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Mercredi 6 décembre 2023 / N° 282
SOMMAIRE ANALYTIQUE
Décrets, arrêtés, circulaires
textes généraux
Première ministre
1 Décret no 2023-1132 du 4 décembre 2023 modifiant le décret no 2022-990 du 7 juillet 2022

relatif au secrétariat général à la planification écologique
2 Arrêté du 10 novembre 2023 relatif à l’approbation des modifications du cahier des charges de
l’appel à projets « Innovations en biothérapies et bioproduction »
3 Arrêté du 13 novembre 2023 relatif à l’approbation de la modification du cahier des charges de
l’appel à projets « Chaire d’excellence en biologie/santé »
4 Arrêté du 15 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 31 mars 2023 portant répartition de certains
quotas de pêche accordés à la France pour l’année 2023
ministère de l’économie, des finances

et de la souveraineté industrielle et numérique
5 Décret no 2023-1133 du 4 décembre 2023 modifiant l’annexe I au décret no 2007-1665 du

26 novembre 2007 relatif à l’organisation des services déconcentrés de la direction générale
des douanes et droits indirects
6 Arrêté du 4 décembre 2023 portant ouverture de crédits d’attributions de produits
7 Arrêté du 4 décembre 2023 portant ouverture de crédits de fonds de concours
8 Décision 4 décembre 2023 approuvant l’attribution d’une dotation de l’établissement public
Caisse de la dette publique aux fins de désendettement
6 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
ministère de l’intérieur et des outre-mer
9 Décret no 2023-1134 du 4 décembre 2023 portant modification du décret no 2010-1068

du 8 septembre 2010 fixant les modalités d’organisation des concours pour le recrutement
des agents territoriaux spécialisés de 1re classe des écoles maternelles
10 Arrêté du 23 novembre 2023 fixant le nombre d’emplois offerts au titre de l’arti
cle L. 4139-2 du code de la défense au sein du corps d’encadrement et d’application de
la police nationale en qualité de gardien de la paix pour l’année 2024
11 Arrêté du 1er décembre 2023 portant cahier des charges applicable à la formation initiale aux
activités privées de protection des navires
12 Arrêté du 1er décembre 2023 portant cahier des charges applicable à la formation continue aux
activités privées de protection des navires
13 Décision du 4 décembre 2023 portant délégation de signature (service du haut fonctionnaire de
défense)
ministère de la justice
14 Arrêté du 17 novembre 2023 portant extension et transformation d’un établissement de

placement éducatif à Bourges (18)
15 Arrêté du 23 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 23 janvier 2023 fixant les listes des
établissements pénitentiaires et des quartiers des centres pénitentiaires
ministère des armées
16 Arrêté du 23 novembre 2023 désignant les matériels de guerre et matériels assimilés

mentionnés à l’article L. 213-2 du code du patrimoine
17 Arrêté du 28 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 21 septembre 2023 fixant le nombre et la
répartition des postes ouverts en 2024 au concours de l’assistanat des hôpitaux des armées
pour des médecins et pharmaciens militaires étrangers
ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion
18 Arrêté du 1er décembre 2023 portant délégation de signature (cabinet)
ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse
19 Décret no 2023-1135 du 5 décembre 2023 relatif aux titres-repas du volontaire et chèques-repas

du bénévole
ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
20 Arrêté du 20 novembre 2023 désignant une opération de restructuration au sein de l’Institut

national d’enseignement supérieur pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement
(l’Institut Agro)
21 Arrêté du 23 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 2 novembre 2023 fixant le régime des études
dans les classes mentionnées à l’article D. 812-66 du code rural et de la pêche maritime
22 Arrêté du 28 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 12 mars 2021 fixant la liste des ressources
phytogénétiques de la collection nationale de ressources phytogénétiques pour l’agriculture
et l’alimentation et de ressources phytogénétiques patrimoniales
23 Arrêté du 29 novembre 2023 homologuant le cahier des charges de l’appellation d’origine
contrôlée « Vouvray »
24 Arrêté du 29 novembre 2023 homologuant le cahier des charges de l’appellation d’origine
contrôlée « Grignan-Les-Adhémar »
25 Arrêté du 29 novembre 2023 relatif aux statuts de l’Association de formation des salariés
agricoles et ruraux (ASFOSAR)
26 Arrêté du 1er décembre 2023 autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture d’un concours
externe sur titres d’accès au corps des ingénieurs de l’agriculture et de l’environnement et
fixant le nombre de places offertes
ministère de la transition écologique

et de la cohésion des territoires
27 Arrêté du 20 octobre 2023 relatif à la délivrance d’un agrément pour la formation en navigation
intérieure
28 Arrêté du 29 novembre 2023 pris en application du décret no 99-581 du 9 juillet 1999 relatif à
l’attribution d’une nouvelle bonification indiciaire au profit des personnels techniques gérés
par la direction générale de l’aviation civile
ministère de la culture
29 Arrêté du 27 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 21 décembre 2021 fixant pour le corps des
conservateurs du patrimoine la liste des fonctions mentionnées à l’article 24-1 du décret
no 2013-788 du 23 août 2013 portant statut particulier du corps des conservateurs du
patrimoine
ministère de la santé et de la prévention

30 Arrêté du 22 novembre 2023 relatif aux titres de formation et à l’expérience professionnelle
pertinente dont le titulaire de l’autorisation mentionnée à l’article R. 5139-1 du code de la
santé publique justifie pour lui-même ainsi que pour les personnes qu’il habilite pour
contribuer sous sa responsabilité aux opérations faisant l’objet de cette autorisation
31 Arrêté du 4 décembre 2023 relatif à la classification et à la prise en charge des prestations
d’hospitalisation pour les activités de soins médicaux et de réadaptation exercées par les
établissements mentionnés à l’article L. 162-22-6 du code de la sécurité sociale et pris en
application de l’article R. 162-34-1 du même code
32 Arrêté du 4 décembre 2023 fixant du 1er juillet 2023 au 31 décembre 2023 les éléments
tarifaires mentionnés aux 1o à 3o du I de l’article L. 162-23-4 du code de la sécurité sociale
pour application du I de l’article 4 du décret du 21 avril 2022 modifié relatif à la réforme du
financement des activités de soins de suite et de réadaptation
ministère de la transformation et de la fonction publiques

33 Décret no 2023-1136 du 5 décembre 2023 relatif à la mesure et à la réduction des écarts de
rémunération entre les femmes et les hommes dans la fonction publique de l’Etat
34 Décret no 2023-1137 du 5 décembre 2023 relatif aux modalités de calcul des indicateurs définis
à l’article 1er du décret no 2023-1136 du 5 décembre 2023 relatif à la mesure et à la réduction
des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes dans la fonction publique de
l’Etat
mesures nominatives

35 Arrêté du 30 novembre 2023 portant cessation de fonctions (inspection générale des finances)
36 Arrêté du 30 novembre 2023 portant nomination (agents comptables)
37 Arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination sur l’emploi de directeur régional adjoint de
l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités de Bourgogne-Franche-Comté des
fonctions de responsable du pôle « concurrence, consommation, répression des fraudes et
métrologie »
38 Arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination au conseil de surveillance de l’Institut
d’émission d’outre-mer (IEOM)
39 Arrêté du 4 décembre 2023 portant nomination au conseil de surveillance du Fonds de réserve
pour les retraites
ministère de l’intérieur et des outre-mer

40 Arrêté du 4 décembre 2023 portant nomination (directions départementales interministérielles)
41 Arrêté du 5 décembre 2023 portant nomination au Conseil national d’évaluation des normes
ministère de la justice
42 Décret du 4 décembre 2023 portant intégration (tribunaux administratifs et cours
administratives d’appel)
43 Décret du 4 décembre 2023 portant décharge de fonctions et nomination (magistrature)
44 Décret du 4 décembre 2023 portant maintien en détachement (magistrature)
45 Décret du 4 décembre 2023 portant nomination (tribunaux administratifs et cours
administratives d’appel)
46 Décret du 4 décembre 2023 portant maintien en disponibilité (magistrature)
47 Décret du 4 décembre 2023 portant nomination d’une secrétaire générale adjointe du Conseil
supérieur de la magistrature (magistrature) - Mme SALIMI (Sarah)
48 Décret du 4 décembre 2023 portant détachement (magistrature)
49 Décret du 4 décembre 2023 portant maintien en position de disponibilité (magistrature)
50 Décret du 4 décembre 2023 portant décharge de fonctions (magistrature)
51 Décret du 4 décembre 2023 portant nomination et titularisation (tribunaux administratifs et
cours administratives d’appel)
52 Décret du 4 décembre 2023 portant détachement (magistrature)
53 Décret du 4 décembre 2023 portant maintien en détachement (magistrature) - Mme VIETTE
(Elsa)
58 Décret du 4 décembre 2023 portant maintien en détachement (magistrature)
59 Décret du 4 décembre 2023 portant admission à la retraite (Conseil d’Etat) - Mme TOME
(Françoise)
ministère des armées

60 Décret du 4 décembre 2023 portant promotion à titre exceptionnel dans l’armée active
61 Décret du 5 décembre 2023 portant nomination du directeur du Musée national de la Marine -
M. GAUSSERON (Thierry)
62 Arrêté du 17 octobre 2023 fixant les tableaux d’admission par concours à l’Ecole nationale
supérieure de techniques avancées Bretagne à l’issue des concours 2023

63 Arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination au cabinet de la ministre déléguée auprès
du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion et du ministre de l’éducation
nationale et de la jeunesse, chargée de l’enseignement et de la formation professionnels
64 Arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination au cabinet du ministre du travail, du plein
emploi et de l’insertion

65 Décret du 4 décembre 2023 portant nomination au conseil d’administration de l’Agence de
l’environnement et de la maîtrise de l’énergie - M. GOUZÈNES (Thomas)
66 Arrêté du 9 novembre 2023 portant commissionnement et cessation de commissionnement
d’agents du service de surveillance du marché des véhicules et des moteurs, placés sous
l’autorité du ministre chargé des transports, en application du code de la route, et
notamment ses articles L. 329-5 et R. 329-2
67 Arrêté du 4 décembre 2023 portant nomination d’un directeur de l’environnement, de
l’aménagement, du logement et de la mer de Mayotte
ministère de la culture
68 Décret du 5 décembre 2023 portant nomination du directeur général de l’Etablissement public
Cité de la céramique-Sèvres et Limoges - M. MAYER (René-Jacques)
69 Décret du 5 décembre 2023 portant nomination du président du conseil d’administration de
l’Etablissement public Cité de la céramique-Sèvres et Limoges - M. LEMOINE (Hervé)
70 Arrêté du 30 novembre 2023 portant nomination de membres au comité d’orientation du fonds

stratégique pour le développement de la presse
71 Arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination au conseil d’administration de l’Ecole
nationale supérieure des métiers de l’image et du son
ministère de la santé et de la prévention

72 Décret du 4 décembre 2023 portant nomination du président de l’Etablissement français du
sang - M. PACOUD (Frédéric)
73 Arrêté du 30 novembre 2023 portant inscription sur la liste d’aptitude au titre de l’année 2024
(tour extérieur des directeurs d’hôpital)
conventions collectives

74 Arrêté du 22 septembre 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la
convention collective nationale de l’industrie des tuiles et briques (no 1170)
75 Arrêté du 22 septembre 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective
nationale de la branche de l’aide, de l’accompagnement, des soins et des services à domicile
(no 2941)
76 Arrêté du 5 octobre 2023 portant modification de l’arrêté du 6 avril 2022 portant extension
de la convention collective nationale du 29 janvier 2021 de la production et de la
transformation des papiers et cartons (no 3238)
77 Arrêté du 10 novembre 2023 portant extension d’avenants à la convention collective nationale
du tourisme social et familial (no 1316)
78 Arrêté du 10 novembre 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective
nationale de la production et de la transformation des papiers et cartons (no 3238)
nationale de l’industrie de la fabrication des ciments (no 3233)
80 Arrêté du 15 novembre 2023 portant extension d’accords et d’un avenant auxdits accords,
conclus dans le cadre des conventions collectives des ouvriers du bâtiment et des travaux
publics de la Guadeloupe et dépendances (no 2328) et des employés, techniciens et agent de
maîtrise (ETAM) du bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe (no 3144)
81 Arrêté du 15 novembre 2023 portant extension d’accords conclus dans le cadre de la
convention collective des industries métallurgiques, électriques et connexes de la Dordogne
(no 1353)
82 Arrêté du 15 novembre 2023 portant extension d’accords conclus dans le cadre de la
convention collective de la métallurgie des Pyrénées-Atlantiques et du Seignanx (no 2615)
83 Arrêté du 15 novembre 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective des
industries de la métallurgie de Belfort/Montbéliard (no 2755)
nationale du commerce de détail de l’habillement et des articles textiles (no 1483)
industries mécaniques, microtechniques et connexes du département du Doubs (no 3209)
nationale de la production audiovisuelle (no 2642)
87 Arrêté du 20 novembre 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la
convention collective nationale des maisons à succursales de vente au détail d’habillement
(no 675)
industries de la métallurgie de Haute-Saône (no 3053)
convention collective nationale du personnel des industries céramiques de France (no 1558)
nationale des entreprises techniques au service de la création et de l’événement (no 2717)
91 Arrêté du 23 novembre 2023 portant extension d’un accord territorial (Haute-Normandie)
conclu dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture
(no 2332)
convention collective nationale de la fabrication et du commerce des produits à usage
pharmaceutique, parapharmaceutique et vétérinaire (no 1555)
convention collective nationale de la cordonnerie multiservice (no 1561)
94 Arrêté du 28 novembre 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la branche
de la filière ingénierie de l’immobilier, l’aménagement et la construction (secteur des
cabinets ou entreprises de géomètres-experts, géomètres-topographes, photogrammètres et
experts-fonciers) (no 2543)
Autorité de contrôle prudentiel et de résolution

95 Décision no 2023-VP-46 du 24 novembre 2023 portant approbation du transfert par voie de
fusion-absorption du portefeuille d’opérations d’une mutuelle
Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique

96 Décision no 2023-AG-10 du 23 novembre 2023 relative à la possibilité de reconduire hors
appel aux candidatures l’autorisation délivrée à Média H Antilles-Guyane pour la diffusion
par voie hertzienne terrestre dans la zone de La Martinique du service de télévision à
vocation locale dénommé ATV
97 Décision no 2023-AG-11 du 23 novembre 2023 relative à la possibilité de reconduire hors
appel aux candidatures l’autorisation délivrée à l’association pour le développement des
techniques modernes de la communication (ADTMC) pour la diffusion par voie hertzienne
terrestre dans la zone de la Martinique du service de télévision à vocation locale dénommé
KMT
98 Délibération no 2023-23 du 15 novembre 2023 fixant le règlement intérieur de l’Autorité de
régulation de la communication audiovisuelle et numérique
Autorité de régulation des communications électroniques,

des postes et de la distribution de la presse
99 Avis no 2023-0726 du 4 avril 2023 sur un projet de décret pris en Conseil d’Etat pris en
application de l’article L. 224-37-1 du code de la consommation
Centre national de la fonction publique territoriale

100 Arrêté du 28 novembre 2023 fixant le nombre de postes ouverts à l’examen professionnel pour
l’accès au cadre d’emplois des administrateurs territoriaux (session 2024)
101 Arrêté du 28 novembre 2023 portant ouverture de concours (un concours externe et un
concours interne) pour le recrutement des conservateurs territoriaux de bibliothèques
(session 2024)
102 Arrêté du 28 novembre 2023 portant ouverture de concours (un concours externe, un concours
externe spécial, un concours interne et un troisième concours) pour le recrutement des
administrateurs territoriaux (session 2024)
Informations parlementaires
Assemblée nationale
103 ORDRE DU JOUR
104 COMMISSIONS ET ORGANES DE CONTRÔLE
105 DOCUMENTS ET PUBLICATIONS
Sénat
106 COMMISSIONS / ORGANES TEMPORAIRES
107 DOCUMENTS DÉPOSÉS
108 DOCUMENTS PUBLIÉS
109 RAPPORTS AU PARLEMENT
110 BUREAU DU SÉNAT
Commissions mixtes paritaires

111 COMMISSIONS MIXTES PARITAIRES
Avis et communications
avis de concours et de vacance d'emplois
Première ministre
112 Avis de vacance d’un emploi d’expert de haut niveau
113 Avis de vacance d’un emploi d’expert de haut niveau
114 Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur (administration centrale)
ministère de l’Europe et des affaires étrangères

115 Avis relatif au recrutement de travailleurs handicapés et de travailleuses handicapées par la
voie contractuelle pouvant déboucher sur une titularisation en catégorie C
ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire

116 Avis du 23 novembre 2023 modifiant l’avis du 14 octobre 2023 relatif à l’organisation des
examens de l’enseignement technique agricole du ministère de l’agriculture et de la
souveraineté alimentaire (session 2024)

117 Avis de vacance de l’emploi de directeur interdépartemental des routes Nord
avis divers

118 Avis relatif à la désignation de membres de la commission des infractions fiscales
Annonces
119 Demandes de changement de nom (textes 119 à 130)
6 décembre 2023 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 130
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIÈRE MINISTRE
Décret no 2023-1132 du 4 décembre 2023 modifiant le décret no 2022-990

du 7 juillet 2022 relatif au secrétariat général à la planification écologique
NOR : PRMX2332081D
Publics concernés : administrations, tous publics.

Objet : modification des missions du secrétariat général à la planification écologique.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication au Journal officiel de la République
française.
Notice : le texte complète les missions du secrétariat général à la planification écologique pour prévoir la
possibilité de déployer des services auprès des usagers et de ses partenaires.
Références : le décret du 7 juillet 2022, modifié par le décret, peut être consulté, dans sa rédaction issue de cette
modification, sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
La Première ministre, chargée de la planification écologique et énergétique,
Vu le code de l’environnement ;
Vu le décret no 87-389 du 15 juin 1987 relatif à l’organisation des services d’administration centrale ;
Vu le décret no 2022-990 du 7 juillet 2022 relatif au secrétariat général à la planification écologique,
Décrète :
Art. 1er. – L’article 1er du décret no 2022-990 du 7 juillet 2022 est complété par deux alinéas ainsi rédigé :
« 6o Il conçoit, met en œuvre et déploie, auprès des usagers et de ses partenaires, divers services en prolongement
des missions précédentes.
« Il est habilité à traiter toute information ou donnée nécessaire à l’exercice des missions énoncées au présent
article. »
Art. 2. – Le présent décret sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 4 décembre 2023.
ÉLISABETH BORNE
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIÈRE MINISTRE
Arrêté du 10 novembre 2023 relatif à l’approbation des modifications du cahier des charges
de l’appel à projets « Innovations en biothérapies et bioproduction »
NOR : PRMI2328849A
La Première ministre,
Vu la loi no 2010-237 du 9 mars 2010 modifiée de finances rectificative pour 2010, notamment son article 8 ;
Vu le décret no 2010-80 du 22 janvier 2010 modifié relatif au secrétariat général pour l’investissement ;
Vu le décret du 26 janvier 2022 portant nomination du secrétaire général pour l’investissement ;
Vu le décret du 20 mai 2022 portant délégation de signature (secrétariat général pour l’investissement) ;
Vu la convention du 8 avril 2021 entre l’Etat, l’ADEME, l’agence nationale de la recherche, la caisse des dépôts
et consignations, l’EPIC Bpifrance et la société anonyme Bpifrance relative au Programme d’investissements
d’avenir (action « démonstration en condition réelles, amorçage et premières commerciales ») ;
Vu l’arrêté du 20 janvier 2022 relatif à l’approbation du cahier des charges de l’appel à projets « Innovations en
Biothérapies » ;
Vu l’arrêté du 8 avril 2022 portant modification de l’arrêté du 20 janvier 2022 relatif à l’approbation du cahier
des charges de l’appel à projets « Innovations en Biothérapies » ;
Vu l’arrêté du 15 décembre 2022 relatif à l’approbation de la modification du cahier des charges de l’appel à
projets « Innovations en biothérapies et bioproduction » ;
Vu le compte rendu de validation du comité de pilotage interministériel opérationnel « santé » en date
du 29 septembre 2023,
Arrête :
Art. 1 . – Les modifications apportées au cahier des charges de l’appel à projets « Innovations en biothérapies
er
et bioproduction » du plan France 2030, relatif à l’action « Démonstration en condition réelles, amorçage et
premières commerciales », sont approuvées (1).
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 10 novembre 2023.
Pour la Première ministre et par délégation :
Le secrétaire général pour l’investissement,
B. BONNELL
(1) Le cahier des charges est consultable sur les sites internet de Bpifrance et du secrétariat général pour l’investissement :
https://www.gouvernement.fr/les-appels-a-projets-en-cours.
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIÈRE MINISTRE
Arrêté du 13 novembre 2023 relatif à l’approbation de la modification

du cahier des charges de l’appel à projets « Chaire d’excellence en biologie/santé »
NOR : PRMI2330375A
Vu la loi no 2010-237 du 9 mars 2010 modifiée de finances rectificative pour 2010, notamment son article 8 ;
Vu le décret no 2010-80 du 22 janvier 2010 modifié relatif au secrétariat général pour l’investissement ;
Vu le décret du 26 janvier 2022 portant nomination du secrétaire général pour l’investissement ;
Vu le décret du 20 mai 2022 portant délégation de signature (secrétariat général pour l’investissement) ;
Vu la convention modifiée du 2 juin 2021 entre l’Etat, l’Agence nationale de la recherche et la Caisse des dépôts
et consignations relative au programme d’investissements d’avenir (action « Financement structurel de
l’écosystème de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de l’innovation et de la valorisation ») ;
Vu l’arrêté du 12 mai 2023 relatif à l’approbation du cahier des charges de l’appel à projets « Chaire
d’excellence en biologie/santé » ;
Vu le compte rendu de validation du comité de pilotage ministériel opérationnel « Santé » en date
du 26 octobre 2023,
Arrête :
Art. 1 . – Les modifications apportées au cahier des charges de l’appel à projets « Chaire d’excellence
er
en biologie/santé » du plan France 2030, relatif à l’action « Recherche en santé - Chaires », sont approuvées (1).
Pour la Première ministre et par délégation :
Le secrétaire général pour l’investissement,
B. BONNELL
(1) Le cahier des charges est consultable sur les sites internet de l’opérateur (https://anr.fr/Chaires-Excellence-2023)
et du secrétariat général pour l’investissement : https://www.gouvernement.fr/france-2030/appels-a-candidatures.
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIÈRE MINISTRE
Arrêté du 15 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 31 mars 2023 portant répartition

de certains quotas de pêche accordés à la France pour l’année 2023
NOR : PRMM2330486A
Publics concernés : personnes morales, personnes physiques, armateurs à la pêche, services déconcentrés,
Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer.
Objet : répartition des quotas de pêche accordés à la France pour l’année 2023.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le présent arrêté établit les modalités de répartition de certains quotas de capture alloués à la France
pour l’année 2023.
Référence : le présent arrêté peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le secrétaire d’État auprès de la Première ministre, chargé de la mer,
Vu le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne ;
Vu les recommandations de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique
(CICTA) et notamment la recommandation 22-05 ;
Vu le règlement CE no 847/96 du conseil du 6 mai 1996 établissant les conditions additionnelles pour la gestion
interannuelle des totaux admissibles des captures et quotas ;
Vu le règlement (CE) no 1224/2009 du Conseil du 20 novembre 2009 instituant un régime communautaire de
contrôle afin d’assurer le respect des règles de la politique commune de la pêche, modifiant les règlements (CE)
no 847/96, (CE) no 2371/2002, (CE) no 811/2004, (CE) no 768/2005, (CE) no 2115/2005, (CE) no 2166/2005, (CE)
no 388/2006, (CE) no 509/2007, (CE) no 676/2007, (CE) no 1098/2007, (CE) no 1300/2008, (CE) no 1342/2008 et
abrogeant les règlements (CEE) no 2847/93, (CE) no 1627/94 et (CE) no 1966/2006 ;
Vu le règlement d’exécution (UE) no 404/2011 de la Commission du 8 avril 2011 portant modalités d’application
du règlement (CE) no 1224/2009 du Conseil instituant un régime communautaire de contrôle afin d’assurer le
respect des règles de la politique commune de la pêche ;
Vu le règlement (UE) no 1380/2013 du parlement européen et du conseil du 11 décembre 2013 relatif à la
politique commune de la pêche, modifiant les règlements (CE) no 1954/2003 et (CE) no 1224/2009 du Conseil et
abrogeant les règlements (CE) no 2371/2002 et (CE) no 639/2004 du Conseil et la décision 2004/585/CE du
Conseil ;
Vu le règlement (UE) no 2016/2336 du parlement européen et du conseil du 14 décembre 2016 établissant des
conditions spécifiques pour la pêche des stocks d’eau profonde dans l’Atlantique du Nord-Est ainsi que des
dispositions relatives à la pêche dans les eaux internationales de l’Atlantique du Nord-Est et abrogeant le règlement
(CE) no 2347/2002 du Conseil ;
Vu le règlement (UE) no 2023/194 du Conseil du 30 janvier 2023 établissant, pour 2023, les possibilités de pêche
pour certains stocks halieutiques, applicables dans les eaux de l’Union et, pour les navires de pêche de l’Union,
dans certaines eaux n’appartenant pas à l’Union, et établissant, pour 2023 et 2024, de telles possibilités de pêche
pour certains stocks de poissons d’eau profonde ;
Vu le livre IX du code rural et de la pêche maritime ;
Vu le décret no 2010-130 du 11 février 2010 relatif à l’organisation et aux missions des directions interrégionales
de la mer ;
Vu l’arrêté du 31 mars 2023 modifié portant répartition de certains quotas de pêche accordés à la France pour
l’année 2023 ;
Vu l’avis du Comité national des pêches maritimes et des élevages marins en date du 19 octobre 2023,
Arrête :
Art. 1er. – Les annexes de l’arrêté du 31 mars 2023 portant répartition de certains quotas de pêche accordés
pour la France pour l’année 2023 sont modifiées par les annexes du présent arrêté.
Art. 2. – Le directeur général des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture et les directeurs
interrégionaux de la mer sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Pour le secrétaire d’État et par délégation :
La cheffe du service pêche maritime
et aquaculture durables,
A. DARPEIX VAN TONGEREN
lus
Anchois
Aiguillat
Baudroie
Baudroie
Lophiidae
Lophiidae
Autres espèces
Autres espèces
Libellé du quota
Squalus acanthias
Engraulis encrasico
VII
VIII
Vb
pour
(CIEM)
Zone de
I, XII, XIV
référence
de la mer
du Conseil
VI ; eaux du
de la zone V,
l’exploration
international
Eaux des îles

VI, VII et VIII ;
eaux du RU et
internationales
eaux internatio
eaux internatio
nales des zones
nales de la zone
Royaume-Uni et
Eaux norvégien
nes de la zone IV
Féroé de la zone
ANF/07.
ANE/08.
ANF/56-14
OTH/04-N.
OTH/05B-F.
DGS/15X14
Code stock
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
0
4
Navires non adhérant

23
29
58
347
à une organisation de producteurs

Navires adhérant
0
0
0
90
à l’organisation de producteurs
683
1 926
Les pêcheurs d’Aquitaine

Navires adhérant
0
0
0
12
39
101
Coopérative maritime étaploise
Manche Mer du Nord (CMEMMN)
Navires adhérant
0
0
0
2
85
1 348
Coopérative Bretagne-Nord (COBRENORD)
ANNEXES
Navires adhérant
ANNEXE 1
0
7
0
55
564
Fonds régional d’organisation du marché
2 525,5
du poisson du Nord-Normandie (FROM Nord)
RÉPARTITION DES QUOTAS
Navires adhérant
0
0
0
0
34
3 449
du poisson du Sud-Ouest (FROM Sud-Ouest)
Navires adhérant
0
0
0
8
15
563
Organisation de producteurs
de la Cotinière
Navires adhérant
0
0
0
0
90
445
Marins-Pêcheurs Normands (OPN)
Navires adhérant
0
0
0
2
2
56
Organisation de producteurs des pêcheurs artisans
de l’île de Noirmoutier (OPPAN)
Navires adhérant
0
0
1 053
4 193
1 320
15 165
Les pêcheurs de Bretagne
Navires adhérant
0
0
0
42
537
572
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0
0
ORTHONGEL
0
11
Total
1 131
5 501
2 339
26 462,5
Texte 4 sur 130 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE 6 décembre 2023
Brosme
Brosme
Brosme
Baudroie
Cabillaud
Cabillaud
Cabillaud
Lophiidae
Gadus morhua
Gadus morhua
Gadus morhua
Brosme brosme
Brosme brosme
Brosme brosme
Libellé du quota
VII a
VII d
pour
(CIEM)
zone IV
Eaux du
Eaux du
Eaux du
Zone de
référence
I, II et XIV
de la mer
I et II b (1)
V, VI et VII
du Conseil
VIII a, b, d, e
l’exploration
international
eaux UE de la
nationales des
eaux internatio
eaux internatio
nales des zones

nales des zones
nales des zones
zones XII et XIV
Eaux internatio
V b ; eaux inter
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
COD/07D.
COD/07A.
COD/1/2B.
USK/04-C.
USK/567EI.
Code stock
USK/1214EI
ANF/8ABDE.
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
0
0
4
0
0

43
102

Navires adhérant
0
8
0
0
0
0
815

Navires adhérant
0
0
0
0
0
13
204
Navires adhérant
0
0
0
0
0
11
168

Navires adhérant
1
6
39
464
381
935
1 758,7
Navires adhérant
0
0
0
2
0
0
192

Navires adhérant
0
2
0
0
0 à l’organisation de producteurs
104
1 124
de la Cotinière
Navires adhérant
0
0
0
0
0
174
Navires adhérant
0
5
0
0
0
0
146
Navires adhérant
0
5
0
24
112
1 969
5 809
Navires adhérant
0
7
0
0
0
0
1 261
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0
0
0
ORTHONGEL
6
6
63
Total
1 030
2 460
10 634
1 758,7
Cabillaud
Cabillaud
Cabillaud
Cabillaud
Cabillaud
Gadus morhua
Gadus morhua
Gadus morhua
Gadus morhua
Gadus morhua
Libellé du quota
nes
00 O
pour
(CIEM)
Zone de
référence
de la mer
de la zone
du Conseil
IV ; eaux du
Skagerrak ni
prise dans le
l’exploration
international
VIa ; eaux du
VIb ; eaux du
Royaume-Uni
III a non com
COPACE 34.1.1
Vb à l’ouest de
12° 00 O et des
VII b, c,e-k, VIII,

eaux internatio
eaux internatio
zones XII et XIV

nales de la zone
nales de la zone
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
dans le Kattegat
Eaux norvégien
de la zones II a ;
Vb à l’est de 12°
partie de la zone
IX et X ; eaux UE
Code stock
COD/5BE6A
COD/5W6-14
COD/1N2AB.
COD/7XAD34
COD/2A3AX4
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
0
0
0

1,0
0,0

Navires adhérant
0
0
0
5,0
0,0
Navires adhérant
0
0
0
0,0 à l’organisation de producteurs

26,5

Navires adhérant
0
0
0
0,0
22,5
Navires adhérant
0
23
12,5
362,0

2 176,8

Navires adhérant
0
0
0
6,0
0,0

Navires adhérant
1
0
0
0,0
0,0
de la Cotinière
Navires adhérant
0
0
0
3,0
9,5
Navires adhérant
0
0
0
0,0
0,0
Navires adhérant
0
0
81
158,0
139,0
Navires adhérant
0
0
0
4,0
0,0
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0,0
0,0
ORTHONGEL
1
104
Total
212,0
537,0
2 176,8
Cardine
Cardine
Cardine
Cardine
Chinchard
Trachurus spp.
Libellé du quota
Lepidorhombus spp.
Lepidorhombus spp.
Lepidorhombus spp.
Lepidorhombus spp.
IIa
VII
pour
(CIEM)
eaux du
Eaux du
Eaux du
Zone de
référence
de la mer
du Conseil
VIII a, b,d, e
VI ; eaux du
l’exploration
international
du Royaume-
Royaume-Uni
eaux UE de la
zone IV ; eaux
nationales des
nationales des
Uni de la zone
VIII d et VIII e ;
Vb ; eaux inter
eaux internatio
eaux internatio
zones XII et XIV

zones XII et XIV
V b ; eaux inter
nales de la zone
nales de la zone
Royaume-Uni et
e-k, VIII a, VIII b,
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
a ; VI, VII a-c, VII

des zones II a, IV
LEZ/07.
LEZ/56-14
JAX/2A-14
Code stock
LEZ/2AC4-C
LEZ/8ABDE.
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
5
3

78
1,0
15,0

Navires adhérant
0
49
73
114,3
805,0

Navires adhérant
0
0
0
3,0
13,3
Navires adhérant
0
0
11
2,0
84,0

Navires adhérant
51
85
68
267,2
689,5

Navires adhérant
0
79
2,1
186
1 798,0

Navires adhérant
0
0
78
2,1
152,0 Organisation de producteurs
de la Cotinière
Navires adhérant
0
0
19
8,0
38,0
Navires adhérant
0
0
12
1,0
4,0
Navires adhérant
9
642
118,8
1 744
3 425,0
Navires adhérant
62
18
44,0
511,0
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0,0
0,0
ORTHONGEL
80
Total
603,6
1 008
2 184
7 494,5
Eglefin
Eglefin
Eglefin
Eglefin
Chinchard
aeglefinus
aeglefinus
aeglefinus
aeglefinus
Dorade rose
Trachurus spp.
Libellé du quota
Melanogrammus
Melanogrammus
Melanogrammus
Melanogrammus
Pagellus bogaraveo
et II
VII a
pour
34.1.1
(CIEM)
et VII d
Eaux du
Zone de
référence
de la mer
du Conseil
aux UE des
IV ; eaux du
de la zone II
VI, VII et VIII
l’exploration
international
Royaume-Uni
X ; eaux UE de
zones IV b, IV c
nes des zones I

Royaume-Uni et
Eaux norvégien
la zone COPACE
VII b-k, VIII, IX et
SBR/678-
HAD/07A.
HAD/2AC4.
JAX/4BC7D
Code stock
HAD/1N2AB.
quotaHAD/7X7A34
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
1
3

35
0,0
0,1
77,0

Navires adhérant
0
4
0
0,0
0,2
242,0

Navires adhérant
0
25
0,0
0,1
205
35,0
Navires adhérant
0
0
5
0,0
0,1
450,0
Navires adhérant
37
0,2
283
384,5
170,1
2 725
Navires adhérant
0
1
9
0,0
0,0
528,0
Navires adhérant
0
1
1
0,0
0,2
139,0
de la Cotinière
Navires adhérant
0
0
82
0,0
0,2
86,0
Navires adhérant
0
0
0
2,0
0,0
0,0
Navires adhérant
71
0,0
254
178
11,4
5 107,0
Navires adhérant
5
2
7
0,0
0,5
92,0
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0,0
0,0
0,0
ORTHONGEL
300
773
13,0
Total
170,1
2 861
7 142,5
Germon
Germon
glossoides
Flétan noir
Grenadiers
Grenadiers
Argentina silus
Macrourus spp.
Macrourus spp.
Libellé du quota
Grande argentine
Thunnus alalunga
Thunnus alalunga
Reinhardtius hippo
Vb
pour
(CIEM)
5° nord
5° nord
Zone de
référence
de la mer
du Conseil
Uni et eaux
Uni et eaux
VI ; eaux du
de la zone V
IIa ; eaux du
Océan Atlan
Océan Atlan
l’exploration
international
du Royaume-
du Royaume-
du Royaume-
de la zone Vb
eaux UE de la
zone IV ; eaux
des zones VIII,

Uni de la zone
VI et VII ; eaux
VI et VII ; eaux
internationales
internationales
internationales
IX, X, XII et XIV

tique au sud de
eaux internatio
nales de la zone
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
tique au nord de
Eaux UE et eaux
ARU/567.
RNG/5B67-
RNG/8X14-
Code stock
ALB/AS05N
ALB/AN05N
GHL/2A-C46
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
0
6
0
0
0

45,0

2 Navires adhérant
9
0
0
0
1 180,5

Navires adhérant
0
0
0
0
0
19,0

Navires adhérant
0
0
0
0
0
16,0

Navires adhérant
0
21
12
2,0
515
400

Navires adhérant
0
0
0
0
28
919,0
Navires adhérant
0
3
0
0
3
157,0
de la Cotinière
Navires adhérant
0
0
0
0
0
4,0
Navires adhérant
0
0
0
0
0
25,5
Navires adhérant
1
0
28
75
1 447
3 232,0
Navires adhérant
0
0
0
0
0
932,0
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
345
ORTHONGEL
51
13
345
478
Total
2 008
6 532,0
Hareng
Hareng
Hareng
Hareng
Hareng
Hareng
Clupea harengus
Clupea harengus
Clupea harengus
Clupea harengus
Clupea harengus
Clupea harengus
Libellé du quota
Vb
pour
I et II
VII e, f
(CIEM)
eaux du
Eaux du
Zone de
IV c, VII d
référence
de la mer
du Conseil
VII g, h, j, k
de 53° 30′ N
végiennes et
l’exploration
eaux des Îles

international
du Royaume-
Royaume-Uni,
Eaux UE, eaux
VI b et VI a N ;
eaux internatio
végiennes de la
eaux internatio
nales des zones

zone IV au nord
nales des zones
Royaume-Uni et
Uni et eaux nor
Féroé, eaux nor
HER/1/2-
HER/7EF.
HER/4AB.
HER/7G-K.
Code stock
HER/4CXB7D
HER/5B6ANB
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
1
0
0
0

0,0
61,0

Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
0,0
Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
329,0

Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
3,0
Navires adhérant
0
54
277
102,9
19 482
10 782,3
Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
0,0
Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
0,0
de la Cotinière
Navires adhérant
1
0
0
0
0,0
12,0
Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
0,0
Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
15,0
Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
3,0
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
0,0
ORTHONGEL
54
279
Total
102,9
19 482
11 205,3
cus
cus
cus
chius
chius
Lieu noir
Lieu noir
Lieu jaune
Lieu jaune
Langoustine
Langoustine
Langoustine
Pollachius polla
Pollachius polla
Pollachius virens
Pollachius virens
Libellé du quota
Nephrops norvegi
Nephrops norvegi
Nephrops norvegi
IIa
VII
VII
16)
et II
pour
(CIEM)
Zone de
référence
de la mer
du Conseil
être pêchés
VIII a, b, d, e
VIII a, b, d, e
l’exploration
international
du Royaume-
dont au maxi
mum peuvent
Uni de la zone
nes des zones I
III a et IV ; eaux
dans le banc de
Eaux norvégien
Porcupine (unité
POL/07.
NEP/07.
POK/2C3A4
Code stock
POL/8ABDE.
NEP/8ABDE.
NEP/*07U16
POK/1N2AB.
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
0
0

52
46
37
15
3,0

0 Navires adhérant
0
27
66
73
0,0
117

Navires adhérant
0
0
2
2
5
45
0,0

Navires adhérant
0
0
12
21
0,0
528
116

Navires adhérant
7
87
10
0,0
352
139
11 799
Navires adhérant
0
0
70
94
26
77
14,0

Navires adhérant
2
0
22
61
0,0
121
378
de la Cotinière
Navires adhérant
0
0
2
0
0,0
815
138
Navires adhérant
0
0
8
8
96
17
0,0
Navires adhérant
0
583
823
471,6
1 783
3 605
3 211
Navires adhérant
0
0
185
109
311
217
42,0
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0
0
0,0
ORTHONGEL
87
Total
530,6
1 400
3 877
4 745
3 827
12 384
grise
bleue
glossus
Lieu noir
Lingue bleue
Lingue bleue
Molva molva &

Lingue et lingue
Pollachius virens
Libellé du quota
Molva dypterigia
Molva dypterigia
Molva dypterigia
Microstomus kitt &
Limande sole et plie
Glytocephalus cyno
Vb
pour
(CIEM)
zone IV
Eaux du
Eaux du
Zone de
référence
de la mer
du Conseil
II ; eaux du
Uni et eaux
VI ; eaux du
eaux UE des
l’exploration
international
Eaux des îles

des zones Vb
du Royaume-
eaux UE de la
V b, XII et XIV
VI et VII ; eaux
zones II a et IV
internationales
eaux internatio
eaux internatio
nales des zones
nales de la zone
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
Féroé de la zone
BLI/24-
BLI/5B67-
B/L/05B-F.
POK/56-14
Code stock
L/W/2AC4-C
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
0
0

10
31
0,0

Navires adhérant
0
0
3
16
0,0
0 Navires adhérant
0
0
80
0,0

Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
Navires adhérant
0
27
6,5
541
2 024
Navires adhérant
0
0
22
11
0,0
Navires adhérant
0
0
22
0,0
103
de la Cotinière
Navires adhérant
0
0
0
0,0
228

Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
Navires adhérant
0
4
6,5
6 439
1 957
Navires adhérant
0
0
2
0
0,0
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
ORTHONGEL
0
113
13,0
Total
8 614
2 793
Maquereau
Molva molva
Molva molva
Molva molva
Molva molva
Molva molva
Lingue franche
Lingue franche
Lingue franche
Lingue franche
Lingue franche
Libellé du quota
Scomber scombrus
V
pour
I et II
(CIEM)
zone IV
XII ; XIV
Eaux du
Eaux du
Eaux du
Zone de
référence
de la mer
b, III c, III d
du Conseil
X ; eaux du
l’exploration
international
du Royaume-
eaux UE de la
Uni et eaux UE
III a et IV ; eaux
eaux internatio
eaux internatio
eaux internatio
nales des zones

nales des zones
nales de la zone
Royaume-Uni et
VI, VII, VIII, IX et
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
Eaux norvégien
nes de la zone IV
des zones II a, III

LIN/1/2.
LIN/05EI.
LIN/04-C.
LIN/04-N.
LIN/6X14.
MAC/2A34.
Code stock
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
0
0
0
1
0

58

Navires adhérant
0
0
0
0
0
66
Navires adhérant
2
0
0
0
0
564
Navires adhérant
0
0
0
0
0
180 Coopérative Bretagne-Nord (COBRENORD)
Navires adhérant
9
2
2
567
178
1 074
Navires adhérant
0
0
0
0
0
79
Navires adhérant
0
0
0
0
3
95
de la Cotinière
Navires adhérant
0
0
0
0
6
98
Navires adhérant
0
0
0
0
0
14
Navires adhérant
0
2
0
20
24
1 946
Navires adhérant
0
0
0
0
0
70
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0
0
ORTHONGEL
9
4
3
211
Total
1 658
3 175
gus
gus
gus
gus
Merlan
Merlan
Merlan
Merlan
Maquereau
Maquereau
Libellé du quota
Scomber scombrus
Scomber scombrus
Merlangius merlan
Merlangius merlan
Merlangius merlan
Merlangius merlan
VIII
XIV.
VII a
pour
34.1.1
(CIEM)
Zone de
référence
de la mer
du Conseil
VI ; eaux du
IV ; eaux du
l’exploration
international
Royaume-Uni
d, e ; eaux du
zone COPACE
de la zone II a
eaux UE de la
VIII c, IX et X ;
nationales des
nationales des
eaux internatio
eaux internatio
zones XII et XIV

zones II a, XII et
V b ; eaux inter
V b ; eaux inter
nales de la zone
nales de la zone
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
VI, VII et VIII a, b,
WHG/08.
WHG/07 A.
WHG/56-14
Code stock
WHG/2AC4.
MAC/2CX14-
MAC/8C3411
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
0
0

11
20
51
157,2

Navires adhérant
0
0
33
69
131
779,0

Navires adhérant
0
0
0
28
2 300
1 508,0

Navires adhérant
0
0
0
12
36
274,7

Navires adhérant
2
2
2
18
1 605
8 138,3

Navires adhérant
4
0
0
71
13
73,0

Navires adhérant
0
0
0
0
167
69,7
de la Cotinière
Navires adhérant
0
4
0
0
28
1 881,7 Marins-Pêcheurs Normands (OPN)
Navires adhérant
0
0
0
0
125
13,0
Navires adhérant
16
47
160
143
795
1 515,7
Navires adhérant
0
1
81
24
538
368,0
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0
0,0
ORTHONGEL
19
210
217
Total
4 189
1 902
14 778,3
gus
cius
cius
cius
Merlu
Merlu
Merlu
tassou
Merlan
Merlan bleu
Libellé du quota
Merluccius merluc
Merluccius merluc
Merluccius merluc
Merlangius merlan
Micromesistius pou
IIa
pour
(CIEM)
Eaux du
Eaux du
VII b à k
Zone de
XII et XIV
XII et XIV
référence
de la mer
du Conseil
Uni et eaux
l’exploration
international
du Royaume-
du Royaume-
eaux UE de la
zone IV ; eaux
Uni de la zone
VI et VII ; eaux
internationales
eaux internatio
eaux internatio
nales des zones

I, II, III, IV, V, VI,
nales des zones
Royaume-Uni et
Royaume-Uni et
Eaux norvégien
nes de la zone IV
de la zone V b et
VII, VIII a, b, d, e,
HKE/04-N
WHB/1X14
Code stock
HKE/571214
HKE/2AC4-C
WHG/7X7A-C
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)

73
27
46
0,0

Navires adhérant
0
0
20
4,0
1 320

9 Navires adhérant
0
0
0,0
744

Navires adhérant
0
0
0,0
290
773

Navires adhérant
44
495
5 132
1 198

28 083,4

Navires adhérant
0
0
30
0,0
3 320
Navires adhérant
0
6
21
0,0
821
de la Cotinière
Navires adhérant
0
8
24
0,0
793

Navires adhérant
0
0
0
11
0,0
Navires adhérant
0
1,0
162
9 924
1 612
Navires adhérant
0
0
84
0,0
410
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0,0
ORTHONGEL
44
698
Total
5 321
21 334
28 088,4
Plie
Plie
Plie
Plie
cius
cius
tessa
tessa
tessa
tessa
Merlu
Merlu
Libellé du quota
Pleuronectes pla
Pleuronectes pla
Pleuronectes pla
Pleuronectes pla
Merluccius merluc
Merluccius merluc
pour
34.1.1
VII f, g
(CIEM)
VII d, e
Zone de
VII h, j, k
référence
de la mer
du Conseil
IV ; eaux du
Skagerrak ni
VIII a, b, d, e
prise dans le
l’exploration
international
Royaume-Uni
zone COPACE
III a non com

eaux UE de la
VIII c, IX et X ;
de la zone II a,
dans le Kattegat
partie de la zone
PLE/7FG.
PLE/7/DE.
PLE/7HJK.
Code stock
HKE/8C3411
HKE/8ABDE.
PLE/2A3AX4
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
0
0

14
51
314
462

Navires adhérant
1
2
0
21
76
3 567

Navires adhérant
0
1
0
637
347
174

Navires adhérant
6
7
0
0
109
131

Navires adhérant
0
4
899
209
104
1 820

Navires adhérant
3
2
7
0
123
1 850

Navires adhérant
0
1
2
0
74
2 055
de la Cotinière
Navires adhérant
0
2
6
0
694
254

Navires adhérant
0
0
4
6
0
204
Navires adhérant
13
51
75
253
226
9 824
Navires adhérant
1
8
0
31
13
3 222
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0
0
ORTHONGEL
24
78
670
654
Total
2 971
23 563
Plie
tessa
Raies
Raies
Raies
Raies
Rajidae
Rajidae
Rajidae
Rajidae
Raie brunette
Raja undulata
Raja undulata
Libellé du quota
Pleuronectes pla
dont Raie brunette

pour
34.1.1
(CIEM)
VII d, e
Eaux du
zone VIII
Zone de
référence
zone VII d
de la mer
du Conseil
IV ; eaux du
VIII, IX et X ;
eaux UE des
Eaux UE des
l’exploration
international
de la zone IIa
du Royaume-
Royaume-Uni
zone COPACE
eaux UE de la
Eaux UE de la
Eaux UE de la
Uni de la zone
zones VIII et IX
VII a-c et VII e-k
zones VI a, VI b,
Royaume-Uni et
Eaux UE et eaux
RJU/8-C.
RJU/7DE.
SRX/07D.
SRX/89-C.
PLE/8/3411
Code stock
SRX/2AC4-C
SRX/67AKXD
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
3
3

61
78
0,0
136
113

Navires adhérant
5
0
0
5
53
0,0
138

Navires adhérant
6
0
1
38
17
0,0
124

Navires adhérant
9
0
3
31
0,0
294
371

Navires adhérant
5
33
79
18
0,0
347
324

Navires adhérant
5
0
0
9
66
6,3
210
Navires adhérant
0
0
0
5
13
3,6
307
de la Cotinière
Navires adhérant
2
1
0
0,2
482
490
543
Navires adhérant
0
6
0
0
94
11
1,1
Navires adhérant
2
2
34
9,2
390
1 213
2 605
Navires adhérant
7
0
2
25
1,5
184
104
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0
0
0,0
ORTHONGEL
41
101
21,9
Total
1 358
2 068
4 435
1 104
Sole
Sole
Sole
Sole
Sébaste
Sébaste
Sabre noir
Solea solea
Solea solea
Solea solea
Solea solea
Sebastes spp.
Sebastes spp.
Libellé du quota
Aphanopus carbo
IIa
XII
Vb
et II
VII e
VII d
pour
VII f, g
(CIEM)
Eaux du
Zone de
référence
de la mer
du Conseil
Uni et eaux
l’exploration
international
Eaux des îles

des zones V ;
du Royaume-
du Royaume-
eaux UE de la
zone IV ; eaux
Uni de la zone
VI et VII ; eaux
internationales
nes des zones I

eaux internatio
nales de la zone
Royaume-Uni et
Eaux norvégien
Féroé de la zone
RED/05B-F.
SOL/07E.
SOL/07D.
SOL/7FG.
SOL/24-C.
BSF/56712-
Code stock
RED/1N2AB.
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
(tonnes)
3
0
0
6

46
98
1,0
Navires adhérant
3
0
0
0
0
6
3,0
Navires adhérant
2
0
0
0
78
0,0
Navires adhérant
0
0
0
0
86
14
5,5
Navires adhérant
0
59
13
93
1,0
363
284

Navires adhérant
0
2
2
0
0
12
5,0
Navires adhérant
0
0
1
0
0
9
0,0
de la Cotinière
Navires adhérant
0
0
0
13
64
0,0
350
Navires adhérant
1
2
0
0
0
0
0,0
Navires adhérant
6
0
0
24
188
61,0
1 182
Navires adhérant
0
2
3
0
0
0
2,0
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0
0
0,0
ORTHONGEL
0
93
164
405
933
78,5
Total
1 499
Sole
Sole
Solea solea
Solea solea
Libellé du quota
pour
(CIEM)
VIII a, b
Zone de
VII h, j, k
référence
de la mer
du Conseil
l’exploration
international
SOL/8AB.
SOL/7HJK.
Code stock
quota
Sous-
quota
Sous-
(tonnes)
(tonnes)
0

45,0

Navires adhérant
4
365,0

Navires adhérant
0
0,0

Navires adhérant
2
11,0

Navires adhérant
2
1,0

Navires adhérant
3
384,0

Navires adhérant
0
301,5
de la Cotinière
Navires adhérant
0
3,5 à l’organisation de producteurs

0 Navires adhérant
356,0
Navires adhérant
35
589,0
Navires adhérant
0
517,0
VENDEE
Navires adhérant
0,0
ORTHONGEL
46
Total
2 573,0
Zone de référence
Libellé du du Conseil international Navires pratiquant le métier
quota pour l’exploration Code stock de la senne Autres navires Total
de la mer (CIEM)
Albacore
Zone de compétence YFT/IOTC Sous-quota 26974 736 27710
Thunnus CTOI (tonnes)
albacares
Zone de
référence du Navires titulaires d’une AEP
Conseil Navires titulaires d’une AEP « thon tropicaux en zone Navires non titulaires
Libellé du international Code « thon tropicaux en zone ICCAT » et pratiquant d’une AEP « thon tropicaux Total
quota pour l’explo stock ICCAT » et pratiquant le métier de la canne en zone ICCAT » (1)
ration de la le métier de la senne ou de la ligne
mer (CIEM)
Thon Sous-
obèse Océan BET/AT quota
Atlantique LANT (ton 3 352 147 184 3 683
Thunnus
obesus nes)
(1) Pour les navires titulaires de l’AEP thon blanc (Thunnus alalunga) avec l’engin chalut pélagique dans l’océan Atlantique
au nord de 5°N, les captures sont autorisées dans la limite de 3 tonnes par navire et par marée.
Zone de référence
Libellé du du Conseil international Navires titulaires Navires non titulaires
quota pour l’exploration Code stock d’une AEP « thon germon d’une AEP « thon germon Total
de la mer (CIEM) de Méditerranée » (1) de Méditerranée » (2)
Albacore
Mer méditerranée ALB/MED Sous-quota 13,5 1,5 15
Thunnus (tonnes)
alalunga
(1) Pour les navires titulaires de l’AEP thon germon (Thunnus alalunga) en Méditerranée les captures sont autorisées dans la
limite de :
– 60 thons germon par marée et par navire dans la limite de 680 kg de thon germon par marée et par navire.
(2) Pour les navires non titulaires de l’AEP thon germon (Thunnus alalunga) en Méditerranée les captures sont autorisées dans
la limite de :
– 1 thon par jour et par navire et 5 thons germon par an et par navire dans la limite de 55 kg de thon germon par an et par
navire.
ANNEXE 2
RÉGIONALISATION DES SOUS-QUOTAS ATTRIBUÉS
AUX NAVIRES NON ADHÉRENTS À UNE ORGANISATION DE PRODUCTEURS
dans un quartier maritime de Nouvelle-Aquitaine

à une organisation de producteurs immatriculés

dans un quartier maritime du Pays de Loire
dans un quartier maritime De Bretagne (1)
dans un quartier maritime Normandie (2)

Autres navires non- adhérents
Autres navires non-adhérents
TOTAL
Zone de référence du Conseil Code
Libellé du quota international pour l’exploration stock
de la mer (CIEM)
VI, VII et VIII a, b, d, e ; eaux du

Maquereau Royaume-Uni et eaux internatio MA
Scomber scom nales de la zone V b ; eaux inter C/2C Sous-quota 4 58 96 0 157
brus nationales des zones II a, XII et X14- (tonnes)
XIV
(1) Pour les navires non-adhérents à une organisation de producteurs et immatriculés dans un quartier maritime de Bretagne,
les captures sont autorisées dans la limite de :
– 100 kg par jour par navire ;
– 300 kg par semaine par navire.
(2) Pour les navires non-adhérents à une organisation de producteurs et immatriculés dans un quartier maritime de
Normandie :
– les captures sont autorisées dans la limite de 300 kg par semaine par navire ;
– la pêche est fermée le vendredi et le samedi.
dans un quartier maritime de Nouvelle-Aquitaine

dans un quartier maritime du Pays de Loire
dans un quartier maritime de Bretagne (1)
dans un quartier maritime de Normandie
dans un quartier maritime d’Occitanie

Autres navires non adhérents
TOTAL
Zone de référence du Conseil
Libellé du quota international pour l’exploration
de la mer (CIEM)
Sous-
Sole Solea solea VIII a, b quota 23 0 15 0 7 45
(ton
nes)
(1) Pour les navires non-adhérents à une organisation de producteurs et immatriculés dans un quartier maritime de Bretagne,
les captures sont autorisées dans la limite de :
– 1 t par navire au premier semestre dont 700 kg par navire au premier trimestre.
ANNEXE 3
QUOTAS FIXÉS À 0 TONNE
Hors considérations liées aux programmes scientifiques, les quotas suivants sont fixés à 0 tonne pour l’année
2023 :
– Hoplostete orange (Hoplostethus atlanticus) des eaux UE et eaux internationales de la zone VI ;
– Hoplostete orange (Hoplostethus atlanticus) des eaux UE et eaux internationales de la zone VII ;
– Hoplostete orange (Hoplostethus atlanticus) des eaux UE et eaux internationales des zones I, II, III, IV, V,
VIII, IX, X, XII et XIV ;
– Requins des grands fonds des eaux UE et eaux internationales des zones V, VI, VII, VIII et IX ;
– Requin taupe (Lamna nasus) des eaux UE et eaux internationales des zones III, IV, V, VI, VII, VIII, IX, X et
XII.
spp.
spp.
Baudroie
Cabillaud
Lophiidae
Chinchard
Chinchard
Chinchard
Lieu jaune
Gadus morhua
Trachurus spp.
Trachurus spp.
Trachurus spp.
Pollachius pollachius
Libellé de la flexibilité
Cardine Lepidorhombus
Cardine Lepidorhombus
Code UE
JAX/*07D.
LEZ/*2AC4C
JAX/*7D-EU
LEZ/*8ABDE
POL/*8ABDE
JAX/*2A4AC
COD/*2A3X4
ANF/*8ABDE
3
0
0
0
0

13
40
22

Navires adhérant
2
0
0
1
0
0
157
224

Navires adhérant
4
0
2
5
0
0
0
28

1
0
0
0
0
0
Navires adhérant à l’organisation de producteurs

31
47

1
9
18
17
23

140
432
270

ANNEXE 4
Navires adhérant
4
0
0
0
0
0
219
144

Navires adhérant
8
0
0
0
1
0
216
299
Organisation de producteurs de la Cotinière
1
1
1
0
0
0
50
21
RÉPARTITION DES FLEXIBILITÉS INTERZONALES EN TONNES
Navires adhérant
3
0
0
0
0
0
13
32
Navires adhérant à
0
0
4
0
50
l’organisation de producteurs
102
1532
1 770
0
0
2
0
1
12
171
230
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0
0
0
ORTHONGEL
85
12
24
24
52
575
2825
Total
2 780
Raies
Raies
Merlu
Merlu
Rajidae
Rajidae
Lieu noir
merluccius
Merluccius
Molva molva
Lingue franche
Pollachius virens
Merluccius merluccius
Libellé de la flexibilité
Code UE
LIN/*04-C.
SRX/*07D.
HKE/*57-14
SRX/*2AC4C
POK/*2AC4C
HKE/*8ABDE
1
0
0

13
48
18

Navires adhérant
0
0
0
0
115
623

Navires adhérant
2
1
0
18
52
18

0
0
0
0

42
10

66
52

194
482
506
1357

Navires adhérant
0
0
0
0
376
628

Navires adhérant
0
0
0
2
215
206
Organisation de producteurs de la Cotinière
1
3
0
0
90
38
Navires adhérant
0
0
6
0
0
36
50
927
897
374
2621
0
1
0
0
334
103
VENDEE
Navires adhérant
0
0
0
0
0
5577
ORTHONGEL
237
115
882
2343
5577
1380
Total
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES

ET DE LA SOUVERAINETÉ INDUSTRIELLE ET NUMÉRIQUE
Décret no 2023-1133 du 4 décembre 2023 modifiant l’annexe I au décret no 2007-1665 du

26 novembre 2007 relatif à l’organisation des services déconcentrés de la direction générale des
douanes et droits indirects
NOR : ECOP2329024D
Publics concernés : agents, interlocuteurs et usagers des services déconcentrés de la direction générale des
douanes et droits indirects.
Objet : modification, au sein de la direction interrégionale des douanes et droits indirects Hauts-de-France, du
ressort territorial des directions régionales de Dunkerque et de Lille.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le 1er janvier 2024.
Notice : le texte modifie le ressort territorial des directions régionales de Dunkerque et de Lille, qui composent,
avec celle d’Amiens, la direction interrégionale des douanes et droits indirects Hauts-de-France. En effet, le texte
rattache à la direction régionale de Lille les arrondissements d’Arras, de Lens et de Béthune dépendant
jusqu’alors de la direction régionale de Dunkerque. Ce redécoupage administratif a pour objectif de rééquilibrer
les deux circonscriptions et de les recentrer autour de leurs bassins économiques respectifs ainsi que des axes de
communication qui les irriguent.
Références : le texte et le décret qu’il modifie, dans la rédaction résultant de cette modification, peuvent être
consultés sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Sur le rapport du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique,
Vu le décret no 2007-1665 du 26 novembre 2007 modifié relatif à l’organisation des services déconcentrés de la
direction générale des douanes et droits indirects ;
Vu l’avis du comité social d’administration de service déconcentré de la direction interrégionale des douanes et
droits indirects Hauts-de-France en date du 15 novembre 2023,
Décrète :
Art. 1er. – A l’annexe I au décret du 26 novembre 2007 susvisé, la ligne :
«
DR Dunkerque Nord (arrondissement de Dunkerque), Pas-de-Calais
DI Hauts-de-France Nord (arrondissements de Lille, de Valenciennes, de Cambrai, d’Avesnes-sur-Helpe et de

DR Lille Hauts-de-France Douai)
(Siège : Lille)
DR Amiens Aisne, Oise, Somme
»
est remplacée par la ligne :
«
Nord (arrondissement de Dunkerque), Pas-de-Calais (arrondissements de Boulogne-sur-Mer,

DR Dunkerque Calais, Montreuil et Saint-Omer)
DI Hauts-de-France
Hauts-de-France Nord (arrondissements de Lille, de Valenciennes, de Cambrai, d’Avesnes-sur-Helpe et de
(Siège : Lille) DR Lille Douai), Pas-de-Calais (arrondissements d’Arras, de Lens et de Béthune)
DR Amiens Aisne, Oise, Somme
».
Art. 2. – Le présent décret entre en vigueur le 1er janvier 2024.
Art. 3. – Le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et le ministre

délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, chargé des
comptes publics, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
ÉLISABETH BORNE
Par la Première ministre :
Le ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique,
BRUNO LE MAIRE
Le ministre délégué auprès du ministre
de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle
et numérique, chargé des comptes publics,
THOMAS CAZENAVE
TEXTES GÉNÉRAUX

Arrêté du 4 décembre 2023

portant ouverture de crédits d’attributions de produits
NOR : ECOB2333061A
Le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et

numérique, chargé des comptes publics,
Vu la loi no 2001-692 du 1er août 2001 modifiée portant loi organique relative aux lois de finances, notamment
son article 17 ;
Vu la loi de finances et les textes portant ouverture et annulation de crédits pour 2023 ;
Attendu qu’il a été constaté le versement dans les caisses du Trésor public d’une somme de 16 526 601,41 € à
titre d’attributions de produits,
Arrête :
Art. 1 . – Sont ouverts, pour 2023, des crédits d’un montant de 16 526 601,41 € en autorisations d’engagement
er
et de 16 526 601,41 € en crédits de paiement applicables aux programmes du budget général mentionnés dans le
tableau 1 annexé au présent arrêté.
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
chargé de la première sous-direction
de la direction du budget,
S. ROBIN
ANNEXE
TABLEAU 1
INTITULÉS DE LA MISSION NUMÉRO AUTORISATIONS CRÉDITS

et du programme, ou de la dotation du programme d’engagement ouvertes de paiement ouverts
ou de la dotation
Action extérieure de l’Etat 267 949,42 267 949,42
Action de la France en Europe et dans le monde ............................................ 105 244 017,58 244 017,58
Diplomatie culturelle et d’influence.................................................................... 185 23 931,84 23 931,84
Administration générale et territoriale de l’Etat 1 427 894,64 1 427 894,64
Conduite et pilotage des politiques de l’intérieur............................................. 216 1 214 243,69 1 214 243,69
Administration territoriale de l’Etat.................................................................... 354 213 650,95 213 650,95
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales 67 047,00 67 047,00
Sécurité et qualité sanitaires de l’alimentation................................................. 206 826,00 826,00
Conduite et pilotage des politiques de l’agriculture......................................... 215 66 221,00 66 221,00
Conseil et contrôle de l’Etat 37 420,16 37 420,16
Cour des comptes et autres juridictions financières ........................................ 164 37 420,16 37 420,16
NUMÉRO
INTITULÉS DE LA MISSION du programme AUTORISATIONS CRÉDITS
et du programme, ou de la dotation ou de la dotation d’engagement ouvertes de paiement ouverts
Culture 111 340,00 111 340,00
Patrimoines ........................................................................................................... 175 10,00 10,00
Soutien aux politiques du ministère de la culture............................................ 224 111 330,00 111 330,00
Défense 6 128 131,53 6 128 131,53
Equipement des forces ........................................................................................ 146 762 421,02 762 421,02
Préparation et emploi des forces........................................................................ 178 5 247 057,72 5 247 057,72
Soutien de la politique de la défense ................................................................ 212 118 652,79 118 652,79
Ecologie, développement et mobilité durables 953 197,46 953 197,46
Infrastructures et services de transports ........................................................... 203 868 141,60 868 141,60
Affaires maritimes, pêche et aquaculture.......................................................... 205 85 055,86 85 055,86
Economie 193 811,97 193 811,97
Statistiques et études économiques .................................................................. 220 193 811,97 193 811,97
Enseignement scolaire 132 863,43 132 863,43
Enseignement scolaire public du second degré ............................................... 141 91 010,32 91 010,32
Dont titre 2.............................................................................................. 60 254,32 60 254,32
Soutien de la politique de l’éducation nationale .............................................. 214 41 853,11 41 853,11
Gestion des finances publiques 979 794,14 979 794,14
Gestion fiscale et financière de l’Etat et du secteur public local .................... 156 662 814,76 662 814,76
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières ................... 218 28 384,00 28 384,00
Facilitation et sécurisation des échanges .......................................................... 302 288 595,38 288 595,38
Justice 173 812,03 173 812,03
Administration pénitentiaire................................................................................ 107 31 824,30 31 824,30
Justice judiciaire................................................................................................... 166 72 809,33 72 809,33
Protection judiciaire de la jeunesse.................................................................... 182 69 178,40 69 178,40
Outre-mer 110 669,19 110 669,19
Emploi outre-mer ................................................................................................. 138 110 669,19 110 669,19
Recherche et enseignement supérieur 10 441,02 10 441,02
Vie étudiante......................................................................................................... 231 10 441,02 10 441,02
Sécurités 5 929 458,42 5 929 458,42
Gendarmerie nationale ........................................................................................ 152 5 018 703,03 5 018 703,03
Dont titre 2.............................................................................................. 1 139 584,89 1 139 584,89
Sécurité civile........................................................................................................ 161 31 356,80 31 356,80
Police nationale .................................................................................................... 176 862 514,99 862 514,99
Sécurité et éducation routières........................................................................... 207 16 883,60 16 883,60
Travail et emploi 2 771,00 2 771,00
Accompagnement des mutations économiques et développement de

l’emploi............................................................................................................. 103 2 771,00 2 771,00
Totaux .......................................................................................................... 16 526 601,41 16 526 601,41

NUMÉRO
Dont titre 2.............................................................................................. 1 199 839,21 1 199 839,21

TEXTES GÉNÉRAUX

Arrêté du 4 décembre 2023

portant ouverture de crédits de fonds de concours
NOR : ECOB2333063A
Le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et

numérique, chargé des comptes publics,
Vu la loi no 2001-692 du 1er août 2001 modifiée portant loi organique relative aux lois de finances, notamment
son article 17 ;
Vu la loi de finances et les textes portant ouverture et annulation de crédits pour 2023 ;
Attendu qu’il a été constaté le versement dans les caisses du Trésor public d’une somme de 428 516 612,28 € à
titre de fonds de concours,
Arrête :
Art. 1 . – Sont ouverts, pour 2023, des crédits d’un montant de 31 189 512,24 € en autorisations d’engagement
er
et de 428 516 612,28 € en crédits de paiement applicables aux programmes du budget général, de budget annexe et
du compte spécial mentionnés dans le tableau 1 annexé au présent arrêté.
Le sous-directeur
chargé de la première sous-direction
S. ROBIN
ANNEXE
TABLEAU 1
NUMÉRO
Action extérieure de l’État 1 270 943,09 1 270 943,09
Action de la France en Europe et dans le monde ....................................... 105 1 255 194,50 1 255 194,50
Diplomatie culturelle et d’influence .............................................................. 185 15 748,59 15 748,59
Administration générale et territoriale de l’État 304 118,53 304 118,53
Conduite et pilotage des politiques de l’intérieur ....................................... 216 304 118,53 304 118,53
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales 3 378 015,56 3 378 015,56
Compétitivité et durabilité de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la

forêt .............................................................................................................. 149 41 064,31 41 064,31
Sécurité et qualité sanitaires de l’alimentation ............................................ 206 2 463 427,28 2 463 427,28
Conduite et pilotage des politiques de l’agriculture ................................... 215 873 523,97 873 523,97
Aide publique au développement 472 767,00 472 767,00

NUMÉRO
Solidarité à l’égard des pays en développement ........................................ 209 472 767,00 472 767,00
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation 1 383,05 1 383,05
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire

et liens avec la Nation ............................................................................... 169 1 383,05 1 383,05
Cohésion des territoires 2 408 100,00 2 408 100,00
Impulsion et coordination de la politique d’aménagement du territoire .. 112 2 388 100,00 2 388 100,00
Urbanisme, territoires et amélioration de l’habitat ..................................... 135 20 000,00 20 000,00
Conseil et contrôle de l’État 3 346,13 3 346,13
Cour des comptes et autres juridictions financières ................................... 164 3 346,13 3 346,13
Contrôle et exploitation aériens 100 000,00 100 000,00
Transports aériens, surveillance et certification .......................................... 614 100 000,00 100 000,00
Culture 641 203,88 261 531,42
Création ............................................................................................................ 131 100 000,00 100 000,00
Patrimoines ...................................................................................................... 175 541 203,88 161 531,42
Défense 6 728 338,81 6 728 338,81
Environnement et prospective de la politique de défense ......................... 144 5 707 891,59 5 707 891,59
Préparation et emploi des forces .................................................................. 178 988 210,42 988 210,42
Soutien de la politique de la défense ........................................................... 212 32 236,80 32 236,80
Direction de l’action du Gouvernement 4 071 512,43 4 071 512,43
Coordination du travail gouvernemental ...................................................... 129 4 071 512,43 4 071 512,43
Écologie, développement et mobilité durables 3 535 963,86 401 242 736,36
Paysages, eau et biodiversité ........................................................................ 113 17 389,48 17 389,48
Prévention des risques ................................................................................... 181 407 229,00
Infrastructures et services de transports ...................................................... 203 1 775 579,12 399 075 122,62
Conduite et pilotage des politiques de l’écologie, du développement et de

la mobilité durables ................................................................................... 217 1 742 995,26 1 742 995,26
Dont titre 2 ......................................................................................... 427 995,26 427 995,26
Économie 203 700,00 203 700,00
Stratégies économiques ................................................................................. 305 203 700,00 203 700,00
Enseignement scolaire 476 918,28 476 918,28
Enseignement scolaire public du second degré .......................................... 141 5 437,61 5 437,61
Soutien de la politique de l’éducation nationale ......................................... 214 381 000,67 381 000,67
Dont titre 2 ......................................................................................... 70 000,00 70 000,00
Vie de l’élève ................................................................................................... 230 90 480,00 90 480,00
Gestion des finances publiques 237 955,96 237 955,96
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières .............. 218 168 800,00 168 800,00
Facilitation et sécurisation des échanges ..................................................... 302 69 155,96 69 155,96
Gestion du patrimoine immobilier de l’État 2 964 035,35 2 964 035,35
Opérations immobilières et entretien des bâtiments de l’État ................... 723 2 964 035,35 2 964 035,35
NUMÉRO
Immigration, asile et intégration 501 424,86 501 424,86
Intégration et accès à la nationalité française .............................................. 104 501 424,86 501 424,86
Outre-mer 75 051,27 75 051,27
Conditions de vie outre-mer .......................................................................... 123 75 051,27 75 051,27
Recherche et enseignement supérieur 15 000,00 15 000,00
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires ................. 172 15 000,00 15 000,00
Santé 535 751,21 535 751,21
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins ........................................... 204 535 751,21 535 751,21
Sécurités 1 423 030,88 1 423 030,88
Gendarmerie nationale ................................................................................... 152 1 004 633,66 1 004 633,66
Police nationale ............................................................................................... 176 418 397,22 418 397,22
Solidarité, insertion et égalité des chances 62 506,87 62 506,87
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales ........................... 124 62 506,87 62 506,87
Sport, jeunesse et vie associative 966,52 966,52
Jeunesse et vie associative ............................................................................ 163 966,52 966,52
Travail et emploi 1 777 478,70 1 777 478,70
Conception, gestion et évaluation des politiques de l’emploi et du travail 155 1 777 478,70 1 777 478,70
Dont titre 2 ......................................................................................... 1 261 531,90 1 261 531,90
Totaux ..................................................................................................... 31 189 512,24 428 516 612,28
Dont titre 2 ......................................................................................... 1 759 527,16 1 759 527,16

TEXTES GÉNÉRAUX

Décision 4 décembre 2023 approuvant l’attribution d’une dotation

de l’établissement public Caisse de la dette publique aux fins de désendettement
NOR : ECOA2332397S
Le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et le ministre délégué

auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, chargé des comptes
publics,
Vu la loi no 86-824 du 11 juillet 1986 de finances rectificative pour 1986 modifiée, notamment son article 32 ;
Vu la loi no 2022-1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023, notamment son article 133 ;
Vu le décret no 87-152 du 6 mars 1987 modifié fixant les règles d’organisation et de fonctionnement de la Caisse
de la dette publique ;
Vu le décret no 2014-949 du 20 août 2014 portant application de l’ordonnance no 2014-948 du 20 août 2014
relative à la gouvernance et aux opérations sur le capital des sociétés à participation publique, notamment son
article 8 ;
Vu le décret no 2023-1060 du 20 novembre 2023 portant virement de crédits ;
Vu la convention du 29 décembre 2015 entre l’Etat et la Caisse des dépôts et consignations relative au
programme d’investissements d’avenir (action « Fonds de fonds de retournement »), notamment son article 3.6,
Décident :
Art. 1er. – Le versement d’une dotation en capital de 1 838 865 euros (un million huit cent trente-huit mille huit
cent soixante-cinq euros) à la Caisse de la dette publique, établissement public à caractère administratif, est décidé.
Art. 2. – La décision de versement d’une dotation en capital à la Caisse de la dette publique visée à
l’article 1er est approuvée par le ministre chargé du budget.
Art. 3. – Les ressources nécessaires seront consommées sur les disponibilités du compte d’affectation spéciale
« Participations financières de l’Etat » et l’opération imputée sur le programme 732 « Désendettement de l’Etat et
d’établissements publics de l’Etat » - action 1.
Art. 4. – Le directeur général du Trésor, le directeur général de l’Agence France Trésor, le commissaire aux
participations de l’Etat et le chef du service du contrôle budgétaire et comptable ministériel sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution de la présente décision, qui sera publiée au Journal officiel de la République
française.
BRUNO LE MAIRE
THOMAS CAZENAVE
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ET DES OUTRE-MER
Décret no 2023-1134 du 4 décembre 2023 portant modification du décret no 2010-1068

du 8 septembre 2010 fixant les modalités d’organisation des concours pour le recrutement
des agents territoriaux spécialisés de 1re classe des écoles maternelles
NOR : IOMB2324495D
Publics concernés : candidats aux concours pour le recrutement des agents territoriaux spécialisés principaux
de 2e classe des écoles maternelles.
Objet : instauration d’une épreuve écrite d’admissibilité pour le concours interne des agents territoriaux
spécialisés principaux de 2e classe des écoles maternelles.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur à compter du lendemain de sa publication, à l’exception des
dispositions relatives à l’instauration d’une épreuve écrite d’admissibilité pour le concours interne qui sont
applicables à compter de la session 2024 du concours interne.
Notice : le décret introduit une épreuve écrite d’admissibilité au concours interne des agents territoriaux
spécialisés principaux de 2e classe des écoles maternelles, d’une durée de deux heures, qui se compose d’une série
de trois à cinq questions appelant des réponses courtes ou sous forme de tableaux, posées à partir d’un dossier
succinct remis aux candidats portant sur des situations susceptibles d’être rencontrées par un agent territorial
spécialisé des écoles maternelles dans l’exercice de ses fonctions. Le texte actualise par ailleurs l’intitulé du
concours ouvert aux agents territoriaux spécialisés principaux de 2e classe des écoles maternelles afin de tenir
compte de la modification de l’intitulé du 1er grade de ce cadre d’emploi par l’article 24 du décret no 2016-1372
du 12 octobre 2016 modifiant, pour la fonction publique territoriale, certaines dispositions générales relatives aux
fonctionnaires de catégorie C et divers statuts particuliers de cadres d’emplois de fonctionnaires de catégorie C
et B. Il prévoit enfin l’actualisation des dispositions du décret du 8 septembre 2010 pour tenir compte à la fois de
l’intervention du décret no 2013-593 du 5 juillet 2013 relatif aux conditions générales de recrutement et
d’avancement de grade et portant dispositions statutaires diverses applicables aux fonctionnaires de la fonction
publique territoriale, qui fixe les conditions générales d’organisation des concours de la fonction publique
territoriale, et de l’entrée en vigueur du code général de la fonction publique depuis le 1er mars 2022.
Références : le décret ainsi que le texte qu’il modifie, dans sa rédaction issue de cette modification, peuvent être
consultés sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Sur le rapport du ministre de l’intérieur et des outre-mer,
Vu le code général de la fonction publique ;
Vu le décret no 92-850 du 28 août 1992 modifié portant statut particulier du cadre d’emplois des agents
territoriaux spécialisés des écoles maternelles ;
Vu le décret no 2010-1068 du 8 septembre 2010 fixant les modalités d’organisation des concours pour le
recrutement des agents territoriaux spécialisés de 1re classe des écoles maternelles ;
Vu le décret no 2013-593 du 5 juillet 2013 modifié relatif aux conditions générales de recrutement et
d’avancement de grade et portant dispositions statutaires diverses applicables aux fonctionnaires de la fonction
publique territoriale ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale en date du 4 octobre 2023 ;
Vu l’avis du Conseil national d’évaluation des normes en date du 5 octobre 2023,
Décrète :
Art. 1 . – Le décret du 8 septembre 2010 susvisé est modifié conformément aux dispositions des articles 2 à 7
er
du présent décret.
Art. 2. – Dans l’intitulé, les mots : « de 1re classe » sont remplacés par les mots : « principaux de 2e classe ».
Art. 3. – A l’article 1er, les mots : « de 1re classe » sont remplacés par les mots : « principaux de 2e classe ».
Art. 4. – L’article 4 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. 4. – Le concours interne comporte une épreuve écrite d’admissibilité et une épreuve orale d’admission.
« L’épreuve d’admissibilité consiste en une série de trois à cinq questions appelant des réponses courtes ou sous
forme de tableaux, posées à partir d’un dossier succinct remis aux candidats portant sur des situations susceptibles
d’être rencontrées par un agent territorial spécialisé des écoles maternelles dans l’exercice de ses fonctions (durée :
deux heures, coefficient 1).
« Peuvent seuls être autorisés à se présenter à l’épreuve d’admission les candidats déclarés admissibles par le
jury.
« L’épreuve d’admission consiste en un entretien débutant par une présentation par le candidat de son expérience
professionnelle et des compétences qu’il a acquises à cette occasion, sur la base d’un document retraçant son
parcours professionnel.
« Ce document, établi conformément au modèle fixé par arrêté du ministre chargé des collectivités territoriales,
est fourni par le candidat au moment de son inscription et remis au jury préalablement à cette épreuve.
« Cet entretien se poursuit par une conversation visant à apprécier, le cas échéant sous forme de mise en situation
professionnelle, la capacité du candidat à analyser son environnement professionnel et à résoudre les problèmes les
plus fréquemment rencontrés par un agent territorial spécialisé des écoles maternelles (durée : 20 minutes, dont 5
minutes au plus d’exposé, coefficient 2). »
Art. 5. – L’article 6 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. 6. – L’ouverture, l’inscription ainsi que l’organisation et le déroulement des concours sont régis par le
décret no 2013-593 du 5 juillet 2013 relatif aux conditions générales de recrutement et d’avancement de grade et
portant dispositions statutaires diverses applicables aux fonctionnaires de la fonction publique territoriale. »
Art. 6. – L’article 7 est ainsi modifié :
1o Au troisième alinéa, la référence : « l’article 14 du décret du 20 novembre 1985 susvisé » est remplacée par la
référence : « l’article 17 du décret du 5 juillet 2013 précité » ;
2o Au neuvième alinéa, la référence : « l’article 44 de la loi du 26 janvier 1984 susvisée » est remplacée par la
référence : « l’article L. 325-19 du code général de la fonction publique ».
Art. 7. – Les articles 8, 9 et 10 sont abrogés.
Art. 8. – Les dispositions de l’article 4 du présent décret sont applicables à compter de la session 2024 du
concours interne.
Les concours d’accès au cadre d’emplois des agents territoriaux spécialisés principaux de 2e classe des écoles
maternelles, ouverts avant l’entrée en vigueur du présent décret, se poursuivent jusqu’à leur terme en vertu des
dispositions antérieures à la publication du présent décret et dans les conditions fixées par l’arrêté d’ouverture.
Art. 9. – Le ministre de l’intérieur et des outre-mer, le ministre de la transformation et de la fonction publiques
et la ministre déléguée auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer et du ministre de la transition écologique
et de la cohésion des territoires, chargée des collectivités territoriales et de la ruralité, sont chargés, chacun en ce
qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
ÉLISABETH BORNE
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
GÉRALD DARMANIN
Le ministre de la transformation
et de la fonction publiques,
STANISLAS GUERINI
La ministre déléguée auprès du ministre de l’intérieur
et des outre-mer et du ministre de la transition écologique
et de la cohésion des territoires,
chargée des collectivités territoriales et de la ruralité,
DOMINIQUE FAURE
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 23 novembre 2023 fixant le nombre d’emplois offerts au titre de l’article L. 4139-2 du code
de la défense au sein du corps d’encadrement et d’application de la police nationale en qualité
de gardien de la paix pour l’année 2024
NOR : IOMC2330204A
Par arrêté du ministre de l’intérieur et des outre-mer en date du 23 novembre 2023, le nombre d’emplois offerts
au titre de l’article L. 4139-2 du code de la défense au sein du corps d’encadrement et d’application de la police
nationale en qualité de gardien de la paix pour l’année 2024 est de 60.
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2023 portant cahier des charges applicable

à la formation initiale aux activités privées de protection des navires
NOR : IOMD2329915A
Le ministre de l’intérieur et des outre-mer, le ministre délégué auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer,
chargé des outre-mer, et le secrétaire d’État auprès de la Première ministre, chargé de la mer,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L. 611-1, L. 612-20, R. 616-11 à R. 616-13 ;
Vu le code des transports, notamment ses articles L. 5442-1, L. 5442-5, R. 5442-1 ;
Vu l’arrêté du 7 janvier 2015 relatif à l’aptitude professionnelle des dirigeants et des salariés des entreprises
privées de protection des navires et relatif aux agréments des organismes délivrant une formation professionnelle
aux dirigeants et agents des entreprises privées de protection des navires,
Arrêtent :
CHAPITRE Ier
DISPOSITIONS RELATIVES À L’APTITUDE PROFESSIONNELLE
DES DIRIGEANTS DES ENTREPRISES PRIVÉES DE PROTECTION DES NAVIRES
Art. 1er. – Les connaissances et compétences exigées des dirigeants des entreprises de protection des navires au
titre de l’article R. 616-11 du code de la sécurité intérieure sont les suivantes :
OBJECTIFS OBJECTIFS
THÈME PARTIE pédagogiques généraux pédagogiques spécifiques DURÉE MINIMALE
Maîtriser :
– les conditions d’accès à la profession (dont moralité
et aptitude professionnelle, régime de la carte
professionnelle) ;
Module Environnement juri Connaître la loi relative à la pro – les conditions de détention et d’usage des armes ;
juridique dique de la protec tection des navires ainsi que ses 3 heures
tion décrets et arrêtés d’application – les dispositions visant à éviter la confusion avec un
service public ;
– l’organisation et le contexte de la mission de
protection (zonage, certification, etc.) ;
– le régime des sanctions.
Maîtriser les concepts de légitime défense, des faits

justificatifs comme l’état de nécessité, d’atteinte à
l’intégrité physique et à la liberté d’aller et venir.
Connaître les dispositions perti Maîtriser les concepts de non-assistance à personne en
Droit pénal français nentes du code pénal et du code danger et d’omission d’empêcher un crime ou un 3 heures
des transports délit.
Maîtriser la notion et le régime de la consignation à
bord du navire.
Connaître les dispositions essen Compréhension des notions d’eaux intérieures, mer
Droit international de tielles de la convention des territoriale, ZEE et haute mer, des enjeux qui y sont
la mer Nations unies sur le droit de la attachés en termes de navigation et en particulier la 1 heure
mer notion de passage inoffensif.
Maîtriser les dispositions relatives :

Connaître la législation française – aux conditions d’acquisition ;
Prescriptions généra relative aux armes à feu, aux
les concernant la – au transport et au port ; 2 heures
armes non létales et au matériel – au stockage ;
détention d’armes de sûreté – à l’utilisation des armes à feux, des munitions, des
armes non létales et des matériels de sûreté.
Mise en œuvre des meilleures Connaissance des procédures proposées par les BMP.
Module Envi pratiques de gestion (BMP) de
ronnement Sûreté maritime Etre apte à identifier les vulnérabilités potentielles et à 4 heures
l’Organisation maritime inter proposer les améliorations en termes de protection
maritime nationale. du navire.
CHAPITRE II
DISPOSITIONS RELATIVES À L’APTITUDE PROFESSIONNELLE
DES SALARIÉS DES ENTREPRISES PRIVÉES DE PROTECTION DES NAVIRES
Art. 2. – Pour l’obtention de la carte professionnelle autorisant l’exercice de l’activité mentionnée au 4o de
l’article L. 611-1 du code de la sécurité intérieure, la durée et le contenu de la formation initiale, ainsi que les
compétences évaluées à l’occasion de cette formation, sont fixés comme suit, sans préjudice des articles du présent
arrêté propres à chaque type de mission :
OBJECTIFS OBJECTIFS
Maîtriser :
– les conditions d’accès à la profession (dont
moralité et aptitude professionnelle, régime de la
carte professionnelle) ;
– le principe d’exercice exclusif ;
Connaître les dispositions relatives à – les dispositions visant à éviter la confusion avec
la protection privée des navires 4 heures
un service public ;
– l’organisation et le contexte de la mission de
protection (zonage, certification, etc.) ;
– le régime de la carte professionnelle et les
téléservices ;
– le régime des sanctions.
Respecter :
– le secret professionnel ;
Respecter la déontologie profession 4 heures
nelle – les principes déontologiques.
Etre averti sur les marchandages et les sanctions
spécifiques associées.
Compréhension des notions d’eaux intérieures, mer

Environnement juri territoriale, ZEE et haute mer, des enjeux qui y
dique Droit international de la mer sont attachés en termes de navigation et en 1 heure
particulier la notion de passage inoffensif.
Règlementation relative à l’acquisi Maîtriser les conditions d’acquisition, de transport et

Module tion, la détention, la conservation de port, de stockage et d’utilisation des armes à
et au transport des armes et feux, des munitions, des armes non létales et des 2 heures
juridique
munitions matériels de sûreté.
Maîtriser :
– les principes d’absolue nécessité et les conditions
d’application de la légitime défense dans le cadre
de l’autorisation du port d’armes ;
– les concepts d’atteinte à l’intégrité physique et à la
Règlementation relative à l’usage des liberté d’aller et venir, de non-assistance à per
armes et les dispositions perti sonne en danger et d’omission d’empêcher un 3 heures
nentes du code pénal crime ou un délit ;
– les autres cadres juridiques d’utilisation des
armes, notamment ceux spécifiques aux forces de
l’ordre ;
– la notion et le régime de la consignation à bord du
navire.
Connaître :
– les principes de la République notamment la
liberté, l’égalité, la fraternité, la laïcité, la non
discrimination, la liberté de conscience, la pré
Principes de la Répu Connaître les principes de la Répu vention de la violence et le respect de la dignité de
blique française blique française la personne humaine ; 3 heures
– les symboles de la République (devise, emblème
national, hymne national) et le respect qui leur est
dû ;
– l’Etat de droit et le respect de l’ordre public.
Connaissances générales relatives :

– aux différents types de navire, à leurs performan
ces et conditions d’exploitation ;
Connaissances essentielles de l’envi – à l’organisation du bord, à la chaîne de comman
Familiarisation à l’en dement ainsi qu’aux fonctions et responsabilités
vironnement maritime ronnement maritime et des règles 4 heures
de conduite à bord associées ;
– à la conduite à tenir à bord.
Module gens Langue anglaise : compréhension des phrases nor
de mer malisées de l’OMI (IMO-SMCP) essentielles dans
l’exercice de la mission.
Compréhension des enjeux essen

tiels de sécurité maritime. Etre en Avoir au minimum suivi la formation de familiarisa
Sécurité maritime mesure de communiquer avec tion en matière de sécurité (règle VI/1.1 de la 8 heures
l’équipage pour ce qui regarde les convention STCW susvisée)
questions de sécurité élémentai
OBJECTIFS OBJECTIFS
res ; connaître les mesures à

prendre en cas d’alarme et les
procédures.
Connaître les principes du code ISM et les conditions

Connaissance du code international d’application à bord ; identifier les possibles
Sécurité maritime de gestion de la sécurité (code conflits entre la sécurité du navire et les préoc 1 heure
ISM) cupations de sûreté.
Contribuer au renforcement de la sûreté, reconnaître

les menaces et les risques pour la sûreté ; assurer
Connaître les dispositions du code le maintien des prescriptions du plan de sûreté du
international pour la sûreté des navire ; capacité à procéder à des inspections de
navires et des installations por sûreté régulières et à utiliser le matériel et les 10 heures
tuaires (code ISPS). systèmes de sûreté : obtention du certificat de
formation spécifique à la sûreté. (règle VI/6,2 de la
convention STCW).
Rôles et responsabilités au sein de l’équipe.

Règles d’engagement Connaître et mettre en œuvre les Dispositions de veille à des fins de sûreté et d’alerte. 3 heures
procédures de vigilance Identification des menaces, identifier et classer un
mobile (apparences, cinématiques).
Module
théorique
Connaître les caractéristiques techni
Connaissance générale ques générales des armes sus Connaitre les caractéristiques techniques des armes,
des armes ceptibles d’être utilisées par tous leur entretien, les différentes modes de fonction 2 heures
les agents chargés d’assurer la nement, les effets des armes.
protection d’un navire
Connaître les règles générales de Connaître les règles générales de sécurité et d’utili
sécurité des armes susceptibles sation d’une arme et du puits balistique.
d’être utilisées par tous les agents 2 heures
chargés d’assurer la protection Savoir se protéger physiquement au moyen d’un
d’un navire gilet pare-balle et protéger autrui.
Connaitre :
– les procédures et les configurations de stockage
Connaissance des conditions de des armes (coffres, armoire fortes) ;
stockage et de transport des 2 heures
armes – les procédures de traçabilité des armes ;
– les procédures de transport pendant et en dehors
de l’exécution de mission des armes.
Connaître les manipulations de base et procédures

d’emploi pour utiliser une arme à feu, les règles
de sécurité (utilisation de puits balistique, récep 3 heures
tion et transmission sécurisées) et savoir évoluer
avec son arme en milieu professionnel (mise à
Maniement des armes l’étui, règles ergonomiques).
à feu susceptibles
Module d’être portées par Connaître les cinq attitudes élémentaires et la
tous les agents Techniques de base du tir 2 heures
pratique chronologie du tir.
chargés d’une mis
sion de protection
des navires Connaître les différentes zones létales.
Maîtriser les fondamentaux du tir, de tenue de 5 heures
l’arme, les différentes positions et situations de
tir, visée, respiration, maîtrise de la détente.
Savoir résoudre un incident de tir 1 heure
Savoir :
– rendre compte de l’utilisation de son arme et de la
Gestion des consé situation (hiérarchie, forces de l’ordre, client,
Module quences liées à Connaître les mesures à prendre secours, autorité judiciaire) ; 3 heures
tactique l’utilisation de après l’utilisation de l’arme – réagir après un accident survenu au cours de
l’arme l’utilisation d’une arme et d’un tir : préserver les
traces et indices, sécuriser une zone, assister les
victimes, coopérer avec les forces de l’ordre.
Prendre conscience de l’usage d’une arme et les

conséquences d’ouverture du feu.
Connaître les composantes du stress et les moyens
de sa gestion, notamment en cas de port d’une
Utiliser son arme dans une situation arme de poing.
Gestion du stress 8 heures
stressante Savoir prévenir le risque post traumatique.
Intervention d’un psychologue sur les composantes
du stress, sa gestion et notamment des troubles
post-traumatiques
Attaque armée avec gestion du stress.
OBJECTIFS OBJECTIFS
Acquérir les connaissances nécessaires à la bonne

exécution des gestes destinés à préserver l’inté
Savoir mettre en œuvre les gestes grité physique d’une victime, en synergie avec les
Gestion des premiers élémentaires de premier secours 14 heures dont 7
membres d’équipage du navire. heures de mise en
secours et apporter les premiers secours
en cas de blessure par balle. Exécution des premiers secours en cas de blessure pratique
par balle : pathologies, action en cas d’hémorra
gie, matériels et conditionnement du blessé.
– comprendre la notion de primo-intervenant, l’uti

lité de la méthode et découvrir le kit individuel de
premiers secours tactiques ;
– connaître les règles générales du secourisme
tactique et les principes de base de la gestion de
crise et de la scène en fonction de la situation ;
– reconnaître les blessures spécifiques.
Savoir identifier :
– les hémorragies et mettre en place les actions pour
les arrêter ; 13 heures dont 7
– une détresse respiratoire et mettre en œuvre les heures 30 de mise en
Savoir intervenir en qualité de primo- gestes de secours appropriés ; pratique (cas
Secourisme tactique intervenant concrets et scénarios
– l’extraction à effectuer et la mettre en œuvre. de situations dégra
Savoir : dées)
– agir en cas de fractures et traiter les brûlures ;
– connaître la défibrillation ;
– connaître et savoir mettre en application les 3
phases et les 3 protocoles SAFEABC/MARCHE/
RYAN ;
– connaître les méthodes de prise en charge d’une
victime ;
– savoir donner l’alerte et transmettre un bilan aux
secours.
Art. 3. – Pour l’exercice de l’activité de protection des navires mentionnée au 4o de l’article L. 611-1 du code
de la sécurité intérieure consistant, à la demande d’un armateur, à protéger des navires battant pavillon français
contre des menaces situées principalement à l’extérieur du navire, la durée et le contenu de la formation initiale
sont fixés comme suit, en sus de l’article 2 :
THÈME PARTIE OBJECTIFS OBJECTIFS DURÉE MINIMALE

pédagogiques généraux pédagogiques spécifiques
Connaître les procédures proposées par les BMP.

Mise en œuvre des meilleures prati
Module Sécurité maritime ques de gestion de l’organisation Etre apte à identifier les vulnérabilités potentielles et à 4 heures
théorique maritime internationale proposer les améliorations en termes de protection
du navire.
Etre informé des fonctionnalités (apports, limites)

des :
Veille et prévention Connaître les moyens et procédures – matériels de veille : radar, AIS (relever une position 3 heures
de veille à bord d’un navire et identifier) ;
– équipements de radiocommunication du bord et de
l’équipe de protection.
Connaissances géné Caractéristiques techniques des Approfondissement des caractéristiques techniques

rales des armes armes des armes, leur entretien, les différents modes de 2 heures
fonctionnement, les effets des armes
OBJECTIFS OBJECTIFS
Connaître les manipulations de base et procédures

d’emploi pour utiliser une arme d’épaule, les règles
de sécurité (utilisation de puits balistique, réception
et transmission sécurisées) et savoir évoluer avec
son arme en milieu professionnel (mise à l’étui, 5 heures
Technique de base du tir règles ergonomiques, transition d’arme).
Maniement des armes Maîtriser les techniques d’entraînement par répétition
à feu susceptibles (drill).
d’être portées par
les agents chargés Savoir effectuer un rechargement d’urgence et tac
Module de protéger le tique avec une arme d’épaule 1 heure
pratique navire contre des
menaces d’actes
définis aux articles Savoir tirer avec une arme d’épaule (au minimum 150
224-6 à 224-8 du cartouches) : tirs visés, découverte de l’arme et
code pénal accoutumance (50 cartouches), tirs d’intervention
(30 cartouches), tirs derrière protection (10 cartou
Entraînements au tir avec une arme ches), tirs et déplacements (20 cartouches), tirs de 15 heures
d’épaule synthèse (40 cartouches).
Savoir tirer avec une arme d’épaule à répétition à
canon lisse munie d’un dispositif de rechargement
à pompe (au minimum 50 cartouches).
Coordination au sein de l’équipe (veilleur/chef

d’équipe).
Connaître et mettre en œuvre les Connaissance des standards de procédures opéra
Module Gestion des situations mesures de défense et de réac tionnelles, dont : 3 heures
tactique à risque tion – messages radio et signaux d’avertissement ;
– procédures successives de tir gradué en situation de
légitime défense, lignes directrices pour l’apprécia
tion de la nature hostile d’un acte.
Art. 4. – Pour l’exercice de l’activité de protection des navires mentionnée au 4o de l’article L. 611-1 du code
de la sécurité intérieure consistant, à la demande d’un armateur, à protéger des navires battant pavillon français
contre des menaces situées principalement à bord du navire, la durée et le contenu de la formation initiale sont fixés
comme suit, en sus de l’article 2 :
OBJECTIFS OBJECTIFS
Environnement juri
Module dique de la sécurité Application de l’article 73 du code de Savoir respecter les conditions d’interpellation de 2 heures
juridique privée procédure pénale l’article 73 du code de procédure pénale
Savoir définir la menace terroriste et comprendre son

mécanisme :
– définition du terrorisme (les atteintes aux intérêts
Définir les risques terroristes et fondamentaux de la Nation et à l’autorité de l’Etat) ;
connaître les différentes menaces – les différents types de terrorisme (Vigipirate) ;
terroristes – historique du terrorisme moderne (liste des précé
dentes attaques) ;
– méthodologie du terrorisme ;
– motivation du terrorisme.
Connaître les différents modes opératoires tradition

nels :
– attentats aveugles ;
– attentats suicides ;
– prises d’otages et exécution ;
Connaître les différentes menaces – attaques avec armes de guerre.
terroristes Connaître les différentes menaces terroristes émer
Module Prévention des risques gentes :
gestion des terroristes 13 heures
risques – la menace de produits et matières nucléaires,
radiologiques, biologiques, chimiques et explosives
(NRBC– E) ;
– la menace informatique.
Comprendre le niveau de risque en France :

– rappel : Vigipirate/l’état d’urgence/l’état de guerre.
Connaître les niveaux de risque Savoir ce qu’est une cible potentielle et comprendre
associés pourquoi :
– processus de raisonnement ;
– sites sensibles, population ciblée.
Savoir identifier et reconnaître les différents matériels

utilisés par les terroristes :
Connaître les différents matériels – armement (arme de poing, fusil d’assaut, fusil de
terroristes chasse, fusil à pompe, lance-roquette, etc.), présen
tation d’une arme factice ;
– les différents explosifs (solide, liquide, vrac) ;
OBJECTIFS OBJECTIFS
– les engins explosifs improvisés (EEI), schéma de

montage ;
– les modes de déclenchement piégé, à retardement,
contrôlé (ceinture explosif) ;
– sécuriser les lieux en cas de découverte de matériel.
Savoir cultiver son comportement Savoir combattre

les habitudes et les routines :
Savoir développer ses réflexes en – être attentif, vigilant et dissuasif ;
matière de prévention et de
sécurité face aux menaces terro – respecter les procédures.
ristes Savoir développer ses connaissances en matière de
détection de la radicalisation violente et la préven
tion du terrorisme
Capacité de détection et d’analyse des comportements

suspects. Reconnaître les comportements suspects
(le profiling).
Détecter et prévenir : les bons réfle Connaître les indicateurs physiques, la communica
xes face aux menaces terroristes tion non verbale (les parties du corps se révèlent).
Capacité de restituer à sa hiérarchie le fruit de ses
observations.
Savoir utiliser le retour d’expériences.

Savoir entretenir sa culture de la Savoir participer à l’évolution des procédures de
sécurité sécurité.
Savoir s’informer.
Comprendre comment agir en cas d’attaque et suivant

le type d’attaque (armes, engins explosifs impro
visés, etc.) :
Se protéger soi-même – actes réflexes ;
– courir, se cacher, combattre en dernier recours,
démonstrations, mesures de mise en sécurité
immédiate, pratique.
Savoir protéger et diriger les personnes vers une zone

Protéger en sécurité.
Savoir alerter ou faire alerter les forces de l’ordre et sa

hiérarchie, suivant sa situation au cours de l’at
taque :
– témoin direct, présent lors de l’attaque (ou caché à
Alerter les forces de l’ordre et facili proximité immédiate des terroristes) ;
ter leur intervention
– témoin indirect, spectateur de l’attaque (en sécurité,
à distance).
Capacité à établir un compte rendu et une description
de la situation de façon claire, concise et efficace.
Comprendre comment faciliter l’intervention des uni

tés de la gendarmerie ou de la police :
– attitudes et comportements ;
– à l’intérieur de la zone d’attaque ou à l’extérieur ;
Faciliter l’intervention des forces de
l’ordre – connaître les missions du centre opérationnel de
police (COP).
Savoir se mettre à disposition des forces de l’ordre et
appliquer leurs consignes :
– être un citoyen sensibilisé.
Savoir établir un périmètre de sécurité et assurer son

efficacité :
– dans l’urgence et post-attentat ;
Sécuriser une zone – contrôle des accès ;
– attitudes et comportements en rapport avec le
danger élevé ;
– prendre en considération le risque de sur-attentat.
Connaître :
– évaluation de la dangerosité du conflit
– savoir gérer le conflit ;
– savoir gérer les conséquences du conflit.
Etre capable d’analyser les compor Savoir faire :
Gestion des risques et tements conflictuels, de gérer une Mise en situation pratique dans le cadre de la gestion
des situations situation conflictuelle. 16 heures dont 11
des conflits lors des missions de l’agent de heures de mise en
conflictuelles Développer les capacités d’un agent prévention et de sécurité.
dégradées pratique
en vue de faire face aux risques Connaître :
de situations menaçantes – les différents types de stress et leur mode de
fonctionnement du stress ;
– le mécanisme du stress ;
– la notion de stress différé et sa gestion post–
évènement.
OBJECTIFS OBJECTIFS
Savoir :
– gérer les effets gênants du stress ;
– utiliser les effets positifs du stress ;
– maîtriser le stress in situ ;
– appliquer les principes de récupération par la
respiration ;
– évacuer la tension ;
– protéger, riposter et maîtriser de façon actuelle et
proportionnée face à une agression ;
– agir en état de nécessité.
Savoir tirer au minimum 150 cartouches avec une

arme de poing : tirs visés, découverte de l’arme et
accoutumance (50 cartouches), tirs d’intervention
(30 cartouches), tirs derrière protection (10 cartou
Entraînements au tir ches), tirs et déplacements (20 cartouches), tirs de 17 heures
synthèse (40 cartouches).
Savoir effectuer un rechargement d’urgence et tac
tique.
Savoir tirer au minimum 150 cartouches avec une

arme d’épaule, à répétition semi-automatique dont
le projectile a un diamètre égal à 9mm : tirs visés,
découverte de l’arme et accoutumance (50 cartou
ches), tirs d’intervention (30 cartouches), tirs der
rière protection (10 cartouches), tirs et 17 heures
déplacements (20 cartouches), tirs de synthèse (40
Maniement des armes cartouches).
susceptibles d’être Savoir effectuer un rechargement d’urgence et tac
portées par les tique.
agents chargés de
Module protéger le navire Savoir effectuer, mains nues, les techniques de garde
pratique contre des menaces et de déplacements, de frappe (pieds et poings) et
d’actes de terro de contrôle (maintien à distance, gestion du 10 heures
risme définis au rapprochement, mise au sol, contrôle au sol,
titre II du livre IV du entrave).
code pénal
Savoir effectuer les techniques de garde et de
déplacements, de frappe (pieds et poings) et de
Connaître et savoir utiliser les contrôle (maintien à distance, gestion du rappro
chement, mise au sol, contrôle au sol, entrave) avec 10 heures
bâtons et tonfa de défense
notamment télescopique dans le une matraque de type bâton de défense télesco
strict respect de la gradation de pique.
l’emploi de la force
Savoir effectuer les techniques de garde et de
déplacements, de frappe (pieds et poings) et de
contrôle (maintien à distance, gestion du rappro 10 heures
chement, mise au sol, contrôle au sol, entrave) avec
un tonfa télescopique.
Savoir utiliser les générateurs d’aérosols incapacitants

ou lacrymogène relevant de la catégorie D 2 heures
Savoir :
– travailler sa présentation et son attitude : savoir-être
professionnel et savoir vivre ;
– accueillir, informer, orienter ;
– lecture de plan ;
– adapter sa communication verbale et non verbale ;
Savoir appliquer les techniques – maîtriser le fonctionnement des moyens de trans
Module Modalités d’interven d’information et de communica 8 heures
tactique tion mission ;
tion – transmettre un compte rendu oral immédiat en
cours d’action ;
– transmettre les consignes ;
– transmettre les informations ;
– gérer un appel suspect :
– compte rendu d’appel et alerte aux forces de police
ou de gendarmerie nationales.
Savoir :
– préparer une intervention (mise en place des
consignes, reconnaître les lieux, définir les codes,
définir l’équipe) ;
Préparer la mise en œuvre des – définir les possibilités d’action sur place ;
missions de l’agent de protection 6 heures
privée des navires – accueillir et intervenir en coordination avec les
forces de police et gendarmerie ;
– appliquer des consignes particulières en cas d’in
trusion ;
– réserver des traces et des indices.
Savoir contrôler les accès Connaître : 9 heures

OBJECTIFS OBJECTIFS
– les systèmes de contrôle d’accès (carte, badge, code

d’accès, biométrie, …).
Savoir :
– contrôler les accès d’un navire ;
– filtrer de l’accès des véhicules (véhicules légers,
véhicules de transport…) ;
– filtrage l’accès des personnes (employés, passa
gers…) ;
– contrôler des objets et des matériels.
Savoir :
– effectuer une ronde selon un itinéraire et une
Savoir effectuer une ronde de sur fréquence définis ;
veillance 13 heures
– adapter son comportement lors d’une ronde ;
– comprendre la notion et les objectifs de la ronde
aléatoire.
Connaître :
– le cadre législatif des palpations de sécurité et de
l’inspection des bagages lors de manifestations ou
en cas de circonstances particulières ;
– les modalités d’agréments des personnels du sec
teur privé ;
– les sanctions en cas de non– respect du cadre légal ;
– le domaine d’application des palpations de sécu
rité ;
– les éléments générateurs de situations conflictuelles
lors de l’exécution des missions.
Effectuer une inspection visuelle des
bagages et une palpation de Savoir : 7 heures
sécurité – appliquer les consignes lors de son positionnement
dans un point d’inspection filtrage ;
– adopter un comportement adéquat lors de la
découverte d’objet prohibé ;
– maîtriser les techniques d’inspection visuelle et de
palpation ;
– prendre en compte les mineurs et les personnes en
situation de handicap.
– effectuer une palpation de sécurité au sein d’un
point d’inspection filtrage ;
– effectuer l’inspection visuelle des bagages lors de
l’accès au navire ou d’un local à bord du navire.
Savoir effectuer une inspection Maîtriser les techniques d’inspection visuelle et de

visuelle sans risquer d’être palpation avec une arme à la ceinture 1 heure
désarmé
Savoir :
– prévenir les situations à risque : analyser la situation
dans laquelle l’arme est susceptible d’être utilisée
(reconnaissance des lieux, identification du
contexte), repérer les comportements anormaux et
les signaux précurseurs, agir en discrétion ;
– travailler en équipe (positionnement sur le terrain,
communication, analyse des solutions et prise de
décision, etc.) ;
Savoir utiliser son arme dans le strict 12 heures dont 6
respect de la gradation de l’em – mettre en œuvre toutes les phases préalables de heures de mise en
ploi de la force communication et d’avertissement avant l’interven situation pratique
tion (dissuasion des assaillants) ;
– mettre en œuvre les procédures d’alerte (forces de
l’ordre et secours) et mettre en place les mesures de
sécurité (confinement, évacuation, interposition,
etc.) ;
– travailler en coordination avec les services publics
(forces de l’ordre et secours) ;
– savoir réagir immédiatement dans le respect du
cadre légal de la légitime défense.
Savoir :
– situer l’utilisation des différentes catégories d’armes
autorisées dans le cadre de l’intervention graduée
(définition des moyens de réponse adaptés à la
gravité de la menace) et les maitriser dans diffé 8 heures dont 4 heu
Gérer un incident avec le recours rentes situations (en déplacement, en situation de res de mise en situa
aux armes stress, etc.) ; tion pratique
– adapter la réaction à la menace, en fonction du lieu,
des horaires, des agressions (assaillant unique/
multiple, intrusion, agression verbale, avec véhicule,
etc.), de l’équipe en activité (binôme ou pluralité
d’intervenants) et des catégories d’armes portées.
Art. 5. – En application de l’article R. 616-12 du code de la sécurité intérieure, la durée et le contenu des
entraînements réguliers devant être suivis par les agents exerçant une activité privée de protection des navires sont
fixés comme suit :
THÈME PARTIE OBJECTIFS OBJECTIFS DURÉE MINIMALE

pédagogiques généraux pédagogiques spécifiques
Savoir :
– les fondamentaux du tir : mesures de sécurité
(utilisation de puits balistiques, réception et trans
missions sécurisées), positions stables ;
Maîtrise du fonctionnement et du – utiliser son arme dans le strict respect de la
Entraînements Maniement et sécurité maniement des armes en service gradation de l’emploi de la force et des règles de 2 séances par an de 7
pratiques des armes dans le strict respect de la grada sécurité ; heures
tion de l’emploi de la force – gérer un incident avec le recours aux armes ;
– tir en situation : présentation des risques inhérents
aux navires, tir en position et en déplacement, à
distance et au contact ;
– connaître les mesures à prendre après l’utilisation
de l’arme.
Savoir tirer avec une arme d’épaule à répétition semi-

automatique : s’entraîner à tirer avec son arme de
service, dans le respect des règles de sécurité et du
cadre juridique d’emploi des armes, au minimum
30 cartouches ;
Entraînement au tir Pour les agents susceptibles d’en porter dans le cadre 4 séances par an de 1
de leur mission, savoir tirer avec une arme d’épaule heure
à répétition à canon lisse munie d’un dispositif de
rechargement à pompe, : s’entraîner à tirer avec
son arme de service, dans le respect des règles de
sécurité et du cadre juridique d’emploi des armes,
au minimum 30 cartouches
Pour les agent susceptibles d’utiliser cette arme dans

le cadre de leur mission, savoir tirer avec une arme
à feu de poing : s’entraîner à tirer avec son arme de 4 séances par an d’1
service, dans le respect des règles de sécurité et du heure
cadre juridique d’emploi des armes, au minimum
30 cartouches.
CHAPITRE III
DISPOSITIONS RELATIVES AUX MODALITÉS DE DÉLIVRANCE DU JUSTIFICATIF D’APTITUDE PROFESSIONNELLE
Art. 6. – I. – Les connaissances et compétences prévues par le présent arrêté doivent faire l’objet d’un examen
organisé par un organisme de formation autorisé à délivrer la formation.
II. – L’organisme de formation tient, dans ses locaux, la liste des personnes composant le jury, le planning de
formation et les dates d’examen.
Le jury est composé a minima de deux personnes représentant l’activité de protection privée des navires et d’une
personne titulaire d’un monitorat au tir délivré par une administration publique. Les membres du jury ne font pas
partie de l’organisme de formation. Ils justifient a minima de deux années d’exercice de l’activité de protection
privée des navires. Ils sont sélectionnés de manière à éviter tout conflit d’intérêt. Le président du jury a voix
prépondérante.
L’examen doit comprendre au moins une épreuve théorique et une épreuve pratique propres à vérifier les
connaissances et compétences des candidats au regard du présent arrêté. Les épreuves théoriques peuvent
comporter des questions à choix multiple. Dans ce cas, l’organisateur de l’examen doit disposer d’un système
sécurisé de tirage au sort des questions. Les questions doivent être tirées au sort le jour de l’examen. L’examen
théorique se déroule en présence d’au moins un membre du jury. Les épreuves pratiques se déroulent en présence
d’au moins deux membres du jury.
Les membres du jury veillent au bon déroulement des examens et son président mentionne tout incident au
procès-verbal. Le président du jury accueille et informe les candidats sur les modalités et le déroulement de
l’examen. Avant le début de l’examen, les candidats doivent justifier de leur identité par la production d’un
document original avec photo.
Le président du jury dresse le procès-verbal qu’il fait signer à tous les membres du jury. L’original est conservé
par l’organisme de formation et une copie est conservée par le président du jury. Le planning de la session sur
lequel apparaît l’ensemble des modules dispensés, paraphé par les formateurs ayant encadré chaque séquence
pédagogique, doit être annexé au procès-verbal d’examen. Ce planning est également signé pour validation par le
directeur du centre de formation ou son représentant. Les justificatifs de présences sont visés par le président du
jury et conservés par l’organisme de formation pendant cinq années au moins.
III. – L’acquisition des connaissances et compétences prévues par le présent arrêté donne lieu à la délivrance
d’une attestation de formation qui comporte les informations suivantes :
1o Les nom et prénom du bénéficiaire ;
2o La date et le lieu de naissance ;
3o Les dates de la session de formation ;

4o La date de délibération du jury ;
5o Le numéro de l’autorisation préalable d’accès à la formation professionnelle ou de l’autorisation provisoire
d’exercice ou de la carte professionnelle ;
6o La date et le lieu de délivrance ;
7o L’identité de l’organisme de formation et son cachet ;
8o L’intitulé précis de la formation et la nature des missions concernées, parmi celles mentionnées aux articles 3
et 4 du présent arrêté ;
9o Le cas échéant, la référence à la convention au titre de laquelle la formation est délivrée ;
10o La catégorie et le type d’arme au maniement duquel le bénéficiaire a été formé.
IV. – L’attestation prévue par le présent article est accompagnée d’un carnet de tir sur lequel sont inscrits les tirs
réalisés et validés dans le cadre de la formation par le bénéficiaire.
CHAPITRE III
DISPOSITIONS RELATIVES À L’OUTRE-MER
Art. 7. – Les dispositions du présent arrêté sont applicables dans les îles Wallis et Futuna, en Polynésie
française, en Nouvelle-Calédonie et dans les Terres australes et antarctiques françaises.
CHAPITRE IV
DISPOSITIONS TRANSITOIRES ET FINALES
er
Art. 8. – Le chapitre I de l’arrêté du 7 janvier 2015 susvisé est abrogé. Les cartes professionnelles et
agréments délivrés aux dirigeants et salariés des entreprises privées de sécurité sur son fondement restent valables
jusqu’à leur terme, sous réserve, le cas échéant, de leur retrait ou de leur suspension.
Art. 9. – Le présent arrêté entre en vigueur le premier jour du douzième mois suivant celui de sa publication.
Art. 10. – Le directeur général des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture, la directrice des libertés
publiques et des affaires juridiques et le directeur général des outre-mer sont chargés, chacun en ce qui le concerne,
de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 1er décembre 2023.
et des outre-mer,
La directrice des libertés publiques
et des affaires juridiques,
P. LEGLISE
Le ministre délégué auprès du ministre de l’intérieur
et des outre-mer, chargé des outre-mer,
Le directeur général des outre-mer,
O. JACOB
Le secrétaire d’État
auprès de la Première ministre,
chargé de la mer,
Le directeur général des affaires maritimes,
de la pêche et de l’aquaculture,
E. BANEL
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2023 portant cahier des charges applicable

à la formation continue aux activités privées de protection des navires
NOR : IOMD2329922A
Le ministre de l’intérieur et des outre-mer, le ministre délégué auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer,
chargé des outre-mer, et le secrétaire d’État auprès de la Première ministre, chargé de la mer,
Vu le code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L. 611-1, L. 612-20, L. 612-20-1, L. 616-2,
R. 612-17, R. 616-11, R. 616-12, R. 616-13 et R. 625-8 ;
Vu le code des transports, notamment ses articles L. 5442-1, L. 5442-5 et R. 5442-1 ;
Vu l’arrêté du 7 janvier 2015 relatif à l’aptitude professionnelle des dirigeants et des salariés des entreprises
privées de protection des navires et relatif aux agréments des organismes délivrant une formation professionnelle
aux dirigeants et agents des entreprises privées de protection des navires ;
Vu l’arrêté du 1er décembre 2023portant cahier des charges applicable à la formation initiale aux activités privées
de protection des navires,
Arrêtent :
Art. 1 . – Le présent arrêté définit, pour les activités de protection des navires mentionné au 4o de
er
l’article L. 611-1 du code de la sécurité intérieure, le contenu, la durée et les modalités d’organisation du stage de
maintien et d’actualisation des compétences mentionné à l’article R. 625-8 du même code et nécessaire pour le
renouvellement de la carte professionnelle.
Art. 2. – Les sessions de stage de maintien et d’actualisation des compétences ne peuvent pas comporter plus
de douze stagiaires. Le modèle d’attestation du suivi du stage de maintien et d’actualisation des compétences prévu
par l’article R. 612-17 est publié sur le site internet du Conseil national des activités privées de sécurité.
Dans un délai de quinze jours avant le début de chaque session, le responsable du stage informe le Conseil
national des activités privées de sécurité de la date et du lieu où se déroule le stage.
Art. 3. – L’agent n’ayant pas renouvelé sa carte professionnelle dans les délais requis par l’article R. 612-17 du
code de la sécurité intérieure et qui dépose une nouvelle demande de carte professionnelle pour l’exercice de la
même activité doit justifier de la réalisation d’un stage, selon les modalités définies par le présent arrêté, dans un
délai de douze mois avant la date de sa nouvelle demande de carte professionnelle.
Art. 4. – La durée et le contenu du stage de maintien et d’actualisation des compétences des agents exerçant
une activité de protection des navires mentionnée au 4o de l’article L. 611-1 du code de la sécurité intérieure
consistant, à la demande d’un armateur, à protéger des navires battant pavillon français contre des menaces situées
principalement à l’extérieur du navire, sont ainsi définis :
THÈME PARTIE OBJECTIFS OBJECTIFS DURÉE

pédagogiques généraux pédagogiques spécifiques MINIMALE
Connaître :
Actualisation des connais – l’évolution des dispositions législatives et réglementai
Environnement juridique de sances relatives aux res du livre VI du code de la sécurité intérieure relatives
la protection privée des grands principes enca aux activités privées de protection des navires et le 2 heures
navires drant le métier d’agent de code de déontologie ;
protection des navires – l’évolution des dispositions législatives et réglementai
res du titre IV du code des transports relatives aux
Module activités privées de protection des navires.
juridique
Connaître :
Réglementation relative à Actualisation des connais
sances relatives à la règle – les dispositions du code des transports relatives à
l’acquisition, la détention, la l’armement des agents de protection des navires ;
conservation, au transport mentation relative à 3 heures
l’acquisition et à la déten – le régime de l’acquisition et de la détention d’armes et
et à l’usage des armes et des de munitions (distinguer les différentes catégories
munitions tion d’armes et de muni
tions d’armes et les conditions générales de leur acquisition
et détention) ;
OBJECTIFS OBJECTIFS DURÉE

THÈME PARTIE pédagogiques généraux pédagogiques spécifiques MINIMALE
– le cadre légal de l’usage des armes, notamment les

principes d’absolue nécessité et de proportionnalité et
les conditions d’application de la légitime défense, les
concepts d’atteinte à l’intégrité physique des person
nes, de non-assistance à personne en danger et
d’omission d’empêcher un crime ou un délit, la liberté
d’aller et de venir, les articles 53 et 73 du code de
procédure pénale.
Connaître :
– les principes de la République notamment la liberté,
l’égalité, la fraternité, la laïcité, la non discrimination, la
Principes de la République Connaître les principes de liberté de conscience, la prévention de la violence et le
française la République française respect de la dignité de la personne humaine ; 3 heures
national, hymne national) et le respect qui leur est dû ;
Connaître :
Actualisation des connais
Environnement maritime sances relatives aux règles – l’organisation du bord, la chaîne de commandement 1 heure
de conduite à bord ainsi que les fonctions et responsabilités associées ;
– la conduite à tenir à bord.
Savoir :
Module – identifier des menaces, identifier et classer un mobile
théorique Actualisation des connais (apparences cinématiques) ;
sances relatives aux pro
Maîtrise des règles cédures de vigilance et à la Connaître :
d’engagement mise en œuvre des mesu – les standards des procédures opérationnelles dont : 3 heures
res de défense et de réac messages radios et signaux d’avertissement ; procé
tion dures successives de tir gradué en situation de légitime
défense, lignes directrices pour l’appréciation de la
nature hostile d’un acte.
Savoir :
– situer l’utilisation de son/ses arme (s) dans le cadre de
l’intervention graduée ;
Actualisation de la maî – appliquer les règles générales de sécurité ;
Emploi de l’armement trise du fonctionnement et 18 heures
du maniement des armes – se protéger physiquement et protéger autrui ;
portées – analyser le contexte dans lequel l’arme est utilisée ;
– mettre en œuvre toutes les phases préalables de
communication et d’avertissement avant intervention ;
– utiliser son arme dans le respect de la légitime défense.
Savoir :
Module tactique – situer le cadre juridique de son intervention ;
– réaliser une protection adaptée ;
Gestion élémentaire des Intervenir face à une – examiner la victime pour la mise en œuvre de l’action
premiers secours situation d’accident 7 heures
choisie ;
– faire alerter ou alerter en fonction de l’organisation des
secours dans l’établissement ;
– secourir une victime de manière appropriée.
Connaître :
Remise à niveau des – les principes de base du secourisme tactique ;
Secourisme tactique connaissances et savoir- 5 heures dont
faire en matière de secou – les blessures spécifiques ; 3 heures de pratique
risme tactique – les gestes à entreprendre propres au secourisme
tactique.
Art. 5. – I. – La durée et le contenu du stage de maintien et d’actualisation des compétences des agents
exerçant une activité de protection des navires mentionnée au 4o de l’article L. 611-1 du code de la sécurité
intérieure, consistant, à la demande d’un armateur, à protéger des navires battant pavillon français contre des
menaces situées principalement à bord du navire, sont ainsi définis :
Connaître :
Actualisation des connais – l’évolution des dispositions législatives et réglementai
Environnement juridique de sances relatives aux res du livre VI du code de la sécurité intérieure relatives
la protection privée des grands principes enca aux activités privées de protection des navires et le 2 heures
navires drant le métier d’agent de code de déontologie ;
protection des navires – l’évolution des dispositions législatives et réglementai
Module res du titre IV du code des transports relatives aux
juridique activités privées de protection des navires.
Actualisation des connais Connaître :

Réglementation relative à sances relatives à la règle
l’acquisition, la détention, la mentation relative à – les dispositions du code des transports relatives à 3 heures
conservation, au transport l’acquisition et à la déten l’armement des agents de protection des navires ;

et à l’usage des armes et des tion d’armes et de muni – le régime de l’acquisition et de la détention d’armes et
munitions tions de munitions (distinguer les différentes catégories
d’armes et les conditions générales de leur acquisition
et détention) ;
– le cadre légal de l’usage des armes, notamment les
principes d’absolue nécessité et de proportionnalité et
les conditions d’application de la légitime défense, les
concepts d’atteinte à l’intégrité physique des person
nes, de non-assistance à personne en danger et
d’omission d’empêcher un crime ou un délit, la liberté
d’aller et de venir, les articles 53 et 73 du code de
procédure pénale.
Connaître :
– les principes de la République notamment la liberté,
l’égalité, la fraternité, la laïcité, la non discrimination, la
Principes de la République Connaître les principes de liberté de conscience, la prévention de la violence et le
française la République française respect de la dignité de la personne humaine ; 3 heures
national, hymne national) et le respect qui leur est dû ;
Savoir :
Actualisation des connais
Environnement maritime sances relatives aux règles – l’organisation du bord, la chaîne de commandement 1 heure
de conduite à bord ainsi que les fonctions et responsabilités associées ;
– la conduite à tenir à bord.
Savoir :
Module – identifier des menaces, identifier et classer un mobile
théorique Actualisation des connais (apparences cinématiques) ;
sances relatives aux pro
Maîtrise des règles d’enga cédures de vigilance et à la Connaître :
gement mise en œuvre des mesu – les standards des procédures opérationnelles dont : 3 heures
res de défense et de réac messages radios et signaux d’avertissement ; procé
tion dures successives de tir gradué en situation de légitime
défense, lignes directrices pour l’appréciation de la
nature hostile d’un acte.
Savoir définir la menace terroriste et comprendre son

mécanisme :
– définition du terrorisme (les atteintes aux intérêts
fondamentaux de la nation et à l’autorité de l’Etat) ;
– les différents types de terrorisme (Vigipirate) ;
– historique du terrorisme moderne (liste des précéden
tes attaques) ;
– méthodologie du terrorisme ;
Définir les risques terro – motivation du terrorisme ;
ristes et connaître les dif Connaître les différents modes opératoires traditionnels :
férentes menaces 1 heure 30 minutes
– attentats aveugles ;
terroristes – attentats suicides ;
– prises d’otages et exécution ;
– attaques avec armes de guerre ;
Connaître les différentes menaces terroristes émergen
tes :
– la menace de produits et matières nucléaires, radio
logiques, biologiques, chimiques et explosives (NRBC-
E) ;
– la menace informatique.
Module Prévention des risques
opérationnel terroristes Comprendre le niveau de risque en France :
et pratique
– rappel : Vigipirate/l’état d’urgence/l’état de guerre.
Connaître les niveaux de Savoir ce qu’est une cible potentielle et comprendre
risque associés 1 heure
pourquoi :
– processus de raisonnement ;
– sites sensibles, population ciblée.
Savoir identifier et reconnaître les différents matériels

utilisés par les terroristes :
– armement (arme de poing, fusil d’assaut, fusil de
chasse, fusil à pompe, lance-roquette, etc.), présenta
Connaître les différents tion d’une arme factice ;
matériels terroristes 1 heure
– les différents explosifs (solide, liquide, vrac) ;
– les engins explosifs improvisés (EEI) ; schéma de
montage, déclenchement piégé, retardement, contrôlé
(ceinture explosif) ;
– sécuriser les lieux en cas de découverte de matériel.
Savoir développer ses Savoir cultiver son comportement

réflexes en matière de Savoir combattre les habitudes et les routines : 1 heure
prévention et de sécurité – être attentif, vigilant et dissuasif ;

face aux menaces terroris – respecter les procédures ;

tes Savoir développer ses connaissances en matière de
détection de la radicalisation violente et la prévention
du terrorisme.
Capacité de détection et d’analyse des comportements

suspects ;
Détecter et prévenir : les Reconnaître les comportements suspects (le profiling) ;
bons réflexes face aux Connaître les indicateurs physiques, la communication 1 heure
menaces terroristes non verbale (les parties du corps se révèlent) ;
Capacité à restituer à sa hiérarchie le fruit de ses
observations.
Savoir utiliser le retour d’expériences

Savoir entretenir sa Savoir participer à l’évolution des procédures de sécu
culture de la sécurité rité ; 30 minutes
Savoir s’informer.
Comprendre comment agir en cas d’attaque et suivant le

type d’attaque (armes, engins explosifs improvisés,
etc.) :
Se protéger soi-même – actes réflexes ; 2 heures 30 minutes
– courir, se cacher, combattre en dernier recours, dont 1 heure 30
démonstrations, mesures de mise en sécurité immé minutes de mise en
diate, pratique. pratique
Savoir protéger et diriger les personnes vers une zone en

Protéger sécurité
Savoir alerter ou faire alerter les forces de l’ordre et sa

hiérarchie, suivant sa situation au cours de l’attaque :
– témoin direct, présent lors de l’attaque (ou caché à
Alerter les forces de l’ordre proximité immédiate des terroristes) ;
et faciliter leur intervention – témoin indirect, spectateur de l’attaque (en sécurité, à
distance).
Capacité à établir un compte-rendu et une description de
la situation de façon claire, concise et efficace.
Comprendre comment faciliter l’intervention des unités

de la gendarmerie ou de la police :
– attitudes et comportements ;
– à l’intérieur de la zone d’attaque ou à l’extérieur ; 2 heures dont 1 heure
Faciliter l’intervention des – connaître les missions du centre opérationnel de police de mise en pratique
forces de l’ordre (COP).
Savoir se mettre à disposition des forces de l’ordre et
appliquer leurs consignes :
– être un citoyen sensibilisé.
Savoir établir un périmètre de sécurité et assurer une

efficacité :
– dans l’urgence et post-attentat ;
Sécuriser une zone
– attitudes et comportements en rapport avec le danger
élevé ;
– prendre en considération le risque de sur-attentat.
Connaître :
Identifier le risque de – les blessures par balles (notions : pneumothorax,
blessures en rapport avec hémorragies) ; 30 minutes
le danger – les blessures par explosions (notions : blast et projec
tiles).
Comment agir face à des blessés suite à des plaies par

balle (s) ou blessures suite à des explosion (s).
Présentations visuelles : pansement compressif, com
Notions de secourisme bat gauze, tourniquet, démonstration, pratique pour 1 heure 30 minutes
"tactique" une sensibilisation. Dégagement d’urgence d’une dont 1 heure de mise
personne blessée pour : - la soustraire à un danger en pratique
réel, vital, immédiat et non contrôlable ; - réaliser à
l’abri les gestes d’urgence sur une personne blessée.
Savoir effectuer un compte-rendu rapide et efficace de la

Alerter les secours situation traumatique du blessé aux services de 30 minutes
secours.
Connaître :
Effectuer une inspection – le cadre législatif des palpations de sécurité et de
Inspection visuelle des visuelle des bagages et l’inspection des bagages ; 3 heures 30 minutes
bagages et palpation de une palpation de sécurité – les éléments générateurs de situations conflictuelles dont 2 heures de
sécurité sans risquer d’être lors de ces missions. mise en pratique
désarmé
Savoir :

– maîtriser les techniques d’inspection visuelle et de

palpation ;
– adopter un comportement adéquat lors de la décou
verte d’objet prohibé.
Savoir :
– situer l’utilisation de son/ses arme (s) dans le cadre de
l’intervention graduée ;
Actualisation de la maî – appliquer les règles générales de sécurité ;
Emploi de l’armement trise du fonctionnement et 18 heures
du maniement des armes – se protéger physiquement et protéger autrui ;
portées – analyser le contexte dans lequel l’arme est utilisée ;
– mettre en œuvre toutes les phases préalables de
communication et d’avertissement avant intervention ;
– utiliser son arme dans le respect de la légitime défense.
Savoir :
Module tactique – situer le cadre juridique de son intervention ;
– réaliser une protection adaptée ;
Gestion élémentaire des Intervenir face à une – examiner la victime pour la mise en œuvre de l’action
premiers secours situation d’accident 7 heures
choisie ;
– faire alerter ou alerter en fonction de l’organisation des
secours dans l’établissement ;
– secourir une victime de manière appropriée.
Connaître :
Remise à niveau des
connaissances et savoir- – les principes de base du secourisme tactique ; 5 heures dont
Secourisme tactique faire en matière de secou – les blessures spécifiques ; 3 heures de pratique
risme tactique – les gestes à entreprendre propres au secourisme
tactique.
II. – Les formateurs aux modules relatifs à la prévention des risques terroristes justifient :
– soit de deux années d’exercice professionnel dans le cadre d’une activité de sécurité publique ou dans le
domaine de la formation à la sécurité publique ainsi que d’une attestation à la pédagogie ;
– soit de deux années d’exercice professionnel dans le cadre d’une activité privée de sécurité ou dans le
domaine de la formation à une telle activité ainsi que d’une attestation de formation de formateur spécifique à
la prévention des risques terroristes.
Art. 6. – I. – Pour obtenir le renouvellement de leur carte professionnelle, les agents mentionnés au I des
articles 4 et 5 du présent arrêté, doivent en outre avoir suivi l’ensemble des entraînements réguliers mentionnés à
l’article 5 de l’arrêté du 1er décembre 2023portant cahier des charges applicable à la formation initiale aux activités
de protection des navires.
L’année au cours de laquelle le renouvellement de la carte professionnelle est sollicité, les agents doivent avoir
suivi au moins la moitié des entrainements réguliers.
II. – Le stage mentionné aux articles 4 et 5 du présent arrêté s’effectue dans un délai de vingt-quatre mois avant
l’échéance de validité de la carte professionnelle.
La personne titulaire d’une formation sauveteur secouriste du travail (SST) valide au moment du stage, ou d’un
recyclage PSC1 datant de moins de 2 ans au moment du stage, est dispensée, à sa demande, du suivi du module
« gestes élémentaires de premiers secours ».
Art. 7. – Pour les personnes titulaires d’une carte professionnelle en cours de validité à la date de l’entrée en
vigueur du présent arrêté, permettant l’exercice de l’activité de protection des navires mentionnée au 4o de
l’article L. 611-1 du code de la sécurité intérieure, le stage de maintien et d’actualisation des compétences
mentionné à l’article 4 doit en outre, lors du premier renouvellement suivant l’entrée en vigueur du présent arrêté,
comprendre également une formation dont la durée et le contenu sont fixés comme suit :
THÈME PARTIE OBJECTIFS OBJECTIFS DURÉE

pédagogiques généraux pédagogiques spécifiques MINIMALE
Savoir :
– les fondamentaux du tir : mesures de sécurité (utilisa
tion de puits balistiques, réception et transmissions
sécurisées), positions stables ;
Maîtrise du fonctionne
Module ment et du maniement des – utiliser son arme dans le strict respect de la gradation
opérationnel Maniement des armes armes en service dans le de l’emploi de la force et des règles de sécurité ; 7 heures
et pratique strict respect de la grada – gérer un incident avec le recours aux armes ;
tion de l’emploi de la force – tir en situation : présentation des risques inhérents aux
navires, tir en position et en déplacement, à distance et
au contact ;
– connaître les mesures à prendre après l’utilisation de
l’arme.

Savoir tirer avec une arme d’épaule à répétition semi-

automatique : s’entraîner à tirer avec son arme de
service, figurant parmi les armes listées au a) du 1o du
I de l’article R. 5442-1, dans le respect des règles de
sécurité et du cadre juridique d’emploi des armes, au
Entraînements au tir Entraînement au tir aux minimum 150 cartouches ; 15 heures
armes d’épaule
Savoir tirer avec une arme d’épaule à répétition à canon
lisse munie d’un dispositif de rechargement à pompe :
s’entraîner à tirer avec son arme de service, dans le
respect des règles de sécurité et du cadre juridique
d’emploi des armes, au minimum 50 cartouches.
Art. 8. – Le présent arrêté entre en vigueur le premier jour du douzième mois suivant celui de sa publication.
Art. 9. – I. – Les dispositions du présent arrêté sont applicables dans les îles Wallis et Futuna, en Polynésie
française, en Nouvelle-Calédonie et dans les Terres australes et antarctiques françaises.
II. – Pour l’application de l’article 1er dans les Terres australes et antarctiques françaises, la référence à
l’article R. 625-8 du code de la sécurité intérieure est supprimée.
Art. 10. – Le directeur général des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture, la directrice des libertés
publiques et des affaires juridiques et le directeur général des outre-mer sont chargés, chacun en ce qui le concerne,
de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
et des outre-mer,
La directrice des libertés publiques
et des affaires juridiques,
P. LEGLISE
Le ministre délégué auprès du ministre de l’intérieur
et des outre-mer, chargé des outre-mer,
Le directeur général des outre-mer,
O. JACOB
Le secrétaire d’État
auprès de la Première ministre,
chargé de la mer,
Le directeur général des affaires maritimes,
de la pêche et de l’aquaculture,
E. BANEL
TEXTES GÉNÉRAUX
Décision du 4 décembre 2023 portant délégation de signature

(service du haut fonctionnaire de défense)
NOR : IOMA2333036S
Le secrétaire général,
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du
Gouvernement, notamment son article 3 ;
Vu le décret no 2013-728 du 12 août 2013 modifié portant organisation de l’administration centrale du ministère
de l’intérieur et du ministère des outre-mer ;
Vu l’arrêté du 12 août 2013 modifié portant organisation interne du secrétariat général du ministère de
l’intérieur,
Décide :
Art. 1 . – Délégation est donnée à M. Stéphane Mérigeault, commandant divisionnaire de police, chef du pôle
er
de la protection du secret, directement placé sous l’autorité du chef du service du haut fonctionnaire de défense, à
l’effet de signer, au nom du ministre de l’intérieur et des outre-mer, les décisions d’habilitation aux niveaux secret
et très secret, dans la limite de ses attributions.
Art. 2. – Délégation est donnée à Mme Isabelle Rousseau, attachée d’administration hors classe de l’Etat, chef
de cabinet, et Mme Linda Alkama, secrétaire administrative de classe supérieure de l’intérieur et de l’outre-mer,
chef du pôle des affaires générales, directement placées sous l’autorité du chef du service du haut fonctionnaire de
défense, à l’effet de signer, au nom du ministre de l’intérieur et des outre-mer, les pièces comptables, dans la limite
de leurs attributions respectives.
Art. 3. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
D. MARTIN
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Arrêté du 17 novembre 2023 portant extension et transformation

d’un établissement de placement éducatif à Bourges (18)
NOR : JUSF2329937A
Le garde des sceaux, ministre de la justice,

Vu le code de l’action sociale et des familles, notamment ses articles L. 313-1 et suivants, L. 315-2, R. 313-1
et suivants et D. 313-11 et suivants ;
Vu le code civil, notamment ses articles 375 à 375-8 ;
Vu le code de la justice pénale des mineurs, notamment ses articles R. 241-3 à D. 241-37 ;
Vu l’arrêté du 20 juin 2011 portant création d’un établissement de placement éducatif à Bourges (18) ;
Vu l’arrêté préfectoral du 27 août 2009 portant autorisation de création d’un établissement de placement éducatif
à Bourges ;
Vu l’arrêté préfectoral du 6 septembre 2023 modifiant l’arrêté no 3009-1-1418 du 27 août 2009 et portant
autorisation d’extension et de transformation d’un établissement de placement éducatif à Bourges en un
établissement de placement éducatif et d’insertion, dénommé « EPEI de Bourges » ;
Vu l’avis du comité social d’administration de la direction territoriale Touraine-Berry en date du 13 juin 2023 ;
Vu le procès-verbal de la visite de conformité de l’UEAJ de Berry en date du 18 octobre 2023 ;
Considérant que l’accès de l’établissement « EPE de Bourges » a été modifié au 35, avenue Jean-Jaurès,
18000 Bourges ;
Considérant la création d’une nouvelle unité éducative d’accueil de jour rattachée à l’établissement de placement
éducatif de Bourges, nécessitant son extension et sa transformation en établissement de placement éducatif et
d’insertion,
Arrête :
Art. 1er. – Il est procédé à l’extension et à la transformation d’un établissement de placement éducatif de la
protection judiciaire de la jeunesse, sis 35, avenue Jean-Jaurès, 18000 Bourges, en un établissement de placement
éducatif et d’insertion de la protection judiciaire de la jeunesse, dénommé « EPEI de Bourges », sis 35, avenue
Jean-Jaurès, 18000 Bourges.
Art. 2. – En conséquence, l’arrêté du 20 juin 2011 susvisé est modifié ainsi qu’il suit :
1o A l’intitulé, les mots : « et d’insertion » sont insérés à la suite du mot « éducatif » ;
2o L’article 1er est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. 1er. – Il est procédé à la création d’un établissement de placement éducatif et d’insertion de la protection
judiciaire de la jeunesse, dénommé “EPEI de Bourges”, relevant du ministère de la justice (direction protection
judiciaire de la jeunesse), sis au 35, avenue Jean-Jaurès, 18000 Bourges.
« Pour l’accomplissement des missions définies à l’article 2, cet établissement est constitué des unités suivantes :
« – une unité éducative d’hébergement collectif, dénommée “UEHC de Bourges”, sise 35, avenue Jean-Jaurès,
18000 Bourges, d’une capacité théorique d’accueil de 12 places, filles et garçons, de 13 à 18 ans, à laquelle est
rattachée une mission d’hébergement diversifié, sise à la même adresse, de 4 places, filles et garçons, de 13
à 18 ans ;
« – une unité éducative d’activités de jour, dénommée “UEAJ de Bourges Berry”, sise 35, avenue Jean-Jaurès,
18000 Bourges, d’une capacité théorique d’accueil de 24 places, filles et garçons, de 16 à 21 ans, et,
exceptionnellement, entre 13 et 16 ans sur dérogation de l’éducation nationale. » ;
3o L’article 3 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. 3. – L’établissement de placement éducatif et d’insertion de Bourges assure les missions suivantes :
« – l’aide à la préparation des décisions de l’autorité judiciaire prises en application des législations relatives à
l’enfance délinquante ou à l’assistance éducative par l’apport d’éléments d’information et d’analyse relatifs à
la situation de mineurs susceptibles de faire l’objet desdites décisions et par la formulation de propositions
éducatives ;
« – la mise en œuvre des décisions de l’autorité judiciaire prises en application du code de la justice pénale des
mineurs, des législations et réglementations relatives à l’assistance éducative ou à la protection judiciaire des
majeurs jusqu’à l’âge de vingt-et-un ans ;
« – l’évaluation de la situation, notamment familiale et sociale, de chaque personne accueillie, le cas échéant
aux fins d’élaborer des propositions d’orientation à l’intention de l’autorité judiciaire ;
« – l’élaboration, pour chaque personne accueillie, d’un projet individuel ;
« – l’accompagnement de chaque personne accueillie dans toutes les démarches d’insertion ;
« – d’assurer à l’égard des mineurs accueillis une mission de protection et de surveillance ;
« – d’exercer, dans le cadre de l’exécution des peines et des mesures de sûreté, le contrôle des obligations
imposées aux personnes qui leur sont confiées ;
« – la mise en œuvre et le suivi des décisions civiles et pénales de mesures éducatives, mesures de sûreté, peines
et aménagements de peines prononcées par les juridictions à l’égard des mineurs et des majeurs jusqu’à l’âge
de vingt-et-un ans en application du code de la justice pénale des mineurs, des articles 375 à 375-8 du code
civil, du code pénal et du décret du 18 février 1975 fixant les modalités de mise en œuvre d’une action de
protection judiciaire en faveur des jeunes majeurs ;
« – l’accueil en hébergement des mineurs délinquants ou en danger et, le cas échéant, les majeurs jusqu’à l’âge
de vingt-et-un ans placés par les juridictions ;
« – l’organisation de la vie quotidienne des personnes accueillies ;
« – d’assurer à l’égard de chaque personne accueillie une mission d’entretien ;
« – l’accueil des mineurs délinquants ou en danger et des majeurs jusqu’à l’âge de vingt-et-un ans ;
« – la mise en œuvre d’actions de préformation, de formation et de préparation à la vie professionnelle et
l’organisation permanente, sous la forme d’activités de jour, d’un ensemble structuré d’actions qui ont pour
objectifs le développement personnel, la promotion de la santé, l’intégration sociale et l’insertion
professionnelle du mineur ou du majeur jusqu’à l’âge de vingt-et-un ans. »
Art. 3. – La directrice de la protection judiciaire de la jeunesse est chargée de l’exécution du présent arrêté, qui
sera publié au Journal officiel de la République française.
L’adjoint à la directrice
de la protection judiciaire de la jeunesse,
F. CHAULET
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 23 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 23 janvier 2023

fixant les listes des établissements pénitentiaires et des quartiers des centres pénitentiaires
NOR : JUSK2331105A
Le garde des sceaux, ministre de la justice,

Vu le code pénitentiaire, notamment ses articles R. 112-15 et suivants ;
Vu l’arrêté du 23 janvier 2023 fixant les listes des établissements pénitentiaires et des quartiers des centres
pénitentiaires ;
Vu l’arrêté du 27 juillet 2023 modifiant l’arrêté du 23 janvier 2023 fixant les listes des établissements
pénitentiaires et des quartiers des centres pénitentiaires ;
Vu l’avis du comité social d’administration des services pénitentiaires d’insertion et de probation
du 10 octobre 2023 ;
Vu l’avis du comité social d’administration de l’administration pénitentiaire du 26 octobre 2023,
Arrête :
Art. 1er. – Le tableau figurant à l’article 2 de l’arrêté du 23 janvier 2023 fixant les listes des établissements
pénitentiaires et des quartiers des centres pénitentiaires est remplacé par le tableau ci-dessous :
(B) (C) (D) (E) (F)

Départements (A) Maisons d’arrêt Centres Maisons centrales Centres de Structures
ou collectivités Centres et Quartiers de détention et Quartiers semi-liberté d’accompagne
d’outre-mer pénitentiaires maison d’arrêt et Quartiers maison centrale et Quartiers ment
centre de détention de semi-liberté vers la sortie
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de Quartier de semi-

de Bourg-en- d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre
Ain Bresse pénitentiaire de tre pénitentiaire pénitentiaire de
Bourg-en-Bresse de Bourg-en- Bourg-en-Bresse
Bresse
Centre pénitentiaire Quartier centre de Quartier maison

de Château- détention du cen centrale du cen
Thierry tre pénitentiaire tre pénitentiaire
de Château- de Château-
Thierry Thierry
Aisne
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de
de Laon d’arrêt du centre détention du cen
pénitentiaire de tre pénitentiaire
Laon de Laon
Maison d’arrêt de
Montluçon
Allier Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier maison

de Moulins- d’arrêt du centre centrale du cen
Yzeure pénitentiaire de tre pénitentiaire
Moulins-Yzeure de Moulins-
Yzeure
Alpes-de-Haute-Pro Maison d’arrêt de

vence Digne
Hautes-Alpes Maison d’arrêt de

Gap
Alpes-Maritimes Maison d’arrêt de

Grasse
(C) (E) (F)

Départements (A) (B) Centres (D) Centres de Structures
ou collectivités Centres Maisons d’arrêt de détention Maisons centrales semi-liberté d’accompagne
d’outre-mer pénitentiaires et Quartiers et Quartiers et Quartiers et Quartiers ment
maison d’arrêt centre de détention maison centrale de semi-liberté vers la sortie
Nice
Ardèche Privas
Ardennes Charleville-
Mézières
Ariège Maison d’arrêt de

Foix
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier de semi-

de Troyes-Lavau d’arrêt du centre liberté du centre
pénitentiaire de pénitentiaire de
Troyes-Lavau Troyes-Lavau
Aube
Centre de détention
de Villenauxe-la-
Grande
Aude Carcassonne
Aveyron Maison d’arrêt de

Rodez
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier de semi- Structure d’accom

d’Aix-Luynes d’arrêt du centre liberté du centre pagne
pénitentiaire pénitentiaire ment vers la sortie
d’Aix-Luynes d’Aix-Luynes du centre péni
tentiaire d’Aix-
Luynes
Maison centrale
d’Arles
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de Structure d’accom

Bouches-du-Rhône de Marseille-Bau d’arrêt du centre détention du cen pagne
mettes pénitentiaire de tre pénitentiaire ment vers la sortie
Marseille-Bau de Marseille-Bau du centre péni
mettes mettes tentiaire de Mar
seille-Baumettes
de Salon-de-Pro
vence
de Tarascon

de Caen d’arrêt du centre détention du cen
Caen de Caen
Calvados Centre pénitentiaire Quartier maison Structure d’accom

de Caen-Ifs d’arrêt du centre pagne
pénitentiaire de ment vers la sortie
Caen-Ifs du centre péni
tentiaire de Caen-
Ifs (Caen)
Maison d’arrêt
Cantal d’Aurillac
Charente Maison d’arrêt

d’Angoulême
de Bédenac
Charente-Maritime
Rochefort
(C) (E) (F)

Maison centrale de
Saint-Martin-de-
Ré
Saintes
Cher Maison d’arrêt de

Bourges
Tulle
Corrèze
d’Uzerche
Corse-du-Sud Maison d’arrêt

d’Ajaccio

de Borgo d’arrêt du centre détention du cen
Haute-Corse Borgo de Borgo
de Casabianda
Côte-d’Or Dijon
Côtes-d’Armor Maison d’arrêt de

Saint-Brieuc
Creuse Guéret
de Mauzac
Dordogne de Neuvic
Périgueux
Besançon
Centre de semi-
Doubs liberté de Besan
çon
Montbéliard
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier maison Structure d’accom

de Valence d’arrêt du centre centrale du cen pagne
Drôme pénitentiaire de tre pénitentiaire ment vers la sortie
Valence de Valence du centre péni
tentiaire de
Valence
Maison d’arrêt
Eure d’Évreux
de Val-de-Reuil
Eure-et-Loir de Châteaudun
Finistère Maison d’arrêt de

Brest
Gard Nîmes
(C) (E) (F)

de Muret

Haute-Garonne de Toulouse- d’arrêt du centre liberté du centre pagne
Seysses pénitentiaire de pénitentiaire de ment vers la sortie
Toulouse-Seys Toulouse-Seys du centre péni
ses ses tentiaire de Tou
louse-Seysses
Gers
Centre pénitentiaire Quartier maison Structure d’accom

de Bordeaux- d’arrêt du centre pagne
Gironde Gradignan pénitentiaire de ment vers la sortie
Bordeaux-Gradi du centre péni
gnan tentiaire de Bor
deaux-Gradignan

de Béziers d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre
pénitentiaire de tre pénitentiaire pénitentiaire de
Béziers de Béziers Béziers

Hérault de Villeneuve-lès- d’arrêt du centre liberté du centre pagne
Maguelone pénitentiaire de pénitentiaire de ment vers la sortie
Villeneuve-lès- Villeneuve-lès- du centre péni
Maguelone Maguelone tentiaire de Ville
neuve-lès-
Maguelone
(Montpellier)

de Rennes d’arrêt du centre détention du cen
Rennes de Rennes

Ille-et-Vilaine de Rennes-Vezin- d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre
le-Coquet pénitentiaire de tre pénitentiaire pénitentiaire de
Rennes-Vezin-le- de Rennes-Vezin- Rennes-Vezin-le-
Coquet le-Coquet Coquet
Saint-Malo

de Châteauroux d’arrêt du centre détention du cen
Indre pénitentiaire de tre pénitentiaire
Châteauroux de Châteauroux
Maison centrale de
Saint-Maur
Indre-et-Loire Maison d’arrêt de

Tours

de Grenoble-Var d’arrêt du centre liberté du centre
ces pénitentiaire de pénitentiaire de
Grenoble-Varces Grenoble-Varces
Isère
de Saint-Quentin- d’arrêt du centre détention du cen
Fallavier pénitentiaire de tre pénitentiaire
Saint-Quentin- de Saint-Quentin-
Fallavier Fallavier
Jura Lons-le-Saunier

de Mont-de-Mar d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre
Landes san pénitentiaire de tre pénitentiaire pénitentiaire de
Mont-de-Marsan de Mont-de-Mar Mont-de-Marsan
san
(C) (E) (F)

Loir-et-Cher Maison d’arrêt de

Blois
de Roanne
Loire Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier de semi-

de Saint-Etienne- d’arrêt du centre liberté du centre
La Talaudière pénitentiaire de pénitentiaire de
Saint-Etienne-La Saint-Etienne-La
Talaudière Talaudière
Maison d’arrêt du
Haute-Loire Puy-en-Velay

de Nantes d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre
Loire-Atlantique pénitentiaire de tre pénitentiaire pénitentiaire de
Nantes de Nantes Nantes
Centre de semi-
liberté de Mon
targis
Loiret
d’Orléans-Saran d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre
pénitentiaire tre pénitentiaire pénitentiaire
d’Orléans-Saran d’Orléans-Saran d’Orléans-Saran
Lot
Maison d’arrêt
d’Agen
Lot-et-Garonne
d’Eysses
Lozère Mende
Maine-et-Loire Maison d’arrêt

d’Angers
Cherbourg
Manche
Coutances
Châlons-en-
Champagne
Marne
Reims
Haute-Marne Chaumont
Mayenne Maison d’arrêt de

Laval
d’Ecrouves
Centre de semi-
liberté de Maxé
ville
Meurthe-et-Moselle
Nancy-Maxéville
Centre de semi-
liberté de Val de
Briey
(C) (E) (F)

de Toul
Bar-le-Duc
Meuse Centre de détention

de Montmédy
de Saint-Mihiel

de Lorient-Ploe d’arrêt du centre détention du cen
Morbihan meur pénitentiaire de tre pénitentiaire
Lorient-Ploemeur de Lorient-Ploe
meur
Vannes

de Metz d’arrêt du centre liberté du centre
Moselle Metz Metz
Sarreguemines
Nièvre Nevers
Douai
Dunkerque

de Lille-Annœul d’arrêt du centre détention du cen
lin pénitentiaire de tre pénitentiaire
Lille-Annœullin de Lille-Annœul
lin
Nord Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier de semi-

de Lille-Loos- d’arrêt du centre liberté du centre
Sequedin pénitentiaire de pénitentiaire de
Lille-Loos-Seque Lille-Loos-Seque
din din (Haubourdin)

de Maubeuge d’arrêt du centre détention du cen
Maubeuge de Maubeuge
Valenciennes

de Beauvais d’arrêt du centre liberté du centre
Beauvais Beauvais
Oise
de Liancourt d’arrêt du centre détention du cen
Liancourt de Liancourt
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier maison Quartier de semi-

d’Alençon- d’arrêt du centre centrale du cen liberté du centre
Condé-sur-Sarthe pénitentiaire tre pénitentiaire pénitentiaire
d’Alençon-Condé d’Alençon- d’Alençon-Condé
Orne sur Sarthe Condé-sur-Sarthe sur Sarthe
d’Argentan
(C) (E) (F)

Maison d’arrêt d’Ar

ras
de Bapaume
Béthune
Pas-de-Calais Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de Quartier de semi- Structure d’accom
de Longuenesse d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre pagne
pénitentiaire de tre pénitentiaire pénitentiaire de ment vers la sortie
Longuenesse de Longuenesse Longuenesse du centre péni
tentiaire de Lon
guenesse
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de Quartier maison

de Vendin-le-Vieil d’arrêt du centre détention du cen centrale du cen
pénitentiaire de tre pénitentiaire tre pénitentiaire
Vendin-le-Vieil de Vendin-le-Vieil de Vendin-le-Vieil

de Riom d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre
Puy-de-Dôme pénitentiaire de tre pénitentiaire pénitentiaire de
Riom de Riom Riom
Bayonne
Pyrénées-Atlanti
ques
Pau
Centre pénitentiaire Quartier centre de Quartier maison

de Lannemezan détention du cen centrale du cen
tre pénitentiaire tre pénitentiaire
Hautes-Pyrénées de Lannemezan de Lannemezan
Tarbes

Pyrénées-Orientales de Perpignan d’arrêt du centre détention du cen
Perpignan de Perpignan
d’Oermingen
Centre de semi-
liberté de Souf
Bas-Rhin felweyer
sheim
Strasbourg
Maison centrale
d’Ensisheim
Haut-Rhin Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de Quartier de semi-

de Mulhouse-Lut d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre
terbach pénitentiaire de tre pénitentiaire pénitentiaire de
Mulhouse-Lutter de Mulhouse-Lut Mulhouse- Lut
bach terbach terbach
Lyon-Corbas
Centre de semi-
liberté de Lyon
Rhône
de Villefranche- d’arrêt du centre liberté du centre
sur-Saône pénitentiaire de pénitentiaire de
Villefranche-sur- Villefranche-sur-
Saône Saône
(C) (E) (F)

Haute-Saône Vesoul

de Varennes-le- d’arrêt du centre détention du cen
Saône-et-Loire Grand pénitentiaire de tre pénitentiaire
Varennes-le- de Varennes-le-
Grand Grand

du Mans-les-Croi d’arrêt du centre pagne
settes pénitentiaire du ment vers la sortie
Sarthe Mans-les-Croiset du centre péni
tes tentiaire du
Mans-Les Croi
settes

d’Aiton d’arrêt du centre détention du cen
pénitentiaire tre pénitentiaire
Savoie d’Aiton d’Aiton
Chambéry
Haute-Savoie Bonneville

de Paris-La Santé d’arrêt du centre liberté du centre
Paris pénitentiaire de pénitentiaire de
Paris-La Santé Paris-La Santé

du Havre d’arrêt du centre détention du cen
pénitentiaire du tre pénitentiaire
Seine-Maritime Havre du Havre
Rouen
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de Quartier maison

du Sud francilien d’arrêt du centre détention du cen centrale du cen
pénitentiaire du tre pénitentiaire tre pénitentiaire
Sud francilien du Sud francilien du Sud francilien
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de Structure d’accom

de Meaux-Chau d’arrêt du centre détention du cen pagne
conin-Neufmon pénitentiaire de tre pénitentiaire ment vers la sortie
tiers Meaux-Chauco de Meaux-Chau du centre péni
Seine-et-Marne nin-Neufmontiers conin-Neufmon tentiaire de
tiers Meaux-Chauco
nin-Neufmon
tiers
de Melun
Centre de semi-
liberté de Melun

de Bois-d’Arcy d’arrêt du centre liberté du centre
Bois-d’Arcy Bois-d’Arcy
Yvelines
Maison centrale de
Poissy
Versailles
Deux-Sèvres Niort
Somme Maison d’arrêt

d’Amiens
(C) (E) (F)

Maison d’arrêt
d’Albi
Tarn
de Saint-Sulpice-
la-Pointe
Tarn-et-Garonne Montauban
Draguignan
Var Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de Quartier de semi-

de Toulon-La d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre
Farlède pénitentiaire de tre pénitentiaire pénitentiaire de
Toulon-La Far de Toulon-La Toulon-La Far
lède Farlède lède
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de Quartier de semi- Structure d’accom
d’Avignon-Le d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre pagne
Vaucluse Pontet pénitentiaire tre pénitentiaire pénitentiaire ment vers la sortie
d’Avignon-Le d’Avignon-Le d’Avignon-Le du centre péni
Pontet Pontet Pontet tentiaire d’Avi
gnon-Le-Pontet
Fontenay-le-
Comte
Vendée
Maison d’arrêt de La
Roche-sur-Yon
Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de Quartier de semi- Structure d’accom
de Poitiers- d’arrêt du centre détention du cen liberté du centre pagne
Vivonne pénitentiaire de tre pénitentiaire pénitentiaire de ment vers la sortie
Vienne Poitiers-Vivonne de Poitiers- Poitiers-Vivonne du centre péni
Vivonne tentiaire de Poi
tiers-Vivonne
(Poitiers)
Haute-Vienne Limoges
Vosges Maison d’arrêt

d’Epinal
Maison d’arrêt
d’Auxerre
Yonne
de Joux-la-Ville
Territoire de Belfort Maison d’arrêt de

Belfort
Centre de semi-
liberté de Corbeil
Essonne Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de

de Fleury-Méro d’arrêt du centre détention du cen
gis pénitentiaire de tre pénitentiaire
Fleury-Mérogis de Fleury-Méro
gis

de Nanterre- d’arrêt du centre liberté du centre
Hauts-de-Seine Hauts-de-Seine pénitentiaire de pénitentiaire de
Nanterre-Hauts- Nanterre-Hauts-
de-Seine de-Seine
Centre de semi-
liberté de Gagny
Seine-Saint-Denis
Villepinte-Seine-
Saint-Denis
(C) (E) (F)


de Fresnes d’arrêt du centre liberté du centre
Val-de-Marne pénitentiaire de pénitentiaire de
Fresnes Fresnes

d’Osny-Pontoise d’arrêt du centre pagne
Val-d’Oise pénitentiaire ment vers la sortie
d’Osny-Pontoise du centre péni
tentiaire d’Osny-
Pontoise

de Baie-Mahault d’arrêt du centre détention du cen
Guadeloupe Baie-Mahault de Baie-Mahault
Basse-Terre

de Ducos d’arrêt du centre détention du cen
Martinique pénitentiaire de tre pénitentiaire
Ducos de Ducos

de Rémire-Mont d’arrêt du centre détention du cen
Guyane joly pénitentiaire de tre pénitentiaire
Rémire-Montjoly de Rémire-Mont
joly
du Port

La Réunion de Saint-Denis d’arrêt du centre détention du cen
Saint-Denis de Saint-Denis
Saint-Pierre

Saint-Pierre-et- de Saint-Pierre d’arrêt du centre détention du cen
Miquelon pénitentiaire de tre pénitentiaire
Saint-Pierre de Saint-Pierre

de Majicavo d’arrêt du centre détention du cen
Mayotte pénitentiaire de tre pénitentiaire
Majicavo de Majicavo
Centre pénitentiaire
Iles Wallis et Futuna de Mata-Utu
Polynésie française Centre pénitentiaire Quartier maison Quartier centre de

de Faa’a-Nuuta d’arrêt du centre détention du cen
nia pénitentiaire de tre pénitentiaire
Faa’a-Nuutania de Faa’a-Nuuta
nia
Tatutu de Papeari

de Taiohae d’arrêt du centre détention du cen
Taiohae de Taiohae

d’Uturoa d’arrêt du centre détention du cen
pénitentiaire tre pénitentiaire
d’Uturoa d’Uturoa
Nouvelle-Calédonie Centre de détention

de Koné
(C) (E) (F)


de Nouméa d’arrêt du centre détention du cen
Nouméa de Nouméa

Le directeur de l’administration pénitentiaire,
L. RIDEL
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DES ARMÉES
Arrêté du 23 novembre 2023 désignant les matériels de guerre

et matériels assimilés mentionnés à l’article L. 213-2 du code du patrimoine
NOR : ARMD2332985A
Le ministre des armées,

Vu le code de la défense, notamment son article L. 2335-2 ;
Vu le code du patrimoine, notamment son article L. 213-2 ;
Vu le décret no 87-389 du 15 juin 1987 modifié relatif à l’organisation des services d’administration centrale,
notamment son article 3-8 ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres
du Gouvernement, notamment son article 1er ;
Vu le décret no 2009-1179 du 5 octobre 2009 modifié fixant les attributions et l’organisation du secrétariat
général pour l’administration du ministère de la défense, notamment son article 23 ;
Vu l’arrêté du 27 juin 2012 modifié relatif à la liste des matériels de guerre et matériels assimilés soumis à une
autorisation préalable d’exportation et des produits liés à la défense soumis à une autorisation préalable
de transfert,
Arrête :
Art. 1 . – Relèvent du b du 3o du I de l’article L. 213-2 du code du patrimoine :
er
1o Les matériels de guerre ainsi référencés à l’annexe de l’arrêté du 27 juin 2012 susvisé :
a) Aéronefs de combat, de renseignement, de surveillance et de reconnaissance, aéronefs spécialisés dans la
détection ou le commandement et le contrôle, classés aux points ML10. a et c ;
b) Navires de surface suivants et sous-marins, classés au point ML9. a. 1 : frégates, porte-avions, porte-aéronefs,
bâtiments de projection et de commandement, chasseurs de mines ;
c) Véhicules blindés et armés de combats, classés au point ML6 ;
d) Systèmes d’artillerie, classés au point ML2. a ;
e) Bombes, torpilles, obus, roquettes, autres dispositifs et charges explosifs, produits pyrotechniques, systèmes
de missiles, classés au point ML4. a ;
f) Systèmes de guerre électronique, classés aux points ML11. a et ML11. b ;
g) Systèmes de chiffrement, classés aux points ML11. a et ML11. e ;
h) Systèmes conçus pour la conduite de cyberopérations, classés aux points ML21. b. 4 et ML21. b. 5 ;
i) Systèmes de détection radar, optronique et acoustique, classés aux points ML5. b, ML9. c, et ML15 ;
j) Systèmes de surveillance, d’observation et d’action dans l’espace, classés au point ML11 et aux points 1. a
et b de la deuxième partie de l’annexe de l’arrêté du 27 juin 2012 susvisé ;
k) Logiciels et systèmes conçus pour les applications commandement, communication, conduite des opérations,
informatique et collecte du renseignement (C4I), classés aux points ML11 et ML21. b. 4 ;
l) Systèmes de communication, classés au point ML11 ;
m) Systèmes de protection et contre-mesures, classés aux points ML11 et ML13 ;
n) Systèmes de guidage, de navigation et de géolocalisation, classés aux points ML11. a et ML11. g ;
o) Systèmes de discrétion et de furtivité, classés aux points ML17. c et ML17. h ;
p) Systèmes de simulation opérationnelle et d’évaluation de la menace, classés au point ML21. b. 1, 2 et 3 ;
q) Bases de données de signatures acoustiques, optiques, électromagnétiques, classées aux points ML22
et ML17. f ;
2o Les composants des matériels mentionnés au 1o. Pour l’application du présent 2o, un composant doit être
regardé comme employé par les forces armées et formations rattachées lorsqu’il partage au moins une
caractéristique essentielle avec un composant d’un matériel de guerre mentionné au 1o toujours employé par les
forces armées et formations rattachées.
Art. 2. – L’arrêté du 30 novembre 2022 désignant les matériels de guerre et matériels assimilés mentionnés
à l’article L. 213-2 du code du patrimoine est abrogé.
Le secrétaire général pour l’administration,
C. MAURIET
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 28 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 21 septembre 2023 fixant le nombre et la

répartition des postes ouverts en 2024 au concours de l’assistanat des hôpitaux des armées
pour des médecins et pharmaciens militaires étrangers
NOR : ARMK2332189A
Par arrêté du ministre des armées en date du 28 novembre 2023, l’arrêté du 21 septembre 2023 fixant le nombre
et la répartition des postes ouverts en 2024 au concours de l’assistanat des hôpitaux des armées pour des médecins
et pharmaciens militaires étrangers est modifié comme suit :
Au I, le tableau est remplacé par le tableau suivant :
Médecins militaires étrangers
CHU de rattachement
Diplômes d’études spécialisées Postes (et positionnement des postes)
Discipline chirurgicales
Chirurgie orthopédique et traumatologique 1 Marseille (Saint-Anne)
Chirurgie viscérale et digestive 1 Paris (HIA Bégin)
Neurochirurgie 1 Marseille (HIA Sainte Anne)
Disciplines Médicales
Rhumatologie 1 Paris (HIA Percy)
Pharmaciens militaires étrangers
CHU de rattachement
Diplômes d’études spécialisées Postes (et positionnement des postes)
Biologie médicale 2 Paris (HIA Bégin et HIA Percy)

TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DU PLEIN EMPLOI ET DE L’INSERTION
Arrêté du 1er décembre 2023 portant délégation de signature

(cabinet)
NOR : MTRC2331906A
La ministre déléguée auprès du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion et du ministre de l’éducation
nationale et de la jeunesse, chargée de l’enseignement et de la formation professionnels,
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement ;
Vu le décret du 16 mai 2022 portant nomination du Premier ministre ;
Vu le décret du 4 juillet 2022 relatif à la composition du Gouvernement ;
Vu l’arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination au cabinet de la ministre déléguée auprès du ministre du
travail, du plein emploi et de l’insertion et du ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse, chargée de
l’enseignement et de la formation professionnels,
Arrête :
Art. 1 . – Délégation permanente est donnée, à Mme Linda DEBERNARDI, directrice du cabinet à l’effet de
er
signer, au nom de la ministre déléguée auprès du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion et du ministre
de l’éducation nationale et de la jeunesse chargée de l’enseignement et de la formation professionnels, tous actes,
arrêtés ou décisions, à l’exclusion des décrets, en ce qui concerne les affaires pour lesquelles délégation n’a pas été
donnée aux personnes désignées au 1o et 2o de l’article 1er du décret du 27 juillet 2005 susvisé.
CAROLE GRANDJEAN
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE ET DE LA JEUNESSE
Décret no 2023-1135 du 5 décembre 2023 relatif aux titres-repas du volontaire

et chèques-repas du bénévole
NOR : MENV2328757D
Publics concernés : bénévoles, volontaires et personnes morales mentionnées à l’article L. 120-31 du code du
service national et à l’article 12 de la loi no 2006-586 du 23 mai 2006 relative à l’engagement éducatif.
Objet : dématérialisation des titres-repas du volontaire et des chèques-repas du bénévole.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le décret vise à permettre la dématérialisation des titres-repas du volontaire et des chèques-repas du
bénévole.
Références : le décret et les dispositions qu’il modifie sont consultables dans leur rédaction issue du décret sur
le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Sur le rapport du ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse,
Vu le code des postes et des communications, notamment son article L. 32 ;
Vu le code du service national, notamment ses articles L. 120-3, L. 120-22, L. 120-31 et R. 121-27 à R. 121-32 ;
Vu le code du travail, notamment ses articles L. 3262-1, R. 3262-4, R. 3262-13 à R. 3262-27 et R. 3262-32
à R. 3262-46 ;
Vu la loi no 2006-586 du 23 mai 2006 modifiée relative à l’engagement éducatif, notamment son article 12 ;
Vu le décret no 2006-1206 du 29 septembre 2006 relatif aux titres-repas du volontaire associatif et aux chèques-
repas du bénévole prévus par les articles 11 et 12 de la loi no 2006-586 du 23 mai 2006 relative au volontariat
associatif et à l’engagement éducatif ;
Vu l’avis du Comité consultatif de la législation et de la réglementation financières en date du 21 septembre 2023 ;
Vu l’avis de la Commission nationale des titres-restaurant en date 6 octobre 2023,
Décrète :
Art. 1 . – Le code du service national est ainsi modifié :
er
1o Les articles R. 121-27 à R. 121-31 sont remplacés par les dispositions suivantes :
« Art. R. 121-27. – Les titres-repas du volontaire, prévus à l’article L. 120-22 du code du service national, sont
émis selon les conditions visées au 2o de l’article L. 3262-1 du code du travail, sur support papier ou sous forme
dématérialisée, et cédés à une personne morale, autre que l’Etat, agréée en vertu de l’article L. 120-31 du code du
service national, contre paiement de leur valeur libératoire.
« Art. R. 121-28. – Les titres-repas du volontaire acquis par la personne morale mentionnée à l’article R. 121-27
ne peuvent être utilisés que par les volontaires de cette personne morale accomplissant en France un contrat
mentionné à l’article L. 120-3 du code du service national et pour la durée de leur mission.
« Un même volontaire ne peut recevoir qu’un titre-repas par repas compris dans le cadre de son activité
journalière.
« Ce titre ne peut être utilisé que par le volontaire auquel la personne morale mentionnée à l’article R. 121-27 l’a
remis.
« Les titres-repas ne sont pas utilisables les dimanches et jours fériés, sauf décision contraire de la personne
morale précitée au bénéfice exclusif des volontaires mobilisés pendant ces mêmes jours. Lorsque les titres sont
émis sur support papier, cette décision fait l’objet d’une mention très apparente sur les titres. Lorsque les titres sont
émis sous forme dématérialisée, la personne morale précitée informe par tout moyen les volontaires concernés de la
décision mentionnée ci-dessus, avant l’émission du titre.
« Les titres-repas ne peuvent être utilisés que dans le département du lieu de travail des volontaires bénéficiaires
et les départements limitrophes, à moins qu’ils ne portent de manière très apparente une mention contraire apposée
par la personne morale précitée, sous sa responsabilité, au bénéfice exclusif de ceux de ces volontaires qui sont, du
fait de leur fonction, appelés à des déplacements à longue distance.
« Ces titres ne peuvent être présentés en paiement d’un repas à un restaurateur ou assimilé que pendant l’année
civile et la période d’utilisation dont ils font mention.
« Les titres non utilisés au cours de cette période et rendus par les volontaires bénéficiaires à la personne morale
précitée au plus tard au cours de la quinzaine suivante sont échangés gratuitement contre un nombre égal de titres
valables pour la période ultérieure.
« Un même titre ne peut être utilisé que pour acquitter en tout ou partie le prix d’un seul repas correspondant au
moins aux normes fixées par l’article R. 3262-4 du code du travail.
« Un même repas ne peut être payé avec plusieurs titres.
« Art. R. 121-29. – Les volontaires venant de quitter la personne morale mentionnée à l’article R. 121-27 sont
tenus de lui remettre au moment de leur départ les titres-repas en leur possession. Ils sont aussitôt remboursés du
montant de leur contribution à l’achat de ces titres.
« Les titres acquis auprès d’un émetteur peuvent être échangés au cours du mois qui suit leur période
d’utilisation sous réserve du versement de la commission normalement perçue par l’émetteur lors de la vente de ces
titres.
« Les titres qui n’ont pas été présentés au remboursement par un restaurateur ou assimilé avant la fin du
deuxième mois suivant l’expiration de leur période d’utilisation sont définitivement périmés. Leur montant ne peut
plus être remboursé au restaurateur ou assimilé par imputation sur le compte titre-repas ouvert.
« Sous réserve de prélèvements autorisés par l’article R. 3262-13 du code du travail, la contre-valeur des titres
périmés est versée à la personne morale précitée auprès de laquelle les volontaires se sont procurés leurs titres.
« Art. R. 121-30. – Tout émetteur de titres-repas doit se faire ouvrir un compte bancaire sur lequel sont
obligatoirement versés, à l’exclusion de tous autres, les fonds qu’il perçoit en contrepartie de la cession de ces
titres.
« Art. R. 121-31. – Les titres-repas doivent dans tous les cas comporter, en caractères très apparents, les
mentions suivantes :
« 1. Titre-repas du volontaire ;
« 2. Les nom et adresse de l’émetteur ;
« 3. Le nom et l’adresse de la personne ou de l’établissement bancaire à qui les titres doivent être présentés au
remboursement par les restaurateurs ou assimilé ;
« 4. Le montant de la valeur libératoire du titre ;
« 5. L’année civile d’émission ;
« 6. Le numéro dans une série continue de nombres caractérisant l’émission ;
« 7. La période d’utilisation ;
« 8. Le nom et l’adresse du restaurateur ou assimilé chez qui le repas a été consommé ou acheté.
« Les mentions prévues aux 1 à 7 sont apposées au recto du titre par l’émetteur.
« La personne morale précitée indique, avant de remettre les titres-repas aux volontaires, la période d’utilisation
mentionnée au 7 si elle n’a pas été apposée par l’émetteur.
« Les mentions prévues au 8 du présent article sont apposées par le restaurateur ou assimilé au moment de
l’acceptation du titre.
« Les émetteurs doivent prévoir des signes de sécurité communs et facilement reconnaissables par les utilisateurs
à apposer au recto et au verso des titres-repas. » ;
2o Après l’article R. 121-31 sont insérés deux articles ainsi rédigés :
« Art. R. 121-31-1. – Lorsque le titre-repas du volontaire est émis sous forme dématérialisée, les dispositions
suivantes sont applicables :
« 1o Les mentions prévues aux 1 à 3 de l’article R. 121-31 figurent de façon très apparente sur le support
physique du paiement dématérialisé. Si le paiement est effectué à partir d’un équipement terminal, au sens du 10o
de l’article L. 32 du code des postes et des communications électroniques, utilisé par le volontaire et comportant
une fonctionnalité de paiement électronique, ces mentions sont accessibles directement sur cet équipement ;
« 2o L’émetteur assure à chaque volontaire l’accès permanent et gratuit, par message textuel, par voie
téléphonique ou directement sur l’équipement terminal mentionné au 1o, aux informations suivantes :
« a) Le solde de son compte personnel de titres-repas, en distinguant le montant des titres émis durant l’année
civile écoulée qui ne sont pas périmés et, pendant la période de quinze jours mentionnée au septième alinéa de
l’article R. 121-28, le montant des titres périmés ;
« b) La date de péremption des titres ainsi que la date limite à laquelle peuvent être échangés les titres périmés ;
« c) Le montant de la valeur libératoire du titre, toute modification de cette valeur libératoire faisant en outre
l’objet d’une information préalable du volontaire sur un support durable ;
« 3o Le numéro de série caractérisant l’émission mentionné au 6 de l’article R. 121-31 est conservé par
l’émetteur dans une base de données qui associe ce numéro avec un identifiant permettant de garantir que le
paiement est effectué au profit d’une personne morale mentionnée à l’article R. 121-27. Cette base de données
associe également ce numéro de série avec l’année civile d’émission prévue au 5 de l’article R. 121-31 ;
« 4o L’émetteur met en œuvre une fonctionnalité assurant qu’aucun titre émis durant l’année en cours ne peut
être utilisé par le volontaire tant qu’il n’a pas utilisé tous les titres émis durant l’année civile écoulée ;
« 5o L’émetteur met en œuvre une fonctionnalité de blocage automatique du paiement empêchant l’utilisation
des titres lorsque l’une des obligations suivantes n’est pas satisfaite :
« a) Celles qui sont prévues aux 3o et 4o du présent article ;
« b) Celle qui est prévue au quatrième alinéa de l’article R. 121-28 ;
« 6o Le solde du compte personnel du titre-repas du volontaire ne peut être converti sur support papier, sauf pour
ceux des volontaires qui, dans le cadre des activités de la personne morale qui les accueillent, accomplissent
principalement leurs missions en dehors des locaux de la personne morale au sein de laquelle ils réalisent leur
mission. Dans ce cas, la base de données de l’émetteur mentionnée au 3o ci-dessus recense les opérations de
conversion par cette personne morale, par le volontaire.
« Art. R. 121-31-2. – Les titres émis conformément aux dispositions des articles R. 121-31 et R. 121-31-1 sont
dispensés du droit de timbre. » ;
3o L’article R. 121-32 est remplacé par un article ainsi rédigé :
« Art. R. 121-32. – Les articles R. 3262-13 à R. 3262-25 et R. 3262-33 à R. 3262-46 du code du travail sont
applicables au fonctionnement et au contrôle des titres-repas du volontaire.
« La vérification prévue à l’article R. 3262-26 du code du travail n’est pas nécessaire en ce qui concerne les
titres-repas des volontaires lorsqu’elle a déjà été effectuée pour les titres-restaurant.
« L’assimilation prévue à l’article R. 3262-27 du code du travail et son renouvellement prévu à l’article R. 3262-
32 du même code ne sont pas nécessaires en ce qui concerne les titres-repas des volontaires lorsqu’ils ont déjà été
effectués pour les titres-restaurant. »
Art. 2. – Le décret du 29 septembre 2006 susvisé est ainsi modifié :
1o Dans l’intitulé, les mots : « aux titres-repas du volontaire associatif et aux chèques-repas du bénévole prévus
par les articles 11 et 12 » sont remplacés par les mots : « aux chèques-repas du bénévole prévus par l’article 12 » ;
2o Les titres I er et II sont abrogés ;
3o Les articles 1er à 6 sont remplacés par les dispositions suivantes :
« Art. 1er. – Les chèques-repas du bénévole prévus à l’article 12 de la loi du 23 mai 2006 susvisée sont émis,
sur support papier ou sous forme dématérialisée, selon les conditions prévues au 2o de l’article L. 3262-1 du code
du travail et cédés à une association mentionnée à l’article 12 de la loi du 23 mai 2006 précitée contre paiement de
leur valeur libératoire.
« Art. 2. – Les chèques-repas du bénévole acquis par une association ne peuvent être utilisés que par les
bénévoles de cette association y exerçant, dans le cadre de son objet social, une activité bénévole régulière.
« Un même bénévole ne peut recevoir respectivement qu’un chèque-repas par repas compris dans le cadre de son
activité journalière.
« Ce chèque ne peut être utilisé que par le bénévole auquel l’association l’a remis.
« Les chèques-repas ne sont pas utilisables les dimanches et jours fériés, sauf décision contraire de l’association
précitée au bénéfice exclusif des bénévoles mobilisés pendant ces mêmes jours. Lorsque les chèques sont émis sur
support papier, cette décision fait l’objet d’une mention très apparente sur les chèques. Lorsque les chèques sont
émis sous forme dématérialisée, l’association précitée informe par tout moyen les bénévoles concernés de la
décision mentionnée ci-dessus, avant l’émission du chèque.
« Les chèques-repas ne peuvent être utilisés que dans le département du lieu de travail des bénévoles
bénéficiaires et les départements limitrophes, à moins qu’ils ne portent de manière très apparente une mention
contraire apposée par l’association précitée, sous sa responsabilité, au bénéfice exclusif de ceux de ces bénévoles
qui sont, du fait de leur fonction, appelés à des déplacements à longue distance.
« Ces chèques ne peuvent être présentés en paiement d’un repas à un restaurateur ou assimilé que pendant
l’année civile et la période d’utilisation dont ils font mention.
« Les chèques non utilisés au cours de cette période et rendus par les bénévoles bénéficiaires à l’association
précitée au plus tard au cours de la quinzaine suivante sont échangés gratuitement contre un nombre égal de
chèques valables pour la période ultérieure.
« Un même chèque ne peut être utilisé que pour acquitter en tout ou partie le prix d’un seul repas correspondant
au moins aux normes fixées par l’article R. 3262-4 du code du travail.
« Un même repas ne peut être payé avec plusieurs chèques.
« Art. 3. – Les bénévoles venant de quitter l’association mentionnée à l’article 12 de la loi du 23 mai 2006
précitée sont tenus de lui remettre au moment de leur départ les chèques-repas en leur possession. Ils sont aussitôt
remboursés du montant de leur contribution à l’achat de ces chèques.
« Les chèques acquis auprès d’un émetteur peuvent être échangés au cours du mois qui suit leur période
d’utilisation sous réserve du versement de la commission normalement perçue par l’émetteur lors de la vente de ces
chèques.
« Les chèques qui n’ont pas été présentés au remboursement par un restaurateur ou assimilé avant la fin du
deuxième mois suivant l’expiration de leur période d’utilisation sont définitivement périmés. Leur montant ne peut
plus être remboursé au restaurateur ou assimilé par imputation sur le compte chèque-repas ouvert.
« Sous réserve de prélèvements autorisés par l’article R. 3262-13 du code du travail, la contre-valeur des
chèques périmés est versée à l’association précitée auprès de laquelle les bénévoles se sont procurés leurs chèques.
« Art. 4. – Tout émetteur de chèques-repas doit se faire ouvrir un compte bancaire sur lequel sont
obligatoirement versés, à l’exclusion de tous autres, les fonds qu’il perçoit en contrepartie de la cession de ces
chèques.
« Art. 5. – Les chèques-repas doivent dans tous les cas comporter, en caractères très apparents, les mentions
suivantes :
« 1. Chèque-repas du bénévole ;
« 2. Le nom et l’adresse de l’émetteur ;
« 3. Le nom et l’adresse de la personne ou de l’établissement bancaire à qui les chèques doivent être présentés au
remboursement par les restaurateurs ou assimilé ;
« 4. Le montant de la valeur libératoire du chèque ;
« 5. L’année civile d’émission ;
« 6. Le numéro dans une série continue de nombres caractérisant l’émission ;
« 7. La période d’utilisation ;
« 8. Le nom et l’adresse du restaurateur ou assimilé chez qui le repas a été consommé ou acheté.
« Les mentions prévues aux 1 à 7 sont apposées au recto du chèque par l’émetteur. L’association indique, avant
de remettre les chèque-repas aux bénévoles, la période d’utilisation mentionnée au 7 si elle n’a pas été apposée par
l’émetteur.
« Les mentions prévues au 8 du présent article sont apposées par le restaurateur ou assimilé au moment de
l’acceptation du chèque.
« Les émetteurs doivent prévoir des signes de sécurité communs et facilement reconnaissables par les utilisateurs
à apposer au recto et au verso des chèques-repas.
« Art. 6. – Lorsque le chèques-repas du bénévole est émis sous forme dématérialisée, les dispositions suivantes
sont applicables :
« 1o Les mentions prévues aux 1 à 3 de l’article 5 du présent décret figurent de façon très apparente sur le support
physique du paiement dématérialisé. Si le paiement est effectué à partir d’un équipement terminal, au sens du 10o
de l’article L. 32 du code des postes et des communications électroniques, utilisé par le bénévole et comportant une
fonctionnalité de paiement électronique, ces mentions sont accessibles directement sur cet équipement ;
« 2o L’émetteur assure à chaque bénévole l’accès permanent et gratuit, par message textuel, par voie
téléphonique ou directement sur l’équipement terminal mentionné au 1o, aux informations suivantes :
« a) Le solde de son compte personnel de chèques-repas, en distinguant le montant des chèques émis durant
l’année civile écoulée qui ne sont pas périmés et, pendant la période de quinze jours mentionnée au septième alinéa
de l’article 2, le montant des chèques périmés ;
« b) La date de péremption des chèques ainsi que la date limite à laquelle peuvent être échangés les chèques
périmés ;
« c) Le montant de la valeur libératoire du chèque, toute modification de cette valeur libératoire faisant en outre
l’objet d’une information préalable du bénévole sur un support durable ;
« 3o Le numéro de série caractérisant l’émission mentionné au 6 de l’article 5 est conservé par l’émetteur dans
une base de données qui associe ce numéro avec un identifiant permettant de garantir que le paiement est effectué
au profit d’une association mentionnée à l’article 12 de la loi du 23 mai 2006 précitée. Cette base de données
associe également ce numéro de série avec l’année civile d’émission prévue au 5 de l’article 5 ;
« 4o L’émetteur met en œuvre une fonctionnalité assurant qu’aucun chèque émis durant l’année en cours ne peut
être utilisé par le bénévole tant qu’il n’a pas utilisé tous chèques émis durant l’année civile écoulée ;
« 5o L’émetteur met en œuvre une fonctionnalité de blocage automatique du paiement empêchant l’utilisation
des chèques lorsque l’une des obligations suivantes n’est pas satisfaite :
« a) Celles qui sont prévues aux 3o et 4o du présent article ;
« b) Celle qui est prévue au quatrième alinéa de l’article 2 du présent décret ;
« 6o Le solde du compte personnel du chèque-repas du bénévole ne peut être converti sur support papier, sauf
pour ceux des bénévoles qui, dans le cadre des activités de l’association qui les accueillent, accomplissent
principalement leurs missions en dehors des locaux de l’association au sein de laquelle ils réalisent leur mission.
Dans ce cas, la base de données de l’émetteur mentionnée au 3o ci-dessus recense les opérations de conversion par
cette association, par le bénévole.
« Art. 7. – Les chèques-repas émis conformément aux dispositions des articles 5 et 6 du présent décret sont
dispensés du droit de timbre.
« Art. 8. – Les articles R. 3262-13 à R. 3262-25 et R. 3262-33 à R. 3262-46 du code du travail sont applicables
au fonctionnement et au contrôle des chèques-repas du bénévole.
« La vérification prévue à l’article R. 3262-26 du code du travail n’est pas nécessaire en ce qui concerne les
chèques-repas des bénévoles lorsqu’elle a déjà été effectuée pour les titres-restaurant.
« L’assimilation prévue à l’article R. 3262-27 du code du travail et son renouvellement prévu à
l’article R. 3262-32 du même code ne sont pas nécessaires en ce qui concerne les chèques-repas des bénévoles
lorsqu’ils ont déjà été effectués pour les titres-restaurant. »
Art. 3. – Le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et le ministre

de l’éducation nationale et de la jeunesse sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent
décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
ÉLISABETH BORNE
Le ministre de l’éducation nationale
et de la jeunesse,
GABRIEL ATTAL
BRUNO LE MAIRE
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE
Arrêté du 20 novembre 2023 désignant une opération de restructuration au sein de l’Institut

national d’enseignement supérieur pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement
(l’Institut Agro)
NOR : AGRS2322811A
Le ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et le ministre de la transformation et de la fonction

publiques,
Vu le code général de la fonction publique, notamment le chapitre II du titre IV de son livre IV ;
Vu le décret no 86-83 du 17 janvier 1986 modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents
contractuels de l’Etat ;
Vu le décret no 2008-366 du 17 avril 2008 modifié instituant une prime de restructuration de service et une
allocation d’aide à la mobilité du conjoint ;
Vu le décret no 2008-368 du 17 avril 2008 modifié instituant une indemnité de départ volontaire ;
Vu le décret no 2014-507 du 19 mai 2014 modifié relatif aux dispositifs indemnitaires d’accompagnement dans la
fonction publique ;
Vu le décret no 2019-1441 du 23 décembre 2019 relatif aux mesures d’accompagnement de la restructuration
d’un service de l’Etat ou de l’un de ses établissements publics ;
Vu le décret no 2019-1444 du 23 décembre 2019 instituant une indemnité d’accompagnement à la mobilité
fonctionnelle en situation de restructuration de services au sein de la fonction publique d’Etat ;
Vu le décret no 2019-1459 du 26 décembre 2019 modifié relatif à l’Institut national d’enseignement supérieur
pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (l’Institut Agro) ;
Vu l’arrêté du 26 février 2019 fixant les montants de la prime de restructuration de service et de l’allocation
d’aide à la mobilité du conjoint instituées par le décret no 2008-366 du 17 avril 2008 ;
Vu l’arrêté du 26 février 2019 fixant les modalités de détermination du montant de l’indemnité de départ
volontaire instituée par le décret no 2008-368 du 17 avril 2008 en cas de restructuration de service ;
Vu l’arrêté du 23 décembre 2019 pris en application de l’article 2 du décret no 2019-1444 du 23 décembre 2019
instituant une indemnité d’accompagnement à la mobilité fonctionnelle au sein de la fonction publique d’Etat ;
Vu l’avis du comité social d’administration de l’Institut national d’enseignement supérieur pour l’agriculture,
l’alimentation et l’environnement en date du 12 octobre 2023,
Arrêtent :
Art. 1 . – Le transfert programmé des activités de l’agence comptable de l’Institut national d’enseignement
er
supérieur pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement des sites de Dijon et de Montpellier vers le site de
Rennes, constitue une opération de restructuration ouvrant droit, pour chaque emploi et fonctions concernés, aux
dispositifs indemnitaires et d’accompagnement prévus aux articles 2 à 3 du présent arrêté.
Art. 2. – Les fonctionnaires et agents contractuels en contrat à durée indéterminée concernés par cette
opération de restructuration peuvent bénéficier :
– de la prime de restructuration de service et de l’allocation d’aide à la mobilité du conjoint prévue par le
décret no 2008-366 du 17 avril 2008 susvisé ;
– de l’indemnité de départ volontaire prévue par le décret no 2008-368 du 17 avril 2008 susvisé ;
– de l’indemnité d’accompagnement à la mobilité fonctionnelle dans les conditions prévues par le
décret no 2019-1444 du 23 décembre 2019 et son arrêté d’application du 23 décembre 2019 susvisés.
Par ailleurs, les fonctionnaires concernés par l’opération de restructuration mentionnée à l’article 1er du présent
arrêté peuvent bénéficier du complément indemnitaire d’accompagnement prévu par le décret du 19 mai 2014
susvisé.
Art. 3. – Dans les conditions fixées par le décret no 2019-1441 du 23 décembre 2019 susvisé, les fonctionnaires
et agents contractuels en contrat à durée indéterminée pourront bénéficier d’un accompagnement pour l’élaboration
de leur projet professionnel, d’un accès prioritaire à des actions de formation et du congé de transition
professionnelle en vue d’exercer un nouveau métier au sein des secteurs publics ou privés.
Art. 4. – Le bénéfice des dispositifs prévus aux articles 2 à 3 est ouvert pour une durée de trois ans à compter
de l’entrée en vigueur du présent arrêté.
Le ministre de l’agriculture
et de la souveraineté alimentaire,
Le chef du service
des ressources humaines,
X. MAIRE
La sous-directrice de la synthèse,
des politiques territoriales
et des partenariats,
N. GREEN
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 23 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 2 novembre 2023 fixant le régime des études
dans les classes mentionnées à l’article D. 812-66 du code rural et de la pêche maritime
NOR : AGRE2332638A
Le ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire,

Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment les articles D. 812-66 à D. 812-69 ;
Vu l’arrêté du 2 novembre 2023 fixant le régime des études dans les classes mentionnées à l’article D. 812-66 du
code rural et de la pêche maritime,
Arrête :
Art. 1 . – Le tableau de l’annexe I mentionnée à l’article 5 de l’arrêté du 2 novembre 2023 susvisé est
er
remplacé par le tableau qui figure en annexe du présent arrêté.

Art. 2. – Le directeur général de l’enseignement et de la recherche est chargé de l’exécution du présent arrêté,
qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Le directeur général de l’enseignement
et de la recherche,
B. BONAIMÉ
ANNEXE
Enseignements obligatoires : Horaire étudiant sur 36 semaines
Horaire
hebdomadaire Cours ou TP ou TD
Disciplines Commentaire maximal Volume horaire
indicatif annuel maximal
Lettres modernes - philosophie Semestres 1 et 2 : tronc commun uniquement 6,00 216,00
Langue vivante Anglais Semestres 1 et 2 : tronc commun uniquement 4,00 144,00
Semestre 1 : Tronc commun

Semestre 2 : Répartition du volume horaire semestriel entre
Biologie-Écologie les enseignements de tronc commun et d’approfondisse 9,00 324,00
ment (répartition équitable entre les filières vétérinaire et
agronomique du volume horaire dévolu aux approfondis
sements)

Mathématiques-Informatique les enseignements de tronc commun et d’approfondisse 9,00 324,00
sements)

Physique-Chimie les enseignements de tronc commun et d’approfondisse 9,00 324,00
sements)
Anglais : 1/3 de l’horaire

Projet Interdisciplinaire de Médiation Lettres-Philosophie : 1/3 de l’horaire
Scientifique (PIMS) 1,50 54,00
Biologie-Écologie, Mathématiques-Informatique et Physique-
chimie : 1/3 de l’horaire
Enseignements obligatoires : Horaire étudiant sur 36 semaines
Horaire
hebdomadaire Cours ou TP ou TD
Disciplines Commentaire maximal Volume horaire
indicatif annuel maximal
Biologie-Écologie : 1/3 de l’horaire

Activité Collaborative en Sciences Mathématiques-Informatique : 1/3 de l’horaire 1,50 54,00
(ACeS)
Physique-chimie : 1/3 de l’horaire
Total maximal hors projets 37,00
Total général maximal des enseignements obligatoires 40,00

TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 28 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 12 mars 2021 fixant la liste des ressources
phytogénétiques de la collection nationale de ressources phytogénétiques pour l’agriculture et
l’alimentation et de ressources phytogénétiques patrimoniales
NOR : AGRG2329422A
Le ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire,

Vu le traité international sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture (ensemble deux
annexes), signé à Rome le 6 juin 2002 ;
Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment ses articles L. 660-1 à L. 660-4, D. 660-5, D. 660-6 et
D. 661-11 ;
Vu l’arrêté du 12 mars 2021 modifié fixant la liste des ressources phytogénétiques de la Collection nationale de
ressources phytogénétiques pour l’agriculture et l’alimentation et de ressources phytogénétiques patrimoniales ;
Sur proposition du comité technique permanent de la sélection des plantes cultivées section « ressources
phytogénétiques »,
Arrête :
Art. 1 . – Le tableau de l’article 1er de l’arrêté du 12 mars 2021 susvisé est complété par les lignes suivantes :
er
«
Gestionnaire Type Numéro Espèce (nom vernaculaire) Nom de l’accession Origine
de collection(s) de collection(s) de l’accession
Association du Domaine de Fruitière VFB I A11 Malus domestica (Pommier) Armagnac ---
Merval (ADM) Château de
Merval, Route d’Argueil VFBO K21 Malus domestica (Pommier) Bailleul d’hiver FRA
76220 Brémontier Merval
VFB I F20 Malus domestica (Pommier) Beurrière FRA
VFB I A12 Malus domestica (Pommier) Binet rouge ---
VFB I B05 Malus domestica (Pommier) Bisquet ---
VFB I H20 Malus domestica (Pommier) Colapuis ---
VFB I H01 Malus domestica (Pommier) Croix de Bouelles FRA
VFBO K17 Malus domestica (Pommier) Curé de Bray FRA
VFB I C02 Malus domestica (Pommier) Domaines ---
VFB I I07 Malus domestica (Pommier) Grise dieppois FRA
VFB I C14 Malus domestica (Pommier) Herbage sec ---
VFB I H02 Malus domestica (Pommier) Jaunet de Gournay ---
VFB I I11 Malus domestica (Pommier) Médaille d’or FRA
VFB I D10 Malus domestica (Pommier) Mettais ---
VFB N H03 Malus domestica (Pommier) Petit pigeonnet ---
VFB N C05 Malus domestica (Pommier) Reinette de Caux NLD
VFB N E10 Malus domestica (Pommier) Reinette fardel FRA

Gestionnaire Type Numéro

de collection(s) de collection(s) de l’accession Espèce (nom vernaculaire) Nom de l’accession Origine
Reinette lituanienne/
VFB N E03 Malus domestica (Pommier) Glogerovka ---
VFB N E07 Malus domestica (Pommier) Reinette rouge étoilée NLD
VFB I K13 Malus domestica (Pommier) Saint martin FRA
VFB I J11 Malus domestica (Pommier) Tête de brebis ---
Transparente de Bois
VFBO N06 Malus domestica (Pommier) Guillaume FRA
INRAE, au nom du réseau de Agricole SOL000377 Solanum tuberosum (Pomme de terre) ADRIANA FRA
coopération public-privé
pomme de terre Domaine de SOL001055 Solanum tuberosum (Pomme de terre) AMELIE FRA
Keraïber 29260 Ploudaniel
SOL000049 Solanum tuberosum (Pomme de terre) ARIANE FRA
SOL000543 Solanum tuberosum (Pomme de terre) DOMINOR FRA
SOL000144 Solanum tuberosum (Pomme de terre) DUCHESSE FRA
SOL000564 Solanum tuberosum (Pomme de terre) ESTIVALE FRA
SOL000580 Solanum tuberosum (Pomme de terre) FLAMBA FRA
SOL001063 Solanum tuberosum (Pomme de terre) FRIANDE FRA
SOL000596 Solanum tuberosum (Pomme de terre) FRIDOR FRA
SOL000727 Solanum tuberosum (Pomme de terre) MYLENE FRA
SOL000730 Solanum tuberosum (Pomme de terre) NAGA FRA
SOL000274 Solanum tuberosum (Pomme de terre) ODESSA FRA
SOL000750 Solanum tuberosum (Pomme de terre) OPALINE FRA
SOL000778 Solanum tuberosum (Pomme de terre) POUPETTE FRA
SOL000881 Solanum tuberosum (Pomme de terre) TENOR FRA
Conservatoire botanique natio Espèces apparentées Achillea millefolium (Achillée mille

nal alpin (CBNA) Domaine de sauvages 160080 feuille, Herbe au charpentier, Sour FRA
Charance 05000 Gap cils-de-Vénus)
160198 Achillea odorata (Achillée odorante) FRA
Anemone narcissiflora (Anémone

160219 à fleurs de narcisse) FRA
Anemone nemorosa (Anémone des

970009 bois, Anémone sylvie) FRA
Anemone ranunculoides (Anémone

980024 fausse-renoncule) FRA
Angelica sylvestris (Angélique sauvage,

160202 Angélique sylvestre, Impératoire FRA
sauvage)
Aquilegia vulgaris (Ancolie vulgaire,

160251 Clochette) FRA
170200 Artemisia glacialis (Genépi des glaciers) FRA
Artemisia umbelliformis (Genépi blanc,

990065 Genépi jaune) FRA
Artemisia umbelliformis (Genépi blanc,

970018 Genépi jaune) FRA
Atropa belladonna (Belladone, Bouton-

160159 noir) FRA
Briza media (Brize intermédiaire, Amou

160227 rette commune) FRA

160200 Bromus secalinus (Brome faux-seigle, FRA

Brome Seigle)
Bromus secalinus (Brome faux-seigle,

110043 Brome Seigle) FRA
160163 Camelina sativa (Caméline cultivée, FRA

Sésame d’Allemagne)
Campanula cochleariifolia (Campanule

150070 à feuilles de cochléaire, Campanule FRA
à feuilles de Raifort)
140037 Carex davalliana (Laîche de Davall, FRA

Carex de Davall)
990143 Carex elata (Laîche raide, Laîche élevée) FRA
160169 Carex pendula (Laîche à épis pendants FRA

ou Laîche pendante)
160049 Centaurea cyanus (Barbeau) FRA
160044 Centaurea cyanus (Barbeau) FRA
170258 Cephalaria alpina (Céphalaire des Alpes, FRA

Scabieuse des Alpes)
160204 Daucus carota (Carotte sauvage) FRA
160157 Dorycnium pentaphyllum FRA
160188 Draba aizoides (Drave faux Aïzoon) FRA
000035 Eranthis hyemalis (Éranthe d’hiver) FRA
120074 Galium odoratum (Aspérule odorante, FRA

Belle-étoile, Gaillet odorant)
160175 Geum rivale (Benoîte des ruisseaux) FRA
150080 Hesperis matronalis (Julienne des FRA

dames)
980096 Hyoscyamus niger (Jusquiame noire) FRA
180088 Hyoscyamus niger (Jusquiame noire) FRA
080014 Iris spuria (Iris maritime) FRA
Isatis tinctoria (Pastel des teinturiers,

160218 Herbe de saint Philippe) FRA
940027 Lathyrus sativus (Gesse cultivée, Pois FRA

carré, Lentille d’Espagne)
990185 Leontopodium alpinum (Edelweiss) FRA
990094 Leontopodium alpinum (Edelweiss) FRA
170273 Lilium croceum (Lis orangé, Lis faux- FRA

safran)
Lilium martagon (Lis martagon, Lis de

990053 Catherine) FRA
980057 Lilium martagon (Lis martagon, Lis de FRA

Catherine)
160222 Luzula nivea (Luzule blanche, Luzule des FRA

neiges)
Luzula nivea (Luzule blanche, Luzule des

150068 neiges) FRA
150078 Malva moschata (Mauve musquée) FRA


160190 Melica ciliata (Mélique ciliée) FRA
Onobrychis montana (Sainfoin de mon

910022 tagne) FRA
Onobrychis montana (Sainfoin de mon

160100 tagne) FRA
130065 Papaver rhoeas (Coquelicot) FRA
130064 Papaver rhoeas (Coquelicot) FRA
Plantago lanceolata (Plantain lancéolé,

160081 Herbe aux cinq coutures) FRA
150071 Rumex arifolius (Rumex alpestre) FRA
150088 Salvia pratensis (Sauge des prés, Sauge FRA

commune)
150037 Salvia pratensis (Sauge des prés, Sauge FRA

commune)
Saxifraga oppositifolia (Saxifrage

120035 à feuilles opposées, Saxifrage glan FRA
duleux)
Thalictrum aquilegiifolium (Pigamon

970076 à feuilles d’ancolie, Colombine plu FRA
meuse)
Thalictrum flavum (Pigamon jaune,

990189 Pigamon noircissant) FRA
Trifolium pratense (Trèfle des prés,

940012 Trèfle violet) FRA
900082 Vicia cracca (Vesce cracca, Jarosse) FRA
850167 Vicia sativa (Vesce cultivée, Poisette) FRA
INRAE, CRB BrACySol Domaine Agricole COH FR00 0006 Brassica napus (Colza) Alsace 1360 FRA
de Keraïber 29260 Ploudaniel
COH FR00 0007 Brassica napus (Colza) Alsace 387 FRA
COFH Brassica napus (Colza) Arvor FRA

FR00 0005
COFH Brassica napus (Colza) Batou FRA

FR00 0007
COH FR00 0019 Brassica napus (Colza) Bienvenu FRA
COFH Brassica napus (Colza) Bravo FRA

FR00 0008
COFH
FR00 0009 Brassica napus (Colza) Bravo Nova FRA
COFP
FR00 0001 Brassica napus (Colza) Brio FRA
COFP
FR00 0003 Brassica napus (Colza) Bro FRA
COP FR00 0004 Brassica napus (Colza) Brutor FRA
COP FR00 0010 Brassica napus (Colza) Calisto FRA
COH FR00 0028 Brassica napus (Colza) Captain FRA
COP FR00 0012 Brassica napus (Colza) Cesar FRA


COH Brassica napus (Colza) Cheyenne AUS

AU00 0001
COH
GB00 0007 Brassica napus (Colza) Coronet GBR
COH Brassica napus (Colza) Corvette GBR

GB00 0008
COP FR00 0013 Brassica napus (Colza) Cresor FRA
COP FR00 0015 Brassica napus (Colza) Cresus FRA
COH FR00 0003 Brassica napus (Colza) Darmor Nain FRA
COH FR00 0044 Brassica napus (Colza) Doublol FRA
COP FR00 0019 Brassica napus (Colza) Drakkar FRA
COH FR00 0182 Brassica napus (Colza) Eurol FRA
COH FR00 0189 Brassica napus (Colza) Expor FRA
COFH Brassica napus (Colza) Feroce FRA

FR00 0029
COP FR00 0022 Brassica napus (Colza) Fidelio FRA
COH FR00 0190 Brassica napus (Colza) Gaspard FRA
COH FR00 0192 Brassica napus (Colza) Geronimo FRA
COH FR00 0206 Brassica napus (Colza) Jet Neuf FRA
COFH Brassica napus (Colza) Kentan FRA

FR00 0011
COFH
FR00 0012 Brassica napus (Colza) Kentan Nova FRA
COH FR00 0209 Brassica napus (Colza) Kid FRA
COP FR00 0023 Brassica napus (Colza) Liho DEU
COH DE00 0097 Brassica napus (Colza) Listol DEU
COH FR00 0217 Brassica napus (Colza) Major FRA
COH FR00 0322 Brassica napus (Colza) Manitou FRA
COH DE00 0053 Brassica napus (Colza) Milena DEU
COH FR00 0223 Brassica napus (Colza) Nain de Hambourg FRA
COH FR00 0323 Brassica napus (Colza) Nickel FRA
COH FR00 0324 Brassica napus (Colza) NK Docent FRA
COH FR00 0325 Brassica napus (Colza) NK Solero FRA
COH FR00 0326 Brassica napus (Colza) Olivine FRA
COP FR00 0025 Brassica napus (Colza) Orpal FRA
COP FR00 0334 Brassica napus (Colza) Pactol FRA
COFH Brassica napus (Colza) Parapluie FRA

FR00 0015
COH FR00 0327 Brassica napus (Colza) Pauc011 FRA
COH FR00 0328 Brassica napus (Colza) Pixel FRA
COH FR00 0229 Brassica napus (Colza) Primor FRA
COH FR00 0233 Brassica napus (Colza) Rafal FRA


COH FR00 0235 Brassica napus (Colza) Ramses FRA
COP FR00 0031 Brassica napus (Colza) Romeo FRA
COH FR00 0238 Brassica napus (Colza) Samourai FRA
COH FR00 0240 Brassica napus (Colza) Sarepta FRA
COH DK00 0006 Brassica napus (Colza) Silex FRA
COH FR00 0329 Brassica napus (Colza) Squaw FRA
COH FR00 0330 Brassica napus (Colza) Tandem FRA
COP FR00 0037 Brassica napus (Colza) Tanto FRA
COH FR00 0244 Brassica napus (Colza) Tapidor FRA
COFH
FR00 0027 Brassica napus (Colza) Tim FRA
COH FR00 0247 Brassica napus (Colza) Titus FRA
COH FR00 0250 Brassica napus (Colza) Tradition FRA
Aromatiques et médici 13-men-125 Mentha x piperita (Menthe poivrée) cv. ’Blanche de Milly’ FRA
nales
13-men-133 Mentha x piperita (Menthe poivrée) cv. ’Maine-et-Loire’ FRA
Conservatoire National des
Plantes Médicinales et Aro
matiques (CNPMAI) Route de 13-men-130 Mentha x piperita (Menthe poivrée) cv. ’ Hongrie’ HUN
Nemours 91490 Milly-la-Forêt
13-men-209 Mentha x piperita (Menthe poivrée) cv. ’Digne 39’ FRA
13-men-210 Mentha x piperita (Menthe poivrée) cv. ’Digne 39’ FRA
Communauté des Communes Fruitière 6_25-26 Ficus carica (Figuier) Bellone FRA
des Coteaux Arrats Gimone
(3CAG) 53 Boulevard du Nord 1_47-48 Ficus carica (Figuier) Blanche d’Argenteuil FRA
32200 Gimont
6_21-22 Ficus carica (Figuier) Bourjassotte noire FRA
7_1-2 Ficus carica (Figuier) Col de dame gris FRA
7_3-4 Ficus carica (Figuier) Col de dame noir FRA
2_39-40 Ficus carica (Figuier) Dalmatie FRA
2_35-36 Ficus carica (Figuier) Dauphine FRA
1_67-68 Ficus carica (Figuier) Dorée FRA
2_57-59 Ficus carica (Figuier) Figue de Marseille FRA
3_5-6 Ficus carica (Figuier) Grise St Jean FRA
3_29-30 Ficus carica (Figuier) Longue d’août FRA
3_39-40 Ficus carica (Figuier) Madeleine des 2 sai FRA

sons
8_31-32 Ficus carica (Figuier) Marseillaise FRA
8_25-36 Ficus carica (Figuier) Montfavet FRA
8_15-16 Ficus carica (Figuier) Nefiach FRA
1_39-40 Ficus carica (Figuier) Negronne FRA
8_9-10 Ficus carica (Figuier) Noire de Barbentane FRA
1_11-12 Ficus carica (Figuier) Noire de Caromb FRA
9_1-2 Ficus carica (Figuier) Pastilière FRA
9_19-20 Ficus carica (Figuier) Ronde de Bordeaux FRA


5_25-26 Ficus carica (Figuier) Sucrette FRA
3_57-58 Ficus carica (Figuier) Sultane FRA
Espaces naturels régionaux - Fruitière Pui 6 Malus domestica (Pommier) Reinette Jules Labitte FRA
Centre régional de ressources
génétiques Hauts-de-France Pui 4 Malus domestica (Pommier) Belle de Pontoise FRA
(ENRX-CRRG) Ferme du
Héron, Chemin de la ferme Bur 16 Malus domestica (Pommier) Rambour rouge FRA
Lenglet 59650 Villeneuve
d’Asq Mas 7 Malus domestica (Pommier) Rambour d’hiver FRA
Niq 33 Malus domestica (Pommier) Marais grosse FRA
».
La directrice générale de l’alimentation,
M. FAIPOUX
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 29 novembre 2023 homologuant le cahier des charges

de l’appellation d’origine contrôlée « Vouvray »
NOR : AGRT2329449A
Le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, le ministre de

l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique, chargé des comptes publics,
Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant
organisation commune des marchés des produits agricoles et notamment son article 105 ;
Vu le code de la consommation ;
Vu le code des douanes ;
Vu le code rural et de la pêche maritime, en particulier son article L. 641-7 ;
Vu la proposition du comité national des appellations d’origine relatives aux vins et aux boissons alcoolisées, et
des boissons spiritueuses de l’Institut national de l’origine et de la qualité prise en séance des 29 et 30 juin 2023,
Arrêtent :
Art. 1 . – Le cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « Vouvray » est homologué.
er
Il est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et peut être
consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-bf141eb3-
e0b2-44aa-aea9-bfb05bdb761c.
Art. 2. – L’arrêté du 5 novembre 2020 relatif à l’appellation d’origine contrôlée « Vouvray » est abrogé.
L’adjointe à la sous-directrice
des filières agroalimentaires,
A. GIREL-ZAJDENWEBER
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
Pour le ministre et délégation :
Le chef du bureau des contributions indirectes
de la direction générale des douanes et droits indirects,
J. COUDRAY
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 29 novembre 2023 homologuant le cahier des charges

de l’appellation d’origine contrôlée « Grignan-Les-Adhémar »
NOR : AGRT2329455A
Le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, le ministre de

l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique, chargé des comptes publics,
Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant
organisation commune des marchés des produits agricoles et notamment son article 105 ;
Vu le code de la consommation ;
Vu le code des douanes ;
Vu le code rural et de la pêche maritime, en particulier son article L. 641-7 ;
Vu la proposition du comité national des appellations d’origine relatives aux vins et aux boissons alcoolisées, et
des boissons spiritueuses de l’Institut national de l’origine et de la qualité prise en séance des 29 et 30 juin 2023,
Arrêtent :
Art. 1 . – Le cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « Grignan-Les-Adhémar » est homologué.
er
Il est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire et peut être
consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-caece759-
9ae4-4f47-afd7-df30155551e3.
Art. 2. – L’arrêté du 2 septembre 2022 relatif à l’appellation d’origine contrôlée « Grignan-Les-Adhémar » est
abrogé.
L’adjointe à la sous-directrice
des filières agroalimentaires,
A. GIREL-ZAJDENWEBER
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
Pour le ministre et délégation :
Le chef du bureau des contributions indirectes
de la direction générale des douanes et droits indirects,
J. COUDRAY
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 29 novembre 2023 relatif aux statuts

de l’Association de formation des salariés agricoles et ruraux (ASFOSAR)
NOR : AGRS2331508A
Par arrêté du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire en date du 29 novembre 2023, les statuts
de l’Association de formation des salariés agricoles et ruraux, tels qu’ils ont été modifiés par l’assemblée générale
extraordinaire de ladite association réunie le 27 septembre 2023, sont approuvés.
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er décembre 2023 autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture d’un concours externe
sur titres d’accès au corps des ingénieurs de l’agriculture et de l’environnement et fixant le
nombre de places offertes
NOR : AGRS2320606A
Par arrêté du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire en date du 1er décembre 2023, est
autorisée au titre de l’année 2024 l’ouverture d’un concours externe sur titres d’accès au corps des ingénieurs de
l’agriculture et de l’environnement.
Le nombre total de places offertes est fixé à 25 qui se répartissent comme suit :
– 5 places au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire ;
– 20 places au ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires.
Les inscriptions se feront par internet sur le site https://www.concours.agriculture.gouv.fr/ du 11 décembre 2023
au 12 janvier 2024 à minuit (heure de Paris). La date limite de téléversement des pièces justificatives est fixée au
25 janvier 2024.
Les candidats téléverseront le dossier de sélection dans leur espace personnel par internet, sur le site
https://www.concours.agriculture.gouv.fr/. La date limite de téléversement de ces dossiers de sélection est fixée au
25 janvier 2024, dernier délai.
En cas d’impossibilité de s’inscrire par voie électronique, les candidats pourront obtenir un dossier d’inscription
sur demande écrite, en recommandé simple, au : ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire,
secrétariat général, service des ressources humaines, SDDPRS, bureau des concours et des examens professionnels,
78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
La date limite de retour des dossiers papier complets d’inscription est fixée au 25 janvier 2024 (le cachet de la
poste faisant foi). Ils devront être renvoyés obligatoirement par voie postale et en recommandé simple à l’adresse
mentionnée ci-dessus.
Aucun dossier posté hors délai ne sera pris en compte.
Les candidats devront donc veiller à demander leur dossier d’inscription suffisamment tôt pour tenir compte des
délais d’acheminement du courrier.
L’examen par le jury des dossiers de sélection pour l’admissibilité se déroulera à partir du 5 février 2024.
Les épreuves orales se dérouleront à compter du 18 mars 2024.
Conformément au décret no 2020-523 du 4 mai 2020, les candidats en situation de handicap qui demandent un
aménagement de l’épreuve orale doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé par
l’administration. Le certificat médical, qui doit avoir été établi moins de six mois avant le déroulement des
épreuves, précise la nature des aides humaines et techniques ainsi que des aménagements nécessaires pour
permettre aux candidats, compte tenu de la nature et de la durée des épreuves, de composer dans des conditions
compatibles avec leur situation.
Le certificat médical doit être téléversé par le candidat dans son espace candidat, par internet sur le site :
https://www.concours.agriculture.gouv.fr/ dès l’inscription et au plus tard 3 semaines avant le déroulement des
épreuves, soit le 26 février 2024.
Tout candidat résidant dans l’une des collectivités mentionnées à l’article 72-3 de la Constitution ou à l’étranger,
en situation de handicap, en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite bénéficie, à sa demande, du
recours à la visioconférence pour passer l’épreuve orale dans les conditions prévues par l’arrêté du
22 décembre 2017 fixant les conditions, de recours à la visioconférence pour l’organisation des voies d’accès à
la fonction publique de l’Etat.
La demande doit être adressée au bureau des concours et des examens professionnels au plus tard le
26 février 2024 :
– soit par voie électronique, à l’adresse suivante : concours.sg@agriculture.gouv.fr ;
– soit par voie postale, à l’adresse suivante : ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire,
secrétariat général, service des ressources humaines, SDDPRS, bureau des concours et des examens
professionnels, 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
Par ailleurs, les candidats en situation de handicap, en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite, ayant
demandé à bénéficier du recours à la visioconférence, devront produire à la même adresse, dans les meilleurs délais
et au plus tard 15 jours avant le début des épreuves orales, un certificat médical délivré par un médecin agréé par
l’administration et comportant la mention de l’aménagement relatif à la visioconférence.
La composition du jury fera l’objet d’un arrêté du ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire.
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE

ET DE LA COHÉSION DES TERRITOIRES
Arrêté du 20 octobre 2023 relatif à la délivrance d’un agrément

pour la formation en navigation intérieure
NOR : TRET2323251A
Le ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires,

Vu le code des transports, notamment ses articles A. 4231-2-3 et suivants et l’article A. 4231-15-1 ;
Vu l’ordonnance no 2021-409 du 8 avril 2021 relative au transport fluvial et à la navigation intérieure ;
Vu le décret no 2022-156 du 9 février 2022 relatif aux qualifications professionnelles en navigation intérieure ;
Vu l’arrêté du 27 avril 2022 relatif aux qualifications des équipages et à la conduite des bateaux de commerce en
navigation intérieure ;
Vu la demande présentée par l’organisme de formation SURLESFLOTS.COM du 28 août 2023,
Arrête :
Art. 1 . – L’organisme de formation SURLESFLOTS.COM, dont le siège social est situé au 9, rue André-
er
Ampère, 33240 Lugon-et-l’Ile-du-Carnay, est agréé pour assurer la préparation des candidats aux épreuves
théoriques et pratiques pour le passage de l’examen Radar.
L’agrément prendra fin le 28 août 2028.
Art. 2. – L’organisme de formation SURLESFLOTS.COM visé à l’article 1er, assurant la préparation des
candidats aux épreuves théoriques et pratiques pour l’examen « radar en navigation intérieure », est tenu de se
conformer aux dispositions de l’article A. 4231-2-6 du code des transports.
Art. 3. – Le responsable de l’organisme de formation dont la formation est agréée par le présent arrêté tient,
conformément aux dispositions de l’article A. 4231-2-7 du code des transports, un registre comportant notamment
la liste des candidats aux épreuves théoriques et pratiques, ainsi que la liste des attestations de réussite des
candidats à ces épreuves.
Fait le 20 octobre 2023.
Le chef du département
du transport fluvial,
T. DOUBLIC
TEXTES GÉNÉRAUX

Arrêté du 29 novembre 2023 pris en application du décret no 99-581 du 9 juillet 1999 relatif à
l’attribution d’une nouvelle bonification indiciaire au profit des personnels techniques gérés par
la direction générale de l’aviation civile
NOR : TREA2327195A
Le ministre de la transformation et de la fonction publiques, le ministre délégué auprès du ministre de

l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, chargé des comptes publics, et le ministre
délégué auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargé des transports,
Vu le décret no 99-581 du 9 juillet 1999 modifié relatif à l’attribution d’une nouvelle bonification indiciaire au
profit des personnels techniques gérés par la direction générale de l’aviation civile,
Arrêtent :
Art. 1er. – Au titre de l’année 2024, la nouvelle bonification indiciaire mentionnée à l’article 1er du décret
du 9 juillet 1999 susvisé est attribuée dans les conditions fixées par le tableau suivant :
Nombre de points Nombre d’emplois
FONCTIONS PAR CORPS Niveau par emploi au 1er janvier 2024
Fonctions exercées par des ingénieurs des études et de l’exploitation de l’aviation

civile (IEEAC) A 75 640
Fonctions exercées par des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne (ICNA) A 55 3199
Fonctions exercées par des ingénieurs électroniciens des systèmes de la sécurité A 75 1112
aérienne (IESSA)
Fonctions exercées par des techniciens supérieurs des études et de l’exploitation de

l’aviation civile (TSEEAC) B 65 1239
Art. 2. – Pour chaque corps, le nombre d’emplois bénéficiaires est réparti par fonctions, dans la limite des
plafonds prévus à l’article 1er, comme suit :
Nombre maximum
Désignation de l’emploi Qualification et expérience d’emplois
au 1er janvier 2024
Fonctions exercées par des ingénieurs des études et de l’exploitation de l’aviation civile
– Missions d’études et d’exploitation et activités de haute respon Exercice de ces fonctions depuis 13 ans au moins pour les
sabilité de nature technique, économique ou administrative. IEEAC parvenus au grade de principal. 286
– Exercice de fonctions ou acquis professionnels jugés équivalents 418

aux précédents.
Fonctions exercées par des ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne
– Premier contrôleur dans un organisme de contrôle de la Détention d’une licence de contrôleur de la circulation
circulation aérienne classé dans le groupe A. aérienne avec l’ensemble des mentions d’unité corres 1656
pondantes, depuis au moins 9 ans.
– Premier contrôleur dans un organisme de contrôle de la Détention d’une licence de contrôleur de la circulation
circulation aérienne classé dans les groupes B ou C. aérienne avec l’ensemble des mentions d’unité corres 269
pondantes, depuis au moins 10 ans.
Détention d’une licence de contrôleur de la circulation

– Contrôleur dans un organisme de contrôle de la circulation aérienne avec l’ensemble des mentions d’unité corres 102
aérienne classé dans les groupes D ou E. pondantes, depuis au moins 11 ans.
Nombre maximum
Désignation de l’emploi Qualification et expérience d’emplois
au 1er janvier 2024
– Missions d’encadrement, d’instruction, d’étude ou de direction de Exercice de ces fonctions pendant au moins 20 ans pour les
service ou de partie de service. ICNA parvenus au grade de divisionnaire. 1
– Exercice de fonctions ou acquis professionnels jugés équivalents

aux précédents. 1489
Fonctions exercées par des ingénieurs électroniciens des systèmes de la sécurité aérienne
– Maintenance et supervision technique des équipements, missions Détention de la qualification technique supérieure depuis 10
d’encadrement, d’instruction, d’étude ou de direction de service ans au moins pour les IESSA parvenus au grade de 789
ou de partie de service. divisionnaire.

Fonctions exercées par des techniciens supérieurs des études et de l’exploitation de l’aviation civile
– Fonctions d’encadrement, d’étude d’exploitation, de mise en

œuvre des moyens informatiques d’instruction et d’enseigne Exercice de ces fonctions depuis 18 ans au moins par les 254
ment. TSEEAC parvenus au grade de principal.

Art. 3. – L’arrêté du 19 décembre 2022 pris en application du décret no 99-581 du 9 juillet 1999 relatif à
l’attribution de la nouvelle bonification indiciaire au profit des personnels techniques gérés par la direction générale
de l’aviation civile est abrogé.
Art. 4. – Le présent arrêté entre en vigueur à compter du 1er janvier 2024.
Art. 5. – Le directeur général de l’aviation civile est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
de la transition écologique et de la cohésion des territoires,
chargé des transports,
La sous-directrice des compétences
et des ressources humaines,
F. BUREAUD
La sous-directrice de la politique salariale
et des parcours de carrière,
M.-H. PERRIN
Le sous-directeur chargé
de la 4e sous-direction
L. PICHARD
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA CULTURE
Arrêté du 27 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 21 décembre 2021 fixant pour le corps des
conservateurs du patrimoine la liste des fonctions mentionnées à l’article 24-1 du décret
no 2013-788 du 23 août 2013 portant statut particulier du corps des conservateurs du patrimoine
NOR : MICB2330507A
La ministre de la culture et le ministre de la transformation et de la fonction publiques,

Vu le décret no 2013-788 du 23 août 2013 portant statut particulier du corps des conservateurs du patrimoine ;
Vu l’arrêté du 21 décembre 2021 fixant pour le corps des conservateurs du patrimoine la liste des fonctions
mentionnées à l’article 24-1 du décret no 2013-788 du 23 août 2013 portant statut particulier du corps des
conservateurs du patrimoine,
Arrêtent :
Art. 1 . – L’article 1er de l’arrêté du 21 décembre 2021 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes :
er
« Art. 1er. – Les fonctions prises en compte pour l’application de l’article 24-1 du décret du 28 août 2013
susvisé sont les suivantes, pour le corps des conservateurs du patrimoine :
« 1. Présidents et directeurs des établissements publics suivants :
« a) Etablissement public du musée du Louvre ;
« b) Etablissement public du musée d’Orsay et du musée de l’Orangerie ;
« c) Etablissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles ;
« d) Etablissement public du château de Fontainebleau ;
« e) Etablissement public du Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou ;
« f) Centre des monuments nationaux ;
« g) Etablissement public du musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée ;
« h) Musée national Picasso-Paris ;
« i) Musée national des Arts asiatiques-Guimet ;
« j) Musée du quai Branly - Jacques Chirac ;
« k) Musée Rodin ;
« l) Mobilier national ;
« m) Etablissement public Cité de la céramique – Sèvres et Limoges
« n) Centre national des arts plastiques ;
« 2. Directeur du musée national d’Art moderne – centre de création industrielle ;
« 3. Directeur du musée national des châteaux de Versailles et de Trianon ;
« 4. Directeurs des services à compétence nationale suivants :
« a) Musée du Moyen Age, thermes et hôtel de Cluny ;
« b) Centre de recherche et de restauration des musées de France ;
« c) Musée d’Archéologie national et domaine national de Saint-Germain-en-Laye ;
« d) Musées et domaines de Compiègne et Blérancourt ;
« e) Archives nationales du monde du travail ;
« f) Archives nationales d’Outre-Mer ;
« g) Laboratoire de recherche des monuments historiques ;
« h) Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines ;
« i) Médiathèque du patrimoine et de la photographie ;
« 5. Directeurs des grands départements patrimoniaux listés à l’article R. 422-2 du code du patrimoine ;
« 6. Directeur de la conservation et des collections de l’établissement public du musée d’Orsay et du musée de
l’Orangerie ;
« 7. Directeur des collections du Mobilier national ;
« 8. Directeurs du patrimoine et des collections des établissements publics suivants :

« a) Etablissement public du château de Fontainebleau ;
« b) Etablissement public Cité de la céramique – Sèvres et Limoges ;
« 9. Directeur des fonds des archives nationales. »
La ministre de la culture,
Pour la ministre et par délégation :
Le chef du service des ressources humaines,
S. LAGIER
La sous-directrice de la politique salariale
et des parcours de carrière,
M.-H. PERRIN
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE LA PRÉVENTION
Arrêté du 22 novembre 2023 relatif aux titres de formation et à l’expérience professionnelle

pertinente dont le titulaire de l’autorisation mentionnée à l’article R. 5139-1 du code de la santé
publique justifie pour lui-même ainsi que pour les personnes qu’il habilite pour contribuer sous
sa responsabilité aux opérations faisant l’objet de cette autorisation
NOR : SPRP2331832A
Le ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion, la ministre de l’enseignement supérieur et de la

recherche et le ministre de la santé et de la prévention,
Vu le code de la santé publique, notamment ses articles L. 5311-1 (16°), L. 5139-1, L. 5139-2, R. 5139-3 et
R. 5139-20 ;
Vu l’arrêté du 23 janvier 2013 relatif aux règles de bonnes pratiques tendant à garantir la sécurité et la sûreté
biologiques mentionnées à l’article R. 5139-18 du code de la santé publique ;
Sur proposition de la directrice générale de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de
santé en date du 10 septembre 2020,
Arrêtent :
Art. 1 . – I. – Pour les opérations de détention, production, fabrication, emploi, les demandeurs de
er
l’autorisation mentionnée à l’article R. 5139-1 du code de la santé publique doivent justifier d’un diplôme
sanctionnant au moins cinq années d’études supérieures dans le domaine des sciences biologiques.
Ils justifient également d’une expérience professionnelle appropriée d’au moins deux ans sur les cinq dernières
années dans le domaine de la microbiologie.
II. – Par dérogation au principe posé au I :
a) Les demandeurs de l’autorisation peuvent justifier d’un diplôme sanctionnant au moins deux années d’études
supérieures dans le domaine des sciences biologiques. Dans ce cas, ils justifient d’une expérience
professionnelle cumulée d’au moins quatre ans sur les dix dernières années en tant que personne habilitée par
un ou plusieurs titulaires de l’autorisation mentionnée à l’article R. 5139-1 du code de la santé publique ;
b) Pour une demande d’autorisation relative exclusivement aux toxines ou leurs parties, les demandeurs de
l’autorisation peuvent justifier :
1. Soit d’un diplôme sanctionnant au moins cinq années d’études supérieures dans le domaine des sciences
chimiques. Dans ce cas, ils justifient d’une expérience professionnelle appropriée d’au moins deux ans sur
les cinq dernières années dans les domaines des sciences chimiques ou de la microbiologie ;
2. Soit d’un diplôme sanctionnant au moins deux années d’études supérieures dans le domaine des sciences
chimiques. Dans ce cas, ils justifient d’une expérience professionnelle cumulée d’au moins quatre ans sur
les dix dernières années en tant que personne habilitée par un ou plusieurs titulaires de l’autorisation
mentionnée à l’article R. 5139-1 du code de la santé publique.
III. – Pour une demande d’autorisation de détention sans production, fabrication ou emploi, relative aux toxines
ou leurs parties, aucune expérience professionnelle n’est exigée.
Art. 2. – Pour les personnes que le titulaire de l’autorisation habilite, pour contribuer sous sa responsabilité aux
opérations faisant l’objet de cette autorisation, il s’assure du respect des exigences de formation, de qualification et
de gestion des compétences prévues par les règles de bonnes pratiques mentionnées à l’article R. 5139-18 du code
de la santé publique.
Art. 3. – L’arrêté du 17 mars 2011 relatif aux compétences et qualifications dont le titulaire de l’autorisation
mentionnée à l’article R. 5139-1 du code de la santé publique justifie pour lui-même ainsi que pour les personnes
qu’il habilite pour contribuer sous sa responsabilité aux opérations faisant l’objet de cette autorisation est abrogé.
Art. 4. – La directrice générale de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé est
chargée de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Le ministre de la santé
et de la prévention,
Le directeur général de la santé,
G. EMERY
Le ministre du travail,
du plein emploi et de l’insertion,
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
La ministre de l’enseignement supérieur
et de la recherche,
Pour la ministre et par délégation :
La directrice générale de la recherche
et de l’innovation,
C. GIRY
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 4 décembre 2023 relatif à la classification et à la prise en charge des prestations

d’hospitalisation pour les activités de soins médicaux et de réadaptation exercées par les
établissements mentionnés à l’article L. 162-22-6 du code de la sécurité sociale et pris en
application de l’article R. 162-34-1 du même code
NOR : SPRH2333045A
Le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et le ministre de la santé

Vu le code de la santé publique, notamment ses articles D. 6124-301-1 et D. 6124-463 et suivants ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 162-23-1, R. 162-34 à R. 162-34-4 ;
Vu l’arrêté du 19 février 2015 relatif aux forfaits alloués aux établissements de santé mentionnés à
l’article L. 162-22-6 du code de la sécurité sociale ayant des activités de médecine, chirurgie, obstétrique et
odontologie ou ayant une activité d’hospitalisation à domicile ;
Vu l’arrêté du 23 décembre 2016 relatif au recueil et au traitement des données d’activité médicale des
établissements de santé publics ou privés ayant une activité en soins de suite et de réadaptation et à la transmission
d’informations issues de ce traitement, dans les conditions définies aux articles L. 6113-7 et L. 6113-8 du code de
la santé publique ;
Vu l’arrêté du 5 mai 2017 relatif à la classification et à la prise en charge des prestations d’hospitalisation pour
les activités de soins de suite et de réadaptation exercées par les établissements mentionnés à l’article L. 162-22-6
du code de la sécurité sociale et pris pour l’application de l’article R. 162-34-1 du même code ;
Vu l’arrêté du 1er mars 2022 relatif à la classification et à la prise en charge des prestations d’hospitalisation, des
médicaments, des produits, des prestations et au forfait journalier pour les activités de soins de suite ou de
réadaptation et les activités de psychiatrie exercées par les établissements mentionnés aux d et e de
l’article L. 162-22-6 du code de la sécurité sociale
Vu l’arrêté du 26 mai 2023 fixant la liste des plateaux techniques spécialisés mentionnée à l’article L. 162-23-7
du code de la sécurité sociale ;
Vu l’avis du conseil central d’administration de la Mutualité sociale agricole en date du 4 décembre 2023 ;
Vu l’avis du conseil de la Caisse nationale d’assurance maladie en date du 4 décembre 2023,
Arrêtent :
Art. 1 . – Les recettes issues directement de l’activité, telles qu’elles sont mentionnées à l’article L. 162-23-3
er
du code de la sécurité sociale, résultent de la valorisation ou de la facturation de tarifs nationaux assurant, au moins
en partie, la couverture, par les régimes obligatoires de sécurité sociale, des frais occasionnés par les séjours et les
soins avec ou sans hébergement, représentatifs de la mise à disposition de l’ensemble des moyens nécessaires à
l’hospitalisation dans une unité de soins médicaux et de réadaptation (SMR).
La valorisation ou la facturation de cette activité est établie de la manière suivante :
1o Les séjours et soins sont regroupés en fonction de la catégorisation des malades établie au regard de la
morbidité principale de prise en charge, du type de réadaptation reçue par le patient, du niveau de lourdeur du
patient et du niveau de sévérité. Ce regroupement est appelé « groupe médico-économique (GME) » et est fixé par
l’arrêté du 23 décembre 2016 susvisé.
2o Sur la base de ce regroupement en GME, sont estimés les frais occasionnés par les séjours et les soins avec ou
sans hébergement dans une unité de soins médicaux et de réadaptation, représentatifs de la mise à disposition de
l’ensemble des moyens nécessaires à l’hospitalisation du patient, que couvre l’assurance maladie obligatoire.
La couverture de ces frais est établie par des forfaits appelés « groupe médico-tarifaire », qui sont constitutifs des
prestations d’hospitalisation mentionnées à l’article R. 162-34-1 du code de la sécurité sociale, et dont la liste est
fixée en annexe I, II, III ou IV.
Pour chaque GME correspondant à une hospitalisation partielle, telle que définie dans l’arrêté du 23 décem
bre 2016 susvisé, est associé un seul GMT. Ce GMT est valorisé ou facturé pour chaque jour de présence de la
semaine calendaire.
Pour chaque GME correspondant à une hospitalisation complète, telle que définie dans l’arrêté
du 23 décembre 2016 susvisé, sont associés plusieurs GMT.
3o La valorisation ou la facturation de l’activité d’hospitalisation en SMR est déterminée en fonction du GMT,
déterminé dans les conditions de l’article 2, complétée le cas échéant d’un supplément mentionné à l’article 5, et en
fonction du nombre de jours de présence effective du patient dans une unité de soins médicaux et de réadaptation,
définis dans les conditions de l’article 4 du présent arrêté.
Art. 2. – Pour chaque GMT, une zone forfaitaire est délimitée par un nombre de jours de présence déterminant
le début de zone forfaitaire et par un nombre de jours de présence déterminant la fin de la zone forfaitaire.
I. – Pour les GMT correspondant à un GME d’hospitalisation partielle, la zone forfaitaire est fixée de telle sorte
que le début et la fin de la zone forfaitaire correspondent à un jour de présence. Dans ce cas, un seul tarif
correspond à la zone forfaitaire, dite « ZF1 ». La liste de ces GMT est fixée dans l’annexe I.
II. – Pour chaque GMT correspondant à un GME d’hospitalisation complète est associé une zone forfaitaire en
fonction du nombre de jours de présence au cours du séjour dans une unité de soins médicaux et de réadaptation :
– lorsque le nombre de jours de présence au cours du séjour est strictement inférieur au début de la zone
forfaitaire, alors le séjour se situe dans la zone basse ;
– lorsque le nombre de jours de présence au cours du séjour est strictement supérieur à la fin de la zone
forfaitaire, alors le séjour se situe dans la zone haute ;
– dans les autres cas, le séjour se situe dans la zone forfaitaire.
1o Pour la partie du séjour dont le nombre de jours de présence est inférieur ou égal à 90 jours :
A l’exception des GME mentionnés à l’article 3 du présent arrêté, à chaque GME correspond deux GMT :
– un GMT, dont la liste figure en annexe III, pour les séjours dont le nombre de jours de présence est strictement
inférieur à 8 jours et dont le mode de sortie est soit le transfert, soit la mutation, soit le décès.
Le début de la zone forfaitaire et la fin de la zone forfaitaire correspondent à 7 jours de présence. Dans ce cas, un
seul tarif correspond à la zone forfaitaire, dite « ZF1 » ;
– un GMT dont la liste figure en annexe II, pour les autres cas pour lesquels le début de la zone forfaitaire est
supérieur ou égal à 8 jours de présence et la fin de la zone forfaitaire est égale ou inférieure à 90 jours de
présence :
– dans le cas où la zone forfaitaire correspond à 7 jours de présence, un seul tarif correspond à la zone
forfaitaire, dite « ZF1 » ;
– dans le cas où la zone forfaitaire correspond à 21 jours de présence, la zone forfaitaire est découpée en trois
périodes de 7 jours de présence, dites « ZF1 », « ZF2 », « ZF3 », correspondant chacune à un tarif.
Dans le cas où la zone forfaitaire correspond à un début de zone forfaitaire et à une fin de zone forfaitaire fixés à
90 jours de présence, un seul tarif correspond à la zone forfaitaire, dite « ZF1 ».
La valorisation ou la facturation associée est réalisée soit à la clôture du séjour si elle intervient avant le 90e jour
de présence, soit au 90e jour de présence.
2o Pour la partie du séjour dont le nombre de jours de présence est strictement supérieur à 90 jours :
A chaque GME correspond un GMT, dit « GMT hebdomadaire », dont la liste figure en annexe.
III. – Le début de la zone forfaitaire et la fin de la zone forfaitaire correspondent à 7 jours de présence. Dans ce
cas, un seul tarif correspond à la zone forfaitaire, dite « ZF1 ».
La prise en compte de ces jours de présence et la facturation ou la valorisation associée est réalisée par semaine
calendaire sur la base de ce GMT hebdomadaire pour les jours de présence strictement au-delà du 90e jour de
présence.
IV. – Les modalités de valorisation ou de facturation des GMT sont les suivantes :
1o Pour les GMT tels que définis au I du présent article, chaque jour de présence est valorisé ou facturé par le
tarif de la zone forfaitaire (TZF1).
2o Pour les GMT dont la zone forfaitaire correspond à 21 jours de présence tels que définis au II du présent
article :
– lorsque le nombre de jours de présence du séjour du patient se situe dans la première période de la zone
forfaitaire, la valorisation ou la facturation du séjour est fondée sur le tarif de la première période de la zone
forfaitaire (TZF1) ;
– lorsque le nombre de jours de présence du séjour du patient se situe dans la deuxième période de la zone
forfaitaire, la valorisation ou la facturation du séjour est fondée sur le tarif de la deuxième période de la zone
forfaitaire (TZF2) ;
– lorsque le nombre de jours de présence du séjour du patient se situe dans la troisième période de la zone
forfaitaire, la valorisation ou la facturation du séjour est fondée sur le tarif de la troisième période de la zone
forfaitaire (TZF3).
3o Pour tous les autres cas tels que définis au II du présent article, lorsque le nombre de jours de présence au
cours du séjour du patient se situe dans la zone forfaitaire, la valorisation ou facturation se fonde sur le tarif zone
forfaitaire (TZF1) correspondant.
4o Pour les GMT tels que définis au II du présent article, lorsque le nombre de jours de présence au cours du
séjour du patient se situe dans la zone basse et que le nombre de jours de présence est supérieur ou égale à 1 jour, la
valorisation ou facturation se fonde sur le tarif zone basse (TZB) moins l’écart entre le début de la zone forfaitaire
et le nombre de jours de présence, multiplié par le supplément zone basse (SZB).
4obis Pour les GMT tels que définis au II du présent article, lorsque le nombre de jours de présence au cours du
séjour du patient se situe dans la zone basse et que le nombre de jours de présence est égale à zéro journée, telle que
décomptée à l’article 4 du présent arrêté, la valorisation ou facturation se fonde sur le tarif zone basse (TZB) moins,
l’écart entre le début de la zone forfaitaire et un jour de présence, multiplié par le supplément zone basse (SZB).
5o Pour les GMT tels que définis au II du présent article, lorsque le nombre de jours de présence du séjour du
patient se situe dans la zone haute, le supplément journalier zone haute (SZH) correspondant est valorisé ou
facturée en sus du tarif de la dernière période de la zone forfaitaire mentionné aux 2o et 3o par jour de présence
strictement au-delà de la fin de la zone forfaitaire.
Art. 3. – Par exception aux règles mentionnées au 1o du II de l’article 2 du présent arrêté, les GME
correspondant à une hospitalisation complète, telle que définie dans l’arrêté du 23 décembre 2016 susvisé, du
groupe nosologique 2303 « Soins palliatifs » sont valorisés ou facturés dans les conditions suivantes :
1o Au GME 2303TA1 sont associés trois GMT, parmi lesquels un seul GMT est valorisable ou facturable pour le
séjour :
– le GMT 1269 lorsque le patient est pris en charge dans une unité de soins palliatifs identifiée pour cette
activité et reconnue par contrat conclu entre l’établissement et l’agence régionale de santé ;
– sinon, le GMT 1268 lorsque le patient est pris en charge dans un lit identifié pour l’activité de soins palliatifs
et reconnu par contrat conclu entre l’établissement et l’agence régionale de santé ;
– sinon, le GMT 1267 dans les autres cas.
2o Au GME 2303TB1 sont associés trois GMT, parmi lesquels un seul GMT est valorisable ou facturable pour le
séjour :
3o Au GME 2303TC1 sont associés trois GMT, parmi lesquels un seul GMT est valorisable ou facturable pour le
séjour :
4o Au GME 2303UA1 sont associés trois GMT, parmi lesquels un seul GMT est valorisable ou facturable pour le
séjour :
5o Au GME 2303UB1 sont associés trois GMT, parmi lesquels un seul GMT est valorisable ou facturable pour le
séjour :
6o Au GME 2303UC1 sont associés trois GMT, parmi lesquels un seul GMT est valorisable ou facturable pour le
séjour :
Pour ces GMT, le début et la fin de la zone forfaitaire sont fixés au 90e jour et les modalités de facturation et de
valorisation sont celles mentionnées aux 3o, 4o et 4o bis du IV de l’article 2 du présent arrêté.
Art. 4. – Les modalités de calcul du nombre de jours de présence effective du patient dans une unité de soins
médicaux et de réadaptation sont les suivantes :
1o En hospitalisation complète et en hospitalisation de nuit, un jour de présence est comptabilisé si le patient est
présent à minuit dans une unité de soins médicaux et de réadaptation. Le jour de sortie du patient n’est pas
considéré comme un jour de présence, à l’exception des séjours à l’issue desquels le patient décède ;
2o Pour la valorisation ou la facturation des GMT, le décompte des jours de présence s’effectue à chaque
présence du patient à minuit dans l’unité de soins médicaux et de réadaptation, les jours de permission de sortie
d’une durée inférieure à quarante-huit heures, ainsi que les transferts d’une durée strictement inférieure à deux
jours dans un autre établissement n’interrompent pas le séjour. Lorsque le patient sort d’une unité de soins
médicaux et de réadaptation et y est réadmis le même jour, le séjour n’est pas interrompu et donne lieu à la
valorisation ou à la facturation d’un seul GMT. A titre exceptionnel, lorsque le patient revient pour la prise en
charge d’une autre affection que l’affection initiale, l’établissement est autorisé, pour chacune de ces prises en
charge, à valoriser ou à facturer un GMT supplémentaire uniquement en cas de réadmission justifiée par un
événement indépendant du premier séjour.
Art. 5. – Pour les établissements de santé exerçant les activités de soins médicaux et de réadaptation
mentionnées au 4o de l’article R. 162-22 du code de la sécurité sociale, la catégorie de prestations d’hospitalisation
avec hébergement mentionnée à l’article R. 162-34-1 du même code donnant lieu à une prise en charge par les
régimes obligatoires de sécurité sociale est couverte par les forfaits suivants :
1o Un supplément transport dénommé ST4. Il est valorisé ou facturé par l’établissement d’origine lorsque le
patient est transféré vers un autre établissement de santé pour une durée supérieure à deux jours. Le ST4 est modulé
en fonction de la distance parcourue ;
2o Un supplément transport dénommé ST5. Il est valorisé ou facturé par l’établissement d’origine pour chaque
transfert provisoire du patient pour un acte ou une consultation externe à l’hôpital ou dans un cabinet libéral, que
celui-ci soit ou non adossé à un établissement de santé. Le ST5 est modulé en fonction de la distance parcourue.
Lorsqu’au cours du séjour le patient est transféré vers un autre établissement de santé pour la réalisation d’une
prestation d’hospitalisation dans le cadre des 2o et 3o de l’article 7, aucun supplément transport ne peut être facturé
par l’établissement d’origine ;
3o Un supplément transport dénommé ST6 est valorisé ou facturé lorsque le patient bénéficie d’une permission
de sortie en application du 3o du I de l’article D. 162-17 du code de la sécurité sociale. Le ST6 est modulé en
fonction de la distance parcourue.
Art. 6. – Pour le traitement de la dialyse péritonéale, lorsque le patient est hospitalisé, le forfait DPA (D15) ou
DPCA (D16) fixé en annexe 2 de l’arrêté du 19 février 2015 susvisé, peut être facturé par la structure de dialyse,
pour chaque semaine de traitement, en sus du GMT couvrant l’ensemble des prestations de séjour et de soins
délivrés au patient.
Art. 7. – Les modalités de valorisation ou de facturation des prestations entre établissements de santé sont les
suivantes :
1o Tout transfert d’une durée supérieure ou égale à deux jours est considéré comme définitif.
En cas de transfert définitif, lorsque le patient est transféré vers un autre établissement ou au sein du même
établissement, dans une unité médicale, telle que définie aux annexes de l’arrêté du 23 décembre 2016 susvisé,
seules les prestations réalisées au sein de l’établissement ou de l’unité médicale dans laquelle le patient est
transféré sont facturées le jour du transfert ;
2o Lorsqu’un patient hospitalisé en établissement de santé est pris en charge, pour une durée strictement
inférieure à deux jours, dans un autre établissement relevant du même champ d’activité au sens de
l’article L. 162-22 du code de la sécurité sociale, l’ensemble des prestations dont le patient a bénéficié au cours
de son séjour, y compris celles réalisées au sein de l’établissement prestataire, sont facturées par l’établissement
d’origine. Au cours de la prise en charge dans l’établissement prestataire, la présence du patient à minuit donne lieu
à facturation du forfait journalier correspondant par le seul établissement d’origine.
Lorsque le patient est transféré d’une structure alternative à l’hospitalisation dans un établissement ou un service
d’hospitalisation à temps complet, le jour du transfert dans la structure alternative ne donne lieu à facturation
d’aucun forfait ;
3o Lorsqu’au cours d’un séjour le patient est transféré pour une durée strictement inférieure à deux jours dans un
autre établissement, ou au sein du même établissement dans une unité médicale telle que définie aux annexes de
l’arrêté du 23 décembre 2016 susvisé, ne relevant pas du même champ d’activité au sens de l’article L. 162-22 du
code de la sécurité sociale, les prestations ou les actes et consultations externes prévues à l’article L. 162-26 du
code de la sécurité sociale réalisés au cours du transfert sont facturés aux régimes obligatoires d’assurance maladie
par l’établissement d’accueil indépendamment de la facturation des prestations réalisées au cours du reste du séjour
par l’établissement d’origine, qui interrompt toute facturation liée au séjour durant la période du transfert.
Lorsque ce transfert comporte une nuitée dans l’établissement dans lequel le patient a été transféré,
l’établissement d’origine ne comptabilise pas le jour du transfert comme étant un jour de présence au sens de
l’article 4 tout GMT mentionné à l’article 2 et ne facture ni les forfaits prévus à l’article 5, ni le forfait journalier.
Le décompte de jours de présence s’effectue à chaque présence du patient à minuit.
Art. 8. – Le forfait journalier mentionné à l’article L. 174-4 du code de la sécurité sociale est facturé pour
chaque jour de présence, y compris le jour de sortie, à l’exception des séjours à l’issue desquels le patient décède.
Lorsque le transfert du patient est d’une durée de deux jours ou plus vers un autre établissement de santé ou vers
une autre unité médicale au sens de l’annexe II de l’arrêté du 23 décembre 2016 susvisé, appartenant au même
établissement mais relevant d’un champ d’activité différent, au sens de l’article L. 162-22 du code de la sécurité
sociale, seul le forfait journalier de l’établissement ou de l’unité médicale dans laquelle le patient est transféré est
facturé le jour du transfert. Ce forfait n’est pas facturé pour les jours de permissions de sortie mentionnées à
l’article R. 1112-56 du code de la santé publique.
Art. 9. – La dotation complémentaire mentionnée à l’article L. 162-23-15 du code de la sécurité sociale est
dénommée « dotation IFAQ » (IFZ). Cette dotation est versée, en complément des éléments mentionnés à
l’article L. 162-23-4 du code de la sécurité sociale, aux établissements de santé remplissant les critères d’éligibilité
mentionnés à l’article R. 162-36 du même code.
Le calcul du montant et les modalités d’attribution de la dotation IFAQ sont définis à l’article R. 162-36-1 du
code de la sécurité sociale.
Art. 10. – Le forfait mentionné à l’article L. 162-23-7 du code de la sécurité sociale, dénommé « forfait relatif
à l’utilisation des plateaux techniques spécialisés » (PTS), fait l’objet d’une prise en charge par l’assurance maladie
dans les conditions suivantes :
Pour l’activité de balnéothérapie mentionnée dans l’arrêté du 26 mai 2023 susvisé, la part fixe du forfait est
déterminée au regard d’un volume seuil de bassin. A cette part fixe, s’ajoute une part variable du forfait déterminée
au regard du volume du bassin.
Pour le reste des plateaux techniques mentionnés dans l’arrêté du 26 mai 2023 susvisé, un forfait est alloué par
unité d’équipement.
Art. 11. – L’arrêté du 5 mai 2017 susvisé est abrogé.
Art. 12. – L’arrêté du 1er mars 2022 susvisé est ainsi modifié :
1o Les articles 2, 5, 7 et 8 sont abrogés ;
2o Aux articles 4 et 9, les mots : « ou exerçant les activités de soins de suite et de réadaptation mentionnées au 4o
de l’article R. 162-22 » sont supprimés.
Art. 13. – Le présent arrêté comporte les annexes suivantes :
Annexe I : Liste des forfaits dénommés « groupe médico-tarifaires » en hospitalisation partielle ;
Annexe II : Liste des forfaits dénommés « groupe médico-tarifaires » en hospitalisation complète ;
Annexe III : Liste des forfaits dénommés « groupe médico-tarifaires » de moins de 8 jours avec mode de sortie
spécifique ;
Annexe IV : Liste des forfaits dénommés « groupes médico-tarifaires hebdomadaires » d’un nombre de jours de
présence strictement supérieur à 90 jours.
Art. 14. – La directrice générale de l’offre de soins et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
La directrice générale
de l’offre de soins,
M. DAUDÉ
Le directeur de la sécurité sociale,
F. VON LENNEP
Nota. – Les annexes I à IV seront publiées aux Documents administratifs : https://www.legifrance.gouv.fr/liste/docAdmin.
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 4 décembre 2023 fixant du 1er juillet 2023 au 31 décembre 2023 les éléments tarifaires
mentionnés aux 1o à 3o du I de l’article L. 162-23-4 du code de la sécurité sociale pour application
du I de l’article 4 du décret du 21 avril 2022 modifié relatif à la réforme du financement des
activités de soins de suite et de réadaptation
NOR : SPRH2333055A
Le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et le ministre de la santé

Vu la loi no 2015-1702 du 21 décembre 2015 de financement de la sécurité sociale pour 2016, notamment son
article 78 modifié ;
Vu le code de la santé publique ;
Vu le code de la sécurité sociale ;
Vu le décret no 2022-597 du 21 avril 2022 modifié relatif à la réforme du financement des activités de soins de
suite et de réadaptation modifié ;
Vu l’arrêté du 28 mars 2023 fixant pour l’année 2023 l’objectif de dépenses d’assurance maladie afférent aux
activités de soins de suite et de réadaptation ;
Vu l’arrêté du 4 décembre 2023 relatif à la classification et à la prise en charge des prestations d’hospitalisation
pour les activités de soins médicaux et de réadaptation exercées par les établissements mentionnés à
l’article L. 162-22-6 du code de la sécurité sociale et pris en application de l’article R. 162-34-1 du même code,
Arrêtent :
Art. 1 . – En application de l’article 4 du décret du 21 avril 2022 susvisé modifié, pour les prestations de soins
er
réalisées sur la période 1er juillet 2023 au 31 décembre 2023 inclus, le financement mixte défini à
l’article L. 162-23-3 du code de la sécurité sociale est composé en partie des recettes issues directement de
l’activité, dans les conditions prévues aux 1o à 3o du I de l’article L. 162-23-4 du même code et dont les montants
sont fixés ci-après.
Art. 2. – Les tarifs nationaux des prestations mentionnés au 1o du I de l’article L. 162-23-4 du code de la
sécurité sociale et déterminés en application des dispositions de l’article R. 162-34-1 du même code sont fixés à
l’annexe I du présent arrêté pour les établissements de santé mentionnés aux a, b et c de l’article L. 162-22-6 du
code de la sécurité sociale et à l’annexe II du présent arrêté pour les établissements de santé mentionnés au d du
même article.
Art. 3. – Les zones géographiques dans lesquelles s’appliquent les coefficients géographiques mentionnés au 2o
du I de l’article L. 162-23-4 du code de la sécurité sociale ainsi que la valeur de ces coefficients sont fixées à
l’annexe III du présent arrêté.
Art. 4. – Les tarifs de responsabilité des établissements de santé privés mentionnés au II de l’article L. 162-23-4
du code de la sécurité sociale sont égaux à 75 % des tarifs des établissements de santé mentionnés au d du même
article.
Art. 5. – 1o Les dispositifs d’allègements fiscaux et sociaux mentionnés au cinquième alinéa de
l’article R. 162-34-5 du code de la sécurité sociale sont les dispositifs prévus aux articles L. 241-2-1,
L. 241-6-1 et L. 241-13 du code de la sécurité sociale ;
2o La valeur des coefficients mentionnés au cinquième alinéa de l’article R. 162-34-5 du code de la sécurité
sociale est fixée à l’annexe IV du présent arrêté.
Art. 6. – 1o Les dispositifs de revalorisation salariale des personnels médicaux et non médicaux mentionnés
au sixième alinéa de l'article R. 162-34-5 du code de la sécurité sociale sont les dispositifs notamment prévus au
titre des revalorisations salariales applicables aux personnels exerçants dans les conditions prévues à l’article 48 de
la loi no 2020-1576 de financement de la sécurité sociale pour 2021, aux personnels enseignants et hospitaliers dans
les conditions prévues par les textes énumérés au 1o de l’annexe VI, aux personnels médicaux dans le cadre de leurs
indemnités managériales dans les conditions prévues par les textes énumérés au 2o de l’annexe VI, aux praticiens
dans le cadre de leurs indemnités d’engagement de service publics exclusif dans les conditions prévues au 3o de
l’annexe VI, pour les personnels médicaux et non médicaux mentionnés par les textes énumérés au 4o de l’annexe
VI du présent arrêté, ainsi que pour l’ensemble des personnels médicaux et non médicaux éligibles aux dispositifs
résultant de mesures salariales équivalentes à celles précédemment mentionnées au présent article pris, le cas
échéant, par accords ou conventions collectives entrant en vigueur dans les établissements mentionnés aux b, c, d et
e de l’article L. 162-22-6 du code de la sécurité sociale antérieurement à l’entrée en vigueur du présent arrêté ;
2o La valeur des coefficients de modulation tenant compte des effets générés par les dispositifs de revalorisation
salariale des personnels médicaux et non médicaux mentionnés au sixième alinéa de l'article R. 162-34-5 du code
de la sécurité sociale est fixée à l’annexe V du présent arrêté.
Art. 7. – Les suppléments transports mentionnés à l’article 5 de l’arrêté du 4 décembre 2023 susvisé sont
valorisés ou facturés par les établissements exerçant les activités de soins médicaux ou de réadaptation selon les
tarifs suivants :
ST4
Supplément ST4 Inf. 25 km 88,69 €
Supplément ST4 25-74 km 144,19 €
Supplément ST4 Sup. 300 km 1037,19 €
ST5 et ST6
Supplément ST5 ou ST6 Inf. 20 km 178,43 €
Supplément ST5 ou ST6 20-49 km 194,45 €
Supplément ST5 ou ST6 50-120 km 230,09 €
Supplément ST5 ou ST6 Sup. 120 km 342,44 €
Art. 8. – Le présent arrêté comporte les annexes suivantes :

Annexe I : Tarifs des groupes médico-tarifaires (GMT) des établissements de santé mentionnés aux a, b et c de
l’article L. 162-22-6 du code de la sécurité sociale.
Annexe II : Tarifs des groupes médico-tarifaires (GMT) des établissements de santé mentionnés au d de
l’article L. 162-22-6 du code de la sécurité sociale.
Annexe III : Fixation de la valeur des coefficients mentionnés au 2o du I de l’article L. 162-23-4 du code de la
sécurité sociale par zone géographique.
Annexe IV : Fixation de la valeur des coefficients mentionnés au cinquième alinéa de l’article R. 162-34-5 du
Annexe V : Fixation de la valeur des coefficients mentionnés au sixième alinéa de l’article R. 162-34-5 du code
de la sécurité sociale.
Annexe VI : Fixation des dispositifs de revalorisation salariale des personnels médicaux et non médicaux.
Annexe VII : Forfaits liés à la liste des plateaux techniques spécialisés mentionnée à l’article L. 162-23-7 du
Art. 9. – La directrice générale de l’offre de soins et le directeur de la sécurité sociale sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
La directrice générale
de l’offre de soins,
M. DAUDÉ
Le directeur de la sécurité sociale,
F. VON LENNEP
Nota. – Les annexes I à VII seront publiées aux Documents administratifs : https://www.legifrance.gouv.fr/liste/docAdmin.
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA TRANSFORMATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUES
Décret no 2023-1136 du 5 décembre 2023 relatif à la mesure et à la réduction des écarts

de rémunération entre les femmes et les hommes dans la fonction publique de l’Etat
NOR : TFPF2327345D
Publics concernés : ensemble des administrations de l’Etat entrant dans le champ de l’article L. 132-9-3 du
code général de la fonction publique : départements ministériels, établissements publics de l’Etat.
Objet : dispositions d’application des articles L. 132-9-3 à L. 132-9-5 du code général de la fonction publique
introduits par la loi no 2023-623 du 19 juillet 2023 visant à renforcer l’accès des femmes aux responsabilités dans
la fonction publique pour ce qui concerne les administrations de l’Etat et ses établissements publics, à l’exclusion
des établissements publics industriels et commerciaux. Le décret définit les indicateurs permettant de mesurer les
écarts de rémunération et de situation entre les femmes et les hommes dans la fonction publique de l’Etat. Il
précise en outre les modalités de publication des résultats de ces indicateurs et d’information des instances de
dialogue social. Il prévoit enfin le régime des sanctions applicables en cas de non publication des résultats ou
lorsque ces résultats sont inférieurs à une cible fixée par décret.
Entrée en vigueur : les dispositions du décret entrent en vigueur le lendemain de leur publication.
Notice : le décret est pris pour application des dispositions des articles L. 132-9-2 à L. 132-9-5 du code général
de la fonction publique.
Références : le décret peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Sur le rapport du ministre de la transformation et de la fonction publiques,
Vu le code général de la fonction publique, notamment ses articles L. 132-9-3 à L. 132-9-5 ;
Vu la loi no 2023-623 du 19 juillet 2023 visant à renforcer l’accès des femmes aux responsabilités dans la
fonction publique, notamment le II de son article 9 ;
Vu le décret no 2012-601 du 30 avril 2012 modifié relatif aux modalités de nominations équilibrées dans
l’encadrement supérieur de la fonction publique ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de la fonction publique de l’Etat en date du 3 octobre 2023 ;
Le Conseil d’Etat (section de l’administration) entendu,
Décrète :
CHAPITRE Ier
MESURE DES ÉCARTS DE RÉMUNÉRATION
Art. 1er. – Pour les départements ministériels, tels que définis au premier alinéa de l’article 2 du décret
du 30 avril 2012 susvisé, les indicateurs mentionnés à l’article L. 132-9-3 du code général de la fonction publique
sont les suivants :
1o Ecart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les fonctionnaires, calculé à partir de la
moyenne de la rémunération des femmes comparée à celle des hommes, à corps, grade et échelon équivalents ;
2o Ecart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les agents contractuels, calculé à partir de
la moyenne de la rémunération des femmes comparée à celle des hommes, à catégorie hiérarchique équivalente ;
3o Ecart de taux de promotion de corps entre les femmes et les hommes ;
4o Ecart de taux de promotion de grade entre les femmes et les hommes ;
5o Nombre d’agents publics du sexe sous-représenté parmi les dix agents publics ayant perçu les plus hautes
rémunérations ;
6o Taux d’agents publics du sexe sous-représenté parmi les 10 % d’agents publics les mieux rémunérés occupant
les emplois de type 1 à 5 prévus par le décret du 30 avril 2012 susvisé.
Les indicateurs applicables aux établissements publics de l’Etat qui gèrent au moins cinquante agents publics
pour la deuxième année civile consécutive sont ceux figurant aux 1o, 2o et 5o du présent article.
Art. 2. – Un index, d’un niveau maximal de cent points, est calculé, pour chaque département ministériel et
pour chaque établissement public relevant de l’article premier, à partir des indicateurs mentionnés à cet article.
Les modalités de calcul des indicateurs et de l’index sont déterminées par le décret définissant la cible prévue par
le premier alinéa de l’article L. 132-9-5 du code général de la fonction publique.
CHAPITRE II
PUBLICATION DES INDICATEURS, DES ACTIONS ET DES OBJECTIFS DE PROGRESSION
Art. 3. – Les résultats obtenus, au titre de l’année civile précédente, pour chaque indicateur mentionné à
l’article premier et pour l’index ainsi que les actions mises en œuvre pour supprimer les écarts de rémunération
sont publiés au plus tard le 30 septembre sur le site internet de chaque administration.
Le comité social d’administration compétent est informé des résultats et actions mentionnés au premier alinéa.
Les indicateurs et l’index de chaque administration au titre de l’année civile précédente sont publiés, au plus tard
le 31 décembre de chaque année sur le site internet du ministère de la fonction publique.
Art. 4. – Quand la cible mentionnée à l’article L. 132-9-5 du code général de la fonction publique n’est pas
atteinte, le département ministériel ou l’établissement public publie les objectifs de progression prévus au même
article au plus tard le 15 novembre, au titre de l’année civile précédente, sur son site internet. Ils demeurent
consultables jusqu’à ce que la cible soit atteinte.
L’employeur porte ces objectifs à la connaissance des agents par tout moyen.
Art. 5. – Les départements ministériels transmettent au ministre chargé de la fonction publique les
informations mentionnées au premier alinéa de l’article 3 ainsi que les informations relatives à la publication de
ces dernières, au titre de l’année précédente, au plus tard le 15 octobre.
Ils lui transmettent, le cas échéant, les objectifs de progression mentionnés à l’article L. 132-9-5 et les
informations relatives à leur publication au plus tard le 30 novembre.
Les établissements publics mentionnés à l’article premier transmettent, dans les mêmes délais, les informations
figurant aux deux premiers alinéas du présent article à leur autorité de tutelle. Cette dernière les transmet au
ministre chargé de la fonction publique au plus tard le 7 décembre.
CHAPITRE III
CONTRIBUTION ET PÉNALITÉS
Art. 6. – Le montant forfaitaire de la contribution prévue à l’article L. 132-9-4 du code général de la fonction
publique est fixé à :
1o 90 000 euros pour les départements ministériels ;
2o 45 000 euros pour les établissements publics mentionnés à l’article 1er.
Art. 7. – En l’absence de transmission des informations attestant de la publication prévue à l’article 5 et après
mise en demeure du département ministériel de produire ces informations dans un délai d’un mois, le ministre
chargé de la fonction publique met à sa charge la contribution prévue à l’article 6.
En l’absence de transmission des informations attestant de la publication prévue à l’article 5, et après mise en
demeure de l’établissement public de produire ces informations dans un délai d’un mois, l’autorité de tutelle
transmet le constat du manquement au ministre chargé de la fonction publique, qui met à la charge de
l’établissement public la contribution prévue à l’article 6.
La contribution est acquittée auprès du comptable assignataire de la dépense compétent.
Art. 8. – Lorsqu’un département ministériel ou un établissement public n’atteint pas, pour la quatrième année
consécutive, la cible prévue à l’article L. 132-9-5 du code général de la fonction publique, il élabore un rapport
motivé qu’il transmet au ministre chargé de la fonction publique, le cas échéant par l’intermédiaire de son autorité
de tutelle.
Le ministre chargé de la fonction publique lui notifie sa décision de lui appliquer la pénalité prévue au même
article et l’invite à lui présenter ses observations écrites ou orales et à lui communiquer le niveau de la
rémunération brute annuelle globale de l’ensemble de ses agents dans un délai d’un mois. Ce délai peut, sur
demande, être prorogé d’un mois si les circonstances ou la complexité de la situation le justifient.
Le montant maximal de la pénalité financière est calculé en appliquant au montant de la rémunération brute
annuelle globale de l’ensemble des agents un taux qui varie en fonction du résultat obtenu pour l’index mentionné à
l’article 2 selon les modalités suivantes :
Niveau obtenu pour l’index Taux de la pénalité
75 < I ≤ 72 0,1 %
72 < I ≤ 68 0,2 %
68 < I ≤ 65 0,3 %
65 < I ≤ 62 0,4 %
62 < I ≤ 58 0,5 %
Niveau obtenu pour l’index Taux de la pénalité
58 < I ≤ 55 0,6 %
55 < I ≤ 50 0,7 %
50 < I ≤ 45 0,8 %
45 < I ≤ 40 0,9 %
40 < I ≤ 0 1%
Le ministre chargé de la fonction publique tient compte, pour déterminer le montant de la pénalité, des mesures
prises par l’administration en matière d’égalité salariale entre les femmes et les hommes ainsi que des
circonstances en raison desquelles la cible n’a pas été atteinte. Au regard de ces derniers éléments, le montant de la
pénalité financière peut être réduit de moitié.
La pénalité est acquittée auprès du comptable assignataire de la dépense compétent.
Art. 9. – Le ministre chargé de la fonction publique présente chaque année au Conseil supérieur de la fonction
publique de l’Etat un bilan de la mise en œuvre des articles L. 132-9-3 à L. 132-9-5 du code général de la fonction
publique.
CHAPITRE IV
MESURES TRANSITOIRES ET FINALES
Art. 10. – Les départements ministériels et les établissements publics qui comptaient au moins cinquante
agents publics en gestion en 2021 et 2022 publient les informations se rapportant à l’année 2022 prévues à
l’article L. 132-9-3 au plus tard le 31 décembre 2023.
Ils transmettent ces informations au ministre chargé de la fonction publique au plus tard le 31 janvier 2024, le
cas échéant par l’intermédiaire de leur autorité de tutelle.
Ils transmettent au même ministre les objectifs de progression mentionnés au deuxième alinéa de l’article 5 au
plus tard le 31 mars 2024, le cas échéant par l’intermédiaire de leur autorité de tutelle.
Les premiers résultats pouvant être pris en compte, au titre des quatre années consécutives prévues au premier
alinéa de l’article 8, sont ceux relatifs à l’année 2024.
Art. 11. – Le ministre de la transformation et de la fonction publiques est chargé de l’exécution du présent
ÉLISABETH BORNE
STANISLAS GUERINI
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA TRANSFORMATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUES
Décret no 2023-1137 du 5 décembre 2023 relatif aux modalités de calcul des indicateurs définis
à l’article 1er du décret no 2023-1136 du 5 décembre 2023 relatif à la mesure et à la réduction
des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes dans la fonction publique de l’Etat
NOR : TFPF2333012D
Publics concernés : ensemble des administrations de l’Etat entrant dans le champ de l’article L. 132-9-3 du
code général de la fonction publique : départements ministériels, établissements publics de l’Etat à l’exclusion des
établissements publics industriels et commerciaux.
Objet : dispositions d’application des articles L. 132-9-3 à L. 132-9-5 du code général de la fonction publique
introduits par la loi no 2023-623 du 19 juillet 2023 visant à renforcer l’accès des femmes aux responsabilités dans
la fonction publique pour ce qui concerne les administrations de l’Etat et ses établissements publics administratifs
et du décret no 2023-1136 du 5 décembre 2023 relatif à la mesure et à la réduction des écarts de rémunération
entre les femmes et les hommes dans la fonction publique de l’Etat. Le décret précise la cible à atteindre par les
employeurs, la période de référence sur laquelle les indicateurs doivent être calculés. Il précise les agents qui sont
comptabilisés dans l’index et les éléments de rémunération dont il doit être tenu compte. Il prévoit enfin la méthode
de calcul des indicateurs et barème à appliquer aux résultats obtenus.
Entrée en vigueur : les dispositions du décret entrent en vigueur le lendemain de leur publication.
Notice : le décret est pris pour application des dispositions des articles L. 132-9-2 à L. 132-9-5 du code général
de la fonction publique.
Références : le décret peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Sur le rapport du ministre de la transformation et de la fonction publiques,
Vu le code général de la fonction publique, notamment ses articles L. 132-9-3 à L. 132-9-5 ;
Vu la loi no 2023-623 du 19 juillet 2023 visant à renforcer l’accès des femmes aux responsabilités dans la
fonction publique, notamment le II de son article 9 ;
Vu le décret no 2012-601 du 30 avril 2012 modifié relatif aux modalités de nominations équilibrées dans
l’encadrement supérieur de la fonction publique ;
Vu le décret no 2023-1136 du 5 décembre 2023 relatif à la mesure et à la réduction des écarts de rémunération
entre les femmes et les hommes dans la fonction publique de l’Etat,
Décrète :
Art. 1er. – La cible mentionnée à l’article L. 132-9-5 du code général de la fonction publique est fixée à un
niveau de résultat supérieur ou égal à soixante-quinze points.
CHAPITRE 1er
PÉRIODE DE RÉFÉRENCE
Art. 2. – L’index mentionné à l’article 2 du décret du 2023-1136 du 5 décembre 2023 susvisé est établi chaque
année au titre de l’année civile écoulée. Les indicateurs sont calculés chaque année par l’employeur, au plus tard le
30 septembre de l’année en cours, à partir des données de l’année civile qui précède l’année de publication. Les
périodes de référence à prendre en compte sont identiques à celles mentionnées par l’arrêté du 7 mai 2021 fixant
pour la fonction publique de l’Etat la liste des indicateurs contenus dans la base de données sociales, pour les
indicateurs concernés.
Art. 3. – Les caractéristiques individuelles des agents public sont appréciées au dernier jour de la période de
référence annuelle ou au dernier jour de présence de l’agent dans l’administration pour ce qui concerne notamment
sa catégorie.
CHAPITRE 2
AGENTS COMPTABILISÉS POUR LE CALCUL DES INDICATEURS
Art. 4. – L’effectif des agents publics à prendre en compte pour le calcul des indicateurs est apprécié sur la
période de l’année civile considérée. Les agents qui ne sont pas rémunérés sur une année pleine sont comptabilisés
au prorata de leur durée de travail annuelle.
Art. 5. – Sont pris en compte pour le calcul des indicateurs, dans les effectifs de l’administration, les
fonctionnaires, les agents contractuels de droit public sur emploi permanent, et s’agissant des départements
ministériels, ceux rémunérés sur le budget de l’Etat, dont les ouvriers d’Etat, les élèves fonctionnaires et les
fonctionnaires stagiaires, à l’exclusion, pour les établissements publics administratifs de l’Etat assurant la
formation de fonctionnaires, de ceux qu’ils rémunèrent, les magistrats judiciaires et les auditeurs de justice, les
membres des cabinets ministériels, à l’exclusion des agents relevant du code du travail, dont les apprentis, des
militaires relevant de l’autorité du ministère chargé des armées, du ministère chargé des affaires étrangères et du
ministère chargé de la transition écologique, des stagiaires recrutés sur le fondement du code de l’éducation et des
agents contractuels sur emploi non permanents (vacataires et intérimaires).
Les agents mis à disposition sont comptabilisés dès lors que l’administration a un pouvoir de décision sur les
situations mesurées par les indicateurs.
CHAPITRE 3
ELÉMENTS DE LA RÉMUNÉRATION À PRENDRE EN COMPTE POUR LE CALCUL DES INDICATEURS
Art. 6. – La rémunération de chaque agent est reconstituée en équivalent temps plein sur la période de l’année
civile considérée.
Art. 7. – Les éléments de rémunération à retenir sont identiques à ceux pris en compte pour le calcul des
indicateurs du rapport social unique prévu par l’arrêté du 7 mai 2021 précité. Sont notamment pris en compte les
traitements indiciaires et accessoires, les primes et indemnités.
Ne sont pas prises en compte les indemnités liées à un exercice à l’étranger et les indemnités spécifiques à
l’outre-mer.
CHAPITRE 4 :
MÉTHODE DE CALCUL DES INDICATEURS DES DÉPARTEMENTS MINISTÉRIELS
ET BARÈME À APPLIQUER AUX RÉSULTATS OBTENUS
Art. 8. – Les indicateurs définis à l’article 1er du décret du 2023-1136 du 5 décembre 2023 précité sont calculés
et évalués selon un barème allant de 0 à 100 points, conformément aux tableaux suivants :
Section 1
Pondération
Indicateurs Pondération (points)
1/ Écart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les fonctionnaires, calculé à partir de la moyenne de la 40
rémunération des femmes comparée à celle des hommes à corps, grade et échelon équivalents
2/ Écart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les agents contractuels, calculé à partir de la moyenne de 10
la rémunération des femmes comparée à celle des hommes, à catégorie hiérarchique équivalente
3/ Écart de taux de promotion de corps entre les femmes et les hommes 15
4/ Écart de taux de promotion de grade entre les femmes et les hommes 15
5/ Nombre d’agents publics du sexe sous-représenté parmi les dix agents publics ayant perçu les plus hautes rémunérations 10
6/ Taux d’agents publics du sexe sous-représenté parmi les 10 % d’agents publics les mieux rémunérés occupant les emplois de 10
type 1 à 5 prévu par le décret du 30 avril 2012 susvisé
Section 2
Barèmes
L’indicateur 1 relatif à l’écart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les fonctionnaires,
est évalué conformément au tableau suivant :
Indicateur 1 : Écart global de rémunération en équivalent temps plein entre les femmes et les hommes,
pour les fonctionnaires, à corps, grade et échelon équivalents
En points de pourcentage Résultats obtenus Nombre de points
Inférieur ou égal à 0,1 40 points
Supérieur à 0,1 39 points

Supérieur à 20,1 0 point
L’indicateur 2 relatif à l’écart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les agents
contractuels, est évalué conformément au tableau suivant :
pour les agents contractuels, à catégorie hiérarchique équivalente

L’indicateur 3 relatif à l’écart de taux de promotion de corps entre les femmes et les hommes est évalué
conformément au tableau suivant :
Indicateur 3 : Écart de taux de promotion de corps entre les femmes et les hommes
L’indicateur 4 relatif à l’écart de taux de promotion de grade entre les femmes et les hommes est évalué
Indicateur 4 : Écart de taux d’avancement de grade entre les femmes et les hommes
L’indicateur 5 relatif au nombre d’agents publics du sexe sous-représenté parmi les dix agents publics ayant
perçu les plus hautes rémunérations est évalué conformément au tableau suivant :
Indicateur 5 : Nombre d’agents publics du sexe sous-représenté parmi les dix agents publics ayant perçu les plus hautes rémunérations
En unité Résultats obtenus Nombre de points
0 0
1 1
2 2
3 4
4 8
5 10
L’indicateur 6 relatif au taux d’agents publics du sexe sous-représenté parmi les 10 % d’agents publics les mieux
rémunérés occupant les emplois de type 1 à 5 prévu par le décret du 30 avril 2012 précité est évalué est évalué
Indicateur 6 : Taux d’agents publics du sexe sous-représenté parmi les 10 % d’agents publics les mieux rémunérés occupant
les emplois de type 1 à 5 du dispositif prévu par le décret du 30 avril 2012 précité
Inférieur à 10 0 points
Supérieur à 10 1 point
Supérieur à 20 2 points
Egal à 50 10 points
CHAPITRE 5
MÉTHODE DE CALCUL DES INDICATEURS DES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS
DE L’ETAT ET BARÈME À APPLIQUER AUX RÉSULTATS OBTENUS
Art. 9. – Les indicateurs définis à l’article 1er du décret no 2023-1136 du 5 décembre 2023 précité sont calculés
et évalués selon un barème allant de 0 à 100 points, conformément aux tableaux suivants :
Section 1
Pondération
Indicateurs Pondération (points)
1/ Écart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les fonctionnaires, calculé à partir de la moyenne de la 80
rémunération des femmes comparée à celle des hommes à corps, grade et échelon équivalents
2/ Écart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les agents contractuels, calculé à partir de la moyenne de la
rémunération des femmes comparée à celle des hommes par catégorie hiérarchique équivalente
3/ Nombre d’agents publics du sexe sous-représenté parmi les dix agents publics ayant perçu les plus hautes rémunérations 20
Les indicateurs 1 et 2 sont évalués selon un barème allant de 0 à 80. La répartition des 80 points se fait au niveau
de chaque établissement public, au prorata des effectifs utilisés pour le calcul de chacun des deux indicateurs.
Section 2
Barèmes
L’indicateur 1 relatif à l’écart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les fonctionnaires,
est évalué conformément au tableau suivant :
Indicateur 1 - Écart global de rémunération en équivalent temps plein entre les femmes et les hommes,

Indicateur 1 - Écart global de rémunération en équivalent temps plein entre les femmes et les hommes,
L’indicateur 2 relatif à l’écart global de rémunération entre les femmes et les hommes, pour les agents
contractuels, est évalué conformément au tableau suivant :
pour les agents contractuels, à catégorie hiérarchique équivalente
L’indicateur 3 relatif au nombre d’agents publics du sexe sous-représenté parmi les dix agents publics ayant
perçu les plus hautes rémunérations, est évalué conformément au tableau suivant :
Indicateur 3 : Nombre d’agents publics du sexe sous-représenté parmi les dix agents publics ayant perçu les plus hautes rémunérations
En unité Résultats obtenus Nombre de points
0 0 point
1 2 points
2 4 points
3 8 points
4 16 points
5 20 points
Lorsque l’effectif de fonctionnaires ou de contractuels de l’établissement public concerné comprend moins

de 10 hommes et moins de 10 femmes, les indicateurs 1 et 2 ne sont pas calculables.
CHAPITRE 6
DISPOSITIONS FINALES
Art. 10. – Le ministre de la transformation et de la fonction publiques est chargé de l’exécution du présent
ÉLISABETH BORNE
STANISLAS GUERINI
MESURES NOMINATIVES

Arrêté du 30 novembre 2023 portant cessation de fonctions

(inspection générale des finances)
NOR : ECON2332090A
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 30 novembre 2023, il est mis fin, à compter du 4 décembre 2023, aux fonctions d’inspecteur des finances auprès
du service de l’inspection générale des finances exercées par M. Maxime FOREST, ingénieur en chef des ponts,
des eaux et des forêts.
MESURES NOMINATIVES

Arrêté du 30 novembre 2023 portant nomination

(agents comptables)
NOR : ECOE2332658A
Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et
numérique, chargé des comptes publics, en date du 30 novembre 2023, Mme Anne-Sophie DEVEAUX, inspectrice
des finances publiques, est nommée agent comptable intérimaire du groupement d’intérêt public « Conseil
départemental de l’accès au droit au droit de Haute-Loire », en remplacement de M. Mickaël SALVI.
Le présent arrêté prend effet à compter de la date d’installation de l’intéressée.
MESURES NOMINATIVES

Arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination sur l’emploi de directeur régional adjoint de
l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités de Bourgogne-Franche-Comté des
fonctions de responsable du pôle « concurrence, consommation, répression des fraudes et
métrologie »
NOR : ECOH2330465A
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, du ministre du
travail, du plein emploi et de l’insertion et de la ministre des solidarités et des familles en date du 1er décembre 2023,
Mme Hélène COURTIN, directrice départementale de 1re classe de la concurrence, de la consommation et de la
répression des fraudes, est nommée directrice régionale adjointe de l’économie, de l’emploi, du travail et des
solidarités de Bourgogne-Franche-Comté, chargée des fonctions de responsable du pôle « concurrence,
consommation, répression des fraudes et métrologie », pour une durée de quatre ans, à compter du 15 janvier 2024,
avec une période probatoire de quatre mois.
Elle est affectée en cette qualité à Besançon (25).
MESURES NOMINATIVES

Arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination

au conseil de surveillance de l’Institut d’émission d’outre-mer (IEOM)
NOR : ECOT2332947A
du 1er décembre 2023, Mme Lorraine KOEHL, adjointe au chef du bureau chargé de l’outre-mer à la direction
générale du Trésor, est nommée membre du conseil de surveillance de l’Institut d’émission d’outre-mer (IEOM),
en qualité de suppléante du représentant du ministre chargé de l’économie, en remplacement de M. Emile BOUJU.
MESURES NOMINATIVES

Arrêté du 4 décembre 2023 portant nomination

au conseil de surveillance du Fonds de réserve pour les retraites
NOR : ECOT2332805A
du 4 décembre 2023, est nommé en qualité de membre titulaire du conseil de surveillance du Fonds de réserve pour
les retraites, en tant que représentant du ministre chargé de l’économie :
M. Christophe BORIES, administrateur de l’Etat du deuxième grade, chef du service du financement de
l’économie à la direction générale du Trésor.
MESURES NOMINATIVES

(directions départementales interministérielles)
NOR : IOMA2329594A
Par arrêté de la Première ministre et du ministre de l’intérieur et des outre-mer en date du 4 décembre 2023,
M. Jérôme LAFON, administrateur en chef de 2e classe des affaires maritimes, est nommé directeur départemental
adjoint des territoires et de la mer, délégué à la mer et au littoral de la Charente-Maritime, pour une durée de
quatre ans, avec une période probatoire de six mois, à compter du 1er janvier 2024.
MESURES NOMINATIVES

au Conseil national d’évaluation des normes
NOR : IOMO2332480A
Par arrêté du ministre délégué auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer, chargé des outre-mer, en date
du 5 décembre 2023, sont nommés membres du Conseil national d’évaluation des normes, en qualité de
représentants de l’Etat :
M. Didier HERRY, chef du bureau des collectivités locales à la sous-direction des affaires juridiques et
institutionnelles de la direction générale des outre-mer, en qualité de membre titulaire.
Mme Virginie SUVIERI, chargée d’analyses financières au bureau des collectivités locales à la sous-direction
des affaires juridiques et institutionnelles de la direction générale des outre-mer, en qualité de membre suppléante.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant intégration

(tribunaux administratifs et cours administratives d’appel)
NOR : JUSE2326610D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023 :

M. Briac LE FIBLEC, commissaire de police, est intégré en qualité de premier conseiller du corps des magistrats
des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel, à compter du 1er janvier 2024.
Mme Mariam MONTEAGLE, administratrice de l’Etat du deuxième grade, est intégrée en qualité de première
conseillère du corps des magistrats des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel, à compter
du 1er janvier 2024.
Mme Carine TRIMOUILLE, administratrice de l’Etat du deuxième grade, est intégrée en qualité de première
conseillère du corps des magistrats des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel, à compter
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant décharge de fonctions et nomination

(magistrature)
NOR : JUSB2327604D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, sur proposition du Conseil supérieur de la
magistrature lors de sa séance du 26 octobre 2023 :
M. Philippe CAVALERIE, conseiller à la Cour de cassation, est déchargé des fonctions de premier président de
la cour d’appel de Basse-Terre, à compter du 1er janvier 2024.
M. Michaël JANAS, président du tribunal judiciaire de Lyon, est nommé conseiller à la Cour de cassation pour
exercer les fonctions de premier président de la cour d’appel de Basse-Terre, à compter du 1er janvier 2024.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant maintien en détachement

(magistrature)
NOR : JUSB2327653D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, Mme Romaine BRUNATI, magistrate
du premier grade, est maintenue en position de détachement afin d’occuper les fonctions de chargée de mission
auprès de la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement, pour une durée de deux ans, à
compter du 1er janvier 2024.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant nomination

NOR : JUSE2327674D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, M. Gil CORNEVAUX, président du corps
des magistrats des tribunaux administratifs et des cours administratives d’appel, président des tribunaux
administratifs de La Réunion et de Mayotte, est nommé président du tribunal administratif de Bordeaux, à compter
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant maintien

en disponibilité (magistrature)
NOR : JUSB2327916D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, Mme Gwénaëlle THOUROUDE,
magistrate du premier grade, est maintenue, sur sa demande, en position de disponibilité sur le fondement du 1o de
l’article 47 du décret no 85-986 du 16 septembre 1985 relatif au régime particulier de certaines positions des
fonctionnaires de l’Etat, à la mise à disposition, à l’intégration et à la cessation définitive de fonctions, à compter
du 1er janvier 2024 et jusqu’au 15 décembre 2026.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant nomination d’une secrétaire générale adjointe

du Conseil supérieur de la magistrature (magistrature) - Mme SALIMI (Sarah)
NOR : JUSB2328206D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, vu la proposition conjointe du premier
président de la Cour de cassation et du procureur général près ladite Cour, Mme Sarah SALIMI, magistrate du
premier grade, est nommée secrétaire générale adjointe du Conseil supérieur de la magistrature, à compter
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant détachement

(magistrature)
NOR : JUSB2328517D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, vu l’avis du Conseil supérieur de la
magistrature lors de sa séance du 6 septembre 2023, Mme Mélanie RENAUT, magistrate du second grade, est
placée en position de détachement auprès de l’Ecole nationale de la magistrature, afin d’exercer les fonctions de
coordonnatrice de formation, pour une durée de trois ans, à compter du 1er janvier 2024.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant maintien en position de disponibilité

(magistrature)
NOR : JUSB2328726D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, sont maintenus, sur leur demande,
en position de disponibilité pour convenances personnelles :
M. Alain GOUTH, magistrat exerçant à titre temporaire, à compter du 1er décembre 2023, pour une durée de
cinq mois.
M. Jean-Pierre MATHIEU, magistrat exerçant à titre temporaire, à compter du 22 décembre 2023, pour une
durée d’un an.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant décharge de fonctions

(magistrature)
NOR : JUSB2329382D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, M. Thierry GHERA, président de
chambre à la cour d’appel de Colmar, est déchargé des fonctions de président du tribunal judiciaire de Strasbourg,
à compter du 2 janvier 2024.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant nomination et titularisation

NOR : JUSE2329387D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023 :

Sont nommés et titularisés dans le grade de premier conseiller du corps des magistrats des tribunaux
administratifs et des cours administratives d’appel (tour extérieur), à compter du 1er janvier 2024 :
Mme Bénédicte MÉRARD, attachée territoriale hors classe ;
M. Olivier MULLER, attaché principal d’administration de l’Etat ;
Mme Juliette HUCHETTE-DERANSY, attachée territoriale principale ;
Mme Caroline COPPIN, attachée territoriale principale ;
Mme Aurélie DUCA, attachée principale d’administration de l’Etat ;
Mme Sandrine PAQUELET-DUVERGER, directrice adjointe du travail ;
M. Fabrice AMELOT, attaché principal d’administration de l’Etat.
Sont nommés et titularisés dans le grade de conseiller du corps des magistrats des tribunaux administratifs et des
cours administratives d’appel (tour extérieur), à compter du 1er janvier 2024 :
Mme Mary-Audrey COURTOIS, attachée principale d’administration de l’Etat ;
M. Emmanuel BERNARD, inspecteur principal de la concurrence, de la consommation et de la répression des
fraudes ;
Mme Claire IFFLI, attachée principale d’administration de l’Etat ;
M. Guillaume CAMBREZY, attaché principal d’administration de l’Etat ;
M. Clément DEMAS, attaché principal d’administration de l’Etat ;
Mme Céline FOULON, attachée principale d’administration de l’Etat ;
Mme Valérie BIODORE, attachée principale d’administration de l’Etat ;
M. Sébastien JOUANNEAU, inspecteur de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes ;
Mme Fanny BEREHOUC, attachée territoriale principale.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant détachement

(magistrature)
NOR : JUSB2329698D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, vu l’avis du Conseil supérieur de la
magistrature lors de sa séance du 17 octobre 2023, Mme Hélène GILS, magistrate du second grade, est placée en
position de détachement auprès de l’Ecole nationale de la magistrature, afin d’exercer les fonctions de chargée de
mission au département international, pour une durée de trois ans, à compter du 1er janvier 2024.
MESURES NOMINATIVES

(magistrature) - Mme VIETTE (Elsa)
NOR : JUSB2329699D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, Mme Elsa VIETTE, magistrate du
premier grade, est maintenue en position de détachement auprès de l’Ecole nationale de la magistrature, afin
d’exercer les fonctions de coordonnatrice de formation, pour une durée de trois ans, à compter du 1er janvier 2024.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant maintien en disponibilité

(magistrature)
NOR : JUSB2330586D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, Mme Claire DOLLMANN, magistrate du
premier grade, est maintenue, sur sa demande, en position de disponibilité sur le fondement du b de l’article 44
du décret no 85-986 du 16 septembre 1985 relatif au régime particulier de certaines positions des fonctionnaires de
l’Etat, à la mise à disposition, à l’intégration et à la cessation définitive de fonctions, à compter du 15 janvier 2024
et jusqu’au 14 janvier 2025.
MESURES NOMINATIVES

(magistrature)
NOR : JUSB2330801D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, M. Luc BRIAND, magistrat
du premier grade, est maintenu, sur sa demande, en position de disponibilité sur le fondement du 1o de l’article 47
du décret no 85-986 du 16 septembre 1985 relatif au régime particulier de certaines positions des fonctionnaires de
l’Etat, à la mise à disposition, à l’intégration et à la cessation définitive de fonctions, à compter du 1er janvier 2024
et jusqu’au 31 août 2024.
MESURES NOMINATIVES

(magistrature)
NOR : JUSB2330823D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, Mme Violette FOUILLET, magistrate du
second grade, est maintenue, sur sa demande, en position de disponibilité sur le fondement du 1o de l’article 47 du
décret no 85-986 du 16 septembre 1985 relatif au régime particulier de certaines positions des fonctionnaires de
l’Etat, à la mise à disposition, à l’intégration et à la cessation définitive de fonctions, à compter du 1er janvier 2024
et jusqu’au 7 septembre 2024.
MESURES NOMINATIVES

(magistrature)
NOR : JUSB2330826D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, Mme Marion ROSA, magistrate du
second grade, est maintenue, sur sa demande, en position de disponibilité sur le fondement du b de l’article 44 du
décret no 85-986 du 16 septembre 1985 relatif au régime particulier de certaines positions des fonctionnaires de
l’Etat, à la mise à disposition, à l’intégration et à la cessation définitive de fonctions, à compter du 2 janvier 2024 et
jusqu’au 1er janvier 2026.
MESURES NOMINATIVES

(magistrature)
NOR : JUSB2331064D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, Mme Milca MICHEL-GABRIEL,
magistrate du premier grade, est maintenue en position de détachement auprès du ministère de l’Europe et des
affaires étrangères, dans le corps des administrateurs de l’Etat, afin d’exercer les fonctions de chargée de mission
auprès du service des conventions, des affaires civiles et de l’entraide judiciaire au sein de la direction des Français
à l’étranger et de l’administration consulaire, à compter du 28 décembre 2023 et jusqu’au 31 août 2025.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant admission à la retraite

(Conseil d’Etat) - Mme TOME (Françoise)
NOR : JUSE2332138D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, Mme Françoise TOME, conseillère
d’Etat, est admise à faire valoir ses droits à la retraite, à compter du 1er mars 2024.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant promotion

à titre exceptionnel dans l’armée active
NOR : ARMH2332473D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, est promu à titre exceptionnel dans
l’armée active, pour prendre rang du 11 novembre 2023, l’officier dont le nom suit :
ARMÉE DE TERRE
OFFICIERS DE CARRIÈRE
Corps des officiers des armes
Au grade de commandant
Le capitaine GAYOT (Mathieu).
MESURES NOMINATIVES
Décret du 5 décembre 2023 portant nomination du directeur

du Musée national de la Marine - M. GAUSSERON (Thierry)
NOR : ARMP2332764D
Par décret du Président de la République en date du 5 décembre 2023, M. Thierry GAUSSERON est nommé
directeur du Musée national de la Marine, à compter du 1er janvier 2024.
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 17 octobre 2023 fixant les tableaux d’admission par concours

à l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées Bretagne à l’issue des concours 2023
NOR : ARMA2333042A
Par arrêté du ministre des armées en date du 17 octobre 2023, les tableaux d’admission, par concours, à l’Ecole
nationale supérieure de techniques avancées Bretagne, à l’issue des concours 2023, sont arrêtés comme suit :
I. – Concours MP
Sont inscrits, par ordre de mérite, sur la liste d’admission en qualité d’élèves ingénieurs des études et techniques
de l’armement à l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées Bretagne du concours MP :
1. Ferrer (Thomas, Louis, Frédéric) ;
2. Tavernier (Marina) ;
3. Biboulet (Victor, Roger, Adolphe) ;
4. Carrayrou (Noé, Gabriel) ;
5. de Figueiredo (Eléanore, Héloïse) ;
6. Catau (Jérémie, Oselio) ;
7. Farina (Paolo, Marc, Michel) ;
8. Cossart (Lénaëlle, Marie, Michelle) ;
9. Leduc (Mathis, Jacques, André) ;
10. K/Gall (Philippe, Elzéar, Marie) ;
11. Deharbe (Baptiste, Romain, Denis) ;
12. Dampierre (Enguérand, Paul, Jacques) ;
13. Chanteloup (Yoann, Gilbert, Ghislain) ;
14. Côté (Adrien, Marc, Pierre) ;
15. Thorel (Axel, Simon, Emmanuel, Alphonse).
II. – Concours MPI

de l’armement à l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées Bretagne du concours MPI :
1. Gomila (Gustave, Jean) ;
2. Sartre (Clément, Martial, Jean) ;
3. Sentein (Dalie, Majandra, Valérie).
III. – Concours PC
de l’armement à l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées Bretagne du concours PC :
1. Beroud (Sébastien, Pierre, Joseph, Marie) ;
2. Haquet (Alexandre, Mathieu) ;
3. Lamotte (Alexis, François, David) ;
4. Vasseur (Martin, Hervé) ;
5. Lecat (Céleste, Mathilde, Erika) ;
6. Poidevin (Thomas, Louis, Yves) ;
7. Steimes (Alexandre, Quentin, Killian) ;
8. Thomas (Eva, Christiane, Monique) ;
9. Pierre dit Prébois (Emma, Sylvie, Stéphanie).
IV. – Concours PSI

de l’armement à l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées Bretagne du concours PSI :
1. Mosnier (Florent, Bernard, Jean, Marie) ;
2. Baudot (Benjamin, Jean, Théo) ;
3. Bonnici (Ulysse, Côme, Gabriel) ;
4. Diaz (Martin) ;
5. Jalibert (Lorie) ;
6. Rougerie (Geoffrey, Paul, Henri) ;
7. Leymarie (Gaspard, Claude, Michel) ;
8. Charlettine (Lucas, Vincent) ;
9. Thiébaut (Thomas) ;
10. Roux (Bastien) ;
11. Lemée (Martin, Théo, Arthur) ;
12. Bresson (Guilhem, Patrick, Marie) ;
13. Cotard (Marine, Josiane, Bernadette).
V. – Concours PT
de l’armement à l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées Bretagne du concours PT :
1. Oudin (Victor) ;
2. Chalopin (Pierre, Sébastien, Jean-Claude, Serge) ;
3. Idarreta (Chloé, Aitzané) ;
4. Richer (Erwyn, Max-André).
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination au cabinet de la ministre déléguée auprès
du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion et du ministre de l’éducation nationale
et de la jeunesse, chargée de l’enseignement et de la formation professionnels
NOR : MTRC2331894A
La ministre déléguée auprès du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion et du ministre de l’éducation
nationale et de la jeunesse, chargée de l’enseignement et de la formation professionnels,
Vu le décret no 2017-1063 du 18 mai 2017 modifié relatif aux cabinets ministériels ;
Vu le décret no 2017-1098 du 14 juin 2017 relatif aux collaborateurs du Président de la République et des
membres du Gouvernement ;
Vu le décret du 4 juillet 2022 relatif à la composition du Gouvernement ;
Vu l’arrêté du 9 août 2022 portant nomination au cabinet de la ministre déléguée auprès du ministre du travail,
du plein emploi et de l’insertion et du ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse, chargée de l’enseignement
et de la formation professionnels,
Arrête :
Art. 1 . – Mme Linda DEBERNARDI, conseillère développement des parcours et transitions professionnels,
er
est nommée directrice du cabinet de la ministre déléguée auprès du ministre du travail, du plein emploi et de
l’insertion et du ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse, chargée de l’enseignement et de la formation
professionnels, à compter du 27 novembre 2023.
CAROLE GRANDJEAN
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination au cabinet

du ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion
NOR : MTRC2332037A
Le ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion,

Vu le décret no 2017-1063 du 18 mai 2017 relatif aux cabinets ministériels ;
Vu le décret no 2017-1098 du 14 juin 2017 relatif aux collaborateurs du Président de la République et des
membres du Gouvernement ;
Vu le décret du 4 juillet 2022 relatif à la composition du Gouvernement,
Arrête :
Art. 1 . – Mme Linda DEBERNARDI est nommée directrice adjointe du cabinet du ministre du travail, du
er
plein emploi et de l’insertion à compter du 27 novembre 2023.

OLIVIER DUSSOPT
MESURES NOMINATIVES

Décret du 4 décembre 2023 portant nomination au conseil d’administration

de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie - M. GOUZÈNES (Thomas)
NOR : TREK2329725D
Par décret en date du 4 décembre 2023, M. Thomas GOUZÈNES est nommé membre du conseil
d’administration de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, en qualité de représentant de
l’Etat, sur proposition du ministre chargé de l’industrie, en remplacement de M. Romain BONENFANT.
MESURES NOMINATIVES

Arrêté du 9 novembre 2023 portant commissionnement et cessation de commissionnement

d’agents du service de surveillance du marché des véhicules et des moteurs, placés sous
l’autorité du ministre chargé des transports, en application du code de la route, et notamment
ses articles L. 329-5 et R. 329-2
NOR : TRER2329781A
Par arrêté du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires en date du 9 novembre 2023,
l’agent mentionné dans le tableau suivant est commissionné en vue de la recherche et de la constatation
d’infractions relevant de la compétence des agents du service à compétence nationale dénommé service de
surveillance du marché des véhicules et des moteurs (SSMVM), dans la zone de commissionnement indiquée :
Nom Prénom Service d’affectation Zone de commissionnement
LIGOT Patrick SSMVM France entière
Préalablement à l’exercice de ses fonctions, l’agent prêtera serment devant le tribunal judiciaire de sa résidence
fiscale selon les modalités prévues par l’article R. 130-9 du code de la route.
Il est mis fin au commissionnement en vue de la recherche et de la constatation d’infractions relevant de la
compétence des agents du service à compétence nationale dénommé service de surveillance du marché des
véhicules et des moteurs (SSMVM), des agents mentionnés dans le tableau suivant :
Nom Prénom Service d’affectation Zone de commissionnement
BRAS Clémence SSMVM France entière
VALET Béatrice SSMVM France entière

MESURES NOMINATIVES

Arrêté du 4 décembre 2023 portant nomination d’un directeur de l’environnement,

de l’aménagement, du logement et de la mer de Mayotte
NOR : TREK2329011A
Par arrêté de la Première ministre, du ministre de l’intérieur et des outre-mer, du ministre de la transition
écologique et de la cohésion des territoires et de la ministre de la transition énergétique en date du 4 décembre 2023,
M. Jérôme JOSSERAND, attaché d’administration hors classe, est nommé dans les fonctions de directeur de
l’environnement, de l’aménagement, du logement et de la mer (groupe II) de Mayotte, pour une durée de quatre
ans, à compter du 1er janvier 2024, avec une période probatoire de six mois.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 5 décembre 2023 portant nomination du directeur général de l’Etablissement public

Cité de la céramique-Sèvres et Limoges - M. MAYER (René-Jacques)
NOR : MICB2332432D
Par décret du Président de la République en date du 5 décembre 2023, M. René-Jacques MAYER est nommé
directeur général de l’Etablissement public Cité de la céramique-Sèvres et Limoges, à compter du 5 décembre 2023.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 5 décembre 2023 portant nomination du président du conseil d’administration

de l’Etablissement public Cité de la céramique-Sèvres et Limoges - M. LEMOINE (Hervé)
NOR : MICB2332558D
Par décret du Président de la République en date du 5 décembre 2023, M. Hervé LEMOINE est nommé
président du conseil d’administration de l’Etablissement public Cité de la céramique-Sèvres et Limoges, en
remplacement de Mme Catherine MAYENOBE.
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 30 novembre 2023 portant nomination de membres au comité d’orientation

du fonds stratégique pour le développement de la presse
NOR : MICE2326650A
Par arrêté de la ministre de la culture en date du 30 novembre 2023, sont nommés membres du comité
d’orientation du fonds stratégique pour le développement de la presse :
Président : M. Emmanuel Glimet, conseiller maître à la Cour des comptes ;
Présidente suppléante : Mme Céline Guibé, maître des requêtes au Conseil d’Etat ;
Vice-président : M. Philippe Nicolas, inspecteur général des affaires culturelles ;
Vice-présidente suppléante : Mme Marie-Ange Mattei, conseillère référendaire à la Cour des comptes.
En tant que représentants des entreprises éditrices de publications imprimées :
Titulaire : M. Alain Augé, président du Syndicat des éditeurs de la presse magazine ;
Titulaire : Mme Sophie Gourmelen, directrice générale du Parisien-Aujourd’hui en France ;
Titulaire : M. Ronan Dubois, directeur général de 20 Minutes ;
Titulaire : M. Florent Rimbert, responsable du développement numérique à l’Alliance de la presse d’information
générale ;
Suppléante : Mme Fleur Lavedan, présidente du directoire de Télérama ;
Suppléante : Mme Maud Lévrier, directrice déléguée du groupe SIPA-Ouest France ;
Suppléante : Mme Amandine Bascoul Romeu, directrice générale de Libération ;
Suppléant : M. David Guévart, directeur général de Paris Normandie et de Courrier Picard.
En tant que représentants des services de presse en ligne :
Titulaire : M. Laurent Bérard-Quélin, vice-président de la Fédération nationale de la presse d’information
spécialisée ;
Titulaire : Mme Diane Lemoine, directrice générale déléguée du groupe L’Express ;
Titulaire : Mme Anne-Claire Marquet, directrice du Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne ;
Titulaire : Mme Patricia Panzani, responsable du pôle vente et distribution de l’Alliance de la presse
d’information générale ;
Suppléante : Mme Eugénie Varnier-Klimoff, chargée du numérique à la Fédération nationale de la presse
d’information spécialisée ;
Suppléant : M. Emmanuel Alix, directeur du pôle numérique du groupe L’Équipe ;
Suppléant : M. Benjamin Sabbah, directeur général de Worldcrunch ;
Suppléante : Mme Mireille Monnier, directrice juridique du groupe Prisma Media.
En tant que représentants des agences de presse :
Titulaire : Mme Florence Braka, directrice générale de la Fédération française des agences de presse ;
Suppléant : M. Christophe Mansier, président du Syndicat des agences de presse photographiques.
Sont nommés membres du même comité, dans sa formation de club des innovateurs, en tant que représentants
des organisations professionnelles des éditeurs de presse :
Titulaire : M. Laurent Bérard-Quélin, vice-président de la Fédération nationale de la presse d’information
spécialisée ;
Titulaire : M. Kévin Singer, directeur digital de CMI France ;
Titulaire : Mme Soizic Bouju, directrice générale du groupe Centre France – La Montagne ;
Titulaire : Mme Patricia Panzani, responsable du pôle vente et distribution de l’Alliance de la presse
d’information générale ;
Suppléant : M. Ludovic Pompignoli, directeur de la rédaction digitale de CNews ;
Suppléante : Mme Diane Lemoine, directrice générale déléguée du groupe L’Express ;
Suppléante : Mme Anne-Claire Marquet, directrice du Syndicat de la presse indépendante d’information en

ligne ;
Suppléant : M. Florent Rimbert, responsable du développement numérique à l’Alliance de la presse
d’information générale.
L’arrêté du 23 septembre 2019 modifié portant nomination au comité d’orientation du fonds stratégique pour le
développement de la presse est abrogé.
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 1er décembre 2023 portant nomination au conseil d’administration

de l’Ecole nationale supérieure des métiers de l’image et du son
NOR : MICB2331343A
Par arrêté de la ministre de la culture en date du 1er décembre 2023, sont nommés membres du conseil
d’administration de l’Ecole nationale supérieure des métiers de l’image et du son, au titre des personnalités
qualifiées, à compter du 8 décembre 2023 :
En qualité de membres titulaires :
Mme Leyla BOUZID, réalisatrice ;
M. Frédéric BEREYZIAT, vice-président exécutif des opérations d’ARTE France et d’ARTE ;
Mme Nathalie DURAND, directrice de la photographie, membre du bureau 2023 de l’Association française des
directrices et des directeurs de la photographie cinématographique (AFC), attachée à la présidence et coordinatrice
appels à projet pour le Centre national du cinéma et de l’image animée ;
M. Didier HUCK, directeur général délégué de Mikros/MPC, vice-président au sein de Technicolor et président
de la Fédération des industries du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia (FICAM) ;
Mme Marie-Ange LUCIANI, productrice ;
M. Jean-Brice ROLLAND, directeur de cabinet de l’Université Paris Sciences & Lettres.
En qualité de membres suppléants :
M. Charles TESSON, critique et historien du cinéma et co-vice-président du Syndicat français de la critique de
cinéma (SFCC) ;
Mme Mélissa PETITJEAN, mixeuse son ;
M. Eric LAGESSE, distributeur, président de Pyramide Films, co-président du syndicat des Distributeurs
Indépendants Réunis Européens (DIRE) ;
Mme Mathilde PROFIT, scripte et réalisatrice ;
M. François AYME, directeur de cinéma, président de l’Association française des cinémas d’art et d’essai
(AFCAE) et réalisateur documentariste ;
Mme Tania DE MONTAIGNE, écrivaine, autrice, journaliste, femme de lettres.
MESURES NOMINATIVES
Décret du 4 décembre 2023 portant nomination du président

de l’Etablissement français du sang - M. PACOUD (Frédéric)
NOR : SPRP2332210D
Par décret du Président de la République en date du 4 décembre 2023, M. Frédéric PACOUD est nommé
président de l’Etablissement français du sang.
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 30 novembre 2023 portant inscription sur la liste d’aptitude

au titre de l’année 2024 (tour extérieur des directeurs d’hôpital)
NOR : SPRN2332809A
Par arrêté de la directrice générale du Centre national de gestion en date du 30 novembre 2023, les personnes ci-
après énumérées sont inscrites, au titre de l’année 2024, sur la liste d’aptitude prévue par le décret no 2005-921
du 2 août 2005 modifié portant statut particulier du corps des directeurs d’hôpital aux grades de hors classe et de
classe normale des personnels de direction des établissements mentionnés à l’article L. 5 (1o et 2o) du code général
de la fonction publique :
Au titre du I (1o) de l’article 10 du décret no 2005-921 du 2 août 2005 susmentionné :
Fonction publique hospitalière (hors classe)

CUBERES Pascale ;
PLAZA Murielle.
Au titre du I (2o) de l’article 10 du décret no 2005-921 du 2 août 2005 susmentionné :
Fonctions publiques Etat et territoriale (hors classe)

BARRAUD Olivier ;
DUVAL Mathilde ;
GIRARD Sophie.
Au titre du II (1o) de l’article 10 du décret no 2005-921 du 2 août 2005 susmentionné :
Fonction publique hospitalière (classe normale)

BERKANE Johan ;
DEFEVER Emmanuelle ;
DUBOIS Julien ;
LARABA Mustapha ;
MAINIER Nadège ;
OLIVIERI Elsa ;
ROBIN Linda ;
ROUSSELIN Stéphanie ;
YAAGOUB Rachel.
Le présent arrêté prendra effet à compter du 1er janvier 2024.
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 22 septembre 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre
de la convention collective nationale de l’industrie des tuiles et briques (no 1170)
NOR : MTRT2321991A

Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ;
Vu la convention collective nationale de l’industrie des tuiles et briques du 17 février 1982 ;
Vu l’arrêté du 4 juin 1982 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale de
l’industrie des tuiles et briques du 17 février 1982 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’accord du 14 avril 2023 relatif au fonctionnement dématérialisé des réunions paritaires, conclu dans le
cadre de la convention collective nationale de l’industrie des tuiles et briques du 17 février 1982 ;
Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ;
Vu l’avis publié au Journal officiel de la République française du 21 juin 2023 (NOR : MTRT2316413V) ;
Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ;
Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation
professionnelle (sous-commission des conventions et accords), rendu lors de la séance du 21 septembre 2023,
Arrête :
Art. 1 . – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
er
d’application de la convention collective nationale des tuiles et briques du 17 février 1982, les
stipulations de l’accord du 14 avril 2023 relatif au fonctionnement dématérialisé des réunions paritaires, conclu
dans le cadre de la convention collective nationale susvisée.
L’article 3 est étendu sous réserve du respect des articles L. 2232-8 et L. 2234-3 du code du travail et de
l’application du principe d’égalité à valeur constitutionnelle résultant de l’article 6 de la Déclaration des droits de
l’homme et du citoyen du 26 août 1789 et du 6e alinéa du préambule de la Constitution de 1946, tel qu’interprété
par la Cour de Cassation (Cass. soc. 29 mai 2001, Cegelec).
Le dernier alinéa de l’article 5 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 2261-3 du code
du travail et des articles D. 2231-3 et D. 2231-8 du même code.
Le dernier alinéa de l’article 6 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 2261-7 du code
du travail.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord.
Fait le 22 septembre 2023.
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2023/24,
disponible sur le site https://www.legifrance.gouv.fr/.
Arrêté du 22 septembre 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale
de la branche de l’aide, de l’accompagnement, des soins et des services à domicile (no 2941)
NOR : MTRT2324013A

Vu la convention collective nationale de la branche de l’aide, de l’accompagnement, des soins et des services à
domicile du 21 mai 2010 ;
Vu l’arrêté du 23 décembre 2011 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale
de la branche de l’aide, de l’accompagnement, des soins et des services à domicile du 21 mai 2010 et des textes qui
l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’avenant no 1 du 1er décembre 2022 à l’avenant 53/2022 du 8 juillet 2022 relatif à la rémunération
conventionnelle à la convention collective nationale de la branche de l’aide, de l’accompagnement, des soins et des
services à domicile du 21 mai 2010 ;
Vu l’arrêté 15 mars 2023 relatif à l’agrément de certains accords de travail applicables dans les établissements et
services du secteur social et médico-social à but non lucratif ;
Vu l’avenant no 56/2023 du 17 janvier 2023 relatif à la rémunération des salariés sous contrats de
professionnalisation ou d’apprentissage, à la convention collective de la branche de l’aide, de l’accompagnement,
des soins et des services à domicile du 21 mai 2010 ;
Vu l’arrêté du 12 mai 2023 relatif à l’agrément de certains accords de travail applicables dans les établissements
et services du secteur social et médico-social à but non lucratif ;
Vu les demandes d’extension présentées par les organisations signataires ;
Vu les avis publiés au Journal officiel de la République française du 19 avril 2023 (NOR : MTRT2310426V) et
du 31 mai 2023 (NOR : MTRT2314057V) ;
Arrête :
er
d’application de la convention collective nationale de la branche de l’aide, de l’accompagnement, des soins et des
services à domicile du 21 mai 2010, les stipulations de :
– l’avenant no 1 du 1er décembre 2022 à l’avenant 53/2022 du 8 juillet 2022 relatif à la rémunération
conventionnelle, à la convention collective nationale susvisée.
L’article 1er de l’avenant est étendu sous réserve de l’application des dispositions règlementaires portant fixation
du salaire minimum interprofessionnel de croissance.
A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, précisant la périodicité, les thèmes et les
modalités de négociation dans cette branche, l’avenant est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre
en compte lors de la négociation sur les salaires, l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes
ainsi que les mesures permettant de l’atteindre, en application des dispositions des articles L. 2241-8 et L. 2241-17
du code du travail.
– l’avenant no 56/2023 du 17 janvier 2023 relatif à la rémunération des salariés sous contrats de
professionnalisation ou d’apprentissage, à la convention collective nationale susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions des avenants susvisés prend effet à compter de la date de
publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par lesdits avenants.
Fait le 22 septembre 2023.

P. RAMAIN
Nota. – Les avenants susvisés ont été publiés au Bulletin officiel du ministère, fascicules conventions collectives no 2023/15 et
o
n 2023/21, disponibles sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
Arrêté du 5 octobre 2023 portant modification de l’arrêté du 6 avril 2022 portant extension
de la convention collective nationale du 29 janvier 2021 de la production et de la transformation
des papiers et cartons (no 3238)
NOR : MTRT2326846A

Vu la convention collective nationale de la production et de la transformation des papiers et cartons
du 29 janvier 2021 ;
Vu l’arrêté du 6 avril 2022 portant extension de la convention collective nationale de la production et de la
transformation des papiers et cartons du 29 janvier 2021 ;
Vu l’avis publié au Journal officiel de la République française du 15 avril 2021 (NOR : MTRT2111459V) ;
Arrête :
Art. 1 . – Le 2e alinéa de l’article 1er de l’arrêté du 6 avril 2022 portant extension de la convention collective
er
nationale de la production et de la transformation des papiers et cartons du 29 janvier 2021 est supprimé.
Fait le 5 octobre 2023.
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de la convention susvisée a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2021/13, disponible sur le site https://www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
Arrêté du 10 novembre 2023 portant extension d’avenants

à la convention collective nationale du tourisme social et familial (no 1316)
NOR : MTRT2324034A

Vu la convention collective nationale du tourisme social et familial du 28 juin 1979 ;
Vu l’arrêté du 2 juillet 1980 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale du
tourisme social et familial du 28 juin 1979 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’avenant no 68 du 5 décembre 2022 relatif à la mise à jour de la convention collective nationale du tourisme
social et familial du 28 juin 1979 ;
Vu l’avenant no 75 du 5 décembre 2022 rectificatif des avenants no 66 et 67 du 2 juin 2021, relatif à la mise à jour
du texte de la convention collective nationale du tourisme social et familial du 28 juin 1979 ;
Vu les demandes d’extension présentées par les organisations signataires ;
Vu l’avis publié au Journal officiel de la République française du 10 mars 2023 (NOR : MTRT2306466V) ;
Arrête :
Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
d’application de la convention collective nationale du tourisme social et familial du 28 juin 1979, les stipulations
de :
– l’avenant no 68 du 5 décembre 2022 relatif à la mise à jour de la convention collective susvisée.
A défaut d’accord prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail précisant la périodicité, les thèmes et les
modalités de négociation dans cette branche, l’accord est étendu sous réserve du respect de l’obligation de prendre
en compte lors de la négociation sur les classifications l’objectif d’égalité professionnelle entre les femmes et les
hommes et de mixité des emplois. En cas de constat d’un écart moyen de rémunération la branche devra faire de sa
réduction une priorité conformément aux articles L. 2241-15 et L. 2241-17 du code du travail.
– l’avenant no 75 du 5 décembre 2022 rectificatif des avenants no 66 et 67 du 2 juin 2021, relatif à la mise à jour
du texte de la convention collective nationale susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions des avenants susvisés prend effet à compter de la date de
publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par lesdits avenants.
P. RAMAIN
Nota. – Les avenants susvisés ont été publiés au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2023/9,
disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
Arrêté du 10 novembre 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale
de la production et de la transformation des papiers et cartons (no 3238)
NOR : MTRT2327931A

Vu la convention collective nationale de la production et de la transformation des papiers et cartons
du 29 janvier 2021 ;
Vu l’arrêté du 6 avril 2022 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale de la
production et de la transformation des papiers et cartons du 29 janvier 2021 et des textes qui l’ont complétée ou
modifiée ;
Vu l’avenant no 3 du 1er décembre 2022 relatif à la mise à jour de la convention collective nationale de la
production et de la transformation des papiers et cartons du 29 janvier 2021 ;
Vu l’avis publié au Journal officiel de la République française du 24 janvier 2023 (NOR : MTRT2301849V) ;
professionnelle (sous-commission des conventions et accords), rendu lors de la séance du 9 novembre 2023,
Arrête :
er
d’application de la convention collective nationale de la production et de la transformation des papiers et cartons

du 29 janvier 2021, les stipulations de l’avenant no 3 du 1er décembre 2022 relatif à la mise à jour de la convention
collective nationale susvisée.
L’article 44 de la convention collective susvisée, tel que modifié par l’article 5 de l’avenant, est étendu sous
réserve que le travail de nuit, dont le recours doit être justifié conformément à l’article L. 3122-1 du code du travail,
fasse l’objet, lorsqu’il est mis en place avec des salariés considérés comme travailleurs de nuit, de l’accord collectif
mentionné à l’article L. 3122-15 du code du travail comportant, notamment, les contreparties sous forme de repos
compensateur.
réserve du respect des dispositions de l’article L. 3142-1 du code du travail, modifié par la loi no 2021-1678
du 17 décembre 2021.
réserve du respect des dispositions de l’article L. 1225-45 du code du travail.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2023/3,
disponible sur le site https://www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
Arrêté du 14 novembre 2023 portant extension d’un avenant à la convention

collective nationale de l’industrie de la fabrication des ciments (no 3233)
NOR : MTRT2315968A

Vu la convention collective nationale de l’industrie de la fabrication des ciments du 2 octobre 2019 ;
Vu l’arrêté du 30 juillet 2021 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale de
l’industrie de la fabrication des ciments du 2 octobre 2019 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’avenant du 19 décembre 2022 relatif aux indemnités pour travail de nuit, du dimanche et des jours fériés, à
la convention collective nationale de l’industrie de la fabrication des ciments du 2 octobre 2019 ;
Vu l’avis publié au Journal officiel de la République française du 31 janvier 2023 (NOR : MTRT2302507V) ;
professionnelle (sous-commission des conventions et accords), rendu lors de la séance du 29 juin 2023,
Arrête :
er
d’application de la convention collective nationale de l’industrie de la fabrication des ciments du 2 octobre 2019,
les stipulations de l’avenant du 19 décembre 2022 relatif aux indemnités pour travail de nuit, du dimanche et des
jours fériés, à la convention collective nationale susvisée.
L’article II.3.5 du Titre II de la convention collective, dans sa rédaction issue de l’article 1 de l’avenant du
19 décembre 2022, est étendu sous réserve du respect de l’article L. 3133-6 du code du travail qui prévoit, en cas
exceptionnel de travail le 1er mai, une indemnité égale au montant du salaire accompli ce jour.
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2023/4,
Arrêté du 15 novembre 2023 portant extension d’accords et d’un avenant auxdits accords,
conclus dans le cadre des conventions collectives des ouvriers du bâtiment et des travaux
publics de la Guadeloupe et dépendances (no 2328) et des employés, techniciens et agent de
maîtrise (ETAM) du bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe (no 3144)
NOR : MTRT2330599A

Vu la convention collective des ouvriers du bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe du 28 février 2002 ;
Vu l’arrêté du 20 janvier 2004 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective des ouvriers
du bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe du 28 février 2002 et des textes qui l’ont complétée ou
modifiée ;
Vu la convention collective des employés, techniciens et agent de maîtrise (ETAM) du bâtiment et des travaux
publics de la Guadeloupe du 24 juillet 2008 ;
Vu l’arrêté du 20 janvier 2014 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective des
employés, techniciens et agent de maîtrise (ETAM) du bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe
du 24 juillet 2008 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’accord du 22 mai 2023 relatif aux salaires, conclu dans le cadre de la convention collective des ouvriers du
bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe du 28 février 2002 ;
Vu l’accord du 22 mai 2023 relatif aux primes, conclu dans le cadre de la convention collective des ouvriers du
bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe du 28 février 2002 ;
Vu l’accord du 22 mai 2023 relatif aux salaires, conclu dans le cadre de la convention collective des employés,
techniciens et agent de maîtrise (ETAM) du bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe du 24 juillet 2008 ;
Vu l’avenant du 22 juin 2023 relatif à la clause spécifique pour les entreprises de moins de 50 salariés prévue à
l’article L. 2261-23-1 du code du travail, aux accords du 22 mai 2023 précités, conclu dans le cadre des
conventions collectives des ouvriers du bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe du 28 février 2002 et des
employés, techniciens et agent de maîtrise (ETAM) du bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe
du 24 juillet 2008 ;
Vu les avis publiés au Journal officiel de la République française du 28 juin 2023 (NOR : MTRT2317165V) et
du 12 octobre 2023 (NOR : MTRT2326700V) ;
Vu l’avis motivé de la commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation
professionnelle (sous-commission des conventions et accords), recueilli suivant la procédure prévue à
l’article R. 2261-5 du code du travail,
Arrête :
er
d’application de la convention collective des ouvriers du bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe et
dépendances du 28 février 2002, les stipulations de :
– l’accord du 22 mai 2023 relatif aux salaires, conclu dans le cadre de la convention collective susvisé ;
– l’accord du 22 mai 2023 relatif aux primes, conclu dans le cadre de la convention collective susvisé.
Art. 2. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
d’application de la convention collective des employés, techniciens et agent de maîtrise (ETAM) du bâtiment et des
travaux publics de la Guadeloupe du 24 juillet 2008, les stipulations de l’accord du 22 mai 2023 relatif aux salaires,
conclu dans le cadre de la convention collective susvisé.
Art. 3. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
d’application des conventions collectives des ouvriers du bâtiment et des travaux publics de la Guadeloupe et
dépendances du 28 février 2002 et des employés, techniciens et agent de maîtrise (ETAM) du bâtiment et des
travaux publics de la Guadeloupe du 24 juillet 2008, les stipulations de l’avenant du 22 juin 2023 relatif à la clause
spécifique pour les entreprises de moins de 50 salariés prévue à l’article L. 2261-23-1 du code du travail, aux
accords du 22 mai 2023 susvisés, conclu dans le cadre des conventions collectives susvisées.
Art. 4. – L’extension des effets et sanctions des accords et de l’avenant susvisés prend effet à compter de la
date de publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par lesdits accords et
de l’avenant.
P. RAMAIN
Nota. – Les textes susvisés ont été publiés au Bulletin officiel du ministère, fascicules conventions collectives no 2023/25 et
no 2023/40, disponibles sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
Arrêté du 15 novembre 2023 portant extension d’accords conclus dans le cadre de la convention
collective des industries métallurgiques, électriques et connexes de la Dordogne (no 1353)
NOR : MTRT2330604A

Vu la convention collective des industries métallurgiques, électriques et connexes de la Dordogne du
18 février 1985 ;
Vu l’arrêté du 5 septembre 1985 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective des
industries métallurgiques, électriques et connexes de la Dordogne du 18 février 1985 et des textes qui l’ont
complétée ou modifiée ;
Vu l’accord du 30 août 2023 sur les rémunérations effectives garanties pour l’année 2023, conclu dans le cadre
de la convention collective des industries métallurgiques, électriques et connexes de la Dordogne
du 18 février 1985 ;
Vu l’accord du 30 août 2023 sur les rémunérations minimales hiérarchiques, conclu dans le cadre de la
convention collective des industries métallurgiques, électriques et connexes de la Dordogne du 18 février 1985 ;
Vu l’avis publié au Journal officiel de la République française du 13 octobre 2023 (NOR : MTRT2327091V) ;
professionnelle (sous-commission des conventions et accords) recueilli suivant la procédure prévue à
Arrête :
er
d’application de la convention collective des industries métallurgiques, électriques et connexes de la Dordogne

du 18 février 1985, les stipulations de :
– l’accord du 30 août 2023 sur les rémunérations effectives garanties pour l’année 2023, conclu dans le cadre de
la convention collective susvisée ;
L’article 2 de l’accord est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article 5 de l’accord national de la
métallurgie du 17 janvier 1991 étendu en application desquelles « les primes et gratifications ayant un caractère
exceptionnel et bénévole doivent être exclues de l’assiette des garanties de rémunération effective ».
– l’accord du 30 août 2023 sur les rémunérations minimales hiérarchiques, conclu dans le cadre de la
convention collective susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions des accords susvisés prend effet à compter de la date de
publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par lesdits accords.
P. RAMAIN
Nota. – Le texte des accords susvisés a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2023/41, disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
Arrêté du 15 novembre 2023 portant extension d’accords conclus dans le cadre

de la convention collective de la métallurgie des Pyrénées-Atlantiques et du Seignanx (no 2615)
NOR : MTRT2330605A

Vu la convention collective de la métallurgie des Pyrénées-Atlantiques et du Seignanx du 28 septembre 2006 ;
Vu l’arrêté du 15 octobre 2007 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective de la
métallurgie des Pyrénées-Atlantiques et du Seignanx du 28 septembre 2006 et des textes qui l’ont complétée ou
modifiée ;
Vu l’accord du 3 juillet 2023 relatif aux rémunérations minimales hiérarchiques (RMH), conclu dans le cadre de
la convention collective de la métallurgie des Pyrénées-Atlantiques et du Seignanx du 28 septembre 2006 ;
Vu l’accord du 3 juillet 2023 relatif aux rémunérations effectives garanties, conclu dans le cadre de la
convention collective de la métallurgie des Pyrénées-Atlantiques et du Seignanx du 28 septembre 2006 ;
Arrête :
er
d’application de la convention collective de la métallurgie des Pyrénées-Atlantiques et du Seignanx

du 28 septembre 2006, les stipulations de :
– l’accord du 3 juillet 2023 relatif aux rémunérations minimales hiérarchiques (RMH), conclu dans le cadre de
la convention collective susvisée ;
– l’accord du 3 juillet 2023 relatif aux rémunérations effectives garanties, conclu dans le cadre de la convention
collective susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions des accords susvisés prend effet à compter de la date de
publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par lesdits accords.
P. RAMAIN
Nota. – Le texte des accords susvisés a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
Arrêté du 15 novembre 2023 portant extension d’un avenant à la convention collective

des industries de la métallurgie de Belfort/Montbéliard (no 2755)
NOR : MTRT2330643A

Vu la convention collective des industries de la métallurgie de Belfort/Montbéliard du 25 juillet 2008 ;
Vu l’arrêté du 17 mai 2010 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective des industries
de la métallurgie de Belfort/Montbéliard du 25 juillet 2008 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’avenant du 8 septembre 2023 relatif aux rémunérations minimales annuelles effectives, à la convention
collective des industries de la métallurgie de Belfort/Montbéliard du 25 juillet 2008 ;
Arrête :
d’application de la convention collective des industries de la métallurgie de Belfort/Montbéliard du 25 juillet 2008,
les stipulations de l’avenant du 8 septembre 2023 relatif aux rémunérations minimales annuelles effectives, à la
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
du commerce de détail de l’habillement et des articles textiles (no 1483)
NOR : MTRT2330648A

Vu la convention collective nationale du commerce de détail de l’habillement et des articles textiles
du 25 novembre 1987 ;
Vu l’arrêté du 9 juin 1988 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale du
commerce de détail de l’habillement et des articles textiles du 25 novembre 1987 et des textes qui l’ont complétée
ou modifiée ;
Vu l’avenant no 27 du 19 septembre 2023 relatif aux rémunérations, à la convention collective nationale du
commerce de détail de l’habillement et des articles textiles du 25 novembre 1987 ;
Arrête :
er
d’application de la convention collective nationale du commerce de détail de l’habillement et des articles textiles
du 25 novembre 1987, les stipulations de l’avenant no 27 du 19 septembre 2023 relatif aux rémunérations, à la
convention collective nationale susvisée.
du code du travail.
P. RAMAIN

des industries mécaniques, microtechniques et connexes du département du Doubs (no 3209)
NOR : MTRT2331140A

Vu la convention collective des industries mécaniques, microtechniques et connexes du département du Doubs
du 27 avril 2015 ;
Vu l’arrêté du 27 décembre 2016 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective des
industries mécaniques, microtechniques et connexes du département du Doubs du 27 avril 2015 et des textes qui
l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’avenant du 8 septembre 2023 relatif aux rémunérations annuelles garanties, à la convention collective des
industries mécaniques, microtechniques et connexes du département du Doubs du 27 avril 2015 ;
Arrête :
er
d’application de la convention collective des industries mécaniques, microtechniques et connexes du département

du Doubs du 27 avril 2015, les stipulations de l’avenant du 8 septembre 2023 relatif aux rémunérations annuelles
garanties, à la convention collective susvisée.
P. RAMAIN
Arrêté du 16 novembre 2023 portant extension d’un avenant

à la convention collective nationale de la production audiovisuelle (no 2642)
NOR : MTRT2331141A

Vu la convention collective nationale de la production audiovisuelle du 13 décembre 2006 ;
Vu l’arrêté du 24 juillet 2007 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale de
la production audiovisuelle du 13 décembre 2006 et des textes qui l’ont modifiée ou complétée ;
Vu l’arrêté du 9 avril 2019 portant fusion de champs conventionnels ;
Vu l’avenant no 15 du 28 juillet 2023 relatif aux salaires minima conventionnels, à la convention collective
nationale de la production audiovisuelle du 13 décembre 2006 ;
Arrête :
d’application de la convention collective nationale de la production audiovisuelle du 13 décembre 2006, tel que
modifié par l’arrêté du 9 avril 2019 susvisé, et dans leur propre champ d’application professionnel, les stipulations
de l’avenant no 15 du 28 juillet 2023 relatif aux salaires minima conventionnels, à la convention collective
nationale susvisée.
L’avenant est étendu sous réserve de l’application des dispositions règlementaires portant fixation du salaire
minimum interprofessionnel de croissance.
du code du travail.
L’avenant est étendu sous réserve que la différence de rémunération entre salariés ayant la même qualification et
accomplissant les mêmes tâches se fonde sur des critères objectifs et vérifiables en relation directe avec la valeur du
travail effectué, conformément au principe « à travail égal, salaire égal » résultant des articles L. 2261-22,
R. 2261-1 et L. 2271-1 ainsi que des articles L. 3221-2, L. 3221-3 et L. 3221-4 du code du travail.
P. RAMAIN
Arrêté du 20 novembre 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la
convention collective nationale des maisons à succursales de vente au détail
d’habillement (no 675)
NOR : MTRT2330645A

Vu la convention collective nationale des maisons à succursales de vente au détail d’habillement du 30 juin 1972 ;
Vu l’arrêté du 8 décembre 1972 et les arrêtés successifs, portant extension de la convention collective nationale
des maisons à succursales de vente au détail d’habillement du 30 juin 1972 et des textes qui l’ont complétée ou
modifiée ;
Vu l’accord du 21 septembre 2023 relatif aux salaires mensuels minima garantis, conclu dans le cadre de la
convention collective nationale des maisons à succursales de vente au détail d’habillement du 30 juin 1972 ;
Arrête :
er
d’application de la convention collective nationale des maisons à succursales de vente au détail d’habillement
du 30 juin 1972, les stipulations de l’accord du 21 septembre 2023 relatif aux salaires mensuels minima garantis,
conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée.
du code du travail.
P. RAMAIN

des industries de la métallurgie de Haute-Saône (no 3053)
NOR : MTRT2331142A

Vu la convention collective des industries de la métallurgie de Haute-Saône du 26 septembre 2011 ;
Vu l’arrêté du 26 décembre 2012 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective des
industries de la métallurgie de Haute-Saône du 26 septembre 2011 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’avenant du 8 septembre 2023 relatif aux rémunérations minimales annuelles effectives, à la convention
collective des industries de la métallurgie de Haute-Saône du 26 septembre 2011 ;
Arrête :
d’application de la convention collective des industries de la métallurgie de Haute-Saône du 26 septembre 2011, les
stipulations de l’avenant du 8 septembre 2023 relatif aux rémunérations minimales annuelles effectives, à la
P. RAMAIN
Arrêté du 22 novembre 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention
collective nationale du personnel des industries céramiques de France (no 1558)
NOR : MTRT2330602A

Vu la convention collective nationale du personnel des industries céramiques de France du 6 juillet 1989 ;
Vu l’arrêté du 11 mai 1990 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale du
personnel des industries céramiques de France du 6 juillet 1989 et de textes la modifiant ou la complétant ;
Vu l’arrêté du 16 novembre 2018 portant fusion et élargissement des champs conventionnels ;
Vu l’accord national de branche du 10 juillet 2023 relatif à l’évolution des salaires minima conventionnels des
personnels ouvriers, ETAM et cadres des industries céramiques de France, conclu dans le cadre de la convention
collective nationale du personnel des industries céramiques de France du 6 juillet 1989 ;
Arrête :
Art. 1 . – Sont rendues obligatoires pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
er
d’application de la convention collective nationale des industries céramiques du 6 juillet 1989, tel que modifié par
l’arrêté du 16 novembre 2018 portant fusion et élargissement des champs conventionnels, et dans leur propre
champ d’application professionnel, les stipulations de l’accord national de branche du 10 juillet 2023 relatif à
l’évolution des salaires minima conventionnels des personnels ouvriers, ETAM et cadres des industries céramiques
de France, conclu dans le cadre de la convention collective susvisée.
du code du travail.
P. RAMAIN
des entreprises techniques au service de la création et de l’événement (no 2717)
NOR : MTRT2331138A

Vu la convention collective nationale des entreprises techniques au service de la création et de l’événement
du 21 février 2008 ;
Vu l’arrêté du 21 octobre 2008 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale
des entreprises techniques au service de la création et de l’événement du 21 février 2008 et des textes qui l’ont
complétée ou modifiée ;
Vu l’accord du 4 décembre 2018 relatif à la fusion des branches professionnelles des entreprises techniques au
service de la création et de l’événement (no 2717) et des proprétaires exploitants de chapiteaux (no 2519), étendu par
arrêté du 10 juillet 2020 ;
Vu l’accord du 8 février 2019 relatif au regroupement des branches professionnelles des entreprises techniques
au service de la création et de l’événement (no 2717) et des mannequins adultes et mannequins enfants de moins de
seize ans employés par les agences de mannequins (no 2397), étendu par arrêté du 10 juillet 2020 ;
Vu l’avenant no 18 du 23 août 2023 relatif à la négociation obligatoire sur les salaires, à la convention collective
nationale des entreprises techniques au service de la création et de l’événement du 21 février 2008 ;
Arrête :
er
d’application de la convention collective nationale des entreprises techniques au service de la création et de

l’événement du 21 février 2008, tel que modifié par les accords étendus du 4 décembre 2018 et du 8 février 2019
relatifs au regroupement des branches professionnelles susvisés, et dans leur propre champ d’application
professionnel, les stipulations de l’avenant no 18 du 23 août 2023 relatif à la négociation obligatoire sur les salaires,
à la convention collective susvisée.
du code du travail.
P. RAMAIN
Arrêté du 23 novembre 2023 portant extension d’un accord territorial (Haute-Normandie) conclu
dans le cadre de la convention collective nationale des entreprises d’architecture (no 2332)
NOR : MTRT2331139A

Vu la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 ;
Vu l’arrêté du 6 janvier 2004 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des
entreprises d’architecture du 27 février 2003 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’accord territorial (Haute-Normandie) du 9 novembre 2022 relatif aux salaires, conclu dans le cadre de la
convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003 ;
Arrête :
d’application professionnel de la convention collective nationale des entreprises d’architecture du 27 février 2003,
et dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord territorial (Haute-Normandie)
du 9 novembre 2022 relatif aux salaires, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée.
A l’article 1er de l’accord, les termes « pour l’ensemble des entreprises concernées par le champ d’application de
la CCN des entreprises d’architecture (IDCC 2332), élargie en date du 28 juillet 2020 » sont exclus de l’extension
en ce qu’ils contreviennent aux dispositions combinées de l’article L. 2261-15 du code du travail et de
l’article 1er du code civil.
En l’absence d’accord de méthode prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, l’accord, qui ne présente pas de
diagnostic complet des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes et ne prévoit pas de mesures
relatives aux conditions d’accès à l’emploi, à la formation et à la promotion professionnelle, aux conditions de
travail et d’emploi et notamment celles des salariés à temps partiel tendant à assurer l’égalité professionnelle, est
étendu sous réserve de l’application des dispositions des articles L. 2241-11 et D. 2241-2 du code du travail.
P. RAMAIN
Arrêté du 27 novembre 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la convention
collective nationale de la fabrication et du commerce des produits à usage pharmaceutique,
parapharmaceutique et vétérinaire (no 1555)
NOR : MTRT2330640A

Vu la convention collective nationale de la fabrication et du commerce des produits à usage pharmaceutique,
parapharmaceutique et vétérinaire du 1er juin 1989 ;
Vu l’arrêté du 20 avril 1990 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale de la
fabrication et du commerce des produits à usage pharmaceutique, parapharmaceutique et vétérinaire du
1er juin 1989 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’accord collectif du 13 septembre 2023 relatif aux rémunérations minimales conventionnelles, conclu dans
le cadre de la convention collective nationale de la fabrication et du commerce des produits à usage
pharmaceutique, parapharmaceutique et vétérinaire du 1er juin 1989 ;
Arrête :
er
d’application de la convention collective nationale de la fabrication et du commerce des produits à usage

pharmaceutique, parapharmaceutique et vétérinaire du 1er juin 1989, les stipulations de l’accord collectif
du 13 septembre 2023 relatif aux rémunérations minimales conventionnelles, conclu dans le cadre de la convention
collective nationale susvisée.
En l’absence d’accord de méthode prévu à l’article L. 2241-5 du code du travail, l’accord, qui ne présente pas de
diagnostic complet des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes et ne prévoit pas de mesures
relatives aux conditions d’accès à l’emploi, à la formation et à la promotion professionnelle, aux conditions de
travail et d’emploi et notamment celles des salariés à temps partiel tendant à assurer l’égalité professionnelle, est
étendu sous réserve de l’application des dispositions des articles L. 2241-11 et D. 2241-2 du code du travail.
P. RAMAIN
Arrêté du 28 novembre 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre
de la convention collective nationale de la cordonnerie multiservice (no 1561)
NOR : MTRT2330600A

Vu la convention collective nationale de la cordonnerie multiservice du 7 août 1989 ;
Vu l’arrêté du 22 décembre 1989 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale
de la cordonnerie multiservice du 7 août 1989 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’arrêté du 23 janvier 2019 portant fusion et élargissement de champs conventionnels ;
Vu l’accord du 31 mai 2023 relatif aux salaires dans le secteur de la cordonnerie multiservice, conclu dans le
cadre de la convention collective nationale de la cordonnerie multiservice du 7 août 1989 ;
Vu l’avis motivé de la commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation
Arrête :
d’application professionnel de la convention collective nationale de la cordonnerie multiservice du 7 août 1989, tel
que modifié par l’arrêté du 23 janvier 2019 portant fusion et élargissement de champs conventionnels, et dans leur
propre champ d’application professionnel, à l’exclusion des secteurs des industries de la maroquinerie (no 2528) et
de l’industrie des cuirs et peaux (no 207), les stipulations de l’accord du l’accord du 31 mai 2023 relatif aux salaires
dans le secteur de la cordonnerie multiservice, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée.
P. RAMAIN
Arrêté du 28 novembre 2023 portant extension d’un accord conclu dans le cadre de la branche de
la filière ingénierie de l’immobilier, l’aménagement et la construction (secteur des cabinets ou
entreprises de géomètres-experts, géomètres-topographes, photogrammètres et experts-
fonciers) (no 2543)
NOR : MTRT2330601A

Vu la convention collective nationale des cabinets ou entreprises de géomètres-experts, géomètres-topographes,
photogrammètres et experts-fonciers du 13 octobre 2005 ;
Vu l’arrêté du 24 juillet 2006 et les arrêtés successifs portant extension de la convention collective nationale des
cabinets ou entreprises de géomètres-experts, géomètres-topographes, photogrammètres et experts-fonciers
du 13 octobre 2005 et des textes qui l’ont complétée ou modifiée ;
Vu l’arrêté du 18 septembre 2020 portant extension de l’accord du 7 mai 2019 relatif à la fusion volontaire des
champs conventionnels de la conventions collective nationale des cabinets ou entreprises de géomètres-experts,
géomètres-topographes, photogrammètres et experts-fonciers et de la convention collective nationale des
collaborateurs salariés des entreprises d’économistes de la construction et de métreurs-vérificateurs constituant la
branche de la filière ingénierie de l’immobilier, l’aménagement et la construction ;
Vu l’accord du 6 septembre 2023 portant sur les salaires minimums conventionnels, conclu dans le cadre de la
branche de la filière ingénierie de l’immobilier, l’aménagement et la construction (secteur des cabinets ou
entreprises de géomètres-experts, géomètres-topographes, photogrammètres et experts-fonciers) ;
l’article R. 2261-5 du code du travail ;
Arrête :
er
d’application de la filière ingénierie de l’immobilier, de l’aménagement et de la construction, tel que défini par
l’accord du 7 mai 2019 étendu, et à l’exclusion des collaborateurs salariés des entreprises d’économistes de la
construction et de métreurs vérificateurs (IDCC 3213), les stipulations de l’accord du 6 septembre 2023 portant sur
les salaires minimums conventionnels, conclu dans le cadre de ladite branche (secteur des cabinets ou entreprises
de géomètres-experts, géomètres-topographes, photogrammètres et experts-fonciers).
du code du travail.
P. RAMAIN
Autorité de contrôle prudentiel et de résolution

Décision no 2023-VP-46 du 24 novembre 2023 portant approbation du transfert
par voie de fusion-absorption du portefeuille d’opérations d’une mutuelle
NOR : ACPP2330681S
Le vice-président,
Vu le code monétaire et financier, notamment son article L. 612-1 ;
Vu le code de la mutualité, notamment ses articles L. 212-11 et L. 212-12 ;
Vu les pièces du dossier,
Décide :
Art. 1 . – Est approuvé le transfert par voie de fusion-absorption du portefeuille d’opérations avec les droits et
er
obligations qui s’y rattachent, de la Mutuelle des Employés Territoriaux de Saint-Raphaël (SIREN : 430 173 336)
dont le siège social est situé à Saint-Raphaël (83701), Hôtel de Ville, BP 80160, à la Mutuelle Verte (SIREN :
309 104 099), dont le siège social est situé 78, cours Lafayette, 83000 Toulon.
Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Le vice-président,
J.-P. FAUGÈRE
Autorité de régulation de la communication audiovisuelle

et numérique
Décision no 2023-AG-10 du 23 novembre 2023 relative à la possibilité de reconduire hors appel aux
candidatures l’autorisation délivrée à Média H Antilles-Guyane pour la diffusion par voie
hertzienne terrestre dans la zone de La Martinique du service de télévision à vocation locale
dénommé ATV
NOR : RCAR2333212S
Le comité territorial de l’audiovisuel d’Antilles-Guyane,

Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication, notamment ses article 28-1
et 29-3 ;
Vu la décision no 2015-146 du 25 mars 2015 ;
Vu la délibération no 2011-31 du 12 juillet 2011 modifiée du Conseil supérieur de l’audiovisuel fixant les
conditions d’application de l’article 29-3 de la loi du 30 septembre 1986 relatif aux comités territoriaux de
l’audiovisuel ;
Considérant qu’en application du I de l’article 28-1 de la loi du 30 septembre 1986, l’autorisation accordée à
Média H Antilles-Guyane est susceptible de faire l’objet d’une reconduction pour une durée maximale de cinq ans
hors appel aux candidatures ;
Considérant qu’en application du II de ce même article, le comité territorial de l’audiovisuel d’Antilles-Guyane
doit publier sa décision motivée de recourir ou non à la procédure de reconduction hors appel aux candidatures dix-
huit mois avant l’expiration de l’autorisation ;
Considérant que l’Etat n’a pas modifié la destination de la ou des fréquences considérées en application de
l’article 21 de la loi du 30 septembre 1986 ;
Considérant que Média H Antilles-Guyane n’a fait l’objet d’aucune sanction, astreinte ou condamnation sur le
fondement de la loi du 30 septembre 1986 de nature à justifier que l’autorisation ne soit pas reconduite hors appel
aux candidatures et qu’elle n’a fait l’objet d’aucune condamnation sur le fondement des articles 23, 24 et 24 bis de
la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse ou des articles 227-23 ou 227-24 du code pénal ;
Considérant qu’eu égard à la composition de l’offre audiovisuelle locale, la reconduction de l’autorisation hors
appel aux candidatures accordée à Média H Antilles-Guyane n’est pas de nature à porter atteinte à l’impératif de
pluralisme sur le plan local ;
Considérant que les bilans, les comptes de résultat et les rapports annuels de Média H Antilles-Guyane font
apparaître que sa situation financière lui permet de poursuivre l’exploitation dans des conditions satisfaisantes ;
Considérant que l’autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique n’a pas constaté, dans
le rapport public prévu à l’article 18 de la loi du 30 septembre 1986 susvisée, le non-respect, sur plusieurs
exercices, des principes mentionnés au troisième alinéa de l’article 3-1 de cette même loi ;
Considérant, en conséquence, qu’aucun des motifs prévus au I de l’article 28-1 de la loi du 30 septembre 1986 ne
fait obstacle à ce que l’autorisation délivrée à Média H Antilles-Guyane fasse l’objet d’une procédure de
reconduction hors appel aux candidatures ;
Après en avoir délibéré,
Décide :
Art. 1er. – La reconduction de l’autorisation délivrée à Média H Antilles-Guyane sera instruite hors appel aux
candidatures dans les conditions prévues à l’article 28-1 de la loi du 30 septembre 1986.
Art. 2. – Les points principaux de la convention en vigueur dont la révision ou la modification sont demandées
par le comité territorial de l’audiovisuel d’Antilles-Guyane ou par l’éditeur du service concerné sont annexés à la
présente décision.
Art. 3. – La présente décision sera notifiée à Média H Antilles-Guyane et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait au Lamentin, le 23 novembre 2023.
Pour le comité territorial de l’audiovisuel
d’Antilles-Guyane :
Le président,
J.-M. LASO
ANNEXE (*)
Points principaux de la convention que le comité territorial de l’audiovisuel d’Antilles-Guyane souhaite voir
révisés ou modifiés en vue de la reconduction :
– renforcement des stipulations relatives à l’éditeur ;
– introduction d’un nouvel article relatif à la distribution du service ;
– renforcement des stipulations relatives à la vie publique ;
– renforcement des stipulations relatives aux droits de la personne ;
– renforcement des stipulations relatives aux droits des participants à certaines émissions ;
– renforcement des stipulations relatives à l’honnêteté et l’indépendance de l’information et des programmes ;
– renforcement des stipulations relatives au comité relatif à l’honnêteté, à l’indépendance et au pluralisme de
l’information et des programmes ;
– introduction d’un nouvel article relatif à l’éducation aux médias et à l’information ;
– renforcement des stipulations relatives à la signalétique et classification des programmes ;
– modification de l’article relatif à la nature et durée des programmes ;
– introduction d’un article relatif à la reprise de programmes d’un tiers identifié ;
– introduction d’un article relatif à l’adhésion à un réseau de télévisions locales ;
– révision et renforcement des stipulations relatives à l’accès du programme aux personnes sourdes ou
malentendantes ;
– introduction d’un article relatif à la promotion d’une alimentation et de comportements favorables à la santé ;
– modification de l’article relatif à la diffusion d’œuvres audiovisuelles (adaptation au décret du 30-12-2021) ;
– modification de l’article relatif à la diffusion d’œuvres cinématographiques ;
– révision des stipulations relatives aux évolutions de l’actionnariat et des organes de direction ;
– révision des stipulations relatives aux informations économiques ;
– révision des stipulations relatives à la mise en demeure et aux sanctions ;
– modification de l’article relatif aux informations sur le respect des obligations ;
– introduction d’un article relatif à la modification du contrôle de la société titulaire.
Points principaux de la convention que l’éditeur du service souhaite voir révisés ou modifiés en vue de la
reconduction :
– modification de l’article relatif à la nature et durée des programmes.

et numérique
Décision no 2023-AG-11 du 23 novembre 2023 relative à la possibilité de reconduire hors appel aux
candidatures l’autorisation délivrée à l’association pour le développement des techniques
modernes de la communication (ADTMC) pour la diffusion par voie hertzienne terrestre dans la
zone de la Martinique du service de télévision à vocation locale dénommé KMT
NOR : RCAR2333154S
Le comité territorial de l’audiovisuel d’Antilles-Guyane,

Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication, notamment ses article 28-1 et
29-3 ;
Vu la décision no 2015-146 du 25 mars 2015 ;
Vu la délibération no 2011-31 du 12 juillet 2011 modifiée du Conseil supérieur de l’audiovisuel fixant les
conditions d’application de l’article 29-3 de la loi du 30 septembre 1986 relatif aux comités territoriaux de
l’audiovisuel ;
Considérant qu’en application du I de l’article 28-1 de la loi du 30 septembre 1986, l’autorisation accordée à
l’ADTMC est susceptible de faire l’objet d’une reconduction pour une durée maximale de cinq ans hors appel aux
candidatures ;
Considérant qu’en application du II de ce même article, le comité territorial de l’audiovisuel d’Antilles-Guyane
doit publier sa décision motivée de recourir ou non à la procédure de reconduction hors appel aux candidatures dix-
huit mois avant l’expiration de l’autorisation ;
Considérant que l’Etat n’a pas modifié la destination de la ou des fréquences considérées en application de
l’article 21 de la loi du 30 septembre 1986 ;
Considérant que l’ADTMC n’a fait l’objet d’aucune sanction, astreinte ou condamnation sur le fondement de la
loi du 30 septembre 1986 de nature à justifier que l’autorisation ne soit pas reconduite hors appel aux candidatures
et qu’elle n’a fait l’objet d’aucune condamnation sur le fondement des articles 23, 24 et 24 bis de la loi du
29 juillet 1881 sur la liberté de la presse ou des articles 227-23 ou 227-24 du code pénal ;
Considérant qu’eu égard à la composition de l’offre audiovisuelle locale, la reconduction de l’autorisation hors
appel aux candidatures accordée à l’ADTMC n’est pas de nature à porter atteinte à l’impératif de pluralisme sur le
plan local ;
Considérant que les bilans, les comptes de résultat et les rapports annuels de l’ADTMC font apparaître que sa
situation financière lui permet de poursuivre l’exploitation dans des conditions satisfaisantes ;
Considérant que l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique n’a pas constaté, dans
le rapport public prévu à l’article 18 de la loi du 30 septembre 1986 susvisée, le non-respect, sur plusieurs
exercices, des principes mentionnés au troisième alinéa de l’article 3-1 de cette même loi ;
Considérant, en conséquence, qu’aucun des motifs prévus au I de l’article 28-1 de la loi du 30 septembre 1986 ne
fait obstacle à ce que l’autorisation délivrée à l’ADTMC fasse l’objet d’une procédure de reconduction hors appel
aux candidatures ;
Décide :
Art. 1 . – La reconduction de l’autorisation délivrée à l’ADTMC sera instruite hors appel aux candidatures
er
dans les conditions prévues à l’article 28-1 de la loi du 30 septembre 1986.

Art. 2. – Les points principaux de la convention en vigueur dont la révision ou la modification sont demandées
par le comité territorial de l’audiovisuel d’Antilles-Guyane ou par l’éditeur du service concerné sont annexés à la
présente décision.
Art. 3. – La présente décision sera notifiée à l’ADTMC et publiée au Journal officiel de la République
française.
Fait au Lamentin, le 23 novembre 2023.
Pour le comité territorial
de l’audiovisuel d’Antilles-Guyane :
Le président,
J.-M. LASO
ANNEXE (*)
Points principaux de la convention que le comité territorial de l’audiovisuel d’Antilles-Guyane souhaite voir
révisés ou modifiés en vue de la reconduction :
– renforcement des stipulations relatives à l’éditeur ;
– introduction d’un nouvel article relatif à la distribution du service ;
– renforcement des stipulations relatives à la vie publique ;
– renforcement des stipulations relatives aux droits de la personne ;
– renforcement des stipulations relatives aux droits des participants à certaines émissions ;
– renforcement des stipulations relatives à l’honnêteté et l’indépendance de l’information et des programmes ;
– renforcement des stipulations relatives au comité relatif à l’honnêteté, à l’indépendance et au pluralisme de
l’information et des programmes ;
– introduction d’un nouvel article relatif à l’éducation aux médias et à l’information ;
– renforcement des stipulations relatives à la signalétique et classification des programmes ;
– introduction d’un article relatif à la reprise de programmes d’un tiers identifié ;
– introduction d’un article relatif à l’adhésion à un réseau de télévisions locales ;
– révision et renforcement des stipulations relatives à l’accès du programme aux personnes sourdes ou
malentendantes ;
– introduction d’un article relatif à la promotion d’une alimentation et de comportements favorables à la santé ;
– modification de l’article relatif à la diffusion d’œuvres audiovisuelles (adaptation au décret du 30-12-2021) ;
– modification de l’article relatif à la diffusion d’œuvres cinématographiques ;
– révision des stipulations relatives aux évolutions de l’actionnariat et des organes de direction ;
– révision des stipulations relatives aux informations économiques ;
– révision des stipulations relatives à la mise en demeure et aux sanctions ;
– modification de l’article relatif aux informations sur le respect des obligations ;
– introduction d’un article relatif à la modification du contrôle de la société titulaire.
Points principaux de la convention que l’éditeur du service souhaite voir révisés ou modifiés en vue de la
reconduction :
– modification de l’article relatif à la communication institutionnelle ;
– modification de l’article relatif au financement des émissions télévisées par les collectivités territoriales ;
– modification de l’article relatif à l’accès du programme aux personnes sourdes ou malentendantes ;
– modification de l’article relatif à la publicité ;
– modification de l’article relatif au parrainage ;
– modification de l’article relatif au téléachat ;
– modification de l’article relatif au placement de produit.

et numérique
Délibération no 2023-23 du 15 novembre 2023 fixant le règlement intérieur
de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique
NOR : RCAC2332727X
L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,

Vu le code de la propriété intellectuelle ;
Vu le code général de la fonction publique ;
Vu le code pénal, notamment son article 432-13 ;
Vu la loi du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ;
Vu la loi no 2013-907 du 11 octobre 2013 modifiée relative à la transparence de la vie publique ;
Vu la loi no 2016-1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la
modernisation de la vie économique, notamment le I de l’article 8 ;
Vu la loi no 2017-55 du 20 janvier 2017 modifiée portant statut général des autorités administratives
indépendantes et des autorités publiques indépendantes ;
Vu l’ordonnance no 2014-1329 du 6 novembre 2014 relative aux délibérations à distance des instances
administratives à caractère collégial ;
Vu le décret no 86-83 du 17 janvier 1986 modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents
contractuels de l’Etat pris pour l’application de l’article 7 de la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions
statutaires relatives à la fonction publique de l’Etat ;
Vu le décret no 2006-1084 du 29 août 2006 modifié pris pour l’application de l’article 17-1 de la loi no 86-1067
du 30 septembre 1986 et relatif à la procédure de règlement de différends par l’Autorité de régulation de la
communication audiovisuelle et numérique ;
Vu le décret no 2011-732 du 24 juin 2011 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la loi
o
n 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ;
Vu le décret no 2013-1212 du 23 décembre 2013 modifié relatif aux déclarations de situation patrimoniale et
déclarations d’intérêts adressées à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique ;
Vu le décret no 2014-90 du 31 janvier 2014 portant application de l’article 2 de la loi no 2013-907
du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique ;
Vu le décret no 2014-747 du 1er juillet 2014 modifié relatif à la gestion des instruments financiers détenus par les
membres du Gouvernement et par les présidents et membres des autorités administratives indépendantes et des
autorités publiques indépendantes intervenant dans le domaine économique ;
Vu le décret no 2014-1627 du 26 décembre 2014 relatif aux modalités d’organisation des délibérations à distance
des instances administratives à caractère collégial ;
Vu le décret no 2017-519 du 10 avril 2017 modifié relatif au référent déontologue dans la fonction publique ;
Vu le décret no 2017-547 du 13 avril 2017 modifié relatif à la gestion des instruments financiers détenus par les
fonctionnaires ou les agents occupant certains emplois civils ;
Vu le décret no 2020-69 du 30 janvier 2020 relatif aux contrôles déontologiques dans la fonction publique ;
Vu le décret no 2022-469 du 1er avril 2022 relatif à l’organisation et au fonctionnement de l’Autorité de
régulation de la communication audiovisuelle et numérique ;
Vu l’avis du Comité social d’administration en date du 17 octobre 2023 ;
Décide :
TITRE Ier
FONCTIONNEMENT INTERNE DE L’AUTORITÉ
Art. 1 . – L’Autorité se réunit en principe au moins une fois par semaine sur convocation de son président.
er
Art. 2. – L’Autorité est également convoquée par le président à la demande d’au moins trois membres. Cette
demande est adressée au président de l’Autorité et doit être accompagnée d’une proposition d’ordre du jour.
Art. 3. – L’ordre du jour des réunions de l’Autorité est arrêté par le président sur proposition du directeur
général. Il peut comporter un débat d’orientation portant sur une question déterminée. Ce débat vise à préparer
l’instruction de cette question. Il peut également comporter, sur proposition de son président, un programme de
travail prévisionnel. Chaque membre peut demander l’inscription d’une ou plusieurs questions à l’ordre du jour. Il
en informe le président ou le directeur général en temps utile. Dans la mesure du possible, il communique à cet
effet au secrétariat du collège les éléments d’information nécessaires à la délibération.
Sauf cas d’urgence, l’ordre du jour est transmis aux membres quatre jours au moins avant la séance. En cas de
nécessité, il peut à tout moment être modifié par le président. Il peut comporter une rubrique « questions diverses ».
Les dossiers de la séance, qui contiennent notamment les projets de délibération, sont préparés sous la
responsabilité du directeur général. Sauf cas d’urgence, ils sont transmis aux membres quarante-huit heures au
moins avant la séance.
Art. 4. – Les dossiers soumis à la délibération de l’Autorité sont, dans la mesure du possible, examinés
préalablement en groupe de travail. Le secrétariat du collège tient le calendrier des travaux de ces groupes.
Les dossiers sont rapportés devant l’Autorité par le président du groupe de travail ou son suppléant. Avec
l’accord du président du groupe de travail concerné, ils peuvent également être rapportés par le directeur général ou
des agents de l’Autorité.
A tout moment pendant la séance du collège, et pour éclairer les débats, le président peut donner la parole au
directeur général ou à un autre agent.
Le directeur général peut également rapporter des dossiers devant l’Autorité lorsque ces derniers traitent de
questions relatives à son organisation ou à son fonctionnement interne.
Art. 5. – L’Autorité ne peut délibérer que si au moins six de ses membres sont présents. Les délibérations de
l’Autorité sont adoptées à la majorité des membres présents ; en cas de partage égal des voix, celle du président est
prépondérante. Ces dispositions s’appliquent sous réserve des exceptions prévues par la loi.
Un membre est considéré comme présent lors de la délibération s’il assiste physiquement à la réunion du collège
ou s’il y assiste selon les modalités relatives à la délibération à distance définies ci-après.
L’Autorité délibère, en principe, à son siège. Le président peut toutefois décider qu’une délibération sera
organisée au moyen d’une conférence téléphonique ou audiovisuelle, sous réserve, dans la mesure du possible,
d’en avoir fait mention dans la convocation des membres. Dans ce cas, le président s’assure de l’identité des
participants et de la confidentialité des débats.
Le président peut également décider qu’une délibération sera organisée par un procédé assurant l’échange
d’écrits transmis par voie électronique permettant un dialogue en ligne ou par messagerie conformément aux
dispositions en vigueur régissant les modalités de délibérations à distance des instances administratives à caractère
collégial telles que mentionnées dans l’ordonnance no 2014-1329 du 6 novembre 2014 et dans le décret
no 2014-1627 du 26 décembre 2014 susvisés.
Art. 6. – Le vote à bulletins secrets est de droit à la demande d’un membre. En cas de partage égal des voix, un
second vote est organisé. En cas de nouveau partage égal des voix à l’issue de ce second vote, le vote du président
est rendu public et sa voix est prépondérante.
Si un vote à bulletin secret est demandé à l’occasion d’une délibération qui se déroule à distance, il est sursis à
cette délibération et les opérations de vote sont alors organisées dans le cadre d’une réunion physique ultérieure des
membres du collège.
Art. 7. – Le directeur général assiste aux délibérations de l’Autorité, y compris lorsque celles-ci sont
organisées selon un mode de délibération à distance.
Sous réserve du respect du secret des délibérations, des collaborateurs de l’Autorité ou des personnes extérieures
à celle-ci peuvent assister à ses délibérations avec l’autorisation du président, y compris lorsque l’Autorité délibère
à distance, sauf si la majorité des membres présents demande le huis clos.
Art. 8. – L’Autorité peut procéder à des auditions.
Art. 9. – Le président signe les actes et correspondances délibérés par l’Autorité.
Art. 10. – Les membres sont tenus informés quotidiennement des arrivées et hebdomadairement des départs du
courrier. Ils peuvent avoir accès à tout courrier.
Art. 11. – L’Autorité est informée des missions de chaque membre et de celles des agents.
TITRE II
FORMALITÉS RELATIVES AUX DÉLIBÉRATIONS
Art. 12. – Les procès-verbaux des réunions sont établis par le secrétariat du collège, sous la responsabilité du
directeur général.
Doivent y figurer :
– les noms des membres présents ;
– les questions abordées ;
– les interventions dont les membres demandent qu’elles figurent au procès-verbal, sous réserve de la
préservation du secret du vote ;
– le relevé des décisions.
Les procès-verbaux sont, dans la mesure du possible, adoptés au début de la séance qui suit celle à laquelle ils se
rapportent.
Un exemplaire du procès-verbal approuvé, signé par le président ou, en cas d’empêchement de ce dernier, par le
membre ayant assuré la présidence de la séance, est conservé au secrétariat du collège.
Art. 13. – Les délibérations de l’Autorité qui font l’objet d’une publication au Journal officiel de la République
française sont conservées au sein d’un dossier électronique.
Art. 14. – Pour l’application des articles 2, 3, 8 et 12, le secrétariat du collège est chargé, sous la responsabilité
du directeur général, de la préparation des ordres du jour, des convocations,
de la mise en forme des dossiers des séances, des auditions en lien avec les services concernés, de la rédaction et
de la diffusion des procès-verbaux, ainsi que de leur conservation, sous forme électronique.
Lorsque des sons ou des images captés lors de délibérations sont enregistrés, ils le sont par le secrétariat du
collège par l’intermédiaire d’un outil permettant que les données soient hébergées sur un serveur de l’Autorité ou, à
défaut, sous forme d’un fichier local sur l’ordinateur du secrétariat du collège. Ils sont conservés jusqu’à la
signature du procès-verbal de la séance.
Art. 15. – Le président présente chaque année à l’Autorité le bilan de l’exécution du budget de l’année
précédente. L’Autorité en délibère à cette occasion. En cours d’exercice, les membres sont informés, à leur
demande, de l’état de consommation des dépenses de fonctionnement.
Art. 16. – Les communiqués de presse sont adoptés par l’Autorité. Cependant, lorsque l’urgence le justifie, ils
peuvent être adoptés par le président, assisté du président du groupe de travail concerné.
TITRE III
RÈGLES RELATIVES AUX DÉCISIONS PRISES
EN APPLICATION DE L’ARTICLE 17-1 DE LA LOI DU 30 SEPTEMBRE 1986
Art. 17. – Lorsque l’une des personnes visées à l’article 17-1 de la loi du 30 septembre 1986 saisit d’un
différend l’Autorité, la saisine et les pièces annexées sont adressées à l’Autorité en cinq exemplaires :
– soit par lettre recommandée avec avis de réception ;
– soit par dépôt au siège de l’Autorité contre délivrance d’un récépissé. Il s’effectue les jours ouvrés entre 9
heures et 17 heures.
La saisine et les pièces annexes sont également adressées à l’Autorité par voie électronique.
Si la saisine ne satisfait pas aux conditions fixées à l’article 1er du décret du 29 août 2006 susvisé, l’Autorité en
informe l’auteur en lui demandant de la compléter et en lui indiquant le délai dont il dispose pour la transmission
des pièces manquantes.
Toute saisine est marquée d’un timbre indiquant sa date d’arrivée.
Les pièces adressées à l’Autorité en cours d’instruction sont également marquées d’un timbre indiquant leur date
d’arrivée.
Art. 18. – Conformément à l’article 2 du décret du 29 août 2006 susvisé, si la demande est entachée d’une
irrecevabilité manifeste, le président de l’Autorité en informe le demandeur, après l’avoir mis en mesure de
présenter ses observations.
Art. 19. – L’Autorité adresse par voie électronique ou par tout autre moyen à la ou aux parties mentionnées
dans la saisine, dans le respect des secrets protégés par la loi, l’acte de saisine et les pièces annexées à l’acte de
saisine.
Afin de permettre le respect du délai édicté au deuxième alinéa de l’article 17-1 de la loi du 30 septembre 1986 et
celui du principe du contradictoire, à réception de la saisine complète, le directeur général peut inviter les parties à
une réunion organisée au moyen d’une conférence téléphonique ou audiovisuelle ou par voie d’échanges
électroniques ou au siège de l’Autorité pour déterminer, d’un commun accord, un calendrier prévisionnel fixant les
dates de production des observations.
Les parties transmettent leurs observations et pièces à l’Autorité par voie électronique. Cette production doit
s’effectuer dans le délai fixé aux parties pour produire leurs observations.
Dès réception des observations et pièces, l’Autorité adresse ces documents à l’autre ou aux autres parties, dans le
respect des secrets protégés par la loi, par voie électronique ou par tout autre moyen, en leur rappelant la date avant
laquelle elles doivent transmettre à l’Autorité leurs observations et pièces annexées au soutien de leur réplique.
Lorsque l’instruction fait apparaître qu’une personne qui n’a pas été mentionnée dans la saisine est partie au
litige, l’Autorité lui adresse par voie électronique ou par tout autre moyen l’ensemble des pièces du dossier et en
informe les autres parties.
Art. 20. – Lorsque le nombre, le volume ou les caractéristiques des pièces produites font obstacle à la
production de copies, l’Autorité peut autoriser les parties à ne les produire qu’en un seul exemplaire. Les autres
parties peuvent alors en prendre connaissance au siège de l’Autorité et en prendre copie à leurs frais.
Art. 21. – Lorsqu’ils sont sollicités, les avis de l’Autorité de régulation des communications électroniques, des
postes et de la distribution de la presse, de l’Autorité de la concurrence, de la Commission nationale de
l’informatique et des libertés et les observations des tiers intéressés sont adressés aux parties par voie électronique
ou par tout autre moyen.
Art. 22. – Sauf urgence, le dossier d’instruction est transmis à l’Autorité au plus tard trois jours francs avant la
séance d’examen du différend.
Le président de l’Autorité convoque les parties aux séances d’examen du différend en cause par voie
électronique ou par tout autre moyen. En l’absence de réponse des parties à cette convocation, il les convoque par
tout moyen permettant d’en attester de la date de réception.
L’Autorité peut entendre au cours de cette séance toute personne dont l’audition lui paraît utile. Il en informe
préalablement les parties.
Les parties, qui peuvent se faire représenter ou assister, répondent aux questions des membres de l’Autorité et
présentent leurs observations orales. Elles doivent être mises à même de prendre la parole en dernier, le dernier mot
revenant à la partie mise en cause.
Art. 23. – La décision prise par l’Autorité en règlement de différend est notifiée aux parties par lettre
recommandée avec avis de réception ou par tout autre moyen permettant d’attester la date de réception et publiée
au Journal officiel de la République française. Les autres décisions prises par l’Autorité sont adressées aux parties
par tout moyen.
TITRE IV
MISSION DE PROTECTION DES ŒUVRES ET OBJETS
AUXQUELS EST ATTACHÉ UN DROIT D’AUTEUR OU UN DROIT VOISIN
Art. 24. – Celui des deux membres nommés en application du dernier alinéa du I de l’article 4 de la loi
du 30 septembre 1986 qui exerce la mission mentionnée aux articles L. 331-19 à L. 331- 24 du code de la propriété
intellectuelle, peut rendre compte à l’Autorité de l’exercice de ses missions.
Le membre demande l’inscription de ce point d’information à l’ordre du jour. Il en informe le président ou le
directeur général en temps utile. Dans la mesure du possible, il communique à cet effet au secrétariat du collège les
éléments d’information qu’il souhaite porter à la connaissance de l’Autorité.
TITRE V
RÈGLES RELATIVES AUX DÉCISIONS PRISES EN APPLICATION DU IV DE L’ARTICLE L. 137-4
ET DU IV DE L’ARTICLE L. 219-4 DU CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Art. 25. – La saisine de l’Autorité en application de l’article R. 331-24 du code de la propriété intellectuelle est
transmise en cinq exemplaires.
Le dépôt se fait :
– soit par lettre recommandée avec avis de réception ;
– soit par dépôt au siège de l’Autorité contre délivrance d’un récépissé. Il s’effectue les jours ouvrés entre 9
heures et 17 heures ;
– soit par voie électronique, à une adresse électronique dédiée.
Toute saisine est marquée d’un timbre indiquant sa date d’arrivée.
Les pièces adressées à l’Autorité en cours de procédure sont également marquées d’un timbre indiquant leur date
d’arrivée.
Art. 26. – L’Autorité adresse par voie électronique ou par tout autre moyen à la ou aux parties mentionnées
dans la saisine, l’acte de saisine et les pièces annexées à l’acte de saisine.
Les parties transmettent leurs observations et pièces à l’Autorité par voie électronique. Cette production doit
s’effectuer dans le délai fixé aux parties pour produire leurs observations.
Dès réception des observations et pièces, l’Autorité adresse ces documents à l’autre ou aux autres parties par tout
moyen permettant d’attester la date de réception, en leur rappelant la date avant laquelle elles doivent transmettre à
l’Autorité leurs observations et pièces annexées au soutien de leur réponse.
Lorsqu’il apparaît qu’une personne qui n’a pas été mentionnée dans la saisine est partie à la procédure de
conciliation, l’Autorité lui adresse par voie électronique ou par tout autre moyen l’ensemble des pièces du dossier
et en informe les autres parties.
Lorsque le nombre, le volume ou les caractéristiques des pièces produites font obstacle à la production de copies,
l’Autorité peut autoriser les parties à ne les produire qu’en un seulexemplaire. Les autres parties peuvent alors en
prendre connaissance au siège de l’Autorité et en prendre copie à leurs frais.
Art. 27. – A défaut de conciliation dans le délai d’un mois à compter de sa saisine, l’Autorité en informe les
parties et les invite à produire des observations récapitulatives.
Les parties doivent reprendre, dans leurs observations, les demandes et moyens précédemment présentés ou
invoqués lors de la procédure de conciliation. A défaut, elles sont réputées les avoir abandonnés.
L’Autorité s’assure de la transmission des pièces et annexes conformément aux dispositions des articles 25 et 26.
Art. 28. – La décision prise par l’Autorité est notifiée aux parties par lettre recommandée avec avis de
réception ou par tout autre moyen permettant d’attester la date de réception et publiée au Journal officiel de la
TITRE VI
CHARTE DE DÉONTOLOGIE DE L’AUTORITÉ DE RÉGULATION
DE LA COMMUNICATION AUDIOVISUELLE ET NUMÉRIQUE
Art. 29. – Les règles déontologiques applicables aux membres, agents, collaborateurs et experts de l’Autorité
ainsi qu’aux membres et présidents des comités territoriaux de l’audiovisuel figurent dans une charte annexée à la
présente délibération.
TITRE VII
DISPOSITION FINALE
Art. 30. – La délibération du 9 avril 2014 fixant le règlement intérieur du Conseil supérieur de l’audiovisuel est
abrogée.
La présente délibération sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 15 novembre 2023.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE
CHARTE DE DÉONTOLOGIE DE L’AUTORITÉ DE RÉGULATION
DE LA COMMUNICATION AUDIOVISUELLE ET NUMÉRIQUE
L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique est une autorité publique
indépendante, dont la mission est de garantir l’exercice de la liberté de communication au public par voie
électronique dans les conditions définies par la loi. Cette indépendance, tant à l’égard des pouvoirs politiques que
des acteurs économiques, se traduit pour l’ensemble des personnes qui contribuent à son action par une éthique et
des obligations particulières.
Conformément aux articles 13 et 14 de la loi no 2017-55 du 20 janvier 2017 portant statut général des autorités
administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes, le présent document a pour objectif de
rappeler les principes déontologiques applicables à l’exercice des fonctions au sein de l’Autorité de régulation de la
communication audiovisuelle et numérique et qui découlent de règles législatives, réglementaires ou issues de la
jurisprudence. Il comporte également des recommandations qui résultent de ces principes.
Il a vocation à s’appliquer, sous réserve de dispositions contraires, à l’ensemble des personnes qui apportent leur
concours au fonctionnement de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,
notamment les membres, les agents (y compris les personnes recrutées temporairement à titre de renfort), les
collaborateurs (parmi lesquels les personnes mises à disposition, les stagiaires et les apprentis) et les experts
mentionnés à l’article 3 du décret no 2022-469 du 1er avril 2022 relatif à l’organisation et au fonctionnement de
l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, en tenant compte des spécificités de leur
statut ou contrat.
Un référent déontologue est chargé d’apporter à chacun, à sa demande, tout conseil utile au respect des
obligations et principes déontologiques qui lui sont applicables.
Article 1er
Principes généraux
Les membres, les agents, les collaborateurs et les experts de l’Autorité, ainsi que les présidents et les membres
des comités territoriaux de l’audiovisuel, exercent leurs fonctions avec dignité, probité et intégrité, dans le respect
des principes d’indépendance et d’impartialité.
Dans l’exercice de leurs attributions, les membres de l’Autorité et les membres des comités territoriaux de
l’audiovisuel ne reçoivent ni ne sollicitent d’instruction d’aucune autorité.
Article 2
Obligations d’abstention
des comités territoriaux de l’audiovisuel veillent à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts.
Constitue un conflit d’intérêts toute situation d’interférence entre un intérêt public et des intérêts publics ou privés
qui est de nature à influencer ou à paraître influencer l’exercice indépendant, impartial et objectif d’une fonction.
Le conflit d’intérêts peut correspondre à des cas où la personne concernée a personnellement intérêt à ce qu’une
décision soit prise dès lors qu’elle ou l’un de ses proches (famille, parents, amis, etc.) est susceptible d’en retirer un
avantage ou lorsqu’à l’inverse, il existe une inimitié notoire entre cette personne et le destinataire de la décision.
Il peut également découler de situations de nature à susciter, pour un observateur extérieur, un doute raisonnable
sur les mobiles réels de cette personne, sur son impartialité ou son indépendance, sans que l’éthique personnelle de
cette personne ne soit en cause. Cette appréciation se fait au cas par cas, notamment en fonction de l’intensité, de la
nature et des effets du lien en cause.
Pour les membres, les obligations liées à la prévention des conflits d’intérêts prennent notamment en compte
l’ensemble des liens existants durant les trois années précédant leur nomination.
Tout membre de l’Autorité qui, dans le cadre de l’examen d’une affaire, estime se trouver en situation de conflit
d’intérêts en informe par écrit le président et s’abstient de participer à toute instruction ou délibération relative à
cette affaire et d’émettre un avis sur celle-ci. Lorsqu’un membre de l’Autorité s’abstient de siéger au motif qu’il
s’estime en situation de conflit d’intérêts, il quitte la salle où se tient la séance pendant la durée de cet examen. Il
est fait mention de cette abstention au procès-verbal de cette séance. Les mêmes procédures s’appliquent au sein
des comités territoriaux de l’audiovisuel.
En vertu de l’article 20 de la loi du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique, la Haute
Autorité pour la transparence de la vie publique peut se prononcer sur toute situation pouvant constituer un conflit
d’intérêt dans laquelle peuvent se trouver les membres du collège, le directeur général et les directeurs généraux
adjoints. Ceux-ci peuvent également présenter à la Haute Autorité des demandes d’avis sur toute question d’ordre
déontologique qu’ils peuvent rencontrer dans l’exercice de leurs fonctions, sans préjudice des démarches pouvant
être effectuées auprès du référent déontologue.
Tout agent ou tout collaborateur de l’Autorité qui, dans le cadre de l’examen d’une affaire, estime se trouver en
situation de conflit d’intérêts saisit son supérieur hiérarchique qui confie, le cas échéant, le traitement de l’affaire à
une autre personne. Lorsque l’agent en cause a reçu une délégation de signature, il s’abstient d’en user.
Article 3
Prises illégales d’intérêt et obligations déclaratives
Sous réserve des dispositions du code de la propriété intellectuelle, les membres de l’Autorité ne peuvent,
directement ou indirectement, exercer des fonctions, recevoir d’honoraires, sauf pour des services rendus avant leur
entrée en fonctions, détenir d’intérêt ou avoir un contrat de travail dans une entreprise de l’audiovisuel, du cinéma,
de l’édition, de la presse, de la publicité ou des communications électroniques. En outre, en vertu de la loi
du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique, ils sont également soumis à une obligation de gérer
les autres instruments financiers qu’ils détiennent dans des conditions excluant tout droit de regard de leur part
pendant la durée de leurs fonctions dans les conditions prévues par le décret no 2014-747 du 1er juillet 2014.
Les membres de l’Autorité, le directeur général et les directeurs généraux adjoints de l’Autorité sont soumis à
des obligations de déclarer leur patrimoine et leurs intérêts auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la
vie publique, dans les conditions prévues par la loi du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique.
Les membres et le directeur général doivent également justifier auprès de cette autorité des mesures prises pour
assurer la gestion sans droit de regard de leurs instruments financiers.
La déclaration d’intérêt des membres de l’Autorité prévue par ces dispositions doit être mise, de manière
permanente, à la disposition des autres membres de l’Autorité, en application de la loi no 2017-55 du 20 janvier 2017
portant statut général des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes.
Les agents et collaborateurs de l’Autorité ne peuvent être membres des conseils d’administration de France
Télévisions, de Radio France, de la société en charge de l’audiovisuel extérieur de la France, de la société Arte-
France ou de l’Institut national de l’audiovisuel, ni bénéficier d’une autorisation relative à un service de
communication audiovisuelle, ni exercer de fonctions ou détenir d’intérêts dans une société ou une association
titulaire d’une telle autorisation. A l’exception des placements collectifs qu’ils ne gèrent pas, ils ne peuvent
directement ou indirectement détenir d’intérêts dans une entreprise placée sous le contrôle de l’Autorité qui
seraient de nature à compromettre leur indépendance.
Article 4
Incompatibilités
Pendant l’exercice des fonctions :
Le mandat de membre de l’Autorité est incompatible avec l’exercice d’une activité professionnelle, d’un emploi
public ou d’un mandat électif. Le président de l’Autorité peut toutefois autoriser l’exercice de travaux scientifiques,
littéraires, artistiques ou d’enseignement.
Les fonctions de président et de membre des comités territoriaux de l’audiovisuel sont incompatibles avec toute
activité ou tous intérêts susceptibles de mettre en doute leur impartialité ou leur indépendance.
Les agents de l’Autorité consacrent l’intégralité de leur activité professionnelle aux tâches qui leur sont confiées,
sauf dérogation accordée par le directeur général de l’Autorité pour l’exercice d’activités accessoires,
conformément aux dispositions du code général de la fonction publique.
Après la cessation des fonctions :
Pendant un délai d’un an après la cessation de leurs fonctions, les anciens membres ne peuvent, directement ou
indirectement, exercer des fonctions, recevoir d’honoraires, détenir d’intérêt ou avoir un contrat de travail dans une
entreprise de l’audiovisuel, du cinéma, de l’édition, de la presse, de la publicité ou des communications
électroniques.
En application de l’article 432-13 du code pénal, « est puni de trois ans d’emprisonnement et d’une amende
de 200 000 euros […] le fait, par une personne ayant été chargée [… ] en tant que membre […] d’une autorité
publique indépendante […] fonctionnaire, […] ou agent d’une administration publique, dans le cadre des
fonctions qu’elle a effectivement exercées, soit d’assurer la surveillance ou le contrôle d’une entreprise privée, soit
de conclure des contrats de toute nature avec une entreprise privée ou de formuler un avis sur de tels contrats, soit
de proposer directement à l’autorité compétente des décisions relatives à des opérations réalisées par une
entreprise privée ou de formuler un avis sur de telles décisions, de prendre ou de recevoir une participation par
travail, conseil ou capitaux dans l’une de ces entreprises avant l’expiration d’un délai de trois ans suivant la
cessation de ces fonctions ».
Ces dispositions prohibent notamment pour les membres toute position professionnelle ou responsabilité au sein
d’entreprises ou entités entrant dans le champ de la régulation de l’Autorité.
Pour les agents, elles appellent une application au cas par cas, en fonction du niveau de responsabilité et du
champ de compétence des fonctions effectivement exercées. Lorsqu’ils cessent définitivement ou temporairement
leurs fonctions, l’appréciation de la compatibilité entre toute activité lucrative, salariée ou non, dans une entreprise
privée ou un organisme de droit privé ou toute activité libérale, avec les fonctions exercées au cours des trois
années précédant le début de cette activité, relève de l’autorité hiérarchique, saisie préalablement et, dans certains
cas, de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. L’agent qui envisage d’exercer une activité privée
est tenu d’en informer par écrit avec célérité l’autorité dont il relève avant le début de l’exercice de cette activité.
Article 5
Distinctions, cadeaux et invitations
Face aux cadeaux ou invitations, l’attitude des membres, des agents, des collaborateurs et des experts de
l’Autorité, ainsi que des présidents et des membres des comités territoriaux de l’audiovisuel, doit être inspirée par
la transparence et la prudence. En particulier, ils ne peuvent accepter les cadeaux, dons, faveurs ou invitations que
s’ils ne peuvent influer ou paraître influer sur leur impartialité ni constituer, ou pourraient sembler constituer, la
récompense d’une décision à laquelle ils auraient personnellement concouru.
Il résulte ainsi du rappel des règles qui précède :
Les membres, agents, collaborateurs et experts de l’Autorité, ainsi que les présidents et membres des comités
territoriaux de l’audiovisuel n’acceptent aucun cadeau ni aucune invitation payante d’une valeur supérieure à 60
euros de la part d’une personne physique ou morale des secteurs entrant dans le champ de la régulation de
l’Autorité. Ils peuvent toutefois accepter les invitations à des événements payants, au titre de l’exercice de leurs
fonctions. Dans ce cas, les frais dont la nécessité résulte directement de la participation du membre ou de l’agent à
la manifestation peuvent être pris en charge par l’organisateur.
Les cadeaux protocolaires remis par courtoisie lors d’une rencontre officielle par des interlocuteurs officiels
étrangers ne peuvent faire l’objet d’une appropriation individuelle et doivent être remis au secrétariat du collège,
qui en tient un registre.
Article 6
Obligation de discrétion, secret professionnel
et secret des délibérations
des comités territoriaux de l’audiovisuel, font preuve de discrétion pour tous les faits, informations ou documents
dont ils ont connaissance dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de leurs fonctions.
des comités territoriaux de l’audiovisuel sont astreints au secret professionnel pour les faits, actes et
renseignements protégés par un secret en vertu de la loi dont ils ont pu avoir connaissance en raison de leurs
fonctions.
Le secret professionnel porte notamment sur les éléments financiers transmis par les personnes physiques ou
morales dont l’activité entre dans le champ de la régulation de l’Autorité, le contenu de l’instruction des dossiers,
les propos tenus au sein des groupes de travail, des réunions du collège et des comités territoriaux de l’audiovisuel
et, de façon générale, sur toute information couverte par le secret des affaires.
Les membres et les anciens membres de l’Autorité, les présidents et les membres des comités territoriaux de
l’audiovisuel sont tenus de respecter le secret des délibérations. La préservation du secret des délibérations fait
notamment obstacle à la mention, au procès-verbal de la réunion du collège plénier, du sens du vote d’un membre
ou des motifs de son abstention.
Article 7
Devoir de réserve
Dans le respect des droits fondamentaux de chacun, les membres, les agents, les collaborateurs et les experts de
l’Autorité ainsi que les présidents et les membres des comités territoriaux de l’audiovisuel font preuve de retenue et
de discernement dans l’expression publique de leurs opinions afin de ne pas mettre en cause le fonctionnement
normal, l’indépendance ou la neutralité de l’Autorité, ni de porter atteinte à sa réputation.
Les membres de l’Autorité ainsi que les présidents et les membres des comités territoriaux de l’audiovisuel
s’abstiennent de toute prise de position publique sur les questions en cours d’examen. Est en revanche autorisé le
fait de présenter au nom de l’Autorité, de façon neutre et objective, l’organisation et le fonctionnement du secteur
régulé, les missions de l’Autorité, le contenu et la portée de ses avis et décisions dès lors qu’ils ont été rendus
publics, en particulier lors de manifestations ou dans des publications. Dans ce cas, les membres en avisent au
préalable le président et précisent l’objet et le sens de leurs interventions ou publications. Il en va de même pour les
membres des comités territoriaux de l’audiovisuel.
Les membres, les agents, les collaborateurs et les experts de l’Autorité s’abstiennent d’exprimer des positions
contraires à celles qui ont été arrêtées par l’Autorité dans le cadre des relations avec l’ensemble des interlocuteurs
et partenaires de l’Autorité (opérateurs audiovisuels, visiteurs, élus, journalistes, téléspectateurs, auditeurs, etc.).
Lorsqu’ils sont en contact avec les opérateurs, ils adoptent à leur égard une attitude neutre et impartiale.
Dans la mesure où ils auraient eu à connaître des dossiers les intéressant, les membres et les agents s’abstiennent
de solliciter auprès des éditeurs autorisés, des candidats à une autorisation, ou des entreprises, associations et
personnes liées à ces derniers, la présentation, la promotion ou l’achat des droits de leurs créations artistiques,
littéraires ou scientifiques. Le cas échéant, les agents informent leur hiérarchie, dès qu’ils en ont connaissance, de
toute possibilité de passage à l’antenne. Les membres de l’Autorité informent le président de l’Autorité, et les
agents informent le directeur général, de tout projet de participation à une émission et de toute action de promotion
médiatique de leurs créations artistiques, littéraires ou scientifiques, comme de tout projet de cession de droits de
ces mêmes créations susceptibles de susciter un conflit d’intérêts.
Il est fait mention, sur le site internet de l’Autorité, des auditions, rencontres, conférences et autres
manifestations publiques auxquelles participent les membres et les agents de l’Autorité.
Les personnes apportant leur concours à l’Autorité n’en font pas état dans le cadre d’une campagne électorale,
lorsqu’ils sont candidats à l’élection.
Article 8
Usage des réseaux sociaux
L’ensemble des règles rappelées aux articles 6 et 7 sont applicables aux propos tenus sur les services de
communication au public en ligne et notamment sur les plateformes en ligne au sens du règlement européen
no 2022/2065 du 19 octobre 2022 sur les services numériques.
Les informations diffusées sur internet par l’intermédiaire d’un compte utilisateur ne sont susceptibles de
constituer des correspondances privées que lorsque l’utilisateur a préalablement et correctement paramétré ce
compte afin d’en contrôler l’accessibilité et de s’assurer du nombre restreint et de la fiabilité des contacts.
Le secret professionnel et la discrétion professionnelle s’appliquent pleinement à l’expression des membres, des
agents, des collaborateurs et des experts de l’Autorité ainsi qu’aux présidents et membres des comités territoriaux
de l’audiovisuel sur les services de communication au public en ligne et ce, quels que soient le service, les
paramétrages utilisés – y compris ceux destinés à établir une correspondance privée – ou le nombre de contacts du
titulaire du compte utilisateur, le cas échéant.
L’obligation de réserve s’applique également sur les services de communication au public en ligne. La plus
grande retenue doit être observée, y compris lorsque l’accès à ces services est réservé à un cercle privé. Le devoir
de réserve peut, en effet, trouver à s’appliquer à des propos initialement tenus dans un cadre privé, dès lors qu’ils
deviennent publics. Ainsi, le caractère privé initial d’une correspondance n’exonère pas des obligations rappelées à
l’article 7 de la présente charte.
des comités territoriaux de l’audiovisuel font preuve de prudence et de discernement dans l’utilisation des services
de communication au public en ligne, en particulier lorsque leur accès n’est pas exclusivement réservé à un cercle
privé aux accès protégés.
des comités territoriaux de l’audiovisuel, présents sur les services de communication au public en ligne sous un
pseudonyme, notamment susceptible de ré-identification, veillent à ne pas méconnaître l’obligation de réserve, le
secret professionnel et la discrétion professionnelle.
Article 9
Le référent déontologue
Le référent déontologue mentionné à l’article L. 124-2 du code général de la fonction publique peut être consulté
par les membres de l’Autorité, par les agents et par le président et les membres des comités territoriaux de
l’audiovisuel sur toute question appelant un éclairage sur l’application des obligations et des principes
déontologiques issus des dispositions législatives et règlementaires et de la présente charte. La stricte
confidentialité des échanges avec le référent déontologue est garantie par les principes de secret et discrétion
professionnels auxquels celui- ci est soumis.
Lorsque des faits susceptibles d’être qualifiés de conflit d’intérêts lui ont été signalés, il revient au référent
déontologue de pouvoir apporter aux personnes intéressées tout conseil de nature à faire cesser le conflit.
Le référent déontologue exerce, par ailleurs, la fonction de référent, au sens du premier alinéa du B du I de
l’article 8 de la loi no 2016-1691 du 9 décembre 2016, chargé du recueil et du traitement des signalements émis par
les lanceurs d’alerte.
Il peut également assurer la fonction de « référent laïcité » prévue par la circulaire du ministre chargé de la
fonction publique en date du 15 mars 2017 relative au respect du principe de la laïcité dans la fonction publique
ainsi que par l’article L. 124-3 du code général de la fonction publique et le décret no 2021-1802
du 23 décembre 2021.
Autorité de régulation des communications électroniques,

des postes et de la distribution de la presse
Avis no 2023-0726 du 4 avril 2023 sur un projet de décret pris en Conseil d’Etat
pris en application de l’article L. 224-37-1 du code de la consommation
NOR : ARTT2333145V
L’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (ci-après
« l’ARCEP » ou « l’Autorité »),
Vu l’article 15 de la loi no 2022-1158 du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir
d’achat ;
Vu le code de la consommation, et notamment ses articles L. 224-37-1 et L. 711-1 ;
Vu le code des postes et des communications électroniques (ci-après « CPCE »), et notamment son
article L. 36-5 ;
Vu le courrier de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (ci-
après « DGCCRF »), enregistré le 21 mars 2023 à l’Autorité ;
Après en avoir délibéré le 4 avril 2023,
1. Contexte de la saisine
L’article L. 36-5 du CPCE prévoit que l’ARCEP est consultée sur les projets de loi, de décret ou de règlements
relatifs au secteur des communications électroniques, et participe à leur mise en œuvre.
Dans ce cadre, le chef de service de la protection des consommateurs et de la régulation des marchés de la
direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes a sollicité, par un courrier
en enregistré en date du 21 mars 2023, l’avis de l’Autorité sur un projet de décret pris en Conseil d’Etat, précisant
les modalités d’application du nouvel article L. 224-37-1 du code de la consommation créé par l’article 15 de la loi
no 2022-1158 du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat.
2. Observations et avis de l’Autorité

L’article L. 224-37-1 du code de la consommation donne droit au consommateur de résilier, sans frais, un contrat
de fourniture de service d’accès à internet ou de communications vocales, préalablement à la réalisation du terme
du contrat, en cas d’une demande de traitement d’une situation de surendettement jugée recevable par la
commission de surendettement des particuliers mentionnée à l’article L. 711-1 du code de la consommation.
Le projet de décret, objet du présent avis, vient notamment préciser, que seuls les contrats souscrits plus de trois
mois avant le dépôt d’une demande de traitement de surendettement pourront faire l’objet d’une demande de
résiliation anticipée à ce titre.
Selon la DGCCRF, la disposition prévue à l’article L. 224-37-1 du code de la consommation et les modalités
d’application envisagées par le projet de décret correspondent à une pratique largement appliquée par les
opérateurs et sur laquelle s’est déjà prononcée le Conseil national de la consommation dans un avis passé (1). Le
délai minimal de trois mois d’exécution du contrat prévu permettrait d’éviter l’acquisition d’un terminal
subventionné juste avant l’envoi d’une demande de traitement de surendettement auprès de la commission de
surendettement des particuliers susmentionnée.
L’ARCEP prend acte du projet de décret qui n’appelle pas d’observation de sa part.
Le présent avis sera transmis au chef de service de la protection des consommateurs et de la régulation des
marchés de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes et sera
publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 4 avril 2023.
La présidente,
L. DE LA RAUDIÈRE
(1) Avis du Conseil national de la consommation relatif à l’accès des jeunes aux services, motifs légitimes de résiliation et
actualisation des avis publié en 2017.

Arrêté du 28 novembre 2023 fixant le nombre de postes ouverts à l’examen professionnel
pour l’accès au cadre d’emplois des administrateurs territoriaux (session 2024)
NOR : FPTC2330407A
Par arrêté du président du Centre national de la fonction publique territoriale en date du 28 novembre 2023, le
nombre de postes ouverts à l’examen professionnel pour l’accès au cadre d’emplois des administrateurs
territoriaux, session 2024, est de 35.
Les modalités précisées dans l’arrêté portant ouverture de l’examen pour l’accès au cadre d’emplois des
administrateurs territoriaux, session 2024, restent inchangées.

Arrêté du 28 novembre 2023 portant ouverture de concours (un concours externe et un concours
interne) pour le recrutement des conservateurs territoriaux de bibliothèques (session 2024)
NOR : FPTC2330712A
Par arrêté du président du Centre national de la fonction publique territoriale en date du 28 novembre 2023, deux
concours pour le recrutement des conservateurs territoriaux de bibliothèques, un concours externe et un concours
interne, sont organisés par le Centre national de la fonction publique territoriale en 2024.
Les épreuves écrites de ces concours auront lieu à Paris, Bordeaux, Lyon, Marseille, Rennes, Strasbourg, Fort-
de-France et Saint-Denis de la Réunion les 15 et 16 mai 2024.
Les épreuves d’admission se dérouleront à compter du 23 septembre 2024.
Les candidats pourront s’inscrire à ces concours sur le site internet du CNFPT (www.cnfpt.fr), du lundi 12 février
au vendredi 15 mars 2024 à minuit.
Le dossier de candidature complet (avec les pièces justificatives demandées), rempli et signé devra ensuite être
déposé sur l’espace sécurisé du candidat, sur la plateforme dédiée accessible, à partir du lien reçu par mail ou par le
site www.cnfpt.fr au plus tard à la date de clôture des inscriptions, le vendredi 15 mars 2024, minuit.
Tous les renseignements relatifs à ce mode d’inscription seront disponibles sur le site internet du CNFPT (www.
cnfpt.fr), à compter de l’ouverture des inscriptions.
Les candidats pourront également retirer un dossier de candidature à cette même période, par courrier adressé au
Centre national de la fonction publique territoriale, service concours, 80, rue de Reuilly, CS 41232, 75578 Paris
Cedex 12 et accompagné d’une enveloppe grand format affranchie au tarif en vigueur pour un envoi
de 160 grammes environ, aux nom et adresse du demandeur.
Ces dossiers complets pourront être, soit retournés par courrier postal à l’adresse indiquée ci-dessus, au plus tard
à la date de clôture des inscriptions, le vendredi 15 mars 2024, le cachet de la poste faisant foi ; soit déposés sur
place à la même adresse avant 16 heures.
Faute de dépôt dans les délais du dossier et des pièces justificatives, l’inscription sera annulée.
Aucune demande de dossier adressée hors délai ni aucun dossier posté au-delà de la date de clôture des
inscriptions ne sera pris en compte.
Le nombre de postes ouverts aux concours fera prochainement l’objet d’un arrêté publié au Journal officiel de la
Les choix de langues concernant les épreuves orales d’admission du concours externe et du concours interne
doivent être formulés par le candidat au moment de son inscription.
En vue de la troisième épreuve orale d’admission du concours interne, les candidats déclarés admissibles par le
jury fourniront un dossier de reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle antérieure. Ce dossier
pourra être téléchargé sur le site du CNFPT, à compter du 15 mai 2024.
Le dossier de reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle antérieure devra être retourné soit par
voie électronique (concours@cnfpt.fr) soit par voie postale (Centre national de la fonction publique territoriale,
service des concours, 80, rue de Reuilly, CS 41232, 75578 Paris Cedex 12) le 16 août 2024 au plus tard, le cachet
de la poste faisant foi, sous réserve que la date prévue ne soit pas modifiée.
Tous renseignements complémentaires, et en particulier les conditions de candidature, pourront être
communiqués sur simple demande adressée au service concours du Centre national de la fonction publique
territoriale, par mail à concours@cnfpt.fr.

Arrêté du 28 novembre 2023 portant ouverture de concours (un concours externe, un concours
externe spécial, un concours interne et un troisième concours) pour le recrutement des
administrateurs territoriaux (session 2024)
NOR : FPTC2330713A
Par arrêté du président du Centre national de la fonction publique territoriale en date du 28 novembre 2023,
quatre concours pour le recrutement des administrateurs territoriaux, un concours externe, un concours externe
spécial, un concours interne et un troisième concours, sont organisés par le Centre national de la fonction publique
territoriale en 2024.
Les épreuves écrites de ces concours auront lieu à Paris, Bordeaux, Lyon, Marseille, Rennes, Strasbourg,
Fort-de-France et Saint-Denis de La Réunion les 24, 25, 26, 27 et 28 juin 2024.
Les épreuves orales d’admission se dérouleront à compter du 7 octobre 2024.
Les candidats pourront s’inscrire à ces concours sur le site internet du CNFPT (www.cnfpt.fr) du lundi 19 février
au vendredi 22 mars 2024 à minuit.
Le dossier de candidature complet (avec l’ensemble des pièces justificatives demandées), rempli et signé devra
être déposé sur l’espace sécurisé du candidat, sur la plateforme dédiée, via le site www.cnfpt.fr au plus tard à la
date de clôture des inscriptions, le vendredi 22 mars 2024, minuit. Tous les renseignements relatifs à ce mode
d’inscription seront disponibles sur le site internet du CNFPT (www.cnfpt.fr) à compter de l’ouverture des
inscriptions.
Les candidats pourront également retirer un dossier de candidature à cette même période, par courrier adressé au
Centre national de la fonction publique territoriale, service concours, 80, rue de Reuilly, CS 41232, 75578 Paris
Cedex 12 et accompagné d’une enveloppe grand format affranchie au tarif en vigueur pour un envoi
de 160 grammes environ, aux nom et adresse du demandeur.
Ces dossiers complets pourront être, soit retournés par courrier postal à l’adresse indiquée ci-dessus au plus tard
à la date de clôture des inscriptions, le vendredi 22 mars 2024, le cachet de la poste faisant foi ; soit déposés sur
place à la même adresse avant 16 heures.
Faute de dépôt dans les délais du dossier et des pièces justificatives, l’inscription sera annulée.
Aucune demande de dossier adressée hors délai ni aucun dossier posté au-delà de la date de clôture des
inscriptions ne sera pris en compte.
Le nombre de postes ouverts aux concours fera prochainement l’objet d’un arrêté publié au Journal officiel de la
Les choix de matières concernant les épreuves orales d’admission du concours externe, externe spécial, interne
et du troisième concours doivent être formulés par le candidat au moment de son inscription.
En vue de la première épreuve d’admission des concours externe et externe spécial, les candidats déclarés
admissibles par le jury fourniront une fiche individuelle de renseignement, permettant d’apprécier le parcours et les
réalisations.
Cette fiche permettra notamment aux candidats titulaires d’un doctorat de présenter leurs travaux universitaires.
Dans ce cas, elle devra être assortie d’une copie du diplôme de doctorat du candidat.
Cette fiche pourra être téléchargée sur le site du CNFPT à compter du 24 juin 2024 et devra être retournée par
voie électronique (concours@cnfpt.fr) ou postale (Centre national de la fonction publique territoriale, service
concours, 80, rue de Reuilly, CS 41232, 75578 Paris Cedex 12) à une date qui sera communiquée aux candidats
admissibles par le CNFPT.
En vue de la première épreuve d’admission des concours interne et troisième concours, les candidats déclarés
admissibles par le jury fourniront un dossier présentant l’expérience professionnelle. Ce dossier pourra être
téléchargé sur le site du CNFPT à compter du 24 juin 2024 et devra être retourné aux adresses électronique et
postale mentionnées ci-dessus à une date qui sera communiquée aux candidats admissibles par le CNFPT.
Tous renseignements complémentaires, et en particulier les conditions de candidature, pourront être
communiqués sur simple demande adressée au service des concours du Centre national de la fonction publique
territoriale par mail à concours@cnfpt.fr.
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire de 2023-2024
ORDRE DU JOUR
NOR : INPA2333408X
Mercredi 6 décembre 2023

re
A 14 heures. – 1 séance publique :
1. Questions au Gouvernement.
2. Discussion, après engagement de la procédure accélérée, de la proposition de loi de MM. Marc Ferracci,
Sylvain Maillard, Sacha Houlié, Mme Fanta Berete, M. Guillaume Gouffier Valente et plusieurs de leurs collègues
visant à lutter contre les discriminations par la pratique de tests individuels et statistiques (no 1494 et no 1903).
Rapport de M. Marc Ferracci, au nom de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République.
3. Discussion, après engagement de la procédure accélérée, de la proposition de loi de Mme Annaïg Le Meur et
plusieurs de ses collègues visant à remédier aux déséquilibres du marché locatif en zone tendue (no 1176 et
no 1928).
Rapport de M. Inaki Echaniz et Mme Annaïg Le Meur, au nom de la commission des affaires économiques.
(Ce texte faisant l’objet d’une procédure de législation en commission en application de l’article 107-1)
4. Discussion, après engagement de la procédure accélérée, de la proposition de loi de MM. Quentin Bataillon,
Sylvain Maillard, Jean-Paul Mattei, Laurent Marcangeli, Mmes Isabelle Rauch, Sophie Mette, Béatrice Bellamy et
plusieurs de leurs collègues visant à soutenir l’engagement bénévole et simplifier la vie associative (no 1601 et
no 1925).
Rapport de M. Quentin Bataillon, au nom de la commission des affaires culturelles et de l’éducation.
A 21 h 30. – 2e séance publique :
Suite de l’ordre du jour de la première séance.
COMMISSIONS ET ORGANES DE CONTRÔLE
NOR : INPA2333406X
1. Composition
Modifications à la composition des commissions
DÉMISSIONS
M. Philippe Berta
M. Xavier Breton
Affaires culturelles
M. Laurent Croizier
M. Sébastien Peytavie
Mme Anne-Laure Babault
Mme Marie-Noëlle Battistel

Affaires économiques M. Éric Poulliat
M. Jean-Pierre Vigier
M. Stéphane Vojetta
Mme Ingrid Dordain

Affaires étrangères
M. Philippe Dunoyer
M. Thibault Bazin
Mme Chantal Bouloux

M. Elie Califer
M. Cyrille Isaac-Sibille
Mme Sandrine Josso

Affaires sociales
Mme Brigitte Liso
Mme Sophie Mette
Mme Astrid Panosyan-Bouvet

Mme Francesca Pasquini
Mme Michèle Peyron

M. Vincent Bru
Mme Delphine Lingemann
Défense
Mme Josy Poueyto
Mme Corinne Vignon
M. Pierre Cazeneuve
M. Mickaël Cosson
Mme Aude Luquet
Développement durable
M. Bruno Millienne
M. Hubert Ott
M. Jimmy Pahun
M. Dominique Da Silva
Mme Christine Decodts

Finances
Mme Marina Ferrari
M. Jean-Paul Mattei
Mme Annie Genevard
Lois Mme Nicole Le Peih
Mme Laetitia Saint-Paul
NOMINATIONS
Le groupe Renaissance a désigné :
M. Pierre Cazeneuve
Affaires économiques
Mme Nicole Le Peih
Mme Michèle Peyron

Affaires étrangères
Mme Laetitia Saint-Paul
M. Dominique Da Silva
Mme Christine Decodts

Affaires sociales
Mme Ingrid Dordain
Mme Corinne Vignon
Défense Mme Brigitte Liso
Développement durable M. Stéphane Vojetta
Mme Chantal Bouloux

Finances
Mme Astrid Panosyan-Bouvet
M. Philippe Dunoyer
Lois
M. Éric Poulliat
Le groupe Les Républicains a désigné :
Affaires culturelles Mme Annie Genevard
Affaires économiques M. Thibault Bazin
Affaires sociales M. Jean-Pierre Vigier
Lois M. Xavier Breton
Le groupe Démocrate (MoDem et Indépendants) a désigné :
M. Hubert Ott
Affaires culturelles
M. Jimmy Pahun
Affaires économiques M. Mickaël Cosson
Mme Marina Ferrari
Affaires sociales Mme Delphine Lingemann
Mme Josy Poueyto
M. Cyrille Isaac-Sibille
Défense Mme Sandrine Josso
M. Bruno Millienne
Mme Anne-Laure Babault
Développement durable M. Philippe Berta
M. Vincent Bru
M. Laurent Croizier
M. Jean-Paul Mattei
Mme Aude Luquet

Finances
Mme Sophie Mette
Le groupe Socialistes et apparentés a désigné :
Affaires économiques M. Elie Califer
Affaires sociales Mme Marie-Noëlle Battistel
Le groupe Écologistes - NUPES a désigné :
Affaires culturelles Mme Francesca Pasquini
Affaires sociales M. Sébastien Peytavie
Modifications à la composition de la commission des affaires européennes

DÉMISSION
Mme Liliana Tanguy
NOMINATION
Le groupe Renaissance a désigné :
Mme Cécile Rilhac
Modification à la composition de la délégation parlementaire aux droits des enfants

DÉMISSION
Mme Karine Lebon
NOMINATION
Le groupe Gauche démocrate et républicaine - NUPES a désigné :
Mme Elsa Faucillon
Commission d’enquête sur l’attribution, le contenu et le contrôle des autorisations de services de

télévision à caractère national sur la télévision numérique terrestre :
Mme Ségolène Amiot M. Jocelyn Dessigny M. Stéphane Lenormand
M. Philippe Ballard M. Inaki Echaniz M. Thomas Ménagé
M. Quentin Bataillon M. Laurent Esquenet-Goxes Mme Sophie Mette
Mme Valérie Bazin-Malgras Mme Estelle Folest M. Karl Olive
M. Mounir Belhamiti M. Philippe Frei M. Jérémie Patrier-Leitus
M. Ian Boucard M. Jean-Jacques Gaultier M. Emmanuel Pellerin
Mme Céline Calvez M. Jérôme Guedj M. Stéphane Peu
M. Aymeric Caron M. Laurent Jacobelli Mme Cécile Rilhac
M. Sébastien Chenu Mme Constance Le Grip M. Aurélien Saintoul
Mme Fabienne Colboc Mme Sarah Legrain Mme Sophie Taillé-Polian

2. Réunions
Commission des affaires culturelles :
A 9 h 30 (Salle 6242 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– audition commune de MM. Bruno Lasserre, président des États généraux de l’information, et Christophe
Deloire, délégué général ;
– examen du rapport de la mission d’information sur l’adaptation de l’école aux enjeux climatiques (Mmes
Graziella Melchior et Francesca Pasquini, rapporteures).
Commission des affaires économiques :
– communication du groupe de suivi de la loi d’orientation agricole (M. Pascal Lavergne et Mme Aurélie
Trouvé, rapporteurs) ;
– examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements restant en discussion sur la proposition
de loi visant à remédier aux déséquilibres du marché locatif en zone tendue (no 1928) (amendements, art. 88) ;
– examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements restant en discussion sur la proposition
de loi portant mesures d’urgence pour remédier à la crise du logement (no 1929) (amendements, art. 88).
A 15 heures (Salle 6241 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– audition, de M. Marc Fesneau, ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire.
Commission des affaires étrangères :
A 9 heures (Salle 4223 – Commission des affaires étrangères, 33, rue Saint Dominique, 2e étage) :
– audition, à huis clos, de M. Sylvain Itté, ambassadeur de France au Niger.
A 11 heures (Salle 4223 – Commission des affaires étrangères, 33, rue Saint Dominique, 2e étage) :
Examen, ouvert à la presse, et vote sur les projets de loi suivants :
– projet de loi autorisant l’approbation de la convention entre le Gouvernement de la République française et le
Gouvernement du Royaume du Danemark pour l’élimination de la double imposition en matière d’impôts sur
le revenu et la prévention de l’évasion et de la fraude fiscales, signée à Paris le 4 février 2022 et de la
convention entre la République française et la République hellénique pour l’élimination de la double
imposition en matière d’impôts sur le revenu et pour la prévention de l’évasion et de la fraude fiscales signée à
Athènes le 11 mai 2022 (no 1811) (Mme Béatrice Piron, rapporteure) ;
– projet de loi autorisant la ratification du Traité d’entraide judiciaire en matière pénale entre la République
française et la République du Kazakhstan, signé à Nour-Soultan le 28 octobre 2021 (no 1284) (Mme Laurence
Vichnievsky, rapporteure).
Commission des affaires européennes :
A 15 heures (Salle 4325 – Commission des affaires européennes, 33, rue Saint Dominique, 3e étage) :
– recours aux fonds européens en cas de catastrophe météorologique ou climatique (communication) (projet
d’avis politique)
– nomination de rapporteur sur la proposition de résolution européenne relative à l’adoption d’une loi spatiale
européenne (sous réserve de son dépôt)
Commission des affaires sociales :
A 9 heures (Salle 6351 – Palais Bourbon, 1er étage) :
– audition de M. Thibaut Guilluy, dont la nomination aux fonctions de directeur général de Pôle emploi est
envisagée, puis vote sur cette proposition de nomination dans les conditions prévues par l’article 29-1 du
Règlement (M. Hadrien Clouet, rapporteur) ;
– examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements à la proposition de loi visant à
améliorer l’accès aux soins par la territorialisation et la formation (no 1930) (M. Yannick Neuder, rapporteur).
Commission de la défense :
A 7 h 30 (site extérieur) :
– déplacement de la commission sur un site industriel lié à la défense en Ile de France.
Commission du développement durable :
– désignation d’un rapporteur sur la pétition (no 1999) du 7 novembre 2023 « Abandon du projet d’autoroute
Toulouse Castres A69/A680 » ;
– audition, en application de l’article 13 de la Constitution, de M. Thierry Guimbaud, dont la nomination est
proposée par le Président de la République aux fonctions de président de l’Autorité de régulation des
transports (ART), et vote sur le projet de nomination (M. Gérard Leseul, rapporteur).
Commission d’enquête sur l’attribution, le contenu et le contrôle des autorisations de services de

télévision à caractère national sur la télévision numérique terrestre :
– nomination du Bureau ;
– désignation du rapporteur ;
– échange de vues sur l’organisation des travaux de la commission d’enquête.
Commission d’enquête relative à l’identification des défaillances de fonctionnement au sein des
fédérations françaises de sport, du mouvement sportif et des organismes de gouvernance du monde sportif
en tant qu’elles ont délégation de service public :
– échange de vues, à huis clos.
Délégation aux collectivités territoriales et à la décentralisation :
A 15 heures (Salle 7040 – 103, rue de l’Université, 2e sous-sol) :
– audition de M. Vincent Le Meaux, président de la communauté d’agglomération de Guingamp-Paimpol et 1er
vice-président de la Fédération nationale des centres de gestion (FNCDG).
Délégation aux droits des enfants :
Table ronde, ouverte à la presse, des syndicats d’enseignants et des assistants sociaux autour du repérage et de la
prévention des violences sur mineurs :
– audition de Mme Soraya Massy et Mme Roseline Ducandas, directrices d’école et secrétaires nationales
adjointes du Syndicat des directrices et directeurs d’écoles (S2DÉ) ;
– audition de Mme Patricia Rodriguez Chauvin, référente Montpellier et Mme Chantal Feltes Griselhouber,
référente Nancy-Metz du Syndicat national des assistants sociaux de l’éducation nationale (SNASEN) ;
– audition de M. Edouard Laignel, secrétaire général adjoint du Syndicat national des collèges et des lycées
(SNCL) ;
– audition de Mme Véronique Beaulieu, référente de l’Oise et Mme Stéphanie Paris, référente de l’Ain du
Syndicat national des écoles (SNE-CSEN) ;
– audition de Mme Natacha Delahaye et Mme Sophie Abraham du Syndicat national unitaire des instituteurs,
professeurs des écoles et professeurs d’enseignement général de collège (FSU-SNUipp).
Jeudi 7 décembre 2023

Comité d’évaluation et de contrôle :
– audition, ouverte à la presse, de Mme Carine Camby, présidente de la première chambre de la Cour des
comptes, sur la politique immobilière de l’État.
Commission des affaires culturelles :
– examen, en application de l’article 88 du Règlement, des nouveaux amendements déposés sur : - proposition
de loi visant à pérenniser les jardins d’enfants gérés par une collectivité publique ou bénéficiant de
financements publics (no 1935) (amendements ; art. 88) ;
– proposition de loi visant à relancer l’organisation des classes de découvertes (no 1931) (amendements ;
art. 88) ;
– proposition de loi portant plan d’urgence pour le recrutement et la formation initiale des enseignants du
second degré (no 1799) (amendements ; art. 88) ;
– proposition de loi, adoptée par le Sénat, visant à protéger l’intelligibilité de la langue française (no 1934)
(amendements ; art. 88).
Commission des affaires étrangères :
A 11 h 15 (Salle 4223 – Commission des affaires étrangères, 33, rue Saint Dominique, 2e étage) :
– audition, ouverte à la presse, de M. Olivier Becht, ministre délégué auprès de la ministre de l’Europe et des
affaires étrangères chargé du commerce extérieur, de l’attractivité et des Français de l’étranger, sur le Conseil
des affaires étrangères (commerce) du 27 novembre 2023.
Commission des finances :
A 14 h 30 (Salle 6350 – Palais Bourbon, 1er étage) :
– examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements à la proposition de loi visant à baisser
le prix des billets de trains express régionaux par une fiscalité allégée (no 1798)
Commission des lois :

A 9 h 45 (6e bureau – Palais Bourbon, 1er étage) :
– examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements à la proposition de loi
constitutionnelle relative à la souveraineté de la France, à la nationalité, à l’immigration et à l’asile
(no 1322) (M. Éric Ciotti, rapporteur).
Mission d’information sur l’accès des Français à un logement digne et la réalisation d’un parcours
résidentiel durable :
– audition de Mesdames Aurélie Goin, cheffe de la division Logement et patrimoine et Christel Colin, directrice
des statistiques démographiques et sociales de l’INSEE.
– audition des Intercommunalités de France
Mardi 12 décembre 2023

– audition de M. Patrice Vergriete, ministre délégué chargé du logement.

Commission d’enquête sur la libéralisation du fret ferroviaire et ses conséquences pour l’avenir :
A 17 heures (1er Bureau – Palais Bourbon, 1er étage) :
– examen du rapport, à huis clos.
A 15 heures (Salle 7040 – 103, rue de l’Université, 2e sous-sol) :
– audition de M. François Sauvadet, président du conseil départemental de la Côte-d’Or et président de
Départements de France.

Commission d’enquête sur les pesticides :
A 10 h 30 (Salle 6549 – Palais Bourbon, 2e étage) :
– examen du rapport, à huis clos.
3. Membres présents ou excusés

Délégation de l’Assemblée nationale aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et
les femmes :
Réunion du mardi 5 décembre 2023, à 16 h 35
Présents. - Mme Marie-Noëlle Battistel, Mme Soumya Bourouaha, Mme Agnès Carel, Mme Julie Delpech,
Mme Marie-Charlotte Garin, M. Guillaume Gouffier Valente, Mme Fatiha Keloua Hachi, Mme Élise Leboucher,
Mme Sarah Legrain, Mme Delphine Lingemann, Mme Pascale Martin, Mme Graziella Melchior, Mme Sophie
Panonacle, Mme Véronique Riotton, Mme Ersilia Soudais, M. Jean Terlier, Mme Anne-Cécile Violland
Excusés. - Mme Mireille Clapot, Mme Sandrine Josso, Mme Marie-France Lorho, M. Emmanuel Taché de la
Pagerie
DOCUMENTS ET PUBLICATIONS
NOR : INPA2333409X
Documents parlementaires
Dépôt du mardi 5 décembre 2023
Dépôt de propositions de loi
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de Mme Christelle D’Intorni, une
proposition de loi visant à un choc fiscal pour les classes moyennes.
Cette proposition de loi, no 1946, est renvoyée à la commission des finances, de l’économie générale et du
contrôle budgétaire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Hubert Julien-Laferrière, une
proposition de loi visant à élargir la liste des produits alimentaires éligibles au titre-restaurant.
Cette proposition de loi, no 1947, est renvoyée à la commission des affaires économiques, en application de
l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de Mme Catherine Couturier et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi portant sur la responsabilité des donneurs d’ordre vis-a`-vis des
sous-traitants, des emplois et des territoires.
Cette proposition de loi, no 1948, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Philippe Latombe et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi modifiant les modalités de calcul et de décision des barèmes « redevance copie
privée ».
Cette proposition de loi, no 1949, est renvoyée à la commission des affaires culturelles et de l’éducation, en
application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Hadrien Clouet et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à pérenniser le titre-restaurant.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de Mme Emmanuelle Anthoine et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi visant à lutter contre les mutilations sexuelles.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Jean-Pierre Vigier et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à reconnaître et à redynamiser l’engagement bénévole associatif.
Cette proposition de loi, no 1952, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Timothée Houssin et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à empêcher l’acquisition et la détention d’armes par les personnes
fichées pour radicalisation.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Patrick Hetzel et plusieurs de ses
collègues, une proposition de loi pour préserver les revenus ou la transmission du patrimoine par l’actualisation de
divers seuils du code général des impôts.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Romain Daubié, une proposition
de loi établissant une réduction d’impôt au titre des dépenses supportées par un particulier pour stériliser et
identifier un animal de compagnie.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de Mme Naïma Moutchou, une
proposition de loi visant à protéger la santé des populations et l’environnement contre les nuisances aériennes.
Cette proposition de loi, no 1956, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de Mme Mireille Clapot et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à mieux protéger les consommateurs d’électricité et de gaz naturel.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Philippe Latombe, une
proposition de loi visant l’ouverture avancée des données judiciaires.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. David Valence et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à faciliter la mise à disposition aux régions du réseau routier national
non concédé.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de Mme Laurence Vichnievsky et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi tendant à faciliter le prononcé de la confiscation du véhicule.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Hubert Ott et plusieurs de ses
collègues, une proposition de loi visant à assurer une justice patrimoniale au sein de la famille.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Mohamed Laqhila, une
proposition de loi visant à abroger le système électoral dérogatoire de Paris, Lyon et Marseille.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Damien Adam, une proposition
de loi visant à accélérer et contrôler le verdissement des flottes automobiles.
Cette proposition de loi, no 1963, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Frédéric Zgainski et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à renforcer la démocratie locale et le fonctionnement du conseil
municipal.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Pierre Cordier et plusieurs de ses
collègues, une proposition de loi tendant à interdire la production, la commercialisation et la vente de viande de
synthèse en France.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Bastien Lachaud et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à l’application du principe de laïcité.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. André Chassaigne et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à garantir aux travailleurs saisonniers agricoles des conditions de travail
et d’accueil dignes.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Frédéric Mathieu et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi relative à l’extension du droit de visite des bâtonnières et bâtonniers et de leurs
délégués.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de Mme Annie Vidal et plusieurs de ses
collègues, une proposition de loi visant à renforcer, à soutenir et à favoriser le déploiement de l’accueil familial des
personnes en situation de perte d’autonomie.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de Mme Émilie Chandler, une
proposition de loi visant à allonger la durée de l’ordonnance de protection et à créer l’ordonnance provisoire de
protection immédiate.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Jean-Louis Thiériot, une
proposition de loi visant à rendre obligatoire la saisine du procureur en cas de mariage avec un ressortissant
étranger en situation irrégulière.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Nicolas Turquois, une
proposition de loi visant à la généralisation du contrat à durée indéterminée à des fins d’employabilité.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de Mme Naïma Moutchou et plusieurs
de ses collègues, une proposition de loi visant à adapter la procédure des référés aux enjeux environnementaux.
Dépôt de propositions de résolution

Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de Mme Cécile Rilhac, une proposition
de résolution européenne relative à l’adoption d’une loi européenne sur l’espace, déposée en application de
l’article 151-5 du règlement.
Cette proposition de résolution européenne, no 1944, est renvoyée à la commission des affaires européennes, en
application de l’article 151-5 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 5 décembre 2023, de M. Frédéric Falcon et plusieurs de
ses collègues, une proposition de résolution tendant à la création d’une commission d’enquête visant à identifier les
origines de la crise du logement en France et à établir les responsabilités des politiques publiques.
Cette proposition de résolution, no 1945, est renvoyée à la commission des affaires économiques, en application
de l’article 83 du règlement.
Distribution de documents en date du mercredi 6 décembre 2023

Rapports
o
N 1929. – Rapport de M. Thibault Bazin au nom de la commission des affaires économiques sur la proposition de
loi de M. Thibault Bazin portant mesures d’urgence pour remédier à la crise du logement (1793).
Annexe 0 : texte de la commission.
No 1933. – Rapport de M. Alexandre Portier au nom de la commission des affaires culturelles et de l’éducation sur
la proposition de loi de M. Alexandre Portier portant plan d’urgence pour le recrutement et la formation
initiale des enseignants du second degré (1799).
No 1934. – Rapport de M. Jean-Louis Thiériot au nom de la commission des affaires culturelles et de l’éducation
sur la proposition de loi, adoptée par le Sénat, visant à protéger la langue française des dérives de l’écriture
dite inclusive (no 1816). Annexe 0 : texte de la commission.
o
N 1935. – Rapport de Mme Michèle Tabarot au nom de la commission des affaires culturelles et de l’éducation
sur la proposition de loi de Mme Michèle Tabarot et plusieurs de ses collègues visant à pérenniser les
jardins d’enfants gérés par une collectivité publique ou bénéficiant de financements publics (1661).
Annexe 0 : texte de la commission.
Saisine du Conseil constitutionnel

Saisine en date du 5 décembre 2023, présentée par plus de soixante députés, en application de l’article 61,
alinéa 2, de la Constitution, portant sur la loi de financement de la sécurité sociale pour 2024.
SÉNAT
COMMISSIONS / ORGANES TEMPORAIRES
NOR : INPS2333393X
Réunions
Commission des affaires économiques à 9 h 30 (salle Médicis)
Captation vidéo.
Table ronde sur le logement autour de :
– M. Didier Bellier-Ganière, délégué général de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) ;
– M. Loïc Chapeaux, directeur des affaires économiques de la Fédération française du bâtiment (FFB) ;
– M. Loïc Cantin, président de la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM) ;
– Mme Marianne Louis, directrice générale de l’Union sociale pour l’habitat (USH) ;
– M. Robin Rivaton, économiste ;
– M. Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre ;
Désignation d’un rapporteur sur la mission d’information sur la crise du logement.
Commission des affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées à 10 heures (Salle René Monory)
Captation vidéo.
Audition de M. David Colon, chercheur au Centre d’histoire de Sciences Po sur son dernier livre « La guerre de
l’information »
Commission des affaires sociales à 9 heures et à 11 heures (salle no 213)
A 9 heures
1o Examen du rapport et du texte de la commission sur la proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale
après engagement de la procédure accélérée, visant à prolonger en 2024 l’utilisation des titres-restaurant pour des
achats de produits alimentaires non directement consommables (no 143, 2023-2024) (rapporteure : Mme Marie-Do
Aeschlimann).
Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : lundi 4 décembre à 12 heures.
Examen du rapport et du texte de la commission sur la proposition de loi de Mme Monique de Marco et plusieurs
de ses collègues visant à lutter contre la précarité de la jeunesse par l’instauration d’une allocation autonomie
universelle d’études (no 15, 2023-2024) (rapporteure : Mme Anne Souyris).
Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : lundi 4 décembre à 12 heures.
A 11 heures
Captation vidéo.
Audition, en application du cinquième alinéa de l’article 13 de la Constitution, de M. Thibaut Guilluy, proposé
par le président de la République aux fonctions de directeur général de Pôle emploi puis vote sur cette candidature
(rapporteur : M. Philippe Mouiller).
Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable à 8 h 45 (Salle 263)
Captation vidéo.
Audition de M. Thierry Guimbaud, candidat proposé par le Président de la République aux fonctions de
président de l’Autorité de régulation des transports, en application de la loi organique no 2010-837 et de la loi
no 2010-838 du 23 juillet 2010 relatives à l’application du cinquième alinéa de l’article 13 de la Constitution.
Vote sur la proposition de nomination de M. Thierry Guimbaud, candidat proposé par le Président de la
République aux fonctions de président de l’Autorité de régulation des transports, en application de la loi organique
no 2010-837 et de la loi no 2010-838 du 23 juillet 2010 relatives à l’application du cinquième alinéa de l’article 13
de la Constitution.
Audition de M. Stéphane Crouzat, ambassadeur chargé des négociations sur le changement climatique, pour les
énergies renouvelables et la prévention des risques climatiques, sur l’avancée des négociations de la COP 28 (en
visioconférence).
Commission de la culture, de l’éducation et de la communication à 9 h 30 (Salle 245)
Désignation de sénateurs appelés à siéger au sein d’organismes extra-parlementaires.
Captation vidéo.
Audition de MM. Pierre Oudart (en téléconférence), auteur du rapport relatif aux écoles supérieures d’art
territoriales, établi à la demande de la ministre de la Culture, Cédric Loire, président de l’Association nationale des
écoles supérieures d’art et design publiques (ANdÉA), Mmes Amel Nafti, directrice de l’École nationale
supérieure d’art de Dijon, et Ulrika Byttner, directrice de l’École supérieure d’art et design Le Havre-Rouen, sur la
situation et l’avenir des écoles supérieures d’art.
Commission des finances à 9 heures (Salle 131)
PLF pour 2024 – Examen des articles de la seconde partie du projet de loi de finances pour 2024 non rattachés
aux crédits des missions – Tome III du rapport général (M. Jean-François HUSSON, rapporteur général).
PLF pour 2024 – Examen des amendements de séance sur :
– la mission « Relations avec les collectivités territoriales » (et articles 56 à 62) et le compte de concours
financiers « Avances aux collectivités territoriales » ;
– la mission « Administration générale et territoriale de l’État ».
Commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et
d’administration générale à 9 heures (Salle 216) et à 10 h 30 (Salle Clemenceau)
A 9 heures (Salle A216 – 2e étage aile Est)
– échange de vues sur une éventuelle saisine pour avis et désignation d’un rapporteur pour avis sur la
proposition de loi no 147 (2023-2024), adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure
accélérée, portant mesures pour bâtir la société du bien-vieillir en France ;
– examen du rapport de M. François-Noël Buffet et du texte proposé par la commission sur la proposition de
résolution no 623 (2022-2023) tendant à modifier le Règlement du Sénat afin de compléter l’intitulé de la
commission de la culture, de l’éducation et de la communication, présentée par M. Laurent Lafon et plusieurs
de ses collègues ;
Le délai limite pour le dépôt des amendements, auprès du secrétariat de la commission (Ameli Commission), est
fixé au : lundi 4 décembre 2023, à 12 heures.
Examen du rapport de M. Christophe-André Frassa et du texte proposé par la commission sur la proposition de
loi constitutionnelle no 646 rect. (2022-2023) relative à la souveraineté de la France, à la nationalité, à
l’immigration et à l’asile, présentée par MM. Bruno Retailleau, François-Noël Buffet et plusieurs de leurs
collègues ;
Examen du rapport de Mme Marie Mercier et du texte proposé par la commission sur la proposition de loi no 308
(2021-2022) relative aux droits de l’enfant à entretenir régulièrement des relations personnelles avec ses parents en
cas de séparation de ces derniers, présentée par Mme Élisabeth Doineau et plusieurs de ses collègues ;
A 10 h 30 (Salle Clemenceau)
Audition, sous forme de table ronde, dans le cadre de la mission d’information sur les émeutes survenues à
compter du 27 juin 2023, de :
– M. Bruno Domingo, politiste, maître de conférences à l’université Toulouse 1 Capitole ;
– M. François Dubet, sociologue, ancien directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales
(EHESS), auteur de Trois jeunesses : La révolte, la galère, l’émeute (Le Bord de l’eau, 2018) ;
– M. Antoine Jardin, politiste, ingénieur de recherche CNRS au Centre de recherches sociologiques sur le droit
et les institutions pénales (CESDIP) ;
– M. Denis Merklen, sociologue, professeur à l’université Sorbonne Nouvelle, auteur de Pourquoi brûle-t-on les
bibliothèques ? (Presses de l’Enssib, 2013).
Commission des affaires européennes à 13 h 30 (Salle René Monory) et à 16 h 30 (Salle Médicis)
A 13 h 30 (Salle René Monory)
Audition de S.E.M. Stephan Steinlein, Ambassadeur d’Allemagne en France.
A 16 h 30 (Salle Médicis)
Captation vidéo.
Audition de M. Olivier Becht, ministre délégué auprès de la ministre de l’Europe et des affaires étrangères,
chargé du commerce extérieur, de l’attractivité et des Français de l’étranger, en présence des membres du groupe
de suivi des accords commerciaux de l’Union européenne.
Commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion de la
proposition de loi relative à la restitution des restes humains appartenant aux collections publiques à 16 h 30
(Salle no 245)
– désignation des Rapporteurs ;
– examen des dispositions de la proposition de loi restant en discussion.
proposition de loi relative à l’ouverture à la concurrence du réseau de bus francilien de la RATP à 19 heures
(salle 67)
– désignation des Rapporteurs ;
– examen des dispositions de la proposition de loi restant en discussion.
Membres présents ou excusés

Commission des finances
1re séance du mardi 21 novembre 2023
Présents : Bruno Belin, Jean-Baptiste Blanc, Florence Blatrix Contat, Isabelle Briquet, Michel Canévet, Marie-
Claire Carrère-Gée, Marie-Carole Ciuntu, Thierry Cozic, Raphaël Daubet, Vincent Éblé, Jean-François Husson,
Christine Lavarde, Antoine Lefèvre, Dominique de Legge, Olivier Paccaud, Didier Rambaud, Jean-François Rapin,
Claude Raynal, Stéphane Sautarel, Laurent Somon.
Excusé : Marc Laménie.
Ont délégué leur droit de vote : Vincent Delahaye, Jean-Raymond Hugonet, Christian Klinger, Marc Laménie,
Albéric de Montgolfier, Claude Nougein, Jean Pierre Vogel.
Assistaient en outre à la séance : Karine Daniel (commission de la culture, de l’éducation et de la
communication), Sabine Drexler (commission de la culture, de l’éducation et de la communication).
2e séance du mardi 21 novembre 2023
Présents : Arnaud Bazin, Bruno Belin, Jean-Baptiste Blanc, Michel Canévet, Vincent Capo-Canellas,
Emmanuel Capus, Marie-Claire Carrère-Gée, Thomas Dossus, Vincent Éblé, Jean-François Husson, Éric Jeansan
netas, Christian Klinger, Marc Laménie, Christine Lavarde, Jean-Marie Mizzon, Olivier Paccaud, Vanina Paoli-
Gagin, Didier Rambaud, Jean-François Rapin, Claude Raynal, Stéphane Sautarel, Ghislaine Senée, Lau
rent Somon.
Ont délégué leur droit de vote : Marie-Carole Ciuntu, Vincent Delahaye, Dominique de Legge, Jean
Pierre Vogel.
Assistait en outre à la séance : Frédérique Puissat (commission des affaires sociales).
1re séance du mercredi 22 novembre 2023
Présents : Bruno Belin, Christian Bilhac, Grégory Blanc, Jean-Baptiste Blanc, Florence Blatrix Contat,
Éric Bocquet, Isabelle Briquet, Michel Canévet, Vincent Capo-Canellas, Emmanuel Capus, Marie-Claire Carrère-
Gée, Thierry Cozic, Raphaël Daubet, Vincent Delahaye, Bernard Delcros, Thomas Dossus, Vincent Éblé,
Frédérique Espagnac, Rémi Féraud, Nathalie Goulet, Jean-Raymond Hugonet, Jean-François Husson, Éric Jean
sannetas, Christian Klinger, Marc Laménie, Christine Lavarde, Antoine Lefèvre, Dominique de Legge,
Victorin Lurel, Hervé Maurey, Jean-Marie Mizzon, Albéric de Montgolfier, Claude Nougein, Olivier Paccaud,
Vanina Paoli-Gagin, Georges Patient, Didier Rambaud, Jean-François Rapin, Claude Raynal, Teva Rohfritsch,
Stéphane Sautarel, Pascal Savoldelli, Ghislaine Senée, Laurent Somon, Christopher Szczurek, Sylvie Vermeillet,
Jean Pierre Vogel.
Excusé : Jean-Michel Arnaud.
Ont délégué leur droit de vote : Arnaud Bazin, Hervé Maurey, Jean-Marie Mizzon, Albéric de Montgolfier,
Sylvie Vermeillet, Jean Pierre Vogel.
Assistaient en outre à la séance : Jean-Michel Arnaud (commission des lois constitutionnelles, de législation, du
suffrage universel, du Règlement et d’administration générale), Daniel Gremillet (commission des affaires
économiques), Philippe Tabarot (commission de l’aménagement du territoire et du développement durable).
1re séance du jeudi 23 novembre 2023
Présents : Bruno Belin, Christian Bilhac, Grégory Blanc, Éric Bocquet, Isabelle Briquet, Michel Canévet,
Emmanuel Capus, Marie-Claire Carrère-Gée, Thierry Cozic, Thomas Dossus, Vincent Éblé, Rémi Féraud, Jean-
Raymond Hugonet, Jean-François Husson, Éric Jeansannetas, Marc Laménie, Christine Lavarde, Dominique de
Legge, Victorin Lurel, Albéric de Montgolfier, Olivier Paccaud, Georges Patient, Didier Rambaud, Claude Raynal,
Teva Rohfritsch, Stéphane Sautarel, Christopher Szczurek, Sylvie Vermeillet.
Ont délégué leur droit de vote : Vincent Delahaye, Antoine Lefèvre, Albéric de Montgolfier, Jean-Fran
çois Rapin, Laurent Somon, Jean Pierre Vogel.
Séance du vendredi 1er décembre 2023
Présents : Christian Bilhac, Jean-Baptiste Blanc, Florence Blatrix Contat, Marie-Claire Carrère-Gée,
Bernard Delcros, Thomas Dossus, Frédérique Espagnac, Rémi Féraud, Jean-François Husson, Christian Klinger,
Marc Laménie, Christine Lavarde, Antoine Lefèvre, Olivier Paccaud, Vanina Paoli-Gagin, Jean-François Rapin,
Claude Raynal, Stéphane Sautarel, Laurent Somon, Christopher Szczurek.
Ont délégué leur droit de vote : Arnaud Bazin, Bruno Belin, Marie-Carole Ciuntu, Jean-Raymond Hugonet,
Dominique de Legge, Albéric de Montgolfier, Jean Pierre Vogel.
d’administration générale
Séance du jeudi 30 novembre 2023
Présents : Olivier Bitz, Agnès Canayer, Catherine Di Folco, Françoise Dumont, Jérôme Durain, Isabelle Flo
rennes, Christophe-André Frassa, Marie-Pierre de La Gontrie, Corinne Narassiguin, André Reichardt.
Excusés : Philippe Bonnecarrère, François-Noël Buffet, Marc-Philippe Daubresse, Nathalie Delattre, Fran
çoise Gatel, Henri Leroy, Audrey Linkenheld, Marie Mercier, Elsa Schalck.
Convocations
Commission des Affaires économiques
Mercredi 6 décembre 2023 à 9 h 30 (Salle Médicis)
Captation vidéo.
1o Table ronde sur le logement autour de :
– M. Didier Bellier-Ganière, délégué général de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) ;
– M. Loïc Chapeaux, directeur des affaires économiques de la Fédération française du bâtiment (FFB) ;
– M. Loïc Cantin, président de la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM) ;
– Mme Marianne Louis, directrice générale de l’Union sociale pour l’habitat (USH) ;
– M. Robin Rivaton, économiste ;
– M. Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre ;
2o Désignation d’un rapporteur sur la mission d’information sur la crise du logement.
3o Questions diverses.
Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable
Mercredi 6 décembre 2023 à 8 h 45 (Salle A263 - 2e étage Ouest)
Captation vidéo.
1o Audition de M. Thierry Guimbaud, candidat proposé par le Président de la République aux fonctions de
président de l’Autorité de régulation des transports, en application de la loi organique no 2010-837 et de la loi
no 2010-838 du 23 juillet 2010 relatives à l’application du cinquième alinéa de l’article 13 de la Constitution.
2o Vote sur la proposition de nomination de M. Thierry Guimbaud, candidat proposé par le Président de la
République aux fonctions de président de l’Autorité de régulation des transports, en application de la loi organique
no 2010-837 et de la loi no 2010-838 du 23 juillet 2010 relatives à l’application du cinquième alinéa de l’article 13
de la Constitution.
3o Audition de M. Stéphane Crouzat, ambassadeur chargé des négociations sur le changement climatique, pour
les énergies renouvelables et la prévention des risques climatiques, sur l’avancée des négociations de la COP 28 (en
visioconférence).
Commission de la culture, de l’éducation et de la communication
Mardi 5 décembre 2023 à 17 h 30 (Salle Médicis)
Ouverte à la presse. Captation vidéo.
1o Audition de M. Jean-Michel Blanquer, ancien ministre de l’Éducation nationale, de la jeunesse et des sports,
dans le cadre de la mission conjointe de contrôle sur le signalement et le traitement des pressions, menaces et
agressions dont les enseignants sont victimes (en commun avec la commission des lois constitutionnelles, de
législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale).
Mercredi 6 décembre 2023 à 9 h 30 (Salle A245 - 2e étage Ouest)
1o Désignation de sénateurs appelés à siéger au sein d’organismes extra-parlementaires
Captation vidéo.
2o Audition de MM. Pierre Oudart (en téléconférence), auteur du rapport relatif aux écoles supérieures d’art
territoriales, établi à la demande de la ministre de la Culture, Cédric Loire, président de l’Association nationale des
écoles supérieures d’art et design publiques (ANdÉA), Mmes Amel Nafti, directrice de l’École nationale
supérieure d’art de Dijon, et Ulrika Byttner, directrice de l’École supérieure d’art et design Le Havre-Rouen, sur la
situation et l’avenir des écoles supérieures d’art.
Commission des Finances
Convocation rectifiée.
La présente rectification a pour objet d’ajouter à l’ordre du jour de la réunion du jeudi 7 décembre 2023 la
désignation des candidats pour faire partie de l’éventuelle commission mixte paritaire chargée de proposer un texte
sur les dispositions restant en discussion sur le projet de loi de finances pour 2024.
Lundi 4 décembre 2023 à 9 heures (Salle de la commission)
1o La mission « Immigration, asile et intégration ».
2o La mission « Écologie, développement et mobilités durables » (et articles 50 à 52 sexies), le compte
d’affectation spéciale « Financement des aides aux collectivités pour l’électrification rurale (FACÉ) » et le budget
annexe « Contrôle et exploitation aériens ».
3o La mission « Travail et emploi » (et articles 68 et 69).
4o La mission « Santé ».
5o La mission « Solidarité, insertion et égalité des chances » (et articles 64 et 65).
Mardi 5 décembre 2023 à 9 heures (Salle de la commission)
1o Examen du rapport de M. Stéphane SAUTAREL, rapporteur, et élaboration du texte de la commission sur la
proposition de loi no 922 (2022-2023) tendant à tenir compte de la capacité contributive des collectivités
territoriales dans l’attribution des subventions et dotations destinées aux investissements relatifs à la transition
écologique des bâtiments scolaires, présentée par Mme Nadège HAVET et plusieurs de ses collègues.
Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : lundi 4 décembre 2023, à 12 heures.
2o Examen du rapport de M. Vincent CAPO-CANELLAS, rapporteur, et élaboration du texte de la commission
sur la proposition de loi organique no 33 (2023-2024) visant à rétablir la réserve parlementaire en faveur des
communes rurales et des associations, présentée par M. Hervé MAUREY, Mme Dominique VÉRIEN et plusieurs
de leurs collègues.
Délai limite pour le dépôt des amendements de commission : lundi 4 décembre 2023, à 12 heures.
Mercredi 6 décembre 2023 à 9 heures (Salle de la commission)
1o PLF pour 2024 – Examen des articles de la seconde partie du projet de loi de finances pour 2024 non rattachés
aux crédits des missions – Tome III du rapport général (M. Jean-François HUSSON, rapporteur général).
2o La mission « Relations avec les collectivités territoriales » (et articles 56 à 62) et le compte de concours
financiers « Avances aux collectivités territoriales ».
3o La mission « Administration générale et territoriale de l’État ».
Jeudi 7 décembre 2023 à 9 h 30 (Salle de la commission)
1o La mission « Outre-mer » (et articles 55 et 55 bis)
2o Les missions « Gestion des finances publiques », « Transformation et fonction publiques », « Crédits non
répartis » et le compte d’affectation spéciale « Gestion du patrimoine immobilier de l’État ».
3o La mission « Régimes sociaux et de retraite » et le compte d’affectation spéciale « Pensions » (et
articles 55 ter et 55 quater).
4o La mission « Culture ».
5o La mission « Médias, livre et industries culturelles » et le compte d’affectation spéciale « Avances à
l’audiovisuel public ».
6o La mission « Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation » (et article 50 B et 50 C).
7o La mission « Action extérieure de l’État » (et article 50 A).
8o La mission « Aide publique au développement » et sur le compte de concours financiers « Prêts à des États
étrangers ».
9o La mission « Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales » et le compte d’affectation spéciale
« Développement agricole et rural ».
10o Désignation des candidats pour faire partie de l’éventuelle commission mixte paritaire chargée de proposer
un texte sur les dispositions restant en discussion sur le projet de loi de finances pour 2024.

1o Audition de M. Jean-Michel Blanquer, ancien ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports,
dans le cadre de la mission conjointe, avec la commission de la culture, de l’éducation et de la communication, de
contrôle sur le signalement et le traitement des pressions, menaces et agressions dont les enseignants sont victimes.
Mercredi 6 décembre 2023 à 9 heures (Salle A216 – 2e étage aile Est) et à 10 h 30 (Salle Clemenceau)
A. A 9 heures (Salle A216 – 2e étage aile Est)
1o Echange de vues sur une éventuelle saisine pour avis et désignation d’un rapporteur pour avis sur la
proposition de loi no 147 (2023-2024), adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure
accélérée, portant mesures pour bâtir la société du bien-vieillir en France.
2o Examen du rapport de M. François-Noël Buffet et du texte proposé par la commission sur la proposition de
résolution no 623 (2022-2023) tendant à modifier le Règlement du Sénat afin de compléter l’intitulé de la
commission de la culture, de l’éducation et de la communication, présentée par M. Laurent Lafon et plusieurs de
ses collègues.
3o Examen du rapport de M. Christophe-André Frassa et du texte proposé par la commission sur la proposition
de loi constitutionnelle no 646 (2022-2023) relative à la souveraineté de la France, à la nationalité, à l’immigration
et à l’asile, présentée par MM. Bruno Retailleau, François-Noël Buffet et plusieurs de leurs collègues.
4o Examen du rapport de Mme Marie Mercier et du texte proposé par la commission sur la proposition de loi
o
n 308 (2021-2022) relative aux droits de l’enfant à entretenir régulièrement des relations personnelles avec ses
parents en cas de séparation de ces derniers, présentée par Mme Élisabeth Doineau et plusieurs de ses collègues.
fixé au : Lundi 4 décembre 2023, à 12 heures.
B. A 10 h 30 (Salle Clemenceau)
1o Audition, sous forme de table ronde, dans le cadre de la mission d’information sur les émeutes survenues à
compter du 27 juin 2023, de :
– M. Bruno Domingo, politiste, maître de conférences à l’université Toulouse 1 Capitole ;
– M. François Dubet, sociologue, ancien directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales
(EHESS), auteur de Trois jeunesses : La révolte, la galère, l’émeute (Le Bord de l’eau, 2018) ;
– M. Antoine Jardin, politiste, ingénieur de recherche CNRS au Centre de recherches sociologiques sur le droit
et les institutions pénales (CESDIP) ;
– M. Denis Merklen, sociologue, professeur à l’université Sorbonne Nouvelle, auteur de Pourquoi brûle-t-on les
bibliothèques ? (Presses de l’Enssib, 2013).
Convocation rectifiée.
1o Audition de M. Jean-Michel Blanquer, ancien ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports,
dans le cadre de la mission conjointe, avec la commission de la culture, de l’éducation et de la communication, de
contrôle sur le signalement et le traitement des pressions, menaces et agressions dont les enseignants sont
victimes ;
Mercredi 6 décembre 2023 à 9 heures (Salle A216 – 2e étage aile Est)
Le 3o de l’ordre du jour est ainsi rédigé :
3o Examen du rapport de M. Christophe-André Frassa et du texte proposé par la commission sur la proposition
de loi constitutionnelle no 646 rect. (2022-2023) relative à la souveraineté de la France, à la nationalité, à
l’immigration et à l’asile, présentée par MM. Bruno Retailleau, François-Noël Buffet et plusieurs de leurs
collègues.
Le reste de l’ordre du jour est inchangé.
Délais limites de dépôt des amendements en commission

Commission des affaires sociales
– proposition de loi visant à lutter contre la précarité de la jeunesse par l’instauration d’une allocation
autonomie universelle d’études : lundi 4 décembre 2023, à 12 heures.
proposition de loi constitutionnelle relative à la souveraineté de la France, à la nationalité, à l’immigration et à
l’asile : lundi 4 décembre 2023, à 12 heures.
SÉNAT
DOCUMENTS DÉPOSÉS
NOR : INPS2333390X
Documents parlementaires
Documents enregistrés à la Présidence du Sénat
le lundi 4 décembre 2023
Dépôt de propositions de loi
o
N 160 (2023-2024) Proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure
accélérée, visant à adapter le droit de la responsabilité civile aux enjeux actuels, envoyée à la commission
des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale,
sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le
Règlement.
No 161 (2023-2024) Proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure
accélérée, visant à interdire les dispositifs électroniques de vapotage à usage unique, envoyée à la
commission des affaires sociales, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans
les conditions prévues par le Règlement.
Documents enregistrés à la Présidence du Sénat

le mardi 5 décembre 2023
Dépôt d’une proposition de loi
No 162 (2023-2024) Proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale après engagement de la procédure
accélérée, relative au contentieux du stationnement payant, envoyée à la commission des lois
constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous
réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le
Règlement.
Dépôt de rapports et de textes de commission

No 163 (2023-2024) Rapport fait par M. Stéphane SAUTAREL au nom de la commission des finances sur la
proposition de loi de Mme Nadège HAVET et plusieurs de ses collègues tendant à tenir compte de la
capacité contributive des collectivités territoriales dans l’attribution des subventions et dotations destinées
aux investissements relatifs à la transition écologique des bâtiments scolaires (no 922, 2022-2023)
(Procédure accélérée).
o
N 164 (2023-2024) Texte de la commission des finances sur la proposition de loi de Mme Nadège HAVET et
plusieurs de ses collègues tendant à tenir compte de la capacité contributive des collectivités territoriales
dans l’attribution des subventions et dotations destinées aux investissements relatifs à la transition
écologique des bâtiments scolaires (Procédure accélérée).
No 166 (2023-2024) Rapport fait par M. Vincent CAPO-CANELLAS au nom de la commission des finances sur la
proposition de loi organique de M. Hervé MAUREY, Mme Dominique VÉRIEN et plusieurs de leurs
collègues visant à rétablir la réserve parlementaire en faveur des communes rurales et des associations
(no 33, 2023-2024).
o
N 167 (2023-2024) Texte de la commission des finances sur la proposition de loi organique de M. Hervé
MAUREY, Mme Dominique VÉRIEN et plusieurs de leurs collègues visant à rétablir la réserve
parlementaire en faveur des communes rurales et des associations.
Dépôt d’un rapport d’information

o
N 168 (2023-2024) Rapport d’information fait par M. Jean-François RAPIN au nom de la commission des affaires
européennes relatif aux actes du colloque sur le rôle des parlements nationaux dans l’Union européenne
organisé au Sénat le 6 décembre 2021.
SÉNAT
DOCUMENTS PUBLIÉS
NOR : INPS2333376X
Addenda aux documents publiés sur le site internet du Sénat

le lundi 4 décembre 2023
No 128 (2023-2024) Rapport général de M. Jean-François HUSSON, rapporteur général, fait au nom de la
commission des finances, sur le projet de loi de finances, considéré comme adopté par l’Assemblée
nationale en application de l’article 49, alinéa 3, de la Constitution, pour 2024 :
– tome III – annexe no 1 : Action extérieure de l’État (Mme Nathalie GOULET et M. Rémi FÉRAUD) ;
– tome III – annexe no 3 : Agriculture, alimentation, forêts et affaires rurales Compte d’affectation
spéciale : développement agricole et rural (MM. Christian KLINGER et Victorin LUREL) ;
– tome III – annexe no 4 : Aide publique au développement Compte de concours financiers : prêts à des
États étrangers (MM. Michel CANÉVET et Raphaël DAUBET) ;
– tome III – annexe no 5 : Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation (M. Marc LAMÉNIE).
No 158 (2023-2024) Proposition de loi, adoptée par l’Assemblée nationale, tendant à la réouverture des accueils
physiques dans les services publics, envoyée à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du
suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous réserve de la constitution éventuelle
d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.
Documents publiés sur le site internet du Sénat

le mardi 5 décembre 2023
No 128 (2023-2024) Rapport général de M. Jean-François HUSSON, rapporteur général, fait au nom de la
commission des finances, sur le projet de loi de finances, considéré comme adopté par l’Assemblée
nationale en application de l’article 49, alinéa 3, de la Constitution, pour 2024 :
– tome III – annexe no 18 : Justice (M. Antoine LEFÈVRE).
No 130 (2023-2024) Avis présenté, au nom de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces
armées, sur le projet de loi de finances, considéré comme adopté par l’Assemblée nationale en application
de l’article 49, alinéa 3, de la Constitution, pour 2024 :
– tome III : Action extérieure de l’État : Programme 151 : « Français à l’étranger et affaires consulaires »
(MM. Ronan LE GLEUT et Guillaume GONTARD) ;
– tome IV : Aide publique au développement : programmes 110 : « Aide économique et financière au
développement », 209 : « Solidarité à l’égard des pays en développement », 365 : « Renforcement des
fonds propres de l’Agence française de développement » et 370 : « Restitution des “biens mal acquis” »
(MM. Christian CAMBON et Patrice JOLY) ;
– tome VII : Défense : Programme 212 : « Soutien de la politique de la défense » (M. Jean-Pierre GRAND
et Mme Marie-Arlette CARLOTTI).
No 154 (2023-2024) Proposition de loi présentée par Mme Françoise GATEL, visant à expérimenter le transfert de
la compétence « médecine scolaire » aux départements volontaires, envoyée à la commission des lois
constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous
réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le
Règlement.
SÉNAT
RAPPORTS AU PARLEMENT
NOR : INPS2333336X
No 30 (2023-2024) – RU – Rapport du Gouvernement au Parlement d’évaluation 2023 de l’expérimentation du

cannabis à usage médical, en application de l’article 43 de la loi no 2019–1446 du 24 décembre 2019 de
financement de la sécurité sociale pour 2020, transmis à la commission des affaires sociales et à la
commission des finances.
No 31 (2023-2024) – RU – Rapport relatif au financement des énergies marines renouvelables, en application de
l’article 84 de la loi no 2023-175 du 10 mars 2023 relative à l’accélération de la production d’énergies
renouvelables, transmis à la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable, à la
commission des affaires économiques et à la commission de la culture.
SÉNAT
BUREAU DU SÉNAT
NOR : INPS2333392X
Le bureau du Sénat se réunira le :
jeudi 14 décembre 2023, à 8 h 30

avec l’ordre du jour suivant :
I. – Application de la législation sur les incompatibilités parlementaires :
– examen de déclarations d’intérêts et d’activités de sénateurs.
II. – Communication du Président du Sénat sur les attestations fiscales des sénateurs.
III. – Application de la législation sur le financement de la vie politique :
– déclarations de rattachement politique des sénateurs.
IV. – Groupes d’études :
– reconstitution triennale des groupes d’études.
V. – Activités internationales :
– examen des demandes de missions d’information des commissions et des délégations pour 2024 ;
– examen des demandes de subventions des groupes interparlementaires d’amitié pour 2024.
VI. – Bilan 2022 de l’impact environnemental des activités du Sénat.
VII. – Modification du référentiel comptable du Sénat.
VIII. – Questions administratives :
– perspectives d’utilisation des techniques de reconnaissance vocale par la direction des comptes rendus ;
– nomination du directeur de la logistique et des moyens généraux.
IX. – Questions diverses.
COMMISSIONS MIXTES PARITAIRES
COMMISSIONS MIXTES PARITAIRES
NOR : INPX2333405X
1. Composition
proposition de loi relative à l’ouverture à la concurrence du réseau de bus francilien de la RATP :
A la suite des nominations effectuées par l’Assemblée nationale le mercredi 29 novembre 2023 et le mardi
5 décembre 2023 et par le Sénat dans sa séance du mercredi 29 novembre 2023, cette commission est ainsi
composée :
Députés
Titulaires Suppléants
M. Jean-Marc Zulesi (RE) M. Damien Adam (RE)
Mme Sandrine Le Feur (RE) M. Nicolas Dragon (RN)
Mme Huguette Tiegna (RE) M. Paul Vannier (LFI-NUPES)
Mme Annick Cousin (RN) Mme Fatiha Keloua Hachi (SOC)
M. Thomas Portes (LFI - NUPES) M. Vincent Thiébaut (HOR)
M. Nicolas Ray (LR) M. Stéphane Peu (GDR -NUPES)
M. Bruno Millienne (Dem) M. Guy Bricout (LIOT)
Sénateurs
Titulaires Suppléants
M. Didier Mandelli (LR) M. Louis-Jean de Nicolaÿ (LR)
M. Franck Dhersin (UC) M. Fabien Genet (LR)
M. Philippe Tabarot (LR) M. Vincent Capo-Canellas (UC)
Mme Marta de Cidrac (LR) M. Hervé Gillé (SER)
M. Simon Uzenat (SER) M. Pierre Barros (CRCE-K)
M. Olivier Jacquin (SER) M. Louis Vogel (LIRT)
Mme Nadège Havet (RDPI) M. Jacques Fernique (EST)
2. Réunions
proposition de loi relative à l’ouverture à la concurrence du réseau de bus francilien de la RATP :
A 19 heures au Sénat, en salle no 67 (salle de la commission de l’aménagement du territoire) :
– nomination du bureau ;
– nomination des rapporteurs ;
– examen des dispositions restant en discussion de la proposition de loi.
proposition de loi relative à la restitution des restes humains appartenant aux collections publiques :
A 16 h 30 au Sénat, en salle no 245 (salle de la commission de la culture) :

proposition de loi visant à améliorer l’accès aux soins par l’engagement territorial des professionnels :
A 9 heures au Sénat, en salle no 213 (salle de la commission des affaires sociales) :
AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS
PREMIÈRE MINISTRE
Avis de vacance d’un emploi d’expert de haut niveau

NOR : PRMG2333047V
Date prévisible de recrutement : 1er janvier 2024.

Un emploi d’expert de haut niveau, relevant du groupe 2, est vacant à l’administration centrale des ministères de
l’éducation nationale et de la jeunesse, de l’enseignement supérieur et de la recherche et des sports et des jeux
Olympiques et Paralympiques.
Le titulaire de l’emploi est placé auprès du sous-directeur de l’accompagnement et des parcours des cadres
supérieurs des services déconcentrés de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports, au sein du service de la
politique de l’encadrement supérieur de la direction de l’encadrement.
L’emploi s’exerce sur le site Arborial, 12, rue Rol-Tanguy, 93100 Montreuil.
Description de la structure et des missions

La direction de l’encadrement est chargée de la définition et de la mise en œuvre de la politique de gestion des
ressources humaines des personnels d’encadrement et d’encadrement supérieur des ministères.
Elle décline la politique relative à l’encadrement définie dans le cadre interministériel et est l’interlocutrice de la
direction générale de l’administration et de la fonction publique sur l’ensemble des questions relatives à ces
personnels.
En lien avec la direction générale des ressources humaines chargée de l’organisation des recrutements par
concours et en lien avec les directions de programme, elle définit la politique et la gestion prévisionnelle des
recrutements des personnels d’encadrement.
Elle définit la politique de formation initiale des personnels d’encadrement et, autant que de besoin avec la
direction générale des ressources humaines et les directions de programme, les orientations de la politique de
formation continue de ces personnels conformément au schéma directeur de la formation continue.
Elle élabore les projets de textes statutaires et indemnitaires relatifs aux personnels d’encadrement et aux
emplois fonctionnels.
Elle est chargée de la gestion des emplois fonctionnels et de la gestion individuelle et collective des carrières des
personnels d’encadrement. Elle définit les orientations relatives au développement de la mobilité, y compris de la
mobilité à l’international.
Elle assure l’accompagnement des parcours de carrière et le suivi personnalisé des personnels de direction, des
personnels d’inspection, des administrateurs de l’Etat et des personnels d’encadrement administratif en lien avec
les autorités académiques et les établissements publics relevant des ministères.
Elle conduit le dialogue social avec les représentants des personnels d’encadrement.
Elle assure la maîtrise d’ouvrage des systèmes d’information des ressources humaines dédiés aux personnels
dont elle est gestionnaire en lien avec la direction générale des ressources humaines.
Le service de la politique de l’encadrement supérieur est chargé de la définition et du suivi de la politique de
l’encadrement supérieur pour l’ensemble des ministères, dans l’ensemble de ses dimensions : identification des
viviers, recrutement, suivi et accompagnement individualisé des parcours et des formations, évaluation collégiale,
mobilités internes et externes. Le champ du service recouvre notamment l’ensemble des emplois de directeurs,
chefs de service, sous-directeurs, experts de haut niveau et directeurs de projet de l’administration centrale, les
emplois de recteurs, secrétaires généraux de régions académiques et d’académies et leurs adjoints, inspecteurs
d’académie-DASEN et leurs adjoints, secrétaires généraux de DSDEN, directeurs de cabinet des recteurs,
conseillers techniques de recteurs de régions académiques et d’académies, directeurs généraux des services des
EPSCP.
Le service a pour objectif de concevoir et de mettre en œuvre, en s’inspirant des meilleures pratiques identifiées
dans le secteur public, des procédures modernisées favorisant l’attractivité des emplois supérieurs du ministère, la
diversification des parcours professionnels, le développement des mobilités entre administration centrale, services
déconcentrés et opérateurs et la détection et le suivi des potentiels. Il veille également à garantir l’égalité
hommes/femmes pour l’accès aux emplois supérieurs des ministères. Il conçoit enfin une stratégie de
communication dans l’objectif de faire connaître aux personnels d’encadrement supérieur son action et la manière
dont elle les accompagne dans leurs parcours.
Le chef de service, également délégué à l’encadrement supérieur dans le cadre de la réforme interministérielle de
l’encadrement supérieur, conduit les travaux qui en découlent pour le périmètre ministériel et qui mobilisent les
membres du SPES dans leurs champs de compétences.
Plus précisément, le service de la politique de l’encadrement supérieur comprend :
– la sous-direction de l’accompagnement et des parcours des cadres supérieurs des services déconcentrés de
l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports ;
– la sous-direction de l’accompagnement et des parcours des cadres supérieurs de l’administration centrale et
des opérateurs ;
– la mission de l’accompagnement et de la formation.
La sous-direction de l’accompagnement et des parcours des cadres supérieurs des services déconcentrés de
l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports – dont relève l’emploi à pourvoir – est chargée du suivi
individuel et personnalisé des cadres supérieurs en poste sur emplois fonctionnels. Elle a pour missions
principales :
– le pilotage et la mise en œuvre de la revue de l’encadrement supérieur conduite périodiquement au sein des
académies ;
– le pilotage et la mise en œuvre des recrutements sur emploi fonctionnel ;
– le pilotage et le suivi des missions académiques de l’encadrement en lien étroit avec les autorités
académiques ;
– l’accompagnement des cadres et le suivi individualisé de leurs parcours professionnels ;
– la constitution et l’exploitation des viviers correspondants à l’ensemble des emplois fonctionnels relevant des
services déconcentrés ;
– la mise en œuvre de l’évaluation collégiale des cadres supérieurs en poste au sein des services déconcentrés, à
l’aune des principes fixés par les lignes directrices de gestion interministérielle ;
– la conception des méthodes et outils de gestion prévisionnelle des personnels relevant de l’encadrement
supérieur des services déconcentrés ;
– l’appui méthodologique aux autorités académiques dans le pilotage de leur encadrement et dans le processus
de recrutement de leurs cadres supérieurs.
Dans le cadre d’une équipe restreinte, le titulaire de l’emploi placé hiérarchiquement sous l’autorité du sous-
directeur, sera chargé notamment de prendre part :
– au suivi individualisé des cadres sur emplois fonctionnels des services déconcentrés ainsi que des viviers
associés. Il participera ainsi aux revues des cadres menées en académie, ce qui implique des déplacements
d’au moins deux jours chaque semaine ;
– au suivi du processus de recrutement sur emplois fonctionnels, de la publication des fiches de postes à la
nomination des agents en passant par le suivi rigoureux des candidatures, en lien étroit avec le sous-directeur
et la responsable de la coordination administrative et RH. Ceci implique une analyse experte des candidatures
reçues pour chaque emploi fonctionnel en services déconcentrés ;
– au suivi de la mise en œuvre de l’évaluation collégiale des cadres supérieurs en poste au sein des services
déconcentrés, en lien étroit avec le sous-directeur et la cheffe de projet dédiée au sein du service de la
politique de l’encadrement supérieur ;
– à l’accompagnement et au suivi des situations RH sensibles, en lien étroit avec le service de l’encadrement ;
– à la conception et à l’enrichissement des différents plans de formation de l’encadrement supérieur (primo-
nommés, formation continue), en lien étroit avec la mission accompagnement et formation du SPES ;
– aux travaux liés à la gestion prospective des cadres à haut potentiel, l’amenant à engager des études et des
analyses ;
– à la sécurisation de l’ensemble des processus de gestion et de suivi des cadres.
Profil du candidat recherché

Le candidat doit posséder une excellente connaissance du fonctionnement du ministère et des services
déconcentrés. Une expérience significative en services déconcentrés est fortement recommandée dans la mesure où
le candidat doit connaître les métiers et compétences attendues des cadres au sein de ces services.
Des compétences confirmées en conseil de carrière et en gestion des ressources humaines sont indispensables au
bon exercice de l’emploi (connaissances des statuts d’emplois et du cadre réglementaire de référence des cadres
supérieurs).
Des compétences complémentaires en matière d’ingénierie de formation et de pilotage de groupes d’experts
seraient également souhaitables.
L’emploi implique par ailleurs des échanges réguliers et structurés avec les autorités académiques et avec
l’encadrement supérieur des services déconcentrés. A ce titre, il induit des qualités relationnelles affirmées.
En raison de la taille de la structure et de la nature de l’emploi, le poste nécessite enfin une très forte polyvalence
ainsi qu’une grande autonomie dans les missions confiées et les tâches administratives associées.
Conditions d’emploi
Les conditions d’emploi sont fixées aux articles 11 à 16 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat.
La nomination dans cet emploi est prononcée pour une durée maximale de trois ans renouvelable une fois. La
période probatoire est fixée à six mois.
L’emploi d’expert de haut niveau de groupe II est classé, selon l’arrêté du 23 novembre 2022, dans le 3e niveau
des emplois supérieurs de la fonction publique d’Etat.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi.
Elle comprend :
– une part fixe comprise entre 41 528 € et 81 639 € bruts annuels. A l’intérieur de cette fourchette, si le titulaire
de l’emploi est un fonctionnaire, sa rémunération est établie au regard de son classement dans sa grille
indiciaire. Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la
durée et du niveau des expériences professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir ;
– une part variable, dépendant des fonctions, des sujétions et de l’expertise de l’emploi dont le maximum
réglementaire est de 77 000 € bruts annuels.
A cette rémunération pourra être ajouté un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la
manière de servir. Il est versé en une seule fois.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret no 2019-1594
relatif aux emplois de direction de l’Etat susmentionné ainsi qu’à l’arrêté du 31 décembre 2019 fixant les modalités
de recrutement des emplois de direction au ministère chargé de l’éducation nationale et au ministère chargé de
l’enseignement supérieur et de la recherche.
L’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère ;
L’autorité dont relève l’emploi à pourvoir est le directeur de l’encadrement.
Envoi des candidatures :
Les candidatures, accompagnées d’une lettre de motivation et d’un curriculum vitae doivent être transmises dans
un délai de quinze jours à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République
française :
– par la voie hiérarchique s’agissant des fonctionnaires, des militaires, des magistrats de l’ordre judiciaire et des
administrateurs des assemblées ;
– uniquement par courriel aux adresses :
– mpes.mobilite@education.gouv.fr ;
– de1-2candidature@education.gouv.fr ;
– pierre.seban@education.gouv.fr.
Personne à contacter pour tout renseignement : Pierre Seban, sous-directeur de l’accompagnement et des
parcours des cadres supérieurs des services déconcentrés de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports :
pierre.seban@education.gouv.fr.
Recevabilité et examen des candidatures :
La vérification des candidatures est réalisée en fonction des critères attendues par la présente offre d’emploi par
l’administration chargée du recrutement. En cas de rejet de la candidature, le candidat se verra informé. La période
de vérification des candidatures est liée au nombre des candidatures reçues. Les ministères s’engagent dans un
souci de gestion qualitative des recrutements sur emplois de direction à ne pas dépasser le délai de 15 jours à
compter de la date de clôture de la transmission des candidatures.
L’examen des candidatures est assuré par une instance collégiale qui comprend au moins :
– le directeur de l’encadrement ;
– le sous-directeur de l’accompagnement et des parcours des cadres supérieurs des services déconcentrés de
l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports ;
– une personne occupant ou ayant occupé des fonctions d’un niveau de responsabilités au moins équivalent à
l’emploi à pourvoir.
Les candidats présélectionnés se voient notifier un rendez-vous pour l’audition. Les candidats dont la
candidature ne fera pas l’objet d’une audition sont informés.
Audition des candidats :
Les candidats présélectionnés sont auditionnés par le directeur de l’encadrement et le sous-directeur de
l’accompagnement et des parcours des cadres supérieurs des services déconcentrés de l’éducation nationale, de la
jeunesse et des sports et, le cas échéant, une personne qu’il désigne.
Information des candidats :
Les candidats non retenus en sont informés à l’issue de la procédure.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Déontologie
L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration de situation patrimoniale ni à une déclaration d’intérêts
préalable à la prise de fonctions.
Toutefois, pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années
qui précédent, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué
préalablement à la nomination par l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement
à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en
application du code général de la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatifs aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 31 décembre 2019 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère chargé de
l’éducation nationale et au ministère chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
PREMIÈRE MINISTRE
Avis de vacance d’un emploi d’expert de haut niveau

NOR : PRMG2333054V
Date prévisible de recrutement : février 2024.

Un emploi d’expert de haut niveau, relevant du groupe 2, est vacant à l’administration centrale des ministères de
l’éducation nationale et de la jeunesse, de l’enseignement supérieur et de la recherche et des sports et des jeux
Olympiques et Paralympiques.
L’emploi s’exerce sur le site Arborial, 12, rue Rol-Tanguy, 93100 Montreuil.
Le titulaire de l’emploi est placé auprès de la sous-directrice de l’accompagnement et des parcours des cadres
supérieurs de l’administration centrale et des opérateurs.
Description de la structure et des missions

La direction de l’encadrement est chargée de la définition et de la mise en œuvre de la politique de gestion des
ressources humaines des personnels d’encadrement et d’encadrement supérieur des ministères.
Elle décline la politique relative à l’encadrement définie dans le cadre interministériel et est l’interlocutrice de la
direction générale de l’administration et de la fonction publique sur l’ensemble des questions relatives à ces
personnels.
En lien avec la direction générale des ressources humaines chargée de l’organisation des recrutements par
concours et en lien avec les directions de programme, elle définit la politique et la gestion prévisionnelle des
recrutements des personnels d’encadrement.
Elle définit la politique de formation initiale des personnels d’encadrement et, autant que de besoin avec la
direction générale des ressources humaines et les directions de programme, les orientations de la politique de
formation continue de ces personnels conformément au schéma directeur de la formation continue.
Elle élabore les projets de textes statutaires et indemnitaires relatifs aux personnels d’encadrement et aux
emplois fonctionnels.
Elle est chargée de la gestion des emplois fonctionnels et de la gestion individuelle et collective des carrières des
personnels d’encadrement. Elle définit les orientations relatives au développement de la mobilité, y compris de la
mobilité à l’international.
Elle assure l’accompagnement des parcours de carrière et le suivi personnalisé des personnels de direction, des
personnels d’inspection, des administrateurs de l’Etat et des personnels d’encadrement administratif en lien avec
les autorités académiques et les établissements publics relevant des ministères.
Elle conduit le dialogue social avec les représentants des personnels d’encadrement.
Elle assure la maîtrise d’ouvrage des systèmes d’information des ressources humaines dédiés aux personnels
dont elle est gestionnaire en lien avec la direction générale des ressources humaines.
Le service de la politique de l’encadrement supérieur a pour objectif de concevoir et de mettre en œuvre, en
s’inspirant des meilleures pratiques identifiées dans le secteur public, des procédures modernisées favorisant
l’attractivité des emplois supérieurs du ministère, la diversification des parcours professionnels, le développement
des mobilités entre administration centrale, services déconcentrés et opérateurs et la détection et le suivi des
potentiels. Il veille également à garantir l’égalité hommes/femmes pour l’accès aux emplois supérieurs des
ministères. Il conçoit une stratégie de communication dans l’objectif de faire connaître aux personnels
d’encadrement supérieur son action et la manière dont elle les accompagne dans leurs parcours.
Rattachée au service de la politique de l’encadrement supérieur, la sous-direction de l’accompagnement et des
parcours des cadres supérieurs de l’administration centrale et des opérateurs est chargée pour son périmètre de la
définition et du suivi de la politique de l’encadrement supérieur pour son périmètre. Elle pilote et anime l’ensemble
des processus relatifs :
– à l’organisation et à la conduite des revues des cadres menées chaque année en administration centrale et dans
les établissements d’enseignement supérieur et auprès des opérateurs du périmètre des trois ministères ; elle
participe à l’identification des viviers, à l’accompagnement des mobilités internes et externes, et à la mise en
place de plan de succession ;
– au suivi individualisé des parcours et carrières ainsi qu’à la gestion prévisionnelle des cadres supérieurs des
ministères et notamment ceux sur des emplois de directeurs, chefs de service, sous-directeurs, experts de haut
niveau et directeurs de projet de l’administration centrale, les directeurs généraux des services des EPSCP et
certains hauts postes exécutifs des opérateurs ;
– aux nominations que le secrétaire général propose aux ministres, avec l’appui du service de l’encadrement :
publication des avis de vacance, traitement des candidatures, détermination des conditions de recrutement et
de rémunération, etc ;
– à la formation de l’encadrement supérieur : formation à la prise de poste, formation continue et
accompagnement individualisé des cadres (mentorat, coaching) ;
– à l’expertise et l’appui méthodologique aux directeurs et responsables des services centraux ainsi qu’aux
présidents d’université ou autres directions d’opérateurs, dans le pilotage de leur encadrement supérieur.
Elle participe à la mise en place de l’évaluation collégiale et à son suivi à travers notamment la mise en place des
plans de formation.
Dans le cadre d’une équipe restreinte, le titulaire de l’emploi qui sera placé hiérarchiquement sous l’autorité de
la sous-directrice de l’accompagnement et des parcours des cadres supérieurs de l’administration centrale et des
opérateurs, sera chargé notamment de prendre part :
– au suivi individualisé des cadres sur emplois fonctionnels en administration centrale, dans les établissements
d’enseignement supérieur et chez les opérateurs. Il participera ainsi aux revues des cadres menées en
établissements, ce qui implique des déplacements fréquents sur l’ensemble du territoire ;
– au suivi du processus de recrutement sur emplois fonctionnels, de la publication des fiches de postes à la
nomination des agents en passant par le suivi rigoureux des candidatures. Ceci implique une analyse experte
des candidatures reçues pour chaque emploi fonctionnel ;
– la conception et à l’enrichissement des différents plans de formation de l’encadrement supérieur (primo-
nommés, formation continue) ;
– aux travaux liés à la gestion prospective des cadres à haut potentiel, l’amenant à engager des études et des
analyses ;
– à la sécurisation de l’ensemble des processus de gestion et de suivi des cadres ;
– au dispositif relatif aux évaluations collégiales des cadres occupant des emplois de direction en application de
l’article L. 412-2 du code général de la fonction publique ;
– participer à toutes les missions, études et réflexions menées au sein de la sous-direction favorisant la mobilité,
le décloisonnement, et la diversité des parcours de carrière.
Profil du candidat recherché

Le candidat doit posséder une très connaissance du fonctionnement des ministères (MENJ, MESR, MSJOP), de
leurs services déconcentrés et de leurs opérateurs. Une expérience significative en administration centrale ou dans
l’enseignement supérieur est particulièrement recommandée et le candidat doit connaître les métiers et
compétences attendues des cadres en postes dans ces services. Une connaissance de l’interministériel sera par
ailleurs appréciée.
Des compétences et appétences en conseil de carrière et de gestion des ressources humaines sont nécessaires au
bon exercice de l’emploi.
Une expérience préalable dans les processus de revue de cadres et de constitution de viviers à haut potentiel au
sein d’une administration publique est préférable.
Des compétences avérées en matière d’ingénierie de formation et de pilotage de groupes de travail seraient
souhaitables.
L’emploi mobilise des qualités de contact avec les cadres supérieurs et des compétences humaines et
relationnelles avérées.
En raison de la taille de la structure et de la nature de l’emploi, le poste nécessite enfin une très forte polyvalence
ainsi qu’une grande autonomie dans les missions confiées et les tâches administratives associées.
Conditions d’emploi
Les conditions d’emploi sont fixées aux articles 11 à 16 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat.
La nomination dans cet emploi est prononcée pour une durée maximale de trois ans renouvelable une fois. La
période probatoire est fixée à six mois.
L’emploi d’expert de haut niveau de groupe II est classé, selon l’arrêté du 23 novembre 2022, dans le 3e niveau
des emplois supérieurs de la fonction publique d’Etat.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi.
Elle comprend :
– une part fixe comprise entre 41 528 € et 81 639 € bruts annuels. A l’intérieur de cette fourchette, si le titulaire
de l’emploi est un fonctionnaire, sa rémunération est établie au regard de son classement dans sa grille
indiciaire. Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la
durée et du niveau des expériences professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir ;
– une part variable, dépendant des fonctions, des sujétions et de l’expertise de l’emploi dont le maximum
réglementaire est de 77 000 € bruts annuels.
A cette rémunération pourra être ajouté un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la
manière de servir. Il est versé en une seule fois.
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret no 2019-1594
relatif aux emplois de direction de l’Etat susmentionné ainsi qu’à l’arrêté du 31 décembre 2019 fixant les modalités
de recrutement des emplois de direction au ministère de l’éducation nationale et au ministère chargé de
l’enseignement supérieur et de la recherche.
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère ;
– l’autorité dont relève l’emploi à pourvoir est le directeur de l’encadrement.
Les candidatures, accompagnées d’un curriculum vitae doivent être transmises dans un délai de trente jours à
compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République française :
– par la voie hiérarchique s’agissant des fonctionnaires, des militaires, des magistrats de l’ordre judiciaire et des
administrateurs des assemblées ;
– uniquement par courriel : aux adresses mpes.mobilité@education.gouv.fr, de1-2candidature@education.gouv.
fr, caroline.lemasson-gerner@education.gouv.fr.
Personne à contacter pour tout renseignement : Mme Caroline Lemasson-Gerner, sous-directrice de
l’accompagnement et des parcours des cadres supérieurs de l’administration centrale et des opérateurs :
caroline.lemasson-gerner@education.gouv.fr.
Recevabilité et examen des candidatures :
La vérification des candidatures est réalisée en fonction des critères attendues par la présente offre d’emploi par
l’administration chargée du recrutement. En cas de rejet de la candidature, le candidat se verra informé. La période
de vérification des candidatures est liée au nombre des candidatures reçues. Les ministères s’engagent dans un
souci de gestion qualitative des recrutements sur emplois de direction à ne pas dépasser le délai de 15 jours à
compter de la date de clôture de la transmission des candidatures.
L’examen des candidatures est assuré par une instance collégiale qui comprend au moins :
– le directeur de l’encadrement ;
– la sous-directrice de l’accompagnement et des parcours des cadres supérieurs de l’administration centrale et
des opérateurs ;
– une personne occupant ou ayant occupé des fonctions d’un niveau de responsabilités équivalent à l’emploi à
pourvoir.
Les candidats présélectionnés se voient notifier un rendez-vous pour l’audition. Les candidats dont la
candidature ne fera pas l’objet d’une audition sont informés.
Audition des candidats :
Les candidats présélectionnés sont auditionnés par le directeur de l’encadrement et la sous-directrice de
l’accompagnement et des parcours des cadres supérieurs de l’administration centrale et des opérateurs et, le cas
échéant, une personne qu’il désigne.
Information des candidats :
Les candidats non retenus en sont informés à l’issue de la procédure.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Déontologie
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précédent, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à
la nomination par l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement à sa décision, le
référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application du
code général de la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatifs aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 1er).
Arrêté du 31 décembre 2019 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère chargé de
l’éducation nationale et au ministère chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche prévues par le décret
no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
PREMIÈRE MINISTRE
Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur

(administration centrale)
NOR : PRMG2333127V
Est susceptible d’être vacant, à l’administration centrale du ministère de la transition écologique et de la

cohésion des territoires, un emploi de sous-directeur ou sous-directrice.
Le ou la titulaire de l’emploi exercera les fonctions de sous-directeur ou sous-directrice de la multi-modalité, de
l’innovation, du numérique et des territoires, auprès du directeur général des infrastructures, des transports et des
mobilités.
L’emploi est localisé sur le site de La Défense (tour Sequoia).
Missions principales
La direction générale des infrastructures, des transports et des mobilités (DGITM) élabore et met en œuvre la
politique des transports terrestres dans une perspective de continuité et sécurité des services de transport, de
transition écologique, de développement économique et de cohésion sociale et territoriale. Elle gère un budget de
plus de 10 Md€/an et s’appuie sur 9 000 agents en équivalent temps-plein. La DGITM est composée de deux
directions (la direction des mobilités routières et la direction des transports ferroviaires, fluviaux et portuaires), de
quatre sous-directions transversales et de trois missions thématiques rattachées au directeur général.
Rattachée au directeur général, la sous-direction de la multimodalité, de l’innovation, du numérique et des
territoires a été créée en 2022, dans la dynamique de la Loi d’orientation des mobilités, pour :
1. Accompagner les politiques de mobilités à l’échelle locale (urbain, rural, mobilités inclusives,…) notamment
via l’appel à projet transports collectifs en site propre et le Fonds vert et l’observatoire national des mobilités,
renforcer les liens avec les acteurs territoriaux notamment via son réseau France Mobilités, soutenir de
nouvelles formes de mobilités (covoiturage, cars express…) et contribuer à la politique d’incitation au report
modal (forfait mobilité, véhicules de fonction,…) ;
2. Animer la stratégie numérique de la DGITM et porter des projets de services par la donnée, notamment sous
la forme de start-up d’Etat (10 projets en cours, dont le point d’accès national pour les données d’offre de
transports publics) avec une forte ambition de développement dans le cadre du volet numérique de France
nation verte (projet de titre unique de transport,…) ;
3. Porter la politique d’innovation de la DGITM, via le programme France 2030 et l’Agence d’innovation pour
les transports (AIT), dont elle assure la co-direction, avec la DGAC et la DGAMPA. Dans ce cadre, elle
soutient les innovateurs via le programme Propulse, coordonne les partenariats avec l’écosystème de
l’innovation et diffuse la culture d’innovation ouverte.
Enjeux, responsabilités
Le sous-directeur ou la sous-directrice, assisté (e) de deux adjoints (es) et d’un (e) chef (ffe) de cabinet, a
notamment en charge :
– la gestion du cadre législatif et réglementaire des mobilités locales, et du suivi de son application ;
– des dispositifs d’accompagnement des mobilités locales et autorités organisatrices ;
– le pilotage de la politique prioritaire du gouvernement de développement du covoiturage du quotidien ;
– la stratégie numérique de la DGITM et le développement de projets numériques, dont le titre de transport
universel ;
– la direction de l’AIT en lien avec la DGAC et la DGAMPA, de la veille d’innovation, du réseau d’acteurs et
du programme Propulse ;
– la représentation de la DGITM dans le cadre de la comitologie de France 2030 ;
– le management de la sous-direction qui est organisée en quatre pôles.
Il/elle assure la représentation du ministère à haut niveau sur le champ de ses missions (présidence de conseil
d’orientation stratégique, de jury, membre du comité ministériel du développement, de l’innovation dans les
transports, de conseils d’administration d’opérateurs de l’Etat, de conseil d’orientation stratégique, de commission

de normalisation).
La sous-direction, composée d’une trentaine d’agents, comprends quatre pôles :
– le pôle des territoires ;
– le pôle du numérique ;
– le pôle de l’innovation ouverte ;
– le pôle stratégie et partenariats d’innovation.
Compétences recherchées, nature et niveau d’expériences professionnelles attendues

– expériences en matière de numérique et d’innovation ;
– connaissances en matière de développement durable ;
– expérience en matière de mobilités et politiques territoriales ;
– expérience et capacité managériales affirmées ;
– capacité à collaborer en interministériel dans des instances de haut-niveau ;
– capacité d’organisation et direction de projets multiples et complexes ;
– capacité à avoir à la fois une vision stratégique et à décliner en plans opérationnels ;
– maîtrise de l’anglais.
Conditions d’accès à l’emploi

Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat.
La durée d’occupation est de trois ans, renouvelable une fois dans la limite de six ans. La période probatoire est
fixée à six mois.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part
indiciaire ainsi qu’une part indemnitaire, dépendante des fonctions, des sujétions et de l’expertise de l’emploi. Elle
est complétée par un complément indemnitaire annuel, dont le montant dépend de la manière de servir.
Si le ou la titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, la part indiciaire brute est établie au regard de son
classement dans la grille indiciaire applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat (décret no 2022-1453
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat). Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le
classement est effectué au regard de la durée et du niveau de leurs expériences professionnelles antérieures en
rapport avec l’emploi à pourvoir.
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat susmentionné :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère représentée par la délégation à l’encadrement
supérieur ;
– l’autorité dont relève l’emploi à pourvoir est le directeur général des infrastructures, des transports et des
mobilités.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation qui devra comporter les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le
parcours professionnel du candidat, les compétences et le niveau d’expérience attendus pour le poste ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les agents publics, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé le cas échéant
(uniquement pour les agents relevant d’un autre ministère).
Pour les agents du secteur privé, les candidatures seront accompagnées :
– des documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae.
Ce dossier complet devra être adressé, dans un délai de trente jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel, au ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires,
uniquement et impérativement, par voie électronique à l’adresse :
– des.sg@developpement-durable.gouv.fr ;
– thierry.coquil@developpement-durable.gouv.fr ;
– anne-florie.coron@developpement-durable.gouv.fr.
Recevabilité des candidatures :

L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
Le secrétaire général, autorité de recrutement, réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret
du 31 décembre 2019 susmentionné, qui procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les
candidats.
Audition des candidats et choix du candidat retenu :
Le directeur général ou son représentant procède à l’audition des candidats présélectionnés. A l’issue de celles-
ci, il transmet à la secrétaire générale un avis sur les candidatures afin de lui permettre de proposer à l’autorité
investie du pouvoir de nomination le nom du candidat susceptible d’être nommé.
A l’issue du choix effectué par l’autorité de nomination, les candidats et les candidates auditionnés non retenus
pour occuper l’emploi à pourvoir sont informés par le directeur général ou son représentant.
Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
– Thierry COQUIL, directeur général de la DGITM (tél. : 01-40-81-17-20) ;
– Anne-Florie CORON, adjointe au directeur général de la DGITM (tél. : 01-40-81-16-25) ;
– Laurent TAPADINHAS, délégué à l’encadrement supérieur (tél. : 01-40-81-16-81).
MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES
Avis relatif au recrutement de travailleurs handicapés et de travailleuses handicapées

par la voie contractuelle pouvant déboucher sur une titularisation en catégorie C
NOR : EAEA2331564V
Un recrutement de personnes en situation de handicap est prévu au titre de l’année 2024.

Le nombre total de places offertes au recrutement dans le corps des adjoints administratifs de chancellerie
(catégorie C) est fixé à 10.
ENTRETIEN
NIVEAU DE DATE LIMITE de présélection et PRISE DE FONCTION
CATEGORIE DIPLÔME d’envoi des dossiers AUDITION devant des personnes recrutées
REQUIS de candidature (*) la commission (prévisionnelle)
de recrutement
(sur convocation)
C Pas de diplôme requis 29 février 2023 à 23h59 Avril - Mai 2024 Septembre 2024
Test d’anglais obligatoire
(*) heure d’envoi du courrier électronique faisant foi.

Les personnes intéressées devront adresser au ministère de l’Europe et des affaires étrangères, direction des
ressources humaines, Taskforce Egalité diversité, par courrier électronique uniquement à l’adresse ci-après
recrutement-egalite-diversite.dga-drh@diplomatie.gouv.fr, les pièces suivantes pour la constitution de leur
dossier :
– une lettre de motivation ;
– un curriculum vitae précisant leur formation et leurs compétences ;
– la copie d’une pièce d’identité en cours de validité ;
– toute attestation pertinente, hors contrat, justifiant des expériences professionnelles, du niveau en langues
étrangères (notamment anglais), des stages et des formations diplômantes, actuels et antérieurs, des
attestations d’employeur avec appréciations qualitatives, tout autre document de nature à justifier la situation
actuelle du candidat ou de la candidate (stages, attestation de chômage, etc.) ;
– un justificatif de la reconnaissance du handicap en cours de validité : conformément à l’article L. 5212-13 du
code du travail, ce document peut être, selon le cas : la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé
(RQTH), le justificatif du versement d’une rente d’accident du travail ou de maladie professionnelle pour une
incapacité permanente au moins égale à 10 %, le justificatif d’une pension d’invalidité correspondant à une
réduction d’au moins 2/3 de la capacité de travail ou de gain, le justificatif d’une pension militaire d’invalidité,
le justificatif d’une allocation ou d’une rente d’invalidité attribuée dans les conditions définies par la loi
no 91-1389 du 31 décembre 1991 relative aux sapeurs-pompiers volontaires, le justificatif du versement de
l’allocation aux adultes handicapés, ou la copie de la carte mobilité inclusion comportant la mention
« invalidité » définie à l’article L. 241-3 du code de l’action sociale et des familles. Conformément au décret
no 2016-1849 du 23 décembre 2016 relatif à la carte mobilité inclusion, la copie de la carte d’invalidité
délivrée avant le 1er juillet 2017 constitue également un justificatif recevable.
Les personnes intéressées indiqueront également, avec précision et de façon lisible, leurs coordonnées : adresses
postale et électronique et numéros de téléphone fixe et portable. Les candidats et les candidates veilleront à
informer l’administration de tout changement de coordonnées.
Tout dossier incomplet ne sera pas retenu.
Conditions d’inscription
Les candidats et les candidates ne doivent pas avoir la qualité de fonctionnaire et doivent remplir les conditions
générales d’accès aux emplois publics :
– être de nationalité française ou détenir la nationalité de l’un des Etats membres de l’Union européenne ou
d’un autre Etat partie à l’accord sur l’Espace économique européen. Les candidats et les candidates en
instance d’acquisition de l’une de ces nationalités sont informés que celle-ci devra être obtenue au plus tard au
moment de la titularisation ;
– jouir de leurs droits civiques ;
– ne pas avoir fait l’objet de condamnations inscrites au casier judiciaire.
Procédure de sélection et de recrutement

Une première sélection des candidatures sera effectuée au vu des dossiers envoyés.
Les personnes sélectionnées seront convoquées à des entretiens individuels lors d’une commission de
présélection.
Les candidats et candidates retenus par la commission de présélection devront effectuer un test d’anglais
organisé par le service linguistique du ministère de l’Europe et des affaires étrangères, puis seront reçus par la
commission de recrutement. La commission de recrutement établira la liste des candidats et candidates reçus.
Les éventuels besoins d’assistance spécifique, d’aménagement ou matériel particulier pour les entretiens de
présélection et de recrutement devront être justifiés par la présentation d’un certificat médical qui précisera la
nature des aides humaines et/ou techniques demandées.
Les candidats et les candidates recrutés bénéficieront d’un contrat de droit public d’un an, à l’issue duquel
l’administration les auditionnera et se prononcera sur leur aptitude professionnelle. Le cas échéant, ils et elles
seront titularisés après décision de l’autorité investie du pouvoir de nomination. Dans le cas contraire, leur contrat
pourra éventuellement être renouvelé pour une durée maximale d’un an avant un nouvel examen par la
commission.
Les agents et les agentes recrutés seront affectés à Paris ou à Nantes et pourront, par la suite, recevoir des
affectations à l’étranger.
Pour plus de renseignements : vous pouvez consulter le site www.diplomatie.gouv.fr (rubriques « emplois,
stages, concours », « personnes en situation de handicap ») ou contacter la Taskforce Egalité diversité de la
direction des ressources humaines (recrutement-egalite-diversite.dga-drh@diplomatie.gouv.fr).
Le MEAE s’engage résolument pour la diversité, l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes et la
lutte contre les discriminations. Si vous pensez avoir fait l’objet d’une discrimination, d’agissement sexiste ou de
violence sexuelle dans le cadre d’une candidature à un recrutement, vous pouvez contacter la cellule ministérielle
d’écoute : tolerance.zero@diplomatie.gouv.fr.
Avis du 23 novembre 2023 modifiant l’avis du 14 octobre 2023 relatif à l’organisation des
examens de l’enseignement technique agricole du ministère de l’agriculture et de la
souveraineté alimentaire (session 2024)
NOR : AGRE2332046V
Après le premier alinéa de l’avis du 14 octobre 2023 relatif à l’organisation des examens de l’enseignement
technique agricole du ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire (session 2024), il est inséré un
alinéa ainsi rédigé :
« Par dérogation aux dispositions du premier alinéa ci-dessus, les candidats non scolarisés dans un établissement
d’enseignement public ou privé sous contrat disposent d’un délai complémentaire fixé au 15 décembre 2023 minuit
pour procéder à leur inscription selon la réglementation en vigueur en vue de présenter un examen de
l’enseignement technique agricole. »
L’avis du 12 septembre 2023 relatif à l’organisation des examens de l’enseignement technique agricole du
ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire (session 2024), diffusé au Bulletin officiel du ministère
de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire du 14 septembre 2023 est abrogé.

Avis de vacance de l’emploi

de directeur interdépartemental des routes Nord
NOR : TREK2333079V
Est vacant, au ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires (MTECT), l’emploi de
directeur interdépartemental des routes Nord (DIR Nord).
L’emploi est localisé à Lille.
Présentation de la direction, enjeux et responsabilités

Service déconcentré de l’Etat, la DIR Nord gère un réseau routier de 1 100 kilomètres qui s’étend sur 7
départements des régions Hauts-de-France et Grand Est. Le service comporte 20 implantations géographiques et
emploie plus de 600 agents. Le siège de la direction est situé à Lille.
Le réseau stratégique est composé de voies rapides urbaines au sein des agglomérations, notamment la
Métropole Européenne de Lille, d’autoroutes et de routes interurbaines importantes pour la desserte des pôles
d’activité et pour l’aménagement du territoire. Ce réseau exige un haut niveau d’exploitation garantissant une
disponibilité optimale des infrastructures. Certaines de ces infrastructures connaissent des niveaux de trafic très
élevés faisant de la continuité de service un enjeu tout particulier de la DIR Nord.
Le maillage des implantations géographiques du service rend essentiels les enjeux de pilotage et de management
notamment dans la qualité du dialogue social. Cela exige une direction dynamique, réactive et disponible. Du fait
de la forte exposition des agents aux risques routiers, une attention particulière doit être portée au management de
la santé, sécurité au travail.
Dans le domaine de l’exploitation, et de la maintenance des infrastructures existantes, la direction dispose d’un
budget annuel de 90 M€. A ce titre, la DIR Nord déploie un plan de sobriété énergétique et s’inscrit, aux côtés
des DREAL, dans la mise en œuvre des politiques publiques de préservation de la biodiversité, de préservation des
ressources en eau, de résilience des infrastructures au changement climatique et de décarbonations des transports.
Pour le compte des DREAL, la DIR Nord s’appuie sur une ingénierie routière intégrée de qualité afin de
poursuivre le développement et la modernisation du réseau avec une attention particulière pour l’insertion
environnementale des infrastructures, la transition écologique et la transition énergétique des mobilités routières.
En particulier, le réseau urbain de la DIR Nord la conduit à être force de propositions et de mise en œuvre des
évolutions d’usages de la route : voies réservées aux transports en communs et au covoiturage, aménagements pour
les mobilités actives, dispositifs d’incitation au report modal…
Enfin, la direction s’inscrit dans le réseau des 11 DIR exploitant ensemble le RRN non concédé. Avec le pilotage
et l’appui de la direction des mobilités routière, ce réseau répond aux enjeux d’harmonisation des pratiques, de
représentation de la communauté routière dans les structures et instances ministérielles comme extra-ministérielles
et doit permettre une part de mutualisation pour une plus grande robustesse des organisations.
Missions
En tant que chef d’un service déconcentré de l’Etat, le directeur ou la directrice est l’interlocuteur des autorités
locales (préfets, élus, etc.) pour tous les sujets ayant trait au fonctionnement et à l’impact du réseau routier national
non concédé que ce soit en période de fonctionnement courant ou en période de crise ; il ou elle propose au préfet
coordonnateur des itinéraires routiers les actions nécessaires dans ce cadre.
Le directeur ou la directrice est le relai de la direction des mobilités routières pour la mise en œuvre des
politiques concernant le réseau routier national (entretien, exploitation, pilotage et réalisation des projets). Il ou elle
participe au réseau des directeurs DIR et peut être amené à représenter le réseau au sein de différentes instances ou
structures. Il peut être amené à piloter des dossiers d’échelle nationale pour le compte de la DMR.
Le directeur ou la directrice est le porteur des réformes au sein de sa direction.
Interlocuteur des directeurs de DREAL et des autres services de l’Etat dans les territoires, il ou elle travaille plus
particulièrement avec les DREAL au développement et à l’amélioration du réseau routier national non concédé.
Le directeur/la directrice est garant du bon fonctionnement du service (dialogue social, sécurité et santé au
travail, compétences, optimisation des moyens, relations avec les partenaires, etc.).
Pour ce faire, il ou elle définit et anime le pilotage et le management. Il ou elle préside le comité de direction du
service et les différentes instances de dialogue social (CSA local et formation spécialisée SST). A cet égard, il ou
elle assume la responsabilité pleine et entière des actions dont il ou elle a la charge ou pour lesquelles il a
délégation : ordonnateur secondaire, responsable du pouvoir adjudicataire, délégataire en matière de gestion du
service et des personnels (selon les statuts : promotions, sanctions, gestion des mutations, etc.).
Compétences recherchées, nature et niveau d’expériences professionnelles attendues

A la tête d’un service de plus de 600 agents, dont près de 350 personnels d’exploitation, le candidat ou la
candidate devra disposer d’une expérience professionnelle solide et diversifiée intégrant en particulier :
– de solides compétences managériales ;
– une forte expérience en matière d’encadrement et de dialogue social ;
– une capacité à gérer les situations de crise inhérentes à l’activité opérationnelle du service (épisodes
climatiques, accidents…) ;
– une connaissance des problématiques routières, dont le candidat ou la candidate devra maîtriser les principaux
enjeux, techniques et environnementaux, ainsi qu’en matière de sécurité routière et de communication et
d’information vis-à-vis des usagers.
Le candidat ou la candidate représentera le service à l’extérieur, notamment auprès des préfets, des élus et des
autres services du MTECT (DREAL, organismes du réseau scientifique et technique). L’éloignement des contacts
internes ou externes demande une forte disponibilité et génère des déplacements importants et fréquents.
Personnes à contacter
Mme Sandrine CHINZI, directrice des mobilités routières, tél. : 01-40-81-17-76.
M. Jean-Renaud GELY, adjoint à la directrice des mobilités routières, tél. : 01-40-81-12-39.
M. Laurent TAPADINHAS, délégué ministériel à l’encadrement supérieur, tél. : 01-40-81-18-61.
Les candidatures, accompagnées d’un curriculum vitae, d’une lettre de motivation et d’un état des services,
doivent être adressées, dans un délai de trente jours à compter de la date de publication du présent avis au Journal
officiel, au ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, uniquement et impérativement par
voie électronique aux adresses suivantes :
– des.sg@developpement-durable.gouv.fr ;
– sandrine.chinzi@developpement-durable.gouv.fr ;
– jean-renaud.gely@developpement-durable.gouv.fr.
AVIS DIVERS

Avis relatif à la désignation de membres

de la commission des infractions fiscales
NOR : ECOZ2333165V
En application de l’article 1741 A du code général des impôts, sont désignés membres titulaires de la
commission des infractions fiscales :
Membres titulaires élus par la chambre du conseil en formation plénière de la Cour des comptes
Mme Agnès DELETANG, conseillère maître, en remplacement de Mme Maud CHILD.
M. Jean-Yves MARQUET, conseiller maître, en remplacement de M. Patrick SITBON.
M. Christian COLIN, conseiller maître, en remplacement de M. Jean-Michel LAIR.
ANNONCES
Les annonces sont reçues à la direction de l’information légale et administrative
Demandes de changement de nom : téléprocédure sécurisée
Fiche pratique disponible sur https://psl.service-public.fr/mademarche/pub-changement-nom/demarche
Autres annonces : annonces.jorf@dila.gouv.fr

ou
DILA, DIRE JOURNAUX OFFICIELS, TSA No 71641, 75901 PARIS CEDEX 15
(L'Administration décline toute responsabilité quant à la teneur des annonces.)
DEMANDES DE CHANGEMENT DE NOM

(textes 119 à 130)
En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et

R. 221-16 pris après avis de la CNIL, du code des relations
entre le public et l’administration, les actes individuels relatifs
à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés
au Journal officiel de la République française, que dans des
conditions garantissant qu’ils ne font pas l’objet d’une
indexation par des moteurs de recherche.
Les actes concernés sont accessibles sur le site Légifrance en
"Accès protégé"
ISSN 2261-5385 La Directrice de l’information légale et administrative : Anne DUCLOS-GRISIER

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Mercredi 6 décembre 2023 / N° 282

Décrets, arrêtés, circulaires

1 Décret no 2023-1132 du 4 décembre 2023 modifiant le décret no 2022-990 du 7 juillet 2022

ministère de l’économie, des finances

5 Décret no 2023-1133 du 4 décembre 2023 modifiant l’annexe I au décret no 2007-1665 du

ministère de l’intérieur et des outre-mer

9 Décret no 2023-1134 du 4 décembre 2023 portant modification du décret no 2010-1068

14 Arrêté du 17 novembre 2023 portant extension et transformation d’un établissement de

ministère des armées

16 Arrêté du 23 novembre 2023 désignant les matériels de guerre et matériels assimilés

ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion

18 Arrêté du 1er décembre 2023 portant délégation de signature (cabinet)

ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse

19 Décret no 2023-1135 du 5 décembre 2023 relatif aux titres-repas du volontaire et chèques-repas

ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire

20 Arrêté du 20 novembre 2023 désignant une opération de restructuration au sein de l’Institut

ministère de la transition écologique

ministère de la santé et de la prévention

ministère de la transformation et de la fonction publiques

ministère de l’économie, des finances

ministère de l’intérieur et des outre-mer

ministère des armées

ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion

ministère de la transition écologique

70 Arrêté du 30 novembre 2023 portant nomination de membres au comité d’orientation du fonds

ministère de la santé et de la prévention

ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion

Autorité de contrôle prudentiel et de résolution

Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique

Autorité de régulation des communications électroniques,

Centre national de la fonction publique territoriale

Commissions mixtes paritaires

avis de concours et de vacance d'emplois

ministère de l’Europe et des affaires étrangères

ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire

ministère de la transition écologique

ministère de l’économie, des finances

Décrets, arrêtés, circulaires

Décret no 2023-1132 du 4 décembre 2023 modifiant le décret no 2022-990

Publics concernés : administrations, tous publics.

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires

Arrêté du 13 novembre 2023 relatif à l’approbation de la modification

Décrets, arrêtés, circulaires

Arrêté du 15 novembre 2023 modifiant l’arrêté du 31 mars 2023 portant répartition

Eaux des îles

Navires non adhérant

à une organisation de producteurs

Les pêcheurs d’Aquitaine

Fonds régional d’organisation du marché

nales des zones

Navires non adhérant

à une organisation de producteurs

Les pêcheurs d’Aquitaine

Coopérative Bretagne-Nord (COBRENORD)

Fonds régional d’organisation du marché

Fonds régional d’organisation du marché

III a non com­

VII b, c,e-k, VIII,

zones XII et XIV

Navires non adhérant

à une organisation de producteurs

0,0 à l’organisation de producteurs

III a non com

III a non com