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III.

ETUDE THEMATIQUES
1. LA DUPLICITE DES BLANCS
a. L’expression de l’hypocrisie
L’hypocrisie est partout présente dans le camp des blancs. Elle se présente
dans le comportement des femmes blanches qui hypocritement souhaitent à
la femme du commandant la bienvenue alors qu’elles sont mortes de jalousie
devant sa beauté. Elle n’arrivait pas à cacher avec leur sourire l’amertume et
la colère qu’elles ressentaient devant nouvelle venue qui les éclipsaient,
Madame salvain est même comparée à une lampe qu’on aurait allumée en
plein midi.

b. Le mensonge des blancs


La duplicité touche aussi Madame, la femme du commandant selon TOUNDI,
M madame trompe son mari avec M. Moreau le directeur de la prison. Elle
ment à son mari et profite de toute les opportunités pour voir son amant,
Toundi nous explique qu’elle ose inviter M. Moreau et sa femme chez elle.
Pour bien caché son infidélité elle fait croire à son mari que M. Moreau
manque de savoir vivre et de finesse. Toundi , qui a un profond respect pour
son maitre semble avoir du mal à tolérer le fait que madame trompe son
mari, qui n’a rien fait pour le mériter et cela lui démontre encore une fois que
le monde des blancs est malhonnête.
C. La luxure chez les blancs
Ce faut semblant est d’abord annoter chez le couple decazy. En effet, après
arrestation de Toundi , le commandant et madame font semblant de filer le
parfait amour.
Chez les hommes blancs la duplicité se manifestes surtout au niveau des
comportements envers les régresses. Bien qu’ils se considèrent comme étant
supérieur, certains entretiennent pourtant des relations avec des femmes
noires. Parlant des préservatifs, bak lu chargé de madame expliquent que les
blancs les emploient aussi quand ils couchent avec les femmes pour ne pas
avoir de maladies. C’est l’hypocrisie d’ailleurs se sera dire à l’ingénieur
agricole « Sophie ne vient pas me voir aujourd’hui un blanc viendra me voir »
ou bien Sophie, quand tu me vois avec une dame ne regarde pas ne me salut
pas.
2. LA SATIRE DE LA RELIGION CHRETIENNE
a. La cupidité de l’église
Le coran adresse une critique envers cette église complice de l’injustice
coloniale. Toundi, le personnage principal de l’œuvre une vie de boy. En
échappant a la cruauté de son père, croit trouver dans l’église la sécurité et le
bonheur la mort de son protecteur de père Gilbert, marquera le début de son
calvaire. Contrairement a la loi d’un seigneur, cette l’église étaient en réalité
le prolongement du pouvoir coloniale. A l’instar de ses derniers il participe a
l’appauvrissement des indigènes par les obligatoires collectes de font durant
la messe. C’est cette cupidité Qui poussera le père vandermayere a frappé
Toundi qu’il soupc_

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