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ri

ilJ 3.8. Algèbrc ct anahsc


flT Trois thèmes généraux se dégagent en classe de première SM :

i, . calcul littéml,
l
*tjj . organis;ation de données,
. analyse.
NT
u Colcul litt&ol
Cette rubrique vise autant la maltrise d'une (relative) virtuosité dans certains calculs- sur§.polynômes
(développe^ment, réduction, factorisation) et les fractions rationnelles, que celle des différentes mé:
mi-
lllt . thodes âe résolution des équations et inéquaüons, des systèmes d'équations ou d'inéquations.
LJL La résoluüon de problèmei concrets, qui permet de donner du sens à des techniques abstraites, reste
(au moment de la mise en équation) un exercice difficile pour l'éiève.
I

Orgonisaüon de données
m LeJ statistiques jouent un rôle important cornme outil d'aide à la prise de décision dans un contexte
donné. il esi cependant importanf de savoir qu'à chaque étape du taitement allant de donné-es obser-
vées à des conciusions statistiques, un gain en signification a pour prix Ia perte d'une partie,des infor-
m mations. Le meilleur moyen pôur les élèves de s;en convaincie est d'avoir eu lroccâsion de trener, au
moins une fois, une étudt stâtistique complète, c'est-à-dire allant du relevé de données à l1élaboration
d'une réponse à une question pos6e au départ.
ll-
#X*i"r"era les acquis sur les fonctions (limites, dérivées, constructions de courbes, ...). Puis l'on
abordera Ia notion de suite qui est un t}ème Rouveau et riche.
m Ces deux thèmes permettront de résoudre de nombreux problèmes concrets etlou historiques.

_l ffi
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:
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il

r 25
."ï.
æ;T:' '

:J,-
1- Barycentre *11

t-
lpoges 5 à 22 du tivre de l'élève)
l,1l
*l-
' Donner un modèle mathématique à des aotions rencontrées en Physique (centre d'inertie, centre de *'l
gravité) ou en Statistique (moyenne pondérée).
' Utiliser I'outil barycentre pour résoudre des problèmes d'aiignements, de concours, de paralléIisme, ,,J
ainsi que de recherche de lieux géométriques et-de lignes de niveau.

ilr
' 'Ce chapitre utilise et réinvesüt les résultats acquis d.ans les classes précéd.entes sur les notions de vec-
teurs et de produit scalaire. ,S"Ai

' Il peut être traité directement et faire I'objet du premier chapitre de Géométrie de I'année ou faire il_
suite au chapitre de Trigonométrie, mais il doit précéder l'étude des transformaüons du plal.
' Le barycentre est avant tout un outil supplémàntaire (s'ajoutant au caicul vectoriel, aux configurations
géoneétriques, aux transformations, à I'outil ana!.ytique, ...) pour résoudre les problèmes ciasslques de
n1
rtlL
géométrie : aligaements, concours, Iieux géométriques.
' Ii faut également indiquer, à l'aide d'exercices, I'utilisation de cet outil d.ans d'autres disciplines, no-
tamment en Statistique, en Physique, en Biologie.
' L!étude du barycentre de n points pondérés n'est pas au prograrnme de Première ; elle sera traitée en
classe de Terminale.

ÏL
Barycentre de 2 points pondérés.
. Défiuition
. Traduire par une égalité vectorielle qu'un point est ili-
le barycentre de 2, 3 ou 4 points pondérés.
. Propriétés : . Reconnaître, à partir d'urË égalité vectorielle, Ie üt
- homogénéité barycentre de 2, 3 ou 4 points pondérés. ui*
- réduction de Ia somm" "fô. + blvln ; . Exprimer un point donné d'une droite (resp. d'un
- ensemble des barycentres de deux points ; plan) comme barycentre de 2 autres points de cette
- coordonnées du barycentre de 2 points ; droite (resp. de 3 autres points du pian). trL
- conservation du barycentre par projection ; . Construire le barycentre de 2 ou 3 points pondé-
rés.
Barycentre de plus de 2 points pondérés . Réduire les expressions de la forme * ffu& ffi_
. Définition --a ---+ ---) "fdt
ou aMA + bMB + cMC.
. Propriétés :
. Utiliser Ie théorème des barycentres partiels " d.ans
- homogénéité ; _-_à
- réduction de Ia somme o.lr{A + bMB + cMC
--,
;
les deux sens " : regroupement et dédoullement (il ilL
sera en particulier utilisé pour construire Ie bary-
- coordonnées du barycentre de 3 points ; centre de 3 points pondérés ou plus).
- théorème des barycentres partiels. . Utiliser I'outil barycentre pour résoudre des pro- ïL
Uülisations du barycentre blèmes d'alignements ou de concours.
. Nature des lignes de niveau : r Déterminer et construire les lignes de niveau :
-Mr-+ c,}i/.-Lz +bMBz (a+b*o). - M'+ aMAz + b}l4Bz (a + b * o) ;
ït_
* M "-+ MAz - MB2.
- M'+ MÂ2 - MB2 ;

-M"
MA M. ï_
MB -M--- MB
"T

96
I

rl ,I

Æ41

El
I

llJ
Exe'rcice.s du cours

---à--"" -.- o.
0' Exercice 1.a 11
E;---+ __) + -+ -) ?
; 2222€A+ 3333GÉ = î ,+ zGA + 3Gb 0 Donc :AG =;^r.
= ->
I Exercice l.b p. 10
l.++--
: On a : AÉ = 7AÉ = 7(æ-G7) <+ oGÂ -7GB= 0. Donc : G = bar{(4,6), (8,-7)}
Remarque: Tout couple de nombres réels (a,b) tels que a = 6lc et b = - 7lc (lc * o) est également solution.

O Exercice 1.c p. 10
on a: æ=+(; &. ôÈ) ; donc i rc =
!e*^+xs)
et a.=!Qa^+vs). Donc,
"(+)
0 Exercice 1.d p. 10
--)^-+?+
Ona:AG=-!--AB=:AB.
2+3 5
On trace une droite graduée (Â) sécante à (AB) en A.
Sur cette droite, on place les points G, et Br, tels que , ÀÇ = 3 et Â8, = 5.
La parallèle à (B1B) passant pü Gr coupe (AB) en G tel que ,Aè = I
m +eâ'Ls "Ê.
{J
I . De même, orr a : AG' =,
^r,
Sur Ia droite graduée (À) sécante à (AB) en A, on place les
u points G, et 82, tels que : AG, = 3 et AB] = Z.
u
La parallèle à (B2B) passant pæ Gz coupe (AB) en G'tel que : At' =; ÀÈ.
m
rl 0 Exercice l.e p. 10
!-J
#ACB
K
-i
l'ï
IJ lffi-gft=6'; donc: A=bar{(8,2), (C,-3)} SHi<- Z]HL= 0-;donc:H =bar{(K,s), (L,- 2)}
â + 4
ti- 33f =o- ; donc : B =bar{(4,1), (C,- 3)} 3KH + 2KL= 0 ; donc : K=bart(H,S), (L,2)}
u fr.+2ffi=o'; doncrC=bar{(4,1),(8,2)}. 3LÉ-5LK= 0'; donc:E=bar{(H,3)'(K,-5)}.
,]J
O Exercice 1.f p.10 ., _ ,
fi Soit C =bar{(4,3), (8,2)l.On a : aC = *aB = i x 10 = 4.
tr 55
SoitD =bar{(A,- 3), (8,i.3)}. On a : an =*AB = -Px 10 = 13.
10 10
t'l
lL ,',1,,,,,i,,,?,,,"'
CD
ô Exercice 2.a p. 16 ---à -+ --) --)
I I

D est I'isobarycentre des points A, B et C, d'où : DA + DB + DC = 0'


:
{i)
(1) €+ -ap+AB-AD+Ae-AD=o (+ AB+AC-3AD=0.
rT Donc, A est Ie barycentre des points pondérés (8,1), (C,L) et (D,- 3).
tJ
O Exercice 2.b p. 16

A
rT
IJ

rT
i"I

I'T
BC
G = bar {(4,1), (8,- 1), (C,1)}. G = bar {(4,3), (8,1), (C,- 1)}.
=4c
G = bar {(4,2), (8,1J, [C,3)i.
i

L.,L

,'"'[
27

,.[,,'-.,r,':r
Ht*
i-... .-'-r I
',l

à^4
l.*

,
: T'',

ô Exercice 2.c p. 16
L--
1.,soit G = bar{(4,1), (8,_ 1),
r+ê.§,1
(C,2)1. (1)
+
Ona: (.r) c+ GA-GB +ZGC - 0 e CG=18À.
2
il
D'où, Ia construction du point G.
2. Soit G = bar{(A,1), (B,z), (C,3)} (z)
Utilisons le théorème des barycentres partiels. I
Soit K = bar{(A,1), (8,2)},
Donc, K est Ie point tel que ,& = ÀÈ.
+d
On a : (2J (+ G = bar{(K,3), (C,g)}. Donc, G milieu de tCKl.
I
D'où, la construcüon du point K, puis celle du point G.

0 Exercice 2.d p. 16
r
i.. ona: sAt=ÀÈ *At;dorrc: G apourcoordonnéer (+,*) o*rterepère (A,B,c)
2. Soit I ,I , K les milieux respectifs de [BC], tCAl, tABl. I
Dans Ie repère (A,B,c) ,"(3) ,B(â)
c(?).
",
Donc,I, J et K ont pour coordonné"r."rp".ti*r (+,i), (0 ,*) " (; , ,)
que les médianes (AI), (BI) et (CK) ontpour équaüons respectives
I
i::i:îaît U =x,U- -|* *|"t
3. Dans le repère (4, B, C), C a pour coordonné"r (â ;f) ; aoo. G appartient à chacune des médianes. il
0 Exercice 2.e p. 16
1. (BB') et (CC') sont deux médianes du triangle ABC, donc G est le centre de gravité de ce triangle. r
2. On a, par exemple : Cl + zCÊ'= et î'
+ zft'= & d A
Donc, pour tout couple (b, c) de réels tels que b + c É 0 :
_ -.> __2 _ _-+ --+ _+
bGB + c GC + ZbGB' + ZIGC' = O'. ,J.*

Donc, G est le barycentre des points (B,b), (C,c), (8, ,Zb) et (C,,2c).

I Exercice 2.f p.16 il


1. Soit A', A" et I Ies milieux respectifs des segments [BC], [8,C,] et [A'A"].
A' est I'isobarycentre des points B et c, A" est l'isobarycentre des points B' et c',
I est I'isobarycentre des points A' et 4". [_
Donc, I est I'isobarycentre des points B, C, B' et C'.
-+-++O++.l
2.ona:IB+rc=zIA'=_Ëo o 2rA+ 3IÉ+3IC= 0. T-
Donc : I = bar {(A,2), (8,3), (C,3)}.
i Exercice 2.g p.1G
f;_
1. Soit (H,S) le barycentre des points (A,- 1) et . Soit (H',5) le barycentre des points (A,t) et (D,+)
(8,+) et (K,3) Ie barycentre des points (C,1) et et (K',5) le baryceutre {es points (8,2) et (C,3J.
(D,Z). Les points H et K sont tels que : I

Les points H' et K' sont tels que : I

+ 4 --+ --) , -->


AH=:AB et CK=;CD, ->a--)?ê AD et BK'
AH' = = :: BC.
=5c5T1 5
Le point G, barycentre des points (H,3) et (K,3) est Le point G', barycentre des poiuts (FI',s) et (K',S)
Ie milieu du segment [HK]. est ie milieu du segment [H'K]1. !l l,

sesment [H'K']. -
JJ

---) 1 -->
I
AG= -: [4AB * Àè * zÀôl ; donc :
6' 4i','r) 11
,]",
-
28
i.i
.l

h
0 Exercice 2.h p. 16
1. Soit I le riilieu de [AB].
t G est alors lebarycentre de (I,2) et (c,2) ; donc : G est Ie milieu de [IC].
2. On a : + Cé =CÂ + CB + ZCC ; ou : CA + CB -4 CG = 0 ;
donc : C = bar{(.{,1),(8,1),(C,- 4)}.
n
I *i:îî:iÀï i,lt,',,o0*ycentre des points A et B. K, milieu de [cD], est
; I'isobarycentre des Points C et D.
Donc, le milieu de tIKl sera I'isobarycentre des points A, B, C et D'
On démontrerait de même que les milieux de [JL]et [MN] sont aussi isobary-
I centres des points A, B, C et D.
Donc, Ies segments [IK], til-]et [MN] ont même milieu'

l i Exercice 3,b p. 19
soit E' = bar {(D,3), (F,- 2)}. 0n a :

l D = bar {(A,r), (8,1)} = b", {(4,}), e,}tt

F = bar t(8,3), (C,r)) = bar {(8,-


;

}t, tC,- }lt.


l D'où : E' = bar {(,r,*), E,*), (r,-
*),
(c,-
+)} =
bar {(4,3), (c,- t;1 = s'
Donc, E = bar {(D,3), (F,- 2)} et les points t, E et F sont alignés.

l 0 Exercice 3.c p. 19
MA2 + MB2 = AB2 <+ M appartient au cercle de diamètre [AB]'

l Donc, l'ensemble des points M est le cercle de diamètre [AB]'

0 Exercice 3.d p. 19
Soit I le milieu de [AB]. â â ---+ --)
MA2 _ MB2 = AB2 <â 0ü-A + MB).(MA - MB) = AB2
<+ züI.fi. = zÀË.1ü = AB2.
Désignons pæ H le proieté orthogonal de M sur la droite (ABJ ;

on a: AB.IM = AB x IH. 4-4-


Donc:I{A'-MB2=AB2 <+ Â-f xI}t=LrABz <+ tH=!AB.
I L,ensemble (E) des points M est ia droite perpendiculaire à (AB) en H tel que., IH =
4-
a ÀB-, c'est-à-dire en B'

I Exercice
I 3.e p. 19
La démarche et les calculs sont an4ogues à ceux de I'exercice précédent.
MA2 - MBz = 2ABz e AB , II{ =fr1.};2
<+ IH = Æ-.

m L'ensemble (6) des points M est I'a droite perpendiculaire


(AB) enHtelque:E=Æ.

il l Exercice 3.f p. 19
MA\fr, =MB e,2MIA2-MB2=0 (1).
Soit G le barycentre des points (,{,2) et (8,- t).
Ona:(f) <"+ MGz= -2,GA2+GB2 <=+ MGz =2ABz <+ MG =ABÿZ
I

L'ensemble (tB) des points M est Ie cercle de centre G et de rayon R = AB\Æ.


rl
lr

29
tt'"t
1.,--

'i

fl :Exercices' d'apprenlissage I

L"*
,.:
BÀnvcENTRE DE DEux potNrs poNDÉnËs I
l_
O Exerrïce 1p. 2O L.
soitc=bar{(Â,1), (8,2)};D =bar{(A,zJ, (8,-5)} ;E=bar{(Â,-5}, (8,-L)} et F=bar{(A,lo), (8,10)}.
I

ACB
ilttttlttll,tttit+r ABD
i
lr-

AE i'r
B AFB i:t-
ttttttlltltttttttlt ik
0 Exercice Z p, ZO 1î'
F
i*
A = bar{(B,g), (C,- 2)} D = bar{(E,s), (F,- 1)}
B = bart(A,1), (C,z)i ll
E = bar{(D,4), (F,1)) I

;-
C = bar{[4,1), (8,- 3)]. F = bar{(D,4), [8,- 5)].
Les coefficients choisis ne sont pas uniques (voir propriété d'homogénéité
du barycentre).
S Exercice 3 p. Z0
a)C=bar{(À,1), (8,1)} b) C = bar{(A,S), (8,- s)} c) C = bar{(A,1), (8,- 2)} d) C = bar{(4,2), (B,S)}. 'i1
irt
ô Exercice 4p. ZO
_ --+ 1 __-> __->
L. G = bar{(A,- 1J, (8,4)} ; donc : oG =
*(- oa + 4oÉ). i*
1
l,u .i
2. xc-
i(-r^ + 4xs) = 6 et- 7
4sr) = Z-. "
f(-u a+
I

vc =
S Exercice 5 p. 2O

OI t,

1 it
1" On a : OC =+(OA+ z Og) = j. et OD =_ (OA-_ zG) = g. i,t-
3.\v.^avu).
2. On a : A = bar{(C,3), (D,- 1)} et B = bar{(C,3), (D,1)}.
.q. OA2 = OB2 = 9 et OCxOn
= 1x g = 9;donc:OA2= OB2 = Oe xOD. lr
lCz=192 =16 et larlf =-Bx *2=16; donc :"JCz=IDr=JAxIB.
BanycENTRE DE pLUs DE DEUx potNis poHDÉnÉs î I

0 Exercice 6 p. 20
(4,- 3), (8,1) et (C,1) ;
L. G est barycentre de l

_
l

*J
donc:AB+AC=-AG <+ Aê+ÀÉ+Aô= 0:
Donc, A est le centre de gravité du triangle GBC.
I

2. Le point A est tel que at = - zîI,I étant le milieu de I

tBCl.
ô Exercice 7 p.2O
* esttelle que : m - 4 x 1'4 ! 22<8 ! 1x5 I

1. Lamoye*ô = L1.
i
l

4+2+-'t
z.ona : +GA+ zGB + GC =+ôÀ+ zôB +ôe- zôG = 4x1.4+ 2 x I + 1 x 5 _7
+ x:r.J_ =a. I

Donc : 4GA + ZGB + GC = 0, et G est le barycentre de (A,+), (B,Z) et (C,f I


).

0 Exercice B p. 20
1. Soit O, un point quelconque. I
I

G, centre de gravité du triangte aBC (+ & * G + of = goè.


G', centre de gravité du triangle A'B,C' c+ OÀ'* O-Ê'+ ôô,- 3Ot,.
30
En retranchant membre à membre ces deux égalités, il vient , ÀÂ' * BE' + CC' = 3GG:
-lll

2. Les triangles ABC et A'B'C' ont même centre de gravité si et seulement si : AA' + BB'
+CC'= 0

Application -. - _2
BÂ' = IcBÔ (+ AÂ'- 69 = IcBC ;
--) + --) --)
;l CÉ' = IcCÂ (+ BB'- BC = kCA ;
+-1
AÔ' = IcAB (+ CC'- CA = IcAB. _-_) -_+ --, _--) --) -) --+ --+ -+
,.M.'* ÈE'+ Ct'-
tl
Additionnons ces trois dernières égalités Bt + CÂ1
(ÀÉ +
\#
= ,c (BC + CA + AB)'

I
Donc, ÀÀ' * ËÈ' * &' = î'et --/ 00
les triangles ABC et A'B'C' ont le même centre de gravité.

Exercice I p. 20
I

O
leurs mi-
1. (CC') est ua1i médiane du triangle ABC. Les diagonales d'un parallélogramme se coupent en
gravité du triangle ABC'
,l

I
lieux, âonc (BD) est aussi une méâiane de ce trianlle. G est donc Ie centre de
- 2. Ci\=CÉ+CD <+ CA-CB-CD= o.
--JJJ

Donc, C est le barycentre de (4,1), (8,- 1) et (C,- 1).


I

déduit : sA? = A-È + Àè.


l
3. De la question 1., on
-à '-+ -+
-+ :2 --t :+- i - 0'--)
Or:At=Æ +ÀÛ;donc:34ê =2Ai3 +AD, soit 3AG-2.AB -AD= D

il I Exercice 1O p. 20
I, milieu de [AB], donc bar5'6entre de (A,t) et (B,r)'
K, milieu de [IC], donc barycentre de (I,r) et (C,t) ou (I,z) et (C,2)'
Donc, K estle barycentre de (4,1), (B,r) et (C,z).
ou: KÂ+KB=2K[ (+ KA+KB +2KC=
J
0.

_I O Exercice 11 p. 20 __+ __) + 2 __+ t ---+ --) ---)


1. I, milieu de [BC], donc : GÉ +GC = 2GI=-+GA e ZGA+ 3GB + 3GC = 0.

l Donc : G = bar {(4,2), (8,3), (C,3)}.


--> --)
3
'-+ + 3 :2 1 ---?
De l'égalitéprécédente, on déduit :2BA + 3BC = 8BG, ou : BG =:- BC +;BA'
_î Dàc, dans Ie repère (8, C, A).
J
I
"(îiï
Z.Les points c, G et K sont alignés ; donc, K est Ie barycentre gartiel de (A,2) & (8,3). +
G = bar {(4,2), (8,3), (C,3)} = bar {(K,5), (C,3)}. Donc : SGK + 3GC =0 ou 3KC-8KG)= 6.
T Par suite, K est le barycentre de (G,- 8) et (C,3).
J
I Exercice 72p,2O
--t --à
I
1. Ona: É[B =] rU =+ * ; donc :
->
3HB+HA= 0.

Donc, H est le barycentre de (A,r) et (B,e).


:i,] 2. K est.le milieu de tIHl ; donc : K = bar {(I,1), (H,1)) = bar {(I,4), (H,4)}'
l Or : I = bar {(8,2), (C,z)} et H = bar {(4,1), (B'3)}'
Donc : K = bar {(4,1), (8,3), (8,2), (c,2)} = bar {(4,1), (8,5), (C,2)}.
lr
i
La démonstraüon peut également se faire en uülisant les égalités vectorielles conespondantes.
i

t} Exercice 13 p.2O
1. On construilles points H, barycentre de (4,2) et (8,- 1) et K, barycentre de (8,- 1) et (C,f) ;
I

i
On a: HB= 2HA et 3KC = 2KB.
G est Ie point d'intersecüon des droites (CH) et (AK).
J+

r"H 2.Ona:GP+GQ+GR =4GA-zGB +3GC= 0.


Donc, G est le centre de gravité du triangle PQR.
I

31

: :rc!F,s aï'rt'..u a rcff p1r a"! ,-: ir ..._l irr 1 : 11 l


i-t
t_-

UrtlrsATtoNs Du
.)
BÂ,RycENTRE t
Exerçice 74p, Zt
1.'G est l'isobarycentre des points A, B, C et D ;
donc :'G = bar {(A,U, (8,1), (C,1), (D,j.)}.
(K,2} e}
I
G = bar {(I,Z), G milieu de [IK] ;
G = bar l{J,z), (L,2} <+ G milieu de tILl ; n
G = bar {(M,2), (N,Z} <+ G milieu de tMNl.
lL-
Donc, Ies segments [IK], [IL] et [MN] se coupent en leur milieu.
2.H= bar{(B,t), (C,1), (D,1)} ; donc : G = bar {(A,1), (H,g)}.
Par suite, les points A, G et H sont alignés.
[-
On démontrerait de même que :
' les points B, G et P sont alignés, p étaat le centre de gravité du triangle AcD ; li
lLl
' les points c, G et Q sont alignés, e étant Ie centre de gravité du triarigle ABD ;
' Ies poinls D, G et R sont alignés, R étant le centre de gravité du triaafle ABC.
[_
lii
') Exercice 75 p.Z't
I est milieu de [AC], donc isobarycentre de A et C.
A est miiieu de [BD], donc isobarycentre de B et D.
On a donc : I = bar {(4,2), (C,211= bar {(B,t), (D,j.), (C,Z)},
I
De plus ni =
' f ft €)
J = bar {(8,1), (C,2)}. ]T
t
Donc : I = bar {(J,3), (D,1)} et les points D, I, I sont alignés.

O Exercice 16 p.21
ÀÏ= A-Ë, donc i = bar t(a,r), (8,2)) [-
+ ;

Dï( = Dt, donc K = bar {(C,2), (D,1)}.


â
Soit M Ie milieu de tIKl. On a : ü
M = bar {(I,1), (K,1)} = bar {(I,3), (K,3)) = bar {(,t,1), (B,z), (C,z), (D,1)} bar
= {(L,z), 0,+)}.
Donc, le miiieu M de [IK] appartient à la droite (LD.

IExercice tZ p,Zt
t-
aT = ü,, dorr" p = bar {(A,3), (C,s)} ;
-+n+
* il
AQ = AB, donc Q = bar {(4,3), (B,r)) ;
ü-
BR = * fi,
doo" R = bar {(8,1), (C,s)}.
il
Soit G le baryco:tre de (4,3), (B,f ) et (C,S).
En appliqualt trois fois le théorème des barycentres partiels, il vient :
T1
G ='bar {(4,3J, (R,6)}, d'où G € (AR) ; G bar {(8,1), (p,e», d'où G e (Bp)
= ; G = bar {(c,E),,(e,4)}, d,où G e (CQJ. '1"'r

Donc, Ies droites (AR), (BP) et (Ce) sont concourantes.

1 Exercice 18 p.,21.
ÀÔ = ÀÈ, dorr. Q = bar {(A,z), (B,r)}
t
+ ;

,Ï' = + Bt, donc R = bar {(8,1), (C,+)} ; il


a? = CÀ, dor," p = bar {(n,r), (C,z)l =bar {(A,2), (C,4)}.
+
Soit G 1e barycentre de (A,z), (B,r) et (C,a).
Comme dans I'exercice précédent, on démontrerait que (AR), (BP) et (Ce) sont concourantes.
r
u
I

*)
32
t*'l
Ll
L.J
I Exercice 79 p.21
Soit I le point d'intersection des droites ((AA') et (B'C').
rt I est Ie milieu de [AA'] et A' est le milieu de [BC].
Donc : I = bar'.{:(4,2), (A',2)l = bar {(4,2), (8,1), (C,r)}.
.+
Or : AP = 4 aB ۈ P = bar l(A,2), (8,1)).
3
Donc : I = bar {(P,3), (C,1)}, et les points I, P et C sont alignés'
Par suite, les droites (AA'), (B'C') et (CP) sont concourantes en I.

ô Exercice 2O p.Zl
Soit I, Ie milieu de [AB]. En utilisant la relation de Chasles dans
I'expression de/(M), on obtient :

,f(M) = znvlz . += 2 IM2 + 18.

1. Désignons par (Er) la ligne de niveau /c de la fonction/


Me(Er) (+ IlvI2=!-s.
Ainsi, pour /c > 18, (Erc) elt 1e cercle de centre i et de rayon -l* - n,
ÿ2
. (Eso) estle cercle de centre I et de rayon 4. . (Eeo) est le cercle de diamètre [AB].
. (EzJ est le cercle de centre I et de rayon 2. . (Ezo) est le cercle de centre I et de rayon 1.
2.. (Er) estréduitàunpointsietseulement si: !-s= 0, c'est-à-direpourk= 18.
. (E1,) passe par A si et seulement si Ic = 36, car AB2 = 36 (A et B ont Ia même ligne de niveau (Eru)).
. Le symétrique B'de B par rapport à A est au niveau /c = L80, car AB'2 + BB'2 = 180.
3. Soit (E) I'ensemble des points M tel que :26 < MA2 + MB2 < 68. (1)
(1) êà 26<2MI2+18<68 ë4<MI2<25e 2<MI<5.
L'ensemble (E) est donc la couronne déiimitée par.les cercles de centre I et de rayon 2 et 5 (partie colorée).

ô Exercice 27 p.27
MA = 2MB ۉ MA2 - 4MB2 = 0 (1).
u
Soit G = bar {(4,1J, (8,- 4)}.
(1) <+ - g MGz + GAz-4 GBz = e 4=1 )vIG- = 1 (car-4 GB2).
t -3b
D'où : MGz =* (ro GB2 -4 GB2) = 4 GB2. Ou : MG= 2 GB.
u
Donc, I'ensemble des points M est le cercle de centre G et de rayon 2 GB = ? Æ.
' 3_
il 0 Exercice 22o,ZX.
Soit (E) la ligne de niveau recherchée et I 1e milieu de [AB].
M e (%) ë+ MA.MB -)++-+ CA.CB (1)
il (r) <+ (MI
=
*tt.rrfi -fi) o
= tôï. iÀl.rci - îÀl MIz - rAz = crz- IA2.
Donc, MI = IC et (E) est Ie cercle de centre I , passant par C.
il I Exercice 23 p.27
--) --+
1. G barycentre de (A,t) et (8,- 2) (+ GA -)
- 2GB = 0.
t: Donc, G est le point tel que B milieu de [AG].
2. a) Ona : zlvü. - z\na = - zi'B; donc, 2 IüÀ - 2 üà est indépendant du point M.
b) G =bar {(A,r) et (8,- 2)} ; donc , ffi, - ztÊg = I\rIt.
il D'où : llrta-À - 2]ü'Bll= llz rdr - zrÊsll MG = 2 AB. (+
n Donc, I'ensemble des points M est le cercle de centre G et de rayon 2AB.
L]

i.i1:l ;;
"..'
IExercice 24p,21
Cette plaque est constituée d'un carré dont Ie centre
dlinertie est son centre O et de deux triangies égaux
dont le centre d'inerüe est le centre de symétrie B.
L'aire du camé est égale à Ia somme des aires des
deux triangles. Il en est de même pour les masses,
donc }e centre d'inerüe de I'ensemble sera le milieu I i

du segment [OB].

E Exercices d'approffondissemenf

D symétrique de A par rapport à B, donc D = bar {(4,- 1), (B,Z)} ;


E symétrique de C par rapport à A, donc E = bar {(A,Z), (C,- f )} ;
F est milieu de [DE].
Donc : F = bar{(D,1), (E,1)) = bar {(A,- 1), (8,2), (A,Z), (C,- 1)}.
D'autre part : ry
B' est milieu de [AC], donc B' = bar {(4,- r), (C,- f)} ;
C' est milieu de [AB], donc C'= bar {(4,2), (B,Z)}.
D
D'où : F = bar{(B',- 2), (C',4)}
Les points F, B' et C' sont donc alignés et C' est milieu de [B'F]. I

O Exercice 26 p.27
a.lG est le barycentre de (A,p), (B,g) et (C,g), donc :
:-) ---+ --) -+ -+
pGA + q (GB + GC) = 0 ou pGA + ZqGi'= 0, avec I'milieu de [BC].
Cette dernière égaiité implique que A, G et I' sont alignés, donc les
points I et I' sont confondus : I est le milieu de [BC]. Blc i

b) B, G et J sont alignés, donc J est le barycentre partiel de (A,p) et (C,g). De même, K est Ie barycentre
partiet de (A,p) et (B,g). Donc : =
Ë # = ,
f I

d'après la réciproque de Ia propriété de Thalès, Ies droites (KD et (BC) sont parallèIes.
<)Exercice 27 p.21, I

t*" oi=le ACD est isocèie en A, en effet :

ACD=CAI=IAB=CDA.
I

D'après rhalès' jË =
# # f.
I

= = c
--+ --+ ---)
2.Ainsi:bIB +cIC= 0 (car, deplus,Ie [BC]) ;

donc : I = bar{(B,bJ, (C,c)}.


i

De même, daus ie triangle ABC, les bissectrices issues de B et C coupent


respectivement (AC) et (AB) en I = bar{(A,a), (C,c)} et K = bar{(A,a), (9,6)}.": I

3. Soit L Ie barycentre de (A,a), (B,b) et (C,c). D'après Ia remarque consécutive au üéorème des bary-
centres partiels, L est le point de concours des droites (Ai), (BD et CK).
Or ces droites sont les bissechices de.tBC, L est donc le centre du cercle inscrit daas Ie triangle ABC. l
J
O Exercice 28 p.ZL
1. Dans le triangle ACC', la hauteur et la bissectrice issues ï
J
I

de A sont confondues ; donc ACC'est isocèIe en A.

2.
---D'aorès ----"'
-r--- Thalès KB= +9'
''59 4ç =- b.
AB = AB c'
F1
I

De p1us, K est extérieur à [BC], d'où Ie résuitat. r.J

Fl

L, J

34
t*
I

i-l k
lt
t.l I Exercice 29 p.27
t; D'après I'exercice 27, I (resp. J) est barycentre de (A,a) et (C,c) (resp'
F
I (A,a) et,(B,b)). Donc :
I
--t -+ -->-
( (a+ c)KI = aKA + cKC
I

l
.: Jâ.§J

I t("*dfi=aÉ,+brÉ A
I
lt to * a) Û =
c)fi - bÈ.
"frè -
Par suite : (a +
I

Le premier membre est un vecteur coiinéaire à Talors que le second.


^+-')
n
tt est colinéaire à Bc. Les vecteurs BC et IJ n',étant pas colinéaires,
chaque membre de l'égalité est nul.
Par conséquent : K = bar{(I,a+c), (J,-(a+b)} et K = bar{(8,- b), (C,c)}.

t D'après I'exercice 2E,ladroite (AK) est donc Ia bissectrice extérieure de I'angle Â'

O Exercice 30 p.21
1. Les points CetD sont défi.nis car c + b et c--bne sont-pas,nuls-. C-appartient au segment [AB] et est
n plus pioche de B que de A. D est à I'extérieur du segment [AB] sur la demi-droite [ABJ.

fi,car at = *A-È
2. Les points C et D ont respectivement pour abscis ," ,t et ÂÈ = ÀÈ.
fi -+
n cA DA
caxng+G'xp^== -bt(a-bl;(-b,!,+ t(g,+b)-(b)lb =,r' uou'æ =- ffi

I ---G+bÏa-b)
cu
:l e.d[xffi+cnxbT= 0;donc,gDÀb*ncÀô=ô'et AC Bô*an sô= 0:
on en déduit : A = bar {(C,BD),(D,BC)} = uar {(c,;}),(D,;h-)} = bar {(c,a+b),{D,a-b)} ;

l B = bar {(C,AD),(D,AC)} = bar t(c,t),@,h)t = bar {(c,-(a+b),(D,a-b)|.

Donc, A est Ie barycentre de (C,o+b) et (D,a-b), et B est le barycentre de (C,a+b) et (D,b-a).

l O Exercice 37 p.22
1. ol Les triangles BAA', CAA' d'ule pafl et BMA', CMA' d'autre part,
ont même hauteur issue respectivement de A et M, le rapport de leurs
l aires égale donc celui de ieurs bases ; ainsi :
A'B- aire(AA'Bl - aire(MA'B) - aire(AA'BJ - aire(MA'B)- aire(VABJ .'
aC:æ"16r*"1- aire(tvtÀ'C) aire(aa'C) - aire(MA'C) - aire(MAC)
l bJ De plus : A' e [BC], donc : aire(MAC) ffi = - aire(MAB) A'C.
Donc, A' est le barycentre de (B,aire(MAC)) et (C,aire(MAB)).

l De même : B'est lebarycentre de (A,aire(MBC)) et (C,aire(MBA))


C' est Ie barycentre de(A,aire(MBCJi et (B,aire(MAC)).
2. En appliquant Ie théorème du barycentre partiel aux points A', B' et
;

i I
C', on d" aOa"it que G est le point dâ concoris des droiies (AA'), (BB') et (CC'). Les points G et M sont
.',1 donc confondus.
Application
Soit I le centre et r le rayon du cercle inscrit dans le triangle ABC. Les aires des triangles IBC, IAC et
:ï IAB sont respectivem ent
ff:, * * ï
D'après les questions précéd-entrJ, i barycentre de (4,4I, ), B,+)et (C,f) donc, de (A,a), (B,b) et (C,c).
I "rt-1"
irt
O Exercice 32 p.22
1. N est le barycentre de (M,IIP2) et (P,HMz) ;

:r donc : HP2HirI + HMz ffi = 1gp, + HM2)fN


Or : HP2 + HMz = Mpz. D'où : Ifrt = (Hp, Hi4 + HurHÈ).
rT #r,
35
rI

z. Hirlô = # (iip, fr{lô + HM2 ffi.rraÈr

MPz'
Les vecteur, ffi
MÈ sont donc orthogonaux. / I \ N *
"t
3. D'après Ia précédente, N appartient au cercle ((i) de
_question t
M \
I

ËffiÂiit Ëïii:Tî:ït.,îî:,d, Ïttril,*i,tÏL.J;,tî;I


N.associé.àM.appartie',ia(g)etausegmentti,u]doncNit.T.
l-
-
Ainsi, le Iieu cherché est le cercle (€) piivO du point p.
I
.J
0 Exercice 33 p.Z2
,N. _
1. Soit I Ie milieu defBCl. G est le barycentre de (A,+), (8,_ -l
--)-+
donc : 2AG = -AB -AC = - ZAi.
1) et (C,_ r) ; I\
I _\ -r
D'où, les points G et I sont symétriques par rapport au pointA.
L/ \ î
z.4MA2-MB2-MC2=+M-à+C7)r-(N4fè+Gi;z-0\,r-è*&;,
v' ff6
A2 li rn2 | .^, ^t i^n a ./ l"J
4MA2 - MB2 - MC2 = 2MGz + 4GA2 _ GB2 _ GC2
^l\f {
3.Ae (E), car:4AA2-AB2-AC2=-BCz
=--4a2 (pythagore). n
4MA2 - MB2 - MCz = - 4az (1) J
(r) e 2MG2 +4G42-GB2-GCr. =-4c,2 e GM =
lW
Or : GA2 = az etGBz + GC2 = ZGrz +* nC, lOaz.OJr" CU o. [l
LJ
= =
(EJ est le cercle de centre c purr*t
rï" (ie rayon
0 Exercice 34p.22
de ce cercle est a).
I
r
1... il fautchoisirMtel que, Be +tvtC*0 etgC+BMruO. \ /
lN -l
loit { * B, et M + Ca aveé B sSrméhique de B, par rapportï \

àlÀfr =
F# a3, donc : N = bar{(A,Eô),(n,ilrc)} ;

"iÀÈ = ffiæ, donc: p


=bar{(A,sc),(c,BM)}. /--- \\ :
2. Posons : G = bar {(A,Be), (B,m), (C,BM)}, \
tr
/
G=bar{(A,Be),(M,BC)};G=bar{(C,BM),(i{,Ee;ffi;â=b*iE,i,Ë;,P,flc-n_miJ.. il vient :
partiers et les relations précédeutes,
:1T:117Ï*.,":l:*:,,"Pu?,uT..^o::--ltt:$rg
Par conséquent les droites (AM), (BP) et (cN) sont concourantes
en G, milieu du segment IAMI. ["
3' G est I'image de M par I'homothétie h de centre A et de rapport -
f. soit B' et c, L, *itir,o respectifs
des segments [AB] et [AC]. Le lieu cherché est I'image par
h àu t" ar'oitu (gc) privée des imagbd à'" ,, - - *
c, ; c'est donc la droite (B'c') privée des milie,x de [ABri et de - ^ ",
[ACr]. L
0 Exercice 3E p.Z2

''îtl"
barYcentre de (A,s), (B,p) et (c,v), donc ,AÈ
=
-
".ipsa.et
(BÀÊ * yAt). I
z.Æt.slÉ = *.t., (B;È.nè * vaÈ,eAr =
;#*, r- * y&'cïl
= ct+B+y'(-b cosÂ
-f;; "o.ô
o""orÊ *."or )os§aD
"orÊ
cosLJ=U.
oô.orô; = g.
t
B
Les vecteursÀÈ et ft sont donc orthogonaux.
3' De même les vecteurs BÊ et At sont orthogonaux. Le point H
est donc I'orthocentre de ABC.
i
36
l_*
L r..

r!
t;
tl
I
L
1,,-

O Exercice 36 p,22
tr j-tl
I

I
1.oJ.ffi.=ffi*ft=2ll,aveCImiIieude[BC].l.''.I-:-^^T*\^h,
(oI) (BC) sont perpendiculaires. Donc, les vecteurs
AH et BC
or, le triangle Boc est isocèle et les droites et

,I
sont orthogonaux.

2. G est le centre de gravité du triangle ABC' I


+ -+ -+' --à --+
t ôir=ü.+OT+§i= aOG;d'où:3OG-OH=
O est donc ie balycentre des points pondérés
o'
(G'e) et (H'- 1)'
i
\
\
3. al B * Y= cosÂ(b cosC + c cos B): o cosA'
B
A
il On obtient de même : cx, + T= b cos B et cx + P= c cosC'
o)' (B'- Ê)' (c'-v)}
;ir:ï,::iï1ffi;#;;,;;'; =u* rt"oL (r,p), (",r)):o*^{(1,,
(B,q'+F+v)'{C'o+F+T)}'
De plus : G = bar {(a,r), (8,1), (c,1)} = bar{(A,s+9+Y),
il appliqrrons au point O le théorème des barycentres
partiels :
(c'-
g = bar[(G,3),(H,- 1)] = bart(A,o+p+1), (B,a+p+y)' (c'a+p+1)' !A'- o)' (u'a.P)'
-
y)]

t i*ii",P+y), (g,a+y), (C,a+Ê)] = bar{(A,a cosA), (B,b cos B)'


=
(C'c cos C)}'

o est Ia réunion du croissant etdu disque de centre o'. Donc, o est. ie barvcentre
il I ';ïlü:.'iJ;ii""
âLlô,Jl^àt (c,1-t). -f )

o,(,;') :"([.
l àr'*, *oô) + o-'+)& = ol ; donc

2. La condition est réalisée lorsque l'abscisse


de G est :1-
)
2r' a1 À
-f *+r-1
j 1+r -1-Zr = =0.
t+tÆ
De plus, r est Positif ; donc i r-= --;-
2_ _ V5 + 1 (nombre d,or).
\\
G\ OO,
__)
I

"
Remarquetî=-ÿS_t Z -
l l Exercice 38P-22
1. a) Soit (b,c) les coordonnées de G dans Ie repère
(44'C);
fr=b^G*".ft ê+
l Posons i a= 7 -b-c;on
.+r
î-b-c)GA+bGB +cGC=
a: G = bar {(A,a), (B,b) et (C'c)}'
0'

(AA')//(BC) ce qui est


b)b +c * 0 (sinon on aurait b = - c, At = cBÔ et
I
I
a6surde). De même a + c +o et o + b * o'
et :
Donc, les points A', B' et C' sont des barycentres Partiels
+ ---) A'B e
"t A'-bar{(B,b),(C,c)} :+ bA'B+cA'C=0 = m=-b
".J

B'=bar{(A,a),(C,c)} + oiià*.IÊ=o = #=-: el


l

C'=bar{(A,a),(B,b)} * oClL+bCÈ=o = #=-*


r.t
:ll Donc:H,#,.ffi=(-;)(- :X-*) ='1
r.,ii

(CK) et (AB)' D'après 1' : ,. g*4*$=-r,


..
2. Soit C" Ie point d'intersection des droites A'C B'A C''B
'l
posons,r= c'etc" sontbarycentres de (A't) et [B'-r) ;donc: c'=c"'
Donc'H = H ffi.
,4li Les droites (AA'), (BB') et (CC') sont donc concourantes'
*,li
sinon on déduirait du théorème de Thalès :

l
worqrules droites.(cK) et (AB) sont sécantes,
I
# . # =-1 ; donc' # = 1, ce qui est impossible'
37
ll"1
I

]-

ç2- Argles orientés - TrisJonornétrie


(poges 23 à 46 du livre de l'élève) ,ll
t-

'
.
Consolider et approfondir la notion d'angle orienté, ébauchée en classe de Seconde
hrtroduire.Ies mesures d'angles orientés.
' Investir les résuliats obtenus dans l'étude de certaines con-ûgurations : points alignés ou cocycliques,...
' Établir les formules trigonométriques et les utiiiser (factorisations, [nèarisations).
. Résciudre des équations et inéquations trigonométriques.

' Ce chapitre est d'accès direct, les notions requises pour l'aborder ayànt été établies en classe de
Seconde. Toutefois, il doit être étudié avant les chapitres concerD.arit les isométries, Ia géoméhie analy-
f*
üque du plan et l'étude des fonctions. l

' Les notions d'angle orienté et de meiure principale sont vues en second.e, il est iautile de revenir sur
leurs définitions. Par contre, on mettra soigneusement en place la notion de mesure quelconque d.'un
angle orienté, parfois difficiie à saisir par l'élève.
o Nous avons adopté la notationfÊl
poru un angle orienté de deux vecteurs mais nous n'avons pas défini
de notaüon pour une mesure d'angie orienté. Iljaudra toutefois signaler à l'élève qu'il peut bouver, d.ans
d'auhes manuels, des notations cornme mes (ü,î) ou bien ÎîFl Un angle orienté de mesure o peut être
â ; cependant on évitera des notations ambiguës du type
I o, ffi,
noté qui pounaient induire des
« opérations-élève ». On rappelle que la seule opération définie sur les angles est I'addition.
' La démonstration du théorème des angles inscrits dewait utiliser Ie résultat analogue obtenu en classe
de Seconde

' On veillera à se limiter à des applications raisonnables d.u théorème des points cocycliques.
' Les résolutions d'inéquations trigonométriques seront traitées uniquement sous forme d'exemples
sirnples. Les ensembies dè soluüons,!énéralement des intervalles ou des réunions d'intervalles de R,pour-
ront être présentés sous forme d'atcs du cercle trigonoméhique, pour en donner une vision plus concràte.

Angles orientés . Pour tout nombre réel x, placer I'image de x sur Ie


. Image d'un réel sur Ie cercle trigonométrique. cercle trigonométrique.
. Mesures d'un angle orienté. . Réciproquement, pour tout point M du cercle tri-
. Définition de la somme de deux angles orientés. gonométrique, déterminer les antécédeuts de M dans
R.
Propriétés des angles orientés . Déterminer la mesure principale d'un angle orien-
r Relation de Chasles. té, connaissant une meriure quelconque.
-ûl*bî=î .^
. Exploiter la relation"'de Chasles dans diverses si-
. ^ ^ tuaüons.
Mesures de (/cüil, G,t a; et (kï,kû en fonction . Utiliser I'angle orienté double pour démontrer
3; I'alignement de trois points. 43.
des mesures de (ü, u ). -42'
. Propriété flss angles inscrits : [OA,OB) = 2MA,MB).
. Si A et B sont les images des réels o et P, B - o est
^---+ --->
une mesure de (OA,OB).
. Double d'un angle orienté.
. Angie orienté et cercle :
5.-
=--= = zMA,MB).
- propriété des angles inscrits : (OA,OB)
Extension au cas limite de la tangente ;

38
L
:__

li.
1-
- condition nécessaire et suffisante de cocyclicité de . À partirdes lignes trigonométriques des angles de
t l"
quatre points.' mesures o,Ë,â,f, aeter*iner celles des angles
remarquables.
f

LI tq
Trigonométrie
. Sinus, cosinus, tangente d'un angle orienté.
. Sinus, cosinus, tangente d'un nombre réel.
o Déterminer les lignes trigonométriques de - x, x + fi,

n - *,1- x, connaissant celles de r.


. Transformer des expressions trigonom étriques.
. Relations entre les lignes trigonométriques du
lt I

même angle. . Retrouver, à partir des formules d'addition, les


L
. Formules de trigonométrie ; autres formules de transformation (duplication, Ii-
lltl - formules d'addition ; néarisation, expression de sin .r, cos .r, talx x en fonc-
- formules de duplication et de linéarisation ; tion de tr"
l

de cos ct, sin « et tan a en fonction de


f).
- expressions
!!.
tan -,
l

L Équations trigonométriques . Résoudre des équaüons et inéquations trigonomé-


. Équations de type : cos.r = a, sin x = a, tan.r = a. triques.
. Équations du type : a cos x + b sin,t * c = 0.
Inéquations higonométriques
tl
il

E Exercices du cours
Axcles oRIENTÉs
ô Exercice 1.a p. 26
i
ona: ry=-fft2"1",-3f e l-:r;æl ;

il
donc $4r+est la mesure principale de cet angle.
: -
- 7\n,*
444 "t
19& sont également des mesures de cet angle orienté.

0 Exercice l.b p. 26
a)x*A=2E b)x-U=-Zn; c)x-U=-4ni d)x-lJ='8n.
I Exercice 1.c p. 26
On considère un angle orienté de mesure principale
+.
Mesures en degrés de cet angle : 135o (mesure principale),'225o,495o, ..'
Mesures en grades de cet angle : 150 (mesure principaie), - 250, 550, '..

IExercice 1.d p. 26 L

Déterminons la mesure principale de l'angle de mesure


S.
I
i
I
Ona:+= u"-+ ,, -+e l-æ,æl ;doncl'arc t "pi*Iongueur$
PnopnrÉrÉs oes ANGLEs oRtENTÉs
t". I Exercice 2.a p. 31 B(

,.- tn8ln =- 3347r**'de ptus'*. )-n,nletSe l-n,ni. ar5n



t ---
z.mes(oï,,ôÊ)=+-§+---n-
' 4 6 et r e l-æ.æ.,.
12 "' - 1,2"' """'

39
-

O Exercice 2.b p. 31 ",


i-
Le triangle ABC étant donné, on désigne pax o une mesure de I'angle orienté (a-É,Àô).
_.-:_
."( ) a pour mesure n + ü.; rÈÀ"$l a pour mesure - cr. -
. . ---->'.+- ---+ --+
(CA,AB) a pour mesure fi - a ; (CA, BA) a pour mesure
-
- cr,.
I Exercice 2.c p. 31 ^
. Si /c et ft'sont deux réels de même signe : (tü ^
t'i) = (üd).
. si Ic et /c' sont de.x réels de signes contraires, tffil = tffiû * tffi) = î + ffii
I
Exercice 2.d p. 31_
- --+ ---> -+ -:-+ --+ > --+
--> ->
On a: (BA,BC) = (AB, CB) et (DC,DA) = (CD,AD)
---+
;
---+' > ^
.^ .^ i^

donc:(^6,a-Ê)+(B]Ê',st)+(ci,ô)+(oô,of.) =(Àô,ÀÈ)+(.&,&t*t-&,ffit*(6,fr)=ô.
-> *,J

t) Exercice 2.e n. 31 -
l-
'---+ +
--> -+ ---+ ----' _>--->
1. On sait que z(NÂ,Ni]) = z(t\dÂ,M8); donc, (Na,NT) et (üa,vtl) sont égaux ou -,r
'liffèrentp de â. Les points M et N n'appartenant pas au même demlplan de frontière
.+ +
(AB). (NA. NB) a pour:nesure s. - î8.
__ ,''.*r
. Dans le cercle (tc), (o-È,Àô) est un angle au centre et fÀÈ,Àèl est un angle iuscrit
--- --+-
qui interceptent le même arc donc tôÈ,Àbt = z(ÀÈ,Àô).
..,.r
I Exercice 2.f p. 36 .^
+ -| "ê
-+ --->
* z(À3,ÀË)
Dans le Ios"nge-ABCD : 2(BÂ,Èô)
.,.'+
---+ ..^ ---->
= zâ ; d.onc , *u"(gf,.,Èt) = *6'
--> --> --> -->
De plus : 2(CD,CÂ) = -> -__> .,...r
72'
-
TntooNorvtÉrRle
I Exercice 3.a p. 36
Les résultats demandés sont regroupés daas le tableau suivant :

Mesure de l'angle Mesure principale stnus cosluus tangente


_5n 1l
É 1
3 î 2. 2
v5'
_tzttt _18
-2
1 .13 1
6 6 z {s
_ 1999n 5n 1
6 6
1-
, -z
^/5
13
29n 3n _1 1
4 -4 ,,1?'
1
^1,

t) Exercice 3.b p. 36
En utilisant les formules d'addition, on démontre ces égalités.
ni
r) Exercice 3.c p. 36
cos a = -*,J "o,
Za = 4; tan 2cr = - 4\8.
t) Exercice 3.d p. 36 :

sin:(2r - U) = zd +Lq\n .

0 Exercice 3.e p. 36
r est un nombre réel différent d'un multiple entier de donc cos .r É 0 et sin x * 0.
f,
. sin3x
l.-
cos3x _ sin3xcosx-cos3xsinx _ sin(3x-x'l _ sin2x _ 2sin.rcos-r_ô
sln.r
cosr sin.rcos.r sinxcosx sinrcosx --.---.--==.---=e sur.rccos.r
I

2. oi§in-Er * cos 3x n sin 5x cos 5x


sln.r cos .r = 4 cos Zx bJ =.7 -=--:=-
sln.r - cos .r = 4 COS 2X,
40
t...,

f"

l
t.,l
0 Exercice 3.f p. 36
r
,l
. cos4r=(lËe)'=T(r *z
"â,
u*Lrffg) =**]"o. zx+f,cos4x.
L . sina, = (a=T§2.)' = + (, -, cos zx. LLfÆ) = *-f "o'
zx +
lcos 4x.

r
,t
,L
r) Exercice 3.g p. 36
1"
1.
cos'r = cos''r
1+tan2x=cos2x+-sinzr
1-
I
2. oJsinx=
7
i COS.f =
3
bJsinx=
\m ffi ryi cos'f,=

rL ÉeuATt o Nrs rRt G o x or,,tÉ lRIQUES


t) Exercice A.ap,47

l
!.x=f lznlour= -f tzr'1. z.x=iË t?t ou.tr= -#t?, 3,x= #t?lou-r= -fttz"l.
Dans [- 2n ; Zrc), les solutions
sont: -fft-i,i,*.
t- æ7n
l',- 4
rl

n7x
7.'4

It'" 0 Exercice 4.b p. 41


L.x=[tz"lour=ff fzn:. 2.x=f,tzr1 o"*=fft,rl. 3. x=-
ff tz"lou.r = - # tzr"f

Dans [-m; 3æ],Ies solutions sont :

n .5n .73n .17n


6'6' 6 ' 6

Sn llr 13n
-6
t- T,TI 1l
o 1l
fi
0 1'

L,

it.- 0 Exercice 4.c p. 47


ta'_ 2x = - tÆ
<+ tan 2.r = o" (- i)
1-
,=-Ë til
L
O Exercice 4.d.p,47
il- cosr+Vâsin *=ÿz cos (, f, -i) - cos
t"-
*=#[zæ] ou *=frlzn).
/r
ri
I xÉouATtoNs rRrGoNor"tÉrntcruEs
t) Exercice 5.ap,42
l zcos(x - i) - VI < o ê9 cos(x - i) . "o' ff,
L'ensemble des solutions dans R est la réunion des intervalles
.l1,34
lr de Ia forme : + k.zn.', 17n * k.znl. k e z.
'12 12
't--

41

e-,r:,yl:§l;;:!.:j:1.rÿfre)1ltÊùf§aîi?:iryffii:à*ïji*t:i.ptt;1./;§i'l)::r.t4 t
LM$i;'tî11y}jïily:fi,-;i:1:ï
*l

i Exercice 5.b p. 42 9n
J*
Orr poQÇ : sin r = X ; Ies solutions sont les nombres réels de
I'intervalle l- n ; æl dont Ie sinus est solution de I'inéq'tation
du second degré :2,X2 - fÆ X > o.
r. i\, -
2x2-rÆx>o <+ X<0 ou uti,2f]
".+Donc:S=l-æ;01 \ / .J*
0 Exercice 5.c p. 42 îC

L'inéquation est définie pour, **[ + k.r,, k e Z. z I

f,6tanr+1 <0 <=+ tanx<-+ J*


{
Dans l'intervalle l-æ ; nl,ta.nr = -# e .r =-Ë o, * = +. I I

J*
I

Donc:tanx<-+ <+.re )-i,-â[


^]â'fl. -3'
ît
L'ensemble des solutions dans R est la réunion des intervalles de Ia î
forme,li * t .n ; /c.n[, k e Z. \ )
ff+
I Exercice 5.d,p. Az t*
L'inéquaüon est défi.nie pour ** L.T, k e V-.
Ë*
tan(3r) + 1 < o <+ tan(3r) .,""(-i). 5r ï I
lL
T,
Donc : tan(ar) + 1 < 0 <+ 3r . )-ï,-il, ]â' +[.
11n
1r
L'ensemble des solutions dans R est la réunion des intervalles de la 1ç l0
forme .1Qk + l)n .
(+/c + 3Jrl. ln
',tz t. Z.
I

-1E
J 6 t_',
-î5n ît
6
-T 3n I

5ft J--
-î -îî
îC

I
tf Exercices d'opprentissage -F
.{,}{§,!l§,,O'RlExlɧ . i rJ

o Eryige 7. p. 43 J-
ol (Æ,ff\dl'a pour mesure principale
^
L'ensemble bJ (&, .&i
f. pour mesure principale -
" S. L'eu- .
des points M est [Àr) privée du point A. semble des points M est [,{.r) privée drr point A. I

Av--B
-ri

\u
l
-r]

J
c.iL'ensemble des points M est Ia dem,i-drdtYe tAr) dl L'ensemble des points M est Ie segment [ÀB]
contenant B et privée du point A. privé des points A et B.
M
ABJ
't
1 Exercice 2 n. 43
--> --+ --> +
. (aÉ,aÔ) et EÂ,9Ô) ont repectivement pour mesures principales et - f.
f e!
. fÈâ,Âèl a poru mesLrre I5 o., -+.
__5__
. (CÀ, CÈ1" po.,, mesure (g,À,d.) pour mesure
# , a
f. I

42
0 Exercice 3 p. 43
ona:-ff=[tz"t":*?y+
i',]]'

§l Dans le triangle PQR : (PQ, PR) + (QR, QP) + (RP,RQJ = 6


--.^ ,^ ..^
=- ;

'--'>+^+--+'---)->
donc : (RP, RQ) = ii - ((PQ, PR) + (QR, QP))'
rT
rii ---> ---->
De plus : (PQ, PR) = 1- (pR, QP) ; d'où, (PQ, PR) a pour_mes"r"
te+ ^ ':-+
(RF,RÔ) a pour mesure - (+ * et (ff, (Qrh,
l
Donc, =- =
"
RÔ) = QF).
f) f
Par suite, le triangle PQR est isocèle de sommet P.

iÎ ô Exercice
.^ ---+ -_+
4o.43
l^
__>
---->
. (BC,BA) et (CA, ,
*,il
CB) ont pour mesure principale 1{ ou 60o.

T . (§À, SÈ) po* mesure principale 2: oi 1.2o".


"
'..i1
. (§Â, Be1 a poru mesure principale - * or, - 90o.
^rt2
--> -+
-.u
II . (§Â,É) a pour mesure principaie ou 30'.
iir :- f
. (§Â,ÀË) a principaie
pour mesure II6 5I ou 150".
IT
ô Exercice 5 p. 43
"il
. (§À, SÏ) a pour mesure principale 2! o1r 72".
_';* pour
l . (ffi,É)
^
--+ --->
a mesure principale
---+ ---+
. (BE,gL) (6,8-Â) et
!-JI-

ont même mesure principale


o, toa'.
$ ou 360.

l ^'L15
--> +
o (BC,DA) a pour mesure principale n ou 180o.

l ô F.:cercice 6 p. 43
Soit O Ie centre du cercle (I).
^ ----> ---|
->
(DB;DC) = æ- (OC,OB)
-.t.ll+

= æ + (OB,OC)
+ ----' +
^
^
=x+2{AB, AC
-_-> ..->
't

J
I
Donc, (oA,pt) a pour mesure ft + za (ou 2a - r).
t) Exercice 7 p.43

l Les coordonrrées des points A et B sont:


3v5 sÿz
f ' "o'Ë ) etB 1
13'i"Ë/
5 cos(-f,)
\. soit : A (?) *, (_ ,1, )
l ^ \ssin(-f,)/' , 2

I Exercice! p.eS
il S, .oo ==-TEettanx=--l
1.sinx=f, v52 2. cosr = -*' sinr =
f et tæx = -
*
232cosr
l 3. sinr =- IÆ
0 Exercice I p.43
; = m et tanx = -3.

SoitA = (cosr + sinr)2 - (cosr- sinr)2 ; B = (1 + cosï + sinr)z ; C = sinax + cosar ; D = sin6x + cos6r.
: A = cos2x + sinzr + 2 sinx cos.r - coszr - sinzx + 2 sinr co&r = 4 sinx cos-r = 2 sin2x.
' B = 1+cos2x+ sinzx+ 2 sinx+ 2 cosr+ 2 sinrcosr= 2 (1 + sinx) + 2 cosr (1 + sirt.r) = 2 (1 + sinx) (r + cosr).
I ' C - (sin2r + cos2x)z - 2 sinzxcoszr = L - 2 sinzx coszx.
'p=(sinzr+coslr)3-3sinzrcos4r-3sinaxcos2.r=1-3sinzxcos2r(sin2r+cos2x)=1-3sinzxcoszx.

L]
43
f*
"...-
f-
l Exercice 1.0 p. 4g ll
t,

1. (cosr + sinr)z + (cosr- sinr)z = 7 + Zsinx cosr + I - Zsin-r cosx = 2.


t -r,G
2.a)xvf+kzn ou .x=N+lczn,kez -t+ÿi
rcos-r rcosx-! Y
' !

ll-
ul orr -l 4-
trr,* - v-l-
4 '
Isinx__V7+7
Axsteg AssoclÉs 4
l

,) Exercice 11 p. 43 L
A=-'CoSn i B=*sinx; C=cosr-sinr i D=0.
0 Exercice tZ p, 43
/f
t-
sin$ + rl - ri"C -x; -$ sinx \Æ
--ÿ*cos.r+f2
ùJZZ--2 3
3 =
"oo+f, sinx= sinx.
cos (f; +x) + cos
3 $-r)
3--,2= { "or*-!i, sinr + *"oo*Ssinx=cosx.
.
2 2
F
Fonr.,tutEs DE TRtGONOT*Érnre
I Exercice 18 n- 43 L:
t+ÿ2
coszf, =
+ - *P ; donc : cosf = \6;G .
I
1- ÿi
sinzf; = + - + ; donc : sinf, =
G:G .
li
"o' ff = cos(f -f) = sinf, = æ; sin-S = sin(f-Ë) = cos
f=
\ffi 2
t":
ti
O Exercice 't4p,4l
o cos 3r=4 cos3x-3 cosr;sin 3x= B sinx_4 sinsr. q tan2r
. Pour **Ë * kl (k e Z),tan3x =
^ . t""ç
= tanx :_' 1 - +^- --13 -3tanzx
il
ffi*} -LU-
- tanzr
I Exercice 15 p. 43 n
1. A =
"o'(# rra-) = - | ; B= cos(ff *
#) = o.
A+B
2. = 2 cos
fr cos #= +etA-B = 2 sinfi sin #=+ ; donc : cos fr "or $ = rio
# sin ff = f. ü
t) Exercice 16 p. 44
Pourx. [o,f], \ÆIEG = {ffi2xfioff [,
= = IcosZr + sin2x I.

0 Exercice ttp.44
aJ cosr = et riro = b/cosx=-+ et sinx=!- t:
| $
c/'12ÿ2
cos-L'; - -j- et sinx = - r)^-_ y5+1et.sinx
a/ cosrc = . = r?-t
ï= æ :ffi. t:
OExercice tB p.44
a)coszx=* sin2x =* b)cos2x=-* el
-- sinlx 24
"i ----* - zs c)
-1 cos2x = - + et sin2x = - +. ::
OExercice 79 p.44
A+B = 4 etA-B = 0 ; donc :A =B = 2. I

1 Exercice 2O p.44
soit A = 16 sin sin
fr ff sin ff sin # . o"
", ff î _ * # = î _ *
= u,
sinftsinff,
ft= 4 sinf
Donc : A = 16
"otif, cos sin
ff = +.ro# cosft= z sinË = r. :l
I

I
Eou.lrroNs rRr c o NorrtÉTRrou Es

im I Exercice 27p.44
ü'll ol(r) é *=# trlo"r=o [æ] b)(z) e x=tli)
!'r
ci (3) <+ x=-&[zn] ou *=fr,tff1 d/ (+) <+ *=l [æ] ou x=*lT).
ltl
!r
n
rl

iiu
:

Équation (r)
@'
Équation (2) Équation (+)

I Exercice 22p,44
IT r cosx=x rcosr=x
tT o)'(E)<+ I o l
| -r*'+X+6=o IX=zo,rx=-â.
Or : - 1 < cos x < 7 ;donc : l'équation (E) na pas de solution.
il'.l
l.j" f sin2x=X ( sin2x=X
b'l(E)<+ (+
IT
t*r-Xvd+*=o t*=2ouX =+
(+ u=llznl ou *=+lzn) e *=Ë[æ] ou *=f trJ.

Exercice 23 p, 44
I
rl:' O
o) (E) ۈ cos-(+-t -+)= cos (2-t +
f) trl
i.ï'
(+ +--ff=zx+ftznl ou 4x -+=-2x-ffzæl
Lt
ë) *=# [æ] ou .. = # tll.
rr' },1
lt'
LT b.) (E) (+ 4cos2x + Tàcoszx sin2r = 0 l/)

<+ coszr (1+ 3 sinzx) = o


l',1'
i (+ r=E[æ].
2"
il cl(E) <+ 4coszr+4 cosr-3 =0
fcosr=X
<+{
it
[(zx- 7)(2x+ 3) = o
ê cos.r=
T o*=f [znl ou *: - L3'lzn1.

d) (E) <+ 2 sin.* .r - cos (r + =o


[cos f)] i
(+ sinr=o ou cosr=cose.â)
I
I
(+ x=olrl ou.r=-f f"t.
O Exercice 24p,44
l- al (Er) <+ cos (x *
*) = "or f
€)
'*Ë =ff12") ou .r+â=- fftz"l
I

1l (+ *=#[zæ] ou *=-fflznl.

45
Itr
*.-t'r
I

-t"
l-
(Er) e (zr * f
-jJl
b) cos
l) =
"o'
I

(:) u T= ff
* tz"J ot zx + i:* - ff tz"l i
I

'r-
(+ *=l[æ] ou x=-f tr.J.
-Lt I

i-
--l
i
I

Exercice 25 p.44 .I
ats= {fr+kn,kez} bls= {-+lL,-â'Ë'+) c./s ={l.t*,*'+}.
I x Éo uATt o N s r Rt G o N or,tÉrnt e u Es *Y

r) Exercice 26 p,44

aJ L'ensembie des solutions est la réunion des intervalles de Ia forme :

f** k.zn;ff+k.znl tke Z).

(I) <+ <+ -Ë + k.n * t*


b./
=
cos 2x
+,
=+ + k.n (k e Z).
<

;ft r t+ , +f
L'ensemble des solutions est , tf, .

7 .1.

cJ(I) <+
fr sin x-irz cosr<0 <+ sin(*-i).0
* -+ +k.2n<*=î+1c.2æ (keZ).
0 Exercice 27 p.44
a)x e lo ; zn[, -
+=
rr,. * <Y .
il
t:
ii*
Donc : s = [0,
T) fff ;
u
ffl v tff ; zn).

bl L'ensemble des solutions est Ia réunion des intervalles de la forme


il*'
:

l- + k.2n ; + k.znl (k e A.
+ ! l
ti
cl (I) <+ -+. k.zn < u . T + k.zn (keZ)
ll
I

<+--i- + k.n<x <ff + k.n tlc e Z). I

'@. lllr*

O Exercice 28 p. 44 à*
r.

aJs=t-i'ftrtf;fft àrs=tf ;fr ,J+,Srrrf; ,ffru:S;fft. I


I

l,-

O Exercice 29p.44
aJ s= l-r ;-*t, t- i t ilu IS rl ; bts=L-i,fr ,tf;St
l
l

cl s = to ;
fl, f+ ;fft, tS ; znt di s = to ;fl
't+ 'St .., tff;znï. t1
.lr
ti

0 Exercice 30 p. 44 I

+ *.1 + le.n (k e Z) rl

b)l i
lc.n < il
( it-
a) + k.nS x * k.n {tc e z)
ff " * |- * x.
ou
+ k.n tk e Z).
i k.n < - i
".il

t-l Exercices d'opproffondissemenl


O Exercice 31 p. 45
: ABCF et AECF sont deux parallélogrammes ;
donc :EA= CF etAB = DC ; EB = EA + AB = CF + DC = DF.
l Par suite :
-.,^
--+ t
(EÂ, EB) =
. ---> :-l-
(CF,DF)
-
=
.^
---i =->
(FC, FD).

..]1 O Exercice 32n.45


' |
ll
---+ = ^
- q.
^ --->
1. (AD,AE) = (AB,AE) - (AB,AC) (AC,AD).
- -."ê
or: - Ë-#- (-î) = 0. Donc : (.ô,ÀÊ) = ô et les points A, D, E sont alignés dans
l cet ordre. DE = AE - ÀD = 1r**_
2. A, D, E alignés e
---,> ---->
(AD,AE)= ^0 ou 7t

l Deux cas sont possibles :


. si a + b = c + k.Zn: 4,.D, E sont alignés dans cet ordre etDE = AX -AD = 1 ;
. si a + b = n + c + k.Zx: D, A, E sont alignés dans cet ordre et DE = AE + AD = 5.
j O Exercice 33 n. 45 .^
^
-+ (oÂ,ra;
^
---->- _---+ ---+- _---+ ---> --->-..> --+ +++++ ^
1. (oÂ,oc) = + (BA,DC) + (DC,OC) = AB ,OB)+(CD,AB)+(OD,CD)
(

l ---+ ---+
(oA, oc) = ( OD, OB
:-;
On démontre de même que : (OA,OD) = (OC,OB).
î *
2. OAC équilatéral <+ (Ôi.,Ot)-. a pour mesure o, -i <* tôb,OTt a pour mesure
â." -â
"J f
-. équiiatérai (sens contraire à OAB).-
<+ OBD
T
r-li
0 Exercice 34 p.45 ^
Soit D un poini et u une mesure de i'angle fÀË, Âbl.
T ^----) --+ ^--> +
((an,aO;=4(AB,AD) ( G=*[*]
u.i
I <='>.{ o z
f*[ [ag=AD I ag=Rt.
Les points D cherchés sont les quahe points D1, D2, D3, D4 situés sur le cerôle de
"11
centre A et de layon AB et formant.un cané DrDrDrDn dont l'un des sommets est sur
:'ï [AC] avec AB = AD.
.i O Exercice 35 p. 45
On a : OA = OB = OC = OP = OQ= OR.

l On considère la rotation r de centre O et d'angle (OA, OP) telle que : r(A) = p'
Le triangle PQR est équilatéral de sens direct si et seulement si
le triangle PQR est I'image de ABC par cette rotation ;
c'est-à-dire: si et seulement si rffir= (offiQ = tffil. t

l .} Exercice 36 p. 45
1. Soit o Ia rnesure de I'angle au centre d'un tel secteur.
ona:ry=R2;donc:t=2.
,T
*I 2. On pose : OM = x. Les trajets T, et T, ont pour mesures respectives :

Tr = Ro et T, = ra + 2(R -x).
Vre [0;R],Tr=T2, (* Vre [0;RJ,(g-2)x*R[cr-2)=A é
l O Exercice 37 p.4i
ü"=2.

,*T
En uülisant les formules d'addition, on démontre que :

47
,'i

irli ''
r.1

1. sin 5r = 16 sinsr - 20 sin3r + 5 sin x.

:l

Donc:sin$= :l:-
l*"

I Exercice 38 p. 45 ti-
1. On a bien : cos Ex = cos.r (16 cosar - 20 coszx + S). t-
(1 - cosx)(4 cos2x + 2 cos x 1)z 1 cos 5r.
- = -
Z,a)cos5x=1 ê+ 5.r=0[Zr] (+ r=OtfJ. il

ii,,'*
bl D'autre part, d'après la question 1. :

cosSr=1 (+ cosJ=1 ou 4coszx+2cosx_L=0 li

(+ cosJr=1 ou cos,r=v6-r ou cos.r=-lÆ.+r. I

or:cos#=o<"orf ;donc,"orf =_Éit" et cos+=- [*


4
De plus ,f = n - (+) , uo.,. , cos f J- tf:* i
iExercice 39 p. 45 ti.-
i

Soit o le côté de chaque carré. On a : (a, Ê, gç Io,ly et cos


"= #,.
Deplus:cos (p+Y) =cos Bcosv-sinpsiny =#. * - # " Ih. =#.Donc: *= t.- l

F+y.
0 Exercice 40 p. 45
7'r=@ÿ et q e fo,znf,avec cos (p=#fr2 et sin o=ftÿ2.
ll

f xcos t+ gsint=a x=acos t_bsin ü =rcos (ü + q)


(
z.a)etb)l (+ .l -
[ -xsin t+ g cost=b l. U =osin ü + b cos ü= rsin (t + p).
c)o}lz =x2 + U2 = a2 + b2;donc, M décritle cercle de centre O et derayon 7=ÿfiÿ;
-
si a2 + bz = 4, on obtient le cercle de centre O et d.e rayon 2.
t) Exercice 4l p.4i
1. Ona: cos (x+ù = cos.rcosy-sinr siny(1) et (r_ÿ) :î
cos = cos.rcosg+ sinrsiny(2).
De (r) et(Z), on déduit i
cos.r cos U = * y-l * (r-y)l et sinr sin U = -+[cos (x + ù (r-y)].
-6cos(r*g)=igos
+!.^r^:!* -cos il.
t'

Donc:(S) <=+ f ' _.


("or(*
-n)=+ I

2.x+ ÿ e [0, 2n]etx-U e [-r,n]; donc, il ya quatre cas possibles:


*o=T
(1){
[x-y=f et{**a=Ë
'-'tr-s=-l ,r,{*lY=+
tu'Jl*-y=z ,or[**s=*
"'1r_n=]Ë
l
j

[r=4 (x= fr *_ 7Ln ( x-37


soit:(1)l L e)l*-12 ç
,r,tr=#
Lr=# '-'Ln=T ,n,
ir=+ ,]

48
0 Exercice 42 p. 45
7. a) (7 + tÆ)''= B + zÿ1; donc , {iffi, = 't .+ ÿ1.
: b)x=-â :, x=$ c)x<-â o. *,*.
2.On","or, =-+ o,, *=*!-.
"o,
Donc : * =+ + k.2n i x = - ff + k.zæ ;* =
I + k.2n; x=-
[ + k.zn (k e Z).
3.Ona:cos *.-+ ou cos *r+.
Donc s = l- æt - +f u F ; f,t u'1ff
î ;
"1.
0 Exercice 43 p. 46
1. Les aires du a"iangle OIM, du secteur circulaire (OfM) et du triangle r k OIT
sont respectives égales à sin cr, u, et tan o,. z-i-----V I

rr Donc,dansl'intervalle]O;ft:sinG,<ü,<tarro,etsinc<cx,<tano,. / I Âl
z. En posant o = r et en cl.irrrsant les termes de la double inégalité par x, on
,5l
t i
obtient. sinr < 1< tanr. [- ol- e 7 t

PXX
: p".
'f et en inversant res rapports, on
:;":ï:î:ï:ffi.iinégarité \l-/l
.L

tdd.l. }ZN
n
1. Soit d une mesure de l'angle
coscl=or=oo-+ôF= -+.+=#; cos2o,=2cos2o,-l=- É# "
ffitX I
:
I
,.;u="re1#.uo!l+1ç=!nT'
Donc:cosÊ=cos2Ç,avec (Ê,Za) e[0,n]2;donc:Ê=2a. ^n ffiffl?
c\J l//
\--bt'-
-------^Ù
^ ^
3. (OB,OCI (OI,OQ)= - tfi(OI,OB)=n- F. tG I
-t .-
Donc:cos]=-cosB=-llgl-letcos2T=2coszy-f=##=coscr.Donc:(Oil,OC)=(OÎ,OÂ).
suue.uvDI--uuùp*
4
sLuuùLI-L uuD J-t- -uuDu.uuuu.\L-rDr\/u,r-(LJrrLJn
i- 4
-.
D'après ce qui précède et les propriétés de s)rr-nétrie de la figure, IABCD est un pentagone régulier.
E,
0 Exercice 45 p. 46
1.Ona:sin"=S - ul\ et coso=*;donc:oA= 9;OB= L g* 1
UIJ sln q, cos G,;AB= srn & cos c[
o al* ÂD af^,]
2. -^^^. I63
On pose -=fla).
\ - / 7r\
ona:/(a)=#=#
!É 3.aJAB=4 (+"or(.r-â)="or(f -za) e o-Ë =l-2Gouü-Ë =-(i*r").
o
Donc: o=+ ou g=Ë.
' biOA=OBo]l3_ srnG cosq,<+tana=fi<*û,=8.
rtans=ÿg<=0=.3.
i f Exercice 46
1.sin"=#=Ë= + cosZcr =1-Zsin2o= d2-T;'-r12.

' b./Les
b) Æ ont pour mesure nn-2o'.Donc,lepetit
aCrg'ontpourmesure
Les angles AOB et A'O'B' - 2a. Donc, le petit arc AB pou.r mesure fifi-zo.etpour
ÂÈ aapou.rmesure - 2r
""
Iongueur: I= r(n "r"
.," ,.1 - 2o.').Le grand arc A'B'a pourmesure æ+2aet pour longueur :l'=f(N+ 2a).

'y{1..=,,5 crrl, r' = 10 cm et d = 45 cm, on trouve : 0, = 0,11 radian et L = 137,68 cm.

49

Effi§ffiËilH,-?ffi iryilÿïSf *Wffi§5ÿ.tr1Ë:iiîW1r- i,r


.tFl
m&ry'
I

:.i:

3- G,éorrn,étrie analyticfue du plan *1


(poges 47 à 60 du livre de l'élève)
l_

Mettre à Ia disposition des élèves de nouveaux ouüls pour la résolution analytique de problèmes de
Géométrie: t-
- équations normales de droites ;
- distance d'un point à une droite ;
- représentation paramétrique d'un cercle dans un repère orthonormé.
!

.
I

Ce chapitre fait suite au chapitre « Droites et cercles du plau », vu en,classe de Seconde. Seule la no-
tion,dlangle orienté est nécessaire avant de L'aborder
r "I
La nature des notions traitées dans ce chapitre doit permettre au professeur de metEe le pius possibie
les élèves en situation de recherche.
. Les nouveaux outils acquis d.ans ce chapitre permettent un choix pour la résolution ds ssrteins p1s- -1.1

blèmes: :l

- par exemPle, pour déterminer I'intersection d'une droite et d'un celcle, les calculs seront simpiifiés en
utilisant une représentation paramétrique pour I'un de ces ensembles et une équation cartésienne pour "rl
I'autre ;
,,J
- pü contte, l'utilisation de deux représentations paramétriques impose deux pararnètres distincts et,
donc, des difficultés supplémentaires.

ïri
Orthogonalité et droites du plan r Déterminer une équation normale de droite :

"o Droite définie par Un point et un vecteur normal. - connaissant uL vecteur normal rrnitaire et un point ; ï
Q691flsnnées d'un vecteur normal à une droite.
. Équation normale d'une droite.
- connaissant une équation cartésienne de cette J
droite.
r Expression anaiytique de la distance d'un point à r Reconnaître une équation normale.de droite.
une droite. . Calculer ia distance d'un point à une droite. l

. Déterminer rure représeatation parnmétrigue d'un


Cercles cercle :
. Représentation paramétriclue d'un cercle défini par - défini par son centre et son rayon ; rl
son centre et son rayon. - défini par un diamètre. J
. Passer d'une représentation paramétrique d'uu
cercle à une équation cartésienne et vice-versa. T.]
. Utiliser la représentation pararnékique d'un cercle J
pour déterminer la posiüon relative dlune droite et
d'un cercle (points d'intersection, tangentq en un "1.,1

point, ...). ti
.,jj

T]

EI Exetcices du cours
O Exercice 1.a p. 53
r Les vecteurs noünaux à (9) sont les vecteurs de Ia forme 2,i, où; (3r) et I est un nombre réel non nul.

' Les vecteurs directeurs de (9) sont ]es vecteurs de la forme À7, où 7(8)
",
À est un nombre réel non nul.

50
ô Exercice 1.b p. 53
Une équation de (9) est : 3r + 29
I

i
t[ - 72 = o.
I

i 0 Exercice l:c p. 53
1. Ona:4 x I + 6x (-O) = 0;donc: (9) et (9') sontperpendiculaires.
l

ô
I

!.!! 4

2. Les équations normales de (g) sont'


rfu', * a* 0 et -
ft h= #*r- ;fu u- ;fu = o.
I

1_*-ffi2 ÿ * _J_=oet_+, t* ' 2


lTr
i
Leséquationsnormalesde(9')sont: ffi gvrs v13 my- gv13 =0.
0 Exercice l.d p. 53
DeséquationsdeshauteursrelativesauxsorlmetsA,BetCsontrespecüvemenl:2x+y-6=O,A-2=O
et 3r-g-4=O.
Les coordonn6os de l'orthocentre H du triangle ABC vérifient les équations de deux des hauteurs d.e ce
triangle, par exemple, Ie système :
i

(zx+u-6=0
* ' ".
{ on en déduit ,H(Z).
Iy-2=0
I

0 Exercice 1.e p. 53


i
I
ona:d(a,o) =ffi-'?*
i Exercice l.f p. 53
rr"
1. Une équation normale de (9) est :
frx * # O -#=o z.d(B,e) =l*xs+Sxa-ff1 =a.
0 Exercice Z.ap.57
On a la représentation paramétrique du cercle de centre *(8) * de rayon 5.

I O Exercice 2h p. 57 0
L'ensemble arl'iet pour représentation paramétriq"" , te m).
{;: ; ;: fot =
I
l C'est }e cercle de centre * de rayon 5.
l

"(3)
OExercice 2.cp.57
Une équaüon cartésienne de (€) est : xz + 92 - 4 = 0. &
tt iExercice 2.dp.57 rx = \Æ cos 0
Une représentation paramétuique de ((i) est [0 e R).
'1, = Vs sin,
t 0 Exercice 2.e p. 57
l
l
Une équation cartésienne de ((G) est : f + 92 + 4x - 2y - 4 = a.

Exercice 2.f p,57 ( x = L* Vfr


I
O e
Une représentation paramétrique de (%) est : 'l 4
n 1@"o, , (0 e R).
I

i
I rrr, y=-i*-n
t- 0Exercice 2.gp,57 (x=-1 +\10cos0
Unereprésentationparamétrique üucercle de centreAetpassantparB est'1, (0 e R).
i
= t + Vlo sin0
1

0 Exercice 2.h p. 57 (x = -f * $ .o, e


une représentation paramébique du cercle diamètre AB est : (e e R).
i

t, = -i-. $ rrr a

I
a
1".-

E Exercices d'opprentissoge ti"_


r.
I Exercice 1 p. 58 I

L
Dans chacun des cas, on écrit que le eoint M(i) appartient à la droite si et seulement si :Àü.7= o.
On obtient : dÿîx +ÿi g -zÿz +ÿi= 0'";' b)x-4=o I c)U-2=0. r'
t-
L
OExercice 2 p. 58
On se contente ici de donner, dans chacun des cas, les coordonnées d'un vecteur normal à Ia droite : rl-
or(fr) , d(Z); di(?)
"r(iu) ; ' "i(ru) 'r(â) d(l) il(31).
, ;
Exercice 3 p. 5S
<)

On peut choisir, pour chacune des droites (91), (gz), (gs)


,et (9a),les vecteurs normaux respecüfs :
JJJJJJJJ
f,t= i+ j, nr=j, ns = i et ne= i'-2j, l

I Exercice 4 p. 58
A(jr) et admet pour vecteur nonnal tout vecteu-r directeur de (Â), par exempl";(1)
(9) passe par Ià point
Une équaüon cartésienae de (9) est donc : (r- 3) + (ÿ + Z) = O €à x + g - 1 = O; t-
O Exercice 5 p. 5S
Ï:*
1. Une équationcartésienne de (9r) est:2(r-3)- 5{y+Z)= 0 (+ Zx-Sy- t6 = 0.
2.(9)arlmsl le vecteur;(r) p"* vecteur normal.
Doncuneéquationcartésièrinede (92) est:5(r-3) + zfu+2) = 0 c+ Sx+Zg-11 =0. r-
It",
0 Exercice 6 p. 58
Tout vecteur normal à (9) est de Ia forme À.Ê où l, est un nombre réel non nul et î Q,o). fl'
ir_
ona:llrTll =a<+lÀl ll;ll =a<+lÀl =-+*-7=$ ^ 2
v10 v10 0u ^= - ffi
t4t , i, T'1

Les vecteurs normaux à (O) de rorme égale à 4 sont donc : rr[Y)


,L-
\r1ol "a[ f\-vffil
]
'tr
L-
[-
2. Leséquationsnormales de (9) sont:*r- lr*!=0.", - **+o-t=0.
+ r,
I Exercice I p. 58 ll
-
ald(A,Â) =PW=* ï1

i Exercice I p. SB
u-
ol d(4,9) = ÿîi a'(-/) d(A,g) = 0 et A' = A
"t
bJ c-l d(A,9) =
f et ^'(r&r). fr-
IExercice 10 p. SB
Une équaüon de Ia médiatrice de [BC] est : 8x+29-11=0. I'n

i Exercice 11 u. SB
tii -
soit M(ü) ,rn pàir,, du ptan. -,
-
52
t1Ë#J*B#=4
l

On a: M e (f) o *Vro Vj.. ë l3r-yl +l3r+ al=aÿro. (1)

tî tes drciites (9) et (9') partagent Ie plan en quatre régions (E1), (Ez),
tt (Er) et (EJ (cf: figure ci-jointe).
( r')\ /(e )
i
Si M appartient à (Br), frontière comprise, M est situé au dessous de
IT (9) etau-dessus de (9'). Onadonc :3x-g 20 et3r+y à0.
On en déd.uit : (r) <+ 6r = 4Vîô.
E,9
L]L

!.!Ê-

ti
. Dans (Er), (r) coïncide donc avec Ia droite d'équation --* .


Par un raisonnement analogue, on.a : E

'Me (Ez)<+3x-U <0 et 3r+Y>0. j*\ 1

I
o \rl
(f) coincide donc avec la droite d'équation g = Z\ffi.
Dans (Er),
.iî oMe (Es)ë\x-g<o et 3r+Y<0.
Ê
IA
tlr
Dans (Er), (F) coïncide donc avec la droite d'équation * = . -ïf
. Me (EJ <+ 3r-y20 et 3r+ ÿ < 0.Dans (Ea), (F) coïncide donc
I avec la droite d'équation U = - 2ÿT6.
L'ensemble (f) est donc la réunion de quatre segments formant les
côtés d'un rectangle.
1'l'l
tt
O Exercice 12 p. 58
i'l:
on a : An(14) eÈ(t) ne sont pas colinéaires ; donc, A, B et C ne sont pas alignés.
i
La hauteur
"
issue de A dans le triangle ABC a pour équation: 6(x- 3) + ztg -5) = 0 <+ 3r + g - 1'4= O.
La hauteur issue de B dans le triangle ABC a pour équation : 5(r- - a) + 6(ÿ- 1) = 0 <+ 5x + 6A 26 = O.
f3r*u=1.4
t - : ^^.
Les coordonnées de H, orthocentre du triangle ABC, sont Ies solutionsdusystème :J(5r+6!t=26

Donc, H a pour coordonné"t ({} , +).


m O Exercice 13 p. 59
Æ(ln) etCî(!)ne sont pas colinéaires ; donc, A, B et C ne sont pas alignés.
I Une équation cartésienne de Ia médiatrice de [BC] est : 3r + y - 3= 0. u

Une équation cartésienne de la médiatrice de [AB] est :x = o. - 4A +


[
Les coordonnées de Cl, centre du cercle circonscrit au triangle ABC, sont les solutions du système :

[-.: it-- i:0. ,orr", c) a pour coordonné * tfr ; ff1.


[3x+ U-3= 0
O Exercice 14 p. 59
M e [AB], donc les coordonnées de M sont (1.,0), avec À e l- q; sl. "
(AC) et (BC) ontpour équations cartésiennes respectives:5x- 49 + 2O = 0 et 5x + 49 - 20 = 0.

i
Donc:d(M,(AC» =W;d(M,(BC)) =W.or:-4 <?'<4;parsuite:d(M,(AC))+d(M,(BC)) =#^
,) Exercice 15 n. 59
on a : ,(ï) * Cfr') ; on en déduit les équations des droites (Ao) et (AC) :
rl

J ^(3),
(AO) : 3x-2g=-0 ; (AC) : x-29 + 4= A, d'où : d(B,(AO)) = etd(B,(AC)) =
# #u.
i
On a : d(B,(AO)) * d(B,(AC)) ; donc la droite (AB) n'est pas la bissectrice de 1'angle,6C.

ô Exercice 16 p. 59
flr
ona:BC=@=ÿ73.soitH(ü)IepieddeIahauteurissuedeA.ona:
1l
*"t
E2
JJ
**. ::

u.l;;iii7.!:.iitl]î?.iË.iî1:..lfi+.1..1;,;fijl..-}l]ii,ii:',:..{lJ1:::1..]]f,':'
_ d1'1

--+ ---> .-.> ---'


ATIT BC <+ dH. BC=0 <+ 3(x-1)-S(U-Z)=Q <e 3x-8g=-13.
H e {BC} <= det ( BH, BC )=0 <* 8x+39='7.
. f3x-Btl=-73
Le système
t]}; Z|rl, a une solution unique * = X,o = #. ,

Donc : AH =
\hi et Aire(AB r) = +x BC x AH = f.
Si on a fait avec les élèves le TD nz § 7.3., on peut vérifier le résultat à l'aide de t'égalité :
AiretABC) = ldet(iB,lql , mais cette égalité ne constitue p.as un savoir exigible.
1"
I Exercice 17 n.
L
59
,-
01

Pour tout pginlfra(f) du plan : det (al,Àü) = - 2x + 39 + 2.


Le point M(ü) app:fttient au lieu cherché si et seulement si :
=2x + 39 + 2= I ou -2x + 3y + 2=-9. J

4 o B
Le iieu des points M du plan vérifiaut ldet (ÀÈ, Àü)l = 8 est la réunion
"o,
des deux droites (9r) et (92) d'équations respectives :
-2x+ 3y-6=0 et -2x+ 39+10=0.
Si on a fait avec les élèves le TD n"2 § L.3., on peut donn* une justification géométrique de ce résultat :
ldû (fr,frfl]= B ZAire(ABM) = 4. Or : AB = {lS ; donc le lieu cherché est l'ensemble des points M tels
que : d(M,(AB)) Ce lieu est donc la réunion de deux droites parallèies à la droite (AB).
fu =

O Exercice 1.8 p. 59 ( * = - L * lF g
une représentation paramétrique du cercle de diamètre [AB] est : .l n
o G: "os (0 e R).
Lo=i +fsiu0
^

/ë\
La tangente en A au cercle est Ia droite passant par A, de vecteur no.malË)[ 'a I t
une équation de cette tangente est : 5r- 3y + 21. = O. YZI
LatangenteenB?asseparBetapourvecteurnomralÀô;uneéquationdecettetangenteest:S.r-3y-13=0.
r) Exercice 19 p. 59
:

Ona:d(4,9)=*;lecercledecentreA,tangentàiadroite(g)adoncpoutrayonlfu,.
6+
une représentation paramétrique de ce cercle
"r, ' {'= t "" '
tv=-r+1ft'sine
,r . *r.

I Exercice 20 p. 59 i

1. ((€) a pour rayon : d(A, r) =


1fu,.
Uneéquationcartésiennede(()estdonc: (x*212+fur-1)r=+
<+ 5r2 +SAr- ZOx-t1g-11 =0.
2. Soitt(i)l- point de contact entre ((6) et (9). M appartient à (g), donc: U =Zx +g.
L'équation obtenue en remplaçant y par 2x + 3 dans l'équation cartésienne de (%J s'écrit : (sr + 2)2 = O.
On en déduit que ie point de contact entre (€) et (9) admet pour coordonnées , ç3,+). l

I Exercice 21. p. 59
L'équationde(g) s'écrit:(x-2)2+(ÿ+1)2=B;donc((()apourcentre^(jr) etpourrayotZ../i.
A-
On a : d(4,9) = = 2ÿ2; donc (9) est tangenre à (r4).
i,
Pou: déterminer le point de contact entre ((€) et (9), on procède comme dans I'exercice précédent :
l
I

L'équation obtenue en remplaçant y par r + 1 dans l'équation cartesienne de (%) s'écrit : Zÿ O.


=
Donc ie poinl de contact entre (%) et (9) admet pour coordonnées : (0 ; 1).

54
U

lr.
I

I Exercice 22 p. 59
L',équation de (€) s'écrir
ir .t. (x+ t)2 +@-3)'=+;
:
donc (s) apourceatre^(
ona : d(4, s) =
donc rsl *t r".rr"o,là (.6) ,) etpourouvor, 1fu_.
il
W; ;i', ; _41 =5 <+ m e {_ r ; s}.
t1
1l
' si m -- 1' onremplaceÿ pilx- 1 dans r'équationcartésienne
Donc le point de contact de (€). on o btieut : 2(x
entre (%) et (g) admet
pour coordonnées , é . 1r - *)' = o.

;;'j"ï,i:: J:î:jffi î:iî.; :.,îî#:ï:


oExercicez:I:§g
î :î'Jj#ial fu ',i
' 2'2''
en, : z k +
{12 =
o

d(O, =
!Æ = 1. Toutes les droit
,i ^-)
1l
U
A Exercices d,approffondissement
i" lExercice 24o.59
i

;iT équation ,o: r son rayon


centre et
une :TI'""r:ï:':
de :*:::*,.3
(e , .d ;;; _;*,=àUi;lt:i:
ri ll
"rt _t' = Le cercte (s) répond
:i'ilî::ï,u?_l::l'::i ,y, :lupp*tiu,,t
?. a rür . ïu, à,,liu,-iiàj Lii,,
à ia question si et
sont perpendicuraires
'Aapour"ooraor.,uî;;;To-^*^,=0;l'équationde(%)s'écrit :x2+yz-zax- zbg=s.
*l
;:ï:[{* jti"'.it,,ffi T#ir:ii1,î,, jïi j:::.i:,;-:;:ft ,
i
D'où une équation cartésienne
de (%) , *? *
nf, _ î _ rn = o.
I Exercice ZS p. 59
i

L,
1. Soit M(ü) * des points cherchés.

I
une équatio, d" (y]
+r:î; =fl9- t)
est : (x - 2)2
I
I
sj M e (%r et riù et :
isont
['
'i'ï;#J:i:T;:ï::il:;:::'""'*unt
En rempraçant (r ,, (2). "ori,,e"i,",
', on adonc deuxsolutions
- 2J par ÿio_ ,, oï, [;J,;fri, rn obtient : 4A -1)2 = 9.
:ÿ= r **=! ,0";;;;"
er r, _ t __3 _
on catcuie les vateurs
"or""rpo.,dJ,", Il*1"rr" n (2),?torr_en déduit que
cercle où la tangente t", poiot, a,
admet pour vecteur normar
points isont res *r(u16l f
2' La ta'gente au cercre "lr"i#
"\ -
Une équation de
en M, est ra droite passant
pù Mr et de vectel j + )
cettetangente
De manière analosr
est ,ÿî x+ U_zÿi_z
=a.
"jï",
l:":;:iii#;J:f:,:fl ,,,"?"x,,#i::1,:,îi:iilï5,.,k,f,.;i,:y,;zi,!;u,",o"
:ats ne constituent
I Exercice 26 p. 59
p", àri-r""iT, Ë#uu"rr.
t.ona:13 -61-
'
; les vecteurs noîî de to) et (9') sonr colinéaires,
. *, ,,J;: donc ces droites sont pararèies.
"u',l"
on a: dr',e)
= *,.Lo,îÏ;T[s];rffi:i&iïË%ï;
-)-,,(rrrunoeoui'-g= r_u!r_+gl
=r.D,où i&=_ etr=u
nL
55
; ,::;.:
i-

.)
1

" 1'-* Zl 6s5 g


(rc='A*r0"""" (oeR). tl
!1
de ce cercle'est ' t
Une représentation paramétrique , =S sin e
LJ

rlExercice27p.59 - (x--4+2cosO (0eR). rl


de (€) est: \v u uu/' ii
1. Unereprésentatio"pu'*etrique {ÿ = 2 sin 0 l.i

ntr-y= o'Ona: d(o'g-) =#


2.Uneéquationde (g-) est: ^r /q
E \,tr tl
L.J

(g-)esttangenteà(t€)ëd(Q'g-)=2ë76m2--41m2+1')€"t=Ëoum='-T-'
(9-) est tangente à (.6)'
Donc, il existe d.eux valeurs de m
pour lesquelles I
_l
I Exercice 28 P' 59 nâr,^n
de Q i'1

:" f ;:Ï"'â"ff :i iiJii:î,ao,,,,eu. s oit o oor donnéet,


* z1-tz = ":'l
1'
ii
LêS"nf*li:":tî:"ff
' Les droites (Ac)
GIOrrss vL \v-' onl"oï:Tu;;;;;'Pectives
tr\v, s1(BC) - ?
'T
oü o=-6'
*
,

lal <+
uin,,^ar, = d(o,(Bc)) ry= "=i'
est positive'

donc son ordonnée
Q est à l'intérieur du triangle'
On en déduit, o=
Une représentation'p aramétrique
* et r= d(O'(BC))
du c ercle ins crit
= f' l
( 5=9cos0 (g' R)'
dans Ie triangle ABC est
donc : ..
L g=T ] - i *a rri, e il
2a,,,-

,) Exercice 29 P..59.
i],_l
;Ï::'Ëiii,'* (â),,ô (-1 J' ut (3)' TJ. 11
=tL.' ::
iaire (BcD) = * n
::"i#"i='[Yl;;;)-="{,"J"i^"'' l
i Exercice 30 P' 59 "1
(AB) et-(Ac-)'
-br;i;;"s, eqrridistant àes d'roites
l.Lesdroites(AB)et(AC)onttoY:éq'"tionsrespectivell'3r'4A+12=Oetx=0' ü -J
soit x a,rro p"i* M àe l,axe
lsx t i2[ - r*1 (+ *.=-+ oü 'r = 6'
'abscisse
on a: 664,(A8)) =;ü*;;,i ; ; (AC)' sont
.
a"'" rf f ) " l(3)'
n
!fl
des droites (AB) tü
i.J
points de l'axe des abscisses, équidisltants
Les + ZA? - 9r - 18 = 0'
diamètre [ii] a pour équation cartésienne:Zxz
2. Le cercle de
à ce cercle' - =' -rl
ôn rrerifie que A appartient :-"!

3.Latangenteau"o"t"enAestladroitepassantPïA,devecteurnormalQA.
est : 9r 1'2g + 36 = 0'
Une équation de iu"gunte - il
""i* ."1

lExercice31p.59 . commun
point ^Ém,tn à f<4l età(<g')vériflentIe
((€) et système'1*,
à ((€') vérifi'ent Ie système *fu-z)2=''
'\.;..0[ -"f ='
1. Les coordonné",
(* , y) d'un t,1
rVâr l-f6t :J
u[,
onendéduitque:(€) et(.e')ssn15§sant'""'a[ Tl " i ) \; / lr6t -l+
+(?) :1

2.LestangeDtesenAà((6)età((')ontpourvecteursnormauxrespectifs:OA
"*(=) ii
n
i{
on a : û. o-À = 0 ; donc lestangent"',"1
analogu" n ü, ::^(3-::
i*g"",", "r
u i-tq) "i(q') sont perpendiculaires' ::''#îàî:îiï1i::î'*'
on démontre de manière " 0' n-
normale :'r cos 0 + g sin 0 + lc =
d'équation
3. Soit (9) une droite
il;;àiô,e1= llcl et d(oi's) = lzsin 0 + lcl' li .
56
,*-
il}li.,l{ 1"::'l I ii- 1

,*-Æê"'|s-ÿ:i'a1aïii:aï,§a!1':s)Ë11:11ïirli::liiil:f
ttl

(9)estunetangentecomm,neà(glet(€')é+
d(o,g)=f."].{?"g)=1er
ii, rlcl =ûetr2sine+V5r=1.
_i* ïr;-ï;,Tff-il.Â;;*"j_U;;r.âJl,o,,*,= 1c, ,,t:-\Æet 2sin 0 + \Æ= r
l
'si/c =rt,ona:sin g= 1=_l/î ;ondédrrit:cos0=.Æ
E
I

I ou cosr=_
on obüent ainsi les équations
normales de de r* tanrurrl",
(e,)'
T-=
l=fr s + ÿi = o ; (ez), "i**urru, , O, L ,*i, ,
**
I
li
V/f+ -r1W-* r - rÆ
s + \/i _ o.
l deux nouveiles équations
I
l_ qui sont les deuxièmes
équations normares de (er)
l ; ;:;;" ;î.ir'""t et(er).
1' Une représentation paramétrique x r cos 0
urt , { =
I
I
e'vvt'
de (,€)
(0e
t_-
I

tÿ=rsin0 R).
I-'nereprésentationparamétrique p
de (<6,) est, {*=d+ r'cos
'-l vuL'ty=r'srnB ,^
(ÊeR).
L. z. a) uneequation de
ta tangente à (%_)
une équation de la tangentÀ M Ji;;ri+
(q,) :r, s sin 0 _ r= 6.
tvt, ,,
"r, ".t r-rro B _ r,_ d cos p = g.
"oldi
L. 3lr:"ï,iîË*iîï:iî1iîË"""';:*::',,""",;::X{"n"tj3s deux oquations
donnéeadmetde,xéquati;;;;',"i*o"""1ilîa"ïiîffi"ïJJ,"1î:;S:îf *1":,* à ra question pré-

L- ::ïff"::;:;îî, :*;:1"î: ; :,i:


ffi Ïfî*ï#"f i.droite
c) 'd>r+r'>r>r-r':+
t::.r; :+rii I ôî î ;; îli -V_
"j ff ;,,,,'
_ d c.s
B,

1., #.1 et d.>r+r, ,r,!r,.-r ,_,


:+ .É'-1'Donc:-1
onendéduitquel,équationcoso=1-r, _r <
#.r.
L.
de r'égaiité,i,,lo =, ;;, "; ;;ffiîj
on obtient ainsi de,x rangentes
HHH'
"ï:ïl:'.ffi
n ; nr ;

comm ,nls a fqt .t


on est dans re cas où â
fgt.d ll-
L-
,
Ê, donc : (rffi) = rffi1.
::i,iîi"[::Y",îil::Xi:'il ;" r" a,"i. ôô'),,", tangentes sont extérieures.
L (r- r')x * Væ -çfi;-
;='; et (r_ r, )r_ t@:ç;y
.Ona:O<r+r,<d::) !i' _ rd.
'w-u'
= s.
0<I*I .r.
L
:^::: :
*1*,
On obüent de même
deux tarrgelttes intÉ
_;= ;il#,ii "'Hî
lF:Ç.q n;=;"","rÏ:ii
(r + r')r +
ffi#*j :,y:;
.

,{%)
et (€'), d'équaüons respectives
:

L |::!":rr"n numérique :r 4, r,
= =1 et d = 6.
!

Tangentes extérieurr
es communes
à (%) et à ((€,)
Tsnoa-+^^ :__ u .
Tangentesirr,e.i-"-,,î".'uuurunesa['6Jet.u1*)'*+\/ig-8=0 et x- {ig-B=0.
t I
)s communes à (%)

Exercice 83 p. 60
età (%,), Sr+ VÉ u _24=n or tr-_ /TT
U-24 =0 et Sx-\/ig_24=e.
^

1' Les droites (Àn)


(ACJ .4*u,tent pour équations respectives
Soit ti,t(f) un point "t : ax + by rn= o
t_ du plan. On a : - et arc + cg _ ctc e.
=
d(M,(AB)J
=d(M,tAC)) c+
t W =
ffia
€) (az +c2)
{ax+by_ab)z ={a2 +b2) (r* + cg_qç)2. (1)

I
57
I
(AB) et (AC) est donc Ia réunion des deux
L'ensemble des points du plan équidistants des droites
droites.(Â) et (Â') d'équations respectives :
îç\æ#; -'ffi1- (n/7;æ - = 0 et ni
+ @tÆfr -
"ÿ;;Æ)o - " "ÿ7rT) il
---l r

\/7-+ b,)x + (at/;rl;,


+ ct/a'Tlæ)n - * +ÿ) = o' ]-
"ittæ;æ
+ "(axæ;a "11;!
l-1
par exemple, que le produit scalaire des
I

I,
On vérifle que les droites sont perpendiculaires en montrant, L.r
vecteurs normaux est nul.
y par 0 dans l'équation (r) on obtient une équa-
l

2. La droite (BC) est I',axe des abscisses. En remplaçant :lr


üon dont les solutions sont les abscissos x1 et r, a"i pointi I et J' Cette
équation s'écrit :
ii,] i

taz +cz)((Lr-ab)z=(az +b2)(æ-ac)z <=+ (b +c)zxz +21a2-bc)x-az(b + c) = 0 (2)


= (az +'Oz) (c - x)z - {az + cz) - x)z
x (b
3. On a : AB2 x ICz - AC2 IBz
= (b -c) [(b + c) xf + 2(a2 - bc)q - 162 - bz)(b + c))
(2))'
= 0 (car x7 est une solution de l'équation
,De plus, I et B sont distincts car B n'est pas iquid.istant
des droites (AB) et (AC) ; de même, I * C:

;;;r*i,Fr= ffi , o, démontre de manière anatogue rr" = *Ë.


' ft
O Exercice 34 P. 60
1.ajSi9(M)>-0,alorsMÇ)>r;donc,MestàI'extérieurde((€).
de ((6)'
Si g(M) < 0, alors MQ < r; donc, M est à f intérieur
Si 9M) - donc, M appartient (t€)'
0, alors MQ = r;
el c=a2 +b2-f '
b.)((€')apouléquationcartésienne :xz +92-Zax-zbg*c=0;doncO(a;b) n
Ona:9(M)= (xo-a)2+(ÿo- b)2-f =x?+go2-Zaxo-ZbAo+a2+b2-f =*o'*go2-Zaxo-Zbgo+c' il
i- -r'

Applicotion
02 +72+ 5 x 0 -7 x7 =-72; donc, A est àl'intérieur
de (tG).
32 + 72 + 5 x 3 '7 x7 = 6 ; donc, B est à I'extérieur
de (()' I
2. SoitI Ie milieu du segment [AB]' On a: .1
MA.MB = ffirtffi
ilr-A'ffi (q..{1(tg:
ün.NAg = tMÎ + lA) (MI + iB
ryl itr
=(ffi*fr1 tffi-ÏÂ)=MI2-lA2
,-]

= (N'toz -Io2) - (ao' - IQz) = MQz -


l = 9(M)'
p par rapport au"cercle dans lequel il t'ï
b.). si Ie quadrilatère EFGH est inscriptible, la puissance du point r"!
pH'
est inscrit est égale à ffi x ff et a FG x
on a :
C"ttt p"itt"o"Jr" dépenilant que du point P et du cercle'
PExPF=PGxPH.
. Si FE x pf = pf, x ffi, notons (<6') le cercle circonscrit
(GP),
au triangle
.tt
avec ia droite
EF-c,;t H i" poi"t d,intersection de
I
(.13') t,i
(GH') se i.rJ
ie quadrilatère EFGH' est inscriptible et les droites (EF) et
I

i
i_
coupent en P :
rli
PG x PH"
D'après ce qui précède, on a : PE x PF =
iI
r.J
= ffiî' ffi
i

On en déduit, PC*É =ffi ; d''où' xffi f-


t

et le quadrilatère EFGH est


Les points H et H' sont donc confondus
i'

iliùtibi" àans Ie cercle (%')' râ


i
i
t_

0Exercice 35 p. 60 t=o (Lr) o ( x' + A2 +x-4y + 1 = o (L1)


r *z + rtz + x-4u + n I
l

,.M(i)e (.€')n(s") * t;, *"ur-z**is-i.3=0 (LJ 7*-6a+1'4=o (Lr)-(Lz) ii 1

vareur da,s la première


deuxième équation et en reportant cette
En exprimaat y en fonction de r dans ra
(%,) et (%") sont sécants en deux points r
équation on démonte que les deux cercres "(â) "'(-t')
2.Remarquonstoutd,abordqugpoTtoutevaleurd'elclespointsAetBappartiennentà(E1.)puisque
Ieurscoordonnées,e,in-",,ù.iéquation-sî"t«i"t(%'')etparsuitece1Iede(E1.) ,

58
-]
ri
:w
r lll ll llllllll ll lImx
1Ë1
]JJ
r{l
)

lI
I

r{l
l
l aJ'si/c=-1(E-r) apoiuéquation :4x-69
i*- +74=0, c'estuneéquationdeladroite
lt . si /c ?É- 1 (E,,J a pour équation a(Ll&r,. (AB).
r{l , (.' + (r:Jüüîî'ààïiilrrf,. ,, = ,
c'est l'équation d'un cercle
i i";
O"rr"r, r- A et B.
!i
-tL pour centr".-(H)
i
I
I r"-r 3j.]iffij;:ffi,ïl ,
"t
r'",,,"*ure des cen*es des cercres (Er)
a pour
til r*-3 2 ,
_i u )^- 2 -1+1 (+ (x=ÿ-zt
I
l- tr=-, *fh 1r=j 1 + 3t avec ü=E+T,lorsque/cvarieda:as
R\{-1} üparcourtR* et
ill
;ll des centres est la médiatrice gz,
de IABJ privé du
noi.rt c(
r-l l*::lt'" ) ""ot " du cercre (ftr,,).
3. aJ Un cercle passant par
flU les points A
i, *, Idirti;;tr;;;""r"
son centre sur l.a_méüatrice
Ë;ü;i
précédente, t"r'""."il,
"
tq f
de [AB], d,après
les quesüons
)"t#+uz+x-4u+7)+t4#+Y2+x-4u+1)-0avec(À,p)=(r,/c)etouobtientrecercre(€,,)pour(À,p)=
oqo"uon du
l
'f l "TJ"ii#îI" sô" ,
{t (o' t) ce qui répond a
h question' Remarquons que pour À;c
-t-
L' 0 l'équation précédeute est
cercle (E1J avec k=*etpourÀ= l,équation du
0 et p* 0 on obtientie cercle (%,,).
,
l

tlr_l
rL fi?(i,;Ïiffi,Hîi::"""î"i:'"3.:îJ"ton À(r + s2 + x - 4u+ 1) + F(# +
uz + x - 4s +1) = 0 avec (À, p) e
' {itr']
I

U
T
1

I -_,
tt
]J
i-
1r.i
l
j

4- lsométries clu plan


6t (poges à 86 du livre de l,élève)

. Compléter l'étude et faire


nales,
nales, rotatioas. "
. nÂ^^^^- I--
.: 3i,ti::: de ces isométries (propriétés
lî,ï:î,rïi,gËî.rï
Utiliser des isométries pour : de conservation, image, o" u*u, ,*r,*,.
- résoudre des problèmes de construction ;
-:*:r:Oer des tieux séométriques ;
- démontrer des propriétés.
t A pa"tir des ion-x+-:^^
Partir dee isométrie, -
iopr""r*.oî;; j#: ir connues'
desdéplace*;;G;#;i'i:ï:ffi dégager 1_1n3.tio1 de déplacemerl
et d,antidép1
;"Xïiffi
les critèr";
;;i;**ettent d" il:i,Hl*'.,ïXii:îî;il1î#i"1î,:îHïfu; composer
""",,,,-,jrf.u:^::j^T_,jdéplacement ,:
59
i-i
ii

. Les hanslations et les symétries orthogonales ont été vues dans les classes précédentes ; on récapitu-
l"rrille*t propriétés à I'octasion d'exercices, sans en faire de démonstration'
. f", utilisant les isométries pour la démonshation de propriétés ou pour Ia résolution de
"x"i"i"u, ofiioo, de recherch"^d" li"o géométrique et d'optimisation sont souvent d'un abord
prouie*", à"
"oort une évaluation des
déIicat. I1 est conseillé d'être très prudent en pioposant-ce type à'exercice Pour
éIèves. On n'hésitera pas à donner des indications, si nécessaire.
. La classification des isométries en Première ne concerne que les isométries connues' L'étude systéma-
(incluant enhe aütres la symétie glissée) se fera en Terminale'
d;ffiddËJ*""o et antidéplacements : stabi-
o Certains ensembles de transformations étudiés dans ce chapitre ont des propriétés communes
groupe de transfor-
tité par composiüon et passage à I inverse. Ceci nous a conduit à définir Ia notion
de
*"tioor. Cefiendant, toùte etude de structure algébrique est hors prograrnme

t""n tns et slurétries orthogonales -+ --) .


. Propriété caractérifique d'tme translation :M'N'= MN' Utiliser sa propriété caractéristique pour recon- |

. Naiure et éIément àaractéristique de la composée naître une translation. ]

de deux translations.
. Déterminer la composée de deux
translations'
. . Déterminer l'expression analytique d'une translation'
Expression analytique d'une translation'
. Caractérisatio, d'*"'"1-létrie orthogonale d'axe (O,7)' . Déterminer l'eipression analytique d'une symétrie
. Nature et éIéments caractéristiques de la composée orthogonale dans des cas simples ; par rapport à une
de deux symétries orthogonales : droite parallèle à l'un des axes du repère, par rapport
à la première bissectrice du repère'
- d'axes parallèIes ; . Ddterminer I'image d'une figure par une translation
- d'axes sécants. ou une sl.,rnétrie orthogonale simple en utilisant son
Rotations expression analYtique.
^ . ôéterminet 1à composée de deux s1'rrétries ortho-
i
. Propriété caractéristique d'un9 rotation d'angle cr'
. Naürre et éléments caractéristiques de Ia composée gonales :
de deux rotations de même centre' - d'axes parallèles ;

. Nature de la composée de deux rotations de - d'axes sécants'


centres distincts.
. Décomposer une translation ou une rotation en
Isométries produit de deux symétries orthogonales'
. Définitions d'une isométrie, d'un déplacement'
i Dét"r*irrer les éIéments càractéristiques oe Ia
composée de deux rotations'
d'un antidéPlacement.
. Propriétés des isométries :
. Démontrer qu'une application est une isométrie',.
- coniewations (produit scalaire, barycentre"") ;
r Construire fimage â'un point, d'une figure usuelle
- images de figures usuelles' par une isométrie.
'.
Utiliser les isométries pour rechercher un lieu géo-
iCompléments sur les isométries . -L!)a *Jt iq,r", résoudre un pioblème de construction' dé-
. Naiure de la composée de déplacements et antidé-
montrer une ProPriété.
placements.
i Critàr"t d'isométrie de deux triangles' . Déterminur, dàt t des cas simples, une isométrie
connaissant un triangle ot son image'
. Reconnaître et démàntrer une isométrie de triangles'

E Exercices du cours
0 Exercice 1.a P. 65
toa, o toj oto-à=Id €à toa,*o-È*6è=td'
O = Uart(a;l), (8,1),(C,1)) ; donc : O existe et est
unique' n
li i
r.- l,

60
-ii
LJ
OExercice 1.b o. 65
âê+^aJâ
AC + BD = 2ADet AD + BC = ZAD ; donc : tÂè o t,6È = tô o tÈè.
tlr

- riiJ

l.c p. 65
t) Exercice
--+ --à
iii -+
GB+GC=AG :+ tëÈ o t& (A) = tÀè (A) = G.
- t!',1
Onademême :t6] o t6i(B) =G et tôà o tc-È (C) =G.
;q
l
i:
O Exercice l.d p. 65 (a)
-u
n ;:i:i;tï'ù:Ëpararlère à (AA')
.nï,,,,,
par B. s1an,) o s^ est une *ansration et
s(al) o s6(B) = C ; donc : slaa') §a= tst
o
l-
l) Exercice 1.e p. 65
Les expressions analytiques des transformations s, t, tos et sot sont :

LT (N'=-x-6 ( x'=x-2 [r'=-x-8 (x'=-x-4


tr'l
-'Lg'=y ;'' t: J ;tos:'l
(. A'=U+l - [y'=g+7
et s"t: I
lg'=g+7
lT-
l*
I Exercice l.f p.65
r
I
tô (AB)= (DC) et tüè (AD) = (BC).
O Exercice 2,ap.7O
---+ ---+
i- 1. (oA, oB ) et (O-È, ôè) sont I'angle orienté de mesure *.ru conséquent, s(oÀ) o ltont et s(os) o s(oc)
I 3
Zrct
sont- deux décompositions de la rotation de centre O et d'aîgl - ff, c'est à dire r(O, --;,,
{
" 3
c
2. On en déduit: sloa) o sloB) o sloc) = §1oB) o sloc) o sloc) = sloB).
I

s16a) o sloB) o slsq est Ia symétrie orthogonale d'axe (OB)'

fE
3. ' s16n) o slao est la rotation de centre A et d'angl" -
T*
+.
o slac) o st-oa) est Ia symétrie de centre A', milieu du segment [BC].

O Exercice 2,b p.7A


Par la transformation s6, o sa les points A, B, C et D ont respectivement
pour images C, D, A et B.
ti
s^, o sa est la symétie de centre le point O, centre du carré ABCD.
.l

.M
0 Exercice
}3-7O
1. I'angle tO,À,ôÈ) est droit ; donc, sloA) o s166; est la symétrie de cenhe O.
2. s16a) o sloD) est le quart de tour direct de centre O'
I 3. sloc) o sl6py jld et sloa) o slon) o s(oc) o s16p1î so'

I Exercice 2.d,p,70
7. r, o r, est la symétrie de centre O. ---+
I
l

t-
2. r, o r, est la translation de vecteur CD.
---+
3. r, o r, est Ia translation de vecteur BC.
i,*
0 Exercice 2,e p. 7O
r- On a :/(C) = r(A, fCl = r(A, fltat = A et
f) " r(B, fl i. i.
îC _*
/
/\ \B'

,4,
3
t* Donc,/est la symétrie de centre B', milieu du segment tACl.

61
t,
.§ffik;i;:r
*f

i Exercice 2.f p.70


Posons :.f={A,f) . r(8, ÿ) " r(C,!) " rtD,!).
On a :
i. i * rO * I = rn et /(D) = D, dorr",/est Ia transformation identique. J
I Exercice 3.a p. 78
h est une isométrie ssi Ic = 1 ou /c = -f .

I Exercice 3.b p; 78 p
Les
-segments iABl, [AC]
et [BC] ont respectivement pour image
par la projection p : [DC], tDCl et {C}.
ta projectio-n p n'est pas une isométrie car p(tBC]) n,est pas un
trIDl
segment de longueur non nulle BC.

i Exercice 3.c p. 78
m
fBTcl

1- soit s ia symétrie de centre I. Elle transforme I en I, et D en E de plus


; D
1(c).
est le-point d'intersection de (IC) et de la parallèle à (cD) passant'par
E, c'est-à-dire s(C) = A. Donc, s(CID) = AIE.
2. Dlaprès la question 1., les triangles cID et AIE ont même aire.
De plus : aire(BCDE)
.ir
-
aire(CID) = aire(ABC) aire(AIE). -
On en déduit: aire(BCDE) = aire(ABC).
hi[-
0 Exercice 3.d p. 7S
o) Soit ABC un Liangle, O son centre de gravité, A', B' et C' les milieux respectifs de
[BC], [AC] et tABl.
' Si le,triangleâBC est isocèle en A, alors
est : {Id, sraat}. C'est un groupe de transformations.
l'ensemble des isométries laissant io,r.ri*t[ it--*gl; ÆC ir

' Si le triangle ABC est éqülatérai, alors I'ensembie d.es isométuies laissant invariant le tiangle ABC est :
{Id, s1a"4:;, slBB), s(cc), t(O,
?), r(O, - ff-11. c'est un groupe de bansformations.
bJ Soit-ABCD
El pT_+lélogramme non cané de centre O et A', B', C,, D'les milieux respectifs des seg-
ments [AB], [BC], [CD] et [DÀ].
' Si le parallélogramme ABCD n'est ni rectangle ni loselge, alors l'ensemble des isométries laissant in-
variantlepara1lé1o8rammeABCDest:lId,sol.C'est,,'giô,,p"detransformatioçrs.
' Si ABCD est un rectangle, alors l'ensemble des isométries laissant invariant 11 1eçlangle
ABCD est r
{Id, so, sJa;, si41}, où (A) est Ia médiatrice de tABl et (A,) celle de [BC]. C,est un groupe de-transformations.
' Si ABCD est un losang-e, alors I'ensemble des isométries laissant invariant le losange
ABCD est :
{Id, sg, s(ac), s(sp)}. C'est un groupe de transformations.

0 Exercice 4.ap. 82
Lesdéplacementssont:soros et sotos.Lesantidéplacementssont:roso11 et tosot-1.
0 Exercice .b p. Bz
1ur liangles O'B'O et AO'B' sont isométriques, On a : S,o,u,oltolrt AO,B,.

I Exercice 4.c p. BZ
=
Les triangles O'A'B et AO'B' sont isométriques. On a : tÀÈ, (O'A'B)= AO'B'.
^i, .
AtD
al t7(4,I, O) - (O,I, C) bJ Srolt (,t, I, O) = (D, K, O) cJ Se (A,I, O) - (C, K, O). ,F<I-
BJC
i Exercice a.dp. Bz
F
a.) sto«l (4, O, K; = 1C, O, K) bl r(o, sl ra, o, KJ * (8, O, I) cJ Sroq (A, O, K) = (8, O, f . T

,4K.
62
l"
#À*iiâ;6i!,ii:

J"

O Exercice 2.f p. 70 J
.t..: :

Posons ,:,f= r(A,


" r(n,
f) !) " r(C, f) " ,fo, !1.
T * T = rn
On a :
i. i * et /(D) = D, do.r"-,/est Ia transformation identique. J
I Exercice 3.a p. 78
h est une isométrie ssi Ic = 1 ou ic = -f . J
I
Exercice 3.b p; 78
p
Les
-segments [AB], [AC] et [BC] ont respectivement pour image
par la projectiou p : [DC], tDCl e1 16i. ' J
L

,La projecFo: p n'est pas une isométrie car p(tBC]) n,est pas un
lalnl
:segment de longueur non nulle BC.
Hf,
i Exercice 3.c p. 78
' 1. soit s la symétrie de centre I. EIle transforme I en I, et D en E ; de plus D
s.(C). est le-point d'intersecüon de (IC) et de la parallèle à (CD) passant par
E, c'est-à-dire s(C) = A. Donc, s(CID) = AIE.
2. D'après la question 1., les triangles cID et AIE ont même aire.
De plus : aire(BCDE)
Â'
-
aire(CID) = aire(ABC) aire(AIE). -
On en déduit: aire(BCDE) = aire(ABC).

t) Exercice 3.d r-l-'


p. 78
aJ Soit ABC un triangle, O son centre de gravité, A', B' et C'les milieux respectifs de
[BC], [AC] et IABI.
' si l_e-triaagle ABC est isocèle en A, alors l'ensemble des isométries laissant invariant le triangle ABC at
est : {Id, staaf}. C'est un groupe de transformations.
' Si le hiangtre ABC est équilatéral, alots I'ensemble des isométries laissant invariant Ie tuiangle ABC est : *
[d, s1a1,1, s1ns)i s16s1, r(O, r(O, - *)]. C'est ru1 groupe de transformations"
?),
b) Soit,.{!p?-g rallllélograrnme non carré de centre O et A', B', C', D' les milieux respectifs
d.es seg-
ments [AB], [BC], [CO1 s1 1p61.
' Si le parallélogramme ABCD n'est ni rectangle ni losaqge, alors I'ensemble des isométries laissant in-
variantleparallé1o8rammeABCDest:{Id,s9l.C'est,,,,già,p"detrausformatiqrrs'
' Si ABCD est un rectangle, alors I'ensemble des isométries laissant invariant |s lssfangle ABCD est :
{Id, ss, s1a;, sial}, où (^) est la médiatrice de [AB] et (Â') celle de [BC]. C'est un delansformations. $oupe
' Si ABCD est un losang-e, alors I'ensemble des isométries laissant invariant Ie losange ABCD
est :
{Id, s9, stacl, sppl}. C'est un groupe de traasformations.

I Exercice 4.ap, BZ
Les déplacements sont: s o r-o s et s o t o s.Lesantidéplacementssont;r o s o 1-1 et t o s o t-1.

I Exercice 4.b p. 82
Les triangles O'B'O et AO'B'sont isométriques. On a : S,o,r,o,,orf = AO,B,.
L
l_

Les triangles O'A'B et AO'B'sont isométriques. On a : tÀÈ, (O'A'B)= AO'B'.

t) Exercice 4.c p, 82
a) ti(A,I, O) = (O, J, C) àj Sron (4, I, O) - (D, K, O) c) Se (A,I, O) = (C, K, O).
FI

I Exercice a.d p. 82
Ë
aJ sro' (4, O, r; = 1C, O, r1 bl r(o,
fl ta, o, K) = (8, O, D cJ Sroct (A, O, K) = (8, O, f. Â I

,4K.
62
tf Exercices d'entroînement

l 5vmÉtnres
O Exercice'1 p. 83
oRTHoGoHALEs ET TRANsLATtoNs

1. Les triangles ABD et BCD sont équilatéraux.


l . Soit A'le milieu du segment [AD], on a : (A'B)I (AD).
Les droites (BC) et (AD) sont parallèles, on en déduit : f = tzers.
I
l
o Soit C'le milieu du segment [DC], on a : (C'B) (DC).
Les droites (AB) et (DC) sont parallèles, on eR déduit : I = tzÈê,.
2. Les translations commutent, on a : f o g = o f = tzÀ?c, - tat. I
I
0 Exercice 2 p. 83
Soit (Â') I'image de (^) par t17.
Ona:t7=so,ogo. 2

l On en déduit : t7 o so =
0 Exercice 3 p. 83
so'.

I La composée de n'importe quelle élément f de E avec Id donne f. o(*


l

S^, o Sa - SÀ o SA,= SO.


Id §g s S1'

soosa=s^,os^os^=s^,' Id Id S6 s^ s^,
SO o §Â,- §Â o S6, o SO' = 5O' so Sg Id s^, S1
s^oso -s^osao§a,-sa,i
Sa, o SO- SÂ, o SÂ, o S^= SÀ.
s^ s^ s^, Id S9

On obtient ainsi le tableau ci-contre.


s^, s^, s^ S6 Id
Commentaires
. On dit que l'ensemble E est stable par composition et par passage à l'inverse.
. Chaque élément est sa pîopre réciproque.
"l
O Exercice 4 p. 83 [r'= x + 1
1. L'expression analytique de tTest : J
m Lg'-g+2.
2. Soit *(ü)* point du plan et M'(ü) son image par t?.
l M'e (9')ËU= (9) c+ 2x-3g+4 =-d e2{x' -1)-3(ÿ'- 2)+4=0<+
La droite (91) a pour équation cartésienne : 2x - 3y + I = 0.
2x'-l!' +8=0.

I Rorarr o N s
i Exercice 5 p. 83
tr;ir.
t 1. sy o s,o =
2. Soit f un vecteur, N un point du plan et M I'image de N par la translation de
:T vecteur f 7. O" a : t7= sM o sN.
3. Ona: I]=ËBC;ts?=sI o sr.Donc:trto sr=s) o sr o sr=sJ êt
I
srotsê=sIoslosI=sI.
if
0 Exercice 6 p. 83
,
1. D'après I'exercice 5 : s, o sa = tzÂÈ = tzôô = sc o so.
:

2. sç o sB o sA- sc o sc o so = so.
3. Voir figrue ci-contre.
"I
I Exercice 7 p. 83
I

' s(ag1 o s(ar11 = .(a, - Ë).


o slrC) o SJtr6 = sg.
i
\ r SoitM le milieu du segment [A]Il. D'après I'exercice 5 : tÀîr = sM o s4 ; donc : tfi, o sA = sM.

ies
fi lms[Gffi 1$?n$5t!û!r[rÊssffi rcffiffi F.a'
Lllïqryiï'IÏry'i':trq'qrrIfÏll'i"{'::{d.'.*':::-' *n-
.',:*.'. '' : - .

rl rrrN4
!ir rr

ï*

I Exercice 8 p. 83 [ x'= x
L. Les expressions analytiques de et so sont : s(oq : et * ,{;
t ,, = _,
s1e1y
=: 1*
2. On. sait que : r = s^ o slol). (*' = - A l-
On en déduit I'expression analytique de , ,
tr, = * 1*

I Exercice I p. 83
1. s(pa) o s(cD) o sloc) o slaB) - sD o sn = tzrS'
2. Voir figure ci-contre. I
I

IExercice 10 p. 83
On a : slaB) o s(uc) = tzo-È et s, o sn = tzn-È. Donc : s(.qn) o s1!Çr = sB o sD'

ô:Exercice 11 p. B3
o] sraol o r^ o s(an) = slaD) o slao) o slaB) o slag; = Id.
il
b.) stcnt o t^ o s(Re) = slcD) o s(ao) o slaB) o s(Al) = slco) o s(ao) = so.
c]sfaol o sc o slan) =s(ao) o slco) o slnc) o slaB)=sD o sB=tzs-ô'

0 Exercice 1.2 p. 83 t-
1.. Soit Ile milieu de tBDl et J le symétrique de I par rapport à (AD)'
Le triangle AIJ est équilatéral de sens direct.
[-
2., f=s1ac) o s(aD) =ria, -f) r- slnD) o slac) =tG,-18)'
'
o g o f = s6o) o slac) o slac) o slaD) = s(gD) o s(aD) = r(D' - 7[) = so'
[_
I Exercice 13 p. S3
Soit C le point tel que }e triangle ABC soit équilatéral de sens direct.
Posons : (^) = (AC) et (A') = (BC). [_
L.r(4, -ff1='(ABJ o sa z.r'(8, -+)=s(a,) o s(as) 3.r'o r=s^'o'o='(t,?)'

I Exercice 14 p. 83 il_
Soit C Ie point tei que Ie triangle ABC soit équilatérai de sens direct et (Â') la hauteur
issue de g. On désigne par (^) la droite (AC) et par I Ie milieu de [AC].
r' r(4, +)=s1a, o stan) z'r'(B'î) =tt^u: o tto't 3't o r'=s(a) o s11';=s1'
t_
I Exercice 15 p. S4 il_
ona: s(oa) o s(on)=t(o,?) ets(oc) o sloD)=r(o, -+)
Donc : sloa) o sloB) o sloc) o s1gpl = Id.
t
lsomÉrnles
d
i"T.t::ï:ïi:r';Jr1"r"ent les distances, r'orthogonalité et le parallélisme. Ainsi par une isométrie :
I'image d'un quadrilatère ayant ses côtés- opposés -- :-----
"rr-'--- de même longueur est un quadrilatère ayant ses côtés
" 'r!
opposés de même longueur ;
I'iüage d.'un quad.rilatére ayant ses quatre côtés de même longueur est un quadrilatère ayant ses quatre u
côtés de même longueur ; -
I'image d'un quadril"tèr" ses diagonales perpendiculaires est un -quadrilatère ayant ses diagonales l'
"yuot que : Iimag" d'rt carré est un caré ; I'image d'un rectangle est un rec- t
perpJnd,icuJaires. On en déduit
taagle ; I'image d'un losange est un losange.

t) Exercice L7 p,84 [
td
1. Toutes les symétries dont l'axe passe par O laissent globalement invariant tout cerclq (S) de centre O.
2. Toutes les rotations de centre O laissent globalement invariant tout cercie (%) de centre O, 'F{

64
,..l
7

,
"l
I
d I Exercice 18 p. 84
qü laissent globalement invariant le pentagone ABCDE sont
?
,.
î a.)Les isométries :
F]
Id ; r(o, *) ,(o, 4fl) : .(o, -
"(^, - +); f) ' ',^ , ; s1nB,) ; s1cc,) ; s1oD.) ; s1rE,).
,l
I
'
bl Les isométries qui laissent globalement invariant l'hexagone FGHIJK sont :
i
ÊI Id:r(o',f) ;r(o',f) rs1çJ1 is6«1 is1orlis1c,y,;;s1H,K,); s1r,F,).

+,1
I
I
'.(o',-â) 'r(o',-#) 'r"
r) Exercice 19 p.84
i
i -- - ftr.nurl /l(AB)
1. NABM est u:r parallélogramme <+ J
'1
l
" (.(NA) // (BM)
J --+ -+
z.MN = BA er N = t;À (M).
'i

l:
.l
Le lieu de N lorsque M décrit (Â) est la droite (Â'), image de (^) par Ia translation de vecter:r BA.
J
I

:
r Exercice 20 p.84
"? .. _. [(AN) // (BM)
I
1.,NABM est un parallélogramme o .

,
I

it*"1 // (AM)
2. Soit I le milieu de [AB]. On a : N = Sr(M).
Le lieu de N lorsque M décrit (f) est le cercle (I'), image de (f) par ia
symétrie de centre I.

l O Exercice 27 p. S4
Soit r la rotation de centre A et d'angte f et r' la rotation de centre A et
d'angle - O" remarque que : r' = r-11
â.
On a : M'I r(M) ; donc Ie lieu de M'lorsque M décrit (9) est la droite (g'),
image de (9) par la rotation r.
On a : M" = r'(M) ; donc le lieu de M" lorsque M décrit (9) est Ia droite (0"),

jil image de (9) par la rotation r'.

O Exercice 22 p, 84

I [g e rgt
'l _._. _+ CeSa(9).
IsA(B) = c
Donc, C est le p'oint d'intersection de Sa(9) et (9').
I Progtomme de consbuction
Construire la droite (9r), image de (9) par la symétrie S^ ;
C est le point d'intersection de (9r) et (9') ; B est le point d'intersection de (9) et (AC).
m
ô Exercice 23 p. 84
I Alü = 61q'
(+ (AB) est la médiatrice de [MM'].
J
-- - = _-
IBtvt gM'-.
On a: M e (0)=+ M'€ S(AB)(9). :

Donc,M'estlepointd'intersectiondes(AB)(g)et(9,)'
Programme de consbuction
o Conskuire Ia droite (9r), image de (9) par la symétrie Srarli
M' est le point d'intersection de (9r) et (9') ;
. construire Ia perpendicuiaire (92) à (AB) passant par M' ;
M est ie point d'intersection de [gr) et (g).

OExercice 24p. 84
Soit I le milieu de [BC].
o,à=+ei +d=f at.

65
'''..----
t-.

t-
Imilieu de [BC] e S1(B) = C.

tr
Be'{g) =+ Ce Sr(9).
Donc, C est Ie point d'intersection de Sd9) et (9')'
P ro gramme de construction --, .) -
o Construire le point I tel que : AI = Ë AG ;

. conbuire Ia droite (91), image de (S) par Ia symétrie 51 ;


t
C est le point d'intersection de (9r) et (9') ;
B est le point d'intersection de (9) et (IC). Ll

ô Exercice 25 p. 84
1'-
Soit r la rotation de centre A et d'angle f.
On a: r(B) = C et r(B') = Ç'.
Donc : BB' = CC' et *u, FÊ',d) = l.
-
I
ô Exercice 26 p.84
Soit r ia rotatio-n de centre A et d'angle ï'
f.
Ona : r(B) = C etr(B') = 9!_
Donc : BB'= CC' et mes tnË',ôô') = f.

IExercice 27 p,84
Soit r le quart de tour direct de centre C.
On a :r(D) = B'; donc : r([DI)) = [BE)' t
De plus : DI = BE ; donc : r(I) = f,'
On en déduit que le triangle ICE est isocèle et rectangle en C'

IFxercice 28 p. 84
l
Soit r la rotaüon de centre A et d'aagle f'
Ona:r(B),Detr(E)=G. T
BE = DG et mes (gÉ,Dé) = lL,

0 Exercice 29 p. 84
il
Soit O le centre du triangle ABC.
Soit r la rotation de centre O et d'angle f.
-f: ,c
I
. Ona: r(C) = A etmes (CA',AB') =n-i=ï,
donc:r(tCA'))=[AB'). ,l
De pius : AA'= BB' ; donc : r(A') = S'.
.On montre de Ia même façon que : r(B') = C' et r(C') = 6"
Donc, A'B'C' est un triangle équilatéral de sens direct. ï
,) Exercice 3o p. 84
ona:r o r= soet(se)-l= so. DoE§t(A}=A et r(A') =1-r(4)
On en déduit : A'B = CD et mes (A'B,CO) =
=Ç' i
i.
Exercice 31 p. B4
r)
Soit r Ia rotation de centre A et d'angl - i.
t
"
On a : r(B) = B' et r(C) = C':^_
Donc : BC = B'C' et mes (fi, Ét') = - T. il

66
I Exercice 32 p. 84
1. Les trangles PQR.et SRT vérifient le second critère d'isométrie et sont orientés dans le même sens
Çl
I
iis sont.doni directement superposables.
I

ti.rl

L'angle de la rotation r est f §t, FRt qui a pour mesur" f.

l Soit I Ie centre de Ia rotation r.


I est le point d'intersection des médiatrices des segments tQRl et tRTl.

l 2. On a : s1(R) =V ; donc : s1(V)


On en déduit: r(V) = r1(R) = T.
. D'après la question 1 : r(S) = P.
=R ; c'es.-à-dire : r o r(V) = R.

J . On a : r(Q) = r o r(R) = sr(R) = V.


L'image du triangle VSQ par ia rotaüon r est Ie triangle TPV.

l IIJ Exercices dtopprofondissement

l I Exercice 33 p.85
Soit A' Ie symétrique de A par rapport à (^) et M le point d'inter-
section des droites (Â) et (A'B).

l On a : AM + MB = A'M + MB = A'8.
Le bajet AM + MB est minimal. En effet, soit N un autre point de
(À). Dans Ie triangle A'BN, on a: A'B < A'N + NB ;
iT c'est-à-dire : AM + MB < AN + NB.
"J
IExercice 34 p. 85

l Soit A'le symétrique de A par rapport à (OI).


Ona:AM+MN=A'M+MN.
Cette somme est minimale si M appartient au segment [A'N].
On construit donc le projeté orthogonal N de A' sur IOD ; M est le
:l point d'intersection du segment [A'N] et de la demi-droite [Oi).

l O Exercice 35 p. 85
Chaque pont détermine un vecteur. Soit A'
l'image de A par la traaslation correspondant
au premier bras, B' I'antécédent de B par la
translation correspondant au second bras et
rl C', D les points d'intersections respectifs du
segment [AB'] avec les intérieurs du premier

l et du second bras. Pour


AMM'NN'B, on a :
AM + M'N + N'B = A'M' + M'N + NB'.
tout trajet

Donc, d'après I'inégalité triangulaire :


"t AM+M'N+N'B>A'B'.
De plus, la sornme MM'+ NN'est constante ;

l le hajet minimal est donc : ACC'DD'B.

I Exercice 36 p. 85
--+ -+
1. Si (AB) et (CD) sont deux droites parallèies, alors les vecteursAB et CD
:l sont soit égaux soit opposés.
o' S'ils sont égaux, on peut prendre :
f = t îc
l . S'ils sont opposés, on peut prendre : f = Sy, où I est le milieu de [AC].

I 67
"1

.TnÙrl
J:"

i"i
2. si tAB] et [cD] ont même milieu I, alors le quadrilatère ACBD est un
rectangle. on peut prendre /= (AD)
5161, où (^) est Ia parallèle à passant
:
æCD
par I. ï-
3. Si (AÈ) et (CD) sont deux droites sécantes en un point P, alors on
considère Ia rotation r de centre P et d'angle (ÀË,C-ü) et Ie point A', T-
image de A par r. On peut prendre :/= tr-" o 1.

O Exercice 37 p. 85 T"
On a: sn(A) = A, r"(A) = C, r'(C) = C et r(C) = A. l"
Le point A est donc un point invariant de f.
f est une composée de ràtations, c'est donc soit une rotation soit une translation.
. Si y ss1 langle nul, alors f est I'identité ,;
. Si y n'est pas I'angle nul, alors f est Ia rotation de centre A et d'angle y.
,l Exercice 38 p. 85
1. Soit I le point d'intersection des demi-droites [AC) et [BD).
. .^
---+.---->
L'angle (É, E') mesuref ; donc : f = r(I, ï'
f). l

2. Soit J le point d'intersecüon des demi-droites tAB) et tCD).

L'angle (iÂ, i6) mesure-fr ; donc : I = r(I, - ft.


3.:La symétrie s d'axe (AD) transforme [AC) en [AB) et [§D) en
E
{CD), donc I en }. Le triangle AU est isocèle en A et mes À = 3 '' ï"
,donc AI] est équilatérai.
Ona: f=tû,- EJ . r(I, &3) o
Bo
". Ë- l= ;
ï-
,donc, g o./.estune translaüon ou I'identité. I

Soit A''le,point tel que UA' soit équilatéral direct.


o/=1 6,.
Oua :g ",f(I) =r0;-
llfil =A ; donc : g I

De même/o g est une translation ou I'identité.


Ona : f " g$)= rG,
Ë)(}) =
A' i donc : f " g=tTÀ' r
l

L
I Exercice.^39 p. 85
--->.--->. ---+
On a : 2 (AÉ,AC) + 2 (BC,BA) + 2 (CA,CB) =0.
--->
r
On en déduit que r(4, cr) o r'(8, F) o r"(C, Y) est une translation L
ou I'idenüté.
r
Soit A'le symétrique de A par rapport à (BC).
On a: r"(A) = A', r'(A') = A et r(A) = 4. t
Donc, r(zt, cr) o r'(8, p) o r"(C,1) est I'identité.
i
I Exercice 4O p. 85 Lr
1. o.)Appliquons le théorème des milieux aux triangles ABC et ACD :

,î = â ft =Hè ; donc BFGH est un parallélograrnme. rt


bJs, o sF o sc o t, = t zÊ o t zs*c= t 21fi *f,ç,=Id.
iEl
2. a) O est équidistant des points A, B, C et D ; c'est donc le point de I

concours des médiatrices des côtés du quadrilatère ABCD. L


b,' slou) o sloF) o s(oc) o sloH) est une rotation (composée de rotations de
mêrÀe cenbe) qui laisse invariant les points O et A ; c'est donc I'iC:ntité. r1
U

68
l

0 Exercice 41 p. S5
Soit r le quart de tour direct de centre O,
ï B'Ie point d'intersection des segments [BC] et [OE]
C'le point d'intersection des segments [CD] et [OG].
Le triangle OB'C a pour image par r Ie triangle OC'D ;

il donc : Aire(OB'C) = Aire(OC'D).


On a: Aire(OB'CC') = Aire(OB'C) + Aire(OCC')
= Aire(OC'D) + Aire(OCC')
,il
= Aire(OCD) = a2.

Ô Exercice 42 p. 85
-__+

: La translation de vecteur AC applique Ie triplet (A,B,D) sur le tripiet


(C,F,E) ; donc : Aire(ÀBD) = Aire(CEF).
On a: Aire(BDEF) = Aire(BCD) + Aire(ECF) + AiretCED) + Aire(CFB)
il Or: Aire(ECF) = Aiie(BAD) ; Aire(CED) = Aire(ADC) ;
Aire(CF"B)= Aire(ABC).
Donc:Aire(BDEF',=ffi
I :lii',.filïî'3ffi ',";irîff.,e;#;1""'
O Exercice 43 p. 85
il 1. Soit s une syrnétrie orthogonale laissant globalement in- o/* Id r 1-1 s(oa) s(oBl sloC)
variant Ie triangle ABC. La symétrie s conserve I'isobary-
rr cen.tie, donc O est invariant par s ; ainsi O appartient à Id id I. 1-1 s(oA) s(onl s(oc)
t",l l'axe de s. L'image d'un sommet est un sommet, le point A a I I 1-1 Id s(oC) E(oA) stoB)
donc pour image soit A, soit B, soit C ; ces trois cas coltes-
pondentrespectivement à s = s(o6), s = s(oc) et s = slon;. 1-1 1-1 Id r s(osl sloc): s(oA)
s1o,{) sloa) stos) sloC) Id I 1-1
2. Soit f une rotation laissant globalement invariant le tri-
angle ABC. La rotation f conserve i'isobarycentre, donc O s(oB) s(os) sloc) sloA) 1-1 Id r
est invariant par f ; ainsi O est Ie centre de f (si f * Id). stoC) s(ocl sloa) s(os) r 1-1 Id
L L'image d'un sommet est un sommet, le point A a donc
pour image soit A, soit B, soit C ; ces trois cas correspon-
dentrespectivementàf =Id,f =r et f=11.
I

3. D'après le tableau ci-joint (E) est stable par composition et par passage à I'inveTse, c'est donc un groupe
de transformations du plan.
ri
Commentaire
I

Il conviendra de signaler que (E) est en fait le gîoupe des isométries du triangle équilatéral ABC.
i Exercice 44 p. 86
oa Id I 1-1 Sg S1 S6 s(ac) slaD)
1. Soit s une symétrie orthogonale laissaut glo-
balement invariant Ie carré ABCD. La symétrie Id Id r 1-1 sg S6 S1' slac) slno)
1
s conserve I'isobarycentre, donc O est invariant I r Sg Id I:1 sloD) slac) S6 S6,
.i par s ; ainsi O appartient à I'axe de s. L'image
)
d'un sommet est un sornmet, le point A a donc 1-1 1-1 Id s6 I s(aC) SED) S6' S6
pour image soit A, soit B, soit C, soit D ; ces sg sg 1-1 I Id S6, S6 sBo) slaC)
.l quatre cas correspondent respectivement à S4 S6 s(aC) s(sD) S6, Id s6 I 1-1
s = slac), § = s6, s = sBD) et s = sa'.
S6, S6, slrD) s(aC) §6 sg Id 1-1 r
2. Soit f une rotaüon laissant globalement inva-
s(aC) s(ac) S6, S6 s6D) 1-1 I Id S6
I
I riant Ie carré ABCD. La rotation f conserve l'iso-
1
barycentre, donc O est invariant par f ; ainsi O s6D) SGD) S6 S6, s(ac) r 1-1 S6 Id
§
est le cenhe de f (si f * Id). L'image d'un som-
met est un sornmet, le point A a pour image soit A, soit B, soit C ,soit D ; ces quatre cas correspondent
(*
I

T
respectivement à f = Id, f = r, f = s6 et f = 11.
r 3. D'après le tabieau ci-ioint (E) est stable par composition et par passage à I'inverse, c'est donc un groupe
transformations.
ü

69
.-'
l

,r@r1ü
N

Commentaire
Il conuiendra de signaler que (E) est en fait le"goupe des isométties du cané' i']
;r-
O Exercice 45 p. 86
Les triangles ACC" BAA" et CBB' sont direc[ement superposables.
soit o Ie centre de gravité du triangle ABC et r la rotation de
centreoetd'angief. <_/.ÀJ/
IconserveIesanglàsorientésetr([AC))_[BA),onendéduit:§l-
r([AC')) = [BA') ;
or: BA'= AC', donc : r(C') = r1'.
De même : r(A') = B'et r(B') = g'.
Le triangle A'B'C' est donc équilatéral de sens direct.

O Exercice 46 p. 86 c I (Â").
. On choisit un point A quelconque sur Ia droite (À). .*î
On considère Ia rotation : r = rtA,
f). r^,) \\èS-
Les droites r(Â') et (Â") se coupent au point C. (Â)

Ona:B=rl(C). ---lT l.^,.


0 Exercice 47 p. 86 'l-

Soit r ia rotation de centre A et d'angte


f;.
1. Le triangle recherché peut être direct"ou inürect. *
o S'il est dlect, alors C = r(B). Le point C appartient à I'intersection des cercles (S') et r(€) et B est I'anté-
cédent de C par r. On obtient alorJles triangles ABC et AB'C' construits sur Ia figure 1. H
. S'il est indirect, alors C = r1(B). Le point C appartient à I'intersection des cercles ((i') et r1(q) et B est
I'image de C par r. On obtient alors les deux autres triangles équilatéraux construits sur Ia û.gure 1.
Il y a donc en tout quatre triangles soluüons. H

2. Le biangle recherché peut être direct ou indirect. *


. S'il est direct, alors C = r(B). Le point C appartient à l'intersection des cercles (S')'et r(13') et B est I'anté-
cédent de C par r. On obtient alorJ les triangles ABC et AB'C' construits sur la ûgure 2. 6
. S'il est ind.irect, alors B = r(C). Le point B appartient à I'intersection des cercles (t') et r(%') et C est I'an-
técédent de B par r. On obtient alors les mêmes triangles.
IJ. y a donc deux triangles solutions.

' figure 1 figure 2


t) Exercice 48 p. 86
. On choisit un point A sur le cercle (f).
. On construit l'image de (f') par la rotation r de centre A et d'angle
f.
70
^,À

.'?
I

I
Les cercles r(I-) et (I"') se coupent en deux ponts C et C'.
On prend: B = r1(C) et B'= rl(C').
1 Il y a dorrc deux triangles solutions ABC et AB'C'.
J

"l

:
Ô Exercice 49 p. SG
Soit N I'image de M par 1a rotation r de centre A et d'angle
l f.
La rotation r applique (A,M,B) sur (A,N,C) j
^
Donc, le triangie AMN est équilatéral et : (Cl,ÔÀt = (gt{,gî).
: ^ ^
Les angles inscrits ABM et ACM sont supplémentaires ; B

- :-
donc : (CA, CM) + (BM,BA) = æ.
-|
on en déduit qr" , (ffi.) = â- tffir.
Donc, le point C appartient au segment [MN].

_t On a : BM + MC = CN + MC = MN = MA.

I Exercice 50 p. 86
. Si le triangle IIK n'est pas rectangle en K (figure 1) :
n
- on choisit un point A sur la droite (ID ;
- on construit I'image de (JK) par le quart de tour direct r de centre A ;
I - les droites r[(IK)] et (IK) se coupent au point C. On prend : B = rl(C).
.'Si le triangle UK est rectangle
en K (figure 2), alors la bissectri-
I ce issue de K coupe (ID au point
A. B et C sont les projetés ortho-
gonaux de A respecüvement sur
(KD et (I«).
il

il
figure 1"
figure 2
r- 0 Exercice 51 p. 8G'
- _--+ ---+ ----> --+ ---> -+ --+ ---'
1. ajOM=OA+ OB +OC <+ OM- OA= OB + OC
<+ AM=2OI.
I La droite (OI) est la médiatrice de [BC] ; donc : (AM)
bJ On a de même : (BM) -L (AC) et (CM) l- (AB),
I (BC).

Donc, M est I'orthocentre du triangle ABC.


2. a) f P) = tfi [s1sct(P)) = tfi (H) = A.

I
bJD'aprèsr.a:ü=ziô.
Soit (^) Ia parallèle à (BC) passant par O ; on a : tü,= sa o spc).
c./On déduit de o./et bJ que :.f= sa.

71
11
_-".1

Or 1e cercle (I.) est globalement invariant pu sa; donc P appartient au cercle (I). il-
Nqus ÿenons d.'établir la théorème suivant : « Dany un trîangJe, le symébique de l'orthocentre Par mP- n
port à l'un des côtés appartient au cercle cir-conscrit. »» IJ
l

O Exercice 52 p. 86
1. r o r' est la composée de deux quarts de tour directs, c'est douc
une s5rmétrie centrale. De plus, r o r'(F) = D ; donc : r o r' = sK'
r'-1 o r-1 est la composée de deux quarts de tour indirects ; c'est
donc une symétrie centrale.
De plus : r'-1 o r1(D) = F ; donc : r'-1 o r-1 = sK.
2. L'image de (AH) par r' est perpendiculaire à [AH) et Passe Par
r'(A) - C ; donc : r(AH) = (BC).
De même : r(BC) = (AH).
On a ainsi: sr(AH),= (AH) ;
donc les points A, H et K sont alignés.
3. On a: r o i'(41 - 6' <+ r(C) = ['.
La rotation.r applique (C,E) sur (A',8) ; donc : (EC) (A'B). I
On a:.'-r p,yl(A) = A'<+ 1'-r(S) = A',
ta rotation r'-1 applique (B,G) sur (A',C) ; donc : (BG) J (A'C).
4. Les droites (EC), (BG) et (AH) sont les trois hauteurs du triangle A'BC ; elles sont donc concourantes.

t) Exercice 53 p. 86
Soit r, la rgtaüon de centre A et d'angle et r, Ia rotation
f
de centre C et d'angie
f.
Ona:ri1(M)=B et r2(B)=N;donc:r, o 111(M)=N. M

r11(Q) =D et r2(D) = P ; donc : r, o 1;1 (Q) =P.


Or r, o r11 est une translation ; donc t ffr =ff
On en déduit que MNPQ est un parallélograrnme.

72
5. Homothéties
l (poges 87 à tOô dv lîvre de l'élève)

,[ Ce chapitre vise à :
''
. consolider les connaissances sur les homothéties vues en Seconde ;

nt\ . étudier la composée de deux homothéties, la composée d'une homothétie et d'une isométrie ;
I

l . utiliser des homothéties dans la résolution de problèmes de constructions, de recherche de lieux géo-
métriques ou dans la démonstration de propriétés.

Ce chapitre doit être traité après celui des isométries et ceiui du barycentre.
L'homothétie a été vue en Seconde au niveau L (définition, construction d'images de points et de fl-
l gures). Le programme de Première indique que I'on doit poursuivre cette étude au niveau 2.
. L'assimilation des propriétés rappelées dans la première leçon est indispensable pour la suite, mais
elie est facilitée par I'analogie avec les propriétés des isométries.
l
. L'expression analytique est un outil puissant pour reconnaître une homothétie. Cependant, l'essentiel
de l'étude des homothéties sera consacré à I'aspect géométrique de ces transformations.
. Les exercices utilisant les homothéties pour la démonstraüon de propriétés ou pour la résolution de
t
I
probièmes de construction, de recherche de lieu géométrique et d'optimisation sont souvent d'un abord
,,,,I
déiicat. Il est conseillé d'être très prudent en proposant ce type d'exercices pour une évaluation des
élèves. On n'hésitera pas à donner des indications, si nécessaire.
. L'étude des similitudes n'est pas au progmrnme de Première. Le seul usage qu'on peut en faire, et sans
excès, doit êbe la recherche d'images de figr:res simples ou la détermination de critères de similitude de
der:x triaagles. En particulier, si on peut se permettre de déterminer les éléments caractéristiques de la
"1 compos6e de deur( homothéties ou d'une homothétie et d'une translation, il ne saurait en être question
,l pour la composée,d'une homothétie et d'une rotation, ou d'une homoüétie et d'une syméhie orthogonale.

I
I

'., 'J

"1
Les homothéties et leurs utilisations . Reconnaître une homothétie à partir de la propriété
caractéristique.
.1 . L'homotlétie est une transformation. . Dans des cas simples, utiliser les propriétés des
.,,l
. Nature et éléments caractéristiques de Ia réci- homothéties pour résoudre un problème de
proque d'une homothétie. construction, de recherche de lieu géornétrique ou
. Propriété caractéristique. pour démontrer une propriété.
: . Expression analytique d'une homothétie. . Déterminer l'expression analytique d'ule homothétie.
. Irnages de figures simples . Reconnaître une homothétie et ses éléments carac-
r Conservation : téristiques à partir de son expression analltique.
- du barycentre ; . Déterminer I'image {'un point ou d'une figure par
- du contact. une homothétie en utilisant son expression analytique.

Composition d'homothéties et d'isométrie


. Déterminer les éléments caractéristiques de Ia
. Nature de la composée : composée :
- de deux homothéties ; -* de deux homothéties ;
- d'une homothétie et d'une translation. d'une homothétie et d'une translation.
. Triangles semblables. r Déterminer I'image d'un point ou d'une figure par
, la composée :

- de deux homothéties ;

- d'une homothétie et d'une translation.


r:

'!â
.i{
k
73
l'r11
l

lt-
l

î t-
ff Exercices du cours
I Exercice 1'a p' 95 ''t
r^ æôr,i+6 âo arlc
1. L'homothétie a pour centre G, centre de gravité de ABC, et pour rapport - f. t-
2. L,homothétie conserve Ie centre de gravité ; donc Ie centre de gravité du triangle A'B'C'est I'image ":
par h du centre de gravité G du triangte agc. or : h(G) = G ; donc les triangles ABC et A',B',C', ont même
l-
I

cenhe de gravité.

o Exrercice_l.b p. 95 'l
1. A'B'= 3AB. Donc, il existe une homothétie de rapport 3 transformant A en A' et B en B'. -.J -
Construisons son centre O :
b) (AB)-- (A',g',)
:'l
d) (AB) * (A'B') ri-
*J

uJ-
Àr .: B'

. Si (A'B') * (AB), alors O est le point d'intersec- . Si (A'B') = (AB), on utilise un point intermédiaire
tion des droites (AA') et (BB'). C et son image C'. O est le point d'intersection des il-
droites (AB) et (CC').
ÆÈ'= - 3.G. Donc, ii existe une homothétie de rapport - 3 transformant A en B' et B en A'
ij
2. I

Construisorrs son centre O' :


a) (AB) * (A'B') b) (AB) = (a'B') c- r"T
I
i
l-

B'

0 Exerbice 1.c p. 95
--> ----> 4
On a : GM' = 3 GM. Donc : f = hom(G,3).

I Exercice 1.d p. 95
1. II existe deux homothéties h et h', de rapport respectifs 2 el- 2, transformant (%) en ((3').

2. Soit Ç) et C2' les centres respectifs des homothéties h et h'.


--+ ---> ---+ -> e O§)'
aJOna:OO'=2OO <+ OO=-OO' et Ç)'O'=-2Cl'O = ocr.
+
bl Construction de §) et Çl' :

OO'= 2r 3r

74
.-.!
I

g5
t

-J I Exercice l.e p. _*, _ ,


( x, =
-l
l ' ./-Z\
1. L'homothétie h a pour expression analytique

2.on"'^LgJ.
, :
(Y'=-to-t

l 0 Exercice 1.f p. 95
1. Les droites (BM) et (PQ) sont toutes deux perpendiculaires
à (AM), donc elles sont parallèles.

l 2. Soit h l'homottrétie de centre I qui transforme B en A


h a pour rapport et frrf a pout image Q par h.
f
;
4^l^
l I
O'
Le poiat M décrit (%) privé de A et B ; donc, Q déoit I'image
de (q) par h, privée des images de A et B.
À,
j Le lieu de Q est ie cercle passant par À et de centre O' point
dlintersection de (AB) avec la parallèle à (lv{P) passant par Q.

t) Exercice 1.g p. 9E
ÀË=-+Æ;donc,Ft=*,G.
:
On en déduit que les points A, B, C, D ont pour images respec-

l tives F, G, A, E par une homothétie h de rapport


Soit O le centre de cette homothétie.
f.
Le centre de I'homothétie, un point et son image sont alignés.
Donc, Ies droites (AC), (DE) et (BG) sont concourantes en O.
;
t) Exercice 2,ap.7OZ
1. h'oh est une homothéüe de rapport -
tr f.
2. Le centre O de cette homothétie est le point d'intersection des droites
(BC) et (AA'), A'étant I'image du point A par h'oh.

ti Consùuction de A'
. On constmit A, tel qrr. , BÀ, = zBÂ;
r on construit A'tel qrru , Cl' = - &r.
il â
l Exercice .2.b p. tüz
I
1. Le produit des rapports des homothéties h et h'est égal à 1. Donc, h,oh
est une translation.
i"i
2. Le vecteur de cette translation est Àâ', A' étant I'image de A par h,oh.
X"
u
1'*
L-
Consfuitction de A'
.On construit A, tel
o on construit
+
Ona:rç{'=-+BC.
qr. , BÀ, = â ü
A'tel que , C7'=
. + * CÂr.
,
,V
z
,| Exercice 2.c p. IOZ
I

L f. 9o sait que la composée d'une homothétie de rapport -


k différent de 1
et d'une translation est une homothétie de rapport k-.
Donc, toh est une homothétie de rapport
f.
2. Le cenbe Q de cette homothéüe est le point d'i.ntersection des droites
J-.
(BC) et (AA'), A'étant l'image du point A,par toh.
Constuucüon de A,
lr . On construit A. tel qrru , Bi.,
= {l; !
l'*a
. oncon.qtuit A,tel qr" ,Â|, = ,t.
â
75
Hrt
i: ::l'.
.,

i Exercice 2.dP.7Oz
a.)Leproduit dÀ rapports des homothéties h et'h' est égal à - 1. Donc, h'oh est une symétrie.
Le centre I de cette sÿmétrie est le milieu de [oorl' avec o1 = ['o[(Q) = h'(o)'
I

,r
0n a : O-ôr'= -â ôô'.
Iesttelque,ôï= ToÀ, o ôï=f tôô'*ciôr)=f (o-ô'-f oA'l =âô', :r
bj La transformation hoh' est une symétrie ceutrale.
Son centre I' est le milieu de [O'OiJ, avec Oi = h"h'(O') = h(O'). ..1
----> 1 ---->
Ona:OI'=-ËOO'.

I Exercice 2.ep.1O2
aJ Le produit des rapports de ces deux homothéties est égal à 1, donc h'oh est la translation de
vecter:r OAr,
tel que :Or - h'oh(O) = h'(O). F.1
i

on a :o;ô, = *o-b = (t - *l oô'.


bl De même, hoh' est la translation de vecteur (tc - 1) Oa'.

0 Exercice 2.f p.lOZ


oJ h'oh et hohi sont des homothéties de rapport - , "* =- $'
(x'=-3x-4 (x'=-3x+8 t'+'!

Ona:h'oh:l ;hoh':l(Y'=-gY *-d


Ig'=-3y
à/ Le centre de ehacuae de ces homothéües est leur point invariant, soit O(-0) pour h'oh et O'(02) pour hoh'.

0 Exercice .â,gp,7Oz
( x'=-3x-7
l.Ona:toh: I ; hot: fr'=-3x-11
( Y'= -3Y +7 Iy'=-Jg-5
(x'=-3.r-I
2.Ona:ooh:l ; hoo: fr'=-3r-8. lr,
[.y'= 39+4
llri

E. Exercices d'apprenfissoge
triux 6ÉoMÉtRtauEs LJ
l
I

I Exercice 1 p. 103
Soit h l homothétie de centre O et de rapport f. l

on a : Qmilieu de ioPl. Donc : oÔ= 1P) = q.


âôÈ "t"h :,

Lorsque P décrit ABCD, Q décrit f image-de ABCD Par h. I

Le lieu de Q est le quadrilatère A'B'C'D', les points A', B', C', D' étant les I

images respectives des points A, B, C, D par h.


I

ô Exercice 2 p. 103
Soit I Ie milieu de tABl. On a : id= le centre de gravité G du tri-
+fi, donc Fl
angle ABM est I'image de M par I'hoÀ.othétie h de centre I et d.e rapPort +. I

Lorsque M décrit privé de A et B ; G décrit I'imagô de cet ensemble par h.


(<€) -l
Soit A' = h (A) et B' = h (B). Le iieu de G est Ie cercle (%') circonscrit à rT
A'B'G, privé de A' et B'. 1i
ti
d

76
0 Exercice 3 P. 103
est milieu de [BM]' Soit h
I I-e quadrilatarl UfUq est un rectanglen; donc, I
l'homothétie âe centre B et de rapport â' O" a : I =
h(M)'
par h'
rl Lorsque M décrit [CA], I décrit I'image de [CA]
tl et
ll
Lû on désigne par E et F les milieux respecüfs des côtés [AB] [BC]'
On a: h(A) = E et h(C) ": F.
rr Le lieu géométrique de I est donc Ie segment [EF)'
L

i"t
Exercice 4 P. 103
O
--> ô --+ Donc' G est est I'image de P
I
1. Soit P le milieu de tBMl. On a : & = ?ÀF'
i

L* par I'homothétie h de centre A et de t"ppS* f'


Ie
Lorrnr" M décrit [BC], P rtécrit [BJ], J étant le milieu de [BC]' Donc,
tl poinf C décrit I'image de tBIl par h' ---
(B) etI=h 0). B

tt Lelieu (r.) deGest doncle segment IEIItet queE =h PJ M


h(C)'
De même, on démontre que le Iieu (f') de G' est Ie segment [IF]
avec F =
point I, centre de gravité du triangie ABC.
2. Les deux ensembles (I) et (Ir') ont en colnmun le

0 Exercice 5 P. 103
; donc, G est I'image de M par I'homothé-
Soit I, milieu de tOAl. On a : ç = +ffi
tie h de centre I et de raPPort f.
(<€) par h, c'est-à-dire le cercle de
Lorsoue M décrit (q), G décrit I'irnage (I) de
^--->.4
centre O tel que Id = IO et de rayon OG'
i

â
1

PnoBtÈMEs DE coNsrRucrloN
t r) Exercice 6 P. 103
1. Il existe deix homothéties transformant ((3) en (%')' de rapports respectifs * "-i
2. Construction des centres de ces homothéties
ï a) (G) et ('G') ertétieurs b) ('<,) et tc(,') tangents ertétieurement

1-

il*
J*

I c) (G) et (4') sécants d) ('(") et (%') tangents intérieurement

lt-

I
(4') intérieur à (%) et (?,') concentrtques : {l et Çl' en O
e) !%)
I
ri-
]L

i*- 77
t
I
'31Y:', ':. t,

I Exercice 7 p. 103
Soit M'un point quelconque de (%) et [M'rM'â] Ie dia-
mètre de (€') tel que : (M'1M'2) // (OM).
Soit h, et'h, les homothéües de centres respectifs §l et
O', transformant (%) en (13').
On a : M'r = hr (M) et M', = hz (M). ï.
Le problème revient à construire l'image d'un point par
une homottrétie définie par son centre, un point et son
image (cf & L. 1,.). î
. A1= hr(M) est Ie point d'intersection de (§àA) et de la -l;
droite parallèle à (AM) passant lar M'1 ; Ao -1':
, Az=hr(M) est le point d'intersection de (aA) et de la I

droite parallèleè (AM) passant pil M'2. +

,0 Exercice I p. 103 "r


ti

Analyse -Ll
La parallèle,à (A') passant par A coupe (A) en B. *n
. ---+ . --> -> ---+ ---+ -+ ---> ---+
Ona:AM+2AN=0 e BM+2BI= 0 (+ IM=3I8. I

Donc, M est llimage de B par I'homothétie h de centre I et de -ul


i

rapport 3.
$mthèse
On endéduit une construction des points M et N.
ff' I

o On trace Ia parallèIe à (Â') passant par A ; soit B Ie point d'intersection de cette droite avec (A). "I
o On construil le point M teique nü = e iü, pois N, ù point d'intersection des droites (AIr4) et (Â').
Il existe une et une seule solution à ce problème. I

'1:
Autre méthode.----> l

On a : ÀN = -+AÉ ; soit h' l'homothétie de centre A et de rapport-4.


2"2 I

N est le point d'intersection de h(Â) et (Â') ; M est le point d'intersection de (AN) et (A). Il
t-
0 Exercice I p. 103
i
Analyse -[,
Soit h I'homothétie de centre A et d.e rapport - f.
L
Ona:N=h(M). I

M est un point de N appartient à I'image de (S) par


l
(%), donc
h, c'est-à-dire le cercle (I) de centre O = h (O) et de rayon OA.
T
N est un point corrmun aux cercles ((G') et (l-). I

Synthèse i T
I

On en déduit une construction des points M et N. J


. On trace (I'), image de (%) par h. l

..Les cercles (f) et (%') ont deux points courmuns, A et le point N cherché.
I
î
r On trace (AN) qui coupe ((6) en M. J
0 Exercice 10 p. 103 î
Analyse ",ü
Soit I, J, K les points d'intersection respectifs des droites {Ar) et (Âz), (^1) et (As), (^r) et (Ar).
Soit.\BCD un carré répondant à la question. T
Il existe une homothétie h de centre I transformant ies pcints A er B respectivement en ] et K. [,'image -lJ,l

par h du carrd ABCD sera le carré |KLM.


Donc, les points I, D, M sont alignés, ainsi que les points I, C, L. ltl
ll
.,u
Slmthèse
On en déduit une construction du carré ABCD.
T
o on construit le carré KLM triangle IIK.
à I',extérieur du
. (JK) respectivement en D et c.
On trace les droites (IMJ et (IL) qui coupent la droite
. Les perpendiculaires à (IK) en D et C coupent
(Âr) et (Àr) respectivement en A et B'

il
I

-T
I

l
l

figure 1 figure 2
_l Discussion
nnncrnrire le earré
On peut également construire carré IKLM demi-p contenant le poi ntrlfigure 2).
IKLM dans ie demi-pian
On àn deduit une degxième construction du carré ABCD : le problème a deux
solutions'
:
0 Exercice 11 P. 103
*rf
I
Analyse
*J Soit PQRS un carré répondant à Ia question.
I1 existe une homothétie h qui transforme les points S et R
respectivement en A et B.
: L'image du carré PQRS par cette homothétie est un carré
DCBÀinscrit dans le demi-cercle de diamètre [A'B'], À' et
B' étant les images respectives des points A et B par h'
-l Les points S, A, A' sont alignés avec Ie centre de l'homo-
thOtie, ainsi que les Points R, B, B'.
Slmthèse
: On en déduit une construction du carré PQRS (figure 1'J'
. On ttace Ie carré ABCD extérieur au derni-cercle de dia-
mètre tABl ; soit O', milieu de [CD].
:l . On trace le demi-cercle de centre O' et passant par A et B ;
soit [A'B'1 ie diamètre de ce demi'cercle, de support paral-
Ièle à (AB).
': . Les droites (AA') et (BB') coup"ent le demi-cercle de dia-
mètre [AB] respectivement en S et R.
. Les perpendicuiaires à (AB) menéees par S et R coupent
: (AB) respectivement en P et Q.
Discussion
On peut également considérer I'homothétie h' qui transfor-
: me les points S et R respectivement en B et A.
figure 2
On obtient une deuxième méthode de construction'du
ili carré PQRS (flgure 2). .

ô Exercice 12 p. 103
Analyse
M' est l,image de M par la similitude s de centre À, de rapport ÿZ et
d'arrgle
f,.
M'est le-point d'intersection des droites (À') et [Ar), image de (Â) par s.
l
l

Synfhèse
i
o On construit I'image (Âr) de (^) pil s, en construisant I'image de der:x points quelconques de (Â)'
i
. On a : M' e (^') .r (^1).
! On construit le point M tel que le triangle AMM' soit rectangle isocèIe en M et de sens direct'

79
r$_

DÉr,toNsrRATroNs DE PRoPR!ÉTÉs
O Exercice 13 p. 103 ]l'_
Soit h I'homothétie positive transformant (13) en (€') et (4, B)
en (A', B').
--). --> ---+ ----)
On a : A'B'= ICAB (Ic > 0) e A'B'= - rcBA. r"
l-
Soit h'l'homothétie négative transformant (13) en (13').
h'transforme (4, B) en (B', A').
On a : A'= h'(B) = h(A) ; B'= h'(A) = h(B). ï*
L-
O Exercice L4 p. 103
1. Les triangles ABC et A'B'C' ont leurs côtés parallèles deux à deux,
donc leurs angles égaux der:x à deux.
r
Les triangles ABC et A'B'C' sont donc semblables
on pose ,# = ËS =
f,f = Ic. r
L-
Selon les sens des triangler
êPC at A'B'C', on a :
. Àü' = kA-È, fÈ' = /cBC, C'A' = kCA, s'ils sont de même serrs ;
--+ --> ----> ---+ ---+ ---+
r
. A'B' = - IcAB, B'C' = IcBC, C'A' = IcCA, s'ils sont de sens contraires.
- -
Dans les der:x cas, on en déduit qu'il existe rme homothétie de rapport k (ou - /c) transformant ABC en A'B'C'.
I
2. Le centre de cette homothétie appartiendra aux droites (AA'), (BB') et (CC'), qui sont donc concourantes. h,

I Exercice 15 p. 103
l
Soit h i'homothétie de centre A et de rapport
On a : h(B)= K et (KP) // (BD.
f.
Donc, Ia droiie (BD a pour image par h Ia droite (KP).
De même,la droite (CK) a pour image par h la droite (IP).
On désigne par G le centre de gravité du triangle ABC, intersecüon des
t-
médianes (BD et (CKl.
On,a : h(G) = P et les points A, P, G sont alignés.
Donc, P appartient à la médiane (AI) et les points A, P, I sont alignés.
.t-
ô Exercice 16 p. 1O3
ir-
on a:
#= # :+ FE) // (BD).
Donc,il existe une homothétie h de centre A tel que :
rj
h(F)=D et h(E) =8.
L'image d'une droite par une homothétie est une droite parallèle.
Donc, ies images par h des droites (FO) et (EO) sont respectivement
(DC) et (BC).
Donc, h (O) = C et les points A, O, C sont alignés.
l'-l
I

ô Exercice 17 p. 103
Soit h I'homothétie de centre T transformant (%) en ((€') et I' I'image
de I par h. On a : M' = h(M) et N'= h(N) 7r
Les points M, I, N sont alignés, donc les points M', f', N' sont alignés.
Ainsi, toutes les droites (M'N') passent par Ie point I'.

I Exercice'18 p. 104
--+
ç

---->
Les carrés ABCD et A'B'C'D' sont tels qrr.u .dB, = /.ÀÈ, Bt' = LBô, Cô' = /cCD et A'D'= IcAD.-->
l") rl
L,,i-'

'
Donc, il existe une homothétie de rapiort /c tel que les points A, B, C, D ont pour images respecüves par
h les points A', B', C', D'.
Les droites (AA). (BB'), (CC'), (DD') passent toutes pa-r le centre
de cette homothétie.

80
I
t
fig1:k>o fig2:k<o
tt
0 Exercice 19 p. 104
IcBl
Soit Ic Ie nombre réel tel qo" , BË = (0 < ,c < 1).
I --->-->+n++
ona:IID=AD-AH =ËAH-AH
"ï (*-,)ÀÈ=(f-r)ri;
,i',rL 1
DG=DC_GC
- =ËcC_GC
-

=(*-r) c-ô=(*-r)fi.
Donc, il existe une homothétie de rapport +hansformant
k
les points I, E, F respectivement en G, D, H.

l Les droites (IG), (ED) et (FH) sont donc concourantes en O, centre de cette homothétie.

Slr,,rlLllUDES
O Exercice 2O p.7O4 _+ _-+
-J
1. a.)SoitM'I'image d'un point lr^ par la transformation hot. On a : OM'= z(OlM + 7).
bJOestlepointinvariant dehot. Donc:OA = z(Oî +ü) <+ ôà =-z 7.
_l 2. Soit M" l'image d'un point M par la transformation toh. On aura :O-lk" = zdü + 7.
SoitQ'le pointinvariant de toh. On a: Ol'= 2 Oî'+7 ce Ol'=-7.
: 0 Exercice 2lp.7O4
Deux triangles équilatéraux ayant leurs angles égaux deux à deux, ils sont

l semblables. Donc, iI existe une similitude s telle que les points O, A, P ont
pour images respectives les points O, B, Q. È

s est la similitude de centre O, de rapport + et d'angle §.


6
rl O Exercice 22p.1O4
On note s la similitude hor.
Le triangle ODE est I'image par s du triangle OAB ;
LJ
donc ces deux triangles sont sgbtables et OD = OE.
i
On a: OA = OB, OD = OE et AOD = BOE = cr.
Donc, les hiangles OAD et OBE sont isométriques.
D'où:AD=BE.
De plus : AD = BC ; donc BC = BE et le triangle BCE est isocèle en B.

0 Exercice 23 p.1O4
,x'=-2.N ,N'=-x-6 ( x'=2x-6
1'on''o'tr' --zg ; sa:{ g'=-!+2 i saoh'tr'= zg+2'
2. s^o[ est l'homothétie de centre O(6 ; - 2) et de rapport 2.

81
T-'
r

t
,1r1

_l

'n
jj'ti
tl Exercices d'oppron{ordissement
O'Exercice 24p. LO4
(%') est le cercle de centre O' (- Z ; B) et de rayon 3.
-
Donc, (€') a pour équation cartésienne : (x + Z)2 + (y + 8)2 = g.
t-
I Exercice 25 p. 104 T,
u
B, B' dgux points de (9) et C, C' deux points de (^) tels que :
-S_oil
(BC) l/ (B'C') et A non situé sur (BC).
II existe une homothétie h telle que les points B et C ont pour
images respectives B' et C' par h.
I
Le cenhe O de cette homothétie est le point d'iutersection de (g) et (A). n
L'image A' du point A par h est le point d,intersection des droites
parallèIes à {BA) 91,(CA) passant iespecüvement par B' et C,.
il-
La droite (AA') passe par le point o et est donc Ia droite (oA) cherchée.
rU
I Exercice 26 p. 104
Analyse
Soit O le centre du cercle (().
r
t
On construit le cercle (I-') de centte O et tangent à (^) ; on désigne par A' un point comrtun à Ia droite
(OA) et au cercle (f ').
Le cercle (f) cherché est I'image du cercie (f ') par I'homothétie qui transforme A' en A. il
Synthèse
On construit (f') ;'soit A' un des points communs à
(I') et (AO), et T'le point de contact de (I'') avec (Â). t
ll'"

. La parallèle à (A'T') menée par A coupe (À) en Tr.


. La perpendiculaire à (À) menée par T, coupe (AO) r
L
en Ir, centre du cercle (tr) cherché.
Discussion
11y a autant de soluüons que de points A', donc il y a
r
deux cercles solutions, de centres respectifs I, et Ir.

I Exercice 27 p.1,O4
L :

Analyse fj
Soit (f) un cercle solution. L.]
On désigne par T Ie point de tangence entre Ies
cercles (I-) et (q) : T est Ie centre d'une homothétie h
transformant (%) en (I-).
iJ
Soit [AB] le diamètre de ((G) perpendiculaire à (A). I
est I'image par h de l'un des points A ou B.
|l
Synthèse lL
. On trace ie diamètre [AB], puis la droite (IA) qui re-
il
l

coupe (S) en T.
. La perpendiculaire à (À) en I coupe (OT) en Ir, ur
centre du cercle cherché.
-l
Discussion '1ii I

IlyadeuxpointsT: r_i
{Tr} = (IA) n (%) et iTz} = GB) n (q).
IlyadeuxcerclestD:(fr)tangentà(Â)enletpassantpilTr,et(I'r)tangentà(§enletpassantpilTz. 1,1

82
I
i

.,i
--irJ
I Exercice 28 p. 104
Analyse.. ' ..
I Soit L I'bomothétie de centre B transfonnant P en A'
ôt aZtip"'p."'q et C' les images respectives de Q et
Cparh. :

Si BP = PQ=,QC, alors : BA = AQ= QC"


m Donc. le point'Q' est sur Ie cercle de centre A et de
t.yon aS'et tr"i" droite para1lèle à. (BC) passant par
Ie poiutR dé{CA) tel que : CR = C'Q'= BA'
m
Synthèse
On consüuit le point Q cornme indiqué dans l'analyse'
I La droite (BQ) coupe [AC] en Q'
La parallèle à (AQ) Pa§§ant par Q couPe [AB] en P.

,Ï 1 Exercice 29 p,1O4
1. . p est I'imale de M p.ar o(^,â).
j Lorsque M décrit ((3), P décrit (f), image de
Soit I, milieu de [OA] ; on a: h(O) = I.
(qe) Par h.
\
A
Donc, (f) est le cercle de centre I et de rayon f, o \Jy I

I r étant le rayon'du cercle (13).


o Q est I'image de P par O'(O,â),
\')
D

Lorsque P décrit (f),Q décrit (I'), image de (D Par h'.


ü Soit ], milieu de [OI] ; on a : h'(I) = ]. Donc, (I') est le cerc]e de centre I et de ,.yî" â.
Z. F') est l'image de,((i) par h'oh qui est l'homothétie de centre O et de rapport;,
LJ avec:&=+ü.
Exercice 3O p. 104
t O
1. Soit h I'homothétie de centre G et de rapport - 2.
On a : h(A') = A. De plus, (OA') et (AH) étant deux droites perPen-
diculaires,à,(BC), on a: (OA') ll (Atl).
n Donc,I'image de la droite (OA') Par h est la droite (AI0.
De même, les images des droites (OB') et (OC') par h sont les
droites (BlI) et (Cf0.
ii
' 2, Les droites (OA'), (OB'), (OC') sont sécantes en O ; les droites
(AH), (BH), (Gt{) sont sécantes en H.
] Donc : h(O) = H et GH = - 2GO ; par suite, Ies points O, G et H.sont
alignés.

I Exercice 31 p. 104
Soit G le centre gravité du triangle i{'BC, donc du triangle A'B'C', et
P' I'image de P par l'homothétie h(G,- â) O"t transforme (A,B,C)
en (A',8',C').
La droite (Â,) contient A' et est parallèle à la droite (PA), donc elle
I
passe par P'.
I
j On ddmontrerait de même que les droites (ar) et (Âr) passent par le
poiut P'.
I

Donc, les droites (&), (42) et (Ar) sont concourantes en un point P'
tel que , &' = -*
I

t-
I

"A.

t 83
:-
i

l'Exereice 32 P.105 L
(CD) ;
1. a) Op a:,..{BI'i ll(CD) et h (B) = C, donc : h(BJ') =

Par luite,l'image de (BJ') par hloh est Ia droitt


la droite
(IlJ.:
(CI')'
I
De même, I;im"g" de (DJ') par hoh' est . .'
,'l

bj h et h' sont des homothéties de même cente ;


douc:h'oh=hoh'. .'rl_: ,
i
On a: (DI') n (BI') = {I'} et (EI') n (CI') = {I'} I
donc : hoh' (I') = l', et les points A, I',1'sont alignés' t
2.I est le milieu de [AF].
De plus, FC1E et FDJ,B étant des parallélogr.mmes, J et K sont les miiieux
respectifs de. [FI'] et [FI']'
F et de rapport f'
ft
Dooc, I, J, K sont les images respectives de A, ]', I' par I'homothétie de cenEe-
Les points A, J' et I' étant alignés, les points I, J et K sont alignés. r

l.Ïii::,ifi;l'i [AB], f est ta transtation de vecteur 6' ou Ia symétrie orthogonale par rapport à
Ia tangente coulmune en I à (13) et (1â').
. Sl I est distinct du milieu de [AB], alors (À) coupe (ABl-en R
t.
un point O ; f est I'homothétie de centre O et de raPPort'*'
z. f(M) = N et f(A) = I, donc (AM) // (IN).
f(I) = B, donc (BN) ll ttvl).
'Donc, PMIN est un. parailélograrnme.
,

De plus, ffi est droit ; donc, PMIN est un rectangle'


I

3. f(P) = Q'et f (I) = B, donc (PI) // (QB). v


De même, PI) // (RAl. o
Ol o'
Soit ] le centre du rectangle PMIN. 01 a : IM = II = IN ;
donc, (II) est la tangente corrunune à (qe) et (%') en I'
(<G
\/
Donc, les droites (RA) et (QB) sont tangentes à (qe) et (qe')
respectivement en A et B.

I Exercice 34 p. 105
1. Les triangles A[ et AIII sont isométriques-; les triangles
AIH et ABC ont leurs angles égaux deux à deux : ils sont
semblables. Donc, A[ et ABC sont semblables.
ona:r.=+=#=sE=#=#A.
2. Soit h I'homothétie de centre A et du rapport Ic eq-la
symétrie orthogonale d'ar<e (Â), bissectrice de l'angle BAC.
On a : h(4, B, C) = (A., B', C') et s(4, B', C') = (A,I,I).
Donc,l'image par soh du triangle ABC est le triangle A[.

0 E:cercice.35 p. 105
et, tels que :
!!et triangles IAO et IA'O' sont rectangles telle que :
AIO = A'IO'..Donc, iI existe une similitude o
o(I, A, O) = (I, A', O').
Soit s la symétie orthogonale d'axe (OO') et h I'homothétie
de centre I et de rapport C.
On a: h"s(I, A, O) = (1, A', O') ; donc : o = hos.
2. h = hom (I, {) ; do.rc : h-l = hom (I, $) ;
r1

84
h'= hom U:-l) ; donc : h'-1 = hom'(1, - 4).
(O) = O ; donc h'-1oh est la syrrétie de centre O-
On en d6duitque h-1ôh 6st une sSrmétrie.'O" plo, : h'1oh
I On démontre àe même que h'oh-1 est la symétrie
3. On
de centre 0'.
B, = ['oh-l(A') = h'(-n:1(A')) et h-1(A') = B ; donc : h'(B) = B'.
",
I O E:rercice 36 p. 105
proportionnels, ils sont semblables.
1. Les triangles rectangles ABc et EFG ont leurs côtés deux à deux
telle que : s(4, B, C) = (E, F, G)'
--l I Donc, il existe une similitude directe s, d'angle f et de rapport 2,
La similitude conservant le parallélisme, on a aussi : s(D) = c.
on d6montre de même qu'il existe une similitude directe s"
_t
I
l
I d'angle -lrrde rapport 2, telle que : s'(4, B, C, D) = (G' C' E' F)'
Z. a) L'imige du triangle COD par s est le triangle GOC ; s(C) = G
m et s(D) = C, donc s(Q) = O.
I
I
il bJ Soith = hom (O, 2) etr = rot (t' â). On a : s =roh = hor'

î1 3. Soit O' le proieté orthogonal de C st'r (BE)' On démontre de


II même que s'(Q') = Q'.
l
l
l"L
Donc : s' = h'or' = r'oh', avec h' = hom (f,l', 2) et r' = rot (O', - f)'

I
I I O Exercice 37 p. 105
1.on",#=æ%r =*!-=q=#.
r Les tiangles rectangles BCE et ABC sont donc sernblables. soit s la simili-
trde, d" ilppo*,g, Ielle que lea polnts Bt C-, E ont Pour. hages resP-qcüves
-1 A, B;C. f6isimi6iude coisen'anl Ie parallélisme, on a également s(F) = D.
J
I

z.on",#=e#=r*f =q=#.
On démonstre cotnme précédemment que les points A, B, C, D ont pour images respectives G,
A, B, H Par s.
T (BE) et (GB) sont confondues.
B. a) Les triangles BHG et BCE sont semblables, donc les droites
I

J
Donc les droites (BE), (AC) et (GB) sont concourantes en un point Q.
à)Soith = hom (O, q) etr = rot ("' -â). On pose : o = hor = roh'
-î J
On a: o(8, C, E) = (4, B,C) ; donc : o(8, C, E, F) = (4, B, C, D)'
L

De même, on a: o(,t, B, C) = (G, A, B) ; donc : o(4, B,C,D) = (G, A, B, H)'


-î 'l
I
J I E:<ercice 38 p. 106
1.aJon",ffi=16fu'= *h =e et #=#=*.
ql
Donc :
# =#. r. plus, on ", ftE = m.
Le théorème d'AL KASHI nous permet d'6crire : AB2 = 92 x @2'
Les triangles ABC et CDB ont leurs cÔtés deux à deux propor-
tionnels, donc ils sont semblables.

l b/ Le trianglo CDB est isocèle en C. On a : GD = BC et BC = AD'


Donc, æ ; AD et Ie triangle ADC est isocèle en D.
E

On pose : ô: =ry.
rl
U on a : asd = ÂcÈ = Éft =
T t" -o) ; donc, ffi = r- Éft = f {æ + o)'

ffi E'
:: nU Or : = IE- 2d,; donc : n - 2s. =
t l"+ s).1On en déduit : o =
Les.angles Â, â, ô do triangle ABC ont pour mesure respective , Ë, +, +'
Les angles du triangle ADC ont Pour mesure respectiv" ,
I
l,+,â.
85
A

- /rr'
l!-

l*
2. Les tiur,eleq AIC et ECA sont tels que
'# = g = I 0a démonsbation est identique à celle du 1. aJ,
i*.

D9 plus.: ABC 7 ECA ; donc, S"iangles sont semblables


""r lij-
9" diToTtre de même que les triangles ADC et EBA sont semblables
ki

Dans Iès deux cas, le rapport de sirqilitude est g.


3. al Soit s la similitude telle que : s(C, D, B) = (4, B, C) et s(A, B, C) = (8, C, A).
On a : s(D,I) = (8,.D et s(8, D = (C, K).
Douc:siÇ2e.(DI)n(B|,alorss(o)e(BIn(CK).
I,
Or : (IJ) // (BD); d.onc ,", s(e) = e (coaservation du barycentre par s).
'# = # I._
Donc,lles.droi.tes (nD, (nD et (CK) soot concourantes en sà.
àlOu a :h=bor' (Ç2,9) et r =rot (*,s).
cJ roh (4, D, C) -'(8, B, A). T"
0 Exercice Sg p. 106
1. si (4J) est perpendiculaire à [BD), alors ]es Einngles AB] et DAB ont leurs A
angles !gar»< âeü a deux et ils sont'semblables. Donc, il existe une si'rrilitude It
I
s transformant ABJ en DAB.
Réciploquenent, s'il existe une similitude s transformant AB] en DAB; alors T-
l'qngle de s est -
f ; donc les dioites (AI) et (BD) sont perpend.iculaires. soit Ic
le rapport de cette similitude.
* = ! t x IcAB.
, il*
ff-= ffi = t ; d,onc : AB = kBI = *
on a : r
On en déduit .:.lc=ÿi.
v4, î1

lA, B,_].J," Pour-image (D, A, B) par s. Les similitudes conservent le parallélisme ; u._
1.
donc : s(I) = c et le rectangle IAB] a pour image re recta:,rgle CDAB par s.
Le xapport oes deux aires est égai à : lé = Z, ]]:
Ji --
ô Exercice 4O p.106
.- _
1,. On a : OAo = OAr xj9- et A,OA, ]i1
=f. u__
Di:nc, le triangle A,OAI est un demi-triangle équilaté-
ral, rectnngle en Ao.
2, Voir fi.gure ci-contre. n_
3. Pour tout entier naturel n, on pose : un = OAn.
oJ
I 2. "z
OA1 =
ü,O^,
= OAr ...x;6,
OA,, OA,,_r
ni'
U-
=
"fr.
Donc, (un),. s est une suite géo-métrique de premier
'ter:ne ue OAs 1 et de raison n
üi
= = ft. ...+
Pour tout er"tier naturel n, on pose : u, =-(O.Àr,ür; Ilr
0na : uo= 0, ü1 =l,or= D1 *Ë,..., un = ur_, +f. IL
Donc, (r,)r,. est une suite arithmétique de premier terme 0 et de raison I lr
ry *. L]1.
,bl Pour tout entier naturel n, on a doac : oA,, = r^= (*)' ut (o=m"l = r, - nË.
ilr
cl s'est une homothétie si rffirl a pour mesure 0 ou æ.

" si rr
â = o [zn) e n=o [tz],alors s' est une homoth6tie de rapport, n = (*)". lÊ
J,'r{
I = " [Zæ] e n = 6 [t2],aiors sn est une homothétie de rapport : k = - (*Y,
o Si n
Fa
i

86
.;
6. Orthogonâlif,é clans l'espacê
11 i (wges
'.:..
tA7 à 122 du liwe de t'éti;ve)
Lt

fI
1",i" ' Donner une première approche de la notion d'orthogonalité dans I'espace.
' utiliser les définitions et les propriétés de l'orthogonalité dans I'espace pour :

r'!'
!i
- r6soudre des problèmes ;
i.* - faire des constmctions géométriques ;
-représenter des solides usuels ;
rT
- déteminer des lieux géomébiques ;
,"l - démontrer des propriétés.

.
i

Ce chapitre sera baité exclusivement d'un point de vue géomébique.

"T ' Les résultats acquis seront réinvesüs dans les chapitres suivants.
o On tntrodulra la notlon d'orthogonalté en utilisant corlme support visuel I'enviromrement dans lequel
*I nous vivons (maisons, immeublss, salles de classesJ et les objets usuels fboîtes, ...).

I
' 9T p"i4égiera, cornme support de l'étude géométrique, l'emploi des solides usuels tels que le té-
traèdre ou les prismes droits, ainsi que d'es représentations en perJpecüve cavalière.
"t : U- le des principales difEcultés renconffies dans ce chapitre par les élèves réside da:rs Ia visualisation
d'obigts da I'espace à partir
-d'*" représentation, forcément pI*", de ces objets. En conséquence, le plus
grand soin sera apporté par Ie professeur à la réalisation des hgures illustrar:Lt le cours ou lei exercices^ (at-
tention arr:< ûgures à mnin levée ...) ; il dema également s'attachér à vériâer les figures tacées par les élèves.
',1

l
I
'I
I Iholtec et plane orthogonaux o Démontrer que doux droites sont orthogonales.
. fhoites orthogonales : o Dén:.onher qu'une droite et un plan sont
-orthogo-
- défiaition (droites orthogonales, droites per- nau.x.
''l pendiculaires); o Démontrer que deux plans sont orthogonaux.
- propriétés . Utiliser les propriétés de I'orthogonalité et de pa-
o Droite et plau orthogonaux : rallélisme pour :
l

l, - d6ûnition; - démontrer que deux droites sont parallèles ;


- propriétés. - démonEer qu'une droite est parallèle à un plan ;
Plans perpendiculaires
- démontrer que deux plans sont parallèles.
o Déânition. . Utiliser les propriétés de I'orthogonalité et de pa-
o Prcprl6tés.
rallélisme pour résoudre des problèmes.
o Définition de la projection orthogonale sur un . Utiliser les propriétés de I'orthogonalité pour faire
plan, sur une droite. des constructions géométriques.
o Distance d'un point à un plan, à une droite. . Déterminer des lieux géoméhiques.
. Plan m6dlateur d'un segment (déffnitio$ propriété o Déterminer, sul des:solides simples, le projeté or-
caractéristique) I condition pour que le projeté ortho- tlogonal, sur une droite ou sur un plan, d'un point,
gonal d'u-u angle droit sur un plan soit un angle droit. d'un segment, d'une droite, d'un plan.
r Démontrer qu'un point appartient au plan média-
teur d'un segment donné.

,,i
!

-l
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,{| j

87
I

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I

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. -: :.,.i." .

l.'.. .,: i,:.r" :j..1 :' : ï-


I

l-l
fJ''',Exè,rcices du cours
{,Exerciôe 7.,a'p, 77.4 ili
ili
aJ:r[B.G] etr[CF] so'lt les diagonales du carré BCGF ili .
;
donc:(gc)r(cF).
Or: (CF) ll (BD); donc : (ED) f (BG).
bJ Oa a :,(DC) J-(CG) et (DC)
or :,'(CG) et (CB) 'sont
a (CB) ;
deux droites sécantes du
I
plan (CBG) ;
donc:(DC)r(CBc).
:Deplus :,(IG) c (CBG) i
h
d'où : (DC) J- 0G): n
,cJ Daas Ie triangle EBF, (ID est Ia droite des mi- au plan (AEH) ;
U.
'Iieux des côtés;[EF] et [FB] ; donc : (ID l/ (EB).
On a : (EB)'lt:CH) et (CH) I (DG) (supports des
diagonales du carré (CDHG)) ; donc : (EB) 1(DG). F
De plus : [EB) l- (DG) et (lI) /i (EB) ; donc : (ID a (Dc). Or: (EI) et (ED) sont deruc droites s6cantee du plan
(EID).Donc: (AH) I (EIp).
Or: (ID) c (EID) ; donc: (ÂH) J- (ID). tt
O Exercice 1.b p. 114
o.)I-es,drôites {AB), (BC), (CD), (DA), (EF), (FG), (GH), (FIE) sout ortho-
gonales à,(AE).
tt
,biLes p]
{ABC),.(EFG) sont orthogorralD( à (AE). r
c.)Les droites (AB) et (FG) sont non coplanaires et orthogouales à (AE). h
De +êrne,,(AC) et (GH) sont non coplalaires et orthogonales à (AE).
'- . t '
'' .:,' t,' ., .,... '
0 Exèrcice l.c p. 114 J,
ojiOn.a,;;{ü0 ,ll,(AB); or : (AB) a (AE) et (AB) J (AD).
Donc : {t() a (ar) ut (IK) J (AD).
On en déduit quà (IK) I (ADB), car (AE) et (AD) sont -.1 -
deux droites sécantes du plan (ADE).
bl on a : (AD) I (AB) et (AD) J- (AE).
Donc : (AD) I (ABE), car (AB) et (AE) sont deux "J-
,droites sécantes du plan (ABE). F
Or: (BE) c (ABE). D'où : (AD) r (BE). I

Lr-
De plus : (tsE) l- (AF) (diaeonales d'un carré).
Orr en déduit que (BE) l- (ADG), car (AF) et (AD) sont F
deux droites sécantes du pla:r (ADG). I

I
lr

cJ'On a : (ID ll (BG) (d:oite des milieuc dans le tri- dj On a : (BF) J- (BC) et (BF) J (AB).
angle BGF) et (BG) // (AH). Donc (BF) J (ABC), ôar (AB) et (BC) sont deux
F

f
Oi : (DE) (AH) (diagonales du carré l^DlIE). droites du plan (ABC).
Donc ! (DE)l- (D. Or: (AC) c (ABC) ; donc : (BF) J- (AC).
De plus : (IK) I {ADE) ; donc : (IK) I (DE). I
On en déd:it que (DE) l- (IIK), car (DE) J (ID, i

(DE) J- (IK), {ID et (IK) sont deux droites sécantes


du plan (IfK).
el On a: (IK) I (BCF) et (CF)
i

c (BCF) ; , /i Voir questron cJ. L

donc: (IK) r (Cr;.


t
ii
I
I Exercice 1.d p. 114
oJ On a: (MÂ) I (ABC) et (BC) c (ABC) ;donc: (MA)-L (BC).

,88
!.*

"l-
Lr
I

b)Ona : (AB) 1 (AC) et (AB) 1 (AM) :


donc : (AB) 1 (AMC), car (AC) et (AM) sont deux droites sécantes

I du plarr. (AMC).
Or: (MC) t (ÂMC) ; donc : (AB) l- (MC).
c,lOn a fait un raisonnement analogue à celui de bJ.

T
O F.xercice l.e p. 114
3 Si M = A, alors (MA) L (A).
On a: (9) a (0) et (Â) c (@) ; donc : (AM) J- (A).

l Donc (Â)

Or:
(AAM).
I
(TüA')
(AA'M), car (MA) et (AA') sont deux droites sécantes du plan

c (AAM) ; donc : (MA) l- (A).

l 0 Exercice l.fp.
114
aJ On a: (GC) I (ABC) ; donc : d(G, (ABC)) = GC = a.

l à, tAC] et [BD] sont orthogonaux et se coupent en ieur milieu I.


On a: (AI) J. (BD) et (AI) J- (BF) ;
donc (AI) J- (DBF), car (BD) et (BF) sont deux droites sécantes du plan

l
_,1
(DBF).

On en déduit que : d(A, (DBF)) = Af =


c/ Le triangle ACG est rectanglo en C i
* ".
)tl
rI
,I
#
donc:AG2=AC2+CG2= 3a2 et AG=afi,
j

0 Brercice t.gp.1!4
-:n
]U
l.'Ona:BI=BI.
En effet,,[BII et [BJ] sont hypothénuses de deux triangles rectangles. Les
n côt6s de I'angle droit mesurent an et
f.
ILi De même : DI = DJ et FI = F].
".1 Donc, (BDF) est le plan médiatetu de tIIl.
ï- 2. On a : ID = IF ; ID = fF et KD = KF.
L Donc I, ] et K appartiennent au plan médiateur de [DF].
3. On a : CD = CG ; BD = BG et ED = EG.
r1-
L Donc, (BCE) est Ie plan rirédiateur du segment [DGJ.

r_t
,t
I Exercice l,h p. 114
ll 1. On a : IA = IB ; CA = CB et DA = DB.
§ Donc (ICD) est le plan médiateur de [ABl.
i

2. On a : fC = ID ; AC = AD et BC = BD.
Donc [AD) est Ie plan médiateur de [CD].
3. Dans le plan (ABIJ, (Ifl est la médiatrice de [AB].

Donc, (tD est ferpendiculaire à (AB).
ii- De même, (If est perpendiculaire à [CI)].

I E:rercice 2.a p. 119


i
(9) a (9) ; donc il existe une droite (Â) telle que :
(a) c (e) et (Â) I{e).
n
I Soit (A') une droite de (g) perpendiculairc à (g) dans (g).
li
t-a Dana (9), on a: (A) a (9) et (A') a (g').Donc : (^) il (A,).

:r L-.r
Or: (Â) a (9) ; donc : (Â) a (g).

89
rr

r1
:,'- :. : ;
i-
:1i: i

: l:: ll
t-
t Exercice 2.b p. 119
I

a.) On a: (EA) c (EAC) ot (EA) J- (ABC).


En'effet; (EA) l- (AB) et (EA) r (AD).
I
I

!
I ïl
I
De'plus, (AB) et (AD) sont deux droites sécantes du plan (ABC). Donc :
(EAC) r (ABC). lp---.J---

bl Ou'a: {BD) c (I{pB) et (BD) J (EAC). cJ On a : (FH) c (FCH) et (FH) J (AcE). ir


En effet, (BD) i. (AC) (diagonales du carré ABCD) En effet, (FH) I (EG) (diagonales du carré EFGI0
et (BD) J- (EA):Donc : (EAC) J- (IIDB), et (FH) J (EA). Donc : (rCH) J- (AGE).

'lExercice 2.c p. 119


I
Existence r'
ti
Soit A un poiat de (g) et (9') la droite orthogouale à (9'r et possaut par A. Ll
Les droites (g) et (9) sont sécantes en A, sinon (9) serait orthogonale à (9).
Elles déterminent donc un plan (9').
Le plan (9') conüent (9') gui est orthogonale à (9) ; donc : (9) I (0'). I

Unicité
.Supposons que (91) al (0) sont deux plans contenant (9) et perpeadiculaires à (0).
On a : (0) c (9r) n (92) ; donc (0r) et (9r) soat, soit sécants süva:rt (9), soit coufoudus:
Démontrons, par I'absurde, que (91) et (92) ne sont pas sécants.
Supposons que (91) et (Oz) sont sécànts suivant (9).
On a : (9) -L (01) et (0) a (92) ; donc (9) J (9), ce qui est contraire à I'hypothèse selon laquelle (9) Éÿ
n'est pas orthogonale à (9). on en déduit que (91) et (9r) ne sont pas sécants.
Conclusion
*r ',
II existe un unique plan contenant (0) et perpendiculaire à (g).

t) Exercice 2.d p. 1L9 (e)


On a: (g) f (ABC); donc : (MB) J (AC).
,(AC) J- (^B) et (AC) r (MB) entraîne (AC) J (MAB).
Or : (AC) c (MAC) ; donc : (MAC) t- (MÀB).

O'Exercice 2.e p. 119


Désignous'paT.(91) le piarr défui par M et (Â).
a
Le plan défi:ri par A' et (g) est le plan (MA4'1.
Onra: (g) a (9) ; donc : (9) a (Â).
Or : (Â) J (AA) ; donc : (^) J (MAA').
De plus : (Â)c (9r) ; donc : (9r) I (MAA'J.
I

I Exercice 2.f p. 119


1,. Les plons (ACD) et (BCD) sont sécants süvant la droite (CD).
Démontrons que Ia droite (CD) est orthogonale au plan (ABD.
Les points A, B, ) sont équiüstants des poiuts C etD.
Donc (ABD est le plan médiateur du segment [CD].
On en déduit: (CD) r (ABD.
Or les plans (ACD) et (BCD) sont sécants suivant (CD).
Donc'(ABD est perpenüculaire à (ACD) et à (BCD).
2. (CDI) est Le pian médiateur du segment tABl.
Or les plans (ABC) et (ABD) sont sécants suivanr (AB).
Donc (CDI) est,perpendiculaire aux plans (ABC) et (ABD).
Les plans (BCE) et (ACD) sont sécaats suivant (CD). rï
Or (CD) n'est pas orthogonale au plan (CDI) ; donc (CDI) u'est I

pas perpendiculaire aux plans (BCD) et {ACD).

90
l, *+

: Conduslon :

Seuls lep plans des faces ABC et ABD sont perpendiculaires au plan (CDI).
ll*
rl
il
rü 3. On a': (CD) a (ABD et (CD) c (CDI). Donc : (ABD a (CDD.

O E:rer.clce 2.gp. 119


On a: (MH)J- (g) ; donc: (Â) J (Ivf$. De même : (A)l- (MH').
_i m Or, (MII) et (MH) sont deux droites sécantes du plan (MHH').
Donc: (A) f (MHH').
On en d6duit que Ie ptan (MHH') est perpendiculaire aux plans (9)
_[ m et (9) qui sont sécants suivant (À).

î Exerclce 2.h p. 119


I m Désignons par I le milieu de [AB].
Démontrons que ICD est rectangle et isocèle en I.
lr
ü""
I [IDl et [ICl sont les hauteurs issues du sommet de I'angle
droit des triangles isocèles ABD et ABC. Donc : IC = ID.
ABD est 1s61nngle et isocèle en D ; donc : AB2 = 2AD2.

_[:
r ADI est rectangle en I ; donc : ID2 = ADz -
On en d6duit que : IC2 + ID2 = AD2 = DC2.
+ = ry

r' j Donc, le triangle ICD est rectangle et isocèle en I.


D'où: (IC) 1(D).
Or (IC) f (AB), car (IC) est la médiane issue du sommet C du triangle rectangle ABC.
ti.,"
_
D'où: (IC) 1(ABD), car (AB) et (ID) sont deux droites sécantes du plan (ABD).
r'r
I
i
L,,.
I De plus: (IC) c (ABC) ; donc: (ABD) r (ABC).

r"
t_
j [I) Exercices d'apprenf,ssoge
D,norrE,s ET PLAHs oRTHoGoNAUx
r.
L I OE:rer.cice 1p, !2O
On a: (9r) a (9b). -
,] a) Supposons que (91) et (9J sont sécantes en I et désignons par (9) le plan passant par I et orthogonal à (gJ.
r*
D6montrons que : (9r) c (9).
l_
,T Or : I e (9r) n (9) ; donc : (9r) c (9).
rL,
:i Le plan (g) ainsi construit répond à la question.
l-1 bJ Supposons que (9r) et (9r) sont non coplanairos.

fr L] Soit ] na porint de (9r) et (9) le plan passant par J et orthogonal à (92) ; on a (0') // {g).
L. Le plan (g) contenant (9r) et parallèle à (g') répond à la question.

r- ''-j 1""l t Exercice 2p.12O '


I " (9r).
On a: (a) l. 1eir1 et (À) l- '
,.

r Si les droitea (9r) et (9r) étaient sécantes, on aurait (A) f (9).


Or (A) n'est pas orthogonale à (9) ; do:c, les droites (9r) et (9r) sont parallèles.
;L
t.-
-!. l,
O E:rercice 3 p. 120
t; On a: (Bc) I (BD) et (Aq r (BD), car (AC)l- (BcD). .
ii{
I
Or (AC) et (BC) sont der»< droites sécantes du plan (ABC).
-tÉ Donc : (BD) l- (ABC).
,i71\ Par suite, (BD) I (AB) et le triangle ABD est rectangle en B.
ll,
i*

91

itr
,!l'Jt ,
l

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'I
I *r
(9)r i-
I
lh
H*--A
I t,.".
t.t-
I
I

T',
ir*"
,) Exercice,S p; 120
I
tr" On a :,(91) J- (91) et (92) (9J. Supposons gue : (gr) / / @z\
rL*l
f
On a : (9J J. (91) ; donc : (9r) (9ù etpar suite (9r) J. (gJ.
Or: (o/ I (,9, ; donc : (9br) //.(9r);
ce,qü est absurde car (91) et (9r) sont sécatrtes. r-
Donc (9r) et (9r) sont sécantes.
I

2. Posons : (A) = (gr) n {*r).


On a: (9r) A (9r) et (Â) c (9r) ; donc: (A) A (gr).
r"
De même
:{a) f (9r). Donc : (^) J (g), car (gr) et (gr) sont der»< droites sécaates du plan (g).
O Exercice 6 p. 120 r
ll

1. Le triângle oBC est isocèle en o et (oI) en est ra médiane issue de o ; donc : (oI) .L (Bc). t"-
Or : (BC) ll (AD); donc : (OI) (AD).
I
Les points O et I son-t équidistants de A_et F;-donc O et I appartiennent nr
au plan méd.iate.r de [AF], d,où fi _.:
(AF) J. (OI). Or: (KL) ll (AF); donc : (Or) r (KL). 'r
(BG) J- (EF), car (EF) J
1.O" a(Be)
: (BCG) ; de plus : (BG)f (FC) (diagonales du carré BCGfl.
Donc : J- (EFC). ll
Oo a : (Ir) /l,(BG) (droite des milieux dans le triaugle BCG).
1.
I
Or: (tsG) J-,(EFC) ; donc : (ID (EFC).
.On en déduit que (D J (EC), car (EC) c (EFC).
4..On a': (BG) ll {AH)
ü
A
,Or : (BG) 1(EFCJ ; donc : (AH) J_ (EFC).
L".t"r.!fl4), parallèle à (AH) passant par L, est donc orthogo- n
I L,-
OL'
nale à (EFC) L
De plus, {A) et.(ED) sont sécantes dans le plan (ADH).
Donc le point d'intersecüon de (A) et (ED) est le projeté oitho-
I l-r
,gonal I-' de L sur (EFC).
5. Désignons par (0) le plan passant par L et orthogonal à (BG),
On a : (g) ll (EFC), car (BG) J (EFC).
1
l-
Désignons par M le mi'lisu de IBFJ.
La droite (LM) est parallèle à (EF) ; donc elle est incluse dans (g). i't*
De même Ia droite (M), parallèle à (cF), est incluse dans (g). (g) est le plan (IML)
On a: (ML) // (EFC) ; donc : (BG) I (IML). ;,
Or, (BG) et (IM) sont sécantes. . ,,
Donc le point d'intersection L" des droites (BG) et (IM) est le point d'intersection t-:
I

de (IML) et {BG).
on en déduit que L" est le projété orthogonal de L sur la droite (BG).

i Exercice 7 p. tZO
I
I

1. Soit Vf un poinia, (e).


M. (I) <+ OMz + =f a (ol+ffi;, =É <+ OH2+HMz+z OÊ.ffi =/; î'
Or:OHl-I{t\4;donc:Me (E) <+ OH2+HM2 =f'e f
I

HM2= -OHz c* HMz =f _dz.


2.aJOna:r<d e f-d2<O. q-
I

* - d2 n'a pas de solution daas (g). on en déduit que : (!) î\ (g) = o.


Donc, l'équatioa FIM2 = i.
dT
biOna:r= d e f -d2=0.
Donc,.l'équaüon HMz 0 a pour solution
= {H}.
:l ..,l-
92
,.-

cJOna:r> d a i-d2>o.
1lr
{
Hlvlz =f _d2 c+ HM =ÿ* _d2.
ü Donc, (I) n (9) est le cercle de (g) de centre H et de rayon \F42.
i

Ï .O Exercice I p. 120
',ü o Supposons que : (AC) 1(9).
, Alors, A'= C'= I'et I' = mil [A'C'].
o Supposons que (AC) n'est pas orthogonale à (9).
m En appliquant la propriété de Thalès dans le plan (ACA'),
on obtient: f = mil [A'C'J. De même : I' = mil [B'D'].
2. aJ §upposons que les points A', B', C'et D' sont alignés sur une droite (Â).
l
m
L'un au moins des 4 points A, B, C et D n'appartient pas à (0), sinon ils seraient coplùraires, ce qui est absurde.
Supposons douc que A c (0) et désignons par (0) le plan contenant (^) et A. On a : tBB) ll(AA').
Or': (4.[') c (9) ; donc : (BB) // (9).
m
I
De plus: B'e (9) ; donc : (BB') c (9) et par suite, B e (9.).
De même, on démontre que les points C et D appartiennent à (9),
I
I
I
I Lea points A, B, C et D sont donc éléments de (9), ce qui est absurde.
Donc les points A', B'et D'ne sont pas alignés.
b,l . Supposong que A'B'C'D'est un parallélogramme.
I il Las segments [A'C] et [B'D'] ont donc le même milleu, c'est-à-dire : I'= f' ; par suite : (D I (g).
.1
I
.R6ciproquement, supposons que (tD a (@). On a : I'= I.
-
,il Par auite,les aegments [A'C'] et [B'D'] ont le même milieu.
i
On ea déduit que A'B'C'D'est un parallélogrâmme.

0 Exercice 9,p. 120


il a:,{t3il:
[âsSi o"'{[3Ë]11Ê3Bl ,
on

t donc:
{[3Ë,'r,,3'1,
et (oI) J- (ope.

De plua : (OR) J- (OPQ)) ; donc : (OI) // (OR).

J
I

I
t On en déduit queLes points O, I et R sont alignés.

O Exercice 10 p. 120
f
t 1. On a: (AB) (BCc) ; donc: (AB) J. FC).
I
De plus : (FC) (BG) (diagonales d'un carr6).
On en d6duit que (FC) l- (ABG), car (BG) et (AB) sont deux droites sécantes du plan (ABG).
il
Ona:He (ABG); donc: (BH) c (ABG). Parsuite: (BH)J-(FC).
l* 2. On a: (BH) I (FC). Démontrons que : (AC) l- (BH).
On â: (AC) l- (DB) (diagonales d'un ca:ré) et (AC) I (DH).
it
.
Donc : (AC1113pH) ; pü suite : (AC) J- (BH).
;l
On a: (ACl I (BH) et (BH) J. FC) ; donc : (BH).1- (ACF).
Or: (AI) c (ACF) ; donc: (BH) J- (AI).
i
Deplus,les droites (BlI) et (AI) sont incluses dans le plan (ABG).
il Donc, (BI0'et (AI) sont perpendiculaires.

"'{ï= ffil lsfii ; donc : //


I 3. Dans le triangle BGH, on (rD (BH).
l
L
J,,

l,Li
On en déduit que le hiangle AI] est rectangle en I. l

r''
L,*
I
I
,) Exercice al p. lZO i

fi'r
1. On a: A'= B' c+ (AB) f (g).
-i
l"-
Or (AB) n'est pas orthogonale à (g) ; donc : A'É B'.

t,. 93
7"'
L

lt.r
',. .,
'. ,,2. . Supposcrrs que : (O)1(AB)' L
'Or iB'€:(ABA'),'car (BB') // (ABAT ot B e (ABA') ;

donc : (9) l- (A'Br).


. Réciproquemert, suPposoûs que : (9) .L (A'B')'
On'a: (9) J- (AÀ') ; donc : (9) J- (AJ{'B').
Or : B e (AA'B') ; donc : (9) I (AB). I
O Exercice'!2P.'LZO
x. Soit'Ile milieu de'[AB]. n,
.On a : (CI) f (Æ)'(ABC est isocèIe eu C)
et (DI) J-'(AB) (ABD est isocèle en D) ; donc : (AB) J (cDI).
'Or: (CD),c,(CDI) ; donc : (AIl) J (CD). Il
2.Ona rAe (9e) et (9a) I (BCD); B e (9g) et (9s) J(ACD).
,Posons : (91 = (ABD, où J e (9) n (CD)'
ü'
o DémonEons que les droites (9a) et (9s) sout iuclusos dans (9).
(CD), car (9A) I (BCD).
On a: (9a)
(cD)
J
r (g), car
{[38] I lff' ; donc : (ea) il (s-). I'
3iffr'flâ',î,:?;:iü;l?tl;,'3;B"rËiîi;,?*i?"o,u* issue de r; (e*) esrrahaute.u issue de ,].
A, car (9À) J- (BD c (BCD) ; (9s) est Ia hauteur issue de B.
Donc les droiær (g), (9a) et (9s) sont coucourantes ; leur point de concours est I'orthocentre du tiangle AB|. T, _
-J -.
i Exercice 73 p, t2!
1. Démontrons que : (CD) l- (ABI). !'.n

On.a,: (AE).r (ACO), car : (AB) r (AD) et (AB) a (AC) ;


,donc: (AB)f ,16p1.
,,Ona :'(@,) l-'(dI) et {CD) J- (AB), donc : (CD) r (ABI) ; ll

par,suite :.(CD) I (BI).


:,On eu déduitque (BI) est une hauteur du triângle BCD.
J*
2.rOn a :,[CD) -L (ABI) ; donc : (CD) r (ÀEI).
'De plus : {4II) r EI) ; donc : (AH) J- (BCD), car (CD) et (BI) sont
, deux droites séca:ates du plan (BCD).

O Exercice 74p. a2!


Dans le trianlte ABC, on a: (ID tt tLC) et IJ = A
1..
* ^".
et (KL) // (AC) ; W) t t (nl et6 no.
De même : KL =
â ^a = f
Or : AC = BD ; donc : IJ = IK = KL = LI. I

,/

M
On en déduit que I)I(L est un losange.

On a, dans le triangie ACD : (ML) // (CD) et ML = + CD.


{
De même : (LN) (AB) et LN = æ.
ll !
Or : AB =,CD ; donc : LN = ML = NJ = IM et MLNJ est un losange.
2. Les diagonales d'un losange sont perpendiculaires ; douc : (IL) a (MN) et (UO a üt).
On a : (M) ll (NK) // (BC) ; donc : N e (IMK).
UL) étant orthogonaie aux deux droites sécantes (MN) et (IK) du plan (IMK), orr aii 0L) f (IMK).
3. Oua: 0L)J (IM) et (IM) tBC); donc: 0L) (BC). De même: (It)J (AD).
l/ I

94
Praxs PERPENDtcut AtREs
0 Erercice t5 p,1,2!
f-
it Existen'ce.
il-
Désignons pil {9r) la droite orthogonale à (9) et contena-nt
a, eipar (O) ladroite contenant A et orthogonale à (9.)'
ll. (9r) et (9r) sont sécantes. En effet, si (9r) et (92) étaient pa-
u
i:l

ralietee, (d;) et (9) seraient parallèles.


F!
Soit (f0 le plan déffni par (91) et (92).
rl
tl On a: (9r) I (g) et (9r) c (7f) ; donc : (9) I (?0.
il- De même : (9.) I (98).
F untctté
Soit (ÿ{) et (9') deux plans contenant A et perpendiculaires à (9) et à (0). Posons. : (^) = (g) r'' (9).
I

l_
On a: (7C) J- (9) et{W a (9) ; donc : (A) 1(7f). De même : (^) I (70').
I - Ona: (Â)f (?0 et(A)l-(7f'); donc :QA ll(K').Or:Ae (7t) idonc:(lt)=tW'),
I
I
I

I
^(W')
I 'ô Exeruice 16 p. 121

- . Supposons que : (9) a (g').


On a: (9) J- (A), car (Â) a (n) ; de plus : (9) c (II).
1 I
I
I

Donc : (9) I (9'), car (À) et (9') sont deux droites sécautes de (9').
-J
On a: (9) c (9) et (9) a (9') ; donc : (9) I (9').
I
I
.Réciproquement, supposons que : (@) 1(9').
On a : (9) I (g), donc (9) contient une droite (9r) orthogonale à (9').
I

On a: (9r) A ( ') et (A) c (9') ; donc : (9r) J- (^).


Dans (9) : (9) a (A) et (9r)I (Â) ; donc I gù ll (9t).
!

On a : (9r) I (9') et (9,r) //(9) ; donc : (g) l- (9'). Or : (9') c (9') ; donc : (9') I (9).
r-
.
I
0 Exercice 17 p, !27
. Supposons (9) J- (9').
On en déduit qu'il existe (9") c (9') tel que : (9) ll (9").
l I
I

Or: (9) I (0') ; donc : (9') I (9").


I

On a: (9) J- (9T et (9") tt {9ù); donc: (9') I (9). i


I

. R6ciproquement, supposons (E) 1(9).


I ll (v^').
On en déduit qu'il existe une droite (9r) du plan (9) telle que : (9t)
Cina:(sr)I(9')et(9')//(9');donc:(9r)a(0').Or:(9r)c(9);donc:(9)r(9').
I

I 0 Exercice 18 p. 121
I

i
I

Supposons que: Me (9r)u(OJ,Ona:ME (9r) ;donc:M*Hr.


Démontrons par I'absurde que : H, e (MHl).
{
I On a: Hre [MHr) ; donc : (MH1) J- (92).
Or I ttræIr) I (9r) ; donc : H, e (MHl) et (9r) tt {9),
I
I
!
r.,-
Cecl eet absurde, car (9r) et (92) sont sécants.
r* D6monhons que le plan (MHrH2) est perpendiculaire à (9r) et à (92).
I

lfill ; donc'{fffilli [îl,car =


I

on a: (a) (e1) n(ez).


I
ttffi;li
l- (MH,H2). Par suite : (MHrH2) I (01) et (MHtHr) l- (Oz).
I
(A) J. (MH1) et (^) J- (MHz) ; donc : (Â)
L,
I
ô Exercice 19 p. 121
f"-
I
1. Le triângle ABC est 6quilatéral ; donc : (CI) 1(AB).
De même : (DD a (AB).

rn:
t_
,95
t, ,.
dh

l, ,l.r::'t;:_
T
I

on 1
:
{,*li 8i] ; donc :
IAB)
r (rcD).
Or: (Â,8) c 0AB) ;.donc : (ICD) f 0AB).
I
I

2. on;,{[ffi]: ; donc : (ABC) r (rcD).


fffÀ
De m§rn6 :,(ABD) J (ICD).

ou'a , çar les triangres BCD et ACD sont


{[lii 8B], éqütatéraur.
Donc :,(CD) J- (ABl). I
or : (c.D) c (BCD) et (cD) c (ACD) ; douc
'{[ffii]t lâgi :
I

1 Exercice 2O p, L2l
1. Soit M un point du plan (fD, H, son projété
orthogonal sur (g1)
et H, son projété orthogoual ,*
tg).
Notons:,(Dr) = (ID n (gr); (DJ= (fI)n (92)et(Dr)n(Dr)
On a:H, e (D,).etH, e (Dr); donc: a(U,gr)=diM,(Dr)) = 1g1.
d(M,e2) = d(M,(Dz)). 1' - urrr
"t l

d{M,@l) = d(M;(Dr)) = MH, et d(M,gz) d(M,(Dz))


= = MH2 i
M e (9) <+ d(M,(Dr)) = d(M,(DJ). )

or llensemble des points équidistants de deux droites


sécantes est
ùs(
,laas,ieur plan, la r-éunion dà l";;;;;Lirrr.tË"rreù I
I

'Donc (Ir (s)


n est la réunion des bissecbices des droites (Dr)
et (DzJ.
rt

1T"l"X.H1-:, H:,i": projotés.orgthogonaux respectifs de M sur


ut
!fr) !?r),H', fu', lei piojétés oithogoo"* respecrifs de M,sur
(0r) et (9r).
et
ï
Démontrors que: MH, - M'H', et MH, M,H,2.
t
=
Supposons que : M e (gr) u ml. {
I

91,";:[lT/:J- (9J et (M'H'r)t (91) ; donc: (MH1) // (M,H,).


I

I I

"soit,(9^,) le plan déûni par ier droites €tdcte,e,t pararières


(MH,)
(9y) et ( r) sônt sécantes suivant i,
1,{M_Tr]: J*ii"lffrfl
Or:,(MMl) /'l (Lil et (MM') ll (gt); donc : (MM,) // (HrT{,;t rf .
t
I
l
J
,9:.""gguit-eUe MH,H'1M'est un paralléIogro-*à. ' "-
D'où:MHr=M'H'r. rr! 1

On aémonfue aisément gue MH.H,rM, est


,On démontre de même que
un rectangle.
: si ir{. f9rl u (fD,lGtrîta,g,,

iifôïii",$:îeî,ftriiS?fij.," projété orthogonar sur (rD est une droite (D) de (rD est le pran conte-
7" est la ré,nion des plans (QJ et 'Q') coutenant (Dr)
ili:: $'mi:t tg) et (D/ respectivemeut et perpeudicu-
Les plans (QJ et (e') conüenneut (ÂJ.
En effet (A) a (n), (Ql J m et tQl r
ü) ; donc : (^) // (e et (a) // (e).
or (ÂJ passe par le point d'intersection de (Dr) et (Dr)
,'Ào":i (a) - (e).
rE' c \\</'
i

D'autre part :,(e) a (e). i

En effet, (Dr)-t- (Dr) et (D1) r (a) ; donc : (D1) (e')


a et par suite, (e) (e), car (Dr) f c (el.
Et Exercices d'opprofondissement
IExercice 2L p, t11- '..l* I

le projété orthogonal de O sur (g).


S_oit Ho I

Notons (gn) te plaa contenant O et perpendiculaire


à (A).

..* .,J
96
On a: (9n) n (A) = {H}. Démontrons que : Ho e (9s).
On a: (^)I (9H) et(OHo)1(^) ; donc : (OHo) // @H\
Or : O E (9H) ; donc : (OHo) c (gH) ; parsuite : Ho e (gs).
t En fait, Ho est une position particulière de H.
Lorsque (^) = (AHo), on a :H = Ho.

I Distinguons les 2 cas suivants :


7or cas: A*Hn
On a: (9n) = (OH,H). Or : (Â) J. (OH) ; donc : (HoH)J. (^).
D'où le triangle AH,H est rectangie en H et H appartient au cercle de diamètre [AHo] privé de A.
n Réciproquement, soit H'un point du cercle de diamètre [AH6J, privé de A et de Ho.
Démontrons que H' est le projété orthogonal de O sur (À) = (AH').
Pour cela, il suffit de démontrer que le pian (oH'H') est perpendiculaire à (^) = (AH').
n On a : (AH') I (HoH'), car H' appartient au cercle de diamètre [AH,J.
De plus (OHo) I (AH'), car (OH6) I (9) et (AH') c (9). Donc : (AH')I (OH,H').
a Le lieu de H est le cercle de diamètre [AHs], privé de A.'
2'cas:A=Ho.
Le lieu de H est {A}.
n
I Exercice 22 p, 127
Ho est le projété orthogonal de O sur (Â).
n Ho es-t une position particulière de H : lorsque (9) est le plan contenant Ho
et orthogonal à (OHo).
Lorsque (0) est }e plan défini par O et (Â), on a : H = O.
I Supposons que (9) n'ait pas I'une d.es positions particulières définies ci-
dessus.
r-l I

I
On a: (OH)l- (0) ; donc : (OH) (HHJ, car (HH6),
I Par suite, le triangle OH.H est rectangle en H.
c (9).
De plus, H appartient au plan (0) passant par O et orthogonal à (^). En effet, (OH) I (A) et (^) I (9) ;
donc : f,OIl) // (0) ;par suite : (OH) c (9) et H € (g).
I on en déduit que H appartient au cercle (t€) de diamètre [oH,] dans Ie plan (g).
Réciproquement, soit H'un point du cercle ((€) privé de O et de Ho.
Désignons par (0) le plan défini par H' et (^). b
n' Démontrons que H' est le projété orthogonal de O sur (g).
Pour cela, il suffrt de démontrer que (OH') f (g).

I On a: (^) f (E) et (OH')I (^) ; de plus : (OH') l- (H'H.), car H' € (,€),
Donc : (OH') I (0), car (Â) et (H'Ho) sont deux droites sécaates du plan (g).
Ou en déduit que H' est le projété orthogonal de O sur (@).
D'où le iieu de H est le cercle ((€) de diamètre tOH,l dans le plan (9) passant par O et orthogonal à (^).
ill:
I Exercice 23 p. tZ7
tlr 1. Daas le triangie rectangle ADC, on a : DC2 = ADz + AC2.
llr
l[-
i Dans le triàng1e rectangle ABC, on a : BDz = ADz + AB2.
Dans le triangle rectangle ABC, on a : AB2 = ACz + BC2.
I On en déduit que : BD2 = AD2 + .f,Cz + BCz et BDz = DC2 + BCz,
Donc le triangle BCD est rectangle en C et par suite, (BC) et (CD) sont perpendiculaires.
2. On a : (BC) I (CD) et (BC) l_ (AD) ; donc : (BC)l_ (DAC).
I Or: (BC) c (DBC) ; donc : (DAC) _L (DBC).
3. oJ on al EC) r (DAC) ; donc : (rC) r (Æ).
De plus : (AI) l- (Co1 , donc : (AI) r (BCD), car (BCJ et (CD) sont deux droites sécantes du plan (BCD).
bJOna:(AI)I(BCD) et(IDc(BCD);donc:(AI)I(ID.parsuite, letriangleAlJestrectangleenl.
cjOn a : (IA) I (BCD) et (iB) c (BCD) ; donc : (AI) r (fB).

97
ff,f

De plus : (AI I (IB) : donc : (IB)r (AID et (IB)1(lD.


O11Ln.déduit qug le triangle BIJ est rectan-gle-.en |. De_plls_, le triangle B-C_I est rectangle en C ; donc les
poirts B, C, I e[ J appartiennent au cerclo de diarnàtre [IBJ dans le p]au (BCD). T
JF
I Exercice 24 p. 1.2L
1. Letiangle MAB est rectengle en A ;
donc : MBz = lvlAz + AB2 et MIl2 = a2 + 7. I
On a: (^) r(0) ; donc : (NB) r (IüB).
Par suite,le triangle MNB est rectangle en B
donc : MNz = MBz + NB2 = a2 + bz + 7.
;
I
2. Dans Ie triangle ABN, on a:
K = mil [AN] et I = mil [AB] ; donc : (IK) ll (NB). n
De même, dans le triangle AMN, on a: (KD ll(AM).
I
Or : (NB) (0) et (MA) c (9) ; donc : (NB) (MA). I
I
Par suite, (IK) (KD et le triangle IJK est rectanglo en K.
3. Remarques
Si, M = A ou N = B, alors deux au moins des points I, J et K sont confondus.
Supposons donc que : M * A et N * B.
Orot ft triangle rectangle IJK, on a : IJz = KI2 + Ki2 = MA' * NB' - o2 + bz .
'444t
Cette formule est valable si M = A ou N = B.
En effet, si M = A, on a K =J et dans le triangle ABN, on a IJ =à;d'où :IJz = ( *{,"u a=O.
2' 4 4'
DemêmesiN=B,onaIT,=4=4*4,-^ru"b=O.
' 4 4 4'
4. Remarquons que la condition M * A et N * B est réalisée car MN = 2.
on a: rI, - a'zib'z = ry= = f ; d'où ,\ =*.
De plus, Ie plan médiateur (QJ d,r segment [AB] contient les points I, J et K
En effet: (I(I) I (AB) ; donc : (KI) c (CI.
De plus : {KD /l (MA) et (MA) r (AB) ; donc : (KD r (AB). Par suite : (KD c (Q).

L'ensemble des points I est donc Ie cercle du plan (Q) de centre I et de ,"Voo
f.
b

I Exercice 25 p. L22
1. Désignons par G Ie barycentre de (A,o) et (B,b), G' le proieté orthogonal de G sr:r (9).
og=
.SiAÉB,onr,în b
o+b.
Les droites (AA'), (BB') et (CC') étant parallèles, il existe un plan (Ql qui ies contient toutes.
Appliquons Ie théorème de Thalès dans ce plan.
AG AG' --> '-->
On a :
Ë ffi
= ; d'où : A'G' =
Z? b
A'B'.

On ei déduit que G' est Ie barycentre de (A',a) et (B',b).


. Si ies points A et B sont confondus, Ie résultat est évident car
a]ors, A = B = G et A' = B' = G'.
2. L'une des sommes a + b, b + cet o + c est uon nulIe, sinon Ia
sotrrme a+b + cseraitnu]le, Supposons donc que :a+betO.
G, est le barycentre de (A,a) et (B,b) ;
G', est le projeté orthogonal de G, sur (9).
D'après 1., G'r est Ie barycentre (A',a) et (B',b). !

I
Or : G = bar {(Gr, a + b),{C,c)l. I
I
I
D'où, d'après 1., G'= bar {(G'r,a + b),(C',c)} = bar {(A',a), (B',b), (C',c)}. I
,l
c'
A'

98
I
Exercice 26 p,722
Il suffit de démontrer que : (AH) l. (BC) et (CH)l (AB).
1.
oJ Démontrons que : (AH) I (BC).
* On a : (SH) l- (BC), car (SH) 1 (ABC).
Or : (SA) J (SB) et (SA) I (sC) ; donc : (SA) l- (SBC) et (SA) J (SB).
On en déduit que: (BC) I (SAH) ;par suite : (AH) I (BC).
bJ I
De même, on démontre que : (CS) (AB) et (SH) -L (AB).
On en déduit que : (AB) l- (SCH) et (CH) (AB).I
2. ona : cos  = 4E*#tftilEC:.
Dans le triangle rectangle SAB, on a : APz = SA2 + SB2.
De même : ACz = SA2 + SC2 et BCz = SB2 + SC2.
Donc:"o, Â=#*h=^,ffi.
Or : cos Â, o ; donc : llangle est aigu.
On démontre de même que les angles B et C sont aigus.
3. On sait que : (SA) I (SBC). B'J
A
Or: A'e (gC) ; donc : (SA) I (SA').
On en déduit que le triangie ASA' est rectangle en S.
On démonhe de même que les triangles BSB' et CSC'sont
rectangles en S.

4. on a : sû(BHC) = ÂEfE et sc(sBC) = .saïi" ; donc,


*ËH3 = *Ë.
Observons le tiangle ASA'rectangie en S.
I
Les angles ffi et ffi sont égq car leurs côtés sont perpendiculaires
deux à deux ; donc : cos SA'H = ASH.
or : cos m ffi= toi""gle rectangle A'HS)
et cos ffi =
S toirrrgie rectangle AHS).
On en déduit Ur",
ffi =*Ë = # ; par suite : .d(BHC) = #x.dtSBC).
5. On a :.{(AHB) =
I

i
# = .d(4SB) et.*(AHC) = # =.*(ASC).
6. On a : 1/(SABC) = SH x.d(ABa) = SA x.d(BSC).
â" +
l
Or: sû(ABC) =.d(AHC) +.{(BHC) +.d(AHBJ.

.SASCSBI
= rd[SBC) . .d(ASB) - .{[ASC)1
- SH TSBxSC SAxSB SAxSC.,
2 |.- SA - SC - --TE-''
Donc : tr(sABC) = su, . fï#+ §+.utE. Uti§"1 = sA, §rj§E
{- + =
f sa x sB x sc.
on en déduit : sH2 x t%â§g..t+t§â -.t+r§ql = sA.sB.sc.
Par suite
' rh. rh - +r = ,fo
I Exercice 2Z p. LZZ
:..,On a: (AA') _L (BCD) ; donc : (AA')f (CD).
:

De plus : (CD) I (BA').


l

on en déduit que (CD) r (ABA'), car (AA') et (BA') sont deux droites sécantes du plan (ABA').

99

d
rillt
T i
*l
-t
,On,a: (CD) 1[ABA') ;donc : (CD)1(AB). I

2. On utilise le même raisonnement que précédemment.


On a: (BD) J- (CA') et (BD) I (AA') ; donc : (BD) I (ÂCA').
Par suite:: (BD) I (AC).
I

De même: (BC) I (ADAI ; d'où : (BC) I (AD).


3. Démontrons que B' est I'orthocentre de ACD. 'l
Pour cela, démontrons que : (AB') l- (CD) et (CB')J- (AD). -J
On a : (BB') -l- (ACD) ; donc : (BB') J- (CD). rÏ;; --li::r
-l
Or: (AB) a (CD) ; donc : (CD) J (ABB'). D'où: (CD) l- (AB').
De même, on a: (BB') I (AD) et (AD) I (BC) ; donc : (aU1.t. (eBB'). Par suite : (AD) I (CB').
Conclusion; (AB') I (CD) et (CB') I (AD) ; donc B'est I'orthocentre de ACD.
On montre de même que C' et D' sont les orthocentres respectifs de ABD et ABC.
I
4. Démonhons que : A'e (ABB')
On a: (CD) a (ABB') et (AA') I (CD) ; donc : (AA') // (ABB').
On en déduit : (AA') c (ABB') ; par suite : A'e (ABB').
I
Désignons par E Ie point d'intersection de (AB') et (CD).
Les droites (AA') et (BB') sont des hauteurs du triangle ABE.
Soit H I'orthocentre de ce triangle. On a : H e {AA') rr (BB'). -l
Démontrons que : (AA')c (ÂOO'1.
On a: (BC) I (ADD') et (BC)I (AA') ; donc : {AA') ll(ADD'): Par suite : (AA') c (ADD').
Désignons par F le point d'intersection de (AD') et (BC).
I
Les droites (AA') et (DD') sont des hauteurs du triangle ADF ; elles sont donc sécantes.
On démontre de même que les droites (AA'), (BB'), (CC') et (DD') sont deux à deux sécantes.
Démontrons que H e (DD'). Les droites (AA') et (BB') sout sécantes en H daas le plan (ABE).
!
Or la droite (DD') n'est pas incluse dans ie plar (ABE) ; sinon B'appartiendrait à (AD), ce qui est absurde Il
cal B' appartient à la hauteur du triângle ACD issue de A. tJ
(DD')n'estpas incluse dans Ie plan (ABE) contenant (AA) et (BB').
Or, (DD') est sécante à (AA') et à (BB').
Donc, (DD') coupe (AA'; et (BB') en un seul point qui est H. I
On démontre de Ia même façon que : H e (CC').
Conclusion t
Les droites (AA'), (BB'), (CC') et (DD') sout concourantes en H.

I Exercice 28 p. A22
T
Figurc dans le plan (OAB) Figure dans le plan (9)

i]
-,J

T
1. Démontrons que : (BB') // (I}l/]. rT
(lM).r (^M).
Dans le plan (P), orr,'f donc: (IM) // (BB').
"'1(trB') r (^M) ;
Démontrons que : (OA')I (^M).
:
100
Désignons par (96) le plan passant par A et orthogonal à (^u)'
On a : 0 e (9^). En effet, (OA)-L (Ây), car (OA) 1(9).
Or: (^ü) I (eA) ; donc : (OA) ll (g^)'
Onendédui't:(OA) c (ge), carAe (9^);parsuite: O e (9a)'
,"J

l
Donc : (OA') c (9a) et (OA) r (^M).
Démontrons que: (OA') /l(M).
Dans Ie plan (9), on a : (OA') I (Ây) et (IM) f (Âr,a) ; donc : (CA') // (IM).
Ce résultat fournit un procédé de construction du point A', projeté orthogonal de A sur (Âr) (voir figure).
T
J Démontrons que : ÿf = mil [A'B'].
On applique le théorème de Thalès dans le plan (9) (voir figure).
2. Démontrons que : MA = MB.

NN
',J Les "triangles OAM et OBM sont isomé'riques' En effet, ils sont
\
tous les deux rectangles en O et C = OB ; donc : MA = MB.
Démontrons que : AA' - BB'.
T
Les triangles AA'M et BB'M sont rectangles, respectivement en A'
et en B'.

I De plus : AM = MB et A'M = B'M ; donc :AA'= BB'.

0 Exercice 29 p,722
Notons (@r) le plan défini par O et (9r), et (92) celui défini par O et (92).
: o" q'il8M;li 8;l :lMt: lfr]
1. Supposons, que :M, = ÿr.
: On a : (OM)I (9r) et (OM) J- (Oz) ; donc : {9r) ll (!tr).
Or : A e (0r) n(ÿ) ; donc : (t) = (t).
Les droites (9r) et (9r) étant sécantes, on en déduit que :

2. Ona : (OM1) a (91) ; donc : (OMr) I (OA).


: De même : (OMr) -L (OA),
(OMr) et (OMz) étant deux droites sécantes du pian (OM1M2), on en déduit que : (OA) l- (OM,M2).

1 3. Ona: (OH)I(M1M2) et (OA)I(M1Mz);donc:(M1M2)I(OAH). Parsuite: (Jr41M2)I (AI{).


",J (MrMz) et (AH) étant deux droites du plan (9), on en déduit qu'elles sont perpendiculaires.
4. On a : (OA)I (OMrMr) ;
or (OA) est une droite du plan (OM1M2J ; donc : (OA) I (OA'),
:
Donc, le triangle OAA' est rectangle en O.
Dans ie triangle rectaagle OAÀ', on a : OH2 = AH x A'H.
l 5. Démonbons que : (BH)
On a : (OH)1(9r) et (OMl)
l-
(AC) et (CH)-L (AB).
I
(9r) ; donc : (9r)1 (OHMI) et (9r)r (MlH).
Or: (9r) = (AC) et (MrH) = (BH) ; donc : (BH)I (AC). :

: De même : (92) J- (MzH).


Or: (92) = (AB) et (MrH) = (CH) ; donc : (CH)I (AB).

l Dans le triangie ABC, (BH) est la hauteur issue de B et (CH) est Ia hauteur issue de C.
Donc, H est I'orthocentre de ABC.
La 3e hauteur du triangle ABC est la droite (AH) qui est donc perpendiculaire à (BCl.

l Or: (AH)-L (M1M2).


Donc (BC) I I {lll41.Mrù, car les .droites (BC), (AH) et (M1M2) sont toutes incluses dans le plan (9) .

6. Rt prenons la figure du plan (9).


I
D'après 4., on a : A'H - = constante.
",.,1
ffi
I
,AHQHt.
Donc, A' appartient au cercle ((6) de (9) de centre H et de rayol

.i
101
I
--J

rD'aube r-
prrt, Iq triangle OAA'étant rectangle en O et H le pied de Ia
hauteur issue de O, on a H e [AA']. D'où: A'.e (AH) - (AHI.
La droite (AH) coupe (%) en deux points situés de part et d'autre du
point H et A' e (AH) ; donc A' est fixe : c'est Ie point d'ittersection de t-
((€) et de la demi-droite d'origine H qui est d.irigée par ÀÊ.
Les points M, et M, sont donc sur Ia droite tangente à (l?) en A'.

0 Exercice 3O p. tZZ
1. Les droites (Ôa) (OB) sont coplanaires puisqu,elles sont sécantes en O.
Démontrons que "t
les points
Q et R sont élémsnts du plan (AOB),
r I
On a: (OQl.l-(POC) ; donc : (OQ) (Op). Or: (Op) (AOB) ;par suite : (Oe l/ (AOB).
Le point o étant un point commun à la droite (oe) et au plan (AoB), on a : (oe) c (AoB).
On démontre de même que : (OR) c (AOB).
Les droites (OA), (OB), (OQJ et (OR) sont inciuses dans le plan (AOB) ; elies sont donc coplanaires.
r-
?: lql
plans (AOB) et {POC) ont point comrnun O et ils sont différents car p e (AOB) ; donc (AOB) et
-un
(POC) sont sécants suivant une droiie qui passe par O.
Ona:(OR)I(POO;donc:(OR)J-(OO.Or:(Oe)I(pOC);donc:(OR)//(pOC).parsuite;(OR)c(pOC). rr
On a : (OR) c (POC) et (OR) c (AOB) ; donc (AOB) n (pOC) = (OR). L
î

ll

tl

l"l
ll

Ir:
n
t-

n
U
in-

109
7 Vecteurs de l'espace
l {poges 123 à 't44 du livre de l'élève)

I
. Étendre du plan à I'espace I'outil vectoriel : notion de vecteur, opérations sur les vecteurs, produit
scalaire, barycentre, bases, repères.
î . Utiliser l'ouül vectoriel de I'espace pour :
i
- caractériser Ies droites et les plans de I'espace ;
- effectuer des calculs vectoriels et des représentations dans l'espace à I'aide de bases ou repères de l'espace.

. Il conviendra de traiter rapidement la première et Ia deuxième partie de ce chapitre qui ne sont qu'urte
rFïi
l extension à I'espace de notions déjà étudiées dans le plan.
. On évitera les calculs vectoriels faisant intervenir des changements de base.
. Pour les représentations dans un repère de I'espace, on se limitera à des repères orthonormés.
. Certains exercices de fin de chapitre traitent de sphère circonscrite ou de sphère inscrite à un polyèdre'
I1 conviendra, avant de les p.opos"r, de signaler les propriétés élémentaires utiles à leur résolution :
- un tétraèdre admet une et une seule sphère inscrite ;
- un tétraèdre admet une et une seule sphère circonscrite ;
- si un polyèdre admet une sphère circonscrite, elle est unique ;
- si un polyèdre admet une sphère inscrite, eile est unique ;
i

Extension à I'espace de la notion de vecte'rrs r Reconnaître deux vecteurs colinÂaires, deux vec-
o Vecteurs de l'espace, norme, venteurs coLnéaires, teurs orthogonaux de I'espace.
vecteuts orthogonaux. . Utiliser les propriétés des vecteurs de I'espace
. Opérations sur les vecteurs de I'espace : défini' pour effectuer des calculs vectoriels.
tions et propriétés. o Démontrer que 3 vecteurs sont coplanaires.
. Barycentre de 4 points non coplanaires. . Démontrer que 4 points qont coplanaires.
. Caractérisations vectorielles d'une droite de l'espace,
représentations paramétriques,
L
. Caractérisations vectorielles d'un plan de l'espace,
représentations paramétriques.
r Vecteurs coplanaires.
Bases et repères
. Bases de I'espace, bases orthonormées. . Effectuer des calculs vectoriels dans une base don-
. Coordonnées d'un vecteur dans une base donnée. née de I'espace.
. Coordonnées de la somme de deux vecteurs, du r Représenter des points, des droites dans un repère
produit d'un vecteur par un nombre réel. donné de l'espace. .

. Coordonaées d'un point dans un repère de I'espace. . Déterminer graphiqüement les coordonnées d'un
.Coordonnées du milieu d'un segment, du bary- point donné de I'espace, connaissant son projeté sur
cenhe de 2,3 ou 4 points. I'un des plans du repère (orthonormé).
Froduit scalaire
. Produit scalaire de deux vecteurs de I'espace : défi- . Calculer le produit scalaire de deux vecteurs :

nition et propriétés. - à I'aide de la déflnition ;


. Expression du produit scalaire, de la norme d'un - à I'aide de l'expression analytique.
vecteur da.tg 11o" base orthonormée. . Calculer la distance de deux points.
. Repères de l'espace, repères orthonormés.
i

. Expression de la distance dans un repère orthonor-


i
mé.

103
*1.i,§:i;i:, *,.,* . ;o..;s,.æ *"*.*;^.. -.i, l't',,.-.. *!:r,,,ir' r*.:-. -

4,r
lt]lill.r
It{

E Exercices du cours
IExercice 1.a p. 130
1. . Voirrfigure ci-contre.
2. . D est tre milieu de [EF]. En effet,
on a :ED =EA +AB +BD et FD = FA + AC +CD ;
donc :ED +FD =EA + (AB +CD) + (BD +AC) +FA
. ---) --+ --+ --à +
=EA+AX+AF+FA= 0.
. ]:
EF =EA +AF = (Bj +§) + (AC *Bj) _-+
= (BA +AC) + (BD +DC) = 2BC.
O Exercice l.b p. 130
^--
r..Bê=ÿ+ü ; &=û-î, &=*td*il*Bt; î-û-f
FÈ= ;ôÈ =û-î-i
2.I,J etK sont les miiieux respecüfs âe tEGl, tDGl et tBGl.

I Exercice 1.c p. 130


on a :À3=+ Æ *Âè *6), sï=+ Eê si *Bât ; c? = +J Cô +cÀ +c-Ê) ; o_È =+ @À +o-È +pt) ; *-
- -
Donc: AI+BJ+CK+DL= -O.
O Exercice 1.d p. 130
Les vecteurs ne sont pas coplanaires : a),b), c) et d). Les vecteurs sont coplanaires : eJ.

r) Exercice 1.e p. 130


oJ Soit (c,8, y) e'R3, tel que, od*7) * Fd* ?l * Vt? + 1 = î1
fc+Y=0
On a: J 0;donc: cr= =T= 0. Parsuite,lesvecteurs sontnoncoplanaires.
"* P =
(B+y=6 Ê

à.)On démonbe de la même façon que les 3 vecteurs sont non coplanaires, dans chaque cas.

r) Exercice f.f p. ffO


r... Ona:Ie (-gr)p*définitionde (9r)etÏi= -!ti-il; donc:Le (9r). li
. On a :l e (9ùr)par définition de (9r) et ji = - *ô ; do.,c : A e (92).
--t
ltï
' ona:Le (9s) pardéfinitionde (9r) et Li=fi*i=;(7+?- d) ;do.r":Ie (os).
2.a)
. Un couple de vecteurs directeurs de (A J K) est (Âi, iR), avec : .il
_--+ 4 r
N=;fu+ù et JK=;(-i+ü). r
j
.Un couple de vecteur directeurs de (B K L) est (G, Ift), avec :
--)
LB =-Ti*u-etL? =+;. a,

. Un couple d.e vecteurs directeurs de (CIK) est ffi, Id;, ur"" ,

R=+(-i+7*üt et Iô =-+7*i I

' un coupl: d.e vecteurs directeurs de (DIL) est (8, fr;, u,"" ,rt = T t7+ 7-ô et É = ! tï *à.
,
I

=+ (tr-) // (Kl); donc I,I, K et L appartiennent au plan (ILK) de repère U, d, iRt.


{Pr} '1,'iB,
I Exercice 1.g p. 130 I

G=bar {(4,-1), (C, 1), (I,4)}, carl=bar {(8,2), (D,2)} ;donc: Ge (ACI)

104
I Exercice Z.a p. 13S
1. on, ,7- zï*ift) ; zï +;-a[-:)
".
;-7*"(_.:)
2. On a :ur j i + zï-+ ; donc : ü Tetdsont copla naires.
j).-)

Â
I 0 Exercice 2.b p. 135
(_ Za + 2$ = g
LI
1. Soit (o, Ê, T) e R3, tel qr", o,7* Ê?+yü = o. O, G+ y= 0
",.1[- p - 2y = o
l'i'
,ll Donc, (î,ï,ù)est une base de "14/.
,tT
2. on È
", ! ü
* zî-dl, È rî * zî-ù ; Ê= i* î-il.
lFl.
0 Exercice 2.c p. 1S5
'.t 1. on
il
",*(;) "t "-U(1i) ,aoo":At =-âÀÈ etA, B, c sont arignés.
z. Lepoint D a pour coordonné". (- ;
f +, *)
t) Exercice 2.d p. 1S5

1.on",ÀÈ(:i)
rl
"-0".*C:)
'i 2. On a: AD = 5AB + 2Ae ; donc : D, A, B et C sont coplanaires.
O Exercice 2.e p. 135
,]
,1 1. Voir figure ci-contre.

2. on",*(il , ,=(1i)
".
o(_?,)
j

tl
3. on
",rllil t- c let "b,J,)* "(-!,')
l
4. on
"'"L'ii;)
l

l
0 Exercice 3.a p. 140
r.ffi îc=+; aÊ. =+; a-È .Bê & =-
+ --> *,fr.ôô = o,
2.AB .CD = 0 =+ (AB) _L (CD).
On montre de même que : (AD) I (BC) et (DB) ]. (AC).
I Exercice 3.b p. 1 0
li
§À.§Ë ={, fi,fi=o;sÀ.A-È= -5,il.8Ê =-+;§À.sÈ=0.
flli I
rir Exercice 3.c p. 140
1. -, -à ^z
AD.BC=0;Ae.Cb=L.
:ftL
rl 2. cos (IA, ID) = O.
iti
tl Exercice 3.d p. 1a0
1. (AS) -L (AB) (as) r (AD) + (AS) r (ABD) S
:l "i ;

de plus : C e (ABD) ; donc,A. .BÈ 0 et aÈ.gÈ o.


=
^
=
2. ASC est rectangle en A :+ cos
Sffil - Âs - ? - \/i
"l= sc = ÿ3o' =-3 '
A
l:all
^
Donc :SÂ. s-ô = SA x SC cos fsÀ,*l
= a x ar/3 yfr_ = or.
lt
li
rl
lrl
I
l,
:.]i et : AC . SC = AC.6e
-.9-+++ -ÀS) = ACz _ At. 63 = Zaz.
i

105

,, ffi.; -rrqr'*r1i1.üî: ï'rn ' i- .'-.i-,ÿ.


TJ
dt"c

l.-à-slJ
3. SDz = (SB + BD)z = SB2 + BDz + 2SC.BD + SC.BD =- a2.
s s
SB,.AC = (Se +CÉl.ee =SC.Ae - CB.AC = 2a2-a2 =a2. ï'l
s
SB .BC =SB. (-AB +AC) =-SB .AB +SB.AC =-az + az =o. -!'
J
3. Soit ü un vecteur de coordonnées (x, g, z).
î
i

Ef 'Exercic:es d'opprentissoge î I

Ca,lcuLs'vEcroRtEts
l Exercice 1 p. 141 î
1. On a: ü= AB - zAC.
§ ê -J
2. CD =AB -2AC e AD-AC =AB - zAC ++ AD = CB i donc, ACBD estunparalléIogrâmrne.
rr
I Exercice 2 p,741
*-à ---) ---) --> +
I i

-> +NB =NC.


On a : AM =AD + DM =BC
T"1

I Exercice:B'n'--- i

. -.-* --+ ---'


On a : IT =fAC et 16 = ]EG. Or : AC = EG ; donc : ->
-.-.)
'2 2- II=LX et IJKL estunparallélogrâmme.
,t ti

0 Exercice 4p. t47 U


1. On", f,=âfr * f,?=-|At;donc'î=fi etIlKL estunparallélograrnme.
i-- ïl
2. On a :NM = +BC = 2 Il ; donc : I
3 ' JMN estun trapèze.
--5 ---- ,!
I Exercice 5 p. 141 tn
- a: AB-+ --> ---+ _:à ---+ + -) =AD --à l:
1. On +CD =AB + (CA +AD) =AD + (CA +AB) -> +CÉ. tl
.-
- +CD
2. cJ CS =AB - <+ BS =) --> + --> --) + --> -->
-BC =AD +CB <+ BS = AD +CÉ +BC =AD ;
!1'1
donc, [AS] et [BD] ont le même milieu. I

--) -+ --)
-> +'AS = 2IA + -+ u
bJ On a :AB +CD =CS- =CA + ZAi = ZII.

0 Exercice 6 p. 141
--t
Ona: AG=4AB -ZAC+ZAD
---) till
t Exercice 7 p,1.41 I

ll!
Ona:u=2MG+GA)-3MG+ GB) + MG +GC) + aMG +GD) = 4MG + tzGA- 3GB +GC + aGD) = ayQ
f-
Reprnes DE DRotrEs ET DE PIAN S l-
O Exercice B p. 141 )
--)
Meo(4,7) <+f LeR/Âü=7,;. Me o'[rr,7) <+3peR /DM
--.>
=Itu."
r
l]t
ll-r
Ona:pu=AM-AD=?,,ü-AD <+ p(DB+ DC) =À(AB+AC)- AD
o i. dÈ*Àô- 2 d) - À dB' *Àôt *Àô = î'<=+ 0r- I) Ai + (p - À) Àô+ (1 - zrr) -à
aB =Q. n
Onendéduit,fp-l=O + ^ 1- -+ { + n (^'
'--) u
p= x= :AM = ü=Ë +AC)'
tr - ârr ="0 t'Donc à
Par suite, les deux droites sont sécantes au point I tel que ,fr = n
+ n3 Àèt.
* il,
L
I ExerciceI p. 141
--> --+ + --> -à
1. AB'=OC ;AC' =OB ; AO'=OB
---> -+
+OC. rL
2. Donc :: AO'=AB'+AC'et
AO' O'e (A B'C').
On a :AB'=OC etAC'=OB ; donc : (AB'C') // (OBC).
:.-
10ô
---:
3.BC'=BO +OC'=BO +OA +OB =AO ;

AC'=AO +OC'=AO +OA +OB =OB;
.+
BÂ'=BÔ +OÂ'=BÔ +OB +OC =OC.
Donc, oAB'iÉC'o'A'est un pavé.

I
L
t) Exercice 10 p. 141
On muni l'espace du repère (O, A, B, C).
-+
-à --à /- 1\
s"ii.
I

i
1. On a:AB =OB -
- OA;donc'"t\ â /
a _à - + -_à/- 1/3\
II=oI-OI=Ëot-âoo;donc' Il\ r,;
,1
.t
'I )
On a :
-I
.94' ; donc : (AB) et (U) sont sécantes en un point E.
=
Coiordonnées du point E
Soit (x, g, z)les coordonnées de E.

On a: AE =À
+ [.r=1-r
ÀÈ=Jr=^ f=T-fu
;Ê=pf,= lo=1u
tz=o (z=o
i

Des deux systèmes, on dédüt:(À, p) = 1§-. 81. Donc:E aoour coordonné"t (-*;f ;o).

,; " ,":: , ;i,:; * r


^;( ?i;;[ il',
(AC, sécan,". **
j

On détermine comme précédemment les coordonnées du point d'intersection F : (ffi- ;o;


ffi).
a.#apourcoordonnées (ffi'*3, #1,
gè upourcoordonnées (0;- 1;1).
Donc : (EF) et (BC) sécantes (+ /c e R - ff ;ff .

Le point d'intersection G de (EF) et (BC) a pour coordonnées to ;


' {ffi ;
ff=rl.
I Exercice 17 p.747
ona:î=si-Sï=1(sÈ*Sèl-â,SÀ*§È;=+ft=frî*ü. n

--+ôA_+-r_+aê+
Demême :IK =43 i ;TL=+3'(- ü+ uJ ;IM = 43 n;IN ={3 u.
--à --> + --+

Ona: IJ+IL+M+IN=2IK;
donc : les points I, J, K, L M et N sont coplanaires.

,) Exercice L2p,741
On utilise le théorème des brycentres partiels.
1.Ona:G=bar{(I,2),0,2)}=+Ge (fI;G=bar{(K,2),(L,2)}=+Ge GA-);G=bar{M,2),N 2)}=+Ge (MN).
i

I
Donc,les droites (II), (KL) et (MNl sont concourantes en G.
2.Ona:G=bar{(4, 1), (4,,3)} +Ge (AA');G=bar{(8, 1), (B',3)} =+ Ge (BB');
G=bar{(C, 1), (C',3)} + G e (CC'); G=bar {(D, 1), (D',3)} +Ge (DD').
Donc, les droites (AA'), (BB'), (CC') et (DD') sont concourantes.

,t
I Exercice 13 p. 141
l

1. On a :BD = FH et BE = CH ; donc : (BDE) // (CFH).


_ a*>r
+ _) + -_-) a â -à++-
,;1,
2. On pose : ri =AB,
= AB, u'=AD = AE. (4, i, u',w)
u'= AD et ro =AE. esl un repère de i8.
u', w) est
_J§ ---à
:l
a/ On a : AG =AB +DH +HG =AD +AE +AB = u + I
3
AD aÎ1 =âr?-'î*à1.
Donc : Alè, = même , Âè, =
*^è.De â^t.
107
{,iI
tl

.l--

'1":
'j -)
4 --->
+ Gr e (AG) n (BDE)
b)Gre {BDE) etAG, =
ËAG
;
i

de plup : A e (BDE). Donc : {Gr} = (AG) n (BDE).


+ ,-
G, e (CFH) etAG, = *ÀG + G, e (CFH) n (AG). i
3 i

De plus i A e (CFH). Donc : {Gr) = (AG) n (CFH).

I Exercice 14p.747 B
t,

L. a) (9) = (ADB).
_->
bJAE est un vecteur directeur (AE) et (AE) f (9).
ïi
z.g (a,nî,gÈ) = (ABH).
--->
olDE est un vecteur directeur de (DE) et (DB) I (ABH).
j,
b)g(A,ait,nô) =(AHF). 1

BE est un vecteur directeur de (BE) et (BE) J (AHF).

0 Exercice t5 p,742
tt
ll
---à ---) ---à --> + ---)
On a : IJ = (1 - Ic)AB ; IK = /cCD ; IL = (1 -lc)AB + IcCD.
La droite (BD) est l'intersection des plans (ABD) et (BCD). I

Le plan (ABD) coupe le plan (g) suivant la droite


^(K,m).
Le plan (BCD) coupe Ie plan (9) suivant Ia droite A'0,eô).
ir
i,
0 Exercice 16 p.742
(uLu+
Dna:1:-:;donc:ladroite(9)derepère(4,ôestorthogonaleà(g').Or:(9)c(9);douc:(9)-L(9').
IuIro
,,.: '

Basss ET BEPÈBEg r'


tl
I

ô.Exercice t7 p, 142
On a : I (- + ;ê ; - 1),
v.Er^\ -rr'r\rr-tv, : Â : 2).
J (1 ; 1 ; 0) etK (f- ,2r-t. !a
2r2, t'
O Exercice aL'p.742
1; On utilise le théorème des barycenhes partiels. ' t' 1T
I

o = bar {(I,4), (I,4)} + O e (ID ; x

O =bar {(K,4), (L,4)} + O e (KL) ;



O = bar {(M,4), (N, +)} :+ O e (MN). I

i
Donc les droites [ü), (KL) et (MN) sont concourantes en O.
2. ABCD étant un parallélogrâmme, I est Ie milieu de [AC] ; F
EFGH étant un parallélogramme, J est le milieu de [EG], lr
D'après le théorème des barycentres partiols on a :
L
o = bar {!I, +1, 0,4)} = bar {(4, 2), (C,4), (8, 2), (G, 2)} = isob (ACGE). De même : o = isob (BDHF). itT
i

B. aJ Dans Ie repère (4, ÀÈ,;ô, ÀÈ), le point o a pour coordonné"r (+ ,l r


l).
!

bJ Dans le repère (4,À:È,ÀÈ,Àè), le point o a pour coordonnées (o ; o râ).


fi-
I

li
I Exercice 19 p,742

Gr^ a :, (i) ".r(i) s"* ; (;) rïE!

I]
I
tÀl
{__-),-â
w)_u
ll4--à
( "r.uJu
= {;***o'=*o' * {0, =:
Le vecteur , (+) convient. iri
lill,
ti!l

108
2, a) Tout vecteur de coordonnées (1., 2L, )'") (1. * o) convient.
bJ Tout vecteur de coordonnées (1,, 0, I) (À * 0) crinvient.
I Exercice 2O p,742
a) G apour coordonnées (T,T,â) U; G a p..,ur coordonnéer (*,â, T) ,l G a pour coordonnéet (0,â,*).
Pnooutr scALAtRE
Ç Exercice 27 p, 742 /1\ /- 1\ /- 1\
1. aJ Dans i" *ne," (Aj-,:i,ÀÈ1, o., Uè(i) ffi(
"' lJ '
UÈ ( i)
Donc :AG.BE = 0 et AG.BD = 0.
b./(AG)I (BE) et (AG) I (BD) =+ (AG) l- (BED).
/o\ -, /-
1\ -..-) ---+ +
2. - (_rrl
ona: FC et FH Donc:AG.FC=0 et AG.FH=
|. â /
0.

(AG) l- (FC) et (AG) r (FH) =+ (AG) I (rCH).

.
I Exercice 22 p. 742
1. ona: fl 711=llill= ilüil = o Êtï.î=?. ;= i.î= +.
'---t r j J ââ êr

2. On a : AB . CD =AB. (AD -AC) =i.(ü -u') =u.ü -u,.u'= o; donc : (AB) I (CD).
î=+2'1-î, +7i* î.à1 = I ? o, * 4 * 4) =0 ; donc : (AB) a (U).
2' 2 2
,] De même, ôts.Ê o ; dànc : (CD) r (II).
3.U=
*".
'i I Exercice 23 p" 742
1. Soit a l'arête du tétraèdre. On a :

][' AD=a et AI=DI=---T'


a\Æ '
l"*
AD2 - D2 +11\2 - 2È.ü = IDz + IA2 - 2D xtA *cos ffi.
Donc:"orG=a.
l, 3
Demême: ID2 = ADz + AI2 -zAD xAIx cosIAD;donc:cos 7
IAD =
\/i'
l': 2. Mes (") G
= zr et Mes (') ffi = 55.
Lt
,) Exercice 24p.742
1. il ail = il ill = il; ll = r ;ï. il = 0 ;ï .û =i .ï= +.2
t
r1
-.)
2.SA=-ro
+ ---> â ---+ 4
SB = u-ti ; SC- u+ ü-D ; SD = ü-tD.
+ -+ + --à -+
-++';
f -.']
Donc : SA . SC = 0 et (SA) -L (SC)
SB .SD = 0 et (SB) l- (SD).
;

-
Ie (ABC) + AI
---
"t 3. - =rAB
- +gAD = x ü+ A v
+ + rSA2+Al.§À=o ( 1-+x-ly =o
L,l
ona : (sDr(sAB) *{:l'*
Isi.Ai] = Io
= *-l (+<
l**a=o
[rÀ.ÀÈ *Âï.ÀÈ =o t2
il On en déduit i x = et u = Â. Donc, .Ài= -+7* §.i
-a2--r 2
2 2

0 Exercice 25 p.142
L'ensemblecherchéestlepianperpendiculaireà(AB) aupointHtelque, AH= - +=-+.
AB2
rl
I

..l

109
I"l
Ii
U
i'4
'r -. r .l:'
*,I

' il
o Exertice 26 p' I,42
Dans E -> +
* * îfr; ra,aB,AD,AÉ), /1\ /0\ /1\ ,âT
"ï;ItBl,r(â1,.(i/ , I

l.-

I= mil tÈCI tlttzl; I mil IDGI ,\rlr)


=+ = =+
*/t

vt_ 4T
I

Douc :
"orû= m *
$ etMes (o) fr = ea. d

Le triangle AIJ est isocèle en A ; donc : Mes (.) AI/ = 14æ (.) AII = 73.
0 Exercice 27 p,742
Soit O le centre de gravité du tétraèdre ABCD.
O est Ie milieu des segments [IL] et [IK] ; donc IILK est un paralléIograrnme.
De plus : IK = a * = CD = II ; d.onc, IpK est un losange. par suite, ïf . R= 0.
â
0 Exercice 2S p. !42
:2 :-à ---à --> ----) -+ =+ -+
l
---> ^ ---> :-' ::à î-à -+ --) + --à
1.OACIB = (OO'+O'A).(OO'+O'B) =OO'2 +O'A.Ots +OO'.Oâ +OÔ'.OrB et ÔÔ,O-A=O-ÔO-B = 0.
-++
z. mesG s go. + -+ --->
O'ACI'B > O oA.oB > 0 ^
mesAOB < 90o. I

-->..-.> --+ + ,^
^nes AOB 2 90o =+ oA.oB < 0 o'A.o'B s 0 + mesAO'B > 90o.

0 Exercice 29 p.742
:È +AC.DB -:È -:-
- .CD
I

3"AB +-tD.3C =AB. (AD-AC) +AC. (AB -AD) +aD. (Ae -aÉ) = o.
" fiAB)r(cD)
''l_(ac)r(BD) - {9.3=l
l.Âô.BT=o
;aor,.,ô.ÈÈ=o + (AD)l(BC).
,*-"' l
I

ô ;ïxercice 3A p,742
-+
1." olAB2 _BC2 +CD2 _DA2 _ (ae l

....>
= AC.
bl (AC) -L (DB) o Àè .D-È = 0 e
ABz + CDz = fipz + BCz. l

' i[â3]i[38]
* {â3;iBBl=33;îBâ; ;donc:ACz+BD2=AB2+cD2 + ô.Ët=0.
$ Exercice 31 p. 143
I
f (aï+FÊyÊlr i ((cri+ 9l*yÈl ç+î*f",7 "l
i..l - J
It"î* B;-+yÊ;r rR
.J
Ir"i* ÊÊyÊ).(- !î.!Èt
{-*"**Ê=o'
(g=zy
J
i,

I'
J-fg+Zy=o =.,| \''v'
.Letriplet(+;o;3)convient.
" 3', 3 ', to=!l
\- 3 '
2" Soit {9J Ia perpendiculaire au plan (I K I passant par A.
I

"(ü)
e (e) <+ ^d{ =,ci <=+
{i:#^r(il
e (cDG) ecîr = od+yc? * Iî: I -". T
lr=9 J
De.s deux systèmes, on tire' y= et fvf(f | 1 ;
â +).
0 Exercice 32 p. L43 irJ
I

1.u,,)Cna:G=bar{(Â, 1);(A',3)} *ÀÈ=*Àà,.Demême,ËÈ=*BÈ,,ôè=*"t,;o-è=*rÈ,.


T
O,r: : AA' =BB' = CC' = DD' =f. Oorr" : GA= GB = GC = GD =-3;6. *l'
La sph§1s (L), de centre G et de-rayoo par les points alg, n.
#,passe C
", ,l
110
r't
b)ulz +MBz +MC2 + MDz - GAz + GB2+ Gli. GDz + +GM2 =+t{+
o4
GMz).
M1*MB2+MC2+N{Dz=rc € MG2 =*-#
Me tEl ë' 76b:27 (+ t=ff. =#
z. dîc=*Àà' = Àtc =*Àâ' -Àà, =-+Àà, = GA' =f aa, =*
onmontre de même que : GB, =.lBB, =f ; GC, =
f ccl =f ; GD, =
*or, = *
La sphère (I'), de centre G et de rayon n"rr" par les points A,, 8,, C, et D,.
S
bl (I') n (BCD) = {A'}, (I') n (ACD) = {8,}, (I,) n (ABD)
= {C,}, (I,) n (ABC) = {D,}.
c)}dfuz +MB2+MC2+MD2 =ft, ç MGz= 1.6k'-27
64
Me (E') <+ MGz=* o *'=*.

EI Exercices d'opprofondissement
t) Exercice 38 p. 143 ,-+ _
a) (s)= (e,) J;i;;"","*,, {i"l*"",:û:.n"]":'
Iu, u. Ap sont colinéaires.
b) (g)et (9') sont sécantes si et seulement rt
{i( u etü;È
u ne
sont coplanaires
sont pas colinéaires.
c) (g) et (9'J sont strictement parallèles si et seulement u et u sont colinéaires
si {(AB
et u sont non coiinéaires.
d) (g) et (9') sont non coplanaires si et seulement pas coiinéaires
si {ii;:tont
(u, u etAB sont non coplanaires.
2. a) (9) et (9') sont sécantes.
b) (g) et (9').sont non coplanaires.
--2 + +
c/AC +2AD et zAB +Aene sont pas colinéaires;
è
: de plus :D-È = efr+ÀË) - + 6È + zÂô). Donc : (o) et (9,) sont sécantes.
!
-t I Exercice 34 p. 148
(%) est muni du repère (A, ÂÈ, ÀÈ, ÀÈt.
-,.J

1 a/on:*(il,*(j) ,=(
T)
: TAG.BD-0 .r^^\
3,l1
, t;È :ËÈ' = ; = {[â3] i [BBi =+ (AG) r (BDE)
_t cJ On ,*(-'). BD = gB = DE = rÆ; donc : ie triangle BDE est équiiatérat.
"
Soit (x, g, z)les coordonnées de Ç).
:1 ( x=k
ae (AG) *'l I ;Ir (BDE) o sù=oËÈ+ÊBÊ;donc ,[;=l=-"-8.
--:,t
lz=rc "e l,r=g
:l Desdeuxsystèmes,ondéduit:k=L:donC,Qapourcoord.onnée.i+,+,+,
on a:Àà'=+dÈ *iô *ÀÈ),a",,'"r, uoo*;;r", t*,*,f1.
or o' en déduit:,Ç) = c),.
_l dj on a bien , .À.à =
+Àè.
I
,...t

''
111
1

_
-F. r:qql
irr

z. a) onr, ôi (rr,) t d A?i, r) l

. /-1lr\
bi on,'ÿ(
i; )
I
On a : OI = OI =y = ft; donc : OIJ est un triangie éqülatéral.
i
o
1at.oî=
l+ :- J(AG)t(OD + (AG)r(OD.
(AG.OI = o t (ac) r- (oD ,11'l

t
crona ,R(-,i3,*(J,,,) ,m, ('iù,* (l{;,) ,o({aJ rî
l

rf=ffi.=+BË
+ (IIN) // (MLK) // (BDE)
(Èr'r-L=*sÏ
=+ (IIK)/ (MNL) // (BDE}
tm=A =iæ ' t if =Nîu ="tri il
(MNL)
(IIN) // _ rrfi\T\ _ rr,n\Tr l
=+ (IIN) = (MNL)'
ç
{N t'trnrlT-tiunsU
On montre ainsi que : (IIN) = (MNL) = (IK): (MLK) ; donc, Ies points I, J, K, L, M, N sont coplanaires. I
De plus : IJ = JK = KL = LM = MN = *, =
* ; donc II K L M N est un hexagone régulier. r
L
I Exercice 35 p. 143

,$* r(i) dans ra uu," (ïilÊ) .î = kî * '1î


,/,|=li ;' |
=
l: 3,' |
= o.
I
soit?('ii'u) ",
7(ii, i
iet?colinéaires *l;i.r!rTl =l:i.T_il =lli ,_il =0 c+ y=-1 et cx, = -f 0.

Donc : (o, Ê, T). {(-* x ; x ;-t) I xe R*}. I


0 Exercice 36 p. 143
1. a./ on
",
pà = FÀ * a.*c * ôô= - l"fg * Â-c * rôô I
ü

blona:o=miltPQl * Jô =+tÉ*iÔ.
I
r F= iî *Æ = - +Àô +
Or: I --* '----
--.+ .-.-,
. ?* ---+ . Donc : JÔ = ÀfM.
ÀÀÊ I
I IQ =IC +CQ =
f AC + 2,CD
Lorsque À décrit R, O décrit la droite (JM).
cJSiO e tIMl, alors Àe [o ; r].
il
I --->
l4B=Àô§ rpe [AB].
Ona:1CQ=I.CD:+ I et O=millPQl. ü
Ii.È to'tt [Qe tcD]
Les points P et Q ainsi choisis conviennent.

119
"t
tl 0 Exercice 37 p.143
1. Voir figure ci-contle.

I 2.ontrouve.: oft=f Î oîr =?È;EÊ=*i * ffi=âi

O Exercice 38 p. 144
ÂÈ=îA-è=i É=Ê; fi=f 1; d=f;-' À? =+È.
' -'+ + .lir - - 1 î* ZT
,,-lo rlo
1. ( E; R) est un couple vecteurs directeurs
de ',o^irr". de (IJK)' IJ =
3 3- et iÊ= - +1. îÈ
2. On trouve : AE = 2 j'- le.
- :
--L?*z Ê. Donc . ÏÊ= +ÏÈ et F e (rlK).
3. On trouve : IF =
B

4. on trouve
'Eè -11*
*î "t EÊ = -i*ii dorr. 'BÈ = *gÈ
= 3-'3J---- 3
et G e (BC).
n Démême,Ëê=-+f- +i.È et EÊ =-î- zt+3Ê.Dor,"'Ëè=â# * Ge (EF)'
Ona : Ge (BC) etGe (EF) ; donc : (BC) n (EF) = {G}.

I Exercice 39 p. 144
1. (AC) r (DF) * ft.iË = o.
l rsâ+
ae.oÉ = (,q.É +BC).DE =AB.DE +BC.DE.
.tED)c (BDC) =+ A-È.DÈ = o -à --+
; donc : AC'DE=0'
l(BC)f (DE) = BC.ôÈ=s
J 'AC.DE=0 ti
{ë:üÈ =; = {tâ3]l + (Ac) r (DEF)
( (\- tBFl
T + -+ -à,+ +Ac. => + +-+
J z.ft.li=Àô. tÉ * Ü) =Àc.D D| =AC'ID, car (Ac) r (DD ---, --) ts

+ -+ --) -à -? 6(ID) c (DBC)+ ID'AB = 0


->
= (Æ +ÈÉ).ui =aÉ.ni +BC.rD = 0, car + Ë.nt = o.
1
J +:.+++
tfmt r (BC)

,ffi. U- =ffi. (iÔ + ei) =aÉ. IC +AD. cf =AD. IC car (AD) r (cD __) _-.)
1 + -+ '--') -) + +BD. -+ -'-à ç(IC) c (BCD) =+ IC'AB = 0 b

-J = @É +BD). Ic =AB.IC IC = 0,
"* {uc) r (BD) = sÈ. Iô= o.
- {1gl i[tB] = (rn r(ÂDC)
l t,E.*==l
ô Exercice 4O p. L44
i 1. G= bar {(4, g), (g, 1), (C, 1), (D, 1)} ; donc : G = mii [AH].
_l 2,3AA2+AB2 +AC2 + ADz = 0 + 1 + 1 + 1 = 3 + Ae (I).
(E) est la sphère de centre G et de r"ror,
l $.
ftcHtr (BCD)
I

^ /;
i

3..l
ln., E
^v6 + d((t),(DCB))=+q
-- b + E)n(BCD)={H}'
[--= 6
J
I

4. Soit I = mil [AB], J = millACl et K = mil[AD].


IB2+IC2+IDz-3AI2=(82-AIz)+(AB2-LnUr)+(AB2-I*rl-rqABz)=1.Donc:Ic(fl).
J
I

On monhe de même que ) et K appartiennent à (il).


Démontrons que (fD est un plan.
Me (II <+ (MB2 +MCz +MDz)-3M42 = 1 <+ 3MH2 +BHz +CH2 +DHz-3M42 = 1
<=r 3(MHz-MAz) = 1 - 3BHz = 1 - 1 = 0 e MH2 -MAz = 0 ê (M'H- ffifl.tf,Ê+ * tü.) = O
+--à'++
<+ AH. tzMG+ GA+ CH) =0 c+ AH. zMG=0 <+AH. MG=0.

113
i:!i;il&rir@&:,"ure-'..,,*.{-7ea}**

Donc (fD est Ie plan perpendiculaire à (AH) passant par G, c'est-à-dire, Ie plan médiateur de tAH]. IJ

5.Me (fll n (I) e {Ti.=1 ; donc : (E) n (fD estle cercle de centre Getderayon*"
I lrrac) r (cA) ü
S
IExercice 4l p. 744
1. Les triangles SA! et SAC étant rectangles en A, SB = SC = V1.
Donc, Ie triangle SBC est isocèie en S.
t
r xa,
ona:"orffi=#+-BCxBS'-
.E,LJXDù BCXBS G"1
-+ -->
ÿ,
4
i-
Donc : Mes (o) G = Mes (') G = 69. On en déduit : Mes (.)ffi = aZ. il-
À31.
z. (L) est muni du repère (4,ÀÈ, a-è,,. \
,ro;",.ffi=ÀÈ*fr "; sÈ="sB.BÉà ,",,sÊ(_â.),*(j,)
"*(ï) ,aoo", ffi(_3r) ü-
Soit (x, g, z)lescoordonnées deÀÈ. ÀÈ r pÈ a = x;aoo" ,aÈ(
= ,]r_) a
On en déduit : f l. e R, ÀÈ =A3 + f(Sï + fi1. ++

I
(BH.SC = 0-
.l----
tSH.BC = 0
:' donc : H est I'orthocentre du triangle SBC. t
3. BH2 =AB2-AH2 = 1-(1 -SHz) = SH2;donc: BH= SH=HC (BH=HC) etHestle centre ducercle r-
circonscrit au triangle SBC.
l_
0 Exercice 42 p.744
1. aJ Soit G Ie centre de gravité du triangle BCD.
Me (fll 3MG.DA = 0 <+ MG,DA = 0. (f|) est le plan perpendiculaire à (DA) passant par G.
<=+
t
bj Soit I le milieu du segment [AD].
M e (D <+ 3MB . (2MI) = 0 <+ MG.Mi = O. t
(I) est la sphère de diamètre tIGl. Donc (fJ) est le plan d'équation t - U + z +'J. = O.
(I) est Ia sphère d'équation :x2 -x + A2-Zy + zz + Z = 0.
t
0 Exercice 43 p.144
1. G est le centre d'une sphère passant par S, A, B, C et D, alors on a :

IG est I'isobarycentre du triangle SAC * [a§ê =§À *fr


t
Ic est I'isobarÿcentre du tri"rr[I. SDB = trSê =ffi *sB.
De plus : (u + aB)SG =0[§A
----> --) -+ --) +
+SÔ) + (SÉ +SÉ)] = Ê (oSé)
I
I
donc:cr+4p=6Ê =+ a=2F.
a= zF => G = bar{(S, 2), (A,1), (8, 1), (C, L), (D, 1)}.
= bar{(S, 2) ; $,4)}, où I est Ie centre du carré ABCD.
I
= bar {(S, 1), (I, 2)}.
ôn q . JG est I'isobarycentre du triangle SAC et I =
est I'isobarycentre du triangle SBD et I =
mil [AC]
mil tBDl '
t
!.r

lG
donc, G est le centre de la sphère passant par A, B, C, D et S.
2. Soit (E) cette sphère ; on a : G = bar{(S,2), (A,1), (8, 1), (C, 1), (D, 1)}.
I
Donc : Me (I) c+ 2MG2 + 2GS2 + GA2 + GBz + GCz +GDz = lc.

114
11
...,,1

8- trie analytique «Ie


G,éométrieanalyticrue de I'el
l,espace -
I

(pagels 145 à 164 du livre de l'élève)


t
' Utiljser les acquis des chapitres précédents pour déterminer des représentations paramétriques et
équations cartésiennes de droites et de pians de I'espace
d.es
il-
' Utiliser les représentations analltiques précédentes pour résoudre des problèmes simples :
- vérifier un paralléIisme ;
- déterminer des intersections de plans et de droites ; il
- calculer des distances ;
- démontrer des propriétés.
.-
il-
-
', Dans ce chapitre, on cherchera surtout à définir des outils et à faire réfléchir l'élève sur la-façon dont I
il peut s'en servir.
' On évitera de passer en revue tous les problèmes d'intersection, de paralléiisme ou d'orthogonalité l'"1
qui peuvent se présenter et de donner des recettes pour les résoudre. On apprendra plutôt a iEleve a
*J
trouver lui-même la méthode appropriée à une situation donnée.
' Les conditions nécessaires et suffisantes pour que deux plans définis par ieurs équations cartésiennes
soient parallèles ou perpendiculaires ne doivent pas apparàître comme dès savoirs, muis des savoir faire.
' Les élèves doivent maîtriser Ie maniement des équations cartésiennes et des représentaüons paramé- il-
triques de droites et plans, ainsi que le passage des unes aux autres, le but visé était d.e :
- mieux faire comprendre le sens de chacune des deux notions ; il-
- savoir que, connaissant I'une, on connaît I'autre.
' Bien que certains résultats soient valables dans un repère queiconque, on supposera que le repère uü-
iise est orthonormé.
'. Le problème réciproque concernant les représentations pa-amétriques, c'est à dire le fait que tout sys-
t-
tèmedutype
(x=aÀ+.r' çx=}"a+Lv,a,+xo
la=b!+g, ou ly=l*+'tu'b' +yl ,a_
Lz=cL+ zo (z=)uc+?"'c'+io
est, sous certaines condilions, la représentation paramétrique d'une droite ou d'\rn plan u'a pas été traité
car il nous a semblé évident.
r'
L-
l"-
t-
cartésiennes Trouver une équation cartésienne ou une représenta-
. Représentation paramétrique d'r:n plan de I'espace, t*
tion paraméfique d'ua plan : L.
r Vecteur normal à un plan.
. - défini par u:l repère cartésien ;
d§ffni par ua vecteru normal et r:n point,
. Tl*
Equations cartésiennes d'un plan.
- déüni par 3 points non irlignés ;
- défini par un point et un vecteur normal ; r
. Distance d'rrn point à un plan. t"
. Systèmes d!équations cartésiennes d'une - passant par un point et parallèle à un plan donné ;
droite. - passant par un point et perpendiculaire à une droite
donnée.
.
rt-
Trouver un système d'équations cartésiennes ou para-
métriques d'une droite:
- définie par un repère cartésien ; I
t'
l-

116
1", ,r

't
l

Représentaüôns paramétriques - définie par 2 points distincts ;


o Représentations paramétriques d'rme - passant par un point et parallèle à urre droite donnée ;
froite'
. Représentations paramétriques d'un plan. - passant par un point et perpendiculaire à un plan
donné.
Positions relatives de droites et plans . Passer d'une représentation paramétique à un systè-
. Posiüons relatives de der:x droites. me d'équations cartésiennes et vice versa.
. Positions relatives d'une dmite et d'rrn plan. . Calculer la distance d'un point à un plan.
o Positions relatives de deux plans. . Déterminer I'intersection de deux plans, de deux
droites, d'un plan et d'une droite, les plans et ies droites
étant définis par des équations cartésiennes ou des re-
présentations paramétiques.
. Les plans ou les droites étant définis par des équa-
tions cartésiennes ou des représentations paramé-
triques, reconnaltre que :
- der»c plans sont perpendiculaires ou parallèIes ;
- derx droites sont perpendiculaires ou parallèIes ;
- une droite est perpendiculaire ou parailèle à un plan.
ii

tl E Exercices du cours
0 Exercice l.a u. 150 + I +â
î,î), i -- o ;9 (o, ?, È1, s =0 ; g (o, î,È),r = 0.
1. g (o,
^

2.g (A,?,7), z-3 =0 ; I (,{, î,È), A -2 =0 ; I (4, 1,Èl:r-1 = 0.


il 0 Exercice 1.b p. 150
e (A, ?), e (A,r*l' ; e (A, rr,
il {r, -3:3 ;
{î:r', 3
== {i -i=3
0 Exercice 1.c p. 150 ( - za + d = O
t Une équation du plan (ABC) est de Ia forme i a.x + bg + cz + d = 0, avec :
1 1: 3
r_2:

(6;-4 ;-3;12) est solution de ce système; donc, une équation de (ABC)est:6r -49-32+72 =o.
il O Exercice 1.d p. 150

;
1. soit r(il on a :
{ii= 3 * IYr;r:riT;r=,
Ce système adrnet une infinité de solutions, par exemple (+ ; 2 :1). .
Le vlcteur 7 d.e coordonnées {+ ; 2 ; r) est un vecteut àrthogonal à 7 et i
: Uneéquationcartésienne de (g) est:4(r+ 1,)+Zlg -3)+ (z+ 5) - 0;c'est-à-dire: 4x+29+ z+3 =A.

0 Exercice l.e p. 150


Les coordonnées du point A vérifient le système d'équations cartésiennes de (9) ; donc : A e (9).
Le point B tel que Ê
= 7 a pour coordonnées (3, - 1, - 1).
Les coordonnées de B vérifient également le système d.'équations de (9). Donc, B e (9) et 7 est un vec-
t teur directeur de (9). Par suite, (,A, ü) est un repère de.(9).

I Exercice f .f p: f SO

r(l) sont deux points de (e) ; donc : (a, ÂÈ) est un repère de (e).
"(i) "
T on pose : i=fi. (,t,;) est un repère de (g).
tl
117
i:
j
t,i
_J', .t :.- i, i I

L-J

t"-
i

,) Exercice 1.g p. 15q


-- lt
1. Dans te repère (al1,;,û),on a : ,('â'),, .(rir)
Éir, I
Donc : 2x + 29 + 2z -
1 = 0 est une équation cartésienne du plan (II K).
I

z. système d'équations cartésiennes d.e tn ,{?=*ozu - 1 = 0.


T
-
I

.[2x +^22 ]' = 0.


Système d'équations cartésierrnes de (IK) -''ty=o
. 2z- 1= o
(za + T
Système d'équations cartésiennes de (JK\
'/'fr=0 I

I Exercice 2.a p. 155


1. Les axes du repère admettent les représentations paramétriques suivantes. T
(x=?v (r=0 f.r=o
(o,7) ,Ir,:$ ,^. R) ;(o, îr,li:l ,^e R);(o,7) ,{i:à (r.= mr
T I

2, Les plans du repère admettent ies représentations paramétriques suivantes.


1X=)u r.I=0 rx=?u
(o,7,;-l ,.f s=p (?,e R,pe R);(o,7,8) ,J;=i t^. R,pe R); (O,i',k):lg=g t
(Àe R,p€ R).
(z = o [i =p Lz=V
l

O Exercice 2.b p. 15S


(x='1,+7u
1. S (4, 7; po* représentations paramébiques, .l ; = - j - L (À e R).
" Lz=2+2?,,
(Jc=7+ ?"
Z. g (A,î,ïùa pour représentations paramétriques, .l y
= - s -À-p. (Àe R,pe R).
Lz=z+ z7\
ô Exercice 2.c p. 155
r. (s) a pour repère (A, A, avec : r(jr)
"(jr) "
2. (ÿl aporrr repère (8, d ü;,
{:j) - ,É_?)
"rru" '
,(3),

ô Exercice 2.d p. 1S5


1x=?t r N=}u
Ld)g=y (i,eR,peR) 'L';=u
Uly=1,+Z?v+3p(ÀeR,peR)
Lz=Z+T
(x=2+3À-2p
u))u=X (ÀeR.p€R) ù)s=z)"
(x=-4-31,
(ÀeR,11€R). IJ
lz=$ Li=l
2. Pour déterminer une r.eprésentation paramétrique de la droite (9}), connaissant 1n système d'équations
cartésiennes de cette
I
on peut déterminer dàux points de (9) et en déduir",- repère
99it", J
I

Far exemple, on a ,(-:, on pose , i= ÀÈ ; donc , ,(}


"(i) ", î
J
I

( x=?u
on en déduit Ie repère (4, A de (g) et une représentaüon paramétrique v=1-3À (Àe R)
''lLz=L+2?,"
I

ô Exercice l.e p. L55 , "J


Pour déterminer un système d'éq rations cartésiennes de la droite (9) connaissant une représentation
paramétrique de cette droite, iI suffit de trouver deux relatioqs indépendantes de ), entre x,'g etz, telles T
que ces relations soient des équations cartésiennes de deux pians non parailèies. -J

on a, par exemple, J*- a - z +6 = o'


tzr* z+'1.=o r"1

I,J
118
t'r
i'

:, lExercice 2,f p,755


./ 1 \
Ë r(_âr) sont deux points de (s) ; donc t(-le) est un vecteur directeur de (e).
^(i) 'l
r(â) sont des vecteurs directeurs non colinéaires et orthogonaux à 7.
^I {i) :s "
(4, A ü) est un repère de (9). On en déduit une représentation paramétrique de (9) :
l,
(x=-1 +31"+p
i fu=z+lt
Lz=-1+À
O Exercice 3.a p. 16O
n Si (9) et (9') sont sécantes en un point, les coordonnées de ce point doivent vérifier les deux systèmes
t* d'équations de ces droites. Donc :

+ l. = 1. Donc, (e) et (e') sont sécantes ""


i }fr;:\\;:A]|1'Ë;'ll,i.ui=oo "(-i)
OExercice3.bp. 160 /1\ /n\ /-1\
I 1. On déterminJ deux points de
----r----- (g) , a[-'+) et e[-"2).
-\t/ Donc : î'l ,^l est un vecteur d.irecteur de (9).
,,. \07 \t/
on détermine deux points de (e') ,"'(â) r'(?) Donc :r'(l) est un vecteur directeur de (e').
I "
":
On en déd.uit que (9) l/ (g).De plus : A e (9') ; donc : (9) et (9') sont strictement parallèIes.
II
2. Le plan déterminé par les droites (9) et (9') passe par Ies points A, A'et B'.
il
Z;-:::='
rî Donc, une équation cartésienn e æt + bg + cz + d.= Oesttelle nr., {Lzb+c+d=o .

i1''J
Ona, parexemple :(a,b,c,d)= (1 ;0;1;- 1)'Donc: x +z- 1= 0.
" I Exercice 3.c p. 160
:
r,,l Si (9) et (9) sont sécants en un point, Ies coordonnées de ce point vérifient les deux systèmes d'équations.
:r Donc:{fti[]:fi;!i:t:i:38=_i * {3i:;ln o{t::, L

Donc, (9) et (0) sont sécants au point A de coordonnées (0 ; 1 ; 1).


i"
I Exercice 3.d p. 160
,.ï(? ) ---\r7
r{-'r) sont deux vecteurs directeurs de (9). Donc, ;(1) un vecteur normal à (9).
I \-zl ", \s/ "r,
(g') D'nc' es'i un vec'Îeur n'rmar à (g )

- ;(ih;§l;î:H ,ï:î:î:î:î.:" ''(-:l


.,"1
-+ -)
2.iet 7'ne sont pas colinéaires ; donc, (9) et (9') sont sécants. Leur droite d'intersecüon (9) a pour vec-
-
rrthogonal à 7et
teur directeur un vecteur u orthogonal ri et 7',
d', soit ---- ---r - .
- par exempl" il\_3f )/
Il suffi.t de déterminer un point A commun à (9) et (0').
n
t"l Le point appartientà(@) (À=p= 0) età(e') (1"= p= 1).
"(i)
lx=_1+3X,
Donc, (À e R) est une représentation paramétrique de (9).
il lrr:i _,

f-
119

LJ
sÿnN4,
lI
ffi:iil
I i"'" l
;,ft.,trt,tl f:'.. ,..,,
.,,':,,.
ir.!"-: "
j ' ^.
- '

:;l : -,.
i"
i,-::.'..,1 . , , .-l
..,.:...., r:' , it,
t:t:i::r:):,;:.
i1r- .!i.i...t i,:.: -, I :::. l
lii:r.i.::i l :'r' :" dl
I

.,r:,:rjil,:rl,:'.:,il : :
::..-:.:... :.::', .,:,..

î
-J

que;'soit orthogonal à 'î I


I

,J

Donc, une équation de (@')

EI
est:2(x-

Exercices d'apprentissoge
6) - 4y-sz = 0;c'est-à-dire: zx-4a-sz-72 =o.
l
l
I r _

ÉouATtoNs cARTÉslgNNEs DE DRotrEs ET pLANs


I Exercice 1. p. L61
*/-1\
AB(_-
l)*runvecteurnormalà
-
(9). Une équationcartésienne de (9) est de Iaforme ix+4g +zz+d.=0.
l
I
Exercice 2 p. 76t
L. une équation cartésienne du pian (ABC) est de la forme : a.x + bg + cz + d 0.
=
rA e (@)
ona:Jge (e)
tc e (e)
<+
(-a+b+c+d=O
1a-b+c+d=0
La+b-c+d=o.
l
ce système admet une infinité de triplcts solutions, par exemple : (1 ; 1 ; 1 ; 1).
Donc une équation cartésionne du plan (ABC) est :x + U + z- 1 0.
=
2. une équation cartésienne du planparallèle à (p) passantparo est:x + * z=0.
ÿ
-
l
t) Exercice 3 p. 161.
1".Ona:Ae(01,) <+ -4*4-lc=O <+ Ic=-g.
l
2. Lorsque /c décrit R, les plans (gr) restent parallèles au plan (9s) d'équation : 2x
-! +z= O. I
O'Exercice 4 p. 161 J

"(-:.).r[T, ",{+)
2, Voir figwe ci-contre.
sonttrois points de (e).
l-
t) Exercice 5 p. 161
Il fautdéterminerdeuxéquations de Iaforme
:a.x+bg + cz+ d= v' avec: [ _r"-b+2c +d= 0
0, svve'to
* 2b-3c + d= O,
l
On a urr système linéaire de deux équations à quatre inconnues ; on choisit rrbit degx inconnues.
"lr"*ent
(Il ne faut pas choisir des valeurs proportionnelles, sinon on obtient deux équations éguivalentes.) :
ona,parexemple,[\"'!,c,d)=(t,_1jo:',),donc:[*-y. ; do"" onï

I Exercice 6 p. 161
Ito, b, c, d) =(r, +,1d,T)1)

On procède corrune dans l'exercice précédent.


'{î;
} îro=,:

l
1. on obtient, par exemple {- ?: *-a + L = 0
--r---[_x+z=0
' :
2. Intersection avec le plan g tO,?,|)
On a : z = O ;donc, le point d'intersection a pour coordonnées (0 ; 1 ; 0).
- ;
Intersecüon avec le ptan @ @,1,È)
On a : x = 0 ; donc, Ie point d'intersection a pour coordonnées (0 ; 1 0).
Intersection avec le ptan g @,È,ï)
- ;
On a; U = o; donc, Ie point d'intersection a pour coordonné"r (T;O;f).
l
194
RepnÉsexrATroNs PARAMÉTRtouEs
r 0 Exercice 7 p.761
1.on,,*(i),*(il "'*(i)
I

,1,"

I
I
Les droites (OA), (OB) et (AB) ont pour repères respectifs : (O,ôÀ), (O,ÔÈ) et (a,À.È)'
On en déduit une représentation paramétrique de ces droites'
I

(x=7v (x=2À, 6x=1+)'


(OA) :'ly=I (l"e R);(OB),Jy=el. (Àe R);(AB) :f y=1'+2)' (l'e R) '
Lî=X LL=zt" lz=l+)'
2. Représentation paramétrique du plan (oAB) ,{i=i:Zit (}" e R, p € R).
l,z=?r.+2tt
O Exercice I p. 161 /- 3\ -l z \
ll-" aJ Droite de repère (4, u), o[. * " (_rr/.
I
""î â/
bJ Demi-droite de repère (4, u).

I Exercice I p. 161
intersection avec a (o, -,.) .(§)
l

l.Intersection avec a (o, ?) ; intersection avec a(o,7)


't(âr) ;
"(â)
2. Équation cartésienne de (g) t ?.x - 3y + z - 2 = O.
r) Exercice 10 p. 161
1. A est le point de paramètre À = 1 ; B est le point de paramètreÀ. = 2.
I

,. soi ;0 au =^re <=r (- 3 + 3À)z +r{a- 4?,")2 + t-rz + 12)\)z --132 <+ ( x- t)z = r.

on obtient : l.= 0 ou À= 2. Donc',r(_ltr)


I
I

t,"
"rrfi,
0 Exercice 11 p. 161
À=-1 etP= 0.
1. A apourparamètres À= 1 etP = 1, B : l.= 1 et p-- 1, C :
l
z.Ota:o,è=ârôÀ+o-Ê+ôô).Dorr",Gapourcoordonnéer(-+'-â'f).o'o,:À=+-etp-0.

I Dtsrlxce D'uN ro,*, À uN PLAN


t."
0 Exercice 12 p.,161

L
on a: d(A, e) = !ffi$ = z.

i Exercice 13 p. 161

t
I s"ttM(i). on a : MA= MB <+ (x + 7)2 + îs -7)2 = (x + 2)2 + (z-3)z (Ê 2x+29-62+11 =0.
Cette équation caractérise le plan médiateur de [AB].

I
,"

l Exercice 14 p. 161
t*
s"itM(;). ona : d (M, c) =t ç lx + +s -z-41=ot/IetMe (e) (+ x=g=2,
Donc : +x-+=6û, ou 4.x-4= -6{1.
I

lTr'+arfa\ lir'-srÆ)\
I Ilyadeuxpointssolutions,rrl+ @+e\/1) I * ,,1 Te-stfù1.
\; * sr/ùl \; t' - sÿzt I
I

OExercice 15 p. 162 "


L
i

Une équation cartésienne du plan (ABC) est : x + 29 + 2z - 2 = O.


Donc, la distance de o à ce plan est : d =
I
ffi =
I
t.,".

121
b

:-
PosrrtoNs RErATtvEs'DE DRotrEs ET prANs
i Exercice 16 p. 162
Les'plans (9r) et (@r) sont sécants suivant Ia droite de représentation paramétrique :
( x=-7" J_
l-
.l ,=-**I (t e R).
ltr-T
--t' I ii-

I Exercice 77 p.762
_ /_ 1\ _ /_ Z\
,*rït (9r) ont pour vecteurs directeurs respectifs : 7r(
:ü, et ü, sont non i )*7r(: iJ
colinéaires, donc (9r) et (9r) ne sont pas paralièles. Si (91) et (92) sont sécants, on a :

[-r= 2-2tt (-r* 2p=z :

Jl=r-u (+ ll*pr=1
[À=-t, [À+p=6
Les deux dernières équations étant incompatibles, le système n'a pas de solution. ü
Donc, (9r) et (92) sont non coplanaires.
2. Une équation cartésienne de (9) est : y * 4 = 1.
J*
ô Exercice 78 p. 1.62 (_
ii'ir :; " o {\.=:2
32, _u=L
Un point.or*rrrrà (9) et (9') esttel que, I
Lzxil'=z I p= 0' L

"r^f I \
Donc, (,) et(o,) sontsécants
l

,(}) eslun r,""r".r. r*mat au rr"Y,il déterminé par (g) et (9').


Donc, une équationcartésienne de (9) est:(x-8) +rg-7)+Z(z+Z) = e ç4 x+g +22-t=O. L

i Exercice 19 p. 162
1..Le plan passant par A et parallèIe à (9) a pour équation cartésienne :
(x- 1) + (ÿ + 1) + (z-2) =0 cr x * ! + z = 2. *j-
z. a)Ladroite (9) orthogonale à (9) et passant Oirtili*
repère (4, i),'ave"
{(il ,

donc, eIle apourreprésentation paramétrique : J y = - 1 + À (), e R).


( z=2+7t
bj Le point d'intersection B de (9) et (g) est tel que :
(r + À) + (- 1+ À) + (e + À) = o (+ ?"=-+; donc, B apour coordonnées (f ;-*,*1.
I Exercice 2O p.762
L. La droite (9) a pour représentation paramétrique , {; = !, *, (}" e R).
Lz=-2+À"
Donc, Tf i) est un vecteur directeur de (9).
\1/
-/1\
,(-JJrr.rr".tu*normalà(9).Onu'i.7=0;donc,(9)estparallèleà(9).Depius,lepoint"fi)
apparüent à (9) mais n'appartient pas à (9). Donc, (9) est strictement parallèle à (9). I

t,i
2. Le pian (9) a pour repère (4, i,7).
t est un vecteur normal de (g). Donc, urle équation cartésienne à (9) est :
til
x+{g +7)-2(z+2) =0 <=} rc + A*22 +3 =0. fF{

3.rntersectionde(9) et(n),{ rc-a+1 =o^ ^ ou {}Iâ., (Àe R).


El
Lx+A-22+3=O II=S*À

122
I Exercice 27p.762 (r = l'
(À e R)'
t. La droite (9') poui représentation paramétriqun l+r= 3 :
t
ll
"
-/1\
,fi) ^'l 1\ sont des r"","ï.r.directeurs respectifs de (9) et (9'). Ces vecteurs n'étant pas coli-
"a,(:e)
(e) et'(e;)'n?
oeàii"'.,
:îlrf: i*a[ètes.
De plus, Ie système -l e - zl,-= i- ,f, est impossible' Donc, (9) et (g') sont non coplanaires'

t
t-r+3À=3-2P
2. Le plan (9) a pour repère (4,7,7'1,
l
"'u" \- t/
"(;i)
*/g\
t0 ^r: /6r\ ^r.la-zb+3c=o
(e) si . no"", par exempl"' 11^- i(,^-'i\.
est un vecteur normal à ,
{Z--Zoollil f ï /'
l
Équationcartésienne de (g):13 (x+ 1) + 5 fuf - 3)-(z+ 1) - 0 <+ 13x+ 5y- z=3'

l
I ',ff:;,ïi3 $;lilrons cartésiennes de (e') "" , {[î: i] ; ?r--'r.:l::31 = 3 * {î;ii ',:nu=8
2. on détermine deux points de (9), par exempl" ,
r(il Le plan (e) est Ie plan (oAB)'
"(i) " rd=O
+ d= 0, avec ) a+ Zb-3c+ d=O'
l
I
Donc, une équationcartésienne de (gr) est: ar +bg + cz (b+c+d=0
I

_-l t," (s;-1;1;0)estsolutiondecesystème.onendéduituneéquationcartésiennede(9):5x-ÿ*z=o'


Exercice 23p.762
L

O (x=2 + À+ P
(1.e R,p€ R).
1

Représentationparnrnétrique de (g), t=;;:l--


I

l
i."
t
Pour déterminer I'intersection de (9) et (g), on résoud le système
l

:; = o
\ii:xt []; ë;:;ïLïLiiilii9J',
.=,
{:lî
(f'
lL.ou
.=
{l= -i
&
l. .-l (9) et (9) ont pour intersection le point de coordonnées â' - 8t'
I 0 Exercice 24P.762 (x = t"
I
ll
r. (9) a pour représentation paramétrique ,lor=î- (À e R)'
"
i
I
on en déduituneéquation cartésienne de (g): (x- 1) -2(g -z) +
(z- 3) = 0 <+r -2a + z=o'
2.(g)et(9)ontpourintersectionlepointdecoordonnées(1;1;1)'
0 Exercice 25p.762 .. 2-\
(9), soit -(
l

normal à
La droite (9) admet pour vecteur directeur un vecteur ' " (: l/

;z=2-2L
--:il i^ ,^ e R) et (e) ' {î î20-*r1;o
i

on en déduit (s) , {
I

i Exercice 26 p.162 /z\


(e) a pour
.
(g') a pour ve*eurs directeurs r(jil -tt(lr)
"".,;rillr-d;(3).
I

I
On a : î.î =7.? = 0 ; donc,les plans (9o) et (9o') sont parallèles'
I Exercice 27 p.162
Les droites (9) et (9') admettent pour représentations paramétriques :

,,.J

123
l

i
. aY=\
t--
(x=2tt
(0):'f a=2+2?ÿ (),eR)
Lz = 2)' tZ=lL
').

Les droites (9) et (9') ont pour vecteurs d.irecteurs respectifs 7 o,


,tï,('À.
2
On a : î.î = 0 ; donc, Ies droites (9) et (9') sont orthogonales.

Elles sont sécantes si et seulement si ,{:;:T,= - t - ztt.


IzÀ=F
Ce système n'admet pas de soluüon ; donc, ies droites (9) et (9') sont non coplanaires. i

E Exercices d'oppronfondissemenf
0 Exercice 28 p.1,62
i.;;;-rh"r fôi",là'l ont pour vecteurs normaux respectifs
't(jr)
On a : i.i'= 0 ; donc, Ies pians (0) et (g') sont perpendiculaires.
"''(+)
2. d(4, 9)=d= * et d(A, g,)=d'=
*.
3. Soit H, H' et K les projetés orthogonaux respectifs de A sur (g), (g,) et (^).
a
AHKH' est un rectangle ; donc : AK = ÿdz + d', = *
t = ir.
:

rlt
O Exercice 29 p.1.62
T
1. Les plans (9) et (er) oot pour vecteurs normaux respectifs ,r(l", r,ti)
Ces vecteurs sont colinéaires ; donc, Ies plans (g) et (9,) sont parallèles.
* appartient à (9'), mais pas à (9) ; donc, ces plans sont strictement parallèles.
i

"(+)
,' ,l S-, ru ., *'(rr) La dloite (MM') est ortbogonale.aux plans (9) et (9'), donc les vecteur, ffi,
A I

et 7' sont colinéaires ;.il existe un pombre réel /c, tel que , .l
;, = î -irc.
Lz'=z+k
Me (9) <+ 2x*49 +zz +B =0 et M'e (g') (+ ir' -za' +z' -3=0. onendéduit r\=*. l

!
I

bJLadistanceentrelespIans(@)et(0,)est:MM,==,Yu.
I Exercice 30 p. 163 I
I

1. Le système est un système d'équations cartésiennes d'une droite si a*'J..


2. . (9ù) et (9') sont parallèles si b = - l. ll I

r (9) et (9') sont sécantes si b * - 1 et si elles ont un point commun.


o (0) et (9') sont non coplanaires si : b *-- 1. et a + b * 1,.
'.] I

I Exercice 31 p. 163 ,J
/r \
/'\
L. Le plan (9) a pour vecteur normai , i I
I
I

:"::(i)Ï-,ïï:*"1,(î}"'*il:t::t;,.ï::i:;lî,:l
MM'et
Les vecteurs x - x=y - u=z . z=k n
lt I

LJ

I n
Onendéduit:k=*f fr* A+z) et f- x+Zy-z). I I

JV'=f I ;.
Ir'=â(-r-y+zz) I

l -:
I

194
l1_
,
z. a'tOn fr(-1) 0. Donc, la droite (AB) est parallèle au plan (g).
\zl " 7.ÀË =
^,

","'(j,) ; donc ' *(+) *(i),


F
I
br on ,"'(j), r'1-e,;
I

" "=u'(-i) ", "=è'( A)


On en déduit , ^ffi.at = 0 et ÀË'.4.ô'= 0. Donc, les angles et sont droits.Ék Bft'
On rettouve la propriété suivante : la projection orthogonale d'un angle droit est un angle droit si I'un
des côtés de cei angle est parullèle ou plan de ptoiection'

il'l
''l*
I ffiii::JJ.l;,Th,m,m), on a ,,(i),'(i),'(i) - *'(ils) x7
{; =I
1"
e
on en déduit (AG') :
,:;:l (À R).

De même, on a (DG) ,It *, L


$r. B

=ï_
2. Donc,les droites (AG') et (DG) sont sécantes au point K, de coordonnées ff ;f ;ft
r) Exercice 33 p. 163___*
_._+ _+
1. Dans le repère (A,AII,AD,AE), on a :
i
I

,('â'),
'(n",'("1')
l

6x=f+À
Ona(ID'{y=sl. (ÀeR)et
(,=+*ts-â)r,
(KL):'l y=F (peR).
[r=r^ ( z=1-p
2. pour o =
+,
les droites (ID et (KL) sont sécantes au point de coordonnees tl; ! ; ll.
I
l
l O Exercice 34 p. 163
1.. Dans le repèie (A,fi,ffi,.ffi1, or,
" '
,(â),,(:),,(i)
LJ "*(i)
Équation cartésienne du plan (BDE) i x + A . ,-
l-;!,
L,r Représentation paramétrique de la droite (AG) : (À e R).
y
t =I
rT
i
,. ;fi) est 1n vecteur normal au plan (BDE) et est r:n vecteur directeur de la droite (AG) ; donc : (AGU EDE).
À-1= 0 (â )'=+.
I

Lr p:1â d'intersectionl de tAG) et (BDE) esttel que:1.+ À+


Donc,.I a pour coordonné"t (*;â ,ât et .d= Àê. + :
!.
l

ô Exercice 35 o. 163
--+^
. --)
r. GÉ et GÉ sont non colinéires, donc vecteurs directeurs du
plan (GDB). On a:
+€
GD=AD-AG=-ü-w;
-: '--= '--=
GB=AB-AG=-ü-tb.
tl
. De même, At et ÀË sont des vecteurs directeurs'du plal (CFA). On a :

AC=AB+AD= -ü +o' et AF=AB+AE= u + w.


u
. On a :Gl = -Æ ; on en déduit qu. G-ô (ouÀË) est un vecteur d.irecteur commun ar x plans (GDB) et
(CFA), donc un vecteur directeur de Ia drorte d'intersection de ces deux plans.
n
t.t
19,5
' ."i

çx=1-À. (x=X+LL
2.Ona:(GDB):'lY=1-P (Àe R,pe R) et (CFA):'l y=À (Àe R,pe R).
' (L=t-?r -p (z = p
I

çx=!+t"
On en déduit une représentation paramétrique de (GDB) n (CFA) , (À e R).
)n I
= I

lz=7t
r) Exercice 36 p. 163
(9) est le plan â'équation cartésienne :x-Zy -22+ 3 = 0. SoitA etB der»<points distincts de€.
1. (AB) et (ÿ) ne sont pas ortho§onaux.
On désigne par A' et B' Ies projetés ortbogonau( respectifs
de A et B sur (9).
A' et B' sont distincts, sinon la droite (AB) serait orthogo-
,nale à (0). Soit (9) le plan défini par (A'B') et Ia droite (9)
orthogonale à (0) passant par A'.
Ce plan contient une droite orthogonale à (9), il est donc
perpendiculaire à (0).
Les points A et B apparliennent respectivement à (9) et à la
droite paral}èle à (9) passant par B' .: ces points appartien-
nent donc à (9).
Donc, iI existe un unique plan passant par A et B, et perpendiculaire à (9).
Application
on a:
"(i),rHr,
donc : *É) s"it ifz) ,,o.,,u.t,* normal à (e).
Les vecteurs ÀË et i sont non colinéaires ; donc, (4, .d, 7) est un repère du pian (9).
1X.=4+1,+p
Onendéduitunereprésentationparamétrique duplan(9) U=4-oL-z1t (1.e R,p€ R).
''lLz=2-2L-Ztt
D'où une équation cartésienne :2x + z - 10 = O.
b
2. (AB) et (ÿ) sont orthogonotut.
ol Tout plan (g) passant par A et B contient Ia droite (AB) orthogonale au plan (9), donc est perpendi-
culaire à (9).

bJ on r(â), donc' *ti) Les vecteurs ÀË eti sont colinéaires.


", "(â), "t
Une équation cartésienne de (9) est de Ia forme : ax + bg + cz + d = o.
='
{â: 8i
<+
on a:
{i::il:';::
On pose : b =)uet c = p ; on en déduit : a= 2?,.+ 2p et d.= - 1.2)'- 101r.
Donc, une équation cartésienne de (9) est de Ia forme :(2x + y-1.2)t'+(2x+ z-10)lt= 0, où (À, p) e R2.
L'ensemble des plans (9), contenant une même droite (AB), est appelé faisceau de plans.

I Exercice 37 p, L64 /1\


(e) et (e') sont les droites de repères respectifs (A, 7) et (8, ô, avec : ut r(i),r(il, ,G)
()c='J- (x=2+2LL "(1il,
1.Ona(9) :Jy=-r*t (ÀeR)et(9') '.1 s=p ftreR).
l.z=-Z+), li=4+2lt
(9) et (9') ont des vecteurs directeurs non colinéaires, donc, elles ne sont pas paral}èles.
Si elles ont un point commun, les coordonnées de ce point vérifient le système :

126
(7=2+21t ( p=-+
[q
l-r*À=F (+
l^=â
[-r* ],"=4+Ztt Ii,=s
Ce système n'admet pas de solution ; donc, les droites
(9) et (9') sont non coplanaires.
l

2. soit r(il ](;) que : I e (e) et I e (e'). La droite


" "h
(D est perpendiàuiaireaux droites (9) et (9') si et seule-
++ +â
mentsitlJ.ü=fJ.u=0'
Les coordonnées des points I et ] vérifient respectivement
Ies représentations paramétriques des droites (9) et (9')'
De plus, ces coordonnées vérifient le système :
[(ÿ'-a)+{z'-z)=o
[àk' -r) + (y' - y) + 2(z' - z) = o
(u+z=u'+z'
l
*Ii**gizr=2x'+y'+22'
l
I

(21"-3=3u+4 <+ (?t=2


*tr^-à=s[*iz tp=-r'
I

onendéduit't(i)
l ",$.
I
La droite (ID est appelée perpendiculaire commune aux dtoites (9) et (9').
(ffi * U'*fi)' = c,'î' =gzlz *î' *zli tp7- oit - z"B3' i
I

.-i 3. ojona : MNz =


Zaz + }pz + I + 0 _ 6aÊ = (cr- 3Ê), * crz + 9.
I

bJOn en déduit que la valeur minimale de la distance MN est obtenue si G = Ê = 0, donc, Iorsque M est
I
en I et N.en J. Cette valeur minimale est : II = 3.
I

La distance Il est appelée distance entte les droites (9) et (Çb')'

- I 0 Exercice 38 P.164

1. on
"
, ;Ë(-u')
"
*(i)
.,ffi.d=o=+:(AB)r(CD).
On démonhe de même que : (AC)I (BD) et (AD) 1(BC).

2 on
",
*Êi), r=(j-) " *(_i)
l

Soit 7, un
i

vecteur de coordonnées
ta, b, c).
-i
+ ->= -+
si: -n.,.DB
I

r" ::;-;;;;;Ào"t
Trestunvecteurnormal au plan (DBC) -t=6:c'est-à-dir",{lb-4c=o
nr.DC (Ja +b + 4c =o.
iI
-t Donc :7,f-%)
^L
est un vecteur normal au plan (DBC).
s/
On démontre de même que
I
! :

7r(-T est un vecteur normal au plan (DAB).

L*
I
"\r/ est un vecteur normal au plan (DCA) "\s/
";r(i)
3. La hauteru (AA,),est Ia droite passant par A et orthogonale au plan (DBC) : elle a pour vecteur directeur 7r.
rx=2+8X
Une représentation paramétrique de (AA') est : J A = - 1^- 4)" (À e R)'
\z=-51\
r x=0 r=-3 +\27v
L ..t

127
'l
!,1
YÏt§a*::*' e

. .,.i
ll r'

-l
((
Onademême(BB') : ]y=S-+)" (Xe R) et (CC') ,ly= -7+4)v (Xe R).
t z=7u (i=S\u
4. Démontrons que Ia droite (AA'J et I'axe de repère (O, E') sont sécants. I

Dans Ia représentation paramétrique de (AA'), ou a :.r = U = pour l. = -


O,
+.
'"1
Donc, le point appartient à la droite (AA'), on vérifie que ce poirrt appartient également au:r
"(ri;)
dro.tes (BB') et tCCl.be plus, la droite d.e repère (O, Ë) , qui passe par H, est ia hauteur issue d.u point D.
Donc, les quatre hauteurs du tétraèdre ABCD sont conccurantes en H. "t

0 Exercice 39 p. 164
,I
1 on
or
"',fi),,(i),.(11 ,

*Çz),*(i.),*F:) "l
I

Le pian médiateur de [AB] est le plan passant par I et de vecteur


_ --+ --+ -->
normal AB :M € (9r) <+ IM.AB = 0. On en déduit : I l

(0r):x-A-22+2=o; / .'
(9r):u-22+3=0; /-r''-rtt---
/.. -l
(gr):r*z=0. ,,2 ,
-.?
l

bl Le système des équations précédentes admet un triplet solu-


tion ; donc, Ies plans ont un point commun
I

, i).
"ff\t/
2. On caicule de même les coordonnées des milieux respectifs I,,
J', K' de [BC], [CD], [DB], puis les coordonnées de Èè,
-6,
üà, vecteurs normaux respecüfs des plans
i
médiateurs de ces arêtes.

on trouve.,,,(â),,,(
â),
.,(;l ".
*( â),
*(1â), ,=É',
I

Les équations des plans médiateurs de [BC], [cn1, 1pg1 sont respectivement : I

Les coordonnées de Q vérifient les équations de ces équations ; donc Q appartient à ces trois plans.
e (9r) =+ QA = f)B I

6 Ç2
ona:Joe 1e'r; = eB=oC;
(o= 1g'r; f)c=crD
= T
donc, C) est le centre dune sphère passant par les sommets A, B, C etD du tétraèdre. Le rayon de cette
sphèreest:CàA=W=ÿtt. ,1
,
I

0 Exercice 40 p. L64 J
AM.u'ç+r+29+32-9=0.
L'ensemble ainsi défini est un plarr de vecteur normal7. I.l
0 Exercice 47 p,1,64
MA2-MB2=6 e>r+2A-z-B=0. /a I

L'ensemble ainsi défini est un plan de vecteur normal Tf â ). J


\- r/
I Exercice 42 p. 1,64 T
MAz+MBz-2MC2=1.2 a 3x-4g-z+6=0. /2 \ J
L'ensemble ainsi défini est un plan de vecteur normal7(-"4 l.
\- r/
:
128
1:

0Exercice 43p.764 /a\ /o\ /o\


,{.3/, .(:/
a

1. D'après la figure, on a : a(3f ,


F
t
-/bc\
,\n)est
'
un vecteur normal au plan (ABC).

Une équation duplan (ABC) est du type: bcx+ ocu'+ abz+ d=0, avec d e R.
Or : C e (ABC) ; donc : d = - abc ;

On a : bcx + acg + abz - abc= 0 çâ + L = 1,.


|Fr
i. I
2. H est le projeté orthogonal de O sur (ABC) ; donc, OÊ et i ont même direction.
t,Ft
jil
:i
ona:
"ffi),*(*ffi)*ÈV1ù
*[F
")
3. OH2 =(bc)z +(ac)z +(ab)2 i OAz - r,2;OB2 =bz;OCz =c2.
iir
ôfu .
.,i
i'*
Donc :
os. ôtu = #. # * # =ofu
I
I

L.

1
I

ll
li
tJ
-i I

,ll n
*1
l

li
!",1r

-i
,I
il

-i
i".I il

I
!

-i
r.rllr-'ll
l

rl

'-JI
l

I r"1
"t
I

lil
lLn
-l
I
i
rl
i"t
129
:"'l

Il*,ll
ÿeÿ&e*§@-ÿ*n-.*

ry* Fonctions
(poges 165 à 182 du livre de l'élève) l
l

'o Cr:nsolider Ia notion de fonction introduite en classe de


Seconde : restricüon, prolongem"ot,
si.tion de deux fonbtions. : "r-p*
" Âborder les propriétés aigébriques des applications : injections, surjections, bijections ; bijection réci-
I

o MSttr^e en place des notions générales sur les


fonctions numériques d.'une variable réelle : opéraüons
sur les foncüons, comparaison âes fonctions, fonctions,associées.
i

' IJne application est une fonction définie sur son ensemble d.e départ. l

:,1*::i8llPi:,9:e1tt P":. étud,e.gxhlustive des appiications et de leurs propriétés. Les norions


seronr üô"J;it;;;; t;, ;p;o's;i,"uàï,
d,ap-
tll:i:l:ï ltt5:":
piications d'une partie_syie;tives,^biiectives,
de R vers R, ou par des exemples géométiques délà counus.
;;;pË;; d,ô-
I

Ces notions doivent pennettre de formaliser-ce qui a été entrevu sn seconde, L

rement dalls des situations précises : dénombrerirent, géométrie, fonctions. "ffn de I'exploiter ultérieu-
o Le point précédent implique que
ce chapitre soit traité très tôt dans I'année scolaire. l

'-On pourra à cette occasion introduire des notions de logique, en particulier la contraposée d,une im- J
plication (pour démontrer qu'une application est injective)i ' ' E
-
o On évitera de s'aitarder sur des exercices
-purement algébriques et peu motivants, du genre : d.émon_
'.]
trer que si g o /est injective alors/est injective. --- J
o Cn n'inboduira pas Ia notation/-1 (A) pour
I'image réciproque d'un ensemble par une application.

l
j(iïérüéralités
|,, Notion d'appiication.
o Démonher que deux
r
fonctions sont égales.
Déterminer la resEiction,"d'une application à un en.
l
i " Restriction, prolongement.

" Composée de deux fonctions.


semble.
o Déterminer un prolongement d'r:ne application à un
ensemble.
t
o Associativité de Ia composition de deux fonctions. o Déterminer la composée de deux fonctions.
ü
Applications particulières r Démontrer qu'une application est injective (pæ
" Applications injecüves, surjectives, bijecüves. conbaposée), surjective, bijective.
r Déterminer la bijection réciproque'd'une bijection.
. ü
Déterminer la bijection réciproque de la composée de
der»< bijections.

r
Déterrniner I'ensemble de définiüon d.e la somme, du ü
produit ou du quoüent de deux fonctions.
. Constuire les courbes représentatives des fonctions
associées à/, connaissrurt celle de/.
. Construire les courbes representatives des fonclions :
t
.r» af +bx+c et *,-*+2.
æ+d. ü
§-'i.ir lLn ensemble, . Consbuire la courbe représentaüve de f -t, connais-
. Ï,es courbes représentatives de/ et/-1 sont sant celle de/.
triilues par rapport à la première bissechice.
a

130
E Exercices du cours
I Exercice 1.a P. 168
t,* Ona:/=9=1.
rr 0 Exercice l.b P. 168
l.r Seules f eth sont des applications, car leurs ensembles de définition sont égaux à leurs ensembles de
départ respectifs.
Fr'
I

lL 0 Exercice 1.c p. 168


Sire [t ; g], alors lx-11 =r-1 et 13-rl =-x+ 3. Donc, ona :9 : [r ; s] -+ R
rr Xr+_f * 5.
t
r) Exercice 1.d p. 168
iï 7.Dy=11 ; + -[ etDr= ]-* ; - fl u l1 ; + *[.
tr 2. f elg ont.la même restriction sur ]1 ; + *['

|.ï'
I Exercice 1.e p. 168
,ir L, g o f(x) = - Za.x + 3a + b et f o g(x) = - 2ast - 2b + 3.
2.gof(x)=f og(x) <+ a+b=L.
rF.
I
Le couple (2;1) convient.
I

i Exercice 1.f p. 168


f . f((x. y))= (10r - 159 ; - 1.5x + 259).
m
I Exercice Z.ap, L72
I
. 3 a au moins deux antécédents par/qui sont 12 et 30 ; donc,/n'est pas injective.
L,L r Tout naturel est la somme des-chiffues d'au moins un nombre naturel ; donc,/est surjective.

rr' ô Exercice 2.b p.772


ri ajv (r;ÿ) € NxN,,f(r) =f@) a 2x-3=2u -3 c+ x=ui donc,/estinjectirle.
b) Y x.R,,fl- x) = f(x) ; donc, /n'est pas iniective.
-c.)V (r;ÿ) € Rx R,/((x ;ù) =1(g;r)) ;donc,/n'est pas injective.
Li

i Exercice Z.cp,772
I
aJ Les nombres impairs n'ont pas d'antécédent par/; donc, /nlest pas suriective.
bJ Les nombres strictement inférieurs à L n'ont pas d'antécédent par f ; donc,/n'est pas suriective.
cJ 1 n'a pas d'antécédent pæ f ; donc,./n'est pas suriective.
d.)/n'est pas une application de R vers R ; donc/n'est pas surjective.

I Exercice 2.d.p.772
r5 Soit y e R. L'équation/(x) - y admet une solution unique, si et seulement si a* O ;

o, ' x =-!.-=b-. Donc, f'lest l'application de R vers R défi.nie pat i f-| (*) =
lï " "lor, a ff-
I

OExercice 2.e p. 772


a:f(x)=A ê r=fuP;donc,/estunebijection etf-1(x)- 5(x-
5J
aJsoitxe R et ge R.On
b./Soity€ R -l-zt.Ona:f(x)=U é x=+;+."
ii

t'
tt
On a: U+7. L'équation/(r) =g admetune iolution unique dans R- {--1}. Donc,/estunebijection.
i
,f-' esti'application de R - l- 2l vers R - {- 1} défi.nie par :.f-1 A = #
t-.,"

131
['I

'r'l
ô ilIxercice 2.f p.772 l-
Soit/ I'applicaüon de E vers F.
ï''1
,
I

o
fest injective. r /est non injecüve. /est bijective. /est bijective. o
f
estnon injective.
ï I

" fest nou surjective.


o
/est surjective. o
/est surjective.
0 Hxercice Z.gp, lZZ T']
I

" /est une surjection de K vers/(K).


" Démontrons que/est injective.
soit a etb deux éIéments distincts de K. on a i & <b ou a> b ; supposons a > b. l

f étant strictement croissante sur K, /(a) > f(b) ; donc : f(a) * f(b) et /est iujective.
On en déduit que/est une bijection de K vers/(K).

O Exercice Z.hp. tZZ


a)f est surjective et non injective. b) f est injecüve et non surjective.
i
T"1

üi

Y]a
rl
I

/:R+R+
r.+ [rl.
/:R+R+
Nr+x2
/:R+R
r**ax
i rl

ô Exercice 3.a p. 178 ï


:f,.,, (li.l a : D1- R+ et D/= R.
*.]

ill" üir atDfus=D/nDg=R+;Vre R+, (f+ d@)=2x. liï


ô Exercice 3.b p. 1ZB ül
r.. vre R-{1},;5 +z= Ltf;_JJ =l+*f@).
,TT

2. Posons : g(x) = , o" a f(x)=9(x- t) + Z. u


f :

Donc, (%y' est I'image de ({irr) par la translation clo vecteur f G)


i'r
I

S Exercice 3.c p. 178


: T'!
a7r Fosons : g(x) = f(- x).(%r) est I'image de ((6/ àJ Posons : h(x) = f(x);:(13;,) est la réunion des par- ,l
i:am lri syrnétrie orthogonale d axe (OI). ties des courbes d'équations respectives y =/(x) et
u
A = -f{x), situées « au-dessus » de (OI). 'fiï
\
\ ), / J
l(€),
\ l-l \' n)
ril
I
o I J I T1
/ o I

T.
c;r: i: ; .Dÿ = [- 3 ; ZI w )Z ; S]. On a : Dg = [- 4 ;- 2[L/ ]- 2 ; gl. ü

132
cl Posons : lc(.r) = f{x + 2). (€r)_ es^t I'image de (%/ dl Posons : {(r) = flx - z) - 3, (%r) est l'image de
,rl par la translation de vecteur 7 (-o') (.6/ par la translation de vecteur T(-'r)
I

4)t
t1
I. u
('Bt w
,/
J v o
Y6e)
c
\
I
^\
^ll
t.
\u \
\
"'ll
On a : Dr= [-6 ;-a[ u ]-a ; f]. Ona:De -[ 2;olu]o;sl.
O Exercice 3.d p. 17S
1. Posons : g{x) = f ; on a : f(x) = g(x + 4) - 7.

ti Donc, (€y' est I'image de ((}r) par la translation d.e vecteur I (-i).
2.V x e R,/(r) 2-7; donc,/estminoréepar-7.
u

LJ

t*
I
0 Exercice 3.e p. 178
1. Toute parallèle à l'æce des abscisses, passant par un point de [r ; to],
coupe Ia courbe en un unique point d'abscisse appârtenant à [- 2 ; L].
Donc/est une bijection de [- 2 ; 1] vers [r ; ro].
2.V x e [t;tO),f o g(x) =1$-",Ç11=x; donc :f-ltx) = g(x).
3. (qs) est I'image de ((€/ par la s5rmétrie orthogonaie d'axe la droite
d'équâtion U = x.

GÉxÉnartrÉs
-0Exercice 1 p. 179 :
1. On a : D;= R etD, = R* ; donc : g *f. 2, g et f sorrt égales sur R*

0 Exercice 2 p.779
i

V x e R,/(r) = l(r - 2)(x - 3)l ; donc : V x e [2 ; 3], P(r) = - (r * Z)(x - 3) = - x2 + 5r - 6.

ô Exercice 3 p. 179
7.DS= R - {1}.
2. L'application affine ayant même restriction que/sur Dy est g : x t--> 3x + 1.

0 Exercice 4p,179
1. Vre R,E{r)Sr<E(r) + 1;donc DS=R-2.
r'1
i

133
P,, x e 7n; n + 1[, x- E(r) > 0 ; donc, D, = ]n ; n + 1[ et g est une application.
a) V il
b) V x e ln ; n + 71, g(x) =
.,
e Exercice 5 p. 179
d=.
l
Un prolongement delà R est la fonction constante : r r+ _ 1..

'î Exercice 6 p. 129


l
l"SooSo=Id. 2.tiot?=t?*;,.
S Exercice 7 p. tt}
n" Soit M un point du plan. Posons : S6'(M) M'et So(M') = M" ;on a: Ss o So,(M) = M".
=
ür:MM" = 2O'lid'+ 2M'ô -.> + M" tzoÈ (M).
- =2O'O =
0n en déduit : So o §o, = tzo;ô.
2,tzoÀ,= So, o So.

t) Exercice B p. 179
oJ On a :ltno.f= R - {- S | - zl.

Vre R-{-s ;-zl, g " f(x)=g(s + zù = Zxz +'l.Ox + 73

blOna:Dro.f=R-{0;r}.
ffffi = TF*1gx+n'
Vre R-{0;1}, g " f(x)=g((zx; 1-r)) =(*,æ),
I Exercice I p. 179
Soitg:xè ax + bune application affine. On a: g o f(x)=f o g(x) a b=6o_6.
Donc, g o f=f o gpourlesapplicationsaffinesgdelaforme :g(x)=ax+6c_6 (ae R).
ù fixercice 10 p. 179
l.ona:D1 "nlr=R-fl-1/5 ,r-fl vre D;, osof ,ho gofu;)=-@h
2. CIlra:Droho/= R-{z}: Vre R -lzl,g o 11 o f(x) = AG:ZF_2, b
,â Exiercice 77 p.7Zg
Soituir-+
'x ; D:x'+12 et u):xèx*l,Ona:/= ttoüow.
Appt tcATIoNs pARTtcutEREs
ôExercice 1.2p.tlg
" ona :f(t)=+= L et f(z)=l=t; donc,/n'estpas injecüve.
, Vp e N,,f(zp) =T=p,f(O)= 0 etVp e-N*,/ (zp-1) @4!
= =O,
Donc tout entier naturel p a pour antécédent s 2p et 2p 7 s'il est non nu]
- ;/est surjective.
ô iixercice 13 p. 179
1". 0n a: Donc,/est une applicaüon de E x E vers E.
ExE
E

(0; 0) - f 2. f est surjective et non injective.


r. -->------_i i
(0; 1)
'- _:\___\ -0
(1 ;0) * >o'l
----+-----\
('l ; 1)
-
-'>'--"'- T

134
t*l
I Exercice 15 P. 179
injective. On en déduit que/n'estpasbijective.
n aJ. On atf(t)=f(+)= 1;donc,/n'estpas
H . Pourtoutz eZ,ilexistexe Rtelque z3x<z+'L et E(x)=2'
On en déduit que tout entier a au moins un antécédent par/; donc, /est surjective.
f\ ' r e\ pas bijective.
b.) . on a : f (x) = x(zx + 3) ; donc, f (q = f (_â) = o etln'est pas iniecüve. /n'est
il . on a : f{x) =z[(r+*)'-$] ; do"" : vx â R,.f(r) =-*'
pas surjective'
Un nombre réeL strictement inférieur à - * n'a pas d'antécédent par f ; donc, /n'est
M (a + b - 3 i b - 3) ; donc' i"est bijective'
cJ L'équatio n f ((x; g)) = {a ; b) admet 1a solution unique

il d) . Lenombre 1n'a pas d'antécédent Par f ; donc,/n'est pas suriective'


i-u r Soit a elb deux éléments de R - {2}.

.,i . On ,/(i) = f (+) = +; donc,/n'est pas iniective. On en déduit que/n'est pas bijective'
e.)
"
. Soity. to';"i]. L,éqiation-sinx = y adret au moins une solution dans lo ; æl ; donc,/^st suriective'
î
0 Exercice 16 P.179 - u+5
FloJSoitÿ€R.L'équationf(x)=yadmetlasolutionunique',=_-1-.
- Donc/est bijective etf-t(x) = =l§'

-' b) f estbijective etl-r1r, = ##. d f estbiiective etl-l((r ; s)) = (U+'3"


'
=tt")
d

I Exercice 17 P. 180
aJ Un nombre itpair n'a pas d'antécédent par/; donc, /n'est
pas surjective. /n'est pas bijective'
i..T
H b) f estbilective etf-l(x) =;h.
pas bijective'
., cJOn a : f (O) = 11- 1) = 0 ; donc, /n'est pas iniective. on en dd;duit que /n'trst
i résolvons dans R I'équation : f (x) = (a; b)'
dJSoit (a;b)e RxR.On a:f(x)={a;b) e rc=î=+ "t n=to'
n
Donc, un couple qui n'est pas de Ia forme ("r*),n'a pas d'antécédent
par,f ; on en déuit que/n'est
*i
pas suriective. Par suite, /n'est pas biiective'

-i 0 Exercice 18 P.180
1.f composée de deux bijections, est une bijection'
î os-1=t-?ot'
2.Ott"ri*.ot)o(f1 os-1)=Ide et (sot)o(t_1 os-1)o(sot)=Ide'Donc:1-7=fr
I Exercice 19 P. 180
.'' 1. soitM*o.
d ô";lü.iôrtl etffioffi'=2 ë 6L{'=Eh'
Donc, M' existe et est unique.

On en déduit que : Ôfr; * 0 ; c'est-à-dire : M'* O.


2. D'après la question 7:D1= I - tO).

SoitA e I -{O}. On a :/(M) =A <+ Or"r= 4'


OA
L'équation/(M)=A aune solution unique; donc,/estbijective' On a: f-l=f'
I
135
il
.l:lj: ::r .1 .,:'..:.

' : FoxcrloNs NuMÉntoues u


t Exercice 2O P, 1BO
aJOna : Dr= P- {r} et Dg = R- {- 1}. t
. Df*n- ffi - {- 1 ; 1}. Vre R- {- r ;tl, {fxg)(r) =;îT ;
., ; 0 ; 1). vxe R-{-r ; 0 ; 1}, (#)frt =;ff+p.
Ë=R-t-1 ü
b-l On a : D;- R - {- 2 ; 2l etDg = R - {- 2l..

. Dzf-ss = R - {* Z ; Zl. Vx e R - {- Z ; Zl, Qf-3gXr) = ##Y.


n
.Df*n=ft- {-z;zl.Vxe R -t-Z;Zl,(fxgXr)=
#
.D5--R-t- z;o;2).y xe R- {*z;o;zl,([)el=&. I
clOna:Dr=R-{0;1} et Ds=R-{-f ;O}.

. Dzf-es= R- {- r Vre R- {- r ; 0 ; 1}, (Zf-Sg)(x) =++-;}*


; O ; 1}.
I
nDf*n= ffi-{-r; o;1}. Vxe R-t-1;0;1}, tfxg)tx)=Vffi.
il
. r ru=R- t- 1 ; 0 ; 11. vr e R - {* r ; 0 ; 1}, (l)fA=#lr.
O Exercice 21 p. 180 I I
ü
1.on
",-*****=B o -3<x<3;
I l\(1

donc:Dg=[-3;3].
I

Tl\ i
t
(%r) est I'image de ((3) par la trauslation de
ÿ o
vecteur rCA T
,T
ü
I
r(1

n
\
r
z.a)on^, -*<-*<l
9 <-x<E'
o- 2
t
2'
donc : Dn =
[- i,+] n
((€1) est I'image du (%y' par la syrnétrie orthogonale d'axe (Oj.

bJ Posons : /c(r) =/(lxl).


(f(x),six>o (q)
Ona:lc(r)=J
LfÇx),sir<0 / \ I \
-*rP1 s* <+ o<l+t <ÿ o - I2<*.9,z',
I

donc:Dr=[-*';] / ri
(Sr)
li
I

réunion de Ia partie de ('€) d'abscisses


((€L) est Ia
positives et de Ia partie de [%r) d'abscisses néga-
tives.

136
",,.1

0 Exercice 22p.780
7. a) Y x e'R,. @ - 7)2.- 7 = x2 - 2x + 1 - 1 = xz - 2x = f {x), 9)t
bJ Soit (9) Ia parabole d'équation i lt = x2.
(%) est l'imagË de (9) par la translation de vecteur 7 (ir) \ I
I \/<*
\
ol

2. o On a:fi{x)=f(-x). . On a : fy@) = - f (- x) = - fr(x).


Donc, ((31r) est I'image de (S) par la symétrie Donc, (%6) est I'image de ((€4) par la symétrie
orthogonale d'axe (OJ). orthogonale d'axe (OI). On en déduit que ((€1) est
I'image de (%) par Ia syrnétrie de centre O.

(,8f, :q) lq)


I
\
[- \ t
\ I
\
I
\ / I
'l
I \. '/
2 I \
\%f,

. Ona:fs(x)= l/(x)l. . Ona:fn@)=f(x+7)+2.


i
Donc, ((6a) est la réunion des parties des courbes Donc, ((€4) est I'image de (() par la transiation de
d'équaticiis respectives g =f (x) ety = -/(r), si-
vecteur n
tuées « au-dessus » de (OI). G)
\ ('(
i,,rl l
('4fr"
\
\ 7 (c3 )
) I \-+
\ / / / \u
o t,/ \
C tr/
(q) \

t) Exercice 23 p. 1S0
7.a)D7=R-{3}.
b)v xe R-is),/(x)=çàü
I
=;!6*2.
I
=f
,.c4
2. Posons : g(x) o" a: f (x) = 9{x - 3) + z.
' lr
o,
Donc, (qe) gst I'image de (%r) par la translation t7 de
.l

vecteur A€)
f
une hyperbole de centre 0 ; donc, (%) est une
(%o) est
//
c
hyperbole de cenbe O', image de O par t;.
«n

\
I

137
,.'"|
I

I
tl
rf
' : ,-, i

;J-

,i
,1
..i_
ü
O Exercice 24n.1l8O
a) ÿ xe R, s(.rf = - s(* -*)' *
â =f(" -*) . -â. J

/t\
l%n)

Donc, (*Jfî,i'*age de (Sy' par la translation de rc


-lal I \
vecteurÉl i l. //
1

\s / I
//l \\
rl 3r\ \ *l
i

il i'r

b)V x€ R*, s(r) =


;ET
'\ zl
-, = f ç'- i) -, \
(s, *!
,1..
Donc, (!6r) est I'image ae (g/ par la translation de vecteur n T ',,U
I àt
er) ün-
l
l

(sp
't

c)Yx e l--;21,g@)=-f{z-r)+ 3=-f(- (x-2))+3. Jr-

Donc, (%r) est I'image de (%/ par la composée de :


T

- ia symétrie centrale de centre O,


- suivie de Ia translation de vecteur 7(32)
(-ft-k*2))+3,sir<2 ül
l

d)Vxe R,g(r) =l
L-f@-2)+3,six>2
Donc, ((r) est Ia réunion de deux parties qui se déduisent de la courbe ('4). T
I

. Sur l- * ; 27, ((3r) est I'image de (%l par Ia composée de :


* la slmrétrie centrale de centre O, I
l

- suivie de la translation de vecteur 3 (3) G


n Sur 12.; * *1., (€r) est I'image de («ll par Ia
composee oe : il
I

i\

- Ia symétrie orthogonale d'axe (OI),


- suivie de la translation de vecteur î (3) lï

t) Exercice 25 p. 180
a)g(x)=-f(x). b) s(x) = 3f (x) - +. II

x -4 0 7 3 6 x -4 0 1. 3 6
I

-4
I
I -',r
g tx) L-L \_1, g (x)
-[u \ {,
ô _,,1 -1,'/ ll
I

I
I

c) g(x) =/(x - 3). d) stx) = 1çt - sx).

x -1 3 4 6 I x -352^15
-3 u î 5
II
l

ô--_1,=. llo I

e@)
o-1, sk) -1, -t\ | -lr'z I

_1,/i -lu/ I
I

138
:, ",

l
:

I Exercice 26 p. 180
rc 1. On représentera (S) à Ia question 2.
1
j
L"
2.a)Y *e R, g(x)=f{x)+7. (q,
,lL b)Yxe R,9(x)=x3-1 (' )
Donc, (%r) est I'image de (13J par ,L =f{x)_1..
L
Fo
I la translation de vecteu.r 7 (?) Donc, ((€r) est I'image de ((€)_par
I
J
4 la transiation de vecteur 7(-or)
J

( v
rq /ç E I

l
t/ ('4s

il 6)
r^
I
il il

c)Y x € R,g(x)= (r+ d)Y x e R, g(xJ - (r- +3


r
I
=f(x+t).
1)3
=f (x-
L)3
1) + 3.
((r
I
t"" I I Donc, (Sr) est I'image de (%) par
ÿ
Donc, (€r) est I'image de (%) par
r
I
Ia translation de vecte".7 (-01). :s) la translation de vecteur 7 (â) Atri (q
t". '<e.
."s /o I
I
-+ o
r" u 4 I

I
t" I
I l l I
r"
I

t*
i Exercice 27 p.78O
1. vr e R - ft ,
f, Ft*) - g(x) = ffiffi .

Le signe de /(x) - g{x) est donné par Ie tableau .r _1 1 1.



2 c ,
ci-contre.
Donc : v r e * (zx*t)(zx+1.) +o-l-o+
,1
|- i - +1, f@) > s(x) ;
a +0-
vxeT+;+-[,f{x)<g(x), - 6x +'2
T@) - s(x) + îQu
2.s=]-â'o].
O Exercice 28 p. 181
1.vxe R,f(r) =#= ftff =t-Vfr1,
2. On en déduit que:Vx€ lR,
I=f A <l.Dotc,fest bornée sur R.

ô Exercice 29 p. 181
1. On a : Vxe l-* ;- 7L,f@) > - 4 ;donc,/est minorée sur ]-- ; - 1[ Par-r4.
Vre ]-1;+-[,,f(r) < 1 ;donc,/estmajorée sur j- t ;+ *[par 1.'
2.Ona: Vr€ l-1;3[,- a<lw) < 1;donc,/estbornéesur]-t;g[.
I Exercice 30 p. 181
ona:vre R, _t_4#* 1<§iL*#Tsl& <4x2 +1.

#+1,- - + -4<-+
or:1>-'L=>0 - et -+ S4;donc,Vre R, -4<f(x)<+.
r- xz+L x"+1--
lll On en déduit que/est bornée sur R.
üJ,

,r
'I
1.,,"

139
I
tl

L
ili
i

-. I

2
l

Donc: VMe R, f rrr# lf tx)> M;c'est-à-dire,/n'estpas majorée sur R.


lr

z.f&)<rn e+ *.*;t.
Donr:: V rne R,3r .U;L /f@)<rn; c'est-à-dire,/n'estpas minorée sur R. J

.:.r,tii,:
O Exercice 32 p. 181
!.rj:r.l
tritlr:,.
t.e)f(x)=**{= 2-*fT *J

blSoitMe R.
-SiM=2,f(x)>2 ë x<-3. J
-siM *z,f(x)>M <+ {"-j-, (+ .r>srp(-r,z.+fu-).
1*rffi -J
Donc: VMe R, f xr#s. lf@)>M;c'est-à-dire,/n'estpas majorée sur R.

cjSoitme R. ùt
- Si m = 2,f(x) < 2 e r.rrl1,
I
I

-Sim*Z,f(x)<m* 'r€ )-3t*L' [.


,€l-3;;3m
I

t, .*c+
Donc: v me R, rr< <m;c'est-à-d.ire,/n'estpas minorée sur R. I

*/f @) I

d)V x€ [- 1 ;1], - 7sf(x)<];donc,/estbornée sur [- 1 ;1].


2. a) Ota : Vre R, 2 < 3 + cos x < 4 idonc : Ds = R.
bjPosons:ü=cosrr.
Ona:re R <+ te [-r;r] etg(r)=/(cosx)=f{t). I

Or:V ü e [- 1 ; 1], -tsf (t) <]; donc: Vxe R, - L sg(r) estbornée sur R.
=*.r"rsuite,9
,) [xercice 33 p. 181
î1**$,sixe [-3;-1]
1."Ona:f(x)=Itz : (a)
l,!**f,sixe [-1;1] I

2. Toute parallèle à I'axe des abscisses, passant par un point


,d.'ordonnée appartenant à [- 1 ; 3], coupe la courbe en ur I
unique point d'abscisse appartenant à [- 3 ; 1]. Donc/est b l

une bijection de [- 3 ; 1] vers [- r ; S].


3. (€1-r) est I'image de (%) par la symétrie orthogonale d'axe I
I

ia qlroite (À) d'équation i ÿ = 5. È-

r {sercice 34 p. 181 zf' T

L"Soitxe [-*;+-[.
(
I I

-
I

z r;->-1 a) I

(x=u2-7
i-1na:f(x)=ÿ<q.l 2 e) I 2 ir
LÿZx+1=U (y>0 .3f I

L'équation f (x) =!r a une solution unique dans [- ] , * *1 ; donc, /est 7,


|t
bijei:tiveet : Vxe [0 ; +*[,,f-r(r) = *' 'l
I

;t.' Â l/ t |
il

2. tt€,i-r) est une branche de parabole. vet I


.
f

[@"1^) est I'image àe ('4r-) par la symétrie orthogonale d'axe Ia droite (À) d'équation : y
= -s,

140
t

t
Ô Exercice 35 p. 181

rr
1. a) o/estunJbilection de Rvers R et: Vxe R,/-1(x)
2
={:1. (( ")/

tl* (%1) est I'image de (((i1-r) par la symétrie orthogonale d'axe la droite (Â)
d'équation iU=x.

t
J
7
- I
7 Z.
%l
I
r
li
t-
o^.
r gestunebijecüon et:Vre R,g-r(.r) = {-T't'.t= -ffr)
r
{,"
de R vers R
(q
\ .. .1
\ -a
(%,) est l'image de (.€, -r) par la symétrie orthogonal. l*l ," at*l ,, I

d'équation U = x.
li' \
t.- Y
lT'
I

2. a) .On a : g " ftx) = g(zx+ 1) ; donc :

- si 2x+ 1 S 0, g(Zx +1) = - + t) ; r(% "f) (^)


ltZx
I

-si 2x+ 1 > 0, g(Zx +1) = - 3(2x + 1).

r- Donc : 8
f -r- !,sixr-+
f(x)= J(--u*je. ri *,
o
-7z
I
I

. On a : îg o f)-1 =f-7 o g-7. \(c4 )

I
c-Lx-a.sir<o
Donc : (s " fl-rtà= J\z',
_:_ r.'rr r, o

I ('4g. yyr) est I'image de (%r..r) par la symétrie orthogonale d'axe la droite (Â) d'équation : y = a.

Ctri
E Exercices d'appronfondissemenf _' lr4, ffi

t) Exercice 36 p. 181
L.-oxeD1+s1.n (+ r€ D6 et h(x)e Dy*n ë r e D1 et h(x) e Dln D'
i: . re Dyo h)+lg oh) (+ "r e Dy.n rr Dr. â.
e D1 et h(x) e D1
(+ [x r e Dy. et h(r) e D1n Dr.
:: tr. no et h(x). D.ro
Donc : Df*s) o r, = D(fo h) + (g o h).

. e DV* s) " 1,, (lf + g) o h)(x) = lf + g)(h(x)) = f (h(x)) + g(h(x)) = f


On a : V.r o h(x) + g o Hx)
=(f" h+g " h(x))'
Donc: tf+g) o h-fo h+g o h.
l

2. On a : D6+sr) o h=D(fo h) + (s.h) = R - 11 ; 2).

::
. vr e R_ {1 ; zl, h " (f+ s)(x) = (+:*. f,*)r.

Généralement, (a +b)z*az +b2;donc :h " {f + d*t o f +h o g.

i
(

141
j

I
I

I
4

-:

ê Hxercice 37 p.78t ,,ir ,,


I

1" §oit a, b, a' et b' des nombres réels tels que.:/(r) = aN + b et g(x) = a'x + b'.
On,a: g f(x)=g(ax +b) - aa'x+(a'b+b');a.a'et{a'b +b') sontdesnombresréels, doncg o festafËne.
" I

2" La représentation graphique de g o /est une droite (As ,1.


Donc, pour construire (4r.y', il suffit de construire deux points A et B de (ar.y'.
Sn:iî (Â) Ia droite d!équation U = x,
J
Poun construire le point A d'abscisse r^ :

. on détermine Ie point M^ ae (^rl d'abs- (Âs)


f (x^1
cisse x4, puis le point N^ de (Â) ayant J
même ordonnée/(ra) que Ma ;
, I'abscisse f (xd) du point N^ de (À) est
également celle du point Pa de (Â,) ayant I

"
mêmeordonnée g
"fkt) queA;
' oil d.étermine le point Pa, puis Ie point A
qui est Ie quatrième sommet du rectangle J
construit sur les points MA, NA et P^.
"-;------j----.-.;
De façon analogue, on construit le point B. I
I
I
0n en déduit ia droite {Ln ). *J
"
A

ê Exercice 38 p. 181 ..I


l",SoitAcB et gef(1\).
(-i.na: Uef(A)
=r 3x e A,f(x) =ÿiorxe A :+.r€ B;donc/(x)e/(B),c'est-à-dire Uef(B).
On en déduit que :/(A) cf tB).
2" o Ona:ÿe f(lv B) =+ f re A vB,f(x)=g
+ 3xe A ou.r€ B,l'@)=g
- gel(A) ou Uef(B).
Donc rl'(A u B) c/(A) u/(B).
o D'après la question j. : A c A u B
=+ /(A) cf (Au B) ; i

BcAUB +,f(B)c/(AuB). .lI


Donc :/(A)u/(B) c/(A u B).
On en déduit que :/(Â u B) =/(A) u,f (n). l

J,i
3. olD'après laquestion 1 : A n B cA *,f(a n B) c/(A) ;
AnBcB + f(/'nB)c/(B). I

:/(A n B) c/(A) n/(B).


I

Donc .lr[
i

bJ Soit A e f(A) 3 x e A et f u e B, f(x) = f(u) = y.


^f(B) ;
Or :/injective etl(r) n
=f{u) :+ .r= u ; donc :r e A nB et ye /(A nB). L
On en déduit f (A) ^f (B) cf (A n B) et f {A nB) =,f (A) (B). r
: -!.
4. G:n a : A n B = [0 ; tl ;f(A^ B) = [0 ; 1] ^f 4f
;
ftrr) =[o ; s] ;f(B)= [0 ; 5] ;f(A)ô,f(B) = [0 ; 3].
I

Donc:/(A aB)*f (A) n/(B). -t

+
I Exercice 39 p. 182 c
iil
I

ort veut comparer s 1fu) g o /(tr) dans crracun des cas suivants.
" ù
't
a) l'est croissortte sur E el g1 est croissctnle sur F,

142
I
1".
I i'
1l
L :,', *
On a : a < b a f ta) s f (b) glf @)) s gtf tb)) ; c'est'à-dire que : g " f @) < g " f {b),
Donc, la fonction g o f est croissante sur E.

rI b) fest croissante sur E et g est décroissante sur F.


Ona: a<b*f (a)<f (b)+ g(f (a))>gï(b));c'est-à-direque: g " f (a)>9. f (b).
Donc, Ia fonction g o f est décroissante sur E.

t c) f est décroissante sur E et g est croissanfe sur F.


On a: a<b+f (a)>f (b)+ gV@))>g(f (b));c'est-à-dire que: g " f (a)>g " f (b).
Donc, la fonction g o f est décroissante sur E.
t d) fest décroissonte sur E et g esf décroissanfe sur F.
On a : a <b + f (a) > f (b) * gV @» < gtf(b)) ; c'est-à-dire que : g " f (a) < g " f(b).
Donc, la fonction g o f est croissante sur E.
t 2. a) Sens de voriaüon de f
Soit o et b deux nombres réels tels que : a < b. On veut comparer a3 et b3.
0n a : b3 - as = {b- a)(bz + az + ab).
I Or : b-a> O et b2 + az + ab > 0 ; donc :b3 > a3 ; c'est-à-dire :f(a) <f(b).
La foncüon/est strictement croissante sur R.
Sens de varîaüon de g
t: o Soit aetb degx nombres réels de ]- - ; tl tels que : o < b.
On veut comparer - 2(a- 1)2 + 3 el - 2(b - 1)z + 3.
Ona: a<b<l = a-1,<b-1<0;
I la fonction carré étant décroissante sut ]- - ; 01, {a - 1)2 > (a - 1)z ;
donc: -2(a- 1)2 + 3 <-z(b - 1)2 + 3.
t La fonction g est strictement croissante sur ]- * ; 1].
. On montre de Ia même façon que la fonction g est stricternent décroissante sur ]1 ; + -1.
b.)Sens de variation de g o f Tableau de variation
ï Ona:/(l-- ; 1l) = l-- ; 1l et f(lt ;+-[) = [t ; +-[. x l-æ +æ
. .,;Êest strictement croissante sur [t ; + -[ et g strictement décrois- I
sante sur/([l; + *[) ; donc, g o f est décroissante sur [1; + -J.
I . f est stictement croissante sur ]- - ; 1] et g est strictement crois- s'T@)i./ \ 3

sante sur/(]--; 1]) ; donc, g o f esl croissante sur ]-- ; 1].


On a : g " f (7) = g(1) = 3. {'
T cJ Sens de voriaüon de f o g Tableau de variation
On a :90-- ; 1l) = g(17 ; +-[) = ]-- ; 31.
o g est strictement décroissante sur [t ; + *[ et f est strictement T -æ 1 +æ
ï croissante sur ]- * ; 3] ; donc, f o g esl strictement décroissante sur 27
[1 ;+-[. fo g{x)
o g est strictement croissante sur]- - ; 1] etlest strictement crois-
ï sante sur ]-- ; 3] ; donc, f o g eslcroissante sur ]-* ; 1]. -/\
Ona:î.g(7)=f(3)=27.
ï O Exercice 4O p.1,BZ
1. Soit a etb deux éléments de E tels qte : f (q) = f (b).
On a :/(o) = f(b) + f {f{a)) = ftf(b)) + a =b ; donc,/est injective.
r Soit y e E.
Ona:/[r) =U + fV@D=frû + x=f{g);donc,/estsurjective.
On en déduit que /est bijective et f-t = 7.
z.a)Yre R-l1l,s o g(x)=g(s(x))=#*=xi
donc : g o g=Idn-trt et g-7 = g.
r bJ on a : Vr e R - {r}, g(x) = b*fS =, * 7 _ r1-.

ï
143

,"f
i"!

*-r

,r
c,)Posons rt(*)=T. I
6rr a : Vx e R- {1}, g(x) = h{x -1) + 1. I

üo*n, (%) est I'imagg-de (t6r) par Ia translation de vecteur 7 (i) ,/ (Â)
J
I

dj Soit M(x ; ÿ) un point du plan et M'(x' ;y') son image par ia J


symétrie orthogonale d'axe la droite (Â) d'équation : y = 'a' « )
L

(Jna:x'=ÿety'=.r. ,/ I

.lJ-
lvf e (€) e y=g(x)
(+ .tr= g-t{g) / I I l
I

Z\ l

. <+.r=g(ù (carg-rad Y
(+ M'€ («). 'f
,/
Donc, (À) est urr axe de symétrie de ((3).

ô Exercice 4l p.782
/est une appliJation, donc chacun des n éléments de E, a exactement 1 image dans F parl l

a/ Si/est injective, alors }es n images dans F parf, sont 2 à 2 distinctes ; donc : n 3 p,
bl Si/est surjective, alors chacun desp éIéments de F, est I'image d'au moins 1élément de E par/; T

d.onc: n>p. J-
cJ Si/estbijective, aiors/est injective et suriective ; donc : ns p et n àp - n = p.
dl Si/est injective et n =p, alors les n imagesZd2 distinctes dans F parf, sontles n éIéments de F.
On en déd.uit que/est surjective, donc est biiective.
t
rl

e./ Si /est surjective et /r = p, alors chacun des p éléments de F, a exactement 1 antécédent d,ans E Par f i
donc :/est injective. On ei déduit que/est bijective. L
0 Exercice 42 p.7BZ
*)' .'rt'
I
t" si 0n a: f (x) = - 2F- 2 (A) L
)/
bj Fosons : g{x) = - 2x2 ; on a : V r e R,/(x) = .9(* - *) . {t. C

Donc, ((6) est I'image d1l. ((€r) par Ia translation de vecteur 7 ayant
\ /
/
\
\
I L
fior.rï coordonnées ft' ?l c I

2. Fosons : h(r) = l-2x? + 5rl = l/(r)1. I L


(€n) est Ia réunion des parties des courbes d'équations respectives ! = f G)

[x) ety-= -f(x), situées « au-dessus » de (OI).


On désigne par (Â) la droite d'équation :ÿ = 3. L
aJOna:l-zx2 +Sxl =3 <=+ h(r)=3.
Les solutions de h(r) = 3 sont les abscisses des points où (A) coupe (%1).
L
La lecture graphique donne pour ensemble des solutions' {-+ r ; }; ; s}.

L
l.es solutions de I'inéquation lr(r) > 3 sont les abscisses des points de ((lr,) situés au-dessus de (Â).
t-atrecruregraphique donnepourensemble des soluüonsrl-- ,-+1'.-, ]r;â[t ]r; + -[.
t_

I
L
I
t__
144
"..t

I
!
I

0 Exercice 43 p.182
Expression s dàs fonctions f + g, fx g et - 2f + 3g'

T x -æ 0 2 +æ
ll

f {x) xzoxz4-2x
lr
u s(x) *+2x O 2x 4 2x
ff + g)(x) Zx2+2x O *+2x I 0

u {îx g)(x) #+zf i: z* 1'6 -4*


tl
(- 2f + sgXr) .ri+6r o -Zx2+6x 4 1or

t: -Expression de la foncüon f o g.

x -- -1-ÿi o 1 +æ
u s(x) *+2x I
l
x2+2x ? z* 2 ar
g(x) - z + 0rtl - -2 0
'
+

tl 1@@)) -zg(x) 1 @@»' ? lqtùY 1-2s@)


f" g(x)
fr
V r e R,/o g(à = f rg@)) ; donc comparons g(x) à2'
tl (r<0 [r<o
ona:{
vtrG' e+ r . (+ - 1-\Æ <r< o;
ts(r)< 2 -llxz +zx'2<o
(r>0 (x>o
tl on a:'l <+ I <+ 0<r<1;
[g(r)<2 Lzx<2
On en déduit Ie tableau ci-dessous.
rl
ô Exercice 44p,7BZ

t:
l.Soitre R-{0;1}.
fi est une biiecüon et fr-r = 1r,
.,
6fi f1
rt
f,
f,
fi
f3
f+
fi
fs
fs
fo
fa

f, est une bijection et fz-l - Tz' î, f, f1 fS f6 fi fi


f3 t3 f(, rt fs f4 fp
il fi est une bijection et fr-t = Sr.
lo T4 fs fo  f, f3
f est une bijecüon elfn-t = 1n.
fs fs f, fs fz 1o fi
f est une bijection et fs-l - fa. fo f6 f3 f4 fz fi fs
ti f, est une bijection et f6-1 = fs.

ti O Exercice 45 p.782

o rd Sn tu S6

td rd 56 Ss sÂ
t" S6 S9 td S6 Ss

SO tu 56 ld Sg

t: s S4 Sg Sg rd

t-

145
J"*
L,;

','-:t.,'i r.rr

i ô- Éâuations,
: r

inéquationsr systèmes t
", r,:. ... .

linéaires I
(poges 183 à 202 du livre de l'élève)

L
o Metre à la disposition des élèves de nouveaux outils pour la résolution de problèmes du second dqgxé.
. Consolider les procédés de résolution des systèmes linéaires.
L
. Ce chapitre compiète les connaissences acquises par les élèves en classe de.seconde en mettant à leur L
dispositiôn un nouvel instrument pour résoudre les problèmes du second degré :le discriminant. Il permet
en outre de réinvestir les acquis sur la représentation graphique des fonctions polynômes du second l{
degré.
5.
. On étendra à R3 les méthodes acquises dans les classes précédontes pour les systèmes de R2 (sbstitu-
tion et combinaison).
La méthode du pivot de Gauss est un procédé de résolution par combinaison. Elle nécessite une organi-
sation rigoureuse des calculs, mais ne fait pas appel à des connaissances nouvelles.

Problèmes du second degré .


Calculer Ie discriminant d'rm polynôme, d'une équa-
. Équations du second degré. tion du second degré.
- Discriminant d'un pol5môme, d'r:ne équation du se- . En utilisant Ie discriminant, dans des situations qü
cond degré ; légitiment cette méthode : l

- Formules donnant les racines (resp. les solutions) - étudier l'existence des solutions d'une équation du
éventuelles d'r:rr polynôme (resp. d'une équaüon) du second degré ;

second degré ; - calculer les solutions éventuelles d'une équation du


j- Expressions de la sorlme et du prodüt des solutions second degré ;
I

ld'une équation du second degré. - écrire sous forme d'rm prodüt de polSznômes du pre-
I mier degré un polynôme du seconde degré ;
|
. héquations du second degré. - étudier Ie signe d'un polynôme du second degré ;
- Règles dorrnant le signe d'un polynôme du second - résoudre une inéquation du second degré.
degré suivant le signe de son discriminant et du coef§-
cient de -rÿ. . UüIiser la somme et le produit des solutions d'une i

équation du second degré poru :


É.IJ'rtio* et inéquations se ramenant au second degré - calculer I'un connaissant l'aure ;
. Equations et inéquaüons de degré supérieur à 2. - déterrriner der»< nombres connaissant leur somme et i

- Équaüons bica:rées ; Ieru produit.


- lnéquations bica:rées.
. Résoudre des équations ou inéquatins bicarrées.
. Équaüons et inéquations irrationnelles. . Résoudre des équations ou inéquations i:rationnelies
du §pe:
Systèmes linéaires d'6quations et d'inéquations
-\,m=Q(r) i

- vFtr > ek) ou vF(r) > e(.r), I

- \ÆGr] < Q(x) oo tÆ(r) < e(x), où p et e sont des po-


lynômes tels que deg(P)s 2 et deg(Q) s 1. L

. Résoudre des systèmes de trois équations linéaires


dans R3 ayant une solution unique :

- par substituüon ;
- par Ia méthode du pivot de Gauss,

146
Ef Exercices du cours
0 Exercice 1.a p. 190 -
i
;l
QS=a bls={+} c.)s= t!;ll d.)s = tÿi; -ÿzl.
I]
0 Exercice 1.b p. 190
oJ l est solution évidente etP = -l;
1I

'l* dorl ,-|estl'autre solution.

b) - Test solution évidente et P = - f ; dor", f est I'autre solution.

; aorr., solution.
cJ 1 est solution évidente et P = ft ft ".,l'autre
r
t,*
d) a eslsolution évidente et P = 1 ; donc, a est I'autre solution.

t) Exercice 1.c p. 190


a,)s = ft;ll b.)s = t-*; sl cJS={',ÿa dJS=R.

O Exercice 1.d p. 190


1. Â' = k2 + l. Donc, pour tout nombre réel k,l'équation admet deux solutions distinctes r, et xr.
2. On a :.r1 x xr- 2k et r, + xz= - 2(k + 7).
Silc<0,rr ( o<xz; silc=0,11 = -2 et xz=a;si Ic> 0'rt (rz < 0'
0 Exercice 1.e p. 190
On a : 2rRh + 2nR2 = 600, où R désigne le rayon du cylindre et h sa hauteur'
I
I
Onsaitqueh=lSidonc,enprenantfi=3,onal'équation:R2+15R-100=0;Â=252etR>0'
Donc : R = 5 et V = rcRzh = 7 725 cm3'

t) Exercice 2.a p. 194


aJ Onpose: X=x2.On a; S = {- r/z;ÿzl.
blOn pose : X= x2.On a : S = {- :Æ ;-r ; r ; V6}.
c.)-1 estune solutionévidente de l'équation'Donc :f -7x-6 = (.r+ 1) (x2-rlO). S = {- 2;-L;31'
d)2 estune solution évidente de l'équation.
Donc : f - x- 6 = (r - 2)(* + ?-r + 3). Le polynôme * + 2x + 3 n'a pas de racine ; donc : s = {2}.

r) Exercice 2.bp. 194


a) (x +1)a 2 - t)z e r(r + 3) (x2 + x+ 2) 2 o.
(x
Or : Vre R, * + x +2>O; donc : S = ]-*,-3] u [0, +*['
bJ On pose : X =r- 1. (r- 1)4 - 7(x - 7)2 + 72 <0 <+ (X-2J(X + zXX- Vs)tX + 1/!-) . o
e (x- 3Xr + 1)(r- 1 -\Æ) (x- 1 + V5) < o,
Un tableau de signe nous donne }e résultat suivant : S = l- 7 ; 7 -Vet u lf + VI ; S [.
c)t et- 1 sont racines du polynôme # - x3 - 7xz +x + 6.
Donc:#-f -7f +r+6>0 c+ (r2-1)(*-x-6) >0 <+ (x+1)(r-1Xx-3Xr+2)>0.
i

{*
Un tableau de signe nous donne Ie résultat suivant : S = l- * ;- Tlu l- 1 ; f[ u ]3 ; + -['

0 Exercice 2,c p. 194


gr"-r' - lf +-r+ 1= 7)z e (3r+
7)2=o. Donc: S
a)r,Eii= t3x-1>0 {r(ax-
tx>-3 = {Z}

b)l*+4x+1=(2x+1)2)0.
Donc : \/;4+6=\/Ç;ÇEca1 (+ l-sx + 6 =4x2+4r+ 1 êâ 3x2 +9x-5 =0.

147
i

A= r+r. Donc : 5 = 1=§


-6 --\ÆZî. ;

c],On éiève au carré, on obtient : 4 1 2 rr{-s,. 91a 1 3; = 4 (+ VÇx +ïJ1xǧJ s.


= t
Cette équation admet deux soiutions : x = L etr = - 3.
Ces deux nombres sont également solutions de I'équation initiaie. Donc : S = {t ; :- 3}.

i Exercice 2.d, p. 794 !i

oJ . Toutnombrertel quex- 1 < 0 est solution. Donc : S, = ]-- ; + 1].


o si r > 1, on élève au carré : x2 + sx 2 z x2 zx + 7 a 2xz sr + 3 < 0 <+ (x
- - - - - 1 ) (2x - B)s 0 l

e 1( *=t; d.onc: S, = tr ; fl.


Par suite : S = Sr Lr 52 = ]-." |
*1.
bJ . Toutnombrer, tel que -r
+ 3 S 0, est soiution. Donc : Sr = [B ; + -[.
I'

r sir< 3, on élève au carré : 2x2 - 4x + 1.) xz-6x+ g <+ (x + 4Xx-2È o.


Donc:Sz= J-*;-41 \J [2;3[ etparsuite, S = Sr uSz=]- *i-4)u [2;+-[.
cJ L'inéquation est définie si x >1. On élève au calré, on obtient : Zx + zÿfr <r (+ z\F - .t
< -.r.
Pour tout x tel que.tr ) 1, cette inégaiité est impossible. Donc : s @.
=
i Exercice 2.e p. L94
1. P(x) = *,@, - 5x + 6 - §- .
#) = r, [(, * +),- uk *
*) . n] i

J
2. 0 n'est pas racine du pol5môme p. pour x * O,on pose : X =r + 1,
x
.Ona:P(r) =0 e+ X2-5X+4=0 c+ (X-r) (X-+)=O
<+ (x.+-1) (x+ *-nt =0 (+ (x2-tr+1)(xz -4st+1)=0.
x?-.tc + t n'apas deracirrô;donc:S I{z -rt;z+.rÆ,.
. Ona:P("r) >0 <+ xz-4x + L>0. Donc: S =l- *,2-V51 ,, [z+tÆ,+*1. l'
I

IExercice 2.f p.794


On pose : AB =x. On en déduit : BC =r + 1 et aC fÆz+E + fP
=
Ona: aC=?AB <+ \/?+C+ÿ=2x ë *r*ÿ+1)2= 4x2 e Zxz-Zx+L=0. J
Donc, deux solutions : *, = at x, = **; on re retient que Ia solutibn positive , t +-ÿg .
4
ô Exercice 3.a p. 199
a)S={(r;s;-1)} b, s = {fr, - r, *r,- 5), À e R} c)S=A.
}1,
i

t) Exercice 3.b p. f gg

1.:,
t.={(^,-T^*t,-2)"+r),r.. m} bt s={(uu* 6,-ztt-1,p),p. R}.
2. Les deux systèmes ont une solution corrmune s'il existe ), et p tels que :

6À=5U+6
<+ Lasolutioncommune est donc Ietriptet: (1 ;r;-1).
l-+^*t=-zp'-1
[-zi,+].=Ë
{t=:r.
Lr
i

0 Exercice 3.c p. 199


l

olS = {(4;-z);(-2;a)} àJs = {(r -V5 - ; 1+ V5) ; (r +ÿi ;- r -Vd)}. ét

IExercice 3.d p. 199


soitx, y, zles pourcentages respectifs de blé dans chacun des sacs. on a :
L

[5J.+3y=8x62,5(+ f5.r+3y=S00 (x=64


(3y+22=ZBO+à (z=S0
J5r+22=7x60 JSx+Zz=4ZO .ly=OO.
(3ÿ+22=5x56 d
1

148
t, "

t-_
I

fl
I

[, "
Ex,ercices dtapprenfissoge
ÉouArtoNs ET txÉouAltolts Du sEcoxD orcnÉ
t) Exercice 1 p.2OO
P(1) = 0 ; P(x) = (x- 7)(x - 2).

O Exercice 2 p, 2OO

r 2estracinedupolynômeP <+ P(2)=0 <+ a+2=0 <=r a=-2'


I
On a : p(r) = ?xz + 2x - lZ = Z(x - 2)(x+ 3). Donc, 3 est I'autre racine du polynôme P.

lË 0 Exercice 3 p. 200
i
aJPk) = 4[(r -r)'-1]= 4(x-l)t* *ll;] ",-]
sont les deux racines de P'

bl Q(x) - 2(x - 3)2 ; 3 est la racine double de Q.

c.) Rk) = *l' * {}t , n n'a pas de racine.


Zl{x -
d.)S(r) =zyu--if -T*f = z@-z)(x*gr'z et-f sontlesdeuxracinesdeS.
ll
il
0 Exercice 4p.2OO

1i
i
-
Ona : P(r) = a(x + 2)(x-iil rdeplus, P(o) =-3 <+ a='!'.Donc : P(r) = xz +
lx-t
ii

O Exercice 5 p. 2O0
ti dS=lû,;-V5) b; s = tV,l.
{l
.z + a2 +-Lez - zll.
dl s = t4l.
,l

O Exercice 6 p. 200
lr
a)b - o b)(b + za){b-2a)> o c)c=A d)la-Zb+c=o.

I Exercice 7 p,2OO
P(x) = 2x2 + x+ 1. Â = - 7 tdonc : pour tout nombre réel r, P (x) > o.
li
!i

0 Exercice I p. 2O0
x +æ
rl
il
k a)P(x) =(x-,;'.+ P(r) +

x _, 5 +.æ
1,
,
li
b.) Q(r) = Ztk * *), - r#t = z@ - l)@
+ z)
ok) +0-0+
tr

rl

ri x +æ
cJR(r)=-[(x *LrY*ff1 R(r)
ii

drs(r) =-zlt*-*)' -f.t =-z(x-zx*-ll


x -æ 1
z
, +æ

s(r) 0+0-
tl

rl

i Exercice I p. 200
-! l

il aJS=[-3;1] brS=l-*;-tlw)!; +-[ cls=1-r;ll


tL, djS=R e)S=@ .f)S=l-*;*r[u]3;+-[.
--"1

149
t:*
r.i l

0 Exercice 10 p. 200
T"[2)-0 <+ m2-3m-4=0 (+ m=-'].oum=4.
l-a snmme des racines est : 2 + xz = 3m; donc i x2 =
!71- 2.
Si rm =- 1, alors xi= -5 ; si m= 4, alors xz= 10, lr-

O Exercice 71p, 2OO


p=-T
", n=+.
Ona: l-

ê Exercice tZ p. ZOO
Ona:L'=m(m-2). lj

n Si m e lO ; alors Â' < 0 et p n,a pas de racine ;


21,

' si nre ]-* ; u ]2 ; + *1, alorsÂ' > 0 etp a deuxracines distinctes


0[ ;
o si rn = 0, alors Â' 0 et p a une racine
double : 1
. si m = 2, afors P(r) = -2 etp n,a pas de racine. - ;
=

ô Exercice 1.8 p. 200 I

On a: L'=3m2 - 9m + 6 = 3(m -]_)(m-z).


L. P a deuxracines distinctes si et seulement si m e *[.
]-* ; 1[ u J2 ; + i

2. P a une racine double si et seulement si m ,J_ oü trl Z, .J-


= =
" Si m = 1, alors Ia racine double est - 1 ;
u si m 2, alors la racine double est
= 1. : l
l

..,r
Ô Exercice 14p.2OA
(Jna:#=r*Ë <+ lc =r* l.Donc: kz-k- L= 0;or Ic> donc :k=
0;,uv.Àv,,t- 1+ÿi. l
I

k ,-.
J-
BC

§ootale ET pRoDUtr DEs RActNEs I

ô Exercice L5 p. 200 -t
ces nombres, s'ils existent, sont les solutions de I'équation : .lf
- sr + p = 0.
a)x2+x+L2=O ; S=@ b)xz+9r+20=0 ; S={(-S,- );(-4,-S)}
l

rJru2-3x+4=0 ï
; S=@ d1*z-*tD,+|=o ; S= t*t*r.
.)ExerciceL6p.200 I

(x+U=t ( .Jl-
I

{ïI =:. * {î;j:.i


soit x et y ces àe*x,,ombres. on
" t;:', = _. '*
xU6*U6 i

xetg sontles solutions de l'équation:xz-x-(i = 0;donc: s = t(- 2,r);(s,-z)1.


ô Exercice 't7 p. ZOO
ï
§oit r, g et z les dimensions du triangle représenté ci-contre. IL

ç z = t/çJ oz (1) !.1


Di:a:.1 ** y+z=30 (z) xi I

[ ]'Y = 3s (3) *
11) r,i i2) + ÿ7; rF= 30-r-ÿ iT

. =+ +gr= go0 +xz +yz-


xz 6ox-60y +2xg J
=) 900 - 60x - 60y + 't2O = O

=+ ,x + A = 17.
et g/ sont solution de l'équation : 12 1.7x + 60
"r: -
(li'''t-rouvei -r=5ety=r-2;donc:z=LB ou J=
= 0.
1,2ety=s;donc :z=1,3.s={(5, .r,2,1.a); (12, s, 13)}.
,, H',(().-rrrice 1S
p. 2O0 É,
Soit.ryetyles dimensions du jard.in. On a, J(x+ 6Xg + 6) = 630 39
gO0 trÿ = = Jr+y=
1*g =
gOO

150
I
ti

xelU sont les solutions de l'équatiorl:x2 - 39r+ 360 = 0;À = 752L- 1440 = 81 ;
:4- donc : t =!9+g =24m et I = *# = 15 m.
iÀ"
IExercice 19 p. 2OO
Itl- On pose : x' + x" = S et x'x" -- P.
{l
t5lz-tP- 25
a]Ona:l 4 (+ f'=T
[P=-3 [p=-s
fl''
;l
.S=* + sr .) 2 rS=-+
+ sz ={Ç2,ll,rl,-zll.
tr=:a ={(2,-ll,r-*,r»"1;=-r'
r
it
L'ensemble des solutions est : S, u S, = {(2, -
tl t r-
t, r, t (- 2, L) t (*, - ilt.
.s_1 fs=-1 ,nendéduit:s={(-
b-lon"'{Ë=â
n
ti
tp=-6(+tË=:i;onendéduit:s={(-3'2);(2'-3)l'
C S2-2P __25 fqz--ao.
1
clona:{
l-:
P 'tz (+ {"
.q-
il
( p=-* (p=- 1
4 J 3^ 7
.S=
+ sr- {(+,
e -ît,t-î,1»",{;
l
I
{r=9+
t^ --5 4 a o t. =-i = s, = t(-3,o lt,r!,-â1,
--5 - - o

L'ensemble des solutions est : S, r.r 52 = {(f, - Tl, t- +, ?, e +, ll ; f$,- âlt


0 Exercice 2O p,2OO
On a : L' = mz - 3m + 4 iP = m - 3 ; S = - 2(m- 1,).
Le discriminantdeÀ'est- 7;donc, 0 pourtoutm e R etie polynôme a deuxracines distinctes.
il ^'>
r Si m < 3, alors P < 0 ; Ies deux racines sont de signes contraires ;
. sim>3, alorsP>0 et S <0; les deuxracinessontnégatives.
Cos particuliers
i

. si m= 3, alorsP = 0 et S =-4, donc :rt' = 0 el x" =-4 ;

. si m= 1, alors S = 0 etP - -z,donc : x' =-ÿ1 et x" =û.


0 Exercice 21p.2AO
Ou a : Â - (2m + 1)z - 4(mz + 7) = 4m- 3 ; donc P admet deux racines si et seulement si : m e tf;+*t.
Onpose:a+p=S et 0F=P.
o.)Ona:uz +p2 = 29 <=+ 32-ZP =29 ayZm+7)z-21*z + 1) - 29æ2mz + 4m- 30 = 0 êm- -5 ou m=3.
Seule la valeur 3 convient
i Alors, ona: P(x) --x2 +7x+70;lesracines sont: o= 5 etP - 2 ou o, =2etÊ = s.
il
bJOna' ls-Fl = 1<+ (o -9)2 = 1<+ 52 -4P =! æ(2m+ 1)2- 4{mz + 1) = 1 e4m-4=O êr,n=7.
Ona:P(r)= *+3x + 2;lesracines sont:cr=-1et 9=-Z ou s= -2et9=-t.
ii
Li

ÉouATroNs BrcAnnÉes
ii 0 Exercice 22 p, 2O\
ii
aJS-t-e;s;-fi.;tÆl b)S=@ c,s={-,Æ ,rEï d)S=fr.
ô Exercice 23 p.2O7 rxz =X
i,i* Ona:f+{m-2ÿçz+m+ 1=o (+
{xr*(m-z)x +m+1 =o'
a,)L'équation admet quatre solutions distinctes si et seulement si :

r^>0 (m2-Bm>0
JPro
( S>o
<+-lm+r>o (+ me)-1 ;o[.
L-m+Z>o

151

-:rm$rst
_
4.

*J

,bJL'dquation admet deux solutions d.istinctes si et seulement si :


l

i^>ü o (rn2-8m>o" <=+ ,""el--;-t['


[Ë.ô l;-;;'; ll
cl Si m '= - L, P = 0 et S = 3 ; donc : X = 0 ou X = 3, L'ensemble des soiutions est : {0 : li ;- V3}.
O Exercice 24p.2Ol
Cnpose:X=12.Ona:
# -zlaz +b2)x2 + {a2 -b2), = 0 <=+ x2 -Z(az +bz)x+ {a2 -b2)2 =o
(+ \= (a+ b)2 ou X = {a-b)z

L'ensemble des solutions de t'eq,ruîor, ;, ;$ '[ ,lu,î' ;1":!T b, a- bl.


ÉquATroNs ET t x Éo uATt o N s I RRATT o NN E t ! Es
O Exercice 25 p.ZOt
oJs = ,-
frt^r[*, brS= tU*, ciS=151 d)S=@.

ô Exercice 2,6 p.ZOt


a)S=A àj s = {1}.

ê Exercice 27 p.2O1
olS={0} Us=t-!1 es=@ dr s = {*}.

#âîÏi,3T Ï,,',i""ens que


r--- si:{-,2x'+ 3x + 5 > 0 (+ I"' I-' ' *l .
[x,-9>0 t*=]--;1Sl u[3;a-[.
Ces deux conditions sont incompatibles, donc l'équation n'admet pas de soluüon dans
R.
t) Exoncice 29 p. ZO1-
û,)§=[1 ;+-1 bJS=[0;1t c]S=lr ;3[ d./S=]-2;-rJutf;rt eJS=t-1;ÂJ.
r),irxercice 30 p. 201
cr;lS=l--;-rl bJS=[4;+*[ c)S=@ dlS= [5 ;+*1 e]S= t];+-t, .flS= f];]f.
SysrÈr*es llxÉArREs
S Exercice 31 p. 201.
o] On a : D = m- 1- ; D* = mz - t; Dy = 6/e
. Si m* t, S - {(nr + I ;ÿz - t)}. -1Xm - 1).

, Si m= 1, S = {(1 + (ÿZ +1)À; À), Àe R}.


,bJ Ona : D =
-g ; D, = 2m +3 ; Ds = W.
4m2

* Sivn *| et m*-
*,orauncouptesotution 'S= f(#-,æ*,)),
. Si m=
*,I" système estéquivalent à: lx-39ÿ6= 1, donc :S=@.
n Si rn = - a,Le système est équivalent à : 3x+
3yV6-= - 1 ; t =,(-â-^aÆ ; i.), i,. m).
n
rl
ô Exercice 32 p.ZOL *-
ce i,listème admet un couple unique de solutions si et seulement si D * o.
Cn a:Il=9-m2; donc:D*0 <+ me R-{*S ;Si.
Û,D,e;l)'=(m+1)(_m+2);Dy=m2_4m_1;S={(fulffi:a,W)l,

152
, 1,,

l
0 Exercice 33 p. 201
aJonBor",x=a Y=a. on obtient ; donc : s = {(-}'-}lt'
fl
I
et :
{i=:;
t"
:X=r+y Y=r-v' on obtient' *3 ; donc : s =(*;ÿ-z)1.
r"
b.)onpose et {:=
'2\I
=--

- 1,,
Conditions nécessaires : X> 0 etY2 0.
c,)On pose : 7=tG et Y= {.
I on obtient,
{T==f,
8 ; dotc : s = @'
X) 0 etY> 0.
dJon pose : x= * et Y= y2. Conditions nécessaires :
rr
dot"' s = {(Vt, 0) ; (-V5' o)}'
L- onobtient,
{f= i ;

rL O.Exercice 34P.2O1
aJOnpose: S =r+y e! P =-rry. Or- obtient: P =- 2 et S =- 1'
L'ensemble des solutions du système est : t(- 2,7) ; (1, - 2)l'
rt. blOnpose: S =r+y et P =r!,. On obtient: P =-1et S = 3'
L'ensemble des solutions du système est : s = {(Ls ,UF, , é!P'UF''
I - 36 = o î x2=9
(+ ] ,=-*
", {lo-=o!;u -
on en déduit: s = {(- 3,2); (3, - 2)}.

r {iîr I x+o
(+ t{,,-=I ëà On en déduit : S = {(- 2, o) ;,*, - *1,.
d)
l;i'-or=r;=", {Ër;; [ = ; 3i; i - +
,

rt* O Exercice 35 P. 201


Le système tle contraintes définit une zone du plan (zone non hachurée.) où elles sont
réalisées.

r 1. Soit F Ia fonction définie par : F(r, A) = x + A'


F(x, ÿ) sera maximal lorsque la droite (Dr) d'équation r + ÿ = k passera par A, le
point d'intersection des
' droites d'équations 5x + 49 = 40 et g = 7'

1""
on a : donc : F*o(r, s) = e,4.
"(';-);
2. La fonction F sera maximale en nombres entiers en trois points 1

de Ia zone hachurée z (z,z); (3, 6) ; (4, 5).


Pour chacun de ces points, orr a : F(r, y) = 9.
I

I 3. Soit G la fonction défi.nie par : G(r, A) = 2x + U'


G(x, y) sera maximal lorsque la droite (Dz) d'équation ?-x+g=1ç
1i
passera par le polnt B(3) ; donc : G*o(x, ÿ) = 16.

G(r, g) sera minimal lorsque Ia droite (Dz) d'équation 2.x+y=ft


passera par le eotnt c(3) ; donc : G,o;,(x, ÿ) = 3.
,l

0 Exercice 36 p. 201
I a/S = {(-1,2,3)} bls = {(3,3,-2)} c.lS = {(1,0,-1')} d.) S = l{- ÿi, - {2, - \/ù]r.
lExercice 37 p.ZOi-
ll
Une équation de la parabole est : y = - x2 - 2x + 3'
ll
t) Exercice 38 p. 201
}'q- On désigne respectivement par x, g elz les nombres de bananes, de mangues et d'aaanas.

153
F,I

:_.
x, g e! z sont des nombres entiers naturels vériûant le système : [**A*z=1,2
[25x+60y+ 8Oz=64O'
,. (x+y+z=tz (x+!+z=1,2 (
On a : J S.. * 1^2g + 762 = 1.28 oIzs+t12=ôB ,*.1 U=5. uf
[xe N,y€ N,ze N [xe N,ye N,ze N t
1 Exercice 39 p. 20L
l

( ab = SZ n-
On désigne pæ a, b et c les dimensions de ce pavé. On a : ] bc za.
=
Ica=96 I

on muitiplie membre à membre les trois équations de ce système ; on obüent : (abc)z 28 x 32 x,J,3z.
!
il
=
On en déduit : abc = 24 x 3 x L3 = 624 cm3.

fl
l

Exercices d'oppronfondissemenf
0 Exercice 4O p.2O2
On a : S =P = /., ulr"" : S =r + y et P =xU. Ll

xetg, s'ilsexistent,sontsolutionsdel'équation:12-tcx+k=0.Ona:Â= tc2-4lc=k(k-4);douc:


. si k e )o ; qL le problème n'a pas de solution ;
. si /c = 0, Ie problème a une solution : (0, 0) ;
. si /c = 4, le problème a une solution : (2, z) ;
'si/ce l-*;0[u]4;+*[, Ieproblèmead.euxsolutions 'lk={A
\ ' Ic+rÆi) 2 z ",
1k+lfl,.
\ z
r.-rÆt
2:L ,t

t) Exercice 47 p. ZOZ
Ona: L.=m2(m2+Zrn+g). L

Lepolynômemz+2m+94-pourdiscriminant-8;d.onc:YmeR,^>0etl'équationad,egxsolutions
ex et B, distinctes ou confondues.
Io* Ê =-m(m + 3J ( Zrnz + 4m=O l

'Jna:JoP=-' oJo=-. Donc:m=ooum=-1.


(cz=B (Ê=u2
.Sim=0,alorscr=Ê=0. I

o Si m --z,aors cx=-2 et
9= +.

') I:lxercice 42 p. ZOZ


l

1. SoitP Ie polyrrôme déflni par: P(x) - (.r-a)(x-bXr-c), où e,b,cdésignent les


dimensious du liwe.
On a : P(r) = it - (a + b + c)xz + (ab + bc + ca)x - a.bc.
-
(+t"+b+c)=1Bo
On sait que : J z(ab + bc + ca) = 1, O7Z ; donc : p(;) f * 41xz+ S36x- 900.
=
[abc = 900
2.P(2) = 0; on en déduit: P(r)= {x-2)(x2 -43x + 4s0) - (x- z)(x-18xr- 2s).
Les dimensions de ce liwe sont donc : Zcm, Lg cm et 2b cm.
F!
o)Exercice 43 p.2OZ i

'On a : (2 -Zx)(L - 2x) - 1- e Axz- 6r + 1 = 0.


(}ette équation a deux solutions
= 0,19
\s !-f,$ = 1,31.
tt
", I

De plus, il faut : Zx <L ; donc, est la largeur de la bande coloriée.


#
t) Exercice 44 p. ZOZ l

;i.a)o Sire to;fl,ona:


CD = AM=.r êt ED = EM-DM = MB -AM = L - Zx ;

dnnc:.d(r) =T*t,-2x).
fig.z Ët

154
ll-
o If ; 11, on a : EF = MB = 1 -ret
Sixe
BD = MD - ME = AM-MB =r- (1 --r) - 2x - 7
l1
;
L ,4

donc : d(r) = (, - x)(?s - r).


fi- à
I

],L*
. Six e to ; ar), on a : .d(r) = Ic <=p z"* - x + 2k = a' . Six e 1l ; ü,on a : .dk) = Ic <+ li - ex + 2k'r 7 = O.
bJ
On a: Â = I - 8(2k + 1) = t - 16lc ; donc :
ii" On a: Â = 1- 16lc; donc :

ii- - si Ic < 0, pas de solution, car.d(x) > 0 ;


si Ic < 0, pas de solution, car
'{(r) 20
- ;

ll'' - si Ic = o, deux solutions : I ett ;


rl - si Ic = 0, deux solutions : O et f ; < x" < 1 i
ü"
- si o < rc < +, deux solutions : T.*'
- si 0 < L < *', deux solutions : 0 < x' < *"'l ;

Ln; - si Ic = +,une solutio" ' f ;


_
I
- si Ic = #, une solutio",
,l*
- si k, *,.r"t de solution.
- si Ic, fr-, pas de soiution.
ii"
d
il

2. a) La courbe représentative de la fonction


estiaréunion de deux parties de paraboles :
1

T
i-
. la parabole d'équation. y = | x 0- 2x), sur
I'intervalle to ;
):
;
fl
,]
. la parabole d'éguation y = T t, - x)(Zx - l),
sur l'interva[e t]; r1.
I
I
I
bJ On retrouve les résultats précédents en
considérant f intersection de cette courbe avec (

r" Ia droite variable d'équation : U = k.


i

La fonction s4 présente un maximum en et en


f f'
l f fxercice 45 P.ZOL
I

flt - xz -(1 -x)21


1. On a : sû(r) = ;

r d'où:d(r) = ÿ?f +x).


Ona:s0(r)=Ë * - x2+x=}o 4x2-4x+1=0 o *=L2
I

2. On utilisera une méthode graphique.


I

.
si /c < o, pas de solu-
r
i
tion ;
t..
. si Ic = 0, deux solutions : 0 et 1 ;
I
I
I
. si o < f .l, deuxsolutions: o <r'< x" <1;
rI . si Ic une solution :
f
I

I
I
= f, ;

t
de solution.
' si Ic >
â, Ort

Par le calcul, on résoud l'équation : n* - tx + 2k = o'

ll"'
155
,l-
ry-1
x"f

CHxercice 46 p. 202
On illustre les trois positions successives du messager par les schémas suivants.

.Position i eo j gr
": o i
Le messager part de A^
i : I tanière-gàrdè)
iA, t-
ffi
I | l:.19':!gçlg"iveen
(avant_garde)
81 il

positions:--- i r^
i
:
iL #,t911ess9ge1rgvientenAe
^
a"
, i I
i;: i(anière-Sarde)
on désigne par u et v les_vitesses respectives d.e l,armée et du n.essager (v >
u).
soit Ûr'Ie temps mis,par le messager poru arri",rer à l'ava^rt-garde de I'armée,
la' distance 4081, et t, Ie temps mii pËur revenir à I'arrière,
c,est-à-dire pour parcourir
It
clest-à-dire pour parcourir la dirt"oËe Èrar.
on a :
{âË; = flil:f,f; *
1Yi; ;hi,ï
(1) . De prus : AeA, s0 ; donc : urÉ, + tz)
= =5o.
= I

r-1=§O
Onpose:x=Y;ona: (1)*{ 1' + l -u(t,+tz)-"
?t:.o"endéduit'x-'1.
l) x+1.- cu x+'L -r'| S0 J
ütz
1'),--;;l'= I
;- çç -a; -2x-l .=0.D'où:x=L +1D,.
I

,t-
La distance totale parcourue par le messager est : d V(t,
= + t2).
Doirc:#=+ ='J.+ÿz et d.=50(t + ÿù,a=.tzo,zytJrt. Y
J
ê Exercice 4Z p, ZAZ
0n désigle par ff, g et z les quantités respectives de grains produits pâr une ry

tx>y>z). gerbe de chaque récolte


J
(*=77
lzx=r+a (u-n=, 123
Ona:13U=t*, <*{ * -L29=5 *J , =#' I

l,*=r** [r=rr-, L=!-


\23
ô Ejxercice 48 p. ZOZ I

cn désigne Par r, y, zles chiffres respectifs des centaines, dizaines, unités du


nombre n cherché.
Cna:n=100r+LOy+2.
(**U*z=1,7
l

( Sx+Z=72 r=5 U
On a :
J
fOOy + 1Or + z = + 1.Oy+ z + 360
tOOx l**O+z='J.ZeajU=x++
ê1-x*y=4 (+
(L00z +'tÙy +r ÿ=9.
= t00r + 1.Og + z _.t98 ( -x+ z=-2 I z=x-2 z=3
(Jnadonc:n=5g3.

cn désigne par x, u et ? les prix respectifs d'un ananas, d'une mângue et d'une papaye
pnytl par Ia troisième cliente. et par p le prix

{r**5g+42=620
ona:J:** 5y+z=530. Ilfautdémontrerqueia3eéquationdecesystèmeestunecombinaisondes
i

l2x+79+Bz=P
rlerur premières, c'est-à-dire déterminer deux nombres réels
a el btels que :
2s: .r.',7ÿ + Bz = a(2x + Sg + 4z) + b(3x + Sy + z).

{ Za+3b=2 (o=4
I),:,,;: lsa.+Sb=7 .=-l " .O.rendécluit: P=+x620-f"530=e40. {t
l4o+b=B (1,=-3-

156
t,"

I
I

0 Exercice 5O p.202
du bassin'
On désigne .FÉtr r, g et z les débits respectifs par minute des robinets A, B et C et par V le volume

t ('* v =*
V -_ V
I
on a:.f v *r=Ji- . On en déduit ix +a * r=*; donc
''=*,y æ''- ?r'
l

[**'=JL
l

1. I1 faut respectivement 30, 60 et 20 minutes aux robinets A, B et C pour rempiir le bassin.


2. Il faut 10 minutes aux trois robinets pour remplir Ie bassin.

O Exercice 5l p.2O2
Deux sommets-quelconques ont deux faces en com.muns, donc ils ont deux nombres en communs ; or ia
sogrme doit être constadte. Ceci n'est possible que lorsque les troisièmes nombres sont identiques.
Il est donc impossible de trouver une telle situation.
0 Exercice 52 p, 2O2
(a+b*c=15 (a+b+c=15 (a=4
,i Ona:l roof+1oc +a=Tooa+1ob +c+432 e{ - 7'La+10b+ c=48 <+{ b=9'
il
I foo" + 7oa+ b = looa + 1ob + c- 243 [-roo-b+'].1c=-27 [c=z
I

ï*
l

ï"
j t..

t,.

r
1,.

r:
u

t:

tl I

,:

t:

il
157
*t
[J'
!,1

l-

-t-

11. DénombreJn,ent
(poges 203 à 224 du livre de l'élève)
I

Maîtriser les notions de p-uplets, iurÉrngements et combinaisons polrr résoudre des problèmes concrets
de dénombrement.

Le langage introduit dans la deuxième leçon ((co'mpiéments sur les ensembles) n'est certes pas indispen-
sable mais trop répandu et universellement utilisé pour être ignoré. L'objectif essentiel de cette leçon
n'est pas I'acquisition de ce vocabulaire mais d'attirer I'attention des élèv-es sur les deux associations
d'idées suivantes :
Jr-
. partition - sonune ;
. produit cartésien - produit. I
I

L'àxpérience montre àn effet que beaucoup d'élèves confondent les situations où iI faut additionner les
cas et celles où il faut les multiplier, Les outils de dénombrement introduits sont : p-uplets, arrange-
ments, permutations et combinaisons. Il y a traditionnellement deux façons d'innoduiie cês noüons :
J-
I

- celle partaat de Ia notion de p-uplet ;


- ceile partant de la notion d'application d'un ensemble fini dans un autre.
On a préféré la première pü rapport à la seconde pour deux raisons :
- elle est plus concrète et donc plus opéraüonnelle pour les élèves ;
- Ia notion d'application injective, introduite seulement en classe de première au chapitre 9, est trop ré-
cente pour Ies élèves.
On a cependant mentionné, pour chacun des ouüls introduits, les deux points de vue.
Les éièves ont été habitués à manipuler les arbres de choix dès Ie premier cyc1e. On pourra utiliser ces
derniers pour illustrer certaines démonstrations d.e cours, ou pour résoudre des exercices. On évitera ce-
pendant de les utiliser systématiquement, I'objectif de ce chapitre étant de mettre au point des outils
plus performants.
La principale difficulté pour un élève confronté à un problème de dénombrement est de choisir le bon
outil. On I'habituera à exercer ce choix peu à peu en partant de situations simples et diverses.

Premiers outils pour dénombrer . Reconnaîre ies situations dans lesquelles on doit uti-
. Utiliser un comptage. liser trne partiüon et celies dans lesquelles on doit utili-
.
.
Utiliser ul diagramme.
Utiliser un arbre de choix.
Compléments sur les ensembles
ser un produit cartésien.
l
. Cardinal d'un ensemble fini.
. Partition d'rrn ensemble : I

- définition;
- cardinal de Ia réunion de deux ensembles.
. Produit cartésien d'ensembles
- définition ;
:
l
- cardinal du produit cartésien de deux ensembles.
p-uplets, arrangements, permutaüons
. )éfinitions: l
- p-uplets d'un ensemble ;
- a-mang. ments ;
î I

- permutations.

",j
'! 58
't
. Lien'ent€: . Calculer AP, pour de faibles valeurs de n et p le plus
t: - p-uplets et appücations d'un ensemble ffni dans rapidement possible sans utiliser les factorielles.
unauEe;
" Calculer AP, pour de grosses valeurs de n et p avec
- .urangements et injections d'un ^ns:mble fini I'aide de la calculatrice.
dans un aute; . Utiliser Ia notation factorielle dans les calculs.
- perrnutations et bijections d'un ensemble ffni dans
un aute. . Calculer Cp, pour de faibles valeurs de n et p le plus
. Fonnules: rapidement possible sans utiliser les factorielles.
- du nombre de p-uplets d'un ensemble fini ; . Calculer Cfl pour de grosses valeurs de n et p avec
- de AP". I'aide de Ia calculaEice.

Combinaisons
- définition ; . Bien différencier les trois notions fondamentales :

-propriétés; p-uplet, arrangement et combinaison.


-formule dubinôme; . Choisir la notion appropriee pour résoudre un problème
- tiangle de Pascai. de dénombrement.

u.

rl
t-r Exercices du cours
0 Exercice l,ap.2O7
On procède par comptage. On peut descendre l'escalier des façons suivantes :
I
1+1+1+1+1+1 r possibilité L + 1 + 1 + 3 : a possibilités ;
1+1+l+l+2 5 possibilités 7+2+3 :6possibilités;
l
7+1+2+2 o possibilités 3+3 : t possibilité.
I

2+2+2 r possibilité soit, au total, 24 façons de descendre I'escalier.

O Exercice 7,b p. 2O7


I On peut utiliser un arbre :
il y a 5 façons de choisir la première couleur,
4 façons de choisir la deuxième couleur,
I 3 façons de choisir Ia troisième couleur.
On peut donc constituer 60 drapeaux différents.

I I Exercice 7.cp.2O7
choix de Hr F:
On utilise un comptage ou un arbre de choix,
Fr Fr
I On obüent I façons possibles. choix de He Fr F:
llt IA
Ft,

I /\
F+ Fs

lll, tll ttt


choix de H3 Fr Fc Fr t+ Fr Fe F, Fr Fs

r-
L- chcix de Ha F: Fr F3 Fq Fp Fl F3 Fe Fr

i Exercice 7.dp,2O7
a,)Dans Ie mot ACCRA, il y a deux A, deux C et un R. Soit 7,2, 3,4, 5 les numéros d'ordre des lettres :
t_ . il y a 5 façons de placer Ie R : 1, 2, 3, 4ou 5 ;
. le R étant placé (par exemple en 5), il y a 6 façons de placer les deux A dans les quatre places res-
tantes : 7 et2, L et 3, 1 et 4, 2 et 3, 2 el4,3 et4 ;
t: . le R et les deux A étant placés, il y a L seule façon de placer les deux C.
Il y a donc 5 x 6 = 30 anagrammes du mot ACCRA.
bl It y a donc 6 x 10 = 60 anagrammes du mot BAOtsAB.
t:
On aurait pu utiliser un arbre de choix.
ri
L]
159

tj
*. --,.,..r.,,.,.1

*J-

(de I'effectif toial) de garçons n'ayant


J
o/o (de I'effectif total) de filles
= 9,4
n'ayâDt j^- redoubié.
55x18%
=9,9 7
45x12%
i ,J
"is
Llonc :

1.Il y a : 9,9 * 5,4 = 1,5,3 o/o d'éIèves n'ayant jamais redoublé. 55 - 9,9 = 45,1 % 45-5,4=39,6Vo
i,
2.Il,y a : x 100 = 64,7 o/o de fllles parmi les élèves D'ayanf
*ffi
jaruais redoublé. î i

0 Exercice 2,ap,277
Card (9(E)) = 24 -- 1.6.

0 Exercice 2,b p. Zti-


1. On a : Mr = {q; A;10 ; 16} et M, = {g ; rS ; Zf }.
Donc : M, u M, = E et M, n M, = @.Par suite, M, et M, forment une partition de E. i

2. On a : M, = {4 ; I ; 10 ; L2 ; 16 ; 19} êt M, = lS ; tZ; 15 ; 18 ; 21}.


M, u M, = F, mais M, n M, = {1,2 ;18}. DoncM, et M, ne forment pas une partition de F.

ô Exercice 2.c p. 2L7


1.M-z,MretMuneconslitucnt-pasunepartitiondeEcarMruMruMu*8. IlyaeneffetdansEdes
nombres qui ne sont ni dtrs multiples de 2, ni des multiples aL s ou de o,-par exemple, 5.
De plus, M, n M, =Ma* O.
z.h"[r= {a; z;4;6;8 ; 10 ;...; b0}, Card (Mz) = 26 ;
i
I

lv{, = {0 ; 3 ; 6 ; 9 ; ... ; 48}, Card (Ms) = 17 ;


lv{u = {0 i 6 ; L2; 18 ; ... ; 48}, Card (Mr) = 9 ;
MruMr= {0 ; 3 ;4 ; 6 ; 8 ; 9 ; 10 ;... ;4s ;46 ;48; 50i,Card(MzuMe) = 34. I

Cn a : 34 = 26 + 17 -9, donc, Card (Mr r Mu) = Card (Mr) + Card (Mg)


-Card (MJ.
S l;,xercice 2.d,p.IL1 l

tr-c-squ'on divise un nombre entier naturel par 5,


il y a un reste unique qui est O, !, Z, B ou 4.
Donc,EouEruEruEruEn=NetlesensemblesEo,El,E2,Ere.Ensontdeuxàdeuxdisjoints.
80, E1, E2, Er et En forment une partition de I'ensemble N. l

J
i

S Exercice 2,e p. 21.L


1. E = {t ; 2 ;3 ;1 ; s ; 6}. Le nombre de résultats est égal au nombre d'éléments de E x E, c'est à dire : 86. I

..!
2. On désigne par le couple (a, b) Ies résultats du tirage : a pour le dé rouge, b pour le dé vert.
Les résultats pour lesquels la somme des deux nombres est supérieure ou égale à g sont : -l
{8, ü), (4, s), (4,6), (5,4), (s,5), (s,6), (6,3), (6,4), (6, s), (6,6),Il y a donc 10,cas possibles. J
I

S Exercice 3.a p. 215 ,1


Chaque langement peut être représenté par un quintuplet (a1, a2,. . . , a5), où al est Ie numéro du üroir I

ayant reçu la ième paire de chaussettes. Le nombre de rangements est donc égal. au nombre de quintu- r.l
plets d'un ensemble à 3 éiéments, c'est à dire :35 = 243.
I

J
I

Chaque résultat du concours peut être représenté par un triplet {ar, a2, ar) où a, est le nom de Ia fille
ayant rec-rr le ième prix. Chaque concurrente ne pouvant recevoir qu'uD seul prix, ce triplet est un Erran- ,1
J
I
gi'lr,-rert. Le nombre de résultats possibles est donc égal au nombre d'arrangements de 3 jeunes fi.lles
pi:ises parmi 12, c'est à dire : .Llr= 1. SZO.
I I

.J
160 , ..1
I 0 Exercice 3.c p. 215
,l
Il y a autant.d'alfonements possibles que de permutations de I'ensemble des 6 athlètes, c'est à dire : 6l = 72o.
I

:
O Exercice'3.d p. 215
l
ll" On peut tracer autant de vecteurs que de couples de points distincts. le nombre de vecteurs est donc
il
lt égafau nombre d'arrangements de dèux éléments pris parmi L0, c'est à dire : Ar2o = 99.

rl
1
0 Exercice 3.e p. 215
II y a 6! façons, c'est-à-dire 720 façons, de disposer les 6 drapeaux.

0 Exercice 4.ap,278
r 1. II faut choisir un sous-ensemble de 3 éléments dans l'ensemble des L0 paires de chaussettes ; il y a
i
donc Ço = 720 choix possibles.
2. De même, on a : Cr3o x C?= 1zO x 10 = 1 200 choix possibles.

0 Exercice a,b p,278


1. Il faut choisir 4 élèves parmi 45, donc : Câs - 148 995 choix possibles.
2. I1 faut choisir 2 filles parmi 25 et 2 garçons parmi 20, donc : C2rux Cïo = 57 000 choix possibles.
3. On dénombre les bureaux ne contenant pas de filles :Câo - 4 845; le nombre de bureaux contenant
au moins L fille est donc : 148 995 * 4 845 = L44150 choix possibles.

I Exercice 4.cp,278
Il faut choisir 11 garçons parmi 25 et 5 filles parmi 1.5, donc : C]] x Cîs = 13 385 572 200 sélecüons possibles.

I Exercice ,dp.2lB
1. Pour tracer une droite, il faut choisir 2 points parmi les 10, donc : C?o = 4S droites.
2,lly a autant de triangles que de combinaisons de 3 points pris parmi 10.
Le nombre de triangles est donc : Cfo = 129.
3. Il y a autant de quadrilatères que de combinaisons de 4 points pris parmi 10.
Le nombre de quadrilatères est donc : Clo = 2tO.

0 Exercice 5.ap.227
a)Ily a 8 hauteurs possibles pour la paire (4, R, D, V, 10,9,8, 7);pour chac,lne d'elles, il y a C! choix
des 2 cartes qui composent la paire et Cl, choix des 3 autres cartes.
1
Le nombre de tirages contenant 1 paire est : B x x CZa= 157 248.
C2n
I

b) Il y a Cfr choix possibles des hauteurs des deux paires ; dans chaque cas, il y a C24 x Czn choix des 2
cartes qui composent chacune d'elies et 24 choix pour la Sème carte.
Le nombre de tirages contenant 2 paires est : C2u x C! x Cznx24 = 241.92.
l

c)ïly a 8 hauteurs possibles pour le brelan ;pour chacune d'elles, il y a Clchoix des 3 cartes qui com-
posent Ie brelan etCl" choix des 2 autres cartes.
Le nombre de tirages contenant 1 brelan est : I x C[ x
I

L. Czza = 72 096.
dillyaShauteurspossiblespourlecarré;pourchacuned'elles,ilyalchoixdes4cartesquicompo-
I
sent le carré et 28 choix pour }a 5ème carte.
Le nombre de tirages contenant 1 carré est : I x 28 = 224.
e) Tl y a 42, choix possibles des hauter:rs, dans 1'ordre, du brelan et de la paire ; il y a C! choix des 3
I
cartes qui composent le brelan et Czn choix des 2 cartes qui composent la paire.
t.-
Le nombre de tirages contenant 1 full est : Afr x Csnxc'?n= 1344, 1

L I Exercice 5,b p,227


10 !
aj Il y a 270 = 1 024 résultats distincts ; bl Cfo = n!(10-n!) ' v)'
^t,to-(Cfo+Clo+Clo) =LOZ4-56=968.

t._

161
l'
"']

I Exercice 5.c p. 221-


1, a) Gsrrx Czo = 17 tOO z. a)C3sx203x 62 =2880000 ; b)265-ZOs =B 681 376 ry
b) CZ6 - C:Zo = 50 276. c) 265 - (zo x zsx24x23x22) =3 gB7 zz6. l

0 Exercice 5.d,p. ZZl


1.. On a 310 - s9 049 résultats possibles. I
2. ol Pour arriver à un total de 15 points on peut avoir : J
5x3+5x0ou4x3+3x1 + 3x0 ou 3x3 +fi x1 +1 x0.
Le nombre de possibilités est : C!, x C[ + C], x C[ x C! + Cl,, x Cÿ x C1t = S ZSZ.
i
..l.
bl On cherche le nombre de résultats dont le total T est strictement supérieur à 25
;
o T = 26;8 x 3 +2x1,, c'est-à-dire Clox "1
Cl = 45 résultats,
o T = 27 : I x 3 + 1 x 0, c'est-à-dire Clo x C! t0 résultats,
=
,t
o T = 28 : 9x 3 + L x 1, c'est-à-dire CloxC]
= 1"0 résultats,
.T=29:impossible,
.
T = 30 : 1.0 x 3, c'est-à-dire t résultat. -t
Le nombre de résultats dont le total T est strictement supérieur à 25 est donc : 66.
Le rombre de résultats dont le total T est inférieur ou égal à 25 points est : 59 049 J-r
- 66 = Sg 9g3.
cJ on cherche Ie nombre de résultats dont le total est :nférieur ou égal à 3
lT
. T = 0': L0 x 0, c'est-à-dire 1 résultat, ;

. T= l. : L x L + g x 0, c'est-à-dire CloxC] = t0 résiultats,


I

oT = 2 : 2 x'J. + B x 0, c'est-à-dire Clox C! = 45 rés[ltats,


o T= 3:1x3 + 9x0ou3x 1, +2x0, c'est-à-direCloxCfl+CloxCf
I
= 10 + 1,20= 1B0résultats.
Le nombre de résultats dont le total T est inférieur ou égal à 3 est donc : 1g6.
Le nombre de résultats dont Ie total T est strictement supérieur à 3 points est : 59 049
1g6 = SB g63. -
E Exercices d'apprentissoge î I
rl{
PanrtrtoN D'uN sENsEMBIE, pRoDUtr cARTÉslex.
ô Exercice L p. ZZ2
On a : Card (A uB) = Card (A) + Card (B) -Card (Ao B). Donc : Card (A n B) = 6.
b
I
J
I Exercice 2 p.222
On a: P *R r'rC u L et C = R n L * A.DoncR, C et L ne forment pas une partition de p.
I
I Exercice 3 p.2ZZ
1'Iiya0partitionà1sous-ensemble,3partitionsà2sous-ensemblesetlpartitionà3sous-ensembles.
Il y a donc au total 4 partitions possibles
l
2'IIy a0 partition à l sous-ensemble, T partitions à 2 sous-ensembleset6 partitions à3 sous-ensembles.
Il y a donc au total 13 partitions possibles l
I Exercice 4 p.2ZZ
On a:Eo uEr-u...uEs =E;de pius,les ensembles Ee,E1,..., En sontnonvides et d.euxàdeux
disjoints. ]
Donc, les ensembles Es, 81, ..., E, forment une partition de E.

0 Exerc ice 5 p. ZZZ l


| 1. Tout élément de P ne peut être élément de Er, Er,Eu ou E, sinon il ne serait pas premier.
P'éciproquement, tout élémeni de E\(E, y.El. Eu u Er) est premier car s'il rre i'itait pas,
un diviseurégalà 2,3,5 ou 7. Donc: p =E\(Ez uÉ, uÉu unr). ----- r--' iI ad.mettrait 1
J
2'Ona:E=Pu_Er-uEr-uEuwET;mais,cesensemblesnesontpasdisjointsdeuxàdeux:par
exemple 6 e E, n Er. Donc, les ensembles p, 82, E3, Es, E7 ne forment pu, F1
,rrc partition de E.
162
,,I
ii,
l!,

0 Exercice 6 p, 222
On désigrte pr. r, A el z les cardinaux resPectifs des ensembles A, B et C.
comrllun de 18 et 15'
On a : xU = lg etxz = 15 ; d.onc r est un "rrti". naturel, distinct de 1, diviseur
1,''
i
I

.. On en déduit : x = 3. Donc, U = 6 et z = 5,
On a : Card (A) = 3 ; Card (B) = 6 ; Card (C) = s'
::

.tEi
1

O Exercice 7 p.222
et sallgulns'
On désigne respectivement par S, A et G les ensembles des sexes, âges Sroupes
donnés dans I'ordre et peut donc être assimilé à un tri-
chaque fiche est constituée àe 3 renseignements
ï:
LenombredefichesestégalaucardinalduproduitcartésienSxAxG,c'est-à-dire:2x8x8='1"28'

t 0 Exercice 8 p.222
Il y a g 99g nombres compris entre 1 et 9 999. Le nombre de couples de
iettres, différentes de o et r, esl:242'
compris entre 1 et I
un plaque minéralogigue peul être assimiiée-à un couple (a, b) où a est un nombre
à99'"t b=; àooplu dî fettràs. Le nombre de plaques est donc : I 999
x242 = 5 759 424'
t"
i Exercice I P,222
possibles et pour chacun des mo-
1. pour chacun des modèles A et B, il y azxs, c'est-à-dire 10 choix
i: dèIes C et D, il y a 4 x 5, c'est-à-dire 20 choix possibles'
Le nombre total de choix est donc : (2 x r0) + (Zx 20) = 69'
2. o] Pour une berline, il y a 4 modèIes et 5 coloris, soit 20 choix
I
possibles,

b.) Par coloris, i! y a 2 modèles A, 2 modèles B, 4 modèles


C et 4 modèles D, soit 12 choix possibles'

I clLeclientalechoixentre: . un coupéA ouB en 5coloris:10 possibilités;


]L
. un coupé ou un. cabriolet c ou D en 5 coioris : 20 possibilités.
Le nombre total de choix est donc 30'
I

P-uPtETSr ARRANGEMEHTS, PERMUTATIONS


I Exercice 7O P,222
I On désigne par n 1e cardinal de I'ensemble E'
aJAfl=s6 <+ n(n-1)=So (+ n=B b)A3^=129 (+ n(n-1Xn-2)=72o <â n=6'
0 Exercice 77 P,222
t: Chaque répartiiion est un arrangement des 3 masques parmi les 10 villageois
pouvant les porter'
Le nàmbre de répartitions possibles est donc : A!0, c'est-à-dire 720.

ii I Exercice 72 P,222
est Afl'
On désigne par n le nombre de v^iles desservies. Le nombre de vols de la compagnie
ilfautdàncrésoudre dans N I'équation : Afr =7842 (+ nz -n-7 482=o <+ n=87'
l
I Exercice L3 p,222
16, c'est-à-dire un
i
1. ChaQue matâh peut être assimilé à un arrangement de 2-équipes choipies. parmi
l'équipe qui
couple d,équipes àirîi""i"roù i; première composante est I'équipe qui rreçoit,
Ia seconde
estreçue.LenombredematchàorganiserestdoncA?s=zsa{izomaichsalleretT2omatchsretour).
2. Dans chacune des 4 poules, ainsi que dans Ia poule finale, il y a A!, c'est-à-dire
12 matchs'
Au total, il y a donc : 5 x L2= o0 matths.

i I Exercice 74p,222
On désigne parC l'ensemble des 3 cahiers et par E I'ensemble des 3 enfants'
a) Si chaque enfant reçoit un cahier, toute distribution est une biiection de C vers E.
Le nombre de répartitions est donc : 3! = 6'
C vers E'
b.)Si chaque enfant peut recevoir 0, 1, 2 ou 3 cnhiers, toute distribution est une application de
Le nombre de répartitions est donc : 33 = 27.

163

l*
0 Exercice 15 p.222
Soit C l'ensemble des convives et p = 11 ;2 ; B ;4 ;5 ; 6l l,ensemble des
sièges.
1. chaque disposition des 6 convives est une bijection de c vers p.
Le nomble de dispositions est donc : 6! 7ZO. I

=
2. soit H et F les sous-ensembles hommes et femmes d: I'ensemble
c.
Toute dispusition des 6 convives est :
. soitunebijectiondeHvers {f ; S;S} etunebijectiondeFvers I

. soit une bijection de F vers t1 ; 3 ; Sl et une bijection de 12;a;6l;


H vers lZ ; + ; al ;
Le nombre de dispositions est donc : (3lx 3!) *
ist, 3!) = 72. J
O Exercice 1.6 p. ZZZ
aautant de nombres distincts que permutations de l'ensemble de.ces 7 plaquettes c,est-à-dire
l; 'l f
d.e
:l
2' a)rI y a 4 choix possibles pour le chjffre des unités (r,
autres plaquettes. Lô nombre àe possibilités est aorr.,1*'o!?,u^g!
7) et 6! permutations possibles des 6
= 2BB. i-l
u
b] Le nombre obtenu est divisibl!
trar + s'il se termine par 12, 32,52,72,24, 44,64,1.6, 36, 56 et 76, soit
1"1 cas' Dans chacun de ces cas, il
ÿ a s! permutations fossibler d"r-s r
Lenombredepossibi1itésestdonc;11x5!=.J'32o, ";;;;pl;quettes.
COtvtBtNAtSONs
<) Exercice 7Z p. ZZJ
I1 y a autant de poignées de main que de paires
de personnes, c,est-à-dire : cfu = 10s.
!
O Exercice LB p. ZZB
on peut construire des triangres, quadriratères, pentagones et hexagones
:
I
r construire un triangle, c'est choisir B points parmi 6,
donc cfl possibilités ;
n construire un quadrilatère, c'est
choisir 4 points parmi 6, donc cf; possibilités ;
I
" construire un pentagone, c'est choisir s points parmi 6, donc c[ possibilités ;
e conshuire un hexagone, c'est
choisir 6 points parmi 6, donc cf, possibilités. ü
I-enombretotal depolygones est donc:Cfl +Q + Cg +e$=42. . b

I Exercice 'tS p.2Zl il


1' Chaque choix de 3^questions est une combinaison de 3 éléments
parmi les 10 de l,ensemble des ques-
tions ; il y a donc : Clo, c'est-à-dire 120 choix possibles.
2'SionchoisitlaquestionL,ilresteàchoisir2questionsparmilesgautres;ilyad.onc:Czr,c'est-à- il
dire 36 choix possibles.

i Exercice 2O p. ZZl
on peut assimiler un iury à une combinaison de 6 personnes prises parmi 17i
t
T.1,1
oJ Les six personnes sont à choisir dans l'ensemblà des
contenant que des hommes est donc : Cfo 219. ne -
10 hommes ; le nombre de jurys possibles
=
bJ On choisit 4 hommes parmi 10 et deux femmes parmi 7
; le nombre de jurys possibles contenant 4 il
hommes et 2 femmes est donc : Cfo x Cï 4 arc. ^ -------- .i
=
cl L'ensemble E des jurys r:herchés est la réunion rles trois ensembles disjoints
suivants :
' I'ensemble A des jurys ne contenant aucune femme : card (A) = 210 ; TT
,tl
u
. L'ensemble B des jurys contenant une seule femme : Card (B) Cio x
= C) = L 764 ; i

' I'ensemble c des jur1,s contenant deux femmes seulement : card (c) = 4 a10. l'1
ona:card (E) = card (A) + card [B) + card (c) = 210 +1.764+4410= 6 384. ü

164
(
L ,",

L- Ô Exercice 21p,223
1. Chaque choix est une combinaison de 5 cartes'choisies parmi 32 ; il y a donc : C!, = 2O7 376 choix.
ï 2. a)lLy a S.Coeurs et I Piques dans un jeu de 32 cartes.
'j Le nombre de façons de choisir 3 Coeurs et 2 Piques est donc : Cfl x Cfr, c'est-à-dire, 1 568.
b)lly a 4 couleurs et 5 cartes, donc il y aur1 2 cartes d'une même couleur. Il y 4choix pour.la couleur
ï ai Z l"rtus ; ce choix étant fait, il y a choix des 2 cartes de la même couleur et 8 choix possibles pour Ia
carte de chacune des autres couleurs.
Lenombredetiragescontenantlesquatrecouleursestdonc:4x(CzsxBxSxB)-57344'
ï cJ Soit E I'ensemble des tirages quelconques et A I'ensemble des tirages ne contenant pas de Coeur.
On a : Card (E) = C3z = 201,376 et Card (A) = Clr = 42 5o4; donc, le nombre de tirages contenant au
moins 1 Coeur est : C!, - Ciz+ = 758 872.
T
0 Exercice 22p,223
Puisqu'on tire les cartes simultaaément, chaque tirage est une combinaison de I cartes.
ï a.)On obtient exactement 3 As en choisissant d'abord 3 As parmi les 4, puis 5 cartes parmi les 28 autres.
Le nombre de tirages contenant exactement 3 As est donc : C! x Csru = 393 120.
ï bi Un tirage contient au moins 3 As s'il contient 3 ou 4 As :
. le nombre de tirages contenant exactement 3 Às est : Cl x C!, = 393 120 ;
i . Ie nombre de tirages contenant exactement 4 As est : C! x C!. = 20 4v5.
Le nombre de tirages conterant au moins 3 As est donc : 393 120 + 20475 = 413 595.
c) Il y a deux cas possibles : Ie tirage contient I'As de Coeur ou. ne Ie contient pas.

I . Si le tirage contient l'As de Coeur, il y a de plus 2 As parmi les 3 restants, 1 Coeur parmi les 7 restants
et 3 cartes parmi les 21 qui ne sont ni des As, ni des Coeurs : C! x Cf x C|, tirages
o Si le tirage ne contient pas l'As de Coeur, il y a les 3 autres As, 2 Coeurs parmi les 7 restaats et 3
t
T"
cartes parmi les 21. qui ne sont ni des As, ni des Coeurs : C! x C! x C!, tirages.
Lenombredetiragescontenantexactement3AsetdeuxCoeursest:C!xClxC|r+C!xCzrxC?r=485t.

I ô Exercice 23 p.223
. 1. Chaque choix est une combinaison de 3 chanteurs parmi les 15.
Le nombre ôe choix possibles est donc : C3ru = 455.

I 2. Le chanteur no1 étant choisi, il reste à choisir 2 chanteurs parmi les 14 autres ; donc : C'rn
possibles.
- 91 choix

rL 3. Il faut choisir 3 chanteurs parmi les 7 numéros pairs ; donc : Cÿ = 35 choix possibles.

E Exercices d'approfondissemenf
I 0 Exercice 24 p. 223
j
Ona:Cfl:l+Ç-, - (n-1.l!
(p+n-p) n(n-11! - nl =,t'
pt(n-p)l - pl(n-p)t-ptln-p)t
rr"

I.,
I
I Exercice 28 p) 223
Soit E I'ensemble des élèves (Card (E) = 50) et A I'ensemble des notes de 0 à 20'
a/ Chaque notation est une application de E vers A, = [t0 ; 20], sous-ensemble de A, avec Card (Ar) = Lx'
ï Le nombre de notations possibles est : L1.50 = 1,1'7 x l'052.
b, Si 20 élèves ont la moyenne, il y a C!$ répartitions possibles de ces élèves, puis L120 x 1030 notations
possibles pour chacune de ces répartitions.
t .

Le nombre de notations possibles est : C!$ x 7L20 x 1030.


cj Si I élèves ont une note comprise entre 0 et 5, le nombre de notations possibies est : C§o x 68 x 15a2.
t t) Exercice 26 p, 223
Un mot de 5 lettres est une applica.io,r de I'ensemble {1 i 2 ; 3; 4 ; 5} dans l'ensemble des 26 lettres
a.)
de I'aiphabet. Le nombre de mots Jistincts de 5 lettres est : 26s = 11 881 376.
t
165

L
,i I
I
L

Si les lettres sont deux à deux distinctes, l'application précédente est injective.
,bJ I
tr
J-e nombre de mots de 5 iettres deux à deux distinctes est :Alo - z 893 600.
cl II faut choisir 2 voyelles parmi 6, puis 3 consonnes parmi 20 et dénombrer les permutations de ces I
5
lettres. Le nombre de mots àistincts ôbt"nrs est : cfr , igo ,. sl 2o szz ooo, t,
=
dJ Le nombre d'e mots ne contenant aucune voyelte .rt zôu, donc Ie nombre de mots disüncts
contenant
au moins une voyelle est : 265 - ZO5 = B 681 326. I

e Exercice 27 p. Z:ZJ
II
L' Chaque faço-n de- garer les 20 voitures clans les 20 places d.u parking est une permutaüon de ces 20
places. Le nombre de façons est : 20! = 2,4J3 x 1018. '
I
r-
I

lL'
2' a) Les L0 voitures occupent les 10 places de la rangée A, soit 10! possibilités, ou de la rangée B,
soit
également f O! possibilités. I
Le nombre total de façons de garer los L0 vc-ritures est donc i z x'lo! 7 ZS7 6o0, l

=
ài Il y a choix possibles des 6 voitures garées dans Ia rangée A, puis Afo façons de les garer et Alo façous
de garer les 4 autres dans la rangée B,
Le nombre total de façons de garer les 10 voitures est donc : Cfo x Alo x Afo x 1,6 x j.011. i

= !r
c] Le nombre de façons de ne garer aucune voiture dans la rangée A est 10! donc le nombre
; total de fa-
çons de garer au moins une voiture dans Ia rangée A est : AIB -"10! = 6,7 x 1ô11.
l

0 Exercice 28 p. ZZZ
1". chaque classement est un arrangement de 5 chanteurs parmi
20.
ï-e nombre de classements possibies est : AEo - 1 g60 4g0.
J&
2 Chaque classement est un quintuplet (a, b, c, d, e) tel que :
oJ
u (a, b) est un arrarrgemert de 2 femmes choisies parmi g
; 1

' [c, d, e) 'rn arrangement de 3 chanteurs pris parmi les ,2 chanteurs restants. L
Le nombre de classements ainsi obtenus est : Afr x Alz - Zg gzo.
'b;r11faut choisir 2,femmes parmi prit 3 hommes parmi 12 et faire une permutation de ces s élé- i

9,
:;;,;nts. Le nombre de classements ainsi
I

obtenus est : cfr x cf , x s ! = TZg zoo. ,Lr"

;J Les classements ne comportant pas au moins 2 femmes sont les classements comportant 0
ou L femme :
u Ie nombre de classements comportant 0 femme
est : Af2 ;
, le nombre de classements comportant 1 femme est : C[ x C*4, x 51. irrr

Le nombre de classements comportant au moins 2 femmes est donc:A8o- (Alz +C[xCfrxS!)=


1 Zgo Z4o. i
l. Le nombre de classements ne contenant pas d'étranger est : Aln ; d.onc lenombre de classements
ial
contenant au moins un étranger est : ABo - ATn = L 620 24O.
a. Il y a deux cas : }e chanteur étranger est une femme ou un homme. I
n Si le chanteur étranger est une femme, on a choisi
: 1 femme parmi 2 étrangères, L femme parmi 6 non T
étrangères et 3 hommes parmi B non étrangers ; on fait ensuite irru p".*rtaü"on d.e ces S élus.
On a : 2 x 6 x C! x S! = B0 640 choix possibles. f

" Si le chanteur étranger est un homme, on a choisi : t homme parmi 4 étrangers, 2 hommes parmi g
non étrangers et 2 femmes parmi 6 non étrangères ; on fait ensuite-une permutatlon de ces 5 élusl
Cn a : AxCAx Cfr x S! = 201 600 choix possibles. - ,.,
I

Le nombre de classements contenarrt exactement un étranger et deux femmes est donc :282 240.

I
') Exercice 29 p. ZZS
1" Le numéro de la première boule tirée doit être compris entre 1 et g : il y a 9 choix possibles.
aJ Tirages sans remise : il y a ensuite 9 choix pour Ia 2ème boule, 8 pour la Bème
et 7 pour la 4ème, I
soit : 9 x g x I x7 = 4 536 nombres distincts :

ôj Tirages avec remise : il y a ensüte 10 choix pour Ia 2ème boule, pour la 3ème et pour la 4ème,
soit : 9 x 10x 10x 10 = 9 000. I,t
2' Chaque tirage est une combinaison de 4 boules prises parmi 10 puisque les boules sont tirées
ruJ
I

si-
niuLtanément. On peut donc obtenir : Cf, = 210 tirages différents.

166
I
J,:

{r

I
I

L tr..
:,'
ô]Parmi les 270 tirages précédents, il y a C§, c'est-à-dire 84 tirages contenant Ie chiffre 0 et C$,
c'est-à-dire 1.26 tirages ne contenant pas le chifhe 0.
T Pour former ul nombre de 4 chiffres ne comrnençant par 0 avec ces tirages, on a :
84 x (3 x 3 x'2) + 726x41=7572 + 3 O24 = 4 536 possibilités.
C'est bien le résultat trouvé à la question 1.a.
I

I Exercice 3O p. 223
1. On désigne par C I'ensemble des 10 cadeaux et par E I'ensemble des 3 enfants. Toute distribution des
10 cadeaux est une appiication de C vers E : il y a 310, c'est-à-dire 59 049 distributions possibles.
2.Les répartitions possibles des 10 cadeaux sont: (4,3,3) ou {4,4,2).
r Pour Iarépartition (4,3, 3), il y a 3! choix possibles de I'ordre de distribution des 3 lots de cadeaux,
puis C{o façons de choisir les 4 cadeaux du 1er lot et C! façons de choisir les 3 cadeaux du 2ème lot ; ies
3 cadeaux restants constituent le 3ème lot.
Le nombre de distributions du type (4, 3, 3) est donc : 3! x C{o x C3 = 25 2Oo.
n- o De même, le nombre de distribution: d.r tvpe (4, 4, 2) est : 3! x Cfo x Câ = 18 900.
,i
Le nombre totai de distributions eot donc : 44 100.

!1
r!
I Exercice 37 p. 224
.hld l.SoitA={1 ;2;3;4;5;6}.Chaquetirageestuntriplet(a,b,c) d'élémentdeAoùa,b,creprésentent
les nombres apparus respectivement sur les 3 dés. Le nombre de résultats possibles est donc : 63 = 21-6.
I
2. a)ll y a 3 choix possibles du dé où apparaît Ie chiffre 6, puis 5 x 5 résultats possibles pour les deux
autres dés. Le nombre de résultats comportant un seul six est donc : 3 x 5 x 5 = 75.
b.) Le nombre de résultats ne comportant pas de 6 est 53. Donc, le nombre de résultats comportant au
moins un 6 est 63 - 53 = 91.
il
cJ L'ensembie des résultats cherchés est la réunion des trois ensembles disjoints suivants :
. I'onsemble E des résultats comportant 2 as et 1 six ;
t:
. I'ensemble F des résultats comportant 1 as et 2 six :
iL . I'ensemble G des résultats comportant 1 as, 1 six et un autre chif{re différent de 1 et 6 ;
Le nombre de résultats comportant au moins un as et un six est :
rl Card (E) + Card (F) + Card (G) = 3 + 3 + (3 x2 x4) = 30.
l

3. Cherchons toutes les décomposition de 13 en une somme de trois nombres entiers compris enhe 1 et 6.
On trouve 5 combinaisons de trois nombres compris entre 1 et 6 dont la somme est 1.3 :
i (6;6;1):3 tirages possibles; (6;5 ; 2) :3! = 6 tirages possibles;(6 ;4 ;3) :31 * 6 tirages possibles ;
tl*
(5 ; 5 ; 3) : 3 tirages possibles ; (5 ; 4 ; 4) : Stirages possibles.
Le nombre de résultats, dont la somme des nombres est 13, est: (3 x 3) + (zxt!) = zt.

il ô Exercice 32 p. 224
1. Chaque application de E vers F est déflnie par 1e triplet des images respectives des éIéments de E.

I I-es applications surjectives de E vers F sont définies par les triplets :


(a',a',b')i(a',b',o');(cL',b',b');(b',b',a');(b',a',b');(b',a',a]iilya6surjectionsdeEversF.
2. a) l est surjectif, donc tous les éléments de F ont au moins un antécédent par.f.
o Si tous les éléments de F avaient un seul antécédent, I'ensemble de ces artécédeÉts aruait poru cardinal (n 1).
L -
Il y aurait donc url élément de E qui n'aurait pas d'image et -f ne serait pas une application de E vers F.
Donc ii existe au moins un éiément o' de F ayant deux antécédents distincts a eI b dals E.
I o SoitE' = E- {a}. On a : Card (E') = Card (F) = n- 1 ;
donc, la restriction de .f à E' est une bijection de E' vers F.
Par suite, a' est le seul éiément de F ayant deux antécédents distincts dans E.
I bJOn procède en deux étapes i
. iI y a n- 1 choix possibles pour l'élément a' de F ayant deux antécédents dans E ;
il . a' étant choisi, il y a Cfr choix pour les antécédents de a' et (n - 2)! choix pour les antécédents des
rl autres éiéments de F.
Le nombre de surjections de E vers F est donc : (n- 1) xCz^ x (n - 2)!-
(n--1J n !
2

167
ï
_i

-l
I
Exercice 33 p.224
L. Les pions noirs sont indiscernables, de même que ies pions blancs. *J
Chaquq configuraüon est une combinaison de 5 cases parmi 64 et une combinaison de 5 cases parmi les
sg,restantes. Le nombre de configurations est donc : C[n x CEg = 3e 771.25O 133 632. T
2. a) lly a I choix possibles de Ia Iigne où sont les pions noirs, puis placements des pions sur cette
J
Iigne et Cln placements des pions blancs sur les cases restantes. 6
Le nombre de configurations est donc : B x C[ x Csun = 2 242 860 S2B. J
b)Ily a choix possibles des deux lignes où sont respectivement les pions noirs et les pions blancs, puis,
sur chacune de ces lignes, placements des pions ï
Le nombre de configurations est donc : A2u x C[ x C! = 175 616. J
C)I]yaBchoixpossiblesdeiaIigneoùsontlespionsnoirs,8choixde1acoIonneoùsontIesblancs,
puis 3 cas :
. il n'ÿ a pas de pion sur Ia case intersection de cette Iigne et cette colonne : Cf x Cÿ possibiiités ; ü
. il y a un pion noir sur cette case : C| x C5, possibilités ;
' . il y a un pion blanc sur cette case : Cÿ x Cf possibilités. ÏnJ
Le nombre de configurations est donc : 64 x (Cÿ x C5, + ZxCl x C5,)= 1,ZZ gO4.
l''f'
I Exercice 34p.224 tl
sJ.
1. al I1 y a 2'o 1O-upiet de l'ensemble {P ; F} ; }e nombre de résultats distincts à I'issue de 10 lancers est
1 024. æ
b) ' nr- = n" si on tire 5 fois P et 5 fois F ; chacun de ces résultat
est une combinaison de b laacers « pile » L!
parmi les 10 lancers.
Donc,le nombre de résultats tels que rp = rF est : Clo = ZS2. r.f
ti
. I1 y a autant de résultats tels que np ) nF que de résultats tels que rp ( rp.. ü
Donc, Ie nombre de résultats tels que np ) nr est : CIo) = 384.
f(210 - T
2. a)Le nombre de résultats distincts à l'issue de n lancers est 2,. Ü,
bi On distingue deux cas : n pair et n impair
. Si ru est pair, par analogie avec la question 1.b, on a : n
f

J)
- Ie nombre de résultats tels que : np = nr est C#2;
-le nombre de résultats tels qrre : ,rp > nF est )1e^ - C,],/r). è T
Donc, le nombre de résultats tels que : rlp ) r?p , (zn - ç^tz), ü
"rt f
. Sin estimpair,iln'yapas derésultatstelsqueEp=nF;donc,ilyaautantderésultatstelsquenp)np
T
que de résultats tels que np ( rzp, c'est-à-dire : x Z" = Z, -'t.
I
I Exercice 35 p.224 Ë
1. al Chaque configuration est un quadruplet de l'ensemble {+ ;-} : il y a 2a = L6 configurations. .t
b]I1ya1configurationdutype++++,1configurationdut1lpe---_
etC2n=Oconfigurationsduryp"*+--. , T
Le nombre de configurations gagnantes est donc I (sur un total de i.6).
-t
2. Si on répète 3 fois l'opération précédente, il y a : 163, c'est-à-drre 4 096 résultats possibles.
T
3. A chaque lancer de 4 cauris, il 1, s B configurations gagnantes. Donc, pour trois lancers, i] y aura 83, J
c'est-à-dire 512 résultats gagnants (soit, 1. chance sur 8).
"l
I Exercice 36 p.224 *
1' On désigne par A, B, C ies trois joueurs. Il y a 3 joueurs, donc 3 résultats possibles pour chaque coup.
Toui résultat d'une pariie de n coups est un n-uplet de l'ensemble {A ; B ; c}. tf
Donc, le nombre de résultats distincts à i'issue d'une partie de n coups est : 3". 1,,

168

I
",,j

I
2, a)Leuombre de résultats distincts à I'issue d'une partie de 3 coups est 33, c'est-à-dire 27.

L l b./Tout résultat de cette partie est un triplet de I'ensemble E = {A ; B ; C}.


. La partie.est nulle pour tous Ies ioueurs si chacun d'eux Sagne une partie.
Toute permutation de E correspond à une telle partie :il y a 3!, c'est-à-clire 6 résultats nuls pour les 3

L l ioueurs.
. La partie est nulle pour un joueur donné,
(- 6 graines).
pil exemple A, s'il gagne 1 coup (+ 6 graines) et en perd 2

Touttripletdutype(A,B,C)ou(A,B,B)ou(A,C,C)correspondàunetellepartie:iI ya6+3+3,
l c'est-à-dire 12 résultats nuls pour un ioueur donné.
o Il ne peut y avoir de partie gagnante pour deux joueurs;
m r La partie est gagnante pour un joueur donné, par exemple A, s'il gagne au moins 2 coups.
ii
Touttripletdutype(A,A,A)ou(A,A,B)ou(A,A,C)correspondàunetellepartie:iiya1+3+3,
c'est-à-dire 7 résultats gagnants pour un joueur donné.

i l Exercice 37 p,224
Pour aller de A à B, le pion doit se déplacer 7 fois vers I'Est (E) et 7 fois vers Ie Nord (N).
Chaque déplacement est un 14-uplet contenant 7 fois E et 7 fois N. Le nombre de déplacements sera le
nombre de façons de placer les 7 éléments E dans le 14-uplet : C{n, c'est-à-dire 3 432.

0 Exercice 38 p. 224
a.) Chaque sommet peut être joint à tous les autres, sauf lui-même est les deux sommets voisins : n (n - 3J ;

il faut ensuite diviser ce nombre pæ z,car chaque diagonale est comptée deux fois, donc :
ry t

bJ Chaque point d'intersection est une combinaison de deux diagonales ; le nombre maximum de points
d'intersection est donc le nombre de combinaisons de 2 éléments pris parmi
q9=9, c'est-à-dire :
2
n (n - z)tnz - 3n - z) on exclut de ce nombre Ie nombre de paires de diagonales qui se coupent en un
;
8

sommet, soit : n n (n - 3)(n - q\


Ç- g = .

.\- ^Ll:^-. . n(n-3)(n2-3n-2) _ n (n- 3)(n-4) _ nln-3)(nz -7n+ 14)

&
0 Exercice 39 p.224
1.Ona:(a+b)"=C9a"+Cf,on-1$1 +Czna"-2b2+...+Qan-Pbp+...+CX-torb'-7+C?.b".
Enremplaçantaet b par 1 dans Iarelation précédente, on obtient :2" =Con+ C| + C'"+ ... + Ci +...+ C[.
2. On peut construire des triangles, des quadrilatères, ..., des polygones à n côtés.
. Construire un triangle, c'est choisir 3 points parmi n : Cfl possibilités ;
. Construire un quadrilatère, c'est choisir 4 points parmi n : Cf,possibilités ;

o Construire un polygone à n côtés, c'est choisir n points parmi n : Cfi possibiiités.


Le nombre total de polygones ainsi construits est :

Cÿ,+...+Cfl+...+ Ci. =2n-(C[+ C[ + C2,) = 2n -nz +I+ 2.

169

lirtr
tï--

fr?. Limites et continuité


(poges 225 à 212 du livre de |élève)
ll*
ji_
el

. Dégager, de façon intuitive Ia notion de iimite, en plus ou en moins l'infini, en un point et à gauche
ou à dloite d'un point.
u Calcu1er algébriquement des limites : limite en I'infini de fonctions polynômes et rationnelles, ievée
d'indéterminations, ...
o Utiliser des techniques usuelles (théorèmes des gendarmes, ...) pour déterminer des limites.
u Introduire Ia notion de continuité en un point.

. Ce chapitre est I'occasion pour l'élève de découwir I'analyse mathématique. La notion de Iimite est in-
troduite de façon intuitive, à I'aide d'exempies. Les déËnitions des limites et leur usage pour démontrer ;î
les théorèmes habituels du chapitre sont hors programme. U
" Plusieurs définitions de limite finie en un point existent, elles ne sont pas équivalentes. Celle que
nous avons retenue pour les classes scientifiques est compatible avec celle qui est généralement en
usage dans I'enseignement supérieur. Nous Ia donnons à titre indicatif, il
Soit -f une fonction numérique à variable réelie, r0 un point adhérent à son ensemble de définiüon Dy et
I un nombre réel.
Cn dit que.f admetpour limite Ienxo lorsque:V e, f o) 0, Vxe D7n ]xo*q.;,r0 + cr[, l,f (x)-ll < e.
Il est bien sfir hors de question de demander à I'élève de connaître une telle ciéfinition.
I
n Les théorèmes admis de majoration, minoration, comparaison et ceux relatifs aux opérations sur les
Iimites permettront alors de : T
- fafue des calculs de limites ;
- résoudre des problèmes où interviennent ces notions.
" En pratique, la notion de limite sera ultérieurement utilisée pour : T
- introduire la notion de dérivée ;
- compléter Ie tableau de variation dans les études de fonctions.
iNotaiions T
lim .f (x) ; Iim .f (x); lim -f (r).
.r -+.tg ,?ro .f,-)+æ
:
.!n

lApproche intuitive de la notion de limite . Lire ou conjecturer une limite en observant


,
I Limite d'une fonction en I'infini : courbe.
j- limite infinie ; . Conjecturer une limite en utilisant une calculatrice.
l"'limite finie ;
i- iimite en l'inflni des fonctions :
I

I
*,- r, ;r *+-[n' r'- # ; * - \/i. I i

*l
I

i
'. Liinite d'une fonction en xo :

i- infinie
Liri.Lite ; l

l- timlte finie ; ll

i-- lir.nite à gauche, limite à droite ;

l.-
ir;lite en 0 des fonctions :
lxr r lc ;-r*.pn :x*, 1,t*- \Æ. ül
l,'n
lCa,lc,rh de limites fi
l" Pi.lprietes de comparaison. . Caicuier les limites en .rs, en I'infini d'une fonc- IT
| ' Lirciies et opérations sur les lbnctions. tion :

170
1,,

i
,ii,,,iilli'il"t::,t,t!":l,!+,r1l T:,riildY!,r4,-Igrtc:ii.':,:ri|§ri:f..,r,& ir,rËi:itLtir'.,{

r
L,
. Exemples de recherche de limite
- limite en I'inâni d'un pol1môme ;
:
- en utilisant les propriétés de comparaison
- en utilisant les opérations sur les fonctions.
;

- limite en Ïlinfini d'une fraction rationnelle' . Lever une indétermination dans des cas simples.
. Démontrer qu'une fonction est continue en un
I Continuité point.
r Définition et propriétés. . Déterminer le prolongement par continuité d'une
. Prolongement d'une fonction par continuité' fonction en un point.
I

r fl Exercîces du cours
i
I

Exercice 7,ap,23O
,llt51*f(x)= + - b./lt3. .f(r) =-* cl lim .f(x) = + -.
r
I

0 Exercice 1.b p. 230


.r--)+æ

,ilj3.*-f(r)=0 ; Iim_/(r)=0 ; lim -f(x) = - -.


lim -f(r)=+æ ; x+2
r--t0
i:' àrlTr__.f(r)=o ; lim_.f(r) =o lim =+æ ; x+2 lim.f(r)=--.
Iim-f(x) =+- ; r)Z
x+0 -f(r)
I
;

0 Exercice 1.c p. 230


ï' aj lim 3 ; lim .f(x) = e b) lim /(r) = o ; I'r-æ
lim .f(r) = o.
,--++æ
-f(x) = X1-æ ,t-++æ
c/ lim f(x) = t ' lim .f(x) = 1 dJ lim -f(x) = 0 ; lim .f(r) = 0.
,-i+æ r-)1 rr+æ ,T+-æ
I

r) Exercice 1.d p. 230


a) f n'apas de limite en ro mais -f posoèoe une limite à gauche et à droite en r0.
b) c) f possède une limite en.ro. d) e) f) -f n'a pas de iimite en.ro.
gi / possède une limite à gauche en.r0. hJ -f possède une limite à droite en .r0.
ii' t) Exercice 1.e p. 230
It.
d/lr3. *f(x)= +æ' lr3__/(r) = +-. .

ri' 0 Exercice 2.ap.238


o.)]ia_(-:f + t +f +f +x+ 1)=]i11_ (-f) =--'JT__ (-"rf + * +É +f +r+ 1)= Iim (-rf) = + -'
Zt'-r+,1 2{l=lim 2xu3-x+J
b)lim
"/r1î:- i2+x-7 =limiî'-- xr ;;-----Z-r=--;lim
';:*- .rz+x-1 =+æ.
\Æq = 1;Ii,, '..ffii+r)=s,
r) = u'
"/lT-* ?* *3 z ,-.-*
,) Exercice 2.b p.238
aJlim 2-f .=*æi tim 2-l =-æ. bllim i-r- =-.o ;lim
'i+19-X" ?-*r=+æ
'r+3 9-.f'
.r-+ 3 ,t -J r-+ 3 ,t -J
rL 4+2 x1-2 -----1, lim 1-=a'
,*-2==[1n r+1
' x+-2 x" 4 =rim
"); x-2 4 x--+-z x'-x-2-;:à 3'
-
I Exercice 2.cp,238
Vre lt; +-[,ë:§%,> *;1.Or:lim L+=*æ ldonc: lim
l

1. ry= +æ.

r 2.Y xe j--;- 1[,ffi 3x +L. Or:lim _r+ 1=*æ;donc,]r31_ffi =-æ.

I-
171
r.l

_-"1

-:

6 Exercice 2.dp.238
vxe R'- -ur;V='f(x)<l*n Donc:l*-Ï(r) =0 et
,lim--.f(x) = o'
I Exerciôe 3,a p, 24fr J
Ona:li1n- r= f =-f(1) etlim x2 =7 =-f(f);donc-f estcontinue en
t?' t]1 1..

t} Exercice 3.b p. 240


-f : R -r R est définie sur R* et non prolongeable par continuité en 0.
,*1 x

ff î
Exercices d'entraînement Apprentissage -
AppnocHE tNTUrrtvE DE LA NortoN DE LtMtrE
ô Exercice L p, 241. i

iim f(x)=-*; lirn f(x) lim -f(r) =+*.


=a*; x-+ 0

I Exercice 2 p. 241, I
i

lim 1{x)=1;lim
r-+-æ r++æ-f(r)=1;lim^f(x)=--;lim-_f(x]=a*;lim
*?2 ,], *?_z -f(x)=--;lim
*:_Z .f(x)=+*.
'.
* Exercice'3 p.241
b)
'1

J
I

i) Exercice 4 p.241.

2. a) Sir > 108, alors -f(x) > ÿi > 10a ; A = 10s. I

bJ Soit B > 0. Sir > 82, alors .f(x) >f,Ç > n ; donc : Vr e.R+, f A =82 /r > A =+,f(x) > B.
.f(x) = + *.
"l l.r3.
I Exercice 5 p.241,
1.Vx€ R'*, l"f(x)-rt=
hhl =;+T;donc:Vre R**, t/(x)-rl .1.I 1
.I
I

ol Si.r > 104, alors l"f(x)- I I < 10-{ ;A = 10{.


blSoitr e R**.
=^
=+ I x > L=+ l.f(x) - 1 I < e. r!
l
cllim = r, "I
-./(r)
$ Exercice 6 p.247 ,1

1. vr elr ; + -t, -r(r) * =î*r++ donc' -f(*),


I

î ;
Ë.
a,l

2. a) Si x > 2 x106, alors l"f(;r) | > 106.


ry
bJ solt B e R+*. x > zB, alors -f(;r') > B. on peut rendre
I

"f(xJ aussi grand que I'on veut.


= + *.
"l IiT. *-f(r) rl
ô Exercice 7 p.2 7 I

Vxe R, xz< x? +cosz N--xz + 1. Donc: Vre[0;+*1, xsf(x)sÿxz +t.


On a :
lr3__.u=

", l.i3*_
\,'.'41= + æ;donc'Ir5l__/(r) = + æ.
172
[|

I
ô Exercice B p,247

lI VreR; 0<sin2r<1. +').<V1 + sinT;sÿî,.


Vre'[0;+.-[, x<f(x)<xÿ-z;donc:lim .f(x)=+-.Vxe]-*;ol,xÿï<-f(x)<x;donc:lim -f(r)=--.

tI ô Exercice 9
Vr el1,
:--t,
p,247 2 _
f(x) -t/x + t = (d _.1) ; donc : 1@) > ÿx + t.Par suite : lim J(x) = + -.

lï ô Exercice tO
oJ§_"f(r) =lim
p,247
_rlx3 =
+ - lim .f(x)
.t--)-æ
=lim
r--à-æ
4.r3=--

lI blli5l.*"f(x)=}t.*l=+-
lr3 _"f(r) = irg1 _ (- 13) = - æ
"l
i

;
lim ./(r)
r-t-æ =lim
r-t-æ
x4=+-
lim (- 13) = a *
r-)-æ /(r) = .r-t-æ
lim

lr_ d)§_"fk) =Iim _(-.rf) =-- i lim .f(x) =lim (-rf) =--
f-)-æ r'+ -6
4* -
= rlim
lï: eilim _"f(r)=li3.

,lg\-/(r) =li3.-(-Y) =- u
_X=2 ;

i
lim
x-+-æ
lim .f(r)
if-â-É
f(r)
lim
= r+-æ\
--* 2x
/-
2

E) = - s
x/
x2^
d§-f(x) =lim -#=+ ; Iim
.r-+-æ
ftrl = lim
x--+-* 3x"= 3
1

ft)§-,r(x)=lim Iim -f(r) = lim a; -2


-#=o r-+-- .f," =
0

tl:
;
t-+-æ
jj lim .f(r) = lim --4-
-3 -3
^:
x+-* - Zl =--
=lim
= -æ lim f(x)
r++æ x-** -2x .r-f-É

iilim
- xè+ æ.f(r) = r-à+- lim 4=-+
- J.Ë- J
lim
.r-)-æ -f(r) =lim -2
i-+'-- -4-r=-+.
- 3xz 3'
L t:
1 Exercice 17 p,247
f'i
'1
allim (x-Z)2=0 et (x-2)2>0;donc:lim-f(r] =+æ.
x--+2 x--+2
L x+4 _ 5
bJ iim.f(r) = lim
x+-Z x-)-2
(x - z) = - 4 cj lim .f(x) = lim
.r-r 1 x+ 1 2
,râ L
,L

L: d./Iim -f(x)=-æ et }im -f(r) =+æ eJ lim .f(r) = + * et lim -f(x) = - *.


L x-+2 x.-+2 .r-+0 r-+O

t
j I
a)
Exercice !2 p. 24!
f(x) =ÿ1+i ; donc : lim
x-è4 -f(r) =
4 b) f(x) = G# + z ; donc ,1T, /(') = +
c).f{x)-t/î+7+r
x
' d) f(x) = - *ffiff donc
i1n,.r(x) - -
; : 3.
L
donc:lim êt lim -f(r) =+æ
r--+0-f(x)=-- .r-r0
ilr
I

t
1li
I Exercice 73 p.247 !

t-
lq* 1 E= l^,f, f 1.

- vx"
r--r^1"' / --:;
a).f(x) = fa:H
*z
t
il
i
; donc : si r > o, -f(x) = et sir < o, -f(x) = nt
]c[3 - -r;
x \-f ï J--
x
lim =-*
I

Par suite et tim_*f(-r)


t
I
:
--f(r) = f
br * æ.
}.tT. *f(x) = a
i
,/ +-
t r x :.t iim -fl*) = 1.
Si < 0, -f(r) = ; donc :
r'-+-æ 2
t+Z+JC
.J
x N2
I

L
173

L
, '"f
J
"l
J

l
l
dl Si x > 0, -f(r) -
"1_
.r
m ; donc : lim
I-++æ
.f(*) = *.
Z l
Vx"
1
-t
1_
Six<0,"f[r.) =-:{: ; donc : lim ttù=*1.
It*L* lt*L
YxVx'
JJ-æ

ü
; donc ;lim *-f(x) =* et lim
-/(x) = f t
flSix>0,-f(x]= ; donc : lim
ü
/(r) = 0.
2+ ,1, "ü-++æ
x
ü
L+ r-!-+ 1.

x2
Si x < 0, -f(x) = ; donc : lim .f(x) = + *.
{ +-æ
2- ü
,l Exercice 74p,242
a.) liur -#-
r-+0 SlIl.X =
1 bj lim r + tan rJ = t
il
x-+0 lsinX
c/lim tanr=Hm sinrx 1
x-+0 JC .r+O
.f_ =1 dl Iim siE 3x Iim si! 3'r " 3r -
Zx = x-+0
3
COS-t .r_+o 3r " Zx ü
e/ lim
r-)0
ta42x 1im- tan
2r x 2x- 2
2X '-SX = s
5tr = x-+0 /r i,g,, :i*# =
],*o
r# #,, ,<
z

ff = +
sl lim tan 2r _ 1;r, tan 2r _ 5x * Zx _ Z
"'x--+o tanSx ;;ï 2x " tarrSx ^ 5_ü - 5 e,lry,
ffi = I,51
r(Y), (#) = r. il
S Exercice 7i p. Z4Z
sin(*) ü
o) f(x)= ;2'xcos(f *f) ; donc:]girfrl =r**=+.
2 I

On peut aussj uti/rs er : f(x) * 1 cos { - 1. ü


=
+tï"
sin(Ë)
--'2'
Uf@)-- xsin(f +f,); donc:]gr.ft*) =-* il
1
On peut aussi utiliser : f(x) =
**ï* - *ï,
I Exercice 16 p.242
il
1. V x e lo ; r[ ; ÿi .]0 ; 1[ ; d.onc : E(rÆ) = 0 et .ftx) = 0 ; par suite, Iim ./(x) = 0.
2. Sir€10;1[, alors.f(x) 0;donc:0 </(r)
=
= *. I
174

r
_ l,
I
I

Sireh ; +*[, alorstÆe [t ; + *[ et 1 <E(\Æ) <ÿi Etl6ll=#'


.xx ;donc : o<]<
fl 1-
Donc: Vrel0;+ -[, o <-f(r) o.
L =i*. Par suite, ]*.-/(x) =
I

r I Exercice 77 p,242
:Z<f{x)<Zxf t.
I

L. 1.Vxel0 ;+-[,rSE(x) Sr+ 1 = 2x(r+E(r) <2x +1 i donc


2. iim
_f(x) = 2.
t t Exercice 1S p,242
=-s;.f est continueen2 bllim. .f(x)= o et"f(a) =o;f estcontinue en 0
r a)lim
x-)Z
f(x)=- 5 et f(z)
pas continue en -
-f(1) = - *, f est continue en 1 d)Df = R - {* 2} ;/n'est
L* 2.
cJ
}$ f(x) =- f "t

t 1 Exercice 79 P.242
[-f(r)=rc2+4, six<Z
l%r)

1-f(x)=3x+2, six>2.
I

t*

r* 2. lim f(x) I et -f(2) = 8 ;


I
= )
x-+2
donc -f est continue en 2.
: 10
r* r) Exercice 2O p,.242
li-
.f(o)=f 1='| et Iim^-f(r) = a. .f est continue en 0 et si et seulement si cr =
+'
'15n *?0
tr
ti."
ô Exercice 21P.242
Zl.Y xe Dy, -f(r) = #I et üm ft *"
a)Dr- R - {+,
3
3 " r..-r
3x- 1 xàt
x--»2
)=
c
i

r çr{*) =##â'sirem-t}'zt
u4
,f àdmet un prolongement par continuité g en 2 défini par :
r [..r(z) = |
5
,;_
o
(.f(x)=- 1, =-
six< I lim^.f(r) r
b)D.=R*:.1 ;donctl"?
x* lrfrt = 1, six> o ( tim^"r(x) = r

.f n'admet pas de prolongement par continuité en 0'


ii
c)Dr=10;+-[ ;Vxe D7,.ftx)=ÿx-1 et lgtr/t'1 =-]' **rG
(o@)-T,sixe lo;+-[
r
ri."
,f admet un prolongement par continuité g en 0 défini n" '
t g(0) = - 1

Dî = u )- * tu, I + knl - {0}, avec k e Z ; lim^ "f(x) = r.rr,r,


d)
I ry, = si r e Dy
rl"
,f admet un prolongement par continuité g en 0 défini ,* '
tdoi = ,'
i

rt. r) Exercice 22 p. 242


i

Dr=[-1;+-[-{0) etDg=[-1;+-['
:

;L
Vr e D7, f@) =g(r) ; lim^-f(x) = L = g@).Donc g est le prolongement par continuité de.f en 0'

lr
!r."
17s
f-'

I
",1

Exercic"t d'rp,profondissemenf J
=I
1 Exercice 23 p.242 ,l Gr)
' ,?-1 -f(x) = re, et *ÿ-1
1?1) =ÿ2;Lirr. lim ./(x) = 0. J
J
f n'est pas continue en - 1, car -f n'a pas de limite en - 1.
'l c l_
i Exercice 24p.242 JJ

o/
,fftrt =-sinr, si xe [-r;o[
l-rt") = o, si x e [o ; rl X'
tim Iim (-sinxJ =0 et lim -f(x) =0 ;donc: lim -f(x)=0.
x-?0 -f(r)= x-+0 JrO l--+0
ii
b)V xe[- r[,-f(x) = 0 ; donc : lim -f(x) = 0.
1; ür
r-r0
. [/(r) --]., si xe [-r ; ol
- et }im .f(r) = o. ll
[.f(x) = 0, si x e [0 ; 1[ '?o Jr-à0
tJI.

Par suite : -f n'a pas de limite en 0.


(-f(x)=-1,sixe [-4;ot i"t

*?o et lim .f(x) = o. Lil


t"f(.u) =o,sixe [o;f,[ r--;0

Par suite : -f n'a pas de limite en 0.


e)Yx€ l-1; olulo;1[,1-r<U111 E].
Vxe l- 1; 0[, t <-f(rJ < 1 -x ; donc, ljgo.f(x) = 1.
Vx e l0;1[, 1-r <-f(x) < ]. ;d.onc , tirn'.f(r) = r.
r+0
Par suite : lim -f(r) = 1.
.rl;--)0

/l Sir € l- 1; 0[, -f(x) = 2 ; donc : lim -f(x) = 2.


'?0 Ï
Six e lO ; t[,-f(x) = E(x) - 1. = * L ; donc : lim /(r)=- 1,
,f,-+0

IExercice 25 p,242
Soit -f une fonction continue H(ro + h) --f(xo * h)l = O.
ro. Démontrons gue :
Posons :.r =r0 -
"t 1lgru
h ; dire que /r tend vers 0 revient à dire que xtend vers;;o. i
Or ; -f est continue en -r0 (+ lim .f(r) = -f(ro) €) Iimo -f(ro - ll =.f(xo) ;
o
de même on a : Iim .f(xo + /z) = /(x6) Ï
h-+0
Donc : limo [-f(;uo + h) -.f(-rr, - /r)] =.f(r,,) -.f(.rr,) = 0.
1
2. La réciproque est Iaussc : en efiet, soit.l'(r) =
Ë.
On a:lim t"f(1 +/r) - f(1,-tL)) = Iim^ ({1,+h-y1--tl =0,mais-f n'estpascontinueen1.
h-+0 h-0

I Exercice 26 p,242
Vxe R*,1--1g-f(x)
'À' < I +L.Donc:lim
f
.f(x) =+* et lim f@)=-*.
r--r0-" i-+O
l
î Exercice 27 p.242
VxeR,0<sinzxsL 1s
'.1 .<1.
= 3-sin3x+2-2'
176
Si r > 1, alors
ï, <.f(.t) . =tïa ;
donc
'}iT_,-./(x) = -.
+
n
il

si x < ..1, alors
+<.f(x) = ï1 ; donc'lr5r__./'(x) = --.
m
1 Exercice 28 p, 242
I

! 1<
V* elo ; + -[, - 7 < -sin(]) ( 1 = 3 1 , <1:donc,{<ffrl<-r.
2-sin(f1
x
3

frfl
Vr el-* <1+ 1;donc,'<.f(*) <Ë.
,i
hit
; o[, - 1 <- sin(]) +=;*" <
x
-lil Donc : r+-æ lim -f(r) =
lim f(x) =- - ; .t--)+æ + æ et lim f(x) = 0.
x--+0
ü
t) Exercice 29 p,242
!
cos .r
lr-
1.Vr€ R*,.f(x)= *?o-f(r)=-* et lim .f(r) =+*.
;donc:lim
I

-+*
, * =ï 'lo
Par suite : .f n'a pas de limite en 0.

Z.Y xe lt ; +-[,{=+<-f(r)
I+1
<*.t-I* I ; donc : lim
r--r+æ
.f(x) = t.

3.Vre l--;1[,+l+<-f(x)
.t-l
s++;donc:lim
.f +1 .t'+-æ f(r) =r.

"i i

,]

'r
L

l'-

ü- I

lt
u

u-.

il
I

t-.

il
rLl

lF

lt Jr- .
177
-:
,ll-
{t,{

"J

1?-Dérîÿation
(poges'243 à 264 du livre de l,alave)
i

,ij.'l

Présenter ure nouvel outil et I'utiliser pour : I

- préciser I'allure de la courbe représentative d'une fonction «


au voisinage » d,un de ses points (tangente) ;
- déterminer le sens de variation d'une fonction numérique sur un
intervalle ;
- donner une approximation affine rocaie d'une fonction numérique. I

I I

' On introduit le nombre dérivé corrme limite du rapport n1=fjxf


lorsque x tend vers rr, l,interpréta_
tiongraphiqueconduisantàIanotiondetangente'I-Io.-.-.1-"
I La noüon de droite tangente à une courbe-pourra être rapprochée de
celle de tangente à un cercle (un
exercice sur ce thème est proposé en fin de cËapitre). T
n Il serait fastidieux de vouloir
démontrer tous les résultats concernant Ie calculs des dérivées. Le profes-
seur décidera, en fonction du niveau des érèves et du temf, dirpo"iui;;il;;
qui doivent être d.émon_
trés en classe, admis ou posés en T.D.
r Par contre, la démonstration de ra formure donnant ra dérivée
de nttn, qui introduit re raisonaement
r
par récurrence, doit être présentée avecle plus grand soin.
En effet, ce tvpà à" *rroo,,.*àr.i*r",""urire
plus loin, en particulier âu chapitre rs (suites
o Tous les résultats repris dans """rÀiq"Ài(§ 2.3.) sont T
les table:ux- récapitulatifs évidemment à savoir « par cæur )).
I1 est important d'habituer les éIèves, dès les p;""ü;;;;Lrcices
de calcul de dérivées, à préciser l,en-
semble de dérivabilité.
' Le tàéorème sur le signe de /' et Ie sens de variation est une équivalence : on n'oubliera pas de le faire ï
fonctionner da,'s les deux sens. on n'a pas jugé utile de donner
Iô théoremu , ,Jf ,> 0, alors -f est stricte-
ment ffoissante ; e11ffet, sa-réciproq"", i""rri, À;;i";i p*roi,
un théorèml-erorr". I
I

". Les.études de probièmes d'optimisation sont un excellent exercice : l'élève y apprend à mod.éliser
situation concrète avant de moLiliser I'outii dérivation pr* r" r".I"."h" une
à;;; Ëxtremum.
' Le problème de la majoration de I'etreur commise iors d'une approximaü;;;* une fonction affine n,a
pas été abordé. Par contre, il est souhaitable que l'on ràrifi"
i,

proximation à l'aide de Ia calculatrice.


rÿrE;;ia";;;t ia validiitd";;ii"
"p-
I

'111

Ji

ï'
l
./li
Dérivation en x,
. Nombre dérivé en xo. . Calculer le nombre dérivé en .ro. ïr
. Équation de Ia tang"ente à la'courbe représentative li
en un point. .it/
. lJne fonction dérivable en.ro est continue en.r0. . Calculer le nombre dé1ivé à droite ou à gauche en xo.
. Fonction dérivable à gauche ou à droite
Interprétation graphique ; extension à la notion
demi-tangentes ou tangentes verticales.
ro.
"i de
. Déterminer une (des) équation(s) de É (aes demi"-)
tangente(s) à la courbe représentative d'une fonction
en un point et ta (les) construire.
l
. Une fonction est dérivable en ro si et seulement si
elle est dérivable à gauche et à àroite en xo et les
nombres dérivés à gauche et à droite sont égaux.
. Recounaître et prouver I'existence d,une demi-tan-
gente verticale en un point. l
.F
llr

-lll

'-lt

178
ï
l Calculs de dérivées
. Foncüon dérivée.
. Dérivées de's fonctions élémentaires'
. Déterminer I'ensemble de dérivabiiité et calculer
les dérivées de fonctions qui sont la somme' le pro-
. Théorèmes relatifs aux dérivées d'une somme' duit, le quotient, Ia racine carrée ou la puissance
n-ième dà polynômes, de fractions rationnelles ou
dun produit, d'un quotient de deux fonctions déri-
il vables.
de fonctions trigonométriques:
. la . Déterminer l'ensemble de dérivabilité et calculer
Théorèmes relatifs à I'inverse' Ia racine carrée'
fonction Ies dérivées de composées des fonctions précédentes
puissance n-ième et la composée avec une
avec une'fonction affine.
I àffrrr" d'une fonction dérivable'
. Étudier Ie sens de variation de fonctions numé-
Applications de la dérivation riques et dresser leur tableau de variation'
I ,!*
. ïhéorèmes liant le sens de variation d'une fonc- . Rechercher et donner la nature des extremums re-
tion au signe de sa dérivée, Iatifs d'une fonction numérique.
. Applicaüon à la recherche d'extremums relatifs' . Déterminer l'approximation affine locale d'une
t . Approximation d'une fonction par une foncüon af-
fine.
fonction numérique en xo.
. Utiliser une approximation affine pour déterminer
une valeur approchée d'un nombre réel,

E Exercice$ du cours ir - a at

I
0 Exercice 1.a P. 249
-j a)f'(t)=t ; b)f'(2)=-z ; c)î't3)= *'
1

I I Exercice 1.b P. 249 1 -


'I a)U=x-t ; b)A=-2x+7 c)A=-{nr+V3-1'
j
I I Exercice l.cp,249
; ;; ;;,^{*ô rgrfl}:#ù yre l,{;f,o} -', lkL{'ù= s.

I
l = z, = 2 rR*+,

La courbe représentative de .f admet au point d'abscisse 0 deux demi-tangerri".


},S
a" coefficients direc-
Lrrr r"rp""tif, z o.
"t
L,l 2.Lesnombresdérivésde,fàgaucheetàdroiteen0étantdistincts'-fn'estpa§dérivableen0'

t: i Exercice 1.d p. 249


1. La courbe déduit de ln courbe représentative de la fonction .r -' 'r2 - 3r + 2' qui
(13) se

même de la courbe représentative de la fonction x '- -r2 par la translation


de vecteur
* ôï
se

- idI
déduit elle-

Ii" 2.. ona:vre R\{1},

Donc:1,i+HEi=-l et 1î, *E#I=''


ry=*+ tx-2t.

It: Les nombres dérivés de -f à gauche et à droite en l. étant distincts,


.f n'est pas dérivable en 1.
rl o ona:vxe R\{z},
W=#lr-11.
L
: 1i- /(rl
IJUuu.i:i et yi^ flù--"!J4--
- f(zl - 1 ".;î^, t.
Donc
x_2 =--^ x_2 =
l*
Lt Lesnombresdérivésde.fàgaucheetàdroiteen2étantdistincts''fn'estpasdérivableen2'
ll'- ' 3. Les demi-tangentes à (<6) à gauche aux points d'abscisses 1 et 2 ont
pour coefficient directeur - 1'

Les demi-tangentes à (%) à droite aux points d'abscisses 1 et 2 ont pour


coefficient directeur 1'

L- 179

I
,I
Illr.l
It il_
*.1

Ô Hxercice l;ep.249
tJrr a : D"= l-* : L1 w 12 : + *[.
, i;n a
-.J

vr e l-- ; 1[, X*+r] donc,],.*, {*=#U =+ æ.


t
: =
lî*;
La courbe représentative de .f admet au point d'abscisse L une demi-tangente parallèle à Ia droite (OD.
u (.rira:vxe l2;+*1, f&)-[^tù = ,tl-lr-l-;donc'1i* 'f(*I=JIâ=+æ.
x-2 x-2 ' ,jz x-Z T
La courbe représentative de ,f admet au point d'abscissé 2 une demi-tangente parallèle à Ia droite (OD.

ô Hxercice 2.ap,256 r
X., V r e R, f(r) = - 2 sin.r cos r. 2.VxeR;g'(r)=0.
ô Exercice 2.b p.256 il
olLafonction-festdérivablesurRetsadérivéeestlafonctionfdéfiniepar:f(x) =1+cosx.
bl La fonction -f est dérivable sur R et sa dérivée est Ia fr,nction -f définie par : f (x) = cos .r -x sin r.
cl La fonction -f est dérivable sur R\tIm, k e Zl et sa dérivée est la fonction
"f définie par : -f(r) = - ffi.
I
di La fonction.f est dérivable sur R\{+ + kn, k e Zl etsa dérivée est Ia fonction f définie par :
-f(x)=2tanr+2tan3x. il_
') Exercice 2,c p. 256
"i.) La fonction -f est dérivable sur R et sa dérivée est Ia fonction .f'définie par : f (r) = 72,.* - 10r. il
,{:JLafonction-f est dérivable sur R et sa dérivée est la fonction.f'définie par:f(x) =7§ + 15ra - 9rÿ- g.

cl La fonction -f est d6rivable sur R\{- 1 ; 1} et sa dérivée est la fonction -f; définie par ,B.J: .f'(x) 3x:-; 4+" + 3
\ /_= (Xz_1)z
dl La fonction -f est dérivable sur R et sa dérivée est la foncüon.f' défi.nie par : .f '(x) = sin3 r + 3x sin2 .r cos r.
t_
ô lixercice 2.d p. 256 :
oj T,'ensemble de définition de ia fonction -f est l- * ;27 ;
.f est ciérivable sur l- * ; 2[ et sa dérivée est la fonction -f' définie par : -f (x) = 3yz 1ffi -#
rbj L'ensemble de définition de la fonction -f est [O ; S] ; I
l,a fonction -f est dérivable sur ]0 ; 3t et sa dérivée est Ia fonction -f définie pâr ; r'r-'1 -
3 - 2x
- x)
z..'Tx{É
fl L'ensemble de définition de la fonction -f est D, tel que : Dr" = R\{Ë * kT, n:";' : t
Ia fonction -f est dérivable sur D7 et sa dérivée est Ia fonction -f' définie par : -f'(x) = 217 + tanz(Zx *
fll. Ë
tl)Dr= R;la fonction.f est dérivable sur R et sa dérivée est la fonction-f'définie par: /,(x) = z cosï. t-l

ô Exercice 3.a p. 261


oJ -f est dérivabie sur R.

"f(x)=-Zx+3.
b) f est dérivable sur R.
f'(x) = 3x2.
I
x -æ ,
J
+æ x. -æ 0 : +æ
f'[x) + 0
1,
.f:(x) + 0 + I
"ftx) .f{x)
,*à-n-à it,
*l
cJ f est dérivable sur R, d).f est dérivable sur R.
l[x) , 2x (4xz -'J'). .f (x) = 3x2 + 4.

x -*-+ o + ræ x -æ +æ
m

î'(x) 0+0-0+ f '(x) +


-\
I

,f"{,t) \
I

-* /'/
-1
-1u
/ f{x)

180

I
L

L 0 Exercice 3.b P. 261


a.).f est déiivable
..,,
sur'l- * ; 2l et12 ; + *| bj -f est dérivable sur l- * ; - 3[ et ]- 3 ; + -[.
n
L f,(x) =_Gæ
x -æ 2 +æ x * -s-$ -3 -r*ÿî +

.f'(x) f '(x) +0- 0+


-s-zt/î
f{x) .f(x) \ /
\ \ /\ -s +2ÿ1,

c) 1 estdérivable sur l- * ; * 4l et l0 ; + -[. dJ -f est dérivable sur ]- - ;- 1[ et ]1 ; + -[.


x+2 _f(x)=æ
J-'lx)=-
L &r;ffi
x -æ -4 0 +æ x -æ -1 1

f'(x) + f '{x) +
L
f(x) f(x)
,/
p-

tl
r) Exercice 3.c p. 261 p-
.r 0 4 2
1. aJ On a : .d(r) = x(ÿ - x). d(x) + 0
bJ La fonction.d est d.éfinie et dérivable sur lo ; Ët' Ë_

tl Ona:s4'(r)=-U*Ë.
2. La fonction .d ad.inet un maximum pour
Iorsque Ie rectangle est un carré.
* = ÿi, c'est-à-dire
d(x)
0
16
0

Ll t Exercice 3.d p. 261


La fonction,f est dgrivable sur l- f ;a *[ et sa dérivée est la fonction -f' définie par : -fl(r) = - n+æ '

Ll La meillegre approximation afEne de la fonction -f, pour


c'est-à-dire la fonction
ona:#6t=1*É,,BI'
r -> 1 - x.'
r « proche de 0 », est Ia foncüon

1'008'
-tr + .f(0) + -fl (0k,

r'l
L ç.rl
Une calculatrice donne ,
Donc'
n#rt =L-(-0'008)
= 1,008 064 5L6 ..'
=
è

n*nt
0 Exercice 3.e p. 261
aJLameilleure approximation affine de ia fonction-f ;*,-rÿ1, pourr « proche de 25 », estla fonction
il
r,J
x,+ î(25) + î'(zs)(x - 25),c'est-à-dire la fonction : x r-+ -1- x + 2,5'
L- Donc : \,æ,OOOZ =1ZS,OO OZ) + Z,S = 5,000 02. Une calculatrice donne
{- ,:ES,OOOz = 5,000 020 000 ,..

»' fonc-
bJ La meitteure approximation affine de la fonction -f : -r F+ (1 + ;r)8, pour x « proche oe 0 est Ia
tion r ", /(0) + .ft(o)x, c'est-à-dire Ia fonction : r '+ 8x + 1'
Donc:(0,999gZ)B=gx(-0,00003) +t=0,99976.Unecaiculatricedonne:(O,ggggZ)2=0,999760025...

tf Exercices d'entroînement
f-
l* DÉnIvATtON EN xo
I Exercice 7 p.262 t
a)f(z)=-a b) f'(- T, = * cll(r) =-s û f't- +) = .}

181
'!1',r1

il
ô Flxencice 2 p,262
a.)li=-7x-5 b)A=-1t**# " c)A=x-1' d)a=x-1.
i u
Exercice 3 p.ZEz
1. Ona : Vhe R,.f(Z + h) = (1 + h)(r + Zh) =1 + 3h + 2h2.
\ *'lt
l-!
2. Cn a : Vh e R*, flr=+=JlÙ = J + zh; donc,)*fuP=
I
l
r.
On en.déduit que -f est dérivable en 2 et -f '{2) = 3.- \ 1*!
3. Une équation de Ia tangente (T) est : y = 3x - 5.

4" On a: Vre R, -f(;r;) = 2(x-1t'-*;dorc


' 4', 8 la courbe (%) se déduit de la
) \ I
*t
1
T"
courbe (G) représentative de la fonction r ,-+ zxz par Ia translation de vec-
o \ t;
teurldr-+ôi -E'
1

(T
l'.
0 Exercice 4 p. 262 L
1. on a:Vh e m\ {$}, - 3+ he R \ {- }t "t
-f(- 3 + tt) - f(-3) = 3*- * * = ffi r
1

'3" -f(-s+4)--f(*3.)
2.Ona:Vhe R*\{8}.
h =-7
24h-64'
.

donc:1i* "fl-s+hl-fl-g')
x 1
r!-
h->o n =_ 647
Cn en déduit que -f est dérivable en - g et -f'(- ù = - +n. \ r
3. Une équation d"e T est i A = - ** - *. ,\
"6464
7 I r]
R u=- - I

4. ün a : vx e R\ {-+i, .f(x) =-â. ;ft ; donc la courbe (.6) se (T)


.f

--37
déduit de Ia courbe (G) représentative de la fonction x ** 9
\ n
LJ
x (( ,,\
r,r*r la translation d.e vecteui - + dI - + ô'I
33
ê Exercice 5 p.262
-f(r'l-/trl = f(rJ =m
I
1. On a :-f(1) = o ; dor. : Vxe R*\{1}, =n(x +*,
x-l x-! ## n
Dep1us:VreR,sin(rur)=-sin(zrx_æ);donc:VreR*\i1},ry=P__n{x-*)# tJ
I

2. on pose : u = n{x- 1) ; on u,}rT,


ïË9# =
}i3o
t}o =, 1 I

Dn en déduit ' 16 'f[x) - "f(1] -- - 2n:


4'!
'
d.onc, J.f çùL
uurru' dérivable
est uell v qur en r et -f,(1) = - 2n.
Jr -+ 1 -r - l,
t) Exercice 6 p, ZGz i],
.'t, L'eusemble de défi.nition de / est R*. "j
z" [Jr a :.f'(Z) ='Y l*1
I

La tangente à ((€) au point d'abscisse 2 admet pour équation : y = tJ


x - tfr,.
*
3. ona: Vxe R*\{o}, "f(x):"f(o) =ÿi; donc,lenombredérivéde.f àdroiteen0est.li* -f(r)-"f(ol - l'l
x "-.-.;;ï x o.
;!-
l-a deuri{angente à ((€) au point d'abscisse 0 admet pour éq.;",';;,;=;

) Exeni:ice 7 p.262 T
ir.i -
1. 'ii Âu point d'abscisse Ia courbe admet deux demi-tangentes de coefficients directeurs distincts
f, ;
-ïrnc, ..f n'est pas dérivable'er, *.
2

182
IJ
V'

L bj La courbe n'admet pas de demi-tangente à gauche au point d'abscisse L ; donc, -f n'est pas dérivable à
gauche en L.
cJ La courbe admet une demi-tangente à gauche au point d'abscisse 2, mais cette
demi-tangente est pa-
rallè}e à I'axe des ordonnées ; doni, -f n'est pas dérivable à gauche en 2'

2. a) ona :.f (- 1) = /,(0) = 0. Le noml-re dérivé de -f à droite en 1 est nul,


bi on a: -f(-
I

|1.o.
I Exercice I P,262
a)Lafonction/est continue en 3 (propriété 1 p. 239).
't-.

bJ on a : v x e R\{3), fl*=+'} =
*'f-
f' .

Donc : 1i* -flx) = - Ji(gt 3 ; .f est dérivable à droite en 3 et son nombre dérivé est 3.
x:+3 .f-3
Deplus i1i- fl,t-{fgt =-3;,f estdérivableàgaucheen 3 etsonnombredérivé est-3.
--r---- ;-+3 x-3
Les nombres dérivés de .f à droite et à gauche en 3 sont distincts ; donc, .f n'est pas dérivable en 3.
2, a) On déduit de la propriété 1 p.187 que./ est corttinue en 0'
bJOn a : Vr€ R*, -f(xl -.f(ol = tx -3 l. Donc, Iim^ lkl+= lim,l[ÈI(Q) = g.
.r ,30 x '?0 x

j Les nombres dérivés de -f à droite et à gauche en 0 sont égaux ; donc, -f est dérivable en 0 et -f'(0) = 3'

I I p,262
Exercice
-;?,"-'i?,'
1.Ona:lim-7(*)=iim (x2-1) =0 et lim .f(x)=Iim {t}=o=/(t)'

tl 2. Le nombre dérivé de
*11

/
x+1.t*
Donc : Iim -f(r) = f(1); on en déduit que -f est continue en 1.
.r-)1'
nombre dérivé de .f à gauche en 1 est 2.
à droite en L est
T.r"
il Les nombres dérivés de -f à droite et à gauche en 1 sont distincts, donc -f n'est pas dérivabie en 1.
-; r \
!r ! l- -^---L-^---^:-rJ'^L^^l^^^r ââ^r,nX^,,^+i^h
3.Lademi-tangenteàdroiteàlacourbeaupointd'abscisse1apouréquation:A=rx'r.
.,,-1*-1

Lademi-tangenteàgaucheàlacourbeaupointd'abscisselapouréquationiU=2x-2.
ri
ô Exercice 7O p.262
1. L'ensemble de définition de / est R. b
u ;:il:+0 {d=l[Q) =-z;le nombre dérivé de-f àgauche en 0 est d'onc-2.
X
1* ffrt -Rot =lim = (,. #_\= * æ i-fn'estpasdérivableàdroiteen0.
;=br'?o\vx/
il
La demi-tangente à gauche àla courbe aupoint d'abscisse 0 d'équatiolliy =-2x +3;
La demi-tangente à droite à Ia courbe au point d'abscisse 0 a pour équation rx = 0.
il
Calcurs DE oÉRtvÉes
r ô Exercice 11 p.263 :
L"
a) .f estdérivable sur R et sa fonction dérir,ée est définie par : "f'(x) = - 2x + 3
il f estdérivable sur R et sa fonction dérivée est définie par : "f'(r) = xz + 4x + 3
t" c) .f estdérivabie sur R et sa fonction dérivée est défi.nie par :.f'(x) = 12x{2xz + 5)z
d)festdérivablesurRetsafonctiondérivéeestdéfi.niepar:-f'(r)-(ex-L){24x2-4r+6).
t"-
L,- l Exercice 12 p,263
a)f estdérivabiesurl--;-1[ et]-f ;+-[,etsafonctiondérivéeestdéfiniepar:.f'(x) =- t*+1\, [-f + 1..,-

b).f estdérivable sur l--;-âtet l-f ;+ -[, etsafonction dérivée est définie par:.f'(.r) =-6;?æ
cl-f est dérivable sur l--;- 3[et ]- 3 t* -[, et sa fonction dérivée est définie par:-f'(r)='dftÉ

183
Ill4
.,,;_,,,..,-,:.,..,,";ï:isüSrëi:
l

0 Exercice 13 p. 263
j-
a)'festdérivaüe ,ur if ; + -[ et sa fonction dérivée est déûnie par : /'(r) =
L

,' \/b-3
H-
bj-fest.dérivab]esurRetsadérivéeestdéfiniepar:.f(r)=ffi
cl-f est dérivable slu R* et sa dérivée est définie par : .f (x) = u * 2ÿx
=#
t-
d) .f est dérivable sur l- * ; Zl etsa dérivée est définie par f (x)
* _fu.
:
,
I Exercice 14 p. 263 *{
al -f est dérivable sur R et sa dérivée est rléfinie par : -f (x) =
b) f est dérivable sur R et sa dérivée est définie par :f(r)
! cos(zx * f) - * sin(zx + f) l,
= slins r(+ + ta.iz x).
I Exercice 1"5 p. 263
.festdérivablesur]_t,ÿtet1};4*[,etsadérivéeestdéfiniepar:.f,(r)=ffi. I
0 Exercice L6 p. 263
.f(x)=-4x2+3x+4.
i Exercice 77 p, ZG}
On a : /(r) = -.r + S +
t
1..
- =L.
3-x r
2. La tangente à Ia courbe au point d'abscisse 2 a pour L
équation:U=2.
IExercice L8 p. 263 I

1..f est dérivable sur R et sa dérivée est définie par : .f'(r) = - 3.r2=+ 4r=+
(r2 + t)3
1.
.

2. Ona:-f'(-1) =-f
;-f'(o) = L;.f,(1)=f,;f,dl=--f I

3. Les taagentes à la courbe représentative de -f aux points d'abscisses respectives l

- 1, 0, 7 et Z arlmet-
tent pour équations respectives : A = -*r-*
t, =x- 7; U = A= +--+; -**.#. ,I
,t1
ô Exercice L9 p. 263
1. L'ensemble de définition de -f est [- Z ; 2], Soit r ün élément de
[* Z ; Z). &
Ona;M(r,y) (%) <+ g=ÿ4-1;z ê x2*A2=4 eI gà0 <+ OM= Z et y>O. lt
(.6) est le demi-cercle de centre o et de rayon 2 situé « au-d.essus »
de (oI).
n
2..f est dérivable sur l- z ;21etsa dérivée est définie par : f'(r) = - llLJ
ff*r.
r0 4
3. oJ La taagente à (.6) au point Mo ad.met pour équation : g =-G=3**Go'' -l I

bJCetteéquationpeuts'érire:.r.r0+ \,q=3 U=4;donc, ôüo (a^tç) estnormalàlatangente.


1
On en déduit que la tangente à ((€) au point Mo est perpendiculaire à la droite (OMo). I
S Exercice 2O p.263 ,1
L.-f est dérivable sur )--;- 3[ et sur ]-e ;+ *[et sa dérivée est définiepar:-f(x) =-dæ.
I

2. a)La tangente à ((€) au point d'abscisse


- L a pour équation i A =-+-_+
I

bl Soit -r0 urr nombre réel. La tangente à (.€) au point d'abscisse xo a pour coefficient directeur r.l
- Giæ !
:
cette tangente est parallèle à la tangente au point d'abscisse - 1 si et seulement ri - n
Go-{ 3p = - +.
Donc, les tangentes à (%) aux poinrs r,(ï) * ,r(:+) sont paralèles. + l

184
l
!,-
r;
t

I xz.=
r;
3. Pour tout nombre réel strictement négatif nt, l'équation

- 3 + !'l-t; donc, il existe deux po^nts de ((G)


"f(x) = ,?1 a deux soiutions :.r1 -
où la tangente a pour coefficient directeur nt.
l-Lel
- 3 - 1m
'm
I
AppLtcATtoNs DE tA oÉnlvATtoN
I
l r) Exercice 2!p.263 .)
x -5 -3 -1 1. 4
Vxc l- 5 ;-3[ t-l ]3 ; 4[,-f'(x) > o
1. ;
-f'(x) +0-000-0+
l Vxe l- 3 ;- 1[ u ]1 ; 3[,/'(xJ < o
Vre l-1;11,.f(x) =0.
;

-f(r)
-u.y'{-"-1*-1\ -5.u-1
2. On en déduit le tableau de variation de.f.

l l Exercice 22p.263
a) .f est dérivable sur R et sa dérivée est définie par :/'(-r) = 2a.
x' -æ 0 +æ
.f '{x) 0+
l On en déduit le tableau de variation de.f.
"f(x) \r.. lZ
J -æ _L ") n
U +æ
bJ.f est dérivable sur R et sa dérivée est définie pal:-f'(.r) = 3x(r + 2).
-f 'tx) +0-0+
On en déduit le tableau de variation de -f.
f(x) /7-\ 1.y'
c) f est dérivable sur l- - ; 2[ et sur ]2 ; + -[ et sa dérivée x -æ 2 +æ
est définie par : f(x) = O:*. f '(x) + +
On en déduit le tableau de variation de -f. .f(x) ,r' .r'
d) .f est dérivable sur l- * ; 3[ et sur ]s ; + -[ et sa dérivée x T
5^7 J Z +*
(2x'- 5)(2*- z) +0- 0+
est définie.par : -f'(xl)- - (x-3)2 . f '(x)

On en déduit Ie tableau de variation de.f. .f(x) ,/n\ \,rtl


z
e) .f estdérivable sur l- - ; ât et sa dérivée .r -æ J

est définie par /'(r) = - f '(x)


:
#z _3
On en déduit le tableau de variation de l. f(x)
0

fl f est dérivable sur Rf et sa dérirrée x 0


1
4

est défi.nie par :,f'(r) = f '(x) 0+
l
#
On en déduit Ie tableau de variation de.f.
.f(a:)
\-+,r'
0 Exercice 23 p.263 lL
x 0
A 3
n
oJ-f est dérivable sur l0 ;æ[et sa dérivée +0-0+
.f '(x)
t'" est définie par :-f'(x) = Zsin(* - 2x).
U 1,
l
.f(x) 2
On en déduit le tableau de variation de "f.

_11 fi It
.f, 0
b) .f est dérivable sur l- T t nl, et sa dérir,ée J
l
est définie par .f (x) = sin x(2 cos x
'(x) +0-0+0-
: - 1). "f
5
5

On en déduit Ie tableau de variation de.f. f(x) 4\ ./r


J4
\
-1y' _1

185

lri:ûl
l'T

i"t
d f estdérivable sur l- ninl, et sa dérivée x 0
J!.
3
Z'tc
3
,IE
l

estdéfinie par : y''(r) = ,- 15 sin 3{.-.' 0+O

./ *\-+
.f '(x)
(cos 3x - 2)2
On en déduit Ie tableau de variation de -f. .f(x) '\-l+ ü
IExercice 24p.263
alSoit f(x)= x5;on a:-f(x) = Sra et A=.f(2 + 0,0002), ü
On a : A = .f(2) + .f'(2) x 0,0002 = 25 + 5 x 2a x 0,0002 = 32,01.6. La calculatrice donne : A = 32,01600.
blSoit -f(x)=fi,""a:/"(r) =-#
et A=.f(ro+ 0,00s). T
ona:6=/(10) +/,(ro)x0,005 =-1- ' )0gq9.Lanalcrrlarrir
La carculatrice donne: A= 0'00eee'
cr soit r{x) =Ï*,'::'J,}ii=:e*g:i?:i;:::ï' :
ona: A=.f(1)+.f'(1) x0,0001 =2_3 x0,0001 =1,gg97.La calculatrice donnà: A= 1,9gg7.
d/Soit f(x)= sinx;ona:-f'(x) = cos.r et A=-f(0 + 0,002).
on a: A =-f(0) +-f'(0) x 0,002 = 0,002. La calculatrice donne:A = 0,00199 = 0,002. l
I Exercice 25 p.263
L. ul Ensemble des valeurs possibles de r : lO ; SO[.
bl La hauteur est x et la base est 100 - Zx ; u{x) = x(100 u(x)
x 0

+
50
e
I

0
50 l
- Zx)?

l
.

Z. u'(x) = (100 - àc)(100 - 6x). 2 x 1.06


3" Le volume de la boîte est maximal pour u(r) 27
' x=P
3
;
o /)r 0
Ie volume maximal ur1 2 x 106
27 "*s. I
I

E Exercices d'approfondissement I

p.264
ô Exercice 26
Qna:.f(x)=3x2t4x+3. l

x.+1.
ô Exercice 27 p.264 x -: 0 ,. 1 +-
.f{x) = zx3 - 3xz + 3. f(x) + 0 0 + i
l-. z. 1{x) = 6x(x - 1). I

-f admet un maximum relatif en 0 qui est 3.


-f admet un minimum relatif en ! qui est 2.
-f(r)
)-r'
I +æ

ô Exercice 28 p.264 I Exercice 29 p.264


-f,(r)=#i+ rr,-l-12+5x-L0
r \e) - ----::---;--, i

I Exercice 30 p. 264
Fl
n. SoitP(x) =at{ + a^-t/'-1+...+ ao @"*O);ona:P'(r) = nfl.iÈ-1+(n-1jÇ_rf-, + ... + qet deg (p,) = n- t.
2" P(r) = (r - crJz Q(x), avec Q(x) + 0.
0.ua:P'(r) =2(r-cr)Q(x) +(r-g)ze'(r);donc:p'[cr)=0etcrestuneracinedep,. tT
I

3. Soit:P(r) = (r-s)Q(r), avec Q(x) * 0;on a:p'(r) = e(x) + (x*cr)e'(r). ..t

P'irx,) ,= g ç3 Q(o) = O <+ cr est une racine de Q. Çt

Dorrc:Q(x) = (r- a) R(x), avec R(x) * 0; par suite: p(*J = (r- s)2 R(r), avec R(rJ * 0.

,â .Lixercice 37 p. 264 FI
'1. atj f'r(x) = 1-cosx;donc,/, est croissalte sur R.
+
hjll[D] = 0 ; donc : Vx> 0, r- sinx > 0, c'est-à-dire : sin,r(r.

186
L

I 2. a) f ,(x) = - rc *sinr ; donc : f, estdécroissante sur R*.

i
l
67fi(o).= 0;donc: Vr20, 1- ÿ-.orx<0, c'est-à-d.ire ,1-* (cosx.
t

I
S, a) f test uàe fonction impaire. -f'3(x) = 1
* cos.r ; donc : .f, est décroissante sur R*.
+-
I
t
I
b) û(o)= 0,r-f - tur ( 0, c'est-à-dire, t-*< sinr.
0 ; donc : Vr2
I
4. a) ftestimpaire.f nfuc)= - .f, *f * sinr> 0;donc:.fn est croissante sur R*'
b) f.CI)= 0;donc:Vr20, 1- +.*-cosr2 0, c'est-à-dire: cosr< l" -
I
i
+.*
on en déduit ,# *sin(f) , # u, 8Ë* . cos(f) . .*3i
I 0 Exercice 32 p. 26a
rl
1.li510 ah+a4ù =li5,o ta+q(h)l = a;donc: uest dérivable enro et u'(xo)=a.
rl

I
2.iB\.q,P=}i}olb+xth)1=b;doncuestdérivabIeenxoetu,(ro)=Ir.
I

I itm
(uuXr) - (uu)(ro)= ,.
iim
u(r)[u(r)- u(xo)] + u(xo)[u(x) - u(xo)]
= u(-ro)u'ko) + u(ro)u'(rs).
;;;o x-xo r-âro J-ro
Donc, uu est dérivable en xo et (uu)'(re) = u(.rg)u'(rg) + u(xo)u'(xs).
I
0 Exercice 33 p. 264
1. Une équaüon de (To) ést:y =T*o*-î*o'.
I -
2.a)}rlol=MoHo =t+Txoz.

I É"( tq )
' "\-zl" ÿ/\t*J
, ' ) ,orr, des vecteurs directeurs respectifs de (IHo) et (Ts).

Ér.ÿ= 0 ; donc : (IHo) J (To) ; or: IrzIo appartient à la méd.iatrice de [IHo].


I Par suite, (To) est la médiatrice de [IHo].
b) Programme de consb.l.tcüon
Connaissant ] et H, on construit la médiatrice (To) de [lHo].
Pour construire Mo on construit la perpendiculaire à (9) passant par Ho ; elle coupe (To) en Mo.
I

t Exercice 34p.264
1. Une équation de (To) est : y- 3ro2 + 3)r +
l

- ?-tcoz + L.
z, a) (- 3xo2 + 3)x + 2xo2 + 1 = -13 + 3r + L.
bJ Cette équation est équivalente à : (x - xs)z(x + 2xo) = 0.
g.
c,) (To) et ((]) ont qu'un point commun ssi - Zxo = 16, c'est-à-dire : xo =

187
ut,{l

74- Etude de fonctions


(poges 2é5 à Zg2 du livre de l,élève)

Maîtriser les représentations graphiques des fonctions numériques.


Étudier une fonction numérique.

Le plan proposé pour l'étude de fonctions est purement indicatif.


II est commode d'utiliser un repère non orthogonal pour représenter les fonctions.

Généralités sur les fonctions . Étudier la parité d'une fonction-


. Parité, périodicité : o Construire la courbe représentative d'une fonction
,i,rr-
- fonction paire ; paire ou impaire
- fonction impaire ; . Étudier la périodicité d'une fonction
- fonction périodique. . Construire Ia courbe représentative d'une fonction
. Éléments de symétrie : périodique. d-

- axe de symétrie ; . Démontrer qu'un point est centre de symétrie


-. centre de symétrie. d'une courbe représentative. i

Notion d'as5rmptote : r Démontrer qu'une droite est axe de s5nnéhie d'une E


l

- asymptotes parailèles aux axes du repère ; courbe représentative.


- asymptotes obliques. . Trouver une asymptote parallèle à un axe du'repère
en observant le tableau de variation.
Foncüons polSrnômes, fonctions raüonnelles r Démontrer qu'une droite donnée est asymptote
n Étude de fonctions polvnômes. oblique d'une courbe.
. Étude de fonctions iationnelles. r
. Réduire l'onsemble d'étude d'une fonction.
. Conduire l'6tude d'une fonction.

L
tf Exercices du cours t t t lt,l t tlttl lt I ll

0 Exercice 7,a p. 271 t-


a).f alamême parité que n àJ-f est paire c) .f est impaire d) .f n'estni paire ni impaire (- f e D, et 1 e Dy).
-ffi1t,,
rI

0 Exercice l.b p. 271, i


t-
a) Dr - R ; .f(r + æ) = (- sin x)z = f(x). b) Dr = R fk + 2x) -{-
; cos
l), = fl*). I

9 Exercice L,c p,2Zl


Dans les quatre cas, I'ensemble de définition est R.
I
a) f(x + 6r) = cos[*J + 2x) = f(x). b) .f(x* sin(ÿ + 2n) = f(x).
#) =
L
"f est périodique de période - 6n, tZn.
6rc, .f est périodique de période un.
+,- ff,
i.)f(x +f) =sin(5-r -n*f,)=.f(x). d).f(x + = cos(- +x - 2n-f) = flx).
t

!)
- est périodique de période .f est périodique de période ,1,-
i,+," T,n. r--
S Exercice 7.d, p,271 l_
Üna:î(x-1)=xa+2.Lafonctionx'-+x4+2estunefonctionpaire;donc, Iadroited'équationx=-L
est un axe de symétrie pour la courbe représentative de,f.

188
t ", J

t
I

O Exercice l.e P,277


L" fonction r È r * 1'"rt une fonction impaire ; donc, }e point o(|) ttt ""
f' Ona:-fk+1)- z = x +a. x x
t t centre de sSrm-gtrie pour 1â courbe représentative de f'

f l Exercice l.f p.271


L* asymptotes àlacourbe représentative de-f'
t Les droites d,équations U=Zx+ B et x=-Zsont

0 Exercice l.gP,277
L* ona: ^ - -r+t*.Ë-L
f(x)-ùîA=+"X-L j{q 4==0;donc,Iadroite(Â)d'équatiory=2x+Sestasynptoteà(.€-r)'
_

I "t
0 Exercice Z.aP,276
1.Ona:f(r) =-3x(x-2). On a: g(x) = lft t l.
t

**\i -n\..
t' \
Çl
\
t
\r
\ ,l
o I

I 2. On a : Vre R,-f(x + 1) - 2 =-x3 + 3x' (,4

La fonction r » - r3 + 3x est impaire ; donc' Q est t)l


I
centre de symétrie de ((€)'
lk
L La tangente à (%) en Q a pour équation i A = 3x - 1"

I Exercice 2.b P.276


L 1.Ona:f(r) =3x(x-2).
0 , +æ
1C
-æ (q
0+
I

f'(x) +0
l
-_.---T +æ
l
2 {t
r@) I

-oo -2 I
I
I
l

2. Les solutions sont les abscisses des points d'in-


/
tersection de ((€) et de ia droite d'équation U = m' ,{t
. Si : m < - 2 ou m> Z,I'équation a 1 solution ;
. si : m = - 2 ou m= Z,I'équation a 2 solutions ;
. si : - 2 <m< 2, I'équation a 3 solutions'
,t -Z +æ
l Exercice 2,cP.276 3
x -æ
7.D1= R\{- 2} ; V;r e Dl f@) = 1' -;îZ' f '(x) + +
point de D7' +æ 1
-f est continue et dérivable en tout
-f(r)
rA.\x)\ = 6+æ.
3
1. -æ

x -4 0
-5 -J -1. 1.

f(x) , J
4 -2 _1 û
2 2

189
'"{f{,

r r ruÉ
,i
"_11,
I
L'r

2" " Pæ lecture graphique, on trouve :

S=l*.T;-3[u]1,+*[.
., (Jn letrouve ce résultat par Ie calcul.
!) =!
r:o'-1 (+ x-1
x+Z <4 o<r-1
x+2 et x+2 <4. 1«

c I

S Hxercice 2,dp.276 \ I I

1. Dr" = R\i1). \ (%

ona:1@)-(-x+1) =-
_+
La droite (Â) d'équation y = -x + L est asymptote à (%).
"t ],IL_-;ï=0. J
I

li

.f est continue et dérivable en tout point de D7. o I

f'(x) = -
(x - t - \Æ)k.= t + ÿù . (Âl
t.
ll

(x - 112

x -æ 1,-ÿz 1 t+ÿi +æ \
.f 'tx) 0 + + 0 l \
+æ I +* - 2ÿz 2.On a:f@+1)-0=-r*{.
\ )-/a
.ftx)
2ÿ 2' _*y' \__ -x
La fonction x » -x + + est impaire ; donc, Ie
point o([) est *
.

.U _,) -1 0 2 3 4
f" ry*et i" de (((i).
""ot "
77 _ 11
î{x) 3
3 3 -3 -3 3

$ Hxercice 3,ap, ZZ9 :

Suit ((€) Ia courbe représentative de la fonction sinus et (f) celle de la fonction considérée.
aJ r:iir (- . +) = sin (, -
donc (tr) se déduit de (s) par la transtaüon de verteur 7(-g).
i)
'
bj (I.) se déduit de ((6) par la translation de vecteur 76)

aJ sin (-
+- r) = sin (r - i) '
donc (I') se déduit de ((€) par la translaüon de vecteur 3 (E)
3

-5æ
rfl cos (, . Ë) = "io (, . +") ; donc (tr) se déduit de ((€) par ia traaslation de vecteur 7(
: ) i

e;i cos (+'- r) = ,ir, (r - ; donc (f) se déduit de (.6) par Ia translation de vecteur ?
tl 6) ;T

'' 3n
f,) cos = sin ; donc (r) A(î).
?. i) k - +) se déduit de (%) par ta translation de vecteur
Ë'

ô Hxercice 3.b p. 279


Srlit i'4) Ia courbe représentative de la fonction sinus et (l') celle de Ia fonction considérée. q-

cl [I') se déduit de ((€) par la translation de vecteur 7( )


3 7l
t:
Li (L') se déduit de ((G) par la translation de vecteur 7(â)
li
c;l rir;:r
ç i -r) = - tan (x - î) , donc (r) se déduit de (() par la composée de :

190

I
rr ,

I
i
,l
il
;i

- la translation de vecteur î (i),


d'axe (OI)'
:l
1''
- suivie de la symétrié orthogànaie
dJ (f) se déddit de ((€) par ia translation de vecteur ? (î)
i
:]

.I* I Exercice 3.cP.279


!@ft+u
ona: cos.r+sinr= ÿ1 srn(r.t) Lacourbereprésentativedelafonctionr,-, "tt
i
l,image de Ia fonction sinus par la translation de vecteur 7[;- )

l; E Exercices d'apprenfissoge
GÉxÉnrrtrÉs SUR LES FONCTIONS
I Exercice 1 P. 280
ol -f est paire bJ -f n'est ni paire, ni impaire cJ.f est impaire dJ -f n'est ni paire, ni impaire.
[*
.) Exercice 2 p, 2Bo
1": 1.
,

t- #
tt\
+
l

i
x -5 -3 0 3 5

-:È
I
.f{x) 2rr' \à -{ "\ y'n-' I
I
I -3 -3
t
0 Exercice 3 p. 280
Ë
I a) c) fl: -f est impaire b) d) e): -f est paire' L

I
ô Exercice a p. 280
i
a) .f estpaire. b)-f est impaire. ci -f est impaire' d) f esl paire'
I n'est ni paire, ni impaire. g) f est paire'
I

t_
eJ paire.
-f est f)
'i)
àl-f estimpaire. î estpaire. ii-f n'est ni paire, ni impaire.

t ô Exercice 5 p. 280
o.)On a: Vre R, sin2 * =L=ffüL;donc,
o-
lafonction est périodique de période n

bl La fonction n'est pas périodique c)La fonction n'est pas périodique


L dJ La fonction est périodique de période 2r e/ La fonction est périodique de période 2r

fl Or a: V r e R, cos2 (i) = try*; donc, Ia fonction est périodique de période 2æ.

I
I Exercice 6 p. 280
l Si xe l-- ; - 51, -f(r) = - Zx - 6 i

t sire l-5;-11, 1@)=a;


six e l- 1;+ *[, -f(x) = 2x + 6.
oi La représentation graphique de.f est ((€).
l bJOna: V h e R,-f(- 3-h)=f(-3 +h);donc, ia droite (À) d'équation
x=- 3 est un axe de symétrie pour }a courbe ((€)'

{É.. 191
l

I
,I
i,
*l

C Exercice 7 p.280
0:r a : v he R,e(} -h) =
r22 *. fh = s(! * n) ;

donc, la droite (^) d'équation x = est un axe de symétrie pour la courbe représentative de g.
f
I Exercice S p. 280
olDésignons par (.6) la courbe considérée et-f ia fonclion associée. Vx e R\{21,f{x +2)
- g =a.
x
La fonction * * impaire ; d.onc, §2 est un centre de symétrie de (%).
*est
b) et c) Q n'est pas un centre de symétrie de (€) d./Q est un centre de symétrie de (€).

FoxcrtoNs poryxôr'rrs
C Exercice I p. 280
aJOn a:.f(x) =4x-S. àJOn a:f@)=-2x+3.
x ;J
x 3
, +æ
f'tx) .f '(x) +0 J \
*-\ +æ I
) c
\'r.y' .r'n\
I

.f(x) / f(x)
-B C
I \
I
cJ On a : -f'(r) = (r -r)(r + r). dj On a : /'(x) - (x- z)(x + z).
x -æ -1 1 +* x
I

-æ-22+* J
f'(x) 0+0- .f'{x)
rl
+0-0+
+æ , i;; I
f(x) *+/1 t s
î(xt
I

13 I

,r/T\ -T /
lr"
.1
t)Exercice 10 p. ZB0 I

al On pose : f(x) = 3x2 - 6r + 5. 'J


J 3 I

r.J
f'(x)
--\-0+ T
s(x)
_ln-y'.* I

La représentation graphique de -f est Ia parabore (g) ci-contre.


bl on a: g{x) = l-f@) l. soit (.€) Ia représentation graphique de g.
(t€J est iaréunion des parties des courbes
I

d'équatio"ry =/(x) et a =-f(x)situées « au-dessus » de (oI).


rrî
ô Exercice tt p. ZB1. I
i
cJ On pose :-f(x) = - x2 + 2x. Ji
La représentation graphique de -f est la parabole (g). 3 l

IrT
bl On a: s(x) = lrl). i
"f(
Soit (f) Ia représentation graphique de g. J
({) est Ia réunion de la partie de (@) telle que * e *[
[0 ; + Çlli
et son symétrique par rapport à (Oi). I
{ Exercice L2 p. ZB1.
,51
a,) ou pose : .f(x) = * x3 + xz + sx; on désigne par (.€y) la représentation graphique de -f.
.f'(x)= (3x-s)(x+ 1). *

192
5
x -æ -7 +æ \ a\
3
rfq
I'k) :0+0 I
\ i

+oo 775
I
\ II \
I
il
2'.7
f(x) \
-3
bJ On pose : g(x) = zf +

x. Soit ((6e) la représentation graphique de g.
t/
,,/
\

g'(x)=6x2+7. o
\ /, I

x -æ +æ I

g'(x) +

g(x)
-æ %ùl ('4r

cJOn a : h(x) = max (/(x) ;g(r)) et on désigne Pü (t€r,) la représentation graphique de h.


(%n) est Ia réunion des parties des courbes (t€r) et ((€.r) telle que :

- si (!6y) est au dessus de ((€r), alors ((6n) = (4y)


- si ((6r) est au dessus de ((€y), alors ((€1) = (tGe)

0 Exercice 13 p. 281
1. On pose : "f(r) = ax2 + bx + c. \(q) I
On doitavoir :-f(0) =- 3,.f(- 1) = 0 et .f'(1) = 4 ;
donc I a=7,b=2etc=-3. I
I

J
l
2. Les courbes ((6) et ((€') ci-jointes sont les représenta- I

I
I
tions graphiques des fonctions .f er g. \ o
((3) et (%') se coupent aux points r(â) = I et D(:32).
I

.L
/
/
I 3. La droite (BD) a pour équation : y = x - 1.
(g')
i

a. P(x) = f(x) - g(x); d'après Ie graphique :

. sire l-'- ;- 21v11.; + -[, P(r) > 0 ;


/ \
I
I
I
.sixe l-2 11,P(r)<o;
t,* .sire l-2;ll',P(x)=9. I \
ÉruoE DE FoNcrtoNs RATtoNNEtLEs
î Exercice t4p.2Bl
a)Dr= R\{2}. UDî= R\{-+}.
,f est contilue et dérivable en tout point de Dy. -f est continuË et dérivable en tout point de Dy.
.r(x)=Ët r{x)=dæ
I
.I
x -æ +æ x _2 +æ
t
2 -æ 3

f'(x) + + f '[x) + +
+æ 1, +æ
f(x) 5
I
.ftx) 2
7 ;æ , -æ
rl
,i

c I

193
lr.

cJ D/ = R*.
ona:.f(x)-(x-1) =-* ", lip_ __-1=s. (a, I
L^a y-= r - L est asymptote à la courbe représentative de -f.
droite (ÂJ d'équatign I /, :

-f est coniinue et dérivable en tout point âe Dy. /


ît(-.\_ 4, 2 o t/
x -æ 0 +æ
f '(x) + +
+æ *æ
f(x) 7 I
-æ -€
d)Dr= R\{- 3}.
o
On a : -f(x) - {x - 2) = - 2x+ 3 et H.î"_. *t- Zx+ 3) = g.
La droite (Â) d'équatior y = x * 2 est as1'rnptote à Ia courbe représentative de.f.
^
-f est continue et dérivable en tout point de Dy. .f'(x) = t *
ffi.
x -æ -J +oo
.f '(x) + +
+æ +æ
f(x)
-æ -æ
0 Exercice 15 p. 28L
Le plan est muni du repère orthogonal (O, I,I).
ol On pose : .f(x) = - et on désigne pil (,€rJ ta représentation
+:*
graphique de.f. .d,(r) =
dry
x -æ +æ
.f'(x) i

id
f(x)
-æ -2
bl on pose : gtx) = et on désigne par (.€r) la représentation graphique de g.
#
on a : g(x) = .f(- x). ((,) est I'image de (.G.r) par la svmétrie orthogonale d'axe (oJ).

I Exercice 16 p. 28L
aJ On a : Vxe R\{2}, g(r) = 4,r + 8
-*
H
b/ on a : -r(r) - (+-r- + 8) = -
*",,tjJg__ - 7§ = o.
La clroite (Â) d'équation y = 4x + B est as5rmptote à la
courbe représentative de -f.
-f est continue et dérivable en tout point de R - {2}.
+ + r,Eil .
-f'(r) = Qx - + -{}ilQ+---
(x - 212

x q-ÿ1s e+ÿTi
2 2
2 +æ
-f '{x) +o-l-o+
ro-+Vrs l,** +æ
f(x)
/ \-i* lt \^ ,-/ ro + +vrs

194
t 0 Exercice 77 p.287 7

T a) Ona : Vx e m\{}}, g(x) = * * *. *


J I
=d4
I

I b.)ona:s(r)*tr+t) ", li1l*- z(zkT=o. I


./

I La droite (A) d'équation y = * * L, est asymptote à Ia courbe ./t


,J I

représentative de g. ,
7
(^)
I
g est continue et dérivable en tout point ae R - {}}'
.,|
tt
*,rl
I g'(x)=ffi r
x -æ 0
1
t +æ / o I

rT
I
I
g'(x) +0- 0+ /
+æ /

1_
I

1.,.1
g(x)

\1,/ 3'
I i Exercice 18 P. 281
t-
I

1. on a:h(x) = T+.
i 2. $0 est la courbe ci-contre.
t-
I

l
ÉruoE DE FoNcrtoNs rRlGoNoxÉTRtou E5
L_
O Exercice 19 p. 281

t a)Dy = R. .f est de période rc et est paire'


Donc, on peut réduire I'intervalle d'étude à t0 ; î1.
çc4ft

,6,.
JV
1

f (x) ='Zs:rtt 2x. //


;- x 0
1l \ \\ //
L_ 0
/r«.t
1',k) 0 0 \ t/,r' \
7
.f(x)
t_ -1
b) . (%q)est f image de (€y) par }a translation d'e vecteur ?ff )
L_
. ('Grz) est l'image de (.67r) par la translation de vecteur 7(?)

L I Exercice 2O p.2Bl
a) = R. g est de période ff A est impaire. Donc, on peut réduire
Dtn
{*,,'
L f intervalle d'étude à to ;
â1. 9'(x)
= 3cos 3r.
1

x 0
,a îE

A /1 (*,,' ,/»
v
6 3
L 0

I
g'(x) 3
i'l
+ 0 -3
V (€ /2 \i,
L s(x)
L_/.\o
l

. ?(â)
I

i.,., b) tclnr)est I'image de ((6r) par la translation d'e vecteur


L . (%n) est I'image de (13rr) par la symétrie orthogonale d'axe la droite d'équation U = 1.
r'*
I
I

l._
L " .:,,
195
" 'l: :l:;:
:

L
ill'lr
I

i.--

Ir
ii

0 Exercice 27 p. 2Bl i-l


L. a)D7 = R. -f est de période æ et est paire. Donc on peut 3. Courbe ((6).
réduire l'intervalle d'étude à t0 ;
b)V xe R;.f(x +[)=îq-r)
+1.
= 2(1 +cos 2r)«:os2r-.
3r
-T 1
,rn
îC
î il
l
'18
0
2. a) f'(x) = 4sin 2x (t - 2sin x)(1 + 2sin x). 6 fi I

b)
x. 0
lt ît
I
I
I
il
1',@) 0+0-0
 ,.
I \i î1
lr I
\/ \i \: tlIJ
1{x) o---+ Ë--a _,.
t!-
I

I Exercice 22 p.281
1., a) D1= R. f est impaire de période 2n. Donc, on peut 3. Courbe ((6).
réduire I'intervalle d'étude à [0 ; r]. ul
z. .f (x) = 2,(t + cos.r)(2cos r - 1). I \\ I \
\
I

3.
x 0
îE
lt
1 I ,
I
I

lt
3 I I

\ I I

-f '(x) 4 + 0-0 (
\
r 7n
I

?
lsrÆl n
L-2 'z\l I \ \ I

.f(x) I

t I
T
I J
I

Exercice 23 p.281,
L, a)D1= R. -f est impaire de période 2æ. Donc, on peut 3. Courbe (%).
réduire l'intervalle d'étude à [0 ; æ]. i

z, î'(x) = 2sin r (t + cos x).


3. 1
JC 0 îC n
/ \ 7n i

.f 'tx) 0 + 0
\t / J
ri
I
0
I

.f(x) _5
i

2
2
3
I f I \
|"I

EI Exercices d'opprofondissement
<)Exercice 24 p. 28L 11

oi Le produit f g est une fonction paire.


j

bJ Le produit -f g est une foncüon paire. I

c] Le produit.f g est une fonction impaire.

I Exercice 25 p.2B1 I

1. Les fonctions -f et x,- f(-r) sont éga1es, eiles ont donc même dérivée.
On en déduit que : Vx € R, .f'(- x) = --f'(r) ; donc la fonction-f' est impaire. rl
2. Les fonctions -f et x -, -.f(-x) sont égales, elles ont donc même dérivée.
On en déduit que : V x € R, .f'(- x) = .f (x); donc Ia fonction.f' est paire.
!'T
3. Les fonctions -f et ;r: ,- .ftx + p) sont égales, elles ont donc même dérivée. .l

lr*
On en déduit que : V r e R, -f'(x + p) = f'@); donc la fonction -f est périodique de périodep.

0 Exercice 26 p, 282
llD
1. La fonction r,- .f(x + a) - b est impaire ; donc sa dérivée x,-+ î'(x + a) est paire et Ia droite (Â)
d'équation x = a est axe de symétrie de ((€').
1'+

196
I
L

t z.Lafonctionr *rî(x+a) estpaire;doncsadérivée x,-.f(x+a) estimpaireetlepointt(3) ""


centre de syrnétrie de ((€').

L O Exercice 27 p,282 x -æ -1 1. +æ
1. La fonction -f est définie et dérivable sur R.
f'{x)
On a : Vx e R,-f(r) - 2 = x3 + px.
L La fonction x ,-+ f + pr. est impaire.; donc Ie poi"t O(3) est un r@)
centre de symétrie pour la courbe (%).
_*y'n\,. l./**
L; 2. La dérivée de.f est la fonction -f
Résolvons le système d'équations d:inconnue (x
: x'-> 3xz + p'
;p)
' {itd, =i
('4)

I
ona: I
I
I{.:*:3=o ={;=1, /
La fonction -f est donc définie par : -f(r) = .r3 - 3x + 2' o I

l
r) Exercice 28 p.282
I t. î(x) = 2x -, *
+. /
I
2.Dy=R*. On a : -f(x) + t = 2x + I.
/
La fonction x t+ 2x + a est imfaire, donc O(-0r) "t, (^)
I centre de symétrie de ((6). \
,///
s. on a : -f(r) _ (2x _r) = o. ],
+ ", LTl*** = J

t La droite (À) d'équatior y = 2x'7 est asymptote à (%)'


-f est continue et dérivable en tout point de Dy. I

f (r) = ktÆ - ùbcÿi + rt .


I
o
x ÿz^ÿZ o
_æ --T a +æ
f'{x) +0- 0+
I
rt
t:: î(x)

,/\
t - zt/z



\
I
),/
2ÿ2 -'t
+*
I t1

Ir. O Exercice 29 p.282


1. Soit o.ro no*bre réel et to la translaüon de vecteur î (-1i)
Soit frAS)un point et M' son image Pü to.
lL_ Le point M' a pour coordonnées (x - 2a i A '2a). I
\ (s I
Ir_
(9j
'(+ U=+*'<â Me(go). \
(s
\
\
I
I I
/,,
r[- Donc,
(so),s=l*;
est I'image de (Oo) par la translation to.
I' I z (o>
l- 2. \
\ \C lZ
/ I/ I

I
I
(92 b
/t
3. Pour tout nombre réel a, le sommet de (9,) est le point
L.t r''1
,"lZZ) So décrit la droite (9) d'équation s - -r. ,/,
/

;l
197
i-_l:-

tJ
:,lii:,rii,,,r:r..i;.#,râ;"*t;$i$&;ili dt#àiÀ&ûiêii{â;;;;i',.:"..-:"-;-r'.:'r'..!.'--- ---

4. Les translatiqns conservent le contact ; (À) est donc globalement invariante par les translations to. (^)
admet donc pour vecteur directeur ÿ(i), son coefficient directeur est 1.
Le point de (90) où Ia tangente a pour coefficient directeur 1 est le point A );te):u=x-+.
Ç1
I Exercice 3O p.2BZ
\/i
1. /, est Ia fonction affineê - 3r + 1' .:r
.r -æ -ÿ, +æ
0+
I

+0
I

-fr est ie polynôme.tr » I *t - 3,r + 1'


f1'@)
,
z' I I

*
-fi esldéfi.nie et dérivable sur R. f't : x,- | x? - 3.
f{x) \.
a
-*y'7+'2ÿi ,-lr*o*
2. Les courbes ((€o) passent toutes par le point Q = |.
S. La fonction r '+ ox3 - 3x est impaire ; donc, le point Q est centre de symétrie de la courbe ((6o).

4. La fonction /o est définie et dérivable sur R. Sa dérivée est déûnie pat : fl: x'-» 3ax2 - 3.
. Si a S 0, alors -fo est strictement décroissante sur R.
n Si a > 0, on a Ie tableau suivant. .t6o

x \/â
a l--
f o'(x) +
I

0 0 +
\
I '.:-)
li
zàa *, I J
I i rT-
.f
"(x) ,/
/
-2ÿo
l_/
*l
o \ I

T-

I Exercice 3L p. 282
t. Dy = R\{- 2}.
La courbe (€) admet deux asymptotes, ies droites d'équation !,7

U=2etx=-2. ,.Jl
Elles se coupent au point q-n
2, ('4) est Ia courbe ci-contre.
*1r
3. La dérivée de / est -f' : x,-,
@+Zp.
Soit m I'abscisse de M ; (Â1ra) a pour équation :
i

o-#;+=6?*(r-m) '
î ;

on a : P(- 2 ; Q(2m + 2 : 2). -.!


*;ÿlel
Donc: OP x OP =*28. ,]
Les points M, P, Q sont alignés et r* - f=&;donc,Mest iJ
I

le milieu du segment [PQ].


r1

I Exercice 32p.2Bz
1. (0) est la courbe ci-contre. \e /
2. Soit Ies coordonnées du point M. /" I
F,+) '/
i

Onadoni:MF=MH= r*T. =J
t'.l
R4ciproquement, les coordonnées d'un point équidistant de F et de ti

(Â)vérifient:A=!--.
1-L () I
-l
(a) H
(9) est I'ensemble des points équidistants de F et de (^).

198
I

il
l'.,{r

t'-
1.,* I Exercice 33 P,2BZ
1. Le prix de revient de n articles est 750 000 + 1ZOOn'
On a donc : r'= 12OO +
I I 2. a./L'ensemble de définition de Ia fonction r est R* ; r est dérivable
2ooo

sur R*.
1 600
Ona: r'ix'+-250+0q
I m
bl graphique de r sur [soo ; r soo]'
(%) est la représentation 1 200
800 937,5 1 900

lm 3. On doit avoir : r 32 000. Donc : n > 937,5.


Le nombre minimum d'articles à produire, porrr que I'entreprise soit rentable est de 938 articles'
4.L'entrepriseestrentablelorsqueiadroited'équationa=2oooestau-dessusdelacor:rbe((€J'

l m I Exercice 34'p.2BZ
1. a.)La fonction -f est un polynôme, son ensemble de 1 oo0
dérivabilité est R.
I
in On a : f(r) = 6(r- sXr- 15). 900
I
800
I
x -æ 5 15 +æ
I \
tm f'(x) +
I
0
-T
0
l

+

700

600
\
\
\
1 000

1,il f{x)
500

400
I \
\
0 \
l 300 \
L- 200
I
bl(A) :a=450x. 100
I
L i

c) x 5 10 15 20 '10 12 14 16 18

-f(r) 1 000 500 0 1 000


L
d,)L'équation admet trois solutions : 10 - 5Vî ; 10 ct 10 + 5\Æ'
2, a) et bJ L'unité de longueur étant le cm, Ia boîte a pour dimensions x, 15 - xi30 - 2r
t- iÏ et pour volume u(x) = r(rs -rX30 - 2x) = u(x) = zx3 -60 12 + 450 r'
Pourr= 10, on obtientunvolume de: u = 10 x 5 x 10 = 500 cm3.
àJ D'après l'étude précédente, V est maximal pour.r = 5, Ia boîte a alors un volume de 1
I'
L
dJ Pour réaliser des boîtes de 500 cm3, Ie fabriquaat peut attribuer à x la valeur 10 - 5\Æ ou 10.
Il préférera sans doute prendre r = 10 et se faciliter ainsi la construction'
L "t

ilr
ril
t
L

L
I
.
L

m
L
rl
l

199
-i::l*,
*....'
!!
t1
.LJ

15.Suites numériques 'n


ii
i:_
I

(poges 283 à 3OO du livre de l,élève)

' ritudier les propriétés


convergence.
ronctionni,,"' i"i'iii;ffi;i:;Ï;:i:ffilir*",","tior1, §ers a",*"*oo
ut les suites géométriques ; utuiser de teires
;,ϧ:Jt{:t îtitÎàïi:::ï:Htrrithrn(rtiques suites ,J;I

. Le raisonnement par récurrence, introdur,


dans ce chapitre
,
poù I" resotution âËràr"i"ur, *irrriquï t

iîilî:,,,ïi:ffi":::""'$:111*:J:*:,.""ït."'1ïT:.'5ËT?':ffi:Iiii:iJl;:iiiï::îï:î:':là'J
fË* t" ae*orrrü"[# a"
'L'étude de la convergence des suites utilise les resrr]tot* drr nhan;r.o,, r.i-r+^^ ^rcertaines propriétés.
;#:iff 3fi#;'u:."tr:"îtm:::"",':l:'f"*J:"'..*:j.* êiiËiiiii:L::J:ÏiiiJi'üi,:li";,, -- ù,)

ir:::::"1:"-1.",,ï::;:î1",*#:*'ff;";'*:ï1iÏÏ"i:i,riiJ,i
;,Iii,:i*:'":t^:*:9::l:devariatio,,-",1;-,:";;;;t;;r,"
aux résurtats,"qd ïiJ. ,i:ilffi:::r:,'J"',;XJ:::i:g:J.iâ:1:îîî,ji: numériques rait apperr
;:',"'

nr'
i;.1;,,,ffi:i,r,!-':i ..
'. .savoirs:
Généralités
. Définition d'une suite numérique. . Calculer
par :
- une formule explicite
- une formule de récurrence.
:.*:f]:_r-r"ter
g^raphiquement une suite numérique ï-_
ctennte par une formule explicite :
- sul Un axe ;
- dans le plan. T
g^raphiquement rne suite numérique
:.*:l^t"_Yer
oexnre par une formule de récurrence :
- sur un axe ;
* sur i'axe (Oi) d,un repère (O, I, en ï_
I) utilisant la
Étude d'une suite numérique première bissectrice.
.
l"il" minorée,
. Suite
majorée ; suite positive, négative.
convergente, suite diverglnte. le signe d,une suite numérique, son T-
^.^_r"1,:r*r1er.
sens de variation :

- par le calcui :
- graphiquement.
,,1 suite numérique
ï
:"Pl:,|"^tsa limite
"?.ru.urtr.,ce..d'une et
Sytl arithmétiques, suites géométriques calcuier évJntuelle.
. Suites arithmétiques ;
..Démontrer qu'une suite
- définition ;
est arithmétique, géomé_ ï
trique.
- expression du terme général ; . Calculer le terme de rang n d.,une suite
- expression de la somme de rr termes consécutifs. tique ou géométrique.
arithmé_
. Suites géométriques ï
:
. Calculer la somme de n termes consécutifs
- définition :
suite arithmétique ou géométrique.
d,une
- expression du terme général ; . Déterminer ie premier terrne et la raison
- expression de ia somme de n termes consécutifs ; zuite arithmétique ou géométrique connaissant
d,une
ï
- condition de convergence. de ses termes.
deux
. Caiculer la limite d'une suite géométrique
conver_
gente et la limite de la somme dJses
. termes. ï
Utiliser ies suites arithmétiques et géométriques
pour la résolution de probièmu, î
"orr.rrü.
200 -,.'-
I
I

I
tf Exercîces du cours
1 I Exercice I.a P. 286
I J 1. Les deux termes suivants sont :ffi ", #' 2. Pour tout n e N, on a : un =
+#+
Ç1
I Exercice 1.b P. 286
J
I

1. Les 8 premiers termes.de cette suite sont : 1 _L ;o t_ J=;_1;_ _! ;o et '1.

I ;
ÿz ÿ2 ÿ2 ÿz
aI, -:./91 1

I
-l oG1
u4 U3 = U5 U2=ü6 U1=lh rh = u8
'T
J
I
2. Pour tout entiernaturel rL, ün+B = cos (q'l') =
"ot
(f + zn) ="ot (f) =
",'
t
I Exercice 1.c p. 286
'l*ri , ;:!,ur='*ror=$,rn=*;ru=#. 2'Pourtoutn€ N*'
t "^=#*I
îi 0 Exercice l.d
P. 286
t ',1
1. La courbe représentaüve de ia fonction -f est Ia demi-parabole
((€) ci-contre.
ry
I 2. On a : -f(0) = - L,donc : uo= - 1 i
I de même, les ordonnées des points de ((€) d'abscisses respec-
Fn tives 1, 2, g, 4,5 et 6 sont les termes tL1, ü2, It3t tt4,uu et uu de Ia
suite (u,,).
Ona: u1=-$;
"r=-* i
I rrs=o i
un=lius=S,,u=r.
I "I
r) Exercice 1.e p. 286
ur= u, =
t ;J. 1. on â r uo = I t ur=
Z, *, |"n=
;
|.
On peut conjecturer que : si n est pair, u^=
t,
I

t si n est impair, un=


*.
2. Sur ie graphique ci-contre, ABCD est t'n carré.
l-iJ
l On a : Aa.= Us = rC' Donc :
si ur, =
n *,ur*r= *,
ti u^*r=
L si ur, =
Z, 1,

I
1

r) Exercice 2.ap,29} '

I aJ La suite (zr) âdmet 0 pour majorant ; elle n'admet pas de minorant'


fi à) La suite (u,.) admet 2 pour maiorant et f four minorant'
T
I c.)La suite (ro,r) admet 1 pour minorant ; elle n'admet pas de maiorant.
r''l''l

li i Exercice 2.b p. 290


I
I
a) (u,) est décroissante b) (x^) est croissante c) (u^) est décroissante.

rî O Exercice 2.cp.29O
U ci 1im ün=
o./Iim r, = bJlimun=0 1.
*

"i-
1
201
,l**

ô Exercice 2.d p. 200


L. al On trace les droites (9,).et (^J d'équations respectives y =
| *+ 1 et A = x.
Sur la fi.gure, on constru iL ur, u2, u3, co[flâissant uo = 0.
biltT._un=4-.

2.uo=-2 uo=-3'

t--
r

fi--
VneN*,un=-2,
itT.- ttn=-æ'
t-
r) Exercice 3.a p. 296
a) (ur) est une suite arithmétique de 1"" terme uo = 0 et de raison r =
il-
*
b) {u") est une suite. géométrique de 1e. terme uo = 4 et de raison q = J z
c) {u,) est une suite géométrique de L"r terme uo = g et de raison q = 3 T-
d) (u.) est une suite arithmétique de 1ur terme u0 = - 1 et de raison r = 5 .


I Exercice 3.b p. 29G u
f . (ur) est une suite arithmétique de Lù terme ür = 2 et de raison r = 0,S.
V n e N*, Dn= D7 + (n- 1)r =
5-3-. T
2.S=l"br+D2s) =135.
= ûfL.
b
s. s, = lu, * u^) Donc : s,, * 1. 422 €) nz + 7n- 5 688 = 0. Â = L512 ; donc i fl = 22.
! T
i Exercice 3.c p. 296
on a : t" = r[(+)"- r]. Donc, ï
lB._ s, = - 2.

I Exercice 3.d p. 296


Le Ler terme de cette suite est uo = 6 561 et sa raison est q =
â.
O" a :
liSr__
un = Q. I
i Exercice 3.e p. 296 :.

1.. On r,érifie qr"',r, = ur= ; u, =


'f # # ; un=
#. ï
2. on à i trn=
+ (#) =
â -frr
(n

3. On T
" ' |iT. *u^= Z.

El fxe rcices d'apprentissage T


GÉxÉnallrÉs
,) Exercice L p.257 ï
u0 = 3 iur = 3,1 i uz= 3,14', ut = 3,141 i us= 3,14L6 ; u, = 3,14159 i uo = 3,1415g3 ;
uz = 3,141-5926 ; ur= 3,L4L59265 ; un 3,141SgZGb4.
=
::
i*r
I

I Exercice 2 p.297
a, 0,1010010001 ; 0,1010010CI0100001 ; 0,101001000100001000001 il #, #, # d 34 ;55 ; 8e'
l

I Exercice 3 p.297
7.ur=7;ur= 3;un=6.
2,V n22, un+t= f, + u,r. On en déduit : V n e N*, un = d5!; donc : ue = J§ ; uro= 45.

t) Exercice 4p,297
a)Y n€ N, urr, = (2n)2 = 4n2 = 4ttn
b)Y nê N*, un+1 * un-t = (n + 1)2 + (n - 7)z =2n2 + 2 = Zun+ 2'

ri Exercice 5 p,297
Uo = 2 | tt = 7 i üz= 4 | D? = - 7 ; t:n = 6'
i'ri'T'TorTotT
-3 -1 0 I I 3 4 5 6

,{
i Exercice 6 P.297
1. (tG) est la branche d'hyperbole ci-contre'
Cette courbe coupe l'axe (OI) au point d'abscisse - L et l'axe (OD au
point d'abscisse 1.
2.Onâirl,o=-1 et Vne N, un+7=.f(u^). Onendéduit:
ut = f? 1) = 0 i ttrz=-f(o) = 1 ; t4 = f.:-) = l, "n = .f(+) = I
:

I Exercice 7 P.297
((€) : la représentation graphique de la fonction r r-+ 1 + Zÿî sur [0 ; + -[
r * t"' l0 ; + *1
(I') : ta repésentation graphique de la fonction r+ L ;
,t

(À) : la droite d'équation U = x,


On obüent les constructions suivantes.

i."l

;.J

ÉruoE D'uNE sutrE NUMÉRlouE


-.. J
I Exercice B p.297
7.ttr=2iuz=2;ur=9.
2. Y n € N*, un+t - u. = 4*]*. la suite (u,) est croissante.
" Tt [n + L] Donc,
I Exercice I p.297 _
a) u, = 1 ; u, = fZ ; u, = ÿ t + ÿ2.
I,
b./On peut conjecturer que : V n e N*, u, = ÿT + u^u.
cJ On démontre par réccurence que : V n e N*, un ) un-t; donc, Ia suite (un) est ffoissante'
:t
203
i$[1{d

0 Exercice 70 p.297 '

a)V nT.N, r,,>p ; (u,) croissante r


li3.* un = 1
ne N, un>0 ; (u,,) croissante ; Iim *un= l
b)V
c)Vne.N,(u,,)<O;(u,.)croissante;lim
_un=0 d)Vne N,(u,,))0;(ur)croissante;lim _tzn=+æ
e) Yn€ N,u,r>o;(ur) croissante;iim lrn=+æ
f)v"e N,un>0;(u,.)croissante;Iim un=1.
I Exercice 71, p.297
1. ÿoir construction ci-contre.
2. D'après cette construction, on peut conjecturer que ia suite (u,r)
n'est ni croissante, ni décroissante.
3. D'après le graphique cette suite admet une limite u teile que :
1.<u<2,
(ce nombre est l'abscisse du point d'intersection de ra courbe (%)
et de la droite (9b).)

0 Exercice 72 p.292
a/Soit (9) et (Â)
al Soit [9J (a) les droites d'équations respectives y = - 1x
I x+ 3 et A = x.
ies droites
D'après la construction ci-contre, on peut conjecturer que'la suite n'est ni
croissante, ni décroissante.
On peut également con)ecturer que cette suite a pour limite 2.
bl Soit (%) et (^) les courbes d'équations respectives :
U=
Z\ et y - x. On limitera les tracés à I'intervalle [O ; r].
On en déduit une construction des termes de la suite u,r.
On peut conjecturer que la suite est décroissante.
On peut également conjecturer que cette suite a pour limite I'abscisse du
point d'intersection de ((6) et (À), c'est-à-dire 0.

i-
I Exercice p. 298
1,3
a) uo = - 1 ; u1 = 0,2 i uz = !,208 ; u, = 2,4gg ; un= 4,248.
l

Soit (%) et (Â) les courbes d'équations respectives iA=O,2x2 +r+ L et I

U = x. On en déduit une construction des termes de la suite.


On peut conjecturer que -: l

- la suite est croissante ; J-


- la suite n'admet pas de limite flnie, elle est divergente.
b) uo = - 3 ; ur = 4 i uz = -
+ ; u, = #
l

; un =
Soit (9) et (a) les droites d'équations respectivês: ÿ=
#. I
lr

-l*+ Z et U =x. *1
On en déduit une construction des termes de Ia suite.
t-
I

On peut conjecturer que :


- Ia suite n'est ni croissante, ni décroissante ; r
- la suite a pour iimite I'abscisse du point d'intersection des deux droites, t
t-
c'est-à-d.ire 9.
5
!'q
I Exercice 14 p. 298 rl t
u-
1.VnE
'- N*. u-=L-
- '-n 1
n n+1' 2,V n e N*,.s,,= 1 -=+= 3. lim s, = 1.
n+1
I

rl
L-
204
SutrEs ARtrHuÉrlouEs r su trEs GÉoMÉrnlQUEs
I Exercicè 15 p. 298
a) (u") ést une suite géométrique de raison - 1 et de 1"" terme 1.
b./La suite (r|) n'est ni arithmétique, ni géométrique.
c) (u") est une suite arithmétique de raison - 3 et de 1er terme - 6.
d) (ur) est une suite géométrique de raison - 3 et de 1."' terme 9.
e) La suite (u,r) n'est ni arithmétique, ni géométrique.
fl (ur) est une suite géométrique de raison 10-2 et de 1"'terme 1.
0 Exercice 16 p. 298
I
a) (u,) est une suite arithmétique de raison - 3 et de Ler terme 7.
b) (ur) est une suite arithmétique de raison - f "t de 1."'terme 1.

I Exercice !7 p,298
a) (un) est une suite géométrique de raison 2 et de Ler terme 8.

b) (ur) est une suite géométrique de raison 4 et de 1."'terme a


4'
c) (u) est une suite géométrique de raison et de Ler terme 1.
f
d) (u^) est une suite géométrique de raison et de l-er terme 4.
f
I Exercice 18 p. 298
1. Soit un = tto * ttr. 2. Soit Dn = üo a
n.

up + uq= (uo + pr) + (uo + qr) - 2uo + Qt + q)r Up X Vq = üo2 CL O*n - Ur' g P'+9'

' =2uo+lp'+q')r = üO AP' X UO A Q'


= üO,X üq,,
- (uo + p'r) + (uo + e'r) = up, I uq,.

0 Exercice 19 p. 298
On désigne par r la raison de la suite cl^eruhée.
Ona: x=U.-r et z=ÿ*r, donca et rsont les solutions du système:
i
îtg-r)+A+U+r)=9 ^ î39=9 ^ [g=S
,:
lk-.)' +Az +(g +r)2= g - lgg' *2* =59 - ll= 16'
Si r=4, on a t(x,U,z)=(-1;3;7). Si r=-4, on a:(x,g,z)=(7;g;- 1).

I Exercice 2A p.298
On désigne par q la raison de la suite cherchée.
On a : A = çF el z = qzx, doncx et q sont les solutions du système :

(* * q* + qzx=63 [r(r + e+ e2) = 63 e+ez)=63 (o*=rz


J11 1 1. 7 <+ll7+o+qz 7 (+{Ix(r+ c+ {
16 xst
tr qx q'x 16 \ q"x 16
T-=- t-=-
l.n'.*' =
[*f -1.7q+4 = o
Si g = 4, on a : (x, U, z) = (3 ;72;48). Si q =
*, o, a: g, z) = {+8 ;1,2 ;3).
(x,
l

,) Exercice 2l p, 298
olsr=5n2+5n+'J, b)sz-*}J c)s.= 1-(-10J"*r
77

i Exercice 22p.295
Chaque année, l'effectif de la population est multiplié par 1,02.
!
. Après 1 an, Ia population est : P, = 50 x 106 x 1,02 = 51 000 000.
. Après 2 ans,la population est :P, = §g x 106 x (1.,02)2 = 52 020 000.
. Après 10 ans, la population est :Pro = 50 x 106 x (1,02)10 = 60 950 000.

905

i
ts

I Exercice 23 p.295
aJ On a : ttr= 1" i.uz= 11 i us= 11L i us= 111L;ur= 1,1, 1,1,1,.
b) ur = 1 ; ur = 1 + 10 t ua = 1 + 10 + 1.02 ; un= 1. + 10 + 1-02 + 103 ; uu = L + 10 + 102 + 103 + 104...
On démbntreparrécurrence que:Vn€ N*, un=1. + 10 + LO2 +... + 10n-1.
Donc, pour tout entier naturel n non nul, u, est la somme d.e n termes consécutifs d.'une suite géomé-
trique de raison 10 et de prernier terme 1. I

c)Ona:Vne N*,u,='%=a
I Exercice 24 p. 298 I
1.. Vn€ N, u,*r=âr,.(u,) estunesuitegéométrique deraisonf etdepremiertermeu0=u0-L =5.

z.yn€ N,ü,=*=fr ",


u^=fu*l 3. lim
n-++æ
u, = 0 et lim
,l-)+6
un='L. -l

I Exercice 25 p. 298
L. aj Si a= O [2n), alors V n e N, un= 1; (u,) est une suite constante. .T

bJSicr=nl?nf,alorsVne N,u,=(-1)";(u")estunesuitealternée(-r;1;-1;1;...).
cJ Si cr =ÿtrc),alors V n e N, un = 0 ; (u,,) est lu suite nulle.

2. Si o est différent des valeurs précédentes, alors (u,) est une suite géométrique de raison cos s tel que :

o <lcos ol < r ; donc' un= o.


liT.* T

1 Exercice 26 p.298
On a une suite géométrique de raison 2 et de premier terme i.0 :
ur = 10 i uz= ïO x2 ; ur= 10 x 22 i ... i ttsz=10 x 231.
Le prix de vente de la maison est la soûrme des 32 termes de cette suite : S = 10 = 42 94g 672 gSO.
" # I

ô Exercice 27 p.298
1". Les loyers successifs forment une suite géoméhique (Lr) de rais,rn 1,06 et de premier terme Lo
= 50 000.
Donc : V n e N, Lr, = 50 000 x (1,06)". Dans 8 ans, Ie Ioyer seia : Lu = 59 000 x (j",06)B = 7g 6g2. :

2,Ln= 100 000 équivaut d (1,06)" = 2. On a : (1,06)11 = 1,g9 et (1,06)12 = 2,0L.


Donc, Ie loyer doublera au bout de 12 ans. b

dJ-
3. Au bout des 10 premières années, le montant total des loyers est le produit par LZ(mois) de la
somme des 10 premiers termes de la-suite : S = 12 x 50 000 = 7 9OB 4ZZ.
"tr$jp d-

fl Exercices d'opprofondissernenf
I Exercice 28 p,298
l.Lepatriarcheanenfants, nxnpetits-enfants, nxnx narrière-petits-enfantsetnx nxnxn'arrière- E
arrière-p etits-enfants,
Donc, Ie nombre demembres de cette famille est: N -t. ri
=7 + n+nz +n3 +n4 =nu
n-
rL-L
7'
z,on"'"-r1 (+ n=2.
n* 1,=zilo1- +r
:'

rt'
.

ô Exercice 29 p. 299
1. Pour tout entier naturel k de lZ; nl, on â I up = un_r.
T t.,,

Donc, (u;r) est une suite géométrique de n termes, de raison


f et de premier terme ur. ii
Pourtoutentiernaturel kd,etZ;nl,onâru,,=rr"(â) n-'. rî
2. a)Le nombre total de voix réunies pff les n candidats est la somme des n termes de cette suite géo- r,
métrique :

206
(T)" r- /1\,r
^zvrlt-
s, = D1 x '
-:--1 = (+)"]
^z
b] On a : sn < Za, e "r,r Is^ ; donc, le candidat placé au premier rang est élu au premier tour.

3. Ona:sn=945 etur =480. Donc:945 = Soo [r -(+)"] (+ n= 6'


0 Exercice 3O P. 299
1. a.l On pose : Lo = t 000 000 ; I'intérêt annuel est 0,065 x Co, c'est-à-dire 65 000 F.
Cr = Co + 65 000 = 1 065 000 ; Cz = Cr 4 65 000 = 1 130 000 ; C, = Çz+ 65 000 = 1 195 000.
b.)Pour tout entier naturel n tel que rt) 2, on a : Cn = Cr,-r + 65 000.
Donc, (C,) est une suite arithmétique de premier terme 1 000 000 et de raison 65 000.
2. a)Ona : D, = 1 065 000 iDz= 7 134225 i Ds = 1 2O7 95O.
Pour tout entier naturei n tel que n22, on a : D, = Dr,-r x 1,065'
1

ll
rl bJ
Donc, (Dr) est une suite géométrique de premier terme 1 000 000 et de raison 1,065'
3. Ona: Vne N, Cr= 1 000 000 + 65 000 n; donc I C1o = 1 650 000'
I
Vne N, D,,= 1 000 000 x (1,065)n ; donc I Dro = 1' 877 1'37'
ô Exercice 31 p. 299
,ll
,] 1. aisoitu,lenombre decercles après ndivisions;ona:Vne N, un=2"'
Pour tout entier naturel n, la somme des diamètres de ces 2n cercles est égale à 2 ; de plus, ces dia-
mètres sont égaux. Donc : V n e N, rr, = #.
b) (rr) est une suite géométrique de premier terme est L et de raison T O"a : lim rn =
g'
-
2. a)Yn e N, an= 2n (+)'" = u .
""
(ar) est une suite géométrique de premier terme et de raison
æ
f'
b-)Ona:lim _an=Q.
I

1 Exercice 32 p.299
1.Vne N,l, =h-rr!; fr=Ln-r *1,o,=an-rxT.
!
o (1,) est une suite geÀetrique de prÀier terme 30 de raison | ;
. (Lr) est une suite géométrique de premiet terme 40 de ,"irorr! ;

. (ar) est une suite géométrique de premier terme 1 200 de raison f'
2. Iim * Ir, = lim _ L,, = lrgr*_ on= o'
3. alV n e N, sn= 1 2oo x [1 - (â)"t
bJ On = L200 = Aire (ABCD).
" I IT._ ",
:

I Exercice 33 p. 299
1. V n e N*, 4p, = 4*r B,** #,; donc, (,\8,) est une suite géométrique de premier terme 10 et de raison
fr.
V n e N, 4,,8, = XO x (#)^. On convient que : AoBo = AB.

Donc : AroBro = 10 x (#)t' = # = a3725 et Aire (410810C10D1e) = 0,097 ;

AruBru = 10 x (h)* = 1,726x L0-3 et Aire (A25B2EC25D zs) = 2,98x L0-6'

:l:t 2, a) (c)est une suite géométrique de premier terme 10 et de ,riro, fr'


...,l
2.07
i':
:I
r'-'1

l*i'
(a,) est une suite géométrique de premier terme 100 et de raison
f.
b)Y n€ N*, c, = 10 x
éry et r-n- 100 x (-1-)'
Donc : = an = g'
ItY.- "' li3*-
I Exercice 34 p. 299
7. a)uo= 16 i ut= 16"+, =BÿV iuz=B\5"#= 8;us =e*ft =+ÿ2.
b) Y n€ N*, u, = un-1" #; donc, (u,") est une suite géométrique de premier terme 16 et de ."iror,
ft. t-

Vne u,= ; dorc'


" (--ÿr)'
N, 16 un =
lB-- Q.

1- /-1-\"
2.a)VneN*,A,.-rA,=U.;donc:sn=u1+U1+,,,*Un=16x# i
On en déduit que : lim toî,O, + ù.
", = _
3. a) ao = * (ut)2 = 64 ; a, = * (uz)z = 32 ; a, = {us)z = 1.6 ; a, = (u+)z = B.
I T T, T, l

b)V n€ N*, a, = (4,) est une suite géométrique de premier terme 64 et de raison
T "4,-, ; donc, f.
Vne N, an= 64" (â)" ; donc' an = o.
L

IrT._ i-'

c)Y n€ N, o,. = :.z} x [1 - (â)"t , donnc ,]B__ Çn= t2B.

I Exercice 35 p. 300
1..Chaque étape consiste à découper un ou plusieurs carrés non hachurés en g carrés égaux et à en ha-
churer 1 sur les 9. Donc, après chaque découpage, }e côté du carré est divisé par 3. On en déduit :
,1
. après 1 découpage, il reste 8 carrés de côtés hachurés ;
f "o"
. il reste 8 x B, c'est-à-dire 82 carrés de côtés
après 2 découpages,
$ "o" hachurés ;
' après 3 découpages, il reste 82 x 8, c'est-à-dire 83 carrés de côtés $ "o" hachurés... 1-

Donc, si après n - 1 décorrp"gàr, il reste 8'-1 carrés de côtés


;}1 ,on hachuÉs, alors après n décou-
I

J-
i

pages, i}reste B'-1 x 8, c'est-à-dire 8n carrés carrés de côtés c'est-à-dire ,ron hachurés.
+ îh,><
$,
On e-n rl:duit que pour tout entier naturel n non nul, après n découpages, iI reste 8" carrés de côtés
non hachurés $ l
I

ar= 1 - I (+)' =
2. a)
"
o, = 1 - Bz"
t, (+)' = 1 - 82, # =
# t "r= 1 - 83 . (#)' = 1 - 83 " # = #,
b)Y ne N*,a, = l. -8", (,h)' = 1 - 8"
ci lim *an= 1.
"fr =, -(â), I
I

I Exercice 36 p. 300 I I
I

1. u, = 1 ; ur= 1,L ; u, = 1,L1 i uq = 1,11,1 ; uu = 1,11L1.


2.V ne N*, u, = 1 ++*=L*... +;+-.
10 1.OZ 10n-l I

{, est la somme de n termes consécutifs de Ia suite (#) qui est une suite géométrique de raison 0,1 et
de premier terme 1.
€ N*,,r,
lg._ r,.=#.
3. Y n = [1 - (0,1)"] ; donc' it
I

âqx

" ^ _ LOn 10r1 1. -10, rï


g - g tlo-1,ü
1.
='ùn- tl
l.I
Donc : S,. =a *.
lt*._
908
L, ,;

I Exercice 37 p. 300
7.y ne Nt, un= un-7. #r"
t 2. On â
i.

i +,} )ttz=ur.# itls=uz.# i...iun=un-1.#tt


u, = o,r
Enadditionnantmembreàmembrelesnéga1ités,onobtient:u,=Q,l .rn(#.#+."+#t)
il de premier ten
Entre parenthèses, on a la somme de n termes de Ia suite géométrique de raison fr-et
e
1fu.
1_ L

L] Donc:un=o,')..#.is=0,1 +0,1(1-#) = o,2- 1#4.


^ 10

3. On en déduit que : lim o,Z.


: *un =
t) Exercice 38 p. 300

t tr. Dans Ie repère (O, I, ]), on trace les droites (^) et (9) d'équations respectives U = x et A =
On construit tts, u1, tt2, tt3 et un comme indiqué sur la fi.gure.
+x - 3'

il
II
t
t
i-l
il

il
i:l

;l z.a)Vn€ N*, un+t-",,=(+r,,-3) -(T""-t-r) =


+Gr"-uu-t)'
b] Soit (u,r) la suite définie pour tout entier naturel n non nul par I L1t1 = ttn - LLn-i..
(ur) est une suite géométrique de raison et de premier terme ü1.= ut- uo = - 5'
f
'] Donc : V n e N*, un+7- un = ürr.1= - U(+)"
c)V n € N, ur*, -un10;donc,1a suite (ur) est décroissante.
r :

3. a/V n € N*, un+ 6= (T"^-r- r) * 6 = +un-t* 3=


T(u,-,
+ 6).

l b) Soit (u,,) la suite définie pour tout entier naturel n non nul par i
La suite (ron) est une suite géométrique de raison f
ün= u,, + 6.
et de premier terme üo = uo + 6 = 10'

j On en déduit que pour tout entier naturel ,x, on a : u,. + 6 = (uo + U)(â)'
,1liT._u,=-6.
r,I
J I Exercice 39 p. 300
Les distances successivcs, cxprimées en mètres, sdrparaut Âchille dc'lit tortue sont:100; 10;1 ;0,1 ;

,l'I 0,01 ;0,001 ;...


rl :',
.È.. 209
t-ï-,
tJ
I
Ces distances forment une suite géométrique de raison 0,1 et de premier terme uo = 100.
Le terme général de cette suite est: ur- 100 x (0,1)".
La somme des n premiers termes de cette suitelst : s,, = lQQ . = tP x [1 - (0,1)"].
Gn en déduit :
+#
. la limite de cette suite est 0, donc Achille rattrappera Ia tortue ;
o la Iimite de s,, est tP donc il aura alors parcouru 1.11,1.1l.... m.

0 Exercice 40 p. 300
1. Pour tout entier naturel n non nu}, on considère les carrés de côtés
respecüfs an-, et an.
Dans Ie triangle rectangle 4,.8,,-18,,, on a :

A^Br,' = ArBrr-t2 + Bn-rBrr2


On en déduit que : V n € N*, on=
(+ anz = (an-,
fi&Jl7f.
* !)2 + 1'.
t
2" Dans le triangle rectangle Ar.B,r-1Bn, on a :
L < .f-nBnS ArrBr,-r + Bn-18r, LS an3 an-t,
Dn

D^-t F
=
Donc, Ia suite (a,) est décroissante et minorée strictemen'- par 1.
3" oJ V n e N*, on=ÿTTr4Jllÿ <+ &nz ='J. + (an-r- 1.)z

.- :"'-::[*-i]:
*n '
an+1.
b)Y ne N, ar> 1 =+'on+ 1.22 ; donc : Vne N*, 0 < an-7<|{o^-, - 7)2.

cl Onà tIJo = S iur=7,07 iuz=6,15 lus=5,24ius= 4,36 ius = 3,51 ; u6= 2,7O i ut = 1,97 ; ...
Doric : si n > 7, alors anS2.
Cn err déduit que: pour tout entier n tel que n à 8, OSc-n-r=+(an-r*1)z +Ol o-n-r=*(ao-!)'
+o< a^-tsfi.
llnnc : an= 1.
Ity.",

%a
r"'T
J:
I

ii
..:
i;
16. Statisticlues
(pages 3Ot à 3t A du lîvre de l'élève)
il
,il
. Étendre aux séries statistiques à modalités regroupées en classes les notions de caractéristiques de po-
sition et de dispersion:
. Représenter les séries à deux caractères quantitatifs et aborder I'ajustement linéaire.
I
I

. Comme souvent en statistiques, Ie cours comportera essentiellement des exercices bien choisis et peu
--- ',,..J nombreux.
. Les notions relatives aux séries à modalités regroupées en classes sont analogues à celles qui ont été
l"1
-1tl présentées en seconde pour les séries à modalités non regroupées en classes. En particulier, Ia moyenne,
Ia variance et l'écart file se calculent de la même manière, en remplaçant chaque classe par son centre.
I
,-.J

La seule nouveauté est I'interpolation linéaire, qui est ici très souvent utilisée. Il faudra veiller à chaque
fois que les calculs soient correctement posés et effectués I il ne s'agit en fait que de Ia recherche d'une
.,] coordonnée d'un point dont on connaît l'autre coordonnée, ce point appartenant à une droite défi.nie par
deux points.

rl . Pour déterminer la droite de régression irar la méthode des moindres carrés, l'élève devra apprendre à
dresser un tableau de calculs, à représenter Ia droite obtenue et à juger de la fi.abilité de son "ésultat ;
pour ce faire, il pourra s'entraîner à faire un « ajustement manuel ».

l,

_l Séries statistiques présentant un regroupement . Déterminer les effectifs (fréquences) cumulé[e)s


classes croissant(e)s ou décroissant(e)s, construire les poly-
^n . Effectifs cumulés, fréquences cumulées. gones correspondants.
'i' . Caractéristiques de position. . Déterminer Ia classe modale ; déterminer la média-
I

. Caractéristiques de dispersion. ne graphiquement ou par interpolation linéaire.


. Calculer la moyenne, l'écart moyen, la variance et
l'écart type. &

. Savoir interpréter I'écart type d'r:ne série statistique.


I

Séries statistiques à deux caractères


. Organisation des données.
l

- séries marginales ; . Construire le nuage de points.


- nuage de points ; o Déterminer le point moyen du nuage.
- point moyen d'un nuage ; . Calculer Ia covariance, le coefficient de corréIa-
. Aiustement linéaire. tion.
- covariance ; . Déterminer et ôonstruire les droites de régression.
- droites de régression de y en r et de r en y ;
. Savoir apprécier la fiabitité d'une estimation en
- coeffrcient de corrélation. fonction du coefficieut de corrélation.

Et Exercices du cours
t) Exercice 1.a p. 306
1. Le graphique ci-contre est un histogramme représentant cette série.
2. On a:
Classe lo;rl Ir;zl i 72;s1 la ;5[ [5 ; 10[ 10 ; 15[
Eff. cum.
croissaut 30 84 135 180 243 300
Eff. cum.
0
déuoissant 300 270 21,6 165 120 57

211

_rrirrm
_

t-
,Les pollrgones des effectifs cumulés croissants et dé-
croissarlts sont représentés ci-contre.
3. al,L'ordonnée n, du point d'abscisse 4 du polygone
des effectifs cumuiés décroissants vérifie : 300
il
nr-165-120-165 970
4-'3'- 5-3 943
D'où : nt= 142,5. il
216
Il y a 1,42 communicâtions de durée supérieure à 4 min.
180
bJ L'ordonnée n, du point d'abscisse 7 du polygone des 165
effectifs cumulés croissants vérifi.e : n
n"-180 *243-78O 135
120
7-5 10-5
D'où : nz= 205.2 84
i:
II y a 205 communications de durée inférieure à 7 min. 57

cJ II y a dont 300 - 1,42 = 158 communications de durée 30


inférieure à 4 min et 300 - 2O5 = 95 communications 0
0193
il
de durée supérieure à z min.
Donc il y a 300 - (fSA + 95) = 47 communications de
durée comprise entre 4 et 7 min. i

I Exercice 1.b p. 306


1.Ona: 100
92
r
CIasse [o ;al [+;el la; t2l lrz ; rol lro ; zol 90

Eff. cum.
croissant 70 o/o
38 o/o
78% 92 o/o
IOO o/o
78
r
Eff. cum. 69
décroissant 100 % e0% 62 o/o
22 ÿo 8 o/o

Les polygones des fréquences cumulées croissantes et [-


,decrôisiantes sont reprdsentées ci-contre. 38

.2,,a)La classe modale est [8 ; rz].


.La médiane rn est l'abscisse dupoinï du polygone des.fré- [-
quences cumulées croissantes dbnt l'ordônnéé est 50%. :: I
EIIe vérifie , u*=Ëu = d'où m=e,2.
bJ La
æ;
moyerure.r des notes obtenues par l'éIève qui s'est classé quinzième au concours est l'abscisse du
o
048191620 t
point du polygone des fréquences cumulées décroissantes dont I'oldonnée est 30%.
EIle vérifie . 30 - 0z = Z?;- B=z ; d,où : x = 1_1,2.
x-B 72-8
i
ô Exercice 1.c p. 306
1. La médiane m appartient à f intervalle n
lros ; rzol. Centre de Ia
Elle vérifie
D'où:m=1.69,5,
. 20 - _ 21, - 1.1
1.1.
m-165 - 170-165'
. classe (x)
fli
757,5
3
1.62,5
I
167,5
10
172,5
10
Ll/,c
7
782,5
2
Total
40
I
nFi 472,5 1 300 1 675 ! 725 7 242,5 365 6 780
D'après Ie tableau ci-contre, on a : 'm_
I=6780=169.5. (n,) k, -;l I
40 Centre de la classe (x,) | Effectif
",k, -;l
2. Le tabieau de calculs est dressé ci-contre. 1s7.s I r 72 74 4t8,75
3. On en déduit :
56 | 277 25O

I'écart moyen i e^ = r,u,


# = 1.72,5 103i30 297 562,5 ïi
150 950 8 56 i22O 543,75 L
JL : o= /1
l'écarttvpe -169.52 :
I 66 612,5
V 40
d'où:o=6,595. 1*1

212
I Exercice 1.d p. 306 Centre de la Effectif f,iri ftrxiz
1. Du tableau de calculs ci-contre, on déduit : classe (xi) (nJ
I
2 5 10 20
==#=9,28' 6 L4 84 504
2. a) Ona :'V =- 9,282 = 1.7,722; o = 4,2Lo.
%'â 10 20 200 2 000
bJOna:l-o=5,070 et f +o=13,490. 't4 7 98 1,372
Soit y, et y, les ordonnées respectives des points d'abscisses 18 4 72 1 296
4,27 ;t 13,49 du polygone des fréquences cumulées crois- Total 50 464 5 192
santes.

on a:
ffi= lÊ=P * #fr}* = #!y.D'orlt :.r/r = 1 1,47 et ltz = 83,2't'5'

Ona: Ut-Uz=21,248.Donc,71.,745 % deséIèvesontunemoyennedansl'intervalle]I-o;I+o[.

l. Exercice Z.ap.374
1. On obtient le tableau à double 2. Les séries marginales sont pré- 3. Le nuage de points est repré-
entrée ci-dessous. sentées dans les tableaux ci-des- senté ci-dessous.
l sous.
à{: 16 1B 20 ,2 26 3,6
age (rJ 16 7Bi 20 26
2,6 0 0 0 0 7
sl4
Effectif '), 6 4
3,4
2,8 '1. 1 0 3 0
3 0 2 0
.)
2 Poids fur) 2,6 2,8i3 3,2 1,4 3,6
0 Effectif 1 5 6l 4 2 2
3,2 0 0 3 1
2^
3,4 0 2 0 0 0
3,6 0 0 '). 0 1.
oa

2,6
l

I Exercice 2.b p. 314


1.. oJ Les séries marginales sont représentées dans les tableaux ci-
4
dessous.
11213 5i6 718 1, 12 i 3 4 )
xt 0 4 Ui
7l3
I

nt 10 e 115121. 74 11i10 nt 13 123 31133 2

rl bJ Les moyennes respectives des séries marginales sont :i = 3,46


1

r-..J
et g = 2,94.
2. Le nuage et son point sont représentés ci-contre.
I
I

1-".1
ô Exercice 2.cp. ?L4
1. Le nuage est représenté ci-contre. xi Ui xi2 Ui2 tiiUi
r1
2. On a Ie tableau dë calcuis ci-contre. -3 1. I 1. -3
,,J
ii
On en déduit :-x = O,25 = 1,5.
-1. -1 1 1. 1
0 4 0 16 0
2
3. D'oùV(r) = L0
ff-o,zs' = 8,6875 ;

Total:
5
L 6 35
4
22 8
tr(g) =
ff-t,s; =e,zs;
Cov(r, ù = *- o,25X 1,5 = L,625.

Ladroite(9) derégressiondeyen.rapouréquation :A-A='rffi(x-x) ; ou:ÿ =O,1B7x+ 1,453.


La droite (9') de régression de;r eny a pour équation : r-l =
# tA' ù ;
I

I
ou : y = 2x + 1.
I

"T 4.Lecoefficientdecorrélation1i,réaireest:r=ffi;d.onc:r=0,306.
I
I
I

213
i'
-"1
I
I
--:

*l

I Exercice 2.d p. 31a

5
ti Di ti2 ui2 tiut
o,za 2 0,04 4 0,40
0,28 2,7 o,0784 7;29 0,756
4
0,35 3,2 o,'J,225 74,24 1,12
0,40 4 0,16 16 1,6
0,45 4,5 0,2025 20,25 2,O25
Total: 1,68 76,4 0,6034 57,79 5,901
2

0,9 0.3

1. Le nuage est représenté ci-dessus.


2. On déduit du tableau de calculs ci-dessus : 7 = 0,336 ;6 = 3,28.
Dloù le point moyen du nuage : G(0,336 ; 3,29).
3. oJ On a : V(t) = o,oo778; V(u) = 0,7976 ; Cov(ü, u) = 0,07812. Soit r Ie coefficient de corréIation linéaire,
Ona:r=a,ggLT.Doncilyaunebonnecorrélationlinéaireentreuetüetunajustementlinéaireestjusüfié.
bl La droite (g) au régression de u en ü a pour équation :
u-3,28= 10,04(t-0,336) ; ou : u = 10,04 t-0,0934.
4. On ai g =10.

tl Exercices d'entroînement
ô Exercice 1 p. 3L5
t. On obtient le tableau statistique suivant.
CIasse [o ; 3ool leoo ; sool [ooo ; eool lgoo ; 1 zool [1 2oo;15ool
Effectif 21 1.4 6 6 2
Fréquence (%) 42,86 29,57 '].2,245 1.2,245 4,08
Fréquence cum.
42,86 77,43 83,675 95,92 100
croissante

2. La classe modale de cette série est : [O ; eoO]. b

3, a)Lamoyenne de Ia série avant regroupement en classes est : I = æ; d'où 1= 4i,1.,84.


bJ Du tableau de calculs ci-contre, on déduit Ia
Centre de la
moyenne de ia série après -regroupement en classe (x1) 350 450 750 1 050 1 350 Total
classes:
Effectif (nJ 27 74 6 6 2 49
*'=U#; d'où ?-468,37. n*i 3 150 6 300 4 500 6 300 2 700 22 950

I Exercice 2 p. 315
1. Le polynôme des effectifs cumulés décroissants est repré-
senté ci-contre.
2. D'après Ie g-'aphique, on a i m= 4 ,3.
Par interpolation linéaire, on obtient ' - 45 2!-
30
m-4 = 6-4t5 ;

Onendéduit:m=5,4285.
3. On a le tableau suivant :
Centre de la classe (x) 2 5 7 I Total
Effectif (n,) 15 21 18 6 60
n*i 30 105 126 54 3L5

On en déduit Ia moyenne : x = 3:1j ; d'où i


'60 = S,ZS.
tqr
l
I

l_
214
I

0 Exercice 3 p. 315
m 1. On obtient le tableau suivant' n
l 50
CIasse l-2;-t[ [-1;ol Îo ;21 lz 4î :=__
Eff. cum.
1.4 30 3B 50 æ ==:Z
croissant
Eff. cum.
décroissant
50 36 20 12 ,t-Z-,
._Y_
2. Les polygones des effectifs cumulés croissants et dé- .=./:\
croissants sont représentés ci-contre. -l:::l)O
: '=<
3. o.) Le point d'abscisse 1 du polygone des effectifs cu-
mulés croissants a pour ordonnée 34 ; ii y a donc 34 in- -:7:
dividus dont la modalité est inférieure à 1.
x
bJ Le point d'abscisse - 0,4 du polygone des effectifs cu-
mulés décroissants a pour ordonnée 2ô,t ; jl y a donc 26
-2 -1
individus dont la modalité est supérieure à - 0,4.
4, a)Le point d'ordonnée 9 du polygone des effectifs cumulés décroissants a pour abscisse 2,5 ;les
individus de modalité Ia plus grande appartiennent à l'intervalle [z,s ; e].
bl Le point d'ordonnée 20 du polygone des effectifs cumulés croissants a pour abscisse - 0,63 ;
Ies 20 individus de modalité ia plus petite appartiennent à I'intervalle [- 0,63 ; 2].

OExercice 4 p. 315
I
On obtient le tableau ci-contre.
Centre des ciasses (.r1) 1,5 4 6 8,5 Total
On en déduit :
o/"
Fréquence (.f,) 'J"O o/n 25 35% 3O o/o
7
. la moyenne 1= 5,8 ;
0,15 2,1 2,55 5'8
l'r*i 1
. la variance V = 38,5 - 5,82 = 4,86 ;
1'§,, o,225 4 12,6 21,675 38,5
. l'écart type o = {+î6 = 2,2o5.
I

O Exercice 5 p. 315
1. On a le tableau de calcul suivant :

(r)
I Centre des classes
Effectif (n;)
55
10
65
1,5
75
3sl40
85 95
30 L70
105
20
ÀIC
15
725
5
Total

nÿct 550 I SZS 2625 i 3400 2 8s0 21.00 1,725 625 ra aso |
l-*
n*i2 30 250 i 63 375 196 875 i 289 0oo 270 750 220 500 1.58 375 781.25 7 347 25A
L"

1". On en déduit 37= -1-4-§E0 = BT,3S ;V = L3fl-Æo- - BZ,3s2 = Z94,eB ; o = t7,17.

2. La médiane m de la série appartient à f intervalle [ao ; go[.


on a :
*# = arffi ; donc : m = 86,25,

I Exercice 6 p. 315
1. L'histogramme des effectifs est représenté ci-contre.
i: 2. Les classes modales sont [165 ;1,7o) et [170 ;175).
On a le tableau suivant :

I Centre des
classes (x) 150 757,5 'J.62,5 767,5 a 1a ç
180 Total
Effectif (nJ 3 5 6 I o 6 36
'i65 170 t/5
I

I n*t 45O , 787,5 975 1340 1380 1080 6 012,5


t-

t.-
!{ei,.
,,*li*..,
.
215
1,,_tr:

i*,
On en déduit la moyenne : x = "t*t = :'67.
3. Le polygone des effectifs cumulés croissants est repré-
senté ci-contre. La inédiane de Ia série est le miiieu de
f intervalle [r0s ; 170], c'est à dire 1.67,5. 30

30

155 160
-t
,) Exercice 7 p. 315
l

1,.Les polygones des effectifs cumulés croissants et décroissants I

sont repréÀentés ci-contre. 1 0OO

2. ai Soit n, l'ordonnée du point d'abscisse 3 du polygone des ef-


fectifs cumulés croissants. 800

Ona:nt=258*1p =324,5.
'
i}y a donc 324 individus dont Ia modalité est inférieure à 3.
uoo
i

-i
bl Soit n, I'ordonnée du point d'abscisse 5,3 du polygone des ef- 400
fectifs cumulés décroissants.
Ona: nz=445 + 0,3 x (337- 445)= 412,6. 200

II y a donc 412 individus dont Ia modalité est supérieure à 5,3.



c) Il y a 1 000 - (g24 + 4L2) = 264 individus dont Ia modalité est
comprise entre 3 et 5,3.
3. On a le tableau ci-contre. On en déduit :
Centre des
la moyenne 'Ï
= 4,6455 ; classes (x;1 1) 3 4,5 5,5 7,5 Total J
Ia variance :Y = 27,321,75 - 4,64552 ; Effectif (n) 258 133 764 1.08 337 1 000

d'oùV=5,741 i n{t 387 399 738 4 645,5


s94 2 527,5 i
I

fttxi2 580,5 7 797 3 32L 3 267 18 956,25 27 327,75


l'écarttype:o=2,396.
I Exercice B p. 315 1
x. oi On a Ie tableau des fréquences cumulées suivant. 100

Fréquence Fréq. cum. Fréq. cum.


CIasse (ÿo) croissante (%) décroissante (%) 80

[z+z ; z+qï 1,6 1,6 100


244:2461 11,2 12,8 98,4 60
1
an .)
[z+o ; zqel J
l
1.4,4 87,2
1248 ;2501 s9,2 72,8
25O t 2521
252 ;2541
24
t2
83,2
95,2
40,8
16,8
I I

.J
[254 ;2561 3,2 98,4 4,8
[256 ; 258[ 1,6 100 1,6

cumulée, o 1
On en déduit Ies polygones des fréquences
croissantes et décroissantes représentées ci-contre. "l
bJ La médiane m de la série appartient à I'intervalle lz+a; 2501. I
On a : rn = 248 + Z x 4;314= = 249,425.
l

59,2 - 27,2
2. oJ On a Ie tableau de calculs ci-après. On en déduit : T = !1-1ql- = 249,448 ; I
o=-M;125 d,où 6=2,z9'. "l
!

216
r,On a :Ï- o = 246,655 ;Ï+ o = 252,241. Centre de Effectif fltxt fli xiz
la classe (xr) (nJ
Soit -f, et f, les otdonnées respectives des points d'abs-
cisses,246,6ss et 252,247 du polygone des fréquences cu- 243 2 486 LL8 098
mulées croissantes. 245 74 3 430 840 350
on,: .L-72.8 - 27.2-72.8 . 247 18 4 446 1 098 162
- 246 248 - 246
246,655 249 40 I 960 2 480.040
.f"- ae.z - 95'2 - 83,2 . 257 30 7 530 1 890 030
252,241. - 252 254 - 252 253 15 3 795 960 L35
Donc : ft= 17,5 et fr- 94,6. 255 4 7 020 260 100
On a:84,6 - 17,5 = 67,1 i donc 67,L% des sacs ont un 257 2 514 132 0S8
poids compris entreï- o et I + o'. Total 725 31 181 7 775 O73
rOna:î-2a=243,862;x+2a=255,o34.Soit/r'et/r'Iesordonnéesrespectivesdespointsd'abs-
cisses 243,862 et 255,034. Par interprétation linéaire, on obtient ; f ,' = 1,S et f z' = 96,9.
Ona:96,9-1,5=95,4;donc95,4Vo dessacsontunpoidscomprisentrel-2o et î+2o.
O Exercice I p. 316
1. Les aires des rectangles sont proportionnelles aux fréquences donc si on désigne par.f1, .f 2, .f f et.f
3, n ,
les fréquences respectives des classes IO ; Z[, [z ; el, [g ; +[, [+ ; st et [5 ; B[, on a :

L=!? f., -în *Â=.ft+fr+fr+fn+f, -,


I 15 I 11 15 8+15+9+11"+15 SB'
l
On en déduit le tableau des fréquences de la série.
Classes [o;zl [2 3[ [3;4[ ls t 5[ [5;8[
Fréquences (%) 1.3,79 t 25,86 i 1.5,5211.8,97 25,86
ti*
ll
'l
Ir,"
Les classes modales de la série sont [2 ; 3[ et [S ; 8[.
a,
Ulasses lo;2[ L2 ;3[ i3 ; atl [+ 5t Is 8[
ti
ll
Fréquences (ÿo) 1,3,79 25,86 i 1.5,5211.8,97 25,86
-i
lj","
Fréo. cum
moiôsante (%) '1,3,79 39,65 55,1,7 74,1,4 100
ti
Fréo. cum
ti déobissante [%) 100 86,2L 60,35 14,83 25,86
Les polygones des fréquences cumulées croissantes et décroissantes sont représentés ci-contre. La nédiane
: m apparLient à l'intervalle [S ; +]. L

r,,
,

Ona: S0_39,65 _ 55.12_39.65 ;d,où:m=3,6g.


m-3 4-3
f"
I
I
3. On a le tableau de calculs Centre des classes (rJ 1 2,5 13,5 i+,s 6,5 Total
L., ci-contre. On en déduit : (fi)
Ï = 3,86215 ;
Fréquences 0,1333 o,zs lo,rooz ] o,z o,25 7
-f rri 0,1333 0,62s Lo.sas+ i o,s 1-,625 3,8668
6=v@354-3p621Y .1*,' 0,13 33 1,5625 2,0421 4,05 10,5625 18,3504
t
= 7,8725.
4. Le tableau des effectifs est dressé ci-contre.
Classes lo;z[ t[2;3[ la;+[ [+ bt ls BI
r" Effectifs 99 i 186 , 112 137 186
I

t,,
i Exercice 1O p. 316
Classes loo ; aoI llao s0[ lso;rrolllrro;rsol 130 ; 180
1. Le tableau des effectifs est dressé ci-contre.
r' Effectifs 3Z 74 346 48 30 I

:, 2. a)Le pourcentage de véhicules en infraction est Ia fréquence de la classe [rgo ; rao],


c'est à dire 30 = 5.66 %.
530
I bJ Soit n l'ordonnée du point d'abscisse 140 du polvgope des effectifs cumulés croissants.

on a: n- 500 =fË3=#3;donc n = 506. Il y a 506 voitures roulant àune vitesse inférieure ou égale
r
1

l
à 1a0 km/h, donc 24 amendes seront distribuées.
r

3. La classe modale est : [90 ; 110[.


Centre des classes (x1) 70 120
85 155 Total
100
Du tableau de calculs ci-contre,
Effectifs (n,) 32 48
74 30 346
530 r
on déduit.:
+# = 1.ol,o}km/h. n*t t_ l

= 2 240 6 290 34 600 5 760 4 650 53 540


=

I Exercice 11 p. 3L6 l

1. Le nuage de points est représenté ci-contre.

2.onarr=W =*o,o8; l
l
l,i

l_'J,Ox2+'1,5x3 _2.6
- -,v.
25
Les coordonnées de G sont : (- 0,0g ;2,6). i-

'0 Exercice 12 p. 316 4 t--


1,. Le nuage de point est représenté ci-contre.

2. Les coordonnées du point moyen sont (ï ;ÿ) tel que :

7= 3x0+8x1+18x2+6x3 =2,.J.75;

- 4 xO + 78x'1, + B-X 2+7x4+gxS


A 40 = 1,925. I

0l I I I tr I I
I Exercice 13 p. 316 o 1
0123 2 3 4
1. Les tabieaux des effectifs et des fréquences des séries marginales sont dressés ci-dessous.
l
r

xi 0 1 2 o 4
Effecüf 1,52 21,2 243 1.29 64 !l
Fréquence,(ÿo) 19 26,5 30,375 16,125 I
0 ô
Ui 1 L 3 4 5 JJ
Effectif 170 206 797 138 32 57
Fréquence (%) 2'J,,25 25,75 24,625 1.7,25 17,125 4 T
l

,lJl
2. Le nuage de points est représenté ci-contre. Les coordonnées 1

de G sont (x; ù tel que :

3.x= 152x0 + 212 x 1. + 243 x.Z +'J,Zg xS + 64x 4 _='J.,b7625


4 an
I

!.r-
g00 ;

-- 170x0+206
.r- x 1 + 1g7x2 + 138x3 +57x4 + 32x5
=1.,7525,
ü
I Exercice 14 p. 316
I

1. Les tableaux des effectifs des séries m'arginales sont dressés ci-d.essous. i

J.-
xi -2 -1 0 1. 2 3 4
Effectif + e 4ls le 7 5
_, rt
Ui -1 0 1. 2
Effectif 4 20 L2 1
I

2. Les coordonnées de G sont (x;ÿ) tel que :


j

iia -

O_ + x [-2)+9x (-1.) +4 x0+ 3 x 1 + Bx2 + 7 x 3 + S xt =L'a75


40'ax2+7x'3+5x4 ; !T

3 x (*2) ++x (-11 + 20x0+ 12 x 1 + 1 x


/i
2
a= 40 = 0,1,

918
I
I il,

J"", I Exercice 75 p.3L7


1. Le nrrage de points est représenté ci-contre'
t1

I 2. On â le tableau de calculs suivant.


xt At Ji2 tt,2 xllr
5,6 0,18 31 ,36 o,0324 1,008
10,6 0,69 112,36 o,4767 7,314
6,6 0,3 43,56 0,09 1,98
13,6 0,8 184,96 0,64 10,88

t 10,6
14,3
2,3
0,81
0,8
o,73
772,36
204,49
5,29
0,6561
0,64
0,5329
8,586
7'J-,44
1.,679
9,5 o,42 90,25 0,1764 3,99
7,75 73,96 7,3225 I,BS
t: 8,6
18,49 0,L444 1,634
4,3 0,38
Total : 86 6,26 877,O8 4,71O8 58,401

I On en déduit : ï = 8,6 i A = 0,626; V(r) = 'J.3,748 ; V(y) = O,0792O4; Cov(x, U) = 0,4565.


Équation de la droite (9) de régression de g en x i ! = 0,033 r + 0,34'

t Équation de la droite ($') de régression de x en A i A = 0,L74 x- 0,866'


3. Le coefficient de corrélation linéaire r tel que : r = 0,437.

t 1 Exercice 76 p,317
ci-contre
1. Le nuage de points est représenté
ao
2. On a Ie tableau de calculs suivants.
t ri 5 7 10 14 18
3,9
,,
4,0s
z6
4,72 26,98
Total
702
:
4,1

Ui 3,61 3,7 3,75 3,85 4,0

t xi2
xür 18,05
26 49
25,9
100
37,5
196
53,9
324
70,2
484
89,1
676 1 854
707,12 40L,77 3,9

On en déduit :î = L4,571 ; g = 3,854 ; V(r) = 52,31 3,8

I Cov(r, y) = 1.,239.
Équation de la droite (9) de régression de y en x :
i

)1

r ÿ=0,02358r+3,510. 3,ô
t-.
3. On a:0,02358 x 30 + 3,510 = 4,2'J.74;on peut donc esti- s '10 15 20 25 30
mer à 4,22kg Ie poids du nourrisson 30 iours après sa nais-
I
l.
sarce.

O Exercice 77 p.377
!
1. Le nuage de points est représenté ci-contre. 30
,l
3. On a le tableau de calculs suivant.
X1 Ui xi2 xtUi

i1
I
60 000 1t 3 600 000 000 I 660 Û00
64 000 77 4 096 000 000 i 1 088 ooo
68 000 20 4624OO0 000 I 1 360 000
72 000 25 5 184 000 000 1 800 000
Total : 264 000 73 a7 5O4 000 000 ,4 v08 000 68 000

ri
On en déduit: I = 66 000 ;, = 78,25;V(r) = 20 000 000 ; Cov(x, U) = 22 5oo.
ü"-
Équation de la droite (9) de régression de y en x i g = 0,001125 x- 56'
4.Ona:0,00125r-56=30=x=76444;onpeutdoncestimeràT6s00francsIesalairequedoitpro-
poser le directeur s'il veut recruter 30 ouvriers.
;

919

ii*
*J

I Exercice 18 p. 317 J
1,.Les nuages de points sont représentés ci-contre.
2. On a Ie tableau de calculs suivant. IT
it
LJ
xi Ut zi xi2 Urz zi2 xtAt xizi
1. 40 0 1. 1 600 0 40 0 i'i
ll::
, 45 -3 4 2 025 I 90 -t, gJ
3 JD 1. I 1.225 L 105 3
4 35 4 16 1,225 16 740 16 n
5 30 -1 25 900 L 150 -5 d
I

Total: 15 185 7 55 6 975 27 525 I


On en déduit: r = 3 i U = 37 ;-z = 0,2;Y(x) = 2; ri
ii
Cov(x, ÿ) = !{
-'6 ; Cov(r, z) = 1..
4.
D'où : une équation de la droite de régression de y en ï îT
?
est y = - 3r + 46 ; une équation de la droite de régres-
sion de z en x est z =0,5x- 1,3. 2
ü
3. On a : V(gr) = 26 tV(z) - 5,36. 1

Les coefficients de corrélation linéaire respoctifs des 0 d


séries (xi, yJ et (xi, z;) sont r, ot r, tels que 11 = - 0,832 -,1
et r, = 0,305. C'est donc la série (xi, yi) qui se prête Ie 1
-9
mieux à un ajustement linéaire. i.L-
I

-3
FI
i

.t
I Exercice 19 p. 317
L. Les nuages de points sont représentés ci-contre. I
2. On a le tableau de calculs suivant, où la dernière ligne est celle .t
des totaux.
xi Ui zi xi2 Ui2 zi2 riUi xizt l

B1 905 770 6 561 819 025 504 100 73 303 57 574


82 927 727 6 724 859 329 528 529 76 01,4 59 614 r,1
B3 94S 745 6 889 900 601 555 025 78 767 61 835 I

84 973 763 7 056 946 729 582 169 81.732 64 092


85 997 782 n aoÉ 994 009 6'17 524 84 745 66 470
11
B6 1. O25 805 7 396 1 050 625 648 025 88 150 69 230
87 1 051 825 7 569 1 104 601 680 625 91 437 77 775
8B 7 077 845 / /11 1 159 929 774 025 94 776 74 360
89
90
1. L02
1 L21.
865
878
7 921 1 274 404 748 225 98 078 76 985 t
B 100 1 256 641 770 884 100 890
1

79 020 l

855 70 727 7 945 73 185 10 305 893 6 343 131 867 894 680 8S1

on en déduit:ï= 85,5 ia ='1.012,7;z=794,5;v(x) = 8,25;Cov(x,ù=zo3;s5;Cov(x,z) = 159,35.


I
I
I

D'oùuneéquationdeladroitederégressiondeÿenresty=24,672x-1096,g;uneéquationdela
droite de régression de z en x est z = l-g,3'J.Sx - 856,9. I l

3.Ona:24,673xg5-1.096,8=L247,1et19,315xg5-856,9=gTB.Onpeutdoncestimerlecheptel
ovin et caprin en Côte d'Ivoire en 1995 à respectivement 7 247 OOO et 978 Cr00 têtes.
il
I Exercice 2A p.377 :

ci-contre.
)

1. Le nuage de points est représenté


t
2. On a le tableau de calculs suivant.
I

220
L
xt Ut xi2 Ai2 xiUi
36 11,8 1,296 \39,24 424,8 t/
42 74 1 764 1,96 588 16,2
t: 48 1,2,6 z 304 158,76 i 604,8 16

54 15 2 S16 225 | 810


60 15,5 3 600 240,25 s30
t_ 66 15,L 4 356 228,O7 996,6
Total : 306 84 76 236 TTfr7614154,2
1

{, Onendéduit:T=51; U=lrq;vtr) = 105;V(y) = 13

-
!** 7,877; Cov(r, u) = 11,7' Équation de ia droite (9)
dè régression dey enx iA = 0,771x + 8,33. n
Équation de la droite (9') de régression de x en y :
ÿ = 0,160r + 5,82. 11

3. Le coefficient de corrélation linéaire est r tel


t-
I eüB r = 0,833.
4. Le point de coordonnée (70 ;1.6,2) est situé entre les deux droites de régression ; d'autre part, on a
,rrr" bonne corrélation linéaire entre les deux caractères. On peut donc considérer que 16,2 est
I
l
"âr",
une tension « normale » à 70 ans.

I Exercice 21p,377
1. Le nuage de points est représenté ci-contre.
1-
l 150
2. On a Ie tableau de calcuis suivant.

,l
Xi Ui ri2 Ui2 xiUi 140

5.6 728 33,64 16 384 742,4


4 702 16 70 404 408 130
b.4 138 40,96 \9 044 883,2
4.6 LL6 21,16 13 456 533,6 190
5.'Z L18 27,O4 1,3 524 613,6
7 L42 49 20 L64 994 110
I Total: 33 744 787,8 s3 376 4L74.8
On en déduit : Ï = 5,5 ) t = ]24 ; V(r) =' 1,05 ; -100
V(y) = 186,67 ; Cov(x, ÿ) = 13,8.
6
l
Le coefficient de corréIation linéaire est r tei que : r = 0,986,
Ce coefficient est très près de 1., ce qui justifie un ajustement linéaire.
3. Équation de la droits(9) de régression de y en r i g = 13,143x + 51,71.
t-
L

4.a)Ona:13,143xg+51,77=169,997;sil'onengagegmillionsdefraacsdepublicité,onpeutdonc
espérer un chiffre d'affaires de 170 millions de francs.
4

i b)Onat73,L4Bx+iL,Z1=ZOO:+ x= 71,28; iIfautdoncprévoirunbudget de 11 300 000 francs pour


eipérer réaliser un chiffre d'affaires de 200 miilions de francs.
n
I .) Exercice 22 p. 377 ' :

Ll 1. L,histogfamme représentant Ia série est représenté ci-dessous.

;
I

il

921

I
-.".!

2. a)Or obtient le tableau des effectifs et des fréquences cumulés moissants suivant.
,Classe
'i
Eff. cum. Fréq. cum,
croissant croissant (%)
I65 zsl 40 15,15
L/3 85[ 70 26,52
[85 e0[ 115 43,56
lgo ; esl 1.73 65,s3
[95 ; 100[ 206 78,O3
lroo ; rrol 230 87,L2
lrro ; rzol 250 94,70
lrzo ; rsol 264 1"00 'l
bJ Le polygone des fréquences cumulées croissantes
est représenté ci-contre.
3. 51, S, et S, sont les abscisses respectives des l

points du polygone des fréquences cumulées crois-


santes d'ordonnées 25,50 et75o/o.
Une détermination graphique donne :
Sr = 83,6 iSz= 91,4 lSa= 98,8,
Par interpolaüon iinéaire, on obtient: l

26,52 - tS.lS ô ^^ ^^
-S,- ,5 =
25 15,15
= -- - ùt = Ôr'Do
l

- 8s:75 ;

50-43,56 _ 65,53-43.s6
-3, - ro =- llr 9o- â ùz = vL'+/ i

J
1

75-65,53_78,03-65,53 _ o _ ôo,^
-S3-15 =--loo-95- a ùe=vÔ'/Y'
I
I

Exercice 23 p. 318 I

L. L'histograrrme des fréquences est représenté


ci-contre.
2. Le tableau des fréquences cumulées décrois-
santes est Ie suivant.
I

Classe Fréq. cum. I

décroissante (%)
lso t 35 100
I

[35 ; a0 98,85 I

lso ; +s 93,35
[+s ; so 77,35
I

[50 ;55 50 I

Iss 60 22,65
[60 ; 6s 6,75 il
'I
los ; zo 1,3 5

On en déduit Ie polygone des fréquences cumulées décroissantes représenté ci-après.


1l
tl
3. o] Le poids minimum r des dix pour cent des élèves les pius lourds est l'abscisse du point d'ordon- it
née 10 du polygone. On peut le déterminer graphiquement ; une interpolation linéaire donne :
ti#= t* _*-E + r = 58,e8 kg. rTI
ll

bl Soit UtetUzles ordonnées respectives des points du polygone d'abscisses 42,5 et 52,5.
on a : o^ = fiÆiW
= 87,3s, n, = 36,32. ill#&= tl
lt
r.j
D'où: Ut-U"= 51,03;donc 51% des élèves ontunpoids compris entte42,5 et 52,5 kg.
i

tdt
222
4. On a le tableau de calcul suivant;
.100
Centre de la Fréq. f ixi f tri2
t,
' classe'(+) (/,) 90

32,5 0,0115 a37375 12,746875 BO


37,5 0,055 2,0625 77,34375
I
289 70
42,5 0,16 6,8
-i o,2735 12;59125 617,084375
47,5 Ô0
52,5 o,2735 74,35875 753,834375
50
57,5 0,159 9,7425 525,69375
62,5 0,054 3,375 2\O,9375 40
67,5 0,0135 0,91125 61,509375
30
Total 50,015 2547,55
20
On en déduit :
. la moyenne f = 50,015 ; 10
. l'écart type o = 6,786.

r) Exercice 24p.378 Centre de Ia Eff. A nrAx, n,Ax12 Eff. B niBxi nlBxrz


1. On a le tableau de caiculs ci-contre' classe (x;) (ntA) (rrrBJ

i On en déduit, pour la machine A : 49,1 7 343,7 1.6 875,67 4 196,4 9 643,24


irt t
. Ia moyenne 49,7975k9; 49,3 6 295,8 L4 582,94 6 295,8 14 582.94

. la variance 0,1550 ; 49,5 14 6S3 34 303,5 I 445,5 22 052,25


695,8 34 581,26 1L 546,7 27 1"70,99
. l'écart type 0,3937 kg. 49,7 1.4

49,9 L1, 548,9 27 390,3.L 74 698,6 34 860,14


On a de même, pour la machine B :
50,1 74 707,4 35 140,14 16 801,6 40 160,16
. Ia moyenne 49,89 kg ; 50,3 I 452,7 22 770,8L 17 855,1 43 0L1,53
. la variance O,'J,379 ; s0,5 5 252,5 1.2 751.,25 J 151,5 7 650,75
. l'écart type 0,371"3 kg. Total BO 3 983,8 1gB 395,68 80 3 991,2 199 132

2. Les deux machines vérifient donc les deux premières conditions exigées. Par contre, pour la machine
A, g4,375 % seulement des sacs ont un poids compris entre 49,3 kg ef so,s kg. Ce pourcentage devient
89,375 % pour la machine B ; c'est donc celle-ci qu'il faut acheter.
b

3. pourlamachineB, on a:I- o= 49,519 et f + o= 50,261. Parinterpolation linéaire, on a:


49:519
,] l'effectif cumulé croissant correspondant à 49,519 kg : 10 + g- 49,6 -;19:'4 = 15,355 ;
- 49,4
L'effectif cumulé croissant correspondant à 50.261 kg : 60 * rz ffffffi = 65,185'

on a : 65'185--:1ë'3§E = 0,623 ; il y - donc


62,30/o d", ,acs88ont le poids est coupris entre
ï-oet7+o.
I
i
t) Exercice 25 p. 318
1. Le nuage de points est représenté ci-contre.
l
i
2. Ot a le tableau de calculs suivant'

xi Ai r12 xüt
100 2,489 10 000 248,9
200 2,492 40 000 458,4
300 ', 2,494 90 000 748,2
400 2,495 160 000 g9B
500 i 2,496 2s0 000 1 248 300 400 500

600 2,498 \ 360 000 1 498,8


Total: 2 LOO , 14,964 910 000 5 240.3

223
I

t,
On en déduit : x = 350 )ÿ = 2,494; V(x) = 29 762; Cov(x, y) = 0,4883.
Une équation de ia droite de régression de y enx est donc : ÿ = 0,0000166 r + 2,488.
3. aJ L'usure moyenne de l'outi] pour une pièce produite est 0,0000166 cm, c'est à dire 166 x 10-s m. i

bJ On a : 0,0000166 x = 0,015 =+ -r = 903; I'usure de l'outil atteiat-elle la valeur de L5 centièmes de mm


vers Ia 900e pièce.
1

I Exercice 26 p. 318
1,, a)Le nuage de points est représenté ci-contre.
àl On a Ie tableau de calculs suivant.
-xi Ui Ui2 xi2xtUi
60 952 906 3043 600
57 720
80 805 648 0256 400
64 400 I

100 630 396 900


10 000
63 000
1.20 522 272 484 62 640
1.4 400
740 510 L9 600
260 100 71.400
160 324 't04 976
25 600
51 840
1.80 32 4AO
245 42 025 36 900
200 84 40 000 7 056 16 800
l-
Total : L 040 4 032 L52 000 2 637 870 424 tOO 50 100 150

On en déduit:ï= 130 tU=;Oq;V(x) =2'tOO;V(y) = 75Z1Z,ZS;Cov(x, U)=-1,ZSOZ,S.


Le coefficient de corrélation linéaire est donc r tel que : r = - 0,992 ; cette vaieur justiûe la recherche
d'un ajustement linéaire.
2.Uneéquationdeladroitederégressiondeÿenr:estdonc:g=-S,956 x+1.22g,2g. E'
3. olPoury exemplaires vendus àrmilliers de francs, Ie bénéûce réalisé est: z= U(x- 2s) 2g 000;
-
on adonc :z=(- 5,9s6 x+1.2zB,2BXx- zs)-zB 000 =-s,g56 x2+1.422,1.8r-s9 957.
ia
bl La fonction r *+ z(x) atteint son maximum en * = *-3?#;
2 x 5,956
le bénéfice réalisé est donc maximum
pour un prix de vente d'environ 119 B1O francs.
Ce bénéfice, exprimé en milliers de francs, est égal à .z(119,81), c'est à dire : environ 25 5A8 41S francs. ,5,

i Exercice 27 p.}LS
1. Le nuage de points est représenté ci-dessous. Le nuage a une forme évoquant une hyperbole plutôt
qrr'une droite ; elle ne suggère pas un ajustement linéaire.
2, a)On a ie tableau de calculs suivant.
Xi Ui zi xi2 z12 xizt 10
4 3.3 0.3030 16 O3E1E TZTZT_
20 0.6 1,.6667 400 2.7778 33.3333
I 10.5 0.0952 1. 0.0091 0,0952
10 1.3 o.7692 100 0.5917 7.6923
s 1.3 o.7692 81 0.5917 6.9231
5 2.2 o.4545 ttr 0.2066 , ,.rn.,
, 5 o.2 4 0.04 o.4
, I 0.125 + 0.0156 0.25
6 1.8 0.s556 36 0.3086 3.3333
5 2 0.5 25 o.25 2.5
11 1.2 0.8333 1.27 0.6944 9.1667
I5 0.9 'J..L1,17 225 1.2346 16.6667
Total : 90 38.1 7.342A 1038 6.8119 83.8454 10

Onendéduit:V=7,5;z=0,6L52;V(r)=3O,25;V(z)=0,1892;Cov(r,z)=2,JZZI'Lecoefficientdecor-
rélation linéaire est donc r tel que : r = 0,992; cette valeur justifie la recherche d'un ajustement linéaire.
bi Une équation de Ia droite de régression de z erlx est donc : z=O,O7B4x + O,1ZZ.
3. al on â r y =
z L. fonction cherchée est donc Ia fonction --f definie rpar :-f(r) =:-==.
*. -1-= ^-
O,0ZB4I+0,022-
.

lmprimé en ltalie par Rotolito


Dépôt légal Eclireur: 14064-05/2002 - collection 6t - Édition 01 - 59/615g/4
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