1. Il existe deux types de mouvements de plaques : la convergence (c’est-
à-dire le rapprochement de deux plaques) et la divergence (c’est-à-dire l’éloignement de de deux plaques). En superposant le document 2 sur le document 1, on remarque au niveau des frontières lorsqu’il y a divergence, la présence de volcans et lorsqu’il y a convergence, la présence de séismes.
2. D’après le document 3, on sait que les plaques lithosphériques se
forment au niveau d’une dorsale à partir d’un magma émis à une température d’environ 1100 degrés et sont mises en mouvement par cette dissipation d’énergie thermique. Or, en s’éloignant de la dorsale, les plaques lithosphériques refroidissent et d’après le document 4, ce refroidissement entraine l’augmentation de leur masse volumique et ont pour impact le plongement de celle-ci. On en déduit que la dissipation de l’énergie thermique de la terre sur la masse volumique de la lithosphère quand elle s’éloigne de la dorsale a pour conséquence le refroidissement de celle-ci et donc l’augmentation de sa masse volumique.
3. On sait d’après la réponse à la question précédente que lorsque la
lithosphère s’éloigne et donc refroidit, sa masse volumique augmente. On remarque sur le modèle analogique que suite au refroidissement par les glaçons, la masse volumique de l’eau colorée augmente, et quand la masse volumique de l’eau colorée devient plus élevée que celle de l’eau claire, elle plonge sous l’eau claire. On en déduit que pour qu’il y ait plongement de la lithosphère, sa masse volumique doit être supérieure à l’asthénosphère en dessous. Donc, vu que la masse volumique de la plaque australienne était plus élevée que celle de l’asthénosphère, il y a eu plongement de la plaque australienne dans l’asthénosphère.