Şcoala Gimnazială Cucuieţi, Bacău Prof. coord. Chiriac Elena Cette période a été très difficile pour les gens du monde entier. Ils étaient tous enfermés dans la maison et ils ne sont pas sortis pendant deux mois. Je vis à la campagne, dans un village à vingt kilomètres de plus proche ville et pendant les mois de confinement j’ai réussi à sortir fréquemment de la maison. La cour et le jardin a été pour moi comme une deuxième maison, car j’étais consciente que ceux qui ne les avaient pas m’enviaient beaucoup. Je ne veux pas et je ne peux pas m’imaginer ce que ce serait si nous ne pouvions pas prendre une bouffée d’air frais. J’ai eu des jours où j’étais très triste parce que je ne pouvais pas voir mes amis et mes proches à cause des règles strictes instituées pendant l’état d’urgence. La police patrouillait sur les chemins du village et personne n’osait pas assumer le risque de sortir de leur cour. Heureusement, personne de ma famille n’a pas été infecté par ce virus, mais je ne veux pas penser à ce que ressentent ceux qui ont été infectés. Cette période a présenté des difficultés pour moi aussi. Chaque matin, j’avais des cours en ligne et pendant les après-midi je m’ennuyais à mort. Je regardais par la fenêtre et je voyais le soleil qui brillait dans le ciel répandant sur la terre des rayons torrides. Les journées étaient chaudes et la rue était déserte. Ce silence et cet état de calme me faisaient mal comme si j’avais peur que quelque chose de mal va se passer. Mon père allait chaque matin au travail et le soir il allait dans les magasins pour acheter ce dont nous avions besoin. Il me racontait que les gens paniqués achetaient beaucoup de produit pour les stocker dans leur débarras. C’est pour cette raison qu’à un moment donné on ne pouvait pas trouver de levure. Le temps passait assez lentement et il me semblait, des fois, que cela ne durait pas deux, mais plus. Ce virus a détruit non seulement la santé physique des êtres humains, mais aussi leur santé mentale et l’économie de la planète entière. Certains hommes, plus effrayés que d’autres se sont enfermés dans la maison et ils ne sont pas sortis plusieurs mois. Cette pandémie m’a fait me soucier davantage de ceux qui m’entourent et être meilleur avec tout le monde.
2 - Étude Par Questionnaire de La Connaissance Des Facteurs de Risques Psychosociaux Et de L'exercice en Accès Direct Pour La Lombalgie Commune Chez Les Masseurs-Kinésithérapeutes Libéraux