre 2006 en tant qu’il
subordonne la soumission à la taxe sur la valeur ajoutée des activités de mise à disposition d’un local meublé ou
garni à la condition que soient proposées au moins trois des quatre prestations accessoires qu’il énumère, dans des
conditions similaires à celles proposées par les établissements hôteliers. En revanche, ces dispositions demeurent
compatibles avec les objectifs dudit article en tant qu’elles excluent de l’exonération de taxe sur la valeur ajoutée
qu’elles prévoient les activités se trouvant dans une situation de concurrence potentielle avec les entreprises
hôtelières. Il appartient à l’administration, sous le contrôle du juge de l’impôt, d’apprécier au cas par cas si un
établissement proposant une location de logements meublés, eu égard aux conditions dans lesquelles cette
prestation est offerte, notamment la durée minimale du séjour et les prestations fournies en sus de l’hébergement,
se trouve en situation de concurrence potentielle avec les entreprises hôtelières.
5. Le présent avis sera notifié à la cour administrative d’appel de Douai, à M. H… et au ministre de l’économie,
des finances et de la souveraineté industrielle et numérique.
Il sera publié au Journal officiel de la République française.
Délibéré à l’issue de la séance du 21 juin 2023 où siégeaient : Mme Christine Maugüé, présidente adjointe de la
section du contentieux, présidant ; M. Pierre Collin, M. Stéphane Verclytte, présidents de chambre ; M. Jonathan
Bosredon, M. Hervé Cassagnabère, M. Christian Fournier, M. Frédéric Gueudar Delahaye, Mme Françoise Tomé,
conseillers d’Etat et Mme Alianore Descours, maître des requêtes en service extraordinaire-rapporteure.
Rendu le 5 juillet 2023.
La présidente,
C. MAUGÜÉ
La rapporteure,
A. DESCOURS
La secrétaire,
M. MÉAULLE
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 150
Conseil d’Etat
Avis no 471401 du 7 juillet 2023
NOR : CETX2319336V
Décide :
Art. 1 . – L’annexe de la décision no 2022-NA-18 du 7 mars 2022 susvisée est remplacée par l’annexe
er
suivante :
« ANNEXE (*)
Nom du service : Latitude.
Zone géographique mise en appel : SAINT-DIZIER.
Fréquence : 106,5 MHz.
Adresse du site : immeuble Armor, rue Darius-Milhaud, Saint-Dizier (52).
Altitude du site (NGF) : 180 mètres.
Hauteur d’antenne : 60 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 200 W.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 150
0 3 90 7 180 1 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale. »
Art. 2. – La présente décision sera notifiée à l’Association RLCOM et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Nancy, le 12 juin 2023.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel de Nancy :
Le président,
S. DAVESNE
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 150
NOR : RCAR2319029S
Décide :
Art. 1er. – L’association Ile de Ré Communication est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe,
conformément à la convention conclue avec le comité territorial de Bordeaux et dans le respect des conditions
fixées à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio temporaire par voie
hertzienne terrestre dénommé Radio Ile de Ré en modulation de fréquence.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée à compter du 1er juillet 2023 et jusqu’au 30 septembre 2023.
L’ARCOM pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté un
mois après la date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 minutes).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe de la présente autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le comité territorial de l’audiovisuel de
Bordeaux.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’association Ile de Ré Communication et publiée au Journal
officiel de la République française.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 150
ANNEXE (*)
Site : Port de La Rochelle - Pallice, quai Modéré-Lombard, 17000 La Rochelle.
Puissance : 200 watts.
Fréquence : 107.8 MHz.
Porteuse RDS : F3D5.
Code PS : ILEDERE.
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 150
la dénomination sociale du titulaire « IDFM Radio Enghien Fréquence Ile-de-France » est remplacée par : « IDFM
Radio ».
Art. 2. – La présente décision sera notifiée à l’association IDFM Radio et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 14 juin 2023.
Pour le comité territorial
de l’audiovisuel de Paris :
La présidente,
J. GRAND D’ESNON
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 150
service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Fusion FM est à nouveau
reconduite pour une durée de cinq ans, à compter du 21 février 2024.
Art. 2. – L’association Besbre et Loire FM est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe,
conformément à la convention et à l’annexe de la présente décision.
Art. 3. – I. – Sur demande expresse de l’ARCOM, le titulaire de la présente autorisation est tenu de lui
communiquer dans un délai d’un mois après la réception de la demande les informations suivantes, dont il atteste
l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du dépassement de 75 kHz sur une
durée minimale de 15 min).
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’association Besbre et Loire FM et publiée au Journal officiel de
la République française.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 106 sur 150
ANNEXE (*)
Nom du service : Fusion FM.
Zone géographique mise en appel : Thiers.
Fréquence : 95,9 MHz.
Adresse du site : lieudit Pont Bas, Les Bergerettes, Thiers (63).
Altitude du site (NGF) : 535 mètres.
Hauteur d’antenne : 20 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 400 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 3 90 6 180 1 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 107 sur 150
convention et à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de sonorisation de cinéma
« drive-in » en modulation de fréquence le 14 juillet 2023.
Art. 2. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 minutes).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe de la présente autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 3. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 4. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 5. – La présente décision sera notifiée à la SARL OC Ciné et publiée au Journal officiel de la République
française.
Fait à Paris, le 12 juillet 2023.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE (*)
Site : Parc Val Joly, 59132 Eppe-Sauvage.
Puissance : 1 Watt.
Fréquence : 104,9 MHz.
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 108 sur 150
Par délibération en date du jeudi 11 mai 2023, le comité territorial de l’audiovisuel de Poitiers a décidé, en
application de l’article 28-3 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication,
d’autoriser l’association Familles rurales de Montoire-sur-le-Loir à diffuser un service de radio par voie hertzienne
terrestre dénommé EXPLO’RADIO 41, pour la période du 24 au 28 juillet 2023.
Site : 21, rue Marescot, 41800 Montoire-sur-le-Loir.
Puissance : 100 W.
Fréquence : 102,5 MHz.
Fait à Poitiers, le 11 mai 2023.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
de Poitiers :
Le président,
D. LEMOINE
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 109 sur 150
Par délibération en date du 22 mai 2023, le comité territorial de l’audiovisuel de Rennes sur le fondement de
l’article 29-3 de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, a décidé
de modifier l’annexe de la délibération relative à l’attribution des codes RDS du 4 mars 2008 avec les paramètres
définis à l’annexe 1.
« ANNEXE 1
« MODIFICATION DE LA LISTE DES PARAMÈTRES RDS AUTORISÉS
CODE PI
NOM DU SERVICE (Identification RADICAL DU CODE PS Territoire concerné ou
du programme) (Nom du programme) radio spécifique
».
Fait à Rennes, le 22 mai 2023.
Pour le comité territorial
de l’audiovisuel de Rennes :
Le président,
E. KOLBERT
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 110 sur 150
Par décisions de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques en date
du 19 juin 2023 :
– l’ASSOCIATION DE FINANCEMENT DE PARIS EN GRAND inscrite au registre national des associations
sous la référence W751269711, dont le siège social est situé : 159 avenue Daumesnil 75012 Paris est agréée
en qualité d’association de financement du parti politique « PARIS EN GRAND » inscrit au registre national
des associations sous la référence W751269524 pour exercer ses activités à l’intérieur du territoire ainsi
désigné : « national » ;
– l’ASSOCIATION DE FINANCEMENT DU PARTI POLITIQUE LA RÉPUBLIQUE EN COMMUN
inscrite au registre national des associations sous la référence W611006265, dont le siège social est situé :
17, rue Saint Gabriel, 31400 Toulouse est agréée en qualité d’association de financement du parti politique
« LA RÉPUBLIQUE EN COMMUN » inscrit au registre national des associations sous la référence
W611006258 pour exercer ses activités à l’intérieur du territoire ainsi désigné : « national » ;
– l’ASSOCIATION DE FINANCEMENT DE NORMANDIE FRANCE IDENTITÉ inscrite au registre
national des associations sous la référence W611006265, dont le siège social est situé : Le Bourg,
61170 Ventes-de-Bourse est agréée en qualité d’association de financement du parti politique
« NORMANDIE FRANCE IDENTITÉ » inscrit au registre national des associations sous la référence
W611006258 pour exercer ses activités à l’intérieur du territoire ainsi désigné : « territoire national ».
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 111 sur 150
Par décision de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques en date
du 3 juillet 2023 :
– l’« ASSOCIATION DE FINANCEMENT D’ARCHIPEL CITOYEN » inscrite au registre national des
associations sous la référence W313037698, dont le siège social est situé : 28, rue des 36-Ponts,
31400 Toulouse est agréée en qualité d’association de financement du parti politique « ARCHIPEL
CITOYEN » inscrit au registre national des associations sous la référence W313037853 pour exercer ses
activités à l’intérieur du territoire ainsi désigné : « territoire de la région Occitanie ».
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 112 sur 150
à des fins commerciales), ces outils doivent être développés dans le respect d’une approche de protection des
données dès la conception et par défaut, consacrée par le règlement général sur la protection des données (RGPD).
Il doit enfin être souligné que l’usage de dispositifs de contrôle devra être adapté à l’âge du mineur : la CNIL
souligne que l’usage de fonctionnalités trop intrusives au regard de l’âge d’un adolescent peut conduire à une
surveillance disproportionnée du mineur, tant par les tiers que par les parents, qui nuirait à la relation de confiance
entre les enfants et leurs parents, risquerait d’entraver leur processus d’autonomisation et de les accoutumer à une
surveillance constante.
Emet l’avis suivant sur le projet de décret :
Sur les fonctionnalités et caractéristiques techniques minimales des dispositifs de contrôle parental intégrées
au terminal :
Le projet d’article R. 20-29-10-1 du CPCE prévoit deux fonctionnalités minimales pour les dispositifs de
contrôle parental :
– la possibilité de bloquer le téléchargement de contenus mis à disposition par des boutiques d’applications
logicielles dont l’accès est interdit aux mineurs en vertu d’une disposition légale, soit par la signalétique qui
lui est apposée (par exemple « PEGI 18) », soit par la désignation dans une liste publiée par l’éditeur
(conformément à la loi no 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique) ;
– la possibilité de bloquer l’accès aux contenus préinstallés dont l’accès est interdit aux mineurs, selon les
mêmes conditions (par exemple, certaines applications de réseaux sociaux peuvent être préinstallées sur les
ordiphones).
Ainsi, le projet de décret ne prévoit aucune fonctionnalité de contrôle parental obligatoire pour ce qui concerne
la navigation sur internet. En outre, le projet de décret prévoit que ces fonctionnalités minimales ne sont
obligatoires que « sous réserve de faisabilité technique ». Il prévoit par ailleurs, au III de l’article 4, la possibilité
d’intégrer d’autres fonctionnalités au dispositif de contrôle parental.
Sur le périmètre des fonctionnalités minimales :
En premier lieu, il ressort des échanges avec le ministère que les termes « sous réserve de faisabilité
technique » visent à limiter la responsabilité des fabricants de terminaux dans les cas où les fonctionnalités
minimales n’atteindraient pas leurs objectifs malgré la mise en œuvre d’un dispositif technique fonctionnel. Il
s’agit, selon le ministère, notamment des cas dans lesquels une application serait mal classifiée par un éditeur et/ou
par le fournisseur de boutique d’application logicielle.
Selon la CNIL, la rédaction actuelle du projet ne traduit pas suffisamment l’intention du ministère, et peut laisser
penser que les éditeurs ou fournisseurs pourraient être libérés de l’obligation de proposer un système de contrôle
parental minimal en cas de difficulté technique.
Le critère de « faisabilité technique » est laissé à l’appréciation des fabricants de terminaux, ce qui risque de
nuire, d’une part, à la sécurité juridique nécessaire à la compréhension des obligations qui pèsent sur les acteurs
concernés et, d’autre part, aux objectifs poursuivis par le législateur, en limitant l’effectivité de l’obligation prévue
par la loi.
La CNIL estime indispensable de modifier le projet de texte afin de prévoir une formulation plus
adéquate. La CNIL demande également d’harmoniser les règles de classification des contenus, afin de réduire les
risques de divergences selon les différents éditeurs de contenus en ligne, d’applications, ainsi que de boutiques
d’applications.
En second lieu, la CNIL recommande d’insérer d’autres fonctionnalités minimales qui pourraient être
activées selon le degré de maturité des mineurs concernés.
Elle suggère de prévoir que les terminaux devront obligatoirement offrir la possibilité d’établir des « listes
blanches » permettant aux enfants les plus jeunes de ne consulter que les sites web et applications autorisés
préalablement, et de bloquer tous les autres sites ou applications.
Pour les mineurs les plus âgés, à l’inverse, devrait être prévue la possibilité d’établir des « listes noires » –
notamment des listes préétablies et ajustables par les titulaires de l’autorité parentale – visant à bloquer les sites
considérés comme nuisant à l’épanouissement physique, mental ou moral des mineurs, tels que les sites à caractère
pornographique.
La constitution de listes est pourtant largement répandue dans les dispositifs de contrôle parental existants, et ce
depuis très longtemps. Ces fonctionnalités permettraient une protection nettement plus complète et efficace des
mineurs en tenant compte du fait que les applications ne sont pas le seul moyen d’accéder à des contenus.
L’activation de telles fonctionnalités peut par ailleurs être faite localement, sur le terminal de l’utilisateur, sans
remontée de données à caractère personnel vers des serveurs distants.
La CNIL appelle à une harmonisation des listes noires proposées par défaut dans les dispositifs de contrôle
parental afin d’éviter toute distorsion de protection selon le type de dispositif implémenté.
Sur les modalités d’activation des fonctionnalités minimales :
Le projet de décret n’impose pas aux fabricants de terminaux de s’assurer de la possibilité pour les utilisateurs de
choisir quelles fonctionnalités, parmi les fonctionnalités minimales mentionnées, ils souhaitent activer.
La CNIL recommande de préciser le projet de décret afin d’imposer aux fabricants de terminaux de
permettre aux utilisateurs une finesse dans l’activation des fonctionnalités minimales. La possibilité de faire
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 112 sur 150
un choix entre ces différentes fonctionnalités permettra aux utilisateurs de conserver une pleine maîtrise dans la
mise en œuvre du dispositif de contrôle parental.
Sur les garanties applicables en matière de protection des données :
Le II du projet d’article R. 20-29-10-1 du CPCE prévoit que les fonctionnalités minimales de contrôle parental
sont mises en œuvre localement : aucune donnée à caractère personnel de l’utilisateur mineur ne doit pouvoir être
collectée à distance, y compris par la création d’un compte utilisateur sur un serveur.
En premier lieu, selon le ministère, les dispositions des 2e et 3e alinéas du II du projet d’article R. 20-29-10-1
visent à décrire deux modalités d’activation des fonctionnalités minimales de contrôle parental :
– soit en renseignant l’âge de l’enfant ou de chaque enfant dans le terminal, sans qu’aucune donnée à caractère
personnel ne soit collectée à distance et sans requérir la création d’un compte utilisateur sur un serveur
distant ;
– soit sans renseigner l’âge du mineur, ce qui permet qu’aucune donnée personnelle relative au mineur ne soit
traitée par le logiciel de contrôle parental, y compris localement.
Dans le premier cas, le dispositif de contrôle parental adaptera le blocage du téléchargement et de l’accès aux
contenus à l’âge du mineur, tandis que dans le second cas, le blocage portera par défaut sur les contenus interdits
aux moins de dix-huit ans.
La CNIL estime que la rédaction actuelle du II est ambiguë, en ce qu’elle ne permet pas de comprendre que les
deux modalités décrites sont alternatives, et non cumulatives. Ensuite, le troisième alinéa prévoit une modalité
n’impliquant pas le traitement de données à caractère personnel du mineur. La CNIL invite le ministère à préciser
que la mise en œuvre des fonctionnalités sur ce fondement n’entraîne pas de traitement de données, y compris en
local.
En deuxième lieu, la CNIL relève que le projet de décret prévoit deux dérogations au respect de ces principes de
non-traitement des données personnelles des mineurs ou seulement en local : l’accord exprès de l’utilisateur majeur
et l’impossibilité technique de s’abstenir de traiter les données à caractère personnel de l’utilisateur mineur. La
CNIL s’interroge sur la nécessité de prévoir ces deux dérogations.
En effet, s’agissant de l’impossibilité technique, la CNIL constate que certains dispositifs de contrôle parental
déjà présents sur le marché intègrent les fonctionnalités minimales prévues au projet d’article R. 20-29-10-1 du
CPCE, sans qu’une création de compte ou même un accès à internet soit nécessaire. Il en va de même pour celles
que la CNIL recommande d’ajouter au titre des fonctionnalités minimales (constitution de listes noires ou blanches
en fonction du degré de maturité du mineur). Il apparaît donc techniquement possible de configurer des dispositifs
de contrôle parental qui, par défaut, fonctionnent sans entraîner de remontée de données à caractère personnel vers
des serveurs ou sans qu’il soit nécessaire de créer un compte sur un serveur. Une telle configuration est distincte
des opérations d’authentification ou de création de comptes utilisateurs pouvant être requises afin d’utiliser le
terminal et qui peuvent nécessiter une liaison avec un serveur distant.
La configuration des dispositifs de contrôle parental uniquement en local, qui est plus conforme aux principes de
protection de la vie privée, garantit la robustesse de ces dispositifs en limitant les risques de violation de données.
En effet, le fonctionnement sans connexion au réseau internet permet d’éviter diverses sortes d’attaques
informatiques liées à la connexion à un réseau.
En outre, un fonctionnement en local garantit que le dispositif de contrôle parental fonctionnera en continu, y
compris hors connexion internet : il est donc plus conforme à l’objectif de protection des mineurs.
Le ministère n’a pas fait état, à ce stade, de cas d’usage précis qui justifieraient la nécessité d’aménager une telle
exception.
Par conséquent, la CNIL considère que l’exception relative à l’impossibilité technique n’apparaît pas
justifiée concernant les fonctionnalités minimales. Elle invite donc le ministère à supprimer cette disposition au
II du projet d’article R. 20-29-10-1 du CPCE.
En troisième lieu, la CNIL s’interroge sur l’autre dérogation liée à l’accord exprès de l’utilisateur majeur.
Selon le ministère, cet accord permet de concevoir des contrôles parentaux exploitant des possibilités de gestion
des paramètres des fonctionnalités minimales plus avancées que celles disponibles localement (par exemple, la
gestion d’alertes ou de signalement aux parents, la possibilité de changer la configuration du contrôle parental
depuis un compte adulte sans passer par l’appareil de l’enfant).
La CNIL considère donc que les possibilités évoquées par le ministère ne relèvent pas strictement de
l’activation des fonctionnalités minimales telles qu’elles sont prévues au projet d’article R. 20-29-10-1 du
CPCE. De fait, elles constituent des modalités optionnelles de gestion de ces fonctionnalités.
Elle invite le ministère à supprimer cette exception du II de cet article. De telles fonctionnalités avancées,
conditionnées à l’accord exprès du titulaire de l’autorité parentale, pourraient toutefois être intégrées au terminal
sur une base volontaire.
Enfin, la CNIL regrette l’absence de garanties s’agissant des données à caractère personnel des
utilisateurs majeurs susceptibles de mettre en œuvre les dispositifs de contrôle parental. Dès lors que les
fonctionnalités minimales peuvent être mises en œuvre localement, sans remontée de données vers des serveurs
distants et sans création de compte sur un serveur, elle considère que les données des utilisateurs majeurs
devraient faire l’objet de garanties similaires à celles des utilisateurs mineurs. Elle invite le ministère à
compléter le projet de décret en ce sens.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 112 sur 150
Sur les fonctionnalités et caractéristiques techniques des dispositifs de contrôle parental intégrés au
terminal de manière volontaire par les fabricants :
Le III du projet d’article R. 20-29-10-1 du CPCE prévoit que les fonctionnalités optionnelles proposées à
l’utilisateur majeur doivent être mises en œuvre sans entraîner de traitement de données à caractère personnel de
l’utilisateur mineur, y compris localement, sur son équipement terminal. Le projet de décret prévoit une dérogation
à ce principe en cas d’accord exprès de l’utilisateur majeur ou lorsque cela est techniquement impossible.
En premier lieu, la CNIL invite le ministère à modifier le projet de décret afin de faire référence au titulaire de
l’autorité parentale à l’égard du mineur concerné en lieu et place de l’utilisateur majeur.
Il semble qu’un tel accord ne vise pas le consentement au sens de l’article 6.1.a du RGPD, mais la conclusion
d’un contrat permettant à l’utilisateur majeur d’accéder au contrôle parental. A cet égard, cet accord ne préjuge pas
de la base légale du traitement de données au sens de l’article 6 du RGPD. La CNIL rappelle par ailleurs que seules
les données strictement nécessaires à la finalité poursuivie pourront être collectées.
En second lieu, le projet de décret étend l’interdiction relative au traitement des données à caractère personnel
de l’utilisateur mineur à des fins commerciales initialement prévue s’agissant des données qui pourraient être
collectées dans le cadre des fonctionnalités minimales, à celles pouvant être collectées dans le cadre des
fonctionnalités optionnelles. La CNIL accueille favorablement cette interdiction.
Sur l’information des utilisateurs concernant le dispositif de contrôle parental et la documentation
technique :
Le projet d’article R. 20-29-10-3 du CPCE prévoit que la documentation technique devant être établie par le
fabricant de terminaux doit notamment comporter la notice d’utilisation et les instructions permettant l’activation,
l’utilisation, la mise à jour et, le cas échéant, la désactivation du dispositif.
Le projet d’article R. 20-29-10-8 du CPCE prévoit, par ailleurs, que le fabricant de terminaux met à disposition
des utilisateurs, des informations portant notamment sur les caractéristiques essentielles et fonctionnalités
techniques proposées par le dispositif de contrôle parental installé sur leur équipement, ainsi qu’une notice
explicative de sa configuration et de son fonctionnement.
La CNIL souligne l’importance de mettre à disposition de l’utilisateur une information simple et
pédagogique. Cette information devra notamment expliquer clairement les modalités d’activation, de
désactivation et, lorsque cela est possible, de désinstallation du dispositif. Cela permettra de s’assurer que les
personnes concernées disposent de toutes les informations leur permettant de maîtriser pleinement les outils de
contrôle parental.
Par ailleurs, l’utilisation des termes « le cas échéant » au 3o du projet d’article R. 20-29-10 du CPCE, concernant
la désactivation du dispositif, n’apparaît pas dans la mesure où un dispositif de contrôle parental doit
systématiquement être désactivable. Par conséquent, la CNIL invite le ministère à supprimer ces termes.
Sur les compétences de l’agence nationale des fréquences (ANFR) :
Le projet de décret élargit les pouvoirs de l’ANFR afin qu’elle vérifie que les terminaux mis sur le marché
respectent les exigences prévues au projet d’article R. 20-29-10-1 du CPCE. Plus précisément, le IV du projet
d’article R. 20-29-10-4 du CPCE prévoit que l’ANFR peut vérifier auprès des fabricants de terminaux les
déclarations de conformité. Lorsque l’ANFR identifie un risque de non-conformité aux spécifications techniques
prévues au projet d’article R. 20-29-10-1 du CPCE, elle peut mettre en demeure l’opérateur économique concerné
de remédier à cette situation.
Ces dispositions pouvant porter sur la protection des données à caractère personnel, la CNIL rappelle que les
pouvoirs conférés à l’ANFR s’exercent sans préjudice de ses compétences concernant le contrôle et les sanctions
en lien avec la conformité de tels traitements de données au RGPD et à la loi du 6 janvier 1978 modifiée. La CNIL
rappelle la possibilité pour l’ANFR de la consulter pour toute question en lien avec la protection des données à
caractère personnel.
Les autres dispositions du projet de décret n’appellent pas d’observations.
La présidente,
M.-L. DENIS
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 113 sur 150
par les FAI pour l’accès à internet depuis un terminal mobile (téléphone et tablette en particulier) seront largement
redondants avec les dispositifs que les fabricants de ces terminaux devront mettre en place. Cette protection
pourrait être en tout état de cause pertinente pour tous les terminaux déjà en circulation et il appartient au projet de
décret de préciser l’articulation des deux dispositifs, fournis par le FAI et les fabricants, pour les nouveaux
terminaux. Le projet de décret devrait également décrire les fonctionnalités minimales offertes aux représentants
légaux des mineurs pour paramétrer le contrôle parental (listes noires, listes blanches, téléchargements interdits…).
Il devrait enfin déterminer des garanties spécifiques en matière de protection des données personnelles des
utilisateurs de l’accès à internet, en privilégiant un traitement local chaque fois que cela est possible.
En tout état de cause ces dispositions doivent contenir des garanties en matière de protection des données à
caractère personnel, sur lesquelles le législateur a souhaité qu’elle porte un avis.
A ce titre, les moyens techniques et les fonctionnalités doivent être mis en place dans le respect des principes de
protection des données par conception et par défaut, c’est-à-dire, sans remontée de données à caractère personnel
vers des serveurs, sauf à recueillir l’accord exprès d’un titulaire de l’autorité parentale.
La présidente,
M.-L. DENIS
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 114 sur 150
Par arrêté du président du Centre national de la fonction publique territoriale en date du 11 juillet 2023, les
candidats dont les noms suivent, admis au concours interne et à l’examen professionnel de colonel de
sapeurs-pompiers professionnels au titre de l’année 2022, sont inscrits par ordre alphabétique sur la liste d’aptitude
correspondante :
M. BERREZ Stéphane ;
M. BETINELLI Christophe ;
M. CLERC Patrick ;
M. DI GIROLAMO Christophe ;
M. GRANDCOLAS Pierre-Marie ;
M. HUSSER Sébastien ;
M. JOUASSARD Alexandre ;
M. LEBOUCHARD Patrick ;
Mme LEFORT Blandine ;
M. MALFAIT Mathieu ;
M. MERCIER David ;
M. NICOLAS Yann ;
M. POMERET Rémi ;
M. RASTOUIL Alain ;
Mme RICHARD Cécile ;
M. ROUX Sébastien ;
M. SABOT Michael ;
M. SIEBERT Pierre ;
M. STEFIC Wilfried ;
M. VIRIGLIO Gilles ;
M. WIBLE Martin.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 115 sur 150
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session extraordinaire de 2022-2023
ORDRE DU JOUR
NOR : INPA2319689X
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session extraordinaire de 2022-2023
NOR : INPA2319696X
1. Composition
Modifications à la composition des commissions
DÉMISSIONS
M. Philippe Juvin
Affaires économiques
M. Jean-Paul Mattei
M. Pieyre-Alexandre Anglade
Affaires étrangères
M. Louis Boyard
M. Jean-Luc Bourgeaux
M. Sébastien Delogu
M. Vincent Ledoux
Lois
M. Nicolas Sansu
NOMINATIONS
DÉMISSION
NOMINATION
M. Xavier Batut
BUREAU
Dans sa séance du mercredi 12 juillet 2023, la mission d’information de la Conférence des présidents a nommé son bureau ainsi composé :
M. Pierre Morel-À-L’Huissier
M. Éric Pauget
M. Philippe Berta
M. Benoît Bordat
M. Julien Rancoule
2. Réunions
Jeudi 13 juillet 2023
Commission d’enquête sur les pesticides :
A 9 heures (Salle Lamartine – 101, rue de l’Université, 1er sous-sol) :
Table ronde sur l’histoire des politiques publiques en matière de pesticides en France et en Europe réunissant :
– M. Jean-Noël Jouzel, sociologue (en visioconférence) ;
– M. Hervé Durand, délégué ministériel pour les alternatives aux produits phytopharmaceutiques dans les
filières végétales, Conseil Général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER),
ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire ;
– audition de M. Stéphane Pesce, directeur de recherche, animateur de l’équipe écotoxicologie microbienne
aquatique (EMA) à l’INRAE, sur les conclusions de l’expertise collective INRAE/Ifremer de 2022 sur
l’impact des pesticides sur la biodiversité et les services écosystémiques.
Présents. - Mme Emmanuelle Anthoine, M. Rodrigo Arenas, Mme Bénédicte Auzanot, Mme Géraldine Bannier,
M. Quentin Bataillon, Mme Béatrice Bellamy, M. Philippe Berta, M. Bruno Bilde, M. Idir Boumertit,
Mme Soumya Bourouaha, Mme Anne Brugnera, Mme Céline Calvez, Mme Agnès Carel, M. Roger Chudeau,
Mme Fabienne Colboc, M. Laurent Croizier, Mme Béatrice Descamps, M. Francis Dubois, M. Philippe Fait,
Mme Estelle Folest, M. Jean-Jacques Gaultier, Mme Annie Genevard, M. Frantz Gumbs, Mme Fatiha Keloua
Hachi, M. Fabrice Le Vigoureux, M. Jérôme Legavre, M. Christophe Marion, Mme Graziella Melchior,
Mme Sophie Mette, Mme Frédérique Meunier, M. Julien Odoul, Mme Francesca Pasquini, M. Jérémie Patrier-
Leitus, Mme Isabelle Périgault, M. Stéphane Peu, Mme Béatrice Piron, Mme Lisette Pollet, M. Alexandre Portier,
Mme Isabelle Rauch, Mme Cécile Rilhac, Mme Marie-Pierre Rixain, M. Bertrand Sorre, M. Léo Walter
Excusés. - Mme Aurore Bergé, M. Raphaël Gérard, M. Stéphane Lenormand, M. Frédéric Maillot, M. Boris
Vallaud, M. Paul Vannier
Commission des affaires culturelles et de l’éducation :
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 10 h 05 :
Présents. - Mme Emmanuelle Anthoine, Mme Bénédicte Auzanot, Mme Géraldine Bannier, M. Belkhir
Belhaddad, Mme Béatrice Bellamy, M. Bruno Bilde, M. Idir Boumertit, Mme Soumya Bourouaha, Mme Céline
Calvez, Mme Agnès Carel, M. Roger Chudeau, Mme Fabienne Colboc, M. Francis Dubois, M. Inaki Echaniz,
M. Laurent Esquenet-Goxes, Mme Estelle Folest, M. Jean-Jacques Gaultier, Mme Annie Genevard, M. Frantz
Gumbs, M. Fabrice Le Vigoureux, M. Jérôme Legavre, M. Christophe Marion, Mme Graziella Melchior,
Mme Frédérique Meunier, M. Maxime Minot, M. Julien Odoul, Mme Caroline Parmentier, M. Jérémie Patrier-
Leitus, M. Emmanuel Pellerin, Mme Isabelle Périgault, Mme Lisette Pollet, M. Alexandre Portier, Mme Isabelle
Rauch, M. Jean-Claude Raux, Mme Cécile Rilhac, M. Bertrand Sorre, Mme Violette Spillebout, M. Léo Walter
Excusés. - M. Quentin Bataillon, Mme Aurore Bergé, M. Hendrik Davi, M. Raphaël Gérard, M. Stéphane
Lenormand, M. Frédéric Maillot, Mme Béatrice Piron, M. Boris Vallaud, M. Paul Vannier
Assistait également à la réunion. - M. Pierre Cordier
Commission des affaires économiques :
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 9 h 30 :
Présents. - M. Xavier Albertini, M. Laurent Alexandre, M. Antoine Armand, Mme Anne-Laure Babault,
Mme Marie-Noëlle Battistel, M. Thierry Benoit, M. Bertrand Bouyx, Mme Maud Bregeon, Mme Françoise Buffet,
M. André Chassaigne, Mme Sophia Chikirou, M. Romain Daubié, M. Frédéric Descrozaille, M. Julien Dive,
Mme Virginie Duby-Muller, Mme Christine Engrand, M. Grégoire de Fournas, M. Charles Fournier, M. Éric
Girardin, Mme Géraldine Grangier, Mme Mathilde Hignet, M. Alexis Izard, M. Guillaume Kasbarian, M. Maxime
Laisney, M. Luc Lamirault, Mme Hélène Laporte, M. Pascal Lavergne, M. Hervé de Lépinau, M. Aurélien Lopez-
Liguori, Mme Jacqueline Maquet, M. Bastien Marchive, M. Éric Martineau, M. William Martinet, M. Nicolas
Meizonnet, Mme Yaël Menache, M. Paul Midy, M. Nicolas Pacquot, M. Dominique Potier, Mme Danielle
Simonnet, M. Matthias Tavel, M. Lionel Tivoli, M. Stéphane Travert, M. André Villiers, M. Stéphane Vojetta
Excusés. - Mme Anne-Laure Blin, M. Perceval Gaillard, M. Johnny Hajjar, M. Philippe Juvin, M. Max
Mathiasin, M. Jean-Paul Mattei, M. Philippe Naillet, M. Charles Rodwell, M. Olivier Serva, Mme Aurélie Trouvé,
M. Jiovanny William
Assistaient également à la réunion. - Mme Delphine Batho, M. Jean-Luc Bourgeaux, Mme Frédérique Meunier,
M. Paul Molac
Commission des affaires étrangères :
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 9 heures :
Présents. - M. Damien Abad, Mme Nadège Abomangoli, M. Pieyre-Alexandre Anglade, Mme Véronique Besse,
Mme Chantal Bouloux, M. Jean-Louis Bourlanges, M. Jérôme Buisson, Mme Eléonore Caroit, Mme Mireille
Clapot, M. Pierre Cordier, M. Alain David, M. Pierre-Henri Dumont, M. Nicolas Dupont-Aignan, M. Frédéric
Falcon, M. Thibaut François, M. Bruno Fuchs, Mme Maud Gatel, M. Hadrien Ghomi, Mme Olga Givernet,
M. Philippe Guillemard, Mme Marine Hamelet, M. Alexis Jolly, Mme Brigitte Klinkert, M. Arnaud Le Gall,
M. Frédéric Petit, M. Kévin Pfeffer, M. Adrien Quatennens, Mme Laurence Robert-Dehault, Mme Laetitia Saint-
Paul, Mme Sabrina Sebaihi, M. Vincent Seitlinger, Mme Ersilia Soudais, Mme Liliana Tanguy, M. Patrick Vignal,
M. Lionel Vuibert, M. Éric Woerth, Mme Caroline Yadan, M. Frédéric Zgainski
Excusés. - M. Louis Boyard, M. Sébastien Chenu, Mme Julie Delpech, M. Olivier Faure, M. Meyer Habib,
M. Michel Herbillon, M. Hubert Julien-Laferrière, Mme Amélia Lakrafi, Mme Marine Le Pen, M. Laurent
Marcangeli, Mme Emmanuelle Ménard, M. Nicolas Metzdorf, M. Bertrand Pancher, Mme Mathilde Panot,
Mme Barbara Pompili, Mme Laurence Vichnievsky, M. Christopher Weissberg, Mme Estelle Youssouffa
Assistait également à la réunion. - M. Guillaume Garot
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 11 h 30
Présents. - M. Damien Abad, Mme Nadège Abomangoli, M. Pieyre-Alexandre Anglade, Mme Véronique Besse,
Mme Chantal Bouloux, M. Jean-Louis Bourlanges, M. Jérôme Buisson, Mme Eléonore Caroit, Mme Mireille
Clapot, M. Pierre Cordier, M. Alain David, M. Pierre-Henri Dumont, M. Nicolas Dupont-Aignan, M. Frédéric
Falcon, M. Thibaut François, M. Bruno Fuchs, Mme Maud Gatel, M. Hadrien Ghomi, Mme Olga Givernet,
M. Philippe Guillemard, Mme Marine Hamelet, M. Alexis Jolly, Mme Brigitte Klinkert, M. Arnaud Le Gall,
M. Kévin Pfeffer, M. Adrien Quatennens, Mme Laurence Robert-Dehault, Mme Laetitia Saint-Paul, Mme Sabrina
Sebaihi, M. Vincent Seitlinger, Mme Ersilia Soudais, Mme Liliana Tanguy, M. Patrick Vignal, M. Lionel Vuibert,
M. Éric Woerth, Mme Caroline Yadan, M. Frédéric Zgainski
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 116 sur 150
Excusés. - M. Louis Boyard, M. Sébastien Chenu, Mme Julie Delpech, M. Olivier Faure, M. Meyer Habib,
M. Michel Herbillon, M. Hubert Julien-Laferrière, Mme Amélia Lakrafi, Mme Marine Le Pen, M. Laurent
Marcangeli, Mme Emmanuelle Ménard, M. Nicolas Metzdorf, M. Bertrand Pancher, Mme Mathilde Panot,
Mme Barbara Pompili, Mme Laurence Vichnievsky, M. Christopher Weissberg, Mme Estelle Youssouffa
Commission des affaires sociales :
Réunion du mardi 11 juillet 2023 à 17 h 15 :
Présents. - M. Éric Alauzet, Mme Farida Amrani, M. Thibault Bazin, M. Christophe Bentz, Mme Fanta Berete,
M. Victor Catteau, M. Paul Christophe, M. Hadrien Clouet, M. Paul-André Colombani, Mme Laurence Cristol,
M. Arthur Delaporte, Mme Nicole Dubré-Chirat, Mme Karen Erodi, M. Olivier Falorni, M. Marc Ferracci,
M. François Gernigon, Mme Justine Gruet, Mme Servane Hugues, Mme Monique Iborra, M. Cyrille Isaac-Sibille,
Mme Caroline Janvier, Mme Fadila Khattabi, M. Didier Le Gac, Mme Christine Le Nabour, Mme Katiana
Levavasseur, M. Didier Martin, M. Yannick Neuder, Mme Maud Petit, M. Sébastien Peytavie, Mme Sandrine
Rousseau, M. Jean-François Rousset, M. Freddy Sertin, Mme Prisca Thevenot, M. Stéphane Viry
Excusés. - Mme Josiane Corneloup, Mme Caroline Fiat, M. Thierry Frappé, M. Jean-Hugues Ratenon,
Mme Stéphanie Rist
Commission des affaires sociales :
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 9 h 35 :
Présents. - M. Thibault Bazin, Mme Fanta Berete, Mme Anne Bergantz, M. Jean-Luc Bourgeaux, M. Victor
Catteau, M. Hadrien Clouet, M. Mickaël Cosson, Mme Laurence Cristol, M. Arthur Delaporte, Mme Sandrine
Dogor-Such, Mme Nicole Dubré-Chirat, M. Olivier Falorni, M. Marc Ferracci, Mme Caroline Fiat, M. Thierry
Frappé, Mme Marie-Charlotte Garin, M. François Gernigon, Mme Justine Gruet, M. Jérôme Guedj, Mme Claire
Guichard, Mme Servane Hugues, Mme Monique Iborra, Mme Caroline Janvier, Mme Fadila Khattabi, Mme Laure
Lavalette, M. Didier Le Gac, Mme Christine Le Nabour, Mme Katiana Levavasseur, Mme Christine Loir,
M. Didier Martin, Mme Joëlle Mélin, M. Paul Molac, M. Serge Muller, M. Yannick Neuder, M. Jean-Philippe
Nilor, Mme Astrid Panosyan-Bouvet, Mme Charlotte Parmentier-Lecocq, Mme Maud Petit, Mme Michèle Peyron,
M. Sébastien Peytavie, Mme Claudia Rouaux, Mme Sandrine Rousseau, M. Jean-François Rousset, M. Freddy
Sertin, M. Emmanuel Taché de la Pagerie, Mme Prisca Thevenot, M. Nicolas Turquois, M. Frédéric Valletoux,
M. Philippe Vigier, M. Alexandre Vincendet, M. Stéphane Viry
Excusés. - Mme Josiane Corneloup, M. Yannick Monnet, M. Jean-Hugues Ratenon, Mme Stéphanie Rist
Assistaient également à la réunion. - M. Pierrick Berteloot, M. Fabien Di Filippo, Mme Sandrine Josso,
M. Sébastien Jumel, M. Matthias Tavel
Commission de la défense nationale et des forces armées :
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 9 h 35 :
Présents. - M. Jean-Philippe Ardouin, M. Benoît Bordat, M. Hubert Brigand, Mme Cyrielle Chatelain,
M. Yannick Chenevard, M. Jean-Pierre Cubertafon, Mme Martine Etienne, M. Emmanuel Fernandes, M. Jean-
Marie Fiévet, M. Thomas Gassilloud, Mme Anne Genetet, M. Frank Giletti, M. José Gonzalez, M. Laurent
Jacobelli, M. Fabien Lainé, M. Jean-Charles Larsonneur, Mme Anne Le Hénanff, Mme Brigitte Liso, Mme Anna
Pic, Mme Josy Poueyto, M. Fabien Roussel, M. Michaël Taverne, M. Jean-Louis Thiériot, Mme Sabine Thillaye,
Mme Corinne Vignon
Excusés. - M. Xavier Batut, Mme Valérie Bazin-Malgras, M. Pierrick Berteloot, M. Christophe Blanchet,
M. Frédéric Boccaletti, Mme Yaël Braun-Pivet, M. Steve Chailloux, Mme Caroline Colombier, M. Yannick
Favennec-Bécot, M. Christian Girard, Mme Charlotte Goetschy-Bolognese, M. Olivier Marleix, M. Frédéric
Mathieu, Mme Lysiane Métayer, M. Pierre Morel-À-L’Huissier, Mme Valérie Rabault, Mme Isabelle Santiago,
M. Mikaele Seo, Mme Nathalie Serre
Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire :
Réunion du mardi 11 juillet 2023 à 17 h 20 :
Présents. - M. Emmanuel Blairy, M. Jean-Yves Bony, M. Guy Bricout, M. Jean-Louis Bricout, M. Anthony
Brosse, Mme Danielle Brulebois, M. Stéphane Buchou, M. Sylvain Carrière, Mme Annick Cousin, Mme Catherine
Couturier, M. Stéphane Delautrette, Mme Sylvie Ferrer, M. Yannick Haury, Mme Laurence Heydel Grillere,
Mme Chantal Jourdan, M. Jean-François Lovisolo, Mme Laurence Maillart-Méhaignerie, Mme Manon Meunier,
Mme Laure Miller, M. Hubert Ott, M. Jimmy Pahun, Mme Sophie Panonacle, M. David Taupiac, M. Vincent
Thiébaut, Mme Huguette Tiegna, M. David Valence, M. Pierre Vatin, M. Antoine Villedieu, M. Jean-Marc Zulesi
Excusés. - Mme Nathalie Bassire, Mme Lisa Belluco, M. Jorys Bovet, M. Jean-Victor Castor, M. Lionel Causse,
Mme Sandrine Le Feur, M. Marcellin Nadeau, Mme Claire Pitollat
Assistaient également à la réunion. - M. Pierre Cordier, M. Fabien Di Filippo, Mme Marie Pochon, M. Jean-
Claude Raux
Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire :
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 9 h 35 :
Présents. - M. Damien Adam, M. Jean-Yves Bony, M. Guy Bricout, M. Jean-Louis Bricout, Mme Danielle
Brulebois, M. Stéphane Buchou, M. Sylvain Carrière, Mme Annick Cousin, M. Vincent Descoeur, Mme Sylvie
Ferrer, Mme Clémence Guetté, M. Yannick Haury, M. Jean-François Lovisolo, Mme Alexandra Masson,
Mme Manon Meunier, Mme Laure Miller, M. Hubert Ott, Mme Sophie Panonacle, M. Bertrand Petit, M. Benjamin
Saint-Huile, M. Vincent Thiébaut, Mme Huguette Tiegna, M. David Valence, M. Pierre Vatin, M. Antoine
Vermorel-Marques, Mme Anne-Cécile Violland, M. Hubert Wulfranc, M. Jean-Marc Zulesi
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 116 sur 150
Excusés. - M. Christophe Barthès, Mme Nathalie Bassire, Mme Lisa Belluco, M. Jorys Bovet, M. Aymeric
Caron, M. Jean-Victor Castor, Mme Nathalie Da Conceicao Carvalho, Mme Sandrine Le Feur, M. Marcellin
Nadeau, Mme Claire Pitollat, M. Loïc Prud’homme
Commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire :
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 10 heures :
Présents. - Mme Christine Arrighi, M. Karim Ben Cheikh, M. Manuel Bompard, M. Mickaël Bouloux,
M. Philippe Brun, M. Thomas Cazenave, M. Jean-René Cazeneuve, M. Florian Chauche, M. Éric Coquerel,
M. Charles de Courson, M. Jocelyn Dessigny, M. Fabien Di Filippo, Mme Alma Dufour, M. Luc Geismar,
Mme Félicie Gérard, Mme Perrine Goulet, Mme Nadia Hai, M. Patrick Hetzel, M. Alexandre Holroyd,
M. François Jolivet, M. Emmanuel Lacresse, M. Mohamed Laqhila, M. Michel Lauzzana, M. Marc Le Fur,
Mme Constance Le Grip, M. Pascal Lecamp, Mme Charlotte Leduc, M. Philippe Lottiaux, Mme Véronique
Louwagie, M. Louis Margueritte, Mme Louise Morel, M. Benoit Mournet, M. Christophe Plassard, M. Xavier
Roseren, M. Emeric Salmon, M. Jean-Philippe Tanguy
Excusés. - M. Franck Allisio, M. Christian Baptiste, M. Frédéric Cabrolier, Mme Marie-Christine Dalloz,
M. Joël Giraud, M. Tematai Le Gayic, Mme Mathilde Paris, Mme Christine Pires Beaune, M. Michel Sala,
Mme Eva Sas, M. Charles Sitzenstuhl
Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République :
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 9 h 30 :
Présents. - M. Jean-Félix Acquaviva, M. Erwan Balanant, M. Romain Baubry, M. Florent Boudié, Mme Émilie
Chandler, Mme Clara Chassaniol, M. Éric Ciotti, M. Jean-François Coulomme, Mme Mathilde Desjonquères,
Mme Edwige Diaz, M. Yoann Gillet, M. Philippe Gosselin, M. Guillaume Gouffier Valente, M. Jordan Guitton,
M. Sacha Houlié, M. Jérémie Iordanoff, Mme Emeline K/Bidi, Mme Marietta Karamanli, M. Gilles Le Gendre,
M. Antoine Léaument, Mme Marie Lebec, Mme Julie Lechanteux, M. Didier Lemaire, M. Benjamin Lucas,
M. Emmanuel Mandon, M. Thomas Ménagé, Mme Danièle Obono, M. Didier Paris, M. Éric Pauget, M. Jean-
Pierre Pont, M. Thomas Portes, M. Éric Poulliat, Mme Marie-Agnès Poussier-Winsback, M. Philippe Pradal,
M. Aurélien Pradié, M. Stéphane Rambaud, M. Rémy Rebeyrotte, Mme Sandra Regol, Mme Béatrice Roullaud,
M. Thomas Rudigoz, M. Nicolas Sansu, M. Hervé Saulignac, Mme Sarah Tanzilli, M. Jean Terlier, Mme Cécile
Untermaier, M. Roger Vicot, M. Guillaume Vuilletet, M. Jean-Luc Warsmann
Excusés. - M. Ian Boucard, M. Philippe Dunoyer, Mme Marie Guévenoux, Mme Élodie Jacquier-Laforge,
M. Mansour Kamardine, Mme Élisa Martin, Mme Naïma Moutchou, M. Davy Rimane
Assistait également à la réunion. - Mme Elsa Faucillon
Commission d’enquête relative aux révélations des Uber Files : l’ubérisation, son lobbying et ses
conséquences :
Réunion du mardi 11 juillet 2023 à 13 h 30 :
Présents. - Mme Aurore Bergé, M. Sébastien Delogu, Mme Alma Dufour, Mme Anne Genetet, M. Benjamin
Haddad, M. Alexis Izard, M. Andy Kerbrat, M. Philippe Latombe, Mme Marie Lebec, Mme Brigitte Liso,
M. Aurélien Lopez-Liguori, M. Benjamin Lucas, M. Paul Molac, Mme Louise Morel, M. Stéphane Peu,
Mme Lisette Pollet, M. Alexandre Portier, M. Philippe Pradal, Mme Valérie Rabault, Mme Béatrice Roullaud,
M. Philippe Schreck, Mme Danielle Simonnet, M. Charles Sitzenstuhl, Mme Sarah Tanzilli, Mme Cécile
Untermaier, M. Frédéric Zgainski
Commission d’enquête sur la structuration, le financement, les moyens et les modalités d’action des
groupuscules auteurs de violences à l’occasion des manifestations et rassemblements intervenus entre le
16 mars et le 3 mai 2023, ainsi que sur le déroulement de ces manifestations et rassemblements :
Réunion du mardi 11 juillet 2023 à 18 h 15 :
Présents. - M. Florent Boudié, M. Aymeric Caron, Mme Félicie Gérard, M. Patrick Hetzel, Mme Sandra
Marsaud, Mme Marianne Maximi
Excusés. - Mme Aurore Bergé, Mme Emeline K/Bidi
Commission des affaires européennes :
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 13 h 30 :
Présents. - M. Henri Alfandari, M. Gabriel Amard, M. Pieyre-Alexandre Anglade, M. Rodrigo Arenas,
M. Stéphane Buchou, M. André Chassaigne, Mme Annick Cousin, M. Guillaume Garot, Mme Marietta Karamanli,
Mme Brigitte Klinkert, Mme Nicole Le Peih, Mme Joëlle Mélin, M. Thomas Ménagé, Mme Louise Morel,
Mme Nathalie Oziol, M. Frédéric Petit, M. Jean-Pierre Pont, M. Charles Sitzenstuhl, Mme Liliana Tanguy,
Mme Sabine Thillaye, Mme Estelle Youssouffa
Excusé. - Mme Julie Laernoes
Assistaient également à la réunion. - M. Éric Martineau, M. Paul Molac, M. Dominique Potier
Délégation aux droits des enfants :
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 11 heures :
Présents. - M. Erwan Balanant, Mme Sandrine Dogor-Such, Mme Nicole Dubré-Chirat, Mme Perrine Goulet,
Mme Servane Hugues, Mme Laure Lavalette, Mme Christine Loir, Mme Alexandra Martin, Mme Marianne
Maximi, Mme Caroline Parmentier, Mme Francesca Pasquini, M. Alexandre Portier, M. Éric Poulliat, Mme Anne
Stambach-Terrenoir
Excusés. - Mme Charlotte Goetschy-Bolognese, Mme Isabelle Santiago, M. Hervé Saulignac
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 116 sur 150
Délégation de l’Assemblée nationale aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et
les femmes :
Réunion du mardi 11 juillet 2023 à 17 h 30 :
Présents. - Mme Marie-Noëlle Battistel, Mme Mireille Clapot, Mme Virginie Duby-Muller, Mme Christine
Engrand, Mme Sandrine Josso, Mme Élise Leboucher, Mme Pascale Martin, Mme Véronique Riotton,
M. Emmanuel Taché de la Pagerie, Mme Anne-Cécile Violland
Excusés. - Mme Agnès Carel, Mme Julie Delpech, Mme Josy Poueyto
Mission d’évaluation et de contrôle des lois de financement de la sécurité sociale :
Réunion du mardi 11 juillet 2023 à 9 heures :
Présents. - M. Éric Alauzet, M. Jérôme Guedj, M. Cyrille Isaac-Sibille, Mme Stéphanie Rist
Excusé. - M. Jean-Carles Grelier
Assistaient également à la réunion. - M. François Gernigon, M. Philippe Vigier
Réunion du mardi 11 juillet 2023 à 14 heures
Présents. - M. Éric Alauzet, M. Cyrille Isaac-Sibille, Mme Joëlle Mélin
Excusé. - M. Jean-Carles Grelier
Mission d’information sur les capacités d’anticipation et d’adaptation de notre modèle de protection et de
sécurité civiles :
Réunion du mercredi 12 juillet 2023 à 11 h 45 :
Présents. - Mme Emmanuelle Anthoine, M. Romain Baubry, M. Christophe Blanchet, M. Benoît Bordat,
M. Bertrand Bouyx, M. Florian Chauche, M. Yannick Chenevard, Mme Catherine Couturier, Mme Laurence
Cristol, M. Jean-Marie Fiévet, M. Guillaume Gouffier Valente, Mme Marietta Karamanli, Mme Julie Lechanteux,
Mme Gisèle Lelouis, M. Didier Lemaire, M. Jean-François Lovisolo, M. Damien Maudet, M. Pierre Morel-À-
L’Huissier, M. Éric Pauget, M. Julien Rancoule, M. Davy Rimane
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 117 sur 150
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session extraordinaire de 2022-2023
DOCUMENTS ET PUBLICATIONS
NOR : INPA2319693X
Documents parlementaires
Dépôt du mercredi 12 juillet 2023
Dépôt d’un projet de loi
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 12 juillet 2023, transmis par Mme la Première ministre,
un projet de loi, adopté par le Sénat après engagement de la procédure accélérée, pour le plein emploi.
Ce projet de loi, no 1528, est renvoyé à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83 du
règlement.
Dépôt de rapports
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 12 juillet 2023, de M. Didier Le Gac, un rapport, no 1523,
fait au nom de la commission des affaires sociales sur la proposition de loi, modifiée par le Sénat, visant à lutter
contre le dumping social sur le transmanche et à renforcer la sécurité du transport maritime (no 1439). :
Annexe 0 : texte de la commission.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 12 juillet 2023, de M. Thibault Bazin un rapport, no 1525,
déposé en application de l’article 148 du règlement, par la commission des affaires sociales, en conclusion des
travaux sur la pétition no 1067 du 20 octobre 2022 « Allongement de la durée du congé maternité ».
Distribution de documents
en date du jeudi 13 juillet 2023
Rapport d’information
o
N 1449. – Rapport d’information de Mmes Sophia Chikirou et Mireille Clapot déposé par la commission des
affaires européennes sur le devoir de vigilance des entreprises en matière de durabilité.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 118 sur 150
Informations parlementaires
SÉNAT
Session extraordinaire de 2022-2023
NOR : INPS2319637X
Convocations
Désignation de rapporteurs
Convocation
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 119 sur 150
Informations parlementaires
SÉNAT
Session extraordinaire de 2022-2023
DOCUMENTS DÉPOSÉS
NOR : INPS2319654X
No 882 (2022-2023) Rapport d’information fait par M. Olivier CIGOLOTTI, Mme Hélène CONWAY-MOURET,
M. Bernard FOURNIER et Mme Michelle GRÉAUME au nom de la commission des affaires étrangères, de
la défense et des forces armées sur : « Réinvestir les Balkans occidentaux : un impératif stratégique ».
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 120 sur 150
Informations parlementaires
SÉNAT
Session extraordinaire de 2022-2023
DOCUMENTS PUBLIÉS
NOR : INPS2319657X
Informations parlementaires
SÉNAT
Session extraordinaire de 2022-2023
INFORMATIONS DIVERSES
NOR : INPS2319648X
Informations parlementaires
SÉNAT
Session extraordinaire de 2022-2023
NOR : INPS2319646X
Session extraordinaire
– Conclusions de la commission mixte paritaire sur la proposition de loi visant à renforcer l’accompagnement
des élus locaux dans la mise en œuvre de la lutte contre l’artificialisation des sols (texte de la commission,
no 859, 2022-2023)
– Lors de la séance, seuls peuvent intervenir le Gouvernement, le représentant de la commission saisie au
fond pour une durée ne pouvant excéder cinq minutes et, pour explication de vote, un représentant par
groupe pour une durée ne pouvant excéder cinq minutes chacun ainsi qu’un représentant des sénateurs ne
figurant sur la liste d’aucun groupe pour une durée ne pouvant excéder trois minutes
– Délai limite pour les inscriptions des orateurs des groupes : mercredi 12 juillet à 15 heures
– Conclusions de la commission mixte paritaire sur le projet de loi relatif à la restitution des biens culturels
ayant fait l’objet de spoliations dans le contexte des persécutions antisémites perpétrées entre 1933 et 1945
(texte de la commission, no 856, 2022-2023)
– Lors de la séance, seuls peuvent intervenir le Gouvernement, le représentant de la commission saisie au
fond pour une durée ne pouvant excéder cinq minutes et, pour explication de vote, un représentant par
groupe pour une durée ne pouvant excéder cinq minutes chacun ainsi qu’un représentant des sénateurs ne
figurant sur la liste d’aucun groupe pour une durée ne pouvant excéder trois minutes
– Délai limite pour les inscriptions des orateurs des groupes : mercredi 12 juillet à 15 heures
– Suite du projet de loi pour le plein emploi (procédure accélérée) (texte de la commission, no 802, 2022-2023)
Informations parlementaires
OFFICES ET DÉLÉGATIONS
NOR : INPX2319664X
1. Réunions
Jeudi 13 juillet 2023
A 9 h 30 Sénat (salle Médicis) :
– présentation des rapports finaux des auditeurs de la promotion 2022-2023 de l’Institut des Hautes études pour
la science et la technologie (IHEST).
Députés
Présents. – Mme Christine Arrighi, M. Philippe Berta, M. Philippe Bolo, Mme Maud Bregeon, M. Hadrien
Clouet, M. Hendrik Davi, M. Jean-Luc Fugit, Mme Olga Givernet, M. Pierre Henriet, M. Jean-Philippe Tanguy,
Mme Huguette Tiegna
Sénateurs
Présents. – Mme Laure Darcos, M. Gérard Longuet, M. Stéphane Piednoir, Mme Angèle Préville
Excusés. – Mme Annick Jacquemet, Mme Michelle Meunier, Mme Catherine Procaccia
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 124 sur 150
Avis et communications
Avis fixant le nombre de places offertes à l’examen professionnel pour l’accès au grade
d’agent de constatation principal des douanes de 2e classe organisé au titre de l’année 2023
NOR : ECOD2319182V
L’avis autorisant au titre de l’année 2023 l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au grade d’agent
de constatation principal des douanes de 2e classe, publié au Journal officiel de la République française
du 3 mai 2023 (NOR : ECOD2309142V), est complété comme suit :
Avis et communications
NOR : TREK2317515V
Missions principales
Sous l’autorité du préfet de région, la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement
(DREAL) de Corse est chargée de la mise en œuvre des politiques publiques relevant du ministère de la transition
écologique et de la cohésion des territoires (MTECT) et du ministère de la transition énergétique (MTE).
Ces missions s’exercent dans un contexte institutionnel particulier : la collectivité de Corse, créée
le 1er janvier 2018, est désormais l’interlocuteur unique de l’Etat à l’échelle de l’île, au-delà du bloc communal,
dans un cadre de décentralisation qui va au-delà du droit commun.
Ce contexte, combiné au caractère « d’île montagne » de la Corse, appelle une posture volontariste
d’accompagnement des collectivités dans l’exercice de leurs compétences, tant au plan stratégique qu’opérationnel,
et à une coordination régionale vigilante afin de garantir un pilotage cohérent de l’action de l’Etat.
Dans un contexte insulaire méditerranéen particulièrement marqué par le changement climatique,
l’augmentation des évènements climatiques violents accroît les enjeux liés aux risques naturels (inondations,
submersions marines, recul du trait de côte). Les enjeux de territorialisation de la transition écologique et
énergétique sont particulièrement sensibles et nécessitent un dialogue et un travail partenarial des services de l’Etat
avec la collectivité de Corse.
Les trois priorités affichées par l’Etat en région portent sur l’énergie, la gestion des déchets et le partage de la
ressource en eau, tous sujets qui mobilisent la DREAL au premier plan. Le maintien de la biodiversité, les
mobilités, la préservation des paysages, l’urbanisme et le foncier, la rénovation énergétique des bâtiments… sont
également au cœur de l’engagement de la DREAL, dans ses compétences propres et dans son rôle de
coordonnateur et d’animateur des services déployant les politiques du pôle ministériel (DDT, DMLC,
DDTEESPP).
La DREAL de Corse, dont le siège est installé à Ajaccio, est composée de 5 services et de 3 missions et dispose
d’une importante antenne à Bastia. La direction est assurée par un directeur et un directeur adjoint ou une directrice
adjointe, assistés d’un adjoint ou d’une adjointe au directeur, qui suivent chacun plus particulièrement l’activité de
services et de projets dédiés, mais restent compétents sur l’ensemble des activités de la DREAL. La taille des
équipes de la DREAL et plus globalement des services de l’Etat en Corse nécessitent une forte collégialité tant en
interne qu’au sein de la sphère Etat.
Le directeur adjoint ou la directrice adjointe assiste le directeur au sein de l’équipe de direction pour assurer la
cohérence et la transversalité du pilotage de la DREAL. Il ou elle peut être amené à assurer l’intérim, participe à la
définition et au suivi des politiques et représente le directeur à sa demande.
A titre indicatif, il ou elle aura plus particulièrement en charge le pilotage et la supervision (la répartition des
rôles entre directeur et adjoint pourra évoluer) :
– des politiques de l’eau, de la biodiversité et des paysages ;
– de la prévention des risques naturels et technologiques ;
– de la sécurité industrielle et des transports ;
– du suivi des programmes contractualisés (PTIC, CPER…).
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 125 sur 150
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat susmentionné :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du pôle ministériel, représenté par la délégation à
l’encadrement supérieur ;
– l’autorité dont relève l’emploi est le secrétaire général du pôle ministériel.
Envoi des candidatures :
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, qui devra comporter les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le
parcours professionnel du candidat, les compétences et le niveau d’expérience attendus pour le poste ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les agents publics, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé le cas échéant
(uniquement pour les agents relevant d’un autre ministère).
Pour les agents du secteur privé, les candidatures seront accompagnées des documents attestant de l’occupation
effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae.
Ce dossier complet devra être adressé, dans un délai de trente jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, uniquement et impérativement, par voie électronique
aux adresses suivantes :
des.sg@developpement-durable.gouv.fr ;
jean-françois.boyer@developpement-durable.gouv.fr.
Recevabilité des candidatures :
La délégation à l’encadrement supérieur procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse
réception et informe les candidats non éligibles.
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 125 sur 150
Formation
Les personnes nommées pour la première fois sur un emploi de directeur régional adjoint bénéficient d’un
parcours managérial proposé par le ministère au cours de la première année de leur nomination.
Déontologie
L’accès à cet emploi est soumis à une déclaration de situation patrimoniale et à une déclaration d’intérêts
préalable à la prise de fonctions. Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des
trois dernières années qui précèdent, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis,
préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la
vie publique, en application de l’article L. 124-7 du code général de la fonction publique.
Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
M. Jean-François BOYER, directeur régional de l’environnement, de l’aménagement et du logement de la région
Corse (téléphone : 04-95-51-79-75, 06-58-04-83-75).
M. Laurent TAPADINHAS, délégué à l’encadrement supérieur (téléphone : 01-40-81-18-61).
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 126 sur 150
Avis et communications
AVIS DIVERS
Avis relatif à la publication d’un arrêté fixant la liste des organisations d’employeurs
représentatives dans le périmètre utile à la négociation des entreprises au service de la
création, de l’évènement et du divertissement
NOR : MTRT2316594V
Le ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion envisage d’édicter un arrêté fixant la liste des
organisations d’employeurs représentatives dans le périmètre utile à la négociation des entreprises au service de la
création et de l’évènement.
Les listes des entreprises couvertes et codes NAF compris dans le champ du périmètre utile à la négociation sont
précisées en annexe du présent avis.
Toute organisation intéressée à la reconnaissance de sa représentativité dans ce périmètre est invitée à faire
connaître, au plus tard le 18 août 2023, sa volonté de déposer un dossier de candidature auprès des services du
ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion (direction générale du travail, bureau de la démocratie sociale
(DS3), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15 ; dgt.candidaturerp@travail.gouv.fr).
ANNEXE
ANNEXE À L’AVIS RELATIF À LA PUBLICATION D’UN ARRÊTÉ FIXANT LA LISTE DES ORGANISATIONS
D’EMPLOYEURS REPRÉSENTATIVES DANS LE PÉRIMÈTRE UTILE À LA NÉGOCIATION DES ENTREPRISES
AU SERVICE DE LA CRÉATION, DE L’ÉVÈNEMENT ET DU DIVERTISSEMENT
Les entreprises couvertes par le périmètre utile à la négociation des entreprises au service de la création et de
l’évènement sont les entreprises relevant des secteurs d’activités et des codes NAF/APE suivants :
Entreprises couvertes Salariés couverts au sein de ces entreprises
Toutes les entreprises techniques au service de la création et de l’évènement Tous les salariés des entreprises techniques au service de la création et de
l’évènement.
Tous les propriétaires exploitants de chapiteaux (et non plus seulement ceux qui Tous les salariés des propriétaires exploitants de chapiteaux.
adhèrent à l’ASPEC-PRO)
Toutes les agences de mannequins Tous les salariés des agences de mannequins.
Toutes les agences évènementielles (actuellement en vide conventionnel) Tous les salariés des agences évènementielles.
5911B, 5911C, 7021Z, 7022Z, 7311Z, 7312Z, 8230Z, 9001Z, 9002Z, 9003B, 9329Z Agences évènementielles
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 127 sur 150
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application des conventions entre le comité économique des produits de santé et les sociétés ACCORD
HEALTHCARE FRANCE SAS, ALTER, ARROW GENERIQUES, CRISTERS, EG LABO LABORATOIRES
EUROGENERICS, EVER PHARMA FRANCE, GEDEON RICHTER FRANCE, LES LABORATOIRES
SERVIER, MEDAC SAS, VIATRIS SANTE, ZYDUS FRANCE les prix des spécialités pharmaceutiques visées
ci-dessous sont ceux figurant dans le tableau ci-après. Cette décision entre en vigueur à compter du quatrième jour
suivant la publication au Journal officiel de la République française.
No CIP Présentation PFHT PPTTC TFR
34009 302 621 0 8 ABIRATERONE CRISTERS 500 mg, comprimés pelliculés (B/60) (laboratoires
CRISTERS) 805,76 € 939,31 €
34009 302 712 7 8 ALPRAZOLAM ARROW LAB 0,25 mg, comprimés sécables (B/30) (laboratoires
ARROW GENERIQUES) 0,82 € 1,23 € 1,23 €
34009 302 705 6 1 ALPRAZOLAM ARROW LAB 0,50 mg, comprimés sécables (B/30) (laboratoires
ARROW GENERIQUES) 1,20 € 1,65 € 1,65 €
34009 302 662 4 3 ATORVASTATINE LABORATOIRES ALTER 80 mg, comprimés pelliculés sous
plaquettes (PA/Aluminium/PVC/Aluminium) (B/90) (laboratoires ALTER) 10,35 € 12,26 €
34009 302 662 5 0 ATORVASTATINE LABORATOIRES ALTER 80 mg, comprimés pelliculés sous
plaquettes (PVC/PVDC/PVC/Aluminium) (B/90) (laboratoires ALTER) 10,35 € 12,26 €
34009 399 321 4 9 CEFPODOXIME VIATRIS100 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes thermo
formées (Aluminium/Aluminium) (B/10) (laboratoires VIATRIS SANTE) 4,40 € 5,21 €
34009 302 703 9 4 EMTRICITABINE/TENOFOVIR DISOPROXIL MYLAN 200 mg/245 mg, comprimés
pelliculés en flacon (B/90) (laboratoires VIATRIS SANTE) 387,60 € 463,90 €
34009 302 708 9 9 FULVESTRANT ARROW 250 mg, solution injectable, 5 ml en seringue pré-remplie
+ aiguille (B/1) (laboratoires ARROW GENERIQUES) 80,00 € 92,89 € 92,89 €
34009 302 689 8 8 GANIRELIX EG 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable, 0,5 ml en seringue préremplie
(B/1) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS) 19,63 € 22,89 €
34009 302 689 9 5 GANIRELIX EG 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable, 0,5 ml en seringue préremplie
(B/5) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS) 98,19 € 113,12 €
34009 302 616 9 9 GANIRELIX GEDEON RICHTER 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable en seringue
préremplie (B/1) (laboratoires GEDEON RICHTER FRANCE) 19,63 € 22,89 €
34009 302 617 1 2 GANIRELIX GEDEON RICHTER 0,25 mg/0,5 ml, solution injectable en seringue
préremplie (B/6) (laboratoires GEDEON RICHTER FRANCE) 117,83 € 135,67 €
34009 302 687 3 5 MEROPENEM KALCEKS 1 g, poudre pour solution injectable/pour perfusion en
flacon (B/10) (laboratoires EVER PHARMA FRANCE) 121,37 € 141,77 €
34009 302 723 8 1 METFORMINE EG LABO 1000 mg, comprimés pelliculés sécables (B/30)
(laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS) 1,56 € 2,06 € 2,06 €
34009 302 723 9 8 METFORMINE EG LABO 1000 mg, comprimés pelliculés sécables (B/90)
(laboratoires EG LABO LABORATOIRES EUROGENERICS) 4,68 € 5,50 € 5,50 €
34009 302 723 3 6 METFORMINE EG LABO 500 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG
LABO LABORATOIRES EUROGENERICS) 1,27 € 1,73 € 1,73 €
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 127 sur 150
34009 302 723 4 3 METFORMINE EG LABO 500 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EG
LABO LABORATOIRES EUROGENERICS) 3,62 € 4,32 € 4,32 €
34009 302 723 6 7 METFORMINE EG LABO 850 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG
LABO LABORATOIRES EUROGENERICS) 1,56 € 2,06 € 2,06 €
34009 302 723 7 4 METFORMINE EG LABO 850 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EG
LABO LABORATOIRES EUROGENERICS) 4,68 € 5,50 € 5,50 €
34009 302 653 4 5 VINORELBINE ACCORD 20 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires ACCORD
HEALTHCARE FRANCE SAS) 19,60 € 23,50 € 23,50 €
34009 302 653 9 0 VINORELBINE ACCORD 30 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires ACCORD
HEALTHCARE FRANCE SAS) 29,40 € 34,80 € 34,80 €
34009 302 494 9 9 VINORELBINE MEDAC 20 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires MEDAC SAS) 19,60 € 23,50 € 23,50 €
34009 302 495 1 2 VINORELBINE MEDAC 30 mg, capsule molle (B/1) (laboratoires MEDAC SAS) 29,40 € 34,80 € 34,80 €
34009 302 712 5 4 ZOLPIDEM ZYDUS 10 mg, comprimés pelliculés sécables (B/5) (laboratoires
ZYDUS FRANCE) 0,52 € 0,90 €
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 128 sur 150
Avis et communications
AVIS DIVERS
Avis relatif aux décisions de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie
portant fixation du taux de participation de l’assuré applicable à des spécialités pharmaceutiques
NOR : SPRS2313195V
Par décisions du directeur général de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie en date des 26 avril
et 23 mai 2023, les taux de participation de l’assuré applicables aux spécialités citées ci-dessous sont fixés comme
suit :
Taux
Code CIP Présentation de participation
34009 302 712 7 8 ALPRAZOLAM ARROW LAB 0,25 mg, comprimés sécables (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES) 35%
34009 302 705 6 1 ALPRAZOLAM ARROW LAB 0,50 mg, comprimés sécables (B/30) (laboratoires ARROW GENERIQUES) 35%
34009 302 662 4 3 ATORVASTATINE LABORATOIRES ALTER 80 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes (PA/Alumi
nium/PVC/Aluminium) (B/90) (laboratoires ALTER) 35%
34009 302 662 5 0 ATORVASTATINE LABORATOIRES ALTER 80 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes
(PVC/PVDC/PVC/Aluminium) (B/90) (laboratoires ALTER) 35%
34009 399 321 4 9 CEFPODOXIME VIATRIS 100 mg, comprimés pelliculés sous plaquettes thermoformées (Aluminium/A
luminium) (B/10) (laboratoires VIATRIS SANTE) 35%
34009 302 687 3 5 MEROPENEM KALCEKS 1 g, poudre pour solution injectable/pour perfusion en flacon (B/10) (laboratoires
EVER PHARMA FRANCE) 35%
34009 302 723 8 1 METFORMINE EG LABO 1000 mg, comprimés pelliculés sécables (B/30) (laboratoires EG LABO
LABORATOIRES EUROGENERICS) 35%
34009 302 723 9 8 METFORMINE EG LABO 1000 mg, comprimés pelliculés sécables (B/90) (laboratoires EG LABO
LABORATOIRES EUROGENERICS) 35%
34009 302 723 3 6 METFORMINE EG LABO 500 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES
EUROGENERICS) 35%
34009 302 723 4 3 METFORMINE EG LABO 500 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES
EUROGENERICS) 35%
34009 302 723 6 7 METFORMINE EG LABO 850 mg, comprimés pelliculés (B/30) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES
EUROGENERICS) 35%
34009 302 723 7 4 METFORMINE EG LABO 850 mg, comprimés pelliculés (B/90) (laboratoires EG LABO LABORATOIRES
EUROGENERICS) 35%
34009 302 709 9 8 METHYLPHENIDATE BIOGARAN LP 18 mg, comprimés à libération prolongée en flacon (B/28)
(laboratoires BIOGARAN) 35%
34009 302 710 1 8 METHYLPHENIDATE BIOGARAN LP 36 mg, comprimés à libération prolongée en flacon (B/28)
(laboratoires BIOGARAN) 35%
34009 302 710 2 5 METHYLPHENIDATE BIOGARAN LP 54 mg, comprimés à libération prolongée en flacon (B/28)
(laboratoires BIOGARAN) 35%
Taux
Code CIP Présentation de participation
34009 302 712 5 4 ZOLPIDEM ZYDUS 10 mg, comprimés pelliculés sécables (B/5) (laboratoires ZYDUS FRANCE) 85%
13 juillet 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 129 sur 150
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application, d’une part, de la convention entre le comité économique des produits de santé et :
– la société NUTRICIA NUTRITION CLINIQUE ;
– la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) ;
– l’Union syndicale des pharmaciens d’officine (USPO),
et, d’autre part, par décision du comité économique des produits de santé, en l’absence de convention entre le
comité économique des produits de santé et :
– la Chambre syndicale de la répartition pharmaceutique (CSRP),
les prix de vente maximum hors taxes au distributeur revendant directement aux assurés sociaux (dénommés
ci-après prix de cession) en € HT et les tarifs et les prix limites de vente au public en € TTC (PLV) des produits
visés ci-dessous sont fixés comme suit :
Prix
de cession TARIF/PLV Prix de cession TARIF/PLV en €
CODE DESIGNATION actuels actuels en € TTC en € HT à compter TTC à compter
en € HT du 27 août 2023 du 27 août 2023
ANNONCES
Les annonces sont reçues à la direction de l’information légale et administrative
Demandes de changement de nom : téléprocédure sécurisée
Fiche pratique disponible sur https://psl.service-public.fr/mademarche/pub-changement-nom/demarche