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x(t) = 2t
4.2. Déterminer à quel instant et pour quelle
élongation, le mouvement d’équation : x =
1
y(t) = t2 −12t2 + 3t − 5 change de sens.
2
z(t) = 0 4.3. Comment expliquez-vous qu’un point animé
d’un mouvement circulaire ait une accéléra-
1.1. Le mouvement du mobile est-il plan ? Pour- tion, bien que la valeur du module de sa vi-
quoi ? tesse soit constante ? Que savez-vous de cette
1.2. Déterminer le module du vecteur vitesse du accélération ?
mobile à l’instant t. AN : t = 0.
1.3. Déterminer le vecteur accélération à un ins- 4.4. Sur un chantier, un ouvrier situé à 30 m du
tant t quelconque. Conclure. sol, lâche sans vitesse initiale, une masse de 5
kg. Calculer la durée de la chute et la vitesse
1.4. Quelle l’équation de la trajectoire de ce mo-
d’arrivée au sol de la massette.
bile ?
4.5. Un piroguier qui remonte le courant d’une ri-
E xercice 2.
vière, laisse tomber son chapeau à l’eau en un
L’équation paramétrique d’un mobile en mouve- point A. Il poursuit cependant sa route et ne
ment rectiligne est en mètre : fait demi-tour qu’au bout de 5 minutes, alors
qu’il se trouve en un point B. Il descend la ri-
1 2 vière en pagayant à la même cadence qu’à la
x= t + 2t + 1
2 montée et rejoint son chapeau en point C. Sa-
chant que le chapeau a parcouru 700 mètres
2.1. Quelle est l’équation de sa trajectoire ?
entre les points A et C, quelle est la vitesse U
2.2. Déterminer : du courant ?
la position initiale du mobile (à t = 0 s) ;
E xercice 5.
la vitesse initiale du mobile (à t = 0 s) ;
le module de l’accélération du mobile à Lors d’un coup franc, un ballon de football est
un instant t quelconque. Conclure. lancé avec une vitesse initiale formant un angle de
50◦ avec le sol. Il parcourt une distance de 20 m
2.3. Calculer la vitesse moyenne vmoy du mobile avant de rebondir de nouveau sur la pelouse. Cal-
entre les instants t1 = 0 s et t2 = 2 s. culer :
2.4. Calculer les vitesse v1 et v2 du mobile aux 5.a. la vitesse initiale du ballon ;
instants respectifs t1 = 0 s et t2 = 2 s.
5.b. la durée du coup franc ;
2.5. Comparer v1 et v2 à vmoy . Conclure.
5.c. la hauteur maximale atteinte par la ballon.
E xercice 3.
E xercice 6.
b. La durée nécessaire pour que la pierre 9.1. Écrire les équations horaires de B1 et B2 .
repasse près de son point de lancement, 9.2. Déterminer la date du choc entre les deux
puis la vitesse à cet instant. billes.
c. La vitesse et la position de la pierre, 5 9.3. En déduire l’abscisse xc du lieu où se produit
secondes après le lancement. le choc.
d. La vitesse de la pierre juste avant qu’elle
ne touche le sol. E xercice 10.
6.2. Le vecteur vitesse initiale formant un angle de Deux billes A et B assimilables à des points ma-
30◦ avec l’horizontale, déterminer : tériels sont disposées sur une même verticale, à 0,4
m l’une de l’autre, avec A au-dessus de B. À l’ins-
a. La durée nécessaire pour que la bille at- tant t = 0, on lâche A sans vitesse initiale. Quand
teigne le sol. A a parcouru 0,2 m, on lâche B sans vitesse initiale.
b. La distance, du pied de l’édifice, à la-
10.1. Écrire les équations horaires des mouvements
quelle la pierre touchera le sol.
de A et B en prenant pour origine des espaces,
c. La nouvelle valeur de la vitesse de la le point de départ de A et pour origine des
pierre juste avant qu’elle ne touche le sol. temps, le moment de départ.
10.2. À quel instant t, le choc entre A et B aura-t-il
E xercice 7.
lieu ? On prendra g = 10 m.s−2 .
Une bille de verre de masse m = 15 g est lâchée
sans vitesse initiale sur un plan incliné d’un angle E xercice 11.
E xercice 12.
E xercice 9.
D’un même point O, on lance verticalement vers 12.1. Calculer le poids d’un objet de masse m1 =
le haut deux billes B1 et B2 de masses respectives 55 kg (on donne g = 9,81 m.s−2 )
m1 et m2 telles que m2 = 2m1 .
12.2. Cet objet tombe dans le vide sans vitesse ini-
La bille B1 est lancée à l’origine des dates avec tiale sous l’effet de son propre poids (note :
une vitesse initiale V0 = 20 m.s−1 . « dans le vide » signifie qu’il n’y a pas de ré-
sistance du milieu à la chute, par exemple, pas
La bille B2 est lancée deux secondes plus tard
de frottement de l’air). Quelle est son accélé-
avec la même vitesse initiale.
ration ~a1 ?Quelle est l’accélération ~a2 d’une
En utilisant comme repère d’espace l’axe verti- plume de masse m2 = 1 g qui tombe dans le
cal ascendant d’origine O, vide dans les mêmes conditions ?
12.3. Quelles sont les vitesses de l’objet de plomb de plaques parallèles et orthogonales à ~ex . (fig ci-
et de la plume après une chute de 1 s ?. dessous). On admet que le champ électrique peut
être considéré comme uniforme entre chaque paire
E xercice 13.
de plaques et nul partout ailleurs.
E xercice 18.
16.1. Déterminer les équations horaires du mouve- Une particule α (noyau d’hélium) est émise avec
ment de la particule entre A et S. Quelle est une vitesse v0 à l’intérieur d’un condensateur à ar-
la nature du mouvement ? matures planes telles que QB = −QA et dans lequel
16.2. Comment varie la vitesse de la particule ? règne un champ électrique uniforme E. ~
E xercice 17.
F = 1,0.103 N constante jusqu’à sa sortie du canon. de l’anneau. Le vecteur vitesse initial est situé dans
On étudie le mouvement de ce projectile dans un un plan vertical et forme un angle α = 35◦ avec
référentiel terrestre supposé galiléen. On négligera l’horizontale.
toutes les forces de frottement et celles dues à l’air
dans tout l’exercice. On prendra g = 10 m.s−2 .
E xercice 20.
21.1. Après avoir indiqué, en le justifiant, le signe
de VD − VC , exprimer, en fonction de U =
Pour marquer un panier, un basketteur lâche le |VD − VC |, m et e, la vitesse v0 de pénétra-
ballon lorsque le centre d’inertie de ce dernier se tion dans le champ électrique uniforme. On
trouve à un point A situé à hA = 2,40 m du sol donne : U = 1,0 kV, m = 1,67.10−27 kg, e =
et à une distance d = 6,25 m de la base du centre 1,6.10−19 C.
24.4. Déterminer la hauteur maximale atteinte par 26.1. Établir, dans un repère approprié, les équa-
le poids au cours de sa trajectoire. tions horaires du mouvement (position, vi-
tesse) du snowboardeur considéré comme une
Rep. v0 = 13, 7 m/s ; t2 , 17 s ; ymax = 6,82 m. masse ponctuelle. On néglige les frottements.
E xercice 25.
26.2. En déduire l’équation cartésienne de la trajec-
toire du snowboardeur.
Un cascadeur doit sauter avec sa voiture (assi- 26.3. Calculer la vitesse initiale qui permet au
milée à une masse ponctuelle) sur le toit en ter- snowboardeur d’atterrir au point B.
rasse d’un immeuble. Pour cela, il utilise un trem-
26.4. En supposant une vitesse initiale de 8,86 m/s,
plin AOC formant un angle α avec le sol horizontal
déterminer la hauteur maximale atteinte lors
et placé à la distance CD de l’immeuble. À l’instant
du saut par rapport à la route.
initial, le centre d’inertie G de la voiture quitte le
point O (origine du repère) et il est confondu avec 26.5. La réception au point B se fait en douceur
le point E à l’arrivée sur le toit. On néglige les frot- si le vecteur vitesse ne subit pas de change-
tements. ment de direction lors de l’atterrissage, c’est-
à-dire si l’inclinaison du vecteur vitesse lors de
l’impact équivaut à l’inclinaison de la piste.
Montrer que l’angle β, zone de réception vaut
−50, 5◦ .
E xercice 27.
E xercice 31.
o
Situation N 1
3.1- Sachant que les deux plaques mesurent D = 5,cm de long, montrer que l’électron arrive à sortir du
condensateur.
3.2- Déterminer la valeur de sa vitesse à la sortie du condensateur.
4.1- Sans aucune justification, indiquer parmi les courbes ci-dessous, celle qui représente au mieux l’allure
de la vitesse de l’électron sur l’axe verticale.
4.2- Même question pour la valeur de l’accélération totale à laquelle est soumis l’électron.
5. On effectue 9 tirs en chronométrant à chaque fois la durée mise par l’électron pour traverser le
condensateur.
On obtient les valeurs suivantes :
no du tir 1 2 3 4 5 6 7 8 9
Durée (µs) 0,985 1,018 1,005 0,997 0,991 0,999 0,989 1,008 1,015
Déterminer l’incertitude de répétabilité pour un niveau de confiance de 95% et indiquer alors le résultat
de l’expérience avec une incertitude.
Données : masse électron me = 9,1.10−31 kg ; charge élémentaire e = 1, 6.10−19 C ; champ électrique
σ
E = 0,1 V/m ; l’incertitude de répétabilité d’une mesure est donnée par la relation : Urépétabilité = k. √
n
avec k le facteur de qualité, σ l’écart-type de répétabilité et n le nombre total de mesures effectuées.
Extrait du tableau de la loi de Student :.
n 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 ∞
k.95% 12.7 4.30 3.18 2.78 2.57 2.45 2.37 2.31 2.26 2.23 2.20 2.18 2.16 2.14 2.13 1.96
k.99% 63.7 9.93 5.84 4.60 4.03 3.71 3.50 3.36 3.25 3.17 3.11 3.06 3.01 2.98 2.95 2.58
Le physicien anglais Joseph John Thomson utilisa un tube à vide, dans lequel une cathode émet
des électrons. Ceux-ci sont accélérés dans un champ électrostatique créé par des anodes de collimation.
À la sortie de ces anodes, les électrons forment un faisceau très étroit. Ce faisceau passe ensuite entre
deux plaques métalliques de charges opposées. Les électrons, soumis à un nouveau champ électrostatique,
sont alors déviés de leur trajectoire et viennent frapper un écran constitué d’une couche de peinture
phosphorescente. Tube utilisé par Thomson pour montrer la déviation de particules chargées par un
champ électrostatique :
Deux plaques métalliques horizontales portant des charges opposées possèdent entre elles un champ
électrostatique uniforme E
~ caractérisé par :
Document 3 : Force électrostatique subie par une particule chargée dans un champ élec-
~
trique E
Deux particules de charges de même signe se repoussent ; deux particules de charges opposées s’at-
tirent.
Données de l’expérience : Les électrons sortent du canon à électrons avec une vitesse v0 = 2,27.107
m/s. Le faisceau d’électrons passe entre les deux plaques chargées et est dévié d’une hauteur h quand il
sort des plaques. L’intensité du champ électrostatique entre les deux plaques est : E = 15,0 kV/m. La
longueur des plaques est : L = 8,50 cm. On fait l’hypothèse que le poids des électrons est négligeable par
rapport à la force électrostatique F~ .
e
2. Détermination du rapport pour l’électron.
m
2.1. En appliquant la deuxième loi de Newton à l’électron, montrer que les relations donnant les
eE
coordonnées de son vecteur accélération sont : ax = 0 et ay = .
m
2.2.a) Démontrer que la courbe décrite par les électrons entre les plaques admet pour équation :
2.2.
e.E
y= .x2 .
2m.v02
• Matériel
– Une table à digitaliser inclinable avec le mobile autoporteur sur coussin d’air
– Un micro-ordinateur, une imprimante graphique et éventuellement un traceur de courbe.
• Principe
Le palet sur coussin d’air est mis en mouvement descendant sur la table inclinée,
avec l’angle d’inclinaison β (figure ci-contre).
Son centre d’inertie est animé d’un mouvement rectiligne uniformément accé-
léré ; le long de la ligne de plus grande pente.
La position du centre d’inertie G du palet est transmise à l’ordinateur à inter-
valle de temps consécutifs égaux t.
~ exercée par le support f~
Le palet est soumis à son poids P~ et à la réaction R
est la force de frottement supposée constante.
• Résultats expérimentaux
m = 0,260 kg ; β = 16◦ ; g = 9,8 N/kg.
t(s) 0,00 0,02 0,04 0,06 0,08 0,10 0,12 0,14 0,16 0,18
y(m) 0,000 -0,008 -0,017 -0,026 -0,036 -0,048 -0,061 -0,073 -0,087 -0,102
vy (m/s) -0,360 -0,413 -0,455 -0,496 -0,551 -0,603 -0,636 -0,660 -0,708 -0,751
• Exploitation et questions
f
1. Démontrer l’expression : vy = − g sin β − t − v0 .
m
2. Représenter graphiquement vy en fonction du temps.
3. À partir du graphique, déterminer l’intensité f de la force de frottement. Comparer sa valeur à celle
de la composante motrice m.g. sin β du poids. Conclure.
4. Exprimer l’énergie cinétique Ec à un instant quelconque t en fonction de vO , m, g, `, f et β.
5. Représenter graphiquement Ec en fonction de la distance ` parcourue par le mobile sur l’axe (Oy).
6. Déterminer graphiquement à nouveau la force de frottement f .
Que peut-on dire de la fiabilité du programme d’enregistrement des paramètres y et vy ?
o
Situation N 4 : Étude expérimentale
Un mobile est lâché sans vitesse initiale sur une table inclinée d’un angle α sur l’horizontale. Les
positions du centre d’inertie du mobile au cours du temps sont relevées dans le tableau suivant :
t (s) 0,000 0,060 0,120 0,180 0,240 0,300 0,360 0,420 0,480
d (cm) 0,00 0,30 1,10 2,50 4,45 6,95 10,0 13,6 17,5
t2 (s2 )
1. Compléter le tableau.
2. Représenter la courbe d = f(t2 ). Échelles : 1 cm pour 10−2 m ; 1 cm pour 10−2 s2 .
3. Quelle est la nature du mouvement ?
4. Calculer la valeur numérique de l’accélération du mobile.
5. Le contact du mobile avec la piste se fait sans frottement. Prendre g = 10 m.s−2 .
4.1. Faire le bilan des forces extérieures appliquées au mobile.
4.2. Montrer que l’accélération du centre d’inertie du mobile a pour expression : a = gsin α.
4.3. En déduire la valeur en degré de α.