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Aboubacar Traoré

09 / 02 / 1999 à Bko

Licence 2
questions Réponses

1/ les violences contre les femmes constituent peut-être la plus grave violation des droits de
l'homme. Et se sont les plus répandue. Elles ne connaissent ni frontière ni culture ni richesse.
Partagez vous cette affirmation !

Rappelant que les droits des femmes sont des droits fondamentaux, nous, rapporteuses
spéciales, réaffirmons notre ferme attachement aux normes internationales relatives aux
droits des femmes qui sont énoncées, entre autres, dans les instruments ci-après:

la Déclaration universelle des droits de l’homme;


le Pacte international relatif aux droits civils et politiques;
le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels;
la Déclaration sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes;
la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et
son Protocole facultatif;
le Statut de Rome de la Cour pénale internationale;
la Convention américaine relative aux droits de l’homme et son Protocole additionnel traitant
des droits économiques, sociaux et culturels;
la Déclaration américaine des droits et devoirs de l’homme;
la Convention interaméricaine sur la prévention, la sanction et l’élimination de la violence
contre la femme (Convention de Belem do Pará);
la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples;
la «Grand Baie Declaration and Plan of Action on human rights »de 1996.

Nous affirmons que ces instruments internationaux et régionaux prévoient une protection
générale contre la violence et la discrimination à l’égard des femmes. Nous demandons à tous
les États qui ne l’ont pas encore fait de ratifier ces instruments et de veiller à ce que les
normes internationales soient appliquées.

Nous entendons par violence contre les femmes toute violence perpétrée par un individu quel
qu’il soit au sein du foyer, de la famille et de la collectivité, ainsi que toute violence perpétrée
par l’État ou avec son consentement, y compris durant les conflits armés. La violence contre
les femmes est une manifestation de la discrimination fondée sur le sexe. Nous réaffirmons
que le droit de toute femme de ne pas être soumise à la violence inclut le droit de ne pas subir
ce type de discrimination et de jouir d’une protection égale devant la loi.

Nous reconnaissons la diversité qui existe entre les femmes ainsi que le droit des personnes
de jouir de leur propre culture en communauté et avec d’autres membres de leur groupe. Nous
reconnaissons que l’application des droits des femmes présente des particularités selon les
régions. Néanmoins, les États ne sauraient invoquer la coutume, la tradition ou des
considérations religieuses pour se soustraire à leur obligation d’éliminer la violence et la
discrimination à l’égard des femmes. Toutes les femmes ont le droit de vivre dans la liberté,
l’égalité et la dignité.

La violence contre les femmes et les filles sévit dans tous les pays du monde. Elle s’exerce en
temps de paix comme dans les situations de conflit. Or, les agents de l’État et les acteurs
privés qui sont responsables de cette violence n’ont aucun compte à rendre. Le climat
d’impunité qui en résulte encourage la persistance de ces violations. Nous demandons
instamment aux États de prendre immédiatement des mesures pour mettre fin à cette
impunité et pour traduire en justice les auteurs des violations.

Nous réaffirmons que les normes internationales relatives aux droits de l’homme visent à
protéger les femmes contre les actes de violence et de discrimination commis par des acteurs
privés autres que les États. Les États ont l’obligation de prendre toutes les mesures requises
pour éliminer la discrimination contre des femmes qui est le fait de quelque individu,
organisation ou entreprise que ce soit. Les États sont soumis à l’obligation de diligence, qu’il
s’agisse de prévenir la violence contre les femmes, de poursuivre et de punir ceux qui s’y
livrent ou de prendre des mesures pour éradiquer définitivement la violence contre les
femmes dans leur société.

Bien que les communautés internationale et régionale aient établi des normes tendant à
empêcher la violence et la discrimination contre les femmes, à les éradiquer et à en punir les
auteurs, bon nombre d’États n’ont pas encore pris les mesures nécessaires pour incorporer
ces normes dans leur législation et dans leurs pratiques internes. Nous demandons
instamment aux États de faire le nécessaire pour mettre leurs lois et leurs pratiques en
conformité avec ces normes.

Nous soulignons le fait que, d’une manière générale, les femmes qui ont été victimes de
violences et de discrimination ne bénéficient pas d’une protection judiciaire adéquate ni de
recours utiles. Des stratégies incluant la réforme des lois et, en particulier, la réforme du
système pénal, doivent être mises en œuvre. Les décideurs, les membres de la police, les
juges et les procureurs doivent être sensibilisés à ces questions. Par ailleurs, une assistance
juridictionnelle, des soins médicaux, un accompagnement psychologique et des services
sociaux adéquats doivent être prévus pour les victimes. Pour la mise en œuvre à l’échelon
national des normes internationales, les États doivent s’assurer le concours des
établissements d’enseignement et mettre à profit les campagnes de sensibilisation destinées
au grand public.

Compte tenu de ces préoccupations qui nous sont communes, nous nous engageons à
coordonner nos efforts pour rendre notre action plus efficace, et ce en utilisant les moyens
suivants: a) en échangeant des informations, notamment en matière de lois et de
jurisprudence, ainsi que des renseignements obtenus dans le cadre de missions; b) en
mettant en commun des idées et des stratégies touchant la manière d’aborder les questions
nouvelles et la violation des droits des femmes; c) en harmonisant les recommandations que
nous adressons aux États; d) en communiquant régulièrement avec les ONG régionales et
internationales, les organisations de femmes et d’autres représentants de la société civile
pour lesquels la promotion et la protection des droits fondamentaux des femmes sont des
objectifs essentiels. Nous nous engageons à nous tenir mutuellement informées de l’évolution
de la situation dans ce domaine.

2/ Quels sont les catégories de violence faite aux femmes ?

● Violence physique.
● Violence verbale.
● Violence psychologique.
● Violence sexuelle.
● Violence socioéconomique.
● Violence domestique et violence dans les relations intimes.
● Harcèlement et harcèlement sexuel.

3/ Quels sont les instruments juridiques internationaux ( traité convation ratifié par le Mali en
matière de protection de droit de l’homme )

La République du Mali est partie à plusieurs instruments juridiques internationaux relatifs aux
droits de l'homme. Il s’agit, entre autres, de :
1- Sur le plan international :
- le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et son premier Protocole
facultatif ;
- le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels ;
- la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination
raciale ;
- la Convention relative aux droits de l’enfant ;
- la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à
l’égard de la femme et son Protocole facultatif ;
- la Convention sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres
de leur famille ;
- la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou
dégradants et son Protocole facultatif ;
- le Protocole facultatif à la Convention relative aux droits de l’enfant, concernant
l’implication des enfants dans les conflits armés ;
- le Protocole facultatif à la Convention relative aux droits de l’enfant, concernant la vente
d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène les enfants ;
- les Conventions de Genève de 1949 et leurs Protocoles additionnels I et II ;
- la Convention sur la prévention et la répression du crime de génocide ;
- la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés et son Protocole ;
- la Convention internationale contre le dopage dans le sport ;
- le Statut de Rome de la Cour pénale internationale ;
- les principales Conventions de l’Organisation Internationale du Travail, en particulier les
Conventions no 4, 6, 29, 87, 98, 100, 105, 111, 138, 182 ;
- les principales Conventions de l’UNESCO et plus particulièrement la Convention
concernant la lutte contre la discrimination dans le domaine de l’enseignement ;
- la Convention relative aux droits des personnes handicapées et son Protocole facultatif ;
- la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les
disparitions forcées.
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2- Sur le plan régional :


- la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples ;
- la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant ;
- le Protocole à la Charte africaine portant création d’une Cour africaine des droits de
l’homme et des peuples ;
- le Protocole à la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples relatif aux droits de
la femme ;
- la Convention de l’OUA régissant les aspects propres aux problèmes des réfugiés en
Afrique ;
- la Charte africaine de la jeunesse ;
- les engagements contractés par le Mali en matière de droits de l’homme dans le cadre de
la CEDEAO et de la Francophonie.
19. Aux termes des dispositions de l’article 116 de la Constitution du 25 février 1992 : « Les
traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité
supérieure à celle des lois, sous réserve pour chaque traité ou accord de son application par
l'autre partie ».
20. La souscription dans le préambule de cette Constitution à la Déclaration Universelle des
Droits de l’Homme et à la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, confère à
ces deux textes de dimension internationale et régionale, une valeur constitutionnelle.
B. Les principaux textes législatifs et réglementaires :
21. L’adhésion du Mali aux valeurs universelles des droits de l’homme demeure constante et
se manifeste au plan normatif, par la ratification régulière d’instruments juridiques régionaux
et internationaux de promotion et de protection des droits de l’homme et l’adoption de
dispositions constitutionnelles, législatives et réglementaires.
22. Ainsi, toutes les constitutions et autres textes de valeur constitutionnelle que le Mali a
connus depuis son accession à l’indépendance, en 1960, ont proclamé les droits et libertés
fondamentaux de la personne humaine.
23. Depuis 1991, la promotion et la protection des droits de l’homme s’inscrivent dans un
cadre de démocratie pluraliste et d’Etat de droit.
24. En effet, la Constitution du 25 février 1992 accorde une place de choix aux droits de
l’homme et aux libertés. A cet égard, dans le préambule de cette Constitution, le Mali a
souscrit à la Déclaration Universelle des Droits de l’homme et à la Charte Africaine des Droits
de l’Homme et des Peuples et s’engage à défendre les droits particuliers des femmes et des
enfants et à assurer l’amélioration de la qualité de la vie de l’ensemble des citoyens. Tout le
titre 1er de cette Constitution porte sur les droits et devoirs de la personne humaine.
25. Il convient de signaler que la réforme de la Constitution de 1992 qui est en cours et dont
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l’objectif est d'ouvrir un vaste chantier de réformes politiques a pour but de doter le pays
d’institutions au service du développement durable. Il ne s'agit donc pas de remettre en
cause les institutions actuelles, mais de les adapter aux exigences du développement et de
l’intégration sous régionale.
26. En effet, les réformes envisagées, qui résultent d'une réflexion sur la consolidation de la
démocratie dans notre pays, tirent le meilleur parti des recommandations des différentes
rencontres organisées sur le processus électoral et la gouvernance démocratique au Mali.
27. En plus des dispositions constitutionnelles, plusieurs textes législatifs ont été adoptés
dans les domaines ci-après :
Le Droit à la vie, à la liberté, à la sécurité et à l’intégrité de la personne :
- la Loi n° 01-079 du 20 août 2001 portant Code pénal qui réprime les atteintes à la liberté, les
crimes et délits contre les personnes, notamment l’homicide, les coups et blessures, les
violences, les arrestations illégales et séquestration de personnes. En outre, ladite loi a repris
pour l’essentiel, les crimes relevant de la compétence de la Cour Pénale Internationale (CPI) ;
- la Loi n° 01-080 du 20 août 2001 portant Code de procédure pénale ;
- le Décret n° 99-254 du 15 septembre 1999 portant Code de procédure civile, commerciale
et sociale.
Les Droits relatifs au statut de la personne :
- la Loi n° 62-18 /AN- RM du 03 février 1962, modifiée par la Loi n° 95-70 du 25 août
1995, portant Code de la nationalité ;
- la Loi N° 2011-087 du 30 décembre 2011 portant Code des Personnes et de la Famille ;
- l’Ordonnance n°73-036 du 31 juillet 1973 portant Code de la parenté ;
L’interdiction de l’esclavage, de la servitude et de la torture :
- le Code pénal et le Code du travail interdisant l’esclavage et toutes pratiques analogues ;
- le Code pénal sanctionnant les actes de torture et les violences suivies de mutilation,
amputation ou toute autre infirmité ou maladie ;
- La Loi n°02-056 du 16 décembre 2002 portant statut des fonctionnaires de police
interdisant aux agents d’exercer dans le service ou en dehors, des tortures, sévices ou
traitements inhumains, cruels, dégradants ou humiliants.
La liberté de pensée, de conscience, de religion, d’opinion et d’expression :
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- la Loi n° 00-046 du 7 juillet 2000 portant régime de presse et délit de presse ;


- la Loi n° 92–038 du 24 décembre 1992 portant création du Conseil Supérieur de la
Communication ;
- la Loi n° 93 - 001 du 06 janvier 1993 portant Loi organique relative à la création du Comité
National de l’Egal accès aux Médias d’Etat ;
- la Loi 61-86/AN-RM du 21 juillet 1961 portant organisation de la liberté religieuse et de
l’exercice des cultes.
La liberté de réunion, d’association, de cortège et de manifestation :
- la Loi n° 04 - 038 du 5 août 2004 relative aux associations ;
- la Loi n° 00 - 047 du 13 juillet 2000 portant statut des partis politiques de l’opposition ;
- la Loi n° 05 - 047 du 18 août 2005 portant Charte des partis politiques.
Le droit de prendre part à la direction des affaires publiques et de participer à l’élection
des dirigeants :
- la Loi n° 06-044 du 04 septembre 2006 portant Loi électorale qui fixe les conditions
d’élection, d’éligibilité et d’inéligibilité aux élections, les règles de leur organisation et les
différents recours.
Le droit au travail et au repos, à la liberté syndicale et à la sécurité sociale :
- la Loi n° 92-020 du 23 septembre 1992 portant Code du travail qui reconnaît à chaque
citoyen le droit au travail, au repos et à la formation, interdit de façon absolue le travail forcé
ou obligatoire. Il reconnaît également à tout travailleur le droit d’adhérer à un syndicat de son
choix ainsi que le droit de grève ;
- La Loi n° 02-053/AN-RM du 16 décembre 2002 modifiée portant Statut général des
fonctionnaires ;
- l’Ordonnance n° 79-07 du 18 janvier 1979 portant Régime des pensions des fonctionnaires ;
- la Loi n° 99-041 du 12 août 1999 portant Code de prévoyance sociale en République du Mali ;
- la Loi n° 95-071 du 21 août 1995 portant Régime de retraite des parlementaires ;
- l’Ordonnance n° 33 CMLN du 30 septembre 1971 portant Pension des militaires ;
- l’Ordonnance n° 041 CMLN du 06 décembre 1971 portant Régime des invalidités des
militaires ;
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- l’Ordonnance n°02-062/P-RM du 05 juin 2002 portant Code de protection de l’Enfant. Le


droit à l’éducation, à la santé et à un environnement sain :
- la Loi n° 99-046 du 28 décembre 1999 portant loi d’Orientation sur l’éducation ;
- la Loi n°02-049 du 22 juillet 2002 portant loi d’Orientation sur la santé ;
- la Loi n°02-044 du 24 juin 2002 relative à la santé de la reproduction ;
- La Loi n° 09-015 du 26 octobre 2009 portant institution du régime d’Assurance Maladie
Obligatoire ;
- La Loi n° 09-031 du 27 juillet 2009 portant institution du régime d’Assurance Maladie
Obligatoire (RAMED) ;
- La Loi n°01-020 du 30 mai 2001 relative aux pollutions et aux nuisances ;
- Le Décret n°01-395/ P-RM du 06 septembre 2001 fixant les modalités de gestion des

4/ Que saviez-vous sur la loi d’orientation agricole ?

Cette Loi d’Orientation Agricole concerne l’ensemble des activités économiques du secteur
agricole et péri agricole (transformation, transport, commerce distribution et autres services
agricoles) ainsi que leurs fonctions sociales et environnementales. Elle a pour ambition de
traduire la volonté de tous les acteurs du secteur agricole (Etat, Collectivités territoriales,
Producteurs, Société Civile, Partenaires du développement). La politique de développement
agricole prend en compte les objectifs de décentralisation, intègre les stratégies et les
objectifs de lutte contre la pauvreté fixés dans le CSLP, ainsi que les engagements sous
régionaux et internationaux souscrits par le Mali.
Elle se donne pour objectif de passer d’une agriculture de subsistance à une agriculture
durable, diversifiée, moderne et compétitive, en plaçant les paysans au centre de la
démarche, afin de permettre la satisfaction des besoins croissants du pays. Elle est tournée
vers la conquête des marchés régionaux et sous-régionaux.
La politique de développement agricole du Mali a pour objectifs généraux de contribuer à :
● la promotion économique et sociale des populations en milieu rural ;
● la souveraineté alimentaire du pays ;
● la réduction de la pauvreté rurale ;
● la modernisation de l’agriculture familiale et le développement de l’agro-industrie ;
● la protection de l’environnement et la gestion durable des ressources naturelles ;
● l’augmentation de la contribution du secteur rural à la croissance économique ;
● l’aménagement agricole équilibré et cohérent du territoire.
Elle vise à la réalisation des objectifs spécifiques suivants :
● la création d’emplois et la réduction de l’exode rural ;
● l’amélioration du cadre et des conditions de vie en milieu rural ;
● l’augmentation de la production et de la productivité agricole ;
● l’amélioration des revenus des producteurs ;
● la protection sociale des exploitants et du personnel agricole ;
● la protection des exploitations agricoles contre les risques agricoles ;
● la protection des exploitations et productions agricoles contre les pratiques non
soutenables ou contraires aux règles des marchés nationaux, sous-régionaux et
internationaux ;
● la structuration de la profession agricole ;
● la production de produits exportables et la conquête de marchés étrangers.
La politique de développement agricole que propose la LOA s’appuie sur les principes
suivants : l’équité sociale, le droit à la sécurité alimentaire dans un contexte de souveraineté
alimentaire, la responsabilisation des acteurs, la solidarité et le partenariat entre les acteurs,
et le désengagement de l’état des fonctions productives et commerciales. La LOA privilégie la
promotion de partenariats et la création de marchés communs au sein des grands ensembles
économiques sous régionaux, régionaux et internationaux.

5/ Énumérez les langues nationales reconnus par la république du Mali

Les autorités maliennes, dans l'article 1 du décret n°159 PG-RM du 19 juillet 1982, ont
reconnu treize langues comme nationales au Mali : le bamanankan (bambara), le bomu (bobo),
le bozo, le døgøsø (dogon), le fulfulde (peul), le hasanya (maure), le mamara (miniyanka), le
maninkakan (malinké), le soninké (sarakolé), le søõøy (sonrhaï), le syenara (sénoufo), le
tàmàsàyt (tamasheq) et le xaasongaxanno (khassonké). Ces langues n’ont commencé à être
écrites selon l’alphabet phonétique international que vers le milieu des années 1960

6.Doit-ton officialisé une où quelques langues nationales selon vous. Justifier votre réponse.

Selon moi c’est l’anglais qu’on doit officialisé car c’est la langue n°1 dans le nombreux
secteurs comme le commerce, les technologies, la science, la communication et bien d’autres
encore.
● Savoir parler anglais est l’une des compétences les plus demandées par les
employeurs (même en France). Elle permet d’accéder à des postes à plus haute
responsabilité, de développer sa carrière et son entreprise. En amont, il est bien
souvent nécessaire de rédiger un CV en anglais, mais aussi une lettre de motivation
dans la langue de Michael Jackson
● L’anglais est la langue la plus utilisée sur Internet, ce qui représente plus de
80 % des données ! Et Internet est aujourd’hui le moyen de communication le plus
utilisé dans le monde du travail. En comprenant l’anglais, on peut avoir accès à un
nombre illimité de ressources.

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