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Te u(k) 1 Te
u(t)
B0(p) H(p) = 1+ 0.5 p
1
La condition d’échantillonnage est
5 fBP < fe < 25 fBB
TH/25 < Te <TH/5
FH= WH/2π
TH = 1 /FH = 2π/WH = 2π × ꞇ
avec ꞇ = constante du temps
on trouve
2
3
Graphiquement :
Wh = 1/ ꞇ = = 2 rad/s
alors ꞇ = 0.5 s
D’où 0.1 <Te< 0.5
b) Etudier les réponses temporelles a un échelon de
−1
b1×z
H( z−1)=
1+ a 1× z−1
pour a =-0.2, -0.5 , -0.7 , -0.9 en choisissant chaque fois b1 tel que le gain statique soit
égale a 1
b1
on multiplie le numérateur et dénominateur par z on trouve : H( z−1)= z+a 1 d’où on
4
5
Etude d’un système de second ordre :
a) soit le système échantillonnée suivant :
100
2
p +16 p+100
100
2
p +16 p+100
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Bode
graphiquement on la trouve
bode(h);
s = roots(Den);
s1 = s(1);
s2 = s(2);
w_d = sqrt(abs(s1*s2))
w d = 10
num = b1;
impulse(sys);
info = stepinfo(sys);
tau = info.RiseTime;
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Notez que si les poles sont complexes conjugués, ils apparaissent sur le plan de Nyquist comme
un cercle de rayon égal à la valeur propre, et la pulsation propre peut être déduite en mesurant
la distance entre le centre de ce cercle et l'origine du plan complexe. Cette distance est appelée
la pulsation propre du système oscillant.
En utilisant la fonction "pzmap" de Matlab, vous pouvez facilement visualiser les poles de la
fonction de transfert et déduire graphiquement la pulsation propre.
Si les poles sont complexes conjugués, le coefficient d'amortissement peut être déterminé en mesurant
la distance entre le cercle représentant les poles dans le plan de Nyquist et l'axe des réelles. Cette
distance est appelée la partie imaginaire de la valeur propre et peut être utilisée