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Plus, la liste des normes africaines approuvées par le 64e Conseil de l’ARSO en juin 2021. Celle-ci comprend également les
normes internationales proposées pour adoption par notification.
Raviver l’espoir de l’économie créative en tant que pilier du développement durable de
l’Afrique au moment où le Rwanda accueille les événements hybrides organisés lors la 26e
Assemblée générale de l'ARSO
14 - 17 juin 2021
Un des piliers les plus forts de la culture rwandaise et bien sûr du continent africain est la danse traditionnelle, car la
musique et la danse constituent un élément important de la société. Connue pour sa grâce et son style de tambour
exceptionnel, la danse Intore est populaire dans de nombreuses célébrations, des cérémonies de mariage aux
célébrations et festivals nationaux, en passant par les réunions de l'Assemblée générale de l'ARSO qui regroupent de
différentes parties prenantes pour célébrer et élaborer des stratégies pour la mise en œuvre des programmes de l'ARSO.
La danse est un axe fort de l’économie créative. L'économie créative est l'un des secteurs qui émergent comme des
secteurs potentiels pour accélérer l'industrialisation de l'Afrique. Le commerce traditionnel des biens et services créatifs
reste une partie importante des économies nationales de nombreux pays africains en raison de sa double valeur, à la
fois en termes de valeurs commerciales et culturelles et de diversité. Avec un marché mondial en croissance de 208
milliards de dollars en 2002 à 509 milliards de dollars en 2015, et avec des exportations mondiales de biens créatifs,
passant de 208 milliards de dollars en 2002 à 509 milliards de dollars en 2015 (CNUCED 2018)), et en croissance continue
à pas de géant, le commerce des biens et services créatifs s'avère être une force économique puissante et croissante
en Afrique. En reconnaissance de ce fait, la 37e session ordinaire du Conseil exécutif de l'UA, qui s'est tenue en ligne
les 13 et 14 octobre 2020, a officiellement déclaré l'année 2021 Année des arts, de la culture et du patrimoine de l'UA
et a adopté le thème de l'Union africaine pour 2021 « Arts, culture et patrimoine : Leviers pour construire l'Afrique que
nous voulons. » Ce thème est également conforme à l'aspiration 5 de l'Agenda 2063 - une Afrique dotée d'une identité,
de valeurs et d’une éthique culturelles fortes. L’Organisation des Nations Unies, en vertu de sa RÉSOLUTION
74/198 (A/C.2/74/L.16/Rev.1 - E - A/C.2/74/L.16/Rev.1, a proclamé l’année 2021 « Année internationale de l’économie
créative au service du développement durable ».
Ces déclarations mettent l'accent sur la transformation des pays africains en sites de production industrielle compétitive
et sur la priorité à donner aux secteurs à fort potentiel de croissance industrielle, afin de permettre à l'Afrique de faire
un véritable bond en avant dans son développement industriel. Pour cela, l’ARSO et les organismes nationaux de
normalisation continuent de mettre en place l'infrastructure de normalisation pour stimuler la compétitivité des biens et
services de l'économie créative africaine, comme le demande l'Union africaine dans son Plan d'action de Nairobi de
2005 sur les industries culturelles et créatives en Afrique qui vise à promouvoir la sauvegarde, l'organisation, la
production, la commercialisation, la distribution, l'exposition et
la préservation des industries culturelles et créatives africaines, et demande aux membres d'établir des mécanismes de
normalisation et d'assurance qualité (c'est-à-dire de mettre en place des outils et des instruments de normalisation pour
garantir la compétitivité et la possibilité de commercialisation des biens et services culturels ; élaborer des codes de
conduite pour la fabrication, le commerce et la consommation de biens et services culturels). Lire à propos du Concours
de rédaction édition 2021 à la même page, 17.
La photo de l’événement : Les membres du Conseil de l’ARSO lors des événements hybrides organisés lors
de la 26e Assemblée générale de l'ARSO à l’Hôtel des Mille Collines, Kigali, Rwanda, les 14 et 15 juin 2021
où le Conseil a approuvé 157 nouvelles normes à adopter et des normes internationales à adopter par
notification, comme il est souligné ci-dessous :
Organe technique Total
(1) Sous-comité du CACO/ARSO chargé des règlements techniques 5
(2) CT/ARSO 06, Café, cacao, thé et produits dérivés (1 réunion physique, 15 réunions techniques virtuelles) 3
(3) CT/ARSO 59, Technologie et ingénierie automobiles (21 réunions virtuelles) 36
(4) CT/ARSO 78, Dispositifs et équipements médicaux (14 réunions virtuelles) 76
(5) CT/ARSO 80, Produits pharmaceutiques et médicinaux (14 réunions virtuelles) 37
Total des lignes directrices et normes : A SOULIGNÉ : 157
L’OMC encourage l’harmonisation, l’utilisation d’équivalence et la reconnaissance mutuelle dans les accords sur le libre-échange bilatéraux,
comme la ZLECAf. Les normes qui seront harmonisées par l’ARSO étant comparables aux 4,547 lignes tarifaires SH-6 Les dispositions
de l’Annexe 6 sur les OTC de la ZLECAf relatives à la normalisation, à l’évaluation de la conformité et à l’accréditation montrent le besoin de l’harmonisation
et de la reconnaissance mutuelle entre les États parties, et le rôle de l’ARSO est défini. En tant qu'instrument politique, l'Accord de la ZLECAf, en vertu
de l’Annexe 6 sur les OTC et de l'Annexe 7 sur les Mesures SPS, aborde les questions relatives aux OTC et aux Mesures SPS, et oblige tous les
États parties à s'engager à les éliminer progressivement et appelle à la coopération dans le développement, l'harmonisation et la mise en œuvre
des normes, l'évaluation de la conformité et les thèmes connexes. La réalité est donc que l'ARSO a pour tâche de faciliter l'harmonisation des
normes africaines et des systèmes d'évaluation de la conformité conformément à l'Annexe 6 de l'Accord sur les obstacles techniques au
commerce (OTC) et l'adhésion universelle des pays africains à l'ARSO reste donc un appel lancé aux gouvernements africains.
De la part de l’équipe éditoriale : PLUS JAMAIS - L’Afrique que nous voulons et le monde auquel nous désirons appartenir
En 2013, les États membres de l’UA (UA) ont mis en place une vision
africaine appelée l’Agenda 2063 - L’Afrique que nous voulons - qui
donne les grandes lignes de l’image du continent africain dans les 50
prochaines années par le biais des axes de production de richesses,
d’intégration régionale et de société stable, tous réalisés par les
Africains. En 2015, les États membres de l'ONU ont adopté à
l'unanimité l'Agenda 2030, qui équilibre les dimensions du
développement économique, social et environnemental, soutenu par la
bonne gouvernance. L'Agenda 2063 s'appuie sur les initiatives
continentales passées et présentes, telles que le Plan d'action de Lagos
de 1980 et le Traité d'Abuja de 1991, et vise à en accélérer la mise en
œuvre. Il s'appuie également sur les meilleures pratiques nationales, régionales et continentales dans sa formulation en vue d’atteindre la
croissance et le développement durable. Ces objectifs, avec leurs cibles (l'Agenda 2063 - 20 objectifs avec 174 cibles ; les ODD - 17 objectifs
avec 169 cibles) convergent largement vers le développement du capital social-politique et humain, la croissance économique inclusive, les
sociétés stables, et la normalisation joue un rôle clé pour les atteindre. Les deux programmes mettent l’accent sur une société stable et
pacifique. La visite des délégués de l'ARSO au Mémorial du génocide rwandais le 15 juin 2021 en solidarité avec le gouvernement et le
peuple de la République du Rwanda pour dire PLUS JAMAIS symbolise le rôle de la normalisation dans le rétablissement de l'ordre, de
l'harmonie et de la paix dans les sociétés car les normes touchent tous les secteurs de la vie d'une manière globale, que ce soit la santé, le
commerce, la fabrication, la gouvernance sociale et politique, la finance et le développement économique.
La nécessité de la coopération de tous les pays africains, sous l'égide de l'ARSO, pour que des systèmes de normalisation harmonisés soient en faveur
de la gouvernance des chaînes de valeur régionales africaines pour stimuler le commerce intra-africain comme souhaité dans le cadre du Plan d'action de
Lagos de 1980, du Traité d'Abuja de 1991 et des décisions de la CAMoT de 2014, reste souhaitable et essentielle, étant donné que le continent africain a
commencé à faire des échanges commerciaux dans le cadre d'un marché unique, le 1er janvier 2021 dans le cadre de l'Accord commercial de la ZLECAf.
L'admission finale du Royaume du Maroc en tant que membre de l’ARSO par la 26e Assemblée générale de l'ARSO le 16 juin 2021 et l’examen actuel
d'adhésion des gouvernements de la Somalie, de la Mauritanie, du Tchad et du Mali sont historiques et aussi importants au moment où l’ARSO se prépare
à entrer dans une période de transition se concentrant sur l'année 2022 et au-delà, dans le cadre du Plan Stratégique de l'ARSO pour 2022-2027, et il faut
souligner l'élection de Prof. Alex Dodoo du Ghana en tant que Président désigné de l'ARSO pour le mandat de 2022-2025, tout en notant également la
nomination de l'honorable Alan John Kwadwo Kyerematen, en tant que nouvel ambassadeur de bonne volonté de
la normalisation, et je salue les énormes contributions des ambassadeurs de bonne volonté actuels Son Excellence, Professeur (Mme)
Aminah Gurib-Fakim, ancienne présidente de la République de Maurice, et Son Excellence, Chief Olusegun
Obasanjo, ancien président de la République fédérale du Nigeria. Plus sincèrement, je saisis cette occasion pour
remercier les membres de l'ARSO qui continuent à contribuer avec tant de fierté à la durabilité de l'ARSO, et les
partenaires de développement (présentés dans ce bulletin) pour leur appui sincère aux programmes de l'ARSO.
Nous restons déterminés à coopérer avec nos partenaires internationaux avec lesquels nous avons signé des
protocoles d'entente, au moment où nous envisageons de remplir les engagements de l'ARSO au-delà de l'année 2022. Le gouvernement de la République
du Cameroun et l'ANOR vous souhaitent la bienvenue à la semaine de l'ARSO 2022 (27ème AG de l'ARSO) à Yaoundé au Cameroun en juin 2022.
Normalisation Photos avec le Président de l'ARSO
DE LA PART DU BUREAU DU SECRETAIRE GENERAL : UN REGARD DANS L’AGENDA DU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L’ARSO,
DR. HERMOGENE NSENGIMANA DÉBATS SUR LES POLITIQUES DE NORMALISATION ET DE COMMERCE.
L’ARSO affirme que les obstacles non-tarifaires au commerce, tels que soulignés dans l'Annexe 5 de l'Accord de la ZLECAf, et
notamment les obstacles techniques au commerce associés aux normes et à leurs systèmes
de conformité, constituent l'un des plus grandes menaces qui pèsent sur le commerce entre
les pays africains dans le cadre du marché unique africain. En effet, les performances
relativement médiocres de l'Afrique en matière de commerce intérieur (16%, TRALAC 2016)
et extérieur (3% BAD 2014), par rapport à d'autres régions du monde, en raison des obstacles
techniques au commerce, ont été au centre des débats et des intérêts des dirigeants africains,
des experts commerciaux, des décideurs politiques et de la communauté de la normalisation.
L'optimisme pour l'augmentation du commerce intra-africain associé à l'Accord de la ZLECAf
prend de l'ampleur et est en faveur d'un cadre réglementaire commun, en tirant parti de l'Annexe 6 sur les obstacles
techniques au commerce et de l'Annexe 7 sur les mesures sanitaires et phytosanitaires de l'Accord de la ZLECAf, qui définit
les mécanismes de coopération réglementaire, et l’ARSO, en collaboration avec l'Union africaine, la Commission économique
des Nations unies pour l'Afrique (CEA), les institutions africaines chargées de l'infrastructure de la qualité (AFRIMETS, AFRAC,
AFSEC) et les communautés économiques régionales africaines, les ONN des États membres, les parties prenantes et les
partenaires du développement, a la possibilité et la volonté de faire de la normalisation un pilier essentiel de ce processus.
Par conséquent, l'élimination progressive des obstacles techniques au commerce en Afrique, telle qu'elle est envisagée par
les différentes étapes de l'intégration régionale, notamment dans l'Accord de la ZLECAf, et la coopération entre l’ARSO et les
CER dans le cadre du CGN et du GCC de l'ARSO, restent des stratégies essentielles. Ces réalisations ont eu lieu alors que
l'ARSO continue de se repositionner pour exécuter son mandat au-delà de 2022, et
de faire la transition vers le Plan stratégique de l'ARSO pour 2022-2027, y compris en
matière de leadership et à travers de diverses activités, divers partenariats et
diverses coopérations, comme souligné dans cette édition du bulletin d'information
de l'ARSO, pour relever les défis ayant trait aux OTC en Afrique. Les domaines
prioritaires comprennent l'harmonisation accrue des normes et de l'évaluation de la
conformité (dans les secteurs prioritaires identifiés tels que l'agriculture, les produits
pharmaceutiques et l'industrie automobile), le renforcement des capacités en
collaboration avec les partenaires de développement, les activités de sensibilisation telles que les webinaires de l'ARSO, les
concours de rédaction et les événements de lancement d’activités à caractère normatif dans différents pays. En particulier,
le soutien continu de l'Afreximbank/ITP, de la BAD, de l'Union africaine, de la CEA, du PTB-Allemagne, d’UL Standards, de
l'USAID-ANSI-CPCP. L’appui stratégique des États membres (avec la reconnaissance de nouveaux Directeurs généraux dans
les États membres) reste un pilier clé et il est reconnu et tant apprécié.
Le Secrétaire général de l’ARSO a continué en soulignant le rôle de la normalisation et la nécessité de la
coopération dans les forums politiques internationaux stratégiques.
(i) 16 février 2021 - L’ARSO a participé à la 17ème réunion du Comité conjoint de la PAQI,
discutant, entre autres, d’une meilleure mise en place de l'IQ à la Commission de l'Union
africaine, et de l'accélération de la création du Comité OTC. Les parties prenantes discutent
du mandat de l'unité IQ et des stratégies de mise en œuvre.
(ii) 26 février 2021 - L’ARSO a participé à l’atelier virtuel de la SADC sur les implications de la Zone
de libre-échange continentale africaine sur l'infrastructure régionale de qualité de la SADC. Il
est nécessaire d'aligner l'IQ des CER d'Afrique sur l'Accord de la ZLECAf, et d'assurer une
participation et une contribution significatives.
(iii) 26 février 2021 - L’Atelier du SADC-PTB sur l’Accord de la ZLEC et ses annexes sur le rôle de
l’Infrastructure qualité régionale de la SADC dans la ZLECAf.
(iv) 8 mars 2021 : ARSO a participé à l'événement virtuel organisé par l'UNFSS à l'occasion de la
Journée internationale de la femme 2021, sur le thème « Applying Gender Lens on Sustainability
Standards and Certification Systems in International Trade » (« Application de la dimension
genre dans les normes de durabilité et dans les systèmes de certification utilisés dans le
commerce international ».
(v) 21avril 2021 Le Secrétaire général de l’ARSO est le modérateur du webinaire de l’ARSO sur la
consommation et la production durables (CPD) en Afrique au service du développement
durable : Promotion de la certification de durabilité des produits africains en vue de la
compétitivité. Thème : Consommation et production durables (CPD) en Afrique : Certification
de durabilité des produits africains au service de la compétitivité et du développement
durable.
(vi) 23 avril 2021 - L’atelier virtuel consultatif panafricain sur le Document d'atelier sur les critères
d’admission des produits « Made in Africa » pour les régions EAC, COMESA, SADC.
(i) 28 avril 2021 - Le lancement des normes pharmaceutiques et automobiles de l'ARSO, lors
d'une réunion avec les parties prenantes à Accra, Ghana, en coopération avec la Ghana
Standards Authority.
(ii) 29 avril 2021 - Le Secrétaire général de l'ARSO a rendu une visite de courtoisie au
Secrétaire général du Secrétariat de la ZLECAf, S.E. Wamkele Mene, à Accra, Ghana et ils ont
tenu des discussions sur la mise en œuvre de l'Accord de la ZLECAf, dans le contexte de l'Annexe
6 sur les OTC et de l'Annexe 7 sur les Mesures SPS, ainsi que de l'Annexe 2 sur les règles d'origine et
de l'Annexe 5 sur les ONT, et ils ont souligné le rôle de l'ARSO et des membres.
(iii) 30 avril 2021 - L’atelier virtuel consultatif panafricain sur le Document d'atelier sur les
critères d’admissibilité des produits « Made in Africa » pour les régions CEEAC, CEDEAO, UMA,
CEN-SAD.
9 et 10 mai 2021 – L’ARSO s’est joint à l’Ethiopian Standards Association à l’occasion de la
cérémonie de lancement de l’Ethiopian Standards Training Academy à Addis-Abeba, Éthiopie
et le Secrétaire général a prononcé un discours devant le Forum des Directeurs généraux le 10
mai 2021 sur le rôle de la normalisation dans le développement économique et le rôle de l’ARSO.
Cette cérémonie comprenait également le lancement des normes pour les produits
pharmaceutiques et les automobiles.
(iv) 19 mai 2021 Le Secrétaire général de l’ARSO a joué le rôle de modérateur du webinaire
de l’ARSO sur La Lien entre les obstacles techniques au commerce et les mesures sanitaires et
phytosanitaires (SPS) au service de l’accès au marché : Thème : Échange des produits agricoles
et alimentaires - Connecter les obstacles techniques au commerce (OTC) aux mesures sanitaires
et phytosanitaires (SPS) en vue de l'accès au marché. Annexe 6 sur les OTC, Annexe 7 sur les SPS,
l’Accord de la ZLECAf.
(v) 2 - 4 juin 2021 – L’ARSO s’est joint aux membres du Comité OTC de l’OMC en tant que
membre du Comité OTC de l’OMC. Le 28 mai 2021, l’ARSO a tenu des discussions avec le
Secrétariat du Comité OTC de l’OMC sur le rôle de l’ARSO dans sa contribution à la normalisation
et au commerce en Afrique en vertu des Accords OTC/SPS de l’OMC. L’ARSO prévoit participer
à l’événement public annuel de sensibilisation de l’OMC du 28 au 30 septembre 2021 sur le thème
de l’IQ et la résilience post-Covid en Afrique.
(vi) 3 juin 2021 – Le Secrétaire général de l’ARSO a joué le rôle de modérateur du webinaire
de l’ARSO sur L’ÉVALUATION DE LA CONFORMITÉ ET LE COMMERCE : Traiter les inquiétudes et les
différends relatifs au commerce dans le cadre du marché unique de la ZLECAf et promouvoir les
produits d’exportations de l’Afrique sur les marchés mondiaux - Évaluation de la conformité et
commerce - Moteur ou obstacle technique au commerce.
(vii) 23-25 juin 2021 - La 7e convention de Fairtrade Africa, au cours de laquelle l’ARSO a
souligné le rôle de l'évaluation de la conformité de l’ARSO, y compris la Marque écologique
Afrique et ses normes de durabilité en comparaison avec les ODD 2030 des Nations unies en
Afrique.
(viii) 17 juin 2021 - Le secrétaire général de l'ARSO avec M. Temwa Gondwe d'Afreximbank
lors du lancement officiel des normes automobiles africaines harmonisées avec l’appui des
parties prenantes du secteur automobile au Rwanda, à l'Hôtel Des Mille Collines à Kigali, Rwanda.
Les vidéos de l’ARSO sur YOUTUBE :
https://www.youtube.com/channel/UCLUwRWdcn-p16pFHTEu-hHg/videos
Les réunions hybrides de la 26e Assemblée générale de l'ARSO - Points
importants
L’ARSO a organisé sa 26ème Assemblée générale par le biais d'un système hybride
comprenant la 7ème réunion virtuelle des champions de l'ARSO le 9 juin 2021 ; la réunion
physique du 64ème Conseil de l'ARSO qui s'est tenue à l'Hôtel des Mille Collines, Kigali,
Rwanda, les 14 et 15 juin 2021, et la réunion virtuelle de la 26ème Assemblée générale de
l'ARSO le 16 juin 2021. Les membres de l'ARSO ont salué l'accueil hybride comme historique et
comme une avancée après que l'Assemblée générale ait été reportée, depuis juin 2020, en raison
des règles de lutte contre la propagation de COVID-19. Tenue sous le thème « Le commencement
du commerce entre les pays africains dans le cadre de l'Accord de la ZLECAf : Intensifier le
commerce intra-africain au sein du marché unique par le biais du certificat « une norme - un
essai - accepté partout » L'Assemblée a examiné les programmes de l'ARSO, a élu le nouveau président désigné
de l'ARSO pour le mandat 2022-2025, a souligné la participation des Africains à la normalisation internationale, a
approuvé 157 normes africaines pour adoption, a applaudi les nouveaux partenariats entamés par le biais de
protocoles d'entente et de coopération. La coopération entamée avec le Secrétariat de la ZLECAf dans le contexte
de l'Annexe 5 sur les ONT, de l'Annexe 6 sur les OTC et de l'Annexe 7 sur les mesures SPS est une étape
importante pour garantir un cadre réglementaire commun. La reconnaissance d'initiatives telles que les Critères
d’admissibilité des Produits « Made in Africa », l'élaboration d'une Politique qualité africaine ; le maintien du rôle
stratégique de l'ARSO ; les webinaires mensuels avec des intervenants provenant des parties prenantes locales et
internationales ; la révision des statuts d’adhésion à l’ARSO, avec l'inclusion du statut de membre associée pour
les pays africains à faible PIB ; la garantie de la durabilité de l'ARSO. S.E. Clémentine Mukeka, Secrétaire
permanente du Ministère des affaires étrangères et de la coopération internationale du gouvernement
rwandais, qui a officiellement présidé la cérémonie d'ouverture de la 26e Assemblée générale, a appelé à mettre davantage l'accent sur un cadre
réglementaire commun pour l'Afrique dans le cadre des possibilités offertes par l'Accord de la ZLECAf.
Mise en œuvre de l’Accord de la ZLECAf - Discussions sur le rôle de l’ARSO et les organismes nationaux de
normalisation. Coopération stratégique avec le Secrétariat de la ZLECAf.
16 JUIN 2021 : Admission officielle du Royaume du Maroc en tant que membre de l’ARSO De droite : M. Charles Booto a Ngon, Président de l’ARSO ; S.E. Youssef
Imani, Ambassadeur du Maroc à Kigali, Rwanda, S.E. Clémentine Mukeka, Secrétaire permanente, Ministère des affaires étrangères et de la coopération
internationale ; Gouvernement du Rwanda ; Dr. Hermogène Nsengimana, Secrétaire général de l’ARSO.
Alors que les normes à être harmonisées par l’ARSO sont comparables aux 4.547 lignes tarifaires SH-6 de la ZLECAf
et avec le besoin d’examiner les normes internationales pour approbation en vue de leur adoption par
notification, conformément à l'Annexe 6 sur les OTC de l'Accord de la ZLECAf, les experts en normalisation de
l'ARSO de tout le continent ont poursuivi leurs activités d'harmonisation des normes dans les 15 secteurs
prioritaires et au sein de 82 comités techniques d'harmonisation (CT/ARSO), avec le parrainage de l'ARSO, des
membres de l'ARSO (Côte d'Ivoire et Ghana), des partenaires de la Banque africaine d'import-export
(Afreximbank) et de la Société islamique internationale de financement du commerce (SIFC), qui ont facilité la
participation des experts aux réunions. L’ARSO présente aux membres et aux parties prenantes, y compris le secteur privé, les
normes et les directives techniques suivantes qui ont été approuvées par le 64ème Conseil de l'ARSO le 14 juin 2021, lors de sa session à
Kigali au Rwanda. Ces normes sont disponibles en ligne, par le biais d’accès contrôlé. Le Catalogue de l’ARSO est disponible sur le site
web de l’ARSO à l’adresse : https://www.arso-oran.org/?page_id=49
M. Temwa Gondwe, Directeur (Facilitation du commerce) | Initiative pour le commerce intra-africain, Afreximbank s’adressant aux
parties prenantes du secteur automobile lors du lancement officiel des normes africaines harmonises pour les automobiles à
l’Hôtel des Mille Collines, Kigali, Rwanda. L’Afreximbank finance l’harmonisation de ces normes dans le cadre du CT/ARSO 59
chargé des technologies et de l’ingénierie automobile.
Sensibilisation aux normes ARSO harmonisées
Les parties prenantes à
Le Secrétariat central de l’ARSO continue à mener des Addis-Abeba, Éthiopie, lors
campagnes de sensibilisation sur les normes africaines de la campagne de
harmonisées du secteur automobile et pharmaceutique. sensibilisation aux normes
le 10 mai 2021.
La sensibilisation des parties prenantes a eu lieu à Accra,
Ghana, le 28 avril 2021 et à Addis Abeba, en Éthiopie, le 10
mai 2021. Un programme de sensibilisation similaire a été
organisé le 17 juin 2021 à Kigali, Rwanda, à l'intention des
parties prenantes du secteur automobile. Les parties prenantes à ACCRA,
GHANA, lors de la campagne de
Les normes automobiles africaines devraient faciliter le sensibilisation aux normes le 28
commerce dans l'industrie automobile en Afrique, qui est l'un avril 2021.
des principaux secteurs prioritaires de l'Accord de la
ZLECAf. Ces normes ont été harmonisées sous l'égide du
C/ARSO 59 chargé des technologies et de l'ingénierie
automobiles parrainé par Afreximbank, avec la participation
d'experts africains (États membres de l'ARSO).
Commerce de produits africains : L’analyse technique de l’ARSO et de la CEA sur l’identification des
produits prioritaires et les chaînes de valeur en vue de l’harmonisation de normes en Afrique Et la
facilitation à travers le CGN et le GCC de l’ARSO-CER.
Les normes constituent la base de
l’industrialisation, du commerce et de l’accès au
marché. Comme les consommateurs exigent la sécurité et
l'assurance de la qualité, et avec le soutien des
réglementations gouvernementales, l'accent est mis sur la
qualité et la conformité aux normes, en tant que
déterminant majeur du commerce dans une ZLE, car les
normes et les réglementations techniques définissent ce qui
peut (ou ne peut pas) être échangé, et décrivent les procédures selon lesquelles ces échanges sont ou ne sont pas
autorisés, en fonction des intérêts et des besoins des consommateurs. Avec les perturbations dues à la pandémie
de COVID-19 sur les chaînes d'approvisionnement externes, le désir de produits manufacturés africains,
d'industrialisation et de commerce dans des chaînes de valeur bien établies a été fortement exprimé. L’ARSO et la
CEA (le champion de l’ARSO en matière de chaînes de valeur régionales) ont mené une étude technique sur les
chaînes de valeur en réponse à la demande de l'ARSO et de l'Infrastructure panafricaine de qualité. La
détermination des domaines prioritaires dans lesquels les normes et l'évaluation de la conformité doivent être
harmonisées reste importante pour la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine, comme
le souligne l'Annexe 6 sur les OTC. Cette étude couvre six communautés économiques régionales en Afrique, à savoir
la Communauté de l’Afrique de l’est, le Marché commun de l’Afrique orientale et australe, la Communauté
économique des États de l'Afrique de l'ouest, la Communauté économiques des états d’Afrique centrale, la
Communauté de développement de l’Afrique australe, et l’Union du Maghreb arabe, avec les derniers chapitres
consacrés à l’identification des chaînes de valeur prioritaires sur le continent (et au sein des CER), ainsi que
l’identification des produits prioritaires pour lesquels les normes sont à harmoniser. Lire plus sur la CEA à l’adresse -
https://www.uneca.org/fr/centre-africain-pour-la-politique-commerciale.
Coopération entre l’ARSO et les CER en matière d’harmonisation des normes à travers le CGN et le GCC de l’ARSO (ASHAM,
Articles 5.3 et 5.4 respectivement)
Pour faciliter la coopération en matière d’harmonisation des normes africaines, l’ARSO et
les CER africaines ont créé un Comité de gestion des normes (CGN) et un Groupe consultatif
conjoint de l'ARSO. Le GCC, dont la présidente actuelle est Mme Stella Apolot de l’EAC, est
composé d'un représentant de chacune des huit CER africaines (UMA, CEN-SAD, COMESA,
EAC, CEEAC, CEDEAO, IGAD, SADC),tandis que le CGN, dont le président actuel est M.
Hakim Mufumbiro de l’EAC, est composé d'un représentant de chacune des huit CER
africaines et de l'AFSEC et de six représentants des membres de l'ARSO élus par l'Assemblée
générale de l'ARSO est chargé de coordonner le travail de normalisation de l'ARSO au
niveau des CER et de contribuer à l'identification et à la hiérarchisation des NWIP à élaborer
au niveau de l'ARSO, tout en promouvant l'initiation d'accords de reconnaissance mutuelle dans leurs régions ;
d’encourager tous les États membres des CER à devenir membres de l'ARSO et à participer à l'harmonisation et à
l'adoption des normes africaines ; de servir de lien entre les activités de normalisation de l'ARSO,
le sous-comité OTC de la ZLECAf et les CER en échangeant les plans de travail afin d'éviter la
duplication des travaux ; de suivre les progrès de l'adoption et de la mise en œuvre des normes
et programmes harmonisés ; et de coordonner et de fournir des notifications régionales
concernant les normes africaines harmonisées. Le rôle du CGN est de gérer les procédures et les
programmes d'harmonisation afin qu'ils soient exécutés dans les délais, y compris la gestion des
CT/SC et de traiter des questions de procédures soulevées par les CER, pour les États membres,
et de statuer sur les appels concernant les décisions sur les propositions de nouvelles études, les
projets de comité, les projets d'enquête et les FDARS. Cela signifie qu’il faut harmoniser les normes africaines aux
niveaux national, régional et continental. Lors de la 64e Conseil de l’ARSO, le CGN a présenté au Conseil 157 normes
harmonisées comme il a été indiqué ci-dessus, en vue de l’approbation. Mme Stella Apolot est Haut Responsable
de la normalisation au Secrétariat de la Communauté de l’Afrique de l’est (EAC) basé à Arusha, Tanzanie. M.
Mufumbiro est Coordinateur actuel de la Commission Codex Afrique.
À l’instar des organisations similaires (ISO, ASTML, AFNOR, CEN-CENELEC, SAC-Chine, SIS, INTERTEK, COTECNA), les organismes
nationaux de normalisation et de certification sont en train de jouer un rôle de chef de file pour offrir, gratuitement, les normes et
les services d’évaluation de la conformité nécessaires (Suivre le lien https://www.arso-oran.org/standards-for-covid-19/) pour avoir
de plus amples informations relatives aux fabricants et PME locaux.
LA SÉRIE DE WEBINAIRES DE L’ARSO DE JANVIER EN JUIN 2021 - LE RÔLE DE LA NORMALISATION DANS LA FACILITATION DE LA MISE EN
ŒUVRE DE L’ACCORD DE LA ZLECAf DANS LE CONTEXTE DE L’ANNEXE 6 SUR LES OTC ET L’ANNEXE 7 SUR LES MESURES SPS.
Compte tenu des réalités des restrictions imposées par la pandémie de COVID-19, le
Conseil de l'ARSO, lors de sa 62ème réunion virtuelle, tout en recevant le premier
rapport sur le webinaire de l'ARSO qui s'est tenu le 4 juin 2020, a encouragé le
Secrétariat central à continuer d'organiser des webinaires mensuels de l'ARSO, avec
des intervenants parmi les membres et les parties prenantes de l'ARSO, comme
moyen : De sensibiliser les décideurs, les PME, les producteurs et les
exportateurs à la normalisation dans le cadre de l'Accord de la ZLECAf ; de faire
progresser les programmes et activités de l'ARSO, en particulier
l'harmonisation des normes ; de faciliter la participation des parties prenantes
et des États membres à la mise en œuvre des programmes et activités de l'ARSO
; de mettre en évidence le rôle de la normalisation dans diverses questions
d'actualité liées au développement économique de l'Afrique afin de faciliter le
débat et de promouvoir des solutions et des stratégies pour relever les défis.
Au cours de l’année 2021, quatre (4) webinaires ont été organisés depuis le
17 mars 2021, et six (6) autres sont prévus entre juillet et novembre 2021 avec
des intervenants des États membres de l'ARSO (Afrique du Sud, Zimbabwe,
Cameroun, Maroc, Éthiopie, Nigeria, Ouganda, Rwanda, Tanzanie,
Ghana, Madagascar, Égypte, Sénégal) et des parties prenantes et du
secteur privé (Afreximbank, CEN-CENELEC, OMC, CNUCED, CEA, CUA,
PAQI (Présidente), AUDA-NEPAD, NRCS-Afrique du Sud, Intertek, Nestle
East and Southern Africa, Secrétariat de l’EAC, Secrétariat de la ZLECAf, KATS Corée, ASTM International, UU/CEE,
PTB-Allemagne, AFROCHAMPIONS, OAPI, COTECNA, ONUDI, Kamuthanga Fish Farm, Quarcoo Initiative Ltd, Rwanda
Volkswagen Company Ltd. , CODEX, GSO- - Organisation de normalisation du CCG, Fairtrade Africa, Six Sigma Green
Belt-Sénégal.).
21 AVRIL 2021 - WEBINAIRE DE L’ARSO SUR LA CONSOMMATION ET PRODUCTION DURABLES (CPD) EN AFRIQUE AU SERVICE DU
DÉVELOPPEMENT DURABLE : Promotion de la certification de durabilité des produits africains en vue de la compétitivité. Thème :
Consommation et production durables (CPD) en Afrique : Certification de durabilité des produits africains au service de la
compétitivité et du développement durable
Avec l'adoption par l'ONU de l'Objectif 12 des ODD 2030 relatif la consommation et à la
production responsable, la nécessité de passer à une consommation et à une production
plus durable (CPD) a été placée au cœur des documents de politique et des stratégies de
développement durable. La consommation et la production mondiales, un des moteurs de
l'économie mondiale, reposent sur l'utilisation de l'environnement et des ressources
naturelles d'une manière qui devrait avoir peu d'impacts négatifs sur la planète. La
dégradation des terres, la baisse de la fertilité des sols, l'utilisation non durable de l'eau, la
surpêche et la dégradation du milieu marin sont autant de facteurs qui réduisent la
capacité de la base de ressources naturelles à soutenir les moyens de subsistance. Pour
cette raison, on aspire de manière croissante aux biens et aux services qui favorisent la
durabilité. Conscients de ce fait, les gouvernements africains, lors du sommet de
Johannesbourg en 2002, ont appelé à l'élaboration d'un cadre décennal de programmes
(10-YFP) pour soutenir les initiatives régionales et nationales visant à accélérer le passage à
des modes de consommation et de production durables qui favoriseraient le
développement social et économique dans les limites de la capacité de charge des
écosystèmes. Pour l'avenir, les dirigeants africains, dans le cadre de l'Agenda 2063, aspirent,
dans l'aspiration 1, à une Afrique prospère fondée sur une croissance inclusive et un
développement durable, avec une production, une productivité et des ajouts de valeur
durables accrus, dans des secteurs clés comme l'agriculture où l'environnement et les
écosystèmes sont sains et préservés, avec des économies et des communautés résistantes
au climat.
Les mesures relatives aux obstacles techniques au commerce (OTC) et aux normes et réglementations
sanitaires et phytosanitaires (SPS) sont devenues des dimensions importantes du commerce, et les
gouvernements veulent agir par le biais de leurs accords commerciaux préférentiels (ACP), ainsi que par
le biais de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), pour répondre aux demandes des
consommateurs en matière de produits sûrs et de qualité et de protection de la vie ou de la santé humaine,
animale ou végétale. L'accord OTC reconnaît qu'aucun pays ne doit être empêché de prendre des
mesures (règlements techniques, normes, procédures d'évaluation de la conformité) ; mais il garantit que
ces mesures ne créent pas d'obstacles inutiles au commerce et doivent être fondées sur des informations
et des preuves scientifiques. Les règlements techniques et les normes relatifs aux OTC définissent les
caractéristiques spécifiques d'un produit, telles que sa taille, sa forme, son design, ses fonctions et ses
performances, ou la manière dont il est étiqueté ou emballé avant sa mise en vente. L'accord OTC
(obstacles techniques au commerce) couvre tous les règlements techniques, les normes volontaires et
les procédures visant à garantir leur respect, sauf lorsqu'il s'agit de mesures sanitaires ou phytosanitaires
telles que définies par l'Accord SPS. L'Accord SPS, est entré en vigueur avec la création de l'Organisation
mondiale du commerce le 1er janvier 1995, qui concerne l'application des réglementations relatives à la sécurité alimentaire et à la santé animale et végétale, reconnaît que
« les Membres ont le droit de prendre les mesures sanitaires et phytosanitaires nécessaires à la protection de la santé et de la vie des personnes et des animaux ou à la
préservation des végétaux, à condition que ces mesures ne soient pas incompatibles avec les dispositions du présent accord ». La Banque africaine de développement (BAD)
a lancé la stratégie « Nourrir l'Afrique - Plan d'action pour la transformation de l'agriculture africaine », qui vise notamment à faire de l'Afrique un exportateur net de denrées
alimentaires, à placer l'Afrique au sommet des chaînes de valeur orientées vers l'exportation où elle possède un avantage comparatif et, surtout, à investir dans les
infrastructures régionales et à renforcer le dialogue politique pour éliminer les barrières commerciales. La politique réglementaire de l'ARSO en faveur de la simplicité, de la
transparence (Annexe 6 sur les OTC, article 11), de l'harmonisation (article 5), de l'équivalence des réglementations et des accords de reconnaissance mutuelle, complétée
par un renforcement des capacités et une sensibilisation accrue (conformément à l'annexe 6 sur les OTC, article 5) parmi les décideurs africains, les institutions, les
consommateurs, les commerçants et les citoyens africains, sont des stratégies pour relever le défi relatif aux OTC dans le commerce et la productivité agricoles de l'Afrique,
tout en favorisant des normes africaines harmonisées et des systèmes d'évaluation de la conformité dans la gouvernance des chaînes de valeur régionales agricoles, dans le
cadre de l'Accord de la ZLECAf. Cela facilitera également la mise en œuvre de l'Accord de la ZLECAf dans les activités des comités OTC (Annexe 6, article 13) et SPS
(annexe 7, article 15), afin de relever le défi de mesures OTC et SPS en Afrique.
23 Juin 2021 - ÉVALUATION DE LA CONFORMITÉ ET COMMERCE : Traiter les inquiétudes et les différends relatifs au commerce dans
le cadre du marché unique de la ZLECAf et promouvoir les produits d’exportations de l’Afrique sur les marchés mondiaux -
Évaluation de la conformité et commerce - Moteur ou obstacle technique au commerce. L'importance de la normalisation repose sur le
fait que les normes et les règlements techniques définissent ce qui peut (ou ne peut pas) être échangé, et décrivent les procédures selon lesquelles ces
échanges sont ou ne sont pas autorisés, ce qui est renforcé par l'évaluation de la conformité. Les normes et les exigences d'évaluation de la conformité
« stipulent ce qui peut ou ne peut pas être échangé et définissent les procédures qui doivent être suivies pour que l'échange ait lieu » (Brenton (2004)).
Une norme, utilisant les dimensions et les tolérances, ne peut pas être définie sans référence aux mesures fiables. Les mesures doivent, à leur tour, être
normalisées au niveau international pour éviter de coûteuses équivalences. Un produit doit être soumis à un essai afin de déterminer sa conformité aux
exigences définies dans les normes ou règlements techniques. La compatibilité internationale exige que les procédures d'essai soient normalisées et elle
également est basée sur des mesures fiables. L'accréditation, fondée sur des normes harmonisées ou internationales, est la procédure par laquelle
l'ensemble du processus devient fiable et digne de confiance, ce qui favorise le commerce international et la compétitivité. L’évaluation de la conformité
dépend de l’existence de normes non ambiguës par lesquelles les produits, les procédés et les services sont évalués. L'évaluation de la conformité renforce
la valeur des normes en augmentant la confiance des acheteurs, des utilisateurs et des autorités réglementaires dans la conformité réelle des produits aux
normes revendiquées. L’évaluation de la conformité sert de pont entre les normes et le marché. L’évaluation de la conformité (essai, inspection et
certification) évalue la conformité d’un produit aux normes et aux règlements techniques. À cet égard, les procédures d'évaluation de la conformité sont
directement liées au fonctionnement efficace des systèmes et marchés industriels et commerciaux. Par conséquent, même lorsque les normes des
différents pays ont été harmonisées, la libre circulation des échanges est entravée si les produits sont soumis à des exigences redondantes en matière
d'essais et de certification sur plusieurs marchés d'exportation. Par conséquent, lorsqu'elle est appliquée correctement, l'évaluation de la conformité aide
les entreprises à améliorer leur compétitivité et à faciliter le commerce, car les clients ont plus de confiance dans les biens et services achetés. L’OMC
encourage l’harmonisation, l’utilisation d’équivalence et la reconnaissance mutuelle dans les accords sur le libre-échange bilatéraux, comme la
ZLECAf. La reconnaissance mutuelle des systèmes d'accréditation et de certification facilite l'accès aux marchés nationaux et
internationaux ; elle fournit la base technique du commerce national et international en favorisant la confiance des parties prenantes
transfrontalières et l'acceptation des données d'essai accréditées et des résultats certifiés, et elle contribuera à faciliter la libre circulation
des biens et des services et la réduction des coûts, comme le prévoit le protocole de la ZLECAf. Le programme continental d'évaluation de la
conformité de l'ARSO (ACAP), sous l'égide du Comité d'évaluation de la conformité de l'ARSO (CACO/ARSO), vise à établir divers outils et à renforcer les
capacités en matière de bonnes pratiques d'évaluation de la conformité (essais, certification,
inspection, surveillance du marché, accréditation et étalonnage des laboratoires).
Le Conseil de l’ARSO a également reconnu les ambassadeurs de bonne volonté actuels de l'ARSO, Son Excellence, Prof.
(Mme) Aminah Gurib-Fakim, ancienne présidente de la République de l’île Maurice, et Son Excellence, Chief Olusegun
Obasanjo, ancien président de la République fédérale du Nigeria, ce dernier étant reconnu comme ayant facilité la coopération entre l'ARSO et l'Afreximbank
et la BAD, et Son Excellence Aminah Gurib-Fakim état reconnu pour avoir promu l'infrastructure de qualité et l'ARSO au sein de l'UA et des plateformes
des dirigeants africains.
Dans ce cadre, l’Ethiopian Standards Association (ESA), lors d'une cérémonie à laquelle a également
participé le Secrétaire général de l'ARSO, le Dr Hermogène Nsengimana, a lancé l’ESA Standards
Academy à Addis-Abeba, en Éthiopie, le 9 mai 2021, dans le but de renforcer les capacités des
ressortissants éthiopiens dans le domaine de la normalisation et de faciliter l'intégration de
l'enseignement universitaire dans le domaine de la normalisation dans le système éducatif national
éthiopien. Dr. Nsengimana a souligné la nécessité de parvenir à une meilleure inclusion de la
normalisation dans les processus d'éducation et d'apprentissage en Afrique en améliorant et
en étendant les activités actuelles de manière systématique et avec la participation des parties prenantes du domaine de l'éducation et des ministères concernés,
ce qui nécessite (i) l'intensification des activités et de la visibilité de l'éducation en matière de normalisation, avec un leadership, un engagement et une
coordination accrus en conséquence, et une sensibilisation continue ; (ii) la participation de multiples parties prenantes (entreprises, employés, ministères de
l'éducation, universités, étudiants, autorités de réglementation et décideurs, et organismes de normalisation (nationaux, régionaux et internationaux)) ; (iii)
l'accroissement des synergies et le soutien à la coopération pour assurer la cohérence du programme et des efforts de normalisation ; (iv) le renforcement des
capacités en fournissant une expertise technique, les meilleures pratiques, des manuels de formation des formateurs et du matériel didactique ; (v) la collaboration
avec les systèmes d'éducation et les autorités publiques responsables dans les États membres (engager les ministères concernés, les éducateurs, le monde
universitaire pour qu’ils intègrent la normalisation dans l'éducation et l'apprentissage tout au long de la vie) ; (vi) la participation des groupes cibles (inspirer et
faire participer les élèves, les étudiants, les DG, les gestionnaires et les employés ainsi que les enseignants et les formateurs aux normes et à la normalisation),
(vii) la participation des ONN et les experts techniques pour faciliter l'élaboration de matériel didactique aux niveaux national, régional, continental et international
; (viii) et la participation des utilisateurs des normes, des organisations, des entreprises (PME et entreprises africaines) pour lesquelles les normes et la
normalisation sont importantes. Le Secrétaire général a rappelé que l'ARSO s'est engagé, à travers son programme d'éducation en matière de normalisation, à promouvoir
et à soutenir l'enseignement de la normalisation en Afrique. L’ARSO a déjà élaboré un Document de politique générale et un programme d'enseignement continental en vue
de leur intégration dans les systèmes éducatifs africains, et a également signé des protocoles d'entente avec certaines universités africaines, dont l'Université du Zimbabwe
et la Catholic University of East Africa, à Nairobi, au Kenya, afin de faciliter l'intégration de l'enseignement de normalisation dans leurs systèmes éducatifs. Cette initiative
s'ajoute au concours annuel de rédaction de l'ARSO, lancé en 2013, qui permet déjà d'introduire l'enseignement de la normalisation dans les universités africaines.
CONCOURS DE RÉDACTION COMME STRATÉGIES DE PROMOUVOIR UNE MEILLEURE
COMPRÉHENSION DES AVANTAGES DE LA NORMALISATION CHEZ
LES JEUNES
La normalisation en Afrique ne peut pleinement déployer son potentiel bénéfique que si les acteurs concernés
(autorités réglementaires, décideurs, secteurs de l'éducation, organismes de normalisation, entreprises,
consommateurs, utilisateurs et autres groupes d'intérêt) sont en mesure de prendre des décisions
appropriées et de mener leurs activités de normalisation de manière professionnelle et efficace. L'intégration
et l'introduction par les établissements d'enseignement du cours de la normalisation et du cadre réglementaire
connexe dans les programmes d'études et les systèmes d'éducation nationale en Afrique, en particulier dans les
universités, restent une priorité essentielle, et les concours de rédaction de l'ARSO, lancés en 2013, constituent un
pas en avant dans la bonne direction à cet égard. Approuvé à l'origine par le 49e Conseil de l'ARSO qui s'est tenu
les 14 et 15 novembre 2013 à Nairobi, Kenya, dans le cadre de la Journée africaine de la normalisation, le Concours
a lieu sous les thèmes qui sont basés sur les thèmes de l'année de l'UA. Le 8e Concours s’est tenu sous le
thème « Le rôle de la normalisation dans la promotion des arts, de la culture et du patrimoine - L’économie
créative ». Ce thème est basé sur le thème de l’UA pour l’année 2021, à savoir « L’année de l’UA des arts, de
la culture et du patrimoine » tel que déclarée par les chefs d’états et de gouvernement de l’UA. La 37e
session ordinaire du Conseil exécutif, qui s'est tenue virtuellement les 13 et 14 octobre 2020, a officiellement déclaré l'année 2021 Année des arts, de la
culture et du patrimoine de l'UA et a adopté le thème de l'Union africaine pour 2021 « Arts, culture et patrimoine : Leviers pour construire l'Afrique
que nous voulons. » Ce thème est en conformité également avec l'aspiration 5 de l'Agenda 2063 - une Afrique dotée d'une forte identité, de valeurs et
d’une éthiques culturelles fortes. Dans le cadre de ce thème, l'UA encourage les pays africains à allouer les ressources nécessaires et à mettre en œuvre
les politiques et programmes pertinents en vue d'établir un secteur des industries créatives plus solide et durable.; à renforcer le plaidoyer en vue de la
ratification de Charte de la renaissance culturelle africaine de 2006 (qui, à ce jour, a été signé par 34 pays et ratifié par seulement 14 des 55 États
membres) ; la sauvegarde, l'organisation, la production, le marketing, la distribution, l'exposition et la préservation des industries culturelles et
créatives africaines, ainsi que la facilitation de la mise en œuvre u Plan d’action de Nairobi de 2005 sur les industries culturelles et créatives en
Afrique, L’ONU, en vertu de sa RÉSOLUTION 74/198 (A/C.2/74/L.16/Rev.1 - E - A/C.2/74/L.16/Rev.1 -Desktop (undocs.org))- a proclamé l’année
2021 l’Année internationale de l’économie créative au service du développement durable. L’Organisation des Nations Unies insiste sur la nécessité
d'aider les pays en développement et les pays en transition à diversifier leur production et leurs exportations, notamment dans les nouveaux domaines de
croissance durable, y compris les industries créatives.
Compétitivité des PME - L’UE organise des concours de rédaction pour les jeunes des PME : Leçons pour l’Afrique
dans le cadre de l’Expo « Fabriqué en Afrique ».
REPOSITIONNER L’AFRIQUE POUR QU’ELLE TIRE PARTI DE LA NORMALISATION À TRAVERS LES PE SIGNÉS
26 mars 2021 - ISO
Avec la mondialisation et la libéralisation des échanges, les normes internationales ont continué à être à la base des systèmes commerciaux internationaux,
dans lesquels l'Afrique est progressivement devenue un acteur clé, d'où la nécessité de positionner officiellement le continent pour qu'il participe activement
aux systèmes et organisations de normalisation internationale, comme l'ISO, la CEI et l'UIT, en tenant compte des
priorités et intérêts clés de l'Afrique dans le processus de normalisation pour le développement durable, et dans le
contexte de l'Accord de la ZLECAf et de l'Accord OTC de l'OMC. C'est à cet égard que, le 26 mars 2021, l’ARSO,
représentée par le Secrétaire Général, Dr. Hermogène Nsengimana, a finalement signé un protocole d'entente (PE)
avec l'Organisation internationale de normalisation (ISO), représentée par Sergio Mujica, Secrétaire Général, qui vise
à renforcer la coopération entre l'ISO et l’ARSO et par extension les membres de l'ISO dans les pays africains. Ce
protocole d'entente vise à renforcer le soutien aux activités de l'ISO et à améliorer la capacité des membres de l'ARSO,
qui sont également membres de l'ISO, à participer efficacement à ces activités ; à améliorer la qualité et la capacité de
la normalisation dans les pays africains mais surtout à soutenir le commerce libre et équitable dans la région de l'Afrique
et avec le reste du monde, en particulier dans le contexte de l'Accord de la Zone de libre-échange continentale africaine
(ZLECAf).
En tenant compte du fait que 41 pays africains sont membres de l'ISO, et que l'Afrique du Sud et le Zimbabwe sont
membres du Conseil de l'ISO et que le président actuel de l'ISO, M. Eddy Njoroge, a confirmé, à la 26e assemblée de
l'ARSO, le 16 juin 2021, l'engagement de l'ISO à mettre en œuvre ce protocole d'entente, la signature de ce protocole
d'entente a lieu à un moment important pour la région. Les pays africains ont commencé à faire des échanges commerciaux
entre eux dans le cadre du marché unique africain le 1er janvier 2021, et dans le cadre de l'Accord de la ZLECAf, qui est
entré en vigueur le 31 mai 2019, et qui a été signé par 54 pays sur 55 et ratifié par 38 pays africains (dont 27 sont membres
de l'ARSO) et dans lequel le rôle des normes internationales, parallèlement aux normes africaines harmonisées, a été
souligné. Dans l'Accord de la ZLECAf, en vertu de l'Annexe 6 sur les OTC, les États parties sont tenus d'élaborer et de promouvoir l'adoption et/ou
l'adaptation des normes internationales (article 6, a) et d'utiliser les normes internationales et/ou des parties de celles-ci comme base pour les règlements
techniques (article 7, b), les procédures d'évaluation de la conformité (article 8, b), l'harmonisation des mesures sanitaires ou phytosanitaires (Annexe 7,
article 8, 1), et pour les formalités et procédures d'importation, d'exportation ou de transit (Annexe 4, article 5, 1). L’ARSO reconnaît que le protocole
d'entente est une stratégie clé pour soutenir le renforcement des capacités des infrastructures de normalisation et d'évaluation de la conformité et
l'assistance technique dans les États membres de l’ARSO et pour la mise en œuvre de la stratégie de l’ISO pour 2030 et du Plan d'action de l'ISO pour les
pays en développement (APDC) sur la base des programmes associés de l'ISO (CASCO, COPOLCO, DEVCO et REMCO) et de l'ARSO (CACO, COCO,
Harmonisation des normes, Éducation, DISNET) et dans le contexte de la politique d'engagement régional de l'ISO .. Une équipe ISO-ARSO continue de
se consulter sur les stratégies de mise en œuvre par le biais de réunions virtuelles.
Êtes-vous au courant des ateliers webinaires sur le renforcement des capacités de l’ARSO et des cours de formation
avec le PTB, l’ANSI et l’UL Standards ?
Infrastructure de qualité pour l’Afrique - Activités de renforcement des capacités financées par le PTB
Le renforcement des capacités de PTB est entrepris dans le cadre du projet « Amélioration de l'infrastructure de qualité en Afrique » dans
le contexte de la coopération technique avec la Commission de l'Union africaine - Département du commerce et de l'industrie (CUA-DTI) et
les organisations de l'infrastructure panafricaine de qualité (PAQI) (AFRAC, AFRIMETS, AFSEC et ARSO) et comprend :
(i) Un cours consacré aux concepts d'hygiène, aux risques de contamination croisée et à la
validation du nettoyage (cGMP) pour les fabricants pharmaceutiques et les régulateurs -
dans le contexte de la pandémie COVID-19, réalisé en mai 2021, dans le but de fournir des
informations sur les voies de transmission possibles du nouveau coronavirus SARS-CoV-2
dans le contexte professionnel et de recommander des concepts d'hygiène pour les sites
de fabrication pharmaceutique, et dans le contexte de la préparation à la pandémie COVID-
19 pour les lieux de travail ; ainsi que de fournir des informations pratiques et des
connaissances approfondies sur les risques de contamination croisée et la validation du
nettoyage pour la fabrication de médicaments de qualité, en se concentrant sur les bonnes
pratiques de fabrication actuelles (cGMP). Le cours s'est concentré sur les normes et les
exigences cGMP de l'OMS, l'une des plus importantes BPF. La nouvelle approche des
limites d'exposition fondées sur la santé (HBEL) dans la validation du nettoyage a
également été examinée.
(ii) Infrastructure de qualité au service du développement durable (QuISP) ‐Un cours de
formation visant à renforcer la coopération et le commerce en Afrique
- Avril – août 2021). Ce cours de formation utilise un concept unique
pour mener une sensibilisation et donner une initiation à l'infrastructure
de qualité. Le cours est pour 20 jeunes professionnels travaillant dans
des institutions liées aux négociations et aux accords commerciaux,
comme les ministères du commerce, les organisations de promotion du commerce et les chambres d'industrie et de
commerce en Afrique. Il est prévu pour se dérouler d'avril à août 2021 et se compose d'une phase préparatoire, d'un
événement de lancement du 19 au 23 avril 2021, d'une phase d'apprentissage en ligne de quatre mois guidée par un tuteur
du 26 avril au 20 août 2021, et d'un atelier final, qui aura lieu en Allemagne, s'il est possible de s’y rendre : Du 23 au 27 août
2021 Mme Kathrin Wunderlich (sur la photo) est Coordinatrice du Projet de PTB, Coopération internationale en Afrique sub-
saharienne.
On reconnaît également qu'en Afrique, les cadres réglementaires pour les cosmétiques et les produits de soins personnels ne sont pas harmonisés, ce qui
limite le commerce transfrontalier en raison des OTC découlant des différentes normes et réglementations techniques et des systèmes d'évaluation de la
conformité. Pour ce qui est de l'avenir, dans le cadre de ses activités de normalisation, de la chimie et du génie chimique, et du secteur des services, le
CT/ARSO 40, Cosmétiques et produits connexes, le CT/ARSO 72, Cosmétologie et bien-être, l’ARSO a lancé diverses procédures de normalisation et
d'évaluation de la conformité pour faciliter l'harmonisation des normes dans ce secteur et les bonnes pratiques de fabrication, afin que le secteur africain
des cosmétiques puisse s'appuyer sur des systèmes réglementaires conformes aux meilleures pratiques internationales, et encourager progressivement
les fabricants locaux à adopter ces meilleures pratiques et à stimuler l'exportation de ces produits au niveau national et mondial.
Depuis 2020, l'ARSO et l'ANSI, en collaboration avec l'USAID et le PCPC, ont lancé des ateliers de renforcement des capacités sur les meilleures pratiques
mondiales pour le secteur des cosmétiques, par le biais d'une série de formations en ligne qui visent à soutenir les efforts de l'ARSO dans la mise en place
des normes africaines harmonisées pour les secteurs des cosmétiques et des soins personnels, dans le cadre du CT/ARSO 40 - Cosmétiques et produits
connexes, et du CT/ARSO 72 - Cosmétologie et bien-être. Grâce au soutien de Standards Alliance, la série comprend environ dix sessions de formation
virtuelle de 90 minutes et une session thématique. M. David Jankowski (sur la photo) est la personne de contact de l’ANSI et continue à jouer un
rôle clé.
Éthiopie/ESA : 9 mai 2021. Lors d'une cérémonie présidée par le vice-premier ministre et ministre des affaires
étrangères, Demeke Mekonnen, l'Ethiopian Standard Agency, ESA, a inauguré un centre de formation de pointe. Le
centre, qui comprend 16 salles de classe et
40 chambres, devrait assurer une formation
en vue de créer des services efficaces dans
le domaine de la normalisation. Cette
académie mènera des activités de
recherche pour les pays d'Afrique de l'Est et
apportera son soutien à divers
établissements d'enseignement supérieur,
au-delà de la formation. Le vice-premier
ministre a souligné la nécessité de construire
une économie compétente avec le soutien
de systèmes de normes de qualité dans les
secteurs qui nécessitent l'application de
technologies simples et complexes,
reconnaissant que l'Académie améliorera
les normes de qualité des produits
éthiopiens. Pour sa part, le ministre du
commerce et de l'industrie, Melaku Alebel, a souligné la nécessité d'une formation efficace en matière de
normalisation en raison de son importance dans la facilitation du commerce sur les marchés locaux et
internationaux. Le centre aidera l'Éthiopie à être compétitive dans l'industrie numérique et les pays africains en tirera
parti dans le domaine des normes et de la qualité. Le Secrétaire général de l'ARSO, Dr. Hermogène Nsengimana, à
gauche sur la photo, qui a participé à l’événement, a noté que l'Académie sera importante pour le continent dans
le contexte de la mise en œuvre de l'Accord de la ZLECAf, où l'Annexe 6 sur les OTC souligne la nécessité de renforcer
les capacités des experts africains en normalisation.
Zanzibar/ZBS : Le Zanzibar organise la cérémonie de reconnaissance et de remise des prix du Concours de rédaction
16 juin 2021 : Lors d'une cérémonie présidée par M. Omar Said Shaaban, ministre du commerce et du
développement industriel,
le Zanzibar Bureau of
Standards (ZBS) a tenu sa
cérémonie de
reconnaissance et de
remise des prix aux lauréats
du concours national de rédaction, au cours de laquelle les lauréats
ont reçu des certificats et des prix sous forme d’argent. Le Zanzibar
fut l’un des membres de l’ARSO qui ont participé aux 8e Concours
de rédaction sous le thème « Le rôle de la normalisation dans la
promotion des arts, de la culture et du patrimoine » - L’économie
créative. Le thème du concours de rédaction était basé sur le fait
que l'UA a déclaré 2021 Année de l'UA pour les arts, la culture et le
patrimoine, sous le thème « Arts, culture et patrimoine : Leviers pour construire l’Afrique que nous voulons », lors de
l’Assemblée générale des Chefs d’états de l’Union africaine à Addis Abeba, Éthiopie, le 9 février 2020, et dans le
contexte de l’Aspiration 5 de l’Agenda 2063 - Une Afrique dotée d’une identité, de valeurs et d’une éthique
culturelles fortes. L’appel lancé pour un plaidoyer accru pour la ratification de la Charte de la renaissance culturelle
africaine (qui, à présent, a été ratifiée par 14 pays sur 55 états membres) et la mise en œuvre du Plan d’action de
Nairobi de 2005 sur les industries culturelles et créatives en Afrique qui, entre autres, appelle les états membres à
mettre un accent sur la production et à mettre en place des mécanismes de normalisation et d’assurance qualité
afin de garantir la compétitivité de l’économie créative africaine. Le rôle de la normalisation est d'assurer la
compétitivité de l'économie créative africaine grâce à des
produits sûrs et de qualité, un meilleur accès au marché, la mise
en place de chaînes de valeur régionales et le renforcement
des capacités des PME pour qu’elles soient compétitives. Le rôle
de la normalisation est d'améliorer la commercialisation des
créations culturelles et artistiques africaines, en abordant des
questions telles que les règles d'origine et la propriété
intellectuelle qui découlent d'une mauvaise protection des
droits d'auteur et des marques commerciales et de la tendance
à l'"appropriation culturelle" qui en résulte pour les inventions et
les objets culturels africains. Dans son message aux participants,
Mme RAHIMA A. BAKAR (à droite), Directrice générale de ZBS, a
félicité les participants, et a souligné le rôle de la normalisation
en tant que facteur clé de l’industrialisation et du commerce en
Afrique. https://www.zbs.go.tz/gallery#pid=1.
TANZANIE/TBS :16 mai 2021 : La Tanzanie a organisé la cérémonie de reconnaissance et de remise des prix du concours national de
rédaction le 16 mars 2021. Ce concours a attiré 214 étudiants de 32 établissements d'enseignement supérieur du pays. Au total, dix
étudiants sont sortis vainqueurs et ont reçu divers prix,
notamment des certificats et des sommes d'argent allant de 300
000/- à 1,3 million. Il s'agit de Maina Masole (SUA), Godfrey
Matiko (SUA), Kija Migele (MUST), Erwin Tadeu (Mzumbe),
Helena Ambele (Tudarco), Jamila Licholile (UDOM), Frank
Joseph (UDOM), Elizabeth John (UDSM), Mbonea Mbwambo
(MUHAS) et Godrick Bunga (Udom). M. David Ndibalema de
TBS a félicité les étudiants tout en notant que la journée avait
été prise au sérieux par le TBS comme une occasion de
sensibiliser les étudiants aux questions relatives au respect des
normes. Il a déclaré que le thème de cette année rappelle à la
nation qu'elle doit s'assurer que le processus de préparation et
de gestion de sa mise en œuvre dans les différents secteurs est
réalisé en impliquant les parties prenantes, y compris celles
concernées par la culture, les arts et le patrimoine. S'exprimant lors de l'événement, le directeur des normes par intérim, Hamis Mwanasala,
a déclaré que l'objectif principal de cette journée était d'éduquer les gens sur l'importance des normes en vue d’améliorer leur vie par la
qualité de leurs biens, la santé et la sécurité. Il a dit que le bureau organisait des concours de rédaction sur le thème de l'année en cours
afin de mesurer la compréhension des étudiants sur les questions liées aux normes et à la normalisation. Il a ajouté que le concours permet
au TBS d'évaluer dans quelle mesure les citoyens comprennent l'importance des normes et ce qui doit être fait en matière de renforcement
des capacités, notamment pour que les étudiants comprennent l'importance des normes dans leur vie. L'étudiant qui a remporté le concours,
M. Maina Masole, a félicité le TBS pour avoir lancé l'idée, ajoutant que le concours de rédaction encourage et améliore la compréhension
des questions liées aux normes. Chief Judge, Dr Michael Karani, a salué la réponse des universités en faisant remarquer qu'elle était bonne
et il a exhorté la direction de TBS à étendre ce type de concours aux élèves des écoles primaires. Pour de plus amples informations :
https://www.tbs.go.tz/news/10-students-won-tbs-essay-competition
Bénin/ANM - 20 mai 2021. Semi-marathon et Marche ANM de Bonne Santé). Comme tous les pays du monde,
le Bénin a célébré, le 20 mai 2021, la Journée mondiale de la métrologie avec
le personnel de l'Agence nationale de normalisation, de métrologie et du
contrôle qualité (ANM) qui a participé à différentes activités sportives et à une
marche pour la santé, baptisée « Semi-marathon et Marche ANM de Bonne
Santé » Le directeur général de l'ANM a souligné l'importance de l'événement
en insistant sur les avantages pour la santé, notamment la prévention des
maladies cardiovasculaires et la promotion de la
santé physique, mentale et psychologique. Le
même jour, ANM a facilité l'étalonnage gratuit des
équipements de laboratoire au CNHU, Dieudonné
Gnonlonfoun, Soins de santé, à Cotonou au Bénin, où le
Directeur général, M. Gabin a souligné la nécessité d'un
équipement de laboratoire efficace pour des résultats de tests fiables, le diagnostic
comme une base pour les prescriptions médicales par les médecins pour éviter les
décès accidentels en raison de faux diagnostics. Mme Shadiya Alimatou ASSOUMAN,
Ministre de l'industrie et du commerce (MIC), a souligné l'importance de la sensibilisation sur le rôle important que les
mesures jouent dans la santé et le bien-être de tous, et le rôle important de l'ANM, qui est responsable de la mise en
œuvre et du suivi et de l’évaluation de la politique nationale de normalisation, de métrologie, de certification, de
vérification des produits et de promotion de la qualité.
Ghana, GSA – La Ghana Standards Authority présente ses plans d'expansion nationale lors d'un événement au cours
duquel une délégation conduite par Professeur Alex Dodoo, Directeur général de la GSA, a ouvert des bureaux à
Chache, dans le district de Bole, dans la région de Savannah, ainsi
qu'à Damango, Nalerigu et Techiman. Sous la direction du Prof
Dodoo, depuis juin 2017, et conformément à la vision du
gouvernement, la Ghana Standard Authority a intensifié ses efforts de
décentralisation de ses opérations à travers le pays. Les autres
nouvelles régions seront prises en charge au début de l'année
prochaine. L’autorité a déjà des bureaux dans les 10 régions.
S'adressant aux participants à une brève cérémonie à Chache,
Professeur Dodoo a déclaré : « La présence de cette délégation de
haut niveau devrait vous montrer à quel point nous prenons cette
activité au sérieux. Ce bureau peut sembler être tout petit, mais il est
symboliquement très important. Le Ghana est le pays hôte du
Secrétariat de la ZLECAf. L'Accord de la ZLECAf devrait stimuler le
commerce intra-africain, la normalisation et les organismes nationaux de normalisation, comme la GSA, sont appelés
à jouer un rôle clé.https://asaaseradio.com/news/ghana/ghana-standards-authority-rolls-out-nationwide-
expansion-plans/. Sur cette photo d'archive, la GSA, représentée par Professeur Dodo, signe un protocole d'entente
avec Nestlé. Cet accord de partenariat public-privé vise à améliorer l'alignement des méthodes d'analyse en
laboratoire et le renforcement des capacités en matière d'essais en laboratoire des produits alimentaires afin
d'améliorer les normes de sécurité et de qualité des produits.
Promotion de l’adhésion universelle à l’ARSO L'annexe 6 sur les OTC de l'Accord de la ZLECAf, en vertu
de l'article 6 sur la coopération en matière de normalisation exhorte les États parties à (2, f) promouvoir
l'adhésion, la liaison et la participation aux travaux de l'ISO, de la CEI, de l'ARSO, de l'AFSEC et des organisations
internationales et régionales de normalisation similaires.
La Somalie devient membre de la Communauté de la normalisation africaine
Ouganda/UNBS – M. David Livinstone Ebiru a été nommé 4e Directeur exécutif de l’Uganda National Bureau of Standards
(UNBS) le 11 mai 2021. David est au Bureau depuis septembre 2012, soit depuis 8 ans, en tant que Directeur exécutif adjoint
pour la gestion et les services financiers. David est titulaire d'une maîtrise en commerce (MCOM) de 1ère
classe, spécialisé en finance, de l'Université Osmania, Hyderabad, en Inde, et d’un 2nd Upper Division
Degree in Bachelor of Business Administration (BBA), spécialisé en comptabilité, de l'Université Makerere.
M. Ebiru a suivi diverses formations professionnelles et techniques dans les domaines des finances, de la
comptabilité, de l'audit, de la gouvernance et de la gestion des risques, ainsi que d'autres sciences
commerciales et de gestion. Il possède donc un ensemble de compétences pluridisciplinaires et diverses
qui sont essentielles pour le leadership transformationnel et la transformation des institutions en vue d'une
prestation de services efficace. Il a une expérience de plus de 15 ans en matière de leadership et de
gestion, ayant occupé des postes à responsabilité dans des institutions de haut niveau des secteurs privé
et public et dans le monde universitaire. Avant de rejoindre l'UNBS en 2012, il a travaillé pendant plus de
7 ans en tant que responsable des finances et de l'administration au Centre de recherche sur les
politiques économiques (EPRC) de Makerere, tout en donnant des cours au College of Business and Management Sciences
de l'université de Makerere. Il est rotarien et Président fondateur du Rotary Club de Namugongo.
Soudan/SSMO - Mme Sanaa Albideen El Shafie, a été nommé Directrice générale de Standards and Metrology
Organisation en 2019. Mme Sanaa a été nommée à ce poste par le Ministre des Affaires du
Conseil des Ministres, Ambassadeur Omar Bashir Manis, le 17 avril 2020. La SSMO a été créée
en 1992 en tant qu'organisation indépendante placée au sein de la présidence pour
succéder au département des normes du ministère de l'industrie, qui existait depuis 1969. La
SSMO est active dans les domaines de l'élaboration et de la publication de normes
soudanaises, de la métrologie scientifique et légale, y compris l'analyse des métaux précieux
et des pierres précieuses, ainsi que du contrôle et de l'assurance de la qualité, de la
recherche et du développement. La SSMO a son siège dans la capitale, Khartoum, et
dispose de succursales dans les États du pays, en particulier dans les États où il existe des
points d'entrée des importations.
Nigeria/SON Mallam Farouk A. Salim est titulaire d'une licence en pharmacie de l'Université Ahmadu
Bello de Zaria et d'une maîtrise en administration des entreprises (MBA) de l'Université de Washington,
St. Louis, Missouri, États-Unis. Mallam Salim a commencé sa carrière à l'hôpital Nassarawa de Kano
en tant que pharmacien d'hôpital et a travaillé pour Glaxo Pharmaceuticals à Lagos en tant que
représentant médical avant de s'installer aux États-Unis d'Amérique en 1989. Il a travaillé dans
différentes organisations de Missouri et de l'Illinois, aux États-Unis d'Amérique, en tant que
pharmacien clinique, consultant, pharmacien consultant et, enfin, pharmacien clinique à l'hôpital
Barnes-Jewish de Saint-Louis, aux États-Unis, depuis 1993, avant sa nomination au poste de Directeur
général de SON. Les compétences essentielles de Mallam Farouk Salim couvrent la restructuration
organisationnelle, l'assurance et la gestion de la qualité ainsi que la gestion de projets. Il est membre
de la Pharmaceutical Society of Nigeria, enregistré auprès du Pharmacist Council of Nigeria et du
Missouri Pharmacy Board aux États-Unis d'Amérique. Le Directeur général de SON a été le président
national de la Pharmaceutical Association of Nigerian Students entre 1982 et 1983. La vision de
Mallam Farouk A. Salim est d'apporter des changements en travaillant pour la promotion de la sécurité publique, du rôle des
normes dans la fabrication locale, de l'importation et de l'exportation ainsi que de la création d'un environnement favorable
aux innovations qui stimuleront l'autosuffisance nationale. Il a été nommé directeur général/chef exécutif de la Standards
Organisation of Nigeria (SON) par le Président Muhammadu Buhari le 26 septembre 2020 pour un mandat de 4 ans. Au cours
des neuf derniers mois, Mallam Salim a réalisé des avancées majeures en matière de restructuration organisationnelle,
d'application des normes et de poursuite des infractions, de défense des normes et de la qualité auprès des gouvernements
des États du pays, d'engagement des parties prenantes, de défense des médias et de développement des infrastructures,
ainsi que de motivation des employés, entre autres.
YOUNDE, CAMEROUN
PRÉSIDENT DE L’ARSO PRESIDENT VOUS SOUHAITE TOUS LA BIENVENUE ALL À LA SEMAINE DE L’ARSO
AVEC ANOR 2022 – JUIN 2022.
Des communications complémentaires et des confirmations seront faites par le Secrétariat central de
l’ARSO.
L’ARSO en bref
2. 2 août 2021 - Événement de lancement des normes africaines, normes automobiles harmonisées dans le
cadre du CT/ARSO 59 chargé de l’ingénierie et technologies automobiles, au Zimbabwe, grâce à
l'invitation de SAZ.
3. Le 23 septembre 2021 : La session virtuelle organisée par l'OMC et l’ARSO sur « l'infrastructure de qualité au
service de la résilience de l'Afrique après le COVID-19", avec cinq conférenciers sélectionnés par l’ARSO,
au cours du forum public de sensibilisation de l'OMC du 28 septembre au 1er octobre 2021. Date à noter.
4. 30 septembre 2021 : Lancement de la plateforme continentale des normes volontaires de durabilité (VSS)
de la Marque écologique Afrique avec le Forum des NU sur les normes de durabilité (UNFSS) – Date à
noter.
Les normes ARSO harmonisées dans le cadre du Plan stratégique pour 2017-2022.
En vertu de l'article 6, c de l'Annexe 6 sur les OTC, lorsqu'une norme internationale pertinente requise pour faciliter le commerce n'existe pas,
l'ARSO et/ou l'AFSEC doivent élaborer la norme requise pour faciliter le commerce entre les États parties.
Liste de normes africaines approuvées par le 64e Conseil de l’ARSO en juin 2021
Celle-ci comprend également les normes internationales proposées pour adoption par notification.
A. Documents et lignes directrices
A.1 Documents
Secteurs et comités techniques d’harmonisation Nombres, appellations et domaines
C. Normes
1. ARS 1000- 1 :2021, Cacao durable — Partie 1 : Exigences pour les agriculteurs de cacao en tant qu’individus,
groupements d’agriculteurs, coopératives d’agriculteurs - Systèmes de gestion et performance
2. ARS 1000- 2 :2021, Cacao durable — Partie 2 : Exigences relatives à la qualité et la traçabilité du cacao
3. ARS 1000- 3 :2021, Cacao durable — Partie 3 : Exigences relatives au système de certification du cacao
C.2 CT/ARSO 59, Technologie et ingénierie automobiles
13 normes issues des procédures uniques d’élaboration des normes (ARSO)
1. ARS 1355- 1 :2021, Normes pour les véhicules — Spécification pour le contrôle technique — Partie 1 : État
technique des véhicules en service
2. ARS 1355- 2 :2021, Normes pour les véhicules — Spécification pour le contrôle technique — Partie 2 : État
technique des véhicules avant et après la mise en service
3. ARS 1355- 3 :2021, Normes pour les véhicules — Spécification pour le contrôle technique — Partie 3 :
Renseignements complémentaires
4. ARS 1355- 4 :2021, Normes pour les véhicules — Spécification pour le contrôle technique — Partie 4 : Exigences
pour les inspecteurs de véhicules
5. ARS 1355- 5 :2021, Normes pour les véhicules — Spécification pour le contrôle technique — Partie 5 : Exigences
relatives aux équipements pour contrôle technique
6. ARS 1355- 6 :2021, Normes pour les véhicules — Spécification pour le contrôle technique — Partie 6 : État
technique des véhicules - Exigences relatives à l’évaluation routière des véhicules
7. ARS 1357 :2021, Évaluation des laboratoires d’essais pour véhicules— Code de bonne pratique
8. ARS 1362 :2021, Carburants pour automobiles — Carburant sans plomb— Exigences et méthodes d’essai
9. ARS 1363 :2021, Carburants pour automobiles — Gazole — Exigences et méthodes d’essai
10. ARS 1370 :2021, Transport de produits dangereux par route
11. ARS 1371 :2021, Système de gestion du transport transfrontalier par route (XB-RTMS)
12. ARS 1379 :2021, Définitions et classifications des véhicules à moteur et remorques
13. ARS 1595 :2021, Homologation des véhicules — Toutes les catégories
35. ARS/UNECE R115REV. 3 :2013, Prescriptions uniformes relatives à l’homologation : I. des systèmes spéciaux
d’adaptation au GPL (gaz de pétrole liquéfié) pour véhicules automobiles leur permettant d’utiliser ce carburant
dans leur système de propulsion ; II. Ides systèmes spéciaux d’adaptation au GNC (gaz naturel comprimé) pour
véhicules automobiles leur permettant d’utiliser ce carburant dans leur système de propulsion
36. ARS/UNECE R136 :2016, Prescriptions uniformes relatives à l’homologation des véhicules de la catégorie L en ce
qui concerne les dispositions particulières applicables à la chaîne de traction électrique
D. CT/ARSO 78, Dispositifs et matériels médicaux
D.1 8 normes issues des procédures uniques d’élaboration des normes (ARSO)
1. ARS 1692 :2021, Dispositifs médicaux — Partie 1 : Masques médicaux - Spécification
2. ARS 1693 :2021, Masques barrières pour le public — Guide d’exigences minimales, méthodes d’analyse et
d’usage
3. ARS 1694 : 2021 Respirateurs médicaux — Spécification
4. ARS 1695-1 :2021, Dispositifs médicaux — Casaques, champs chirurgicaux et tenues de bloc — Partie 1 :
Exigences générales
5. ARS 1695-2 :2021, Dispositifs médicaux — Casaques, champs chirurgicaux et tenues de bloc — Partie 2 :
Méthodes d'essai
6. ARS 1695-3 :2021, Dispositifs médicaux — Casaques, champs chirurgicaux et tenues de bloc — Partie 3 :
Exigences et niveaux de performance
7. ARS 1696 :2021 Performance de barrière liquide et classification des vêtements de protection et des champs
chirurgicaux conçus pour une utilisation dans les établissements de santé
8. ARS 1697 : 2021 Équipement de protection individuelle – Écran facial – Spécification
1. ARS/ASTM E1174:2013, Standard test method for evaluation of the effectiveness of health care personnel
handwash formulations
2. ARS/ASTM E1838:2017, Standard test method for determining the residual kill activity of hand standard test
method for determining the virus-eliminating effectiveness of hygienic handwash and hand rub agents using the
finger pads of adults
3. ARS/ASTM E2011:2013, Standard test method for evaluation of hygienic handwash and hand rub formulations for
virus-eliminating activity using the entire hand
4. ARS/ASTM E2475:2010(2016), Standard guide for process understanding related to pharmaceutical manufacture
and control
5. ARS/ASTM E2537:2016, Standard guide for application of continuous process verification to pharmaceutical and
biopharmaceutical manufacturing
6. ARS/ASTM E2613:2014, Standard test method for determining fungus-eliminating effectiveness of hygienic
handwash and hand rub agents using finger pads of adults
7. ARS/ASTM E2629:2020, Verification of process standard guide for analytical technology (PAT) enabled control
systems
8. ARS/ASTM E2755:2015, Standard test method for determining the bacteria-eliminating effectiveness of
healthcare personnel hand rub formulations using hands of adults
9. ARS/ASTM E2870:2019, Standard practice for evaluating relative effectiveness of antimicrobial handwashing
formulations using the palmar surface and mechanical hand sampling
10. ARS/ASTM E2898:2020, Standard guide for risk-based validation of analytical methods for PAT applications
11. ARS/ASTM E2968:2014, Standard guide for application of continuous process verification to pharmaceutical and
biopharmaceutical manufacturing
12. ARS/ASTM E3058 :2016, Antiseptic formulations
13. EN 1275 :2005, Antiseptiques et désinfectants chimiques — Essai quantitatif de suspension pour l’évaluation de
l’activité fongicide ou levuricide de base des antiseptiques et des désinfectants chimiques — Méthode d’essai
et prescriptions
14. EN 1276 :2019, Antiseptiques et désinfectants chimiques — Essai quantitatif de suspension pour l’évaluation de
l’activité bactéricide des antiseptiques et des désinfectants chimiques utilisés dans le domaine de l’agro-
alimentaire, dans l’industrie, dans les domaines domestiques et en collectivité — Méthode d’essai et
prescriptions
15. EN 1499 :2013, Antiseptiques et désinfectants chimiques — Lavage hygiénique des mains — Méthode d’essai et
prescriptions
16. EN 1500 :2013, Antiseptiques et désinfectants chimiques— Traitement hygiénique de mains par frictions —
Méthodes d’essai et prescriptions
17. ISO 11135 :2018, Stérilisation des produits de santé — Oxyde d'éthylène
18. ISO 11138- 1 :2017, Stérilisation des produits de santé — Indicateurs biologiques — Partie 1 : Exigences générales
19. ISO 11138- 2 :2017, Stérilisation des produits de santé — Indicateurs biologiques — Partie 2 : Indicateurs
biologiques pour la stérilisation à l'oxyde d'éthylène
20. ISO 11607- 1 :2019, Emballages des dispositifs médicaux stérilisés au stade terminal — Partie 1 : Exigences relatives
aux matériaux, aux systèmes de barrière stérile et aux systèmes d'emballage
21. ISO 11607- 2 :2019, Emballages des dispositifs médicaux stérilisés au stade terminal — Partie 2 : Exigences de
validation pour les procédés de formage, scellage et assemblage
22. EN 12353 :2013, Antiseptiques et désinfectants chimiques — Conservation des organismes test utilisés pour la
détermination de l’activité bactéricide
23. EN 12791 :2016+A1 :2017, Antiseptiques et désinfectants chimiques — Désinfection chirurgicale des mains —
Méthodes d’essai et prescriptions (phase 2, étape 2)
24. EN 14476 :2013+A2 :2019 Antiseptiques et désinfectants chimiques — Essai quantitatif de suspension pour
l’évaluation de l’activité virucide dans le domaine médical— Méthode d’essai et prescriptions
25. EN 14885 :2015, Antiseptiques et désinfectants chimiques — Application des normes européennes sur les
antiseptiques et désinfectants chimiques
26. EN 16616 :2015, Désinfectants chimiques et antiseptiques — Désinfection thermochimique du textile — Méthode
d’essai et prescriptions
27. ISO 16775 :2014, Emballages des dispositifs médicaux stérilisés au stade terminal — Lignes directrices relatives à
l'application de l'ISO 11607- 1 et l'ISO 11607- 2
28. CEN/TR 17296 :2018 Antiseptiques et désinfectants chimiques — Différenciation des substances actives et des
substances non actives.
29. ISO 17664 :2017, Traitement de produits de soins de santé — Informations relatives au traitement des dispositifs
médicaux à fournir par le fabricant du dispositif
30. ISO/TS 20658 :2017, Laboratoires de biologie médicale — Exigences pour le prélèvement, le transport, la
réception et la manipulation des échantillons
31. ISO 22367 :2020, Laboratoires de biologie médicale — Application de la gestion des risques aux laboratoires de
biologie médicale
32. ISO 35001 :2019, Système de management des biorisques en laboratoires et autres organismes associés
L’ARSO en images
16 juin 2021- Délégués des événements lors de l’Assemblée générale de l'ARSO, 16 juin 2021 - S.E. Clémentine Mukeka, Secrétaire permanente, Ministère
29 avril 2021 - Le Secrétaire général de la ZLECAf, 3ème de droite, rangée gauche, à se joignent à S.E. Clémentine Mukeka, Secrétaire permanente, Ministère des des affaires étrangères et de la coopération internationale ; Gouvernement
la tête de la délégation de la ZLECAf, comprenant le Prof. Alex Dodoo, l’Ambassadeur affaires étrangères et de la coopération internationale; Gouvernement du Rwanda, du Rwanda, s’entretenant avec S.E Youssef Imani, Ambassadeur du Maroc
de bonne volonté de la ZLECAf, 2ème à droite, en discussions avec le personnel du sur une photo de groupe, à l’Hôtel des Mille Collines au Rwanda, à Kigali.
Secrétariat de la ZLECAf, avec à sa tête le Secrétaire général de la ZLECAf, H.E.
Wamkele Mene, Secrétaire de la ZLECAf.
16 juin 2021 - De droite à gauche : M. Charles Booto a Ngon, Président d'ARSO ; H.E. président de l’ARSO et S.E. Youssef Imani se font photographier après la
Youssef Imani, Ambassadeur du Maroc à Kigali, Rwanda, S.E. Clémentine Mukeka, 16 juin 2021 - S.E. Clémentine Mukeka et le Président de l'ARSO, M. Charles cérémonie d’admission du Maroc en tant que membre de l’ARSO.
Booto a Ngon, donnant le drapeau de l’ARSO à S.E. Youssef Imani, Ambassadeur
Secrétaire permanente, Ministère des affaires étrangères et de la coopération
internationale ; Gouvernement du Rwanda, suivent les débats de la 26ème Assemblée du Maroc au Rwanda, à Kigali., lors de l’admission officielle du Maroc en tant que
membre de l’ARSO
générale de l'ARSO.
14 juin 2021 - La délégation kenyane, ici représentée par Mme Estehre Ngari
et M. Zacharia Lukorito, suivant les débats du 64e Conseil des membres de
l'ARSO.
14 juin 2021 - Lors de la cérémonie d'ouverture du 64ème Conseil de l'ARSO à l'Hôtel
des Mille Collines à Kigali, au Rwanda, S.E. Hon. HABYARIMANA U. Béata, Ministre du 14 juin 2021 - Les membres du Conseil de l’ARSO suivent les débats du 64ème
commerce et de l’industrie, Gouvernement de la République du Rwanda, s’adressant Conseil de l'ARSO. À l'avant, à l'extrême droite, se trouve la délégation
aux membres du Conseil de l’ARSO éthiopienne conduite par le Directeur général de l'ESA, M. Endalew Makenon.
.
17 juin
2021 -
Dr.
17 juin2021 – Conférenciers, De gauche à droite : M. Déo Muvunyi, Directeur Gadzikwa, Directrice générale de SAZ, Zimbabwe, lors des
principal de la planification des transports et du développement de l'industrie de discussions du panel lors de l'événement de lancement officiel des
17 juin 2021 - M. Raymond Murenzi, Directeur général du RSB, s'adresse aux Rwanda Utilities Regulatory Authorities (RURA) ; Mme Juliet Kabera, Directrice
parties prenantes de l'industrie automobile lors du lancement officiel des normes africaines harmonisées pour les automobiles, à l'Hôtel des
générale de Rwanda Environment Management Authority (REMA) ; Surintendant de
normes africaines harmonisées pour les automobiles, à l'Hôtel des Mille police en chef (CSP) Bernardin Nsengiyumva, Commandant adjoint du Centre Mille Collines à Kigali, Rwanda.
Collines à Kigali, Rwanda. d'inspection des véhicules à moteur (MIC), Rwanda, et Dr. Eve Gadzikwa lors des
discussions du panel lors de l'événement de lancement officiel des normes
africaines harmonisées pour les automobiles, à l'Hôtel des Mille Collines à Kigali,
Rwanda.
Aperçu sur le chemin de la normalisation Le Somali Bureau of Standards ré-établi par la Loi sur la normalisation et le contrôle de la qualité No. 27 en 2020 . (https://sobs.gov.so/). Le 26 juin
2021, le SoBS a organisé la première formation sur l'infrastructure de qualité en vue de la mise en œuvre de l'Accord de la ZLECAf. La session a été faite par Dr. Kioko, ancien DG de KEBS (a.i), Kenya.
L'adhésion à l'ARSO fait actuellement l'objet de discussions aux plus hauts niveaux du gouvernement, par l'intermédiaire du SoBS et du ministère du commerce et de l'industrie.