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Elsa GOURDON 3ème 4

Année scolaire 2022-2023

RAPPORT DE STAGE D’OBSERVATION


Du 05/12/2022 au 09/12/2022

Photo 1 : Entrée principale du palais de justice d’Aix en Provence

Tutrice : Mme TIXEIRE Anne.

Collège Henri Matisse Tribunal de Justice


Route de Nice 40 boulevard Carnot
83 470 Saint Maximin 13100 Aix en Provence

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Sommaire :

- Introduction 3

I) Le palais de justice, une administration publique 5

1) présentation générale du tribunal 5

2) activités du tribunal 6

II) Mon stage 7

1) Mon emploi du temps 7

2) Activités réalisées durant le stage 7

3) Mes ressentis 15

III) Devenir juge 17

1) Le métier de magistrat 17

- Conclusion 19

- Bibliographie 20

- Remerciements 20

- Annexes 21

Introduction :
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En classe de troisième, nous devons effectuer un stage
d’observation pour nous permettre de découvrir de nouveaux
métiers. J’ai donc effectué mon stage d’observation au tribunal
judiciaire d’Aix-en-Provence.
Dans la vie, au quotidien, je me retrouve souvent face à des
faits qui me semblent injustes. Mais, que sais-je de la justice
française ?
Ce stage a pour objectif de m’apprendre et de me faire
comprendre la justice de notre pays. Comment fonctionne-t-
elle ? Qui applique les lois ? Quelles études faut-il faire pour
exercer le métier de juge ? Quelles qualités faut-il posséder
pour prétendre à ce métier ?
Tout au long de mon rapport je vais utiliser le vocabulaire
spécifique de la justice, qui est assez complexe. Il me semble
important de le définir à l’avance afin d’en faciliter la lecture.

Magistrat / juge : est un fonctionnaire public de l’ordre judiciaire


ayant pour fonction de rendre la justice et de réclamer au nom
de l’État, l’application de la loi.
Le parquet : est l’ensemble des magistrats travaillant dans les
cours et tribunaux de l’ordre judiciaire, chargés de représenter
les intérêts de la société et de veiller au respect de l’ordre
public.
Procureur de la République : il fait partie du parquet et assure
la défense de l’ordre public et peut demander une peine s’il
juge que les faits portent atteinte à la société.
Greffier : assiste les magistrats dans les actes de leur juridiction
et est chargé tout au long de l’instance judiciaire de garantir le
respect et l’authenticité de la procédure.

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Robe : habit porté par les magistrats et les avocats lors des
audiences. Cependant, les robes des avocats et des magistrats
ne sont pas strictement identiques et présentent une très légère
différence.
Prévenu : personne traduite devant un tribunal pour répondre
d’un délit.
Audience collégiale : audience tenue par plusieurs magistrats.
Audience : séance d’un tribunal.
Assesseur : magistrat adjoint au juge.
Plaidoirie : action de plaider ; série d’arguments oraux qu’une
personne utilise pour convaincre un auditoire de leur validité.
Renvoi de dossier : consiste à reporter le jugement d’une
affaire, car le dossier n’est pas abouti par manque de preuves.

I) LE PALAIS DE JUSTICE : UNE


ADMINISTRATON PUBLIQUE.
1) Présentation générale du tribunal :

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Le tribunal judiciaire d’Aix en Provence se situe au 40
boulevard Carnot. L’activité judiciaire est une administration qui
existe depuis l’Antiquité. La construction du palais de justice
d’Aix en Provence s’est achevée en 1831. De 2017 à 2021, le
tribunal connait 3 ans de travaux de rénovation et il est remis en
service seulement à partir de Septembre 2021. Il est construit
sur l’emplacement de l’ancien palais comtal.

Photo 2

C’est un grand édifice qui compte 9 120 m2 de surface de


plancher. Ce bâtiment abrite : 4 salles d’audience pénale, 2
salles d’audience civile, 12 salles d’audience de cabinet ainsi
que les installations interdites au public. Le palais de justice est
actuellement utilisé pour les appels des affaires civiles et
commerciales ainsi que les jugements de la cour d’assise. Le
tribunal compte environ 180 salariés. Les professions ayant un
rapport avec la justice se sont féminisées, aujourd’hui on
compte plus de 50% de femmes dans ce domaine.

2) Activités du tribunal

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Photo 3 : affiche de l'ascenseur

Pour fonctionner un tribunal a besoin de magistrats aussi


appelés juges qui doivent appliquer une règle de droit aux faits.
Ils doivent donc appliquer la loi en fonction des délits commis,
ils s’adaptent au prévenu. Le juge joue également un rôle dans
le déroulement du procès, il dispose désormais d’un certain
nombre de pouvoirs, dans le cadre du procès et peut prendre
des initiatives.

I) MON STAGE
1) Mon emploi du temps
6
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi
- audience du - audience du - audience du - audience du
Néant juge aux Tribunal pour juge aux affaires Juge
affaires enfants. familiales. d’application
Matin (Malade) familiales. des peines.
(Présidée par (Présidée par
(9h-12h) (Présidée par Jennyfer KACER) François (Présidée par
Vanessa LECLECH) Mathilde
ROUGERIE) GALLEGO)

PAUSE MERIDIENNE
- audience du - Réunion - audience - échanges avec
Néant tribunal correctionnelle Anne TIXEIRE,
correctionnel Délégué du bilan de stage.
Après- collégiale.
(Malade) collégiale. procureur.
midi
(Présidée par
(14h- François Marie
CORNU)
18h)

2)Activités réalisées durant le stage


Premier jour (9h-12h) : Le mardi 6 Décembre, je me suis
rendue au tribunal à 9h pour assister à une audience du
juge aux affaires familiales qui été présidée par Vanessa
ROUGERIE.
Jusqu’à midi les juges ont traité plusieurs dossiers. En
premier, ils ont commencé par les dossiers de demandes
de renvoi, car il manquait des preuves et/ou des éléments
pour juger correctement l’affaire.
Une fois ces demandes de renvoi examinées, Maître
ROUGERIE s’est occupée de 3 cas différents de divorce.
Durant ces audiences privées, une greffière prenait des
notes du déroulé de la séance.

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Photo 4 : écriteau affiché devant le bureau.

Figure 5 : salle d'audience privée

L’après-midi (14h-18h) : J’ai pu assister à une audience du


tribunal correctionnel présidé par François Marie CORNU.
Contrairement, au matin cette audience était publique et j’y
ai assisté en étant assise au côté du Président de la
séance et de ma maîtresse de stage, Madame Anne
TIXEIRE. Durant cette audience, il y a eu principalement
deux dossiers traités.
Le premier était relativement court puisque l’accusé n’avait
pas d’avocat et ne pouvait pas se défendre seul. Une fois
les délits cités, l’assemblée s’est retirée pour délibérer. Ils
ont ensuite directement annoncé la peine au retenu qui a
pu partir.
Le jugement du dossier du second accusé s’est avéré plus
long (2h30) puisque le Président de l’audience, M.
CORNU, a lu les vingt-huit infractions commises. Le
prévenu niait l’intégralité des faits.
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Aux alentours de 18h, j’ai pris congé de l’assemblée.
L’audience s’est prolongée jusqu’à 22h30.

Photo 7 : salle où les juges se rendent pour


délibérer

Photo 6 : salle d'audience publique.

Deuxième jour (9h30-12h) : Le mercredi 7 Décembre, j’ai eu la


chance d’assister à l’audience du tribunal pour enfants présidée
par Jennyfer KACER. Avant de commencer une audience le
Président de la séance déclenche une sonnerie qui permet de
prévenir le public que l’audience est sur le point de débuter.
Une audience est toujours effectuée de façon similaire : le
Président lit le déroulement des faits, puis il demande au retenu
sa version, l’interroge et sollicite l’avis de ses assesseurs. J’ai
remarqué que les assesseurs ont très peu de choses à redire
ou à ajouter. Ensuite, le Procureur de la République se lève et
estime la peine, qui sera toujours la plus lourde puisqu’il est
l’avocat de la société et qu’il protège l’intérêt public en assurant
le respect de la loi pénale. L’avocat de l’accusé prend ensuite la
parole pour plaider la cause de son client. La parole est
redonnée à l’accusé afin qu’il puisse ajouter des éléments s’il le
souhaite. Enfin l’audience est suspendue pour délibérer.

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Durant cette matinée, j’ai assisté à une affaire concernant un
prévenu qui était en détention provisoire, c’est-à-dire qu’il
attendait son procès en prison pour mineurs. Il se faisait donc
juger dans le bloc des détenus gardé par des policiers.

Photo 8 : salle d'audience publique et bloc des


détenus à droite.

L’après-midi (14h-16h30h) : J'ai pu assister aux débats tenus


par le délégué du procureur de la République. Les délégués du
procureur sont le plus souvent un ancien gendarme ou policier
à la retraite.
Tous les prévenus réunis
dans la salle étaient
suspendus de leur permis pour
infractions routières. Ils ne
risquent pas la prison
seulement des amendes. Le
procureur appelle les
prévenus un par un afin que
ces derniers reconnaissent les
faits ou fassent
opposition. Ils doivent montrer
leur papier d’identité et signer
la convocation.

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Photo 9 : une des portes de l’étage du palais de justice

Le troisième jour (8h30-12h) : Le jeudi 8 décembre j’ai assisté à


l’audience aux juges des affaires familiales présidée par
François LECLECH. Lors de cette audience, il y a eu quelques
renvois de dossier. Puis un gros dossier a été accueilli. Ce
dossier portait sur un divorce. Deux avocates, celle du père et
celle de la mère, se « battaient » pour donner raison à leur
client respectif,elles montraient des preuves au Président qui
restait impassible. Les avocates étaient
particulièrement véhémentes l’une envers l’autre, s’accusant
chacune leur tour de mentir, de déformer et
d’exagérer la réalité au profit de leur
client. J’ai trouvé la situation
assez cocasse. Pourtant les deux
femmes avaientréuni des preuves assez convaincantes,
comme des messages et des documents. Lors de
mon observation j’ai remarqué que les avocates
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regardaient le Président pour attirer son attention sur leur
propos et ainsi favoriser la décision du juge qui doit être
impartial. J’ai eu l’impression d’assister à une pièce de théâtre
au vu du jeu des avocates, du répondant qu’elles avaient et de
leur ton qui montait petit à petit à force d’entendre la version
des faits de l’autre partie.

L’après-midi Photo 10 : porte d'un bureau de juge (14h-18h) :


J’ai pu observer le déroulement d’une audience correctionnelle
collégiale publique, dans laquelle il y a eu beaucoup de
Comparutions Immédiates (CI). Ce sont des hommes ou des
femmes détenus, qui apparaîtront dans le bloc des détenus. J’ai
assisté à deux affaires de violences conjugales. Les victimes
étaient venues témoigner ce que je n’avais encore jamais vu
dans une audience, ce fut très intéressant puisque nous avons
pu entendre la version du mari mais aussi celle de la femme. La
première femme avait un cocard au niveau de l’œil et était
enceinte, son mari avoue l’avoir frappée à plusieurs reprises
sous le coup de la colère parfois même sous les yeux de leur
premier enfant.
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La deuxième femme battue portait un pansement au niveau
du menton qui cachait la blessure engendrée par son conjoint.
La victime est appelée à témoigner. Son avocate prend sa
défense. Les deux détenus ne possédaient pas d’avocats pour
se défendre.
Cela m’a fait réaliser que les violences conjugales sont très
présentes. J’ai été frappée de plein fouet par cette dure réalité.

Photo 11 : écriteau afficher devant le bureau

Photo 12 : salle d'audience publique

Le dernier jour (9h-12h) : Le vendredi 9 décembre, j’étais


présente à l’audience du juge des applications des peines,
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présidée par Mathilde GALLEGO. Il y a d’abord eu un renvoi de
dossier. Puis le premier prévenu était accusé de violences
conjugales et de violences avec armes. Il y a aussi eu une
audience en visioconférence car le détenu était en prison et ne
pouvait pas se déplacer. Durant ces séances, les accusés
demandaient des aménagements des peines comme le
bracelet électronique.
Il y a eu plusieurs dossiers qui ont été jugés mais ils n’étaient
pas très intéressants. Les audiences des applications des
peines sont très rapides puisque le dossier a déjà été analysé.
Elles durent une vingtaine de minutes.

L’après-midi (14h-15h30) : J’ai eu l’occasion de discuter avec la


maîtresse de mon stage d’observation et de lui poser les
questions nécessaires pour mieux comprendre le déroulement
de la justice française.

3) Mes ressentis :
Lorsque j’assistais aux audiences du juge aux affaires
familiales, je trouvais cela intéressant de voir comment se
déroule la procédure de divorce. Cependant le fait
d’enchaîner des dossiers différents était long et pénible.
J’ai pu aussi me rendre compte que le travail de juge
nécessite de la patience, un niveau de langage élevé pour
réussir à trouver les mots justes, de l’organisation et de la
rigueur. L’affaire dans laquelle les deux avocates
défendaient ardemment leurs clients m’a fait me demander
si leurs échanges houleux durant l’audience reflétaient une
réelle mésentente quotidienne au travail, ou si le métier
d’avocat exige autant de mise en scène ?
J’ai été très surprise de voir seulement des hommes qui
étaient accusés de délits, je n’ai jamais pu assister à une
audience dont la prévenue était une femme.

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Ce stage me permet aussi de me dire que j’aimerais ne
jamais aller dans un tribunal pour me faire juger car, d’une
part, la justice en France est longue et complexe, et
d’autre part, j’ai pu voir que toutes ces actions commises
sous le coup des émotions, sans réfléchir pouvaient avoir
des impacts sur la vie future de ces personnes. J’ai aussi
pu prendre conscience que les apparences peuvent être
trompeuses. En effet, les prévenus souriaient,
s’exprimaient avec aisance alors que les infractions dont
ils étaient accusés semblaient graves.
Ensuite je trouve que les audiences publiques ne sont pas
sécurisées et peu « intimes » puisque n’importe qui peut
venir y assister. Tout le monde a connaissance du nom de
la personne, parfois même de son lieu d’habitation ainsi
que de leur salaire.
La journée de jeudi a été vraiment très instructive et
intéressante, elle m’a beaucoup fait me questionner sur
moi, le monde dans lequel nous vivons. Cette journée m’a
également permis de mieux comprendre le déroulement
d’une audience.

Je me suis posée une question, aimerais-je être avocate ?


Je n’aimerais certainement pas être avocate car on ne sait
pas quel sera notre prochain client ainsi que les délits qu’il
aura commis. Je ne suis pas sûre de réussir et même de
vouloir défendre quelqu’un qui a commis des violences
conjugales à plusieurs reprises, qui a insulté sa femme
devant son enfant et qui est en prison. Car en tant
qu’avocat on doit faire preuve de discernement pour
pouvoir plaider la cause au mieux, on doit trouver du bon
dans une personne qui a commis des faits de cette
gravité.

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I) DEVENIR JUGE
1) Le métier de magistrat :
Dans le domaine juridique, un juge est un magistrat
qui remplit la fonction de jugement et non d’arbitrage,
lors une plaidoirie.
Ma maîtresse de stage était Madame Anne TIXEIRE,
Vice-présidente en charge de la présidence de la CIVI
(Commission d’Indemnisation des Victimes
d’Infractions) et de la première chambre civile section
B. Elle juge la réparation du préjudice corporel et de la
responsabilité médicale.
Tout d’abord un juge est un magistrat chargé de
rendre la justice en appliquant les lois.
Comme ma maîtresse de stage est une magistrate je
me suis questionnée sur la « journée type » d’un juge,
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Mme TIXEIRE.
Généralement la journée débute vers 8h. Le matin, le
juge a des audiences. Puis prépare les audiences
civiles de l’après-midi en rédigeant les jugements à
venir, qui sont les décisions de condamnations.
Cependant s’il y a des audiences pénales, dîtes
correctionnelles l’après-midi, les séances s’étendent
parfois jusqu’à 22h30.
Lorsqu’il n’y a pas d’audience, Madame TIXEIRE
rédige des courriers particuliers et réfléchi aux
décisions du délibéré.
Je me suis également penchée sur la question des
études qu’il fallait faire pour être juge.
La formation est accessible uniquement par concours
après un bac +4. À l’issue des 31 mois passés à
l’ENM, les étudiants présentent le concours de la
magistrature, réputé difficile et selon leur classement
peuvent choisir la ville où ils exerceront.
Durant la carrière d’un magistrat, s’il souhaite se
réorienter, il peut tout à fait devenir procureur de la
République sans refaire de nouvelles études car celle-
ci sont similaires. On peut également changer de
spécialité, être juge
aux affaires familiales,
juge d’application des
peines… sans refaire
d’études.
Les juges possèdent neuf semaines
de vacances par an qu’ils peuvent se
répartir comme ils le souhaitent
durant leur année. Les magistrats
n’ont pas d’horaires fixes.

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Photo 13 : robe d'un juge portée lors d’une audience


Conclusion
J’ai donc réalisé mon stage d’observation de troisième au
tribunal judiciaire d’Aix-en-Provence, du 6 décembre 2022 au 9
décembre 2022, auprès de Madame Anne TIXEIRE.
J’ai assisté à des audiences collégiales correctionnelles, des
affaires familiales, du tribunal pour enfants, ainsi qu’à une
réunion dirigée par le délégué du procureur de la République.
Ce stage m’a beaucoup apporté, me permettant de connaître le
fonctionnement de la justice de notre pays, afin de mieux la
comprendre. Cela m’a permis, d’enrichir mon vocabulaire dans
le domaine de la justice, de comprendre le déroulé d’une
audience ainsi que le rôle des différents métiers qu’il existe au
sein du tribunal : magistrats (assesseurs, juges), greffiers,
avocats, procureur de la République.

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Il m’a également permis de répondre aux questions que je me
posais avant de faire ce stage.
J’ai pris conscience, de manière plus générale, du monde
professionnel qui m’attend, le rythme et les obligations qu’il
implique. De plus, ce stage m’a aidé pour mes choix
d’orientation à l’avenir et j’en suis venue à me poser des
questions sur le métier que j’aimerais faire plus tard. Ce stage
bien qu’instructif ne m’a pas confortée dans l’idée de m’orienter
vers des études de droit.

Bibliographie

J’ai utilisé pour ce rapport de stage :

- Wikipédia
- Le site officiel de la ville d’Aix-en-Provence
- Les notes prises durant le stage
- Mes photos prises lors de mon stage

Remerciements
Je souhaite remercier ma maîtresse de stage, Madame Anne
TIXEIRE, qui est une personne attentionnée et bienveillante,
qui m’a accordé de son temps pour répondre à mes questions.
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Je remercie Marie Bernadette CALAS, d’avoir pu me mettre en
contact avec ma maîtresse de stage.
Je remercie également l’agent d’accueil du tribunal, qui, d’une
extrême gentillesse me conduisait à chaque fois sur les lieux de
l’audience et m’escortait vers la sortie.

Annexes
Annexe n°1

J’ai
remarqué, durant
mon stage que le tribunal est très
sécurisé, vu le portique

électrique à

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l’entrée et les agents de sécurité qui assurent une entrée
réglementée.
Annexe n°2 :
Le lieu d’accueil est moderne est propre, ce qui est chaleureux.

Annexe
n°3 :
Il est important de parler de la salle des « pas-perdus ». C’est
un large vestibule ou hall communiquant aux divers bureaux et
autres salles d’un bâtiment ouvert au public. Pour les palais de
justice, ce vaste espace au volume souvent imposant et haut de
plafond consiste un lieu de transition entre le monde extérieur
et l’espace judiciaire (la salle du tribunal). C’est souvent le lieu
le plus vivant du palais de justice, où les avocats et leurs clients
s’entretiennent une dernière fois avant un procès.
S’apparentant à une salle d’attente où l’on peut faire les cents
pas en attendant le début de la séance ou le délibéré final.
Cette expression date du début du XIX -ème siècle. Durant le
temps d’attente des résultats, le peuple patientait dans une
salle annexe en faisant les cents pas. Quand les votes étaient
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en défaveur du roi, on qualifiait la chambre de « chambre
perdue ».

Annexe n°4 :

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Voici ci-dessous, la fiche de suivi de la séquence d'observation
que j’ai faite.

Annexe

n°5 :

Voici
la convention de stage que nous devions remplir

23
Annexe n°6 :

Et ceci en est le dos

24
Photos 14 : le palais de justice d’Aix-en-Provence

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