Conclusion

Au terme de notre étude portant sur 212 cas de kystes ovariens effectuée de janvier 2010 à
janvier 2020 , nous avons constaté que :

-Les kystes ovariens sont relativement fréquents. Leur prise en charge pourrait être améliorée
par un examen précoce ,précis et le plus complet possible.

-Les kystes de l’ovaire apparaissent surtout chez les femmes de jeune âge et de faible parité.

-La douleur pelvienne et le trouble du cycle menstruel sont les signes révélateurs les plus
fréquents des kystes ovariens.

-La majorité de la population touchée n’utilise pas de contraception orale.

-L’échographie est l’examen clé du diagnostic , elle est indispensable. On remarque qu’elle
est très sensible mais de moindre spécificité nécessitant une confirmation clinique de
deuxième intention par tomodensitométrie et IRM. Malgré tout , elle est à l’heure actuelle
irremplaçable dans le diagnostic des kystes ovariens.

-Le traitement chirurgical reste le traitement de base , d’indication large et il est le moyen
thérapeutique de premier choix.