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Tiago Abreu de Castro 

; N° ordre : 2

Tâche finale  : Correspondance entre Usbek et Candide

Lettre I : USBEK A CANDIDE

Mon très cher Candide, comme promis lors de notre dernière rencontre
aux croisements des chemins d’Orient et d’Occident, je t’émets mon
ressentit de mon séjour au pays de France à Paris. Je ne vais pas te
controuver mais ces mois passés dans ce changement de culture, ne cesse
de me faire chérir mon pays de Perse.

Quand je vois les femmes de France, je me répète sans cesse à quel point
j’ai de la chance d’avoir mes 5 femmes. Leur beauté est largement
supérieure.
Mais elles aussi sont très chanceuses d’être en Perse. Elles n’ont pas le
train de vie des françaises, cette focalisation de vouloir plaire au point de
manquer de pudeur et vertu. Dans mon sérail, jamais hommes ne
souillera mes femmes de regards lascifs.
L’amour que procurent mes femmes à mon sujet est énorme. Elles
m’envoient des dizaines de lettres pour me demander mon retour et
pouvoir y organiser une fête amoureuse. Je l’avoue que cela me fait mal
au cœur d’être autant de temps éloigné mais je leurs envoie des lettres
expliquant mon séjour. Le lien qui lie moi et mes femmes est sacré et basé
sur la confiance. Est-ce qu’un jour les françaises pourront se vanter du
même ?

De PARIS , le 2 de la lune de Rebiab 1758


Lettre II : Candide vers Usbek

Mon ami Usbek, je prends peine à recevoir ton malheur au sujet de ton
séjour à Paris. Mais j’en suis compréhensif que cela ne doit être simple de
sortir de sa terre natale vers une tout autre culture. Moi-même eu une
mauvaise expérience lors de mon passage à Paris.

Je trouve que la beauté d’une femme est subjective au goût de chacun car
moi-même ai préféré la beauté française à celle des femmes de
Constantinople.
Tu dis qu’elles n’ont pas le même train de vie des françaises mais je
pense d’avantage qu’elles n’ont pas la liberté de pouvoir sortir en dehors
de ton sérail et d’avoir une vie indépendante.
La pudeur et la vertu sont à la responsabilité de chacun et sont souvent
influencé par la mentalité ou le foie de chacun.
Je comprends que cela est dur d’être loin des personnes qu’on aime mais
laisse-moi douter de ce soi-disant amour réciproque que tu te vantes, car
je me demande si ce fameux lien qui te lie à tes femmes ne serrait-t-il pas
basé sur l’argent ? Et si tes propos sont véridiques, tu ne pourras point
donner autant d’amour à chacune de tes femmes.

De Thunder-THEN-TRHNOK , le 5 de la lune de Rebiab 1758


Lettre III : USBEK A CANDIDE

Mon cher Candide, je te remercie de ta compréhension et je partage ton


sentiment.
Je suis mitigé par ton avis au sujet de la beauté mais je le respect.
Je ne te permets pas de remettre en question la liberté qu’ont mes
femmes. De plus, le sérail où demeurent mes femmes est plus hospitalier
que n’importe quelle des maisons de ce monde. Je prends partis aux choix
et décisions de mes femmes à but de les préserver.
Donc cela est de la responsabilité des femmes françaises qui sont
l’ignominie du sexe féminin. La femme doit se préserver et faire preuve de
vertu. Et si l’influence de foie y est pour quelque chose, je n’y vois aucun
inconvénient.
Laisse moi me permettre de te dire que tu es devenu très méfiant pour te
donner le droit de mettre des interrogations sur la relation que j’ai avec
mes femmes. Et cela est un manque de respect de prétendre que mes
femmes sont des courtisannes, semblables aux françaises.
Et pour combler tes inquiétudes, mes femmes sont toutes traitées de la
même manière, comme des princesses.

De PARIS , le 12 de la lune de Rebiab 1758

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