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MERISE
Actigramme Datagramme
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 10
II. Notions de base
Exemples : Lave Linge
Choix de
Energie Paiement l’utilisateur
électrique Programme
Monnaie
W C R E
Poudres
Servir Boisson dans
Sirops
automatiquement un gobelet
Sucre
des boissons
Gobelets
chaudes ou froides
Eau
Déchets
Distributeur
4 données de contrôle : énergétiques (W) ; exploitation (E) ; configuration
(C) ; réglage (R)
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 11
II. Notions de base
Diagramme A-0
Mettre de Employé de
l'argent la banque
Diagramme de cas d’utilisation
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 18
II. Notions de base
Diagramme de collaboration pour la réalisation du cas
d’utilisation « Retirer de l’argent »
Bon de Rejet
Entreprise Ou
commande client
Livraison + facture
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 23
II. Notions de base
Système de pilotage ou système de gestion et de contrôle.
Décide du comportement du système en fonction des objectifs
fixés.
Système opérant :
Assure la production en vue de la réalisation de certaines tâches
(opérations).
Ensemble du personnel exécutant
Système de pilotage
(réfléchit, décide, oriente)
Décision Information
Système opérant
(produit, transforme, agit)
Système de pilotage
(réfléchit, décide, oriente)
Système d’information
(mémorise, traite)
Nouveaux Statistique
produits de vente
Système d’information
(mémorisation, traitement)
Réception Paiement,
Demande des travaux Date
de devis
Période de naissance
Cycle de décision
Période d’exploitation Décision sur Décision sur le
le contenu développement
Période de maintenance
Cycle de vie
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 32
III. Conception
Description des données du SI suit un formalisme de
représentation précis, simple et rigoureux.
Formalisme normalisé par l’ISO sous le nom de "ENTITE
RELATION".
La représentation visuelle contribue à l’établissement d’un
dialogue constructif entre tous les partenaires qui collaborent
pour concevoir ensemble.
SI manuel
SI automatisé
Spécification
Déterminer les fonctionnalités que doit posséder le logiciel
Qu’est-ce que le logiciel doit faire ?
Comment s’assurer qu’il le fait ?
Comment s’assurer qu’on développe le bon logiciel ?
Décrire la solution, indépendamment de son implantation
Identifier la frontière (les interfaces) du logiciel à développer
Identifier les entités du logiciel et leurs interactions avec
l’environnement
Spécifier le comportement attendu des entités, ainsi que leurs
interactions (internes).
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 44
III. Conception
Organisation du projet
Déterminer comment le logiciel va être développé
Analyse des coûts : établir une estimation du prix du projet
Planification : établir un calendrier de développement
Assurance qualité du logiciel : déterminer les actions qui
permettront de s’assurer de la qualité du produit fini
Répartition des tâches : hiérarchiser les tâches et sous-tâches
nécessaires au développement du logiciel
Conception
Déterminer la façon dont le logiciel fournit les différentes
fonctionnalités recherchées.
Conception générale : Conception architecturale : déterminer la
structure du système ; Conception des interfaces : déterminer
la façon dont les différentes parties du système communiquent
entre elles
Conception détaillée : Déterminer les algorithmes pour les
différentes parties du système.
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 45
III. Conception
Implémentation
Réalisation, à partir de la conception détaillée, d'un ensemble
de programme ou de composants de programmes.
Tests
Essayer le logiciel sur des données d’exemple pour s’assurer qu’il
fonctionne correctement.
Devant l’impossibilité de réaliser des tests exhaustifs d'un
logiciel, les tests vont surtout se porter sur les interfaces :
interaction entre les différents modules, entre les différentes
fonctionnalités,
interactions entre le logiciel et le système d'exploitation, etc.
Chaque test traite d'un élément précis de la conception ou de
l'utilisation.
Le but d'un test est de découvrir un défaut, mais si une batterie
de tests ne montre pas de défaut cela n'implique pas que le
logiciel est quand même exempt de défaut...
Spécification
Conception
générale
Conception
détaillée
Codage
Test
Maintenance
Spécification Validation
Conception Tests
générale d’intégration
Conception Tests
détaillée unitaire
Codage
Classe Matiere
codeCl 1,n possède 1,n N°Mat
nomCl libellé
nomClEntier coeff
1,n
cycle
Semestre
lieu 1,n compose 1,2
Frequente N°Sem
note
1,n
1,1
Etudiant époux
1,1
N°Etudiant
marie
nom
prénom
1,1
dateNais
épouse
adresse
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 61
III. MCD
3.4. Notion d’entité
Définition
Représentation d’un objet du monde réel (concept concret ou
abstrait), perçu par le concepteur comme ayant une existence.
Une entité existe indépendamment du fait qu’elle puisse être
liée à d’autres entités de la base.
Exemple :
Fatou, Adjoua, Yao, Toto, BD, Math, INFO2, ECS2 sont des
entités du SI de l’école.
Classe d’entités ou entités type
C’est la classe dans laquelle on peut ranger un groupe d’entités
ayant des propriétés communes.
Exemple :
Etudiant est la classe des entités Fatou, Adjoua, Yao et Toto.
Matière est la classe des entités BD et Math.
Classe est la classe des entités INFO2 et ECS1
Pour plus de commodité, la classe d’entité sera désignée par
K. M. BROU entité. Méthode d'analyse MERISE 62
III. MCD
Classification
C’est une relation (représentée par un verbe) qui existe entre
une entité et sa classe.
Exemple :
Fatou est membre de Etudiant
Yao est membre de Etudiant
BD est membre de Matière
Etudiant
Remarque :
Un attribut est également un ensemble de valeurs possibles ;
chaque occurrence de l’entité ou de l’association possède une
valeur distincte d’attribut.
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 65
III. MCD
3.6. Clé d’une entité
ou identifiant d’une entité
Attribut ou ensemble d’attribut permettant d’identifier de
manière unique les occurrences d’une entité.
Deux occurrences d’une entité, ne peuvent pas avoir la même
valeur de la clé.
Exemple :
L’attribut N°Etudiant est la clé de l’entité Etudiant
Représentation
La clé d’une entité est toujours soulignée.
Exemple
Etudiant
N°Etudiant Deux étudiants distincts ne peuvent pas
nom avoir le même numéro d’étudiant
prénom
dateNais
adresse
Représentation
Entité2
Entité n
Exemple
Un étudiant peut composer dans une matière.
Un étudiant peut se marier avec un autre étudiant.
Etudiant marie
a1 a2
b2 Vehicule CarteGrise
b1 c2
numero possede numero
categorie nomProprietaire
c1 d2 marque
Exemple :
supposons que l’on considère l’association entre un véhicule et une
carte grise, nous avons les deux entités suivantes :
Véhicule(numero, catégorie, marque)
Carte grise(numero, nomPropriétaire)
Entre ces deux entités il existe une association de type un à un.
En effet, un véhicule possède une et une seule carte grise et
réciproquement à une carte grise n’est associé qu’un seul véhicule.
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 72
III. MCD
Association un à plusieurs
A est une association un à plusieurs si à une occurrence de
l’entité E1, l’association A peut faire correspondre plusieurs
occurrences de l’entité E2 mais qu’à une occurrence de E2
correspond au plus une occurrence de E1.
Exemple : considérons l’association fréquente entre l’entité
E1 A E2 Classe et l’entité Etudiant
c1 e2
d2
Exemple
1:n
Classe fréquente Etudiant
Exemple :
un étudiant est une personne, un enseignant est une personne.
E1 E2 L’entité Personne est la généralisation des entités Etudiant et
Enseignant.
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 78
III. MCD
Héritage :
Principale propriété de la généralisation.
toute entité E’ (sous-type) ayant avec une autre entité E (sur-type)
une relation de généralisation dans le sens E’ est un E hérite des
attributs de E.
Les attributs adjoints à l’entité E’ sont appelés attributs propres et
ne peuvent être hérités par l’entité E.
Exemple :
Personne(N°Matricule, nom, prénom, dateNais)
Etudiant(N°Etudiant, discipline, diplômePréparé, annéeEtude)
Les entités Etudiant et Enseignant vont hériter des attributs
N°Matricule, nom, prénom, dateNais.
Par contre l’entité Personne ne peut hériter de l’attribut N°Etudiant car
toutes les personnes ne sont pas des étudiants.
Assistant-Doctorant
Employé
Un employé est soit salarié, soit
horaire, soit vacataire
+
Etudiant Employé
Contrat
Contrat Contra
crédit épargne
On veut séparer les articles (d’attributs n°Code, nomA, marque, qté en stock)
en plusieurs classes : article alimentation (d’attribut date limite de vente),
article habillement (d’attributs taille et couleur), HI-FI (d’attribut puissance),
hygiène… On introduit également une entité Service après vente pour la
réparation des articles HI-FI.
1, n
Rayon
Etudiant Enseignant Etudiant
nomR
matricule spécialité externe
étage
département université
Remarque E1 E2
La suppression d'un "composé" peut ou non entraîner celle des
"composants"
"pièces détachées" irrécupérables ou récupérables!.
Réciproquement la suppression d'un "composant" peut ou non
entraîner la suppression du "composé"
(une voiture sans roue ne change pas d'identité, une voiture avec un
nouveau châssis est une autre voiture...).
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 90
III. MCD
Exemple
On veut connaître les étudiants mariés et les différents types de
véhicule. Voiture
En effet l’attribut numV de l’entité Voiture suffit, à lui seul, pour identifier une occurrence
de l’association assure.
Ceci est dû à la cardinalité 1, 1 qui garantit que pour une valeur de numV il n’y aura
qu’une seule occurrence de assure avec cette valeur de numV. D’où la règle suivante :
Si une association a une cardinalité maximum égale à 1 pour une des entités,
alors tout identifiant de cette entité est identifiant de cette association.
Livre
est un Exemplaire
ISBN 1, n 1, 1
numEx
titre
état
ISBN = International Standard Book Number
L’entité Exemplaire est une entité faible (numEx n’est pas un identifiant) dépend de
l’entité Livre. On dit que Exemplaire dépend de Livre car, du fait des cardinalité, il n’est
pas possible de créer une occurrence de Exemplaire sans la rattacher à une occurrence
existante de Livre. Ce type dépendance est appelé dépendance d’existence.
L’identifiant d’une entité faible (qui est le même que celui de l’association) est constitué
de l’identifiant de l’entité dont il dépend et d’un (ou plusieurs) attributs du l’entité faible.
L’identifiant de Exemplaire (et de l’association est un) est : Livre.ISBN + numEx
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 97
III. MCD
Identifiant d’une sous-classe
Soit E une entité sous-classe de l’entité E’, alors tout identifiant
de E’ est aussi identifiant de E.
E n’a pas nécessairement d’identifiant qui lui soit propre.
Dans l’exemple de hypermarché, Article, Article alimentaire,
Article habillement et Article HI-FI ont tous les trois pour
identifiant celui de Article (n°Code).
Article
n°Code
nomA
type
marque
qtéStock
Schéma 2
Schéma 1
Dans le schéma 2, un employé peut occuper plusieurs bureaux.
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 100
IV. Conception d'un MCD
Il y a donc plusieurs solutions possibles.
Pour n’en retenir qu’une, le concepteur recherchera le SI le
mieux adapté à la réalité en discutant avec le gestionnaire.
Est-ce que la notion de bureau est accessoire ou au contraire assez
importante pour nécessiter la création d’une entité ?
si cette dernière option est retenue, il est probable que d’autres attributs
(nombre de fenêtres, exposition, type d’ameublement…) seront ajouter pour
décrire un bureau.
Par ailleurs, il apparaît plus judicieux d’attribuer une surface à un bureau
qu’à une personne
Principaux problèmes de cette méthode :
1. reconnaissance des entités et des associations
2. reconnaissance des attributs pertinents
3. placement des attributs
4. détermination des types d’association
5. choix des cardinalités pour les couples entité/association
La reconnaissance des entités et des associations ainsi que les
attributs pertinents sont obtenues par un travail d’analyse de
K. M. BROU
l’univers du discours.
Méthode d'analyse MERISE
101
IV. Conception d'un MCD
Placement des attributs sous les associations
Un attribut peut être placé sous une association lorsqu’il est
déterminé par toutes les entités liées par l’association.
Un attribut appartient à une association lorsqu’il dépend de toutes les entités
liées dans cette association.
Pour chaque ensemble formé par chaque occurrence de toutes les entités
concernées, il existe une seule valeur possible pour cet attribut.
Exemple : prenons le cas d’un étudiant qui assure sa voiture.
Le montant de l’assurance dépend à la fois des caractéristiques de l’étudiant
(âge, date de permis, etc.) et des caractéristiques de la voiture (nombre de
chevaux).
Etudiant Voiture
N°Etud N°immat
assure
nomEtud chevaux
prénomEtud montant marque
dateNais catégorie
datePermis
Les occurrences de l’entité Date sont les dates de signature de contrats entre
l’étudiant et les sociétés d’assurance.
Remarques :
Une entité temporelle possède souvent un seul attribut et elle fait intervenir une
association n-aire (sauf les attributs de mesure du temps jour, heure, minute…).
Etudiant Voiture
N°Etud 1, n assure 1, 1 N°immat
nomEtud chevaux
prénomEtud marque
dateNais 1, 1 catégorie
datePermis
Police
numéro_police
date_contrat
montant
Si une voiture devait être assurée à un moment donné plusieurs fois, le
schéma ci-dessus ne marche pas, d’où le schéma suivant.
Règle 2 :
l’introduction d’événements datés en tant qu’entités reporte sur ces entités
tous les attributs associables à ces événements.
Etudiant Voiture
N°Etud N°immat
nomEtud 1, n 1, 1 chevaux
prénomEtud possède marque
dateNais catégorie
datePermis
1, n
1, n
souscrit concerne
1, 1
1, 1
Police
N°Police
dateContrat
montant
Si la rubrique de la ligne i est en DF avec la rubrique de la colonne j (i j) alors on met une croix
dans la case ayant i et j pour coordonnées.
Si pour une rubrique, aucune croix n’apparaît dans une ligne ou dans une colonne, cela signifie que
cette rubrique ne dépend d’aucune autre et que la connaissance de cette rubrique ne nous permet
pas d’en déterminer une autre. Il va falloir chercher des dépendances composées faisant intervenir
les rubriques indépendantes. Dans notre cas il s’agit des rubrique 8 ( qté commandée) et 13 (prix
achat).
n° facture, n° produit qté commandée
n° produit, n° fournisseur prix achat
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 122
IV. Conception d'un MCD
Phase 4 : Rechercher une couverture minimale.
Une couverture minimale est un ensemble minimum de DF à
partir du quel on peut retrouver toute les autres.
On supprime des DF qui peuvent être obtenues par les règles d’Amstrong.
n° facture n° adhérent
n° adhérent nom adhérent, prénom adhérent, adresse adhérent
n° produit désignation, prix vente, tva
n° fournisseur nom fournisseur
n° facture, n° produit qté commandée
n° produit, n° fournisseur prix achat
Nous vous informons que vous êtes redevables pour le mois de……… des factures
dont la liste suit :
N° facture date Montant
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K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE
IV. Conception d'un MCD
Correction
Le numéro de facture n’est plus dans ce document une rubrique
incrémentée mais une rubrique non calculée. On retiendra ce
dernier type.
De même la date de la facture qui était un paramètre doit être
traitée maintenant comme une rubrique non calculée. On
retiendra ce dernier type
En ce qui concerne les montants partiels, si les éléments de
calcul (le détail des factures) ont été conservés, alors il faut le
traiter comme une rubrique calculée. Si seuls les montants des
factures on été conservés, alors on peut les considérer comme
des rubriques non calculées.
Le montant à régler est une rubrique calculée.
129
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE
IV. Conception d'un MCD
Absence de contrôle de validation
Lors d’une mise à jour, on effectue des contrôles indépendants
des valeurs enregistrées (validation statique) ou au contraire
dépendant des valeurs enregistrées (validation dynamique).
Exemple de validation statique :
Le prix d’un produit doit être inférieur à 10 000 F.
Exemple de validation dynamique
Pour un produit, on doit choisir le fournisseur le moins cher.
Conclusion
Malgré ces quelques limites, le modèle entité/association
rencontre un vif succès ;
C’est un élément de la méthode Merise.
Ce succès est dû en particulier à la représentation graphique
claire et synthétique de la description conceptuelle des données.
Cette représentation facilite le dialogue entre l’utilisateur et
l’analyste.
130
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE
V. MCT
5.1. Présentation
Le traitement constitue la partie dynamique du SI.
Ils décrivent les actions à exécuter sur les données afin
d’obtenir les résultats attendus par l’entreprise.
Les traitements sont la traduction en actions des Règles de
Gestion qui composent l’activité de l’entreprise.
Exemple : soit la règle de gestion suivante :
"Une commande ne sera satisfaite que si la quantité en stock
est supérieure à la quantité demandée"
Cette RG se traduit par les traitements suivants :
Lire la quantité commandée
Comparer la quantité commandée avec la quantité en stock
Si la quantité commandée est inférieure à la quantité en stock, alors
la commande est acceptée, sinon la commande est rejetée.
Traitement
Données
Il permet de :
décomposer le SI en sous-système ;
formaliser les flux d’information entre ses sous-systèmes
2 sortes de modèles de flux au niveau conceptuel :
Le modèle de contexte (MC) ;
Le modèle de flux conceptuel (MFC).
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 133
V. MCT
Le modèle de contexte
Le MC détermine le domaine d’étude et ses échanges avec son
environnement extérieur (acteurs externes).
Domaine d’étude
Sous-ensemble cohérent de l’entreprise bien délimité et formant le
contenu d’étude.
Il peut être assimilé au modèle de flux de niveau 0.
Acteur : entité organisationnelle identifiable par la mission qu’il
remplit dans le cadre du champ d’étude défini.
Acteur interne : acteur dont le missions se situent à l’intérieur du
champ d’étude. Par raccourci, on l’appelle aussi acteur.
Acteur Externe (ou Partenaire) : acteur dont les missions se
situe en dehors du champ d’étude mais qui échange des
informations avec un acteur interne.
Exemples : activité, service, personne, profil (secrétaire, ingénieur,
directeur…), matériel.
Acteur 1
Domaine
d’étude
Acteur 2
Domaine
connexe 1
Domaine connexe
Autre domaine du SI interagissant avec le domaine d’étude.
Service
Achat
Utilité du MC
Démarrage de l’étude : permet de déterminer le domaine d’étude
(correspond la plus part du temps à un domaine fonctionnel).
Fin d’analyse du SI actuel : permet de déterminer les activités
existantes.
Début d’analyse du système futur : permet de préciser les
contours du domaine d’étude.
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE 136
V. MCT
Modèle de flux conceptuel (MFC)
Il décrit par raffinement successif les activités du domaine
d’étude sans décrire leurs comportements.
C’est une structure hiérarchique de diagramme de flux (DF).
DF1
Modèle de
Contexte (MC)
DF12 DF13 …. DF1n
DF131 DF132
demande d’achat
proposition
commande
Client facture Service
produit Vente
règlement
Facture acquittée
Service
Achat
demande d’achat
Produire
proposition
double proposition
Client commande
facture
produit Vendre
règlement
Facture acquittée
DF de niveau 1
commande
facture Gestion des
produit commandes
DF de niveau 2
Nom de
Nom de Nom du flux 2
l’acteur
l’acteur 3
externe 1
facture
Client Service
bon de commande vente
Demande de réapprovisionnement
Service
Stock mis à jours
achat
Demande Réception
Facture
de réappro. produits
Stock mis à
jours
Conditions Synchronisation
d’exécution
Désignation de l’opération Ouverture d’un compte
Opération
Conditions d’émission de
résultats acceptée refusée
Facture Demande
de réappro.
Traitement de la commande Opération
Stock Stock Règles d’émission Réception
Evénement interne insuffisant suffisant produits
Exemple
Commande
Une commande passe de l’état créée à l’état payée
Créée Payée
Commande
Demande
Facture
de réappro
Règlement
reçu
b ET c
Gestion des règlement
Commande
toujours Créée Payée
Règle1 :
Chaque entité devient une relation.
L’identifiant de l’entité est la clé de la relation
Entité
E1 Relation
Entité1 Entité2
Relations
E1 E2
0, n A 0, n E1(a1e1, a2e1)
a1e1 a1e2
a2e1 ou a1a ou a2e2 E2(a1e2, a2e2)
1, n 1, n
A(a1e1, a1e2, a1a)
Entité
0, 1 ou 1, 1 Relatio
E1 Règle 2 n
A E1(a1e1, a2e1, a1e1Père, a1a)
a1e1
a1a
a2e1
0, n ou
1, n
Entité
0, n ou 1, n Relations
E1 Règle 3
A E1(a1e1, a2e1)
a1e1
a1a A(a1e1Père, a1e1Fils, a1a)
a2e1
0, n ou
1, n
Entité1 Entité2
Relations
E1 E2
a1e1 1, 1 A 1, 1 a1e2 E1(a1e1, a2e1, a1e2, a2e2, a1a)
a2e1 a1a a2e2
Entité1 Entité2
Relations
E1 E2
a1e1 1, 1 A 0, 1 a1e2 E1(a1e1, a2e1, a1e2, a1a)
a2e1 a1a a2e2 E2(a1e2, a2e2)
Entité1 Entité2
Relations
E1 E2
a1e1 0, 1 A 0, 1 a1e2 E1(a1e1, a2e1)
a2e1 a1a a2e2 E2(a1e2, a1e2)
ou
E1(a1e1, a2e1, a1e2, a1a)
E2(a1e2, a2e2)
Entité générique
E1 Relations
a1e1 E1(a1e1, a2e1)
a2e1
E2(a1e1, a1e2)
E3(a1e1, a1e3)
E2 E3 E4(a1e1, a1e4)
a1e2 a1e3
Entités
spécialisées
E4
a1e4
170
K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE
Bibliographie
Webogaphie
http://selsek.free.fr/eloker/miage/cours%20M1/msi/Pol
y-Merise2%20IUT-Info-Grenoble.pdf
http://www.infres.enst.fr/~dombd/polyv7/
http://lbdwww.epfl.ch/f/teaching/courses/poly2/11/11.h
tm
Cours de Yolaine.Bourda@supelec.fr
Cours de Mme Silber cours@www-aius.u-strasbg.fr
http://www.proplus-
donbosco.net/courses/INITIATIONAUXSCIENCESDELINGE
NIEUR/document/Module_1/cours_analyse_fonctionnelle/
fiche_SADT.pdf?cidReq=INITIATIONAUXSCIENCESDELING
ENIEUR
www.labo-sgbd.fr.st
http://www.iutc3.unicaen.fr/~moranb/cours/acsi/valid/t
able.htm
http://www.iutc3.unicaen.fr/~moranb/cours/acsi/activite
s/activ19.htm
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K. M. BROU Méthode d'analyse MERISE