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Introduction .............................................................................................................................. 3
Contexte .................................................................................................................................. 3
Problématique ......................................................................................................................... 4
Cahier des charges .................................................................................................................. 5
1. Modélisation du convertisseur ............................................................................................ 6
1.1. Représentation triphasée .................................................................................................. 6
1.2. Représentation monophasée ............................................................................................ 7
2. Implantation du modèle sous Matlab-Simulink ................................................................ 8
2.1. Mise en équation .............................................................................................................. 8
2.2. Création du schéma bloc .................................................................................................. 9
2.3. Simulation en boucle ouverte ........................................................................................ 10
3. Commande du convertisseur ............................................................................................. 12
3.1. Génération de la consigne d’entrée................................................................................ 12
3.2. Calcul de la puissance de référence ............................................................................... 13
3.3. Résultats avec la consigne de puissance ........................................................................ 15
4. Etude de la conversion en triphasé ................................................................................... 16
4.1. Présentation du modèle et mise en équation .................................................................. 16
4.2. Exploitation des résultats ............................................................................................... 19
4.3. Améliorations du modèle triphasé ................................................................................. 23
Conclusion ............................................................................................................................... 24
Bibliographie - Webographie ................................................................................................ 25
Annexes ................................................................................................................................... 26
Introduction
Contexte
Problématique
Depuis la découverte de la transmission HVDC (High Voltage Direct Current) dans les
années 1930 et après la première que la première ligne ait été construite en 1951 dans le nord
de l’Europe, ce choix de l’alternatif a été remis en cause du fait des nombreux avantages
qu’offrirait un réseau continu. Dans un premier temps, le transport du courant alternatif sur
longue distance développe, par effet capacitif des effets déstabilisants. Dans un second temps,
le fait d’utiliser le continu implique que l’on utilise uniquement deux lignes conductrices, ce
qui est un élément économique intéressant. Enfin, le raccordement à différents réseaux
s’effectue plus facilement en comparaison des transmissions alternatives où l’on trouve des
fréquences et des phases différentes.
Cependant, autant la technologie permet de créer des convertisseurs DC/AC (ainsi que
AC/DC) de très hauts niveaux de tension et de puissance (quelques GW et quelques kV),
autant il est impossible à l’heure actuelle de réaliser des convertisseurs DC/DC à de tels
niveaux d’énergie. C’est pourquoi dans le cadre de ce projet, on souhaite proposer une
solution pour palier à ce problème. La solution envisagée consiste à passer par l’intermédiaire
de l’alternatif pour effectuer l’élévation de tension. En effet, afin de réaliser le convertisseur
DC/DC, celui-ci sera construit à l’aide de deux convertisseurs (un DC/AC et un AC/DC) dont
les technologies de fabrication sont bien connues.
En revanche, le fait de réaliser un tel convertisseur n’en fait pas pour autant une
solution parfaite. Ce qui fera l’étude de ce projet, ce sera également d’assurer la commande
des deux convertisseurs internes. Plus précisément, il s’agira d’observer comment le système
réagit lors des périodes transitoires du transport d’énergie, lors du démarrage par exemple,
mais également lors d’évènements imprévus tels que des cours-circuits afin de piloter les
convertisseurs et gérer leurs commandes afin d’éviter tout dérèglement ou dépassement de la
commande souhaitée. Cette étude s’effectuera tout d’abord en monophasé puis en triphasé
afin de se rapprocher au mieux de la réalité.
1. Modélisation du convertisseur
Etant donné que la technologie moderne ne permette pas encore d’effectuer des
conversions DC/DC directes à de hauts niveaux de tension et de puissance, il est possible de
contourner ce problème en utilisant des intermédiaires. Une solution envisageable dans le
cadre de ce projet, du fait de la connaissance de la technologie MMC (Modular Multi-Level
Converter) qui permet de réaliser des conversions de l’ordre du GW et de centaines de kV, est
de passer par l’intermédiaire des convertisseurs DC/AC et AC/DC. Ci-dessous sont
représentées ces deux alternatives.
Dans le cadre de ce projet, c’est la solution comportant le circuit L-C-L qui sera
adoptée et étudiée. Nous nous intéressons dans un premier temps à une liaison monophasée
dont nous considérons les convertisseurs DC/AD et AC/DC comme parfaits. Cela signifie
qu’il n’y a pas de pertes au sein du convertisseur et que la tension de sortie est simplement
proportionnelle à la tension d’entrée, soit : Vsortie = m Ventrée (avec m : un indice de
modulation.). La figure 3 montre la structure qui sera adoptée.
Tensions :
o VDC1 : tension continue bas niveau
o V1 : amplitude maximale de la tension alternative bas niveau
V1 (t) = V1 sin (ωt)
o VDC2 : tension continue haut niveau
o V2 : amplitude maximale de la tension alternative haut niveau
V2 (t) = V2 sin (ωt + φV2)
o VC : tension aux bornes du condensateur
Courants :
o i1 (t) : courant de l’inductance L1
i1 (t) = I1A cos (ωt + φ1) = Re (I1)
o i2 (t) : courant de l’inductance L2
i2 (t) = I2A cos (ωt + φ2) = Re (I2)
Convertisseurs :
o m1 : indice de modulation du convertisseur DC/AC
m1 =
o m2 : indice de modulation du convertisseur AC/DC
m2 =
Soit:
(1)
(2)
Donc :
(3)
C’est avec ces équations que le schéma bloc va pouvoir être réalisé en utilisant des
éléments simples. On peut distinguer 5 parties : le convertisseur DC/AC, l’inductance L1, le
condensateur, l’inductance L2 et le convertisseur AC/DC. Chacune de ces parties est régie par
une équation mathématique et il sera aisé de réaliser une représentation énergétique
macroscopique (REM) pour démontrer le fonctionnement global.
o L1 = 20.6 mH ; r1 = 167 mΩ
o L2 = 20.6 mH ; r2 = 167 mΩ
o C = 0.54542 µF
Dans cette configuration, nous pouvons observer les perturbations lors du régime
transitoire. Au démarrage, des pics d’intensité environ 12 fois plus élevés que lors du régime
établi surviennent ainsi qu’une élévation de la tension VC qui elle, s’élève à environ deux fois
sa valeur en régime établi. Ce sont ces surtensions et ces surintensités qui peuvent
endommager le système et qu’il faut éviter.
Nous pouvons également noter que la tension VC adopte une forme non souhaitée qui
n’est pas totalement une sinusoïde, ce qui pourrait altérer le résultat de la conversion AC/DC
et fournir une tension non différente que celle désirée en sortie. C’est ce que montre la figure
6.
Après cette simulation, nous sommes donc confrontés à deux problèmes majeurs qui
sont l’allure non sinusoïdale et l’élévation des tensions et des courants au démarrage. C’est
donc ces deux problématiques qu’il s’agira de pouvoir maîtriser.
Dans le cadre de ce projet, il est également important d’étudier la réaction du système
face à un imprévu tel qu’un court-circuit. Pour cela, on décide de fixer VDC2 à 0 à la moitié du
temps de la simulation. On souhaite voir de quelle manière réagissent les courants ainsi que la
tension. La figure 7 nous montre ce que nous pouvons constater.
On peut noter qu’à l’instant du court-circuit, c’est le courant I2 qui subit un pic
d’intensité alors même qu’il était proche de 0. D’autre part, ce courant atteint une valeur de
l’ordre du GA, ce qu’aucun appareil ne pourrait supporter et ce qui entraînerait la destruction
de l’installation. Cette anomalie peut mettre en péril la sureté du fonctionnement de tout le
système et doit donc aussi pouvoir être contrôlée.
3. Commande du convertisseur
Maintenant que les défauts qui apparaissent au sein de notre modèle ont pu être
identifiés, on propose, pour palier à ces anomalies, de réaliser une stratégie de commande
pour réaliser notre transport d’électricité sans encombre. Le convertisseur DC/DC total doit
assurer le transfert de puissance sans mettre en danger le réseau alternatif interne. Une
stratégie utilisée de nos jours consiste à imposer des indices de modulation (m 1 et m2) en
fonction d’une puissance active de référence que l’on souhaite fournir (car nous restons dans
le cas où la puissance réactive est nulle). Celle-ci étant comparée à la puissance mesurée en
temps réel dans le système afin de régler en temps réel la modulation des convertisseurs.
Il est important de définir la manière avec laquelle nous allons pouvoir jouer sur les
indices de modulation. La solution envisagée qui consiste à fournir en entrée une puissance de
référence est la plus simple et la plus appropriée à notre étude. Pour expliquer cela, il est
important d’établir l’expression de la puissance active au sein du système :
(4)
De cette expression, nous pouvons voir que lorsque la puissance active change, il
existe plusieurs possibilités pour adapter le système en jouant sur les différents paramètres L1,
L2, C, V1, V2, ω, et φV2. En revanche L1, L2 et C sont des paramètres fixes et ne sont pas
supposés changer durant la simulation. D’autre part, ω dépend de la fréquence de
fonctionnement qui n’est pas censée fluctuer non plus. Ainsi, les différents paramètres sur
lesquels nous pouvons jouer sont V1, V2 et φV2.
Il y a donc deux choix de configuration pour adapter notre système ; soit jouer sur V1
et V2 soit sur φV2. Dans [1], D. Jovcic établit que de dans nos conditions d’étude, pour obtenir
des puissances réactives nulles, nous devons avoir :
(5)
Avec :
o k1 = 1 – L2 C ω
o k2 = 1 – L1 C ω
L’équation (4) signifie que, si l’on choisit de jouer sur l’angle φV2, nous jouons
directement sur des paramètres qui sont fixes et censés être de telle sorte que nous soyons
dans des conditions optimales de fonctionnement.
Heureusement, la dernière solution est la plus convenable. Etant donné que nous
souhaitons jouer sur les indices de modulations et que les tensions V1 et V2 sont directement
liées à m1 et m2, cela nous permet d’effectuer notre commande sans affecter aucun autre
paramètre de notre système.
Maintenant que nous savons de quelle manière influer sur notre système et dans le but
d’effectuer la simulation sur Matlab-Simulink, il s’agit désormais d’établir l’équation qui met
en relation notre puissance de référence en fonction des tensions V1 et V2 qui elles mêmes
sont fonctions des indices de modulation. A partir de la structure donnée par la figure 3 et des
équations fournies précédemment nous obtenons le raisonnement suivant :
Simplifions l’équation (5) exprimant l’angle φV2 en admettant qu’il ne peut pas y avoir de
valeurs négative pour la puissance active P ; une façon plus simple d’écrire φV2 serait la
relation suivante :
(6)
Avec :
o
Dans nos conditions de simulation, D. Jovcic montre également dans [1] la relation suivante :
(7)
Cette relation est très simple à écrire et va nous permettre, en utilisant (6), de pouvoir l’écrire
en fonction de nos paramètres physiques. Cela implique :
(8)
(9)
(10)
(11)
L’équation (11) démontre que la puissance de référence que l’on applique à notre
système dépend de L1, L2, C, w qui ne sont pas des variables. Nos seules variables sont donc
m1 et m2 puisqu’ils dépendent de V1 et de V2, eux-mêmes reliés à S. Il est donc désormais
possible d’insérer cette opération dans notre schéma bloc et de placer en entrée les indices de
modulation de référence à la place de ceux déjà présents.
La figure 8 présente le bloc à insérer an amont de notre schéma bloc et qui permettra
de générer dans un premier temps des tensions de référence pour créer des indices de
modulation de référence qui remplaceront ceux utilisés auparavant. Le schéma que nous
modélisons donc est celui de la figure 9.
Pour réaliser cette simulation, on décide de fixer Pref à 109 W. Il s’agira de vérifier
dans un premier temps si la puissance active au sein du système suit bien notre consigne. La
figure 10 ci-dessous présente également l’allure du courant I2 ainsi que la tension VC après
implémentation du contrôle des indices de modulation dans la simulation, dans le but de
vérifier si les défauts perçus précédemment ont été modifiés.
Suite à cette simulation nous pouvons décrire plusieurs améliorations notables. Tout
d’abord, les surintensités et les surtensions qui survenaient lors de la mise en route ont été
corrigées. Ceci renforce la sureté de notre système au démarrage. On constate également que
la puissance d’entrée suit bien notre consigne. De plus, la tension VC adopte désormais une
forme sinusoïdale. On peut toutefois remarquer qu’il existe un certain temps d’établissement
(quelques dixièmes de seconde) mais qu’il est toutefois relativement court pour ce genre
d’application.
Après avoir effectué une première approche de l’étude par le biais du monophasé, ce
qui a permis notamment d’identifier les problèmes qui peuvent survenir durant le
fonctionnement du système, il s’agit de s’attarder sur une problématique plus proche de la
réalité et d’en étudier les aspects à savoir, la transmission triphasée.
Dans notre schéma, nous ne faisons apparaître que deux indices de modulation par
convertisseur ainsi que deux tensions alternatives en sortie ou en entrée de ceux-ci pour plus
de clarté.
Afin de passer à la mise en équation, nous nous plaçons dans des conditions identiques
à l’étude monophasée, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de puissance réactive au sein du système et
que les convertisseurs sont considérés parfaits
Afin de bâtir notre REM et d’effectuer une simulation, il s’agit de mettre en équation
le schéma de la figure 12. Pour cela, on découpe la figure en 5 parties : le convertisseur
DC/AC, la première partie inductive, la partie capacitive, la deuxième partie inductive et le
convertisseur AC/DC.
Nous allons nous intéresser dans ce cas à un système de deux équations reliant les tensions de
sortie et d’entrée. Il faut noter également, et cela sera utile pour effectuer des simplifications
dans les équations, que la somme des courants présents est nulle, soit I3 = - I1 - I2.
Afin d’établir ce bloc pour notre REM sur Matlab-Simulink, il est nécessaire de constituer un
système d’équation prenant en entrée V13, V23, V’13 et V’23. Commençons par décrire les
équations de la maille présentée en figure 13 :
En utilisant notre loi sur les courants (I3 = - I1 - I2), nous obtenons :
(12)
Afin d’éviter une notation lourde et dans le but de créer des schémas bloc sur le logiciel, nous
passons l’équation (12) sous forme matricielle :
(13)
Nous obtenons finalement le schéma bloc à implanter pour cette partie de notre système :
(14)
(15)
Maintenant que nous avons pu obtenir les équations qui permettent de créer notre
modèle, on implante un nouveau système sous Matlab-Simulink en se plaçant dans les même
conditions que lors de la simulation monophasée (les valeurs des inductances sont égales ainsi
celles des condensateurs également). Le fichier d’initialisation est également disponible en
annexe 5.
Enfin les tensions composées V31, V64 ainsi que les courants I3 et I6 ne sont pas
représentés puisqu’ils dépendent des autres (par exemple I3 se trouve être une somme de I1 et
I2).
Les figures ci-dessous montrent quelles allures possèdent les courants ainsi que les
tensions dans notre modèle :
Ce que nous pouvons tirer de ces résultats, c’est que premièrement, et contrairement à
la simulation en monophasé, nous avons dès le départ des courants et des tensions d’allures
sinusoïdales. C’est un point intéressant puisque à ce niveau là, nous n’aurons pas en sortie une
tension qui adopte une forme non souhaitée. En revanche nous avons toujours à faire à des
pics de tensions et de courants lors du démarrage qui eux peuvent être vraiment dangereux
pour la sûreté de l’installation. On remarque aussi que le temps d’établissement vers le régime
établi est beaucoup plus long qu’en monophasé mais encore une fois, pour ce genre
d’utilisation, c’est un temps qui reste correct (sur cette simulation de 1 s, le régime est établi
vers 0.4 s).
On peut noter également que les courants I2, I4 ainsi que la tension VC13 ne semblent
pas souffrir d’un quelconque problème et restent constants du début à la fin.
Après cette analyse, nous pouvons remarquer que les problèmes à résoudre sont
sensiblement les mêmes qu’avec notre liaison monophasée. On propose donc d’effectuer
également la démarche de contrôler les indices de modulation en imposant une puissance
active de référence à notre modèle (toujours de 109 W) afin d’obtenir les deux vecteurs
et . Il s’agira de voir si cette méthode permet toujours de palier au problème
des courants forts lors de la mise en route.
Après avoir appliqué notre puissance de référence pour jouer sur nos indices de
modulation, nous avons pu corriger les problèmes qui apparaissaient au démarrage. En effet,
les tensions et les courants que l’on souhaitait corriger l’ont été. On voit clairement que lors
du démarrage, les surtensions et les surintensités ont disparues et permettent donc d’assurer la
fiabilité de notre système. Le temps d’établissement a légèrement pu être amélioré également
(environ 0.1 s).
On peut dire que pour ce problème de protection des installations au démarrage, notre
correctif est adapté puisqu’il nous apporte un courant nul à t = 0, des tensions sinusoïdales
tout au long du fonctionnement et qu’enfin il permet de répondre assez rapidement à notre
commande. Il est tout de même important de dire que ce contrôle devrait être fait en parallèle
d’une autre commande réalisée avec une puissance réactive de référence cette fois-ci.
Bien qu’ils ne soient pas montrés ici, les courants composés et les tensions composées
se voient également être corrigés. Cela est dû au fait de leurs dépendances envers les variables
qui ont été améliorées.
Tout d’abord, nous avons toujours négligé la puissance réactive au sein du système qui
est pourtant bien présente. En revanche cela nous a beaucoup simplifié les calculs et permis
d’effectuer notre commande. Il faut noter qu’en réalité, la commande de la modulation se fait
bel et bien par ces deux puissances (active et réactive). Ensuite, c’est la résistance liée aux
condensateurs qui à été négligée (alors qu’elle est présente pour les inductances) mais cela ne
change pas le cadre de la simulation. D’autre part, nous avons décrit dans notre étude que les
convertisseurs DC/AC et AC/DC étaient parfaits alors que ce n’est pas vrai en réalité. Ces
convertisseurs n’ont évidemment pas un rendement de 100 % car les éléments qui les
constituent (thyristors par exemple) possèdent des pertes. Dans le cas d’une étude plus
poussée, on pourrait s’attarder sur l’établissement de la relation qui lie l’entrée à la sortie d’un
convertisseur en prenant en compte ce paramètre. Il serait judicieux également de vérifier si le
fait de choisir un convertisseur plutôt qu’un autre impacte le fonctionnement du système
global.
Conclusion
En ce qui concerne le cahier des charges et son avancement, chaque partie a été
abordée et traitée. L’étude de la transmission monophasée a été menée à son terme. Quant à
l’étude de la liaison triphasée, elle a été entamée et bien étudiée. La simulation sur Matlab a
été faite et une première solution de correction a été apportée, bien que le correcteur ne palie
pas à tous les problèmes car ceux-ci n’ont pas tous été cernés.
Bibliographie – Webographie
[1] JOVCIC, Dragan, and Lu ZHANG. "LCL dc/dc converter for dc grids." Power
Delivery, IEEE Transactions on 2013, vol. 28, no. 4, p. 2071-2079.
[2] LIN, Weixing, and Dragan JOVCIC. "LCL and L-VSC Converters With DC Fault
Current-Limiting Property and Minimal Power Losses." Power Delivery, IEEE
Transactions on 2014, vol. 29, no. 5, p. 2359-2368.
[3] GUIBORAT, Cyril. “DC/DC converters for HVDC grids”, L2EP, Bibliographic
research (2015).
[4] MACILWAIN, Colin. "Supergrid". Nature, 2010, vol. 468, no 7324, p. 624-625.
[5] LIN, Weixing, and Dragan JOVCIC. "LCL and L-VSC Converters With DC Fault
Current-Limiting Property and Minimal Power Losses." Power Delivery, IEEE
Transactions on 2014, vol. 29, no. 5, p. 2359-2368.
[6] Jos Arrillaga, High Voltage Direct Current Transmission, Institution of Electrical
Engineers, 1998 (ISBN 0-85296-941-4)
6] http://www.energy.siemens.com/hq/en/power-transmission/hvdc/
[7] https://fr.wikipedia.org/wiki/Courant_continu_haute_tension
[8] http://www.supergrid-institute.com/